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Chapitre 3 : L’aide à la décision
L’aide à la décision
Sommaire du chapitre
1. Les trois visions théoriques de la décision
2. Les outils d’aide à la décision
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Chapitre 3 : L’aide à la décision
LES TROIS VISIONS THEORIQUES DE LA
DECISION
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Le modèle « intelligence-modélisation-choix
» (IMC : H. Simon)
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La rationalité limitée dans la phase
« Problem solving »
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Les conséquences du modèle IMC sur le
plan de l’information
L’existence de contraintes de temps
L’existence de contraintes de coût
Les formes variables de traitement de
l’information : algorithmiques heuristiques
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Décision programmable et décision non
programmable
Les décisions programmables sont fortement
structurées, elles peuvent être traduites par un
programme informatique qui en exécutera
l’algorithme
Les décisions non programmables sont des
décisions faiblement structurées, pour
lesquelles on ne dispose pas de modèle
stabilisé ni de règle de choix invariante.
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Figure 3.2. L’aide à la décision selon les
étapes du processus de décision
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les principaux types de solutions utilisées
pour la prise de décision
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Les théories critiques de la décision:
la rationalité sociale
Pour des auteurs comme Mintzberg et al. (2001), Languey (1995), le
modèle IMC souffre de trois limites importantes.
Réification
Déshumanisation
Isolation
Le processus d’utilisation de l’information est, par ailleurs, soumis à de
nombreux biais.Hammond (1998) en a proposé un recensement :
Biais de l’ancrage
Biais du statu quo
Biais du coût du changement
Biais de la confirmation
Biais du cadre
Biais de la prévision
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Figure 3.3. L’organisation construit de sens
(Le Moigne, 1996)
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Figure 3.4. Une caractérisation des événements
auxquels le gestionnaire est confronté
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Figure 3.5. La décision d’intervenir ou non sur les
événements méritant l’attention du gestionnaire
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Figure 3.6. L’activité de recherche d’un mode
d’intervention et ses résultats possibles
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Le modèle du « sens making » dans la
décision collective (K. Weick, 1995)
la conscience collective dépend de cinq
variables :
Une propension à s’occuper des erreurs
Une réticence à simplifier les interprétations
Une sensibilité accrue au contexte
opérationnel
Un engagement pour la résilience
La sous-spécification des structures
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Figure 3.7. K. Weick : l’action précède la
modélisation
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Figure 3.8. Un exemple de carte cognitive
(Pearson et al.)
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Figure 3.9. Un exemple de carte de consensus
minimum (Rodhain et Reix)
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OUTILS D'AIDE A LA DECISION
INDIVIDUELLE
Pour l’essentiel, le domaine de l’informatique
décisionnelle correspond aujourd’hui aux
SIAD, systèmes interactifs d'aide à la décision,
basés sur les tableaux de bord et les entrepôts
de données.Quant à l'intelligence artificielle
son objectif principal est de développer des
logiciels permettant à des machines d’assurer
des fonctions normalement attribuées à
l’intelligence humaine.
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Figure 3.10. Structure type d’un SIAD
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Quatre grandes fonctions dans un SIAD conversationnel
Sélection, Représentation, Résultat + Dialogue
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Les besoins de contrôle des niveaux
supérieurs : le reporting
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Figure 3.11. Exemple de drill down
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Figure 3.12. Exemple de structure d’un EIS
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Figure 3.13. Système de data warehouse
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Figure 3.14. Structure d’un système expert
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Figure 3.15. Principe de fonctionnement
d’un système expert
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Figure 3.16. Schéma du neurone artificiel
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Figure 3.17. Exemple de réseau
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Principe de fonctionnement d’un système
virtuel
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Figure 3.18. Facteurs influant sur la relation entre
utilisation du SAD et performance décisionnelle
(adapté de Todd et Benbasat)
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