la G a la xie M o rin Claude Morin Né en Lorraine en 1946. Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg et.
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
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« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
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Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
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Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
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Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
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« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
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Où tous les êtres sont pareils
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Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
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Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
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Nous inventons le temps
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Écoute-moi
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On nous croit immobiles
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Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
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York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
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Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
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Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
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Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
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Aux limites de nos forces
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Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
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Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
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Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
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E t rit sur la pointe des pieds
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Plume d’eau claire pluie fragile
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De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
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Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
Slide 9
la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
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De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
Slide 17
la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
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« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
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Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
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De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
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York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
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« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
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Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
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Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
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Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
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Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
Slide 24
la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
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« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
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Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
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Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
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Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
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Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
Slide 2
la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
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York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
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Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
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http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
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Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
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Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
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Dans des miroirs câlins
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Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
Slide 9
la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
Slide 16
la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
Slide 17
la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
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http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
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De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
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Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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la G a la xie M o rin
Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
Qui ne reflète pas mon apparence
Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
Des femmes
De tendresse d’audace et de mille caprices. .
Dans des miroirs câlins
Où leur voix le matin se déchire comme un linge
Aux limites de nos forces
Tu revêts une armure plus dangereuse qu’une arme
Viens boire un baiser par ici
Cède au feu qui te désespère
Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
Ont été empruntées à un site absolument
magnifique
http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
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« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!
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Claude Morin
Né en Lorraine en 1946.
Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg
et Beaux-Arts de Lausanne. Médaille d'Or de la Ville de New
York.
Réalise sa première sculpture pour le président Georges
Pompidou. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses
collections privées en France et à l'Étranger.
"Il y a du Faust chez cet homme qui, par un art maîtrisé à la perfection, en appelle
à l'éternelle fraîcheur du sentiment".
Alain COUDERT
A la suite des images la masse de la lumière roule
vers d’autres rêves
Des angles doux comme des ailes
Une femme chaque nuit
Voyage en grand secret
Les fruits du jour couvés par la terre
Une femme une seule ne dort pas
Les fenêtres sont couchées
Villages de la lassitude
Où les filles ont les bras nus
Comme des jets d’eau
La jeunesse grandit en elles
E t rit sur la pointe des pieds
Je t’appellerai Visuelle
Et multiplierai ton image
Plume d’eau claire pluie fragile
Fraîcheur volée de caresses
Amour qui voile ce que j’aime.
Fantôme de ta nudité
Fantôme enfant de ta simplicité
Dompteur puéril sommeil charnel
De libertés imaginaires
Villages de la lassitude
Où tous les êtres sont pareils
Un champ de reflets joint les larmes
Ferme les yeux
Tout est comblé.
Olivia Morin ,
fille de Claude MORIN peintre-sculpteur, elle est née à Phalsbourg
en Lorraine le 2 septembre 1970.
Cours de sculpture à l'Atelier Nicolas Poussin à Paris. Premières
oeuvres (sculptures - sanguines) exposées à Artexpo New York en
mars 2001.
Le corps et les honneurs profanes
Incroyable conspiration
Des découvertes et des surprises
La solitude est fraîche à ta gorge immobile
Que risques- tu, l’amour fait rire la douleur
Dans les tourments infirmes dans les rides des rires
Je ne cherche plus mon semblable
Tous les refus du monde ont dit leur dernier mot
Je suis seule je suis seule toute seule
Je n’ai jamais changé.
Une fenêtre enflammée
Où la foudre montre ses seins
Qui gardera toujours et son regard et son sourire.
Dans l’étendue de tes yeux
Une dernière caresse
Destinée à nous séparer
Nous passons notre vie
A renverser les heures
Nous inventons le temps
Je t’aime et je dors avec toi
Écoute-moi
Pas un geste apparent
On nous croit immobiles
Tant nous sommes secrètes
Géraldine Morin
Née le 10 février 1976 en Lorraine.
Arts Plastiques à Strasbourg et académie Charpentier à Paris.
Sculptures en plâtre et plus récemment en bronze. Nombreuses
expositions Belgique (Linéart), Barcelone (Euroart), Miami et New
York (Artexpo), Saint-Tropez....
Témoignage éclatant de jeunesse, à la fois sculpture et peinture, ces
bustes sont un joli pied de nez à la grisaille quotidienne.
Thierry Sznytka
Je suis livrée à la réalité d’un miroir
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Entre deux miroirs
La nuit tes yeux se perdent
Pour joindre l’éveil au désir
Avec tous leurs défauts
Tous leurs mérites
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Tu n’es pas de celles
Dont on invente les désirs.
Les sculptures et reproductions
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http://www.artactif.com/francais/expoa.htm
Textes réalisés avec des extraits de poèmes de Paul Eluard
Tirées de
« La vie immédiate »
« La Rose publique »
« Les yeux fertiles »
Remerciements à Ana d’avoir patienté tout le temps qu’il m’a
fallu pour faire ce diapo!