CHERBOURG - Normannia
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Transcript CHERBOURG - Normannia
CHERBOURG
CE OUE SERA
LA JOURNEE DE LUNDI
FaitsJims
UN APPEL AU CALME VENGEANCE DE FEMME
L'établissement
DES ORGANISATIONS Elle profite du sommeil
de son mari
des bains-douches et lavoir de la rue Asselin PROLÉTARIENNES
est ouvert au public
Une visite de Jq Municipalité
miiiiiiiiimiiniiiiiiiuiiiiiiiiiiiiii
Dans l'apres-midi de samedi, les membres de la municipalité et du conseil municipal se sont rendus à l'ancien lavoir
Madelin, afin de procéder à l'inauguration de rétablissement municipal de
bains-douches et lavoir construit par la
société d'Entreprises Municipales, pour
le compte de la Ville et avec l'aide financière de l'Etat.
MM. Le Brettevillois. maire, Le Doussal, Noël et Allanic, adjoints, et de nombreux conseillers municipaux étaient
présents, ainsi que M. Drancey. architecte municipal. Us furent reçus par
l'administrateur de la société de construction, M. Dassy. et par M. Perrot, architecte ingénieur, spécialisé dans la
construction et dans la mise en marche
des établissements de bains, douches et
lavoirs.
Le bâtiment de la rue Asselin, dont
nous avons déià donné une description
au mois de décembre dernier, est fort
bien compris, spacieux et remarquablement éclairé et aéré. Il est conçu d'après les données les meilleures de la
construction en ce genre. Rappelons
qu'il comprend 12 cabines de bains et 12
cabines de douches, parfaitement agencées. Le chauffage est assuré par deux
grandes chaudières avec trois réservoirs
pour les douches. Le confort a été réalisé
ici de la façon la plus satisfaisante.
Quant au lavoir couvert, il offre aux
habitants de la Bucaille comme à toute
personne de la ville d'ailleurs, un maximum de moyens d'effectuer au meilleur
prix toutes opérations de lessive, de nettoyage, de rinçage, de séchage de leur
linge. Chaque stalle individuelle dont il
est pourvu 'et il en compte 36) comporte deux cuves en ciment, l'une pour
l'eau chaude, l'autre pour le rinçage.
Chacune a une largeur de 1 m. 30. Fini
le lavage à genoux, en nlein air, au bord
du ruisselet a l'eau fétide; finie cette affreuse corvée du lavaçe où la santé la
plus robuste résistait difficilement: le lavage se fera dans une salle parfaitement
close. Les usagères du lavoir municipal
travailleront debout.
Au point de vue sanitaire, il est indiscutable oue la création du lavoir municipal répondait à un véritable besoin.
Parmi les visiteurs, nous nourrirais citer
tel membre du corps médical qui nous a
donné à ce sujet les assurances les plus
dignes d'être retenues. Quant à la qualité du lavage, il n'est pas douteux que,
grâce au matériel perfectionné dont
rétablissement est pourvu, elle sera incomparablement supérieure à celle que
l'on obtient si péniblement avec les
moyens actuellement mis à la disposition de nos braves lessivières. Cuve pour
la lessive, baratte fonctionnant électriquement, essoreuse et penderies pour le
séchage du linge, offrent au public la
possibilité de faire effectuer du jour au
lendemain les plus délicats travaux de
nettoyage de linge qui soient.
Il nous reste à indiauer à nos aimables lectrices le tarif de l'établissement
oui est dès aujourd'hui ouvert au public.
HORAIRE ET TARIFS
DU NOUVEL ETABLISSEMENT
Bains
OUVERTURE :
Mardi, mercredi, jeudi, vendredi, sam e d i : de 8 heures à 12 heures, de 16
à 19 heures.
Dimanche : de 7 heures à 12 heures.
PRIX:
Bain-douche
1 fr. 50
Par abonnement de 10
Baignoire
l f r . 35
3fr.50
Par abonnement de 10
3fr.25
Douche scolaire
lfr.00
Par abonnement de 10
0fr.85
Par abonnement de 100
Serviette
Savon
Ofr.75
0fr.50
Ofr. 50
LA MUNICIPALITÉ VISITE
LE PARC DES SPORTS
Après avoir inauguré l'établissement de
la rue Asselin, M. le Maire, ses adjoints et
les conseillers municipaux se sont rendus
au Stade Municipal. Ils ont fort admiré
la peiouse et la piste, les gradins qui entourent le terrain de football, les massifs
de verdure que M. Drancey, fait planter
d'arbres et d'arbustes décoratifs, les
courts, sans oublier le jeu de boules.
Surtout le site a beaucoup séduit nos
édiles. Us ont eu là la plus agréable perspective du Cherbourg moderne qui sera,
espérons-le, le plus grand Cherbourg.
•
••»
«
—
UN CHERB0URGE0IS
CONSUL GÉNÉRAL A LIVERP00L
Nous avons annoncé la désignation
de notre concitoyen, M. Charpentier,
comme consul général de France à Liverpool.
A son arrivée dans le grand port
anglais, M. Charpentier a été l'objet
d'un amical accueil. La Presse de Liverpool lui a souhaité aimablement la
bi°nvenue, ainsi qu'en témoigne un
entrefilet paru dans le principal journal de la localité, et qui est ainsi conçu :
«M. Maurice Charpentier, consul général français, qui quitte Valence pour Liverpool, succédant à M. Louis Le Doulx (maintenant à Anvers), va prendre son nouveau poste.
Né en 1870, M. Charpentier a passé
quelque temps à Liverpool, étant jeune
homme, pour y étudier les méthodes commerciales anglaises, ainsi que la langue
anglaise, et entra au service consulaire de
son pays en 1896, son premier poste ayant
été Saint-Domingue. Deux ans plus tard,
il fut chargé d'une mission par le Cabinet
des Affaires étrangères, jusqu'en 1904. En
1908, il fut désigné comme vice-consul à
Kobé ; onze ans plus tard, il fut nommé
consul à Pu-Chau et Amoy (Chine). A
Mexico en 1920, à Glasgow en 1925 et à
Valence en 1928, où il fut promu consul
général en 1933.
Quatre générations de sa famille furent
étroitement associées aux choses de la mer,
et il se spécialisa dans les affaires maritimes. '
A cause de sa connaissance en cette matière, il fut chargé pendant la guerre de
l'achat et de l'affrètement au Japon d'une
flotte de cargos. On lui accorda, à cette
occasion, et sur la demande du Ministre
de la Marine marchande française, la
croix de la Légion d'Honneur.
Il a reçu, en outre, beaucoup d'autres
décorations françaises et étrangères, pour
ses services distingués dans plusieurs parties du Monde.
M. Charpentier est un grand amateur
de sports nautiques et a fait beaucoup de
yachting en Chine. Pendant son séjour à
Liverpool, dans sa jeunesse^ il fit beaucoup
de canotage sur la Dée».
gïësiâ
Lavoir.
OUVERTURE:
Mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi : de 7 heures à 12 heures et de
14 heures à 17 heures.
\etrh
PRIX:
,'.'V
..<
Prix de la place: 0 fr. 25. l'heure,
1 fr. la matinée, 0 fr. 60 l'âprèfr-midi.a
Linge lessivé et lavé, rendit- ifiôulllé; ;
le kilo : 1 fr. 40.
Linge lessivé, lavé et essoré, le kilo:
1 fr. 50.
Linge lessivé, lavé, essore, sèche, le
kilo : 2 francs.
Seau d'eau chaude ou de lessive :
0 fr. 25.
Savon, Javel, Lessive, Produits, aux
prix locaux.
Prix spéciaux pour les blanchisseuses.
Prix spéciaux par opérations séparées.
La visite du bâtiment moderne et
spacieux, qui a été substitué au sordide
lavoir Madelin, a fait à nos édiles la
meilleure impression.
Il dépend certainement de nos concitoyens, et surtout de nos concitoyennes,
que cet établissement rende les services
auxquels il est destiné. Là-dessus, les
constructeurs sont pleinement rassurés.
Depuis -'ingt ans, M. Perrot construit
des bâtiments de ce genre et l'expérience lui a montré que ces établissements
s'avèrent rapidement trop petits.
La Société d'Entreprises Municipales
exploite actuellement les lavoirs et
bains-douches de Caen et de Sartrouvi!le, oui donnent un excellent rendement.
Nous ne manquerons pas de rendre
compte de l'essai qui va être tenté à
Cherbourg. Déjà, nous pouvons dire que
rétablissement nouveau a suscité une vive curiosité dans le public et qu'en ce
qui concerne le lavoir, le succès de l'entreprise paraît assuré.
L'impression des visiteurs municipaux
est la suivante:
— La Ville de Cherbourg possède un
fort bel établissement ; un de ceux qu'une
ville est heureuse d'avoir à sa disposition. Quel que soit le sort de l'entreprise
d'exploitation telle qu'elle est prévue au
contrat, les Lavoir et Bains-Douches ue
la rue Asselin constituent une belle réalisation municipale. Elle n'a pas coûté un
sou à la ville, qui recevra de la société exploitante les ressources destinées à amortir la dépense. Voilà le problème tel qu'il
se pose.
M. Dassy, faisant allusion aux critiques
qui avaient été faites à propos ae l'adjudication des travaux de construction de
l'établissement, nous a fait remarquer que
l'industrie locale y a eu sa pr.rt, puisque
les entreprises Le Barbanchon et Bernadi pour la peinture, Blondel pour la
menuiserie, Hélaine et Picouenot pour la
serrurerie, Marie pour l'installation électrique, ont exécute le travail d'une façon
satisfaisante d'ailleurs, et conforme aux
bonnes traditions locales.
En ce qui concerne les fonds dont dispose la Société d'Entreprises municipales et qui lui ont permis de financer les
travaux de Cherbourg sans avoir reçu le
moindre acompte sur le montant du devis, M. Dassy a tenu à nous dire qu'ils
proviennent exclusivement des souscriptions des obligataires de la Société. U
n'est pas entré un sou qui provienne d'une
caisse quelconque d'assurances sociales
dans l'avoir de la Société d'Entreprises
municipales.
Notre impartialité nous oblige à consigner cette déclaration afin que nos
lecteurs puissent apprécier en connaissance de cause la question qui motiva ie
dernier débat du Conseil Municipal. Elle
n'enlève pas aux défenseurs de notre industrie locale la possibilité de revendiquer pour celle-ci une plus large part
dans l'exécution des travaux d'intérêt
municipal. Cette prétention est parfaitement naturelle dans un pays au particularisme très accusé et dans une ville
où les charges fiscales sont assurément
très lourdes pour les entreprises comme
d'ailleurs pour toutes les catégories de redevables.
***
Rappelons que de nombreuses vues du
nouvel établissement sont actuellement
exposées dans notre galerie.
ASSEMBLÉE GENERALE
DE LA BOULANGERIE
pour lui arroser le visage
d'eau bouillante
La manifestation de demain se déroulera-t-elle dans le calme ? Cette
question nous a été posée hier, à maintes reprises.
La réponse nous est fournie par les
organisateurs eux-mêmes, qui, -noas
ont remis le communiqué que voici i'":
Dans la soirée de samedi, vers 9 heures, une habitante de la rue du Port,
« Nous entendons, à Cherbourg, comme ail- Mme Ollivier, accourait au poste de poleurs, garder au mouvement son oaractère lice pour réclamer d'urgence le médeem
de puissance et de dignité.
Il se trouve, en effet, que ce sont les orga- d6 ssrv*ici3
— Une' femme du quai de Caligny
nisations syndicalistes qui, seules, apparaissent comme l'aile marchante de sauvegarde vient de jeter une casserc'ée d'eau bouilde- institutions républicaines.
lante au visage de son mari, disait Mme
Comment cette opinion républicaine pour- Ollivier.
rait-elle ne pas apDrouver ce geste imposant,
On appela M. le docteur Lannes et les
cet avertissement réfléchi de la C. G. T. ?
se rendirent s?? les lieux.
Lundi, les grévistes — ouvriers, fonction- agents
La scène s'est déroulée au n° 6 du
naires, employés et commerçants — se trouquai
de
Caligny, où résident les époux
veront rassemblés à 9 heures, à la Salle des
Fêtes pour participer au meeting de démons- Lemieux.
tration.
La femme, en proie à un accès de fuPuis, l'après-midi, les grévistes et leurs reur, accueillit très mr.1 le médecin.
familles rallieront à 14 heures cette même
Les agents l'ayant rappelée au calme,
salle pour assister à une partie-concert aue
elle leur dit tout net ce qui venait de se
nous préparons.
Après les gestes de barbarie des éléments passer:
— Mon mari me fait des scènes chade désordre responsables de tant de deuils,
l'affirmation imposante du sang-froid des que jour. Il me frappe. Alors, j'en ai astravailleurs de France puissamment organi- sez. J'ai profité de ce qu'il était couché
sés, sera unanimement appréciés dans ce pour lui renverser de l'eau chaude sur
pays.
tête ! »
Les Organisations prolétariennes». la Et
elle ajoute avec f -rce :
Enregistrons donc cet appel au cal— J'ai agi par vengeance et je ne reme, avec l'espoir qu'il sera entendu de
grette pas ce que j'ai fait. »
tous.
M. le le Dr Lannes eut quelque diffiLe communiqué qu'on vient de lire
culté à se rendre auprès de M. Lemieux
est le seul que Cherbourg-Eclair pu- qui, aveuglé par l'eau bouillante, gémisblie ce matin. Nous avons reçu hier,
sait dans son lit, le visage tout gonflé.
émanant de Syndicats de toutes nuanLe médecin jugea bon de faire transces, d'Associations d'Anciens Combatporter Je patient à l'Hôpital Pasteur.
tants, des appels fort différents, rédiM. Lemieux a beaucoup souffert de
gés parfois en termes violents. Nous - ses brûlures. Il n'a pu rouvrir les yeux.
avons estimé qu'à l'heure grave que
On espère toutefois que les paupières
nous traversons, la publication de tou- seules ont été atteinte .
tes ces communications aurait risqué
M. Gustave Lemieux, originaire de
d'exciter les passions. La lecture de ces Samt-Pierre-Eglise, est âgé de 35 ans. 11
exposés d'opinions différentes eût créé travaille sur les quais. Sa fâcheuse haune atmosphère orageuse, contraire bitude de boire provoque souvent de viod'ailleurs au désir nettement exprimé lentes scènes de ménage à son retour au
par les organisateurs de la journée de logis, où régne la misère. Les époux Ledemain.
mieux ont plusieurs enfants.
C'est pourquoi nous ne publions aujourd'hui, dans la rubrique «Sociétés
et Syndicats», que les convocations en
dehors de toute appréciation ou commentaire.
Nous sommes persuadés que les uns
comme les autres, partisans du mouvement cégétiste ou non, approuveront notre décision.
Une auto tamponne un cycliste
à Bolleville
LES ACCIDENTS
M LA CIRCULATION
et
UNION DES SYNDICATS OUVRIERS
Appel aux musiciens
Tous les musiciens, tambours et clairons
appartenant aux organisations ouvrières
sont invités à se trouver à la Salle des Fêtes de Cherbourg, munis de leurs instruments, lundi matin 12 février, à 9 heures.
Cette convocation s'adresse aux svndioués
de Cherbourg, Touriaville, Equeurdreville,
Hainneville et Octeville.
L'Union des Syndicats Confédérés
et Unitaires.
SYNDICAT
NATIONAL DES INSTITUTEURS
Le meeting organisé par l'Union Départementale des Syndicats et la Fédération des
Fonctionnaires, aura lieu aujourd'hui dimanche, à St-Lô. à 14 heures.
•
—
» an»
SYNDICAT UNITAIRE DES METAUX
Demain matin, tous au meeting, à 9 heures, salle des fêtes, suivi d'une grande manifestation. — LE SECRETAIRE.
• «
> CI»
UNION LOCALE UNITAIRE
L'Union Locale Unitaire de Cherbourg, en
accord avec L'Union des Syndicats Confédérés, appelle à l'action immédiate toute la
classe ouvrière cherbourgeoise. syndiqués
unitaires, confédérés, inorganisés, de toutes corporations. Lundi 12 lévrier, vous suivrez le mot d'ordre lancé par vos organisations syndicales.
Le Secrétaire : MAUGER.
'
—O-«-CB-
JEUNESSES SOCIALISTES (S. F. I. 0.)
Fédération de la Manche
Réunion de tous mercredi 14 janvier, à
8 h. 30, Maison du Peuple, rue du Faubourg
Pour le bureau: le secrétaire.
SYNDICAT UNITAIRE DU BATIMENT
CARRIÈRES ET TRAVAUX PUBLICS
Tous unis en un bloc compact, nous manifesterons lundi 12 février, en désertant les
chantiers, pour une contre-offensive puissante de la classe ouvrière. — Le Secrétaire.
CONFEDERATION GENERALE
DU TRAVAIL
Jeunes nommes ! Faysans ! Intellectuels
et Techniciens ! Travailleurs ! Pour manifester votre force et votre volonté, veus appliquerez unanimement, le Lundi 12 Février,
le mot d'ordre de grève générale de 24 heures proclamé par la C. G. T.
La Confédération Générale du Travail.
—p • B-—
C'est aujourd'hui oue le Svndicat de
la Boulangerie des arrondissements de
Cherbourg et Valognes tient à la Chambre de Commerce, son assemblée générale annuelle.
MM. Perrier, président du Syndicat
général de la boulangerie française :
Quoniam, président de la Chambre de
Commerce: Litre, président du Syndicat
de Cherbourg-Valognes, assisté de ses
collègues du bureau : MM. Carré d'Equeurdreville; Lemarié de Valognes:
Charlotte et Lesaché de Cherbourg et
diverses personnalités participeront à
cette réunion corporative que suivra un
banouet amical, servi par M. Paris, au
1er étage du Café du Grand Théâtre.
L'OR FRANÇAIS S'EN VA
A L'ETRANGER
L'évasion de nos réserves d'or s'accélère. Un envoi massif a été fait hier en
Amérique à destination de la Fédéral
Reserve Bank. C'est le paquebot allemand Euroia oui a mis ce chargement,
comprenant 341 caisses contenant 15.500
kilos de métal précieux. La valeur totale de l'envoi est de 230 millions de
francs environ.
Les expéditeurs sont la Banoue de
France et différents établissements de
crédit tels oue la Banque Lazare, la
Guaran.ty Trust, e t c . .
A elle seule, la banque Lazare en a
expédié 180 caisses.
L'ENTRÉE DU CIMETIÈRE
En mettant en vente dernièreir>»rit.
une partie du terrain communal situé
nrès du cimetière, la ville imposait à
l'acquéreur l'obligation de supprimer le
mur existant et de se clore rie telle façon oue le netit rond-on'rt oui se trouve
en face de la porte d'entrée de lf, nécronQle cberbnureeoise se trouve a T-r a ^ i .
H est nécessaire en effet de disnos;' *'nne certaine nlace pour permettre l'évolution des chars et autres véhicules.
Le travail est en borne voi" d'nchèvement. On a donné à la p i r t ' e du mur
de clôture oui fait face p l'entré» du
cimetière, laouel'e a été refaite entièrement et agrandie, une forme a.rronr"e.
on a déplacé l'urinoir et reculé les poteaux voisins de la vole ferrée dé la.
Marine.
De telle sorte cme cette enfrée du
Chamn de renos est maintenant r m u coun plus praticable et offres-un aspect
rîpllpmpnt s)m4Hnr£ •&
.
SECOURS ROUGE INTERNATIONAL
Les membres du Secours Rouge International de Cherbourg et de la banlieue doivent
assister à toutes les manifestations ouvrières
qui se déroulent et prendre une part effective
à la grève générale du lundi 12 février.
La Section Cherbourgeoise du Secours
Rouge International.
TRAVAILLEURS CHRETIENS
An travail
L'Union Syndicale des Travailleurs Chrétiens de la Manche invite tous ses adhérents, tous les ouvriers et employés de la
région, à se rendre, comme de coutume,
demain lundi, à leur travail.
Le Président : M. LEMESLE.
.
SYNDICAT DES LOCATAIRES
Un propriétaire d'un immeuble, rue Carnet, à Tourlavilîe, louait sa maison à trois
ménages différents, aux prix suivants: Kexde-chaussée. 3.000 francs; 1er étage, 3.30U
francs. 2e et mansardes. l.SO'J fr..
En ternes utile. !es locataiies se sent
adressés au Syndicat des Locataires, qui a
fait ramener le loyer aux orix ci-dessous:
Rez-de-chaussée. 1.200 fr.: 1er éiage, 1.200
fr.: 2e étage (mansardes). 737 ti.
Locataires, le secrétaire juridique du Svndicat des locataires peut défendre vos 'intérêts. Nous conservons toujours le couvert de la loi. qui est notre tactique: « ne
travailler oue légalement ».
Ncs iugements sont rendus par les tribunaux, aui ne peuvent ou'appliauer les lois
votées au Parlement par les groupes de tous
les partis, qui en ont unanimement reconnu
lo bien-fondé.
Permanence tous les .ieudis. ancien théâtre rie l'Aima, salin C... à partir, de 18 heures 30 — Le secrétaire iuridiaue.
•iiio » a »
•
ASSOCIATION DES ANCIENS ELEVES
E. T. 0.
La réunion de bureau prévue pour lundi
12 est reportée au lundi suivant.
LE PRESIDENT.
PATRONAGE LAÏQUE 1)0 ROULE
Bal du 17 février
Amis et membres honoraires du Patronage, n'oubliez pas oue le bal organisé par le
Comité du Patronage du Roule, a lieu le samedi 17 février.
Ne manquez oas d'amener av°c vous votre famille, vos amis, leunes danseurs et
danseuses, afin d'assurer le succès de cette
réunion fpmilia'e.
Nous danserons dans une magnifique
salle, spéeialenrnt aménagée pour le bal
aux sons du réputé orchestre « CanaryJazz ». — Le secrétaire.
E'étant rendu à Granville, M. Jacques
Hazac, négociant, rue Maréchal-Foch, débouchait en automobile, sur la route de
Valognes à Coutances, a Bolleville, lorsqu'il entra en collision avec un cycliste.
M. Joseph- Lelaidier, père de 7 enfants,
employé de laiterie, qui se rendait à son
travail.
Le blessé, grièvement atteint, fut transporté à l'hôpital Pasteur, où l'on a constaté qu'il avait reçu une forte commotion
et avait eu une jambe fracturée.
L'état de M. Lelaidier étant alarmant,
sa femme a été appelée à son chevet.
La gendarmerie de La Haye-du-Puits
a ouvert une enquête pour établir les
causes de cet accident, que M. Hazac impute à une imprudence de la victime.
ACCIBENMJ TRAVAIL
Chez M. Fichet, avenue François-Millet, Mlle Rouxelle fille de salle a fait une
chute dans l'escalier, se faisant des contusions à la jambe gauche.
En lavant des manches de pelles au
potassium à la caserne Le Marois. le manutentionnaire Eugène Allain. demeurant à
Querqueville, Vieille-Rue, s'est fait de multiples brûlures aux mains.
A l'atelier de coupe de la maison Mancel frères, rue du Faubourg, Mlle Georgette
Vauîtier, galochière. 68. rua Hélain, s'est
blessée à une main avec un poinçon.
En chargeant un chaland des Travaux
Publics de l'Ouc-st de briquettes, dans le
bassin du Ccmmerce, le manœuvre Charles Lepelletier, 17, rue Thomas-Henry, a été atteint à l'épaule gauche par une
briquette qui s'était détachée de la glissière,
lui occasionnant une forte contusion.
A l'atsl'er de M. Meslin. meubles, rue
Christine, l'ébéniste Jean Late. 12 rue
Carnot, à Tourlavilîe, s'est blessé à la main
gauche avec un ciseau.
En coupant de la viande, Mme Gosselin, 26, rue de la Polie, femme de ménage
chez M. Dubost. rue de la Duché, s'est fait
une profonde blessure à la main gauche.
A la maison Loir et Leooittevin, bois
du Nord, quai de l'Entrepôt, l'ouvrier Jules
Pinabel, 12. rue Président-Loubst, a fait une
chute sur le genou droit, s'occasionnant une
entorse et se faisant des contusions.
LE VOLEUR POURSUIT LE VOLÉ !
Vers minuit 30, les agents cyclistes
passant rue Louis-XVI, virent un colporteur algérien qui courait après un
marin de l'Etat.
Ils rejoignirent les deux hommes.
Le colporteur gémit :
— Le marin m'a volé ma marchandise : un paletot de cuir, un dessus de lit
et une carpette. »
Le col bleu a été conduit au poste.
C'est un matelot radio de l'aviation,
nommé René Henry.
L'Algérien. Ali Yebbans a été invité à
porter plainte.
« L'UNION » - ASSURANCES
INCENDIE - VIE - VOLS - ACCIDENTS.
Jean MACÉ, Place Divette CHERBOURG.
DANS LES ECOLES
Conformément aux instructions télégraphiques données par !e Ministre de
l'Education Nationale, M. l'Inspecteur
d'Académie de la Manche a fait savoir hier soir que les établissements
scolaires doivent demain rester ouverts.
• o » o»
BAINS-DOUCHES POPULAIRES
(8, rue Notre-Dame du Vœu)
AVIS
Pour cause de travaux de remplacement de la chaudière, l'établissement
des Bains-Douches Populaires du Bureau de Bienfaisance, sera fermé du 12
au 20 février 1934 inclus.
A propos J Cancer
«JTERVIEW D'UN MEDECIN
... Je m'étonne, nous dit le docteur Moret, de Paris, qu'après les travaux du professeur Delbet, et surtout après ies dernières statistiques sur la diminution du cancer dans les pays où la consommation au
sel alimentaire magnésien est habituelle
(Egypte), Je m'étonne, dls-Je. qu'on continue à utiliser en France, dans l'alimentation familiale, du sel la plupart du temps
pratiquement privé de magnésium. Il existe cependant en France, une société puissante. Bozel-Malétra, qui livre au commerce un sel de cuisine et de table d'orisrme
marine, riche en magnésium, au même prix
que le sel ordinaire !...
*
(Le Sel marin MALÊTRA se trouve en
vente dans tontes les bonnes maisons d'alimentation, en paquets de I kilo).
i»ll»fill'-'''-"^J^V'^«^^'^5^'»»'''»''«^---^V''''l''"'''''»«''''«"''',''"',"',,*,,l^
Un B I G O T
LE CALVADOS QUE L ' O N EXIGE...
5iViiià^iiiTiririïniii»iiiiiiniimniiÉmniiiin>iiKtnmiiinmimniii«n4M'S
LA MORT DE LA CULTIVATRICE
SURTAINVILLABE
M. Gary, juge d'instruction, a entendu
hier quelques témoins dont il désirait
connaître les déclarations au sujet de la
mort de Mme Hamel, la cultivatrice qui
est décédée à l'hôpital Pasteur, le 27
janvier dernier.
Les témoins entendus ont confirmé la
scène de violence à la suite de laquelle
Mme Hamel vint chercher du secours
chez une voisine. Elle é+ait alors couverte
d'ecchymoses au ventre et aux reins. Elle
ne mourut que six semaines plus tard.
D'après les déclarations recueillies, la
victime avait des habitudes d'intempérance et c'est parce qu'il la trouva dans
un état anormal que son mari s'emporta
et la frappa avec une brutalité coupable.
Les médecins n'ont pu encore déterminer si la mort de Mme Hamel fut la
résultante des coups que lui a portés
son mari.
ÉQUIPÉE DE COLS BLEUS
A Fierville-la-Campagne, (Calvados),
les gendarmes ont rencontre deux marins
inconnus auxquels ils ont demandé leurs
titres de permission. Ils durent avouer
qu'il n'en possédaient pas.
Ces deux jeunes gens : Donatien Guilet, 19 ans, et Hervé Ploé, 21 ans, du 1er
Dépôt des Equipages de la Flotte à Cherbourg, étaient sortis de prison le 25 janvier. Ploé eut l'idée de rendre visite à
son oncle, qui habite Fierville-la-Camnagne. Il invita son camarade Guilet et
ils quittèrent Cherbourg le 26 janvier.
Ils ont été arrêtés et reconduits à leur
corps.
—« i •»•
LES NORMANDS DE TOULON
A l'issue d'une conférence donnée récemment à Toulon par Mme Lucie Delarue-Mardrus, le docteur et Mme Regnault réunissaient autour de l'illustre
conférencière, les membres de l'Association des Normands de Toulon et du Var.
Des toasts furent portés à la petite
Patrie et aux amis absents. On formula
le voeu que de nouveaux membres viennent nombreux se joindre aux anciens,
lors du prochain banquet du printemps.
Mme Lucie Delarue-Mardrus était accompagnée de la cantatrice Mme Germaine de Castro et du violoncelliste Jacques Serres.
Noté parmi les invités : commandant
et Mme Farhner, colonel et Mme Fleury. M. Cuguën, artiste peintre et Mme
Guguen, M. Baude, e t c . .
POURCENTAGE MINIMUM DE BLÉS
INDEGENES STOCKÉS A METTRE
EN ŒUVRE PAR LES MEUNIERS
Un arrêté de M. le Ministre de l'Agriculture du 7 février 1934, publié au Journal
Officiel du même jeur, a suspendu, pour
les exploitants des moulina du département
<i.e la Manche, la faculté de se libérer, au
moyen de certificats B. L, de l'obligation de
mettre en oeuvre, le pourcentage minimum
de blé stocké fixé par l'article 1 du décret
du 23 janvier 1934.
g Aujourd'Jmi dimanche -
NÉCROLOGIE
Nous apprenons la mort de M. Julr;-r.
Galle, chef surveillant technique en te
traite, survenue vendredi, à .on domieiij,'
59, rue Asselin. Le regretté défunt, <rfi
après une rude vie de labeur^ joui';..';'
D
d un repos bien gagné, était âgé dr; ;';
ans. Il était le père de Mme Constat
Hébert,
chef
d'ateiier
de I'ECÏ,
Pratique de Jeunes Filles, de M. La Gaffi
et de Mme veuve Charles Blanguerno»
institutrice. Ses obsèques auront lieu g
main lundi, en la Basilique Sainte-TV.
nité.
En ce deuil cruel, nous prions M. a
Mme Constant Hébert, M. et Mme Efflfc
La Galle, Mme Blanguernon et la i{.
mille, d'agréer nos bien vives et bien sii
cères condoléances.
- p i e r r e Chs
fe V«
Un autre décès nous a pénibleir.
Goss
surpris, celui de M. Joseph Maufair -lbert
T o 9 Chat
propriétaire des « Petites Galeries ». r;
Albert-Mahieu. C'était une figure popu
feide Bobs
laire qui sera regrettée. M. Maufroid étai
âgé de 73 ans ; ses obsèques auront ha
^rcel jDiél
lundi à 15 heures.
•siré Scel.
Nous offrons à Mme Maufroid c. ;
la famille nos sincères condoléances. ^Berthe SP
|^nerçante
képhir Mai
àf r ue Alber
rfrimanuel
sTâontebou.
AU CHANTIER
A l'occasion de l'installation ci ;
lampe axiale au carrefour des ruelifred Bo:
l'Onglet, de l'Union, Grands-Vallée. E::
manuel-Liais et de l'Abbaye, M. le Mai jnt de comr
a annoncé que dans le but de iacï.:
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la circulation des véhicules, il avait !
réduire le trottoir en pan coupé.
jjHame Co;
Voilà une utile mesure qui sera v.
& « :
appréciée.
SVieur Cor
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S commerç
PORT DE COMMERCE
Ujii-.eur et ..
Le cargo « Granville » de la Cor. ;
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gne Havraise de Navigation est a: . iT&ûïUtrice
:
au port de Commerce.
K^-r.oiselle
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Prochainement, inauguration de la
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ELDORADO
Deux matinées : 14 h. et 17 heure*
Soirée
à 20 1
Robert LTNEN dans
LE PETIT ROI
— i ^ — — — — a i l'niiTrTTTir——» :
Cinéma Saint-Joser
11. rue des Ormes
DIMANCHE II FEVRIER
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à 4 heures. — Un film superbe :
PARTIR
d'après le roman de Roland DorseliSimone Cerdan. Jean Marchât. — y
scène de Maurice Tourneur.
Mickey marin, dessin sonore. —
Journal.
Location dimanche 11, à partir de .'
Prix des places : 4.50. 3.50. 2.50.
Spectacles L. GROUT -
J à 14 h. 45, 17 h. M 20 h. 45
le Central-Cinéma Pré..„t. Il
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Aujourd'hui dimanche
Théâtre Municipal
Le voyap en Chine
Opéra-bouffe en 3 actes
avec le baryton ZUCCA
Troupe d e 25 artistes
Trois attraction'
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La location est ouverte
Grande-Vallc
Se munir du Programme Officiel. ,
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repos de son
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henres.
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^présent
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POSTE PARISIEN
J(P F. G.. 12
12 h. 15 : Extraits de films: A moi le j '
à toi la nuit; La fille du régiment; Don C
chotte; L'amour en six jours, À 12 h. 50:
demi-heure de fantaisie, présentée ps'
chansonnier Paul Weil : Le Tango du •
sonnier (Lacchisi): Pour toi, pour moi, l •'
tous les deux (Borel-Clerc); J'hésite
renne-Eddv): Je n'oserai plus faire ça
renne); Cousin et Cousine (Christine)
Housard galant (Guttinger) : Cyran;
Bergerac (Rostand). Tirade des nez et
merci. A 13 h. 30 : Concert. A 19 h. 35:
ques. A 19 h. 45 : Concert. A 20 h. 10: T.
tre : Création en France des évocation
danse, pièce radiophonique de Mme
mania Zur Miihlen. Réalisation André
haut, avec le concours de Mmes J'
Press, Germaine Delbat. MM. Roger W<
Georges Chamarat, Maxime Fabert. A -'
Audition du film: Simone est comnv
avec Meg Lemonnier et Henri Garât.
Chœurs et orchestre
sous la direction
du maestro Xavier ROGÊ
To So F,
ECOUTEZ AUJOURD'HUI DIMANCHE
RADIO-PARIS
12 h.: Concert d'orgue, par Mme Bracquemond : Prélude en fugue (la mineur)
( J.-S. Bach) ; Fantaisie (César Franck) : Nativité (M. Dupré); Résurrection. A 12 h. 30:
Bilboquet fai; des conserves. A 12 h. 45: Disques: Bitter sweet (Coward); Songe d'amour
après le bal (Czibulka); Torna a Sorrienta
(Delusti); Monte-Cristo (Istvan Kotlar). A
13 h.: Orchestre Pascal: Danse norvégienne
n" 2 (Grieg); Mélodie (Rubinsteini; L'Auberge du Cheval-Blanc, valse (Benatzkv);
Hungario (LéonU; Pièce pour violon): Dans
le Sud (Myddletoni; Pourquoi quand te dis
je t'aime? iLesso Vallcrio); Le nouveau seigneur du village (Boieldieu): Pièce pour
piano; Menuet (Schubert): La lettre d'amour (StewarU; L'Etudiant païs; (Ibanez);
Elégie des Erinnyes (Massenstj; SéguediUas
(Albeniz); Wait (d'Hardelot) ; Sérénade n"
2 (Widor); Parade des soldats de bois (Jessel) ; Extrême-Orient < de la Presle) : Sérénade espagnole (Chaminade) ; Pavs du Soleil
(Scotto); Schœnbrun, suite de valses (Lanner). A 15 h.: L'heure variée pour les jeunes.
A 16 h.: Concert: Rosalie iMax Maurey): a)
La Maison normande (Desportes): b) Images (Desportes); c> Presque oui (Mireille) ;
Enlevez-moi. fantaisie enregistrée (GabarocheV La Dame de bronze et le Monsieur de
Cristal (Henri Duvernois): Scènes pittoresques, enregistrées (Massenet); a) Aimant la
rose (Rimskv-Korsakofn ; b) Pompéi (Pierre Revel), Mme Marie Simon; Ouverture
1812 (Tchaïkowsky). A 13 h.: Orchestre Gaston Hervé: Napolitana, one step (F. Combelle); Sing to me, fox-trot (E. Eliscu-arr.
F. Pearly) ; Dizzy danse, fox-trot (Mac
Knight); Le retour à la vie, valse (E. Chabas-arr. Avignon); Don Tancredo, paso doble (B. Hennion); Je t'ai donné mon cœur,
slow fox (Franz Lcnar-arr. Tom Waltham);
Jazz Holiday. fox-trot (Yvan Allouche) : Promenade à lExposition de 1900, fantaisie (F.
Salabert); Cointreau (R. Avignon): Nocturne en ré (ChoDin); Rondeau pour violon
(Mozart), M. Lucien Schwartz ; I want to
ring bells, fox-trot (Sicler): Bugle cail
blues, fox-trot (Mac Knight) ; Rumba-Rumba, rumba (R. Suelto): La Dubarry, fantaisie-sélection de l'opérette « La Dubarry »
(T. Mackeben) ; ShuSle off to Buffalo, foxtrot (A. Dubin). A 19 h.: Guignol: La fin du
monde (A. Crozière);' Intermède: Les jacasseries de Polichinelle (F. Bontemps), avec
Bilboquet et sa troune. A 20 h.: Musique légère: La Paloma (Yradier): Le soldat de
chocolat (Oscar Strauss); Vision de Salome
(Joyce): Clavelitos (Valverde); Douce tendresse (Paradis): Ma netite mandoline brune (Mayk); Al Fresco (Herbert); Vivons nos
rêves (Green-Saint-Granier). A 20 h. 45 :
Retransmission des c Bouffes-Parisiens » :
Le Bonheur, Mesdames (Francis de Croisset), couplets d'Albert Vlllemetz, sur des airs
de Christine.
.
TOUR ED?FEL
20 h.: Concert: La musique de Schumann:
Symphonie en si bémol, Le Noyer, par M.
vanni Marcoux, Chant du soir. La musique
variés: Zampa, sélection (Hérold); Sélection
sur des opérettes anciennes: Le Soldat de
chocolat (Strauss) : Le Pavs du Sourire (Lehar), fragments ; Radewski (Strauss).
FECAMP (Radio-Normandie)
12 h.: Radio-Concert. A 14 h.: Varié'.' •J
musique de danse. A 19 h. 30 : Séler '
d'opéras et d'opérettes: Rêve de vais.
Strauss); Otello (Verdi); La Tulipe :
(Richepin) ; La tendresse (Sylviano) ; L. '
gabond-roi (Friml); Les dragons de Vi.-=s
(Maillard); La fille de Madame Angot
cocq); La Veuve Joyeuse (Lehar): Le v. '
bond-roi (Friml). A 21 h.: Variétés.
NATIONAL (Daventry)
12 h. 30: Récital de chant, par Olive Graves, soprano: musique de M. Besly. A 13
Concert militaire: Marché héroïque, oiv" "
tre (Saint-Saëns); Les cavaliers de la KO
de, ouverture (Sulivan). R. Newell, bar. *
Une mélodie montagnarde, orchestre "•
Phillips); La Source, suite (Delibes); B••••
du Prince Igor (Borodine). A 14 h.: Dise)'-••
A 14 h. 40: L'art britannique, confc "•par M. Gleadowe. A 15 h.: Concert : orche."
tre: Lieux changeants (Ewing): Dans •'
vieux Grenade; Rêverie hawaïenne; D.v..- ::1
miroir chinois; A un mariage russe. G. Bo
wistle, contralto, dans: Quand tu chaii'g
sérénade (Gounod); L'Esclave (Laloi: 0»
voulez-vous aller? (Gounod); Orche.-' ;
Extase; Arlenuinade (Garnie): Sereno;
(Costa). J. Eutwistle, dans: La Sére:. '
(Tosti); Noble seigneur, salut (Myerbeer;
Orchestre: Suite des fleurs (Cowen). A 16 nRécital de piano, par Ivan Philipowskv: :•;"
pillons (Schumann); Variations sur un ' ;.'
me original (Glazounow). A 16 h. 30: S , ;
vice pour les enfants. A 17 h.: Récital a- :'
gue: Fugue en ré mineur (Bach): Méaso.
tion en fa dièse mineur (Guilmant): Cnot»f
n° 3 en la mineur (C. Franck): Prélude ;
fugue en soi mineur (Dupré). A 17 n. •>".•
Antoine et Cléôoatre, version abrégée nf :.
tragédie de Shakespeare, par Peter (-•'•
well. A 19 h. 30 : Récital de violoncelle.. W
G. Roth: 'Toccata (Frescobaldi): Ao«™
(Grazioli); Sicilienne (Fauré): Menuet l «
vel). En el tiempo de Chieba (A. Freser). »!
vace (F. Laloux). A 19 h. 55: Service TO
gieux de Saint-Martin in the Fields. A 20 £
45 : Appel pour la bonne cause de la «n • •
ne. A 21 h. 5 : * Le chemin du pèlerin '• %.
anthologie de poésies et musique. A 21 n- iï
Concert. Orchestre: Raymond, ouverture •,'
Thomas): Le Cvgne (Saint-Saëns): J^'L
ruiRton, dans un air d!Acis et Galatée ' n«L
del). Orchestre : Suite lyrique (Grieg). f',,.
nuet en ré nour cordas et cors (Mozart).. >"
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