1 - Archives municipales

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Transcript 1 - Archives municipales

Le Petit Havre
Administrateur• Délégué- Gérast
O.
RANDOLET
AdBialstratlBB.
Isiiressloas
it insoacei,
TEL.
10.47
85, Rue Fontenelle,
Adresse
Télégraphique
35
: HANDOLET
SCertiiBés
—IMTW!
DO
HMTIN
—5frMfnws (€5 Pages)
(6 Pajyès)
34- Iw» — If 11,913
Havri
Bureau du Journal,
112, boul' de Strasoourg.
L'AGENCE HAVAS, 8, place de la Bourse, est
iL'AG
seule chargée de recevoir les Annonces pour
sei
A PARIS.
le ,Journal.
Lt PETIT HAVREest désignó pour les AnnoncesJudicialres et légnles
ORGANE RÉPUBLICAIN
AU HAVRE.
L'Allemagne
etleCongo
Beige
CUIVRE
Comptsat .
8 mois
ETAIX
Eomptant
4 mois
.
TON
COURS
HAUSSB
BAISSB"1
soutenu
£ 63 5/£ 63 17/6
1/3
2/6
-/-/•
faible
£ 180 8/£ 182 -/-
-/-/-
6.8/6.-/-
FEU
Jomptant . . faible
£81/3
8d
-/mois
£51/3
8d
-/. Prix compares avec ceux de ia deuxieme Bourse
)u 17 mai 1014.
NEW-YORK,
IS MAI
Cletoue
t mai, hausse 3 points ; jnillet,
hausse 2 points ; octobre, hausse 7 points ;
janvier, hausse 7 points. — Soutenu.
Cafés
i baisse 1 ét 2 points.
NBWt-YORK,
18 MAI
f.
. 11 iOR
i. nieuw
Cuivre
Standard
disp.
13 80
13 75
13 75
13.80
—
juin
...
Amalgama».
Coj». ..
72 7 8
72 3 4
JFer
15 25
la 25
IS MAI
C. l»C JOÜR
81é sur
Maïs sur.'.!!!
SaiBdoux'siir!
Julliet ....
Septembre
Juiltet . ...
Septembre
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87
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PRKr.Hn
87 3 4
86 3 8
67 3 8
66 » »
10 20
10 35
L'opinion
que mon con frère
du Ha¬
vre-Eclair
tient a déjendre,
a l' occasion
de cette conférence,
est certes trés res¬
pectable
; elle a le grand
avantage
sur
cellede
M. Th. Ruyssen
de rallier
tout
de suite les suffrages
de la foule puisqu'elle
fait vibrer jacilement
la corde
du patriotisme
qui, a notre
lionneur,
est si sensible
chez nous. M. Urbain
Falaize
me permettra
de lui dire que,
la encore,
lui et les siens ont le tort
d'accaparer
le patriotisme.
La these de
M. Th. Ruyssen
vaut ce quelle
cart.
Qu'on
la discute
; mais il n'y aurait
plus
de liberté
de pensée
ni même de
régime
républicain
s'il suffisait
d'etre*
pacifiste pour être accusé ducrime
d' an¬
tipatriotisme.
Sur le Jond
de la question,
je dirai,
tout de suite, en quoi je me separe
de
M. Th. Ruyssen
et me rapproche
de
M. Urbain
Falaize
; celui-ci
écrivait
a
la fin de son article
: « La Paix par le
Droit ! En slyle pacifiste,
cela ceut dire
apparemment
qu'on obtient
la paix
en
renongant
au droit.
En bon Jrangais,
cela signifie
qu'il n'y a pas de paix véritable sans justice.
» Abstraction
Jaite
de sa pensée
malceillante
a l' égard
de
Vassociation
pacifiste,
j'estime
que mon
distinguè
conjrère
a raison.
J ai été amené
a contribuer
a la
jondation
de la « Ligue pour la DéJense
du Droit des Peuples
» présidèe
par
M. Ernest
Denis,
l'un
des plus
éminents
défenseurs
des nationalités
des Balkans.
Or, nos statuts
sont accompagnés
d' « Explications
» oü nous
aeons tenu a dire que « notre but diffère des associations
en faceurde
la paix,
en ce sens que nous mettons
la justice
au-dessus
de la paix.
» Nous sommes,
certes,
amis de la paix,
hostiles
a tout
esprit chaucin,
et nos efforts
tendront
toujours
cers les solutions
legates
et
pacifiques
; mais nous
coyons la réalité en Jace
et nous reconnaissons
que,
dans certains
cas, la jorce
peut être le
suprème
argument
du droit I
II
encore
un point
sur lequel
des réserces
a la these
de
Ruyssdh
: il est délicat
de se
sercir
dans
une propagande
Jaite
en
France
des arguments
que les Alsaciens-Lorrains
emploient
chez eux et
L'impéra trice douairière
de Russie, venant
de s'inspirer
de leur attitude
vis-a-vis
de Saint-Pétersbourg
et se rcudant
k Lon; ils ne sont
évid em¬
dres, est arriree hier matiu 0 9 heures ft Ca¬ de l'Allemagne
de tout dire et ils sont
lais. A la descante du train imperial
elle a inent pas libres
été saluée par Ie colonel conUe Ignatief,
bien obligés
d' adapter
leur
action
et
attaché militaire k t'ambassade
de Russie, ve¬ leur
cie publique
au cadre
oü ils vinant de Paris.
ccnt ; la « protestation
» qui a suici
Elle a pris place sur Ie bateau Engadine
pour Douvre3, a 9 li. 40.
I' annexion
eut abouii
a un suicide
na¬
est
CALAIS
PARI8, TROIS HEURESMATIN
3VTETA.TTS:
Ï.OX8RES, IS Mai. Dépêche de 4 h. 30
Je n'assistais
pas a la conférence
dè
sarnedi
soir ; je ne connais
pas M. Th.
Ruyssen
; mais j'ai
lu ses études
sur
l' Alsace-Lorraine
et la Paix.
Sa these,
?'ui ca a, l'encontre
du sentiment
popuaire,
appelle
la discussion
; personnellement,
j'ai des critiques
sérieuses
a
y faire
; d'autre
part,
l'orateur
a pu
prononcerdes
« paroles
imprudentes
»
qui dépassaient
sa pensee ; mais puisque M. Urbain
Falaize
, dans son arti¬
cle d'hier,
a jugé a propos
de citer en
passant
le Petit Havre,
je tiens a dire
que je ne m'associe
aucunement
au jugement
pour
le moins
injuste,
qu'il
porte sur la personnalité
du professeur
de Bordeaux.
je Jerai
L'impératrics
Douairière
deRussie
M. Th.
DernièreHeure
DÉPÊCHES
COM
MERCI
ALES
ETLAPAIX
André
Siegfried.
A
LA
primé par les sonverains,
aucnne
represen¬
tation de góa n'avait éié organisée.
Le souverain s'est rendu dans une banqne
de la rue Gnüon. La visit9 a duré une demiheure environ.
Le rei s'est ensuite recdn 31, avenue BuEeand, ch»z la graode-duchesse
de Meckleiuourg Scuwertn,
oü la reine l'avait
précédó.
Le roi est re3té vingt minutes
chez la
grande-duche3se.
Les sonverains sont rentrés
ensemble
au
ministère des affaires étrangères a 6 h. 50.
Ils ont ensuite diaé dans Pinlimiié.
**#
Les sonverains danois ont assisté hier soir
k la r-preseotation
or nnaire d'abonnement
de i'Opéra. Pour se contormer
au desir ex-
si elle s'êtait
maintenue
telle
au cours des annèes.
M. Lalance,
l' ancien
député protestataire,
pacifiste
concaincu,
auquel
le
conférencier
a fait allusion,
m'a écrit
naguère
une lettre
qui m'a laissé une
impression
projonde
et dont
coici la
substance
: « Même si nous
sommes
autonomistes
chez nous, nous n'admettons pas
que Vous,, Frangais,
vous le
soyeZ- pour
nous.
Nous
voulons
que
par
let ftdêlité
de votre souvenir,
vous
nous laissez
au moins I' espoir de redevenir Frari&ft*
un jour I »
Mais cela ne vei^t pas dire que nous
devious,
par un sïiüpje
effet de notre
volonté,
jouer
les dêsijnées
de I' Al¬
sace-Lorraine,
a la Jortun"
ffe la guer¬
re ou autrernent,
et ici je siuZd aecord
avec M. Th. Ruyssen
contreM.
urodin
Falaize
: la seule
base solide
de let
revendication
ahacienne,
c' est le droit
pour une nalionalité
de disposer d' ellemême.
Mon conjrère
du Havre-Eclair
nous dit que la Trance
a, sur les provinces perdues,
un droit
supérieur
a
tout plebiscite
et qu'il nous Jaut
être
prêts
a reconquérir
la Jrontière
natu¬
relle du Rhiri sur laquelle
notre
pars
a des droits
éternels.
Mais oublie-t-il
done, que
c'est précisément
en invoquant,
a leur profit,
ces droits
historiques
éternels
que les Allemands
ont
annexe
VAlsace en iSyi ? Leur grand
historiën
M > onsen avait beau jeu de
rappel,
r que cette terre
n'éiait
frangaise que depuis
Louis XIV et qu'auparavant,
et pendant
lout le cours du
Moyen-Age,
elle était allemande.
Cette
conception
du principe
de
nationalitè
était
tellement
répandue
que peu avant
la guerre
les étudiants
allemands
avaient
cru pouvoir
adres¬
sen aux étudiants
d' Alsace
et de Lor¬
raine
un appel dont
voici un passage
« A une époque
oü les petiles
nations,
les Grecs,
les Roumains,
les Serbes,
se
rêveillent
de leur torpeur
et se souviennent
de leur
nationalitè,
vous,
Alsaciens
et Lorrains,
vous ne sauriez
persister
dans
votre apathie.
Quittez
votre
état
de
bdlards
et redevenez
dans vos ceeurs les vrais enjants
de la
pair ie allemande.
. . »
C'est pour cornbattre
ces prétentions,
et en réponse
a Mommsen,
que Fustel
de Coulanges,
le projesseur
si patriate
de l' Université
de Strasbourg,
formula
la théorie
décisive a laquelle
nous nous
rattachons
: « Nous possédons
da XIX*
siècle un principe
de droit
public
qui
est infiniment
plus clair que votre prétendu principe
de nalionalité.
Notre
principe
a nous est qu'une
population
ne peut être gouvernèe
que par les ins¬
titutions
quelle
accepte
libremenl,
et
quelle
ne doit aussi Jaire
partie
d'un
Etat, que par sa volonté et son consentement libre. »
Notre devoir est de continuer
a affirmer
ce droit
imprescriptible
; en ce
faisant
nous
prouvons
a nos Jrères
d' Alsace-Lorraine
que nous leur som¬
mes toujours
solidaires
et que,
le cas
échéant,
ils pourront
compter
sur
nous ; en même
temps,
nous les laissons libres
de leurs
destmées
dont ils
ont a honneur,
quant
a présent,
d'ajfronter
seuls
les rudes
dijficultês
et
nous
leur
épargnons
les contrecoups
d'un
nationalisme
agressij
ainsi que
les menaces
d'une
guerre
dont
ils ne
veulent
pas ; toas
ceux
qui,
comme
nous,
ont parcouru
l' Alsace
actuelle,
ne peuvent
avoir de doute a eet égard.
Caspar-Jordan.
LESCONSEILS
GÉNÉRAUX
EN
CASPAR
Telephone
Ssorétairs
Rédaction,
CHEF
-JORDAN
I 14.SO
Général
35, rue
: TE.
VALLÉS
Fontenelle
- Tél.
Trois Mois Six Mois
Le Havre, la Seine-tnférieure,
l'Eure,
so
O
l'Oise et la Somma
1
Autre» Département»
e Fr. a a
Union Postale.
ao
so
On s'abonne egalement, SANSFNAIS, dans tous les Bureaux de
Fr.
7.60
Un Ax
as
Fr.
so
SS
•
•
Fr. AO
Paste do France
La Flotte des ChargeursRéunii.
LENOUVEAU
PAQUEBOT
"ASIE"
\
|
|
.
1
j
J
Clichéet Photo Pelll Bavrt
L-e paqnebot neuf Aste, de la Soeiété des
Cha'genrs
Rénuis, est entré an port diman
che. R a pris pla^e & IVntrCe dn bassin Vétillart, quai de la Girnnde, oü l'on procédé
au déch.trgemeoi
d-> son lost. II eotrera prochuinxment «-n charge, devsn! rfteotuer
le
départ du 30 mal sur la Cöte d'Afriqne.
be 17 avrii nons arons donné les caractéristiqms de ce beau naelro qui tint sor rade
«-mbarquer les membres de la Commission
chargée de coniröler ses ps-ais qn'il eftectua
sur les bases de Douamenez.
Depuis, ce navire est retouroé k üunkorquo
pour y subir
diverges
transformations
dans sa machi¬
nerie.
Une visite k bord nous a permis hier de
nous rendre cotupte da l'aménagement
de
ce batiuient
qui se classe par mi les plus
conl'oriables et les plus ltixueux. Tont y est
spaiMeux, bien éclairé et aöró.
Les cabines et locanx, disposés dans les
trois ponts complets
que comporte le navire, ont. to >s de deux mótres trente a deux
mètres cinquanle de hauteur,.
L s premières classes sont réparties sur le
deck et sur le pont intérieur ; sur Ie pontpromenade
sont instaliés les appariements
de luxe compo'tant
chambre
a deux lits de
cuivre, salon-bureau,
salie de b óns et waterc oset. L-s secondes classes sont établies sur
le dernier pont.
Chaqne cabine re?oit de l'eau courante
k
la toiletu-iiroir
dont tons les accessoires
sont pourvus ü'« gouttoirs condaisant
ét un
siphon évaeuaul ies eaux usées directemeat
êt la trier Des sailes de b óns, de douches,
avec tout le confort de i'hydrothérapie
mo¬
derne, sont è la di position
des passagers
aiusi qu'un gymnase mecanique aérè et au¬
quel sont aiienants deux kio ques de repos.
Un trouvera ega ement uu laboratoire cham¬
bre noire k i'usage des ptiotographes
et un
salon de coiffure.
Bons le hall principal
dont la coupole vitrée laisse passer une abondaute
lumière
sur ('élégante decoration blanche, se trouve
!a salie è manger des premières,
raeuKée
avec un >oüt parfait et ornée de gracieuses
jardimères.
E Ie est aménagée
par petites et
grande» tables pour laO i ouverts. Cinqiianie
lampes plafonnières
et trente appliques
de
deux bougies électriques
donnent
un bel
éc'airage. Cette spacieuse
salie est dotée de
veutiiatem s de plafonds et de douze radiateiJrs A chauffage par l'électricité.
Trós curieax est ie fomoir dans sonameub'einent
de style ff mand en vieux chêne.
D ns la cioison des grilles de cuivre ciselé
masquent les ouvertures
des aspirateurs.
Cet appartement
est éclairé le jour par une
verrière de couieurs et ie »oir par des globes
de son collègue qui riposta anssilöt par nn
coup de poing. M. Magnien se défendit é
coups de pied.
Les deux conseillers furent séparés par les
témoms de la scène.
Cet incident a cansé one viva agitation an
Conseil.
opaques cerclés de bronze et des appliqkdt
arüs'iqnes.
Pour cette salie le peintre Sebille a exé»
enté un joii tableau, les Vieilles Frégates,
vaisseanx de haotbord.
On y rema'qoera
aussi nn joli carrelage
moral de grès uollandais exécuté par J.Dvan
Veizrn, d'après Léon Senf.
Voici Ie petit salon de dames anv tentures
brochéesd ordans lequel les passageres trouveront piano, bureaux, tables de jeux, tables
k on rrage, etc.
Puis nous passons an grand salon Louis XVI
anx riches tapisseries,
avec ameublement»
divers. It est surmonté
d'un grand döme
vitre et décoré d'un sujet allégoriaue
de la
Compagnie.
Un magniffque piano S qnene occupe Is
milieu de ce salon oü sont disposés des sièg»8 aux différents styles et parmi lesqueli
nous remarqoons
des fauteuils è coussins
pneumatiques
se gonflant automatiqnement.
La salie de lecture est contigue
au grand
saion. E le renferme nne jolie bibliotheque,
d'élégants bureaux accouplas, enfin tout i'ameublemeat
pratique
pour la lecture,
Ia
correspondence
oü la douce farniente.
Que de choses méritent encore d'ètre décrites sur ce joli bateau ; les aménagements
des locaux d« secondes classes qui, toutes
proportions
gardées, ne le cèdent en rien
aux précédunts sons le rapport du cooforlable ; le spacieux höpital réalisant
toutes les
conditions da l'hygiêne et pouvant
prendra
dix personnes
en traitement,
ies installa¬
tions du service : l'office, la cuisine, Ia bonlang^rie,
la cambuse
toutes claires et spacieuses, etc., etc...
En nn mot on peut dire que la Société das
Chargeurs-Réunis
avouiu
que sa nouvelle
unité comporiat
tout le confort et tout le
luxe desirables
et, qu'ajce
point de vue
y'Asie n'aura rien k envier aux plus beaux
specimens des ffottes des Compagnies étrangères.
M. Hattenville.
ON
TROUVE
LEPETITHAVRE&Paris
h la LÜRHifüE
IHTERNSTiOHBLE
109,
vue
SK-Laz.re,
108
(Immeubla de I'HOTEL TENNINUS)
et
dans
les
AC
PEHTCIPAUX
KI0SQUES
JMA.ROC3
Le Conséil général du Donb3 a émis l'avis
Un Combat
que la péréquaóon
de l'impöt
sur la proGibraltar.
— Le bruit court quo de sépnété batie soit echalonaee
sur une période
rieux combats ont lieu au Maroc, dans la
de dix antiées.
zóne espagnole.
Le r.onseil général d'Eure-et-Loir
a adre^sé
ses respectueuses
salutations aux souverains
danois et a formule des vceax pour ia prospérité <fu Danemmk.
M. Miginot, sous-secrétaire
d'Etit
è la
A-ML VOLÉENFRANCE?
Brest — M. Grivolet, expert armorier
de
guerre, a été élu président du Conseil géné¬ Saiin. Etieune,
Nancy. — On sait que les autorités
atlevient de faire coomótre
an
ral de ia Meuse par 26 voix sor 27 votants.
Paiquetde
Brest et au défenseur
de l'ingémaodes ont démenti
la nouvelle
d'atȎs
Dans le discours
qu'il a prononcé k i'onlaquelle
un aéropiane
militaire aur o surnieur Pierre que son rapport et ses conclu¬
verture
du Conseil général
de l'Isere, M. sions ne seront connus que dans une huitai*
volé sur le territoire
franpais prés d'Arua4c *
P issonnier a exprime le vceu que les mesuville.
ne de jours.
res vexatoires
auxquelies
se prête mal le
A l'issue de ia prise d'armes qui a eu lien
Plus de vingt témoins dignes de foi atfranpats, soient éloigoées de la
hier matin a Salory, le president de la Répu¬ tempérament
ffrment cependant avoir vu l'aéroplane pas¬
blique a prié le ministre
de la guerre
de rétorme fiscale qui doit s'inspirer avant toot
ser au-dessus de la filature d'Arnaville,
parFAUXM0NKAYEURS
ENCOUR
D'ASSISES
des nécessiiés de la situation internationale
transmettre
aux troupes qui y ont participé,
conrir en France plus de deux kilomètres,
Amiens. — Hier a eommencé
derant
la puis retourner en pays annexe en suivant 1#
les compliments
du roi de Danemark et ses et de ia prospérité de la Fra» ce.
M. de Selves, senateor, president du Con¬ Cour d'assises
de la Somma
l'affure
des cours de ia Moselie.
félicitations personnelles.
seil géneral du Tarn-et Garonne, a forme le ymgt-qnatre
faux monnayeurs
arrêtes
au
vceu que dans la nouvelle legislature les recours de I'hiver derniar a Amiens, Paris et
presentants
üe ia France sachent é re ü la dans diverses villes de province et de BelLÉGION
D'HONNEUR
h.uteur
des ci'cousiances
dtfficiles qui a'of- gique.
_
Colmar. — Devant le Tribunal superieur
MM. Cap elm, artisie peiQTe caricaturiste
frent è leur patriotisme.
de Cuimar est venue la deliberation tlu pro¬
et Bioet, dit B net-Palraeyr,
roinaocier,
sont
Le Conseii géneral des Basses-Pyrénées
a
ces intenté au dessinatmir
Hansi ft cause d«
nommés chevaliers de la Légion d'Honneur.
adressé i'expie^sion de ses reg e s et le téson livre intituié Mon Village.
moignage de son aff ctueuse confiance è M.
Boüi.ogne-sur-Mer.
— Dans la collision qni
Le procureur
a requi* une peine de six
B rthou, actueilemeut
en Italië et qui ne s'est produite au cours de la dernière
nuit,
mois de prison et de I 500 francs d'amende,
pourra presider la session.
ËLÈVE
ENLEVE
PARSONPROFESSEUR
au large de Dungenesi entre Ie voilier SucréLe Gonseil geuérai de ia Grense a émis des Cceur-de-Jesus, do port de Boulogne et le voi¬ mais le Tr bunal s'est declaré incompetent,
Le professeur
Follasi avait expeaié ses cole livre en question ayant un caracière par¬
voe
ix
en
faveur
de
l'impöt
progressif
sur
ie
der anglais (jherusta , quatre
hommes
du
lis é Bruxeües et son signalement
ainsi que
ticulier.
revenu,
de
ia
rédaction
du
norabre
des
foncSacré-Cceur-de-Jesus
et le patron
se sont
celui de son élève avait éte envoyé k la po¬
L'affaire est transmise an tribunal
supft.
tioimaires,
d«
la
diminution
des
grou
trótenoyfs Le reste de i'éqnlpage
comprenant
lice beige. Le service de la Süreté
générale
rieur d'Empire de Leipzig.
ments,
de
ia
limitauou
des
armeoienis
interquinze hommes, est rentré hier soir a Bou¬
avait égalemeut avisé ies commissaiies
spéLe procureur a alors requis l'arre3tatiou
naiionaux.
cianx des gares intermédiaires.
logne.
de Hansi, conformement
ft la loi allemandf
Une dépêche
d'A miens annonce
que le
en pareille matière et pour prévenir toot»
Macon
.
—
Au
Conseil
général
de
Saöne-etjeune Couglas Mac Dabe vient il'êue retronvé
tentative de foite, le dessiuateur
a été imm0>
da M. SarLA PESTE
A BAKOU
seui dans un hotel de cette ville. Quant a M. Loire, réuni sous la presidsoce
diatement incarcéré.
rien,
un
incident
s'est
prodnit.
Jean Follasi, il a dïlparu.
La police auiienSatnt Pf.tersbouru . — Des télégrammes
de
M. Magnien ayant rencontré
dans les cou¬
noise le recherche.
.
Bakou tiguaient
qu'une
certaine
efferves¬
loirs M. Drnard, autre com-edler, lui demancence s'est produite parmi les ouvriers k Ia
da des explications
au sujet d'un certain
Amiens.— Mme Mac Cabe s'est rendue hier
Halifax (Nouvelle Eoosse). — Le vapeut
les
tract mis en circulation
au cours de la pé- suite de la decision prise de détruire
k Amiens pour reprendre
son fils.
Seneca, ramenant
ies quatre snrvivants
du
maisons et les meubles de la region menacóe
piode é rectorale et dans lequel il était viveToas deux sont parti3 dans la soirée pour
troi ième canot du Columbian, est arrivé blei
par la pes te.
ment pris è partie.
Paris.
matin.
Un pestiféré qni avait rénssi ft s'enfnir
Les explications
fournies
par M. Drnard
Lo jeune Mac Cabe a déclaré qn'il avait
Les nanfragés sont daas na état de fai*
malgre la surveillance
organisée par les ser¬
pas saiisfait
M. Magnien, celui-ct
suivi son professeur saus defiance car d ava>* n'ayant
biesse
vices aanitaues, a pu ötre rejoint et isoló.
\ prononp-i quelques
paroles vives A t'égard
déta voyagé avec lui.
Visite
lies
Souieraiis
Sanols
Au cours du déjeuner
offert an Palais de
Versailles, ie roi a fait part au président
de
la République
de son desir de prononcer
quelques paroles en sohvenir de Ia revue a
laquelle il venait d'assister et au dessert,
ii
a prononcé le toast suivant :
« Monsieur le président,
» I! m'a été donné aujourd'hui
i'occasion
d'admirer une partie de l'armée
franc- óse.
J'éprouve une joie réelle de pouvoir lui rendre hommage.
Les manoeuvres
auxquelies
je viens d'assister
m'ont vivemeüt
impressionné.
» Je suis émerveillé des prouesses d8 vos
aéroplanes
militaires et dn courage desaviateurs francais qui estconnu de tout le monde.
» Je vous prte, géneral Michel de bien vouloir transmettre
mes remerciement?
k vos
officierset
soldats.
Je léve mon verre a la
gloire de l'armée franchise ' »
Le président de la Republique
a répondu
en ces termes :
« Sire,
» L'armée franpaise
sera trés tonchée et
trés fiére des felicitations que lui veutbien
adresser Votre Majesté.
» Je prie Votre Majësté de me permettre
de lever k mou tour moa verre en i'honnour de la vaillaute armée dauoise 1 »
J.-J.
tional
L'ALSACE-LORRAINE
quelle
ne peut nous laisser indifférents,
par simple souci de notre propre intégrité,
force nous a été de réfléchir un peu, nous
aussi, sur ce problème de l'Afrique équato¬
riale qui a pris, depuis trois ans, une redoutable et grandissante
actualité.
Le plan de l'Allemagne,
de l'Allemagne
offlcielle, est malheureusementtrop
évident.
Depuis la mutilation
de notre Congo fran¬
cais, qui a donné au Cameroun
un double
accès territorial
jusqu'au
fleuve Congo,
c'est-a-dire
jusqu'ft
l'Etat
beige, les Alle¬
mands visent a encercler
ce dernier. Par
jeur Afrique oriëntale
allemande
ils arrivent au Tanganyika
; le chemin de fer de
Dar-es-Salam
(Océan Indien) au Lac est pratiquement terminé. La pretention allemande
de faire du Tanganyika
un lac germanique
n'est pas loin d'etre réalisée. Après avoir atta¬
qué le Congo beige par l'Est, les Allemands
cntreprennentd'y
pénétrer par le Sud-Ouest :
leur mainmise
économique
sur l'Angola
portugais ne peut guère être mise en doute,
et c'est sous le controle effcctif de leurs
financiers et de leur influence
que va se
construire
le chemin de fer se dirigeant
de
Benguela (Océan Atlantique)
vers Ia riche
région beige du Katanga.
Si l'on ajoule le
projet de chemin de fer du Cameroun au
Congo, avec droit de passage sur territoire
francais
en vertu du traité
de 1911, on
achève de voir se dessiner une triple atta¬
que, prélude manifeste
d'une pensée d'encerclement.
L'inquiétude
beige se concoit done. Sans
doute rien ne se peut faire sans le consentement de la Belgique, qui ne semble du
reste pas prête a l'accorder.
Sans doute
aussi notre droit de préemption,
malheureusement
limité par Partiele 16 du traité
franco-allemand
de 1911, fait de notre ac¬
quiescement
une condition
sine qua non.
II n'est done pas a craindre que la question
dc l'Afrique equatoriale
soit réglée en de¬
hors de nous.
Ce qui est dangereux,
c'est cette convoitise grandissante
et qui se cache de moins
en moins. Que les Beiges, que les Francais
aient le droit de résisler, d'opposer
leur
veto aux combinaisons
alleinandes,
c'est
entendu.
Mais qui peut empêcher l'Alle¬
magne de poser certains probiènies avec les
procédés d'intimidation
et de brutalité que
l'on sait ? De plus en plus il apparait que
le Congo beige va devenir une des ques¬
tions épineuses
de la politique
interna¬
tionale.
Tard venus dans Ia course
aux colonies,
nos voisinsd'Oulre-Rhin
neseconsolentpas
d u temps perdu par eux et entendenl
bien le
rattraper.
lis ont, dans ce but, tout un plan
de politique générale mondiale, que la Kolnischc Zeitung développait
récemrnent
dans
un magistral article, et que nous ne manquerons pas, dans quelque prochain article,
de faire connaitre ft nos lecteurs.
L'avenir
ft eet égard est, avouons-le,
plein de périls.
Si l'autruche.
en présence
du danger,
se
cache la tête dans le sable, ne faisons pas
comme elle.
RÉDACTEUR
ABONNEMENTS
Le plus fort Tirage des Journaux de Ia Région
Bulletindel'EtrangerBelgique
Au moment oü Ia nouvelle Chambre
va
avoir a examiner,
dans toute son ampleur
et — disons-le — dans toute sa gravité, la
situation
extérieure
et militaire
de la
France et de l'Europe,
il faut avouer
que
ce n'est pas une atmosphère
de détente qui
prévaut. Sans doute les deux grands groupementsdiplomatiquesde
la Tri pie- Alliance
et de la Triple-Entente
continuent
de se ba¬
lancer rigoureusement
— et c'est la garan¬
tie la plus sérieuse de l'équilibre
européen
en même temps que de la paix générale.
Mais l'Autriche,
dans les Balkans,
reste
mécontente
et ambitieuse
; lTtalie
dissimule a peine des prétentions
territoriales
en Asie-Mincure
et des prétentions
d'hégémonie na vale en Méditerranée
Oriëntale,
qui sont une grave menace pour Pancien
statut méditerranéen.
L'Allemagne
enfin,
par divers indices, laisse voir qu'elle ne renonce pas a la politique
des revendications
insinuantes
ou brutales qui si souvent déja
ont inquiété les amis de la paix.
Je ne voudrv
isager aujourd'hui
que
la question du Congo beige, qui vient de
reprendre
une pénible
actualité
par suite
de certaine campagne
de presse de 1'autre
cóté du Rliin. II semble
que les milieux
coloniaux
allemands
veuillent
systématiquement retenir 1'attention
du public sur
l'Afrique équatoriale.
C'est en vertu d'un
plan raisonné
et suivi qu'ils y reviennent
pour ainsi dire sans cesse, entretenant
dans
['opinion germauique
ce que les Anglais,
dans leur style électoral,
appellent
une
« agitation ».
Ces jours-ci,
une brochure sur le partage
éventuel du Congo beige a été distribuée
dans les couloirs
du Reichstag.
L'auteur,
M. Gernaert, fondateur de la Revue générale
coloniale, y propose tout simplement
a la
Belgique de renoncer a toute la région qui
s'étend au Nord du fleuve Congo, soit k
une superficie de 680.000
kilomètres
car¬
rés sur 2,300,000 kilomètres
que comprend
l'ensemble
du territoire
africain de la Bel¬
gique. Une somme de deux a trois milliards
de francs serait le prix de eet échange ; et
la France, .dont on entamerait
ainsi partiellement
le droit de preemption,
recevrait
comme compensation
quelques centainesde
mille kilomètres
carrés.
« L'Afrique oriën¬
tale allemande
et le Cameroun,
conclut
M. Gernaert,
seraient ainsi réunïs par une
large bande allant de l'Oubanghi
aux lacs
Kiwou et Edouard-Albert.
Un grand em¬
pire colonial allemand
se trouverait
créé,
s'ëtendant
de l'Est a l'Ouest de l'Afrique.
»
1 Assurément
ces suggestions
n'ont rien
d'ofliciel, et è plusieurs
reprises
des personnalités autorisées
ont, parait-il,
rassuré
la Belgique
sur les intentions
au moins
prochaines
du gouvernement
allemand.
Mais on salt ce que valent ces dénégations
:
i'histoire en est pleine, et elles ont presque
toujours accompagné les intentions
qu'elles
prétendaient
démentir.
D'autre part l'énorme influence
des pangermanistes
sur le
gouvernement
et Ia cour elle-même
n'est
pas ignorée. On a beau dire qu'ils n'engagent pas le pays par leurs déclarations
: il
li'en reste pas moins que leurs inspirations
ne sont nullement
négligeables
et pourraient bien, un jour ou 1'autre, exercer
sur
la marche des événements
une action décisive. De la le malaise soulevé par la bro¬
chure ci-dessus mentionnée
et surtout par
1'attention
excessive
que lui a prêtéc la
presse germanique.
L'opinion
beige s'est
émue. Et comme rien de ce qui touche la
DÉMOCRATIQUE
PanH
19 Wai1*14
ltaéroplane7uema7d
LE mYSTÈRE
DE LA GRAND'PALUD
LEDESSIN
ATEUR
HANSI
ESTARRÊTÉ
COLLISION
ENTREVOILIERS
LESRESCAPÉS
DUI COLUMBIAN
»
fje Petit Havïe — Mardi 19 Mai1914?
2
BÜLLETINMILITAIRE
individuelle,du secret des alf&iresel de la liberió
Le roi Christian s'inléresse particulièredu foyer.
ment 4 nne tapisserie représentant le roi
Soubiiitoris enfin l'avënement d'une réforme
Lotus XV. Cette tapisserie — le fait est siéiectorale qui solt un raoyen direct et équiiable
gi-.ale <1
ti roi — a élé vue par son aïeul Chris¬
de
consultiilion, uo instrument et un facteur de
Nominations dans laRflarine
tian VU alors qu'elle était encore sur le mé¬
proj?rèssocial, car il faut voir, dans l'amölioraLe vice-amiral Boué de Lapeyrère est
tion du modedo scrutin, la clef de toutes les autier.
tres réforme,s.
Le cortège qnitte ensuite le musée et mon- maintenu dans Ie corn mandement de la pre- OKtSliK
£n
Franco
VATOmH
DE
PARIS
C'est dans le souvenir heureux et chaud de Ia
te en voiture pour faire une courte visite m ére armée navale, pour une anuée, 4 parbalaille
que j'adresse un satut cordial aux éieclir du S aoüt 1914.
dans le pare.
teurs républicains du département de Ia SeineLa,prised'armesde Satery
Sont nommés :
Paris, 18mai, 11h. 18.
Infèrkue.
Le départdeVersailles
ris sont en droit d'attendre de leurs élus ia rea¬
Le vice-amiral Cliocheprat, au commandeLo présant
de la Répobhque et Mme
KxtrSmss
fesromfttrlque*;
771
uUiuia
4
Brest,
lisation d'un prograramo véritabiement national
Tandis que les souverains effectuent dans ment de la lre et cadre de la 1™armée na- 762enilltro a Toulon.
Poinearé sont allés chercher les souveraias
et
résotiiment de-moeratique.
Forte pression Quest Europe, Ac-ores.
d üiois poor les conduire aa camp de Sa¬ le pare du chateau de Versailles leur courte vale.
Pour nous, conseitleurs généraux,dans la sphère
promenade,
le
ciel
se
charge
de
nuages
si
Tf-mpsprobable:
Vent
lies
regions
Nord,
temps
Le
vice-amiral
Le
Bris,
an
commandement
tory, hier matin, 4 Deaf heures, au ministère
de noireacÜ"ndéparteuientaie,nous nous cönsacremenasants que M. William Martin avance Ie de la 2e cscadre de la 1" armée navale.
nuageux et ehaud.
rons égaleinent a cette oeuvre avec tont le dédes ijl lires étraogères.
depart
;
le
coriège
arrive
ain
si
4
ia
gare
de
vouement de bons normands el de bons franqais.
Le
vice-amiral
de
Maroiies,
commandant
Apiès un court eutretien, le cortege sest
fortué et s'est rendu a la pare des Invalides, Vt-rsailles-rive gauche 4 2 h. 45, au lieu de en chef. préfet dn 5® arrondissement mari¬
Mescbers coliègues,
~ h. 56, heure prévue par le programme.
ALU HAVRE
(Centrede la Vtue)
Oü M. Noubms a'.tendait les souverains.
time 4 Toulon.
En votre nom je souhaite une cordiale bipnLes
souverains,
M.
et
Mme
Poinearé
et
Ceux-ciom pns p'acedans un wagon-salon
Le vice-amiral Auvert, membre du Conseil
iUOHTM IIWIltTl
venue a none nouveau collègue du 4«canton du
leur suite, saiués par les meines personnasuperieur de la marine (section perma¬
jBagmtiquement décoré.
Havre,M. Debreuille.
midi. , ,
769
-t- 2i
lités
qua
leur
arrivée,
prennent
aussitöt
Le.train a quitte a 9 li. 16 Ia gare des In¬
nente).
mimit.
+
ii
571
Cette allocution est trés applandie par Ia
place
dans
leur
wagon-salon.
Le capitaine de vaisseau L"jay, chef de di¬
valides.
majorité de Gauche.
A l'instant même oü le train s'ébranle un vision, commandant la llottile de torpilleurs
Au camp de Satory, il faisait un temps
M B gnon donne ensuito lecture des voeux
spleudide. Une foule nombreuse emplissait orage d'une violence iuouïe éclate sur Ver¬ de la l'ö armée navale et au commandemeut
déposés
sailles.
U FÊTE A SQUHAITER :
du torpilleur d'escadre Boucher.
les tribunes.
Puis le président met anx voix l'adresse
Le capitaine de vaisseau Moullé, au com¬
A dis heures, Ie canon tonne pour annonLe retour a Paris
soivante présemée par MM.Ancel. Gayant,
mandement de la flottiliedes sons-marins do
cer l'ariiiée des souverains. Le dirigeabie
AUJOIJRD'HUX.. Saint-Yves
de Bagneux, Dr Fidelin, Tbureau-Dangin et
Le train royal et présidentiel est arrivé 4 la i" armée navale et du torpilleur d'escadre
Uontgoifierévolne dans les airs.
Yaiin.
DEMAIN
Saint-Bernarclln
h. 23 en gare des Invalides. Les gardes de DekO'ter.
Le coriège fait son cDtrée au camp au
Paris torment la haie le long du quai.
milieu dps ;.cclaina!ions de la foule.
Le lieutenant
de vaisseau Jonrdan, au
Adreaaaanz Troupesdu Maroo
Au ministère des affaires étrangóres, oü commandement du torpilleur de haute mer
la aumoni du rui c'. du président est
Le
Co/'Seil
géneral de la Seine-Inférieure
conduite par des artillèurs <eile de la reine ils se sont rendus aussitöt, le roi et la reine Forban.
ad*esse aux atjicters, sous-officierset snldats qui
de Danemark se sont entretenus quelques
et ue Mme i'o nearé est attebc en puste.
Sont promus dans le corps des officiers de
viennent une fois de plus de montrer tant de
Le roi et le pre i em passent de ant Ie instants aveC M. et Mme Poinearé qui ont marine
:
courage et de vaillance ou Maroc, ses pairïutiensuite oris congé et ont regagné l'Elysée en
carré des troupes puis viennent prende
L'Ancêtre
ques felicitations 11 I'expression de toute son
Capitaine de vaisseau, Ie capitaine.de Ipépla e dans la tribune oflicieile. Le défilé automobile.
admiration.
gate Fouguerousse (A. P. E ).
On vient de découvrir le sque'commence anssitót. Les Saint-tyriens ouCapitaine de frégate, le lieutenant de vais¬
lette d'un nomme |)rébistoUn grand nombre de membres déclare
vrent Ia marrhe
lique. Détail particulier :
seau Galland (J. J.).
s'associer 4 cette adresse.
Le rui e lc président se tiennent debout
il possêde nee dentition
M. le président : II n'est pas donteux que
et s. Inent a» passage dés eten. ards.
Le vice-amiral Marin-Darbel est placé dans
compléte et intacte.
tous les membres du Conseil générai vouLa foule ovationne les troupes.
la deuxième section du c idre de l'éiat-madront s'associer 4 eet hommage rendu 4
On découvre de temps en temps
Les troupes se deploieat eusuite en ligne
Les Conseils généraux, dont la réunion jor géneral de iVrmée navale, 4 compter du
nos vaiilaotes troupes.
de bataille et Ie roi, pour suivre de prés la
Un anonyme et brave ancètre
10
juin
1914.
Je mets aux voix Ie projet d'adresse.
manoeuvre, monie a cheval et parcourt les avail été retardée en raison des élections le¬
Qui depuis des ans et des ans
gislatives, ont ouvert hier seulement leur
Le projet d'adresse est adopté 4 nne trés
différents fronts.
Dormait,
ronfiait,
rêvait
peut-être.
grande majorité.
La manceuvte terminée, les souverains session de Paques.
Et sur son corps et sur ses os,
M. le prefet : Je tiens 4 m'associer égaler
quiuent le camp, toujours trés acciamés.
Cantal. — En or vrant Ia session, M. LinSur son vieux cr&ne ou son vieux dos,
ment au téuiagaage
d'admiration que lé
Dés que la revue est terminee, deux esca¬ tilhaé, sénateur, commentant « le sens et
Le savant fait da longs travaux.
Conseil générai vieut d'envoyer 4 nos trou¬
drilles d'avicns procnent
leur vol, pour ['importance » des dermères ólectious, dit
Faites, cher mai ere !
pes du Maroc.
ader en reconnaissance.
que « l'ensembie des partss qui se réclament
Vietimes de I'Orage
La séance est ensuite levée 4 3 h. 40 et les;
Tons les d -parts s'effectuent correcte- ue i'idéal déiuocrauque et ne différent au
Le
nouveau
grand-psre
trouvé,
,A
Fleury-les-Aubrais,
quatre
infirmières
membres se réunissent en Commissions.
ment, malgre un vent qui devient violent. fond que sur les étapes nécessaires et les
de
l'asiie
d'aliénés,
surprises
par
l'orage,
et
Synpathique
et
troublant
squelette,
Séance aujourd'hui, 4 3 heures.
Les pilote» décoiLnt tous en quelques me¬ moyens propres 4 ie réaliser, forraera plus
Oifrait ce détail qu'il avait
tres, soulevant ainsi {'admiration du pubtic. des deux tiers de la nouvelle Chambre, et qui avaient dü se réfugier sous un arbre.ont
été
frappées
par
la
loudre.
Une dentition compléte.
que le reste parait se composer, pour parties
AuChateaude Versailles
L'une d'eiies a été tuée snr lecoup ; les auJ!,e Gtreupe de Gauehe
egales, de ceux qui se defient secrètement
Au complet était I'ornement
tres
ont
été
brülées,
mais
peu
grièvement.
L? retour du champ de Satory 4 Versailles de cel idéal ».
MM. les conseiüers généraux ue ChoiseutOdontalgique — mot charmant
A
la
Chapelle-Saint-Mesmin
et
a
Villemnrï'fff'eciue dans !e même ordi e et par le
Praslm et Debreuille ont adhéré au grOupe
Du brave ancien en c
mint
A ces derniers, ajoute-t-ll, oil n'aura ni la naïméun* itinéraire qu'4 l'aller. Au bout de la veté, ni d'aiileurs le besoin de demander d'aith-r nin, ia foudre est tombée sur ges formes qui
des conseillers généraux de gaucbe, ce q>ü
Sur
la
selletto,
rue Thiers, Ie coriège prend, 4 gaucbe, l'ave- au trein sur certsines centes dangereuses oü il ont été incendiées.
porte lenr nombre 4 31 sur 55 membres de
Un nouvel orage sévit sur la région d'Craoe de Paris, pour g*gaer Ia place d'Armes est pos ible que l'exlrêwe gauche veuille parfois
l'assembiée départementale.
Pr s une ne m?";
tppel.
«t le chateau, oü le service d'honneur est entialuer (a majorité, en s'énivraiit dun succès léans.
Da la moUan
ine.
lét&bli dans la cour de marbre. Lorsque Ie élecioral jusqu'a se faire illusion sur certain--sde
Le vieux pèru
..turel
Sos
causes.
-Én
ce
cas,
sssez,de
républicains
de
L'
AIfaire
Calmette
coi tège y arrive, les tambours battent aux principe se concentreraient pour rósis er »ux scMontre a défaut d'aimable mine,
«hamps.
M. Boucard, jnge d'instruciion, 4 qui le
ciaiistes un-fles, et leur rappéler éuergiquement
Toutes ses dents, en vérité,
Nous recsvons la nota suivante :
Les souverains, le président de la Répu- ce que leur succes d'bier dolt aux calculs cyoi- procureur de la République avait transmis
Fait authentique et constats
blique et Mme Raymond Poinearé soni re^us ques do couibre de soi-disant conservaieurs, par¬ samedi soir son réquisilöire définitif, vient
Les membres de Ia Liguo d'Eiucation
Et non un ratelier mon té
sur ie perron de l'e«calier de marbre par M. tisans exasperes d« la politique du pire. II y a de rend re une ordonnance de renvoi de
Morale se sont rénnis samedi 16 mai 4 l'Höde Noihac, conseryateur, entouré du liaut beu de croire d'ailleurs que le parit socialiste Mme Caillaux devant la Chambre des mises
Gutta-platine.
tel de Vibe, sous la présidence de M. Rissou,
uiiifie, oü ^intelligence est ce qui manque le en accusation, sous l'inculpation d'homicide
personnel.
inspecteur primaire, pour achever de constiEt par ce détail, grace a lui,
moins,
se
refuserait
alors
a
faire
le
jeu
de
ces
Immédiatement,
le roi Christian et la
tuer la section havraise.
surenchérisseurs dans lo sabotage so¬ volontaire commis avec premeditation.
Nous observons combien changée
reine A exandrir.e sont conduits dans les hypocrites
Cette ordonnance a été signifiée an baton¬
Après la discussion des staints différentes
cial. Ne voit-on pas deja, a de récentes declara¬
Est la vie, hélas, aujourd'hui !
appartemeots qui leur ont étê réservés et tions de ses chet's, qu'il sent croitro sa ro ponsa- nier Fernand Labori, qui demeure le defenCommissions oat été nom mees pour s'occaSi manger la vache enragêe
oü ils vont prendre quelques instants de bililé avee son importancedans l'Etat républicaio, seur de Mme Caillaux, conirairement anx
per des moyens d'éducatiou morale : CerEut été fatal et forcé
lepos. Les apparterneuis du roi sont eeux hors duquel il n'est de realisation possible pour bruits qui ont été répandus par certains
cles de parents, lig res de bonté, tutte contre
de Louis XV et les petits apparlements de autun point de son programmeÏ
En
ce
vague
et
lointain
passé
jouinaux.
l'filcoo'isme, fa depopulation, la pornogra¬
Marie-Antoinette ont été mis 4 la disposition
Notre ancètre y aurait laissé
Meurthe et Moselle. — En ouvrant la
phic, etc.
de ia reine Alexandrine.
séance tin conseil general, M. Albert Denis,
M. Fiavien expose ensnite nn projet de
Sa double rangée !
Les appariements de Mme de Maintenon ancien depute et vice-president de i'assem- Patronage de l'Enfance
réumons, de eau,series oü tous profiteraient
- ALEERX-IlEIUtEXSC
HüIDT.
Ont été réservés pour le president de la Ré- blée départementable, remplatantM. Albert
et de l'Adolescenco
des experiences de chacun dans un esprit de
publique et Mine Rijmond Poinearé.
Lebrun, ministre des colonies, président, a
large toiérance.
L'assembiée générale annnelle du Patro¬
Signalons encore l'heureuse initiative de pronoi ce une allocution dont la plupart des
La France se meurt, faute de vie morale,
nage
de
1'entance
et
de
1'adolescence,
tonde
M. de Noihac, qui a faü placer dans les appar- passages soulevèrent les protestations de
dit-il, une régénération s'impose, sans cela
temenis réservés au roi Christian un trés plusieurs membres de l'assembiée, notam- par M. Henri Rollet, a eu lieu hier après-midi
nous courons tout droit 4 notre perte.
précieux souvenir danois que possède Ie ment de MM.Chapui3 et Langenhagen, séna- a Puis, au Musée social, sous la presidence
Öu'alloQs-nous faire *?
de
M.
Georges
Fiory,
président
du
Tribunal
inusée de Versailles : e'est le portrait par teurs, et MeqoiDet, député de Lunéville. Sa¬
It y a déj4 plusieurs réponsos 4 cette ques¬
Van Loo du roi Christian VII, offert par ce lon M. Albert Denis, il ressort qua c'est le pour enfants.
Première Session ordinaire de 19i4
tion ; Créaiion de cercles de p irents, ligues
Le rapport présenté par M. Muller, qui a
souverain 4 l'Académie franchise, a la suite pani socialiste révolutionnaire qui a été le
de bonté, etc., — eeoi est te cötó pódagogiPrésidence deM. Bignon, président
d'une visite faite 4 cette Compagnie.
seul béneficiaire des rêsultats du vote popu¬ assumó la lourde charge de la présidence deque de la question, il y en a un amre :
puis qoe M. Rollet a été obligé de l'abandouLa session s'est ouvérte hier 4 3 heures par
laire.
La formation morale des jennes se lait de
le Dijeneer
une allocution de M. Bignon, président du
Déconcerté par i'équivoque des programmes, ner en raison de ses nouveiles tonctions de Conseil
générai, qn'entonraient MM. Génes deux fa^ons ;
Une centaine de convives prennent part par 1'imuioralitöde certaincs alliances et por la juge an Tribunal de la Seine, nous apprend
to Répression des délits par voie d'aueu dejeuner officiel donné au chateau. Ci- coDfu ion des doctrines en presence, le pays, dit- que 1,352 jeunes gens ont été recueilhs pen¬ tal et Soulier, vice-présidents.
toritf» ;
ton. : M. de Scavenips, miaistre des affaires il, a exprimé sa volonté comme il a pu, a l'aide dant l'affnée 1913.
2» Creation antour de l'enfant d'une atALLOCUTION
DERi.PAULBIGNON
Dans une bnUante improvisation, M. Flory
d'un scrutin ircparfait et faussé, qui a conduit le
étrangères du Danemark ; M. Rotlie, maré- corps
mosphère hantement morale dans iaquebeil
éleclorai,
dans
de
trop
nombreuses
circonsa
rendu
hommage
anx
services
rendus
par
Meschers
coliègues,
chal de la cour ; tons les membres de la cripiions, a prendre des décisons conlradic oires
puisse trouver de lui-même ies le?ons qui
i'ceuvre aux enlants tiaduits en justice partisuite royale et de la légation danoise 4 Pa¬ avec ses principes.
A Taubede cette session, je n'enlourerai pas de lui formeront nne consctente droite : c'est la
cuiièrement
devant
le
Tribunal
de
la
Seine.
longs
commentaires
les
élections
d'hifr
et
je
me
ris ; le president du Senat, Mme et Mile An¬
Sous pretexle de discipline, les radicaux du C'est gi ace 4 des ceuvres de ce genre qne la garaerai, avec un soin égal, de vous accabter de methode la plus léconde.
tonio Dnbost ; Ie président de la Chambre Congres
Ou a dit quelque part que l'apostolat était
de Pau ont capitulé devant les socialisprophèties. Voussavez qu'en l'espêce on ne prédit
des dépuiès et Mme Paul Deschanel; M. tes unifiés du Congresd'Amiens, qui voient de ce loi sur les Tribunaux ponr enlants peut guére
le débordement de la vie intérieure, — les
que
Ie
passé.
En
dépit
des
plus
savants
cal¬
fonctionuer
norinaiement
4
Paris.
Gaston Doumergue, président du Conseil fait leur situation grandemen forlifiée a la Cbamculs de probabilités et des plus ta-énieux poin- lecons de morale ont en générai peu d'efficamioisire des affaires étrangères, et tons les bre, oü les rodicaux sociaiistes, unifies en appatsges, i'on n'organise Ie plus souvent qua ses cite paree qu'elies restent 4 l'état de pasoies.
membres du gouvernement ; les membres reoce, voni être en rêalité asservis aux rêvolupropres désirs, et tout ceia reste soumis a l'im- — Ce qui ifu porte done, c'est de creer chez
La
Crise
Sardinière
de la mission francaise ; le générai Juffie tionnaires.
prévu qui est, hélas, Ia régie des assemblées par- tous ceux qui ont charge d'amo le souci
iementaires et pour ainsi dire la loi des législa- constant de leur propre perfectionnement
chel d'éti.t major générai de l'armée; le
M. Chspuis s'écrie a ca moment : « C'est
La sardine donne abondamment sur lss leurs.
générai Michel, gouverneur de Paris, et tous insense 1»
cöte3
du
Moi'bihan.
Aussi
se
vend-eile
4
un
II convient toutefois, au lendemain des élec¬ moral. On ne peut pas répandre autour de
les officiers généraux du gouvernement mi¬
tions
générales de se féliciter de la vitalité du ré soi re dont on est dépourvu soi-même.
M.
Denis
reprend
:
pnx
<Jéri»oire
:
20
francs
et
même
15
francs
litaire de Paris et de Versailles qui ont parti
Nous voulons nous unir. Que's sont les points
Si on lient compte non pas seulement des voïx ie mille, les usines restant fermées et les pê- gime répub'icain, c inire lequel, depuis longtemps
Cipe 4 la revue du matin ; le préfet de Seine'
nar les èlus, raais de toutes celb s ex- chenrs se troavant dans l'obligation de ne les forC'S adversas sont venues tout 4 tour se essentieïs sur lesquels porteront spécialeet-Oise et Mme Autrand, le ruaire de Ver¬ obienues
briser.
Le
régime,
en
eiïet,
est
aujourd'hui
fondé
ment nos efforis ?
dans nombre de scrutins, oü les adver- vendre seulement qu'anx consoromateurs.
sailles et Miue Simon ; MM.Poirson, Aïmond primées
sur des bases si solides et si profondes qu'il n^
La uioj enne des gens ne sont pas assez
sairi-s se tenaiect de prés, il se dégage des ver¬
D'autre part, 4 Lorient et dans tous les subit plus, pour ainsi dire, d'attaques directes et
et Ferdinand Dreyfus, séuateors ; les depu
diets populabe» des 26 avnl et 10mai une volonté poets, les usiniers ont fait connaitre par
en matière de morale. II s'agit
les attaques obliques viennent se heurter contre exigeants
tés de Seine-et-Oise dont le mandat expire ie patriotiquo et dêmocratique indéniabte.
pour nous de définir un principe 4 la luvoie d'affiches qu'4 la réouverture des usi¬ lui comme auiour d'un roe.
Ier juin et ceux nouvallemeat éius ; M. Ri
M. Chapuis, interrompaut a nouveau, fait nes, ils aehèteraient ia sardine au poids, ce
Je souhaite ardemnient, nous souhaitons tous mière duquel nous reconnaitrons qn'nne at¬
chard, le nouveau directeur de la Süreté
remarquer qu'on ne se croirait pas au Gon- qui est contraire aux déi isions prises par ardemmenl que la Chambre nouvelle place tout titude est plus morale qu'une autre.
générale, et M. Marcel, directeur des mu
seil générai.
les pêeheurs sardiniers au coDgrès qui a eu d'abord, a 1'abfides coDfiitsde groupes et des cal¬ • Voici quelques formules qui essayent de
sé- s nationaux ; M. de Noihac, conservateur
culs de partis, Ia técurite de Ia France et la force tradu-ire ce point de départ essentie!.
M. Denis continue en faisant ressortir Ie lieu a Lorient, sous la présidence do M. de de nos armées de terre et ie mer. La Chambre
du inusée de Versailles, et les membres des
Ne pas marchanderavec sa conscience.
maisons civile et militaire du president da souci qu'a la nation frangaise de ne se soas- Monzie.
nsït a faction au lendemain des plus émouvants
Ne pas craindre de sé placer trés sincère
Les pêchenrs de plusieurs ports seraient exempies. Eile a vu comment dans le frisson de
traire 4 aueune des obligations que lui im¬
la République.
ment en lace de toutes les questions lorspose la defense nationale, et le devoir qu'el¬ töutefois décidés 4 employer les fuets tour- l'alerte, se sont condensers toutes les f irees na¬ qu'elles intéressent la vie morale ou sociale.
Les souverains, le président de Ia Réptibli
tionals et comment dans un mouvement unanique et Mme Poinearé se rendent dans la ga¬ le a de m iintenir la lot de trois ans qui est nants, 4 condition qne les usiniers maintienChercher en face de ces questions, non
nent les concessions anciennes, e'est-4-dire me et profond tous h s bons citoyens se sont
indispensable 4 sa sécurité, 4 son système
leae des Bataiiles oü a été servi ce déjeuner,
la solution la plus commode on la plus im¬
groupés
auiour de la Patrie.
etablissement
d'un
minimam,
maintien
des
d'aliiance
et
4
son
éqniübre
extérieur,
suren passant par la galerie des Glacés et les
Qu'elic ne l'oubtie jamais.
médiatement réalisable, mais la plus par¬
grands appariements de la reine Marie-An tout devant la menace constante de la Tri¬ Comniissions mixteset continuation do la
11faut souhaiter que dans les réformes pro- faits celle qui ne sacrilie aucun des aspects
veute4
la
criée
et
au
mille.
ple-Alliance.
ehaines, fiscales ou autres, Ia nouvelle Assem- de ia réalite morale.
toinette.
Toulefois, les pêeheurs demandent anx
maimienne hors de toute atteinte ces grands
Après Ie déjeuner les.deux chefs d'Etats
Le pays, sjoute encore M. Denis, est prêt a»ssi u iniers de prendre i'engagement de n'en- hlée
Nous devons être volontairement idéalisprincipes
de la vie franchise : ordre, probité, jus¬
Ia reine A exa&diine et Mme Poinearé pas¬ a tous les sacrifices pécuniaires que la situation
tes, convaincos comme disait M. Séaiües
gager
ni
d'armer
aucun
bateau
4
vapewr
et
tice,
liberté;
toute
notre
tradition,
tout
lè
secret
sent avec leors invités dans nne partie de la exige ; il consent a une réforme fiscale qui rónotre fofce èeonomique et morale. Que nut qu'on n'eiève pas les hommes en abaissant
galerie des Bataiiles convertie en salon oü pariisse plus éqniiabiemert saus vexations ni in¬ d'acheter toute la pêche, quelque puisse être de
hasard, nullö aventuro ne vieane de la loi. Que l'ideal qu'on leur propose et qu'il faut être
sou
abondance.
II
est
4
crairidre
que
ces
quisition
les
charges
de
charun
et
mette
fin
aux
un cercle est term durant quelques instants.
héroïque dans ses pensées pour être seule
expedients financiers qui ont emene conditions ae soient pas aeceptées par les les textes s'inspirent des réaiités.
Puis, sous la condinte de M, de Noihac, les 1dépiorabies
Le légisiateur, en effet, ne doit pas vivre dans ment acceptabies Ou inoffensifs dans ses
e
déficitactuel.
usiniers.
souveraias, le président de la Republique et
l'absiraciion. Les principes qu'il pose, les ebifïres
Une enquête est faite actneliement sur les qu'il établit, doivent correspondre a des intéréts actes.
M. Reboul, préfet de Menrthe-et-MoseLé,
Mme Poinearé, visiient la nouvelle salie du
Nous voulons collaborer : La vie morale
cötes
par
un
fonctionnaire
du
soos-secrétaaclifs, a des consciences et a la vie méme de la
dix-huitiéme siècle, dans laquelle se trou- déclare faire les plus expresses réserves au
riat de la rcaride marchandeati sujet de cette nation. Chacun abend de !a loi non seulement lo n'est pas uniquemeut une affaire de réfDxion
vent de précieux portraits de Louis XV et de sujet des considerations d'ordre purement
respect mais encore ia protection de la propriété privée et individuelle, c'est esseatieliement
question de Ja pêche 4 la sardine.
poütique l'ormulée3 par M. Denis.
soa époque.
LES
lANOIS
par=ciljpar=la
CONSEILSJÉNÉRAUX
INFORMATIONS
un acte d'amour, un mouvement du cceur
Ce sentiment peut prendre naissance et
graudir au milieu d'un groupement oü cha¬
cun des membres plas preppcupé de comprendre la pensée des autres que de la réluter viendra aux séances, non pas tantdans
Ie but de faire triompher son propre point
de vue que de l'enricnir.
II faüdrait que ces rênnions rieviennent
en quelque sorte l'éco'ede la toléraoce.c'est4-dire que l'on y doonat ie spectaoe d'une
grande charité intelleciuelle — et le mot
chetrité ne doit pas être enteodu ici dms le
sens do i'itié, mais dans le sens d amour
qui est le vrai.
C. L.
LesFêles
duCenfenaire
Mgieii
AL'
La colonie norvégienne de notre ville $
fêió dimancbe le centenaire de la constitu¬
tion de son pays.
Un service reiigieux oü M. le pasteur Tan¬
gen nffiei.iit, réuuissait 4 ia ch ipelle de la
rue de Biévilie les membres de cette Société
franco-scandinave.
Au cours de la cérémonie M. Arne Ham¬
mer, vice-consul de Norvège, pro.ionpi un
excellent discours dans lequel ii retrapa
1'histOire du pays norvégien et de sa consti¬
tution adoptée par l'Assemblée Nationale 4
Eidsvald, le 17 raai 1814. II evoqua la paix
couclue en 1905avec laSuèdeet l'avënement
du roi H iskon.
L'orateur öt remarquer l'ére de prospérilé
qui a suivi cette paix etle b mheur r«sserni
par ie peuble scandinav? 4 goüter les b:enf"aits de Ia liberte reconquise.
Le soir, un diner d'une vingtaine de cou¬
verts réunis-ait la colonie norvégienne 4
l'Hötel Continental.
Des toasts furent portés en l'honneur da
people norvégien et 4 la santé du roi et de
Ia terne par M. Bryn et M. A Christiansen.
Ce deröier, qui remplit en noire ville depuis
de longues années la fonction de vice-consul
d • Russie, est aussi sujet norvégien. Mais il
est aussi un vieux Uavrais, car il vmt s'y
établir voil4 42 ans. II était done le mieux
quahflé pour porter un toast 4 la F auce et
se rrjouir des exceilentes relations que notre
Days a toujours entretenues avec la Norvege,
Nos Aviateur s
i
Ligïïod'Edacation
Morale
Oonseil
Générai
dnlaSaMnfMura
HAVRE
— — BWMMMnBiwwiim.aar
Les Frères Levasseur
Julien Levasseur, da Fecamp, qni vient
d'aecomplir a Sü'it-Raphaë! Ia belle prouesse aéri^nne que nous avons relatée, est part»
aux manoeuvres navales en Tunisie, pour y
accooiplir une période de 23 jours.
II a prit passage sur la Foud e. et 4 Tunis,
sur son hydro, il sertcoinme écl ireur.
Mirdi soir, avec deux de ses cauwades,
dont l'aviaienr Moiuéau, il a voié sur B zerte
et amerri sur Ie canal. Ces exercices doivent
se renouveler pendant quatre ou ctnq jours.
Quant 4 son frère Adrien, il est nnonte¬
nant affecté 4 Reims, toujours sur maaoitlao,
a nne escadrille militaire, oü il suit dignement les traces de sou ainé.
**#
L'aviateur Poirée 4 Saint- Pétersbourg*
Les prouesses de l'aviateur Potrée out fait
l'admiratipn et Temhousiasme générai de la
population de Saint-Pétersboiirg
L'aviateur,
accompagné de la temme *' • " onel russo,
a plusieur» fois houclé la uo«tci • effectué
des vols renversés. A la desceu. . Je. Papparei I, Poirée, porté en triomplie, a etê I'objet
de loq goes acclamations.
L'aviateur Pegoud volera 4 son tour vendredi prochain.
Société
dta HospiGlIergMauveteurs
Breton#
Voici le programme complet de ia lête du
21 mai :
A 10 heures du matin : Réunion 4 l'Hótel
de Ville
A 10 h. 30 : Remise da drapeau par M. le
Maire du Havre, président d'honneur de la
Sectiou.
Distribution des récompenses hnnonflques
accoraées aux sauvetenrs par la Soi:ié>é.
A 11 h. 15 : Depart en cortège, precédé de
('Harmonie Maritime, pour l'Egüse SaintFrancois.
A 11 h. 45 : Messe célébrée par M. i'abbé
Riou, aumöoier. Allocntion de M. le curé
Harson.
Programme artistiquo de la messe :
Enlrêe, par l'Harmonie Maritime, directeur M.
Lsisney. — P-Pr Nater, Niedermeyer, par U.
Boucrel, bsrylon solo des Concerts Colonne,d«
Paris. — Chantsusscs, Lalo (Solode volo ncetl'ej
par M René Gosselin. — Ave Verum,Th DuooiS,
tcba.nl.violoncede et orguei, par MM.Boucrei,
Rene Gosselin et Legros. — Largo. Hat-ndei(soio
de violoncélle) par M.René Gosselin. — Sortie,
par i'Hannonie Maritime,directeur M.Laisney.
Grand Orgue.
Le costège s9 reformera 4 la sortie de la
messe pour gagner l'Hótel Moderne, Boule¬
vard de Strasbourg.
A midi 3/4 : Banquet par sonscriptions
sons la ^residence de M. le.Maire du .Havre,
présidèirt d'honneur de la Section.
A 3 heures : Sauterie avec intermédes.
Nouyellea
Militaires
Le 74» aura un Bataillou 4 Gaillon
On anuonce officieliement que les deux
compagnies du 74" d'intaiiterie qui c <mposeot la garnison actnelle de Gaillon vont'
être remplacees 4 la caserne vers le 1" octoBre prochain, après les grandes manoeuvres,
par le l«r bataition du même régiment.
—
Feuilleton du PETIT HAYRE
66
3LA
HSil LE
II
PAR
Constant
G-XTKlKOXTL'r
PREMIÈRE
PARTIE
La Comédie du Nfariage
s- Ilein ? qu'est ce que tu dis ? fit l'ivrognc en tournant la tête du cóté de Guimbard ; la marquise ? Eh bien, oui, c'est
nne belle créature, et des yeux a faire
flamber une alluniette, rien que de la regarder, mais pas doux quand eile est en
colère, quand on refuse de boire comme le
vieux marquis. . . Qu'est-ee que j'ai done
fail de mon absintiic ? J'ai une soif qu'on
dirait que mon gosier est un désert de sa¬
ble. . . II a bu tout de nacme, le vieux mar¬
quis ; dame ! iis s'étaient mis deux pour
$a et il commencait déjè atourner de l'oeii,
enfin il a bu, tout en disant que ca avait
un goüt et qu'il ne vouiait pas ; des manières, quoi I et pour lors, dans la nuit,
eouic!...
il a glissé...
Mais faut tout
dire, iis ne i'ont pas laissé seul ; iis étaient
!è tous deux, assis en face de son lit, fixes,
la dernière minute...
des égards enfin;
des égards et puis, deux jours après, un
enterrement. . . Oh I mais la, a tout casser I. . . première classe, rien que ca I et
un monde ! Jamais on n'avait vu tant de
monde au chateau de Caravan .
— Hein ! dit tout 4 coup Guimbard, que
dit-il done ? le cMteau de Caravan, et la
marquise, comment se nomme ?. . .mais je
ne me trompe pas, c'est la marquise de
Caravan ? Attend done, il faut faire causer
ce paroissien-la .
Mais comme il lui posait la main sur
l'épaule, des cris aigus se firent entendre
sur le boulevard :
— A nioi ! 4 l'assassin ! 4 l'assassin !. . .
criaicnt des voix de femmes.
— A l'assassin 1dit Guimbard en se le¬
vant, courons vite. Brülot, notre liomme
dort comme une souche, nous ie retrouverons tout 4 l'heure.
Et les deux agents s'élancèrent dehors.
Ils rentraient au bout de dix minutes 4
peine.
L'ivrogne n'était plus la.
— Oüest-il'? oü est l'homme qui dormait 14 tout a l'heure 7 demauda Guimbard
aux joueurs de billard.
— Un camarade est venu le reprendre
'et l'a emmené raide en le tarabustant
un peu pour le faire marcher, répondit un
joueur.
Guimbard se tourna tranquillement
vers
Brülot.
— Nous sommes roulés, mon vieux, lui
dit-il : ce eamarade-14 nous guettait du dehors, l'assassinat est de son invention et ii
a nrofité de notre départ pour nous subtili
gJUetfc.
ftgaasiequiUeFtkg
A£ja*
iüsau'4ser aotreivroguo.
XXXIX
UN ENLEVEMENT
Voici ce qui était arrivé.
Fil -en-Quatre était allé ce soir-14 pren¬
dre les ordres de la marquise concernant la
duohesse de Dyonis, prés de laquelle, on le
sait, Isabelle avait été placée en qualité de
demoiselle de compagnie, ce a quoi on
n'avait pas réussi sans un vrai tour de force
de diplomatie.
Isabelle n'étant ni d'Etampes ni des en¬
virons, arrivant de ce Paris oü se réfugient toutes les existences équivoques, ne
pouvait se présenter, cliez une jeune fem¬
me surtout, qu'avec l'appui d'une recomrnandation honorable, et cette recommandation ne pouvait venir de la marquise de
Caravan, quelque peu compromise avec le
due de Dyonis. Or, a qui s'adresser, 4 qui
demander le service ae servir de garant 4
une jeune fille inconnue en affirmant qu'qn
a été trés content d'elle ? G'était impossi¬
ble, il n'y faüait même pas songer, et pourtant la marquise y songea ; elle fit même
mieux, elle trouva.
Sans l'avoir jamais vuè autrement que
dans le monde, eile connaissait la baronne
de Karriol. Eile 'n'ignorait ni ses soucis,
ni sa h4le d'hériter, ni sa gê;!e perpétuelle ; aussi n'hésita-t-ells pas 4 s adrcsser
4 elle.
Elle se refidit chez ellê, lui j5arla d'une
fille extrêmement
intéressante,
guoique
ayant une foute dans sa vie, ne pouvant
pour cette cause obtenii un certifieat de la
en dernier lieu et déclara que se trouvant
elle-mêrne empêchée de la recommander,
pour des motifs partieuliers, elle était disposée a faire un cadeau de cinq cents francs
4 la personae qui voudrait lui rendre ce
service.
— Et si je me suis adressée a vous dans
cette circonstance délicate, dil-elle 4 la
baronne, c'est que vous avez de nombreu¬
ses eonnaissances parmi lesquelles il me
semble impossible que vous ne trouviez
pas ce que J'ai vainement cherché autour
de moi.
La baronne répondit qu'en effet c'était 14
une mission bien difficile, mais qu'elle ferait cependant tous ses efforts pour y réussir, n'ayant rien tant 4 cceur que fi'être
agréabte a Mme la marquise.
Et cclle-ci la quiita en se disant :
— II s'agit de cinq cents francs et elle
est dans la misère, je suis tranquille, elle
réussi ra.
Le lendemain même, elle la voyait entrer chez elle, le visage souriant :
— J'ai votre affaire, dit-elle tout de
suite 4 la marquise.
— Ah ! s'écria eelle-ci, vous avez trou¬
vé ?.. .
— Oh 1je n'ai pas été bien loin pour ?a.
ear la personne qui a fait et signé le certi¬
fieat, c'ést moi.
— Ah 1 Madams la „Jiai'onne, que de
bonté 1
— Je me suis dit : Ma foi ! je tiens la
une trop beile occasion de gagner cinq
cents francs pour mes pauvres, si éprouvés
par eet hivcr rigoureux, pour ia laisser
écbapper ; tant pis, il n'y a que les hon-
— Ab ! Madame la baronne ! que de no¬
blesse 1 que de grandeur d'ame ! que d'abnégation 1 que d'homilité et de charité
chrétiennes ! Savez-vous que c'est admirabie ccls ?
— Oh ! quand il s'agit de mes pauvres,
je ne connais plus rien. Que vouiez:vous,
je suis comme cela, on nc se refait pas,
n'est-ce pas ?
— Vous êtes un ange, Madame la ba¬
ronne, dit la marquise.
Et. tirant un billet de banque de son
portc-monnaie :
— Tenez, j'avais le pressentiment que
vous réussi i'icz et les cinq cents francs
étaient tout préparés.
— Ah ! mes bons petits pauvres, murmura la marquise en saisissant le billet de
banque, je me fais d'avance une fète de la
joie que je vais leur causer.
Et elle partit toute joyeuse.
— On les connait, vos pauvres, murmura la marquise en la regardant partir, et
cette fois encore vous n'irez pas loin pour
les trouver.
~
Le lendemain Isabelle parfait pour Etampes avec ce certilicat en poche et quelques
instructions pour la duchesse, qui se taisait appeler Mme Morin.
Mme de Karriol, qui croyait la duchesse
morte, était loin de soupQonner en ce mo¬
ment quelles conséquenccs cette pièce au¬
rait un jour pour eile.
Le lendemain eile recevait une lettre
d'Isabelle lui apprenant qu'elle avait plu 4
Mme Morin, pres de laquelle elle était aéj4
installée.
G'était le soir de ce même jour qne Fil-
auxordresdéJa
.personaeprés de laouelleelleétaitreside teux qui Eerden^et voilamoocertificat en-ftuaire.«BneonwémenJ
marquise, qui avait tout combiné de manière 4 ne pas perdre de lemps, était venu
se mettre 4 sa disposition.
— Tout est arrangé, lui avait dit la mar¬
quise ; Isabelle est chez Mme Morin, il ne
nous reste plus qu'4 convenir des moyens
que tu auras 4 employer pour te glisser
Bans la maison, dans la cuisine surtout,
et verser dans les potions destinées 4 la du- chesse le eontenu de la fiole que je vais te
remettre.
— II y a quelque chose de plus pressé
que ca, Madame la marquise, répondit lö
voyoü après avoir écouté tranquillement
ces paroles.
— Quoi done ?
— Sidore.
— Qu'a-t-il done fait encore, ce misé
rable ?
— II est en zinc, c'est sür. Imaginezvous que l'absinthe des connaisseurs lui
fait l'éffét" d'une bavaroise au chocolat,
que la stupétiante boisson i'excite a jaspiner et qu'il n'a jamais tant parlé de vous,
du due et de la mort du vieux marquis,
avec tous les détails que vous savez.
— Oh 1 mais que faire ? mon Dieu ! que
faire ? s'écria la marquise en se frappaut le
front de désesgoir.
(A suwre )
L'Esprit
(fes Autres
— Le ministre des postes a cêdé devant JeS
soramations de ses agents : il va etre oblige
de passer par toutes leurs exigences. II est
lQVV6SCl3V6«
—Leministredespostesn'estpasaflran-
fthi
Lê Pftt.it Havre — Mardi19 Slat iftl\
m
F. VAXELAIRE t C"
Ia
Egisigmge
sauvé
Un télégramme
de Terre-Nenve
au Lloyd
annonce que le vapenr Corinthian a recueilli
le capitaine et quatre hommes de la barque
Marie-Amélie,
de Bordeaux qui, partio do
Brest la 11 avril dernier, avait fait naufrage
au milieu de banquiaes.
L'équipage entier est sauf, les quatre autres hommes d'éqaipage
se trouvant ü bord
de la barque lranqaise Saint-Mathurm.
PRËMIÊRE CO^mUMiON
Costumes depuis
Fr. 25 —
Gilets piqué depuis
Fr. 3 90
CHEMISES, BRASSARDS, GHAPELLERIE
Eaits Divers
PROGRAMME
6.
7.
8.
9.
10.
Grand- Thé Air &
Tourace
—
« Mod
Béhê
»
Nous aurons bientöt
aa Grand-Théatre,
nne representation
extraordinaire
de Mon
Bébé, la triomphïle
com^dio ds M. Maurice
Henneqnin,
d'après la celèbre pièce américaine « Baby Mine », de Miss Margaret Mayo.
Max Dearly,
l'extraordinaire
comed'ien
lantaisiste, ihterprétera
son rö'e de Jimmy.
Nos contrères parisiöns ont été unanimës
a constater la prodigieuse création comique
qu'il a réalisée et n'ont pas hésité a prociamerque
Mon Bébé resterait le gros succès de
sa .carrière déji si fertile en victoires.
Nons constaterons
nous-mêmes
que MaxDearly a tenu a s'entourer
de tous ses camarades ayant interprété
leurs róles 4 Paris.
LE CRIME DE COLMAR
PREMIÈRE PARTIE
Lame de Toléde tmarche) .. Chillemoxt
Terpsichore ifanlaisiebsllet) Louis Garne
La Vioandièr» (selection)...
!. tODlM-HYiS
Le Printemps (romance sans
paroles)
f . -MSBtSSMJ
Légende
Wibnawsxi
(Solo Reviolon par M. Agatjion de Meyer)
L'antopsie dn cadavre de Louis Frulz, l'assassin du chauffeur Kohier, a été pratiquée
hier matin par M. le docteur Du Pasquier,
médecin légiste, dans l'ampliithéatre
de l'Hospice Général.
Cette opération
a confirmé
co que Fon
savait déjè. La mort a bien été provoquée
par la baile provenant
du revolver
de Fassassin et il ne peut pas y avoir de doute è ce
DECX1ÈMËPARTIE
sujet. Le coup de revolver
de Fagent Leprat
Le Freisakutz (ouverture) . . 0 . T0S-WÏ3EE ne l'avait qu'elïïenré.
Gaootte
.
SiSUEL
MSSEM
On ne sail encore si ie corps de Fassassin
au Havre, car sa familie peut
Samson et Dalila (séleciion) t, SiMI-SAHS-AMBsera inhumé
le réciamer.
'
Naples (suites tie valses). . 1, WALSTEL'FSL
II est anjourdTini
décidé que I'instrnction
Marche des Petits Tapagears Leon Dufy
de cette affaire sera faite au Havre. Le Par¬
quet de notre ville recevra
le dossier
des
autorités allemandes
de Colroar et M. Barnaud complètera
Fenquêie
en proeédant è
PIANOit QueueERA00
de nouveaux interrogatoires
de Gabriel Lam¬
bert, Ie complice de Fruiz.
~ -C
3—~0~-0
O
Lambert
a été placé dans une celluie. II
reste plongé dans un profond abattement.
SgiEILLÊtfR
Le jeune meurtrier
sera jugé devant
la
Cour d'assises de la Seine-Inférieure.
êosSéié
Eaxraisadfs
Aauis des Arts
I.e Havre comptait
dernièreraent
encore
deux Sociétés qui avaient voué aux arts
de la peinture et de la sculpture
on culte
ïervent.
Ges deux gronpes qui avaient d'excoilentes raisons pour associer leurs efforts puisqn'ils avaient le roême but et opéraient sur
le même terrain continuaient,
hier encore,
de travaiiler séparément.
La belie sagesse vient de les rénnir.
La Société havraise des Beaux Arts et la
Société des Amis des Arts out été fasionnées
ices jours-ci. L'assemblée générale commune
a, samedi, sanctionné cette union, qui, espérons le, sera durable et féconde. Nos féTicitations et bonsvoeux.
Ajoutons
que la vie nouvelle
s'ouvrira
sous les auspices les plus aimables : une ex¬
position est organisée
par la Société. El le
aura lieu du 10 juin au 10 jaillel
et promet,
nous dit-on,
d'etre particulièrement
bril—
lante. — A.-H.
1/ Accident
Coup
de
Couteata
Coinniission
Jluiiiripalr
Scolaire
La Commission
municipale
scolaire du
-Havre s'est réunie
le dimanche
17 mai
courant, a l'Hótel de Ville, salle A, sous la
firésidence
de M. Serrurier,
adjoint au mai
re, pour examiner
les absences des enfants
-ayant manqué l'école pendant le mois d'avril
dernier.
' Etaient présents r MM. Risson, Inspecteur
primaire ; Rasset, Du rand- Viel «t Le Ghapefain, conseillers
municipaux
; Gruffaz, Le'.gaugneux
et Mlie Mougel, déiégués canto
Si vous êtes congestionné
après les repas.
«ïaux ; Anfry, Bretteville,
Kastler,
Krause,
si vous vous sentez oppressé, si vons aigérez
?Lasno et Lecoate, membres
de la Gommis¬
mal, prenez des Pilules
Suitsos, vous vous
sion.
en trouverez bien.
S'étaient fait excuse? : MM. Deschaseaux
et le docteur Henry.
X«ntatlve
de Suicide
, Conformément
A la loi du 28 mars 1882, sur
l'obligation scolaire, le texte de cette ioi a
En relatant
la tentative de suicide de la
été rappelé a 13 pères de familie, 15 ont été place Gambetta, nons avons dit que le désesblames
par la Commission.
Les noms de 2G péré se nommait Marcel Fuss.
tièrrs de familie seront affichés A la porte de
Son nom est en réalité Marcel Berlin et il
a Mairie et li seront cites devant ie luge de
habite bien avec sa mère Mme Fuss, mariée
Taix.
en secondes noces.
Depuis Ia rentrée des classes, 47 pères do
L'état dn blessé qui est è FHospice Général
.familie ont été condamnés,
par le juge de est satisfaisant.
paix, pour contravention
a la loi scolaire.
Sopefies
iariliies
Encore
la Radiobalistique
IAIngénieur
Vlivi
Nous lisons dans Ie Journal des Dêbats :
Des expériences
extrêmemeat
curieuses
jjnt eu lieu en Italië, oü l'ingènieur
Uiivi a
fait exploser a distance des bombes et des
provisions
de poudre par ie moyen des
rayons infra-rouges.
M. Uiivi, ancien élève de l'Institnt
techni¬
que db Florence, s'était établi en France aux
fremiers
temps de i'aviatiop et avait fondé
Clichv un laboraloire de recherehes
physi¬
ques. II y étudiait ies rayons du spectre so¬
laire quand l'idée lui vint de verifier les
phénomènes
électriques que leurs vibrations
produisent
i distance.
Comme un instrument
musical en lait
chanter on autre, il constata qu'il y avait
une « résonaace
électrique
» et que les
rayons infra-rouges
pouvaient
déterminer
au loin des étineelles.
Après de nombreox
essais prépara to? res,
M. Uiivi a vouln faire une experience
deci¬
sive et monirer que ni le verre, ni l'amiante, ni la poreelaine, en un mot, ancun
isolant ne pouvait empêcher Faction de son appareil.
Du hant du mont Senario, il a fait explo¬
ser quatre mines que l'amiral Fornari
avait
disposées dan3 le lit de l'A»no, aux abords
du pont San-Nicolo. La distance était de
Seize kilomètres, et, comme obstacle inter¬
pose, il y avail la coliine de Fiesole.
L'expérience a réussi de tous points.
Lo
Père Alfani, directeur de l'Observatoire,
as¬
sure que l'inveniion
de M Uiivi est nne des
'jpius grandes du siècle, comparable
aux découvertes de Herz, et qu'elle révolutionnera
toutes ies lois de la guerre.
: (On se rappeile qa aa mois d'aoüt dernier,
l'ingéjai.etir Uiivi s'était Jivré dans notre port,
A bord da yacht Lady-llcnriMe, Ades expé¬
riences da même genre qui furent
diverseraen l eommentées).
Kos
3>as»3»t8aïï4ï«jM®8
France
Le paquebot France, parti du Havre samedi
sour New-York, a été srgnale au poste de
Srookhavea dimanche a ii h. 30.
Eekenage
d'un
Navire
d'fitnigranfs
| Le vapenr Calypso, ayant a bord 200 émimrants de Goihembourg(Suède),
s'est éclioaé
hier matin a Spurn-Head,
dans le comté
d'York, au milieu d'un épaisbrouillard.
Tou 8 les passagers ont été emmenés ü Hall
a bora de remorqueurs.
Un Uapitaine
et trois
i'
hammes
llisjuirns
} Le bateau de pêche franpais Sacré-Comr.tte-jésus, de Portel, prèsde Boulogne, a couié
^oas cette nuit, au large d'Hastings.
i Ce bateau est entré en collision avec un
l^rand
navire
inconnn.
Seize hommes de
tl équipage ont réussi A se sauver dans un
■eanot qui a été recueilli
par un vapenr de
JJantzig, ils ont été débarqués
a Douvres ce
xnatin.
Féilx
V1VSER
Successions, Réglements, Prêts,
04, rue de St-Quentin, Havre
Ka Mésaveietnre
d'un
Impresario
Arrivé au Havre depuis mardi dernier,
M.
Edmond
Boulanger,
agé de 35 ans, artUte
lyrique,
devait, après avoir élu domicile
14"2, roe Jules-Lecesne,
donner
avec qnetques collègues des representations
a la Lyre
Havraise.
II avait 4 eet effet engagé quelques
figu¬
rantes.
Au moment
de commencer
le spectacle,
dimanche soir, une quarantaine
de spectateurs seulement
étaient venus. M. Boulan¬
ger décida aiors de ne p»s donner de rvprésentation
et rembonrsa
Ie, clients tandi3
qu'il invitait ses figurants A ne pas s'habiiler.
Ces demiers,
au nombre
de sept, se vêtirent quand
même en grenadiers,
en hussards, en sergents, etc. . . puis armés de fu¬
sils et baïonnettes,
s'onfnii'Bnt
dans la rue.
Ge fut un défilé de mascarade
remarqué
des passants.
M. Boulanger
estimant
son préjndice
4
200 francs, a porté plamto contra les figu¬
rants voléurs.
Ge« derniers
qui n'ont pu passer inaperpus, seront lacilement retrouvés.
Une enquête est ouverte.
M MOTET.
A
j}t*©Bï®s a'ssï»
AecIjïeaaSi
4Aut«m»b3Ie
Nous recevons la leitre suivante :
Notre-Oame-ile-Gravenchon, ie 18 mai 1914.
Monsieur ie gérant d a journal
Le Petit Havre,
Je lis dans voire numéro du 14 mai cou¬
rant un article concernaut
le triste accident
d'automobile
arrivé lé 3 mai au Marais-Vernier, article oü je suis nommé.
Je tiens de rr.ón cóté 4 refnter, non pas les
termes
de eet article, mais les tendances
inexactes
qu'il laisse supposer
4 v,os lectenrs.
La malheureuse
victime,
Marcel Auvray,
se trouvait en effet 4 quelques
centimetres
de ma voilure, qui êtait absolument
sur Ia
droite de la route. Mais si la limousine
de
M. Kablé, qui venait a notre rencontre
a
grande
vitesse, avait
égaiement
tenu sa
droite, dans ca virage dangereux,
il est plus
que probable que ('accident no se serail pas
produit, è»r le cyclisie aurait eu le temps de
se garer.
Je regrette de polémiqner
dans cette bien
triste circonstance
et vous prie de recevoir,
Monsieur le gérant, mes smcères salutations.
A. Guilbert,
Représentant de commerce, Notrc-Damede-Gravenchon,
Pour notre part, il ne nons convient pas
d'entrer dans ie débat auquvi cette malheu¬
reuse affaire peut doaner lieu.
Cette question ne saurait faire 1'oLjetd'ane
discussion
dans nos colonnes,
nous nous
sommes bornés a noter ies faits, conformé¬
ment aux declarations
qui nous furent faites, mais n'entendons
préjnger
des responsabilités qui pourraient
être engagées en la
circonstance.
Ce róle appartient
uniqnement
aux autorités, et nous arrêions 14 tonto nouvelle in¬
A-tecapiUuRe
ettroislioouaesontdisoara. formation
surcesmet,
Dearly.
CfraESVSA
d'Anto
de Ira rue de RIorm&Eèdie
Nou3 avons pris des nouvelles
hier du
jeune Charles Binay qui fut victime d'un ac¬
cident d'antoraobile
et que l'on transports
&
FHospice Générai.
Le maiheureux
enfant était toujours dans
un état inquiétant.
On nous fait remarquer,
relativement
è
eet acc d«nt survenu dimanche è l'anglo des
roes de Normandie et du Monf-Joly, que la
victime fut relevée par un passant et non
par M. lo docteur Ravet, propriétaire
de la
voiture qui causa ('accident.
A ce propos, M. Bmay père tient è remerci8r le passant qui porta secours
a son en¬
fant, et le prie de bien vouloir se faire connaitre
a son domicile,
6, rue du Mont¬
hly.
Un nommé Fernaud Edet, agé de 18 ans,
journalier,
demeurant
54, rtic Malherbe
a
été frappé d'un co p de cOufeau au thorax,
dimanche
soir. par un individu resté in
connu, avec lequel il avait eu unc discussion.
La scène s'était passée a 1 angle des rues
Roi ert-le-Diahle,ct
Tourncvillo.
'
Edct se rendit a I Höpital Pas eur accom
pagné du gardien de la paix Heranval.
L interne de service examina
la blessure,
et se rendit compie cute ce nVtai quunc éraflure longue de plusieursi entimètres
mais si
peu proionde
qu else ne prtsentait
pas de
gravitó.
Edet a regagné
son domicile après avoir
recu des soins.
Une enquête est ou verte.
Max
■ThéAtre-Cirque
Qrciiesfre,
souslaDirection
deU,Léon
DUFY
^ • <tu»,!* Pïp/i. St-ÉTlEtiPE-OU-ROUUMY
fS-JcC-l
En vente au gs5A.ivi>
bazar
et aux
GALERIES
2>SJ IIAA
KE.
se *
iifiux mois do prison et cinq francs d'a»
mende aussi pour Ernest Lambert qui, le
même jour, 14 mai, aiors qu'il était complè¬
tement ivre, avsit choisi comme théatre de
ses opérations la gare d'arrivée.
.Un agènt qu'il avait eppieusement
insulté
l'amena au poste, d'oif sa Comparuiion
de¬
vant le Tribunal.
TJIÉflTHHS
ê GOHOEHTS
IKÉ-GALA
È Mardi
19Mai
1914
De 4 è 6 houres
14 mai dernier, il prit na p»vé et le lamjn
dans la vitrine d'un débit dont la glacé vola
en miettes.
Gofft pour ïe débitant : 200 francs, prix de
Ia glacé.
Goüt pour 1e prévenu : detvx mois de pri¬
son, cinq francs d'amende,
Omnia
PATHÉ
Ce soir mercredi,
bureaux
8 heures, orcliestro 8 b. 1/4, projections
8 h. 3/4. Le
spectacle
comm'-ncera
nar Pathé- Journal.
A 9 heures, Ibe»
d après i'immortel chef-d'oeuvre de Viutur Hugo.
Maigré l'importance
du spectacle, Ie p^ix
des places n'est pas augmenté.
Retenir
ses
places en location, au bureau, 5, rue Phalsbourg, de 10 heures 4 midi 1/4 et de i h. 1/2
a G heure3.
Service spécial de tramways a la sortie.
Folies- Bergère
Or ?a Mesdames et Messieurs nous avons Ie
plaisir de vous annoocer
pour ca soir, une
s-ejsE'éseastatlïüai
«Sc gala,
l'on donnera
la revue — les premières
representations
de
Avant, Pendant et Après de chez le Doctenr et
des chansons nouvelies.
«1.1.1. ..... ■ I I«e>
**w
Fallait-il que Gustave Tiual, 47 ans, fut
ivre la 7 avril dernier pour voler 4 M. Piednoöl, rue des Ghantiers,
aGraville,
un che¬
vron de 3 m. 50 et pour reveoir un instant
apiès proposer
au même Piednoëi
de lui
acheter ce chevron po ar 5 fr. 50 t
Deux mois de prison et cinq francs d'a¬
mende.
***
Joseph Picard est plus modeste dans ses
exploits.
Complètement
ivre ie 8 mai der¬
nier. 4 neut' heures du soir, il s'est borné a
parcourir
la rue de Paris eu chantant a tuetête.
G'est un débutant.
II n'anra
que six joars
de prison.
*
* *
Enfin, Henri Baillay, 38 ans, est encore
plus calme que tous les précédents.
Ivremort pendant la nuit du 3 au 4 avril der¬
nier, il s'est endormi dans un ruisseau.
Mais c'est un vieux cliënt de la Gorrectionnelte.
Aussi récolte-t-il
deux mois de prison et
deux ans d'mterdietion
des droits.
LESVOLS
Jean Buret, 25 ans, plombier,
est inculpé
du vol d'une bicyc'.ette appartenani4
M.C...,
employé a la Compagnie
Générale
Transatiautique.
En fait, Buret a engagé la bicyclette
an
Mont-de-Piété,
mais il prétend 'avoir
agi
ponr le compte
d'un caruarade inconnü.
G'est d'ailleur Fhistoire classique.
Le Tribunal n'y ajoute pas foi et condamae Buret 4 trois mois de prison.
Ui *
Jules Q. . ., a voló le six avril dernier, qua¬
tre ki ogr. de sucre cristaitisé
sur les quais.
Coüt : vingt jours de prison.
GRASSCISÉMAGAUMOHT
G
Aujourd'hui
mardi 19 mai 1914,
a 8 h. 3/4, representation
du
plus faniastiqua
épisode de la
célèbre série des :
^-A.2srT02^I-A.S
f
(5- CYCLE)
— Le Faux
Magislrat
—
grand drame policier en 5 parties, dont un
prologue,
mis au clnémalographe
par les
Etablissements
Gaumont,
d'apres le célèbre
roman de MM. P. Souvéstre
et M. Aliain.
(2,000 mètres de pellicule3 photographiqties,
2 heures de projections).
Prologue : Au Chateau des Loges.
1™ partie
Le Prüonnier de Louvain,
2« partie
il. Ch. Pradier, juge d'imtruciion.
3« partie
Le Magistral cambrioleur.
4" parlie
L'Evadé de Louvain.
Fantomas
sera
projeté
sur l'écran
4
9 h. 45 en soirée, (4 3 h , 45 en matinée)
ei
sera précédé par les vues suivantss ;
ivaaisïan,
comédie sentimentale
; le Ma roc, panorama ; Onésime fait des economies,.
comique ; les ACtualités Gaumont.
Prendre
ses places en location ponr co
spectacle sensauonnel
Tóléphone 15 31.
Service spécial de tramways 4 ia sortie.
On peut turner au promenoir.
Salie de la Lyre Havraise
B-AKTASEO
Deraain soir, 4 8 h. 3/4, soirée de cloture
concertante, théatrale et dansante.
Ptix ordinaire des places. Location ouverte
4 la Lyre, sans augmentation
de prix.
Conférenceset ((Jours
Cours gratuits
«lo Photographic.
—Ge
soir, a 2t heures, au local de la Société Havraise
de Miotographie, 18, ruc Gustave-Flaubert, piemier cours sur les tirages arüstiques.
Sujet : Le procédé a i'huile dit Rnvlins et Ie
brc.moi! avec demonstrations (!»• partie).
Les amt.leui'8 ntême «on sociéta.res sont invi
tés a assister a ca cours. Les dames sont admi
ses .
Le groupe cycliste est invité a assi3ter & cette
réunlon en vuo d'uno sortie le jeuai 21 eoarant.
TRIBUNAUX
TribunalSorrectionneldn Havre
Présicïeace
Audience, du IS Mai 1914
de M. Tassard,
vice-président
PÖÜRALLEREH PRISON
Ponr aller en prison, certains
brisent un
réverbère,
d'autrescommottent
quelque pe¬
tit iarcin.d'autres
encore insultent
nn agant,
tnoyens qui, s'ils permetteat
4 ceux qai les
ernpioient d'atteind-e
le but rêvé, 4 savoir
quelques semaines d abri rue Lesaeur,
ne
Tocurentce, pedant
pts grande satisfaction
leurs auteurs.
Juies Drogue, 35 ans, qui
comme beauconp
«le camarades
ro»ait de
faire coneaissance
avec les coofortables
cel
lules de la maison d'arrêt,
estima qu'il était
de beaucoup
préfarable
de cqmniettre
un
délit qui laissat tout au moins un excellent
souvenir.
Et c'est pourquoi ayantpris place le 13 mai
dernier dans na restaurant
do la rue Dauphiue, il s'envoya succsssivement
deux potages, un plat ds poisscn, un plat de viande,
un plat de legumes, café, poussa-cafó, etc.
Pour aller devant le Tribunal correctionnel, il négligea simpiement
ia petite formalité de ("addition.
Gomme il a déj4 plusienrs condamnations
qu'il parait d'aiileurs
avoir complètement
oubliées, il récolta an mois do prison.
EXPLOITS
DEQUELQUES
IVR0QHES
Victor Mailiard, 27 ans, terrassier,
passait
sur le quai de Saöne, le 13 mai dernier,
vers
deux heures du soir. Son allure
était quel¬
que peu Jtitubante
lorsqu'ua
gendarme
se
présenta 4 sa vue.
«Voyou, c,..,etc.»8'écria
Malllard.rttuveux
me faire, mais tu ne m'auras pas t »
En lait, le gendarme l'eut, non sans avoir
stoïqaement
encaissé pas mal de coups de
pied et de coups de poing.
Goüt : deux mois de prison et cinq francs
d'amende.
,,
Yves Gnennec, 19 ans, lorsqu'il
est ivre
laisse tranquille les représentants
de Fautoriié, mais il s'en prend
aux vitrines
des
cafes.
G'est ainsl que, simplement
pour se öis-
***
Enfin, Mme T. .., qui n'a point .comme
on Fa dit, éié l'objet d'un mandat d'amener, est inculpée de recel de marchandises
volées
II y a quelquo temps de cela on avait dérobé 4 un commis-voyageurde
passage dans
notre viiie, nne soixantaine
de mètres
de
rideaux.
Q uelques jours après, Ie dit commis-voyageur crut reconnaitre
ses rideaux qui s'installaient
triomphalement
aux feaêtres
de
MmeT...
En fait la prévenne ne se souvient pas de
l'endroit oü elle acheta ses rideaux.
La preuve du délit n'étant pas établie, l'inculpée est acquiitée.
Dótenseur : Me Coty.
s
D. Froger nie êlre monté è l'heure
do.
crime.
R. Je Jure que je «Hsla vérité ; je le connaissais de vue-, mais, contrairement
4 ce
qu'il aftirme, je ne me suis jamais battu avec
Jui, Le lendemain,
nons l'avons trouvó dans
le grenier
; c'était bien Froger, je l'ai bien
reconrut.
Froget dit alors que ce que dit Schmidt est
parfaitement
fanx et qu'il lui en vent.
Mme Robin, 06, rue du Grand-Croissant.
Le 13, vers une heore et demic du matin,
j'ai été réveiilée
par mon fils qui m a dit :
« On vient de doaner un coup de couteau 4
Moulin ». Je me suis l.evée et j'ai vu Char¬
lotte Robinson étend tie sur le devsnt tz ia
porte et Moulin étendu. J'ai dit 4 Charlotte :
« Pourquoi ne te lèves-tu pas ? » Elle me ré¬
pondit : « Je ne peux pas, Billoteau vient de
me donner
un coup de couteau, et il en a
donné un aussi 4 Moulin ».
M. Gustave Leblond, gardien de la paix
au Havre.
Le 13 novembre, vers buit lienres dn matin, je gardais le cadavre da nommé Moulia,
quand les voisins m'ont prévenu que des in¬
dividus étaient cachés dans ie grenier. J'ai
vu Froger qui m'a dit qu'il ne se rappeiait
pas comment
i! était venu dans ce grenier.
Je l'ai prié de m'accompagner.
Nou3 avons
rencontré
la maïtresse
de Moulin, qui Fa
bien reconnu.
Elle m'a dit: « Tenez, Mon¬
sieur Fagent, en voi!4 un qui était de ia ban¬
de de cette nuit, »
Les voisins m'ont dit qn'ils avaient enten¬
du monter quelqu'un
dans l'escalier.
J'ai conduit alors Froger au poste, il n'était
pas saoül.
Mme Le Meilleur, ménagère,
66, rue du
Grand-Groissant
:
J'ai entendu
ie cri d'une jeune filie, j'ai
ouvert ma ienêlre et j'ai vu un jeune homme qui coorait, mais ]e ne le connais pas.
D — Avez-vous entendu quelqu'un
mon¬
ter dans ie grenier ?
R. — Oui, dix minutes après le crime ; le
lendemain
Froger était caché dans la paille,
tout 4 lait dans le lond du grenier, on ne ie
voyait presque
pas, je l'ai attrapé par les
pieds et j'ai appelé Fagent.
Tous les accusés sont reconnus
coupables
par le jury de Fassassinat
de Moulin oa de
complicitê dans eet assassinat.
Ils soat tous
déciarés non coupables de tentative de meur tre sur la fille Robinson.
Ils obliennent
tous Ie bênéfice de-s cir
Constances atténuantes.
En corssé juence, Ia Cour condamne
Billo¬
teau 4 la peine des travaux forcés 4 perpétuité.
Les trois autres accusés sont condamnés
chacun 4 cinq ans de travaux forcés et dix
ans d'intevdiction
de séjour.
Réquisitions
de M. Friedrich, substitut du
procureur
général ; défenseur de Billoteau,
M« Maurice Martin; de Maès, M« Macqueron
de Oasset, Me Petitclerc ; de Froger, Me Purand.
LTèturs
de la Session
Collecte du Jury
Cette affaire était la dernière de la session .
Selon l'usage, M. le président Deave aadressé les remerciements
de ia Cour aux jurés.
Lejurya
fait une collecte qui a produit
97 francs ; cette somme sera dislribuée
aux
meines ótablissements
charitabies
et associations patriotiques qui bénéficieat a cbaque
session le la libéralité des jurés.
Cwid'Assisss
dslaSeln-lstèrieBn
Audience du 18 mai 1914
Présidence de M. Ie conseiller Deuye
L'AffalrsBillotean
Cour d'AppeldeRouen
Procés
de pregse
On se rappeile qu'4 la requêle de M. D.
Lasne, directenr
dn Progrès de Botbec, le tri¬
bunal correctionnel
du Havre avail condamné dernièrement
M. Level, gérant du jour¬
nal Le l'ravatlleur,
4 100 francs d'amende,
200 francs de dommages-iutérêts
et 4 l'in
sertion du jogement dans ie Petit Havre, le
Progrès ds Èolbec et Le Travailleur.
M. Level, coüdamné aux fraiï et dépens. y
compris ceux da Mc Bouchez, avoné au Ha¬
vre, et de publication de jugement,
avait in
terjeté appel de cette decision, pretextant
que la bonne foi des juges avait été surprise
et qu'il n'avait cherché 4 porter atteinte, ni
4 Ia consideration,
ni 4 l'honneur
du direc¬
teur du Progrès de Boibec.
L'aflaire a done été portée devant la Cour
d'appel de Rouen.
Samedi dernier, celle-ci a confirmé entièrement (a sentence des juges du Havre, mais
elle a éievé ies dommages-intérèts
4 300 fr
au lieu de 200.
Piaidant
pour M. Levet, Me Jenneqoin
avocat an Havre.
Alfred Billoteau. agé de 24 ans, avait ponr
maitresse
la nommée
Charlotte Robinson,
agée de 18 ans.
Dans la journée du 10 nov8mbre 1913, 4 la
suite d'une discussion ardente
qu'elle
avait
ene avec son amant, et au cours de iaqueilo
elle avait été brutalement
frappée, celle-ci
se réfugia chez un sieur Moulin, domicilie
égaiement au Havre. Moulin avait pour mai
tresso li fiüe Blanche Gardon.
Mécontent de eet abandon,
Billoteau réso
Int de se venger, tant de sa maitesse qu'il
savait s'être rèfugiée
chez Moulin, quo d8
celni-ci 4 qui ii reprochait de ia recueiliir.
Deux lois dans 'a journée,
il Irappa chez
Moulin, mais en vain ; on ne lui répondit
pas. II s'y prósenta 4 nouveau
4 i li. 20 du
matin, accom pagnó cette fois par quatre in
dividus, comme lui repris de justice. II frap'
pa violemment 4 la porte en disant : « Ou
vrez, c'est moi », et comme la porte sur la
quelle il exercait
des pesées, aliait céder,
Moulin qui était 4 ('interieur
avec sa maitresse, un nommé Rieber et la fills Robinson
Pour
les
Filleltes
se décida 4 ouvrir.
Billoteau fit immédiatement
irruption dans
La mode nouvelie reste, pour nos peiites
la pièce, brandissaat
un couteau qu'il avait
filles ce qu'elle doit être pour conssrver son
eu soin d'onvrir avant de rentrer ; il était
charme de jeuaesse : simple avant tout.
su'vi de M;,ës. journafier,
demeurant
au Ha
On emploie pour les petites robes, tons les
vie, et d'Oursot,
journalier,
sans domicile
lainages souples et surtont la serge fine, puls
fixe, qui pénétrèrent
avec lui dans la charnie tussor de nuance naturelle,
toujours pra¬
bre pandant que Froget et un individu resté
tique' et joli, enfin tous les foulards de faninconnu se teoaient sur lo palier, prés de Ia taisie, les mousselines
et les voiles unis ou
porie. Biiloteiu
se précipita
alors sur sa imprimés et enfin le tafietas, mais excessivemaiiress8 qui s'était blottie derrière
ie lit et nient souples et seulement dans les nuances
la frappa d'un violent coup de couteau 4 la claires.
cuissë, puis ii se retoarna contre Moulin qui
Pour un8 enfant de cinq 4 sept ans, on
était prés de la porte.
fait une charmante
petite robe exécutée en
Blanche Garden comprenant
Ie danger que
iainage a damier,
choisir un tissu en trés
CGurait son amant se plapa courageusement
grande largeur (140 au minimum)
et em
devant lui et saisit ie bras de Billoteau
pour
pioyez-le en largeur.
Aprè3 avoir coupé 4
Fempêclier de le trapper, mais elie fut mainpeu prés la hauteur nécessaire
eu réservant
tenue par les deux individus dont Froger qui
un grand ourlet, dans le bas, entourcz
le
étaient restés snr le seuil de la porte. Moulin
corps de Fenfant et ajustez cette robe de la
reput alora un coup de couteau da Billoteau
manière suivante: sous les bras, formez deux
Moulin, atteint a l'aine, succomba
aussitöt.
petites pinces peu longues et, en avant et
Pendant tont Ie cours de Finsiruciion
ou¬ dans ie dos, formez un large pli creux apverte sur cette afftire,
Billoteau a nié son
pnyé au Ier seulement
sur nne hauteur
de
crime, mais 4 Piruerrogatoire
que lui a fait vingt centimèires
environ.
Ensuite,
vous
subir M. le président
quelques
jours avant
óchancrerez
l'oncolure
suffisamment
pour
1es assises,
il a fini par avouer,
préten
laisser apercevoir une petite guimbe de lin¬
dant seulement
qu'il n'avait pas agi avec gerie.
piéméditation.
II ne vous restera plus qu'4 placer la cein
Da ce fait, les débats qui se sont óéroulés
ture. Comme garnitures,
facultatives
d'aii¬
a l'audience d'hisr se sont trouvés trés sim¬ leurs : maiatenir
le haut des plis par de.3
plifies, et la plupart
des témoignages
qui
peiits bontons de fantaisie,
orner Fencoiure
avaient pour objet d'établir minulieusetnent
d'une sorte de petits revers de drap oa de
l'emploi ne son temps, par Billoteau pendant
soic blanche soutachés
ou brodés, quo l'on
la nuit du crime, ont perdu tout intérêt.
répétera au dessous de la ceinture. A eet enBiiloteau a renonvele ses aveux.
Les androit, cette garniture pourra être le revers
tres accusés ont cherché 4 atténuer ou mème
de poehes réelles ou slmulées.
contester leur participation.
En mousseline de laine ou en petit foulard,
Les renseignements
donnés sur ces diffé¬ voici mainlenant
une robe ravissante
ponr
rents individus
sont absolument
défavoratil lette de sept ans. Elle se compose d'un cor¬
bles, tous sont des repris de justice déj4 con¬ sage court de genre empire et d'une petite
damnés pour voi. Billoteau, en particulier,
jupe montée 4 fronces. Ge qui donna a cette
passé ponr faire pariie d'une bande de rö- robe tout son chic ce sont des petils volants
denrs de nuit des plus dangereux.
festonnés en dents de roses disposés aa bas
Moulin, do sou cöté, n'ctait guère intéres¬
de la jupe et drapés en fichu sur iesépaules.
sant, il trafiquait
des charmes
de sa maiLa facon de ces volants demande
énormétrease.
ment de soin et de patience, mais aussi pré¬
Témoignages de plusienrs des témoins
ci- sente Favantage de ne pas nécessiter les contés hier 4 l'audience :
naissances d'une coaturière. Quantité de maM. Schmidt, marchandde
jonrnauxau
Ha¬ mans pourront
done exécuter
elies-mêmes
vre, rue du Grand-Croissant,
est interrogé.
ce modèie.
« Dans la nuit du 12 au 13, je sommeillais
Pour une filletle de sept 4neuf ans, la robe
quand j'ónteadis des coups dans Ia porte du 4 taille longue qui vient ensuite
me semble
logement de Moniin, situé &u-dessous du
parfaite. On la voit laite d'une louisine grise,
mien, je me suis levé et j'ai entendu des cris,
pékinêe de rose avec grand col mobile de
je suis descendu et j'ai appris que Moulin
jiqué blanc s'ouvrant
sur nne guimpe de
était mort.
'ingerie et l'ensemble est charmant
toat en
D. Avez-vous vu Billoteau ?
restant simple et pratique.
R. Non, je ne l'ai pas vn. J'ai entendu des
Ge raodèlo qui rappeile
absolument
les
pas dans l'escalier et j'ai vu un individu qui
blouses marin et qui, suivant l'age de Fen¬
montait l'escalier, il était pieds nas et tenait
fant, s'exécatera
en denx ou une seuie pièce.
des cliaussons
4 la main, c'était Froger. II Dans ce dernier cas, un froncé formé sur
n'était pas saoül ; je l'ai entendu qufi mon¬ caoutchouc
indiquera la hauteur
de petite
tait an grenier, oil ii s'est couché.
jupe dont Fampleur estresserrée
par deux
D. Vous êtes certain d'avoir reconnu
Fro¬ ótroits coulisses.
ger?
A propos de chaossnres,
11 est recommandé aux mamans de ne rpas abnser des Di
petits
l souiiers décolletés ponr les jeunes
eniants. |
R.Oui,Monsieur
le président,
j'en suis
Ltraire,passantrneduGénèral-L'aidherbe,
Ie. süc.
-
ZLj-A. DVEOIDE
Ges souliers
sont charmants,
mais ils na
mamtiennont
pas assez la cheville et sont
souvent cause que l'enlant prend l'habituda
de tourner les pieds, ce qui est fort laid.
Done, pour l'usage courant,
de liantes botti¬
nes eu cuir jaune ou noir avec tiges claires
lorsqu'il s'agit de toüettes habillées et seule¬
ment, ponr les cérémonies,
les coihumes
minuscules
et les « Charles IX » en vernis oa
en box calf noir, aceompagnés
de bas blancs
fins et sans jours.
Ü4Ê6Ü
énu
SI &9 a rsr
Bléville
ConseU municipal. — Le Conseil municipal
réunira samedi prochain, a i heures du soir.
OllDRE DU JOUK
1»Rêglement des budgets 1913. - 2»Rapport? 5
a) Gommission de ia voirie ; b) Gira mission def
bailments ; c) Gommissiou des finances — 3»
Budgets : a) budget odditionnel 1914; b) budget
primitif I9!g. — 4° Bureau de bienfaissnee icornpi
te3 et budgets) : avis. — E« Remboursement
(1,000 fr.) a M. Guiltaume Pciit. — 6' Féto Saiot*
Jean. —_7»Gomm uaicaiions^di versos.
Comité secret. — l° Assistance aux vieillards. —
ï' Assistance aux feinmes en couches. —£" Assis¬
tance aux families nombreu3es. — 4» Liste (la
Bureau de bienfaisance.
u
Graviüe-Sainie-Honcrins
En faoeur de la familie Pimont.
Voici Ie détail
chs sommes refues dans nos bureaux en faveur
do cctte familie :
Mme M., Anonyme, G. II., chacun 5 fr. ; Cbarbonnier, Jean et Max, Pierre, chacua 2 fr. ; Friicie
Riout, 1 fr. ; Louise iladelaine, 2 fr. — Total 5
24 francs.
Etat clcil. — Naissances. — Du 6 mai : O(lelie
Blondel, rue des Acacias, 71. — Du 7 : Allee Varncy. rue Amand-Agasse, 14.— Du 9: Franco Bova,
rue Prudhomme, 40 ; Gaston Quatrehomme, ib,
rue de l'Abbaye. — Du 40 : 61.'die Levesquo, fort do
Frileuse, 27. — Du li : Raymond Letourneur,
pont G. — Du 4-2 : Roger Savreux, boulevard
Sadi Csrno\ 239; Suzanne Beuzit, ruedesChanliers, 412. — Du 43 ; 6!arthe-Dufau, rue AmédéeCazavan, 39. — Du 44 : Yves Ollivier, rue de 1*
Volonlé; Robert Decergy.rue Hippoly te-Aeasse, 35.
Publications de maruge.
- flobert Reehor, eocher, a Thiergeville/et 'Marie Auger, sans profes¬
sion, a Ypreviüe-Biville ; ASphonse Redoute, charpentier, rue de Provence, 60, et Alphonsine Fon¬
taine, dêbitante, rue des Ghantiers, 33 ; Georges
6Iorisse, domestique, rue Pierre-Dumoni, 30, et
EiisaoetU 6talandain, ménagère, rue des Yiviers,
13, au tlavro.
Décés. — Du 8 mai : Francois Civy, 43 ans, rue
Mazeline. 23. — Du 9 ; Julien Moqüeroau, 37 ans,
rue du Chateau, 40 — Du 12 : veuve Adète Gatineau, 70 ans, rue Pierre-Duraont-prolongée. — Du
43 : Louis Girdon, 3 ans 1/2, rue du Phare, 19. —
Du 13 : Raymonds Lemonnier, 14 ans, boulevard
de Graville, 510.
Monlivllllcrs
Conesil de Rsoision. — Nous rappeloos que e'esj
aiijourd'bui mardi 19 mai, qu'auront lieu les opéV
rations du Gonseil de revision pour les jeunes
gens du canton da MontiviiUers.
Ges operations commenceront a 1 h. 1/2 de
l'après midi. Vol. — Mme Gosselin, marchande bouchère, a
constalé que des inconnus se sont introduits dans
son abattoir, situé quarlier de la Ctinarderie, et
lui ont dérobé trois eouteaux. deux lames a monr
ter et des planches, le tout estimé 20 francs.
Violences. — M. Saint-Saens, ouvrier d'usine. b
porté platnte contre le nommé Taillois, égaiement
usinier, qui lui aurait porté un coup de bouteille
a la figure, lui occasionnant une blessure le mettant duns Fincapacité de travaiiler pendant une
huitaino de jours.
Pour êleoer des lapins. — Jeufli dernier, c5te
Sainte Croix, ies gendarmes surprirenl un jeune
homme de Slontiviliiers, el deux enfants, dont let'
parents habilcnt a Saint-Martin- du-Manoir, occu<
Dés a cueillir du tréfle dans les terres de M.Louij
Carpenlier, agricuiteur, ferme du Gracd-Epaviilei
pour nourrir des lapins.
Procés-verbal a été dressé el los parents auront
a répondre du délit commls par leurs enfants.
Sainf-Romain-de-Colbosc
Conssll municipal. — Le Conseil municipal de
Saint -Romain-de-Goibosc s'est réuni a la Mairie.
samedi dernier, 16 mai, a trois heures et derale da
soir.
Présents : MM. Lemercisr. maire ; Roussel, ad»
join ; Duparc, Agasse, Bouvier, de la Boutresse;
Leest, Uenout, Le Gay, Gautlre, Dcrrey, Ghicot et
Bénard.
Excusés : MM. Fidel, Bredel el Aubin.
'i
Lo procés-verba! de la dernière séance esl
adopté a l'unanimité.
M. Bénard, qui élait absent è laprécédente róunion, donne lecture d'une protestation au sujet
du choix du nouvel sgent des eaux de la Villa et
de i'éviction de l'ancien agent. 11demande i'ineription de sa protestation au procés-verbal. —
Accordé.
Comptes de 1913. — Le Gonseil entend la lec¬
ture du compte administrate du maire pour
l'exercice 1913. Ce compie présente un total de
recettes de 96.9ü9 fr. 80 et un total de dépenses
de 78 638 fr. 08, soit un oxcédent de recettes de
18 371 fr. 72, mais il reste a payer 11,883 fr. 90
l'excédent réel des recettes est done de 6,43s
fr. 76.
M. Dcrrey, doyen d'dge, prend Ia présidence
pour faire approuvei' Ie compte, Irqiei est adoptè
a l'unanimitó.
Le budget additionnel do 1914est voté par l'as*
semblée. 11s'étéve en recette 4 18,997 fr. 3Get e5
dépenses a 18.865fr. 27, soit un excêdenl de re»
celte3 de 132 fr. 09.
II rósulledu compte de 1913 que. par suite d«
Ia plus value des contributions, tine somme de
5,015 fr. 66 est actueilement disponible ; que, sur
un des emprunts et notammeni sur Femprunt de
7,200 franes contraeté oa 1903ot qui doit se ter¬
miner en (926 il ne restera a payer au 1" janvier
1915, que la somme do 4 376 fr. 87. La commune
ayani la faculté de rembuurser par anticipation
moyennanl le versemenl de la somme de 0 50 0/C
ce qui donna a payer en plus 218 fr. 84, soit un
total de 4,393 fr. 61. M. le maire demande de
payer l'emprunl de 7,200 francs ce qui penneitra
d'éteiDdie une dolle et do oiminuer les charges.
Getto mesurë est votée 4 l'unanimüé.
Le budget de 4915 est voté ainsi qu'il suit :
Recettes ordinahes, 46.572 fr.; dépi-nses ordinaires 48,361 fr. iü; excédent de recettes 2H fr.99»
Les recettes et les dépenses extraordiuaires
sont arrêtées au mëmo total de 2 ,8 0 fr. li.
Hópitai-llospice.— Sont soumis au Conseil le
compte de gestion de eet établissement, établi par
61. Barbaray, receveur, elle compte administratie
éubli par M. Gand, ordonnateur, adoptés par Is
Commission administrative.
Ces comptes préseatenl un tolal de recettes de
46,7:8 fr. Gi et un tola! de dépenses da 41,799
fr. 8:, soit un excédent de recettes de 4.928 fr. 72.
Le budget sddüionnel de 19i4 de FHópital Hospiee s'éleve en recettes a 5,285 fr. 97 et a la
méme somme de dépenses.
Le budget primitif do 1915 se monte au cbiffre
do 37,706 francs de recettes et a celui de 37,70®
fr, 30 dedéponses, soit une prévision d'excêdant
de 1 fr. 70.
Ces comptes et budgets repoivent un avis favo¬
rable du ConseU.
Sont égaiement spprouvées les deliberations de
la Commission administrative de l'flópital-Hospice, décidant :
1» De passer un traité avoc M. Pitard, commerpant a Saint-Romain, pour ia fourniture de toUe
.pour draps. Dépense, 740 fr. 20.
2° B'accorder un traiternent de 290 fraucs pai
an a M. l'abbé l'alfray, curé-doyen, a litre d'atf
mönier.
D'établir un trousseau qui sera exlgé a l'eatrée des p9nsionnaires, hommes et femmes.
Families nomb reuses. — Le Conseil vote les sacours prévus par ia loi en faveur de plusieora
families nombreuses.
Ecoles-Pensionnats — 61. le maire Informe I®
Conseil que, lors de la réunion de la Commission
scolaire un certain nombre de parents se sent
plaints du défaut de place dans les écoles et ilc
ajoutaient notammont que Ie surnorahre d'élévea
était causó par les pecsionnaires. 11 demande as
Conseil s'il n'y aurait pas lieu de réduire Ie pet*
sionnat au nombre do places vacantes.
Après diverses observations, te Conseil décidar
de demander que le nombre de pensionnaires son
limité aux places vacantes.
II est décidé, de plus, d'adresser une reclama¬
tion en vue des déptacements. trop fréquents
pendant I'anuée scolaire, des instituteurs et inslik
tutrices-adjoints, ces déplacements nuisaat ê IK
bonne instruction des enfants.
Dibit de boisson. — Le ConseU refuse une autóv
risation d'ouvertnrc de café.
Chmins vicinaux. — Divers conseillers se plat-.
gnéat ^dii"m»uv#is Vohetiea des cüemTns vlciaanxi
t^e Pent Havre — Ufardi19 Mai1914
et demand' iit é M. le maire de fairo des démar¬
ches en vue d'arriver a un meilleur emptor des
credits vcnés.
d'être modifiées. Renvoyê a la Commission des tioD, chercba querelte a Crochemore et lui porta
finances. .
Société Mntadle
de Prévovaure
den Km
un violent coup de pied en ptelne figure. Comme
Satstioa
„ ~ *'• Öehhays, su sujet de l'élargissement de Delaunay cherchait a le calmer en lui faisant des ployés d© Commerce,
au giège aociaL « ml
1esoaiier
d
acces
de
la
gare
de
Bolbec-Vilie,
rapCaligny.
—
TiUphone
n*
220;
Clti>
8' ra« iJr^S F S.A-7~ (Commission de Natation).—
Sociétés de MuUiatili. — L'Assemble générale
remontrances,
il
Ie
terrassa
a
son
tour
et
lui
ndLa commission do natation se réanira ce soir, 4
de ia Société scoiaire fit de la Socétó d'adullos de peile que l'administration de l'Elat demandait 200 mimstra une « raclée » telle que le malheureux,
Cours Techniques
Commerciaux
francs pour ee travai! et que la villo avail offert couvert de meurtrissures, a dü s'aliter et apoeler
9 h. 1/4, a la Grande Taverne.
,u"u ""u du
Vi'1 vuuwu
miitu:.ii!é
canton uo
de ooim-numi
Saint-Romain-de-uoIbose,
20
irancs.
Les
choses
en
étaient
restées
lè,
raais
8 On
lion dimar.p.ho
17 tnni
Cour»
du Mardi
Sont eonvoqués : MM. Roussel, Fulgence, Naeu lieu
dimancbe dornïpp
dernier 17
inai, a 3 heures dii plusieurs habitants se sont depuis colisés et ont le mödecin.
fiO
oir, a l'Ecole des jargons, sous la jjrésidence de réuni la somme do ISO fiancs qui, jointo aux 20
Le lendemain, Bulant reconnaissant ses torts, a
Comitó
''
' ainé ct L. Terny, aéiégué du
Un crime manquó
Lahöck Fuancaise (Prof. M. Pigné, Directeur
M. Ëiisée Lecat.
ta.re des excuses a ses amis, mais il était IroD d Ecole Communale). — De 9 h. 1/2 d 10 h. 1/1
francs offerts par Is ville, forme les 200 franc.s été
Ordre
du
jour
:
Formation
du
bureau.
Comnte
tard,
Ia
gendarmerie
élait
déja
prévenue
Calligrapuik (Prof.M. Laurent, Directeur d'Ecole
Société scolaire. — La eompte rendu moral de demandés ; ii exprime le desir que l'on fasse une
établie 36> rne BifCetiff affaire aura son denouement en correc£nn«Uo?0ral et.'!caric,i.<>rde la saison 1913. Ques- lnMèParismaakimai^re'
Communale). — De 8 ü. 1/2 a 9 h. 1/2.
' . *a,"'t être victirne d'un crime
i'anne.e 1913a éié donné par M. Martin, instituleur
nouvelle demsnde. Aprés explications, il est déttons et propositions diverses.
Ahitumktiqcb (Prof. M. Pigné, Directeur d'Ecole
a Gommerville, secrétaire.
Cidé qu un engagement écrit sera demandé aux
feitenrsm6?
0I'8j«nisé par deux ou trois malCommunale). — De 8 h. 1/2 a 9 h. 1/2.
11en résultc quo ia Sociétó comprenait, au 31 sousenpteurs qu'un plan sera réclamé et que le
' ' ?" derDler moment, ont échoué
Houquefol
Anglais Üsuel (Prof. il. E. Robine, Professeur
décembre 19!3, 50 mombres lionoraires et 474 tout sera soumis a Ia Commission compétente.
Box® aitglaiss
fa fuiteUr smistre prt'-let et dtirent prendre
auLycée).
—
1»
année
(Section
B).
de
8
h.
1/2
membres participants. li a étó Seeouru 60 mem¬
Bureau d' assistance. — 51. Fontaine, reniier au 8 9 il. i/2.
Chambre ds Commerce. — Améiicgements de gar Pare d'Anxtoi. a versé 30 francs au Bureau'd'ssbres pour maladies, représentant uu ensemble de
Hoxing-Club du Havre. — Le s imedi 30 mai nro'
II était nenf hanres et demie da soir Mms
Anglais Commercial (Prof.M, Gibbs).- 3»année.
9,07'! jours de maiadie.
res (U JL'J mté-Beuzevilte et de llolbee-Nointot. — sisianee d'Houquetot ea souvenir de feu soa
chain, aura lieu au Ringdu Boxing -Club du Havre,
De
9
h.
1/2
d
10
il.
1/2.
Vuies el bailments. — La Chambro de commerce
En terminant, M Martin a adressè an hommage
4o, rue du Docteur-Gibert, la grande soiree com¬ hnmiv t„80a(?prêtait h fermer les volets 'de sa
rrere Dieudonné Fontaine, déct'dé le 11 mars 1914
EspAGMOLiProf.
m. Vassia. Vice-Consul d'Itaiio).— bative annuelte de cetts aciive société, les fiflèles
2' lors(l<Jedetix individus qui l'obserému a la mémoire de MM Améflóe Larson et s'était émue, a plusieurs reprises, de lïnsuffisance
a v'ergetot Coudray, et inhumé dans le cimelière
1" année, de 8 h. 1/2 a 9 h. 1/2 ; 2' année, de 9 h.i/2
vaient depuis un moment
lirent irruution
Foubeit, presidents fondateurs, décédès réeem- des aménagements des gares do Bréauté-Beuzeaniateurs du « Noble Art j>havrais seront ht ureux
de la commune d'llouquetot.
a
10
li.
1/2.
derriere eile dans lo magasin.
vilie et de Rolbee-Nointot, mais sachant que la di¬
d y apptaudir la revanche Ruhier contre Chivol
Bient et qui avaient rendu a la cause mutualiste
Aritumétique
Commerciale
(Prof.
M.
Laurent,
de si appréciés ter vices.
rection des Chemins de fer de i'Etat reconnaisqui a la dernière soiréa combative souleva les
L'un des ineounus se jeta sur la commer.
Fécamp
Directeur d'Ecole Communaie). — De 9 h. 1/2 bravos du public.
M. Grimm, Iresorier, donne ensuilo lecture du sant elle-mémo l'insuffisance do ces aménage¬
la.reaversa
et «e disposait a l'étran10 h. 1/2.
Chambre de Commerce. — Séance du 13 mai
Revanche ésalement de Bariau contre Lenoir
eompte rendu financierde 1913lequel présente un ments préparait dos projets et des plans d'améiio1014, presidence do M Camille Dubosc. — Le !3 a Dactylosraphie. — De 8 h. 1/2 a io h. 1/2
rineimf
qiue .®on comPlice s'emparait déii
deax adversaires trapus et combalifs
total de recedes de 2,789 fr. 30 et un total de de¬ ration, notre Chambre altendait avec patience la mai,
a 5 beures du soir, la Chambre de Commerce
du contenu du tiroir-caisse
Mais le malfkifenses de 2,193 ft'. 40, soit un boni de 593 fr. S0 realisation des transformations projetées.
Langaney egalement lo dur boxeur poids léger
La Société se charge de procurer a MM.lea Nego¬
L'intensité du trafic pendent l'hiver 1913-1914 a de Fécamp s'est réunie au lieu ordinaire de ses tiants, Banquiers el Courtiers, les employés divers
qui, ajoute aux fonds disponibles au 31 dècembrë
desire rcccoiitrer a nonveau son adversaire Lan- teur qui avait terrassé Mme Fomat avait
sous ia présidence de M. Gamiile Dubose
escomptó une victoire trop facile. En réalité
goette.
19J2 s.ifiv"fr. 49, donne un total de fonds fibres au pro-luit rangorgciaeot de ces deux gares ettes re¬ seances,
offlnt Us auraient besoin dans leurs bureaux.
31 déeemb e 1913,de 5,763 fr. 39.
tards subis dans b s récepiions et expeditions des son président.
Dc pius, le défi porté par Max Word a Porta
Le chef du service se liont tous les jours, d la
Ifeté'rti'0!1-6 avai- été surPrise paf la soudaiCaie
de
lialage.
—
tl
est
donné
connaissance
a
Sociè é d'aduttes. — M Pétre, insiituteur a Etaiss* marcuandises ayant été préjudieiables aux inté¬
mais, trés vigoureuse
Champion de Normandie sera probablement sur neté de J agression,
Bourse, de midi a midi et detni, a la disposition
pied pour ia fin mai.
bus. secrétaire, donne lecture du eompte r» ndu réts commerciaux et industriels des vallées de Ia Chambre dos démarches faites en vue d'obtenir
el Ie s était vite ressaisie et opposait une re¬
aes soeiétaires sans emploi.
les
automations
nécessaires
pour
la
construction
mora! de l'ainiée. écouiée. La Soeióié eompte 40 Bo.bee et de Lilleb .mne.il sppartient a la Chambre de la cale de halage.
II y a tout lieu dc croJre également que Ie défi sistance imprévue.
de signaler celte situation a 51. le directeur des
membres honoraires et 135membres participants.
du poids lourd amateur Marcel du Havre sera reLa Chambre déèido de poursuivre ses démar¬
„id.fres uPe lutie aciiarnée qui ne dura que
Lyre Havraise.
— Les soeiétaires sont priés
En <913.26personnés ont été indemnisées pour un Chemins de fer de l'Elat et la nécessitö de s'inlous c,i" deilx Ö0BSP0'08 moyens, Simon
qi.elques instants, eile parvint h se dégager
ches prés des ministères compétents pour obte- dassister aux repetitions d'ensembie qui auront et.Vo'.,en
iota! do 931 jouraóes do maladies.
quiéter de t'état des travau.x envisages.
Gilïes sa rencontreront en une puissante revanebs. ,
8t.aPP®la au sêcours, tout en continuant
è sa
M. Pétre s'est as.-,ocié aux paroles de M. Martin
Les intéréts industrie!.? des centres de Bolbec nir dans le plus bref délai la promulgation du dé- lieu le mardi 19 et ie vendredi 22 mai.
cret autorisant la conslruclion do |a ca'e.
deiendre énergiqnement.
ex exprimaut ie regret causa aux soeiétaires par et da Lilleuonne sont intimement liós au centre
D'auires bons combats bien équilibrés viendront
Conférence trimeet ielle d-.s services 'de.Rentende»
te dócésdes deux presidents fondateurs.
de Rouen, c'est a co dernier qu'iis envoient
comp eier cette soiree sportive.
Ccrcle Eyriquc da «avrc. — La Société orh,o'rfiI,8nant alors d'être surpris,
les deux
Chemins de fer de l'Elat. — M. ie président rend gam>e
Le corapto reodu financier a été donné par M. chaque jour leurs produits manufactures et c'est eompte
pour jeadi prochun (Ascension), un Leit
En cette attente tous detis peuvent être portés
bandits ne songerent plus qu'a Ja fuite
En
di
s
questions
par
iui
soumises
a
la
Con¬
damateurs u amateurs.
de ee dernier qu'iis reooivent chsque jour leurs
Srimni. trésorior. II présente un tolal de recettes
de-miai. Départ du Rond-Poiuta 6 h. 1/2. Déjeuner
quelques
bonds,
ils
turent
dans
la
rue
férence
trimestrielle
des
Services
de
Rouen
des
en 1913 d - 1,624 fr. 70 et un tolal de dépenses de approvisionnernents industriels ; il y a done un
a Barfleur, a la Grenouillère. Prix 1 fr. 75,
Se présenter ou écrirc au Boxing-Ciub, 43, rue
Ge drame rapide avait eo poor témo'in un
1,4a» fr. 95, laissant un boni de 135 fr. 81 qui, mtérêi primordial a eo que les trains chargés des Cbemins de fer de l'Etat du 3 avril dernier, noPrendre des cartes chez MM.J. Denis, 73, rue
Docteur-Gibert, les mai'dis et vendredis, de 8 a
tammenl la diminution du staiionnement pr, don- uo Trigauville ; Merck, 237. rue de Normandie ; du
passant courageux,
M. Victor P melle, em10 heures.
jjouié a la fonime de 2,373 fr. 26. montant du re- relations eutre ces cenlres soient assures avec la gé
a Suint-Vaasi-Bosvilte du train 2U51.
p oye de commerce, domicilié 20, rue DanA autres daiosïhez M. Ch. Ferand, vice-prósiIt. Denis, 124, rue do Normandie; Blanehard, 17,
•iquat de lal 2, laisse un capital dispunihle au 31 régulariïó et la ponctualité qui sont les conditions
La
Commission
s'est
prononcee
a
I'nnanimité
dent du BCH.
rue de Turenue.
phiue Celui-ei se larica sans hesitation
a la
llt Criiib e 1913de 2.509 fr. 07.
essentielies des services qu'iis doivent rendre et
dans un sens favorable au nouvel horaire eipousmte de I un des mallaiteurs,
et, anrès
it a éte ensuite procédé au renouvellcment du pour iesquels ils ont été créés.
aprés :
Les
marches
de
ces
trains
(n°»
41-25et
4105)
ont
bureau des deux Sociétés, sous la présidence do
une course mouvemfintée,
réussit é l annréUnion Fédérale
de Tip des Gyainastcs
Départ de Fécamp
été si mauvaises eet biver qu'elles ont fait resa I't h.
E'ffiöSbalï-AsgeeïatSosi
«t. Lou s Benard, conseiiler municipal do Saint
hender au moment oü i! se réfi.giait dans le
dn Havre et de l'Arpondissemem.^
—DunxièArrivés a Saint- Vaast
a 15 h. 33
Roaiaio, doyen d'age des membres présents.
sorlir l'urgence qu'il y av«it a ee qu'une voie de
me teance de lir a longue distance, jeudLSl mai,
couloir d'un hotel moublé de la rue da
Départ du Saini-Vaast. ...... . a <6 h.
Havre-Sports. — Ce soir aura lieu la réunion
Lt>vote par correspondance était admis. Résul- garage soit. insiaüée a B -ibec-Nointot pour perBerhu.
de 10 h. a 17 h. Arrêt de 12 h. 30 a 14 h. —
Arrivée a Dieppe
générale du US, au siègo sociai, Grande Taverne,
tals :
a 17 h. 10
mettre aux trains de marchannises de «tationuer
séance au revolver d'ordonnance.
a 9 heures.
' ,ie"(IaJnt
ce temps,
le complice réussisSociété scoiaire. Volants : 68. — Elus : prési¬ dans cetle gare et y eiïecluer les msnoeuvres né¬
La correspondanco avec le train 2173 serail assait a dispaiaitre,
mais les agents
arrêLa présence est indispensable.
cessaires pour Ia raise a disposition des wagoDS surée a Saint-Vaast par suite du changement d'hodent, 51.Eiis.ee Leest, 67 voix ; vice-présidenls,
Anciens
Miiitaires
Coioniaux
—
Hotel
de
taient un troisième individu qu'on présume
MleM. BouLy, insiitulrice a La Cerlangue, 68 de marchandise, et la néeessité de remaDier en- raire dans te nouveau service.
Ville,
salie
A,
reunion
générale,
domain
mercredi.
jusqua
plus ample informé,
avoir fait le
lièrement les voie. de Bréauté-Beuzeville pour
vo x, el M. Leroq. insiituteur a Saint-Aubin-IlouLe stationnement du train 2061 serail réduit 3 22 a 8 h. 3d du soir.
guct.
__
Krt,05 voix ; trêsorier, M. Grimm, 66 voix ; iré- décongeslionner cetle gare contiuueilemeni en- minutes au lieu de 1 h. 02 a Saint-Vaast.
öe Huiles
Bjyovt nalees
Ordre
du
jour
:
Lecture
da
procés-verbal
;
eombn
e
par
Ie
transit
tré3
imporiant
des
lignes
sorier-adjoint, M. E. Levavasseur, insiituteur a
Chemin de fer : Tram tri-hebdomadiire Rouen- compte-rendu moral et financier ; Paiement des
Les deux malfaiteurs
ont été conduits
an
Le grand concours de boules iyonnaises, orga¬
E. retot, 43 voix ; secrétaire, M. P. Martin,67 voix; de Fecamp et de Lillebonne.
Botdeaux. — Communication est donnée a ia
de police. L'agressenr de Mme
; Propositions et adhesions de nou¬ nise par l'Associat'on amicale des Enfants du commissariat
En faisant droit aux désiderata de Ia Chambre Chambre d'une note do FOfiJce des Transports de colisations
secrétair. -adjoint, M. Boyeldieu, instituleur a Tanveaux membres ; Fö.e annuelie du mois de juiilet
Dauphiné, aura lieu le jeudi 2i mai, jour de l'As- iHimat a déclaré se nommé Stareket être docaml e, 66 voix.
de commerce de Bolbec Ie lléseau de l'Etat l'Ouest do la France annoneant Ie prolo -.gvrm-nt et
questions diverses.
micihé 177, boulevard Victor-Hugo, a Saintcension.
donnerait satisfaction a des intéréts considerables
Société d'adulte*. Votanls : 68 — Elus : prést
au procbaiu service d'été sur Bordeaux du train
en
11aura licu au boulodromo de ia Société, bou¬ uusn ; it exeifait la profession d'ouvrier
dent, M. E. Lecat, 67 voix ; vice-présidents, MM et légitimes.
2264 tri-hebdom'idaire Rouen-Le Mans, v d Anger
La Flotte.— Le Conseil d'administration in
levard de Gravilte, 3-38,et coinmencera a 2 h. 1/2 ier .
La Chambre decide de somefire cette question
Napoléon Corruble, maire de Saint-Aubin-Routot,
par la création d'un train au départ d'Angers et vue
dc l'après-midi.
li-s suciètaires a venir se grouper autour di
a ia direction des Chemins de fer de l'Etat.
Bi voix, et II. Garrey-Prévost, déló»uó cantonal,
Son complice présumé
est nn
nommö
tombant dans le train 787 Paris-Niort-Bordeaux.
qui assistera a la fête des Hospitaiiers
54 voix ; irèsorier, M. Grimm, 67 Voix; trésorierGharles Pruvost, figé de vingt ans.
Conditions d'opplicatwn des lartfs gènèrnux. — drapeau
Sauveteurs
Bretons,
le
jeudi
21
mai.
Pour les Sinistrês. — Le concert organisé par Suppression de h chuse « atia; risques et perils de
aiijoint, M. E. Levavasseur, 50 voix ; secrétaire,
Tous deux ont été envoyés an Dépöt,
On se réunira a l'.iótel de Ville, a 9 h. 45 du
M Pêlre, 64 voix ; secretaire adjoint, M. Edouard l'Aiincale i.aïque au profit des sinistrês des Sept- l'expéd'ti-ur et du destinataire. — II est ognlement
Cesamses
a Sasnt-üauiS
matin.
Sanson, detoguê cantonna!, a Eiainhus, 5i voix. Cheminées a pleinemeut réussi.
donné cmnaissance d'nne note du mème Office
Lundi 18 mai
La coquette salie de Ia tue l.eehaptois élait ar- informant que par arrêté du 24 février 1914, la
AaciC'S Kléoes.
Nous rappelons que le délai
La Méridiounalo.
— La Société ta Méridioud'inseriptiou pour ta sortie-promenade de Mouii chi-comble dinaanche soir et Ie public a chaudelaxe de l'arrêté du 27 oetobre 1900, visant la loca
Résultats Pari mutueï
nalo
eoütiDLiani
ses
fêtes
familiales
avait
convo
ment
acclamé
les
interprètes
de
la
section
f<mineaux-i.a Bouille, expire aujour 'hui mardi. Se
tion des grues et appareils de tevage tart. 44 des que ses adhérenls s la sortie annuelie du Montfain in-cure a l'Ecole ou chez MM.Nizou, tréso- nine de l'Amicale Laïque, l'oreheslre symphonic- millions d'applications des tarifs gênéraux) a éié Joly. Restaurant Virlouvet.
Pesage
que et les directrices et instilutrices -de nos éco- modifié.
n tOfr. Pelousk 5 fr
lier, ou Nouet, secrétaire.
chevaux
130 soeiétaires et amis avaient répondu a
les, quo nous t- nons a féticiter pour leur dévoue(!/go?.aüPlaeéi
Gagnaat»riu* '
Tarifs G. V. iet 10i,G. V. et 103. — Sup¬ l'appel du Comité. Lo solei! souriant aux enfants
Bolbec
ment el ieur bonne action.
pression de la clause limitative de responsabihté
Les sommes recueiilies dimanche soir permet- — La Chambre émet tin avis favorable au proj t du Midi s'était mis de la partie.
Conseit municipal. — Les membres du Conseil
1'»
Course.
—
6
part.
!
Dés 3 heures de l'aprè-; midi, l'excellent orches¬
municipal de Boibec se sont rêunis vendredi soir Iront aux ouvriers incendiés de parer aux évende loi döposé par 51. Féron, dépnté, en juin 19u9, tra de M. Anquctil attaquait les meiileures danses
Le Card»ur
33 — 22 60 17 50 11 —
soua la presideuct* du docteur Auger, maire, M. tualités du moment et ceux ei n'oublieront pas Ia tendant a la suppression de la clause limitative de de son répertoire.
J
Kouka
II
23 60
11 50
Beily est réétu secrétaire pour le temps de la ses- j preuve de soiidarité qui leur a été donnée par la responsabiiité nes chemins de fer dans les tarifs
A 7 heures cut lieu la collation soupante. Au 2° Course. — 7 part.
Société d'Eduealion Populaire de Bolbec.
sion
G V. 1 et SOi (biiiets a demi-tarif) et G. V. 3 et café, 51 Gardes, président, remercie les soeiétaires
Panix
41 50 17 50 19 50 10 —
Le maire fait I'éloge furébre de M. G. Raillard ,
103 (cartes d'abonnement).
d'étre venus en si gratid nombre, ii remorcie ses
30 50
Goderville
18 —
le Conseil s'associe aux regrets exprimés par le
Transport des poires a poirè et pommes a cidrc.
collabora
eurs
directs
du
dévouement
qu'iis
ap3"
Course.
—
5
part.
maire.
— Communication est donnée d'une lettre de M. portent a la Société, saiue M Patrimonio. avocat,
Conseil
municipal.
—
Le
Conseil
municipal
s'est
Communication est donnée d'une lettre del'Ad36 oO 18 50 15 — 8 —
mmistre des travaux publics, en date du 22 et M. Alliard,- vice-président des Enfants de irminsul
mercredi dernier, sous la présidence de le
nainistralion des postes relative a 1'exteDSion des rèum
avril dernier, relative au transport des poires i l'Orce, léve son verre a la santé de tons les so¬ Bohiae
23 30
40 —
d. Bellet, maire.
deuxième et iroisieme distributions du courrierau
poiré
et
pommes
a
cidre,
en
sacs
ou
en
vrac,
in
4* Course. — 5 part
eiétaires et a In pro péritê de ta Méridiounalo.
Etaient présents: MM.Ie docleur Jouen, adjoint;
htimesu d'Héruppes et route de Mirville.-Satisfacformant
«
que
i'admrnisïration
des
chemins
de
fer
51. Alabert au nofu de tous les soC;êtaires re¬ Pourquoi Pas
. n - 16 50 10 — 7 50
Levasseur,
Thibault, Lesbaudv, a reconnu que si, par suite de circonstaaces extioa pourra être donnée au désir exprime par le rlauchecorne,
mercie le president de son attschement a ia So- Arabella III
Toumine, Dailet et Coignet.
53 —
16 oO
Conseil, mais on ce qui concorne la deuxième dis¬ Pate,
ceplionnelles,
le
reseau
fournit,
pour
un
charge
ciéie
et
associé
a
pes
remerciements
Mme
Gardes.
Exiger
M. le maire donne connaissance d'une délibéra5* Course. — 7 part
tribution sculement
ment de 10 tonnes de poires et pommes, di-ux
euiemem et sous réserve
reserve loutefois de I imn dn /v.nc.ii
i„i„.,i a-, / fi/ ,, I/ï iIrZf „ ,
41. Guillocbo, président des Sauveteurs et Am¬ Ozozo
43 — 22 20 — 10 60
w.gons de capaeilé moindre, Ia laxe doit être éta- bulanciers Breions de la Seiae-Inférieure, fêlicite
ceUe' mes ure en'frai neraf* question budKélair8
| qui sollicite de .FadmStraton
ffitorale
faul blie c -mme s'il avoit été livré un wagon de 10
29 — — — 13 50
M. Revest, le sympathique trêsorier, de ia distinc¬ Le Baladeur
torisation de créer une nouvelle foire qui se tien- tonnes,
D'un li-ttre de ia prefecture, il résulte que l'a
afin que les expediteurs puissent égaletion qui lui sera décernee jeudi prochain, a l'oc- 6« Course. — i2 part.
'trail
le
16
septembre
de
chaque
année.
Celte
de¬
chemim-ment du courrier du matin se fera par le liberation est transmise a l'assembiée communaie
ment bènéficier. dans te cas envisage, de la re¬ casion de son vingt-septitme sauvetage.
Phéaomèno II
87 30 28 — 16 50 12 50
train de 9 h. 30 au li<u de 7 h. 30 ainsi que ceia
duction de 15 0/0 sur les prix applicables aux ex
Au cours du banquet ia Soci.étó lo Rallye Cors Humières
29 —
12 50
a été dt-rnandé par la Chambre de coe.-mtrce de pour avis.
péditions
par
wagon
de
5,000
kilogrammes.
»
de Sanvic a fait entendre ses meilleurs moa
36 50
16 50
Aprés échange d'observations, Ie Conseil dé¬
Boibee et les municipsiilés de Bolbec et de Lille¬ cide
Warrant-Hotelier.
—
La
Chambre,
se
référant
a
ceaux.
de s'abstenir d'émeltre un avis.
bonne, meis cet'e inéoie lettre donne un avis dêLe Rapt d'un Enfant
sa
deliberation
du
3
mai
1912,
se
rsiliie
aux
con¬
De
nombreux
chanteurs
et
chanteuses
ont
prêté
la réfection de peintures exlérieures
favorabie a la dispense de paiement des frais a IIlaautorise
clusions de la Chambre do csmmerce de Nice
paiment leur concours a eette grande fète chamPRONOSTICS
DE
LA
PRESSE
caserne de gendarmerie, dont la dépense
d'express pour la remise des tfilégrammes au ha- sera prétevée
et
emet
Ie
voeu
que
la
loi
du
10
aoüi
1913
sur
ie
Dimancbe
matin, Ia famiile Mac-Cabe, d'osur les crédits ouverts aux budgets warrant-hotelier soit compléiée conformément au pêtre.
menu d'Héruppts et route de MirvRle.
rigine anglaise, habitant 3, avenus Chanzy A
Une soirée dansante des plus animées a c'öluró
de
l'exercice
courant.
Le Gonseii, esiimant quo sur ce dernier point
Kttint-enrn,
1© JtSai
texte demandé par les syudicats böteiiers en oeto¬ la fète et tous les soeiétaires se sont donné
Argentenil, a déposé une plainte entre les
MM.Paté et Tbibault sont désignés pour assis- bre
i'cnquéie n'a pas été faile sérieusemeni, proteste
dernier dans la réunion des Etats Gênéraux rendez vous pour l'excursion qui aura 1 ieu sans
mains dn procureur
de la République
de
ter M. le maire pour procéder au liraga au sort de du
PRIX DE lTnDRE
et demande une nouvelle enquête, altendu que six
Tourisme.
tarder.
obligations pour l'amortissemeut de l'emprunt
Versailles pour enlèvement de mineur.
Paris-Sport.....
Skaliger, Raton tl.
tes quariiers susdits font partie de l'agglomeraCicruhiire
du
34
février
1914
du
sous-secré¬
contracté pour le rachat de l'usice a gaz acety¬ taire de la marine mirchande concernam Tirr.porCette plainte
concern"
un nommé
Jean
Lc Joekey
■Sksilger. Raton II.'
iion.
lene.
Les Enfants de I'Orne.
— Le Comité des La Liberté
Skaliger, ltaton II.
Böë -Lasi, né le 24 mai 1883 ê Montpehier,
— Les subventions suivantes sont accordées :
t'1tion
des
rogues
frangaises
de
poissons
primes.
—
Procédant au règtement des eomptes do l'exer¬ M. Ledun expose tes observations quo lui a sug- fêtes rsppetle aux soeiétaires et a leurs amis que
professeur a l'institntion
Brazeau, a ArgenPRIX DE L,\ MAKCIIE
20 Irancs a l Orph- linat des cb>mins de fer et cice
1913, le Conseil approuve le eompte adminis¬ géré«s i'étude de la circulaire de M. Ie sous-se¬ l'excursion a In llmê.re-Snint-Sauveur qui avait été
teuil (Seine-et^Oise).
10 frsncs a chacun des Comités de Rouen et du tratif
Mailre Chabiron, Quorum II.
remise a cause du mauvais temps, aura lieu di- Paris-Sport
presente
par
M.
le
maire,
accusant
un
excéHavre de i'Union des Femmes de France. Une dent de recettes de 3,142 fr. 28, dont l'emptoi sera crétaire d'Etat de la marine marchande du 24 fé¬ manche prochain 24 mai, aux mêrnes heüres et Le Jockey.
Ge professeur a quitté Argenteuil
samedi
5i«itre Chabiron, Quorum II.
demande des Normands de Paris n'est pas accor- fait au budget additionnel. Dans eet r xcédent se vrier 1914, relative a l'importation des rogues
La Liberté
Maïtre Chabiron, Quorum II.
conditions que précédemment.
soir par le train de 16 h. 57, é destination
francaises de poissons primés.
dée.
Prière
de
se
trouver
au
bateau
do
Honfleur
a
de Paris, emmenant
avec lui le jeune Arthur
compris une somme de l,6i0 fr. 88, réser¬
pnix DE LX CREUSE
La Chambre a décidé de protester contre eette
— En remplacement de M. Baillard, MM.Han- trouve
h. 40 muni de son ticket d'excursion et sur pre¬ Paris-Sport. . . Sirius II, Porto Vecchio.
vé au paiement de dépenses de l'exercice 1913.
Douglas Muc-Cabe, né le 9 mai 1903 a Bir¬
circulaire et de demander d'accorder les facilités sentation duquel sera délivré le billet de passage
quinquant et Leclerc sont nommés, le premier,
Le
Conseil,
sur
la
proposition
de
M.
Maurice
Le Jockey
mingham
(Angleterre),
élève
externe
a
Sirius II, Porto Veccbio.
anciennes.
membre de ia Commission d'éclairage et le second
alier et retour du bateau.
rapporteur de Ia. Commission des finan¬
La Liberté..,.
Stilus II, porto Vecchio.
I'insliiution
Brazeau et habitant avec ses pa¬
mombre de la Commission des finances el d'inté- Thibault,
Départ du Havre 8 heures précises du matin,
ce.»,
vote
de
ebaleureuses
félimtations
a
il.
Beiiet,
rents.
tét généi'81.
PRIX DU CLAIM
retour le soir de Honfleur a 8 heures.
pour son excellente gestion et le remercie du dé— Les eomptes administratif et gestion sont ap- vouement inlassable qu'il porte aux intéréts cornDepuis ce moment, Arthnr Douglas MacOn Irouve des tickets d'excur?iou jusqu'au ven¬ Paris-Sport.. . . Sigismond, Cendre de Chêne.
prouvés. D en résulte un boni de 25,825 fr. 09
Cabe n'a pas reparu et l'on nesait ce que iui
dredi soir 22 mat, chez MM.Savarit, 10, rue de Ia Le Jockey. .....
Sigismoiid, Cendre de Cbêne.
munaux et qui assure a Goderville une prospé— Les divers budgets sont déposês et renvoyés
Bourse ; Deuley, 21, me Saint-Roch; Atliard, 85, La Liberté
et le professeur sont devenus.
Sigismond, Cendre de Chêne.
ritó sans cesse grandissante.
aux ,Commissions compétentes. 1,077 fr. 22 sont
rue d'Etretac.
La première brigade mobile de la Süreté
Le Conseil vote ensuite les budgets commtiPRIX SOLITAIRE
Quai'lier
du
Perrey.
—
Fète
iVatiouale
votes pour dépenses imprévues.
naux.
générale avisée de eet enlèvement,
a lancé
loiT. — Les commmcants et habitants du quar¬
Paris-Sport.
Ocyroë, Tanit II.
— Satisfsciion n'ayant pas éié enlièrement don¬
Fanfare
« La Renaissance
». — Répétition
Le budget primitif de (915 est arrêtó en recette 4 ter du Perrey toni mstamment priés d'assister a
ses meilleurs limiers a la recherche
du raLe Jockey
I.-inboy, Ocyroë.
née relaiivement au ctassement comme chemins 50,391 fr. et a 50,359 fr. 84 pour la dépense.
générale
ce
soir
mardi,
a
8
h.
30.
Communications
visseur et de sa victime.
Ocyroë, Tanit II.
la réunion qui aura lieu aujourd'hui mardi, 3 et étude des morceaux pour le concours da Lille¬ La Liberté
de grande communication d'une partie de la rue
II émet ensuile un avis favorable a t'approbation
Voici le signalement
du professeur : il est
Thiers et des rues A.-Damboise et du Pont Bellet, des eomptes et budgets du Bureau de bienfai- 9 heures du soir, a l'Ecole de la rue Augustin-Nor- bonne.
PRIX DU BERRY
mund, a l'cffet de nommer un Bureau charge de
le Conseil décide de réclamer a nouveau.
figé do trente ans et parait de trente-huit
5
Paris-Sport. . . Reraue Ménage, La Topaze.
sance et de la Caisse de secours des sapeursl'organisaiion
de
la
Fête
Nationale
de
1914.
On décide 1installuiion de lampes électrtques,
quaranteans
; taille, 1 m. 60 è 1 m. 65. II
Revanche
Ravrais©
de Tauibours
et
Le Jockey
pompiers.
Ec. Courveiüe, Kariry
Les membres du Comité de ta Féle Nationale Ciairons.
escaiier sente de la commune, rue E.-Dupray,
— Répétition générale ce soir mardi a La Liberté....
est chauve ; moustaches
blondes relevées.
Formé en Comité secret, Ie Conseil prononce
Remue Ménage, La Tupaze.
1913. au Gom desquels eet appel est formulé, esquai tior de la Jolie, boulevard prulongé (partie une
admission 4 l'Assislance aux families nom- pèrent que ious les habitants y répondront avec 8 h. 30 précises.
II a la lèvre inférieure épaisse et trés peneourbei se rite de Gruchet, sente du Vivier, sente breuses
déciue Ie relèvement de troi - alloca¬ empressement.
dante ; ie pied gauche rentré en dedans
II
du dernier Sou, rue A.-Desgénétais et route de tions en etfaveur
de families qui oat juslifiè de
est coiffé d'un chapean haut de forme en soie
Nointot et des chacgements de lampes rue Ch.- fails nouveaux donnant droit a des slioeations
noire et vêtn d'nn complet gris ou noir ; il
Service des Eaux. — Arrêt d'eau: Pour rem¬
Sorieul, prés'. a Sente aux Loups et rue E.-Dupray.
supplémentaires.
— Le Conseil auloriseun nouveau marché avec
est clianssé de bottines è bontons.
Paris, 18 maf.
11émet dps avis favorabtes aux demandes de placement u'un robinet, les conduites d'eau des
M. Paul Duval, librDre a Elbeuf, pour ia fourniture jeuoes geus de Ia classe 19i4qui ont soliicité pour quaia do Nournéa, des Remorqueurs et de Marée,
L'enfant est de taille ordinaire
pour son
Marché
irrégulier
et
peu
actif.
Uyclisme
seront fermées aujourd'hui mardi, a 10 heures du
de livres aux cléves des écoles commuuales, dé- leurs families le bönélice de l'allocation journaége. II mesure 1 m. 40 environ,
mais de for¬
La
Rente
franpalse
tléehit
a
86
70.
pense i,40u francs.
matin, et pendant une heure environ.
Bordeaux-Paris, le cbampionnat du monde de la
lière.
te corpulence.
Cheveux et sourcils
ch&tain
L'Exiérleure espagnoie recuie a 88 23, l'Italien
— Une deliberation sembiable è celle des années
route, virnt de confiraier la valeur de la bicyelette
.ve,
98 67 et le Serbe a 81 65. Le Turc se repró- ciair ; yenx bleu clair ; nez légèrementc
précédentes est prise pour la repartition de la conL.ABOII.
Le
seul
partant
sur
LABOR,
Deman,
Bec-de-Morfagne
sente a 82 67.
nn peu large è la base ; joues pleines,
teint
Iribiilion mobiiiere. En conséquence pour la de¬
sh ciasse premier, baHimt les Georget, Faber,
Les fonds russes s'inscrivent : le 3 0/0 1891 a
termination des layers matriciels de 1915 il sera
Moliat, Crupeiandi. — Voir les modules Maison 73 65, le 1895 a 70 65, le 5 0/0 19f=6 a 101 75, frais, plutót coloré. Deux petites taches rou¬
Entre amis.— Lundi 11 mai, vers quatre heures,
ges de chaque cóté du nez, sous les yeux. II
déduit du loyer réei d'babitation de chaque con- les nommés Crochemore et Delaunay, employés
COUS1NARD,4, rue du Cbillou.
"
1/2 1909 a 97 83 et le Consolidè b 88 63.
tribuablc ito francs a la base. Celte somme sera cbez 51. Gilles, cultivateura la Roussie, étaient en
parlo le francais avec an fort accent anglais.
Nos
établisseraeats
de
crédit
se
montrent
hésiaiigmentéc dans les termes de la loi pour les char¬ train de foire la collation lorsque leur ami Emile
Sauveteurs-Ambulanciers
de la SeineII est véto d'un chandail bleu marine, d'une
Cyclo
Club
Havrais.
—
Le
CGH
a
fait
courir
son
tants.
La
Ranquo
de
Paris
cote
t,5»7,
le
Comptoir
— Demain mercredi, de 8 h. 1/2 a championnat de Vitesse, dimaoche dernier, sur d'Escompte 1,037, Ie Crédit Foncier 893, le Cré¬ eulotte courte en drap blen, de chausseties
ges de fsmille, de plus ceux dont le loyer ne dé- Ruiant, qui sembiait fortement alléré, vint les InSerieure.
passe pas 5u francs seront exempts de toule con¬ trouver et leur demands un verre de cidre. Its 10 heures du soir, au Cercie Fraskiin, cour* pra¬ 1,000 metres. La finale a donné comme résultat : dit Lyonnais 1,606 Ia Société Générale 792.
noires et souliers noirs a lacets ; coifl'ê d'nne
tribution, ceux dont ie loyer est supérieur a 110 accueillirent sa demande avec plaisir et iui offri- tique de premiers «oins d'urgence, et manoeuvre
1", Leroux, 2«, Rabasse è 1/2 roue, 3* Annest, 4»,
Parmi les chemins francais, Ie Lyoa fait 1.235 casquette eu drap bleu marine avec visière
du
brancard,
transport
des
blessés.
fiancs, mais no dépssse pas 150 francs seront
rent mème de partager leur repas, ce que Butant
Daliphard.
et i'Orléaas 1,305.
vernie et galon d'or. II portait a la main na
exempts de la contribution mobilière. Ces exone¬ accepts volontiers.
Le maich des deux frère Brisnt a été gagnó par
Le Rio-Tinto termine a 1 741.
petit paqnet.
rations nc seront pas acquises aux personnes
Pour répondre a ce bon procédé, ce dernier
Union des Scaphandriers.
— MM.les mem¬ Robert Briant, notre ex-chsmpioa de Normandie
L'action
de
la
Compagnie
Electrique
do
Ia
Loire
ayant le aioyen cfacquitter l'impöt.
Le ravissenr ponrrait prendre les noms de
ofl'rit le café. II courut cbez l'épicier voisin et rap- bres participants de t'Uniou sont priés d'assister a qui s'est encore distinguó en enievant !s 1" pla¬ et du Centre est ferme a 367.
— M Touin demande qus les roulottes des ro- porta l'ordioaire moka avec la liqueur qui l'ac- la fête dos Hospitaiiers Sauveteurs Bretons qui ce
de ia manche qu'il courait contre Leroux le
Les recettes de cette Compagnie pour le mois Clément Ducas et Paul Baron.
maniehels n'eucombrent pas la voie publiquo.
compagne habilueliernent.
Les deux sigualements
ont été transmis
aura lieu le 21 mai.
jeune champion du ciub par 1/4 de roue.
de mars dernier se sont éievóos a fr. 571.355
M. Desebamps signale que deux des pompes de
Nos trois amis étaient complèteinent d'accord
Réunion a l'Hötel de Ville, a 9 h. 45. Port de
anx commisBeaucoup de monde a i'arrivèe, joii succes pour contre fr. 480.645 en mars 1913, soit une augmen¬ aux brigades de gendarmerie,
la compagnie des sapeurs-pomplers ont besoin Iorsquo tout a coup Bu!ant,sans aucune provocal'insigne obligatoire.
notre nouveau club.
tation de fr. 90.710 ou 18.87 u/0.
sairo3 spéciaux des gares, etc.
NouveJIes
Diverses
-■
AhCCQh deMENTME
digestif
désaitérant
antiépidémique
duÜIH^LÈS
Communications
givsrses
§üiletin des (Sports
BULLETIN FINANCIER
§ullstin des (Sociétés
gleterre, ce qu'elle a pu voir, ce qu'elle a
pu entendre, Et a aucun magistrat et a
aucun autre homme,il ne faut que je donne
jamais la moindreexplication, le moindre
renseignement... qui puissemettredes policiers sur les tracesde ce malheureux!...
Si l'on parvenaila me les arracher pourGra&d Roman Contemporain
tant ?. . .
— C'est donebien ?. . . interrogeaRoger
PAR
Verneuil,du bout deslèvres.
II n'osait pas acheversa phrasepour de¬
Pierre
SA.LES
mandersi eile croyait bien, comntela jus¬
tice, que le misérabie qui avait assassiné
sa mère n'était autre que son père_?
DEUXIÈME
PARTIE
Les paupières baissées,1'attituUeall'reusementtroubléede la jeune lille lui avaient
déjarépondu.
Et, la voix un peu blanche, ayant bien
— Celui dontvousmé parlez n'a-t-il pas de la peine a passer entre ses dents qui
Hépour vousle plus abominabledes bour- s'entrechoquaient.eile balbuiiait :
reaux,commecette creature a été pourmoi
vous saviez maintenant„auprèsde
l'emblèrnedu malheurmème?. . . Et nous, qui—jeSime
suis trouvée, ii y a quelques
les victimes,nous nous retrouvons enflu1
qui nous avait recmyliies, ma
nous nousresserrons,nous enl'ermonsen- mois...
moi. . . qui osait nous trailer com¬
t%;nous deux, entre nous trois. ce que soeuret
meses entauts . .
nous pouvonsavoir encorede bonheur sur
— Eile !. . . la malheureuse!. ... Ils sont
cette terre !. . . Ne pensez-vouspas ainsi, donetoujoursensemble?
petite Pauline?. . .
— lis étaient évidemmentfaits l'un peur
— N'oubliezpasavant tout, cher compa¬ l'autre, commevous ie disiez tout a l'heugnon, que la petite Pauline a dispara.,, re. . . si bien capablesde se comprendrcen
commea dispara son père. .. la petitePau¬ tout!... Ah!... s'écriait-elie avec une
line a du se cacher comme vous vous ca- exaltation soudaine, quand je songeque
chez vous-même.. . bien plus encore; car mon père avait pu nous amener auprès
il existe toujours,a Paris, des gens qui sa- d'elle, auprès de cette créature qui aurait
vent qui vous êtes. . . et de moi, on ne doit déjè voulu faire de moi. . .
rien savoir.. . pareequ'il ne faut, a aucun
Et ce fut au tour de Roger Verneuilde
prix, que la petite Pauline Boucliusoit ap- baisserle tête, commes'il était encorerespeléechezun juge destruction, qui la tor- ponsable des infamies de sa compagne
in,renü noufsavoirce au'elie a fait ca Aa- ^'autrefois.
Feuilleton
dn PETIT HAVRE
'112
Jacqueline s'était caché le visage dans
les mainset ne disant plus rien, il inter¬
rogea, bien timidement:
— Vous avez done découvert, un
jour ?. . .
D'un signe de tête seulement,eile répondait : « Oui. »
Et, après un nouveau silence, il questionnaitencore:
— Des briber,de conversationpeut-être?
des rapprochements?.. . puis ce que vous
aurez lu dans les journaux?... et vous
avezf ui. . . et pour n'avoir jamais a parler
contre lui, vous vousêtes rayée du mon¬
de?... Vous vous êtes fait une nouvelle
existence?...
— Avais-jeautre chosea faire,mon ami?
répondit-elle,en lui remontrant, a présent,
uu visagepresque serein.
Car eile avait un besoin instinctif, impérieux, de s'éobapperde tout ce passé, de
ne plus être la fllle de ce misérabie,et que,
surtout, sa petite soeurne seatit jamais peser sur eile cette elïroyableinfortune.
Eile avait droit, elles avaient droit, com¬
me loute créature humaine,a i'avenirqu'el¬
les se feraient, au bonheurqu'elles se créeraieut. . a la vie, en un mot ! Car, trainer
de tels passésaprès soi, c'est commesi l'on
tralnait la mort!
Je suis donebien certaine que vous ne
trahifezjamais monsecret?. . .
— Je le faismien, chère petite Pauline !
—■N'oubliezpas ; Jacqueline ! Et depuis
quelque temps,j'ai habitué ms petite soeur
Franeine è ce que je l'appelie Eranyoise,
car même soa .petit aom ae dois plus
exister..,
— Oui, clière petite Jacqueline, chère mondepeut lire a cotéde vous. Et comme, sienrte... ear elle est adorable, la enérie,
petite Franchise,fit Roger ert étendant la en ma qualité de failli,je ue pouvais pas et c'est bien celles-lèqui sont le plus en
mainvers le lit de l'enfant,je faisvoirese¬ aller retirer ma carte d'électeur,on se mit danger. . .
cret mien, commeje vousfais iniennesUni¬ a me soupQotmer,dans cette maison même » J'espèresuffirei.ma besogne, moi, et
tes les deux !... Ët ma vie, votre vie a oü l'on m'estimaitjusqu'alors, d'être quel¬ vous aider dans la vótre... et il faudra,
toutes deux, notre vie recommenceen ce que chose de louche. . . de méprisable., . qu'a nous deux, nous conquérionsquelque
moment.
Et je dus disparaitre de ce quartier, pour chosede bien sur, quelque chose qui nous
permettede lui faire un avenir. . . comme
)>Nousétions faibles,vouset moi, sépa- venir dans celui-ci. . .
è vousla créationd'une familie.. . sans que
rés ; nous devenonstrés forts, maintenant » Autre choseencore.
que nous sommesunis. . . nous avons mê¬ » Ii y a trois ans, dans une des rarespro¬ se dressedevantvousou devantelle, eette
me pour nousla forcedu mystère,eet iso¬ menadesque je me permets, j'apercoisma simplepetite chose... ce carréde papier. . .
lementoü il faudra que nous subsistions femme au bois dc Boulogne,en une toi¬ qu'est un acte de naissanceoü se trouveun
au milieu de la société, puisque jamais lette et un luxe ne m'indiquant que trop nominaudit !. , .
nous ne pourrons montrer uu papier, un d'oü pouvaientlui venir ses ressources. . .
— Oh!. . . murmnra d'un ton presquc
acte d'état civil, qui soit la confirmation et je suis frappétout de suite de cetteidéé: léger Jacqueline; pourmoi, cela n'a pas
de la personnalitéque nous nous sonunes « Commentne me suis-jepas absolument d'importanee.. . moi, je n'ai plus de rêve
donnée.
/ débarrassé d'elle. . . car, tant que nous de jeune fille.. . moi, je suis ferméo a
» Et cela, vous vousen apereevrez,cause n'avons pas divorcé,elle aura le droit de töute espérancequi n'est pas cette chérie,
bien des foisde grandesinjustices,de gran- porter mon nom,de me couvrir chaque en qui j'ai mistout mortbonheur.. . e'estJour d'un peu pius de boue !. . . »
è-dire monami, reprit-elle vivement, que
des dilïicultés.
» Vous verrez, par exemple, combiea » Maisdivorcer!. . . c'est encorela qu'il jusqu'ici je Lavais mis en elle seule...
nous serons embarrassés. . . rien que iors- faut des pieces,qu'il faut étabiir sou état Maismaintenant,monambitionest de fairs
qu'il faudra faire faire sa première,commu¬ civil, que vatre nom est livré fenpature tk tout autant de bonheur pour vous1
niona notre petite Francoise.
la curiositédu premierveuu !. . . Et quand
— Commeje suis bien certain, moi, de
» Et. . . je vais vous donner tout de j'eus réfléchis a cela, je me repris blen vousen laire a toutes les deux... a vous
suite un simpledétail, maisqui vousprou- vite sur mon dégout: je n'existe plus, surtout, petite Pauline. . . car vous me
vera de quels ennuis on est enlouré quand tant que la tache de cette faillite est a moa laisserezqueiquefoisvous appelerainsi. ..
et me souvenir que je vous ai aiméedès
nom. . .
on n'est pas semblablea tous les autres.
que vousêtes venue, si miguonne,si gaie,
» Dans la maisonque j'habitais aupara- — Maiselle n'y sera pas toujours, mon dansnotre magasin?.. . N'est-ce pas que
ami
!
prononcafièrementJacqueline,
com¬
vant, j'avais eu l'imprudence de causer
je prenais votre defense quand on vous
avec des voisinset de m'apercevoir queje me si elle devaitêtre pour quelque chose raillait ?. . . ou qu'on fredonnait devant
dans
cette
ceuvrede
relèvement;
et
si
je
nourrissaisdes idéés politiquesa peu prés
vous de trop vilaines choses?... Votre
semblables aux leurs... Lè-dessus les pouvais, moi, a un moment donné, vous petite innocencem'était si chcre !. . . nos
aider
par
mon
travail
?...
élections surviennent, et on pensa natu-*
timesavaientdéja un lien. ..
reliement, que j'allais voter pour les gens
— Chacunnotretache, mon enfant!...
— C'est bienvrai, murmura-t-elle en It
dontj'approuvai les idéés ; mais, pour vo¬ La vótre est bien assezgrande déjè d'avoir conteiuplantd'un regard qui se voilait.
ter, il faut une carte d'électeur, il faut un <4élever votre petite soeur, la défendre
(A
nomexact, véridique, ua nom que tout fe plus tard contre cette terrible vie pari-
.
naissances
Le oius Grand Chotx
- -
«5'tv
S
- f
2L*_
Coars
4 Terms
Le st. fr. Ville-de-Paris, ven. de Liverpool et
Havre, estarr a Valparaiso le 18 mai
StabHs par MM. let Courtiers ie Marchaniitts
Le st. fr. Amir ahN icily, ven. du Havre, etc.,
assermentés prit le Tribunal de Commerce
est arr. a Ssi'son le 18 inai.
Havre, le 18 Mai 1914
Le st. fr. Am ral-Troude, all. du Havre, etc., è
Madame Jenny CORBEAU
la Plata, est reparti de Dakar le 17 mai.
LA1NESFINES
Le st. fr. Campinas, all. du Gabon a Pauiilac et
Née BRUNET
CAFÉS
Prima
l.-t. ku.nu. II l/l
Havre, est reparti de Dakar le 17 mai.
HOIS
Le st. fr Formosa est parti de Matadi le 17 mai
Prêc. Mat Soir Prêc. Matin Soir
pour Bordeaux et Havre.
Le st. fr. Aago, all. de la Plata au Havre et Dun¬
DEUIL
EN24HEURES
pour
Messieurs
etDameskerque,
est rep. de Teneriffe le it nui.
88 75 58 50 58 50 219— 220- 220—
Mai
Le st. fr. Louisiune, all. de Bo doaux A New- Juin
58 75 8 50 58 60 219— 220— ISO—
89 59 — 59 - H9 — 150- 270—
York, est reparti de Bordeaux le IS mai.
Juibet
5 50 59 25 69 25 217— 2(8— 218—
Fou» nis-eur
de I'lJnioo Economicjae
>odt
2(8 —
69 75 59 -0 59 50 11660
Septembre —
59 75 59 59 59 50 14— «4- 2(5 —
Octobre
1122(2
2(3 —
6« - '9 74 59 75
Novembre
60 25 69 25 60 - 11050 21030L2H50
Décembre
- 206- 20760 50 6<l2 69 2 -2«6
lanvier
imprimarte du Journul UB
JU A ViSB
6
60 75 60 60 60 5, 106- 106- 2 6 60
Février
Le
terreneuvier
Berna
ette
(de
Fficamp),
a
été
at - 60 75 60 1- 20550 205TO10550
Mars....,
B, Rdi Fomtbullb. B
4;
20550 20550 20550
renconirfi, le 24 avril.par 45' lat. Nord et 48' long. Avril
...
LETTRES
DE DÉCÊ8
% Ouest. Tout allail bien a bord.
CU1VRE
niuciim
Nordfjord, 15 mai. — Le Figaro (de Dunkerram discs
*
Depuia • truM
la Oaat
|
MOIS
quei, est arrivfi ici aujourd'hui avec 208 tonnes de
Prêc.
Mat Soir
Prêc. Jour Prêc. Jour
monies.
IB. A. CORBEAUet la familie remercient les
personnes qui ont bien voulu assister aux
convoi, service et inhumation de
TiSSANOIER
8, Bd de Strasnourg
del. 93)
VOITU^ES den. 35 fr.
Bicycle ties "Tourlste"
enhèi tmeut éqmrées ó 'Uv' -
OE( ES
rT)u 18 mni. — GILOUX, mort-nées (féminin,
jnmelieso. rue du Petit-Portail. 6 ; Edouard TOUTAlN, 8 ans, cours de la Hépublique, 76; Emile
CAHI'ENTIER, 47 ans, fondé de pouvoirs, rue de
la G'scièra, 12 ; DUMONT.mort-né imasculini, rue
dn General de Lasalle, 38 ; Juliette PUPÏN, veuve
LE PHEVOST,6Vans, sans profession, rue de la
Cóie-Morisse, 4 ; Charles AVIGE 44 ans, jnurnaier. rue Lesueer, 96 ; Louis GEFFHOY, 64 ans,
sans profession, a I'Hospice ; Zoe GABON, veuve
PIGEON,so ans. sans profession, rae Fonbert , IS
Florence GIllONDEAU, 76 ans. sans profession,
roe Foilberl, 15 ; Lfion LEGRIX 2 ans 1/2, rue
Bougainville, 32 : Charles PREVOST, 3 jouis, quai
Colbert, 45 ; L"uis FRUTZ, 20 ans, mécaoicien. au
Rainey Sein--el-Oise ; Lo ose GEKVA1S,1 an 1/2,
rue du Grneral-Faidherbe, 6.
ep4d)allt4
de
Denll
A L'ORPHELIfiE, 13 15, rue Thiers
Oeull c.mpiet en 13 heures
Sar deuunae, anc,.«rsMraetnitiêe an deoil porta a
cooisira domicile
TELEPHONE 88
Vous files prié de bien vouloir assister aux
convoi, service et inhumation de
Anne-Marie AUBERT
dficfidfie en son domicile, H8, boulevard de
S raSbomg. le 16 mai 191't, dans sa 3' annfie.
Qui auront lieu le mardi 19 mai a neuf
heures du matin, en l'église Saint-Frangois, sa
paroisse.
Oa se réuaira a l'église.
De !a Dirt de :
M et lij" Afarcel AUBERT,'ses père et mère ;
M et Al"" Gabriel AUBtRT. ses grands-parynts;
MM An.rs et Paul AUBERT,
M tt Si" NEVEU,
M J AUBRY, nolaire. et ses Enfants,
M et IX F aUBRY et leurs Enfants,
«uDraperie
d'Elbeue
WT
II ns sera
faire part, le
l)es vo litres
partir de 8 h.
pas envoyé de lettres
de
présent avis en t»nant lieu
stationnero nt place Carnot, a
30.
Ai" Emile CARPtNTIER ;
MM. Eer ana et Lusten CARPENTIEH;
tiin' Cleire CARPtNTIER ;
M. et AS<™
A'sène CARPENTtER et leur Filte ;
M. et AS" Georges CARPENTtER et lour Fine ;
M et Af"" Je n MACK, nee CARPENTtERet leurs
Fiiles ; M Juies CARPENT/ER; M. et M"" Pierre
CaRPENTiER et leurs Enfants ; M. et iii1" Francis
BAILLtUL, nee CARPENTtER et leurs Enfums .
M. et 61" Emile LAURENT, nêe CARPENTtER ;
K. Roger CRON ; Al. et M" Robert SaMSONei
furs etil ants . M et IB"" Renè BENARD et teurs
Enfa ts . til"' oeuoe LA Y/GNE. M"' oeuoe HOUL
LEthARE ; M. e M"" Henri LENOUvEl et leurs
Enfants ; I*1" Georgine MASSIF; tit. Rene NANCY;
LesFamiies
THAUNAY, DAM, GRAiUOORGE,
AUIHOUARD, DUBDC, CRON ;
M. Paul DANYERS; le Personnel de la maisan
P Danoers e ies Amis,
Oni la douleur de vous faire part de la parte
crnelie qu'Us viennent d'óprouver en la per
Sonne de
M. Emile-Charles
CARPENTIER
Fondé de pouvoirs de la mnison Paul Danders
d'-cédé le dimanche 17 mai, fi 9 heures du
soir d,uis sa 48»annfie, muni des sacrements
de t'Egl.se.
E' vous prient de bien vouloir assister fi
ses convoi, service et inhumation qui auront
lieu le merciedi 20 courant, a 8 n 1/2 du
matin, en i'Eghse Saime-Marie, sa paroisse.
On se rfiumra au domicile moriuaire, rue de
la Glacière,.n* 12.
DE PROFUNDIS !
line sera pas envoyé da lettres d'invita
tion, ie pres nt avis en tenant lieu.
"TSuIl
LYRE
HAVRAISE
M. le President et les Membres du Bureau de
la Lyre Huvraise prient MM. Ies Soci'-la res
d'-,s>i>ier aux convoi, service et inhumation
de leur camarade
E. CARPENTIER
qui auront lieu le mrrcredi 20 mai, a liuit
in ures et demie du matin, ea l'église Saintevlii'ie, sa paroisse.
On seréunira au domicile moriuaire, 12, rue
de la Giaeifite.
On est prié de se mnnir do I'instene.
Amicale
lieFrévopce
duPersonnel
delaPolice
MM. les membres sont informfisdu
dficfis de
Monsieur Alexandre MAUGIS
Retraiti
Médaille de la Police
dont l'inhnma.tion aura lieu a Cauvdle le mercrcdi 20 courant, a 9 h. 3/a du matin.
'81 6)
le Président.
Vous files prifi de bien vouloir assister aux
service, convoi et inhumation de
MadameVeuveAiphonseLE PRÉVOSTf
Née Juliotts PÜPIN
agfie de 63 ans, pieusement dficfidfio en son
um cile, 4, rue Gfiie-Jlorisse, au Havre, le 17
mai 191., a 11 h. 30 du malin, qui auront lieu
en l'êgiisc de Saiuie-Adresse, le mercredi 2j
courant, a neuf heures du matin.
Do la part de :
M"< Jeanne LE PREVOST, sa fllle ;
M et At- Atah LAOVOCAT;
At-' Edouartl PUPIN ;
M. Lucien PUPIN:
M. et M"' Charles PUPiN, ses cousins et cousines.
On se rfiunirt a l'église de S»inte-Adresso.
II ne sera pas envoyé da lettres de fairepart, le présent avis en tenant lieu.
10. so ( -1S3)
M
M.
til
M.
H LEQUESNE,«O' époux :
et M " H. LiQUESNF,' charcutier
et M" M. LEQUESNE;
Bernard LEQUESNE;
;
Mn' Arleite LEQUESNE,ses enfants et polilsenfant- ;
La Familie et ies Amis.
Prient ies personnoj qui par erretir c'auraient
pss regu de leltre d'invitaiion de vouloir bien
<s excuser et assister au convoi, service el
inhumation do
Madame H. LEQUESNE
née Augustine-Mélame
HEQUET
Uficfitifiedans sa 67*annfie, qui auront lieu It
mercredi 20 courant, a 10 h. 1/4 du milin en
l'église de Oudaile, sa paroisse.
Le convoi se rfiunira au domieile moriuaire,
imrneau do Villemare, a Oudaiie (Sein.-lnffi'^ure).
mi ivra,
Délicieuz
Apéritif
auQuinquina
Capital 125 millions
snul! diHAVRE,
11,Boileiird
deSlnslioiig
ORDRES DE BOURSE
Le CKfeinr lAUrvoitn se charge de l'exficution
des Urdi-es
(ie Bourse,
tant en France
qu'al'étranger.
„
„ ,
Aux Bourses de Paris, Lille et Bruxelles, l'exficu¬
tion des ordres, est l'objet des mei, leurs soins de
ses reprfisentanls specinux.
LOCATION
Turil
de COFFRES-FORTS
üecioissuut
s aivuul la durée
R 19.21. 23. 24. 26 (8u9ö)
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16 A. a/»
Les ponts donnant accfis sur i'avant-port, ouvrent
Êénéralemeat une heure et demie avant le plein da
i mer
Port
Compagnie Normande
DU
Mai
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LAMBLARDIE....,
ANGOULEME
CITADELLE
EUIIE
JOURD'HUI
•«««
19
du
JBLsavjra
Mai
Navires Entrés
17 st. boll Ary-ScitefTer, Smith
18 st. fr. Pêrou ....
— st. russe Rubonia
— quat.-m. ang. Laichill, Sanders
— st ang. Etaelwolf
— st. dan. Heogest, Hensea
— st. fr. Sephor a- Worms, Augais
— st. ang. Solent. Head .. .
— st. ang. The-Emperor, Graham
— st ang. Redstart, Ford
— sioop fr. Etoile...
— st. fr. Le,-Morbihan, Nicolas..
— st. fr. Figulina
van. de
Rotterdam
Colon, etc
Bombay
Melbourne
Australië
Copenh«gue
IDmbourg
Dueston
Glasgow
.Londres
...lie Grande
St-Nazaire
Rouen
Mai
Navires
Soi'tis
18 st. fr. Loitqsór, Aubry
all. A
19 9 Mercredi . . 20
7 20 16 20
. Indo-Chine
7 20 '11 n 17 11
9 15 *14 a 19 »
via Marseille
— St. fr. Sainte-Adresse, Crespin
Barry
— St. fr. Hirendelle, Viet
Caen
HAVRE
CAEN
Mai
Par le Csual
Taacarvtll*
6 » _ _ —— 17 ch fr. Dunois. Quenneviiie
5 !>
Rouen
— eh. fr. Georges, Karlot
Rouen
Mercredi . . 20
5 45
6 »
— ch. fr. Rouennais-7, Glfiach
Rouen
6 D 47 45
Jeudi
21
6 15 18 »
— ch. fr. Passif, Basset
Rouen
Ponr TP.ODV11XE,
les heures piecfdtes d'i.n astêrls — pén. fr. Riine-Estker
Rouen
qne (") Indiquent les départs pour ou de la Jeiée-Pr®
Montfis A Rouen :
monade
En <-..3de manvals temps les départs pouveat Stre
Le 1' : st ang. Fraternity, St-Agnes, Maywood,
supprimss.
West-Quarter ; st. fr. Fernui.de, Lutèce ; St. all.
Lucia- IVrede ; ch. holl Ne.rlnndla : st. norv. Juno.
Le 18 : St. fr. Anjou, St Jean, ven. d'Qran ; st.
Services Maritimes BRETEL Frèrss
holl. Ihdmland ; st. ang. Jfatn ; st. norw. Pan ;
st.
HAVRE
A CHERBOURG
a SAINÏ-VAAST all. Echo.
Descendus do Rouen :
Alois de MAI
Le 17 : st. fr. Germaine, Charlotte ; st. all. DoraHAVRE A CHERBGURS i HAVREA SAINT-VAAST
20 Mercredi. . 6 h — s. I 23 Samedi... 9 b. — s. JLugo-Stinnes-XII.
En rade pour Rouen :
LEHAVRE
A BGULOGHE-SUR-MER
ETCALAIS Le
18 : st. norw. BrHagne; st. ang. Rouen,
Départs réguliers , les 1", 11 et 21 de chaque mois
Rondo, Regis, Sheogield, Spero ; st. holl. 0 landa.
Agent E. DUREAU, Tente B. F. Téi. 3.75.
MaV
B^.a
Jb. VAPEÜR
Entre QUSLLEBiEUF et PORT-dEROSflE
Muls
de Mai
Prem er déparl de QulUebeufs 6 henres <Snmatlö .
dernier depart do Oalllebouf a 7 heares dn solr.
resiler j Port Jérome a 6 li. 30 du matin ; demies
döpari de Port-Jêröme é 7 h 30du soir.
A l'exception des arrêt i H-desnousIniiguét
23 Arr de 8 m)i 8 h m
Darn dép.A8 « 20 «oir
17. Pas d'arrét .
24 Arr
' do
------8 b 354 8 b 35
18
dito
19
dito
bern dép. A8 li. COsoir
20. dito
55 srr. de 7 h 15 » 9 13
21
dito
f6 Arr. de 7 8 50 s 9 50
22, Dssn. dép. 0 h. 40 solr. 27 Arr de S 23 10 23
28 Arr. de 9 h »» A11h »»
Pendant les heures d'arrêt, ie service des voya^eon
est assnré par una barann.
AöHmaSTRATlOIS
IAS0NFOWTK8
— La levfie des correspundances pour les An¬
tilles et Mers du Sud, par paqutbot angisis partaai
de Cherbourg, sera faite au Havre, bureau princi¬
pal, le 19 mai, a 18 h. 10.
— La derniére levfie des correspondances pour
le Brésll et la Plata, par paquebot sngtais partaai
de Southampton, sera faite au Havre, bureau
principal, le 21 mai, a 21 heures.
NOUVELLES MARITIMES
Le st. fr. St-Michel est parti d'AIger le 16 mai
pour Rouen
Le st. fr. Viltc-de-Majunga est parti d'AIger le
17 mai pour Orati.
Le st. fr. si-F terra, ven. d'AIger, est arr. a Böne le 16 mai.
Le st. fr. Europe, all. de Maiadi, etc., au Havre,
est arr. a Bordeaux le 17 mai.
Le st. fr. St-Sm"n, ven. de la Pointe-a-Pilre,
est arr. a Bordeaux le 17 mai.
le st. fr. lb'-d-la-Réii"ion, al!, de la Rfiunion,
etc , au Havre, est rep. dePauillac le 17 mai.
Le st. fr Sl-Laurent , «II. du Havre au MtXique,
est arr. a Bordeaux Ie 17 mai.
Lo st. fr. Ceylan, all. du Havre au Brésil et la
Plat«, est rep. de Pauiilae le ia mai. II est arr. &
Leixoes le 17.
Le st. fr. Amiral-Olry, ven. de Haiphong, etc..
est arr. a Dunkerque le 16 mai.
Ln st. fr. VUe- du-llavre, ven. de Callao, etc.,
est arr. a Dunkerque te 7 mai.
Le st. fr. Listrac est parti de Dunkerque Ie 16
mai p. Hambourg.
Le st fr. Saint-Thomas est parti d'AIicante le
16 mai p. Tariat-one.
Le st. fr. Puertó-Rico, all. du Havre a Haïti,
est arr. a La Corogne Ie 17 mai.
Le st. fr. Saint-Marc est parti de Lisbonne le
15 mai p. Palamos.
Le st. fr. Saiut-Malhieu est parti de Porto lo
15 mai p. Lisbonne.
Le st. fr. Virgude, all. de New-Orleans au Ha¬
vre, est rep. de Santander le 17 mai.
Le st fr. Halte. all. de La Plata au Havre et
Dunkerque, est rep. de Vigo lo (7 mai.
Le nav. fr. Versailles, all. d'Iquique a Glasgow,
est rep. de Falmouth le 15 mai.
Le si. fr. Suzanne- et-Karie, all. de Bordeaux it
Brfime, est passfi a Flessin*ue lo 13 mai.
Lest. fr. Hudson, vcn. do Bordeaux, est arr. A
New Orleans le 17 mai.
Le st. fr. Guadeloupe, ven. du Havre et Bor¬
deaux, est arr. a Colon le 17 mai.
Le si. fr. Amiral-Villiret-de-Joyeuse est parti de
Buenos-Ayres le 16 mai pour le Havre.
Le st. fr Ville-de-Rouen est parti de Santos le 13
mai pour Havre vid Bahla.
Le st. t\ Roshambeau, ven. du Havre, est arr. i
New- York le <7 mai a 7 heures.
Lest fr. Ajoiii-VetiMtx «ii. des Antilles au Ha¬
vre, pst arr, a f«uiu<rg
It 17mai.
vitrei
b. Quai
18 Mai, a 5 heures
du soir
Bassin
I'ARTIE
Dnrandai
Louisa-Aitea
Vizir
Lucioia
N'-r:ict
•ua
du
Coniuibree
11ÉSEHVÉEAUX YACHTS
spurtan
aooipue-Marls
Partner
Dinorah
St-iUom
Simona
Lucy
HeBê
Lista
St-Jean
Joyunsa
La Perls
KttUua(yl
QUAI D'ORLÉANS
N.-D.de-la-Garda Auacbe (y)
Itmah (y)
IngHd
QUAI LAMBLARDIE
Ariane (y)
Glance
Bassin
de In Havre
QUAI LAMA1YDÉ
Le l :un nIirl
QUAI DE ROTTERDAM
ir v-.'-i'tiCV,
QUA! CASIMIR-DELAVIGNK
Marian
Bassin
de la CtfLradello
DAIiSE NORD
Sautcrnes
<antenao
Sepfcora-Worms
Ileiiaesl
DAHSE SUD
8.-F.
Ville-de-Di)<in
Bassin
de I'Eure
QUAI DES TRANSATLANT1QUE0
La-Savole
QUAIS RENAUD
Stiarara
LeMorbihan
ET MARSEILLE
Caral'ba
Figutiaa
Pérou
GRANDF.SFORMES
Hêtène (y)
Ladv-Marlett«(y) Ujiboutl
Bassin
Doek
Tchad
Garaveiias
Basse-Terra
Schau ..burg
Bassin
llellot
PREMIÈRE DARSE
Eiileda
Cham.latn
v.-de-Mostaganom
Amtral-Fouriclion Solent
Scandia
Asia
DSUXIÈMKDARSE
Rhea
Albertus Vinnen Heinz
S-ugdat
Pfalz
Basque
Ehielwoif
Bassin
V:i=sli.,n
QUAI COLBERT
Terito
Glynn
Valezauh
Wear
The Emperor
Arllmr Capel
Kyanite
Abardale
QUAI FRISSARD
Redstart
Embia
Canal
de Tnncarville
Francois-Arago lainl-innidHrq
Linr.mgliaiO
Pik >a •
Lxncasirian
Sle«'isli
Ruboui a
Misslssipi
Lawhill
2.000
s.Santos
l.OoO
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100— Malabar
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03— — —
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(Leteut aux50kilosentrepot),
PrêcMente
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42
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41 75 42 - 42
41 — 42 25 41 75 42 25
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ealme
CHtnre
13
S3 25
-
33 60
ü ZZ1 32 12 — (alme
caime
Sucre». — Roux, 29 60 a 30 — ; Rafflnés, 64 60
A 60 -.
Marine de eensommat ie*. — Premières marqoes .
Dlsponlbles et Prochain: 65 — a
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marques : Dispontbles e* prochain 60 — 4 63
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Ii
3
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1
1
1
2
2
1
1 90
1 90
1 46
2 70
2.90
1.72
Pores gras
70
76
36
40
60
64
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HPj&mi&SS,
'VÖINSS
Odursat
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18 50 18 50 -
(8 50 — ■
18 50
51 45 21 50 21 55 21 60 18 50
18 25 20 20 — - 20 30
Tendance
sontesse
18 50
<8 25
-
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calaie
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PrêsASeatc
Ciötsre
Prêcfidente rjfiture
Courant-.2845— - 28 55 28 50 46 70
36 80
23 45
36 73 36 85 56 95
froehai»
28 30
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Inil -Aoflt 77 75 —
17 80
SC 75 ~ ~ 36 SO - ~
4 de-nier* 26 95 26 90 46 35 — — 35 75 36 SO 33 85 33 90
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ferme
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Jnil-Ao&t
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Jd'Oetob.
4ó'0cttb.
4(!c Nov
Clfttnra
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74 80 74 50 74 75 60
74 50 75 50 74 — 75 - t0 75
ClStnre
60
60 75
74 - 75 - 74 — .75 — 61 50 61 fs 61 75 74 — 75 - 74
75 — 63 15
63 25 63 50
—
Tendance
74 60 73 — "3 75 74 75 63 50 64 eaicia
VENTES
PUBLIQUES
COIÏI
MISSAIRES—
PBISEURS
DUHAVRE
Suceesssion de M. Désiré XJETELLIEX
Trolalème
Vente
Publlque
(sane attribution de qualltOs)
caime
D'UNBEAU
MOBILIER
Meubles de Cuisine <alle A Maagier. Salon Bu¬
reau, Tableaux Partels, Orfóererle Métal, Marbres,
Bronzes d'Art, Chambre 0 Couoher, objets dioers.
Aujourd'hui
Mardi 19 et Demai - Mer¬
credi 'JO Mai, a deux h -ures du soir, Hótel des
Ventes, 62 et 64, rue Victor Hugo.
Argent comptant
Requète des habiles a bériter.
Voir insertion p .rue le dimanebe 17 mat.
TV'.-it. — Les tableaux
seront vendus le
20 mai A deux heures et demie.
Etude de M«Albert POTEL. docteur en droit, huis¬
sier (successeur de JD CIIEVILLIARÜJ, 19, rue
Racine.
VENTE D'OBJETS
D'ART
a I'Hotel des Ventes.
Le Mercredi
20 Mai courant,
4 2 heures
du soir, 4 i'Hötei des ventes, rue Victor-Hugo,
64. il sera procédé è la vente aux encnères de :
Un trés beau bronze de Delabrière : « Cert
aux Ocoutes », de 0 m. 64 X0 m. 72, bronze patine
brune.
Deux trés beaux candfilabres en bronze, de
0 m 98 de hauteur, sujet bronze patine brune,
portant des torchères en bronze dorfi.
Au comptant
17.19 (80«4)
VILLE
VENTE
DU
PUBLIQUE
HAVRE
AUX
ENCHÈRE8
DE
VIBTJX
RAILS
Le vendredi
22 mai 1914, A OJX heures
du matin, an HAVRE, place ile l'Hötel-d<-Vilte,
en face le n» 27, el contre Ies grilles de l'Orangerie, il sera, par commissaire-priseur, procédé 4
la vente piib"que ouxencbères de :
Plusieurs lots de vieux rails de tramway.
Argent comptnnt
Requêle de M. le maire de la Ville du Havre.
19.21
COIflffllSSaiRES-PRISEURS
DUHAVRE
VENTE PÜBLIQDE
D'UNE
GRUE
A VAFEUR
de Rails, JVIanohes en töle, Lampes
a arc
Le vendredi
2 . mai 191». » deux heures ef
demie du soir, au Havre, QUAIRENAUD(angle du
quai de Noumea) .
Argent comptant
Requête de la Compagnie Générale TransatlaDtique.
NOTA. — Voir l'insertion parue Ic 13 mai.
19.21
AVISDIVERS
Les petites annonces AVXS
maximum six lignes sont tar/feas
DIVKH8
& fr. 5>Q
chaaue.
a
Cession de Fonds
1" Avis
Par acte s. s. p.. M" GUILHEM, demeuranl
141, boulevard de Gravilie. a Gravttie S onteHooorine, a vendu son Fonds d'ÉPICERIE-DËBITMERCERIE4 une personne y denommee dans
i'acte.
Prise de possession le 25 mai 1914.
Election de domicile au fonds vendu.
19 29 (8II6Z)
BOURSE DE PARIS du 18 Mai i9l4
an COMPTANT
au COMPTANT
an COMPTANT
Valeurs Diverse»
Valeurs Diverse»
6.
Prèeêl. 1. Side
1.fritM. i. c«an
«.PrteéJ. B.Ww
OBLIGATIONS
3SKTES
OBLIGATIONS
432 —
437 —
53975 641— Marseille
3 O/O Fraarals —
86 «5 86 75 Paris 18654 %
390 50
397 50
396— iMne Guelma
3973 o/o Amortissab.
- 18713 %
92 —
<73 30
374
—
10673 10675 Chemm Qelerécon.
54
399 —
ACTIONS
394
50
Est-Algerien
513514- 18734 %
423
3d
42.
—
313—
51i- Est 3 *0ancienne .
Banaus de France.. 4.635 4.650— - 18764 % ....
— nouveile.. 411 40 411 75
30630 3067a
— de Paris... 1.65 1 370— - 18922 )4
372
30
376 —
88 .0 86 30
— i H %••••
Compt. d'Esconipie 1.036 (.010 —
75
- 1894-902'54'" 30825 30975 P.-L.-M.fusion anc. 4ua 73 40a
890 395
Crédit Foiicier
— — nou. 401 75 *02 —
3450 85 30
54....
Crédit Lvonuais— 1.61'. i B'.a3
^
36b
—
365
—
360—
36u—
799— - 18982 %
Sociêtê Générale... 799
499 —
00 50 Nord 4 % tav./ioii. . .99 lOl—
905
DOu—. Est 500fr. p
— 54
4,7 —
— 3 % aueienue. 417 34050 33950
- 18993 %
1.230 i .239—
P.-L.-M
*14 75
414 60
9a2a
—
—
uouveile.
90
50
Midi500fr. t. p...- I 110 1.110 - 54
371 50
371
50
2
)4
%
38925 38a —
- 1904i 54
Nord 400fr. t. p... i.:05 1./ 98 79 IS Orléans 3 % ancien 417 50 *19 — '
SO - 1/5
Urièans 500fr. t. p. 1.303 1.309 4:.9 —
—
— 1884... 408 35 75 338- 19032 %
Ouest 300fr. t. p... 872
87(148952 % % 372 0 37 , —
87 13 8750
143
140— rransatlanuque....
— 54
4
2
50
113 —
33675 337— Ouest3 % ancieune
8'
7» - 1910t %
MessagenesMarit..
— — nouvelle 408 — 408 75
16716/720728
Méiaux
171
—
374
—
317368—
— 3K%
7*0—
Boléo
- 768
91 - Ouesl-Algèrieu3 % 40a — J98 —
9050
'4.
985 4 983—
- 64-:::::
Suez, actious
366
75
368
—
25750 .Wtricniens
2582.249 2.230 —
- 19123%
Suezipans
359 —
339 50
193- Nord-Espagne
18793 %. 493—
Suez(Sociétcciv.). . 3.6«6 3.624 — ^'•uciéres
437 —
88 73
—
1883s.lots 399— '40a— TramwaysO Franc. 4.J7 Russe 4 % consol.. 88
358
358 —
392—
Messageries.Vlarit..
392—
73
—
18832,60.
73 65
— 3 % 1891
32a —
326 75
88 25 Trausatlantique—
— 3 % 4896....
70
7t-7y
—
188554... S3 592
—
592
Suezonl*
5
%
4
0
408UK 65
—
18932,80,.
—
1906.... 1«!
430—
—
3 % 1" s. 43o — 431 —
450—
<-810
—
19033 %
_
1909....
97
405
—
406
bO
—
3
%
3*
s.
24950
— 19093 % 250—
1S67/69.
89 —
8a — bons de coup. 86 75
SS
88 80 Cemmuu.18792,60.. 44850 430—
— 4 % 1880....
81
20
81
50
Argentin
1897-1900..
— 18803 %. 493- 49a—
87 — * % 1889....
"6
86 50
So 83
— 18913 %. .15- 351— Brésil 5 % 1895
— 4 % 18902«3« 86
70 65
71 28
— 4 % Bés»....
— 18922,60.. 394— 390_ 4% 1893....
8" 10
87
84 —
82
50
Cape
Copper
393—
393—
18992,60..
Interieur 4 % 1894.. 91
165 —
166 —
— 19063 %. 45130 ■450- I'barsis
11159
Hi
Bons Panama
57 25
57 50
— 19123 %■ 238- 238- Goidliields
234 rrétilerie du Havre.
163 —
153 —
— 1912t. fsjt 243- 24»- Band Mines
Gompag. Havraise. 652— 630-
VaieursDiverges
_
2S 55
22 53 -
23 53
22 '.5
1 30 fi ft 9o
1 24
1 96
1 20
1 50
1 80
2 8
2.—
3 10
1 20
• 78
58
56
26
20
40
54
Slat
Ciöture
Présêdeate
JuiD-inillet 18 fr.; Plata 46/47 kilos, mai-juio 14 80,
Algêrie 47 kilos, mat 18 fr.; juin-juillet (8 fr.
La superficie enseroencée est inferieure è celle
de Fan passé de 19.' 80 hectares, «Ue esi de 3 mil¬
lions 979,420 bectaies ; la condition au 1" mai est
de 72 pour ies avoines d'hiver contre 69 en 1913
et celle des avoines de printemps de 73 contre 78.
REVUEC0MMERCIALE
1
Vaches .......
noires de Snéde disponible, 22 78; iuin-jutllet
23 28 ; avoines noires Libau-Russle disponible,
21 ; 4 mai, 21 25 ; avoines blanches Danube dis¬
ponible, t» 26, Pa<is.
Libau noire, embarquement maf, 17 1/8; juin*
Oq
soutenue
63 75 64 —
soutenus
r'
CHBMINS
DE FES
Ligne
GARES
f.e Havre
dep.
Gravilie-Sainte-Honorine
Slarüeur
'Roneiles
Demi-Lieuo(a)
Aloiitiviiiicrs
ïpouville
Uolleville
furrctot-Gonncvilie
(iriquetot-PEsneval
llicrainville
Xioderville
Les W».
FécaroP
FécampSaint-Ouen..
[dep.
Idfp'.
Colleville
Havre, ie 18 Mai.
cafés.
— Les cours du lerme accusatent,
è trois heures et quart, una baisse générale de
23 centimes sur üam.-di.
On a coté en dispomnle i
SÜCKJto
Paris, 16 mai.
blés.— Nous avons eu de nomhrrux renseignemenlsla semaine dt-rnifire : le cbiffre de nos imfioriations pendant le mois d'avril, les résuitats de
'enquete offie» lie sur les ensemencemenis et la
54 50 54 5< ( 8 75 (5875 15876
66 66 Mai .
65 59 - 159- •59— condition de- bles en terre, enfin la publication
66 50 66 5' 46 Juin .
Julllet 67 - 67 - 45 50 55 5« •69 25 1592 16925 d'une enquête particulière.
Les importalions pendant Ie mois d'avril onl
aoUt . 67 - or - 55 75 55 7 (9 78 15976 15975
Sept . . 67 50 67 50 56 — 86 - 60 25 -16025 (6025 été de 1,073.488qoinlaux contre 1,567,614en avril
*6 50 66 5' 60 75 1601- 1<0 75 1913 Depuis le debut de la campagne, soit ie !"
68 Octobre 68
Nov. .. 68 50 68 68 56 75 56 7 61 25 (612, (6125 aoüt 1913,ie tot»l a fin avril est 10,649,267 quin61 75 16175 16175
57 68 50 68 56 '•7 Dec
Janv... 68 50 68 ti¬ 57 25 57 24 61 - 162- (62— taux contre 6,383,711en 1912-11.
Fév— 68 50 es 51' 57 50 57 5t 61 162- 162— Les quantitfis sur ïerritoire frorgais ml58 — 58 - ■62- <61— 162—
ses a la disposition de la consommaMars... 69 - 69
(62 25 16225 16123
Avril...
""" ——
tion depuis le i" aoüt (quantitfis en
entrepots comprises) sont done de... 10.693.678
Le minisière de l'anriculture vient de fournir
Cours
a Terme
de* Cotona
le dfiiail par région des ensemet cements. Ce ta¬
bleau
inaique clairf ment que ta region du Nord
Publiit par la Caisse de Liquutatien
et celle du Nord-Est ont subi une forte diminution.
Si nous nous reporions aux conditionn menls
Matin f Soir
Précéd.
MOIS
donnés les mois prêcédenls par les professeurs
déparlementaux a'agricuiture, nous sommes ame87 % X 88 £PV F8 % A nés è constater qu'après avoir débutfi dans de
mauvaises conditions, la végéiaiion s'est amélioX
*6 % A 87 4, PV 87
rêe en février. Elle a ensuite reperdu quelques
87
PV
80 y* PA 87 /, PX
8i '6/
V 85 X(P" *5 %PA points en mars, se retrouvant presque 8 figaiité
AoOt
82 % A 83 /, PA 83 54 A avant l'an passé, et au 1" mai, l'état d'inferioiitfi
7» 7/s A «0 ii X 81 — X par rapport a 4913. surtout 4 cause des blés de
Octobre
78
X 79 ^ PV 79 d4PA printemps, s'est encore accentné.
Novembro
Üne autre question était relative 6 l'importance
78 PV 70 -PV 79 X A
Décembre
78
X 78 % PA 79 —PA des existences en culture et en comm ree vers le
Jsnvier
78 V,PV 78 14 * 79 — X 28 avril. La moyenne des existences en culture
Février.,
77 %PV 78 &PV 79 —PV et en commerce des neuf régioos rfiunies est
77 %PV 78 « V 79 — X d'environ 19 0/0, soit a la ba«e de 113 millions
Avril
d'hcctolitres ichiffre offleiei), 21,63«,300 hectoli¬
tres. It re-terait en ui- unerie et en boiilangerie
des réserves pour 44 jours, soit 13,200.000 hecto¬
BULLETIN
DES HALLES
litres. H convient d'y ajouter les stocks invisi¬
bles, difficilement contröiables, et. de plus, ies
MERGURIALES
quantitesde blés exotiques en magasins, dans les
ports, les gares, les usines, ou fkittant par peniches, ainsi que celles altendues en mer et celles
HAVRE (MarchS Notre-Dsme) te 17 mai.
déja achelées ou qui seront achetées en livrable,
C2MT6ies Liqumet
pour juger si nous pouvons passer sans a coup
les quatre mois qui nous séparenl du moment de
Pomrass de terra :
Nouvelles de Bret8gne..te« "Hi kit 28 — 30 — Ia mise en oeuvre de ia future récolte.
En ce qui coocerne la future récolte, volei le
3
Oignons
lesöj&oltes 2 50
5 — résuitai de IVnquêie: « Les blés d'auiomneavaient
Garottes
•
4—
été en parlie bien fails, maïs l'biver rude en a
alieint un certain nombre. Les bies d'arrière saison, 6 peine sortis au moment des grands froids,
RNARGHÉ3 AUX BESTIAUX
auraient moins soufferts ; quant aux blés de mars.
on a dü en faire moins que l'année derniére Les
VH.ua
nu
HAVRE
champs retournés ont plulöi été repris en avoines.
orges et menus grains. Les plaintes jusqu's prése»t, viennent suriout du grand rayon Nord ei
18 Mai 1934
Est de Paris, ainsi que des rógions oü les campnHE IS 11461.
gnols ont détruit quelques-unes des premières
VENDUS
il
sU
semences : en Poitou, Charentes, Champagne.
g 11(16*(tlU ill »l.
IS
Le SoissoDnais, le Vexin la Normaodie onl une
SSPKGBS
CJg
assez bonne apparence. Ea Brie, la Besuce sont
40A1.it*
un
peil meiileures, Seine-e-t-Oise, Eure, aspect
90
— 1' 2» I* douteux.
Note jaiouse en Bretagne, dans l'Ouest,
oü l'on réclame de la cha eur La Vienne, le Cen¬
85 » 75
21 1 93
407
Frff-00
tre, Ie Loir-e -Cher, la Touraine donnent une bon
85
75 ' HE
fifi
14
81
Vac:lies....
i 65 1 65 » — ne note. L'Indre faiblit depuis quelques jours. Le
.8
8
taureaas.
Sud-Ouest est m«yen ; Ie Sud Est beau, mais en
13 2 50 2 40 2 30
52
70
V«aux
Vaucluse. la sécheresse fatigue les blés.
48
206
Bourgogne, Jura, Yonne, Loire!, bonne appa
Totsax....
rence üVcsemob', sau' comme par'out dans les
PRIX MOYENS DES CATEGORIES
lerres trop longtemps noyêes; dans les vallées
Basés sur le marchè du Havre de ce 4our
les plans sont jannes efmanquent de vigueur. La
note générale est pour un plant clair, pa3 d'berBceurs
Cbsval (sacs os)
bes. Ea résumé, l'hiver aura t fait moin3 de mal
Aloyau
1 70
Cötes lines, Queues,
que les pluies persistantes de février-nwrs.
1—
Noix, Nache
2 30 Filet
avoines.— La levfie des avoines est trés satis
70
Bas-cötes, Epauies... 2 — fieeftaeck. .........
60 faisanteet les pluies que nous venönsd'avoir ont
Ceu,foitrmo, Ventre,
0 30 fait grand bien. II y a bien quelques plaintes lo¬
Jambes............
1 65 Le reste
cales, la note générale est bonne.
Le maire, vsussé. atLjiini
Quant «ux oifres, elles sont peu importanles sur
les marchés. On voit des avoines noires dans le
PARIS (La-¥U!eltei,lundi 18mai
Gmtre, des bi nches dans le Nwril ei quelques
tots en Bretagne, tandis qu'en Brie et en Beauce,
Puik
Amenès Vecdus des poids vife
on ne rencontre aueun lot d'avoincs grises. Öo
B8ÏTIAOX
continue é acbeter des avoines étrangères.
A notre marché hebdomadaire, tt y avait peu
2 340
0.63 fi ft 18
S 355
d'avoines noires et pas mal de blanches, surtoui
1.150
1 175
0.62
1.18
Vaches.
des ligowos. Quant aux grises, elles restent aussi
370
0.60
0 82
3*6
S'aureaux
rares.
1 800
1.—
1 68
1 859
Ye&ux
En disponible, les grises de Beauce on qualité
1—
186
15 0*0
15 931
équivalente vaieni 22 23 è 22 30 ; des avoines
0
84
1
24
4
890
4
8è0
forc» gras
noires de 2? 4 22 f,0 et les blanches de 19 a 20 80
suivant provenance; le tout rendu Paris.
QOALITSS
l" Qtê 2* Qtê b Qtê Prix extréme
Les avoines ètrangeres sont fermes. On cot" :
avoines noires Iriande disponible, 21 fr.; avoines
"
CRÉDIT
DU
HORD
Exiaez la Marque : BANYULS
-TRILLES
41 25
41 - 4) 25 32 75 41 50 41 75 41 50 «1 75 33 _ „
Tcndance. soutenue
^
Seydisfjord, 15 mai. — Le chalutier Paris (de
Boulogne), est arrivfi ici aujourd'hui avec 1,000 qtx
de morues.
On signale du mauvais temps et Ia pêche est
mauvaise partout.
Louisburg, 15 mai.— Sont arrivés iel : L.-U.-B.
(de Saint-Pierre), Berthe de Paimpol) et Herald
Ide Saint-Pierre), venant de la pfiehe.
aotnra
PrêeMente
Courant..
Prochain.
» de Ma'
Juil -Aoüt
4 /lemlm*
3 dOctob
4 d'Octot
4 premi r
^m-$e&rters it
A
M Julien PETITet ses Enfants,
M. Louis PETIT,
lil"" Mr C/ilLLAHD et ses Enfants,
M" BRESSON,
Ses o- e s lanies . cousins et cousines ;
Les Families DESCLÊYES, DANIEL, BEHR-LECHEVALLiEH, F0LI0T LECHEYALL1EB, LEMASSON.
SPliUTUBUX
HOIS
5
mm
Gareon : UN TRI LLES I
ElAX CIVILDU HAVRE
/)« IS mai. — Monique, NEVEUR, caserne dp*
D ,11p. s, N' lly HUE, rue de l'Aima, 49 ; Raymond
BHUNET, rue du GénéraUde-Lesaile, lt'; Léon
CHAZaLY, rue du Perrey, 45 ; Pierre LEHMAN,
pi»ee de l'tlö e -de Villo, I.
Le Petit Havre — Mardl10 jMaitOl*
ValmoDt
Ourviile
Grain vüle-Ia-leinturière
Ca,,y
•■»."' idfp:
Saint-Vaast-fiosville.
.
Huberviiie
St-P.-le-Viger-Foatalne-Ie-Cu».
Luneray
Gncures-Braeiiy
Suvilte-ia-liivier»
fTranviile
Petit-Appcville
Dieppo...
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13 46
12 52
13 55
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14 24
14 3',
14 43
14 56
15 3
15 17
15 18
45 36
15 45
DE L'ET AT (Serviced'Hiver modifié au 12 Avril 1914'.
dn
1.2.3
Havre
1.2.3
1 2 3
16 20 18 3(
16 85 18 41
16 30 48 46
18 50
18 54
16 36 18 55
46 42 49 3
46 50 49 11
46 58 •19 19
47 6 19 25
47 42 19 38
47 49 19 44
47 27 19 42
47 30
47 43
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48 34
18 41
18 49
18 54
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49 53
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——
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14 27
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14 44
14 as
13 3
43 9
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13 23
16 25
16 35
16 44
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17 1
17 10
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17 29
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A Ilioppe
1.2-3
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20 47
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Fécamp
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Odranville
OuvïlIe-la-Uiviéra..........
Guenres-Brachy
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St-P.-Ie-Vigei'-Font-!c-Dun.
.
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Suiut-Vaast- liosville .. " larr.
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Cany........
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Grainville-la-Teintnriére....
Ourviile
Valmont
Colleville
Fêcamp-Saint-üuen
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Fécamp
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*Jdép.
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Les ITs
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Turretot-Gonnevilie
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Ejxmvlile
53
(par
MomiviiEiers
Demi-Lieae(8/
Rougiies
Hartleur
Graviile-Sainte-Honorine.. .
Le Havre.
Cany)
123
5
5 14
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5 48
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6 7
6 18
6 28
6 39
6 42
6 49
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7 20
7 26
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1»
8.14
1.2.3 1.2.31.2.31 2 3 1.2.3
1741
8 14 1042 14 15
17 17
8 20 10 49 14 21
1755
8 28 10 58 14 30
18
8 40 H 10 14 42
1814
8 47 11 23 14 49
H8 21
8 54 11 31 14 67
1829
9 3 11 41 15
9 13 11 51 16 16
9 24 12 1 Ï3
9 27 12-2315 38
9 38 1234 1549
9 41 1237 1552
9 48 12 43 15 59
9 57 1251 16 8
(0 6 13 » 16 17
10 13 13 7 1624
10 19 13 16 16 30
10 24 1321 16 35
10 36 1344 17 10
10 49 1357 17 23
10 58 1359 1754 20 43
11 7 14 8 18 3 20 52
11 13 14 14 18 9 20 58
11 20 1421 1816 21 5
11 28 1428 1821 21 (3
1143 1-4
37 18 30 21 23
11 49 14 44 18 35 21 28
1159 1450 184o 21 34
12 2 1454 1844 21 38
12 6 1467 1847 21 41
12 10 15 1 185121 45
1866(2150
12 14
1320 15 12J19 ijSlI
1.2.3
1939
1945
1953
20 5
20 12
20 23
20 32
20 42
20 53
20 55
21 6
21 9
21 15
21 26
21 36
21 40
21 46
21 52
22 3
22 19
22 22
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T3» FH» Ttavrw _
Mardl19 Mal 1914
DENTIN
FABRIOUES
DE
FRANCE NAPHTALINE
LEMERCIE
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MESDAMES,
vet-,
Si VOUB tenez & vos Fonrrure»,
etc...,
n'amployez
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Vëtements
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msm mm MOTET, oentiste
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le
POURDAMES
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DA J
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TBAJISPAR1ITS
"""""
1/2 manches.
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jarretières,
mercerise.
~ as.
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coton,
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CHEMISES
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blanche et chair.
on
OU
zêphyr fantaisie.
Toutes tailles
zéphyr fantaisie,
CHEMISES
coton, rayées
CHAISSETTES
ou unies.
*T»J
fll ou
| r*rr
et I DO
3 90
AUCUNE
Four
Hommes
DOULEUR
NE
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Jeunes
Oens
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: 3 FR.
Cession
I>'
de l'Hótel-de-Ville,
de Fonds
Le Havre
QUEFAIRE
?
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lePhonographe
Voir
laMtitsi
R.PALIER
Cession de Fonds
i
%" Avis
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Mlh Jeanne Fournler
a vendu a M,u Mathilde
Engel ie Fonds de Commerce de Papeterie, Jour.
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68, rue du Cbamp-de-Foire,
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1" juin 1914.
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k Montivllliers, Saint-Romain, Lillebonne, Gonnevlllj
NOTA.—Les »rix du Blés'anteadent par 400kilos
Pavilly,
Dociair ; par 200kilos : Bolbec,Griquatot Facain»
Goderviil-.,Yvetot, Yerville, Doudevillc.Oacqueviile,
Fenville. Candebec Cany. va-mout. Samt-Valery.
Imprime sur macnines roiaüyes ae ia Maison DERRIEY i4. 6 ei 8 pas^esi
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