Transcript Questions pour préparer la révision – QCM

Quelques questions de révision
Questions pour préparer la révision - QCM (1 seule solution correcte)
1.
La formule du KR20 permet d’estimer
1
la validité d’un test par consistance interne
2
la validité d’un test par la méthode des formes parallèles
3
la fidélité d’un test par consistance interne
4
la fidélité d’un test par la méthode des formes parallèles
5
la longueur idéale d’un test
2.
On dira qu’une relation d’ordre est intransitive
1
si a>b, b>c et a>c
2
si a=p, b>0 et a+b>p
3
si a/p=b/q et qa=pb
4
si a>b, b>c et c>a
5
dans tous les cas rencontrés dans le domaine psychologique
3.
La méthode de l’erreur moyenne ou d’ajustement, en psychophysique,
1
est l’une des méthodes les plus récentes dans ce domaine
2
permet la détermination de stimulus jugés équivalents grâce à un ajustement
actif de la part du sujet
3
consiste à induire chez le sujet un ajustement de son comportement de telle
manière qu’il réduise son comportement moteur et puisse participer à des
expériences
4
n’implique pas de travail moteur de la part du sujet, ce qui la rend
particulièrement ennuyeuse aux yeux de celui-ci
5
n’implique pas de travail moteur de la part du sujet, ce qui évite tout
parasitage de la tâche d’ajustement proprement dite
4.
La validité concourante peut être estimée
1
en calculant la corrélation entre les résultats obtenus, par les mêmes sujets,
à un test nouveau et à un test plus ancien, déjà validé
2
en calculant la corrélation entre les résultats obtenus, par des sujets
différents, à un test nouveau et à un test plus ancien, déjà validé
3
à partir d’une analyse minutieuse des tâches à accomplir dans le domaine à
évaluer
4
par l’alpha de Cronbach
5
par la formule de Spearman-Brown
Les tests à référence critériée
1
constituent la forme la plus classique et la plus répandue des tests en
psychologie
2
sont surtout utilisés dans la mise en œuvre de concours d’entrée dans les
grandes écoles ou les administrations pour sélectionner les meilleurs
candidats
3
doivent nécessairement conduire à une distribution gaussienne (normale)
des résultats, puis qu’ils s’appuient sur une définition des aptitudes
naturelles
4
permettent principalement de s’assurer que chaque élève maîtrise ou non les
compétences visées par l’enseignement
5
permettent principalement de comparer les performances des élèves entre
eux, de manière à sélectionner les plus performants
5.
Exercices
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Quelques questions de révision
6.
Pour évaluer l’adéquation d’une échelle de Guttman à des données, on peut
utiliser
1
le calcul de la distance proximale de développement
2
la formule de Spearman-Brown
3
le coefficient de reproductibilité de Green
4
la corrélation entre l’âge du sujet et ses résultats indiqués sur l’échelle
5
la méthode des moindres carrés
7.
Dans les échelles de rapport,
1
il n’y a pas de zéro absolu
2
on ne peut pas calculer le coefficient de variation
3
la valeur nulle (zéro sur l’échelle) représente bien l’absence totale de la
propriété mesurée
4
les nombres ne constituent que des étiquettes. On peut ainsi affecter à
chaque sujet n’importe quel autre nombre, tiré au hasard dans un intervalle
fixé, tout en conservant les propriétés de l’échelle
5
la relation d’ordre n’est pas nécessairement vérifiée
8.
Dans le cadre de l’observation directe de comportements, il faut
1
obtenir une bonne fidélité entre codeurs
2
s’assurer que l’observateur est bien visible, de manière à augmenter la
sensibilité des sujets observés à sa présence
3
utiliser des catégories de comportements qui se recouvrent le plus possible
de façon à coder un même comportement de plusieurs manières à la fois
4
induire des effets d’attente forts chez les observateurs de manière à ce qu’ils
ne ratent aucun comportement qui validerait les hypothèses du chercheur
5
éviter le recours à plusieurs codeurs de manière à supprimer le risque
d’observer des discordances entre eux lorsqu’on calcule la concordance
inter-correcteurs
9.
Lorsque l’on détermine les seuils différentiels par la méthode des
différences juste perceptibles
1
on évite tous les biais liés aux sujets (comme, par exemple, ses attentes face
à la situation) puisque chaque stimulus est présenté de manière aléatoire
2
on ne peut éviter les effets d’anticipation ou de persévération
3
on ne peut éviter le travail moteur qui parasite l’ajustement par le sujet du
stimulus variable au stimulus étalon
4
on se réfère à la théorie classique des tests développée par Fechner
5
on obtient souvent des valeurs très élevées lorsque le stimulus étalon se situe
très largement en dessous du seuil absolu
10.
L’une des critiques les plus souvent formulées par rapport aux
échelles de Guttman est
1
qu’elles sont métriques
2
qu’elles font appel à des juges extérieurs
3
que le groupe de sujet étudiés lors de la mise au point de l’échelle ne fait pas
partie de la population étudiée lors de l’étude principale
4
que les intervalles sont fixés de manière arbitraire, sans recourt à une
métrique
5
qu’elles nécessitent un logiciel de calcul très onéreux
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Exercices
Quelques questions de révision
11.
L’édumétrie
1
s’intéresse principalement aux traits stables des sujets (personnalité,
intelligence…)
2
en tant que discipline, est soutenue par Carver, parce qu’elle s’intéresse
surtout aux tests normatifs, contrairement à la psychométrie classique
3
est une forme particulière de l’économétrie ou de la biométrie
4
s’appuie sur la théorie classique des tests et s’oppose à la mise en œuvre de
tests critériés particulièrement inutiles dans le domaine de l’étude des
apprentissages scolaires
5
à travers les résultats à des tests, s’intéresse aux variables relatives à
l’apprentissage et à l’éducation. Elle est surtout centrée sur les différences
intra-individuelles (apprentissage, développement)
12.
Parmi les critères de reconnaissance et de classification des comportements,
ceux qui reposent sur une connaissance particulière (hypothèses, théorie)
que le chercheur a du comportement sont appelés
1
critères concrets
2
critères abstraits
3
critères flous
4
critères non-identifiés
5
critères opérationnels
13.
L’expression de la température en degrés Celsius peut être considérée
comme un exemple
1
d’échelle de rapport parce qu’elle possède un zéro absolu
2
d’échelle d’intervalles parce qu’il est, par exemple, possible d’enregistrer
des températures négatives de l’ordre de –30° C en hivers dans certains
endroits du globe terrestre
3
d’échelle d'intervalles puisque l’eau gèle à zéro degré
4
d’échelle ordinale puisque la température enregistrée aujourd’hui ne permet
pas de savoir la température qu’il fera demain avec certitude, mais qu’il est
cependant possible de s’en faire une idée approximative
5
d’échelle nominale puisque c’est Celsius qui lui a donné son nom
14.
En édumétrie, on utilise principalement
1
des évaluations critériées et on s’intéresse aux traits stables des sujets
2
des évaluations normatives et on s’intéresse aux traits stables des sujets
3
des évaluations critériées et on s’intéresse aux changements qui
interviennent chez les sujets
4
des évaluations normatives et on s’intéresse aux changements qui
interviennent chez les sujets
5
des évaluations intuitives, basées sur la connaissance du fonctionnement des
écoles et des chances inégales qu’ont les élèves d’obtenir un diplôme
Exercices
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Quelques questions de révision
15.
Selon la théorie classique des tests, on conservera, pour fabriquer des
tests, les items qui
1
présentent un taux de réussite proche de 0,5 et sont fortement inter-corrélés
entre eux
2
présentent un taux de réussite inférieur à 0,25 ou supérieur à 0,75 et sont
fortement inter-corrélés entre eux
3
présentent une corrélation faible avec le critère
4
présentent une corrélation faible avec le score total au test, mais un taux
élevé de réussite
5
présentent une corrélation proche de 0,5 avec le critère et un taux de
réussite inférieur à 0,25
16.
On établit conventionnellement la valeur d’un seuil absolu
1
au niveau du stimulus qui est détecté dans 50% des cas
2
au niveau du stimulus qui est jugé distinct d’un stimulus étalon dans 50%
des cas
3
lorsque la valeur du stimulus vaut 0 sur l’échelle physique considérée
4
lorsque la valeur du stimulus vaut 50% de la valeur du stimulus étalon
5
lorsque la valeur absolue du stimulus est positive
17.
L’écart qui sépare la valeur de deux stimulus distincts discriminés dans
50% des essais et confondus dans 50% des essais correspond
1
au seuil de détection
2
au seuil différentiel
3
au seuil absolu
4
à l’erreur moyenne de mesure
5
à la fonction psychophysique
18.
Campbell définit la mesure comme
1
la mise en rapport de deux continuums, l’un physique, l’autre psychologique
2
la longueur de la dix-millionième partie de l’arc du méridien terrestre
compris entre le pôle boréal et l’équateur
3
une forme particulière de l’anthropométrie
4
l’attribution de valeurs numériques selon certaines règles à des objets ou
des événements
5
une série d’épreuves mettant en œuvre différents traits psychiques :
coordination, mémoire, volonté, compréhension, attention, aptitude à
présenter une idée, analyse, esprit d’observation, raisonnement, capacité
d’abstraction… ainsi que certaines combinaisons de ces traits
19.
Un exemple de comportement intervenant dans une classification selon les
fonctions serait
1
Le dressement chez la souris : l’animal est en station verticale, ne posant
que ses deux pattes postérieures sur le sol
2
Le comportement de soumission qui suit immédiatement le comportement
menaçant d’un individu dominant
3
Le chant du pinson en tant qu’il permet la synchronisation des partenaires
reproducteurs
4
Tout comportement observé par la méthode de centrations successives
5
Aucun comportement animal n’est classé selon la fonction de celui-ci
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Quelques questions de révision
20.
L’échantillonnage renvoie, dans la problématique de l’observation directe
des comportements, au fait que, par exemple,
1
l’observateur va s’entraîner sur un échantillon de sujets avant d’observer un
nombre beaucoup plus grand d’individus
2
tout comportement qui survient pendant la période d’observation sera relevé
3
l’observateur va représenter chaque comportement par un symbole ou un
code particulier
4
l’observateur tire au sort les comportements qu’il note ou ceux qu’il va
négliger au fur et à mesure de chaque observation
5
tous les comportements de tous les sujets ne sont pas répertoriés durant
l'observation. Certains comportements seulement, définis au préalable, sont
pris en compte pendant des périodes déterminées ou certains sujets sont
observés à tour de rôle
21.
Les méthodes basées sur la consistance interne
1
sont susceptibles d’être invalidées par l’effet de testing
2
s’intéressent à la stabilité du test dans le temps
3
utilisent deux formes parallèles d’un même test
4
prennent comme présupposé que tous les items du test ou différentes parties
du test mesurent la même chose
5
prennent comme présupposé que tous les items d’un même test sont non
corrélés entre eux
22.
La fidélité des scores différentiels
1
est plus élevée que la fidélité des scores de départ
2
est toujours supérieure à 0,5
3
sera d’autant plus basse que les scores de départ sont corrélés entre eux
4
sera d’autant plus basse que la fidélité de chacun des scores de départ est
élevée
5
n’a aucun lien avec la fidélité des scores de départ
23.
Lorsqu’on administre une épreuve limitée en temps,
1
on évalue exclusivement la puissance des sujets
2
on évalue notamment la vitesse des sujets
3
il convient de mesurer la fidélité par consistance interne
4
on peut utiliser le rpbis pour estimer le pouvoir discriminatif de chaque item
5
on préfère utiliser le KR20 pour estimer la fidélité du test que l’alpha de
Cronbach
24.
Moscovici et Durain dégagent les caractéristiques principales des
définitions proposées dans le domaine des attitudes, ils pointent notamment
1
le caractère manifeste, directement observable, de l’attitude
2
le rapport entre la conduite symbolique-verbale d’un sujet et sa conduite
réelle
3
l’absence de lien entre une attitude et la prédiction de certains
comportements
4
l’absence de cohérence entre les réponses d’un sujet à une série de
questions, ce qui permet de déduire l’existence d’une attitude
5
le fait qu’il est important que tous les sujets partagent exactement la même
attitude et qu’il est donc impossible de les distinguer de ce point de vue
Exercices
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Quelques questions de révision
25.
Cette forme de validité repose sur la comparaison des résultats obtenus à un
test nouveau à ceux obtenus à un autre test, déjà validé. De quelle forme de
validité s’agit-il ?
1
la validité prédictive
2
la validité critérielle
3
la validité de contenu
4
la validité de construct
5
la validité concourante
26.
Le modèle de Rasch est dit « modèle à un paramètre »
1
parce qu’il ne suppose que l’estimation d’un seul paramètre : la difficulté de
chaque item
2
parce qu’il ne suppose que l’estimation d’un seul paramètre : la capacité de
discrimination de chaque item
3
parce qu’il ne suppose que l’estimation d’un seul paramètre : la proportion
de réponses correctes dues au hasard
4
parce qu’il est le plus ancien des modèles de réponse à un item
5
parce qu’il peut très bien être mis au point à partir d’un seul item
27.
Les échelles de Guttman reposent sur
1
la distribution normale, autour d’une valeur estimée par l’échelle, de la
probabilité d’obtenir une réponse donnée à une question particulière
2
des probabilités de réponses positives à des items de même pouvoir
discriminatifs, mais de complexité distinctes se distribuant selon une même
fonction logistique
3
la probabilité d’obtenir une réponse d’un type particulier qui se distribue
selon une ogive dont le point d’inflexion est fonction de la question
4
l’existence, pour chaque question, d’un seuil de coupure au-delà duquel la
nature de la réponse change brusquement
5
la possibilité de ne pas répondre à toutes les questions
28.
Parmi les indices suivants, lequel n’a pas été envisagé, dans le cours, de
manière à en tirer la fidélité inter-observateurs ?
1
le coefficient de corrélation linéaire de Bravais-Pearson
2
le coefficient de corrélation de rangs de Spearman
3
l’indice de concordance
4
le coefficient Kappa
5
le test d'ajustement de Kolmogorov
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Quelques questions de révision
29.
La quelle des définitions suivantes correspond le mieux à la psychométrie
scientifique ?
1
mesure calculée à partir de données provenant d'un échantillon. Dans une
acception plus globale: ensemble de la théorie statistique qui traite des
propriété des populations dans des ensembles
2
science qui s’intéresse aux relations quantitatives entre événements
physiques et événement psychiques
3
ensemble des méthodes de mesure utilisées dans le domaine de la
psychologie
4
faculté qu’ont certaines personnes, spécialement douées, de connaître, par
le contact des objets, les circonstances principales auxquelles cet objet a été
mêlé
5
localisation des capacités affectives et intellectuelles dans des régions
déterminées du cerveau
30.
Bonnet attribue quatre grands avantages aux méthodes adaptatives en
psychophysique, laquelle des affirmations suivantes ne s’applique pas aux
méthodes adaptatives ?
1
elles ne nécessitent pas de connaître a priori le seuil du sujet ou la zone dans
laquelle il se situe
2
elles permettent une application aisée, sans aucun matériel informatique
3
elles cherchent à obtenir un maximum d’informations de la part du sujet en
un minimum d’essais
4
elles permettent une estimation de la fonction psychométrique
5
elles ne supposent pas nécessairement que le sujet reste stable tout au long
de l’expérience
Exercices
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