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Transcript QI - Chenelière Éducation
L’intelligence
© 2009 Chenelière Éducation Inc. - Conception et réalisation : Guy PARENT et Pierre CLOUTIER
Chapitre 7
L’INTELLIGENCE
7.1 L’INTELLIGENCE EN TANT QU’APTITUDE
MESURABLE PAR DES TESTS
7.2 L’INTELLIGENCE EN TANT QU’ENSEMBLE ÉLARGI
DE CAPACITÉS
7.3 L’INTELLIGENCE DU POINT DE VUE
DÉVELOPPEMENTAL
7.4 L’INTELLIGENCE DU POINT DE VUE
PSYCHOBIOLOGIQUE
7.5 LES DÉTERMINANTS DE L’INTELLIGENCE
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7.1
L’INTELLIGENCE EN TANT QU’APTITUDE
MESURABLE PAR DES TESTS
7.1.1 L’arrivée des tests de QI
7.1.2 La distribution du QI dans la
population
7.1.3 Les caractéristiques d’un bon test
7.1.4 Les tests individuels et les tests
collectifs
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7.1.1 L’arrivée des tests de QI
L’âge mental évalué par le test de Binet et Simon
De l’âge mental à la notion de quotient
intellectuel (QI)
Le QI de déviation
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L’âge mental évalué par le test de Binet et Simon
Binet a le mandat du gouvernement de
dépister les enfants ayant des problèmes
scolaires
Avec Simon (un médecin), il met au point
l’échelle métrique de l’intelligence qui..
consiste à dresser une série d’épreuves de difficulté
croissante pour les enfants de 3 à 13 ans
permet d’établir l’âge mental (niveau de performance
intellectuel défini pour un âge donné)
L’âge mental est mis en rapport avec l’âge chronologique
(âge réel) de l’enfant
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De l’âge mental à la notion de quotient intellectuel (QI)
En 1916, Terman, de l’université de Stanford, adapte le test de
Binet-Simon, ce qui donne l’échelle d’intelligence de StanfordBinet, un des tests les plus utilisés
Caractéristiques principales du test
Nombre de questions plus élevé
Portée des questions plus grande permettant d’appliquer le test
aux jeunes adultes
Résultat exprimé par le quotient intellectuel (QI) selon la formule
suivante :
Exemple :
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Le QI de déviation
Weschler...
critique l’utilisation de l’âge mental pour calculer le QI chez les
adultes
construit un test avec plus de questions de tous les niveaux de
difficulté
propose de comparer le score obtenu par un individu au score
moyen du groupe d’âge auquel il appartient
QI de déviation ou score pondéré alors calculé comme suit :
Exemple :
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7.1.2 La distribution du QI dans la population
La déficience
La douance
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La déficience
Environ 2,5 % de la population
Caractérise le niveau intellectuel des individus dont le
QI est inférieur à 70
Établissement de différents degrés => servir de guide
pour déterminer dans quelle mesure il faut aider
Les principales causes
Trisomie 21
Conditions intra-utérines (maladies de la mère, tabagisme,
toxicomanie, mauvaise alimentation, etc.)
Facteurs environnementaux (mauvaise alimentation,
manque de stimulations, etc.)
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La douance
Environ 2,5 % de la population
Caractérise le niveau intellectuel des individus dont le
QI est supérieur à 130
Différents degrés, dont la surdouance (QI > 140)
Principaux traits caractérisant les doués
Avoir commencé à parler et à lire en bas âge
Être curieux et stimulé par les problèmes
Être créatif
Être sociable et bien adapté
Être sensible aux autres
Être doté d’un bon sens de l’humour
Être moins atteint par la maladie mentale
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7.1.3 Les caractéristiques d’un bon test
Être valide
Le test mesure bien ce qu’il est censé mesurer
Pas toujours facile à établir
Être fidèle
Le test donne la même mesure à chaque passation
Avoir été standardisé et normalisé
La standardisation
Prévoir les mêmes directives et les mêmes conditions
Prévoir les mêmes critères de correction
La normalisation
Faire en sorte que les résultats d’un test obtenus auprès d’un
échantillon représentatif de la population se distribuent selon la
courbe normale
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7.1.4 Les tests individuels et les tests collectifs
Quelques tests individuels
Quelques tests collectifs
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Quelques tests individuels
L’échelle d’intelligence de Stanford-Binet : longtemps un des tests les
+ utilisés
Le Weschler Adult Intelligence Scale (WAIS) et le Weschler
Intelligence Scale for Children (WISC)
Le Barbeau-Pinard
Adaptation du WISC effectuée en 1951
Longtemps le test le + utilisé au Québec
Le WAIS-III : actuellement l’un des tests
très utilisés au Québec
L’Épreuve individuelle d’habileté mentale
(EIHM) : mise au point par Chevrier en
1989
Le test d’aptitudes informatisé (TAI) :
élaboré par Pépin et Loranger entre 1994
et 1996
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Quelques tests collectifs
Le Test national d’intelligence
Mis au point à l’époque de la Première Guerre mondiale par
un groupe dirigé par Yerkes pour permettre à l’armée
américaine de sélectionner les meilleurs individus
Publié en 1919 et utilisé par les écoles, les universités et les
sociétés d’affaires
Le Otis-Ottawa : un des + utilisés au Québec
Le Scholastic Aptitude Test (SAT) ou le Graduate Record
Examination (GRE) : test que doit passer toute personne
qui désire s’inscrire au premier cycle dans une université
américaine
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7.2
L’INTELLIGENCE EN TANT QU’ENSEMBLE
ÉLARGI DE CAPACITÉS
7.2.1 La théorie des intelligences multiples
de Gardner
7.2.2 La théorie triarchique de Sternberg
7.2.3 L’approche hiérarchique
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7.2.1 La théorie des intelligences multiples de
Gardner
Met l’accent sur l’existence de
formes multiples d’intelligences
S’inspire d’études de cas
Définit 9 formes
d’intelligences
A suscité l’apparition d’écoles
spécialisées
Écoles Fernand-Séguin
Écoles de musique
École nationale de l’humour
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7.2.2 La théorie triarchique de Sternberg
Pour Sternberg, le comportement intelligent
comporte 3 aspects
L’intelligence analytique qui consiste à arriver à la
résolution de problèmes en...
décortiquant le problème
reliant ses composantes aux connaissances acquises
découvrant les liens logiques sous-jacents
L’intelligence créative qui consiste à faire preuve de
créativité et d’intuition devant un problème
L’intelligence pratique à la base du sens commun qui
permet de bien s’adapter aux exigences de
l’environnement physique et social du quotidien
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7.2.3 L’approche hiérarchique
Spearman (1927) suggère un modèle composé d’un facteur g
et de différents facteurs spécifiques
Carroll (1993) arrive à définir plus de 70 habiletés différentes
Selon Neisser et al. (1996), cette conception est largement
acceptée actuellement
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7.3
L’INTELLIGENCE DU POINT DE VUE
DÉVELOPPEMENTAL
7.3.1 Le modèle de Piaget
7.3.2 Les autres modèles développementaux
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7.3.1 Le modèle de Piaget
Le concept de schème
Trois mécanismes de base de l’adaptation :
l’assimilation, l’accommodation et l’équilibration
Un développement en quatre stades
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Le concept de schème
Pour Piaget : schème = action fondamentale de la
connaissance (actions physiques et mentales)
Pour Bee (2008) : schème = structure cognitive interne
fournissant à l’individu une procédure à suivre dans une
circonstance donnée
L’enfant posséderait à sa naissance des schèmes
fondamentaux de nature réflexe qui vont se modifier au
contact de l’environnement
Il semble y avoir des schèmes sensoriels, des schèmes
moteurs et des schèmes mentaux
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Trois mécanismes de base de l’adaptation :
l’assimilation, l’accommodation et l’équilibration
L’assimilation
Mécanisme consistant à intégrer les nouveaux éléments d’information ou
expériences aux schèmes déjà existants
Exemple : le cégépien qui se donne un horaire d’étude semblable à celui qu’il
avait au secondaire
L’accommodation
Mécanisme consistant à modifier un schème existant afin de pouvoir y
intégrer une nouvelle information
Exemple : le cégépien qui réorganise son horaire parce que les conditions ne
sont plus les mêmes qu’au secondaire
L’équilibration
Mécanisme d’autorégulation de
l’assimilation et de l’accommodation
Entraîne la réorganisation des structures
cognitives => le processus d’adaptation
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Un développement en quatre stades
Le stade sensorimoteur
Le stade préopératoire
Le stade opératoire concret
Le stade opératoire formel
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Le stade sensorimoteur
De la naissance aux environs de 18 à 24 mois
Caractérisé par une prise de connaissance de l’environnement
essentiellement basée sur l’action et les impressions
sensorielles
Constitue le départ de la capacité d’adaptation : concernant
les réflexes de succion et de la préhension, l’enfant va
apprendre à s’adapter selon la situation
Vers 9 mois, l’enfant va développer
la permanence de l’objet, c.-à-d. la
notion qu’un objet continue
d’exister même s’il n’est plus
présent dans son champ perceptif
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Le stade préopératoire (1 de 2)
De 18-24 mois jusqu’à 5 ou 6 ans
Caractérisé par l’apparition de la pensée symbolique, capacité
de se représenter un objet ou un concept par un symbole
Parmi les phénomènes représentatifs, on retrouve
l’égocentrisme intellectuel et l’animisme
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Le stade préopératoire (2 de 2)
L’enfant est incapable de se représenter un autre point
de vue que le sien
L’enfant ne peut considérer qu’un seul aspect ou une seule
dimension à la fois => centration
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Le stade opératoire concret
S’étend d’environ 7 à 12 ans
Caractérisé par l’apparition de la réversibilité appliquée à des
situations concrètes
Acquisition de la conservation...
des liquides, vers 6 ou 7 ans
de la substance, vers 7 ou 8 ans
du poids, vers 9 ou 10 ans
du volume, vers 11 ou 12 ans
Acquisition de la sériation : ordonner des éléments selon une
dimension donnée
Acquisition de la classification : répartir des objets dans
plusieurs classes
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Le stade opératoire formel
Vers l’âge de 12 ans jusqu’à l’âge adulte
Caractérisé par la capacité de raisonner de façon hypothéticodéductive : tirer une conclusion à partir de situations hypothétiques
non directement représentées
Deux modes principaux
Induction : inférer, à partir de cas
particuliers, une règle générale
Déduction : inférer, à partir d’une
règle générale, des conclusions
portant sur des cas particuliers
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7.3.2 Les autres modèles développementaux
Les différentes approches néopiagétiennes
L’approche socioculturelle de l’intelligence
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Les différentes approches néopiagétiennes
Des critiques à l’endroit du modèle piagétien
Certains concepts seraient acquis plus tôt
L’écart entre l’acquisition des sous-stades varie beaucoup
L’ordre d’acquisition des sous-stades ne serait pas le même pour tous
Le stade formel ne serait pas le dernier stade
La théorie des opérateurs constructifs de Pascual-Leone
Le modèle de Robbie Case
Le développement des différents stades cognitifs s’expliquerait par une
augmentation de la capacité d’attention mentale
C’est l’automatisation des opérations de base dans les différents
domaines qui permettrait de réussir d’autres tâches
Autres modèles
Le structuralisme « expérientiel » de Demetriou
La théorie des skills de Fisher
Les modèles mentaux d’Halford
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L’approche socioculturelle de l’intelligence
Mise de l’avant, entre autres, par Vygotsky
Idées principales
Développement de l’intelligence intimement lié au
contexte social (plus particulièrement sur le plan
culturel)
Importance de la participation active de l’enfant à
son développement cognitif à travers ses
interventions sociales
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7.4
L’INTELLIGENCE DU POINT DE VUE
PSYCHOBIOLOGIQUE
7.4.1 Les caractéristiques anatomiques
7.4.2 Les caractéristiques physiologiques
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7.4.1 Les caractéristiques anatomiques
Pas de lien entre la grosseur du cerveau et l’intelligence...
en termes absolus
Ex. : cerveau de l’homme < celui de l’éléphant
en termes relatifs
Ex. : cerveau de l’homme proportionnellement < celui de
l’écureuil
Dispositions intellectuelles déterminées par...
le nombre de...
la qualité des...
la facilité à faire de nouvelles...
connexions neuronales
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7.4.2 Les caractéristiques physiologiques
On essaie d’établir un lien entre l’activité électrique du
cerveau et le niveau d’intelligence mesuré par le QI
Exemple : y a-t-il un lien entre des différences de QI et des différences
quant au temps de réaction ou à la forme des tracés observés ?
L’intelligence semble être fonction de la transmission rapide
et précise de l’information à travers le SNC
En général, interprétation difficile !
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7.5
LES DÉTERMINANTS DE L’INTELLIGENCE
7.5.1 La génétique
7.5.2 L’environnement
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7.5.1 La génétique
Les variations entre les individus
Les variations entre les sexes
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Les variations entre les individus (1 de 2)
Rosenzweig (1969) rapporte une étude faite par Tryon sur des
rats de laboratoire
Lors de l’apprentissage d’un
labyrinthe, il utilise la méthode
de l’accouplement sélectif
entre rats brillants et entre rats
lents
Il remarque une nette
différence entre les
performances d’une
descendance par rapport à
l’autre
Cependant, difficile de
généraliser à des tâches
cognitives + complexes ou à
l’humain
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Les variations entre les individus (2 de 2)
En 1981, Bouchard et McGue font une étude corrélationnelle
entre la similitude génétique d’individus et le QI
Le degré de ressemblance du QI est d’autant + élevé que le lien
de parenté génétique est + grand
Il faut alors parler d’héritabilité pour désigner la part
attribuable aux facteurs génétiques
Note : L’héritabilité peut varier selon l’âge
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Les variations entre les sexes
Globalement, il ne semble pas y avoir de différence en
ce qui a trait au QI
Par rapport à certaines habiletés, on observe des
différences précises
Les hommes réussissent mieux en moyenne dans des
tâches visuo-spatiales et en mathématique
Les femmes réussissent mieux en moyenne dans des
tâches de nature verbale (génération de synonymes,
expression verbale et écrite, lecture et épellation)
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7.5.2 L’environnement
L’environnement
Le milieu où se développe l’organisme dès sa
conception, c’est-à-dire
tout ce qui n’est pas les gènes hérités des parents
L’environnement intra-utérin
Les facteurs périnataux
L’environnement postnatal
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L’environnement intra-utérin
Certains facteurs peuvent entraîner des
problèmes sur le développement du fœtus
La prise d’alcool
L’abus de nicotine et de psychotropes
Une mauvaise alimentation
Certaines maladies comme la rubéole
Les facteurs périnataux
Certaines complications survenant lors de l’accouchement
peuvent entraîner un retard intellectuel
L’anoxie (manque d’oxygénation du cerveau)
Des pressions indues sur les parties du crâne (utilisation de
forceps)
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L’environnement postnatal
Les variables physiques
La malnutrition
Certaines toxines comme le plomb
Les variables culturelles, sociales et psychologiques
Influence du niveau de stimulation
Expérience de Cooper et Zubek avec des rats élevés en milieu enrichi
ou appauvri : labyrinthe appris + rapidement par les rats élevés en
milieu enrichi
Influence des stéréotypes sexuels
Expérience de Dar-Nimrod et Heine avec 135 femmes ayant passé un
test de mathématique
Scores des femmes
à qui l’on a dit
qu’elles étaient
moins bonnes
en raison de
facteurs génétiques
<
Scores des femmes
à qui l’on a dit
qu’elles étaient
moins bonnes
à cause du mode
d’enseignement
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<
Scores des femmes
à qui l’on n’a rien dit
de spécial
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