« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour, obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn.
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
Pape François
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
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obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
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Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
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obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
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Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
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Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
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On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
Pape François
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
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obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
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Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
Pape François
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
Pape François
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
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Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
Pape François
http://pages.videotron.com/ddm/
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
Pape François
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
Pape François
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
Pape François
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« Tout homme qui croit en lui, dit l’Évangile de ce jour,
obtiendra par lui la vie éternelle » ( Jn 3,15 ).
Par lui, car nul autre que lui ne peut la donner cette vie,
qui est gratuite.
On ne se sauve pas soi-même.
Le don de la foi nous lie au Christ Sauveur.
Dieu a envoyé son Fils dans le monde pour que lui soit annoncé le salut.
À la fin des temps, il ne condamnera personne, car son désir est que tous soient sauvés.
Ceux qui auront librement rejeté la lumière qu’est le Christ et refusé de vivre dans la vérité
réaliseront ce qu’ils ont été et ont fait.
En évoquant une tranche de l’histoire du peuple élu,
ces lignes présentent Dieu comme un être qui châtie et pardonne.
Les punitions de Dieu sont des appels à la conversion
qui dispose les cœurs à l’accueil du pardon.
(2 Ch 36,14-16.19-23)
Composé au temps de l’exil, le psaume 136
fait entendre la plainte et l’imploration des déportés
à Babylone qui ne peuvent oublier leur patrie.
« Souviens-toi, Seigneur, de ton amour et viens nous sauver ! »
Le passage de l’Évangile débute par une affirmation
forte et imagée concernant le mystère du Christ mort en croix.
« De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse
dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé. » (Jn 3,14-21)
Il faut le dire souvent, à soi, aux autres, à tous ceux et celles
qui ont vécu sur terre. Il faut le proclamer hautement :
le Dieu des chrétiens, Dieu de Jésus Christ
veut que « le monde soit sauvé » (Jn 3,17).
Le salut est donc un geste d’amour divin.
Il a son origine en Dieu qui aime au-delà de tout.
Dieu est amour.
Il ne condamne personne.
La charité de Dieu, qui rompt ce mortel enfermement sur soi-même qu’est l’indifférence,
nous est offerte par l’Église dans son enseignement et surtout dans son témoignage.
Cependant, on ne peut témoigner que de ce que l’on a éprouvé auparavant.
Le chrétien est celui qui permet à Dieu de le revêtir de sa bonté et de sa miséricorde,
de le revêtir du Christ, pour devenir comme lui, serviteur de Dieu et des hommes.
La liturgie du Jeudi Saint avec le rite du lavement des pieds nous le rappelle bien.
Pierre ne voulait pas que Jésus lui lave les pieds, mais il a ensuite compris que Jésus
ne veut pas être seulement un exemple de la manière
dont nous devons nous laver les pieds les uns les autres.
Ce service ne peut être rendu que par celui
qui s’est d’abord laissé laver les pieds par le Christ.
Celui qui « a part » avec lui (Jn 13, 8) peut ainsi servir l’homme.
Pape François
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