Innovation et drones

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Dossier
juin 2014
de Presse
Tout un monde de talents
au service
de la production et
de l’environnement
L’INNOVATION
L
es agriculteurs sont entrés depuis plusieurs années dans le cercle
vertueux d’une production agricole servie par l’innovation. Grâce à la
technologie – qui progresse chaque année – deux paramètres essentiels
sont respectés :
• une production en quantité et de qualité
• alliée à la protection de l’environnement.
En Haute-Normandie, 70 000 hectares sont déjà cultivés avec l’utilisation de
satellites et de drones.
Après Guerre, le monde agricole s’est fortement mobilisé pour nourrir les
Français, stopper les importations de produits alimentaires, assurer une forte baisse
des prix et même exporter une production de qualité. Ces objectifs atteints, les
agriculteurs ont voulu renforcer leur démarche en faveur d’un environnement dont
ils sont proches, notamment, en s’appuyant sur les nouvelles technologies. La
protection de la nature, élément vital pour eux, est une préoccupation constante
d’où cette appétence pour l’innovation. A ce titre, Cap Seine se mobilise depuis
plusieurs années pour innover et proposer des solutions concrètes à ses adhérents.
Depuis dix ans, ce sont 2 millions d’Euros qui ont été investis par la coopérative et
ses partenaires* dans la recherche et le développement.
CAP SEINE ,
tout un monde de talents
A QUOI SERT L’INNOVATION ?
Une plante comme tout organisme vivant a besoin de se nourrir. C’est, ainsi,
qu’elle puise dans le sol : azote, phosphore, calcium, magnésium… Ces éléments
une fois consommés vont, dans certaines parcelles, manquer et il conviendra de les
apporter à la terre pour permettre à la plante de continuer sa croissance. Absorbés
par celle ci, ils ne sont, par conséquent, aucunement polluants pour le sol. La plante
ne « prenant » que ce dont elle a besoin. Tout étant une question de dosage.
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Les relevés effectués par des satellites et, plus récemment, des drones permettent
d’assurer une cartographie des parcelles et donc d’apporter d’une façon précise les
éléments nutritifs. D’année en année, la précision est de plus en plus importante.
Si, hier, les relevés s’effectuaient sur des surfaces de 10 000 m², aujourd’hui les
drones cartographient à l’échelle de 500 m² et demain, à l’échelle du centimètre
carré. Il s’agit, le plus souvent, de la superposition d’une photographie classique
avec différentes gammes d’infrarouge pour détecter si la plante « a faim » ou si
elle dispose d’une quantité suffisante de nourriture. Cette approche concernant la
nutrition des plantes concerne, également, l’utilisation de produits pour prévenir,
par exemple, l’infestation de la parcelle par des mauvaises herbes ou le traitement
de certaines maladies. Dans d’autres régions, ces technologies sont, également,
utilisées pour piloter l’irrigation des parcelles afin d’apporter de l’eau là où c’est
utile. Demain, les attaques d’insectes pourront également être traitées de manière
plus ciblée.
Ces relevés permettent, ensuite, d’agir directement sur l’intervention physique
de l’agriculteur, à la fois, pour guider par GPS le tracteur – qui ainsi se pilote sans
intervention humaine – et les pulvérisateurs qui vont délivrer la bonne dose au bon
endroit. Par exemple, un apport d’azote peut aller de 0 à 25 grammes au mètre
carré selon les besoins de la plante.
D’autres démarches innovantes sont actuellement menées pour installer des
capteurs directement dans les champs. Les données, transmises en temps réel sur
le Smartphone de l’agriculteur, pourront ainsi l’alerter, par exemple, d’une invasion
d’insectes pour le guider dans les mesures à prendre. Le monde agricole est
CAP SEINE ,
tout un monde de talents
désormais entré de plain pied dans les technologies du futur.
*GRCETA de l’Evreucin, InVivo, Conseil Général de l’Eure
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Cap Seine aujourd’hui
C
réée en 2000 par fusion de la Coopérative Agricole de Haute-Normandie
(CAHN) et de l’Union des coopératives agricoles d’approvisionnement
et de stockage d’Evreux et du Neubourg (Ucasen), Cap Seine est présente
sur le territoire haut-normand depuis 90 ans.
• Avec ses 3 600 adhérents et ses 1 170 salariés, la coopérative – une des plus
importantes de France* – intervient majoritairement dans les productions végétales,
ainsi que dans les productions animales. Elle développe également plusieurs activités
de diversification, dans la distribution et les nouvelles technologies.
• Groupe solidement enraciné sur le territoire haut-normand (voir carte
des implantations en annexe) où ses activités contribuent à y maintenir des emplois
non délocalisables, Cap Seine est également résolument tournée vers les marchés
mondiaux, où elle exporte 60 % de ses collectes. Elle est par ailleurs le 1er apporteur
de volumes des silos du port de Rouen.
• Forte de ses solides fondamentaux financiers, de son faible endettement
et des bons résultats de son dernier exercice, Cap Seine développe à l’orée de 2014
de nombreux projets de développement, de diversification, d’innovation et de
CAP SEINE ,
tout un monde de talents
communication.
* 20e sur 3 000 coopératives agricoles en France (source : Coop. de France).
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DES IDÉES
de reportages
LUNOR
2e SILO
1
3
Bertreville
Luneray
CAP INVEST
2
4
Rouen
UNION NORMANDE
VEXIN
Bonsecours
5
ÉNERGIE &
PROTÉINES
COMPTOIR
DU VILLAGE
6
Claville
7
Gauville-laCampagne
9
Gisay-laCoudre
8
Le PlessisGrohan
ROBOTS
DE TRAITE
BIOCER
tout un monde de talents
CAP SEINE ,
AGRICULTURE
DE PRÉCISION
5
Gisors
DES IDÉES
de reportages
avec visites, interviews ou rencontres avec agriculteurs possibles
EN SEINE-MARITIME
1 B
ERTREVILLE : construction d’un deuxième silo
– Capacités de stockage accrues de 30 000 T – Emplois induits.
2 R
OUEN : nouveaux locaux de stockage d’engrais sur le port de Rouen
– Partenariats avec Sea Invest, DHS, In Vivo.
3 LUNERAY : fusion Cap Seine/Lunor – Acquisition de Pom’Alliance
– Diversifications dans la filière légumes.
4 B
ONSECOURS : usine de production d’aliments pour bétail
– Démarche qualité et certification – Partenariat avec Inzo°.
DANS L’EURE
5 G
ISORS : reprise d’une jardinerie sous enseigne « Comptoir du Village »
– Développement du réseau Gamm Vert – Dynamisme territorial.
6 C
LAVILLE : jeune agriculteur-entrepreneur
– Projet de production d’énergie et de protéines.
7 G
AUVILLE-LA-CAMPAGNE : agriculture de précision
– Tracteurs informatisés – Géolocalisation embarquée.
CAP SEINE ,
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8 L E-PLESSIS-GROHAN : Biocer, production végétales bio
– Partenariat récent avec Cap Seine et ses adhérents
– Débouchés en alimentation humaine, animale et magasins spécialisés.
9 G
ISAY-LA-COUDRE : investissements dans un robot de traite
– Gains de compétitivité comme de qualité de vie.
6
CAP SEINE ,
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BRIONNE
JdF
LA VIEILLE-LYRE
PETIVILLE
LILLEBONNE
tout un monde de talents
ST-SIMEON
DU BREUIL
ST OUEN
SUR AVRE
VERNEUIL
CONCHES
ELBEUF
LE HARENG
BOOS
BONSECOURS
FAUVILLE
TOSNY
St MARCEL
BREVAL
ORVILLIERS
EN VEXIN
FOURS
DANGU
ETREPAGNY
TOURNY
SAUSSAY
la Campagne
BREMULE
AMFREVILLE
les champs
BEAUMONT
ENVERMEU
MONT SAINT AIGNAN
LE-BOURG
FONTAINE
GRAND-COURONNE
LE SAUSSAY
GRUCHET
ST-OUEN
BERTREVILLE
LUNERAY
LE BUREL
THOIRY
GOUPILLIERES
EN VEXIN
MAGNY
GISORS
GENICOURT
DAVRON
MEULAN
LIERVILLE
EN VEXIN
CHAUMONT
ERAGNY SUR EPTE
FERRIERES
EN BRAY
LE BOURG
FRESNOY
EN THELLE
LITZ
SARTON
BRETONNEUX
VILLERS
MOISLAINS
Orly
Sites Pom’alliance
Bassin de production
Le Puiset
Sites Alternae
Lunor
Saipol
Prénor
BENP
Sénalia
Cap Invest
Socopa
Unités industrielles
ORLEANS
PARIS
LILLE
MARSEILLE
Mallemort
Fere Champenoise
REIMS
Ham
Usines d’aliments UNV et SAVN
Proxilabo
Siège Cap Seine
Libre service agricole
Plate-forme logistique/Transport
Station de semences Séliance
Centre de travail du grain
SITES INDUSTRIELS OU DE SERVICES
Collecte moisson
Dépôts à ouverture partielle
Dépôt à ouverture permanente
Centre administratif ou annexe
MAGASINS ET CENTRES DE COLLECTE
ARVILLIERS
LES ROYE
FRESNOY
CHAULNES
EN SANTERRE
ROSIÈRES
MARCELCAVE
CHIPILLY
CORBIE
RIBEMONT
SUR ANCRE
FOUILLOY
DAOURS
BÉHENCOURT
FIEFFES-MONTRELET
ANNEXE
C O NTAC T S PR E S S E
Thierry LEPROU — Jean-Marc DEVERRE
02 35 60 31 96 — 06 24 48 19 80
Marion DEMOUGE —
02 35 12 35 42 — 06 27 56 25 65
www.capseine.fr
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