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C’est notre planète…
• I Définition
• II Signification du développement
• III Les Quatre domaines du
développement durable
• IV le développement durable,
pourquoi?
• V Promouvoir le développement
durable à l’OCDE
• VI Le Concept du Développement
Durable
•
C’est en juin 1992, au premier « Sommet de la
terre » organisé par les Nations Unies qu’est
consacré le terme de « Développement Durable ».
•
Le développement durable est une expression
qui demeure la capacité à satisfaire nos besoins
présents sans compromettre nos générations
futures, ceci à l’échelle planétaire bien évidemment.
•
Le développement durable est aussi une
alternative inéluctable qui épuise les ressources
naturelles, creuse les écarts de richesse et ampute
l’avenir des générations actuelles et futures.
• Une politique de
développement…durable,
se doit de prendre en
considération des facteurs
(le sous-sol, le sol, la mer,
l’air sont les agents de la
vie) qui permettront à
l’homme de confirmer à
vivre sur sa terre
d’accueil.
1.
Le thème écologique : il a été
inventé en 1866 par Haekel,
biologiste Allemand. Il désigne
par ce thème « la science des
conditions existences ». La
science des conditions existences
étudie l’écologie des être
humains.
3.
L’environnement est aussi
l’ensemble des facteurs
chimiques, physiques,
biologiques et sociaux
susceptibles qui donne des effets
directs ou indirects, immédiats
ou futurs sur les êtres humains.
2.
Le thème environnement : il
s’agit d’un anglicisme signifiant
milieu. C’est le milieu dans
lequel un être vivant fonctionne.
Le milieu inclus l’air ; l’eau ; le
sol ; les ressources naturelles ; la
flore ; la faune et les êtres
humains.
4.
Le développement durable : Doit
répondre aux besoins du présent
sans compromettre la capacité
des générations futures. C’est un
mode de croissance qui garantit
le progrès économique, social et
environnemental de la société.
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•
La Terre, notre planète, va mal, et c’est de notre faute.
Les habitants des pays riches, comme la France, consomment et gaspillent énormément.
Aujourd’hui, on ne fait même plus la différence entre envie et besoin. Consommer
toujours plus, c’est piller toujours plus les ressources naturelles que la planète a mis des
millions d’années à créer (air, eau, océans, forêts, terres cultivables, biodiversité,
pétrole), et qui ne se renouvellent pas assez vite pour satisfaire la demande croissante…
Et rejeter toujours plus de pollutions et de déchets dans l’environnement, qui commence
à être saturé…
Cette situation ne peut pas durer : les catastrophes écologiques et sanitaires montrent
déjà les limites du système. Et cela ne va faire que s’aggraver : la Terre compte 6
milliards d’habitants ; en 2050, nous serons 3 milliards de plus.
Aujourd’hui, la grande majorité de l’humanité vit toujours dans la pauvreté. Des millions
de femmes, d’hommes et d’enfants n’ont ni eau potable, ni électricité, ni éducation, ni
assez à manger… Mais si tous les habitants de la terre vivaient comme nous, il faudrait
deux planètes supplémentaires pour satisfaire leurs besoins !
Or, nous n’avons pas de planète de rechange. Alors, comment améliorer les conditions de
vie de tous les citoyens du monde sans épuiser définitivement la Terre ? Comment
satisfaire les besoins des hommes d’aujourd’hui tout en léguant la Terre en bon état aux
générations qui l’habiteront après nous ?
En apprenant à économiser et à partager de manière équitable les ressources, en
utilisant les technologies qui polluent moins, qui gaspillent moins d’eau et moins d’énergie,
et surtout en changeant nos habitudes de consommation et nos comportements. C’est
cela, le développement durable. Ce n’est pas un retour en arrière, mais un progrès pour
l’humanité : celui de consommer non pas moins, mais mieux. Il est devenu urgent d’agir.
•
•
le développement durable suppose un meilleur équilibre entre les objectifs
économiques, environnementaux et sociaux, et une répartition plus équitable des
avantages tirés de la croissance entre les personnes et les pays.
Qui dit développement durable dit aussi préservation de l’environnement et des
ressources naturelles comme condition indispensable au progrès. De plus dans un
modèle durable, les décisions publiques prennent en compte l’intérêt des
générations futures. Mais que doivent faire les gouvernements pour agir sur tous
ces fronts et comment peuvent-ils mesurer les progrès accomplis ? L’OCDE
(organisation de coopération et de développement économique) a un rôle
exemplaire en faveur du développement durable compte tenu de l’influence et
de l’impact de ses pays membres sur l’économie, l’environnement et la société au
plan mondial. Par ailleurs, l’Organisation réunit toutes les compétences requises
dans les différents domaines concernés, de l’environnement à l’économie en
passant par les affaires sociales et les échanges. De fait, l’OCDE a commencé
d’intégrer la perspective de développement durable dans ses travaux dès le
lancement de cette notion par la Commission mondiale sur l’environnement et le
développement (CMED) en 1987.
La définition, la mesure et la mise en oeuvre du développement durable ne vont
toutefois pas sans difficultés. L’OCDE a mené plusieurs programmes sur le
développement durable faisant appel à des compétences pluridisciplinaires. Des
analyses de durabilité ont été incluses dans les travaux consacrés à certains
secteurs tels que l’énergie, l’agriculture et les transports.
• Le concept de développement durable s'affirme sur les trois
volets indissociables, de la performance économique, du
progrès social et de la préservation de l'environnement, avec
un engagement sur la durée et dans la démocratie
(gouvernance). Le développement durable propose un nouveau
regard et une nouvelle manière d'aborder dans leur globalité
les problèmes auxquels est confronté l'homme, c'est-à-dire
finalement un changement des relations de l'homme avec le
temps et l'espace. La réflexion du "ici et maintenant" doit
s'allier avec celle du "demain et là-bas", pour justifier nos
choix politiques et techniques.
Travail réalisé par
DUMAS Méryl
TBEPS
Session 2007-2008
Professeur chargé de ce projet : Mme ZAGO