Transcript EASL 2010
Web Hépato Session 45ème congrès EASL Vienne du 14 au 18 avril 2010 Post-EASL : les messages pour la pratique Web Hépato Session VHC Denis Ouzan VHB et CHC Corinne Castelnau Cirrhose, complications Autres hépatopathies Michèle Pouteau Conclusion (Saint-Laurent du Var) (Paris) (Epinay sur seine) Bertrand Hanslik (Montpellier) Président de la commission hépatologie du CREGG 45e congrès EASL Vienne du 14 au 18 avril 2010 Introduction Bertrand Hanslik Président de la Commission Hépatologie du CREGG (Montpellier) 45e congrès EASL Vienne du 14 au 18 avril 2010 Denis Ouzan (Saint-Laurent du Var) VHC Détection de l’AgHBs, de l’antiVHC, de l’ARN du VHC sur papier buvard Sang capillaire Détection de l’AgHBs et de l’anti VHC Sensibilité et Spécificité > 95 % L’ARN du VHC a été retrouvé sur buvard chez 60 des 62 (97 %) patients ARN du VHC+ et quantifié sur 55 (89 %) prélèvements EASL 2010 – Villar LM, Brésil, abstract 635 actualisé EASL 2010 – Tuaillon E, France, abstract 1056 actualisé et HEPATOLOGY 2010 PROPHESYS : cinétique de décroissance virale à S4 et S12 sous PEG-IFNα-2a + RBV n = 5 292 % 80 70 RVR RVPc RVPp 73 % 66 % 60 50 40 30 21 % 31 % 25 % 20 31 % 27 % 16 % 10 11 % 7% 17 % 11 % 0 G1 (n = 3 387) G4 (n = 225) G2 (n = 740) G3 (n = 940) EASL 2010 – Ferenci P, Autriche, abstract 256 actualisé Vitamine D et traitement de l’hépatite C un intérêt à confirmer • Etude randomisée, 67 patients G1, naïfs : ARN indétectable (< 50 UI) Placebo + PEG-IFN 2b + RBV (n = 31) Vitamine D 2-4000UI + PEG-IFN 2b + RBV (n = 36) p < 0,01 94 100 85 80 60 44 48 43 40 20 0 18 31 36 S4 31 36 S12 21 20 S72 EASL 2010 – Abu-Mouch S, Israël, abstract 55 actualisé Antiviraux à action directe NS3 PROTEASE NS5A NS5B POLYMERASE TELAPREVIR BI 201335 BMS 790052 RVS sous trithérapie avec Télaprévir (12 sem) chez les patients naïfs de génotype 1 RVS RVS (%) 100 /8 h : PEG-IFNα-2a /12 h : PEG-IFNα -2a 85 /8 h : PEG-IFNα -2b /12 h : PEG-IFNα -2b 81 83 34/42 33/40 T12/PR24 (n = 109) T12/PR48 (n = 29) < 24 sem. (n = 23) (Echec : 8, EI : 11) 82 80 60 40 20 0 n/N = 34/40 32/39 EASL 2010 – Forns X, Espagne, abstract 56 actualisé RVS après retraitement par trithérapie avec Télaprevir de patients en situation de non réponse TVR12/PR48 (Répondeurs nuls ou ARN+ à S4 et S12) TVR/PR TVR12/PR24 12 semaines Malades (%) 100 RVS 80 75 55 60 40 97 37 20 0 T12/PR24 : T12/PR48 : 19/51 16/29 6/8 28/29 NR Partielle Echap. RR 17 (4/24) 56 (15/27) 60 (15/25) 0 86 (6/7) 0 96 (24/25) 100 (3/3) ► La trithérapie permet d’obtenir 37 à 97 % de RVS en fonction du type de réponse au premier traitement EASL 2010 – Berg T, Allemagne, abstract 4 actualisé Effets indésirables d’un inhibiteur de protéase (BI 201335) chez les patients sans réponse à la bithérapie pégylée ► L’échappement viral 30 Total 22,4 20 0 S5-S12 21,8 12,7 10,5 11,8 10 S0-S4 14,3 12,9 9,2 1,4 240 mg/j (n = 76) 240 mg/j LI (n = 142) 480 mg /j (n = 70) ► Les effets secondaires 80 58,6 60 40 240 mg/j 32,9 40,1 27,6 32,4 3,9 Rash Minime 240 mg/j x 2/j LI 27,1 25,7 20 0 240 mg/j LI 7 Modéré 1,3 0,7 5,7 Sévère EASL 2010 – Sulkowski M, Etats-Unis, abstract 1190 actualisé Evaluation de l’inhibiteur de NS5A (BMS790052) • Etude contrôlée randomisée : 48 patients naïfs infectés G1 Critère principal J1 S4 S12 n = 12 3 mg BMS-NS5A + PEG-IFN-2a + RBV n = 12 10 mg BMS-NS5A + PEG-IFN-2a + RBV n = 12 60 mg BMS-NS5A + PEG-IFN-2a + RBV n = 12 PEG-IFN-2a + RBV + placebo Suivi postthérapeutique S12 S24 S48 Fin de traitement EASL 2010 – Pol S, Paris, abstract 1189 actualisé Efficacité de l’inhibiteur de la région NS5A Résultats à S12 Réponse virologique 100 92 83 83 83 Patients (%) 80 58 60 42 41 40 20 0 8 RVR cEVR RVR cEVR RVR cEVR RVR cEVR 3 mg NS5A-I + P/R (n = 12) 10 mg NS5A-I + P/R (n = 12) 60 mg NS5A-I + P/R (n = 12) P/R + Placebo (n = 12) ► Tolérance identique au placebo RVR = ARN VHC indétectable à S4 cEVR = ARN VHC indétectable à S12 EASL 2010 – Pol S, Paris, abstract 1189 actualisé 45e congrès EASL Vienne du 14 au 18 avril 2010 Corinne Castelnau (Paris) VHB et CHC VHB Peut-on arrêter le traitement par NUC ? 4 patients traités au long cours (10 ans) par lamivudine avec une négativation prolongée de l’ADN du virus B. PBH à 10 ans : recherche ADN superenroulé (cccDNA) intrahépatique Avant Après ADN VHB (UI/ml) 105-106 < 15 ALAT (UI) 47-1304 <N AgHBs (+) AgHBe (+) 4/4 1/4 3/4 0/4 cccDNA ARN pg Mutation cccDNA 2/4 3/4 0/4 L’ADN super-enroulé et l’ARN prégénomique du VHB persistent dans le foie des malades ayant une suppression très prolongée de la réplication virale sous lamivudine La Lettre de l’Hépato-gastroentérologue EASL 2010 - D’après Belloni L et al., abstract 1003, actualisé Hépatite B AgHBe négatif génotype D : PEG-IFNα-2a, 96 mieux que 48 semaines ? ADN VHB < 2 000 UI/ml Résultats 12 mois après l’arrêt du PEG-IFNα-2a % 100 p = 0,03 80 29 30 p = NS 60 59 67 p = NS 40 22 29 Malades (%) 20 0 20 30/51 35/52 Fin de tt 6 mois post-tt p = 0,06 12 10 10 48 semaines 6 0 11/51 15/52 6/51 15/52 ADN-VHB < 2 000 UI/ml 0 0/51 96 semaines 0 3/52 AgHBs clairance 0/51 5/52 AgHBs < 10 UI/ml EASL 2010 – Lampertico P., Italie, abstract 98 actualisé L’évolution de l’AgHBs et de l’ADN du VHB permet de prédire l’absence de réponse sous PEG-IFN Règle d’arrêt à S12 Titre Ag HBs ADN VHB Probabilité de réponse soutenue 102 patients NON (n = 54) OUI (n = 48) < 2 log (n = 20) > 2 log (n = 34) < 2 log (n = 20) > 2 log (n = 28) 0% 24 % 25 % 39 % Le traitement par PEG-IFN peut être arrêté en l’absence de diminution du titre de l’AgHBs et de la charge virale à S12 EASL 2010 – Rijckborst V., Pays-Bas, abstract 8 actualisé Association entécavir + ténofovir : pour qui ? Cohorte française : 82 patients : 55 % Ag Hbe+, 30 % cirrhose 90% traités (45 % bithérapie, 45 % monothérapie), 10 % naïf Echappement viro : 40 %, Réponse subnormale : 45 % ADN VHB < 80 UI/ml (n = 52) Cohorte rétrospective française Cohorte européenne 100 100 80 80 Patients (%) Patients (%) ADN VHB < 12 UI/ml (n = 82) 60 40 20 0 0 3 6 9 La Lettre de l’Hépato-gastroentérologue Mois 12 15 60 40 20 0 0 3 6 9 12 15 18 Mois EASL 2010 - D’après Sogni P et al., abstract 1024, actualisé EASL 2010 - D’après Petersen J et al., abstract 1020, actualisé Carcinome hépatocellulaire CHANGH : point sur le CHC en France (1) • Etude observationnelle prospective nationale dans 103 hôpitaux : 94 hôpitaux généraux, 4 hôpitaux militaires et 6 CHU • 1 287 malades inclus ayant un CHC diagnostiqué sur l’histologie ou les critères radiologiques de Barcelone : 1 026 patients analysés 73 50 Causes de cirrhose 60 Malades (%) Malades (%) 80 40 20 18 17 20 10 VHC VHB NASH Multiples Hémochromatose Circonstances de diagnostic du CHC 30 20 10 3 0 Alcool 40 44 20 17 14 5 0 Complication Hépatopathie Découverte cirrhose fortuite non connue ou CHC Cirrhose Dépistage non suivie CHC EASL 2010 – Rosa I., Créteil, abstract 585 actualisé et JFHOD 20010 CHANGH : point sur le CHC en France (2) Survie à 1 an* Traitement du CHC Malades (%) Malades (%) 70 39 40 60 60 p < 0,0001 50 30 40 20 16 11 10 8,5 17 30 24 20 8,5 10 0 Chirurgie RF THO * 481 malades ** Sorafenib 0 CEL SO** Traitement symptomatique Programme Hors programme dépistage dépistage EASL 2010 – Rosa I., Créteil, abstract 585 actualisé CHC : facteurs prédictifs de survie après chimioembolisation lipiodolée (1) • Cohorte prospective de 72 malades - CHC traités par CEL – traitement palliatif (n = 49) ; néo-adjuvant (n = 23) (avant RF/TH/résection) – CHILD A : 72 %, CHILD B : 25 % – Classification BCLC : A 25 %, B 38 %, C 33 %, D = 4 % – Nombre médian de cures : 1,7/patient • Survie médiane : 24,8 mois - Réponse tumorale : 60 % (1 à 2 cures) Facteurs pronostic en analyse multivariée Modèle Child-Pugh Réponse tumorale p RO ** 1 Pas de RO ** 4,67 0,027 AFP initiale (ng/ml) < 20 1 20 à 200 5,46 0,021 > 200 5,68 0,015 ** RO = Réponse objective Classification BCLC p 1 9,94 0,009 1 4,80 2,96 0,027 0,117 CHC : facteurs prédictifs de survie après chimioembolisation (2) Probabilité de survie en fonction de la réponse tumorale % Survie médiane Répondeurs : 34,9 mois Non répondeurs : 19,3 mois 100 80 60 p = 0,006 40 Répondeurs 20 Non répondeurs 0 10 20 30 40 Mois L’absence de réponse tumorale après 2 cures de CEL justifie un changement de stratégie thérapeutique EASL 2010 – Aziz K., Toulouse, abstract 208 actualisé Absence de différence de survie entre alcoolisation et radiofréquence pour les CHC < 3 cm • • Etude randomisée, prospective comparant alcoolisation (n = 143) et radiofréquence (RF) (n = 142) dans les CHC uniques 3 cm Child A (n = 145) ou Child B (n = 140) Objectif principal : survie à 4 ans RF Probabilité de survie à 4 ans Survie (%) 100 Alcoolisation Survie (%) 100 80 80 CHC < 3 cm 60 NS CHC < 2 cm 60 40 40 20 20 Mois NS Mois 0 0 1 5 9 13 17 21 25 29 33 37 41 45 1 5 9 13 17 21 25 29 33 37 41 45 La RF n’est pas supérieure à l’alcoolisation pour les petits CHC EASL 2010 – Giorgio A., Italie, abstract 213 actualisé 45e congrès EASL Vienne du 14 au 18 avril 2010 Michèle Pouteau (Epinay sur seine) Cirrhose, complications et autres hépatopathies Cirrhose et complications CRP : marqueur précoce d’infection bactérienne • Diagnostic précoce d’infection bactérienne chez le cirrhotique : Quels marqueurs d’infection ? • Etude prospective (n=206) • Paramètres : SIRS, CRP, leucocytes, facteur von Willebrand, cholestérol Sensibilité • Evaluation < 24 h après admission 1,0 0,8 ASC : 0,82 0,6 0,4 Courbe AUROC CRP 0,2 0 0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 Spécificité CRP* marqueur le plus utile pour détecter l’infection précoce chez le cirrhotique * cut-off : 2 mg/dl EASL 2010 – Acevedo J., Espagne, abstract 145 actualisé Cirrhose et Inhibiteurs de la pompe à protons (IPP): liaison dangereuse ? • Etude rétrospective sur 373 malades cirrhotiques, suivi > un an • Objectif: évaluer le lien entre prise IPP et survenue d’une 1ère infection -- 49 % malades avaient reçu un traitement par IPP > 6 mois – Survenue d’une infection chez 41 % des malades – 30 % prescription IPP justifiée Age (années) Diabète Score de MELD* Prise d’IPP* Infection (n = 153) Sans infection (n = 220) p 58 + 8 58 + 7 0,56 55 (36 %) 55 (25 %) 0,047 12 + 6 10 + 4 0,0001 104 (68 %) 79 (36 %) 0,0001 *Analyse multivariée Association entre prise d’IPP au long cours et survenue d’infections bactériennes : attention à la prescription EASL 2010 – Bajaj JS., Etats-Unis, abstract 148 actualisé RIFAXIMINE et Encéphalopathie Hépatique (EH) • • Essai prospectif américain, contrôlé, randomisé 229 patients cirrhotiques ayant ≥ 2 épisodes d’EH dans les 6 mois précédents mais en rémission à l’inclusion, prise de lactulose autorisée (90 %) Echelle d’évaluation de qualité de vie (CLDQ : à remplir à JO et toutes les 4 semaines) Schéma thérapeutique : RIFAXIMINE 550 mg x 2/jour vs PLACEBO pendant 6 mois Fatigue 2,5 3,2 Résultats: p = 0,0087 Placebo Global 2,9 3,7 • Tolérance comparable au placebo Rifaximine p = 0,0093 • Amélioration de la qualité de vie dans le groupe Rifaximine 0 1 2 3 4 5 6 7 Score CLDQ Amélioration significative de la qualité de vie par la prise de Rifaximine chez le patient cirrhotique ayant une EH récidivante EASL 2010 –Sanyal A. ,abstract 15 actualisé Cirrhose sévère et prévention de la thrombose porte par HBPM • Etude randomisée, contrôlée, ouverte • Cirrhose B-C sans antécédent thrombo-embolique ni CHC et VO ligaturées Enoxaparine SC 4000 UI (n = 26) vs Placebo (n = 25) pendant 1 an puis suivi 1 an Contrôle Enoxaparine* p Thrombose porte à un an fin de suivi 5 1 0 1 0,018 ns Décompensation à un an fin de suivi 13 10 3 8 < 0,001 ns * Pas d’évènements hémorragiques dans le groupe traité Bien toléré, l’enoxaparine semble prévenir efficacement la thrombose porte et la décompensation chez le malade cirrhotique Child B ou C EASL 2010 – Zecchini R., Italie, abstract 1186 actualisé Varices jonctionnelles : ligature ou colle ? • Etude randomisée, contrôlée • 2 techniques de traitement des varices jonctionnelles (GOV1) : Ligature versus injection de cyanoacrylate Ligature (n = 75) Cyanoacrylate (n = 75) p 81 % 90 % NS Nb moyen de séances 2,3 + 0,7 1,3 + 0,6 NS Récidive hémorragique 16 % 6% NS Echec thérapeutique 1,3 % 4% NS Oblitération des varices - Après 1 session - Après 2 sessions - Après 3 sessions 33 % 67 % 98,7 % 52 % 93 % - 0,03 0,01 - Hémostase initiale La ligature semble faire aussi bien que la colle EASL 2010 – El Amin H., Egypte, abstract 842 actualisé Autres hépatopathies Acide Urso-désoxycholique (AUCD) et NASH, suite … • • • Etude allemande prospective, contrôlée, randomisée Biopsie hépatique avant et à la fin du traitement (n = 139) Critère de jugement: amélioration histologique (scores de Brunt modifié et NAS) AUDC (23 à 28 mg/kg/j) vs Placebo pendant 18 mois % 20 AUDC (n = 69) Placebo (n = 68) U/l 100 p < 0,0001 15 Résultats: • Poids moyen stable • Pas de différence histologique • Diminution significative de la GGT 10 p = 0,355 50 5,8 5 0 ITT 2,9 0 Score NAS J0 M18 γ-GT Résultats discordants avec les autres études : Doses ? Critères d’efficacité ? Cela ne doit donc pas éliminer l’utilisation de l’AUDC au cours de la NASH EASL 2010 – Leuschner U., Allemagne, abstract 77 actualisé Traitement de l’hépatite alcoolique grave (HAA) par l’association N-acétyl-cystéïne et Corticoïdes • • • Etude française multicentrique, prospective, randomisée 1:1 en ouvert 174 patients ayant une HAA histologiquement prouvée et grave (Maddrey > 32) Critère principal de jugement : survie à 6 mois Schéma thérapeutique : Prednisone (40 mg/j) pendant 28 jours, seule ou en association avec NAC en IV (J1 à J5) Groupes comparables – – – – – – Age, sexe, TP Bilirubine, albumine AST, PAL Leucocytes, PNN Créatinine Child Pugh Mortalité (%) p=0,007 50% 40% 30% p=0,117 p=0,005 37% 33% 24% 27% 15% 20% C C+NAC 8% 10% 0% M1 M2 M6 Amélioration significative de la survie à deux mois de patients ayant une HAA et traités par corticoïdes + N-acétyl-cystéine EASL 2010 –Nguyen, abstract 83 actualisé Deferasirox (Exjade®) et hémochromatose génétique • But : évaluer la tolérance et l’efficacité du Deferasirox (5, 10 et 15 mg/kg/j) au cours de l’hémochromatose génétique Taux médian Tolérance de ferritine (ng/ml) • Nombreux effets secondaires (10 %) principalement dans le 1 000 869 groupe 15 mg/kg/j 800 • Effet dose dépendant 600 15 mg/kg/j 10 mg/kg/j 5 mg/kg/j 625 400 547 215 207 200 Efficacité • Intérêt de la dose de 10 mg/kg/j ? 0 BL 4 197 8 12 16 20 24 28 32 36 40 44 48 Semaines Etude initiale Extension En raison des effets secondaires et même s’il semble efficace, le deferasirox ne peut pas être recommandé au cours de l’hémochromatose génétique EASL 2010 – Phatak P, Etats-Unis, abstract 187 actualisé 45e congrès EASL Vienne du 14 au 18 avril 2010 Conclusion Bertrand Hanslik Président de la Commission Hépatologie du CREGG (Montpellier)