J2 : Antibiogramme

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Transcript J2 : Antibiogramme

AT 13 et 14 Biotechnologies
Thème : ECBU
Semaine 5 et 6
Antibiogramme et recherche de la CMI d’un
germe responsable d’une infection urinaire
Yves DABAT Ste-Anne ANGLET
Q1 : Détermination CMI
Détermination de la CMI en milieu
liquide
J1 : CMI
Après avoir vérifier la pureté de la souche, on dilue
l’inoculum :
100 µL
E.coli en bouillon
nutritif incubé
18 h à 37°C.
25 m L de bouillon
Mueller-Hinton
J1 : CMI
On prépare une série de tubes contenant des
concentrations croissantes en Ampicilline :
Matériel :
J1 : CMI
On prépare une série de tubes contenant des
concentrations croissantes en Ampicilline :
Dilution de l’Antib iotique
1 mL
Tube
2
3
4
5
6
7
8
9
10 11 … Rejeter
L
} 1m
fina l
}
Solution m ère
d ’antib iotique à
200m g/L
Diluant 1 mL
On ne met pas d’ampicilline dans le tube 14 !!
C’est un témoin positif sans antibiotique.
J1 : CMI
On prépare une série de tubes contenant des
concentrations croissantes en Ampicilline :
Tube
1
Ajout d e l’inoc ulum
2
3 4 5
6
7
...
1 mL
L
} 2m
fina ux
Inoculum
}
Ga mm e a ntibiotique
Diluant 1 mL
J1 : CMI
On prépare une série de tubes contenant des
concentrations croissantes en Ampicilline :
On incube la gamme 24 heures à 37°C
J2 : CMI
Lecture des résultats :
Pas de trouble visible :
Absence de croissance
(noté -)
Trouble visible
Croissance
(noté +)
J2 : CMI
Lecture du tube témoin positif :
Trouble visible =
Croissance positive en
absence d’antibiotique.
(noté +)
On peut donc lire les tubes
de la gamme.
J2 : CMI
Lecture des résultats :
Pas de croissance
-
Croissance
faible
Croissance
+
J2 : CMI
Lecture des résultats, calculs :
La CMI correspond à la concentration en
antibiotique empêchant l’apparition d’un trouble
visible (concentration minimale inhibitrice),
C’est-à-dire, ici, le tube 6.
La CMI est donc égale à 5 mg d’Ampicilline / L
Q2 : Antibiogramme
Antibiogramme en milieu solide de
Mueller Hinton
J1 : Antibiogramme
On ensemence un milieu de Mueller Hinton par la
technique de l’écouvillonnage :
Matériel
J1 : Antibiogramme
On ensemence un milieu de Mueller Hinton par la
technique de l’écouvillonnage :
Technique
J1 : Antibiogramme
On dépose ensuite les six antibiotiques fournis
grâce à une abaque :
J1 : Antibiogramme
On dépose ensuite les six antibiotiques fournis
grâce à une abaque :
On incube la
boîte 24
heures à
37°C
J2 : Antibiogramme
Lecture des résultats :
Boîte de Pétri
Tapis de
colonies d’E. coli
Disque
d’antibiotique
Spectre
d’inhibition
J2 : Antibiogramme
Lecture des résultats :
J2 : Antibiogramme
Lecture des résultats :
Germe résistant
J2 : Antibiogramme
Lecture des résultats :
Germe intermédiaire
J2 : Antibiogramme
Lecture des résultats :
Germe sensible
J2 : Antibiogramme
Lecture des résultats :
Exemple de lecture d’une zone d’inhibition pour GM
Le diamètre
d’inhibition est
supérieur à D ;
La CMI est donc
inférieure à la CCI
(c) ;
Le germe est donc
sensible à cet
antibiotique.
Q3 : Antibiogramme
Antibiogramme en milieu liquide
micro-méthode
J1 : Antibiogramme
On ensemence une micro-galerie pour
antibiogramme ATBTM UR :
Matériel
J2 : Antibiogramme
Lecture des résultats :
Les deux témoins sont positifs 
on peut interpréter les résultats
Aspect trouble =
pousse  germe
résistant
Aspect clair =
pas de pousse
 germe
sensible
J2 : Antibiogramme
Lecture des résultats :
CONCLUSION
Conclusion à la semaine 5 et 6
CONCLUSION
Toutes ces techniques permettent de conclure sur
la résistance ou la sensibilité de la souche d’E.
coli à divers antibiotiques.
Elles permettent aussi de dire si un antibiotique
est utilisable ou non pour une thérapie.
CMI et Antibiogramme
Semaine 5 et 6 : Antibiotiques
FIN
Yves DABAT Ste-Anne ANGLET