Transcript JOURNAL LE PETIT GOUROU

JOURNAL LE PETIT GOUROU
JANVIER-FÉVRIER-MARS-AVRIL 2015
MILIEU FAMILIAL
À TOUTE QUESTION, UNE
RÉPONSE……………
Pipi au lit : parents, comment réagir ?
Une nuit, puis deux, puis trois… lorsque le cap du simple accident est passé il faut se rendre à l’évidence : votre
enfant fait pipi au lit. Parents, comment réagir au mieux dans cette situation ? Stephan Valentin, docteur en
psychologie, vous livre ses conseils.
L’énurésie peut être d’origine physiologique ou psychologique : comment savoir pourquoi son
enfant fait pipi au lit ?
Le meilleur moyen de savoir si le problème est d’origine organique est de consulter son médecin. Lui seul pourra
diagnostiquer une cause physiologique à l’énurésie de l’enfant, comme une immaturité de la vessie ou du diabète, et
proposer le moyen adéquat de la traiter. Si aucune raison physiologique n’est trouvée, comme souvent dans le cas
des énurésies secondaires (l’enfant se met soudainement à faire pipi au lit alors qu’il était propre), j’invite les parents
à se poser deux questions : quand cela a-t-il commencé et quels événements ont pu survenir à cette même période ?
Il peut s’agir de l’arrivée d’un petit frère ou d’une petite sœur, du divorce des parents ou encore d’un changement
d’école, comme le passage de la maternelle à l’école primaire. Autant de bouleversements qui peuvent être source
d’angoisse pour l’enfant. Néanmoins, les parents n’arrivent pas toujours à trouver eux-mêmes l’origine du problème,
parce qu’ils manquent d’objectivité, de recul, ou simplement parce qu’elle n’est pas toujours évidente. L’enfant aura
d’ailleurs souvent plus de facilité à se confier à un autre adulte.
De quelle manière les parents peuvent-ils soutenir leur enfant ?
Les parents doivent garder une attitude positive et dédramatiser la situation. Ils peuvent mettre en place des
dialogues simples avec leur enfant, lui expliquer ce qui lui arrive et le rassurer, en lui disant par exemple que cela va
vite s’arranger. L’enfant qui fait pipi au lit souffre en général de cette situation, il en a honte : inutile d’en rajouter en
le punissant. De la même manière, les parents doivent essayer de cacher leur déception, qui blesse l’enfant si celui-ci
la ressent. Ils peuvent le féliciter lorsqu’il n’a pas mouillé son lit, mais doivent éviter de ressasser le sujet lorsqu’un
accident est survenu dans la nuit. Pour impliquer l’enfant et le motiver, l’utilisation d’un calendrier peut s’avérer
efficace. Cela consiste à faire dessiner à l’enfant, chaque matin, un soleil ou un nuage sur un calendrier, en fonction
de la nuit qu’il vient de passer. Dans tous les cas, il ne faut pas faire peser de pression sur un enfant qui fait pipi au
lit, au risque d’aggraver la situation et de l’inciter à se replier sur lui-même.
Comment savoir s’il est nécessaire de consulter un psychologue ou un pédopsychiatre ?
Dans beaucoup de cas, consulter un spécialiste n’est pas indispensable, car le problème est ponctuel : il ne
dure pas très longtemps et se résout de lui-même. Néanmoins, il me paraît important que les parents
consultent dès le moment où ils sentent qu’ils n’arrivent pas à gérer la situation. Certains parents se sentiront
en difficulté dès le début. Il faut alors qu’ils trouvent un médecin capable de les aider, ainsi que leur enfant.
Par le biais de dessins, de tests ou d’exercices de relaxation, le psychologue pourra ainsi chercher l’origine de
l’énurésie de l’enfant et accompagner la famille dans cette étape.
http://www.psychologies.com/Famille/Enfants/Epanouissement-de-l-enfant/Articles-et-Dossiers/Pourquoi-les-enfants-font-ils-pipi-aulit/Pipi-au-lit-parents-comment-reagir
LÉGENDE: 1. RES PONS ABLE 2. ENFANTS EN MILIEU FAMILIAL 3. ENFANTS DES RES PONS ABLES
DIMANCHE
LUNDI
MARDI
MERCREDI
JEUDI
VENDREDI
1
Romy Leclerc.2
Élianne
Lachance.2
Marianne
Lachance.2
2
Laurence
Bélanger.2
SAMEDI
3
Annabelle
Moisan.2
Alycia Paradis.2
Hubert Marcotte.2
Derek Moisan.2
Mariange
Boucher.2
10
Louise Garneau.1
Debbie Bourassa.1
Jacob Couture.2
Gabrielle Tessier.2
Thomas Duval.2
4
Hélène Beaupré.1
Raphaël Roy.2
5
6
Zack Bélanger.2
Victoria
Brouillette.2
Emy-Rose
Giroux.2
7
Mégane Giroux.2
8
S ylvie
Gobeille.1
Leah Maeve
Welsh.2
9
Éva Pelletier.2
Charles Leduc.2
Juliette Rioux.2
11
12
Maël Paquet.2
Tom-Arthur
RobergeLafontaine.2
William
Labrecque.2
19
Marie-Josée
Ward.1
Félix Arcand.2
Mattéo Leclerc.2
Ariane Bélanger.2
13
Olivia Daigle.2
Joey Boudreault.2
14
Anna Lansac.2
Raphaël
Robitaille.2
15
Jayden
Doirion.2
Chloé Li.2
Ryan Doré.2
16
Marguerite
Bédard.2
Charles-Éric
Moffet.2
17
Coralie Matte.2
20
Laurence
Faucher.2
S imon Jobin.2
Léa Gaboury.2
22
Benjamin
S heedy.2
23
Izabella Marois.2
Maryon S tGermain.2
Marc-André
Villeneuve.3
24
Emy Arcand.2
Emerick
Dalcourt.3
26
Bianca Allard.2
Lorianne
Lapointe.2
Jeanne Presseau.2
Alyson Guay.3
27
Janie Morin.2
Alice Rivard.3
21
Marianne
Naud.1
Geneviève
Leclerc.1
Charlie Anka.2
Elliot Doré.2
28
29
Tessa Magand
Allard.2
30
31
Théo Lachance.2
Alycia Brière.2
18
Raphaëlle Tessier.2
25
Elliot Huard.2
PENSÉE
On devient grand le jour où on commence à battre papa au golf.
On devient adulte le jour où on le laisse gagner!
LÉGENDE: 1. RES PONS ABLE 2. ENFANTS EN MILIEU FAMILIAL
DIMANCHE
LUNDI
3. ENFANTS DES RES PONS ABLES
MARDI
MERCREDI
JEUDI
VENDREDI
1
Méliane
Thériault.2
2
S ofia Paquin.2
3
Zachary Tessier.2
Vincent Trudel.2
4
Emy-Rose
Marcotte.2
Florence Noreau.2
Alexis
Plamondon.2
Noémie Drolet.3
5
Nadine Mariage.1
Pier-Olivier
Fiset.2
6
Zachary Morasse.2
Jade Roy.2
Elie-Rose Paquet.2
7
SAMEDI
8
Mavrick
Martel.2
Arthur Dery.2
Camille S tPierre.2
9
Ulyan Robin.2
10
Naomie Garneau.2
Olivier Masson.2
Léa-Jeanne
Tremblay.2
11
12
Alyssa Matte.2
Abigaelle Perron.2
Magalie Douville.2
Romie Lavoie.2
13
14
Claire Blackburn.2
Alex Robitaille.2
Justin Lebel.2
15
Charlie
Gingras.3
Mathias
Gingras.2
16
Elie Mayrand.2
Xavier-Alexandre
S t-Gelais.2
18
Elodie Jobin.2
Camille Masson.2
19
Edouard
Bernatchez.2
20
Lucas Biasotto.2
Lily-Rose Perron.2
21
Nancy Boulet.1
Julianne Frenette.2
22
Louise Bédard.1
Thally Jobin.2
Thomas
Bouchard.2
Elodie Paquet.2
23
Guylaine
Gauthier.1
Annabelle
Plamondon.2
17
Marie-Lise
Gingras.1
Mathilda
Gingras.2
Isabelle Leclerc.2
24
25
26
Zack Voyer.2
Raphaël
Laflamme.2
Gabriel Belleau.2
27
Gabrielle
Chantal.1
28
Justin Moisan.2
Eve Doyon.2
S hawn Laperrière.2
PENSÉE
Il faut prendre des risques et faire des folies afin d'avoir quelque chose à raconter à nos petits
enfants.
LÉGENDE: 1. RES PONS ABLE 2. ENFANTS EN MILIEU FAMILIAL
DIMANCHE
1
Ludovic
Durand.2
LUNDI
MARDI
MERCREDI
3. ENFANTS DES RES PONS ABLES
JEUDI
VENDREDI
SAMEDI
2
S imon
Guillemette.2
Mathilde
Cantin.2
Liam Whittom.2
Léane Drolet.3
9
Alexis Lesage.2
Luka Gariépy.2
Jake Blacburn.2
Léanne Lessard.2
Frédérique
Lebel.3
16
3
4
5
Alexis Pilote.2
Zack Cloutier.2
Elyann Julien.3
6
7
Maéli Perron.2
Brittany CloutierLinteau.2
Edouard Gingras.2
10
Oxanna Rivard.2
Arianne Ouellet.2
11
Mayven Trudel.2
12
Philémon Baril.2
Megan
Germain.2
Isaac Rivard.2
Mégane Dupuis.3
13
France Gravel.1
Eva Paré.2
Laura Bédard.2
14
Alexane
Montambault.2
Rose-Alice Potvin.2
17
Zachary
Lachance.2
18
Edith Genois.1
S amuel Jauvin.2
Mia Guilbault.2
20
Justin Paquet.2
Tom Gingras.2
21
Nathan Perron.2
Jolène Larochelle.2
Gabrielle Leclerc.2
Mia Laliberté.2
Adam Habla.2
22
Wilbrod
Falardeau.2
23
Jérémy
Frenette.2
24
Thomas S mith.2
Yoan Lelièvre.2
Alexia Collin.2
Derek Cauchon.2
25
19
André Trottier.2
Anaëlle
Lefebvre.2
Hayden
Petitclerc.2
Léonie
GaudreauCouture.2
William
Carbery.2
26
Nathan Fillion.2
27
28
Cédrick Michaud.2
Emile Robitaille.2
29
30
Lysandre Denis.2
31
Lise Groulx.1
8
15
Julie Ricard.1
Jacob Drolet.2
Eva S amson.2
William
Tremblay.2
PENSÉE
Les meilleures années dans la vie d'un homme sont celles où ses enfants sont assez grands
pour déblayer l'entrée mais trop jeunes pour conduire la voiture!
LÉGENDE: 1. RES PONS ABLE 2. ENFANTS EN MILIEU FAMILIAL
DIMANCHE
LUNDI
MARDI
MERCREDI
3. ENFANTS DES RES PONS ABLES
JEUDI
VENDREDI
1
Nathalie Pascal.1
Marilie
Vermette.2
Camille
Faucher.2
2
Mélia
Faucher.3
3
Guylaine
Côté.1
William
Leblanc.2
S AMEDI
4
Brenda S mith.1
Ayden Morin.2
Thomas-James
Laroche.2
Juliette
Therrien.2
11
William
Beaulieu.3
5
Lily Chastenay.2
Raphaël Pageau.3
6
Zack Papillon.2
7
Jordan Tessier.2
Laurence Naud.2
8
Mathis
Beaupré.2
Alexandrine
Roy-Frenette.2
Benjamin
Leblanc.2
S imon Dubuc.2
9
Marilie
Faucher.1
Maeva Rioux.2
Eliot Hamelin.2
Noémie Roy.2
10
Chantale
Racine.1
Alex Vachon.2
Melody Allen.2
12
Jaycob Minier
Meikle.2
Bryan Minier
Meikle.2
Benjamin Paquet.2
13
Mayden Arsenault.2
Gabriel TessierAllard.2
14
France Bouillon.1
Laurence
Trottier.2
15
Maïka Perron.2
S amuel Lavoie.2
Marguerite
Valcourt.2
16
Yohann
Bouchard.2
17
Anthony
Bouffard.2
Juliet Leclerc.2
18
Thomas
S ébastien
Touchette.2
19
Abygaëlle
GaudreauCouture.2
20
Véronique Gagné.1
Jacob Voyer.2
Camille Garneau.3
Josüa Julien.3
Ashley Pelletier.2
22
Victor Alain.2
Logan QuintinChevalier.2
23
Lucie
Longchamps.1
24
Raphaël
Lefebvre.3
25
26
Léanne Leclerc.2
Raphaël Cauchon.2
Félix Mercier.2
Eve Leclerc.2
Loan Welsh.2
27
Jimmy Plamondon.2
Magalie Fortin.2
21
Lyna Rivard.1
Andy Lirette.2
Evan Parent.2
Jade Bureau.2
Victoria S avard.2
William S avard.2
Élodie Gauthier.3
28
Félix Hamel.2
Maélie
Champagne.2
Videk
Laperrière.2
29
Mégane
Laliberté.2
Étienne
Nadeau.2
Edouard
Moisan.2
30
Thomas PagéLaberge.2
Alex Richard.2
Doriane
Beaulieu.3
PENSÉE
Si on veut s'approcher des enfants, il faut parfois devenir enfant soi-même.
CHRONIQUE ALIMENTATION
Développer ses goûts et savoir bien se comporter à table, ce n'est pas inné.
Mireille et Christian ont des difficultés avec leurs enfants, Laurie (trois ans) et Sacha
(deux ans), particulièrement lors des repas. Ils veulent leur faire apprivoiser de
nouveaux goûts, ils s'efforcent de leur préparer des menus santé, ils veulent leur
apprendre les bonnes manières à table... mais quelle déception lorsque les enfants
refusent de manger, se lèvent de table, jouent avec la nourriture, ou encore lancent un
«ouache, j'aime mieux la pizza ou les hot-dogs»! Quelle insulte pour des parents qui
veulent tant inculquer la notion du plaisir de bien manger à leurs enfants! Les repas
deviennent désagréables et stressants pour tout le monde. Les enfants n'en peuvent
plus de se faire disputer lors des repas... et les parents n'en peuvent plus de se sentir
comme des «policiers».
Nombreux sont les parents qui s'imposent du stress par rapport à l'alimentation de leur enfant, que
ce soit par rapport à la qualité de la nourriture (il n'aime que les biscuits), la quantité (elle mange
comme un oiseau), ou encore des comportements lors des repas (il se lève constamment de table). Il
est normal que les parents accordent une grande importance à l'alimentation. Après tout, la toute
première fonction qu'une mère accomplit dans la vie de son enfant après avoir accouché, c'est
l'alimenter, souvent par l'allaitement. Quand l'allaitement est difficile, plusieurs femmes auront
l'impression d'être une mauvaise mère et se sentiront coupables.
Plus tard, un refus de l'enfant de s'alimenter ou une expression de dégoût par rapport à la
nourriture que la mère (ou le père!) aura préparée pourrait amener les mêmes sentiments négatifs.
De plus, on entend souvent parler de l'importance de manger les repas en famille, que c'est un
moment idéal pour favoriser la cohésion familiale et de partager le plaisir de manger ensemble.
Alors, quand les enfants veulent sortir de table après seulement 10 minutes de repas, est-ce un signe
que notre famille manque de cohésion?
Ironiquement, c'est probablement tout ce stress, toutes ces inquiétudes et toute cette lutte de pouvoir
avec les enfants qui leur enlèvent l'envie de rester à table et qui leur coupent peut-être même
l'appétit!
Lorsque les parents sont stressés ou rigides par rapport à l'alimentation ou des comportements à
table, les repas deviennent aversifs ou ennuyeux aux yeux des enfants, ce qui leur amène le désir de
chercher l'attention (parfois de façon inadéquate) ou de sortir de table.
Il faut également souligner que les parents les plus stressés par rapport à l'alimentation de leur
enfant sont probablement ceux qui ont les attentes les plus irréalistes envers lui : être sage à table
pendant une heure, s'intéresser au goût du brocoli, des têtes de violons ou des épinards, ne pas sortir
de table alors que papa et maman discutent de leurs problèmes d'adultes en oubliant de lui donner
de l'attention (sauf pour le disputer quand il fait une bêtise).
Bref, la meilleure solution pour des repas plus agréables, c'est de relaxer! Pour y arriver, dite s-vous
que peu importe à quel point votre enfant peut être difficile ou avoir un faible appétit, un enfant ne
se laissera jamais mourir de faim, à moins d'avoir un problème de santé physique très grave.
Le rôle des parents est d'offrir une belle variété d'aliments sains, de les rendre accessibles pour
l'enfant, sans le forcer à goûter à tout ou à finir son assiette. À force d'être exposé régulièrement à
une variété d'aliments sains, le développement de ses goûts et sa curiosité l'amèneront
éventuellement à manger de plus en plus d'aliments différents. Il faut également permettre des
petites gâteries occasionnelles, sinon, l'interdit deviendra convoité!
De plus, c'est en étant plus détendus et moins rigides que les parents arriveront à rendre les repas
agréables aux yeux de l'enfant. C'est également en soulignant chaque bon comportement de l'enfant,
et non en se concentrant sur le fait de punir ses erreurs, que les parents arriveront plus facilement à
le guider vers de saines habitudes à table. Soyez créatifs : votre enfant n'aime pas les légumes cuits?
Placez un plat de crudités au centre de la table à chaque repas! Vous avez tendance à discuter entre
adultes à table, en oubliant de donner de l'attention à votre enfant qui finit par s'ennuyer et à
vouloir sortir de table? Créez un petit jeu (ex. : des devinettes) que vous ferez à chaque repas, afin de
donner un peu d'attention à fiston ou à fillette.
Bref, développer ses goûts et savoir bien se comporter à table, ce n'est pas inné. C'est un
apprentissage qui demande du temps. Pour favoriser cet apprentissage, détendez-vous et orientezvous vers le plaisir d'être avec vos enfants lors des repas. Bon appétit!
lapresse.ca/le-soleil/vivre-ici/famille/200902/28/01-832171-le-comportement-des-enfants-a-table.php
MOTS D'ENFANTS
Moi, j'ai attrapé une grippe qui tousse! » Alycia, 4 ans
En voyant une auto patrouille les gyrophares allumés, Élodie, 5 ans de Gatineau a dit : « "Regarde une
police de Noël." »
« Papa, il faut que je me fasse couper les cheveux parce qu'ils cachent tout le monde!!!
»
« Maman, je veux un mouchoir pour essuyer ma peine... » Jean-François, 3 ans
« "Eh maman tu sais ce que je veux moi ??? Je veux du fromage !"
"Non alors déjà on dit pas "je veux" mais "je voudrais" à la rigueur !"
" ... Maman je voudrais à la rigueur du fromage... " »
« Maman, quand je suis née, comment tu as su que j'étais une fille ? J'avais une robe ? »Anaël 4 ans,
«Mathieu (4 ans) passe des vacances avec ses grands-parents.
Au bout de quelques jours je l'appelle et lui demande : "qu'est-ce que tu fais". Il me répond "j'apprends la
politesse" »
«Milian, 4 ans : Maman, j’peux avoir un bonbon ?
Maman : tout à l’heure !
Une heure plus tard, Milian revient à la charge : J’peux avoir un bonbon parce que maintenant on est tout à
l’heure ? »
Livia (4 ans) passe l'Halloween avec sa grand-mère. Après une bonne récolte de bonbons, elle va la
reconduire chez sa mère. La grand-mère décide d'appeler Livia pour lui dire qu'elle aurait pu lui laisser un
bonbon. Livia répond: "J'irai t'en porter un quand je serai grande".
Êtes-vous esclave de vos enfants?
À titre de parents, nous sommes loin d’être parfaits; nous avons nos
faiblesses et nos vulnérabilités. Mais, parfois, nous sommes carrément esclaves de nos enfants. Et vous,
l’êtes-vous? Voici les 13 symptômes de l’esclavage du parent moderne.
1. Nous ne faisons pas la différence entre les besoins de l’enfant et ses caprices. Nous sommes donc
incapables de dire non à ses caprices.
2. Nous faisons pour lui ce qu’il serait capable de faire lui-même.
3. Nous nous efforçons constamment de lui faire plaisir et il ne l’apprécie pas. Pire: il a tendance à s’en
«ficher royalement».
4. Nous nous efforçons de satisfaire ses demandes et il change souvent d’idée, à la dernière minute, sans
raisons valables.
5. Nous le laissons parler et agir avec nous d’une manière irrespectueuse, que nous n’accepterions jamais si
cela venait d’un ami ou d’une autre personne.
6. Nous perdons beaucoup de temps à lui répéter continuellement les mêmes consignes pour obtenir, en
retour, peu de résultats.
7. Nous éprouvons des difficultés psychologiques à déléguer la garde de notre enfant.
8. Nous cessons de pratiquer toutes les activités qui nous sont chères pour être toujours près de lui.
9. Nous sommes incapables de penser à autre chose qu’à l’enfant.
10. Nous avons tendance à trop lui donner, alors que cela ne lui rapporte rien ou presque.
11. Nous laissons l’enfant contrôler notre vie.
12. Nous avons trop d’attentes vis-à-vis de l’enfant.
13. Nous nous sentons inutilement responsables des erreurs commises par notre enfant.
yoopa.ca/famille/article/etes-vous-esclave-de-vos-enfants
Les enfants et l’activité physique
Les enfants qui ne sont pas suffisamment actifs courent plus de risques à développer des
maladies chroniques telles que le diabète de type 2, l’hypertension artérielle, un taux élevé de
cholestérol et d’autres maladies cardiovasculaires.
Seulement 12 % des enfants canadiens, en moyenne, pratiquent suffisamment une activité
physique.
Les bienfaits de l’activité physique
L’activité physique fait partie intégrante d’un mode de vie sain à tout âge et elle est essentielle
pour la santé des enfants.
L’activité physique aide les enfants à faire ce qui suit :





développer non seulement une bonne condition cardiovasculaire, mais aussi la force, la
souplesse et la densité osseuse
maintenir un poids corporel sain
réduire le risque de maladies chroniques et de problèmes de santé
réduire la probabilité de consommation de tabac, d'alcool et de drogue
se sentir mieux chaque jour, grâce à l'amélioration de sa santé mentale et de son bienêtre
Faire de l’activité physique régulière une habitude dès le plus jeune âge procurera à votre enfant des
bienfaits tout au long de sa vie. Les adultes les plus actifs sont en mesure de vaquer à leurs occupations
journalières plus aisément et avec moins de fatigue, et ils connaissent plus tard dans leur vie des taux plus
faibles de pertes osseuses liées à l’ostéoporose, tout en étant capables de conserver leur force, leur
souplesse, leur équilibre et leur coordination.
Combien faut-il faire d’activité physique?
Il est recommandé que les enfants et les jeunes aient 60 minutes par jour au moins d'activité
physique d'intensité modérée à vigoureuse.
C'est facile d’atteindre ce but. Augmentez le temps d'activité physique de votre enfant de ci nq ou
10 minutes seulement toutes les quelques semaines. Le temps au cours duquel celui-ci est actif
finira par atteindre 60 minutes par jour.
Vous devriez aussi diminuer le temps que votre enfant passe à des activités sédentaires comme
regarder la télé, jouer aux jeux d’ordinateur, naviguer sur Internet ainsi que le temps de son
utilisation du transport motorisé.
Comment encourager l’activité physique
L'activité physique est plus qu’un simple sport organisé. Il peut s’agir d’activités quotidiennes
telles que promener son chien, travailler dans son jardin, jouer au chat (« tague »), confectionner
un bonhomme de neige ou faire de la luge et même des tâches ménagères comme balayer ou
pelleter l'allée.
Voici quelques astuces pour vous aider à apprendre à vos enfants l’importance de l’activité
physique au quotidien :
Encouragez-les d’aller à l'école à pied ou à bicyclette plutôt que de prendre l'autobus.
Prévoyez du temps d’activité physique pour vos enfants après l'école.
Alternez les périodes d'activité modérée comme la marche ou le vélo avec des périodes
d’activités plus intenses comme courir, jouer au soccer ou au chat (« tague »).
Renseignez-vous auprès des écoles dans vos communautés et auprès des centres
communautaires sur des programmes à coûts abordables pour les activités telles que la
natation, le soccer, le baseball, la danse, la gymnastique, le ski et le basket-ball qui servent
de cadre pour apprendre de nouvelles aptitudes tout en s'amusant.
Trouvez un juste équilibre des activités de la journée avec les activités physiques de nature
informelle et non structurée comme jouer au chat (« tague ») ou confectionner un
bonhomme de neige. Il s’agit ici d’un point très important surtout pour les enfants qui ont
tendance à se tenir à l’écart pendant des activités compétitives.
Donnez un exemple positif en étant vous-même physiquement actif en famille. Prévoyez
régulièrement des sorties pour faire des randonnées, de la bicyclette, de la marche ou du
patin.
N’oubliez pas de féliciter vos enfants lorsqu’ils sont physiquement actifs. La confiance en soi
est la clé du succès.
http://www.canadiensensante.gc.ca/health-sante/physical-physique/tips-conseils-fra.php
Les vaccins sont sécuritaires
Les vaccins sont sécuritaires et ils apportent d’énormes avantages pour la santé des enfants, et ce, tout au
long de leur vie. Les réactions graves aux vaccins sont extrêmement rares et elles sont signalées
immédiatement à l’Agence de la santé publique du Canada afin de régler rapidement tout problème.
Mon enfant aura-t-il une réaction?
Moins dangereux que les maladies qu’ils préviennent
Au Canada, les vaccins sont efficaces et sans danger - beaucoup plus sécuritaires que les maladies qu’ils
préviennent. Ces maladies peuvent entraîner une pneumonie, la surdité, des lésions cérébrales, des
problèmes cardiaques, la cécité ou la paralysie et même provoquer une invalidité permanente ou la mort
chez les enfants qui ne sont pas protégés.
Une recherche rigoureuse est effectuée en permanence
Les vaccins sont continuellement contrôlés et testés dans le monde entier et au Canada avant que leur
utilisation ne soit approuvée. Le Canada a mis en place plusieurs systèmes qui permettent de garder l’œil
sur toute déclaration de réactions indésirables ou inhabituelles suivant l’administration d’un vaccin.
Les vaccins contiennent-ils des ingrédients toxiques?
De fausses craintes à l’égard des effets néfastes
Tous les parents ont des questions à propos des risques liés à la vaccination. Certains craignent que les
vaccins puissent provoquer des problèmes de santé, comme l’autisme ou le syndrome de mort subite du
nourrisson (SMSN). Au Canada et dans le monde, des comités de recherche composés d’experts ont
examiné les déclarations d’effets graves pendant plusieurs années. Ils n’ont trouvé aucune preuve d’un lien
entre les vaccins et l’autisme ou n’importe quelle autre maladie.
Si vous constatez des effets secondaires suivant la vaccination, veuillez demander à v otre médecin,
infirmière ou pharmacien de remplir le Formulaire de rapport des effets secondaires suivant l’immunisation
(ESSI).
http://www.phac-aspc.gc.ca/im/iyc-vve/safe-secur- fra.php
L’enfant qui frappe
Définition
Un enfant qui frappe donne un ou plusieurs coups à quelqu’un, de façon intentionnelle et
agressive.
Quoi faire ?
●
Si c’est la frustration qui pousse en général l’enfant à frapper, veiller à la
prévenir. Par exemple, si l’enfant joue avec un casse-tête trop difficile pour lui,
asseyez-vous à ses côtés et aidez-le à faire le casse-tête, ou bien suggérez- lui
d’en prendre un plus simple : le fait de réussir réduira les frustrations, donc la
tentation de frapper les autres enfants.
●
Louangez l’enfant lorsqu’il a un comportement social convenable.
●
Veillez à empêcher l’enfant de frapper ses pairs.
●
Si l’enfant frappe un camarade, ayez recours à l’isolement.
Dans ce cas, procédez de la façon suivante :
1.
Assurez-vous que l’enfant qui a été frappé va bien.
2.
Emmenez l’enfant qui a frappé vers un coin d’isolement et dites-lui sur
un ton calme mais ferme : « Je ne te permets pas de frapper les autres.
Tu vas t’asseoir ici jusqu’à ce que je te donne la permission de te
lever. »
3.
Tout au long de la période d’isolement, évitez d’adresser la parole à
l’enfant ou de le regarder.
4.
À la fin de la période d’isolement, rejoignez vite l’enfant et dites-lui :« Tu
peux te lever maintenant. »
Pas de sermons. L’enfant sait très bien pourquoi il a été isolé. Pour
l’orienter vers un comportement constructif, vous pourriez lui suggérer
de prendre part à une activité qui l’intéresse.
Renseignements utiles
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On expliquera à l’enfant ce qu’il faut faire, afin de l’aider à surmonter le
sentiment de frustration qu’il peut éprouver dans certaines situations.
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On tentera de faciliter l’interaction sociale positive en associant l’enfant à
certaines activités, de façon à créer une situation positive à partir d’une chose
potentiellement négative.
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En observant l’enfant, on peut avoir une meilleure idée du moment, de la
fréquence du comportement et des motifs qui semblent le provoquer.
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Il existe une différence entre l’enfant qui frappe pour défendre ce qui lui
appartient, celui qui frappe par frustration.
Comportement agressif et social
L’enfant qui frappe - À nous de jouer !
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Il est essentiel de guetter tout signe annonciateur.
Devant l’enfant qui frappe souvent les autres, les adultes ont fréquemment des réactions
pour le moins inefficaces :
●
Gronderies et longs sermons ne sont, en somme, que de l’attention que l’on
accorde à l’enfant en cause.
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Dans la quasi-totalité des cas, l’enfant sait pertinemment que ce qu’il fait n’est
pas bien.
http://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/bs44473