Diabète diapos - L`odyssée des tuniques blanches

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Transcript Diabète diapos - L`odyssée des tuniques blanches

Anatomie physiologie du
pancréas


Fonction exocrine : suc pancréatique
Fonction endocrine : insuline - glucagon
Le diabète fait intervenir
le pancréas




Sécrète 2 hormones :
l’insuline hormone hypoglycémiante
C’est la clef qui permet au sucre de
pénétrer dans les cellules
Le glucagon hormone hyperglycémiant
intervient quand l’organisme manque
de sucre
Il existe 2 types de diabète




Diabète de type 1 : insulinodépendant
1 diabétique sur 10
Diabète de type 2 :
non insulinodépendant
Quelques chiffres
 PB de santé publique
 194 millions dans le monde 6 fois plus
depuis 15 ans
 3 Millions en France 2% de la population
 USA 5%
 Dont 150 000 DID
 En 2025 les chiffres vont doublés
Cette explosion est liée
 Au bouleversement des habitudes alimentaires
traditionnelles .
 La sédentarité
 Les stress psychiques
 Complication de l’obésité la plus répandue
 Complications majorée si tabac , HTA cholestérol
Le diabète est-il héréditaire ?
 Prédisposition génétique .
 Il n’y a pas de transmission inéluctable , on
transmet seulement une prédisposition si les
conditions d’environnement s’y prêtent.
 Diabète de type 1 :DID 10 % de transmission si le
père et la mère sont diabétiques .
 Diabète de type 2: DNID 50% de risque de
transmission
 DID : destruction des cellules qui fabriquent l’insuline
par des ATC fabriqués par l’organisme déclenché à
l’occasion d’une infection virale par ex
 DNID : insulinorésistance des cellules à l’insuline et
baisse de sécrétion de l’insuline .
 Favorisé par l’excès de poids et la sédentarité
 Tous les obèses ne sont pas diabétiques
Le diabète se caractérise par :
Quantité trop importante de sucre
dans le sang hyperglycémie
 Valeur normale de la glycémie à jeun :
0,80g/L et 1,10g/L
Le taux de sucre dépend :
 des apports alimentaires
 l’utilisation du sucre par l’organisme
exercice physique

Définition selon l’OMS



Hyperglycémie supérieure ou égale à
1,26g/litre le matin à jeun , mesurée
au moins à 2 reprises .
La mesure de l’hémoglobine glyquée
(HbA1)
Renseigne sur l’équilibre glycémique
des 2 mois qui précèdent .
2 Mécanisme du diabète
Le glucose =
 élément essentiel au fonctionnement
de nos organes .
 Energie nécessaire : aux muscles , aux
globules …
 Cerveau 100 g /jour (4g/ h )
 Son taux et son utilisation sont régulés
par l’insuline .
Problème !!!


Quand le pancréas ne produit plus ou
pas assez d’insuline ou lorsque
l’insuline n’est plus efficace .
Le taux de sucre s’élève et c’est un :
DIABETE
Le sucre ne rentre plus dans
les cellules

Son taux augmente dans le sang =
C’est
L’HYPERGLICEMIE IL
FAUT AGIR ….
TYPE 1 INSULINO-DEPENDANT
diabète’ maigre , juvénile ‘
Le pancréas ne produit plus ou presque
plus d’insuline .
• Début brutal
• La mise sous insuline doit être
immédiate .
• Plusieurs injections /jour et à vie
Cause
•
•
•
Destruction progressive des
cellules B des îlots de
LANGERHANS par réaction autoimmune .
Lorsque 80 à 90 % des cellules B sont
détruites il n’y a plus ou peu d’insuline
fabriquée par le pancréas .
Cette destruction débute 5 à 10 ans
avant l’apparition du diabète
LE GLUCOSE RESTE DANS LE
SANG




Il n’est plus utilisé par les cellules de
l’organisme .
Débute chez :
le jeune enfant
Jeune adulte avant 40 ans
SYMPTÔMES







HYPERGLYCEMIE
POLYURIE
GLYCOSURIE
POLYDIPSIE
POLYPHAGIE
PERTE DE POIDS
ACETONURIE
L’hyperglycémie

Lorsque la glycémie atteint 1,80g

l’organisme cherche à éliminer

l’excès de sucre du sang .
Polyurie



L’organisme cherche à éliminer l’excès
de sucre du sang
Polyurie : la quantité d’urine augmente
Cette élimination urinaire
s’accompagne d’une élimination
importante d’eau
GLYCOSURIE

Présence de sucre dans les urines
quand la glycémie atteint 1,80g
POLYDIPSIE


Soif abondante . La perte d’eau par les
urines entraîne une déshydratation de
l’organisme
Le malade a soif et boit abondamment
.
POLYPHAGIE



Augmentation de l’appétit .
Le glucose est très élevé dans le sang
, mais les cellules ne le reçoivent pas .
Elles réclament de l’énergie et
l’organisme réagit par une
augmentation de l’appétit .
PERTE DE POIDS


Malgré l’augmentation de l’appétit ,
l’organisme ne peut pas utiliser les
glucides .
Il y a amaigrissement et fatigue .
LA COMBUSTION DES
GRAISSES



Toujours en recherche d’énergie ,
l’organisme transforme les lipides en
glucose .
production d’un déchet = l’ACETONE
odeur pomme reinette de l’haleine ,
de la sueur et des urines
L’ACETONURIE

Présence d’acétone dans les urines
En l’absence de traitement la
présence d’acétone engendre
l’acidification de l’organisme .

Entraînant un coma acido-cétosique .


LES COMPLICATIONS



Le diabète expose a des complications
graves .
L’objectif du traitement est de prévenir
ces complications en maintenant
l’équilibre de la glycémie .
Equilibre qui dépend du traitement par
l’insuline et par l’alimentation
équilibrée
Complications aigües




Hypoglycémie
Le plus souvent rencontrée chez les
diabétiques insulino dépendants
Chute rapide du taux de sucre dans le
sang
L’hyperglycémie
Malaise hypoglycémique

Une erreur de dosage d’insuline

Apport insuffisant de glucose

Efforts physiques non compensés .
L’hyperglycémie

Erreur de dosage d’insuline

Alimentation trop riche en glucose

Infection

Arrête de l’insuline
Quels sont les signes du malaise qui
précèdent le coma ?
Hypoglycémie
Début brutal , rapide
 à distance des repas : fin
de matinée ou d’après
midi
Comportement agité ,
agressivité tremblements
,raideur ,contracté .
 Sensation de faim avec
douleurs épigastriques

hyperglycémie




Progressif
Calme , hypotonique ,
flasque, somnolent ,
Dyspnéique
Polyurie soif
Hypoglycémie
hyperglycémie

Pas de vomissement


Teint pâle , sueurs


L’haleine est sans odeur

Vomissement
Teint rosé , sècheresse
de la peau et de la
langue .
Odeur pomme reinette
de l’haleine et des
urines

Les urines :
absence de sucre
et d’acétone .

Présence de sucre
et d’acétone dans
les urines
Conduite à tenir






Prévenir IDE ou médecin qui fera une
glycémie capillaire
Si hypoglycémie :
Évaluer la capacité à déglutir
Donner sucre ou jus de fruits (protocole )
Avancer le repas
Mettre la personne en sécurité , assise ou
allongée .




Si inconsciente mettre la personne en
PLS
Appeler médecin ou IDE
Education famille et patient
Généralement le patient récupère assez rapidement , mais
peut évoluer vers le coma ou décès .






Hyperglycémie :
Prévenir IDE médecin
Glycémie
Acétonurie
Glycosurie
Évolution favorable après traitement mais peut évoluer vers le
coma et décès
LES COMPLICATIONS
CHRONIQUES

VASCULAIRES

NEUROLOGIQUES

CUTANEE
Vasculaires

atteintes des petits vaisseaux =
microangiopathie

Rétine = risque de cécité

Rein = insuffisance rénale .
Rétinopathie
formation de nvx vx susceptibles de
se rompre provoquant des saignements au nv du corps vitré et = perte
de l’acuité visuelle pouvant aller jusqu’à la cécité



Première cause de cécité avant 50 ans
Évolue sans que le patient s’en
aperçoive . La baisse de l’acuité
visuelle apparait tardivement ( maladie
très avancée ).
Consultation ophtalmologique tous les
6 mois .

Néphropathie diabétique .

13 % des diabétiques sont dialysés

Les reins ne peuvent plus éliminer les
déchets : IR _ dialyse

La mortalité par artériosclérose est x 2


Risque majoré si tabagisme et
sédentarité .
Complications
neurologiques




Neuropathie du diabétique
Atteintes diverses , symptômes variables
Touchent en particulier les membres
inférieurs : baisse de la sensibilité analgésie
Baisse de la force musculaire , amyotrophie
fourmillements
Neuropathie avec un risque
particulier au niveau du pied
 Atteinte
de la sensibilité avec
un risque particulier au niveau
du pied car perte de la
capacité protectrice à ressentir
la douleur
Risque au niveau des
pieds





Blessure infection
Mal perforant
Ulcère
10% des diabétiques subissent une
amputation .
300O à 5000 amputations réalisées
/an


La perte de la sensibilité et le défaut
d’irrigation cutanée favorise les
crevasses .
La baisse de la transpiration favorise la
pénétration des bactéries et le risque
infectieux .
Plaie du pied artériopathie la mauvaise
irrigation peut aller jusqu’à la gangrène
Mal perforant
conséquence d’une
hyperpression localisée d’autant plus redoutable qu’indolore .
Complications Cutanées
avec risque d’infection



La personne diabétique est plus fragile
aux infections
L’infection va déséquilibrée le diabète
et un diabète mal équilibré aggrave
l’infection .
Infection urinaires :peut passer inaperçue .
On ne voit que le déséquilibre du diabète et on ne
sait pas pourquoi . Faire boire ++++Important de
réaliser des ECBU systématiques

Infections ORL : dents consultation 2 fois par an
La présence de sucre dans les tissus
fragilise la peau et augmente l’apparition
des escarres
Plaies lentes à guérir /infection
/suppuration
Prurit /urticaire /eczéma aux parties
génitales , plis de l’aine .
Furoncle , mycose
Hygiène rigoureuse de la peau
LE TRAITEMENT

INSULINE

ALIMENTATION

Hygiène de vie

EDUCATION DE LA PERSONNE
l’insuline


Injection d’insuline plusieurs fois par
jour précédé par le contrôle de la
glycémie .
Seul le médecin décide d’un
changement éventuel
L’alimentation



Avant une activité : pas de
modification sauf si exercice intense
Pendant l’activité : prévoir une
collation et penser à s’hydrater
Après l’activité : penser à s’hydrater et
repas suivant équilibre
L’hygiène de vie





..
30 minutes de marche par jour
Marcher lors des trajets pour se rendre
au travail
Utiliser l’escalier plutôt que l’ascenseur
Eviter de rester assis pendant de
longues périodes
Passer du temps dans le jardin
Intérêts de l’activité
physique

Diminue le niveau de glycémie

Contrôle le poids

Diminue la pression artérielle

Lutte contre l’artériosclérose
Quelle activité physique ?





Progressive et prolongée
Eviter efforts violents et courts
Sport de contact déconseillé
Examen médical avant de débuter
Conseillée en phase post-prandiale 2 à 3
heures après le repas .
Le diabète de type 2 ou
diabète non
insulinodépendant



Survient après 40 ans
Une augmentation inquiétante de son
incidence chez l’enfant est aujourd’hui
observée
1/10 de plus de 70 ans est atteinte
CAUSES




Alimentation trop abondante et trop
riche en graisse et en sucre
Obésité
Sédentarité
Le stress psychique mal reconnu et
mal géré
2 Caractéristiques du
diabète de type 2


1 Insulinorésistance au niveau
des cellules .
L’insuline est normalement
sécrétée mais le glucose pénètre
difficilement dans la cellule




L’insulinorésistance est favorisée
par
L’excès de poids
Le manque d’activité physique .
La glycémie augmente puisque
l’insuline n’est plus efficace



2 Le manque d’insuline
Dans un premier temps le pancréas
compense en fabriquant + d’insuline
pour compenser son manque
d’efficacité .
La glycémie reste quand même élevée




Avec le temps le pancréas se fatigue
La production d’insuline diminue . Ce
qui aggrave le pb initial
Un traitement par insuline peut alors
être nécessaire
Diabète insulinonécessitant
LES SYMPTÔMES DU
DIABETE DE TYPE 2


Augmentation de la glycémie
silencieuse l’hyperglycémie peut
évoluer plusieurs années sans
symptôme apparent , évolution
silencieuse .
Découverte à l’occasion d’un bilan
sanguin ou d’un dépistage
systématique



Il n’y a jamais de petit diabète .
Les complications chroniques sont
graves
Une glycémie équilibrée permet de les
prévenir
Complications chroniques


Les mêmes risques que pour le
diabète de type 1 majorés par le fait
que l’hyperglycémie évolue à bas
bruits
LE TRAITEMENT Obtenir une
glycémie la + proche de la normale
Alimentaire
 l’activité physique
La perte de poids
 Médicaments hypoglycémiants oraux

Pour une qualité et espérance de vie quasi normales
ROLE DE L’AIDESOIGNANT





L’aide-soignant travaille en
collaboration avec l’infirmier et a un
rôle essentiellement d’observation et
de transmission .




IL /elle doit surveiller l’hygiène
alimentaire
L’hygiène corporelle .Observation et
dépistage des lésions cutanées .
Les signes précédents le malaise
hypoglycémique et hyper glycémique
La glycosurie et l’acétonurie par
bandelettes urinaires

L’aide-soignant participe à l’éducation
du patient diabétique
Hygiène de vie et
diététique

Les 4 recommandations mondiales sont les
suivantes .

Maintenir un statut pondéral correct

Si surpoids associer un régime hypocalorique

Manger des glucides avec un index
glycémique faible ( fruits et légumes , pain ,
pâtes farineux )

Limiter les apports en lipides saturés .

Préserver la qualité de vie .
Ne pas sauter de repas
 Éviter les grignotages entre les repas

Avant le repas



Veiller à ce que le contrôle de la
glycémie suivi de l’injection d’insuline
soient faits
Le traitement per-os doit être pris
avant le repas
Que le plateau soit correctement
équilibré
Après le repas
Veillez à ce que le patient ait pris tout
son repas surtout les hydrates de
carbones = glucides
 Transmettre :
 ce qui a été consommé
Tout excès ou refus de nourriture
Tout excès de boisson

La diététique : éduquer la
personne vers une
alimentation équilibrée

3 repas équilibrés / heures fixes

Éviter grignotage entre les repas

Diminuer l’apport en graisse d’origine
animale surtout .
Les graisses animales saturées
favorisent l’athérosclérose et
l’insulinorésistance

Favoriser les huiles végétales : olive et
colza

Limiter l’alcool

Eviter plats en sauce et charcuterie .


¼ de litre de vin par jour peut être
toléré .
Attention au sel , pas plus de 6 g par
jour
Ne pas sauter de repas

Collation 10h et 22h pour éviter les
hypoglycémies de 11h30 et de la nuit .
Le plateau comporte






Crudités ou potage
Viande , poisson ,œuf ou jambon
Moitié féculents /moitié légumes verts
Un produit laitier
Un fruit ou compote sans sucre
Des édulcorants de synthèse peuvent
être prescrits
Limiter ou éviter les
sucres rapides suivants

Sucre en morceaux ,

Sucreries pâtisserie , laitages sucrés , pain d’épices



Fruits secs : abricots , dattes , pruneaux , fruits aux
sirop .
Boissons sucrées : soda , boissons très alcoolisées
et ou très sucrées .
Apéritifs , liqueurs
CONSOMMATION LIBRE


Viande , poissons , œufs , jambon
yaourt sans sucre , fromage .
Légumes verts : asperges , haricots
verts , salade , navets , choux fleur ,
choux rouge , concombres , potiron ,
poireaux , courgettes , tomates ,
poivrons .
Glucides à consommer
modérément
Les proportions suivantes
correspondent à 30 g de
glucides
Féculents
légumes


Pommes de terre
bouillies
Pomme de terre en
purée
proportions

150g soit 2 Pommes de
terre

180g 5 à 6 CAS

Frites

80g

Riz

150g soit 5 à 6 CAS

Pâtes

180g soit 6 CAS

Haricots secs , pois
cassés

160g 5 à 6 CAS

Lentilles

180g soit 6 CAS

Fonds d’artichauts

200g

Petits pois frais

240g soit 8 CAS

Salsifis

250g soit 7 à 8 CAS


Carottes ,
betteraves
Le pain

300g soit 10 CAS

60g soit 2 tranches
Les fruits contiennent en
moyenne 10% de sucre soit
10g pour








Une pomme de 100g
Poire 15%
Pamplemousse
Orange
Pêche
4CAS de groseilles , framboises
15 grains de raisins soit 50g
½ banane 20%
Surveillance des urines



Signaler :
Une polyurie
Une odeur cétonique pomme reinette
urine et haleine .
Surveillance de l’hygiène
corporelle





Hygiène et soins bucco – dentaire minutieux
.
Hygiène de la peau : séchage minutieux
Signaler : moindre blessure , irritation
mycose , prurit .
Redoubler de vigilance pour prévenir les
escarres
Toute plaie même minime risque de se surinfecter signaler
rapidement à l’IDE
Le rôle de l’AS est très
important


Grâce à une bonne hygiène corporelle
une majorité des complications
pourraient être éviter
La toilette est le moment privilégié
pour faire le bilan de l’état cutané



Linge de corps en coton changé
chaque jour afin d’éviter transpiration
et irritation .
Pas d’alcool sur la peau .
La vaccination antitétanique doit être à
jour
Hygiène des pieds





Chaque jour lavage simple mais
soigneux des pieds .
Eau tiède à 36 , 37 °
Savon neutre
Pas de brosse , de lime en métal ou de
produit agressif .
Durée 5 minutes





Bien rincer , bien sécher .
Vérification quotidienne de la peau
Blessure , mycose
hyperkératose corne qui apparait sur
une zone de frottement ou d’appui.
La personne n’a pas conscience de
cette corne ( hypoesthésie )


Hydratation quotidienne des pieds
pour éviter la formation trop rapide de
corne sous le pied .
Cela l’oblige à toucher ses pieds tous
les jours , a sentir si la corne s’épaissie
ou si plaie .


Coupe des ongles : attention risque de
se blesser surtout si manque de
souplesse et diminution de l’acuité
visuelle .
Ne couper les ongles que sur avis de
l’infirmière .Paire de ciseaux à bouts
rounds et couper au carré
Choix des chaussures



Peuvent être la cause de blessure .
Chaussures larges , souples , fermées
pour éviter l’entrée de corps étrangers
Passer la main à l’intérieur : coutures
potentiellement blessantes



Parfois nécessité de chaussures
orthopédiques ou de semelles .
Des orteils en griffes prennent
beaucoup de place .
Essayer les chaussures en fin de
journée .



De préférence en cuir .
Semelles pas trop épaisses pour sentir
le sol .
Eviter le port de bottes qui favorisent
la macération .