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Transcript pp correction dm n 1

DM Correction N°1
A partir des RB suivants (plans potentiels),
retrouver le sujet avec MIU. Réécrire QA et RB.
Par la prise de mesures macroéconomiques mais aussi microéconomiques, il sera possible de lutter
efficacement contre le chômage
La phrase peut devenir :
En prenant des mesures macro, en prenant des mesures
micro, il est possible de lutter contre le chômage
C’est de la forme : En + ….ent
QA = Comment peut-on efficacement lutter contre le
chômage ?
Donc, le MIU va être « Comment »
RB = Par la prise de mesures macroéconomiques mais
aussi microéconomiques, il sera possible de lutter
efficacement contre le chômage
Vouloir renouer avec la croissance pour lutter contre le chômage est certes
nécessaire cependant ces mesures ne seront pas suffisantes.
On remarque la présence de « cependant » + idée nuancée
QA = En quoi renouer avec la croissance pour
lutter contre le chômage est-il nécessaire ?
RB = Vouloir renouer avec la croissance pour
lutter contre le chômage est certes nécessaire
cependant ces mesures ne seront pas suffisantes.
Donc, le MIU sera « en quoi »
Le libre échange semble s’imposer au
XIXème mais les périodes protectionnistes
restent importantes.
Le MIU correspond sera donc « dans quelle mesure »
On remarque la présence d’un « mais » d’opposition faisant de la
réponse une réponse thèse/antithèse
QA = Dans quelle mesure le libre échange semble-t-il s’imposer au
XIXème siècle ?
RB = Le libre échange semble s’imposer au XIXème mais les
périodes protectionnistes restent importantes.
Les effets internes et externes nocifs qu’elle génère sur l’économie obligent les
gouvernements dans les années 1970 à lutter contre l’inflation.
Donc le MIU sera « Pourquoi »
On présente les causes à l’origine
de la mesure prise.
QA = Pourquoi lutter contre l’inflation ?
RB = (pcq) les effets internes et externes nocifs qu’elle
génère obligent les gouvernements dans les années 1970 à
lutter contre l’inflation
Le rôle de l’Etat depuis le XIXème
Ainsi libellé, le sujet suggère que l’on décrive un phénomène, de
voir comment ou de quelle manière, le phénomène évolue.
Donc le MIU sera « Comment » ou
« de quelle manière »
QA = Comment (ou de quelle manière) le rôle de l’Etat a-t-il évolué ?
RB = D’un rôle d’ état-gendarme, il est passé à un rôle d’Etat-Providence
Aux sujets proposés, adjoindre le(s) MIU qui convient (nent).
Justifier votre choix.
Le XIXème siècle, âge d’or du libéralisme ?
On remarque un « ? » Donc la réponse peut-être double :
-Soit une réponse nuancée Thèse + Nuance => utilisation de « en quoi »
- soit une réponse discutée dc Thèse/antithèse dc le MIU sera
« dans quelle mesure »
On peut éventuellement utiliser le « Faut-il » ?
La lutte contre l’inflation
Il s’agit d’étudier un phénomène, savoir « comment » on s’y prend
pour lutter -ici- contre l’inflation ou « pourquoi » il faut lutter contre l’inflation.
Or : comment + pourquoi = de quelle manière
(3ème MIU possible)
De plus, on peut se demander si on peut ou doit lutter contre l’inflation
D’où le MIU suivant : « Faut-il » (4ème MIU possible)
Le rôle de l’Etat depuis le milieu du XIXème siècle
Ainsi libellé, le sujet suggère que l’on décrive un phénomène, de
voir comment ou de quelle manière, le phénomène évolue.
Donc les MIU possible peuvent être
« comment » ou « de quelle manière »
Ouverture des économies et croissance.
On remarque le petit mot « et ».
Le sujet est de la forme A et B.
A => B ; B => A
Il y a interactions entre les deux éléments.
Le MIU sera donc « En quoi »
QA = En quoi l’ouverture des économies
influence-t-elle la croissance ?
RB = L’ouverture des économies influence
la croissance cependant la croissance
influence aussi l’ouverture des économies
Le XIXème siècle, âge d’or du libéralisme.
Ainsi libellé, il s’agit d’une affirmation.
Elle ne peut être discutée.
Il faut rechercher « comment » ou
« pourquoi » et donc « de quelle manière »
le XIXème siècle a-t-il pu être « âge d’or »
Analyser les conséquences
d’une politique déflationniste.
On peut en déduire que la politique déflationniste génère des effets
sur l’économie, qu’elle a une influence donc
on peut utiliser les MIU «comment» ou « de quelle manière » une
politique déflationniste peut-elle influencer une économie ?
Sont-ce des enjeux ? Pourquoi ?
La bourse est-elle devenue un « casino » ?
On peut répondre par OUI (c’est un casino = spéculation)
Existe-t-il des Pays en voie de développement ?
Il est évident qu’il en existe donc
Il n’y a pas de débat
Donc pas d’enjeu.
Pour d’autres, NON : c’est un lieu de financement de
l’économie
Il y a dc débat = dc c’est un enjeu
Comment l’Etat doit-il utiliser l’arme monétaire ?
Doit-on réguler les marchés financiers ?
On demande d’exposer un phénomène (pas le discuter)
Donc ce n’est pas un enjeu
On peut répondre par OUI (c’est un casino = spéculation)
Pour d’autres, NON : (libéraux)
Il y a donc débats donc c’est un enjeu
L’économie est-elle une science ?
Pour certains, elle l’est ; pour d’autres NON
Il y a débat
Dc c’est un enjeu
Réécrire
l’introduction en
mettant les
paragraphes dans le
bon ordre et en
respectant les
« trois
phases équilibrées»
puis retrouver le
sujet proposé.
Si les économies préindustrielles demeurent fondamentalement protectionnistes -fruit de
l'empreinte mercantiliste- la révolution industrielle va, au contraire, abandonner
progressivement ces thèses pour leur préférer celles prônées par les auteurs libéraux et par
voie de conséquence s'adonner au libre-échange, la Grande-Bretagne en étant la figure de
proue.
La conjonction d'une triple révolution (RA, RI, RD) entamée au XVIIIème siècle dans
l'ensemble des pays occidentaux va permettre l'avènement du capitalisme en tant que régime
et système. Décrié par les uns, Marx, qui voient en lui "l'exploitation de la classe ouvrière", il
demeure pour les autres la supériorité des occidentaux" (Brainville).
Avec l’existence d’un marché intérieur préalable, le commerce semble avoir influencé -de
manière déterminante ou non- le développement cependant, il demeure avant tout un miroir
du développement choisi.
Le commerce peut donc avoir contribué au développement des pays européens, tout
comme il peut être le fruit de ce même développement. Cependant, paradoxe étrange, si le
libre-échange doit permettre croissance et développement et le protectionnisme leur
ralentissement, les faits au XIXème siècle ne semblent pas corroborer la théorie.
Ainsi, entre 1850 et 1914, (le XIXème siècle économique), le développement économique
en Europe, entendu comme étant "la combinaison des changements mentaux et sociaux d'une
population qui la rendent apte à faire croître, cumulativement et durablement, son produit réel
global" (F.Perroux) semble s'opérer parallèlement à l'essor du commerce, c'est-à-dire à
l'échange de marchandises, tant au niveau national qu'international.
Cette supériorité va notamment se manifester par le biais du commerce et de son
développement.
La nature du lien existant entre les deux phénomènes laisse ainsi supposer une relation
réciproque qui sera ou non vérifiée ou pour l’ensemble des pays de la première (GrandeBretagne, France, Etats-Unis) et de la deuxième vague (Allemagne, Italie, Russie, Japon) ou
pour quelques-uns seulement, invalidant ainsi la pré-supposée interrelation.
De même toute croissance ne conduit pas forcément au développement. Le libre-échange
n’apparaît donc pas forcément comme un jeu à somme positive pour tous les acteurs de
l’époque, mais n’est peut-être que le simple reflet –et la seule volonté- de l’hégémonie exercée
par les puissances dominantes.
Méthode d’organisation :
Stratégie :
Je prends chaque petit paragraphe
Je repère les indications données
Je place la paragraphe dans une des trois phases
Je repère les paragraphes où il y aurait un cadre
temporel, des définitions,un cadre spatial, l’intérêt
Ainsi, entre 1850 et 1914, (le XIXème siècle économique), le développement
économique en Europe, entendu comme étant "la combinaison des changements
mentaux et sociaux d'une population qui la rendent apte à faire croître,
cumulativement et durablement, son produit réel global" (F.Perroux) semble s'opérer
J’en déduis que
parallèlement à l'essor du commerce, c'est-à-dire à l'échange de marchandises, tant au
ce paragraphe
niveau national qu'international.
appartient à la
phase 2
La nature du lien existant entre les deux phénomènes laisse ainsi supposer une
relation réciproque qui sera ou non vérifiée ou pour l’ensemble des pays de la
première (Grande-Bretagne, France, Etats-Unis) et de la deuxième vague
(Allemagne, Italie, Russie, Japon) ou pour quelques-uns seulement, invalidant ainsi
la pré-supposée interrelation.
Je repère les mots-clés définis :
développement et commerce
Je note également l’expression :
« semble s’opérer parallèlement »
Cela introduit les notions de :
Relation et de nuance.
Je peux en déduire l’utilisation du MIU :
« En quoi »
Et donc un plan où il y aurait :
Thèse + cependant
J’en déduis que
ce paragraphe
appartient à la
phase 2
Je remarque également
que cette phase fait
entre 10 et 11 lignes et
j’en déduis que les deux
autres seront de même
« grandeur » (mon intro
doit être équilibrée)
Pas
d’opposition
Pas
d’opposition
Pas
d’opposition
mais une
nuance
Opposition
d’idées
Pas
d’opposition
Si les économies préindustrielles demeurent fondamentalement protectionnistes -fruit de
l'empreinte mercantiliste- la révolution industrielle va, au contraire, abandonner
progressivement ces thèses pour leur préférer celles prônées par les auteurs libéraux et par
voie de conséquence s'adonner au libre-échange, la Grande-Bretagne en étant la figure de
proue.
La conjonction d'une triple révolution (RA, RI, RD) entamée au XVIIIème siècle dans
l'ensemble des pays occidentaux va permettre l'avènement du capitalisme en tant que régime
et système. Décrié par les uns, Marx, qui voient en lui "l'exploitation de la classe ouvrière", il
demeure pour les autres la supériorité des occidentaux" (Brainville).
Je vais
maintenant
tenter
Avec l’existence d’un marché
intérieur
préalable,
le commerce semble avoir influencé -de
de
repérer
les
paragraphes
manière déterminante ou non- le développement cependant, il demeure avant tout un miroir
suggérant des débats, des
du développement choisi.
idées
opposées
:
Le commerce peut donc avoir
contribué
au développement
des pays européens, tout
comme il peut être le fruit de ce même développement. Cependant, paradoxe étrange, si le
s’agira des
enjeux.
libre-échange doit permettre Il
croissance
et développement
et le protectionnisme leur
ralentissement, les faits au XIXème siècle ne semblent pas corroborer la théorie.
Ils (le
constitueront
maéconomique),
phase 3 le développement économique
Ainsi, entre 1850 et 1914,
XIXème siècle
en Europe, entendu comme étant "la combinaison des changements mentaux et sociaux d'une
population qui la rendent apte à faire croître, cumulativement et durablement, son produit réel
global" (F.Perroux) semble s'opérer parallèlement à l'essor du commerce, c'est-à-dire à
l'échange de marchandises, tant au niveau national qu'international.
Cette supériorité va notamment se manifester par le biais du commerce et de son
développement.
La nature du lien existant entre les deux phénomènes laisse ainsi supposer une relation
réciproque qui sera ou non vérifiée ou pour l’ensemble des pays de la première (GrandeBretagne, France, Etats-Unis) et de la deuxième vague (Allemagne, Italie, Russie, Japon) ou
pour quelques-uns seulement, invalidant ainsi la pré-supposée interrelation.
De même toute croissance ne conduit pas forcément au développement. Le libre-échange
n’apparaît donc pas forcément comme un jeu à somme positive pour tous les acteurs de
l’époque, mais n’est peut-être que le simple reflet –et la seule volonté- de l’hégémonie exercée
par les puissances dominantes.
Opposition
d’idées
Je place mes
paragraphes dans cet
ordre car « de
même » est un
connecteur (mot de
liaison)
Dans cette
phase 3, il me
manque la
présentation du
plan !
Le commerce peut donc avoir contribué au développement des pays
européens, tout comme il peut être le fruit de ce même développement. Cependant,
paradoxe étrange, si le libre-échange doit permettre croissance et développement et
le protectionnisme leur ralentissement, les faits au XIXème siècle ne semblent pas
corroborer la théorie.
De même toute croissance ne conduit pas forcément au développement. Le
libre-échange n’apparaît donc pas forcément comme un jeu à somme positive pour
tous les acteurs de l’époque, mais n’est peut-être que le simple reflet –et la seule
volonté- de l’hégémonie exercée par les puissances dominantes.
Avec l’existence d’un marché intérieur préalable, le commerce semble avoir
influencé -de manière déterminante ou non- le développement cependant, il
demeure avant tout un miroir du développement choisi.
J’ai des indices :
je sais qu’il sera de la forme :
Thèse nuancée dc Idée + cependant.
Je repère cette structure dans les
paragraphes restants
Je remarque que le texte fait
11-12 lignes : je suis
« dans les clous » / phase 2
Si les économies préindustrielles demeurent fondamentalement protectionnistes -fruit de
l'empreinte mercantiliste- la révolution industrielle va, au contraire, abandonner
progressivement ces thèses pour leur préférer celles prônées par les auteurs libéraux et par
voie de conséquence s'adonner au libre-échange, la Grande-Bretagne en étant la figure de
proue.
La conjonction d'une triple révolution (RA, RI, RD) entamée au XVIIIème siècle dans
l'ensemble des pays occidentaux va permettre l'avènement du capitalisme en tant que régime
et système. Décrié par les uns, Marx, qui voient en lui "l'exploitation de la classe ouvrière", il
demeure pour les autres la supériorité des occidentaux" (Brainville).
Avec l’existence d’un marché intérieur préalable, le commerce semble avoir influencé -de
manière déterminante ou non- le développement cependant, il demeure avant tout un miroir
du développement choisi.
Il neavoir
me reste
plus
Le commerce peut donc
contribué
auqu’à
développement des pays européens, tout
les autres Cependant, paradoxe étrange, si le
comme il peut être le fruitrassembler
de ce même développement.
libre-échange doit permettre
croissance
développement et le protectionnisme leur
« idées » et lesetordonner
ralentissement, les faits au
XIXème
siècle ne ma
semblent
pas1corroborer la théorie.
pour
construire
phase
Ainsi, entre 1850 et 1914, (le XIXème siècle économique), le développement économique
en Europe, entendu comme étant "la combinaison des changements mentaux et sociaux d'une
population qui la rendent apte à faire croître, cumulativement et durablement, son produit réel
global" (F.Perroux) semble s'opérer parallèlement à l'essor du commerce, c'est-à-dire à
l'échange de marchandises, tant au niveau national qu'international.
Cette supériorité va notamment se manifester par le biais du commerce et de son
développement.
La nature du lien existant entre les deux phénomènes laisse ainsi supposer une relation
réciproque qui sera ou non vérifiée ou pour l’ensemble des pays de la première (GrandeBretagne, France, Etats-Unis) et de la deuxième vague (Allemagne, Italie, Russie, Japon) ou
pour quelques-uns seulement, invalidant ainsi la pré-supposée interrelation.
De même toute croissance ne conduit pas forcément au développement. Le libre-échange
n’apparaît donc pas forcément comme un jeu à somme positive pour tous les acteurs de
l’époque, mais n’est peut-être que le simple reflet –et la seule volonté- de l’hégémonie exercée
par les puissances dominantes.
Je remarque
que je peux
faire un
enchaînement
entre deux
paragraphes
grâce au mot
« supériorité »
La conjonction d'une triple révolution (RA, RI, RD) entamée au
XVIIIème siècle dans l'ensemble des pays occidentaux va permettre
l'avènement du capitalisme en tant que régime et système. Décrié par les uns,
Marx, qui voient en lui "l'exploitation de la classe ouvrière", il demeure pour
les autres la supériorité des occidentaux" (Brainville).
Cette supériorité va notamment se manifester par le biais du
commerce et de son développement.
Si les économies préindustrielles demeurent fondamentalement
protectionnistes -fruit de l'empreinte mercantiliste- la révolution industrielle
va, au contraire, abandonner progressivement ces thèses pour leur préférer
celles prônées par les auteurs libéraux et par voie de conséquence s'adonner
au libre-échange, la Grande-Bretagne en étant la figure de proue.
Je remarque au passage qu’il y a
environ 12 lignes !
Il me reste à rassembler mes
trois phases et obtenir mon
introduction !
Et voilà mon
introduction
terminée !
La conjonction d'une triple révolution (RA, RI, RD) entamée au XVIIIème siècle dans
l'ensemble des pays occidentaux va permettre l'avènement du capitalisme en tant que régime et
système. Décrié par les uns, Marx, qui voient en lui "l'exploitation de la classe ouvrière", il
demeure pour les autres la supériorité des occidentaux" (Brainville). Cette supériorité va
notamment se manifester par le biais du commerce et de son développement. Si les économies
préindustrielles demeurent fondamentalement protectionnistes -fruit de l'empreinte
mercantiliste- la révolution industrielle va, au contraire, abandonner progressivement ces thèses
pour leur préférer celles prônées par les auteurs libéraux et par voie de conséquence s'adonner
au libre-échange, la Grande-Bretagne en étant la figure de proue. Environ 8 lignes
Ainsi, entre 1850 et 1914, (le XIXème siècle économique), le développement économique
en Europe, entendu comme étant "la combinaison des changements mentaux et sociaux d'une
population qui la rendent apte à faire croître, cumulativement et durablement, son produit réel
global" (F.Perroux) semble s'opérer parallèlement à l'essor du commerce, c'est-à-dire à
l'échange de marchandises, tant au niveau national qu'international. La nature du lien existant
entre les deux phénomènes laisse ainsi supposer une relation réciproque qui sera ou non vérifiée
ou pour l’ensemble des pays de la première (Grande-Bretagne, France, Etats-Unis) et de la
deuxième vague (Allemagne, Italie, Russie, Japon) ou pour quelques-uns seulement, invalidant
ainsi la pré-supposée interrelation. Environ 8 lignes
Le commerce peut donc avoir contribué au développement des pays européens, tout
comme il peut être le fruit de ce même développement. Cependant, paradoxe étrange, si le libreéchange doit permettre croissance et développement et le protectionnisme leur ralentissement,
les faits au XIXème siècle ne semblent pas corroborer la théorie. De même toute croissance ne
conduit pas forcément au développement. Le libre-échange n’apparaît donc pas forcément
comme un jeu à somme positive pour tous les acteurs de l’époque, mais n’est peut-être que le
simple reflet –et la seule volonté- de l’hégémonie exercée par les puissances dominantes. Avec
l’existence d’un marché intérieur préalable, le commerce semble avoir influencé -de manière
déterminante ou non- le développement cependant, il demeure avant tout un miroir du
développement choisi. 8 lignes 2/3
Pour retrouver le sujet initial, je sais que :
Ma question est « en quoi »,
qu’il y a une relation entre commerce et
développement,
que les pays sont ceux de la 1ère et 2ème vague
et qu’il s’agit du XIXème siècle !
Le sujet sera donc :
Développement et commerce au XIXème siècle dans les pays de la 1ère et 2ème vagues.
Tout n’est qu’observation !
Elémentaire mon cher Watson !