CHERBOURG - Normannia

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'
COUDRIER MARITIME & MILITAIRE
QUAND LE CHARBON BAISSE,
TOUT BAISSE
—*—
Enfin ! les prix du "charbon comEtat-major
ï mencent à faire la culbute.
— Mouvement parmi les officiers Les marchés qu'on conclut depuis
appartenant ou en service au Port de quelques
jours attestent une baisse
Cherbourg:
de moitié sur les charbons amériSont destinés: w
A l'état-major du i Arrondisse- cains et une baisse d'un tiers et plus
ment maritime, à Cherbourg: M. sur les charbons anglais.
Avant la guerre, il n'y avait que
Peltier, officier de 2° classe dts Equipages de la flotte (en congé de 45 deux grands fournisseurs de charbon en Europe : l'Angleterre et
jours).
Au Hova: M. Gallis, capitaine de l'Allemagne, dont la production
déliassait 200 millions de tonnes
«jorvette.
Au Sénégalais (Escadre de la Mé- pour chacun de ces pays.
diterranée Orientale): M. Bourdier,
Mais un troisième'fournisseur
enseigne de vaisseau, à bord du surgit ; l'Amérique. Les Étal-Unis
Duchaffauk, (Escadre de la Médi- sont un aussi gros producteur de
terranée Orientale).
charbon que l'Angleterre et l'AlleAu service 0. D. du i tr Arrondisse- magne. Mais ils sont, loin, et avant
ment pour les sous-marins de Cher- l t ' l i ils n'avaient pas de flotte
bourg: M. Le Saout, officier de 2'-' cl. marchande importante. Ils en ont
des Équipages de la flotte.
une aujourd'hui. Us nous l'ont l'ait
Au cuirassé Paris, (Escadre de la voir en nous expédiant des stocks
Méditerranée Occidentale) M. Hemon importants de charbon. Colle l'ois,
officier de 2" cl. des Equipages de la c'étaitJa bienfaisante concurrence ;
flotte.
d'où la dégringolade des prix.
Au sous-marin Cloriade, à Cherbourg: M. Breittmayer, enseigne de
ANOMALIES
vaisseau, du port de Brest (embarqué
Un juge d'instruction de 28 ans
sur le Sénégalais).
— M. Legrosdidier, capitaine de gagne moins qu'un gardien-chef do
corvette, est autorisé à servir tempo- p.'ison et qu'un gendarme : un juge
touche moins qu'un commis ou
rairement au port de Toulon.
— M. Robinet de Plas, lieutenant qu'une dactylo du ministère ; un
de vaisseau (flottille du Rhin), est conseiller à la Cour gagne comme
autorisé à servir temporairement au un entreposeur de tabacs ; un
substitut gagne comme un agent de
port de Toulon.
police ; un procureur gagne sou***
vent moins que son commissaire de
Officiers ncécanxieni
police, et de vieux magistrats ne
Sont destinés;
touchent pas autant que des sousAu Metz, à Brest, M. Olichoft, mé- heulenants.
canicien principal de i1- classe (en
Voyez encore • un conseiller de
Eervice à Brest).
préfecture
gagne 0.000 francs et
M. Leriverand, mécanicien principal de 2" classe, est autorisé à servir son garçon de bureau 5.200 ; un
chef d'atelier des Beaux-Arts a
temporairement au port de Brest.
4.000 francs et son gardien 5.300.
Ecole supérieure de Marin?
Sont admis à suivie les cours de
TERRIBLES CONSEQUENCES
l'Ecole supérieure de marine;
D'UNE
ACCUSATION FAUSSE
MM.
Le
2
courant,
trouvait noyée
Les capitaines de corvette Brohan, dans une fosse à on
purin une jeune
11
Vallée, Nove-Josserand, Marquii.
" Clémence Qlaudel,' serLes lieutenants de vaisseau Antoine fille, M
chez un riche fermier de
Duroch, Terraux, Ven, Thierr • d'Ar- vante
genlieu, Chaumié, Leloup, Do Cam- Troyes.
La malheureuse avait, été assombourg, De Vedrines, Marloy,
mée avec une barre de fer, puis
l'assassin l'avait précipitée dans la
Mutations
Les mutations suivantes sont pro- fosse, où elle était morte par asphynoncées a n s la réserve de l'infanterie xie. Los soupçons se portèrent siir
le patron de la jeune fille, M. Dccoloniale:
1U(I
'
'
' ses dénégations,
"
"
mandre;
malgré
il
Au 1" Régiment
MM. les capitaines: Bardon, du 3'; fut gardé a la disposition de la justice.
Lemonnier, du 5'.
Sous le coup de celle accusation,
MM. les sous-lieutenants: HugueM. Demandre perdit la tête, et, de
nin et Le Dru, du 3".
MM. les sous-lieutenants (à titre retour à son domicile, il se fit sautemporaire): Tissot, du 20; Foucher, ter la cervelle après avoir écrit à
sa femme une lettre d'adieu dans
du 8".
Au Régiment d'infanterie coloniale laquelle il se défendait d'avoir tué
la jeune Claudel.
du Maroc
Pour beaucoup, ce suicide paraisMM. les sous-lieutenants Madegard
sait être l'aveu de la culpabilité.
et Puel, du ï" rêg.
Mais des agents de la police secrète
-» » —
avaient repris l'enquête.
LES AMOURS TRAGIQUES
Leur attention fut immédiateDijon. — Mmo Marie Petitdidier, ment attirée sur un domestique de
rue Odebert, avait avisé le service la ferme, Léonce Marchai. 42 ans,
de la sûreté que de nombreuses dont l'attitude leur avait paru loulettres de menaces étaient, en ces che. Soumis à un interrogatoire
temps derniers, parvenues à sa fille serré, cet individu commença par
qu'un certain Roger Gillerat, 19 nier.jmais il voulut trop prouver et
Qns. habitant Pontarlier (Doubs), ne réussit qu'à se contredire j si
poursuivant de ses assiduités, et bien qu'il finit par avouer. Il aurait
qu'il voulait enlever.
tué la jeune bonne parce qu'elle
Or, la présence do Gillerat refusait do l'épouser.
était signalée dans un café de
^
1 »•
-.-..;,
h rue de Jouvence, d'où il surveilON 'UVSiER
*
FAIT UNE CHUTE DE 45 METRES
lait11 la sortie, de l'atelier où travaille
ET
SE
TUE
EN
VOULANT
SAUVER
M - Petitdidier.
UN CAMARADE
Lorsque les agents l'abordèrent,
l ' a dramatique accident, qui coûta la vie
le jeune homme n'hésita pas à faire à un brave ouvrier, s'est produit au cenfeu par trois fois; mais un garçon tre d'aviation de Cuers-Pierrcfcu, Uni; équide zingueurs était montre sur le hangar
bouclier, M. Francis Giron, parvint pe
n» 1 du dirigeable « Dixmudc » cx-L-1'.!,
à le désarmer.
pour procéder a la réparation d'un lantorGillerat, dont deux jeunes amis neau. Soudain, l'ouvrier Moultct glissa su.'
ont été arrêtés pour complicité, a les lûies et allait faire nue grave chulo si
camarade Perryon ne l'avait saisi au pasavoué ses intentions criminelles à son
sage. Mais, emporté par son clan, ce dernier
l'égard de la eune fille.
glissa à sou tour. Un troisième ouvrier, Eu-
«t
V
Les REMORDS du CAMBRIOLEUR
Le 10 novembre, doux cambrioleurs volaient chez Mme Paire, de
Saint-Prix, dans l'Allier, une cassette contenant 40.000 francs; de
voleurs.
L'un des malfaiteurs, pris de remords, faisait, en confession, l'aveu du vol et remettait au curé
4'une paroisse de Seine-et-Oise
environ 25.000 francs en bons et
''très. Le prêtre retourna les valeurs au procureur de la République de Cusset qui s'empressa de
«s restituer à Mme Paire,
Celui qui détient le surplus du
vol a été dénoncé par «OU complice repentant ftt soa ar£Wt*Uo&
®
NOËL! JOUR DE L'AN!
—*—
Les CADEAUX, entretiennent. l'AMlTIÉ
Vous avez tous quelque Cadeau à faire
UN COUP D'CEII, SUR L'ÉTALAGE
ESCALE DE L> « IMFERATOR »
I
—
10
D'OR"
'
Rue
Tour-Carrée, 10
CHERBOURG
:s
FACILITERA VOTRE CHOIX.
»
--*>:
LA CRISE INDUSTRIELLE
Les slockeurs, c'est-à dire ceux
qui ont accumulé des marchandises, s'obstinent à déclarer que si
les banques ne leur font, pas d'avanoes pour maintenir leurs approvisionnements, ils ne pourront
pas continuer leurs affaires cl que
leur ruine est proche.
A se sujet, un de nos confrères,
fait les observations suivante:
La crise industrieiie
et commerciale
**************** t**i***r***m
— Monsieur et Madame Paul Looirpontier, née Neol; Madauio Veuve Noël' A! m•=ieur et Madame LecarpenUer, a Périgue.uMonsieur et Madame Lcvesque, nce Mac1 \
Pauillao (Gironde); Madenwwil, &Ui-»iîente LecarpenUer; Monsieur et Ma'hme
LecarpenUer, i Cliatcllerault; Monsieur et
Madame LecarpenUer, aux Sab.es ilOionae'
Veuve L'omet. à Coutance», Matlai Madame
rao Veuve Jourdan, i Hainneville- Madame
I Veuve Bcllée à Cherbourg; Et lés Familles
' Groult, Henry, Thoma53a, LagaUo Senn et
Iîevert ont la douleur do faire pari a leurs
amis et connaissances de la perte rruella
qu'ils viennent d'éprouver en lu personne de
Hoari LSCARPE?JTJE3,
leur rtls, petit-fils, neveu, ariitrc-neveu r>.
cousin, ilûcôd,- ;'i Ciicriiourg, lo li iiéc"i>iCHERBOURG SOUS LA NEIGE bre
11120. à fige (i.> /, moisi. Et !s-j prient
Sous un blanc manteau neigeux, d'assister à ses Convoi et Minimalhn. , ) : i
auront lieu le Lundi 13 Décembre, à 1 heurs
Cherbourg présentait dimanche un et demie de l'après-midi.
aspect pittoresque et rare. La monOn se réunir.! au domicile des p a r c U I ;
tagne du Roule, emmitouflée d'her- rue Gimibelta.
mine, les mfttures des navires délicatement ouatée:., les arbres fleuris
comme en mai, composaient un i
grandiose et magique décor.
La neige! nous li> voyons rareFOOTBALL ASSOcTàvî O-T
ment _ chez nous. Nous pouvons
l'admirer eu espérant que son règne Les résultats du dimanche
sera de courte durée, comme aussi
celui dit froid — redoutable par
Sous-marins (î ) i,.v. r<
(i B mlx',3). par 3 bv,; :
ces temps de disette de charbon.. "•"'!.•
iin leam nuriln.i , •.<•.
De Bulletin de l'Alliance Démocratique :
« La crise industrielle el commerciale, qui s'annonçait depuis
plusieurs mois, a éclate, nul ne
songe à le nier. Elle figurera, sans
doiile, dans l'histoire des crises,
comme l'une des plus graves que le
monde ait connues.
« Il v a partout, des faillites en
» Il n'est actuellement pour ainsi
'perspective, 'lo commerce frana féliciter.
dire aucune branche de l'industrie
A. 8. C. i Ste'ln i (3.) bat
çais 'risque d'èlre frappé d'un
KEOROLOD1E
qui ne soit plus ou moins atteinte :
(2" ), par 6 buts à iéro.
coup mortel? Et puis' après? Estaulomobilos, transports maritimes,
A. S, Lvcoe ( 1 " ) ci Fovi
Nous apprenons le deeei de M. MAXce que tous ces pens-là quand ils
match nul : 3 buts à :t.
produits chimiques, caoutchouc, DEIX. régisseur régional des Services du ruttirc
» iiossèdcul un on.: r
qui fut, pendunl la guerre,
vendaient H0 fr. les souliers qu'ils
sucre, cuirs, textiles, etc.... Et les Uavilaillemeat,
liicn. emi nous ii, ,;•
Je io
chargé pur le Ministre du Commerce, do la binant
payaient 40, quand ils Idômarphases
île jeu.
difficultés s'élendenl à tous les mission délicate de recevoir les denrées.
quaient cinq fois le même article
***
Tout était à créer: M. M.inde'x. tant au Hapays.
en magasin, quand ils ruinaient
qu'à Rouen el Cherbourg, fit des nierJ ' L'P H '
_: Quel est le caractère de la vre
vcillei et réali'ii une organisation parfaite, LA COUPE D
la pensée française par le prix
crise ? Grise de spéculation bour- j (ini permit ;;u pays d,. vivre pendant la tour(5-»TOl
15!
exborbitahl où ils (maintenaient
sièro ? Non, pas à proprement par- ; mente. Ancien eollaiiurateu: du • i, u .ul
DIMANCHE !i JA'NVl
le papier, quand ils stockaient le
du Havre », M'. Mandcix uvail dinrf des
ler ; cette crise de dégonflement ; comptoirs en Argentine cl a la Martinique,
beurre et les œufs, quand ils jeiraiicn
des cours sur les valeurs de spécu- et avait été nommé Président do la Chambre
coulre
taient le poisson aux égouls pour
lation a eu lieu en juin dernier. (io Commci'co du Havre et i.ol ufliuirr ut Paris -C. r.
maintenir les cours, quand ils pilla
Légion
d'Kunneur.
A. 8.
Crise de surproduction ? Non, si
laient nos portefeuilles, quand ils
Su mort sera vivement regrettée de lous
V,
l'on veut dire par là qu'il y a trop ceux
Relfo
qui,
h.
Cherbourg,
comme
au
Havre
ont
vidaient nos poches, avec une joie
reaux ••, on!"
de produits par rapport aux besoins connu cet homme émicent dont la haute !.'uer.
cynique qu'ils ne prenaient même
réels ; oui, si l'on considère qu'il y compétence était égale a U parfaite affa« Olympique » conl
r.-c. i
lias la peine de cacher, est-ce que
Paris,
a, aux prix actuels, trop de produits bilité.
r.i. A. Sainl-Ouen
A, 3 . i:
tous ces gens-là se souciaient de
pour la capacité d'achat d'un pays
n.s ••. i Lvon,
nos craintes, de nos douleurs et de
• C. s. suisse •• coii
• V.
affaibli par la guerre. Grise d'imMOUVEMENTS OE KfiWSSES
nos désespoirs? »
mobilisation et de crédit ? Oui surServannaise • ontre
f
Le paquebot Francs esl entrée hier
tout, car il semble qu'on a été trop matin
dans la forme du Home!, où sou sé- a Rennes.
Les favoris sont r
5. r.... le
ambitieux dans certaines industries jour sera d'assez longue durée.
P. b, le c n.-ij. Cal
!' . OivnPLACE AUX FEMMES !
Le cuirassé Sso Paulo, a éié amené l ' « A . S. Caimes». i'
el que les banques ont engagé dans
S. Suissr pi le
<•• C. A. P . " , soit cin.i s IMlisi n : ,ntre
eu rade, sous la place Napoléon,
des
opérations
non
temporaires
des
« Les femmes seront admises à
— Le cargo Portwood, chargé de 3.000 doux clubs proviuciau:
sommes qui eussent dû rester liqui- tonnes
el l'Ai GI10I5
de charbon anglais, est arrivé de
l'avenir, sous les moines conditions
Swansca.
des.
exigées actuellement des homs/s américain Suthcrland, chargé
Cabinet de M. Aloxandrs B'JHOT. ,iacut
» Il va falloir maintenant, sur des de 8000Letonnes
mes, à toutes les fonctions cl à
d'acier américain, dosiiu'é
uS. rm UUrùtinc,
stocks évalués trop haut, accepter aux Constructions navales de l'Etat français, d'affaires i Cherbourî
tous les emplois publics. »
—-k et constater des pertes pénibles. esl arrivé sur rode et va entrer dans l'ai'
Tel est l'arliclo unique d'une
de suile, pour rause do départ,
A, . céder très ben fonds d'aliKisatatlon.
C'est la condition inévitable du se-nal.
proposition de loi déposée par M.
grand paquebot imperator qui n'a- "lein cenlre. CEacilib1? d'extensifiii).
retour
à an état plus sain. C'est un vait—puLeatteindre
Charles LSarès.
la côte samedi soir, par
Pour Ions renscisiiemeuts, s'adri s:
udit
réajustement qui ne se fera pas suite de la tourmente de .neige oui lui bou- M. lilUlOT.
Et, à l'appui, te député de la
chait
iouto
vue,
esl
arrivé
dimanche
matin,"
sans pleurs ni grincements de en rade, ramenant un pilote Cherbourgeois,
Haute-Garonne donne les argudents.
ments que voici- la guerre a déOFFRES D'EMPLOI i franc l'insci
M. Thomas, que par suite d,, la tenipôle
qui régnait la semaine dernière, le paquebot
On demande oerscniii nonr leuir m- mie,
cimé la population masculine de
» André SIEGFRIED ».
— » »
Caronla avait dû conserver h son bord et rieur et une jeune lilie de ( i ù i; ans
notre pays; durant toute la guerre,
S'adresaer
5. rue Tiiiers. Tourlaville.
transporter a Londres. Le transbordement
la femme a prouvé qu'elle était ca*On dcman.ie une serveuse au a C:fé ils
dos 1.200 passagers de t'impérator, s'est efMarché
de
La
ViHette
Fov
...
5
i
.
(mai
île CaMiinv, Chorbouix'.
pable do remplftoer les employée
fectue normalement.
"On demande un livreur. S'adresseï aux
du Jeudi « Décembre 1020
et fonctionnaires mobilisés; de
Établissements Debrav. 45, nia de la Paix,
(Clôture)
Ciierbourï.
nombreuses entreprises et admiVente active a des cours en hausse sut
Lfl POISSONNERIE IHUNICIPALS
On demande dames et demoiselles pour
toutes
-espèces
sauf
les
veaux,
qui
sont
en
nistrations emploient depuis quelcourtages el encaissements, (t'ix.. et -ouilégère baisse.
Les débuts de la nouvelle Poissonnerie missions). S'adresser à M'" lloudelett . ru*
que temps des femmes... Bref, il
(Cours de fermeture). Prix du fellog vif: Municipale ont éié particulièrement satisfai- de la Marin.', l i . (5h''rliourï..
n'existe plus aucune raison valable
t « quai. 2* quai. 3» quai.
Pr. ext. s a n t ; chaque jour les mmagères so sont
'Jeune homme m li à lo ans esl demandé
de refuser à. lft femme, à litres
Bœufs
0,68 9,80 8,80 3,25 à 5.91 pressées dans le pavillon de la rue lioël- pour écritures irès faciles, pitisenw iiar
narent3. S'adresser i M. l'rédéric Quiniou.
Vaches
..,
8.25
k
5.91
9,fi8
0,30
8,80
Mcslin,
et
ont
acheté
de
grandes
quantités
égaux, à valeur et intelligence
Taureaux
9,10 8,80 8,50 3.25 a 5.52 de poisson de toute espèce, vendu i des prix 31. rue de Russie. Cherliourc.
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*On demande cuturièro pour neuf et racVeaux .... 13,50 12.80 11,80 5,00 à 8.40 déliant toute concurrence.
commodage, trois jours par semaine, si posl'homme no peut éternellement se
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Voici m'elques-iius des prix pratiqués par sible assurés. S'adresser" I I , rue de la Paix,
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réserver le /îonopole.
=
CHRONIQUE STOHfflE
=
Cherbourg.
Grondins h % fr. 20 la livre; rougets, a
On demande un jeune homme de l '•• ù
1 fr. 50; plies, 8 fr. 50; éperlans, 2 fr.; 16 an^. i>our courses et neltovauas. S'adresgodes, 1 fr. 5 0 ; orphies, 2 fr. 50; soles
ser au i Café du Théâtre •. Cherbourg.
a fr,; maquereaux, 2' fr. 50; bars, C fr, —i
Les'harengs se vendaient samedi 30 centimes, l'un.
A VENDRE : cuisinière (état neuf»,
avec, charbonnier : oetit lit d'enfant en chiw
ciré, avec sommier: ruche à abeilles —
CONCOURS DE JACQUET
S'adresser U 9 , rue de la Paix, Énu*urdrc>
•l'a concours de jacquet aura lieu chez M. ville.
Poisson, au '•• Cabaret des Halles, rue BOSlMeslin, 5, le samedi 13 décembre, ii 0 heures
O.N" DL'SIIIE aooarlemcnl ou petite mai•C . soir. Les personnes désirant prendre part :K»T"
son meublé, Uliorboura ou environs fdeux
au concours sout priées de se faire inscrire chambres a coucher, salle ,\ ntançer et eu'audit Heu, où tous les renseignements leur sine). — S'adresser 45, rue Dnnhoni'iie. S
seront donnés.
Chcrbour?.
1
THEATRE MUNICIPAL DE CHERBOURG
•
LE BANDITISME AU CINEMA
Deux jeune» adeptes de treize an»
An/lu, — Impressionnées par les scènes"
de cambriolage eu elles avaient vu représenter au olnéma, deux fillettes de treize
ans, EUsa Bouche et Solange Lehferoq, demeurant à Anzm, décidèrent de détrousser
la . première personne qu'elles . rencontreraient. Elles n'attendirent pas longtemps;
voyant arriver Mme Machutm'ë Besoatolre.
elles la bousoulèrent a l'angle d'une rue e t '
lui dérobèrent son pOrtefeoifie. ..
AHêtosj-i*u>gwniMi eet: avoua; nul*, e l ,
A bord de llmpérator qui fit
route hier soir pour New-York par
un temps neigeux, s'embarquèrent
1.200 passagers, parmi lesquels un
délégué du gouvernement cubain:
M. de Messa, accompagné de M. don
Carlos Obregon et du prince Alphonse de Bourbon.
»
DE LA
"GFRRF
gène Morin, voulut retenir lo malheureux
Perryon. Il ne put saisir qu'un de ses pieds
qu'il' ne put maintenir, et l'infortuné Perrvon, victime de son dévouement, continu*
à" rouler sur la toiture sous les yeux terrifiés de ses camarades. 11 s'abattit sur lo
sol d'une hauteur de 45 mètres. Quand ûu
le releva, 11 était mort. 11 était 8gé de 20
ans,
M
CHERBOURG
»
Y a plu» de charbon,» J'en commande'?
Jamais de la vie ! On annonce la baUte ï lu
l'Aura pour rien..,
dmmtoWhuMm
La première de La Fiancée du Lieutenant
Opérette militaire née de la guerre, et ayant
les qualités et les défauts du tout ce quo
le» rares auteurs et compositeurs non mobilisés, proposèrent ii la distraction des
gens de l'arrière, a fait salle comble. La
pièce essentiellement vaudcvldesqne. est
pleine de gaîté; cil: convenait donc aux o
cellenls' Intcrprétj» rie notre troupe et. Il
faut le dire: ell 0 a plu au public, qui a plusieurs fois rappelé les artistes i chaque
laisser de rideau, Mllo ÏIXADOlt mil en
valeur les meilleures pages.- d'une partition
ou il y a de bonnes intentions i cùté d'un
laisser-aller auquel nous accoutument, les
compositeurs du jour. Mmes ROUSSEL et
PASCAL, furent drôles a souhait, M. TELBY, •—i le colon bleu horizon — trouva-lit
un do 6es meilleurs rôles, M . TRINT'ONAN
piaffa trois actes durant et fit rire la 'allô.
M. GONTARD fut une désopilante ganaohe.
M. GABYEL, un brosseur plein de fantaisie.
L'orchestre nous révéla consciencieusement la partition sous la conduite du vaillant DAVANPORT. La mise enescène lut
partteuliêremiBt brlllaite. -go «amœe, suoces complet .dont U, ftwCer HAV Vite >ttia-
-«*•i
PERTES ET TROUiffllLLES (I franc fins.)
'Perdu ioune chienne jum-. de chasse,
avec collier, appartenant a M"" Anuuctil,
débitante, 35, rue do la Paix. fRécomoensc
est promise).
Le numéro du « Boyer »
Le numéro de décembre du Foyer p.irail
avee une nouvello couverture artistique, doo
au talent d'un excellent dessinateur.
Ce numéro renferme : la suite do roman
Les Serviteurs de la Haine, de M. licornes
Dejean ; un article remarquable de M1"" Perdrlel-Valssière ; La Fleur Bleue, La Carnet
d'une Confidente, do Claire-Liso ; Les Pages
d'autrefois, Les meilleurs Poètes, L'Or des
Pensées, etc., et do nombreux articles des
plus intéressants.
Uo Foyer ouvre dans ce numéro un grand
concours de. bonté.
Envol (l'un numéro-spéoimen gratuit sur
demando adressée : Le Fayer, 80, rue laitbout, PAtUS ( I X " ) .