Le développement photographique en chambre noire. Problématique : comment passe-t-on de la pellicule à l’image sur papier? Soulivong Léa et Puret Juliette.

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Transcript Le développement photographique en chambre noire. Problématique : comment passe-t-on de la pellicule à l’image sur papier? Soulivong Léa et Puret Juliette.

Le développement
photographique en
chambre noire.
Problématique : comment passe-t-on
de la pellicule à l’image sur papier?
Soulivong Léa et Puret Juliette
Le
développement en
chambre noire.
LE NEGATIF.
La structure d'un négatif noir et blanc.
1. Couche de
protection
2. Cristaux d'argent
3. Gélatine
4. Adhésif
5. Matière plastique
transparente
6. Adhésif + couche
anti-halo
Le fonctionnement du négatif noir et blanc.



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Il noircit en fonction de l’intensité lumineuse.
Les sels d’argent.
Sensibilité des sels d’argent et temps d’exposition.
Noirs à la lumière et argentés à l’obscurité.
IMAGE LATENTE.
Expérience de blanchiment.

Étape 1:
Léger noircissement pour les tubes 2 et 3.

Étape 2 :
tube 2 : noircissement accentué.
tube 3 : noircissement très important.

Étape 3 :
tube 2 : plus d’assombrissement, la réaction est comme stoppée.
tube 3 : plus d’assombrissement, la réaction est comme stoppée.

Étape 4 :
tube 2 : décoloration de la solution.
tube 3 : il ne se passe plus rien.

Étape 5 :
tube 2 :la solution prend la couleur de l'ion
et un précipité apparaît, de la couleur de l'ion utilisé (Cu 2+)
tube 3 : il ne se passe plus rien.

Résultat final et interprétation :
Tubes 1 et 4 :
Il ne s'est rien passé dans ces tubes, car l'argent n'a pas réagi à la lumière, et tout le chlorure s'est
dissous dans le fixateur.
Cas du tube 2:
Ce tube peut aussi bien être assimilé à un négatif qu'à une photo, car ils ont tous deux les
mêmes réactions avec la lumière, le révélateur et le fixateur. Mais ce tube représenterait
plutôt un papier photo, car le négatif ne peut être aussi facilement recolorer qu'une photo
juste avec un bain de blanchiment.
Cas du tube 3:
Le tube 3 peut être assimilé à un négatif photo, car il réagit à l'identique. Il réagit à la lumière,
mais le révélateur accentue cette réaction, tandis que le fixateur l'arrête. De même, il contient en
plus de la gélatine ( par rapport au tube 2) et par conséquent noirci plus que celui-ci.
LA CHAMBRE NOIRE.
DE LA PELLICULE AU
NEGATIF.

Le développement du négatif.
Ouverture de
la pellicule.
Préparation du
négatif
Les différents bains

D’un point de vue chimique.
- Formation de l’image latente : la lumière
parvient sur la pellicule, Br - + hn
Br° + e- Formation du dibrome, 2Br°
Br2
- réduction photochimique, Ag++e- = Ag
Équation bilan de l’oxydo-réduction :
2Br- + 2Ag+
2Ag + Br2

révélation et agrandissements.

Fixateur.
la réaction qui se produit est une complexation
de l’ion argent I :
Ag+ + S2O32Ag (S2O3)Ag (S2O3)- + S2O32Ag (S2O3)23Ag (S2O3)23- + S2O32Ag (S2O3)35-
DU NEGATIF A LA PHOTO,
LE TIRAGE SUR PAPIER.


L’agrandisseur
Définition : - son rôle
- les deux types d’agrandisseur :
l’agrandisseur à condensateur et l’agrandisseur à
lumière diffuse.

Schéma.

La mise au point :
La mise au point est bonne, c’est à dire l’image
est nette, lorsque l’on aperçoit le grain du papier
avec le scoponet, ou dispositif de mise au point.
Il suffit ensuite de déterminer le bon temps de
pose, ceci se faisant souvent à l’instinct,
nécessitant alors une certaine habitude.

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


Le traitement du papier, chimie du
développement.
Le révélateur ( 1 à 2 minutes).
Apparition de l’image latente ( Br Br+ + e-)
Formation du dibrome (2Br Br2)
Réduction photochimique (Ag+ + e- Ag)
Le bain d’arrêt (30 secondes).
Le fixateur : complexation de l’ion d’argent I
(4 à 5 minutes)
Le rinçage : 2 fonctions (2 minutes).
+ *
FIN *
+