Transcript ONG ESPOIR POUR ENFANTS 01 BP 5038 ABIDJAN 01

ONG ESPOIR POUR ENFANTS
01 BP 5038 ABIDJAN 01
TEL: (225) 23 46 41 36 - 08 914 194 - 07 071 453
FAX: (225) 23 46 43 39 [email protected]
LE PALUDISME
La Convention relative aux droits de l'enfant est le
traité relatif aux droits de l'homme le plus largement
ratifié de l'histoire. Elle énonce un large éventail de
dispositions qui englobent les droits et libertés civils, le
milieu familial, la santé de base et le bien-être,
l'éducation, les loisirs et les activités culturelles, ainsi
que des mesures spéciales de protection.
Réalisation
Coulibaly
Moussa et Mlle
Meria Aimée
1
QU’EST CE QUE LE PALUDISME ?
Le paludisme est sans doute l’une des plus
vieilles maladies de l’homme, sinon la plus
ancienne. Depuis la nuit des temps, homme et
moustique se parasitent mutuellement. Alors
que le moustique se reproduit grâce au sang
chaud de l’homme sans souffrir des parasites
qu’il prend chez ce dernier, l’homme a qui
l’anophèle femelle (moustique) réinjecte les
parasites transformés souffre et souvent meurt
de cet échange.
Selon l’UNICEF, le nombre de décès des
enfants de moins de 5 ans étaient de 128.000
et celui des moins d’un an était de 117.000. Ce
taux est d’autant inquiétant que notre
organisation ne saurait rester inactive. Nous
luttons afin de fournir les populations démunies
du matériel sanitaire d'urgence comme les
médicaments essentiels et équipements de
première nécessité, des moustiquaires
Réalisation
Coulibaly
Moussa et Mlle
Meria Aimée
2
QU’EST CE QUE LE MOUSTIQUE ?
Insecte piqueur aux formes grêles des lieux
humides, tous les moustiques font partie des
diptères nématocères, famille des culicidés.
L’anophèle a les ailes tachetées (anophèle
maculipennis) est, dans les régions tempérées, le
principal agent de transmission du paludisme, que
d’autres anophèles propagent également dans les
régions chaudes : stegomya fasciata transmet la
fièvre jaune et la dengue ; divers autres
moustiques propagent la filariose.
Les larves de ces insectes, qui se rencontrent
depuis les régions chaudes jusqu’en Laponie,
vivent d’habitude dans les eaux stagnantes.
Pour les détruire, on verse du pétrole à la surface
des mares, on couvre l’ouverture des réservoirs
de toiles métalliques ou on les obture
complètement. On supprime toute collection d’eau
même minime, capable d’héberger des larves.
Réalisation
Coulibaly
Moussa et Mlle
Meria Aimée
3
Dans les pays où les étangs subsistent, il
est bon d’acclimater des poissons du
genre Gambusia, consommateur de larves.
On se préserve des atteintes des insectes
par les moustiquaires, en utilisant et en
vaporisant certaine compositions
insecticides, ou en induisant de graisse ou
d’essences particulières les parties
découvertes de la peau.
Plus de 2 millions d'enfants meurent de
maladies qui auraient pu être prévenues
par la vaccination
Réalisation
Coulibaly
Moussa et Mlle
Meria Aimée
4
LE PALUDISME, UN DEFI A
RELEVER
Les informations que nous avons nous
montrent que ce fléau est surtout répandu
dans les pays du tiers monde et indique
combien le prix à payer par les hommes est
élevé. Une telle maladie a nécessairement
une incidence économique importante,
comme l’indique le dossier. Il est par contre
difficile d’évaluer le volume de production et
donc de revenus perdu chaque année.
Il faut noter que la lutte contre le paludisme
commence avec les conquêtes coloniales.
L’œuvre coloniale était menacée par cette
maladie qui décimait les rangs des
conquérants plus sûrement que la résistance
armée des indigènes. Pour maintenir la
présence des métropolitains et pour
favoriser l’effort de production des matières
premières par les indigènes, il fallait
absolument contenir ce fléau.
Réalisation
Coulibaly
Moussa et Mlle
Meria Aimée
5
Ce qui était vrai hier le demeure
aujourd’hui. Le développement n’est pas
possible si le paludisme continue à miner
les
paysans
qui
sont
d’une
part,
consommateurs. Le développement exige
une population saine. Les domaines social
et économique sont ainsi liés depuis
longtemps.
Le bien-être des hommes dans les zones
subtropicales du tiers monde dépend donc
de l’issue de la lutte engagée de longue
date contre cette maladie. Justement, le
dossier s’attache à montrer les difficultés de
cette lutte dans laquelle les États et la
médecine restent impuissants tant plusieurs
éléments essentiels restent incontrôlables.
Réalisation
Coulibaly
Moussa et Mlle
Meria Aimée
6
Est-ce à dire qu’il faut baisser les
bras ?
Bien sûr que non!
Le dossier et les fiches techniques nous
indiquent qu’il est possible et nécessaire
de changer de stratégie d’une part et
d’autre
part,
que
des
mesures
collectives et individuelles, à portée des
populations rurales, peuvent être prises
pour réduire considérablement, à défaut
de supprimer radicalement, les méfaits
du paludisme.
Réalisation
Coulibaly
Moussa et Mlle
Meria Aimée
7
Notre objet contre le
paludisme
-
Constituer une force de lutte contre cette
maladie
- Organiser des actions de sensibilisation,
de prévention et d’assistance par des
séances de vaccinations, de dons de
moustiquaires
imprégnées,
de
médicaments et de soins
- Aider à la formation, à l’éducation
communautaire et à l’information par la
création de centres d’animation afin
d’éradiquer le paludisme en Côte d’Ivoire
et en Afrique.
Réalisation
Coulibaly
Moussa et Mlle
Meria Aimée
8
Notre motivation
- Le paludisme est la principale cause de
mortalité chez les enfants en Afrique
subsaharienne. Selon l'UNICEF, en Côte
d'Ivoire de 1996 à 2004 seulement 34% des
enfants atteints de fièvre ont reçu des
médicaments
anti-paludiques,
14%
seulement dormaient sous moustiquaires.
Le nombre de décès des enfants chaque
année de cette maladie parasitaire
transmise par le moustique est devenue
très inquiétante.
La Convention relative aux droits de
l'enfant est le traité relatif aux droits de
l'homme le plus largement ratifié de
l'histoire. Elle énonce un large éventail de
dispositions qui englobent les droits et
libertés civils, le milieu familial, la santé de
base et le bien-être, l'éducation, les loisirs
et les activités culturelles, ainsi que des
mesures spéciales de protection.
Réalisation
Coulibaly
Moussa et Mlle
Meria Aimée
9
- La plupart des gens n'ont pas les moyens
de se payer des moustiquaires. Le
paludisme demeure donc pour nous un
grave problème. Les enfants souffrent
terriblement à cause du manque de
moustiques ». La Côte d'Ivoire a
longtemps été l’un des pays les
plus riches d'Afrique. Mais la crise socio
politique qui a divisé le pays depuis 2002
a considérablement accru la souffrance
des populations, particulièrement dans la
moitié nord du pays. La plupart des
familles n'ont pas les moyens d'acheter
une moustiquaire imprégnée au prix
d'environ 5,6418 Euros (3.500 FCFA).
La plupart des gens n'ont pas les moyens de
se
payer
des
moustiquaires.
Le
paludisme demeure donc pour nous un
grave problème. Les enfants souffrent
terriblement à cause du manque de
moustiquaires ».
Réalisation
Coulibaly
Moussa et Mlle
Meria Aimée
10
-
L’ ONG ESPOIR POUR ENFANTS A
PREPARE U PROJET DE DISTRIBUTION
DE
MOUSTIQUAIRES
IMPREGNEES
DANS LE NORD DE LA COTE D’IVOIRE
LE COUT TOTAL DE
L’INVESTISSEMENT EST DE
-19.185.000 FCFA soit 29290,07 Euros
AVANT TOUT PARTENARIAT NOUS
DEMANDONS UNE VISITE DE TRAVAIL
DE DELEGUES POUR INSPECTION AFIN
DE S’ASSURER DE L’AUTHENTICITE
DU PROJET
Réalisation
Coulibaly
Moussa et Mlle
Meria Aimée
11