Transcript mLoesle - Archives Municipales de la ville du Havre

Sr Annéc
~ Pi*
13,921
(4 Pages)
10Ceitfats— EDITION
DDMATIN
— 10Onlimrs
Adaiai»tf
ateof• Déiéfoé- Cétot
O.
RANDOLET
Mulnislraüon,
Expressions
etAnnonces,
TÊL.
10.il
35, Rue Fonteaelle,
35
AdreeseTélégraphique
: RA2TD0LET
Sam
AU HAVRE. .77
Borea.u du Journal, 110, bouli de Straassurc.
I L'AuiSNOE HAYAS, 8, place de la Bourse, est
A PARIS......"..
j aeule chargée de recevoir les Annonces pour
( le Journal.
LaPETITHAVRE
ast dislgnt pour lat Annoneasjuiiclttlrcs a) iigalet
ORGANE RÉPUBLICAIN
PK
avre
DÉMOCRATIQUE
Le plus fort Tirage des Journaux de Ia Région
La(Mindes
Changes
eilaPelpeGénérale
Avecla livre sterling an-dessus de 37 francs et le dollar a
prés de 9 francs, le problèmedu
change devient véritablement
aiga ; il devient également un problème
<[uinousprend étla gorgeet dont personne
wepeut plus se désinléresser ; avant la
guerre, quand les variations du franc ue
portaient que sur queiques centimes,
c'était affaire de «cambistes» ou d'aarbitragistes » ; maismaintenante'est la for¬
tune, c'est ia vie matérielle de tous les
(Francais,mêmeles plus modestes, qui se
joue dansces cotesqui naguère nous eussent paru invraisemblables.
Le monde des affaires (nousvoudrions
pouvoirdire : le mondepolitique) s'en inquiète commeit convient. II faut que le
grand public, il faut que l'électeur, dont
le vote,dansqueiquessemaines,va orienter Ia politique du pays, se rende bien
comptcquela depreciationdu franc est le
signe d'un déséquilibrequi ne durerait pas
sans ruiner le pays.
Lesélémentsde la questionsant du reste
parfaitement clairs et il est difficiled'en
rien dire qui n'ait été cent foisdit et redit.
Avant1911, bienque nos exportationsfussent moindresque nos importations, notre
balancedescomptes étail cependantfavo¬
rable : nous étions créditeurs partout, dé¬
biteurs nulle part.Nosplacementsa l'étranger, les dépensesconsidérablesdes touristes venusdu dehors faisaient aisément la
différenee. Nous étions dans la situation
d'un vieux pays, assez peu tourné saas
doute vers I'extérieur,mais auquel son im¬
mense acquit assurait un équilibre écono«niqueadmirable.Le franc, monnaie hors
pair, avait pigncnsur rue, était indiscuté,
et nousappehons « tendu » ua change de
25 40sur Londres.
Cette situation n'apparlient plus qu'a
l'histoire, et notre générationne la reverra
sans doute pas. {/invasion,dès aoüt 1914,
a tari la production de nos départements
du Nord, section industrielle par excel¬
lence de notre pays.En même temps, par
tin effortadmirable,ce qui restait de l'mdustrie franchisese tournait presqueentièrement vers la productionde guerre. De ce
double fait nos exportations devenaient
spratiquementimpossibles,et en ©fi©t
©u«c
s'effondraient.Par une répercussion logique et inévitable nos importations s'enllaient démesurément: il fallait équiper et
jriourrirnotrearmée; il fallait, hélas, remplacer par des importationsles productions
que notre industrie, envahie, détruite ou
"détournéede sonactivité normale,ne fournissait plus. Dcpuis I'hiver 1914-1915,la
France a cessé de vivre sur son propre
fondset, d'une faconsans cessecroissante,
a dépendu do l'étranger. Par une pentc,
qui a rapidement pris l'aspect d'une paroi
de précipice,noussommes ainsi arrivés &
ces chiffresdecommerceextérieur del918,
que les genssensésne considèrentpas sans
<effroi: vingt milliards d'importations,
quatre milliardsd'exportations.
Avecune pareille balance commerciale
commentslétonnerde la chute de notre
change? Elle se serait produiteplus tót si,
pendant la guerre, nous n'avions éte soulenus financièrement par nos Alliés. Et
clle risque de s'accentuer,ou au moinsde
(4 Pages)
tudi 2! Sepiembre
1919
REDACTEUR
*.-J. CASPAR - JORDAN
Télóphono
Hédaotion,35, rue Fontenelle.Tél.7.60
ABONNEMENTS
Taois Mom Six Mob
On All
X.S Havre, la Seme-Inférieure, l'Eure, t Ft.
*3 Fr.
FA
l'OUe et la Somme
Autre» Département»
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Union Postale
13
Fr. 15
Onfabanna également,SAHSFftAIS, den*tousles Bursbox da Potte da Franoo
I
Un Exposé de M. P. Doumer
La Gommissionsónatoriale de l'armée a decide,
il y e queiques semaines, d'entreprendre l'étnde
de la reorganisation de l'arméo.
M. Paul Doumer vient de lui présenter comme
base de cette étude, un rapport au uoin des souscommissions de l'armement et des cffectifs.
II présente le tableau de l'armée fningaiso e«
1914 sur le pied do paix et telle qu'elle est en¬
tree en guerre, avec ses 70 divisions d'infanterie, 10 divisions do cavalerie, 1,700,000 hommes,
850,000 cheraux.
Sur Ie pied de paix, l'armée du service de
trois ans, qui était celle do 1914, coraptait, cn
nonibre rond, 750,000 hommes.
Get effcctilse divisait ert deux parties :
Trois classes du contingent annuel. . 600.000
Partie permanente do l'arméo: sous¬
officiers et soldats francais engages et
rengagós, troupes coloniales stationnant en Franco, volontaires indigènes
de l'Afrique du Nord et volontaires
ctranger3
150.000
t 14.SO
Seorétair»Général: TE. VALLÉS
Le
Présïden!
delaRépsÈlipe
UBtorguisitin
isrArmis
Dernière »b mb Heure
exportons plus ». Importer moins, c'est
faire une politique d'cconomie, c'est admettre résoiumentqu'il faut se restreindre,
c'est accepter,aprèsavoir faitIa guerre, de
JL'EST
la payer. Exporterplus, cela ne peut se
faire qu'en produisantplus. Actueliei..ent,
quand on montre & nos industriels les
Longwyregoit la Lègiond'Honneur
marchés du monde qui les attendentet
La municipalité do Briey et les habitants ont
oü ils seraient sürs defructueusesréeoltes,
c'est souventavecune sorte d'ironiquc pi- fait une chaleureuse reception au président do la
qui leur a rendu visite hier.
tié qu'ils vous répondent : « Exporter ? République
A 9 heures, M. Foincaré a été recu par M. Le¬
Mais je n'arrive même pas a servir mes brun.
clients francais! » Gen'est pas ainsique la
II se rend en auto sur la place de la Mairie. Le
France se relèvera. Prodnire plus pour ex¬ ïnaire lui souhaite la bienrenue.
porter plus, ce doit être pour nous comme M. Poincaré répond en disant que les barriè¬
un leitmotiv.
res sont iombées et que les populations vont
On connait, dans nos yieux opéras-co- pouvoir travailler ea paix.
miques, ces figurantsqui ehantent « Mar- II repart pour passer par Audin-Ie-Romain, II
ne sort pas de la gare mais est acclamé par la
chons» sans bouger.II ne faudrait pas ré¬ population.
péter « Produisons » sans produire. La 11gagne ensuite Loaguyon. U parcourt les
productiondépendè la fois de conditions ruines.
flnancières,commercialeset sociales. FiDansua discours, ilrappello Fincendiededeux
nancières, car si nous continuonsè absor¬ cents maisous et il dit que l'Allemagne dovra
ber nous-mêmesnotre production en me- fournir les documents qui permettront de juger
nant une vie trop large, Fexportation est les coupables.
applaudit le président qui promet que jus¬
impossible.Commerciales,parce que nous ticeOnsera
faite.
n'atteindronsla clientèle mondiale que si
II
reprend
le train et gagne Longwy.
nousrétormonsdesméthodesd'avant-gacrre
qui ne nousavaientpas conduitsau succès.
L'Arrivêea Longwy
Autrefoisnous pouvions vivre sans expor¬
M.
Poincaré
arrive a 14 heures a Longwy. II
ter beaucoup,maintenantnous ne le pou¬
vonsplus. Socialesenfin, parce que la pro¬ est saluó a sa descente du train par M.Perignon,
de Longwy, lo général Boulanger, com¬
duction ne sera vraiment intense que si ïnaire
la subdivision et la delegation luxernl'ouvrier s'y associé,et qu'il nes'y associe- mandant
bourgeoise.
ra de boncoeurque s'il se sent "traité en
La ville haute a été complètement détruite lors
collaborateur,loyalementrétribué du con¬ de la resistance-héroique do la ville.
cours qu'il apporte.Geux qui rêvent d'une
Le cortege présidentiel eu voitures automobi¬
organisationde la production oh la disci¬ les parait devant lo cimetière. Le président de
pline nécessaireau succèsserait seulement la République, téte nue sous la pluie, passé au
imposéeet non pas consentie n'ont qu'une milieu des tombes et dépose une palmo au pied
du monument élevé en 1912 par lo Souvenir
vue étroite des choses et ne travaillent pas Francais
aux morts des trois sièg'es.
pour i'avenir.
Le cortege présidentiel gagne los ruines de
Voilaen quoi la question des changes, Longwy
haut. Jjn tra verso une double enceinte,
si pressante, si angoissante, nous parait on franchit les ponts-lovis et tout a coup c'est
liée dc trés prés 4 la question politique. un décor effrayant qui se présente aux yeux :
Dans 1'ceuvrede reconstruction qui s'im- squelettes do maisous consumes par l'incendie,
posede fac-onsi urgente, il n'y a pas de ócrasés par les obus, ruines granaioses de l'églicloisonétancheet ce serait le cas de re- se et de l'Hötcl de Ville. C'est dans cos lieux sinistres qu'est dressée la tribune d'oü Ie prési¬
placer la vieille formule — todjours vraie dent
la République fit Ie récit poignant de la
— du baronLouis : Faites-moi de bonne lutte de
soutenue par la garnison de Longwy.
politiqueet je vousferai de bonnes finan¬ En remettant la croix de la Légion d'honneur
ces.
a la ville, M. Poincaré rappelle, phases par pha¬
EN CHEF
LesTravauxa l'ArseiialdeLorient
m Loesle
Kégien d'Honnenr
M.RrniöPeschard,du Havre, sous-lieutenanta(|
It" regimentd'artillerio de campagne, quatro fois
cite a l'ordro et tué 4 l'ounomiio 4 septembre1018,
vlont d'etre porté au tableaude ia Légiond'horuiour
comme chevalier.
II est le fils do M.Peschard,chef de service 4 fa
CompagnioGénéraleTransatlanliquoet de Madame,
professeura I'Ecoleprtique de commerce et d'in¬
dustrie de jeunes lilies du Havre, ct lo neveu <1«
M.et MmoGosselin,instituteurs a Moltevifie.
Lorient,2/ septembra.— It y a cinq ans, le port
de Lorient lancait le cuirassé Guecognedont l'aelièvoment était laisséen suspendon attendant una décision a intervenir Ason suiet.
L'ai'senalprepare I'envoide la Gascogne4 Quiberon oü so trouve le cuirassé Normandieet le paquebot Paris. On envisagela constructiondans lesports
do Brest ot de Lorient de six paquebotsdo 140
mfttresde longdestinés a la lignedo flndo-Chine.
Médaille
Ylilitafire
Lorient,21 septembre.—U.Nail,gardedes sceaux,
La
médaille
militaire
et la croix do guorrè
est arrive a Lorientce matin.
Lo commissairede la marine marchandoest venu avec palme ont été conferees au soldat de ir®
se rendre corapte do l'état du port de pCcboct des classe de réserve, Julien Ouin, de la 1™compa¬
gnie du 74erégiment d'infantcrie, avec la men¬
oonstructionsneuves de l'arsenat.
tion suivanto :
bravoure et d'un courageatt-dessus
NosMinistres
visitentl'Eseaut doSoldatd'une
tout éloge.A été trés grièvementhiessélo22aoftt
1914oil
se
portant
4 l'assaut d'un village oceiipé
Anoers,21septsmbre.— Cematin, sont arrive's k
Anvers MM.Claveillo, Noulenset Loucheur,minis¬ par l'ormemimalgré un feu do mousquoloriointense.
M. Ouin, est jardiuier chez Mme Kerdyck, 79,
tres franc-ais,accompagnés do MM.Vilgraïn, soussecrétaired'Elat, et Bérangor.
ruc
Félix-Faure, au Havre.
Au total
750.000
La missionfranpaisoa élé rcpuek l'Hóteldo Villa
Si l'on conserve les 150,000 hommes dc la par l'échevin du commerce.
C'ilationgi & I'Ordre du «fout*
Après les souhaits de bienvenuoet la vfsitode
pai'tie permanente de l'armée, le service mili¬
municipal,les ministres se sont ombarqués
taire obligatoirepeut être sans danger réduit a l'édifice
De la Division :
a bord d un torpiliour et ont visité l'Eseaut ot les
un an.
installationsmarilimes.
Lo soldat Eugèno Hébert, cluiron a la ire com
L'armée réorganisée aurait done pour base le
Las ministres francais se sont déclaréssatisiaits
du 105 régiment do tirailleurs- algériens
service militaire obligatoire et égal pour tou9, de leur visite ct ont pris un vif intérêt a l'aménage- apaguie
ctó cité a l'ordre do la division daas les tor
comme aujourd'hui, mais réduit a une année ment du port d'Anvi-rs.
mes
suivants
:
Après Ie déjeuner, les hötes francaisont visité le
sauiement. L'armée, daus la paix, se trouverait
musée
des
beaux-artset
Ie
muséo
d'Antin.
Agentde
liaison
d'un courage exemplaire. S'est
ainsi formée :
M.Loucheura prononcé un discours k Bruxelles, dépensésans compter pendant les operations offen¬
Contingent annuel
200.000 disant que pour améliorer ia situation généraleii sives du 20 au 28 juiliet 1918, s'offranl toujours
Partie permanente (formée par les
convenait d'ouvrir des credits d'Etat a Etat.
commevolontairepour porter les ordros dans les
Au sujet de la fourniture do charbon, il a dit que momentsles plus difticilos.
engagementset les rengagements} . . . 150.000
la Franco était disposéea fournir des houillesgrasLo même soldat a été l'objet do la citation cïallemandes a la Belgiquoen écbangode char- après
Total, sur le pied de paix. . . . 350.000 sos
a l'ordro du régiment :
bons beiges.
L'organisation territoriale en regions de corps
Excellent tirailleur, toujours volontaire pour IeS
missionspérilleuses. Blessélo 6 septembra 1918 a
d'armée, qui a fait ses preuves a la mobilisation,
serait maiutenuo. Maisles corps d'armée de Fia- Le Congrès du Parti Radical son poste de combat.
térieur seraient réduits a une division daas la
Le soldat Hébert est domicilie a Sauvic, rua
Parts, 21 septsmbre. — Aujourd'huis'est ouvert Césaire-Oursel, 65.
paix et formoraient une division de réserve en
lo
16'
Congresdu
Parti
radical.
La
séance
de
ce
cas de guerre. L'encadrement dc la division de matin a éte de pure forme. Le Congrès nommera
Du Régiment:
réserve serait fortemont organise.
probablementM.Herriot,président.UneCommission
Les trois corps d'armée de la frontiére dol'Est, de verificationdes pouvoirs a été nominee.
Lo soldat Marcel Delamer, motocycliste au
dont Fun serait porté en Alsaee, le corps d'ar¬
La séancede 1'après-midi s'ouvre 4 3 heures. M. 87" régiment d'artillerio lourde, a obtenu la cita¬
mée colonial stationné eu Franco et les corps Renavd, député de la Nièvre,présido. It lit un téié- tion suivanto a l'ordre du régiment :
d'armée du Nord de l'Afrique (le 19»corps actuel rauune de M.Herriot, puis il passe en revue les
venementsactuelsextérieurs ct intérieurs et définit
Motocyclisteintelligentet trés dévouó. A toujours
serait dédoublé), — ces corps auraiönt chacuu,
oxéeutélos missions4 lui confiëes dans des cirdans la paix, deux divisions actives, dont l'une les travaux du Congres.
M.Bonnet,présidentdo
la
Fédération
de
la
Seine,
eonstaneesfrequommentpérilleuses,notammentles
ses, le début de la guerre, Ie siège supportó par serait detachéo sur lo Rliin pour former l'armée
réelameuno prompte execution de la Socióté des 8 et 9 juin 1918.
la place, les dóvastations et los horreurs accom¬ d'occupation.
Nations dont il demande l'augmentation dos pou¬ M. Delamer est domicilié a Sanvlc, ruc Leplice par los Allemands qui semblaient vouloir
L'armée
ainsi
eonstituce,
si
elle
devait
laire
Au point de vue du suffrageunivcrsol il dit
Fiume a un mois de vivres se vonger de la hello resistance que la place op- face a un péril et se mobiliscr sur lo pied de voirs.
que l'offort de la Républiquedépendde l'issuo du Demandé, 12.
posa dans les premiers jours do la guerre, et guerre, comprondrait :
grand combatqui va so livrer prochainoment.
M. René Renart, soldat do réserve au 33s ré¬
L'orateur ne dissimulepas que les socialistesuni¬
Le gouvernement a fait jeter sur Fiume, par comment celle-ci opéra sa rcddition. M. Poin¬
23 corps d'armée a 2 divisions. ..
920.000 fies menacentles liberies publiqueset la République giment d'infantcrie, a fait l'objet do la rJto«—
caré
ajoute
:
des avions, des feuilies contenaut la sommafion
4 divisions de cavalerie
20.000 elle-mcmeen rofusant de contracter uqgt ]i/myyo suivante a l'ordro du r-Ar.i
« Cettc terrible guerre a fait bien des vicllmes
aux soklats dc rentrer dans leurs garnisons.
FusiRermitrailleur bravo et dóvoué. Le lo lumet
Elements de cavalerie.
30» ooo ifi8ftóft/ia"(lrc£arufé"ét
la doctrine de Lónine.
parmi
les
enfants
dc
toutes
les
provinces
franfitJfla»éi^neö'")tir,q«fdr»vizu3inet
"o^iïïseüieöi110 sEs
D'Annunzio a répondu par un nouvel ordre Uuv. v.
u»i« iuugiKiu(JS sur »e ïujvs cijuur
eu cintrres
«. onn ©en séparéraenf."
ilu jout'
t\ ova-. 'dfffUiUS) Ij 1111 Uppuflo « ff filCS
,
munitions.
des comrc-cöups financiers et économiques.mais
compagnons•ponela vie et pour la mort, jcunes- en ce qui concerne les départements envahis
La
reunion
de
Commissionla
plus
mouvementee
Emmenéprisonnier,
s'est
évade
lo 5 novombr»
L'armée territoriale subsistérait, aussi longcellede la tactique et do la propagande.
1918et a réussi a rentrer dans nos ligncs lo 9 nose incorruptible do l'Italic. »
qui ont partagé les soutïrances communes temps au moins que l'organisation de la paix estDansun
discours véhémont, M.Franlclin-Bouillon,
Dans eet ordre du jour, il dit notamment :
etsubide3 tortures quo n'ont pas connu les dans le monde, que l'on poursuit el_ qu'il faut député de Seine-et-Oise,s'éiévecontre le systèmodu vembre 1918.
M. Renart est domicilié 55, rue de Zurich, aa
c Ce n'est pas nous les déserteurs : ce sont autres regions, c'est un devoir national do réaliscr, ne serait pas un fait accompli.
jouvornemcntavec lcquel on aurait des elections
M. Paul Doumer, en torminant son exposé a jrusquées.
Havre.
ceux qui ont abandonnó Fiume, qui la ropous- voiller a co qu'une pai'tie de Ia France que
M.Franklin-Bonillondéposela motion sulvante :
sent et Lacalomnient, se rendant ainsi coupables l'enuemi foula et ravagca, soit/lc plus rapidement la Commission sónatoriale, a montré que la
M. Eugèno Mallet, soldat do réserve du 329*
du crime de lèse-patrie. Ces gens-la no sont pas possible readuo habitable et apte a la culture et reorganisation de l'armée comportait trois lois
e Le Congrèsrésolu do faire procéder 4 une con¬
principals : loi de recrutemont, loi d'organisa- sultation electorate aussi rapido que possible du régiment d'infantcrie, a été l'objet de la citation,
moins ignobles que les lugitifs de Caporetto, a l'industrie.
«C'est avee Fespoir do cetto prompte resurrec¬ tion, loi dos cadres, qu'il y avait lieu de prépa¬ suffrageuuiversel, en toute clartc ct en touto loyau- suivanto a l'ordre du régiment :
qu'ils ont amnisties.
rer d'entente avee l'admiuistration militaire.
Excellentsoldat.Déjablesséla 29 aoftt 1914 ea
té, demando4 ses élus :
» La vraio armée italienne est ici, formée per tion que jo remets a la ville de Longwy, au
devoir. En décembre1916,
nom du 'gouvernement do la République, la
1' Deréclamer le rétablissement immédiat des faisantvaillammentson
vous, combattants sans tacho et sans peur. »
s'est a nouveau distinguéen portant sccours 4 ua,
croix do la Légion d'honneur. »
liberies publiques.
Le Popoio d'Italia croit savoir que d'Annunzio
a V Den'acceptovpour la date des diverses elec¬ de ses camaradesensevelis.
Lorsquo M. Poincaré remet a Ia villo de
A la CliambreLnxembourgeoise tions
a adressé une lcttre au roi.
que l'ordre naturel dans lequet les pouvoirs
Co brave soldat est employé chez M. Huttcr et)
Longwy Ia croix de la Légion d'honneur, la foulo
des diverses assembles ont expire, e'est-a-dire: estmembre de la Socióté des Sauvelours-Ambu¬
Par ordre do d'Annunzio, le Popoio d'Italia manifeste alors toute sa joie, tout son enthou¬
ólections municipales d'abord, puis elections can- lanciers. II est domicilié, 9, quai de l'Ile,
ouvre une smiscription pour fournir de l'argent siasme par des ovations ot des applaudissements
A la séance de la Chambre luxembourgeoise, tonaloset sénatoriales,et électionslégislatives».
a l'armée de Fiume. II declare que co qui man¬ frénétiques. M. Poincaré épingle la eroix de la
La motion de M.Franklin Bouillon est mise aux
que ce no sont. pas les hommes : il y eu a plus Légion d'honneur sur lo coussin de velours aux MM.Auguste Thorn et de Villers, calholiques,
Konvelle»
militaire»
ont parlé en faveur de l'union avec la Belgiquo. voix.La premièrepartie réclamant le rétablissement
do 20,000 dans la ville ; la nourriturc suffit pour armos do la ville.
!g.Mallet,
l
ieutenant
démissionnaire,
est fiommd
des
liberies
publiquesest
adoptee4
l'unanimité.
MM.Schaaclcct
Mark,
socialistes
;
Hoffmann,
un mois, mais l'argent fait détaut.
Le maire, puis M. Lebrun, remercient le pré¬ catholique, et Lacroix, liberal, se déclareat pour
La deuxièmo,celle qui a trait a l'ordro des élec¬ dans rinfantcrie de reserve au 129'régimentd'infan»
sident do la République de Fhonneur fait a l'union avec la France.
tions, est adoptéoavec.une forte majoritó.
rie.
Le présidentdo la séance,M.Cherrioux,conseillev
Longwy. En phrases émues, le ministro des re¬
Slutatien»
municipalde Paris, remet la suite de la discussion
gions 'iibérées óroque lo souvenir des jours
a domainmatin.
heureux qu'il a passes daus ces lieux jadis souPar decisionministérielleen date du li septem¬
riauts et pittoresques, aujourd'hui dósolës.
bre 1919les mutationsci-apréssont prononcéos:
M.M.-E.Postel,lioutenantde réserve hors cadres,
II ajouto : « Monsieur le Président, laissezl)an«
les ï*. T. T.
réintégró au 129'régiment d'infanterie ;
J.-C.
L'ouvrier Ferrer ayaut été assassiné, ce crime nous encore vou3 diro toute noire gratitude
lieutenantde réserve hors cadres,réintégru
provoque une nouvelle emotion a liareelone. Les émue pour tout ce quo la Patrio vous doit, pour
Paris, 2i septsmbre. —Un moetingdes agents et Greys,
La question du changement de l'heure est ac"
meurt riers semblent decides a cxercer leur ven¬ tout ce que vous avez fait pour elle au cours de tucllement rósolue par la loi du 19 mars 1917, sous-agentsdes P. T. T., organise par la Fédération au 129' régimentd'infanterie; M. J.-F.-V.Begouen,Demeaux,sous-licntenantdn réserve hors eadres»
que ne vise pas a assainir une situation geance centre les personncs do 1'entourage du la guerre. De la première houro a la dernière, autorisant le gouvernement a avancer d'une postalepour protester contre les lenteurs apportées réintégróau
129»régimentd iafanteric.
a
examiner
le
projetdo
relèvement
des
traitoments
policier
Bravo
Portillo,
récemment
assassiné.
vous avoz été son ame, sa foi, sou espoir. »
qui, ayonsle couragede le dire, porte en
heure, par voie de décret, en Franco et en Al- du personneldes Postes, a ou lieu eet après-midi
11est
de
notoriety
publique
quo
Ferrer
était
le
■elledes germes mortels.Gar existe-t-ilun confident du policier. Lo seul remède a la situa¬ Le cortège présidentiel repart en automobiles gérie, l'heure légale. La même loi fixe les dates dans ia grande saliede reunion des Syndicats,ruo
Médaille
Britanniqn»
les aciéries de Longwy a Mont-Saint-Mar- cxtrêmes do cette modification, savoir : le pre¬ Grange-aux-Belles.
Francais assezfou pour s'imaginer que la tion parait être l'augmentation de la remunera¬ pour
tin.
Lorsquo
le
Président
de
la
République
péDiversorateurs
ont
pris
la
parole
pour
protester
mier
dimanche
de
mars
ct
lo
premier
dimauche
La
médaillemilitaire
anglaiso a été conféréeaft
France va pouvoirvivre longtempsen im¬ tion coiivenable de la police de Barcelonc. Seule nètre dans les ateliers, il constate, en les parcontre ies lenteurs apportées par lo gouvernement sergent-majorMauriceLe Prévost, du 403'régiment
portant cinq fois plus qu'elle n'exporte? une augmentation .de salaires permeltra a la po¬ courant, a la fois la barbaric allemande qui a d'ociobre.
Par application de cette loi. le ministre des a examiner le projet de relèvement des traitements d'infanterie, i" compagnio,pour s'ètre signalé pap
A ce régime, la ruine nous guette ; ce lice d'exercer ses délicates fonctions avec indc- détruit ét l'éuergie francaise victorieuso qui déja travaux
valeur militaire et sesactes de bravoure.
publics et des transports a pvovoqué lc ot 4 donner satisfactionaux revendications du per¬ saAjoutonsque
M.Le Prévost est déja titulaire aa
«'est pas unc questiond'années,c'est pres¬ pendanco et efficacité. L'exemple de Bravo Por¬ recoustruit et remet en place les machines re- décret du 9 février 1919, paru au Journal O/ji- sonnel.
la
médaillemilitaire
francaise et de la Croix dó
tillo vivant grasscmeut des dons généreux de la eonquises.
que une questionde mois.
ciel le 11 février süivant, ct prescrivant que
guerre avec palmeset étoiies.
A 4 heures un quart, lc président do la Répu¬ dans la nuit du 1" au 2 mars 1918, a viugt-trois
Au pointde vue immédiat,il ne peut évi- federation patronale. et des agents étrangers fut
nécemmentdemobilise,M.MaflriceLe Prévost est
sur les policiers en activité do service blique repart est automobile pour la gare. La heures, Fheuro légale serait avancée do soixanto
Un Grand Incendie
maintenantemployé4 bord du steamer Rochambeaa
demment être question que de palliatifs, funeste
dont
la
solde
insuffisante
reudait
l'existence
pré¬
traversé®
de
la-ville
donne
lieu
a
des
acclama¬
de
la CompagnieGénérale TransaUantiquo,et est
Marseille.
2i
septembre.
—
Un
grand
incendie
minutes
ct
que
l'heure
normale
serait
rétablie
le
d'expédients.Nousne pouvons,du jour au
tions chaleurcuses dc la part de Ia population 5 octobre.
s'est declarece matin dans le dépot américaiu do domicilié,93, rue Thiers.
dendemain, supprimer nos importations: caire.
massée sur le parcours.
C'est pourquoi, dans la nuit du 4 au 5 octobre Miramas.Les dégats sont trés importants.
<etnousne pouvons non plus, du jour au
Un Déraillement
sur Ia Liflne
A 5 heures, lc président, de la République procliaiu, toutes les horloges publiques devront
■iendemain,recommencernosexportations
prend congé des autorités. Lc train part au mi¬ etre retardécs d'une heure, conformément aux
de JParis au Havre
sur l'échelle désirable. Les étrangers, et
lieu des ovations du public. ALPoincaré passera dispositions du décrct sus-indiquó. Cette opéUn déraillement s'est produit hier matin sift
mêmenos meilleursamis, n'arrivent pas a
la nuit dans sou train et arrivera a Saint-Mihiel ration s'effectuera une miuutc après vingt-qua- Grève de Boulangers è Nice la ligne de Paris au Havre. L'accident a eu lieu
Nice,21
septembre.—
Les
ouvriers
boulangers
comprendre cela : « Pourquoi n'exportez
a 10 h. 45.
tre heures cinquante-neuf do la journée du 4
decide la cessationdu travail, les patrons n'ac- au kilometre 110 entre Saint-Pierre-du-Vauvray
octobre. Les aiguilles seront remises 4 stéro ont
vous pas, nousdisent-ils? Avec la popula!
cordant
pas les augmentations do salaires deman- ct Lery-Poses, a 10 h. 52.
La Citationde Longwy
heure (minuit). "
rité dontla France jouit parmi les Alliés, La fin de l'état de guerre entrè Ta république
Plusieurs wagons du train 305 ont etc renver*
dées. La fabricationdu pain sera assurée. des me¬
sures avant été prises par les patrons boulangers sés ct il en est résultó une assez forte perturba¬
■ttous
les marcheslui seraientouverts. » On allemande et la Chine vient, comme on sait,
Le Journal Ofiioielpublic un décrct conférant
afin quo la populationno puisse manquor de pain.
tion. II a été procédé a des transbordements et
oneveut pas comprendrequ'avec 1,500,000 d'etre proclaméo en Chine.
la legion d'hohueur a la ville dc Longwy, pour
certains trains out été aiguillés vers Scrquigny.
tués, comhiende mutilés,avecsesdéparte¬ En l'absencc de traités enlre les deux pays, le ce motif :
De ce fait les trains n'ont pu atteiudrc 1«
ments du Nord ruines, la France ne peut statut des Allemands en Chine contrastera élrau« Sentinelle avancée a queiques kilometres de
Vietoire des Polonals
Havre qu'avec plusieurs heures de retard.
gemeirt
désormais
avec
celui
d'autretois,
car
ils
jreparaitredu jour au lendemaiu sur les
la frontiére, a eu l'honncur de jouer un röle
Cette nuit le trafic n'avait pas encore pu resur la Dwiua prcudro
cesseront de jouir du privilège d'extralerritoria- important aux grandes heures de l'histoire.
Oa aventurier, .Teande .loesco, ea mission en
marchés du monde.
d'une facon normale et le rapido qui
France,
s'ost
suieidé
a
Lyon.
litó et seront soumis a la juridiction chinoise.
Bals, 21 septembre. — On mande de Viennoa la doit arriver a 20 h. 38, avait a Rouen, 5 heures
« A fait preuve, en resistant a l'envahisseur
Si la France ne peut exporter, c'est De plus, les marchaudisesimportées d'Allema.
Gazettede
Francfort
que
l'état-maior
polonais
an—Le ministre des financesvient, par décret. d'auqu'elle a trop bien combattu, qu'elle s'est tne no pourront plus eutrer en payant le droit de 1914, du même heroïsme quepondant les trois toviser
Compagniedes clicrnins dc feede l'Etat, a noneequo la bataille qui a duré dix jours sur la de retard et est arrivé vers f h. du matin.
de 1792, 1815, 1870. M'a succombé que acquórirlaou
jjeiéea corps perdu dans la bataille, ne e ö 0/0 ad valorem, mais des droits allant de sièges
eonstruire une ftottospécialedestinee Dwiua. s'est termince par uno vietoirecompletedes L'omnibus 319 qui part de Oissel a 19 h. 31 et
sous l'cft'etd'un lourd bombardement dont ello a a transporter4 dans
nos ports fes eharnons provenant Polonais. Les troupes bolchevistes russes, qui doit arriver au Havre a 22 h. 44 est cntro eu.
fsongeantqu'a préparer la vietoire, alors 30 a 100 0/0 selon leslavifs spéciaux s'appfiquant vivcment
souffei'taprès avoir retenu devant ello de ia région rhénanopar la bateUerioituviale.
avaient franchi Ie fieuve avec des forces considera¬ garc a minuit 38.
qued'autres songeaient a préparer leurs aux marchandises des pays n'ayant pas de trai¬ d'im.portantes forces ennemics.
bles, out été cernées et détruites.
—f.e
maréchal
Detaina
fait
une
visile
a
l'Ecoie
tés
avec
Ia
Chine.
«marchésd'après-guerre.On n'est pasjuste
LesPolonaisont fait de trés nombreuxprisonmers
« A subi fièrement pendant plus de qualre
de
St-Cyr.
,
II
ressort
de
oetle
situation
anormale
que
les
et ont conquis boaqgoupde materiel.
.pour nous, et nousvoudrionsque des voix Allemands pourront être aceueillis favorable- ans le joug de l'enncmi exaspéré par sa belie re¬
Ties Prix normanx
—-Une
enquête
est
ouverte
par
le
ministre
das
fi¬
Plus cn amont du'lfouvc, les Polonais ont occupe
autorisëes le disent bien haul a nos amis. ment en Chiue s'ils acceptent ces conditions sistance ».
La Commissiondëpartemontale do fixation dos
nances au sujet du tralie iiiicite dc vaicurs de la villede Disna.
€eux-ci nous doiventet doivent è la cause nouvelies.
prix normauxdes denrées et boissonsalimentalreó
Bourse.
_
d'usage courant a fixé, dans sa seanC6do samedi,
communede ne pas considérerque la soli— Le général Eliennc, chef de la mission franlos
prix normauxpour la semainedu 21 au 27 sep¬
La Question de Fiume
darité cesseparee qu'on ne se bat plus.
yaise, est arrivé a Helsiriglors.
tembre inclus. Ces prix sont les mêmes que ceus
Seuls de larges credits peuvent soulager
Rome,21 septembre.— L'attitude du gouverne¬ fixes pour la semainoprecédente,sauf pour les den— M. Emile Dcsvaux, conseillor municipal de
mojnentanémentnotre changeet, sousleur
Paris, a dépasé dovant io jugo d'instruction pour ment francais dans la questiondo Fiumoa tres fa- récs ci-aprèsdout l?s prix.ont etc uinsi cirrötés•
vorablemcnt-impressionné
les ïnilheux officiols Produits divers. — Margarinedo table : prix d«
couvert, nous permeltre d'entreprendre
La Chambre des représentant?, a Melbourne, appuyersa plaints sur la crise du bourrc.
aussi bieu quo les milieux poliiiQUcs.Certes,il se¬ gros, octroi compris, le kilo, 5 fr. 10 : au detail, IP
—
Le
résultat
de
l'électionparlielle
do
Pontefract
l'oeuvredereconstruction, conditionnéces¬
a approuve it mains levécs ie traité de paix et la
rait prematuredo considérercomme acquise la soLe general Lyautey s'embarque ponr la Fran¬ convention de protection a la France en cas d'at- Angleterre,a donné fes résultats sutvants : Aidcr- lution acceptéopar M.Clemenceau bien avant ie k'pommes de terre d'lmportation : blanchoen gros,
saire d'un équilibre nouveau.
raan Vc.Forret. coalitionniste-tibérai : 0,920voix
co,
en
un
moment
on
la
situation
générale
du
geste de d'Annunzio.La France et l'Italioont lo de¬ Ies 100kilos, 30 a 32fr.; au detail, a la consommaC'est ici que nous retombonsdans un
taquo nou provoquée.
Isaac Burns (LabourParty : 8,i4">voix.
est nettement satisfaisanle. Voiei les
voir do tonir comptede la decisiondo leurs allies.
le kilo, 0 fr. 40.
.
.programmede politiquea longueportéeet Maroc
— M.Lansinga declare quo le traité doit être Quoi qu'il on soit, la bonnoentento politiqueontre tion,
incidents récents dignes d'etre relates :
Pommesde torre do pays : blancheen gros, les
que nous sommes ainenésa faire allusion seuls
lesdoux nations a faitdepuis hier un grand pas.
signé sans déla'ini modifications.
Chez les Zatan, le chérif Mustapha, qui pro100kilos.
38
fr.-,
au
détail,
a
la
consommation,lfl
La questiondo Fiume et do rAdriatiqneparafysait kilo, 0 fr. 45 ; jauno: en gros, les 100kilos, 40 fr.j
3ÏOJÏ.5
1 11 K9S
a l'appel que I'Union républicaine démo- mit de prendre Khenifra, multiplie sans succes LES
—La Libre Bilgiquc dit que le ministre do Hoi
lande 4 Paris a été prévenu que sou gouvernement singulièrement les bonnes intentions dos milieux au détail, a la consommation,lo kilo, Oir. 50.
cratique des six cantons du Havreadres- ses appels a la guerre sainte. Moha ou Hammou,
envers la France. La situation scmble pour
Légumos frais divers. — Choux-fleursdo
rccovrait, dans une quinzaine de jours, uno de- italiens
«ait il y a queiques jours a l'opinion.Avee jaloux de la popularité passagerede Mustapha, a
l'instant étre renvorsce.L'Italioofiicielloet politique
mande
d'extradition
de
i'cx-kaiser.
Le
Journal
Oflicielpublic
ce
matin
un
décret
demandó
aux
tribus
de
lui
livrer
lo
chérif.
Les
ct
bientöt,il
faut l'ospéror,la grandeopiniontraverse
l'amplitude qu'elle a prise, la questiondu
Viandcsf-- Pore, lo kilo vif, 8 it. 45 ; lo kilo not^
—Les inondationsqui se sont produlles dans la ou traverseront un moment psyebotogiqueexceppour une période de 90 jours francs
change est devenue non seulement une dissidents, persuades que l'attaquo de Khenifra, renouvelant
71
a l'égard des débiteurs qui out été mobilises et baie do Nuccei(Texas) ont fait iusqu a present 400 tionnel pour editier quolquechose do durabloct de 8 fr
annoncée
et
toujours
retai'dée,
n'aura
pas
lieu,
question politique, mais une question na¬ pourraient fort bien obéir aux sollicitalions de ceux qui sont domicitiés dans les regions précé- victimes. On redoute que le chifiro total atteigncle solideenvers les deux pays. Do bons symptomos vênte' au détail : cfttelettes dégraissaes, filet,
60 ; poltrine, 10 fr. 10.
tionale. Nous ue la règferonsque si nous
l'indiquent. On exprime dans les milieux italiens échine.10fr.
demment envahies, les mesures do prorogation double.
Céréaleset fourrages(prix a la couwmmanwi).—
vieux chef do guerre.
marquis de Villamajora versé. f'osnoirquo ce momentne sera pas perdu.
persuadons chaque Francais qu'il y va du leurDans
Foiu
de
prairies
104bollesde a kilost
la région de Ta/a, un petit poste de qui, jusqti'a l'heure actuelle, ont été mamtenues Le—I/automobiledu
En arrivant aujourd'hui, M.Tiltom a dit foute sa I fr. (iö; foil! donaturelles,les
marquis a été blessé.
luzerne, los 10*bolles dc » ki¬
salut mêmedu paysde la régier. Comment protection do la ligne téléphonique en construc¬ en leur faveur en ce qui concerne les délais étasatisfactionde
I-attitudeobserve©
envers
11alio
par
cela?
tion, vers Hassi-Ouenzga, a été massacre par blis en matiérc de valours négociables ct de det- j —fin grand diner, auquet assistavent tous les Ies milieux alliés dq i'aris et onncipMenwat pat 'es los, 1 fr. 8Q; paijls do bic, ies 104bottCc(R 5 kilos,
du Conseilsuprème OcQtiomique,
4 eu lieu
[ 0 tï.
Onnous dit de tonscótés—et c'estd'une les dissidents. Sept tirailleurs marocaias ont été tes tombaat sous i'uppaeuHuu (les uiesures aao- I membres
t milieuxitmiui».
au Palais Royal,ft Bruxclles,
, ratoires.
évidcacecriante —.• « Importons moins. tués, doal ua francais,
LesTroublesje
Sarceiene
LeSé!aMisseii8BtJe_rB8iire
normale
Le fuiur Statut des
Allemands en Chine
Ea queiques Mots
la
LaSituation
générale
auMaroe
Le Petit Havre— Lundi*2 Septewbre191Ü
2
Cinema
I m. 80 sur «0 centimetres, ils pisrenl ateément pè22, rue (ie Paria
nétrer dans les mag. sins.
Les visiteurs noeturnes visitéren! te bureau de M.
Lang et iraclurèrent le tiroii-eaisse oü 11 ffy avail Tius Ittjttrs.dt
3 ti.tii « 7 h.. s, mtaolt firmapasd'argent.
,
nent — Toes lts soirs i i li. 112.
La police du r arrondissement enquête. On ff»
Volonté
dp Vaincre,
dram* en 0 pa»reraarqué aucune trace dc pesées sur ia porte ; le
volet, soulevé a l'aide d'un objet taisant tevier, a au tics-, Dans le Fraeas
du Hapide,
drame en
passer par dessus tes gonds et tomber sur le pave, a 2 parties ; I^a Fitte de l'Ouest, drame en 2 par¬
ties; Créne
Cliaatilly,
Comique; Bnuy, «aJ'intérieur.
, .
M.Lang a constate la disparition de ebaussures,
botenv, comique; Le Cinabat* (8' épisodej.
d'un vétement en gabardine et de plusieurs costu¬
mes, a l'étalage.
; ,
,
II n'est pas encore possible d ëvaluer to prejudice.
— Des gardiens dc MM.Aubin tréres ont surpris
un individu, Masime L ., porteur d'un sac de sucve
provenant du steamer Lord-Uafrgnn, amavré au
et EXCELSIOR
réunïs
hangar M. Cet individu a óté conduit a la perma¬
nence de police, oü procés-verbal a été dvessé.
KURSAAL
un jour de nous déerire ee type nouveau de
pour nne réouverture,
Ce début lut pleinement
reussi et nous espérons que d'ici peu nou» ver- vovageur. ST1 »e eonnait pas eneore le mode d«t
roits tes crossmea aux couleur* « vert-noir » locomotion auquel il prodtotxe son admiration,
ïepitondro teur place d'avant-guerre,
fiers d'ap- 11 sail au moins se mettre dans la peau du perContributions
diveat.es
partenir
au
club
qui
preside
a
la
réouverture
du sonuage. H r'habille « al'aviateur s, se eoiffe c»
Les Kites de limpftt general sur le reven» (3"
cross-country au Havre. Les autres sociétés se « coup de vent », iniitc les gestes des as, parte
Emission 1918)som, a partir du dimanche 21 cou¬
disposen"! aussi a préparcr leurs teams et la un jargon technique eueilli au petit bonbeu*
rant, nitre les mains de MM.lcspercepteurs.
dans les réeils de raids et vous donne si biel»
Commission maritime d'athlétisme se préoecupo
déja d'enregislrer
les performances des cross- l'impression de n'avoir jamais fait que <?a qu»
Beeette
Municipale.
- Service
de» Kan*
Compte-rmlu
stmtnair» de kj Simice At
bien des spectateurs, hier, l'oni pris pour le pi¬
inen.
Les abonaé» au service des Eau* sont prévenu9
46 Stplmibr* 1019
lote lui-même. La méprise est évidemment fa¬
Nous voila done bientót en presence d'alhlètes
que leurs quittances pour to 2' Demestre de «ette
cile... avant le vol, mais...
après, quand ot*
en plein entrainement. lis ne vont pas manquer
StaHsHqtu. — Le MoureMea* dncort du i/'D*
an nee sont a leur disposition a la Recette Municipale
dc bons eonscils car Le Havre a toujours eu surprend des conversations, le voile se déchire :
tier au SI aoilt 4949aceuse le «tnftre do 11,442»a- oü ils peavent tes retirer a partir du lundi 22 «eutires. jaugeant ensemble 5,379,454tonaeaus (ealrces rant.
d'excellents crossmen. Autreiois, ils figuraient
— Ca fait fichtremcut du bruit.. . Au virage,
•1 soities réuales).
honorablement dans toutes les eompétitions ré- mon voisin m'a bousculé..
Que lo Havre es0
gionales et nationales et notre impression est petit. . . La villc ? C'est comme si vous mettiea
Brunei
— Steno -dactylographie
qu'on peut encore micux faire désormais.
nu p!an par terrc et que vous lc regardiez. . .
DÉTEUNESSIT TINEIS : 5 Fr. 50 La saison d'athiétisme dont nous avons sigualé Moi 1 j'ai pris les curieux pour, des poteanx . . .
rationnelle dost le siège est a Paris, 5, ru«
les diverses manifestations nous a révélé t exis- Nous avonseubeau monter le soleil était tonjoura
Petite
et Grande
Cart©
Ange Une notice sur «Me ifistitutiou et deposée
tence de coureurs bien doués. S'ils veulent s'a- aussi haut. . . Ca n'a pas duro assez de temps. . .
Nouve/les Maritimes VOIES URINAIRES 606 Méd.spéf.
au Secrétariat.
RESTAURANT A TOUTE HEURE
douner au cross countey il est a peu prés certain
1 bis, rue Bernardin-de-St-Pierre
L'avion c'est bien, mais le moteur cè l'hélice»
Transport per «au du Hik re a SL-asÉeura. — La
LMeV—»',tiü25)
que Lc Havre pourra, dés cette année, avoir des e'est gênant. . .
Consult. 1 h.-3 h. et le soir T h.-9. — &am.tï«pte
Lèlmpéralor
Chambre de commerce a rc?u tes tarits de la Com¬
représenlants
autorisés
dans
les
épreuves
projepagnie Strasbourgeeise de navigation poiir les trans¬
Premières impressions naïves !
One compagnie américaine a acquis le grand patées a Paris. Mais il faut it nos athletes une soiports par eau du Havre a Strasbourg, Mulhouse, etc. quebot allemand Imperator, qui sera ailecté au ser¬
Après deux ou trois baptêmes de Fair, i! pa¬
gneus»
preparation.
Ces renseigiiements sont d la disposition des ïute» vice de l'Attantique.
Le cross country comporte une adaption assez rate que lc passagcr aérien ne communique plu#
pessés au secretariat.
délicate.
Courir d'une traite sur une distance de ses impressions (personne ne s'cq plaint). U
des IVnvIres
Transport des eafis per oUtmin ie Jtr. — La Lc rapatrlement
de
Commerce
Allemands
plusieurs
kilomètrcs it travers champs et bois, s'habille alors comme Monsieur Tout 1©Mond»
Chambre decide d'appu jer une réelamation adressée
Ecole Pratique
de Commerce
ct d'In.
ear il constate — et c'est ia que Poiré essaye do
Gr&nd-Théêlrc
au ministro des travanx publics par to Syndieat du
On télégraphie de Zurich que le croiseur léger ie
dustrie
de.ïeuiies
Filles (430, 1'UCdULycée). en se jouant des obstacles accumulés par Ia na¬ nous amener tous — que l'aviation, au fond. co
«ommerce des calés, cu vue d'obtenir que ie cató la flotte allemande Regensburg quittera aujourd'hui
— A partir du vendredi 26 septembre, Madame la ture et recherchés par les malicicux traceurs,
Cest
tes
lundi
29
et
mardt
30
septembre,
qué
se¬
n'est pas si maiin que i;a. Un avion c'est mém»
soit ajouté sur la liste des denrées de première ué- les docks dc Kiel a destination de FAmérique
ront données, au Theatre Municipal du Havre, les directrice recevra les families tous les jours dc 2 te. n'est pas nn tour de iorco que le novice rcussit
plus com'ortable qu'une voiturc .et la-haut, sauf
aessité, au point de vue des transports par ehemin du Sud.
avec aisance.
_
representations extraordinaires de Cyrano ie Borgt- a 5 heures de Faprès-midi.
La mission spéciale qui lc monte se rendra dans rac et de 1'Aiglon. Ces uniques representations se¬
de Ier.
11est nécessaire d'avoir des qualités de fond, de imprévu — mais n'y a-t-il pas de l'imprévu parLimitation ie la dwl« ie sijour des moTthandüst» tour les ports du Chili, de l'Argeiitine, du Brésil et ront données avec ie concours do toute l'admirabie
Pupilles
de la Nation (G° canton).
— Ha la souplesse et beaucoup de mordant. Get cxcr- töut ? — on n'est écrasé ni par les autos, ni par
dans les Maqasins Generate#i. — Comme suite a ses de I'Uruguay, oü eHe visitera tous tos bateaux mar- troupe do Ia Porte-Saint-Martin : Mile Jeanne Lion, été créë, a Yvetot, une école départementale d'agri- cice requiert, outre des iorces physiques, dc l'in- ies trams, ni paries bicyclettes, enfin par ton»
ees vêbieules diaboliques qui courent et s'entreprécédentes délibératione, la Chambre designe MM. chands allemands internes, afin d'ordonner toutes M. Jean Duval, M. Damorès, M. Bourdel, etc. Le pu¬ culture qui ouvrira en octobre.
de Querhobnt Petit, Doublet et Mandeis pour lormer, tos mesures nécessaires a leur prompt rapatriement.
Un certain nombre de places est réservé aux Pu- telligence, et dc la volonté. A chaque pas on cboquent sur les routes trop étroites.
blic du Havre aura ainsi l'oecasion d'applaudir les
Des négociatlons se poursuivent aclivement avec chels-d'reuvrc d'Edraond Rostand, avec la plus ïd- pilles de la Nation ayant liui leur seolarité ct passé court vers l'imprévu et il faut pourtant sa voir
si cela est nécessaire, une délégation cbargee dalter
réglet' son effort en vue d'atteindie un but loinsoutenir ses protestations oontre le projet de limi¬ les gouvernements de t'Éntente en vue de charger marquable inierprctation qu'on puisse voir.
leur certificat d'études.
tation a 0 mois de la durée de sejour des mareban- ces navjres de cargaisons alimentaires destinées au
Les families qui dësireraient faire entrer un enfant tain placé au dela de mille diffieultés topographiFootball
Association
ravitaillemesit
de
t'Allemagne.
a cette écolc devront adresser leur demande au pré¬ ques et.comme dans les courses plates, il est ogaiises daus les Magasins Généranx.
Belle
réouverture
au H. A. G.
sident de la section cantonalc du 6' canton, Hotel de lemcnt indispensable de surveiller ses adversaiCasino
Marie-Christine
Relivemcni du Torif ie» Fortius de radon». — La
Ville, salie E, avant la fin du mois.
Le Club, détenteur de la Coupe dc Franco, st
res.
Bien
pratique,
e'est
un
des
plus
beaux
exerChambre, apres disci'ssion, émet un avts lavorable a
Jlesdamc»,
Aujourd'hui lundi 22 septembre, a 8 h. 4/2, soiréc
tenu a faire saus tarder sa réouverture.
11avail,
la majoralion de 70 0/0 des tarils d'cxptoitation des
cices sportifs susceptibles dc mettre en évidenee
Voir chez Georges
OSSWALD,
ruc de music-hall.
La Viande Frigoriflée.
— Dans notre nn- la valeur individueile.
lormes dc radoub. comprenant eelto de 20 0)0 déja
pour bier, organisé un match contre une équipeA 4 beures et k 9 heures, Jazi-Bahd au Café.
Casimir-Périer,
angle
rue
Thiers,
draperies
niéro
du
48
septembre
nous
avons
public
une
com¬
aulorisée par armé du 20 novembre 1917.
' De plus, les épreuves interclubs et les challen¬ anglaise. Cette première partie, jouéc devaut un
munication du Syndieat de la Boucherio demandant
Confession ie Terrain pour la eultnre is» Colons pour capes ct mauteaux ; gabardines, serges,
ges permettent aux qualités collectives de s'affir- public relativement nombreux, a été- bien disque
tos
arrivages
de
viandes
congclées
soient
inten¬
tricotines,
vigognes
pour
robes.
dans le llaut-SéiUgal - La Chambre, après avoir
'
sifies et que la liberie soit accordéc de tenir de la mci' : camaraderie, esprit de club, aide mu- putée.
Folies-Bergère
Renseignez-vous des prix et demandez cclianentendu ie rapport de M. Mandeis, son delegué a la
L'équipe anglaise manquait de eohésion, mais
viande fraicbe et de la viande congelée dans Ia mê¬ tuelle, abnegation, etc. Forts et faibles collaboCommission des concessions coloniales, émet un avis tillons.
Cc soir, è 8 h. 4/2, Grand Gala.Débuts de fitni me boutique sur des tables différentes.
elle a permis a nos joueurs do se regrouper. Ils
rent de tout leur coeur et de toute leur énergie
lavorable a un projet de convention entre 1Adminis¬
Baoult,lc désopilant comique, des 8 Sclierry Bir.s,
A la suite dc eette publication nous avons re?u de pour défendre la renommée de leur team et ne ont, dans la premiere mi-temps, marqué cinij
tration et M.Hirsh, en vue du dévcloppemcnt de la
chants
et
danses,
les
2
Bon
on,
écbelle
libre
au
por¬
Chute
a l'ean
M. Victor Destolies, boucher, une lettre dans laquelle gagner quolquefois qu'un éphémère trophéc.
buts et ont toujours conservé leur avance. Leur
guiture cotonnière en Alrique Occidentale.
teur. Dueson, le roi du vertige Fitouzi, comique en
Samedi soil' vers 44 beures trois quarts, un tous genres. Utiles Lueette Fax et Maud Roger. Im¬ 11demande lc maintien de l'interdiction de la vente
Quoiquc ce sport soit pratique forcemeat en jeu n'est pas eneore bien joli et ils manquent de
Surtasce d'Entrepot, projst ie suppression. — La Beige,
simultanée des viandes fraïche et frigorifiée dans la
M. Augustin Huysmans, Sgé de 47 ans, arrive
mense succes de Liport, de Miss Frawoel et MileD«- même boutique afin d'éviter toute confusion qui se- dehors de grandes agglomerations urbaines, il süreté mais, bientót, leur lorme sera partaite.
Chambre decide d'éerire a M. le ministro des travans
to matin de Maubeugt', ayant été tromiié par l'obsest néanmoius parvenu a attirer la foule. Au Ha¬ L'impression qu'ils produisent est bonne. L'en.
.
publics pour lui rappeicr qn elle est opposcc ó la eurité alors qu'il se trouvait quai de Lamblardie, presles.
Tait préjudiciable aux consommateurs.
Location de 14 h. ü 42 b. et de 4 h. 30 a 5 te.
les tracés des pistes ris- semblc est peut-être un peu léger, mais il so
suppression et même a la moindre réduction de la prés de la rue Saint-Louis, tomba dans to bassin du
li fait valoir qu'au délmt, a la demande du Syndi¬ vre particulièrement
surtase d'entrepót, et qu'ellc insiste pour que la Commerce entre la drague N'-4 et to quai.
eat de la bouchcric lui-même, il lui fui interdit de quent dt mener fort loin nos crossmen. Mais si trouve compensé pat' des qualités dc vitcsse. Le
sonvention avec la Chambre de commerce de Stras¬
vendre du veau frais, alors qu'aucune confusion les organisateui's les eombinent bien, il est pos¬ goal est toujours aussi sur de ses arrets.
II lut aussitót sauvé par des téraoins de sa ehute,
bourg, sur cette question, receive son plein et enher
Le referee anglais, M. Jones, s'est montré se¬
n'était possible, nul veau n'étant Irigorifié.
Square
Saint-Roch
sible cependant d'offrir au public de belles luttes
puis transporté a l'Hospiee Géncral oü l'on constata
Maintenant les boucheries dc viande frigorifiée
«Hét.
vere ct il a eu bien raison. Au début de l'eutrai¬
qu'il avait au genou droit uue blessure sans gra- Concert
sans
qu'il
ait
trop
a
se
déplaccr
au }>roflt
des
sont réguiiérement approvisionnées et la taxe est
nement, il laut être implacable pour la plus pe¬
Codestélgéraphlques privls. — La Chambre déeido vité.
On peut donner les départs et juger les arriKégions
dévastées
appliquée a la viande frigorifiée, alors que la vente
de réclamer auprés du ministro du commerce la
tite faute. Les joueurs y gagneut.
vées
sur
quelques-uns
des
terrains
déja
bien
frétevée de l'interdiction de l'usage de codes tetograLe Comité de F « Aide du Havre aux Régions dé- de la viande fraicbe se fait librement.
Cette première rencontre amicale nous laisso
quenjés et, tandis que nos crossmen iraient s'enLe consommateur a done tout intérêt, dit-il,
phiques pri vés, qui résultait de Fétat de guerre.
AVIS
vastoes - a organise, cet été, une série de concerts
supposer que nous assistcrons cet biver a do
foncer
sous
bois
ou
enjamber
les
plaines,
les
être
garanti
sur
l'origine
de
la
viande
qu'il
désirc
fort intéressants et qui ont retenu l'attention d'un se procurer, par l'exciusivitë du droit dc vente de
nr. E. ALBERT
almc, menuisicr tourRenvois aux Commissions.— A la Commission des
spectateurs pourraient assister a une partie de beaux matches.
nombreux public. Pour clorc dignement la saison
douanes : Une protestation con tee un projel de relé- neur, 24-23, rue Duguay-Trouin,
a l'hoimeur
Le club doyen aura d'ailleurs a s'employer t«
football. II y aurait la pour les curieux qui hésiestivale une audition était donnée, hier, au square telle ou telle catégorie de viande.
vement des droits de douane sur tes bois.
d'informer sa nombrcusc clientèle que la partic
fond car d'autres sociétés se préparent aussi et,
tent a s'égi'ener le long des chemins, l'oecasion
Saint-Roch, eadre idéal des reunions du dimanche.
A la Commission dc l'outillage : Une demande de de ses établissemcnts détruits par un incendie
Service
de» Faux. — Arret d'eatt. — Pour dc suivre deux manifestations athlétiques égalc- rieu qu'hicr, il y a eu aux environs du Havro
Tous les numéros du programme furent chaleulocation de hangar.
recherche, la conduite de la ruc Dumé-d'Aplemont
le 31 mai dernier, étant complèlcment remontée,
prés d'une vingtaine de matches d'entraïnemeiiit
rcuscmenl applaudis et ils le méritaient bien.
sera
ferméé
iuudi,
dés 9 heures, pour loute la durée ment attrayantes.
Remboursemeat des obligations de la Botsrsi. — La il est a même de répondre. couwne par le passé,
M. J.-Armand Heck, remarquable violonisie qu on
Les dirigeants des clubs, nous en sommes pcrChambre déeidc que tes obligations de la Bourse a toutes les commandes qu'eile voudra bien lui a eu bien des fois le plaisir d apprécier, traduit d'un du jour.
suadés, sauront trouver des formules heureuses
non encore sorties aux tirages, seront vemboarsées a eonlier.
archet délicat et vibrant, avec nne virtuosite peu
Katatien
pour redonner au eross-country une vogue qu'il
partir du 1" oetobre.
ordinaire, les Aim Bohémiens, magistrale et pittoresmérite a juste titre. Ils sauront entrainer leurs L'Union Fédérale des Nageurs
de Normairque composition de P. de Sarasate, et une impresdie clüture la saison par des épreuves
recrues, susciter de belles luttes eu plein air, et
sionnante fautaisie sur Rigoletto.
BelUqueux
pochard
Le Repoe
Doiniiifeal
de» P. T- T.
bien
disputées
Par la souplesse et la force de son expression, Mile
intéi'esser un public qui, maintenant, ne deman¬
Dans I après-midi de samedi, vers 4 heuirs et de- i ~ ...
ïniiment en valeur les vers énerciHier a été réalisée l'organisation dont nous avons
L.U.F.N.N. a donné hier sa reunion de cloture.
de qu'a s'associcr a ces ébats salutaircs de la
mie,
parlé dans nötre numéro de vendredi dernier.
Société
Mntuelle
de Préveyance
des
i ques de MigZaïVacoïs ayant poü/ Htle iZSe
Malgrè to temps doutoux et les averscs du matin,
1.1.
Reiienflilf
Une distribution de lettres a eu lieu, dans la mati- arrondissement, qui pas; .true de l'Eglise, se ren- pons ible
Employés
de Commerce
du Havre, siège jeunesse.
et Inla mnnniflnnn
magnifique inonii'oHrtri
inspiration «lil
du Rtvtna.nl,
tous
les nageurs eonvoqués ont répondu a l'appel du
J
H. H.
née, plus tót que de eoutume, mais ne changeant pas dant a ce commissariat, out venir a l'aide de l'agcnt de Victor'Hugo.
social 8,"rue de Caligny. — Telephone w 2.20.
comité sporlif et do nombreux spectateurs ont suivi
Loisort, qui ne pouvait maitriser un individu vicfraud chose au service habituel du dimanche.
M. Goavee fait admirer son organe de baryton, son
avec lo plus vit intérct les épreuves disputées avec
La Société se charge de procurer a MM.les NégoUn guichet postal a été ouvert, au Bureau Central, time
tin de nombreuscs libations, Adrien L. . domici- habileté et sa maitrise en interprets t une oeuvre
acharnement.
cia.its, Banquiers et Courtiers, ies employés divers
Aviation
Ie 8 a 14 heures dn matin. Un gHichcta fonctionné [ lie/ dans lo quartier.
superbe, La Procession, de Cesar Franck, et la dont ils auraient besoin dahs ieurs bureaux.
Le succès de cette fin de saison nous permet a esCe
loute la journéo pour le télégraphe et tetéléphone.
' belliqueux pochard aeeabla de coups le secré¬ délieieuse chanson des Trois Anyélus, de Cléroucpércr,
pour l'au prochain, de beaux meetings nautiLe
chef
du
service
se
tient
tous
les
jours,
it
la
au
Havre
L'Aviateui'
JPoii'é©
taire
et
i'agent
et,
d'un
vigoureux
coup
de
poing
Peu de personnes s'étant présentées a ces guichets,
ques et nous avons la conviction quo los Havrais
Garnot.
Bourse, de midi a midi ct demi, a la disposition des
fe service a été aisément assuré et aueun incident ne porté a la figure, fit tcmber il. Mabille.
Une savante pianiste, Mile Manissié, assurait aces sociétaires sans emploi .
veprendront, dans les épreuves de natation, la placa
Les jolss de l'Aoion- taxi.
Pendant que, secondés par plusieurs personnes,
«'est produit.
qu'ils avaient eonquis avant-guerre.
une collaboration précieuse.
ils le conduisaienl au poste voisin, L.
profera artistes
Enfin
on
put
appiaudir
le
«
Gronpe
Amical
des
Les courses étaient jugées a l'arrivée par Ie capiLe Nooioiat des Passagers aériens.
diverses injures. Cet individu a subi plusieurs con- Trompcttes du Havre », excellente Soc.iété, qui ne
Lc
Dix-Cors
Saint-Hubcrt
(Quatuor de
taine Collin, chef de la section d'éducation physique»
damnations
pour
vol
ou
coups
et
blessures.
I)
est
a
trompes
do
chasse.
Siège
social
:
4,
rue
Fontenelle).
CHAMBRE DE COMMERCE DU HAVRE
L'aviateur Poiré est un « as ». H n'a pas at- entouré des administrateurs de I'D F.S S., MM.
s'était pas fait entendre pendant les années de guer¬
la disposition du Parquet.
re. Grüce a la trés habile direction de M. G. Blanrue, — Invite les sonneurs désireux de faire du ton de tendu la guerre pour s'adonner a l'esealade des Roussel, Pupin, Lo Boubennec, Lemesle, Pain Nota
M. Mabille a une blessure an-dessus de la lèvre tambour-major
chasso
:
dit
ton
de
vénerie,d'adresser
lour
adhésion,
au 129' d'infanterie, les trompettes
aussi la presence de MM.Fanonnel et Duteurtre, acEeolc
Supérienre
dc Commerce
nues et il a cu raison de croire que l'aviation
supérieure, pour laquelle il reculdes suius avautde
exécutent brillamment des sonneries diverses, des après avoir pris eonnaissanee des statuts, a M. l>; survivrait aux hostilités. En homme intrépide,
compagnés d'une section de boys-scout.
"•« Havre
eoni'Aiidrftsou service.
marches, un défilé, une fantaisie, un pas redoublé, Marehand, directeur du quatuor, 4, rue Fontenelle,
Voiei les résultats :
des réïiiitéi
il s'est voué corps et
oo mitroo, i" oórïc, lo partants '■ 1. E. Mesnu ;
Goiivernement.
'JL'A^ Ü k JK ÏÜ .AX
69
üieineure impression et couipietniY
ame
a
la
propagandc
par
ig
ran.
Armé
d
un
Syndieat
Général
de
Gardiennage.
—
2. R. Grandguillot ; 3. P. Hiéblot ; 4. Fouaux ; 5.
hlemeut le programme du concert.
Le hut de cette Ecole est la préparation tech
Pendant les travaux, Restaurant
au 4e'.
Jeudi prochain, 25 septembre, reunion mens'uelle a avion-taxi il vient aux foules, les emballe et les Fournier. Temps 47" 2/5.
«ique des jeunes gens qui se destinent aux Entrésr
106, rue de Pari», 36, cue Juiesla Salie Franklin, salie A, aux beures suivantes : emporte, par pelits paquets, a la conquêtc des
E. Mesnil gagnc iaeilemont par plus de deux lon¬
affaires d' importation et d'exportation. L'instrucMaaurxer.
personnel de nuit, 14 h. 30 ; personnel de jour, airs.
gueurs.
tion qu'ils y reqoivent leur permet d'arriver
Seleet-Palace
19 b. 45. Consulter les affiches. Se munir de la carte.
Partout oü il passé, c'est le même enthousias¬
50 metres avec parapluies, 5 partants : 1. G. Hié¬
rapidement a des positions élevées dans le Néblot ; 2. E. Mesnil ; 3. M. Pupin ; 4. P. Hiéblot ;
me. Ici, hier, ce fut par instants du délire. Plus
Aujouvd'kui, soirée è 8h.4/2 : "ïélialiil!En faisant riinrporte quel ACHAT, rèclamez les
goce, la Banque, l'Armement, etc.
5.
Logoff.
Ligue Comniercialc
et Industriellc
du de dix mille personnes, pour éprouver les sen¬
tu <»n, grand drame américain. — Zrisiids
400 metres, nago libre : 1. R. Grandguillot ; 2.
— Reunion mensuelle le mardi 23 sations des hauteurs, a vaient commence par graTHRBiiES DU '' COffiSéJLC HtVhAia "
MATIÈRES ENSEIGNÉES. — Commerce et
fait ia semaine angla se, comédie comique. — Ecloir- Nord-Oncst.
Fischer ; 3. Fouaux Temps 5' 47".
Journal : Les dernières Actualitès
de la se¬ courant, a 17 heures, au siège social, 34, ruc du vir la dure cöte du Haut-Graville. Aux étages
Comptabilité, Banque, Anglais, Espagnol, Alle¬
Trés belle course, l'une des pius intéressantes da
maine. — Attraction : Chester A -K., le céiébre con- Cbillou.
mand, Droit commercial, Steno, Dactylographie,
supérieurs,
atteints
par
l'avion,
il
y
eut
uu
peu
Vol»
la reunion. Au depart Grandguillot mène, bicntOl
Ordre du jour : Correspondanco ; Benefices de
tortionniste chinois. — Chanson filmëe : HonArmements maritimes, Assurances, etc.
moins
de
monde
;
mais,
tout
de
même,
les
aurejoint
par Fischer qui prend la tèie jusque vers lo
guerre ; Voeux divers ; Vie ehère ; Questions di¬
dós Xfarins.
— I.a Niouvelle
Samedi soir, vers dix heures trois-quarts, Ie sous- nenra
dacieux furent quelques dizaines et il parait que
milieu du parcours. A ce moment Grandguillot reverses.
RENTREE : Les cours couimcnccront le Mardi brigadier Guiliouf, de la Süreté, et les inspecteurs Am-ore,
6' épisode : Lune de Kiel. — Les
prend l'avantage, pour peu de temps. Mais au sprint,
nombrc d'impatients attendent leur tour.
de Chariot,
3' épisode ; Chariot et
1 Octobre.
Follet et Ducios rencontrèrent, rue du Général-Ho- Amours
II est probable que si l'aviateur Poirée avait il bat définltivement son concurrent d'uno demiSoeiété
de
Tambours
et Clairons
M. le Directeur
reeevra les Families, 56, che, Eugène L , journalier, qui portait, cache Adèl au Cinema, fou-rire general.— Location comme
longueui'.
« l'Ami<-ale Havraise
». — Mardi et vciidl'edi pu se prêter aux dósirs de l'assistance, il aurait
boulevard Franqois-I
les lundis, mardis, mer- j dans uu vèlement en caoutchouc, un canard frigo- d' usage. — Deniain relache.
60 m., course réservée aux boys-scout : I. Tliide chaque semaine, repetitions.
dü mettre en route des csntaines d'avions. II boumery ; 2. Déveder ; 3. Baudouin ; &.Mauconduit.
rifié, qu'il reconnul avoir volé sur le quai de Gicredis et jeudis, de S n. 4J4 a 6 h 1/2 de l'aprèsLes jeunes gens désirant faire partie de la Société fallait voir ces multitudes grimpées sur les ta¬ A remarq'uer que Mauconduit est un jeune nageur
ronde, pendant qu'il travaillait au dechargement
midi, et répondra a toutes demandes de renseipeuvent se faire inscrire au siège social d'avant- lus, accrochées aux pans do murs, alignées lc qui a commence la natation dans le courant de sep¬
d'un navire. •
Théafre-Cirque
Omnia
jnements par correspondanco.
guerre, rue du Grand-Croissant, 70, a 8 beures du long des clotures, pour coraprendre l'enthouProcés-verbal a été dressé par le commissariat de
tembre.
soir.
Cinéma
Oninia-l'atlié
permanence.
60 ra., course habille'e : 1. Fouaux ; 2. M. Pupin ;
siasme general. Sut' ceplaleau doFrileuse, — trop
Aujourd'hui
relache.
Demain
en
soirée,
ü
8
h.
1/2,
—
Le
49
septembre,
vers
dix
heures
et
demie
du
vaste pour y faire uue collecte abondante, — les 3. Fournier ; 4. G. Hiéblot ;5. Dubois. Course fantaiService
Pharmaeentiqne
siste, qui, comme a l'habitude a remporté lc plus
soir, l'arabe Kaeem Mohamed, journalier, 43, rue rle nouvt au programme, grand début de . Vapoul
gens, sachant que qa allait se passer « la-haut
d'nrgeuce
et de IV'uit
grand succès prés du public.
Pinipreoelle,
comédie comique avec
la Comédie, qui était chaussée des Etats Uuis, prés cl
avaient
pris
du
reeul,
non
ponr
se
soustraire
au
200 m., course relais, quatre nages ; 4. Equipe
de la Vie,
Pharmuctens da seroice du 22 au 28 Sept mbre
du boulevard Franpois-I", fut attaqué par qualre Mile S. Judix. — Les IVanfrages
service d'ordre et aux veudeui s dc tickets, mais blanche (Fischer, Leroux, Daniel, G. Hiéblot) ; 2.
grand scène dramatique en 4 parties. — Par
compagnons, deux soldats et deux femmes.
1" Se tion. — Saint-Francois, Notre-Dame,
pour mieux voir I
Equipe rouge (R. Grandguillot, Ixsueur, Fournier,
Accablé de coups, il fut réduit a i'impuissance et Amour, 8' épisode : Le Coup manqué. — Chanson
gai ntJoseph (Sud), Perrey :
A. Grandguillot) ; 3 Equipe bleue (E. Mesnil, LetovSi le public payant a mieux vu, tout le monde
se vit escamoter sou portefeuille contenaiit 520 filmée : SnUit femmes fmngaises. — Attraction : Les
sonney, Fouaux, M. Pupin) ; G. Hiéblot, dans un su¬
Sabas, célébres acrobates ëquilibristes. — PathêM. CoeuRET,rue du Général-Faidherbe, 17.
irancs
jusqu'au gosse perché sur un arbre, a pu admi
Le pauvre Arabe avait rencontré ces dangereux Journal au jour le jour...
rer les acrobatics de l'aviateur. S'iF monte cn perbe 50 m. dos, assure S son équipe un avantago
Se Section. — Hötcl de Ville., Saint-Joseph
qn
elle conserve jusqu'a la fin.
compagnons, clans la soirée, et était resté avec eux
avion sans faqon, tout comme s'il prenait le
(Noi'dj/St-Miché.l
(Ouest), St-Vincent-de-Paul : au cafe tenu par MmeRas, 50, rue Saint-Jacques. lis
Les premiet s galops ont eu lieu hier matin
train, et s'envole en un clin d'ceil, sans la moin¬
burent ensemble jusqu'a 10 heures, puis certains
M. Cribelier, place de l'Hötel-de-Ville, 9.
Maintenant que les anciens crossmen sont ren- dre petite secousse, il se con'teiit tout autrement
('yelisiue
proposèrenl d'aller se promener sur la jetée.
3® Section. — Rues Thiers, Saint-Michel (Est)
trés nous allons assister a la renaissance
d'un « la-haut ». II fait des cabriolcs, pique du nez
L'Arabe refusa d'abörd, mais il eut le tortd'accepGrand Prix Maneno
Jeudi
et
Dimanche,
matinee
a
3
heures
comme
un
épervier,
virevolte
sur
les
ailes,
se
Bourse, Sainte-Anne (Nord et Sud) :
sport
qui
a
toujours
eu
beaucoup
de
vogue,
car
ter enfin de faire cette promenade qui devait avoir
Tous les soiis a 8 h. 1/2
A la suite de la réunion qui a eu lieu le 40 cou¬
c est uu exercice simple a la portee des moins retourne, plonge en tirebouchon et descend, par
pour lui une désagréahle consequence.
M. Flusin, cours de la République, 109.
rant, au siège social du groupement des Sociétés cyEn portant piainle au commissariat du 2' arrondis¬
fortunes. Dansnotre region c'estaussiun des rares
une chute de saison, en feuille-morte.
La Phaléne
bleue, drame en 5 parties ; Le
etistes
de l'arrondissement du Havre et avec )e con¬
4• Section. — Gare,
Sainte-Marie,
Rond- sement, t'Arabe a fourni un signalement précis de Sacrifice
d'une
ére, drame en 4 parties; La
Quand il emmène des passagers, il est évidemsports d'hiver qui, a cóté du lootball, puisse
cours d'un généreux donateur, ami du sport cyPoint, Barrière-d'Or :
ses agresseurs.
Filie
de Aeptune,
comique; Le Cinubar
ment plus sage. Ayant affaire a des novices,
être pratiqué continüment.
c.liste, M. Manenc, ce groupement organise pour Ie
t8* episode).
M. Postel, rue de Normandie, 348.
— Des agents du 1" arrondissement arrètèrent,
de recevoir le baptême de l'air,
Aussi, dés le premier hiver de paix, les Socié- impatients
28 septembre une grande épreuva cyeliste, sur le
samedi
soir,
vers
8
heures,
"ne
Frérierié-Sauvage,
l'acrobato
aérien
redevient
le
gentleman
pontés ont-elles tenu a regrouper leurs éléments.Le
parcours Le Havre-Yvetot et retour, soit 100 kilo¬
Quartier de FEure et des Raffinerios s
André M., pour vol d'une mout:e en argent, lans la
Havre-Rugby-Club a commence hier matin son déré. U part en douce, monte a sa posette ct metres. Cette course ouverte a tous les Clubs haCinéma
Gaumont
M. Chevallier,
rue de l'Eglise, 59.
chambre d'un journalier, Allied Martin,domicilie au
au-dessus de la forêt de vrais et des environs sera dotée de nombreux prix,
entrainement
sur quatre kilometres.
Un bon tourne gentiment
54 de la rue.
TOPS LES JOURS
nombre de crossmen avaient a cet effet répon- Montgeon, décrit un cercle au-dessus du Havre se montant a plus de 400francs. — Au premier, ui»
objet, valeur 400 francs ; deuxième, 80 francs ; troi— Dans Ia nuit de samedi 5 dimanche, des malfaiPar
«es eombinaiaone
de fonrd,
Hatinéea 3 h., Soiréea 3 h. 30 du a l'appel des dirigeants. L'eutrainement eut et revient cn pépère se reposer au sol, sans la sième,
60 francs, etc.
teurs opérèreiit chez M. Lang, marehand de nou¬
■'Fettle
Pigier
eat
aeule
a méme
moindre fantaisie. Vous pouvez êtes sur qu'il a
lieu par groupes sous la direction des veterans
Sandy
le
Vagabond,
comédie
dramaDés maintenant, les engagements sont pris at»
veautés a l'enseigne » Aux Quatre Nations », rue de
tiC[UP_;
ï.a Grande Iliraie. 6* épisode: nouvellement
ri'olitrnir
une preparation
aérieuae
demobilises. Le depart fut donné bien soin de ses prosélytes. II a du reste raison.
siège
social
de chaque Club et seront clos le 24 cou¬
FArsenal et de f'Höpital.
Le 'ouclier Humain ; a-ö iloule Inierel roiiiplète
anx carrière»
coiuiurra 9 h. 15 aux jeunes et anciens crossmen qui
Le passager aérien est une recrue qu'il laut rant. Droit d'inscription : 2 francs.
Ayant enföncé un volet de fermeture, au bas de la
naie, comédie burlesque ; JLe» FourbeCette épreuve clóturera la saison 1919.
eiaiea.
Iranchirent les 4 kil. a une allure bien soutenue j ménager. Les chroniqueurs ne manqueront pas
porte donnaiit sui' la rue de l'Arsenal, volet ajant
ries de Pingouin.
Communications de la Mairie
I»« nwMttMt
On awtonee on tort niasca»*».jovir te» 9, W «t n
Ktulrc. Le phis imprtsriocRMl a voir sera, «iFo*,
gelui du 40.
_____________
Ciianmre
deCommerce
düHavre
GRANDE
TAVERNE
giverses
THÊRTRES
GOÜGERTS
& Communications
§ullctin des §ociétés
bulletin des (Sports
La Saisonde Cross-Country
0iné-Paiaee
Feuilleton
dn PETIT HAVRE
148
Iimurmura
:
— « Et je laissais mourir ma fllle plutdt
que de vous dénoneei ! . . .
— Oh!...
reprit-elle..
« Un instant !...
Jesais...
J'ai suivi cela de loin. Tant que
voire femme croyait
a la cuipabilité
de
Marco, elle lui refusait
la mam de Bérangère. Et vous acceptiez toutes les suites de
DANIEL
LESUEUR
ceite erreur
moustrueuse,
ponr ne pas
livrer le nom d une femme. .. votre com¬
— AMons! » s'écria le eomteaprès qnel- plice. Eo paroles, cela semble t^ès géné¬
ques secondesde réflexion.« vousêtes en¬ reux. trés chevaleresqne. . . héroïque mê¬
core plus forteque je ne i'imaginais.
me. Ailonsau
fond. Vous vous disi- z que
ia comtesse
d'Herqnancy
n'ajouterait
pas
— Je rn'envante.
de personnes.
— Done,vousgardiez par devers vons. foi a uue telle substitution
dnrant des années, cet objet redoutabie,ce produite nar vous, si tardivement.
sans
bijou dont la disparition m affoiait,ban- preuve. Oü si elle y ajoutait foi, ne seraittait mes nuits, par crainte pour vous au- ce pas pire? Meitre aux prises uneSoiange,
tant que pour moi... Et vou- ne m'avez exaspérée par sou interminable
suppiice,
j mais dit : « Dormez trauquiiie. Le voi¬ avec uue Claudia qui lui aurait non seulela 1 »
■nent pris son mari, inais tué soa amant...
Flasardeuse manoeuvre I. ..
— Je m'enserais bien gardée.
— Maispourquoi?
— Vous l'avez bien osée eette manoeuvre
— Ce péril common nons rendaft plns en livrant a la comtesse une arm ter¬
solidaires,vousattachait mieux a moi, iui— rible. puisque vous lui avez euvuye la
p<>sait
sans cesse a votre esprit une in¬ moutre.
quietude dont j'étais l'objet. A Fepoque
dont vousparlez,je vous aimais,Maxime.
— Etrangeamouri
— Puis, cela m'amnsait de voir trem¬
bler le superbe d'Herquaney, tandis que
j'avais lè, a portéede ma maiu. dequoi le
rassurer. Monsieur l'ambassadeur, aiors
que tous s'inclinaient devant lui... moi
seule, je lisais au fond de ses yeux des
vivionsde gendarmes et de cour d'assises.
Vrai,c'était piquant!
— Vousêtes nu monstre.ClaudiaI
La nnacessc baussales éaaules.
— J'ai faitdavantage.
— Qmudone?
— Je me suis montréeè elle dans nn
costume analogue a celui que je .ortais
iorsde noire expedition en automobile,et
je lui ai fait entendre ma famea.sephrase,
imprudemment prononcée a propos du
poignard. — cette tthrasedont elle se souvenaificnpbien, qu'eile vousarepetée plus
d'une fois.
— « Au ! » cria Ie comte, dtreignantle
bras de Claudia avec une expressionmeuapntc, a vous aUesia faire mourir 1»
229,
rnedeRnrinanfiiB
EMese dégagea,riant :
— « MonDicu !.,. Vousêtes doneredevenn amoureuxde votrefemme?. . . »
Maximela lècha,recula, dans une certaiue contusion.
— « Ne vous en défendezpas. Solange
est toujours belle.
— Est-cequ'il s'agit d'amour?. . . » prononea le comted'Herquancy, avpc un intraduisibie accentd'amertuine, de lassitu¬
de, « Mais»(et il mit une force inattendue
dans ses paroles)« je vous interdis de touctier a cette femme !
— Dites done.Monsieur Tamb-'ssadeur!
II me semblequ'eu me dénontjauia elle je
manifestaisa sou égard une générosité
dont votre soilicitude... imprévue... ne
saurait prendreombrage.
— Je ne cruis pas a votre générosité,
C!audia.
— Madémarchea sauvé votrefllle.
— Eiiedovan avoir un ausre bul.
— Je vousjure bieu que uou, — sur ma
vie I
Le ricanementtranqnille de Clandiainspirail a Maximeun desir de prendreen ses
doigtsle cou de la Florentine. — ce coa
flexibleet longpresque aussi longque ce¬
lui de la Tornabuoni, peinte par Ghilandajo. Une faible é reinte brisant la tige
délicate,et cette belle fleur venéneuseeöt
cessede distiller ses poisonsavec son par¬
fum. Commeil se fut vite eteint aux lèvres
convuiséesle ricanementodieux t
Tousdeux se mesuraient maintenantdu
regard, ehacun chercbant aux yeux de
I autre, avecune euriosite morbide, si la
haine anjourd'hui y étincelait autant que
i'autonr autrefois. M. d üerouancy reaeu-
^aitè interroger, sür de ne reeueillir que
des mensonges.II avait élucidé quelques
questions de fait. Celles-Ias'avéraientou
se contrólaientparlescirconstances.Quant
aux intentions secrètes, aux combinaisons
perverses,è quoi bon tücher de les pénétrer? Fin diplomate pour les affaires
d'Etat, il se sentuit plus désarmé qu'un
enfant parmi les rouenes d'une telle
femme.
— Allons! fit-il en se levant pour pren¬
dre conged'elle, j'aurai du moinsaccompli
mon devoir de galant homme, Claudia.
Rien ne m'a arraehévotresecret, pas même
l'ombrede la mort sur le visage de mon
unique enfant. Et je vous ai restitué ce
dangereux objet. Qu'avez-vous machiné
contre moi ou ies miens, en retour de la
passion qui m'a fait si longtemps votre
esclave?
IIachevadans nn geste qni disait : « Je
ne sais », ou « Peu in importeI. . . »
Un tel découragement,une si mornatristesse émanaitde sa physionomie,jadis empreinte d une triomphule assurance, que
mêmeClaudiaéprouva quelque chose qui
ressemblaita de la pitié.
— « Je ne machinerien »,répliqua-t-elle
avec une»sorte de douceur. « Vous êtes
sorti de ma vie, Maxime, et, par consé¬
quent, tout ce qui vous touche. Une raison
de sécurité personnelle ma fait agir.
Voilé tout. Ne cherchcz pas a eomprendre. »
Mais,comme.è ce sondain changement
defaQon,eile vit se railumer dans iesyeux
de son ancien amant une brusque étincelle, tout de suite elie poarsuivit, avec
soa maavais soarire :
Un rire libre et gai sonnaaux lèvres de
— « Autrement — vous en jugiez bien,
— je n'aurais pas travaillé au rétablisse- l'audacieusecréature.
— « Monpauvre Maxime!... A quelle9
ment de voire petite Bérangère. Sa mort
me convenait. Elle n'est vraimentpas du aberrationsvousportela jalousie1
—- Je vouslaisse, Madame.
sang donton fait une Stabia. Monfrère est
— Non,pourquoi?. . . Restez done. Ce
fou. »
Maximese tournait pour fuir, pour brave gargonveut peut-êtretransporter sa
échappera la tentation de la meurtrir, de ménagerie en France, Je réclame votre
la tuer, lorsqu'il dut contenir aussi bien protectionpour lui, II a été trés chic avec
son mouvementde retraite brutale que sa sa représentationpour lessinistrés. »
S'élevantle long de Ia rampe de mareolère.
Un domestiquemontaities marchesde la bre. la grandetaille d'Otto Peikowicz apparut. Le belluaire était vêtu en gentle¬
terrasse.
— « Excellence.. commenQal'homme, man, — du moinsil le pensait.
Malgréles notes criardes de Ia cravate
s'adressanta sa maitresse.
II hésita. Unejoie fourbe percail è tra¬ trop bleu et des bottinestropjaunes, l'envers le masque platement respectueux de semblene manquait pas d'aliure, par Ia
beauté plastiquedu personnage.Lui, n'atsa servilité italienne.
— « Qu'y a-t-ii » flt-elle avec impa¬ tendit mêmepasque le valet k Ia livreé
des princes de Trani fut è distance suffttience.
— « Quelqu'unest lè. qui insiste d'une sante. Dèsqu'il apergut l'ambassadeur de
faQon.. . extraordinaire, pourêtre re?u par France il cria —tandis que le domestique
Madamela princesse.Mais nous ne pou- s'éclipsait en héte (ou faisaitsemblant):
— « Voiladonepourquoitu me fais exvons croire—
pulser d'ltalie ! 11vientde toi l'avis trans¬
— Qui est-ce? Voyonsf
— Excellence... c'est ce dompteur... mis par la policeromaino,Tu retournes a
Nousl'avonsreconnud'après les.afliches.,. tes amoursfrangaises.Meseompliments!,..
II se croisa les bras, le lorse renversé,
Ce Polonaisqui montrait ses lions. . . »
Le comte d'Herquancy regarda Clau¬ commeen facedu public, dans le cercle de
dia. 11ne pergut même pas qu'eile chan- ses fauves.L'air mënagantrépandusur ses
geêt de couteuance.De sa voix égale, elie traits fits'interposerd'Herquancy.Celui-ci
s'avangad'un pas comme pour se placer
dit :
— « Pauvre diable ! II vient implorer entre la princesseet le singulier visiteur.
— « Laissez, comie,» fit Claudia,calme
quelque faveur. Qu'onl'amène. »
Quand le domestique eut tourné Ies ta¬ extraordinairement.«Ceserait risible, si
je me croyais comprendre qu'on tracasse
lons, Maximes'écria en frangais:
— a Vousen êtes ia I Vous recevez iei, notre vaillantdomoteur.Voiléce que je ne
cbezvous so pareii amanLorincesse de oermettrainas.»
Cii
Traai I »
Le Petit Havre — Lundi M Ssplémbre191#
Conrett
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Hail*
Simencbe 21 Septembre.
die
Boniogna
—Bésultets
su Pari Muiittl
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1'' Course — 9 parfaits
ftndange
...
2' Course — 8 parfaits
ickmuhf
3* Course — 5 partants
Larrikin
4* Course — 4 partants
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5' Course — dOpartants
6' Course — 5 partants
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29 septembre
— Chevaux
engagès
prix
de i.a doiukmjnb.
— Harvard, Bassis»
fee Merisier, Marboré, Souvensa Sous, Perdido, San¬
aa, Vive la France, Pintade, A 'Fout Faire, Pubiieitéi
Roseraie II, Come to Bed, Ecommoj II, Ciima, Jet
ferine.
Prix
de i.a manche.
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Aral, T.
Square, Douzy, Observatcur,
Starr, larebós, Suncr
Or, Karibury,
Thessalic,
Chamade, La Faucheusc,
Ricabourg.
pnix
de i.a garonne.
— Chinaman, Sylva,
La Couleuvre, Cingb, Rodia, Premier Choc, Quaker,
Beauscaiit,
Jour do Gloire. Berybourg, Nectar HI,
General Gage, Caviar, Petit Poste, Bathyiie, Hormon,
Attaie, Candic, Oceana, Cocagn'e, Nonanlelle, Jane
Salmon, High, Meadow Sweet.
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Gloriam, Bambino, Saint Souplcl, Heligoland, Rexburgh, Foliosus,
Karibury,
Cingb, La FC'te, Chnrruca, Fine Came, Galgata, Fncourt,
Fatenio, La
Lanca, Maid ol Honour, La Dame Blanche, Guapo,
Ricabourg, Persistent, Nuce, Crown Jewel.
pnix du TiBRE. — Haliolis, Juveigneur,
Saint
Hélier, Kora Bouroum, Dolphin, Accordeon, Arbois,
Chateau Latour, Bouton d'Alarme, Franjaise, Noaan telle.
Prix de l'adriatiql'E.
— Far West, La Neva,
Eugene de Savoie, Djagas, Merry Mischief, MOnte
Santo. Fahago, Zagreus, Chateau au Loir, Souviens
Toi, Limey, Platine, Valseuse, Menzala, Fiorina 111,
Delusion, Snow Orop, Sotie, Preslanee.
Pronostics
de a Paris-Sport
»
Prix de la Dordogne. — Pcrdido, A Tout Faire.
Prix de Manche. — Setauket, Thessalic
Prix de la Garonne. — La Couleuvre, Cingb.
Handicap de la Tamise. — Fricourt, Heligoland,
Prix du Tibre. — Haiiotis, Juveigneur.
Prix de I'Adriatique. — Souviens Toi, Menzala.
Resignation
Declarations do Si etpUnibte. — Mavcel'e-AIphORDeparts
dn Moi» dc Septembre
sine, Havre ; Odette ROSE, passage Dieppedalle, 3 ;
Henri H1NA0LT, ru« de la Galfc, 17 ; Roland REDC HAVRE
DB ROVEN
RAUS, ruo Flore, 3 ; Raymonde
UFFLER, rue !
Fransois Arago, 41 ; Robert DKOUET, rue Thiébaut,
23 Mardi
7 30 23 Lundi
2o bit ; Genevieve GALLET, rue Joscph-Morient, 59. 25
Jeudi
S 80 2* Mercredi.........
2! Samedi
9 30 126 Veudredi
fatale
Chez bien des malades, des malades fesnmes parBculièrement, on trouve trop Iréquemment,
hélas,
ce type que nous appellerons « les résignés ». II y a
tongtemps que leur santé a decline, ils vont de mal
en pis et comme ils n'ont pas trouvé le soulagement
altendu, ils so tigurent qu'il n'y a pas de remède a
leur mal et ils se résignent a souffrir.
En fait, ces résignes chimériques
nc sont bien
souvent ni plus ni moins attaints que d'autres mala¬
des que les Pilules Pink out rapidementguérls.
Leur
resignation incompréhensible
devant la saulfrancc
permet au mal do s'ancrer,
de s'enraciner,
si bleu
que leur guérison devient plus .difficile.
C'est a cette categorie de malades que nous nous
adressons auiourd'nui,
les priant do lire ce qui suit.
Mile Léontinë Vallée, demeurant
a Monlreuil-FAi;Xillé (Euret, nous a écrit :
du
Gèaéral-Faidherlie
1-3,
Rue de la
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dc M' BÉ R ARP, himsitr
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(Place Thiers) Le Havre
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DïfftrCi
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certaine
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André-Albert
MARYBRASSE
Colonials
disparu le 25 septembre 1915, a Massiges (Marne)
eote 191, a i'age de 20 ans.
De la part de :
M. et M" Ernest MARYBRASSE, ses père et
raére ; de leurs Enfants, de toute la Familie et
des Amis.
432, boulevard de Graville.
Vous êtes priés de bien vouloir
convoi, service et inhumation de
assister
CAEN
22
2 is!
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9.1
5 45!
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13 h'.
8 b.
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te Mardi
23 Septrnibre
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heures, dans la safles des Ventes Publiques
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Etude de M' TIIIOUT, huissier au Havre
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Mardi
23 Septembre
1919,
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Requête de la « The Salvation Army ».
(1 92)
de sou ame !
De la part de :
M»' V-uoeJ LARNAUOIE;
M Rem le I ARHAUDiE ;
Das Families LARNAUOIE, AUBOURGet DUBOS,
des Parents et des Amis.
Le présent
avis tiendra
lieu de lettre
de faire-part.
VHiitNiUllll"!H'Ufillni T'l">
*
M BENOIT et sa Filie ; la Familie et /es Amis,
Remercient les personnes qui ont bien voulu
assister au service religieux a la mémoire de
Paul-Gaston BENOIT
Boulanger
Sergent au 74' Régiment d' Infanterie
IMPRIMERIE
DUJOURNAL
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Par St. Chateru-Latour.
...
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^ep. 21
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Pa? St. Listrac
iée.
20
Sept.
Havre- -Vlivers
Par St. Chateau
Par Si. Chateau
Palmer.
Latour
...
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dép 21
Sept.
Sept.
dep. 21
Sept.
Huvre-Dmikerque
Par St. Chateau-Latour
Par St. X
dép.
proebaiu."
Havre-Brest
Par St. Hypolite-Worms
. . .dép. 23
Sept.
. .dép. 23
Sept.
Havre-Mantes
Par St. Hypolite-Worms
Havre-I
a Palliee
Worms
Havre-
Par St. Pomerol
Sept.
Bordeaux
Par St. Hypolite-Worms..
Par St. Séphor*
Worms
Havre-Canal
. . .dep. 26
. dtp. 23
... dép. 26
Sent.
sept.
de Bristol
dop. 25
Sept.
Nous relevons dans les journaux
parisiens
une
Havre-» öte Ouest de Norwège
création que nous croyons utile de purter a la eouPar St. Cérès
dép. 16S«pt.
naissance de nos lecteurs
Jusqu'a présent, malgré les nombreux
contrats
S'adresser,
pour frets et rensefgnements,
è MM
d'assurancc que nous souscrivions,
il nous arrivait
WORMS et C-, 138, boulevard de Strasbourg, Havre.
Iréquemment de n'être pas suffisamment
couverts,
cn raison de ce que nous étions forces d'avoir
recours a plusieurs Compagnies pour l'assurance
du
même risque.
La création de la Société Le Zénith,
34, rus ie
Chateaudun. Paris, Compagnie Franpaise
d'assurances a primes fixes, eontre tout risques, comble heu
Graville-Sainte-Honorine
reusement cette lacune.
Ene pratique 1assurance contre tous risques dont
Justice de Paix. — Le maire porto a la connaisle principe est depuis longtemps la régie generale en
sance dc la population de Gravillequc,conformémeBt
Amérique et en Angleterre,
paree qu'il présente
au décrct du 25 aoüt 1019, M. le juge de paix tiendra
l'avantage considerable de grouper en un seul conDistributions de Sucre
a fois par mois une audience supplementaire
4 Gratrat toutes les garanties
indispensables
(accidents,
lille-Sainte-Honorine.
Le Groupement d'achat en commun des Brasseurs
incendie, vol, degradations,
respousabilité
civile,
Ces audiences auront lieu a THötel-de-ViBe les etc. . ) pour lesquelles jusqu'a ce jour, le concours
de Cirtre a la satisfaction
d'informer
les collègues
premier et troisième
mercredis de chaque mois a de plusieurs Compagnies était nécessaire.
qu'une quantitc importante de sucre va être raise a
9 beures et commerceront
lc 1" octobre, les audien¬
leur
disposition
incessamment,
dans
les
conditions
Les assurance, tous rtsques se prêtent a toutes les
ces de conciliation le premier mercredi, et les au¬ combinaisons.
suivantes :
Elles couvrent
les risques
les plus
diences sur cilaliou soront tenues le troisième
mer¬ divers : responsabilités
civiles de toutes natures,
Sucre pour la consommation
: H sera délicredi.
Automobilistcs,
Bauquiers,
Bijou tiers,
Tableaux,
vré a domicile, sous quinzaine, eO kil. sucre ood immeubles,
lon-al blauo (non rafliné) au prix de 225
fr.
Bureau de Bienfaisance. — La Commission admi¬ Bijoux et Objets d'art, Propriétaires
Locataires, Voyages, Transports, etc. . .
les 0/0 kilos a chaque adhérent actuel de la Cham
nistrative du Bureau de Bienfaisance de Graville rapNul doute que cette innovation soit eouronnée de bre Syndicale des Bi asseurs de Cidre de la Ville du
pelle aux indigents et families nombreuses
que les
succes, d'autant plus qu'elle est gérée par un Con- Havre ; des achats en réserve permettront une dis¬
demandes do galoches pour la rentree des classes
seil d'administration
composé de notabliités
du
devront être faites par écrit avant le 25 courant.
tribution semblable pendant 4 mois
monde
des finances et des affaires dontèa compé(Lis distributions
seront faites d'olfice. Inutile
Passé cette date toutes reclamations
resUront
sans
torrr
et
l'honorabilité
allirment
ia
loyauté
des
ope¬
d'écrire ou de se déranger, aucune obligation d'acetlct.
rations.
cepler
pour
les
syndiqués
si le sucre u'est pas a
La Vieille Lézorde — Par arrctc dn 8 septembre»
N„us y relevons les nonis des Messieurs:
leur convenance)".
M. ie préfet a present une enquête dans les com¬
Sucre inor.atriel
pour
la fabrication
des
PLAciDE-PELTF.REAU,
Olticier
de la Lêgi/m
munes de Graville-Sainte-Honorine,
Gonfreville l'Or
: Ida tonnes environ ramassis el avaries
d'honneur, membre
du Consei'. d'Escompte
de « Boissons
eher. Harlleur, sur un projet tendant au déclasscde
Suores
Roux
et
Blancs
provenant
du
ravitailleBanque do France ; dubak,
Commandeur
d *a
meni de la partie du lit de la rivière La Lézartle
ment.
Légion d'honneur, Président du Conseil d' Adminis¬
comprise
entre le canal de Tancarvillc et fembranLa distribution
en sera faite parité Roux et
tration
du
Crédit
du
Nord
a
Paris
;
Baron
de
gdnzehemeut d'Harlleur et au comblement
de cette ri¬
fr. les 0 0 kilos. Auront
Officier de la Légion d'honneur,
banquier a Blancs au prix de 200
vière entre ledit canal et le pont de l'avenuc
de bdrg,
seuls droit a ces distributions
les Brasseurs dc Cidre
Paris ; ryziger,
Chevalier de la Légion d'honneur,
Mayville, projet dressé a la suite d'une demande
du
Havre
et
de
l'arrondissement.
rempiissant
cer-'
Président de la Chambro Syndicale des Joailtiers,
presentée le 9 octobre 1918 par la Société Normande
taines
conditions
qu'un
avis
ultérieur
fixera a »ee
Orlêvres et Diamantaires de Bruxelles : templier,
de Constructions Navales en vue d'obtenlr
l'aliénaOfficier de la Légion d'honneur.
President
de la indications pour éviter les abus. MM. les Syadtques
tlon a son profit de cette dernière partie du lit de
Chambre Syndicale de la Bijouterie, Joaillerie
et seront aotses spéciatement.
la rivière.
Orfèvrerie dc Paris ; delearde,
Assureur réputé ;
G. LE HOI,
Pendant quinzc jours, du jcudi 25 septembre
au
nicolle,
Expert en tableaux ; colas,
Oflicier dc
jeudi 9 octobre prochain inclus, les pièces resteront
Répartiteur.
la
Légion
d'honneur,
membre
du
Couseil
d'Escompte
déposées aux secretariats des communes de GravillePrésident de la Chambre Syndicale dts Brasseurt.
du
Comptoir
National
d'Escompte
de
Paris;
de
Sainte-Honorine,
Gonlreville l'Orcher, Harlleur, ainvries,
N gociant en pierres précieuses.
N.-U.— Ne peuvent faire partie de la Chambre
si qu'un registre destiné a recevoir les observations
Syndicale des Brasseurs que ies protessionneis
du
des parties intéressées sur le projet de déelasscment
La Compagnie
LE ZÉftITH
demande
Havre, traitant dans leurs établissements
les pomde la Lixarde entre le canal de Tancarville et l'emdes
REPRÉSENTAN1S
dans
las
mes
sèehes
eu
fraiches
etrecommandés
de
2
societalbrancbement
d'Harlleur et le comblement
de cette
; res. Admis en reunion de Conseil au bulletin secret,
rivière entre tsdit eauaLet 't bob! die Faveuuu
graad s een%raa
Mav rilie.
t (Statute SlÜUlfl «76..MW 3 «ID
1*382)
mn\m rsoioule
gruérie
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MARIT1MES
Par St. Sé phorallvrèes
MOIiELF.LUS
foadirie. — Ecrire
rélérences.
Havre-Boulogne
de Dëcèa
demande
enrretien
tentions
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itdmnwitMM^aimM9iAU«x«WM.ii»iiMV
Miniii
m "iimipMMiwvniiiNi»
aux
MAUXDEJAMBES,
VARICES,
ULCÊRES
STENO
- DACTYLOGRAPHIE
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a me porter, j'étais
pdle, j'avais des palpitations du cceur. des étourdissements, des éblouissements,
de rinsomnio. Lorsquo
ie faisais un ellort, qué je marchais vite, ou bien
sn montant les escaliers, j'étais a bout de souffle.
Ie mangeais sans appétit et dégérais mal J'avais
loujours froid et il semblait que ie n'avais plus de
sang dans les veines. J'ai essayé bien des remèdes
sans succes et j'étais désespéréc
et résignée. Ma
sceur, qui était maladc aussi, a pris les Pilules Pink
et a été guérie. Alors j'ai pris, moi aussi, les Pilules
Pink. F.n peu de temps, elles m'ont lait vetrouver
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EXPOSITION permanente, Rue Saint-Romain, du 22 au 30 septembre 1919, jour de
1'adjudication.
RENSEIGNEMENTS : Au Pare de Vente ou 70, Avenue de la Bourdonnais, PAPJS.
Tétéphonc: SAXII76-57, 80-80.
Aosotoutes facitités de paiement
Aoancesd argent pour achats au taux normal
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S'adresser: L. Estéve Oilice Central, 78.
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rue Victor-Hugo,Le Havre.
comptant.
(1444)
S'adresser a lAgence
Commereialc,
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Eploela place de 1'Hötcl-dc-Yille).
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S'adressera l'Ajjenee Commcrciale,
130,
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(angle de la rut de Paris et de
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FONDS DE COMMERCE
Pour VENDRE ou ACHETER un Fonds
de Commerce,adressez-vouscn toute confiance
au Cabinet do M. J.-M. CAD1C,231, rue de
Normanciie, au Havre, En lui écrivant une
simpieleltre, il passeraciiezvous. —-27 (5312)
"
HAVRE
Imprimeriedu journalLE IIAVRE
35, rue Fontenelie,
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