Association Florence - Aline Blanche Studio

Download Report

Transcript Association Florence - Aline Blanche Studio

/ invitation
Aline Blanche
Quentin Bertoux
Victoire Cathalan
Julien Cresp
Roseline Delacour
Remi Delaplace
Anouk Grinberg
Eun Jung Lee
Ségolène Perrot
Nicolas Perrot
L’ Association Florence
serait honorée de votre présence
aux vernissages de l’exposition
jeudi 20 novembre 2014
L’ Association Florence,
a été créée, il y a plus de 25 ans
en hommage à Florence Clergeau-Rouxel,
artiste et mécène disparue.
Elle offre chaque année
à une dizaine d’artistes l’occasion d’exposer
leurs créations à l’Espace Commines à Paris.
www.associationflorence.com
de 18h à 22h
et samedi
22 novembre 2014
de 15h à 22h
Espace Commines
17, rue Commines 75003 Paris
Métro : Filles du Calvaire
Vélib’ : place Pasdeloup • 4, rue des Filles du Calvaire
Exposition ouverte tous les jours
du 20 novembre au 23 novembre 2014
de 11h30 à 19h
a
« Traversée 2 » • 2004 • 114 x 162 cm • Huile sur toile
« D’après-moi, le déluge. Les branches » • 2013 • 55 x 70 cm
Quentin Bertoux
« Rome » • 5 10 2013 16 :41 • 120 x 90 cm
Photo numérique • Ed. 5 (+ 1 EA)
+33 (0)6 08 75 02 43
[email protected]
www.quentin-bertoux.com
« Chambre avec vue » • 2011 • 80 x 120 cm • photographie
Impression FineArt contre-collée sur Dibond
Victoire Cathalan
[email protected]
www.victoirecathalan.com
Aline Blanche
+33 (0)6 15 45 53 77
[email protected]
[email protected]
A ciel ouvert : « En quoi ce thème fait-il écho à l’une des voies
que j’explore actuellement ?
En marchant au hasard des villes, l’appareil photo est un carnet
de voyage. J’y confie toutes sortes d’images glanées sur un mode
spontané, comme on griffonne quelques notes dans l’urgence de
l’instant. En relisant ces notes, j’y vois combien la composition
des images, les découpes, les couleurs,… sont pour moi une autre
approche de la peinture. Et le ciel dans tout ça ? Omniprésent, il
occupe parfois les trois-quarts d’un cliché… Le ciel y est partie prenante d’un moment particulièrement dense, en résonance, en correspondance fugace avec mille autres détails, objet impérieux d’un
arrêt sur image. »
Traduire, transcrire, ouvrir un passage… L’expression d’Aline
Blanche est polymorphe (peinture, photo, collage ou encore dessin
à l’instar de ces carnets sur lesquels elle enregistre, tel un sismographe, le mouvement du vent dans les arbres, celui de la mer ou
des nuages). Partir, voyager,… Repartir. Danser tel le funambule de
Jean Genet : « Ton fil de fer charge le de la plus belle expression non
de toi mais de lui ».
La « nature morte », en photographie, s’est bien souvent
contentée de suivre la voie du genre tel qu’il a été forgé au fil
des siècles par la tradition picturale. Et ce genre, qui représente
une part importante de la production photographique professionnelle, s’est révélé finalement peu créatif si l’on le rapporte
au volume d’images en circulation. Dans ce panorama peu exaltant, les propositions de Quentin Bertoux, par ailleurs grand
amateur de danse et subtilement créatif dans tous les domaines
qu’il aborde avec modestie, font figure d’exception. Tout d’abord
parce qu’il est, finalement, difficile de les considérer comme des
natures « mortes » tant elles prennent un malin plaisir à bouger, faire virevolter les objets, s’entrechoquer les idées dans une
joyeuse agitation qui se révèle un jeu fort sérieux.
Ne pas illustrer mais visualiser et évoquer un concept abstrait est un joli défi pour la photographie. Un défi difficile à assumer tant la nature de la relation de la photographie au réel est
pesante, lourde, dépendante. Il faut déployer des trésors d’inventivité et une rare maîtrise de la lumière pour faire exister ces
petits rébus, qui sont aussi de petits contes, parfois surréalistes,
bien souvent drôles, qui vont nous amener à penser une autre
organisation des choses. Faire léviter les objets, ignorer l’attraction terrestre, se jouer des conventions, détourner la fonction
des éléments du quotidien sont des principes que Quentin Bertoux met en œuvre en permanence. Avec un plaisir évident, qui
n’a d’égal que le nôtre.
Christian Caujolle
Victoire Cathalan développe au travers de
l’univers végétal une expression à la frontière
entre la photo et la peinture, entre le réalisme
et l’abstraction. Dessin et peinture s’y retrouvent
intimement liés.
Une relation très forte existe entre le sujet et
le médium.
La peinture se dilue comme le reflet et le fait exister au-delà de son caractère éphémère.
Elle unit l’eau au ciel, où l’arbre étend son dessin.
Et par le dessin, l’artiste donnera à voir un
autre monde.
Roseline Delacour
Julien Cresp
+33(0)6 09 98 47 94
[email protected]
www.juliencresp.com
www.adluminem.fr
Anciens combinats sidérurgiques d’Europe de l’Est, distilleries Guadeloupéennes de rhum, prisons Cubaines, vestiges de villes Soviétiques désertées,
je photographie ces sanctuaires de la vie et du travail comme autant de métaphores poétiques pour traduire les peurs qui, de façon plus ou moins consciente,
nous animent.
Photographier ces fenêtres ouvertes sur l’identité d’un pays, d’un bassin ouvrier ou d’une culture est une errance à travers le temps, un travail d’archéologie
contemporaine ou les sens sont à l’œuvre, et l’imagination à la manœuvre.
Cathédrales industrielles devenues tombeaux profanes, ces architectures
silencieuses expriment une poésie propre aux lieux malmenés par le temps.
Elles dévoilent une nudité sincère et parfumée qu’au terme d’un corps à
corps musclé ou consensuel, un entrelacs végétal vient parfois dérober aux regards, et donne à voir combien les lentes actions du temps sur les ouvrages
humains peuvent les rendre aimables.
Il en ressort une invitation à la méditation au terme de laquelle le matériau
en décomposition, les exhalations de terre humide, les mousses et lichens offrent de fertiles allers retours de l’homme d’hier à celui d’aujourd’hui, du détail
à l’universel et rappellent les vertus parfois oubliées de l’humilité.
Mais il faut savoir s’imprégner de ces espaces, les humer, les explorer en
silence, presque religieusement, les traverser comme une ombre, tendre l’oreille
pour percevoir l’écho d’une scie à métaux, celui du grincement des paniers
d’une salle des pendus, ceux des murmures des fidèles, celui du rire des enfants.
Car ces lieux ne sont pas que silence, abandon, peines et oubli.
Ils sont aussi mémoires.
+(33) 6 07 63 28 50
[email protected]
www.roselinedelacour.com
« Galaxie négatif » • 2012 • 120 x 80 cm
Photographie sur support métallique
Artscience
Je vous propose un parcours allant de l’Univers à l’Atome.
L’art et la science sont de même essence, les artistes comme
les scientifiques partent d’intuitions, de fulgurances (Einstein)
que tout au long de leur vie, ils cherchent à démontrer. La beauté
du monde est là qui nous entoure, voir s’apprend, le réel se questionne.
Mon travail est relié à ce qui précède le langage, l’important
n’est pas de verbaliser mais de percevoir.
Ce qui m’importe est d’entrer en relation avec ce qui nous
dépasse, quel que soit le support, la photo, les vidéos, mes romans,
ils restent des intermédiaires entre l’idée et la réalité, seul compte
le sens.
L’avenir de l’Art ne peut actuellement être dissocié des découvertes scientifiques qui tous les jours élargissent la perception d’un
réel jusque là inconnu.
Joëlle Bellamy
18, rue Garnier
92200 Neuilly-sur-Seine
Yves Dreiss
9, rue Désiré Chevalier
93100 Montreuil
François Perrenoud
30, r. Charles Baudelaire
75012 Paris
[email protected]
[email protected]
[email protected]
Fabienne Billioud
4, rue Royale
78000 Versailles
Dorothée Guelton
4, rue des Chartreux
75006 Paris
[email protected]
[email protected]
Marie-Christine Bouhours
130 bis, rue Perronet
92200 Neuilly-sur-Seine
Françoise Lemarchand
20 bis, rue Mansart
78000 Versailles
[email protected]
francoise.lemarchand
@mercator-sa.fr
[email protected]
[email protected]
« Esquisse du ventt » • 2012/2013 • 121 x 69.8 cm • Technique mixte sur papier
« Allongé » • 2014 • 210 x 336 cm • Technique mixte sur toile
a
« Un ange » • 2013 • 143 x 95 cm • Encre de chine
Je travaille depuis deux ans sur une série que j’appelle « Inside,
Outside ».
Ma pratique de la peinture est intiment liée à une recherche autour
de soi et de l’altérité.
Je crée des paysages fictifs travaillés par mon imagination. Mon
travail est traversé par des thèmes : la gravitation, la trajectoire, la lévitation, la chute... qui proviennent directement de ma pratique de la «
danse contact ». Il est question d’explorer de nouvelles façons d’habiter
l’espace.
Les signes picturaux que j’utilise, empruntés à la tectonique ou aux
paysages urbains sont autant de représentations symboliques du corps
humain et social. La référence à l’image numérique me permet de donner une représentation de la complexité en utilisant principalement la
forme du pli.
Le pli ferme et ouvre à la fois, il y a un dedans et un dehors. Il s’agit
de déplier : de rendre à l’extérieur un intérieur caché dans les replis.
La face cachée n’est toujours pas loin, les formes n’apparaissent
pas forcément comme elles sont : les solides peuvent être creux, les
perspectives plates...
[email protected]
http://www.anouk-grinberg.fr
Anouk Grinberg commence le théâtre et le cinéma à 13 ans.
Parallèlement à son métier de comédienne, elle dessine, pour
elle, en secret, sans avoir appris d’aucune école. Sourde aux
modes, désireuse seulement de traduire en images les étrangetés du cœur, ses dessins seront repérés par Louis Deledicq,
Robert Delpire et Germain Viatte.
Elle fera sa première exposition en 2009, à la Galerie Berggruen à Paris, exposera à Bruxelles, puis à la Galerie GNG à
Paris en 2012. En 2014, nouvelle exposition chez GNG, puis, à
la Galerie Storme (Lille).
« J’ai la chance d’avoir cette autre langue où les choses de la
vie passent par moi, s’engouffrent et s’envolent de moi et me
coulent dans les doigts, où c’est joyeux, même quand c’est triste.
Même si on fait de la peinture pour être dans la peinture, ce
n’est que de la vie, que de la vie, que de la vie. »
Vincent Rouxel
33, rue de la Collinerie
78870 Bailly
[email protected]
Jacques Tassel
7, rue d’Assas
75006 Paris
[email protected]
Patricia de la Torre
16, rond-point Maritoenia
64210 Guethary
[email protected]
Ségolène Perrot
Tour de transmission, Prague »
Anouk Grinberg
Remi Delaplace
+33 (0)6 51 56 76 05
[email protected]
http://segolene.perrot.free.fr
Nicolas Perrot
+33 (0)6 67 73 17 44
[email protected]
© Sarah Moon
www.associationȣorence.com
Eun Jung Lee
+33 (0)6 85 28 87 87
[email protected]
www.delaplaceremi.com
Françoise Daguzé-Clergeau
4, avenue Marguerite Jean
44500 La Baule
[email protected]
« Inside, Outside, Solid and not » • 2014 • 97 x 130 cm • acrylique sur toile
+33(0)6 31 39 04 54
[email protected]
http://ieunjung.wordpress.com
Cristina Pedrosa
116, bd Maurice Barres
92200 Neuilly-sur-Seine
[email protected]
L'Association Florence
La plupart de mes dessins s’inspirent de mon propre
vécu, d’éléments fragmentaires personnels, d’environnements observés, ainsi que de mes rêves.
Comme pour le sujet (contenu) du dessin ainsi que
le visuel de l’image, un simple élément accompagné
parfois d’un petit récit, suffit à l’obtention de la genèse
du dessin.
Au fur et à mesure, l’image apparaît grâce à une
association d’idées, à l’implication de mes émotions et
sentiments, ainsi qu’à la progression de mon dialogue
aléatoire avec le papier.
Sur le thème « A ciel ouvert », je propose non pas un
regard, mais une écoute, à travers des enregistrements
sonores en relation avec le ciel, le vent et l’espace qui
(r)assemblés permettent au visiteur de voyager avec ses
oreilles.
En écho à la diversité des bruits du ciel, différents
supports sonores sont utilisés. Le dispositif est composé
de plusieurs postes d’écoute individuels ou collectifs qui
diffusent les sons enregistrés, en utilisant des média
analogiques ou numériques (cassette, radio FM, Compact Disc, MiniDisc ou baladeur MP3).
Le visiteur est ainsi sollicité par les différentes sources
sonores pour écouter le ciel à sa guise.
remercie les sociétés
dont le mécénat a rendu possible
cette exposition
La peinture dans sa simplicité première est un geste,
peut-être même une chorégraphie. Peindre comme on
se déplacerait.
Un grand ciel de peinture, ouvert parce qu’immense,
qui offre la liberté d’un regard démultiplié. Liberté de
mouvement aussi, en s’approchant ce n’est plus le ciel
que l’on voit, c’est le bleu, c’est le blanc, c’est la trace du
pinceau.
De la figuration à l’abstraction, il n’y a qu’un pas :
celui du spectateur.
Espace Commines
Explore Vision
Éric Bur
Scylax Technologies
Tempo International
VR Counsel
Œ“˜“‹–…”Œ‰Ţ‰’˜™–‰Ţ’—˜……˜“’މ——’
Franck Clergeau
67, r. de l’Arpent du Prieur
78955 Carrières-sous-Poissy
Patrice Rouxel
17, rue de Gobelins
75013 Paris
à ciel
ouvert
a
Association Florence