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Etat-Civil iHMourg;
UN BEAU BAL TRAVESTI
EN PERSPECTIVE
C'est celui gùe donnera dans les coquets
NAISSANCE
salons de l'Hôtel de France l'active sociéGérard Godey. 46, rue du Val-de-Saire. té régionaliste les « Enfants du Val de la
PUBLICATIONS
Loire de la Sarthe et de la Mayenne ».
Jean Guéperou, quartier-maître de
De création récente, puisque fondée voimanœuvre au Centre d'Aviation Mariti- là une quinzaine de mois, cette société a
me de Cherbourg e t Germaine Blejean, fait preuve d'une belle vitalité et groupe
sans profession, domiciliée à Paramé, actuellement environ 120 membres, sans
boulevard Hébert, résidante à Bégard compter les très nombreux sympathisants
(Côtes-du-Nord).
qui suivent assidûment les manifestations
DECES
organisées chez les « Enfants de la LoiGeorges Verberckt, 1 jour, gendarme- re ».
rie Maritime. Enceinte Militaire.
Cette fois, c'est à un bal paré et masqué que les aimables animateurs qui di4< tU «|« i|« i|» «|» A* »|» * | ' « | * y »|« * | i «|« I | I i|> I | I *|« »
dirigent ce groupement convient, et leurs
Madame FORT née BELLOT;
membres et tous les sympathisants qui
Madame Veuve AUTISSrER. née FORT;
recevront dans un cadre a la fois familial et joyeux un accueil particulièrement
Monsieur l'Abbé FORT, curé de Sarcelles;
Monsieur PLED et Madame née AUTIS- cordial.
Donc, le 12 mars l'excellent orchestre
SIER;
« Miaou-Jazz » se dépensera comme d'haMonsieur et Madame Emest LEFEVRE;
Madame Veuve Jules LEVEEL, et ses en- bitude pour la plus grande joie des danseurs dont les travestis ajouteront u n
fants;
charme de plus à cette soirée. A l'entr'Monsieur Raymond LEVEEL;
acte, deux intermèdes viendront apporter
Monsieur Eugène ANTHOUARD;
une heureuse diversion.
Monsieur et Madame Paul ANTHOUARD,
Par ailleurs, un concours de travestis
et leur fille;
sera organisé. Il sera doté de très jolis
Monsieur et Madame Marcel BEZUEL, et leur prix qui seront chaudement disputés car
fille;
on nous signale que de nombreux traLes Parents et Amis;
vestis tous plus originaux les uns que les
Remercient oien sincèrement toutes les autres figureront au concours.
Bref, ceux qui répondront à l'appel des
personnes qui leur ont témoigné des marques
organisateurs n'auront pas à le regretter
de sympathie à l'occasion du décès de
car on s'amuse toujours beaucoup chez
les « Enfants du Val de la Loire Î c'est de
Monsieur Ernest-Eugène FORT
tradition.
P. F. G. 12. r. T.-Carrée. Cherbourg T. 3-27
La belle carrière du général Frech, La Raison contre Fait'
Commandant 8e Groupe de Subdivisions
de la Manche
frï
Ceaîérenee dn Professeur Gaston LEDUC
à la Chambre de Commerce
Le Général Frech qui vient de pren- sert au 2me Malgaches et reçoit la r o Un auditoire nombreux où l'on remar- Elle va à rencontre du cours naturel de:
ta Cho,
dre possession des fonctions d'adjoint au sette d'officier de la Légion d'Honneur.
quait les autorités locales et maintes no- ses. »
Gouverneur et Commandant des subdiIl est vrai que les progrès de la techn'qt
Il rallie la France en octobre 1921. tabilités du monde consulaire avait r é visions de la Manche en remplacement L'année suivante, il prend le commande- pondu hier à l'invitation de la Chambre conduisent, les nations modernes à l'utilisadu général Lemoigne n'est pas inconnu ment du 45me bataillon de chasseurs mi- de Commerce, organisatrice d'une confé- tion économique de certaines de leurs mal
à Cherbourg. Cet officier général a effec- trailleurs (création) et est nommé lieu- rence sur ce sujet très actuel — encore tières premières nationales ;'usqu'a.ors inu«"
tué plusieurs séjours en notre garnison tenant-colonel le 25 mars 1923.
qu'ayant été étudié voilà de longues an- lisables ou utilisées peur d'autres fabriqau cours de sa carrière de soldat et de
Le 45me bataillon devient en avril 1924 nées déjà — l'autarcie (d'autres disent : uons. Mais ces même:; progrès tendent ait'-"
colonial, qui fut, on va le voir, très bril- le 55me bataillon de chasseurs mitrail- l'autarchie).
à resseirer la solidarité économique entre ^
lante.
On remarquait dans l'assistance MM. peuples.
leurs indo-chinois qui sous le commanUne notice parue dans le « Journal des dement du lieutenant-colonel Frech le vice-amiral Rivet, préfet maritime;
M. l£duc ne pense pas que l'êvolut
Coloniaux» a retracé les diverses étapes participera aux opérations du Rif. En Léon Noël, maire de Cherbourg; Renault, normale mène à l'autarcie. Point ne se: n
de cette carrière :
juilet 1926 un ordre de la 2me division adjoint; le contrôleur général Boyer; M. besoin alors ce faire tant de propaggtm'j
Né le 19 Mars 1879 à Osthausen (Bas- de marche du Maroc signale qu'ayant Benoit, président du Tribunal de Com- en sa faveur, propagande peu efficace d'ail,
pris
au pied levé le commandement d'un merce; les membres du Bureau de la ieura. car on s'éloigne de l'autarcie pou:- ij.
Rhinj, élève de Saint-Cyr le 27 Octobre
1899, il en sort sous-lieutenant le 1er oc- groupe de toutes armes dirigé sur El- Chambre de Commerce, les présidents et chercher la collaboration entre nations.
tobre 1901 et est affecté au 1er régiment Azaïb, au contact des insoumis occupant membres des Syndicats industriels, comla Kelaa des Beni-Kassem, dès le lende- merciaux et agricoles, etc.
d'Infanterie coloniale à Cherbourg.
L'autarcie « monstrueuse »
Le conférencier, M. Gaston Leduc est
De 1903 à 1905, il sert en Indo-Cnine au main le lieutenant-colonel Frech a oc«
Conclusion
: OP. n'wt pas conduit r.h-uun
distingué
professeur
de
la
Faculté
de
cupé
par
une
manœuvre
habile
et
rapide
9e R. I. C. et au 2e Tonkinois. De retour
à l'autarcie, ii faut ia vouioi: uu
en France, il pai.se deux nouvelles années la position qu'il avait reçu l'ordre d'at- droit de l'Université de Caen qui a rem- rellement
bien,
comme
dans
certains pays, la :,U.J.I. [^
porté le premier grand prix national du
à Cherbourg où il conduit au succès les taquer par surprise.
t/ue le fruit d'une volonté purement poA son retour en France avec le 55me Concours de thèmes organisé par le co- n'est
équipes sportives du 1er Colonial. Le fulitique, qui est au premier chef anti-éconotur général est en effet un sportif fer- bataillon, le colonel Frech est l'objet mité National.
M. Quoniam président de la Chambre mique. »
vent. A ce titre la déférente estime des d'un ordre qui rend hommage aux préde
Commerce
a
présenté
à
l'assistance
le
Le conférencier nous montre ce qui ea.
amis du sport devenus si nombreux en cisux services rendus par cette unité,
notre ville depuis une trentaine d'années, qui s'est fait remtuquer par sa discipli- conférencier et indiqué dans Quelles con- tina,ue l'autarcie du protectionnisme qui tc;i.
ditions
M.
Gaston
Leduc
a
été
appelé
à
oue
le producteur national et comme c. iS
ne
ses
qualités
de
travail,
son
habileté
ne saurait manquer de lui être acquise.
à Cherbourg le suiet qu'il avaU Golbert, lui derme des béquilles et le met i
En 1907 le lieutenant Frech part pour dans l'organisation, sa belle tenue au traiter
magistralement
développé
à
Caen
devant
rnéme
de lutter à armes égaies avec la coale Congo e t obtient dans cette colonie feu dans plusieurs opérations à Aïn le comité régional bas-normand de Concurrence étrangère.
deux citations : l'une à l'ordre des trou- Aïcha, Taounat, au Djebel Messaoud, à seillers du Commerce extérieur.
Comment expliquer la volonté cfisoïe-ment
pes du Groupe de l'A. O. F. pour l'énergie, Bon-Redoud-Haddada, à Bon-Ouda.
des régimes autarciques, celte vie délicéte
En Avril 1927, il est nommé colonel
le sang-froid, la bravoure qu'il a maniau fond du gouffre '! Par ia volonté dle.c*.
M. Quoniam évoque le souvenir
festés au cours des opérations dirigées commandant le 14e régiment de tirailMonsieur GRUAU, Madame née PREVEL, et
pendar.ee vis-à-vis de l'étranger, volonté
contre les tribus rebelles des pays Baya- leurs sénégalais.
d'an précurseur
leur fille à Paris;
qui
impose à la nation ces sacrifice:. :.:.w
MESDAMES,
Appelé en 1930 à servir au Tonkin il
ka et Issogho (Gabon), puis a l'ordre de
Monsieur et Madame Henri PREVEL et leur
« Cest, je crois bien, dit le Président de la se p'.écocuper des compensations plausid s et
l'Armée pour ses brillants services au Ga- prend aorès l'affaire de Yen Bay le comFille, à Diélette;
Chambre
de
Commerce,
il
y
a
quelque
cinPOUR TOUT CE QUI CONCERNE
acceptables. Faute de se procurer les pic:. .;;
mandement du 9e régiment d'infanterie
bon et pour faits de guerre.'
Monsieur et Madame Pierre PREVEL, et leur
Sa campagne suivante l'appelle au Coloniale nu'il assure jusqu'au 25 Octo- quante ans que j'entendis pour la première de l'étranger en en arrive aux ersatz :;. ;.
fille à Ccteville;
VOS FOURRURES
fois
ce
mot
:
autarchie
—
car
on
ne
cLsait
qttës avec ies matières premières natio :a-:s.
Soudan puis au bataillon du Zinder. Il bre 1932. Ses efforts sont récompensés
Monsieur et Madame Jean PREVEL, et leur
Adressez-vous en toute confiance à :
conduit d'une façon distinguée une r e - par des témoignages de satisfaction des pas encore autarcie ! n n'était pas d'usage Par exemple, on refuee îo. laine si a'-.o.". •.
fille, à Equeurdreville;
connaissance dans la région des puits de plus élogieux (25 nov. 1931 et 2 février courant : il n'est pas encore dans le diction- clans le inonde, pour en fabriquer avec «lu
Monsieur Jean EXIGA. Madame, née PREnaire ! Sous ce titre un amiral philos-.plie. lait on fait du caoutchouc avec du charr.no
Termitt en 1912, ce qui lui vaut une cita- 1932).
Mlle P
VEL, et leur Fiis, à Saigon;
tion a l'ordre général.
L'ultime témoignage de satisfaction alors majer général à Cherbourg, publiait des et de la ch: ;
Monsieur AAIIOT, Madame née PREVEL, et
anticipations que l'événement, certes, n'a pas
-li. a ivre comme sou.'
Ses tirailleurs obtiennent la Médaille était ainsi conçu :
leurs enfants, à Equeurdreville;
toujours vérifiées : les propos d'un anarchis- deL'autarcie
coloniale. Rentré en France et promu Ca60, ROUTE DES PIEUX (AU FORT)
siège.
Eue
impose
aux populations 6>: ;r..
Monsieur et Madame Marcel PREVEL et
«
A
commandé
pendant
28
mois
le
9e
R.
te du contre-amiral REVulILLERE étaient vattons que ne justifie
pitaine (9 Septembre 1912) il permute
leurs enfants, à Avord;
pas l'état norma
pour partir au Maroc, est affecté au 2e I. C et a sans répit témoigné d'une fer- plutôt audacieux.
CHERBOURG
Monsieur et Madame René LEMASLE, et
choses.
bataillon sénégalais et participe à l'af- veur d'apôtre, donnant à tous l'exemple
J'ai
donc
voulu
contrôler
l'exactitude
de
leur- fils, à Equeurdreville;
C'est
à
la
logiaue
ries
choses crue M. !•-•
TRAVAIL SOIGNE, PRIX MODÉRÉ
faire du Dar-El-Hadjani (préliminaire à constant d'une énergie farouche et d'un oe très lointain souvenir. Quelques-uns de ces demande la condamnation de l'autarcie
Ses enfants et petits-enfante;
ardent amour du devoir. Profondément ouvrages sont conservés à la bibliothèque mula
marche
sur
Taza).
Madame Veuve VATTIER, ses enfants et peIl se peut qu'elle convienne a l'Alic:
à son Arme et à son régiment,
Rapatrié en France en juin 1914, la attaché
tits-enfants, à Paris;
gne. au Japon à l'Italie, mais ne peut '
soucieux du bien-être de ses soldats, ap- nicipale. J'y ai. relevé cette définition :
guerre survient alors qu'il se trouve en pliqué
Madame Veuve MOLLET, ses enfants et pel'affaire
des Français.
«
L'autarchie
est
la
faculté
de
se
gouverdévelopper, avec le plus vif esconvalescence. Abandonnant son congé, prit deà corps,
tits-enfants, à Becon-les-Bruyères ;
Elle limite arbitrairement la satisfe •
les connaissances profes- ner soit même, conformément à l'intérêt géil rejoint son Corps dès les premières sionnelles
Monsieur et Madame Henri GILLES et leurs
des besoins des hommes nui est le bu
des cadres et de la troupe, a néral; elle entraine donc l'idée de devoir.
A PROPOS DE MIDINETTE
heures des hostilités et est affecté au 34e fait du Se R.
entants, à Cherbourg;
I. C. l'un des plus beaux réLa Commune et la Nation doivent se gou- toute économie politique. Ele accroît le ô
régiment d'infanterie coloniale de mar- giments coloniaux.
Madame Veuve MARTEIL. à Le Havre;
Signé: Billotte. » verner eres-mêmes dans l'intérêt général, le îage entre ies biens et les besoins, ace
che, puis au 4e Régiment d'Inf. Coloniale
Monsieur et Madame GUEROUT, à Cherpremier de tous te intérêts étant le dévelop- la rareté ou accroît la somme d'effori
au cours des glorieux combats qui vont
bourg;
Nous avons publié la photo d'une belle
Après
quelques
mois.de
commandement pement de la personnalité humaine ». Ma:s si de dénenscs nécessaires pour atteindr
illustrer
le
Corps
d'armée
Colonial
pengénisse
de
4
dents
portant
le
nom
de
du 16e Régiment sénégalais à Montau- l'on sait qu'il en fit la dédicace à Yves Guyot résultat déterminé, engendrant ia c
Madame Veuve LACOTTE et ses enfants;
dant la retraite et la reprise de l'offensive ban,
le colonel Frech est envoyé en Indo- apôtre du libéralisme économique, on ne s'é- créant la misère par l'appauvrissement
Ses Prc-nes, Sœurs, Belles-Sœurs, Neveux, «Midinette», qui obtenait le premier
après la victoire de la Marne.
prix
de
sa
catégorie
et
le
championnat
Chine
(novembre 1934) et nommé géné- tennera pas de constater que la traduction ç!u néral.
et 2-îit.ces;
Le
2
mars
1915,,
le
général
commanTes Familles: GILLES. PREVEL, LACOT- des femelles au dernier concours-foire "de dant la 4e brigade coloniale lui adresse ral de brigade le 3 déc. 1934. Il est appelé mot auterchiane chez l'amiral Réveiller? est
Montsbourg.
à mettre sur pied et à commander la bri- tout à fait différente du sens qu'il a pris dans
Un système inapplicable à la Fran.TE. I/ECREST, RANSOUX, LEROY, REDans la légende, nous disions que ce des félicitations pour la mise en état de gade autonome d'Annam. Il la quitte le le
NC-UARD;
temps présent.
Que deviendrait une France autarcie
défense remarquable du moulin de Vir- 1er Avril 1937, accompagné par l'ordre
beau
spécimen
de
la
race
bovine
norman1-3S Parents et Amis;
giny.
Chez Réveillère, autarchie s'oppose à tu- Pour en donner une idée, le comérenci-.i
général n° 10 suivant, du général Biihrer
Remercient bien sincèrement toutes les de appartenait à l'élevage de M. Casimir
Les citations alors se succèdent rapi- commandant supérieur des Troupes de telle, n réprouve le protectionnisme conimc-r- court a une image. Supposons ia terre
personnes qui leur ont témoigné des marques Grout, à St-Vaast.
cial, car restreindre l'importation, affirme-t- raergée par les oei-.no. Seule la 1
M. François Leroy, l'excellent éleveur dement. Le général Frech est aujourd'hui l'Indo-Chine.
de sympathie à l'occasion du décès de
émerge, recuite à ses propres ressources
titulaire de la Croix de Guerre avec 4 palil c'est restreindre l'exportation.
de
Nacqueville,
nous
a
fait
remarquer
que
Madame Veuve Pierre PREVEL
Aurions-nous assez de enarbon ? c
Tl parle comme nous, mais se couvre d'un
cette génisse qui appartient bien à M. mes et 5 étoiles, pour les opérations me«Au moment où M. le général Frech
née Ernestine, Adélina GILLES
troie 1 de textiles>.de cuivre ? de r...
Casimir Grout, provient de son élevage. nées sur le front et 1 palme et 3 étoiles va quitter le commandement de la briga- titre que nous dénonçons.
Une messe huitaine sera célébrée pour le Elle est née chez lui et M. Leroy qui tient conquises sur les fronts du théâtre des de d'Annam. je suis heureux de rappeler
Aussi bien, il ne s'agit pas aujourd'hui de grasses ? Réponse négative. Nous ne
repos de son âme en l'église d'Equevrrdrevilie, avec soin ses livres généalogiques nous opérations extérieures.
le beau passé de cet officier général.
revendiquer les droits clu libre-échange, tels rions vivre aJtueliemsnt en l'absence t
leëla-rdi S mars 1338, à 7 heures 30.
Le
21
octobre
1915,
il
est
fait
Chevalier
fait connaître les origines de cette bêEn guerre, il s'est distingué dès le dé- qu'ils s'opposaient jadis aux exigences du pro- produits.
(P. Funéb. Gén, 12, r. T.-Carrée. Tél. 3-27)
Eien entendu, il en irait de mén..
te qui a du sang de Framboisier, taureau de la Légion d'Honneur avec la citation : but de sa carrière, notamment au Gabon tectionnisme. Les conditions de la vie éconoque les éleveurs du nord considèrent à
« Officier de troupe absolument hors de et au Soudan. Au cours de la campagne mique ont subi de tels changements qu'il n'est exportations qui ne sexolic.uent q.ie .
juste titre comme l'un des raceurs qui pair ; depuis le début de la guerre, s'est 1914-1918, puis au Maroc en 1925 il fut n'est plus possible, sans doute, de se couvrir néêeesiié de rendre pcssiclee, les impôt;.;'
Monsieur Jean OHEIX;
contribuent le plus à l'amélioration de la fait remarquer dans les combats par sa un remarquable entraîneur d'hommes et de la formule simpliste : laissez faire, laissez En passant, M. Leduc- attire l'attentu :
Madame Veuve CLIN à Brucheville;
race bovine, par les excellents produits crânerie et son allant. Vient de s'acqué- de nombreuses et magnifiques citations passer! Mais nous creyens qu'un pays ne peut ce fait que depuis deux ans, nous n'avu...
qu'il a laissés.
Madame MARTIN, et sa fille;
rir de nouveaux titres par son énergie, ont consacre son allant et sa bravoure lé- se suffire à lui-même et, comme on dit, vi- réduire le chiffre de nos importauoies. t
Las Familles : OHEDC. CLIN. MARTIN,
Nous donnons bien volontiers acte à M. sa bravoure au cours d'une attaque me- gendaires.
vre de sa propre substance, mais qu'il faut là un phénomène grave. Celles-ci se.:'
SICOT. SAULNIER, DENNEBOUY;
En paix, il fut toujours en France et chercher dans le déveiepperaent des échanges lastiques et indispensables à l'activlt,
Leroy de cette mise au point, qui prou- née par le régiment ».
pays. Nous n'accepterons de nous en ,
Outre-Mer un chef ardent, au moral éleve une fois de plus la qualité de l'élevage
Les Parente et Amis;
Les ordres de l'armée, du régiment, du vé, entièrement dévoué aux troupes colo- Internationaux la prospérité des activités pri- que quand nous ne pourrons plus les
Remercient bien sincèrement toutes les de la Hague.
vées et le bien-être pcpi'laire.
Corps d'armée colonial mentionnent son niales.
c'est-à-diie quand nous ne parviendroepersonnes qui leur ont témoigné des marques
allant, son mépris du danger au cours des
C'est dans ce but que le Comité National à contrebalancer nos importations paLE « SAINT-AMBROISE
A la tête de la brigade d'Annam depuis
de sympathie à l'occasion du décès de
progressions de .son unité, son dévoue- janvier
exnortations.
des
Conseillers
du
Commerce
Extérieur
qui,
1935, il n'a cessé de manifester
leur eher et regretté Mareel OHEIX
ment, ses belles qualités militaires dé- ces belles
qualités et de donner à tous sous la présidence de M. Ricard, ancien miLe retour à la France du bassin met
Le cargo t Saint-Ambroise » de la So- ployées au cours d'épisodes glorieux.
nistre, accomplit sa miseion avec une activité piaue lorrain a fait de nous des expo:
l'exemple
constant du Devoir.
Une messe huitaine sera célébrée pour le ciété Navale de l'Ouest, représentée en
Le 12 août 1916, blessé par éclat d'obus
renouvelée, a mis au concours ce sujet de brû- de" produits sidérurgiques et de fabil
Je
remercie
le
général
de
brigade
repos de son âme en la Basilique Sainte-Tri- notre port par M. Emile Postel. est arrivé au menton il refuse de quitter son comFrech de sa collaboration et je lai adres- lante actualité : la Raison contre l'Autarcie. mécaniques, de produits chimiques aussi. 1.
d'Algérie avec un important chargement mandement.
nité le Mercredi 9 Mars, à S henres.
se mes vœux les plus cordiaux de bon M. Leduc, professeur à la Faculté de Droit de cela permet de payer nos importations
de
fûts
de
vin.
P. F. G. 12, r. T.-Carrée, Cherbourg. T. 3-27
Affecté avec son régiment au Corps retour dans la Métropole ». Hanoï le 16 njniversité de Caen a été classé le premier ouue.
il est des produits de qualité, des
H a accosté hier après-midi an Quai de expéditionnaire d'Orient il est cité à l'or- mars
dans ce tournoi intellectuel auquel ont pris çhandises de luxe clan: le raffinement
1937. Le gl. Biihrer ».
France.
dre du Corps d'Armée pour son activité,
part 150 concurrents. Du moins 160 mémoi- l'apanage des qualités innées de notre
son dévouement de tous les instants au
Le général Frech est titulaire des croix res ont été retenus qui ont fait l'objet d'un
en peut dire autant des produits c^ :
cours des reconnaissances hardies, des de guerre de France et des T. O. E, de la sérieux examen par un jury composé des plus Cii
de nos vins, de nos ee.ux-de-vie. ci
attaques, sous les feux violents d'artille- cravate de commandeur de l'Anjouan des éminentes personnalités appartenant au corps scil.
fiomages
qui ne se sauveront que pa:
******************************
rie et de mitrailleuses.
Comores et de l'Etoile Noire du Bénin, de professoral de l'Université de Paris et de nos licateese de leur saveur et le perfeeti
ENTREPRISE
DE
PEINTURE
Le
6
juillet
1917,
il
est
promu
chef
de
*
la
Médaille
Coloniale
avec
agrafes,
Congo
nient de leurs qualités.
SAGE-FEMME (LAURÉATE)
grandes Ecoles spécialisées.
bataillon. Le 28 avril 1918 une nouvelle A. E. F.. A. O. F. Maroc et l'agrafe verET VITRERIE
(MEDATXF D'OR)
Peur toutes ces raisons, l'autarcie e.<
Vous entendrez tout à l'heure M. Leduc et
citation rend hommage à son abnégation meil « Maroc 1925 ». Il est titulaire de la
Etablissements £, LE BARBANCHON !
Consultations tous les jours, de S h. à 4 h.
et à l'esprit de sacrifice de cet officier Médaille d'argent des épidémies, de la vous comprendrez comment sa thèse, si bril- nose-ibie en France. Ce repliement systi
tique
de l'éccnomie nationale sur c-iie-m
«* H. BERNADI
*
« aussi admir-able soldat que chef remar- Croix du Combattant Volontaire., de la lamment exposée, et maintenue sur le plan
AUTO
(Téléphone 4-10)
des grandes idées générales, devait emporter aurait rie-, conséquences aussi graves
quable
».
Médaille
des
blessés.
Il
est
grand
officier
PREND DES PENSIONNAIRES
le premier prix. Tout de suite elle fut distin- notre situation intérieure que pour no n
Blessé à la tête le 31 mai 1918 en con- de l'ordre du Dragon de l'Annam.
On demande de bons ouvriers fleïnsitior: sut l'échiquier international, h - •
Vaccination - Piqûres
tribuant par son indomptable énergie à
* tres. — Se présenter 32, j u e dn ComAu terme d'une carrière coloniale de guée entre tant d'autres où le sujet traité de lices
qu'elle exigerait se répartiraient :.•
* merce, à S heures ou à 13 h. 30.
bureau de Bienfaisance
enrayer l'avance allemande il est cité plus de 30 années coupée par 3 années de façons diverses et toujours originales n'a pas
gaiement
entre les diverses catégorie s
avec
son
bataillon
à
l'ordre
de
l'Armée
manqué
d'inspirer
à
leurs
auteurs
de
pertigrande
cuerre
en
France
et
à
l'armée
Infirmière diplômée d'Etat
******************************
pout avoir « tenu tête à plusieurs atta- d'Orient, le général Frech revient à Cher- nentes réflexions, voire même des su^estiens toyens, d'où la perspective de troubles
dans un pays soucieux d'équité,
35, RUE GRANDE-VALLÊE, CHERBOURG
ques allemandes avec une énergie farou- bourg au retour de l'Indo-Chine.
d'ordre pratique. C'est ainsi qu'un jeune con- rieurs
nisation de groupements organisés r
che».
C'est avec joie que nous saluons le re- trôleur des douanes, en service au port de conquête rie l'Etat, dépeçage de l'or?:
E a féraier 1919, il passe ehrl*tme batour en notre garnison de ce grand sol- Dankerque, M. Marcel Schmid'.in, a été classe politique du paye. Or. déjà, le malaise
taillon d e tirailleurs sénégalais au 6me dat qui a été l'un des artisans du déve- troisième avec un remarquable mémoire où ia qui
sur la France est dû à ce
d'infanterie coloBtel où il exerce pen- loppement» de la plus grande France et techniqne de sa profession sert d'armature à grandpèse
juriste a appelé « le voi de l'E.e
dant quelques mois les fonctions de m a c'est de tout cœur qçe nous offrons au gé- son étude.
les
organismes
secondaires ».
jor.
néral Frech nos respectueux souhaits de
Je ne voudrais pas retarder, Mesdames,
« Comment voulez-vous, demande "
bienvenue.
En 1930 S. part pour Madagascar où 11
Messieurs, le plaisir que vous aurez à écou- duc, qu'un pays fonctionne dans ces •
ter M. le Professeur Leduc. Mais je ne sau- fions, s'il n'y a personne pour dire la
rais
dissimuler que notre Chambre de Com- un gouvernement est faible en prés.:,.
la plus belle couleur : M. Paul Giffard, de
LE CONCOURS DE TAUREAUX
merce,
sans s'associer officiellement à une groupements particuliers organisés et
Cretteville ;
Médaille au propriétaire du taureau ayant doctrine qui ne saurait satisfaire tous ses sants et n'ayant pour but que la conque
DE LA HAYE-DU-PUITS
les meilleures originas laitières : M. Si- commettants, ne peut que souhaiter l'aesou- l'Etat pour son utilisation à des fins pe
plissement et l'élargis-ement des relaticns éco- lières ?
Dans le gros bourg de La Haye-du-Puits mon, de Vmdefontaine.
nomiques internationales. Chambre de Comoù léguait comme tous les jours de marché
Pas de fonctionnement possible déVenais
merce maritime elle ne peut oublier qu'elle a telles conditions : l'autarcie nous cenc
la plus vive animation, le concours de tau1er
prix,
100
fr,
M.
Pinee,
de
Saist-Symcharge
des
intérêts
de
son
port
et,
puisque
reaux
et
de
verrais
qu'organise
chaque
année
donc à ries troubles sociaux et Doutiq;:
HARRY BÂUR * ALBERT PRÉJEAN
nous sommes dans ce Cotentin qui vit naine des troubles financiers et monétaires
le Comice, tenait ses assises dons une vaste phoiiân-le-Valois ;
2. 75 fr, M. Lecordier, de Mobecq ;
l'abbé de Saint-Pierre, ne pouvons-nous en- Elle mettrait délibérément un terme à '
enceinte
dressée
par
les
soins
de
la
bienveildons
core nous référer à ses Rêveries d'un homme les espérances des porteurs français à
lante municipalité.
3. 50 fr, M. Simon, à Vindefontaine.
de bien parce nue. remarquait-!], c toutes les leurs mobilières étrangères. Le tcurisnit :
Le centre d'élevage de La Haye-du-Puits
Le banquet
bien que moins fertile que son. riche voisin
Le traditionnel banquet se tenait, cette sortes de manufactures et de denrées entrent ternational se trouverait fort compromis
oelui de Sainte-Mère-Eglise, possède cepen- fois-ci, au restaurant Comec. Dire que le dans le commerce maritime, scit comme mar- Français ne pourraient plus voyage:
dant un excellent cheptel.
menu fut délectable serait chose superflue, chandises de transport, soit comme marchan- l'étranger.
La qualité du bétail est due surtout à des quand on saura que M. Comec fut plusieurs dises de consommation ». C'est toujours vrai.
Enfin, facteur rie cherté, l'autarcie éleveurs réputés comme le regretté M. Fran- années le chef cuisinier de l'Hôtel ChapeL
Mais c'est surtout comme port d'escale que verait le mal rie la dénatalité.
çois Noël, de Coigny qui n'ont pas hésité à de Saint-Lô, où tous les fins gourmets se Cherbourg doit être pris en considération
faire de gros sacrifices pour introduire dans la donnent rendez-vous.
lorsqu'il s'agit du commerce extérieur. N'est-i!
contrée des taureaax de grand choix. Ces reM. Delauney présidait ces agapes, ayant pas un organisme essentiels dans la circuproducteurs ont fait souche et maintenant autour de lui M. Dauvin, président du Co- lation des voyageurs et par conséquent des
jusque dans les moindires exploitations on mice, les membres du bureau, ceux du jury capitaux ? Et n'est-ce pas le lieu de rappeà seoir ce « cJLitiiatnt »
trouve des animaux bien racés. Aussi nous et quelques lauréate.
ler l'influence sur notre balance des comptes
n'avons pas été étonnés de trouver mercredi
Favorisée par une température prlntanière de t cette exportation invisible qui en est
Il
faut
conclure.
Le coniereneler mon:
sur le concoure un bon ensemble de reproducla Foire des Cendres groupait environ 250 bo- l'heureuse conséquence ».
paradoxe au monde moderne qui fait ••
teurs composé de 4 taureaux avec dents et vins. Cette réunion qu'une sage Municipalité
... H convient de souligner l'art et la vérité avec lesquels dans «Monedouzaine de jeunes sans dents, qui essaye de rasidre plus importante en encoura.
M. Quoniam a terminé en r-emerciant ter les moyens ue production ic-s pli
nard», Siodmak a rendu les «nuits de Shangaï>, lourdes de combinaisons TC d'une
fectionnés, les poscieJités matérielle•• •••
étaient départagés avec compétence par un géant les vendeurs par la distribution de pri- les autorités et l'assistance.
surprenantes et ies plus paralysantes
douteuses, d'agressions, de cris d'agonie et de meurtres silencieux.
M jury particulièrement qualifié composé de
mes, avait attiré une nombreuse demande.
merce
international, il juge insensé a
Hary BAUR, en Mollenard, a peut-être trouvé son plus grand rôle depuis m MM. Auguste Lanichec, maire de RawvrileL'épisootie aphteuse dans les départements
La Conférence du Professeur Leduc
Ue certams a'admettre que le manu.. • David Golder.
£ ? te-Pfctce; Alfïed Guy, de Périers et Edouard voisins est en régression marquée et les éleprospérité
a l'intérieur ae chaque , •
Lepourry, de Samteny.
Si le professeur Leduc a transporté
veurs se hâtent maintenant de combler les
Allez voir «MOLLENARD» au cinéma Omnia. Ce film ne vous fera pas &
Les opérations qui étaieat dirigées par M. vides faits par la maladie. D'autre part, voici hors des murs de l'Université le thème Un problème international.
regretter de productions étrangères. — La Liberté, Raoul d'Ast, 30-1-38.
S 3 Dauvin, l'aimable président du Comice et par venir f'époque où les emboueheure vont se d'une des leçons qu'il professe avec tant
L'autarcie, le repliement du pays .<-• i ... Ce film est bien fait, fl retient l'attention du public, il vous coupe le « S les dévoués membres du Bureau, furent sut- garnir, aussi les besoins sont importante, mal- de pertinente autorité, c'est qu'il est par- sur lui-même est une expérience poliucue
se paie très cher. La Fiance, en l'état de souffle par instant, et l'interprétation dans son ensemble est excellente.
& vies avec un vit intérêt par une foule nom- gré la tendance moyenne du marché de la tisan de la collaboration des hommes de économie,
ne pout courir cette aventure. »
breuse d'éleveurs de la région; le temps était viande.
pensée pure avec les hommes d'action :
„
I * Jour, René Bizet, 31-1-38. ¥t d'aiHei'.is
structure
de notre économie est- haive.::•• --idéal et un gai soleil printanisr
dire on trouvait peu de bonnes bêtes il la juge nécessaire pour éviter le mal Nous sommes
un pays approximawee
... Une « tranche de vie * vigoureuse.
g » lustrait lec sôâuifiaBtes couleurs des concur- si»A vrai
la foire de La Haye-du-Puits, là aussi, de la trahison des clercs. En passant, il
Le sentiment de ia liberté r.o-.Les Heures de Paris, Paul Nivolx, 1-2. jj£ rents.
les ansnauK de qualité sont achetés dans les prend spirituellement la défense des pro- équilibre.
Aussitôt après le concours les éleveurs se di- élevages. Dans l'ensemble les transactions ont fesseurs d'économie politique. Il se dé- cher et les solutions dictatoriales e; •
-~~~«& rigeaient
ners l-"Hôtel de Ville ou dans la été actives et les cours bien tenus.
fend de planer dans le domaine strato- tairas nous répugnent. Nous voulons un,
grande salle fraîchement restaurée, M. Delausphérique de la théorie et tient à serrer lution qui soit digne de notre pays, de
Les bêtes à cornes
virtualités naturelles et humaines et qui
ney, conseUer général et Maire de La Hayede près les réalités.
On trouvait peu d'&mouillantes sur la foiconforme à notre tempérament. Cette ec-:
du-Puits proclamait les résultats, non sans
re
des
Cendres.
Si,
quelques
génisses
à
leur
tien ce n'est pas l'autarcie qui peut nova
avoir au préalable, remercié les membres du
Qa'eet-ce que l'autarcie ?
premier
veau
et
des
jeunes
bêtes
assez
Ken
dennor. »
Jury qui s'étaient si bien acquittés de leur
« (Test une vue de l'esprit, une doctrine
tâche délicate, félicité les lauréats et adres- mamelées trouvèrent preneurs au-dessus de
Et s'adressant aux chefs de i'astww
sé ses sentiments de reconnaissance à tous les 3.000 francs; les prix variaient ordinairement avant d'être un fait. (Nous pouvons dire que
dans
les
vaches
ayant
un
peu
d'âge
ainsi
que
oe
n'est pes encore un fait). C'est une vo- étrangère, il dit :
étereurs qui avaient présenté des animaux,
« Libre à vous, totalitaires, de revenir a
assurant ainsi la réussite complète de cette dans les génisses moyennes qui formaient le lonté politique, un désir qui essaie de se réaUN FILM EN COULEURS, PROCÉDÉ OPTIQUE
gros de oette catégorie entre 2.600 et 2.900 fr. liser sur le plan économique ; c'est, si l'on culte des faux dieux, de réveiller lacer..;:"
telle manifestation.
la pièce. Quelques vieilles amouillantes ou veut, une volonté de t totalitarisme ». C'est des vieilles idoles, en particuiier c.-.-e 'des animaux de qualité inférieure ont coûte une volonté d'isolement d'un pays et d'isole- l'Etat, de préférer les canons au beuire, '•
Le Palmarès
moins
cher.
ment systématique, au point de vue écono- revenir à ia mentalité des populations P1'^
Taureaux de 4 dénis
Dans les herbagères, même remarque que mique ; c'est la volonté bien arrêtée du pays mitives épouvantées par leurs tabous ei '-'•
1er prix, 225 fr„ M. Paul Sadot, de Prétot. dans
les amouillantes au point de vue de la de se suffire à lui-même au point de vue éco- rois sorciers. Hais pour nous qui voulons •<
Taoreaux de 2 dents
qualité, aussi le taux de 4 fr. la livre à venir nomique, et par conséquent de se barricader Paix, qui sommes respectueux de la per-01
1er prix, 200 fr» M Michel Delaune, à Ap- n'a
été
atteint ou dépassé que par un petit d'une façon complète pour empêcher toutes nalité humaine, qui nous scmir.es saigt
peville ;
nombre de vaches. On traitait ordinairement relations économiques avec l'extérieur. »
blanc pour la cause rie la liberté, je dis ">
2. 108 fr„ M. Pierre Atfanat, à Denneville. ; entre 3.50 et 3.75 la livre à venir et ces cours
Des exemples d'autarcie ? Une ville en pour rien au monde nous n'accepterons c-••
g
FERNAND GRAVEY, SSGNCRET, ALERME
Taureaux sans dents
s'adressaient à des bêtes ayant un peu d'âge. État de sftge. La Russie des Soviets.
solution
qui est contraire à notre Pays. P-;»^
ler'prix, 209 fr., M. Paul Lhomme, de La Des herbagères maigreuses ou vieiHes se marg*
dans
SE
L'autarcie est une tendance. C'est un re- qu'elle répugnp à sa nature intime. P"r'
chandèrent depuis 3 fr. et parfois à moins.
Haye-du-PBtei ;
mède BISE maux de l'économie ; remède pré- qu'elle méconnaît nos intérêts et que n'
Transactions suivies dans les génissons où conisé par les Allemands qui prônèrent par toutes nos fautes passées, nous n'av
lia»
2. 150 fr, M. Jouault, d'Appevîlle ;
les
veaux
de
10
à
12
mois
furent
vendus
suiS. 109 fr, M. Héonor Simon, de Vindefonla voix de Rchte, précurseur d'Hitler. La failli au point de mériter un semblable en
vant l'avenir entre 100 et 120 fr. le mois d'âge. volonté d'isolement économique de la Na- riment. »
taine ;
re.
génisses de 18 à 20 mois furent marquées tion. L'Allemagne, l'Italie, le Japon, la Rus4. 75 fr, M. Paul Giffard, de Cretteville ; Des
Puissamment intéressée par ce
entre 1.800 et 2.200 fr. la pièce. A noter égale- sie, ont recouru à l'autarcie. Elles y ont été
marquable exposé, l'assistance tcH-- ,•'•,.
5. 50 fr, M. Léon Roulland, de Canville ; ment un petit taureau de 10 mois qui trouva
poussées par les conséquences de la guerre et tière à longuement acclame le c o r n e r
&
et à la demande générale
&
6. 40 fr., M. Victor Desprès, de Saint-Sau- preneur pour 1.600 fr.
par la crise — et aussi par ce que le con- cier dont l'argumentation a p a r u j ^
veur-de-Pierrepont ;
férencier appelle un < nationalisme hysté- que et convaincante auelle que !?;si»i
Les montons et les porcs
7. 30 fr, M. Louis Jean, de Baudreville ;
Peu de moutons, quelques gerces furent rique » développé dans différents pays d'une difficulté où l'on se trouve de conti" •
8. 25 fr, M. Paul Auvray, de Mobecq ;
façon extravagante. Toutes causes qui ne sont
marquées par les expéditeurs autour de 3 fr. la pos normetes. « L'autarcie est une espèce en bloc les résultats des expériences."
0. 20 fr, M. Joseph Eve, de Montgardon.
taiciqaes tentées et poursuivies >>
Médaille au propriétaire du taureau ayant livre à venir. Commerce actif dans les jeunes de monstre, une déviation anormale des exiI persevéraooe àsfta le monde a i i P 1 ^
la meilleure tête : M. Jouault, d'AppevUle.
porcelete.cjai.
se
gjggtgjjagj;
,de,
jgj.,
^-jtfjr..
la
i -, Médaille a a propriétaire du .toîreaui cayant
jgagygBahjtefr ^JÊmHimkmÊBÊekéi^gB^^»^^
'rrr-.i'
******«!•*******•**+
HYENE
î
Allez tous DEMAIN
Voir au
merveilleux Film
I
Haine Corsaire
P
p.
s
I
La Marche du Temps N° 12 I
Î1EI1E IPEALE
fJAl'KlalDOF^EK)
| Le Grand Refrain I
MARINELLA avec JinoRossiU
i