Dernière Hem - Archives municipales

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Transcript Dernière Hem - Archives municipales

I8t,eInnée
avre
Administrateof
-Oélépné
- Gérant
O.
RANDOLET
JlöBlnlslratlon,
ImnressSons
e!Annonces,
TÉL
10.17
35, Rue Fontenelle,
Pasres)
10Centimes
— fBlTÏON
OUMATIN
— 10Centimes
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36
Adreese Télégraphique: EA1TD0LET
Eavr#
A-NNONGISS
Bureau du Journal. 112,bout' de Rtrasootir?.
L'AGF.NOEHAVAS.8, place de la Bourse, est
seule chargée de recevoir les Annonces pour
A PARIS ,
le Journal.
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est rtisigné ronr les Annonceshidleialresst legates
AU EAVRE...,.
ORGANE RÈPUBLIGAIN
DÉMOCRATIQUE
1
Impressionsie Séance
(Dl HOTS* COBBKSVONIUHT
PARTiCUUÏAl
COMMUNIQUES
0FFIC1ELS EM
S I'
.70
UT=UVH3K
RfiDA.CTBUR
en
chef
I.-J. CASPAR -JORDAN
Seorétalre Génêral: TH. VALLÉS
flédactlon, 35, rue Fontenelle - Tél. 7M
ABONNEMENTS
Le plus fort Tirage des Journaux de la Région
CARNET
DENOTES LE PARLEMENT
.11
i
Uereredi
IS Wai1910
Trois Mots Six Mow
la Ah
Le Havre, la Seine-Inférieure, l'Eure.f « p. 13
l'Oise et la Somma
Autres Département!
S
13
Union Postale
13
Sn s'abop.neégalemen*,SANSF/tAIS,dans tousles Bureaux de Paste do Fraieta]
AIJTRICHE
te portée vont être prises an cours de cctfa
entrevue. Il serait toutefois plus exact de
dire que les decisions prises depuis longtemps vont y êtreposées II s'agit ds la ques¬
Les bagarres se mulfipllert entre
tion polonaise, de la collaboration m-iitaira
Ailemands et Tchèques
que i'on réclame do la double monaichie. II
L'agitation des Tchèques et des Yongo- s'agit avant tout de lier celle-ci défiailiveS'ives a créé dans toutes les villes de i'Au ment au point de vne économique.
trichs oü la population da nee germanique
Du baron Birian, i'AIIemagne n'attond
et les ressortiisants slavee viveDt cöte Acöte, pas de résnitat. Le nouveau partage da la
nn malaise et nne nervosité qni provoqnect
Poiogne parait inévilable. Dans ce cis, c'est
chaque jour des incidents nombreux et de one caricature de la solution anstro-po'ograves bagarres.
naise qui serait réalisée et la Pologne serait
A la suite d'an pugi'at qci a en lieu au mutilée au Drofit de la Prnsse, de ia Litnarestaurant de 1Hotel de Vtlle de Vi^npe en¬ nie et de FUkraina. Mais ce n'est pas toot,
tre les clients tchèques et les c'ients alle
pui8que 1'Aliemagne exigera de l'Autriche
mands qui prétendaiontem ècher lesclients
des garanties : nne convention mihtaire et
tchèques de parler en l»nr iangue, les dépu
ia perpétuité de l'aliiance, et- elle l*obiigcra
tes Strenck et Chalnpki, lesquels avaient au Mateleuropa.
assisté A la scène, qui so terrains par l'éva
En fatsant entrer complement
l'Antricuation du local, se sent rondas ch z che-Hongrie daas le système allemand, oa
M. Stidler et ont protestó rn termes véhé- pourra rendre défioitive la reunion de la
ment8 et colorés contre ['intolerance de Po ogne et de la monarchie, car dèt l'insleurs adversaires et i'attilude partiale de la tant qu'on est sur de ce point, qn'importe
police.
aux pangermanistes qu'on y rattachs les
restes de la Pologne f
« Nous vous demandons form°iiement,
La solution dite austro polonaise dn pro¬
ont-ils couclu, qne dêsormais l'txportaiioo
des pommes ae terre de Moravie soit sup- gramma n'est plus dès lors qa'une miinprimée. Du moment qn'A Yienne on ne vent mise déguisée sur Varsovie et toutcela est
plos entendre p.rler tchèqne, on n'a pis le trés log'que. Ceux qui ont été Jiés par la
force et sa iaissent ginder par la defiance na
droit d'y manger des pommes de terre mo
peuvent jamais, en effet, se croire assea
raves. »
fo'ts.
Les mêmes dépntés se sont ensnite rendus
ch z le président de la Chtmbre et iui ont
anuonce qn'ils dineront dorenavant A la bavette dn Parlement afin de ne pas s'exposer
> aux insultes et anx agressions de la popu¬
lation viennoise.»
Bien se battH» ce n'est pas donner
nne ad hé si on morale a la guerre,
se
mille environ, au Sud-Ouest de Morlancourt.
II
A.
GHAMERE
FRANCE
laisser domin&ré
son toar par l' esprit
est parvenu, en un point, a pénétrer
dans no¬
Paris, 14 msi.
Paris. 14 mai, 14 heures.
tre position ; partout ailleurs,
l'altaque
a été
guerrier.
Dans Ie3 couloirs du Palais-Bonrbon,
repou ssee avec de lourdes partes pour l'ennemi.
No s patrouilles
oDérant au Nord ou bois d»
Uien se bat/re, c'est, dans le momentdVilieurs pen animés, on s' ccupe de la de¬
Une contre-attaque
immédiate,
exéposition de M. Joseph CailLux devan?. (e Hangard, vers Gouroy et k i'Oue st da la Meuse,
présent,
faire
au mieux son devoir
om rsmené des prisonniers.
cutee par ties troupes
australiennes,
d'homme
et de citoyen
— rien de Couseil de guerre et i'on s'accorde a trouver
Nous avons aisément repoussé
un coup de l'a rejeté
qu'-lie n'a rien ea de s msationnel.
hors de la position oü il avait
moins, rien de plus —- ce n'est pas
main ennemi sur nos postes au Nord Ouest
M. Caillaox «'est attache a p'O iver.malgré
po
pénétrer
et a complètemeut
rétabli
changer
d'ame.
les dénégitions de M.non, qu'L n'avsit pas d'Orvihers-Sorel.
notre ligne. Nou» avons capturé plus
Lotte
d'artillerie
assez
viva
en
Champagne,
pronot.ee
le
nora
d"
Marx
pendant
ia
visite
Le devoir de l'homme, en tout temps
«ie 50 prisonniers
; nos pertes ont été
dans Ie secteur da la Buita-du M osnil et dans
et en tantes chos.es, est de bien faire ce q .equaire des iocu p. s lui firent é Mamers les fos ges.
trés
iégèreb".
et que cette visite ne .ui avoit pas eté anqu'il doit. Le devoir du ciior0i
qui uoocee.
U-ie tentative allemande au Nord da la Feoht
Des oombats locaux ont eu llou, la nuit dera éohouB sous nos ftux.
doit tout ce qu'il est, Jut-il le plus mo¬
niére, au Nord de Kemmal ou l'ennemi
a atta¬
L'ancien président do Couseil éü; certaiRian
it
signaler
sur
le
raste
du
front.
nrment voniu dire autre choc, luais il en
qué dans la direction de Kleinvierstraat
; il a
deste, a la collectivité dont il est issn,
été repoussé par des troupes franpaises .
a été empêche par le colon, i y y r qni l'a
est de dèfendre
les intéréts matériels
23 heures.
Sur le roste du front, rien k signaler.
invité h ne dêposer que sur le. fasts d pro¬
et inoraax de celle-ci tant qu'ils sont
cés actnel. Les amis de M. CaiH.vox préten¬
Bombarde «ents intermittents
dans le secteur
AV'IAÜ'IO.V
menaces. Ce n'est pas a lui, d'ailleurs,
dent que le piv idrnt du Conseil de guerre de Grive ne-s.
de jager isolément quand ce péril pa- a eté reel om it tro» liroiiatif.
Le 13 courant , il n'a été possible de voler
Nos batteries
ont dispersó
des rassembleM. Cailiaox a pn c<p od.snt déc'arer qu'il m»nts ennemis dans la region de Montdidier
que pendant quelques heures de la matinée.
rait cesser. II doit combattre,
a son
n'avait ni dirig ni tnspiré une campagne
et sur la route de Noyon a Guiscard.
rang et avec line discipline volontaireNos aéroplanea
ont alors beaucoup
dans le Bonvet Rouge.
En Ch-ympagrne, un coup de main
travatlié,
en liaison avec l'artilierie.
ment acceptee, tant que la collectivité
On a lie tico p i rnarqné qne M. Caillanx,
reconnaissances
ont été
ennemi, dans la region d# la Butts du Plusieurs
elle-même
se sent atteinte,
quitte a en sortant de ia salie d'.ud-ence, s» tonronit
échoué
sous
effectuées
etcinq cents bombes jetées
exercer dans les conseils de celle-ci la è droi e et k ca ch %cherfhant qoeiques vi¬ Müsnn, a compiètoment
sages sytnpathiq.M S, mats il n'ye t avait pas. nos fc x.
sur des objectifs divers.
part. d'injlaence
qui lui revient.
Deux appareils
ennemis ont été desDon-c
er
is
felix,
etc.
Journee
ca/me
partout
ailleurs.
Bien se battre, c'est de la part de
cendus en combat
aérien ; aucun des
Le gronpe sociali te s'e t réuni pour s'occeux pour qui les mots sont une réa •
nötres ne manque.
Cuper de certaines reven ciicauons et recla¬
Une Election au Relchstsg
lité tragi que, exposer et donner
sa mations des ouvriers des usines de guerre i" GRANPE-BB.ET AGNE
Les élections au Rsirhstag qui ont ea
vie. Eux seals sont a l'honneur.
Pour
Le groupe a nomme puur se rendre anprès
BELG'(QUE
14 mai, après midi.
liea A Zvvckau ont donné ia m jorité aa
de M. Lo ch'ur, rninistre de l'arrnement et
les autres, c'est simplement
permettre
candidat socialists de la majorité. Le caodlNous
avons
rêussi
un
raid,
la
nuit
dermère,
des
mnoittons
de
guerre,
une
delegation
14
mai.
aux premiers,
par tous les rnoyens
dat socialista minoritaire a été battu de faaitisi com osée : Mvt. Albert Thomas. Ga au Nord- Est de Robecq et fait quelques prison¬
Aotivité moyenne d'artillerie.
matériels
et moraux,
de bien se bat¬ ohin, Bnz n. Varend e, H na del, Hubert,
con écrasante par 4,826 voix contre 12,405.
L'Eütrevua des decs empsreura
niers sans subir de pertos.
Nous avons effictué quelques tirs de destruc¬
tre, mais ce devoir n'en est que plus
Honger, Ernest Lafont, Bras ier, 1o guet.
Un detachement
ennemi a attaouó un de nos
ou la soumissioade l'Autriche
tion et de neutralisation
dn batteries,
de ré strict.
C'est
eux
surtout
qui ont N>us reconnaisson.» que p nsieurs de ces i postas k i'Ouost de Merville ; il a étó repoussC gtages et de nombreux tirs de harcèlement,
Les conférences entre les deux kiisers ont
choix sont deplorable» et quo .en sins de et décimè.
L'ennemi a peu réagi.
« charge d'ame»
dans la nation. S'en
comoiencé au G Q. G. allemand. Charles 1"
ces notus ne sont pas synonymy» d'apaiseL'artilierie
ennemie a été act've cette nuit
avait prés de lui Rurian et le géaéral Arz
acquittenl-ils
?
m -nt.
dans lessecteurs
da la Somma et da l'Ancre.
von Stripssenberg, Gnillanme II était enITALIË
M.
le
président
anuorce,
en
séance,
qn'il
**#
touré d Hindenburg, de ' Ludendorf, d Hsr- M, Sazonoff devant un Conseildeguerr»
AVIATION
a r<-Qu unt, tiemaude d'ioterpetlation
de
Rome, 14msi.
tbr.g, de K"hsmann et anssi dit-on, du kron
Des avion s britanniquas
de Dunkerque
ont
Ie danger
d'une
longue
guerre
M. Liirolle sur l'ass r.snc des soïfcU et
P'inz. Ou voit qua des deux rötés ('élément
Des tentatives ennemies au moot Csrno, dans
Les journaux anno.ncsnt, par voio holbomoardé,
entra
ie
6
et
la
10
mai,
les
docks
comme celle-ci c'est de modifier peil a marins en ca» de déeès CeHe interpeliation
civil
et l'élément militaire étaieut represen¬
Ie val Caloino et au val Ornio ont été enrayées
landaise, de source alkmmde, que M Sa¬
d'Oslende,
la
base
d'hydravions,
la
móle,
les
est
fixee.au
vendte
it
t7
mai.
tee.
pen les habitudes
de pensée. Dans un
zonoff, arrêté en Crimée, a passé devant le
maritimas
de i par nos feux.
La Chambre repreud ia discussion des ; éciuses et les éUblissements
D'après Ia presse allemande i'AIIemagne Conseil de gnerre allemand.
Des patrouilles
italiennes et anglaisesont
fait
temps oil légilimement
la force est au interpellations qui visent.jt des titres divers, Zeebrugge.
vent obtenir de l'Autricha nn resserrement
irruption
dans le village de Psdescala et dans
U i mcendie a détruit
le hangar d'hydravions
premier
rang de nos préoccupations,
les restrictions aomeotaires.
La Question de Pologne
des tranohees, au Sud d'Asiago et ihffigé des de l'aüiance basée sur des conventions nouM. L»brun, ministre du b'ocns, répond d'Ostende
l'esprit public
peut êlre tenté de se
pertes aux adversaires.
velies donanières, militaires, économiqnes
S:x apoar.eils ennemis ont été abattuset deux
anx
observations
piésemees
par
M.
P.
drier
An
moment
oü 'es deux empereur»d'Allf-magno
laisser
gagner
par la violence,
ses de N >.rcay, qui a attribné, poor une oart, Ét autres contrahits d'atiërrir.
et sans donte poiitiques dont les articles fe- et (l'Autrichedisenteal
Aotions des deux artilleries
plus actives
probsuiement le sort de la
raient
partie
do
la
constitution
des
pays
in
conceptions
et ses solutions.
Pologne,
la
Gazettede
Lausanne publie l'informa,
Un das nötres manque.
des asportations ex gé.rées de nos produits
Onze avions ennemis
ont été abattéressés
;
d
autre
part,
ia
presence
du
gé¬
lion
suivan
e,
qui
est,
écrit-elie,
« paivenue de
La 12, tout vol a de nouveau été impossible,
II est frappant
toutefois que ce soient
ft l étraiigar le reachenssentent
du prix de
tus. Dês aviateurs
anglais
ont bom
néral Arz fait croire A certsios que Gnil¬ Petrog-rada Lausanne par une voie qu'on nous
sauf vers le soir oü ia visibilité
est devanue exla vie.
les cornbattants,
ceux qui font le plus
barde efiRcacement des baraquements
lanme II voudrait qne l'Autriche attaquèt garanlit digno de toule conflance ».
M. Lebrun cherche k prouvr par des cbif- celiente.
ennemis,
dans les environs
d'Asiago.
usage de la Jorce et qui p&tissent le fres
l'Italie en même temps que reprendra la
Un traité secret a été signé A Brest-Li-,
Ella a permis k nos aèroolanes de faire beauque 'es reproclies d ■ M. Poiriet. ae
poussée allemande surle frontfranco-anglo
plus de ses coups, qui ont le moins
tov k entre l'A lem igne et la Rassie coucer«
N ..r?. y ne sont pis fondés, notam ment en co up de bon travail en liaison avec notre arbe'ge. VoilA pour les projets.
nant Ja Pologne.
change. La demonstration
en est faite
ce qui eoncerne ia 8ats.se. Les, c-reates et tiherio.
On a beau faire, ils appiraissent comme
En voici les points princip.tux :
Plug
de
buit
tonnes
de
bombesontété
lancêes
les
autres
m
oières
premières
fournies
è
ce
journellefnënt
par le trait ement^t es
una
sanction
appliqnée
a
i'acle
d'indéieipays n'ont fait qu» transiter par la France, sur différents objnctifs aux environs de Menin,
1. L'Allemagne obtient le conlröle politi¬
prisonniers
dans les premières
lignes..
dance
de
Charles
I".
Le
voyage
lui-mêtne,
La Bas sée et sur les Docks de
venant des E ats Unis ou de i'Argeiuine. Les* Armtntières,
que absolu sur toutes ies parties de la Po¬
plusieurs
fois
ajourné,
semble
nn
pèseriC'est sans dunte qn' absorbés
dans
quantités entrees en Suisse n'ottt jamais dé- Bruges.
Salonique, 13 mat,
nage de pénitence. En qnittant le G. Q. G. logne.
leur
rude
devoir quotidien,
ils se passé les cli flres fixés par l»s atiiés.
Au cours de combats aériens,
six appareils
2. La Russia ne voit pas d'objection aa
éssez grande activitê de notre artillerie
et da al emand, Ch tries I«' ira faire p rt des vo
ennemis
ont
été
elesoendus.
M.
de
ia
Tremoutie
se
plaint
de
la
réparticas oü I'AIIemagne voudrait annexer les
contentent
d'opposer d l'ennemi toute
lontcs
de
Berlin
anx
autorités
de
Vienne
et
nos
reoonnaissances
d'mfanterie
dans
presque
Un
de
nos
appareils
manque.
tion des farioes et assure que diverse» re¬
miniers de Djmbrowa, faisint par¬
la vigueur de leurs armes,
de lenrs
de Bidapest et se rmdra ensuite a Sofia et districts
tous les secteurs, particulièrement
sur le front
Pendant la nuit, 14 tonnes de bombes ont été
gions sont moins favo-isses que d'autrft»
tie des gouvernements de P. trokofiet Kiolce,
A
Constantinople
oü
il
ira
témoigner
publimuscles et de leur courage
et qu'ils
serbe
et
dans
la
bouclé
de
la
Gerna
oü
plu¬
jetées
sur
les
gares
do
Douai,
Marooing,
Chaulet que les rations de p in y 'Ont senlsment
certains districts du gouvernement de
qnement de la sincérité des sentiments de et
sieurs coup8 de main ennemis ont été repous¬
r.ns, sur Bapaume,
Péronne et les docks de
réservent
leur pensée pour le rêve tou- de 230 grammes, pirfois 200 Les decisions
Suwali.
l'Antriche
A
l'égard
des
petits
aliiés
des
ses.
Bruges.
du tnmisire du ravitaiilement 's int contra3. La Rnssie ne s'opposera pas A la pro¬
jours caressé d'un retour au paisible
Bilkans. 11r^ntrera ensuite A Vienne» C'est mulgation
Les aviateurs
allies ont bombardé
Un de nos appareils n'eat pas rentró.
dictoires. Panrqooi, critiqnant vendreii ia
de dispositions spèciales concer¬
foyer. Pour celui qui ne se bat pas,
IAque
les
diffiuuités
coramenceront.
carte de vi m ie, i'a-t-il èubüe dimanclte,
les dépots de Demir-Hissar
rt ies ter¬
nant la possess on des terrains pétrolifères
L'acoord
«
pragmatiqne
»
qui
ne
pent
des aspirations
belliquenses
peuvent
Soir.
pour aujourd'hui matdi.
rains d eviation
de Resna.
Un avion
qn'aggraver I'état da dépendance de l'Au¬ en Gaiicie.
être nne satisfaction
morale
■— pour
M. Beret nie toute contradiction. La me4. L'Allemagne ne s'opposera pas A ia pro¬
ennemi a été abattu par l'aviation
bri- triche rsncontrera-t-il on accneit favorable
Ge matin,
après une forte préparation
J'arpaganda socialiste russe en Pologne.
eelui qui se bat, l'espoir,
c'est line sore a été prise au dernier moment, dit-il,
tiherio,
l'ennemi
a attaqué, sur un front d'un
tannique
prés de Livanovo.
en
dehors
des
mi
ienx
hongrois
et
des
mi¬
pour emoécher la ruée dans les boocheries
5. La Russie s'engage a soutenir A la fu¬
humanité pacifiée.
lieux allemands d'Autriche?
a la veilie du jour sans viande. E . realité,
ture conférence de la paix le point de vne
Ou
peut
répondre
qua
non.
Tchèqnes,
Entretenir
l'espérance,
c'est aussi
il s'agit d'nne simp e rnesnre de pol ie ponr
que la question polonaise est une question
S ovènes,-Yougo-Sl>ves, Polonais ont assez allemande
tion germano austro hongroise et tnrooe,
permettre
aux cornbattants
de bien se empêcber l'acci parement, le gis oh - 'ga et
et non pas nne question interna¬
clairement
montré
depuis
quelques
semaiaiusi qnp les frontières de l'Ukraine
de la
l'échecdes mesures prises pr eed-min nt.
tionale.
battre.
nes
qu'ils
espèrent
plus
que
jamais
leur
inF.n'ande et que cessent iromediaiement les
M Regard insiste pour que le ïêgime de
6. La Russie prendra des mesuses néces¬
bostiiités ainsi que i'occupation de Sé- dépendance, ce n'est pas eux qui donneront
la r. s iction sou ega poor'tous.
saires
pour désarmer les contiDgent3 mili¬
leurs
voix
pour
le
vote
de
Ja
nouvelle
con¬
bastopol.
QTJATHE
HEURES
MATIN
M. Boret assnre, avec quelqne philnsotaires polonais existants et s'opposc-ra A la
vention austro-allemande.
Si bien qn'en formation
Non, il n'est pas possible
que l'es¬ ph e, que touies ies mesures o it F r bon
de nouvelles unités.
mème temps qu'il élabore de nonveaux pro¬
et leur mauvais coté. il s'agit de sivot si le
prit JranQais soil a la merci de cette
7. Au cas oü I'AIIemagne croirait néces¬
LeCabine!
roumain
aurait
d
émi^sionné
jets, Charles I«r va devoir songer aux mesu¬
bon
l'emporte
sur
le
mauvais.
II
sera
néces¬
saire de changer sa politique envers la Polo¬
guerre, puisqu'en
Jin de cotnpte, c'est
saire d'operer le receasement
góaérai du
Amsterdam — La Nieuw R ittei dams an- res nécessaires pour combattre I'opposition gne, la Russie s'engage A considérer le traité
lui que nous déjendons
contre I' esprit
des
Clements
anti-antrichiens
d'Autriche.
béiail.
0000? de source allemande que la Cabiuet
(Conimuntq ié de l' Etat-Major.de la Marine)
En ce qui concerne IVflfensive surle front ci-dessus comme non avenu.
prussien.
Nos ennemis
ne remporteroumain a démissionné.
M Boret recne'lle encore d's p'aintes snr
itaiien,
les renseignements obtenus par nos
Ces stipulations paraissent être superfiies
Rome.—
Duns
la
nuit
du
12
au
13
ml,
nos
ront pas sur nous cette vicloire mo¬ Ie p' ix infimede* ■-t ons a -.--ome, sar la réalliés en cours de reconnaissances et de après i'artiele III dn traité de Brest-Litovsk,
torpnieurs ont attaqué un convoi ennemi
rale, pire que toutes les autres,
de qui iiiou des ehevaux d'expiottations agnqui, sous IVscorte ue torpilieurs, naviguait
vols d'avions sont de natare A soutenir cette aux terraes dnquel « les territoires situés A
NOUVELLES DE RUSSIE
nous J a fonner , bon gré mal gré, une coles, e c.
le but o'entrer è Durazzo
hypotbèse.
I'Oaest de la ligne conveaue entre les par¬
M. G ochard développe une nouvelle in¬ daris
Nos torpilieurs oot couié nn batimentties contractantes et qui ont appartenu
&
Mofoou. — Dis noaveiies de F.a.auae anmentalité
a leur image.
terpellation relative k ('attribution de ia ra¬ triniport et frappé ucs de.» unites tie i'esEenseignementaet Commentalres
la Russ e ne servnt p us soumis kv^asouveNous nous opposerons de toutes nos tion de pain vra'ment insuflisante allouee corre. II» vont renttés ensuite indemnes k noncent que Viborg a été occupé par la
Girde blanche.
Le correspon lint vi nnois de la Nouvelle Gi- raineté rasse ». Uae fois qus les bolchevisforces, Jusqu'au
sacrifice sup >ême s'il aux travailleurs des vdles et d s campagnes» leurs bises.
Una déiêgation ponr la paix est partie Zett- de Zurich Conne sur l'^ntrevue ae Char¬ tes avaient signé cette ranonciaUon géné¬
M.
Boret
declare
que
ia
ratio
i
supplemen¬
les I" et de Gullaunit)II les renseigneinenti sni- rale, on ne voit pas pourquoi I'AIIemagne
le faut,
aux pretentions
d'une
race
pour Koursk oü anroot lieu les négociations
taire est toujours acctrdee aux veritables
vants puisés, saus doute, A des sources offl anrait tenn A obtenir leor automation pour
avec ia delegation d« l'Ukraine.
soi-disant
privilégiée,
au pouvoir
ab- travailletirs.
cieuses :
régler Ason g~é le sort de la Pologne, ni
solu qui voudrait
régenter
le monde,
Le ministre continue è répondre &un véOn n'a pas signé de convention paree surtout pourquoi elle leur aurait prorais de
rd.ble
défilé
de
dépntés
rnraux
et
cotoniaux
a la puissance
militaire
qui prétend
Paris. — Le gouvernement,
poursuivant
laisser la propaganda socialiste russe se döqu'on n'a oas disposé du temps nécessaire.
qui parient pour leurs électeirrs, jnsqu'ao
LA CRUE DE LA SEINE
Fapp ication de la loi Mourier, a décidé de
tout régler par la violence, — mais,
On a fixé les lignes générales, il n'y a pins veiopper dans ce pays. Si le traité en ques¬
moment oü .a Chambre fatituee, se iroave
m t>re k la disposition du général comman¬
Pa'i s. — a Nojent-aur-Ssiue, la crue con¬ qa'A procéder A leur traduction. On pent tion n'est pas apocryphe, it doit done être
pendant
et après la guerre, nous repèa 8 neures du soir en presence de sept or- dant en ch "f tons les ouvriers mobilises des tinue
La Seine atteignait, hier, 2m.52 au dire que les négociations
qui viennent antérienr A la paix de B est-Litovsk De
dr.*s du jour.
terons, comme avant , chaquc fois qu'on
Classes 1912, 1911 et 1910, ainsi que les ou¬ pont de Pèyronnet. Toutes les prairies sont d'aboutir avaient commencé depnis long tonte fjcon, un pareil Ira ié ne pourrit être
Elle
d
one
sa
préférence.
par
nn
vote
k
nous dira domination,
« liberté »,
vriers mobuiaés, «lecriaines catégories seu- sabmergees.
temps sons la direction du comte Czernic. qu'one precaution allemande contre l'Antrimi ns levees, a i'ordie on jour Renard, ac- Lment, des clasie» 1909a 1903.
chaque Jois qu'on nous dira Jorce,
che-Hongrie, et I'on ne sera pas étonnó si Ie .
L'aliiance des deux empires reste une allian
cepie par le gouvernement.
Il sera tenn comp e, daus une certaine
ce defensive. On sait que par les traités pri- gouvernement allemand éproave lo besoin
« droit », — chaque fois qu'on
nous
Cet ordre du jour accords ia confi nee an mesnre, do temps déjé passe au front, dsns
mitifs les deux contractants étaient forcés d'en dementir l'existence, au moment oü
dira race, « humanité
».
mini3tre tout en l'invimnt è assurer is ra- i'-.'xarnen des exceptions qni pourraieot ètre CONSEIL DES MINISTRES
d'.ntervenir avec toutes lenrs torces mili¬ Charles I" est l'hóte de Guiüaume II.
viuillement
des
armees
et
d«
la
population
t'
Et ces mots qui ne sont pas des
.ite», dans des cas t péciaux, ainsi que des
taires, dans Ie cas oü l'un d'eux auratt été
civile, è réduire au strict minimum iss ms- fblessures
rtyaes an front. *
L'Allemagne dèporte des Polonais
mots de circonstances,
mais qui ap- truciions, è exceptor des ré i Loos ies
Les ministres réonis hier matin A FElysée, atiaqoé par ia Rns*te, ou dans le cas oü Ta
A propos de ce"e r^léve le bruit a couru
sons la préaidence de M. Potucaré, se sont Russie serait intervenue dans nne guerre
parliennent
d la meilteur< Langne
boeaf» et autres amm i-.-.xd tav u, a creer que
On mande de Cracovie A la Noun-lie Ga¬
les ouvriers mibüisés seraient remplades -b ttoirs et \ ins n • r un maiériel de cés par des améncains. Ce'te nouvelle 'est entretenus de ia situation militaire et diplo¬ aux ró és d'an ennemi d'anedes puissances
frangaise,
nous les répcterons
quel
zette de Zurich du 13 que d'après les informa¬
matique.
centrales.
tion^ repues de Lublin, des Polonais qui
que soit le sort des batailles,
a nos Couservadun 'le la viuude.
absolnment fausse, roper«tion s'effrc'-uant
D ns I'entrevue do 12 mai 1918, le caracM. Hrnry Simon, ministre des colonies, a
Seaucti j, udi.
suivant les déclaratioas fa tes par M. Lou- fait aporouver par Je Conseil, la creation tère défensif de l'aliiance n'a nuuement été s'étatont, en 1915 réfugiés en Russie et qai
ennemis comme a nos amis.
cheur éi la Cbambre, le Ier février, disant d'un hópital colonial A Marseille. Un projet modifié. L'Eatente ne pourra dire que le cherchaient a regagner leurs loyers ont été
L'espoir qu'au
milieu du cataclys¬
relenus A Minsk paries autorités allemanqu'en ancune f. c in et sous aucun prétextg
de loi sera prochaioement déposé.
bloc des puissances centrales a été constitué
des qui les ontcoutraints, en leur refusant
me actuel le monde conserve encore,
-ATJ
SÉÏsTAT
que ce soit, d nsaucur-e usine, on ne reniLe Conseil a décidé que M. Georges Ley- avec des intentions agressives. On ne pou- toat ravitailiement, A s'engïger comrne ou¬
ne pourra
se rcaliser que si la France
A la demanne du minis r, des finances,
jjJacerales ouvriers francais p>r das ou¬ gues, ministre de la marine, representerait
vait song»r A resouveler pnretnent et sim¬ vriers pour travailler en Allemagne. Lea
on aj our ne une interessante interp*. :tion vriers ou soldata des armees ailiéea.
garde jalousernent
son génie propre.
ie gouvernement A la conférence orgamsée plement Ie traité ; en efifet, la Rnssie n'existe journaux de Varsovie donnent des rensei¬
Ie 24 de ce muis, sous la présidenc de M. plus comme puissanc* militaire, et d'autre gnements analogues d'oü il ressort qn'ua
le génie de la Itêvólulion
qui, Men de M. Gaudin de Viilame sur k -nu.. non
tule d l'epargne traupaise, creanciere de
Paul Deschanel, et qui doit ê're faite par part une expérience récente a montré qne trés grand nombre de Polonais ont été óirecque celle-ei Jut entourée
d'une
nuée
l'Etat russe.
MM. Miilerand et Laeour-Gayet, sar l'effort le monde prisque tont entier s'est coalisé teinent (ransportés de Russie en A:foru>gn0.
Concours
pour1'in^ppcfion
départementale
d' ennemis, rayonnait
par dessus tou¬
Le ministse désire, avant de aépondre,
naval anglais.
co itre les puissances centrales. Le casus
du travail
s'entretenir de
question avec L ' C > seii
tes les fronlicrcs.
Le maiistre de la justice a fait signer par foeieris devait être prévu dans l'éventualité
Une démarche des Japonais a
des ministr s ; c'est done un simpie delai
Ie president da (a République un projet de de ('intervention de paissances autres que
Paris.
—
Un
coegours
pour
buit
emplois
Ifladiyoslock
accordé a M Kiotz.
la R issie.
d'inspeotrice fléiartemeniale
stagiaire du loirelatifA {'organisation, au recrutemeat
Le Sénat discute ensnite nn proj»t rou- travai' ser- ouvert Ie itin-ii 4 novernbre.
et aux trait ments de la magistralure et des
L'Allemagne et l'Autrichs-Hongrie vont
Selon le correspondant du Times ft T Ido
cernanc l'evaP.auou de la propriete immuêtre amenées A tirer parti, dit-on, de cette les représemants des associations jaooo^isea
L s éprt'Cives écrites ( oromenceront k neuf justices de paix.
bilière en matière de successions, donations
guerre.
Elles
ont
concia
une
ailiaccs
défenLe sous-stcreiaire d'Etat A Ia justice mili¬
établies A Vladivostok, et dans d'autres villes
heurt-s du matin è Rotten, Les éprenves ora¬
et eoliasges.
taire a soumis A ia signature dtt p ésident sive non senlrment contre la Russ-e, mais de Siberie, sont arrives è Tsuraga et se rentes seront subies a Paris. Les demandes
Le
ministre
des
finances
propose
qne
I'imanssi
contre
les
autres
puissances.
Cette
al¬
Un de nos pins habiles bombardiers, le
dront A Tokio pour y conforer avec le pre¬
d'admission, accompagnees de toutes piècss de ia République un projet de ioi tendant A
édicter pendant ia durée de la guerra des liance n'est nullement en comp ète contra¬ mier ministre et Ie baron Goto. Ces repréCapit ine Motilities, a été toé a a cours d'nne pót ne soit pas perpu daqre» la déc>aia- nécessaires, devroat oarvenir au ministère
tion,
mais,
an
moms
provisoirement,
sur
patnis coirectionnelles aux psrsonnes ayant diction avec l'idée d'une Sociêté des Nations. sentants déclarent qu'une intervention se¬
cxpédition eu -Champagne dans la nuit du
do travail, avant la Ier novernbre.
evaluations adroinutratives.
C'est une alliance défemive qui a pour bat rait urgente.
26 au 27 mars.
Deux plac s sont réservées a des veuves fraochi ou icnté de franchir irrégohèrement
Le
Sénat
passe
outre
«t
raiifie
le
texte
de
Le capitaine Pol Motilities, qni était che¬
de militaires ti és k l'ennemi ou décédes des les frondères ou ayant lr .nsporié des cor- de prévenir de coovelles gaerres; elle s'insla
Charnbre.
Les
six
articles
e,
('ensemble
du
valier de ia Ltgioa d'honnetsr, avait é'é
revpondauces non contrólees ou ayaut trans¬ pire du même esprit qae la Société des Na¬
suites de blessures de guerre. tions.
mis ou re?o des signanx,
l'objet de dix citat ons, dont six a l'ordre ae projet som adopté» A mains levées.
Le
Senat
entend
ensuite
M.
Chéron
sur
Le ministre de i'imérienr a présenté 4 Ia
l'ai mée.
On ne pent encore donner de détails sur
une
proposition
concernant
u-s
de^ais
com»
signature dn président de ia Repobiique un les conventions qui vont être signées, pais
Ii cevait fonrnir son dornier faitd'armes
mis
aux
propriétes
par
les
troupes
logees
ou
Nos « As »
projet de loi snr l'accessioa des inditènes
dans la unit du 26 au 27 mars. Ii était parti
qn'on fait seulement remarqner qne I'on a
Cant innées ebtz l'h ibitant.
avec le lieutenant Lecreux, son observateur
prevo des guerres poütiques, miiilaires et
Les jonrnani disent qn'an cours d'nn
Moscou. — M. Tchitcherine, repondint an masalmans algériens aux droits poiitiques.
M Chéron expiique qae la proposition ad- mtnis'rn des óflairps étraDgères d'Ailemapn-foré, pour aller bombarder Ia gare de
economiqaes. Ou veut que le bloc des pnis- comb3t aérien, i'« as » ariateur Gnérin a été
Yi- ux-les-Asfelot, en Champ goe. L'eq.ii- met ie recours conne les évaiuatmns et ac¬ gne, a déciaré que le gouvernement rusve,
sanc»s centrales soit pour ainsi dire couié blessé d'une bHIe A ia cnis»e.
cordé
un
délai
ponr
réclamer.
d'une seule pièce.
page ne revmt pas, Le 29 avrti, une leure
II compiait 23 victoires et venait da rece¬
est piêt A desarmer ia floite de la mer
Les
artift
es
de
ia
proposition
sont
votés
JEul
Grande-Bretagne
dn lieutenant Lecrenx, fait pnsonnier, anNoire, en la laissant ANovorossisk ou en la
La National Zeitung de BSIe, du IS mai, soir. voir la foarragère.
avec
de
legóres
moddicalions.
concait ia mort glorie<i?e du cap taine Mourappeiant ASébastopol, Ala cinditoa
qae
consscre a renirevue des deuxempereurs le com— Le sergent aviateur américain Biy"es a
Le Sénat Vest ajourue au jeudi 23 m»i.
lines "frappe pir una bade titve de terra
ceite niesuro s >it sul vie d'qn accord general,
Lord Derbyest arrive AÈo"dres.II a été meniaire sulvarit :
remporté sa lmitième victoire depuis trois
pendant que leur ai ion voluit trés bas.
IU. litNUÏ.
que soientpréciséesles ümitesde l'occupa- rtfu par M.Balfour.
1 il est certainqae des decisionsd'unejaaa-
EN ALLEMAGNE
Charles
I"ciiez
Guiüaume
li
LesEïémrafs
iiEt
DANS LES BALKANS
Dernière
Hem
UnSnccèsdela Flotteitalienne
L'applicatïonde la loi Mcrarier
MORT
DUGAPITAINE
MQïïLIIIS
Désarmemenf
ccndiiionnel
de!afioüe
russe
LA GUERREAÉRIEMS
/i
mourn
Ï& Petit H&rfw— Mercrfrfi15 Mai
EHCOHSEIL
DEGUlBRE
Lo téinoin afiirme qu'it avail ta uroii <ie ment redouble de violence. De nenf heitres
faire ce qo'il a fait, en se préceeupant des du sosr a huit heures du tuaiio, c'esl sur ia
prepositions de patx et en exammaat, com¬ malheitreuse gjre, nn déiuge d'obtis.
Ce n'est que queiques jours aprè3 qu'elle
me homme politique, le probième de ta
quitte fon pays, sur l'ordre impératif de
paix.
Af»Bacri. — J'oubliais de demander AM. Cail¬ son chof de dépó' et de son sous-uhef, qui
laux queiques precisions su sujet de la visite a eux au-st sont resiés Jè.
Un mecanicien et on ch.uffeor qni sOit
M«messetau voyage qui a élö fait par Landaua ce
Des omissions invo'o taires se sont promoment. Je voudmis savotr si, dans l'esprit de restés pendint c?tte nuit tr .gique sur leur duites dans l'enumeratioa que nous avons
Audiei * : de nvtrdi malta
M.Gaillaux.C8voyage
a
élé
une
promenade
qui
machine
ont
refill
ia
croix"
de
la
Légion
t'annor.Ci de Si. Gaillaux av.it attiré nn ailait écbouer a Msm-rs, oo si, au contraire, ce
d'Honne, nr. C'était justice. Cette jeune hue, dotutié? des nombreuses person naiit'-s qui
Bombreux public au Palais, Dès huil heu- voyage a élé une emreprise coneertée.
n'a pas abaudonné son travail, n'a pas assistaient aux ob èques de M. Henri Génes¬
r« s at dcmie, pressés coatre ies barrières,
Ls président ; Voulezvous répoudre è cette qni
tal. II convient d'ajonter notamment les
des gens qui n'entreront pas s'écrasent et se question 1
, refiu de recompense. EFe ne réclame rien,
n uns de : MM. Albert Krause, meutbre du
M. Caillaux • Je lo venx bion. J'si requ quelque Muis ne sera-t-il rien tait pour ebe f
fcousculeót dans le vestibule de II irley. Pen¬
Conseil d administration
des j mraaux Le
dant es temps, les favorisfs pénètrent dans jeur, un jour que je puis préciserexactement, ie
la salie. Leur attente ne sera ni longue ni mercredi de Quasimodode 1917 (je puis iudiquer
Havre et Le fetit Have ; Billard, courtier
la
date
parce
que
c
Ia
se
rcfère
a
mon
discours
dècae, car a nenf heures trés exacument,
marüiaie ; I esauv g>, me more de la Cham¬
au Conseil géEérail j'ai recu Landau un malm,
K. Gaillaux est appclé.
entre odzb heures et mldi; it m'a fail passer sa
bre de commerce ; Ar bert, de Ia Mai«on
Dès que l'ordre est donné de rintroduire,
carte ; je le repos, je n'avais aucune raison de
Go «os ; Cbaiot, des liópitaux anxiliaires ;
tons les regards convergent vers la porte ne pas le recevoir. Je connais Landau seulement
Méry, secrétaire du Coaseil de Prud'bomdepuis la tin de 1916,et je saisis cette occasion
des téraoins. M. Gaillaux entre. La tèe
mws, — et c ux aussi de M. Coulon, adliaute, le regard droit, il parconrt Ia lonle pour dire en passant que je l'ai toujours trouvó
Paris, 12 m«I.
rainisirateur dn Jownal du Havre, de MM.
d'rin rapide coop d ceit circulaire et, d'un d'une correction impeccable dans tous les rap¬
ports qu'il a eus avec moi.
Vendreli, M. Victor Boret, ministro an Victor Chopait. directeur, et Gabriel Palaize,
pas Jécidé, pénètre dans le prétoir8.
11me fail done paster sa carte, je le repois et, ravitaillement et de i'agncaiture
a com- redacteur en clts f du Havre-Eclair.
après une conversation banale, ii m'indtque qu'il
est de passage a Mamers. 8lsant en auiomobile menci, devant la Chsmbre, la justificGion
En nons excusint également ds toutes au¬
avec sa liancée, avec M.Goldskyet deux autres de ses décrets sur ies jours saus viawde Oa tres omissions, nous renouveions nos rsLe eiaoe et la figure de M Caiilaux sont amis qu'il ne m'a pas nommés. II faissit ft-oid, ne l'a gaère éconté, paree qu'on attendait
metcifments les plus siucères A tons ceux
ëcarlatea. A la tempe, le relief de l'artère dit nous êlions a la csmpagne, je n'ai pas Fhabitude
ca grande nervosité. II sembie piatier. II se de faire attendee a mi porte les automobiles ; je avec impatience i'arrivéo des d- légués amé- qui out bien voulu apporter A la mémoire
recaeitie queiques secondes avant de répoa- priai qn'on enLdl On est entré. Nous étions avec ricaius qui devait é re le sigaal de ia levée du regretté président de noire Conseil d'Addre, pais il parle, de Cfrttevoix menne qui M.G.,ldsky, M. Landau et MmeVial, lorsque j'ap- de ia séance. Jb dois pour être sincère ajou- ministration
le témotgnage de leurs prola presence de MM.Marionet Duval.
est en perpétuel liïlèlemeat : « Je ferai une pris
J'ai vou-u éviter toute conversation politique et trr que tous Ies arguments de M. Vicior fo des sympathies.
déposition compléte. . . »
donner a cette entrevue le caraclère que je lui Boret n'ont pas été excellents. Ce qu'ii n'est
Mais le président I'arrëte tont de suite : attribusis, celui d'une visite en passant ; tout au pas arrivé a démontrer c'est le caractère
« Répond z i la question settlement. »
moins |e voulus que, dans mon esprit et dans la
Ün bref dialogue s'engage alors, le prési- réalité. cite cttt ce caraclère ; et pour le bien égalitaire de sa mesure. Kut être que
Bureau
de Sienfalssiiiee
mardi procbain Ie ministro sera plm psrfleut voulaut liraiter la déposition a Ia ques¬ mcrquer, je priai MmeGaillauxde descendre.
A la mamoire de son regretté mari, Mms
11y eut tin entrelien toul • fut banal sur la po¬ suasif et je ie sonbaite vivement, mais il
tion posée, M. Caitiaux désirant s'etendre
litique en général. sur mon discours au conseil aura beaucoup de mat A prouver que la Getteuai a fait remettre A M. le maiee ans
plus complètement.
que Landau me dit qu'il avait lu la veille
som me de cinq mibe francs pour les pauvres
Le president déclare qu'il a transmis au general,
dans un journsl, ce qui me permet de citer exac- privation de la viaude atteiudra les gerts du Bureau de Bierttamuce,
capitaine Boucbardon un long msmoire que tenaect la date,. ., sur la revolution russe el sur riches pour lesquels les b'-uchers auront des
lm avaitadresié le témoia et qui n'avait pas les pelits chiens. L'entretiendura un quart d'heure, complaisances bien naturelles, et les ména¬
Je lie jugeai pas a piopos de retenir a ma table. ges prévoyants qui sauront acheter de la
da rapport avec lo procés actnel .
Ïip G4uné«-jal lieiH-ms» wvftssö'cröllst
Bacri précise sa question. 11veut sa- J'indiqual a ces messieurs la rouie et je leur dis
voir si M.Gaillaux a parlé de Murx è Landau, ou il y avait des restaurants. Ces messieurs parti- v ande en quantité suffisante en vue des
de Léojtold
rent.
Voila
quelle
fut
l'cntrevue.
jours
cü
les
bouchsries
demeureront
closes.
eu septembre 1916, quand et comment FanLe général Leman, te héros de Liège, acII
reste
évident
que
seront
seuies
atteints
Ensnite, Marion prend la parole poor
cien président a vu le fameux Marx de Munntceiienarnt a Rotan, vient d'être eomtné
préciser sss propres declarations et il engage les Francais vivant au restaurant. It est non gr ".od'croix d l'ordre de Leopold avec palfieim.
one légère discussion avec M. Gaillanx au mains certain que les aliments de remplace¬
; Voici ia réponse dn tómoin :
Sur la question trés préeise de M«Bacrl, 11faut sujet des relations de Marx avec Duval, et ment, c'est-a-dire les lég mss, les oeufs et le
quo je répondc avee quelque détail ; il fsut qua du nom de ce Marx prononcé par Landan. poisson vont augmsnter encore sensibie; ï'explique comment i'aierte est survcnue, comJf. L»iilavas.—Moncolonel, je ne puis quedire
i ment j'ai étó conduit a faire venir M.Landau chez qn'en aucun ess, sons aucune forme, et je suis ment. M. Victor Boret ayant voulu risqoer
inoi, 11faut par conséquent que je else quels d'aeeord, j'en suis sfir, avec M. Landau, je n'ai l'autre jour Faffirmat on qne le poisson
1 étaient ines rapports avec le Bonnet Rouge*Je jamais prononcé le nom de Marx.
arriverait en plas grande abondance, il s'est
j suis obligê a'entrer dans queiques exptications,
Seancespéciale du 14 mai
Landau. — J'affirme, mon colonel, qtie M. Gail¬ attiré queiques interruptions aasez judicieuje pense que vous ne pouvez y voir des inconvé- laux
ne m'a jamais parlé de Marxde Mannbeim. ses, car depuis hnit jours le poisson a subi
P
é8!daoce
de M. Sounen, vies-président.
Blests, tout en restant dans le cadre de la ques¬ II m'a parlé de Duval, dont j'ignorais l'cxistenee
tion qui m'est posée.
ftj. Soulier, prononcé !'"loge funebre dé
a ee moment, et je ne savais mêine pas qu'il y une hausse telle que seuls les restaurant» de
J'indique done tout de suite qu'ayant parlicipé avail un Duval au Bonnet rouge. L'émotion est premier et de secoud ordre peuvent en of- M. H an Génesial et M. Marraud lit ia réJadis au Bonnetrouge, avant la guerre, lui ayant arrivée a propos du voyage de Caribsgèue, dont frir h leur clientèle. Hier, un méchant mor- pow^e
du président du Gonsau au témoiapoorté une contribution, non pas a son origine, tout au long j'avais lu dans l'Action franguse les
e?r tl est nó en novembre 1913et Acette ép que péripétiea ; et iorsque M. Caillauxm'a deaaandé: ceau de morue avec une pomme de terre gnag >de ctvofiance adreste par le Gouseii
Ie lui ai refusé ie concours qui m'ètait demandó, « Savfz-vons ce qu'il y a de vrai dans le voyage nageant dans du « tip » fondu nous était general au gouvernement.
A
A I AU *AC I AA AAA
A'A r 4
Oil"
e" lui ayant npporlé une contribation A raison AtX Girl ho.'r
compté 2 fr. 50 Quant a la solo et A »a J inLes remerciemenis
du Conseit
fl'un douloureux év nement qui a constdérablejpsqu'a gouste, il fiUi être un nouveau riche poar
mrnt bouleversé ma vie, j'ai aü chercher, pour
Général de ia Somme
pas mis
(éfendre mon honneur et celui des miens, des dans le secret des dieux, dans le secret de l'ad- s'en offrir.
appuis dans Ia presse. qui me (Bisuent dêfaut. miaisiration ni de la direction.
ft? Ie Prèfet fait part des remereie-roents
M. Vtc'or Boret, dont les Intentions sont
l'al été conduit a subvenlionner Aimereyaa, le
d> Cftnstil général de la Somme pour les
Je
suis
arrivé
au
Bonnet
rouge
eomme
un
fou,.
pures
et
qui
nous
veut
certaiuem^nt
dn
journal le Bonnet rougeet a verser una subven¬ dit Marion.. .
59.090 fr. votes par le Coaseil général da ia
bien, a formé le prejet d'imposer les repas Sri V--Inférieure pour is dèparieaieut de la
tion dé 40 090 francs, qui était épuisée avant que
Marion. —ParXaitemenL
survint la guerre.
Landm. — Pojt-èlt e, paree que c'est ma ma- A prix tixe A tons les restaura nis. II pense Summe.
Depuis ta guerre, je msrqne ce point nette- nióre
de faire dans la vietje suis un passionné... taire ainsi cesser les abus de certains étament, ni (firectement, ni indirec ement sous
La Qus8flon de la Viand®
A 9 h. 3u, M, Gaillaux qiiiüe l'audienee et la blisseraents, plus soucieux de ealisfabe la
aucune forme, en aucune. mattere, je n'ai «pporté parole
aussitöt donnee a M»Gaunicbe puur
A 5a dernière sesaon, Ou avait décidé
ou fait apporter un concours pécuniaire quelcon- schever,est
goinfrerie ou la gonrmandise de leur clien¬
la
defense
de
Marion.
Mais
i'audHoire,
que au Bonnetrouge, et j'indfque quo le concours
tèle que de se plier aux exigences de l'ali- d'examiuer le voe ) da MM. L tvoinne, Bqucp cuniaire que j'avais apporté anterieurement et refevenu bouieux, quitte en partje la talie.
. mentation générale. N tu ellement, les gros tot et Lorroier, sur Ja t xation de ia viande.
qui était appuyé par le concours pécuniaire d'un
Ce vee t réclamait la rest' iction ds la congroupement oolibque ami demoi. matsdrigé par
bonnets de la restauration pai kienne pro- ."©m.ciuiou, la surveillance et la ^organisa¬
Audience de l'aprës midi
nn hommed'Etat connu, ne permeltsit pas au
testent contre cette réglementation. II est A tion du mare hé de ia Viilette, l'abanaon du
Bonnet rougede subsister »prè3 que les hoslililés
Suite
des
Platdoirlen
craindre que ces honorables marchands de prol f de requisition générale.
furenl commencées. II a irouve d'autres con¬
Dsns une salle a moitié vide, M»Racri se léve soupe proflient de la circonstance pour iuft? Berge montre comment les prix de la
cours et, nécessairement les directions poliliques
Landau. 11 s'impose d'abord la ldv.bedo dé- fliger de nouveües vexations A leurs mfor- vianae sont fouisés par ies abus comm s au
qu it a ones sont venues deeeux qui lui ont ap¬ pour
monlrer
que
l'aocusé
vaut
mieux
que
sa
reputa¬
porté ces emeoura.
marchè de la Vtlleite qui est le marché ré¬
; il pa»se aux griefs que lui fait i'aceusation tunés — ou AleuE4 fortunés — clients.
Tout cela a pour objet d'indlqner, et je me per¬ tiontenle
u'expiiquer qu'oo a heaucoup exagóré
Le mioistre du ravitaillement, dont lo tA- gulateur des cours.
mits de reprendre ce que j'ai ail a p'.usieurs re¬ et
En 1917, les arrivtges sont pins grands,
de Lat.dau au Bonnet Rouge. Tout cela cbeest ingrate, agira sagemeat en ne s'émoprises, que jamais sous aucune forme, en aucune l'aclion
fort consciencieux.
la re>ève plus grande ; il y a une h.usse de
inau.èrr, je n'ai dirigé ou inspire une campagne estpms
tionaant
pas
de
ces
menaces
des
grands
M»Lotwel présente la defense de Jeau
27 0/0 snr la viande nette. Or nous sommes
flans ie Bonnetrouge.
marchands
de soupe ; mais A cowihion
sous l'inSuence de ce marché.
Maisje m empresse d'ajoater qn'a diverges re¬ Goldsky,
prises le Bonnetrouge a pris ma défensc, m'a
« D'aeeordavec mon client, di!-i!,je viens vous qu'en rcèmè temps qn'nn p"ix fixe ii impose
M. Berge signaie aussi ies conditions désoutcnu, comme cela était son droit, et que, par demsnder la'llberté ou la mortd8 Goldsky. C'est une répartilioa contró ée dos aliments.
plorab es dans lesquelles se fait ie com¬
exemple, en décembre 1916. A la suite d'un i'slné d'une familie de huit enfants. A 16 ans, iiM. Victor Boret dsvrait bien veilier aussi merce de la viaude. Le mimstre de l'agridiscours que j'avais pronuncé le 14juillct 1916, a professe des opiulons libartaires et aniimilitsrisM.mers. 1cBonnetrouge ayant requ ce discours,, tes ; on lui reproche la condamnation encourue A une meilieure utilisat.o » des trains li culture vie st d'adresser aux préfets une
comme la plupart ties journaux, c^mme tous les pour ces opinions, fait remirquer. 1'avocal, mais s'est plaint A la Chambre de la crise d*s circulaire pour leur demander do favoriser
journaux. pour parler plus cxECtcment,a fait.des cette condamnallon s'spphque a la Guerre Sociale trausports. du manque de charboa 6t de la créatlon d'abittoirs industriftls avec frigorifiques. On est entré daas cttte veie pour
articles diibyrambiques: que lorsque sont surve- et a Gustave Hervö, dont Goldsky était alors le
matérieL Qr, au moment même oü il parlait, le ravitsiüement de l'armée.
nus les incidents de V.eby,au mcis fFaoüi 1.9;0, colisborateur. »
on
nous
raeontait
dans
les
couioirs
un
fait
Ie Bonnetrouge a encore trés ehaudement pris
La mnnieipalitó de Gournay, d'autre part,
Le défenseur montre revolution saivie par son
mon patti et fait valoir que j'avais étó l'objet client,
excellent soidat en temps de paix et pas extraordinaire que chaque jour des trains est décidée A achever soa abattoir moderne
dunt vérit&bletentative d'assassinat.
en temps de guerre. II est bien noté par rentrent A vide d'ltaüe. Ce sont ceux qui et s m trigorifiqne.
A ce momentlA, J'arrivai a Paris. Le Bonnet moins
ses chefs et I'aceusation dont il est l'objet et qui,, transporten! du charbon ch^z nos alliés. Or.
M. Berge voudrait que l'Adnalnistration
rouge venait, Adeux reprises, dans le mois de d'après
la defense, ne a'appuie sur-ausune preujuiilet et le mois d'sofil, de me pi'êter trés nette- ve, est Inadmissible.
dans le même temps, les Italians sep aignenfc préfectorale favor> at la créauo d'uu abat¬
ment soa concours, lorsque me revinrent aux
toir avec Irigonfique dans le poys ds Gans
raison mêsie du caraclère de Goldsky,et de de ne pou voir nous expéaier dss oraage# et
oreilies les cratis qui couraient dans toutes les saBo
pir eoorérative.
voloulé
patriolique.
le
défonseur
prononcé
une
,
faute
de
wagons.
«alles de rédaction et dsns les couloirs de la émouvacte póroraison qui souiéve ies bravoa de
AJ Lormier dit que c'est hontenx pour nn
Cbimbre des députés. J'en fus naturellement
; 11évoque le souvenir des deux fièras , 11y a done quelque chose qui ne marehe pays comme ia France d'être si en retard
érnu ; et ce que je viess de dire n'a d'autre but I'audHoire
Goldsky qui sont su front et, altendent aves pas dans notre administration. En voici une pour ia question dea abitioira ; ii appnie
que d'ind.quer combicnmon éaiotioa lut naturelle de
angoisse Is decision du Conseil.
seconde preuve qui, cella-la, concerne l'in
i'idée de l'expuflialion . coopérattve et vou¬
et comment eile fut iégitimêe.
L'audionoe est ensuita levée et renvoyée «u tendance. Les Américains sont A la recher¬ drait y iméresser ia chentèie, c'est-A-dire
j'appris done qifil y avait de Ia suspicion qui lendemain.
les bou'-here.
pesait sur le Bonnet rouge, et je vouius min for¬
che de boia pour construira des baraqne
mer. Je n'ai jamais mis les pieds a la rédaö.ion
M. Bouclot croit qne la réquiiition vat un
, ment», des voies da chemins de for, «ie Oa
du Bonnet-rouge, mats j'ai téiépboné. Ce fut M.
immense danger. 11 ne cr-oh pfcS.qae la si¬
-réquierioana pour eux nos loreis, au pe it tuation soit aussi aagoissunie que ie pense
Landau^je crots, qui vint ; j'ai gardé un souvenir
t a,precis de ta conversation que j'tns a*ec Aimobonheur et selon iea crprices des fooction- le miaistre.
reyda. mais j'ai conserve le souvenir de la con¬
naires chargés du ce service. Eh bien, il y a
JW.Lavoinne, lui aossi, appronve la créaversation que j'eusce jour-la avec Landau.
üq denil trés donlonreax frappe Ie pro¬ depuis deux ans, dans une commune de tiou d'abattoirs régionaux ; mais d'après aa
Je dis a Landau, avec la vivacite de tempé¬
rament que ceux qui me connaissent savent : testantisme franc its : la pasteur Charies l'Orne, six millè mètres cubes de boia tout plan d'. nsjfinbie, et il vent que la question
«.Ab I Cé 1 qn'est-ce que toute cette bistoire, Wagner, p.ésident cTboanaur de l'Union uasoit étudiée. II n'est pas partisan de la rnequ'est ee 'jue eet incident de Cartbagène, qu'est- tionale des Egfisis réfórmées de France, egt coupés qui pourrisseut sur place.
Si on faisait Cflniróier sêrieusemeni ie3 sura qui con^isterait A in erdire l'abatiage
ce qce e est. que ce Duvaiï »; el j'affirma ici mors diinanclie «air, il Neuilly, dans sa 62«
des veanx ; il est advers urede la róquisisous la foi du serment que jamais, a aueun mo- année . Pt était cn des chefs da protestantis¬
fonciionnaires par d s gens indépandants,
tion générale paree que l'Etat est incapable
ju ut, je n'ai prononcé le n >mde Slsrx.
des
gaspiliages
scandaleus
ne
sê
produiJ'ai dit simpleraent a Landau : «■Qu'est-ce qua me iibéral. Soa influence s'ètsndait biea au raient pas, mais ces Messieurs se contrö er.t de ia pratiquer avec. tact et compétence.
A3.Marraud assure AM. Bouciot qu'il s'ocC'est que tous ces incidents ?■Vemilezdone me deiè des limites de ton Eglise, et ses amis
donnerdes renseignements. » E», pour informa¬ israélites, eathoiiques ou étrangera k toute enx-mêmes et ni M. Yicior Borei, ni M, cupe speciaiement de l'abaitoir &<■
Gournay.
tion, 11m'eavoya Almereyda, avec le^uel j'eus confession, pienreront sa perte autant qtïe Loucheur ne connaissent ces détails puur- Pour la créaiion d'abattoirs nouveaux, ii
ace conversation, auquef je dentandai; « Qu'est- les fiJèics de si paroisse parisienne fciea tant graves, et dönt les frac-iais paieat tens propose au Conseil Général damoramer une
ee que cot incident de Gartbagêne t » II me ré- connue : « Le Foyer de i'Ama. n
Comaiissiou d'óludea A iaquelle parbcipeles frais.
pondlt qu'it n'y avail riea. Et quand j'ai deman¬
S'.'s livres céièbres : Jeunesse, Justice, Vafldó : « Q.i'est-ceque es Duval. . . » dont le nom lance,
Ne croyez voa3 pas qne si (es adminis- ront dea spéciaiiste3 des services adminisla.
Viesimple,
I
Ami,
etc.,avaient
ré
véle
tratif3 départementanx. Qn pourrait au beiu'avsit oté prononcé une ou deux fois, et que je
trauena étaient mieux lennt-s et qo'elles soin provoqner uue session extraordinaire
ne connsissais pas... Almereyda, pour porter bon k la Francs un des pluapuissants éducaienrs
aiont
pln3
le
souci
d'économiser
les
deniers
de
la
personnalité
morale
qu'elle
ait
jamais
lémoignage, m'a dit que Duval avait simpiement
dn Conseil Général, pour examiner le récoromis des imprudences, cela, au cours d'une possédés et demeureront une des sources pub iC3, on ne serail pas obligé da recourir
suüat de Ces émdea.
long ;e conversation que ju vous épargnerai.
vives oü s'abrcuvera, sans se lasser, Ftdéa- A de ces impóls mal éludiés comme eeux
Sar rapport de M. Lrbourg, le veen de
Ls président : I! me semble que vous aves ré- lisme chrétien et francais.
sar la vente des objiffs cljis de luxe ? Je MM Lavoinne, Bouctot et Lormier est
poadu a la question de M»BacrJ?. . .
Il
a
fourai
un
etïort
immense
depuis
la
Crois bien qu'on a fait illusion an public adopté.
il. Caillaux : Oui, inais il faut que je justifre
On nomma une Commission -poor l'exacomment je n'ei pas pu prononccr le nom de guerre, ne refus,act aueun appel, prêchant,
sur ces mots « taxes de luie-». Voici que le
dounani des coni'éreüces.écrivant d'aömirailarx.
aiafi de la creation d'abattoirs départamenTtmps
lui-móras,
A
l'annonce
de
l'lnterpelbles « tracts » pour nos soidats, presidant
Biea que Ie colonel-président estime que des réunions sans nombre, malgré une fa¬ laliondeM. Laboacq qui réclame l'abro ga¬ tans.
ö'auires explications sont inutiies, M. Gail¬ tigue croissants et i'aUération visible de sa tion de la los récente, reconnait que « la meLa ration de pain
laux veut expiiqner com meat on papier saaté. Au Sscours natioaal, a la Fraternité
sure a étó mal étndiée ».
fi?.Anoot demande au préfrt si ies onvriers
mentionnant le aom de Marx se trauvait
franco américaine, au Christian Herald ReEa fait la taxs —,1'expérienee vient de le ag icofes pourront recevoir 500 grammes de
dans le coffre-fort de Florence ; il parle de Hef-Fund, è toutes les oeivresde guerre qui
Lipschsr et dit ;
soiiicitaient son concours, il a donné tout démontrer— attaint ie vélement, i'outil et pain.
le médicamsnt. Elle ruintrait
la fibricaft?.Nibeile demande si l'on ne ponrrait pas
J indique done que Lipscher éeondnit, celui son dévouement, tout son temps et tout son tion de la soierie, des draps en France, au reviser ia base de ia distriüubon des fariaes
jIodi li était le porlc-parole, un haut personnage eftort, on pourrait dire toute sa vie.
ellumand iafts lequel je n'ai aucune espèce de
Non seuicment le protestantisme, mais la profit de nos concurrents étrangers. E le entre ies communes du département.
ft). Leverdier demaude au préiet coram ent
Coaliaace, je le dis sacliant. pesnnt mes mots, France et la démocratie perdeut en Charles aboutirait en Sn de compto A des pertes da
envoya —yimagine que ce fut lui — envoys un Wugnor une force rare, un patriots fervent salaires pour les onvriers et onvrières des on pQurra, dans ies campagnes, augmeater
aulrc mémoiro, dans les premiers niois de *i'an • (il éiait né en Lorraine annexée le 4-janvier
la part de l'onvrier agrscole sans augnieater
industries da vètemcat et de ia mode et eile ia moyenne de 300 grammes par commune.
aéc l9io. Qielque jour, un coup de telephone me
16-32),uu
craieur
religieux
et
ua
moraliata
ftit ioané : nn négociaot suisse, me disaif-on,
exéerait prob^blemént des chömages dou¬ D -ns fes campagnes, tout le monde est «oa■wouiai!
me voir, m'entretf-nir de quejUcn;. d'ex- de premier oi dre.
loureux et plains de pérü.
vrier de to ■ee. »
poflailoa et d'irnpoTtalioiïde msrcbsBdises franLes solutions écoaomiques qui semblent
D'autre part, M. Lsverdier appnie 3a re¬
iqsises. je is rafijis, eei ordre do questions m'intêressaat.
è premièra vue les plus séduisvntes «ont clamation de M. Nibeile sur la révision as la
souvent ies plus dangerenses. Oa ne de- base de la distribution des farines par comA peina dans raon cabinet, le persosnage en
qncssioBme remit uno env-elo^pequi ne portait
vrait pis établir des impóis A ia légès'a, par nttme-s, I! y a des inex.iCiitiides et dès inega.aucune suscription, et qui contenait deux bouts
das moyens simplu tes de se procurer de Iité3 chnqaaatee.
do papier. Ges deux bouts de pspier, vous tes Una
janna
(iliade19ensresfe
èsanpaste,
ft) Pézerii cite le cas d'une commune oü il
i'argent, saus étudier leurrépercossion daas y a 50 foyers, dont 40 foyers agriooles : snr
, coanaissyz. J'écoaduisis iuunédiatement mon vi¬
dans
lagars,
saus
lebomiiardeiiieiij
siteur, que je n'ai pas revu, et j'ai gardé tes deux
le présent et l'avenir.
750 personnes, il y a 250 homme», 250 lam¬
bouU oe papier pour les raisons suivantes ; la
Le couroge des cheminots! Nous avons
Pour nair, je me permeürai de signaiar A mes et 250 enfants. Alors qne les « onvriers
première, c'est qu'a un moment doaaé its pou- d^j-Arendu hommage è tous ceux qui, devaient cire uti es psur uce oeuvre ae justice, la r.'ui3 Ie débui da la guerre, ont si maguiS- M. Klots une des nonabreuses fraudes qui de force » oni actuellement 650 gramme3 ds
s'exereent couram inent poar échapper a sss pais, si on applique la reduction nouvelle
S'.eoaSeraison, c'est qu'il« étaient la meilleure
preuve, 4 mon sens, quo Lipsckar avait été écon- ®,tement, et dans ies pins périlieuses cir- taxes. Les vêtements d'hommes psient dix on les rédnira de 350 grammes pat' jour ;
canstances,
accompli
leur
devoir.
Et
voiai
duil de toutos lC3tentatives qu'tl avait faites auC'est une impossibilile absolue.
qe'on nous fait connxure un axempie plus pour cent A partir ds 173 ir. Or étant donaé
pr«s de ffioi.
ft). Tilloy signal© a son tour qne le pro¬
l'augmentation
du
prix
des
étaffe»,
un
vèMais,et c'e^l ici que je revies3 directement a emonvarit encore, si c'est possible de cat
bième est insoluble daos les commune» oulaAuesiion que mo pose M*Bacrl,je n'attacbai hóroïsaae quotidian. C'est celui d'%ae jeune
terneot d'homme qui vaiait iüö iraocs ea vrières comme Sottevilie, Saint-Eiienne et
au\une iBiportarce au nom de Marxqui était ius- iilie de dix-neuf ans. Mile Prevel.
1914 se paie journeliement ie double et ce Oissal, et que la populat on n'adtnrt pas ies
crit sur l'un des bouts de papier, que je mis dan3
Le 17 mars, ells prend, dans Ia gare de
inégailtés de traitement qui existent eutre
nd» envelcnpe avec ies autres "documents de Longueatt, son service de nuit. La grande n'est pas précisétnent un vêtemeat de iuss.
Eh bien, certains tailleurs vendentle costume les commnnes.
I'affairo Lidschcr avec ma lettre de rt fus, enve¬
loppe sur iaquellej'écrivis ces deux mots : « Pro¬ offensive allemande se décianchele 21 ; dans complet de iM francs au prix de 130,sax facAf. le Préfet dit que la carte d'a limentation
position de conversation 1915-1916—Monrefus.* la unit dn 24 au 25, la gare est soumise a un tare, mais se ionj verser 30 francs d'arrhes
iadividuelle tst la règle commune et natio¬
JVnfermai cette enveloppe dans mon coffre- bombardement sévèrr. Mile Prevel n'a pas
fort, je la déposai a Florence et, comme je n'ai votilu a bitter son poste. Pendant douze nails A la eomoiande et ne les inscriveat pas sur nale. II faut que tout le monde aide le gou¬
pas ouvort mon coffrc-fort de Florence depuis conséca lives, au lien de neuf, eomme 1'exige leurs livres. Ainsi M. Elou est roaié sans vernement a faire la sondare. Si on vent
bien partout a'imposer ces restrictions, la
septembre ou octobre 1016.je n'eus pas l'occa- le système de roolement étabij, ells ne controle possible.
soudure sera opér->e ; Ja moyenue de 300
sion de la relire. Je n'attacbai, je le répéie, au¬ quitie pas son travail. Ses camar^deo soct
Ei
vérité,
M.
Leboucq
aura
d-Vxcsileats
cune importance a ce nom, qui m'apparaissait
grammes est inóvilable. il faut s'en rapproermme un nom fictif. comme celui du visiteur parties ouand le canon a commencé de bom¬ argumeniaa prodnire pour dtm.inder a ia cher.
qji était venu me voir ; et )b rom de M. Msrx, barder irop iateusrmant et quand an tram Chambre
corrigtr iterreur qu'on ini a
M. le préfet demande chalenreusement
sa personnati'é ne furent affirmès devant mó\ oe munitions a sauté. Elle no veat pas t'ea fait cbiB^jritre.
aux conseillern généranx de Faitbr. II an¬
qu'éu juliiet 1917.lorsque IVffore du cheque sul aller.
nonce qne le 'lépartsmïEj va rtgsvsir 5.000
tuuaièdsas les Gouieitgig ia Qèmiii'iDac?la nuij sr 27 sa 2?, Is poiabaris,|E4N JAGQUEMfiST.j ftuioteu*fisrja,
" '
LePiocès
in«Bonnet
Roup:
Ghponique
Parisienne
L'Audition
deM.Cailkus
Les Ailocations de vie chore
Le Cooseil général, sur le rapport de M.de
Laborde Noguez, vote les allocations de vie
ehère aux agents du service vicinal, ce qui
nëcessite un crédit de 365,000francs par an.
La Semaine d'économle
Le prodnit de la semaine d'économie a é'é
de 368019fr. 63. M Titioy en expüque la répurülion entre les (Eavres qui secoureni ies
prisonniers de gcerre.
Ea fin de séance, des rapports divers ont
été adopé3.
Hommageitalien a la Belgique
La mission des professeors «ies Universités italiennes, de passage au Havre, pour se
rendre ea Angleterre A une contérance sur
les reations inteliectuelles
dfs Alliés, a
euvoye au président du gouvernement de
la Belgique i'adresse suivante :
« Excellence,
« Les professeurs drs Uuiversilós ita'iennes, qui se rendent en Angleterre pour éta¬
blir une plus étroite coop tratiou inteilectuelle entra les nations alhées, sürs d'inierpréter l am» de toute l'Italie, ont i'hocnsur
de vous exprimer les sentiments de profonde admiration et sympathie ponr l'hérrïque nation beige, avec les meiileurs voejx
nour te tnomphe de la cause cummuae de
liberté et da justice.
« Prof, I eonardo Biancut ; Prof.
Evrdaho Sen ; Prol. Voi/rauio ;
I»ts « Salute Ac GDcc j»
Nous sommes entrés samedi dans la pêriude des « Saints de Glacé», Saiut-Mamer,
Sauit Pancrace, Saiut-Servals, qm, selon une
crovance populaire, s'accompagnent do tériodes de Iroid ; ce qui est d'aiheurs vrai' ie
plus souve-nt.D faut se souvenir, cependant,
que l'aa dernicrj les « Saints de glaue s s©
passèrent dane une atmosphèré étoutTante.
Les < Saiats de glacé »oat poar coro'.ialce,
six mois après, dans la saison des froids.
première quiuzaiae de novembre, un adoucisssment de températuie, oü la végétaiiorx
P ofarcongelij
Prof.
Columba
; a parfo's une brusque reprise. C'est i'été de
P ■ f. Giocoso ; Prof Galante ; la Siint-Jiartin.
>
Prof. Lürj ; Prof. Nosini. »
Rï«vïY«SIesi SS'OStaJreiB
Infanterie. Promotions A tiira öéfinltlf--:au
grsde (te cauitaine de réserve, les capitaines D'jpuis du 325»,Cities du 24' territoria!.
Au grade de capitaine de territorial : Ie capitaiec Bomssentdu 21»territorial.
Service de santé. — Sent Bommé médecin
aide-major de I» ciasse : réserve, M Frappief,
aide major de ï» classe, au 43»d'ariillerie ; t'urioriale, M.I'erichon. aide-major de2»classe, 3*re¬
gion.
M®*»4Se 03. J . Cordon
BSpainvftt
Ooossil
Général
da3aSeins-Itiférlsyre
Nous appreaons la mort de M. J. Gordon
LEPASTELS
CHASLES
WAÖSEB
L'EÊRSINE
DELOHGUEAÏÏ
§ons d'avril qui doivent être eonsidérés commo
•'•tlnitiveoicntpériwès, elle permel par contre d»
seraettre en vigueur les dispositions (le i article *
de l'arrölê du 25avril aiBsi libelle :
« Pour fsciliter les livraisons de eharbon, les
parts atlribuée3 aux diffóreniescategories de consouwnateus sont fixées commo suit pour le mois
do mai, par anticipation sur les livraisons a eflectuer ulicrieurement :
« Céübatsires (carnets de 3 paris), 60 kilos au
beu de 45.
« Fainiik's de 2 et 3 per,tonnes (carnets de i
parts), 101»
kilos su lleu de 60.
« Families da 4 et 5 petsonnes (carnets de 8
parts), 100kilos au lieu do 1o.
« Families de 6 personnes et su-dessus (carnets
de 6 parts), 100kilos au lieu de 90. »
Les personae» qni auraient été privèrs du be¬
nefice de ces anticipations pendant le temps de
leur saspension peuvent se présenter ehcz leur
fournisseur de charboa qui est aatorisé a leur cé¬
der la quantité de cbarbon qui n'avait pu leur
être livrée par avance sur les attributions de
juin.
VOIES URIPJAIRES - 606 BH.?)K«
i t»s, rue Bernaroin-dseStl'.erre
Cons®t. 1li. - 3 h. et le soir 7 li,- 3 h, !sa,fXESflé
I«t Sas de lts Flsrislc
Hier, au moment de Ia marée, les ïtavfreg
sout sortis par i'écluss des tranaatlanliques,
mais les narires entrant au port, sont pas¬
sés par i'écinse Quinette ae Rochcmnnd,
utilisée comme simple écluse AHot.
filffiSailSI-MITIIK,
1!, ;u fitfltHi S3
Bennet?, propriétaire da New-York Herald et 3. CJULLAEQ,
ee ses óduions de Londrss et de Paris.
II est décéfié dans s t villa Namouna, A
Buaniieo (Alpes-Maritimes, iiier matin, A
S heures.
M I. Gordon Bennett fut Fun des fondaI.e iieutenasl des douanes Spiibaut a arrêlé
teurde The Commercial Gabie Company. II a
sous le bscgar X un nomtné Angel dit Hugo Agé
tenij nne grande place dsns la vie ooiitique
e»
49 ans, journalier, 18, rue des Rempans, pour
e? écoaomique de son pays ; il était un siatentfttive de vol d'un ealecon en toite bisceke a
cère et lidöte ami de la France.
racuK'une bsile dóposée sous ce hangar.
Procés-verbal et tibertê provisoire.
lirs Snjlemvfièéa
(tour exOttêa»ation
— Georgette Tocqoeville, ftgéede 50 ans, cuïsimero, 68, rue Vtctor-Hugo, a été aurp,ise au
de ïioyera
Grand Bazar *u moment oü elle venalt de voleiOn salt qne !a lei du 9 ra«rs 1918 sar les une boulfeitlod;: cognac d'une vaicur de 6 fr. 35
loyers f, étabü par son article 29 qu'une inEa hberté provisoire après procés verbal.
daniBité serail attribute aux propriétaires
— En travaillant mardi matin snr lo quai de la
qui auraieut su Asupporter la perte resul¬ Gironde A la manulention de ba'les de colon, la
tant des GBératsons-de loyers de teurs loca- journatier Jnles Lemosle.agé de 24 sns, a reen
tai?es dans certasues limit;:.» st conditions.
sur Ie corps une de ces balles qui Ie blessa
Cette loi laisse Ann artêié da miaistre des grievement,
Transporté d'abord a la etioique da ponl n* 4,
finances le sein de déterminer la forme de ia
Lemesle y rcfut les premiers soins,.et ensaiie a
demande et fes p-èe 's justilicatives a pro- 1Hopitslou
it es! dans Ie coma.
diure par ies proprietaires se trouvant dans
On redoute une fracture du crSne.
les con ui ions requises ponr réclamer l'iu— Au cours d'une rtxe, lundi soir, entre plademnité.
Algériens, dans la rue du Gênéral-FaiC*t arrété a été nublié dimanche au Jour¬ sieurs
dherbe, l'un des batailleurs Alb Boucbl, «tgé de
nal offickl.
17sns, journalier, 29, rue Bszsn, tomba dans !a
S-s üispositiOHs sont appiicables aux lo- devaniure du débit de MmeLeeordier, 6 rue dn
geurs cn garri dont les sous locataires an- Général-Faidherneet brisa une giace de la valenr
n»ni êté exonérés ea vsrtn des articles 14, 15 20 francs.
Arrété cl conduit au postp, Bouchi fut trouvé
et li de ia loi du 9 mars 1918.
en possession d'un revolver de petit calibre non
chargé, ee qui constilue néanmoins ie délit de
port d arme probibêe
Ee+is Fupïilea
de 1» Nation.
Le déünquant n'ayant aucuss papiers jnstiflaa)
L'Offiea departmental
des Pt-piltee de la son iaentiió, a été maintenu en etst a'arreslatn
Kano» a éiu vics-pi'ésidentsMM.DescharDps,
p esident du Comité dêpartemaata!
do FOrphelinat des Ar mess, et Döiivsux, inspecteur
d' Academie, president do i'OEuvre départe¬
UALADIE
1ÏES FJEfflSIES
mentale des Pupil Ie de l'Ecote pnbliqne.
Voiis urinaires. Nouveau 60S
Ont étó éius membree de ia Sectie n per¬
79, Rue Franklin, de 1 h. 1/3 a 3 heures
manente t
FAITS LOCAUX
■MM.Doüveux, Inspecteur d'Ao^déniie; Daschauips president, du Comité dópartemenial de
i'Orpheliaat des Ar.nées ; MHeD -gfUClie. directi ice de l'Eeote supérieure de commerce et d'industrie de Houea, délcguée de l'Enselgnement
p ofessionnel, industrie!, agricole ou coiomercial ; M.U Dabosc, membre du Conseil (IViiministraiiou de t'Orplwtinatdes Airméeset président
de i'CEavred'assistanee aux veuves das mHGaires
et majans de ia guerre as Havre ; T l'oy, eonseiller général ; l'abbé Jomard, déléguó des établisse¬
ment* de bieafaisauce privés ; Kwniz,prec-irenr
de la Répubtiffïiej Babois. dölégué des Ctucobres
ayndtcates ouvrières ; Wsriber, membredu Coeseil d'administraticn de l'QBawedépartementale
des FupilWi de t'Esole pubiique ; MileVassolia,
déléguée (les iastitutrices ; Mils Gbarrocd èi'-t,
Inspeciriee du Iravail MmeNibeile. vicu-présidcBtedu CuHiitsde {'arrondissementde Kouon el
da FOrpheiinat des armérs.
M. Deschaaps a été nom mé président de
la sectioa pèrmaneaté et M. Doikettx, vlcepréstdeat.
OSSÈQUES
DE IKILITAERES
Les obsèqaes da soldat Victor ommault, du
1" régiment d'ariillerie s pied,domicitié au Havre,
rue Beauvailet, 2. aaront tien mercredl 18mai, tt
a b-45du soir,AFUOpitai
Pasteur,rue de Tcarne
vlile, 47.
THÊITRES_I_
CÖgSEHIS
Grmnd' ThèAlm
Ditaaneln 19 mai. soiréa de gala av«o
Z:za, la deiicieuse piece de MM.P. Bsrloa
et Ch. Simon (dont le suceès coasidérabie
au théatre da Vandevilïe est encoie présent
a iouios l»s mémoires), avec le ceucoiin de
Régtna B det, dana le iö!e si complexe et si
original ds Z.za, róle bien fait pour faire
Fiï«s)I«»
dn firh die vsnle
en gpaa
eC s.-sa
et»» pestmes
ds Êwrre ressortir les qnalités de Fadmirable artiste.
DJ.Pierre Pradisr, dont on cour,alt les mul¬
primeurs,
tiples suceès au th-:atre Sarah-Beroljardl,
En vne d'óvile? ie re^ouveilcment
de ia jousra le róle de Bernard Dui'resae, oü ilesit
hausse excessive eonsfafée en 1917 sur les remarqoable. Ces-deux gr«nd®s vedettes
pommes de terre primeurs, Ie ministère du paiisiennes seront entourés d'afft tas dignes
R (vitailir ment s'est mis en rapport, parFiudfenx, MM.V-allins, Devil'ers, Jean Peray,
tcmédiaire de i'Oflice technique dti Ravitail- Dsveruay, MmeaDaionghe, Fivgeraie, etc.,
iem mt, avae le syndicat des exporti teurs etc. Nous avons en perspsciive une trés
agnaoies algériens ainsi qn'avec les mandabelle rep-éseniaUon.
taires et commissioanaHes qui assurent la
vente de cede denrée.
Par suite les pommes de terre non vei ies,
lavées-oa.non tavées, d'Afrique du Nord on
de toute autre provenance nê pourront être
vendues au conaoruiiiatear A uti prix supé¬
rieur A0 'f. 90 ie kilo.
Tous les prix ont été fixés en complet ac¬
cord avec les repiésentants des proaucteurs
et intermédtaires intéressés.
La vente A des prix superieurs exposerait
les contreveaaats a des ponrsuite» jndiciaire»j en venu de la lei du 20 avrt! 19i6 sar la
speculation iiiicite.
Ces prix nenveaax sont appiiqués A pirïir
da ii mai. I!g seront modi fitA uiténeuremv.nt, dè3 qae la proéactioa breionne permettra d'aasurer la consommution, courante
en peaimes de terra nouveües tur des bases
plus étesdses.
Commuflications
de !a Mairie
WBg"1"*
iiiniiiiawMwii—
a—®— swpa—— —
Le# Ceapoas de Sucre de ia seconde
quiuzaine de ftïai
La poRUifttlonest ioforméa qua les coupon» de
!a carte de soere correspondsnt a la seconde
qaiBzaiHCde mai peuvent étre présent-is dans
répicerie 4 compter du jeudi 16.
MM.les épielers psuven! sa réapprovisionner
en présentact te» coupons de msi a t'agent mu¬
nicipal résartileur qui low livrera du sucre dans
la mesure de ass dtsponibiiilés.
II est rappelé que sous aucun prétexte les cou¬
pons de juin ne pauvent Sire acceptés par MM.
les êpiciers avaat nouvel avis de FAdmiaistratioa
muajctpaleDistribatiou de Charbon.
La diminution trés importante du contingent
do charbon cédé en mai p«,r t'Adiüiiiislr&iion
préfectorale Ala Vitte du Havre pour les besoins
de t'aggioméralioa bavraise avait contraint le
Comité tntercomm inai du cbarbon Aréduire les
llvraisons aux consommateurs au moyen de la
suppression d'uno part de la vaiiditó (les coupons
d'avril et d'auire part de la Lculté d'antictpation
parlietle sur juiD.
A la suite de la protestation des munlcipalités,
appuyéepar une démarche personnette de M.le
préfet, rancontingent sunplérneataire de chsrboa
Vientd'être aceordé A 1agglomeration bavraise.
Si cette attribution nouvi tle r.'cst pas suflissnte
Folies-Bergère
Ce soir A 8 b. 1/2, immense scccès de
la Revue de lGiatauaps,
dg ii. Hsnru
Moreau.
Location de 14h. Amidi el de i h, 4/2 A
5 heures.
Béuéflc©
Ae» PritUBsitrl
havfait
ün grand concert artisUqpe aura lieu,, öimaiscke»
dim
h.t/2
prêefses, au square
z19maMPentecöie),
•
v
Jj» »A33 h.
1/2 précises,
S«at-Roöh, par la Fanfare des Inuplidesbelees,
sous la direction do M. Lêon Tancrè, avec ie
gracleBXconcours de MM.Marco,basse chanUnte,
Wddt. tenor, Pb. Mousset, pianistn compositeur.
La fanfare axécutera des tsuvres classiaues ia
Bcriioz,Beeihovcn,Massenet,U olff, Wiiaers et
Ailier.
Oaveriure des partes u 2h.f/2 Deux bureaux
seront ptacés A l'eqtréa da boulevard de Stras¬
bourg, uu troislème Al'enfrée do la rue d'StieUrt.
Fhê&lre-Cirque
Cinéma
OmtiM
Omnia-Pathé
Celts ssmaine, nous voyons d'abord défiler sur i'écran Ia demième et dernière par¬
tis de l'oeuvre cilèb.ö de Vijior Hugo, Les
Travailteursde la Mer. Les épisodes da ce
roman sont présentés d'ttng faf.ontrès satsissants. Cbauue tableau doun3 is senti¬
ment de ia chose vécue et doit A son réa¬
lisme émonvant un intérêt qui as faiöliê
pas. Le renoncemc-nt de Gilliatt A la. main
de Dérnchïtie est tout siraplemeet subiimp. Sa fin tragiqne émoiioane ct produit
une profonde impression sur l'assistauce.
C'est easuite una comédie sentimentale :
La Pr tére de. I'Enfant, interpréiéa par la
gracieuse artists MarieOsborne. Oa sail avecquel talent c t'.ejeune artiste iuterprèta ies
róies qui lm sont confiés. C'est un veritable
triomple qu'etle reniporte dans cefiim. Le
public, séduit, ovationne i'enfant et i'artiste
toot a la fois.
II y a uae superbe attraction :LesTheSister*
Droffir.Cfisou' dfigracieusssarii tes q»i móri-
sour«u'sofAèts«ettbc leurTsji'itiC
tyi cou- t?nt une mcaite^ teettcep^ciêle.Gs
fcc^^aaaaainniwi w n ■ ■■nituwi—
aas——
♦raiment
merveiileax
a été vivement
applaadi dans ses esercices d'éqnilibr e, de rétablissement
et dans ses ébats cliorégraphiques des pins gracieux.
Les Derniéres ActuuliU's de la Guerre nous
jmonlrent une série de vues trés intéres¬
sante. IIn plein air, La Chesses aux Bvffi;s en
Hiute-Gambir,
est nn film documentaire
énoonvsnt.
Ia R ïne s'enrtuie dont on conn it l'incessas-t
intéiêt
termine
agréabieinent le spectacle.
Ce soir, soiréa h 8 b. 1/2, avec le merveii¬
leax programme conrprenant
: I«e« Travaüleurs
de Ia Mtr
(suite et fin). JLa
Bi? Ine e'cnmsie,
ile épisode : « La Reine
s'aaiuae ». La chaise mix T&'ffles en HauteGdmhie : La Prsêrs de iEnJa»l,
par Baby
38aris Osborne.
Attraction : Tlse Sistrra
5t>i-sff4r,
nouveautés
chorégr.pliiuues
et
jftcrobanqucs,
trio incomparable.
Derntères
Actus ittes de la Gucrre et du Euthc Journal.
Xocation ouvcite.
Selcct-Palace
Aujaard'hni
soirée a 8 h. 1/2, ï.a Con•guêse de 4*©e ; CEuvre de bienfaisance ; en
Al 'ditei ranee ornntale ; Bouboule groom ; les
D. rnières ActuaiiUs de la Guerre. Attraction :
Sisters
Breéiard
(merveiller.x
équiiiDnstss et travail a ia perehv).
Dêbnts des
Chansons
filmées : La Musique qui passe et
Autou) des Halles, chantées par Mme Dsiigny.
location ouverte.
L'ENTRAVE
miiH
Grand drame en ü parties
Le Secretdu Sous-Maria
2s épisode :
b'n töystérieux attentat
-s Soirée a 8 b. 1/2 t-
14,roeEd.-Larue
IV!. CRESTÉ
daus
1'AUUtE
(Judex)
U!
LES MYSTÈRES
DE PARIS(6™)
En matinêe : Le Ehomin du Bankeur
KURSAAL
Cinéma
22, rue
Lê Petit Havre — Mercredi 15 Mai 1918
«sa
do Paris
du iïlardi 14 Malau Jeudl soir
LE LIEUTENANT
DANNY
Graad Drame
§ulkttèi ds$gpert»
Faefball
AtMeiadoii
La demi finale de la Coupe Nationals
Hnvre-Atbiétic-Club contre Stade Rcnnais V C.
— Dimanche prochain, jour de la Penteróle, sur
le terrain du II.A C., 30, rue de la Cavée-Yerle.
Le 11 A.C. qui, cette annfe a oblenu dc sl
besux succes dans la Coupe éationale a pu parvenir a se classer dans la demi-nnale.
II y a deux ans le II, A.C. se fit baltre ARenne9
dans la demi-finale de la Coupe des Aliiê9 par 3 a
0 et I'année dernière a Paris contre Rennes égalemcnt dans la demi- finale de la Coupe Inlerfédörale par 4 buts 4 3.
Celts année. le H.A.C. a ravati(8ge do reeqfoir
Is Stade Ileanais au Havre, et it doit doac pren¬
dre une revanche sur les annëes passêes.
Le Stade Rennais posséde cette annéc une
équipe de grande vateur.
A C M A bat
Garnison
beige
da Havre
par 3 bals a 2
Dimanche dernier. sur le terrain de la Cavée
Verte, ta Garnison beige du Havre se rencontrait
avec l'A C M A ; cette dernière équipe en est
sortie vainqueur par 3 buts a 2.
La partie fut vivement menée et sensiblement
égale. Dans ia première mi-temps la Garnison
beige róussit a marquer les deux premiers buis,
tandis que l'A C M A n'en marque qu'un ; la miternps est done sjfllée sur le score de 2 a 1 en
fav.ur de la Garnison beige.
A la reprise, l'A CM A róussit i égaliser et
vers la fin marque le deroier but qui lui donne la
vietoire.
La Garnison beige était handicapêe de ses deux
meilleurs joueurs, Quoilin et Van den Day.
Enfrafaement
pbjs'qua
Les Volontaires Ilavrais (Déclarstion 1™maf.
Publication a YOfliCiel4 msi>. — But : Dövelopper
l'espi it de bonne camaraderie et de solidarity, les
forces physiques, par l'eniploi de la méthode de
Joinville-Ic-Pont, prépaier au « Gertificat de pre¬
paration au service militaire » ei aux divers
« Brevets de spécialité x.
Siége social : 28, rue Bougainville. Les nouveiies inscriptions sont reeuws au siége social ou
au terrein du H. A. C , a Sanvic, les mardis el
vendredis, de 19 heures a 2! heures. Les membres
doivent êüe dgês de 16 ans au moins.
Section d'entreinement physique.— Jeudl matin,
pas d'enlrrincment
au terrain. Jeudi soir. de
43 heures a lo heures, tir de groupement au stand
de tir de Tonrnevillo.
A 18 h. 30, ectreinement
au terrain jusqu'è
17 h. 30. De 18 heures 4 16 heures, ic?on de
groupe; de 16a 17 heures, course, saut; de 17 4
17 heures 30. grimper, lever.
Seuis, les jeunes gens des classes 20 et 21 ou
les ajourrés des classes antérieures devront assisler au tir.
De 18 a 21 heures : permanence.
JLiiMTRéPIDE AIVJBROISE(Comique)
Les Eelaireurs de France (B S F).~- Anjonrd'hni
Clï«i*lot
Musioien
mercredi. réneion au loeal, 31, rue J.-B.-Eyriès,
sa dernière
creation
.^Immunisationsgtnrses
Commission
manScipafe sootaire.
— la
commission municipale scolalre du Havre s'est
reünie le dimsncbe 12mai courant, a 9 heures 1/3
du matin a FHótfil da VtHe, salie des Commis¬
sions, sor.s la orésideree de M. Jenncquln, adjoint au malre,* pour examiner les absenc£3 des
enfa;;ts syant manquó l'ccole pendant le mois
d'avril dernier.
Etsient présents : MM.Anfry, Basset, DurrndVh-1, Grufftz, Hubert, Krause, Lasne, Legangneux, Risson.
Excusés : M. Brctteville et Mile Mougel.
Excusés (mobilises) : MM.les Docteurs Dc-ronde
el Henry.
Le texie de la lo! a été rappeló a 36 pères de
faril'eia ou personnes re« pons» bles el 6 ont étó
hianiés. Les corns de 30 seroDt stficbés 4 laporte
de ia Mairie et 1! stront cués devant le Juge de
Palx.
Eaquète.
— Lc projetd'testallation de hangars
et d'appareils de déchargement sur le quai Nord
du Bassin de marde et les voies et moyens finaneiers proposés pour la realisation de ce projet,
ainsi que le nouveau cahier des charges présente
poef ia concession de ('outillage ptibiie administré
prr la.Cbr.mbre de Commerce dn Havre, au port
de cette vitte, seront soumis a 1'enquête prescrile
par le déeretdu 13 mai 1912.
Un rcgistre destiné a recevoir los observations
acxqueUcs les dispositions projetéc-s pourront
doneer lieu sera ouvert pendant dis jours, du 21
au SOm8i courant inelGoivcmcnt, s la Mairie du
Havre.
Pendant le nsême temps, les p'èces da dossier
vesteronl déposécs au mêrae lieu, off tontes gersonces rosteront admises, tous les jours (diman*
ebes et fêtes exeepté9l, de neaf beure3 4 douze
heures et de quatorze hemes a dix-neuf, 4 en
prendre cosnaissance sans dépkeement.
Avis A la Navigation.
— Pour permettre le
dragage a iVmD'aeenisnt a'un siphon et la pose
4c ée siphon dans ln plafond du csaal de TanesrVi!le, ia navigation sera inlerdite daas Ie psrtuis
du pr,ct ü° 6 et aux abords pendant quatre nuils
coïséeutives 4 rartlr de la nuit du 13 au iö mai
inalusiveaient, cbnque fois de 29 heures 9 9 hsures et le dimancbe 19 mai, de 11 heures a 13
heures.
La zone interdite s'étendra a 100 mètres en aval
ax a ICOrr'èlres eo amont du po-nt n' 6 ; ses <xIrémilés seront sigaalées par des leus ou arapcaex rouges.
___
Objets tronvés.
— Voicl !a liste des objets
iro'üvés sur fa vole puMlque et déclarés au CoinBiissarist central de police, du 1 au 13 raai 1918 :
Des broches. — Des porte-monbaie — ün ebien.
— De3 sommes d'argent. — Une écheüe. — Une
msDivr-lle rt'suto. — (Jae ianteroe d'auto. — Une
peire do cbaussares. — Ua sac a main. — Une
SicyeleUfi. — Un médaiiion. — Bes bloes d'ébin.
— Un récépissé do versemeat. — Une niédailie.—
Bes- clcfs. — üue moniie.
§uIUUm
<§ociétês.
Sysidicat desofiloiers
inéeanleieiMi-navIgatcur.-i a« Commerce.
— Reunion jeudi 16
èoarant, a 6 b. du soir, au siége du syndicat,
Si, rue du Cbiilou.
Féffiliston
du PETIT HAVRE
a 8 h 1/2 précises.
Sujet : Camping de Ia Pentecóte.
Paiement du voyage.
Fin de la réunion a 9 h. 1/1.
Eelaireurs Ft ar pis (S C HL — Ge soir, a
7 h. 1/3, terrain du H A C, 4 Sinvlc, entralnemoiit physique.
Demain, reunion a 8 h. 1/2, 4 J'Hötel de Vitle,
salie des Gardes. Les éelaifeurs qui désirent pren¬
dre part au csmpirg de ia Pentecóte sont priés
d'étre présents a Ia réunion, et d'apporter lo prix
de la noun iiure, soit 6 fr.
TRIBUN AUX
TribunalCorrecticnnal
da Havre
Audience du ié Mat 1918
Présidence de M. David, viee-présidenl
EL LE AVAiT PUIS UH VERRE
ET DU ItKQa
La flüe Augustine Harel est seule dans le box
des prèvenus. Ce privilege, elie le doit a un ea¬
sier judiciaire des pius garnis. Aujourd'hui, on
lui reproche d'avoir pénr tré dans une maison,
rue Voltaire, 23, et d'étre aliée enlever nn drap
dans un grenier.
Surprise en possession du drap mouillé, elle dit
pour simple excuse : « J'avais pris un verre. . .»
Le Tribunal la condamne a i mois de prison
pour le vol et 4 8 fr. pour l'iviesse.
LE PAININTEROIT
Da honorable boulanger de notre ville, sur !equel les meiilenrs renscignements
sont fournis,
est poursnivi pour avoir vendu un pain de fanlaisie, mesureot 48 ccntimètres et avoir fabriqué
du pain grille.
L'incutpé el le défenseur, M« Jennequlo, font
vaio r que le psin gritié èUit fabriqué uniqaetneni pour 1'ussge personuot du commerqant,
avec ie pain non vendu la veilte.
A Hire de simple avertissemeat,
le Tribunal
condamne le boulauger 4 89 francs d'amende avec
sursis.
PARVENGEANCE
!
Yvonne L.
repasseuse, a étó renvoyêe du
logement qu'ella occupait ehez Mme Faavel, 6,
rue Mare. saais, ayant gardé l'une des clefs de
t'appaMement, elle est revenue faire main basse
sur difiéretsts objets.
luier regée 4 ca propos, elie a restituó. A l'audiftnee, la fitte L . . pleure et déclare avoir agi
par vengeance. Elle est condamnée 4 8 jours de
prison.
UNEBONNE
SOIBNEUSE
Femme de chsmbre dsns un hótei de notre ville,
Lise Cato's a pris daas une ehambre différents
objets appa: tenant a it tie Couin ; ute fourrure en
toutre, us boióro. des has, nn csche-nez, une
boite a eigares, etc.
A I'instruciion, la conpable, qui a d'ailleurs restitué, avail prétrndu qu'eilo croyait ces ohjets
ahsudonnés, rnsis el-e négligé de venir s'exj.Iiquer devant le tribunal qui lui impose 13 jours' ds
prison par défaut.
LA P0UBEILE
C'est également par dèlsutque la femme BertheGoum, est coadamaee a trois mois et un jour de
prison.
Qu'a-t-elle commis t
'JE*ierre
JEZJ
3SL
Un jour, ies deux soeurspartirent.
L'aiuéese prccura une gerbe de biuels
dont elle fitpiusieurs bou»"ac(set la filiette
alia se postersur les marches de l'égiise
oü les loqueteuxmendiaienx.
A cliaqueinstant, les passantsmonlaient
rit descendaieat,maïs Méiauien'osait niêine
pas offriTsa marchandise.
Letempspassaitet ses bouquetslui reslaient.
— Madame, achefez-moi des bluets,
pour queje ne sols pas battue, dit-elle dans
un sanglot,a une dameaux cheveuxWanes
qui montaitles marches.
— Battue!. . . pauvre petite J. . . Combien coutenttes fleurs ?
— Ce que vousvoudrez,Madame.
— Donne-moideuxbouquets.Voici.
— Vingtsous 1.. . Je n'ai pas de monnaie.
— Je n'en veux pas. Gardetout.
La filleltene se possédaiipas dc ioie.
Elle vendit les aittrcs bouquetsiiix cen¬
times
piéce.
La jotiriiée
était bonne.
C'est
a Louies
jawbesnu'ellccoiuutckezdie
Seciiti Anon/me au Capital da I 600 000 fr.
ÉMISSION
LE LAITCHER
Onze cnltivatenrs et cultivatrices des environs
soot appelés devant le tribunal, ainsi qu'une
foule do témoins.
A ces laitiers on reproche d'avoir vendu le lait
0 fr. 60, 0 fr. OS et 0 fr. 70 au mois d'avril, prix
jugé excessif.
M.Joly,subslitut du procureur de la Républiqffè,
reqniert contre les incuipés, estioiant qu'ii y'a
speculation illicite, ct qu'ii est nécessaire que les
producteurs, sachent, surtout dans les temps difficiles que nons traversons, que la volontê du lêgisla'eur doit êlre obéle.
M«Le Miniby de ia Villebervé dépose des con¬
clusions tendant a ce qu'ii soit sursis au jugement, jusqu'a ce que ta cour d'appel do Rouen ait
statué sur un jugement précédemmenl rendu par
le tribunal du Havre.
Entrant eiisuile dons le débat, Favocat- examine
avec beaucoup de précision les différents points
de droit que souléve eetle affaire, et ayant fait
vaioir q-i il n'y a pas de hausse insolile, do spe¬
culation il'iciie. conleste que le tribunal pnisse
fixer nn prix de rcvient et demande la nomina¬
tion d'experts.
M«Ysnel fait valoir qu'ii y a speculation illi¬
cite seulerocnt lorsqu'il y a aceapartment, ce qui
ne s'applique pas aux producteurs.
MM" de Geuser, de Grandmaison, Abraham et
Jennequin, mettent en valeur 1'honorabilité de
lews clients et présentent divers arguments
pereonncls a ceux-ci.
Le jugement sera rendu dans on mois.
de lO.OOO obl gations de 500 francs 6 O/O
rets de tous impóts présens et futurs rt-mboursables au pair en vingl ans par tirages au
sort annuels
INÏÉRÊT
ANNUEL
: 30 fr. NETS
LeGrime
dela PlaceBouwail
Yvonne
Gainet devant
lea AssiaeM
Yvonne Gainet aliait-elle élre conoamnée 4
mort ? C'est ce que se deniandait asxieusement la
foule qui avait envahi dés la première heure la
saile des Assises.
Et chacun se remémorail. le crime épouvantable
décuuvert 4 Ror:en le 11 aofh 1917.
Vers sept heures <?t.demia du soir, ce jour-14,
un passant, le aieur Gnilnert, jardiuier. se trouvana
dans le baut de la ville rue Aajódée-Méreaux,
apercevait dans i'encoisrnure d'tine mureiile''un
gros ballot onveloppê dans aae couverture bieue
et qui, d'apros les dires de certains témoins,
avait été apporté dans une brouette et déposé la
par une ji-une femme.
En examiiisnt le ballot le sieur Guilbert s'aper.;ut avec effioi qu'ii conteaait un cadavre de
femme.
L'enqvéte ne tarda pas 4 apprerdre qu'une
dame Metterie, Sgée de cinquantc-cioq ans. demeurant a Rouen 2 i, rae Cauchoise, avail dispa¬
ra deson domicile depuis le 9 aoiit.
Bieniet. il fut étabti quo le cadavre trouvé rue
Amédée Méreaux était celui de la dame Metterie.
Les cireonstaneos dans lesquelles le cadavre avail
étó trouvó et les premières constatations donnaient Is certitude d'un crjrne.
En recbere ant t emploi du temps de Mme Met¬
ter, e, on eptrit qu'etle avait recu chez elle, le
mercredi 8 aoüt. ane femme dont le signalement
se trouviit eorrespondre a celui de la femme qui
avait transporté le cadavre rue Amêdée-Méresux.
Oa parvint a savoir que cette personae habitaH
place Bouvreuil, r,« it, qu'e le s'appelait Yvonne
Gsinel. et l'on découvrit dans son logement les
preuves certaices que le crime y avail éié com¬
mis.
Arrêlée a Sahurs, chez ses graads-parents, cachée dans une niehe a lapins, par le sous-ch, f de
ia 6üreté Bailout et Ie sous-brigadier Halton,
Yvonne Gainet donna, des circonstances du cri¬
me, us récit inadmissible. Elle prétendil avoir
agi a l'instigation d'un nommé Lemoine et avoir
eu pour complice, également, une fille Lecat. Maïs
ces dires étaient de pure invenuon.
Le 11 janvier dernier, la crimiaelle enlrait enfin
dans Ia voie des aveox e! déelara avoir accompli
seule son épouvantable forfait.
Escortéo de deux brigadiers do gendarmerie en
bleu horizon, Yvonne Gainet vient prendre sa
place au banc des accusés.
Eile «sl coiffée d'un chapeau noir de deuii et
véiue d'un manteaa gris trés simple, serré a la
es iBtare. Tout s l'heure, le président loi fera rctirer soa chapeau et le visage appsraitra aiors
plus dür, presqoe viril si l'on peut dire.
Yvoune baisse de suite la téie et, avec son
monchoir. essuie qarlques larmes hien tardives.
Eu faee de la criminelle, sur une large table,
s'amoncelie Ie tas de p èces a conviction. Sous
la table même, la brouette qui servit au transport
du csdavre.
A toutes les questions du président, l'ineutpée
répond : a oui » ó'une voix a peine perceptible,
ou : « je ne sais.pas ».
Yvonne s'affaisse sur son hsne.
— Levez vous, dit ie président, ayez plus de
courage ) Vous avcz ciea cu ceiui de iuer une
panvre femme.
On passe a l'«adition des témoins.
Le doeteur Didier, mèdeeiE-légiste, dit qua ia
mort de la victime est due a une congestion
causée par un coup ou par la strangulation.
L'appsrHion du grand-pèra d'Fvonne GCnet,
entendu se.rieiacnt a trtro 4'mdisation, le si ur
Langlet, mason è Sahurs, provoque ua incident
dramatique.
— L'eccasée ne voas a-t-elle pas voié ros propres lunettes et voire médaUlede combattant de
1870, demande le président ?
— Out, Monsieur.
A l'iustairt mème, l'accusée est prise d'uno
violente crise de netfs et les débats sont sus-
ETLEUR
GUÊRIS0M
Mile Alioe I.andleB, inflranère
dipiaroée.
u»caque une nouvelle mótbode poureuppri"
mer une fuia pour toutes les oora, durilIons, douleurs,
enflura,
etc ... resultaat
a une fatigue inaoooutumée
des pieds.
C'est un fait peu con nu quo le3 pires souffrsnce3 causèes par les divers maux de pieds peuvent 6tre instantanément
soukgécs et gnéries
d'une maniére permanente, en trempant simplement les pieds pen¬
dant una dizaine do
minutes ff-mgde l'eaa
obaude saltratée .Ponrtinl nombre d'ouvrler»
«t d'pnvrières travailtant dans les usines
de muisitions nenvent
en attcsterF; fflc»cité.
lin de ces bains de
pieds r8mollit les eors
i s ptos tenaces a ua
tel point qu'its penvimt élre fscijestc-nt
exirails avcc leur raciae.
- . ,
La p'upan des maux
oe pieds sont dus 4 une circulation défee- uc.se
ou sang, provoquée par i'èloignoment de ces
extrémires du cceur ct par la pression de la chaussure, amenam une irrhation de nerfs trés seiisiMes. D s'iigit douc de déeongestionner los par¬
ties sff-ctées. L'eau saitratöo donne ce résultat
en stimulant la circulation du sang et 1't-ffet do
ses rares propriétés curatives est de eslmer et do
soulager, dés le premier bain, toute sensation de
douleur et de brölure, et de faire disparsilre
l'er finre qui souvent l'sccompagnc. De p.as, t'eaa
saltratée, en débnrrassant les pores des eécrélions sébacées qui les obstruent, prövient la
mauvaise ode-ar ct les edels nuisiblts d'une
transpiration acide.
Rjen n'est plus simple que d'ebtenir cette eau
mfdieinale, qui, de plus, est lègérem°nt oxygénée : vous n avez qu'a faire dissou die une petila
poignée do ssitrates ordinstres dsns une tuvette
d eau cbaade. Essayez un cle ces bains de pied3
réconfortants en ren 'rant chez vous aprós una
longue rnarche ou une dure journéc de travail :
toute sensation de fatigue et de rar urlrissuro
disparsltra commo par enahantemeflt, et vos
chaussures les pms ncuves ct ies plus serrées
vous scmbleront aussi confortables qao las plus
usagées.
A . L. iluf. dtplj.
-NOTA.— On nous informs que ies saltratea
Rod It, extra pws, se tra-veni tout prils en paquels d'ettwrou une demi liv e et d an prix modique dans toutes its bonnes pkatmteies. Aprils reusetgntments i ris d,as mire ville, ii »«suite quo,
par mi d'eutres, Ies maisstu suto-niet en tiennent
un stock régulier : An Ml#a d'Dr, !0, p!>^e da
FH siel-de-Vitie, — Pharmacia
(fe I «Jheervatoire, 318, rue de Mermandie,
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Du 14 mai. — Amand BOLLAE-RT81 ans, mnsi&-n ru,- Guillemard. 48; Fernsud DEBREUII.I.E,
4 mois. rue de Bitche. 17 ; Armaudiae L0üi5ADGUSTE, épouse l EBOURGEOIS,3t ans, jour¬
naliére, rue dn Petit-Groissam, B9 ; Frarcois
BAHTHÉLÉMY. tan, roe de Bitche, 21 j Hen 14
RIBEYROL, ?5 ans, soHat franqais, domicilléa Paris ; Georges ROUXEu, Bans, rue des Galions, 19.
Jules RÉALAN, 48 ans, journalier, ruo SaiutJacques, 38 ; Léoaie BOIS^EL, épouse GRÉADME,
42 rus. journaliére, rue des Diapieis, 16; Jean
BOUGEÜL 56 ans. eraoilier, rue de Neustris, 11 ;
-Fozaune VAN ETT1NGE8, 4 an- 1/i, ruedps Fos¬
ses, 1 ; Marguerite PAYSANT, épouse LEPREVOST,
78 rus, journaliére, rue Kléber,2! ; Suzanne LÉ
JAMB1.E, 8 mois t/3, rne 8»z n, 13; Sophie HU¬
BERT. veuve JACQUELINE. 90 ans, sans profes¬
sion. rue de la Crique, «2.
SHBlIlflUB
RBS1BB1LE
Cossei
valieB
duMaildesrCgioas
évacuées
Communiqué de ta Prefecture
Les nécessités militaires do ces dernters temps
ont entretné d'imporiantes evacuations de bétail
de races flamande, picarde et holtandaise.
La conservation de tous les acimaux. adnltes
et jeunes, susceptlbles d'assurer la reproduction
s'impose en vue de la reconsiitiilion rapid - du
truupeau de ces races. Ausaj y a-t-il un imérêt
urgent a placer !e plus grand nombre de ces animaux partout oü eela est possible, et 1° ministro
de ('agriculture et dn ravitaillement fait appel
aux a^riculteurs des provinces Don env?hiea, en
particuüer a -ceux de la Norwrandie.
Le regiï.e envisage your la conservation pro¬
visoire de3 anifD'iux evacués est ce ui de la pen¬
sion ; 11 pourrait être app -qué sur les ha?es gé¬
nérales suivaates :
1« Vaches en l itou p'ieines : au pair. Si les vaches étaient suitées au moment du dèpét, le veau
se^att placé au regime on demi crcSt.
2» Géuisses plf ncs : t-u pair.
3* Jeunes Sieves [müles ou femelles) : 4 mi
eruit.
4» Taureauic assurant la tatilie : 4 mi crolt on
moyennant
une allocation journaliére a déh^tiifi.
Ces conditions n'ont rien d'absolu et sonl suscept'bles de modificflioijf . Ii'aktt'urs, un contrat
speciflant toutes les modrtiti - du dépot iaterviendra e.utre le ministro de IVgricutturc et du ravita'llement et les preneurs.
Los egricajteura de la ?eme-Irférifure
qnl -ont
disposés 4 prendre en pr-nskn queiques anlmanx
dor regions évacuées sont ievUés 4 ijsnsno tire
«Diligence Jews offres f la Piéftcture de •» SeineIpférieure a Rouen (Service départtmeDial Hu
ftavit&illement).
Geard'Assisesdela Seine-ïnférienre
Audience du mardi 14 mai
Présidence de M. leconseiller
Mcurrai.
AlAlftSANHF-S
Du té mal.— Aniré DESCHAMPS,roe JosephMorlcr' Si»: Ilenriette PREISSE. rue dn la Crique,
t ; Madeleine SELVA1S,boulevard de Strasbourg,
' 167; Anlré OFKROY.rue Beauverger, 30; Ilélèna
DESPRÉS,rue de la Crique, 6; Eilouard DE COCK,
rue Franqois-Arago, 471.
payable les 1" Mai et t" Novembre de cbaque
année. Le premier coupon sera payable le
!•« Novembie 1918.
Sanvic
Ifaeelaatiom et reeaceinatioae. — La dernière
sêai ce de vatcu i ! er. c- aewccinalinris aura
lit u a la Mairie, Cemain jtudi, a deux trés préeiies.
Pétrote. — Une attriho'ion supplép eniaire d®
pplroie ayant été obienue, use dis'ril-uli- n de
fieicets d'one valeur d'uc demi-liire sera Lute 4
tous les menages ue disposant ni du gaz ni £e
FéJeeifieiié.
Cette distrth-uiion aura Ji'u comme suit sur
présentalioa de la cane de -sucre :
Letefl A A E, ver tlredi prochsin, de 9 b. 1/4 4
li b l/2;lt'lircs
F a L. vendredi pi-echain, de
IB heurcs 4 17 Ji. t 2 ; iettres M 4 Z, samedi proch 11,de 9 h 1/4 a u h, 1/2.
II ne Sera sbsoinment pas délivré do tickets en
dehors des jouis et heures ind;qués ci-dcssus.
Graviüe-Safnte-Honorlne
Les eartss d'atimentation — Un premier avis a
inf'-rmt la population de ventr retirer a ia mairie
les feuilles nécessaires poor permettre i'établissement des cartes d'atimentation.
Ua ceriain r,omb-e de personnes se sont prêsentées et ont iapporté lesd ues feuuies ; pour
cet!es-';4, le travail «era inceasamment commenCé, mats beauconp d'antres personnes n'ont pas
reioui né ies feuillos do renseignoments ; d'aulres
n'en out par, fait pre uOre.
Ces personnes ne pourront a'en prendre qu'4
elles-mêmi'S si, au momem de ^établissement de
la carte d'alimentatloa, leurs feuilies restent de
cóté.
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Hémorroï'ies.— Anémic et faihtesso géBéra!e.
IF Sorei. 7, rue Thiers : Gon- ultslioos : Luudt
et m r.credi. de 2 a 4 h. ; vendredi, de 2 4 6 b. —
R-tdiographie ct Accid. du Travail, tsus les jours.
©ans l'avis
EBHATUU
de décès de
Madame
Veuve
LUCAS,
néeJulie
LER0Ü*
Prière de lire : le oonvot, service ét mhswai-oi. auio.nt ii- n demain jeadi 16 coaraat.
a I heorc I /'S de l'après mid), en l'égiise
Sairl-F?a»6o4s, sa paroiase
IVunion au domicile mortuslre, 6, rue Percan ville.
Captivfty
«n«3
F" <#«?<>?»-», per
MAllTI.V
K. Jeaa
Charmant tésaoigsuge de l'Enteote cordiale
mêtae ea dehors dés affaires militaires et diploma'aqses 4
Ce hvre a pour ealenr un sergvnt major fran¬
pendus.
cais, décoré de la Croix de Guerre avee palme,
qui,
fait prisonnier au début fle la campagne, vé*%
cut de Joftgs mois dans les eamps aileatands,et
A la reprise de l'audienee, M«Chsrlisr, défen¬ réuseit a s'en évadcr. Ses ju p essions et souveseur d'Yvonne, se léve, et c-aiame suite au pre¬ n rs pareissent pn anglais treduits par Miss V. A.
cedent irc'ident, dépose des conclusions teadaat
RandeU, dsns une langue vivente ei colorée qui
a faire examiner sa clients au polat de vue men¬ rend hien l'esprit du ttxto original.
tal et demands le renvoi de Faffsire a une autre
Nous avons pris iatérèt a la tes ure de ce rccit.
session. Ges conclusions sont rejetées.
DtS descriptions
pttioresques. des silhouettes
La parole «st donnée ensuite a M. Laydeelser, d'oföciers ti de so'.ds's allemar.ds dessi-.-ées d'un
trait souple. des détails obsprvés et Qnement renavccat-geBérai, qnl prononce tm «évère rtquisltobo teudact a rtémontrer qu'ïvonne
Gainet ne dus qui montrent la vie maihf-ureuss de nos paumérite aucune indu-genee, aucnne pitté. 11 ré¬ vres aoldsis captifs et aussi l'indéfcc-ive telle
clame Ie ch aliment suprème : la peine de mort I bumeur d'un caractère qui émousse la griff" dps
M*Chsrlier soutient que Fénormité méme du misères. Les traits d'huiuour et une ironie ciacrime prouve que sa clients est une auorxoale.
glante a l'adresse du « peuple élu » ne peu'ent
H demsnde de nouveau qu'il soit procédé a un rien de ieur sel caustique sous la traduction anexaatea de i'arcusée et que |es jug»-s veaiilent
gtaisn, soullgnent FsHr.it üe-ce volume oü le
bleu .weorder los cirecnsiances alténuaates.
crayon carica; r- ie de Maximbien Vox s strné
Yvonne Gsiuet est oocdamsée & ta peine de dos"Tétos de Boche taffiées te sleisa satire.
mo-L
A.-H.
Putti
Eoh*» oppti.teioNj
S3,Boot3sssiartia. Pari;, ÈÏSSSjLliS
eomiEsr^CË
X«esGroottes Concentréea tóoV«r-£te-ble
61 et IB'" Paul DUT0T et leurs Eafants, Ies
families el les Amis,
IV-un rcifeDtles personnes qui ont blen voulu
assister aux convoi, service et inburoslioa do
Léon-EmSle-Généreux DUTOT
» .".anale le pis# eSïicacecantoe
I
i CTüotosö,P5lea GoiUcöigg.Pwwé'è da Sing J
'i'
FaüOesae de Constitution £
■J' ^ciftïSiS^BSSi
Wanigaodo Forces, etc.
ft
gT"Phci"ftl tp.R.Lafayettfiri^rif; EvUcrimitarioMgg
~
weunasi
Monsieur
Victor
F0URMENT
^958^™
Laxaüf ~ Dêpwralif
Gu eoir
fJQfwe
un rêsuttat
® leMemainmatin
€hasselabileetfurifisiesang
« 64, Bouk Port-Boyal,
PARIS tt tioti»Pi'"-
f^Rhume
~~
Soeiété
desPfedoils
Silfoo-Oalcalras
JU li
#?"* FOURKENT et ses Eafants ; ta Familie
et les Aait,
Romereient les personnes qui oni blen voulu
assister aux convoi, service et inhumation de
«
BRAVAIS
f/lonsieur Désiré-Afred GAUCHARO
Lu irepn»
BIBLIOGRAPHIE
Asthme
td''" oeuoe CAVCHARDet la Familie,
Reuiei cirnt ies persot.nes qui out bien vaeiu
a>sister aux convoi, service et inhumation de
un seu! grain
pot»' remettre i sa soeursa première re¬ — Rue du Cherche-.Midi,20, dit-il au
A peinefui-H debout qu'il se sentit pris
cette.
cocher.
d'un malaiseétrange ; il était accablé et
Pas une earesse.
Ce fut lui qui, avec des soitastouehants, las. Ses membresengourdtsse rcfusaientè
A peine un sourire pour la réeonforter montachezelie l'enfant ; ce fut lui qui la agirg sa penséemèmeparaissaitlente.
pour les jours suivants !
soignatout pendantqu'ellc en eut besoin.
II se plongea la tête dans l'eau claire
Pendant plus d'une setnaine, l'enfantfat Et chaquejour, en quittant ie modeste lo- pour amenerune réaelionénergique.
heureuse^lans son petit commerce. Naï- gis, il devenait pensif et se disait eu sonLa réaelionne se fit pas.
vement,eile pensait que le bien êü'e ai- gcant è l'ainée :
II récapituiaitdans sa pensée toutes-ses
lait venir, par elle, ct la rue du Clierche- — C'est étrange... cette figure, cette actions de la veilie et ne trouvait rien qui
Midi.
pose,ce regard,je les ais vus quelque part. put l'éciairer sur soa état.
Maisvoiiaqu'un jour, comme elle quit- Oat... Ou ?...
line chosele préoccupaitpourtant.
tail la placeSaint-Suipioe pour prendre la
De son al-léecliez Marie Lenoir, il se
11ne
tfouvait
pas.
rue du vieux Colontbier,sou pied giissa et
souvenait; de ses hésituiionsa entrer chez
MarieLenoiravait de la mémoire pour elle, il serappelait ; de sa visite, il en auelle tombasur le pavé.
La roue d'un fiacre qui prenait le tour- deux.
rait noté tous les incidents ; mais de sa
Dèsla premièrevisite,et malgré !e temps sortieet de son retour chez lui ? Rien.
nant passasur ses jambes.
— Ah !. . . Hola!. . . Hola !. . . cria-t-on écoulè,elle avait reconnu le jeune homme Avait-Hvu ia petite Mélanie?
de tous cótés,en se précipitant sur la voi- pendantque sa penséeremontaitau boule¬ Que lui avait-elledit ?
vard des Italiens, oü elle avait lu sur une
ture et sur l'enfant.
La encoreconfusioncompléte.
earie : Raoui Digoin1
Le inal était fait.
II avait beauchcrcher,ses pensées tomC'étaitlui, en efi'et,
Dansle groupedes curieux qui entourèbaientda-nsle plus profondchaos.
rent la petiteblessée, un jeune honnneau
f.a santé de Mélanie demanda de longs
Plus il voulaitsavoir, moins il pouvait
regard bon, génércux, enthousiaste, joua soins.
trouver.
des coudes.
Lejeune docteur les donnasans compter II prit le parit de ne plus retourner chez
— Place ! commanda-t-ild'une voixqui ses pas, ni plaindreson temps.
cette femmequi l'avaii trop accaparé déjè,
fut promptenventobéie. .
II fittaut qu'il revint même sans que il tint parole.
limit an genou en terre et s'apprêtaè l'enfant etUbesoinde lui.
Unjour oü l'autre da reste ne faadrait-il
rclevcr la filiette.quaud elie cria :
Nousavonsassisté, du reste, ajt débat pas rompredéfinitivement?
— Ale 1. . . Aie !. . . Neme touchezpas1 du roman,è la scèneque sou assiduitéame- Autantéviter une scène qui avec le tem¬
— Oü as-tu mal ?
na plus tard.
péramentde MarieLenoir deviendraitiné— A la jambe.
Poursuivons.. .
vitable.
Le jeune hommehéla un fiacre,et, avec
QuandRaoui Digoins'éveiila, le lende- Dessemaineset des mois passèrent.
mille précaulions,il prit l'enfant dans ses main matin dans son appartement de garPendantplusieurs soirs de lundi, mer¬
bras et la couchasur les coussitis.
§onde la rue Bleue, il était enchanté dc credi et samedi,jours de visite du docteur,
— Pas chez nous !. . . Monsieur,n'allez lui. MarieLenoiravait voulu lui arrachcr MarieLenoir attendit.
paschez nous, Marieme battra !. . .
une somme assez rondclette; il avait su
La penséequ'elle pourrait encore ieurrer
— Oildemeures-tu?
échappera i'astucicusg femme: c'était un le jeune hommepar des paroles trompeuL'enfantdonna son adresse et le jcune veinard!
ses amenaitsur ses lèvres un sourire dc
docleiu-ü'ttö ésoula pas davautage.
"i 11se levaüeureux.
mauvaisaloj et elle lendaiti'ersiiie.
LAGraaii
IMDQLÜSfE
Homaa
drasiatique
PAR
Adhésions.
IV1AUX
DEPIEDS
CORDIR
ESDELASEINEEIAT liiViL DU UAVLliÜLES
DES"MUNITIONNETTES"
Eile a tenté d'enlever, sans y réussir, une
poubelle placée sur an trottoir rue Beauverger, poubelle qu'el'e se pr< posait de veodre.
La sévérilé de la peine sexpiique parce que
Ia femme Gouin a déjè subi 7 condamnations
pour abus de eonfiance et vol.
TAKCAUViLLB
Messieurs les Aclionnaifes sont couvoqnós en
Assemblee générale ordinaire, réunie extraordinairemeul 4 Sainte Adresac, 12, avenue des Re¬
gales (ancien bureau do ren'eignemoDts da fiiceHavraisi, 1■Samedi premier join prothesis, 9 quinïO
heures préciaes.
0RDRE DU JOUR:
R-ipnorl dn Commissaire descomptes ;
D.iiibèraUensurla arise 4 néant ou le maïnlien
en tont ou partio de la 3* réseluüon prise pas
t'Assouiö'.óe générale ordinaire du 13 avrii 4914) a
Fégnrei des Administrateurs ;
Déiii«-*iion sur la modification de Ja «ompositiou du C>n?eil d'adaiicistratica
; noaiisatioa
d'Adeiintstra tears.
Le GemsmssHrt des eomples,
R f-ïY}
OUWEXaANrp.
Ooiüpiss
te Oépuis
tem
lesfhieSfes
iesfbsEses
Les Trésoriers Psyeurs Oéoérsüx et lecevew»
des Finanees nuoivanl es e-mBpte-iourac;. saaa
la garantie du Trésor. les depóts de roeus «les
partieuiier-s remhouraiMe* ^ vue. L'iatesèt servj
est au miBimum 4e Sfr.-OAjD Wip. ©as «araets
de cheques eont déiivrés -sx dépo^enis qui «ai
font la demnndo. Cs« ehèyues
pauveat éira
rendus psyaWes dsns ton tea los Tr-ésoreries Öénérsles el Rocettes des Fiübiccs 'ie Fi-eocs.
èa 23ii)
Mri -égrapbe
f.5 JEfaf ->
pi F!S1,Kra 1 - ü- — ffsuteor » v —
PLEIftES€R | ia fe. «0 —•
»
7 ? —
• iSSF rêfo I 7 h 85 —
•«SS.. MCfl } 49 h. Ü5 —
«•)
SB-ïaaPe.
•
»
3- 69
4 1 39
VJOMENOL-RHIMO
VENTE PUBUQUC
Bans totrtes lea bonnes pbavmaï'es 1-Bfr. et t? «xsa
Anibrolse-Thomas, Paris, eontne s,25 (impcts coiriyris)
Un remède bon marché
AsUimaijquea qui souffrez toujours, esssyez ia
Poudro Louis Legios dont l'cfficaciló eslatiestée
par des miiliers d mataaes roconsaissanls. Gatte
merveitleuse Poudre calme en mains d'une mintiie les plus violents aceés fl'asihme, de calarrhe, d'eraphysè-oe, d'essoufflomont, de loua
de vieifles br.-nchitós. Son prix est a Ia portée
des bourses les pins motleeies. — Une boite est
expédpso eofitre ia ndat de 2 fr. 33 adressé 4
Louis Legras, 139, lid 31agents, 4 Paris.
CCaailSSAIBES-PRiSfÜRS
DUHAVRE '
VEÜTg DE VIEUX PA.PIESR5
- '
Le Vendredi IJ 5fai-t95«, a !4 beu.res, s ia
direction de l'oetroi, 37, roe Jates-Ancql, i! sera,
par commissaire priseur, procédé s ia venïo pubiique aux enabéres da :
16,060 ki.ogrammes enciron de papier xm rogistre»
ta m-dtiru au -p9o* ou en ouvej
Argonl ocmptütiS.
Req iêie 4e M. le w jire de ie v;Iie és riwrre.
49.43.i 'j.
Le plus léger bruit dans l'escaiier ltrf
m
faisaitbaltre le coeur d'espérance: c'-eiaB
lui !...
IL FACT ofj it, vi va
Le bruit s'éloignait; Ia soanettene s'agitait pas. . . Elle deve&aitserveuse, inqutèCommeli s"yavait plus i compter sar
te, mauvaise.. .
II la fuyait, done il ne voulait pas coa- Raoui Digoin, Marie Lenoir se dti qua
sentir voloutair«mentè «« sacrificed'ar¬ eo&teqae coüte, il itallaii chercherdes leQons,
gent...
~ Va— d.it-clle — je serei plus forte A forcede ééfliarehev,eile parvlnt è cn
trouver quriqses-snes quelle -dotuia &
que loi !
L'aüenle parut moins l'exciier : elle rimporte qad prix ; K jollait se faire.33©
parut même ne plus attendre du tout ; clientèle.
Auxlemonsde maniolis», eite joi-gnitdes
mais plus le calme restait apparent, plus
les désirs de vengeanees'encrateriten eile. lemonsde chan-iet arfria a avoircasiizain©
Vengée? non, eile ne i'était pas et il d'élèves.
Son logementde la rue Clmrche-Midilui
failait qu'ellc le soit!
parut trop ëtioit. Eile loua quatre peliies
Elle le serail!...
D'une toute autre fa^on Ia peêiteMélanie piecesrue Bonaparte.
Plus d'une fois, Méiauie mnit voaïa
soufïraiten l'absencedu jcune homme.
assister aux le§onsaiin de eaaser vee ies
Pourquoine venait-ilplus?
Pourquoi les abandoanaU-iitoutes deux, jolies petites parisienu-esqui venaléoi Kt;
aprèsêtre venu les voir, longtempset sou¬ maisla mandoliaisies'y opposaitior«a&Bement.
vent ?
Que faire d'une houqucilère daas ao
Elle ne posa pas une seale questiona
l'ainée, tant elle redouuit la réponse,mats salon ?
Sabesognene lui suffisait-ellepav ?
elle pensait que quelque chose avait dü
II y avait hien six mois que MarieLe¬
avoir lieu entre cux et elle s'en atlrista.
Avecle départda jeune hommeun grand noir et sa soeur vivaiant de icur ü-avaii,
qnand un jour Méiauiepartit avecdix sous
vide se fit dansia vie dc l'enfant.
Les seulesparolesd'affeetionqu'elle eüt dans sa poche.
Elle se dirigea vers a ohce Saiat-Gerentenduesdepuisson arrivé» a Paris lui
avaient été' diles par « MonsieurRaoui•> main-des-Prcs,achwalune gerbede ciiry?
— comme elle l'appeliit — elle y te- santlièmeset des vtoleltesó-aiiteile at des
nait plus qu'aux toniqueseta tous lesvins bouquets, puis eile marciia devani olie
reconfortantsuu'èchaquevisiteil lui portalt. sans savoiroü elie aüait.
Mais, que faire?... Un jour peut-être 1 C'étaiten décembre.
Elie traversa les quais.
viendrait oü é'le ie rcncoatrerait -Je couvcaul...
(A
TA Petit "Havre — Mercredi15 Mai1918
ON"
«VIS DIVERS
Avis au Public
ï,e Syndicat
Patronal
des Coif¬
feurs da Havre et des environs, duns
sa Rèanion Générale du i3 courant,
a décidé d'augmenter
le prix du tra¬
vail comme suit :
Augmentation
desPTx Ordlnaires
Barbe
(Augmentation!
I aids de cheoeux simple . . »
Taille de cheoeux Bressant,
Bovie mglnise
»
Tallh de pointe fr la Bcrbe.
»
Taille moustaehe
»
Coup de fer it la moustache,
»
ofr.os
tt fr 10
Ofr, 25
O fr. io
Ofr O»
Ofr
to
Taille de Barhe . .
—
Ofr.BO
Taille de cheoeux pour les clients se
rasmteaxmdmes.
Ofr VS
Taille de eheoeux le Dimanche
* fr » »
Ls prix as la Friction salon la qualité employés.
Nous espérons que les clients comprendront eetie augmentation
en raison des Jrais généraux qui sont quadruplês,
IB.f (9382)
E1 ■ :
"•
- 1' ---- ■
Etude de M' RÉHOND. mt aire an Havre, rut
Fontenellc, »• 33.
Cession
de Matériel
< remière
Insertion
Suivant acte requ par M®BÊ4SOND, nolaire au
(lavres le premier Mai mil n r-uf cent dix-hnit. la
S >c-«ié en nom colleetif « M. et P. IIAUGI/'BL
Fits », (lont le siege est établi au Havre, rue du
Docteur Fsuvel, n®12, a vendu :
A ia Suciété en ivm co leclif et commandite
staph
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V it par Nous, Maire de la Ville du Havre
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