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No vel es
de l’
Bulletin de l’Union Locale CGT de Besançon - n° 1 janvier 2015
Les « Nouvelles de l’UL de Besac »,
notre bulletin, est sorti des bacs. Il sera
le premier lien direct avec tous les
adhérents CGT du bassin d’emploi de
Besançon, structurés ou isolés. Il est
aussi le lien pour communiquer l’activité de notre UL et
des luttes qu’on y mène. Il sera trimestriel. Tu peux
participer à sa rédaction en envoyant un petit mail nous
relatant ce qui se passe dans ton entreprise. La situation
générale se déroule dans un contexte très particulier
puisque en effet, nous sommes engagés dans une lutte de
longue durée. C’est une notion qu’il nous faut intégrer à un
moment où le gouvernement marque son mépris envers les
salariés du privé comme du public.
Cette situation s’est construite sur le mécontentement
général de tous les salariés, les privés d’emploi, les
retraités, les étudiants, les usagers des services publics, les
assurés sociaux, par toutes les régressions portées aux
femmes, par l’oubli des travailleurs handicapés ou des
travailleurs sans papiers de ce pays. Il serait illusoire de
penser que tout peut se régler dans les urnes, alors que
seul les luttes collectives apporteront des avancées dignes
pour tous.
Nous sommes agressés chaque jour dans notre quotidien,
par les effets d’annonce de tous les reculs sociaux que veut
nous imposer un patronat et un gouvernement
complètement décomplexés. Chaque mois, des milliers de
salariés perdent leurs emplois. Des millions de personnes
ne pourront chauffer leurs habitats, se nourrir, se loger…
La Cgt a en ça le devoir de faire évoluer la société, donner
d’autres perspectives, mais la Cgt c’est nous, elle est le
reflet de ce que nous sommes en capacité de donner.
Depuis notre congrès nous sommes allés au-devant des
salariés.
Nous avons distribué des tracts et pris contact avec les
salariés des papeteries de Novillars, nous sommes
intervenus dans l’entreprise de Plast Moulding en diffusant
Edito
Nettoyage
des tracts et en nous portant partie civile à un procès
(gagné) pour travail dissimulé, tout en créant une nouvelle
base CGT. Nous avons également créé une nouvelle base à
Jardimat où nous avons un élu aujourd’hui. Ces deux
entreprises font partie de la plasturgie et comptent huit
nouveaux syndiqués. Nous nous sommes déployés dans la
zone de Parkéon et devant les restos interentreprises. Nous
nous sommes aussi impliqués dans la campagne des
élections de la fonction publique.
La misère et le désespoir favorisent la haine portée par le
Front National, une homophobie et un racisme orchestrés
et appuyés par certains partis politiques complètement
décomplexés.
Tout cela jouant sur les différences entre individus, parce
que l’on serait homo, grand, petit, noir, bronzé, privé
d’emploi, syndicaliste… on serait un parasite pour ce pays,
alors que nous sommes par nos différences la richesse de
celui-ci. Pour autant nous sommes tous le plus grand, le
plus gros, le plus foncé… de quelqu’un d’autre. A la CGT
les femmes et les hommes qui la composent ne prétendent
pas détenir la vérité, mais à la CGT nous sommes attachés
à nos valeurs de fraternité, égalité et solidarité entre
toutes et tous.
Le FN est un parti xénophobe, hostile au syndicalisme
démocratique, qui cherche à diviser les salariés et donc
leur capacité à faire aboutir leurs revendications. Il prône
des mesures régressives en matière de retraite, de droit
des femmes, de protection sociale.
Nous n’avons pas à rougir de ce que nous sommes et de ce
que nous représentons.
Soyons fiers d’être à la CGT.
Soyons fiers des valeurs humanistes que porte et défend la
CGT,luttant contre le racisme, l’homophobie, le sexisme,
la précarité, le chômage, la facilité, le renoncement.
Soyons fiers de porter ce joli nom de camarade.
José
Première victoire face à la répression antisyndicale
Depuis le mois de janvier 2014, les
salariés de Cristal Evénement ont
élu A.G comme délégué du
personnel. Très rapidement, il est
intervenu pour défendre les droits
des salariés, comme sur la
question de la sécurité des
chantiers ou du paiement des
heures supplémentaires.
Cela n’a pas été du goût de la
Direction qui s’est acharnée sur
lui. Des salariés avaient même été
menacés de licenciement s’ils
parlaient de leurs conditions de
travail aux délégués.
Le 6 octobre 2014, la Direction a
lancé une procédure de
licenciement à l’encontre d’A.G.
Salarié protégé comme Délégué
du Personnel, la Direction a été
obligée
de
demander
l’autorisation de l’inspection du
travail pour licencier A.G.
Le 31 octobre, l’Inspection du
Travail a rendu sa décision :
« La demande d’autorisation de
l i c e n c i e m e n t
d e
Monsieur A.G. est refusée ! »
Non seulement l’inspection du
travail juge qu’aucun des motifs
avancés par la direction n’est
valable mais elle met en avant
que cette volonté de licencier
A.G. est liée à son mandat de
Délégué du Personnel !
Cette victoire n’est pas seulement
une victoire individuelle, c’est
une victoire aussi pour tous ceux
et toutes celles qui ont apporté
leur soutien à A.G. Plus largement
c’est une victoire pour tous les
salariés de Cristal Evénement :
cela montre que la direction n’est
pas toute puissante et que les
salariés ont des droits et qu’ils
peuvent les faire respecter !
Tract de l’UL CGT distribué à
Cristal Evénement
Sans-papiers
Elle vit ici, elle bosse ici, elle restera ici !
1er juillet 2014, vers 7 heures du
matin, une ouvrière sans-papier a
été interpellée à son domicile à
Besançon et transférée dans les
locaux de la Police des Airs et des
Frontières à Pontarlier. Cette
ouvrière travaille depuis des
années tous les jours dans une
usine de la ville.
Interpellée au petit matin, après
une nuit de travail à l’usine, elle
devait être transférée dès midi
vers Lyon puis être expulsée en
début d’après-midi.
L’Union Locale CGT de Besançon a
immédiatement envoyé un fax à la
préfecture du Doubs pour
demander l’annulation de cette
procédure
d’expulsion.
L’information a été diffusée si
bien que d’autres structures
syndicales, comme la CGT Darty
Poste
Grand Est, SUD PTT du Doubs,
l’UL CGT de Saint-Ouen, etc.,
ont aussi rapidement interpellé
par fax et par mail la Préfecture
du Doubs. Alertée, Barbara
Romagnan, députée de
Besançon-Ouest, a téléphoné au
préfet dans la matinée.
Un peu après 12 heures, un mail
du Préfet du Doubs indiquait que
« compte tenu des circonstances
particulières et dans un souci
humanitaire », il a donné « des
instructions afin de mettre fin à
l’opération d’éloignement ».
L’ouvrière interpellée le matin
était libérée et pouvait regagner
son domicile avec son
compagnon. C’était grand
soulagement pour cette ouvrière
bisontine, ses proches, ses
collègues et ses amis.
la travailleuse a déposé un dossier
en vue de sa régularisation. Et fin
septembre cette ouvrière a été
régularisée. C’est une victoire de
la mobilisation et de la solidarité,
une preuve s’il en fallait une que
les seuls combats perdus d’avance
sont ceux que l’on ne mène pas.
Depuis, avec le soutien de l’UL,
Pascal
300 emplois menacés à la P.i.c de Besançon
La PIC ( Plateforme Industrielle du
Courrier de La Poste) de Besançon
-ex centre de tri postal - pourrait
bi en f ermer pur ement et
simplement dans quelques mois !
La PIC traite le courrier entrant et
sortant des 4 départements de
Franche Comté, ainsi que le
courrier déposé en Franche Comté
à destination de la France et de
l’étranger.
Une récente annonce sur les ondes
locales fait état de sa fermeture
pour septembre 2015 !
Interpellée par la CGT, la
Direction régionale de La Poste
« ne confirme ni n’infirme les
propos tenus »
Dans le même temps, fin 2013,
départ du trafic de Montbéliard –
Belfort-Audincourt sur Strasbourg,
puis annonce par la direction du
départ pour Dijon de tout le trafic
du Jura mi-février …
Autant d’éléments qui confirment
nos craintes de fermeture dans un
avenir très proche !
NOUS NE DEVONS PAS LAISSER
FAIRE !!!
La CGT ALERTE LES USAGERS DE
LA POSTE SUR LE GACHIS
QU’ENTRAINERAIT LA FERMETURE
DE LA PIC :
-Gâchis en matière d’emplois :
plus de 300 emplois menacés à
Besançon
-Gâchis
en
terme
d’aménagement du territoire
-Gachis en terme de politique
environnementale : la fermeture
de la PIC de Besançon va
entrainer des centaines de
camions supplémentaires sur les
routes pour acheminer le
courrier !
Ainsi, une lettre postée à
Besançon pour Ornans ou
Pontarlier partirait par camion,
sur Dijon, voire Lyon, pour être
traitée et réacheminée ensuite,
toujours par camion, sur les sites
concernés …
Gâchis en terme de qualité du
service public postal : la Poste,
en concentrant les lieux de
traitement du courrier sur de
grandes
plateformes
multirégionales ferme des
centres de proximité et
augmente ai nsi le délai
d’acheminement et distribution
du courrier !
Avec cette concentration du
traitement du courrier, La Poste
n’est plus en capacité de
garantir un acheminement du
courrier le lendemain (J+1),
comme c’est le cas pour la lettre
prioritaire, d’où la création de la
lettre verte, dite écologique,
acheminée, elle, en 2 jours !
( J+2)
Précisons que si la lettre verte
ne prend plus l’avion, elle est
acheminée …par camion !... avec
ce que cela signifie en terme de
po llutio n, dég ra datio n des
infrastructures routières …
Précisons aussi que tous les
paquets de Franche Comté ne sont
déjà plus traités à Besançon
….mais à Bar Le DUC, avec
acheminement par camion…
La CGT a alerté les élus politiques
dès le mois de décembre et
appelé à la mobilisation les
personnels.
La fermeture de la PIC Besançon
n’est pas inéluctable !
ENSEMBLE, POSTIERS, USAGERS,
NOUS POUVONS IMPOSER
D’AUTRES CHOIX !
FAPT-CGT Besançon
Transport
Grève des
bus à Besançon
Grève du 20 au 28 septembre 2014
Motifs : temps de trajets trop courts
La CGT a obtenu que le CHSCT et la
direction descendent sur le terrain
pour constater à quel point, la
situation s’est dégradée.
Ce qui a eu des effets positifs pour les
salariés : prochainement injection de
bus supplémentaires, réglages de
certains feux rouges etc….
Didier
Cheminots
Retour sur la grève de juin 2014
d’égalité d’accès au mode
ferroviaire au plus près des lieux
de vie, d’aménagement du
territoire pour permettre un
maillage territorial qui favorise
la réponse aux besoins de
transport des usagers et des
chargeurs en ce qui concerne les
marchandises, le tout en prenant
en
compte
les
questions
environnementales.
Les cheminots CGT de Besançon se
sont largement mobilisés et ont
pris leur place dans le mouvement
de grève reconductible de juin
afin de proposer une autre
réforme du ferroviaire répondant
aux
besoins
de
la
nation
concernant les enjeux de sécurité
et de qualité de service dus à la
population.
Pour la CGT, la SNCF appartient à
la Nation. En cela, l’État doit
jouer un rôle central en termes
Chimie
C'est pour cela que dès le
premier
jour, les
grévistes
étaient nombreux à l'AG (plus de
90) avec de nombreux jeunes qui
vivaient
leur
premier
mouvement reconductible et qui
voulaient se défendre contre
cette attaque sans précédent du
gouvernement. À cette fin nous
avons organisé de nombreuses
initiatives
(rassemblement
devant le siège du PS à
Besançon,
débat
avec
les
usagers, interpellation du Maire
de Besançon ainsi que des
Solvay : en lutte contre la vente du site
Mardi 9 décembre, les travailleurs
du site de Solvay Besançon (exRhodia) étaient en grève. Cela fait
depuis le 1er décembre 2014 que les
salariés de Solvay Besançon
débrayent deux heures tous les
jours, avec à chaque fois près de
100% de grévistes. Les travailleurs
s’opposent à la vente du site. Pour
les salariés, cette vente, entrant
dans le cadre des dispositions de
l’ANI de janvier 2013 (loi dite de
« sécurisation de l’emploi »)
signifierait perdre dans 15 mois tous
leurs acquis obtenus par la
convention collective chimie et les
accords d’entreprise. En plus, les
salariés perdraient leurs délégués du
personnel et droits syndicaux d’ici
trois ans et demi.
Le 9 décembre, les éventuels
acheteurs se sont déplacés sur
Besançon pour présenter leur projet
dont les travailleurs ne veulent pas.
Le site était totalement en grève ce
mardi, et des délégations CGT
d’autres sites de Solvay et de la
Rhodia sont venus de plusieurs
départements (Haut-Rhin, Rhône,
Jura, Drôme, Gard…) soutenir les
camarades de Besançon. Aussi, nous
nous sommes retrouvés à une
cinquantaine devant le siège de
Solvay Besançon.
Avant la réunion de présentation
par la RRH et les éventuels
acheteurs, nous avons demandé de
lire une déclaration. D’abord
refusé par la direction, la RRH a
fini par accepter uniquement deux
camarades pour la lire… mais la
porte étant ouverte, c’est tous
ensemble que nous sommes
montés, et la déclaration a été lue
sous les applaudissements.
Ensuite, aucun salarié n’est resté
pour entendre le discours des
éventuels acheteurs.
députés EELV et PS du Doubs...).
Il est d’ailleurs intéressant de voir
que ces derniers ont votés pour la
réforme
ferroviaire,
malgré
l'ensemble des éléments que nous
leur avons apportés concernant les
conséquences qu'aurait la réforme
ferroviaire du gouvernement en
terme de fermetures de gares ou
de lignes, de hausse des tarifs,
d'absence de contrôleurs à bord
des
trains,
de
camions
supplémentaires sur les routes...
Nous en voyons déjà les effets
avec la fermeture commerciale en
juillet des gares de Champagnole
et Poligny, des ouvertures de
guichets dans les gares en dehors
des plages horaires permettant
aux usagers de s'y rendre, des
trains sans contrôleur comme sur
la ligne reliant la gare de
Besançon Viotte à la Gare TGV...
Cela démontre toute la pertinence
et la justesse de l'action menée
par les cheminots grévistes.
Michaël
Nous sommes ensuite restés un
moment devant le siège pour un
apéro et un casse-croûte, contents
d’avoir pu montrer à la direction de
Solvay, que si elle s’attaque à un
seul site, les travailleurs des autres
sites sont présents.
A Solvay Besançon, la lutte
continue. Les travailleurs
continuent à débrayer deux heures
par jour jusqu’au Comité Central
d’Entreprise du 18 décembre et
décideront alors des suites à donner
selon les réponses de la direction.
Pascal et Gaëtano
Commerce
Non au travail le dimanche !
Le gouvernement s’apprête à
légiférer sur les ouvertures des
commerces le dimanche, sans réel
débat démocratique et sans une
véritable concertation sur un sujet
qui touche l'ensemble de la
société.
Pourtant, 94% des français ne sont
pas favorables à travailler le
dimanche.
Dans le commerce, c'est parce que
les salaires sont trop faibles et
« qu'il faut boucler les fins de
mois » que les salariés sont
contraints. Ce n'est jamais avec
plaisir que l'on quitte sa famille,
un jour de repos, pour aller
travailler.
Le patronat, en particulier de la
Grande Distribution argumente :
- que travailler le dimanche
créerait de l'emploi : c'est faux
Le danger c'est la généralisation
de la précarité qui se fait au
détriment de l'emploi stable. La
grande distribution alimentaire a
détruit 25 000 emplois en deux
ans ;
- que
cela
relancerait
l'économie, c'est faux ! En
période d'austérité le pouvoir
d'achat n'est pas extensible. C'est
par l'augmentation des salaires et
du pouvoir d'achat, c'est par la
création d'emploi que la relance
économique s’obtiendra ;
- que les salariés seront
volontaires, c'est faux !
L’objectif du patronat et du
gouvernement est d'imposer
demain à tous les salariés de
travailler à des horaires et jours
imposés. Ce ne sont pas
seulement les commerces qui
sont visés, ce sont les salariés
dans leur ensemble.
La CGT revendique un autre
choix de société recherchant
en priorité le bien vivre et bien
travailler ensemble
- La CGT ne se résoudra pas à
voir les commerces de grande
distribution ouverts 7 jours sur
7, 24 heures sur 24 avec des
salariés contraints pour le seul
bénéfice des actionnaires. Pas
plus qu'elle ne se résout à voir la
consommation érigée au rang de
loisir !
- Le travail du dimanche doit
rester exceptionnel et limité aux
secteurs répondant à une réelle
nécessité.
- Le dimanche doit être un jour
de repos commun à la majorité
des salariés.
Ce n'est pas le soi-disant « coût
du travail » dont on nous rebat
les oreilles à longueur de médias
qui pose problème à notre
éco nomi e : le v érita ble
problème aujourd'hui c'est le
coût du capital pour satisfaire
l'appétit sans fin des
actionnaires.
Sylvie
L’UL CGT à la ZAC de
Châteaufarine
Suite
à
l’annonce
du
Gouvernement, s’appuyant sur le
rapport Bailly, d’élargir le nombre
d’ouvertures dominicales dans les
commerces à 12, l’Union Locale
de Besançon en lien avec le
syndicat du commerce CGT du
Géant Casino a tenu un stand le
samedi 13 septembre 2014 sur la
ZAC de Chateaufarine, afin de
sensibiliser la population et les
salariés.
Des tracts ont été distribués, que
ce soit à la clientèle ou aux
salariés des commerces.
400 signatures ont également été
recueillies afin de s’opposer aux
ouvertures du dimanche ou jours
fériés. Une conférence de presse
a également été tenue.
Fort de cette réussite, l’Union
Locale CGT de Besançon
programme déjà une nouvelle
initi ati v e s ur la Z AC de
Chateaufarine.
L’Union Locale CGT de Besançon
compte sur l’implication de tous
les militant (e)s pour faire de
cette nouvelle action un temps
fort de mobilisation
Sylvie
Agenda :
- Jeudi 16 décembre 2014 :
Journée d’action des salariés du
commerce
contre
la
généralisation du travail de nuit
et de dimanche.
- Samedi 20 décembre 2014 :
Arbre de Noël pour les enfants de
la CGT et du Secours Populaire à
l’UL de Besançon à 14 h.
- Mardi 13 janvier 2015 :
Assemblée générale de l’Union
Locale CGT Besançon à 8 h 45
(dans les locaux de l’UL).
Nous contacter :
Union Locale CGT
4 B rue Léonard de Vinci
25000 Besançon
Tél : 03 81 81 34 67
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