DernièreHeure - Archives municipales

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' Année
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RÉDACTBUR
RANDOLET
J.-J.
iWslratioi,
Impressions
etAnnonces.
TEL.
10.$
35, Ruo Fontenella,
feejredi 15 Hij 1f!|4
Le Petit Havre ■
Administrateur
-Délêfrtié
- Gémnl
O.
SCentimes
— ÉDITWN
fillMATHV
— 5 Centimes (& Pages)
EN CHEF
CASPAR
- JORDAN
Télépiione
35
l
l-i.SO
Storétaire Général: TH. VALLÉS
A&resseTélégraphique: RANDOLET
Havre
Sédaction, 35, rue Fontenella - Tél. 7.60
Bureau du Journal, 112,boul1de Strasoourg.
L'AGENCE HAVAS,8, place de la Bourse, est
seule chargée de recevoir les Annonces pour
PARIS....
le Journal
ie PETITHAVREest désignépeur les AnnoncesJudiciatres et lêgales
AU HAVRE.
ORGANE RÉPUBLICAIN
Le
plus
fort
des
DÉMOCRATIQUE
Tirage
de la
Régiort
mms
ABONMEMENTS
cède a son père), semblent des liefs réactionnaircs impossibles a conquérir. C'est
que le tempérament du Breton gallo nc
La Vaillanco d'une Femme
convient pas 4 la lulte : il est passifet
Un
gardien
de sémaphore a été assassiné
subit, mêmequand c'est de mauvais gré,
sa guérite, sur la ligne du Nord, prés
La Bretagne politique ne sort presque la pressionqui vient des autoritéssociales. dans
Saint-Denis, dans des circonstances myspas transforméedes dernières élections.II Uneevolutionprochainen'est pas a prévoir de
térieuses.
ï avait eu depuisdix ans, parmi les popu¬ de ce cóté-14.
La victime est M. Ulysse Poulain, agé de
lations bretonnes (surtout bretonnantes), L'aspectchangepour ainsi dire du tout cinquante et un ans, garde-sémaohore, titu¬
in couranttrés vif vers la Sauche. Maïs au tout quand on entre dans le payspure- laire du p^ste n» 11, situé enlre Saint-Denis
Pierrelitte-Stains, a ua kilomètre de la
cette fois-ci, chacun couche, ou a peu ment celtique.Immédiatementl'atmosphère et
gare de Saint-Denis ; il était mané et habitait
prés,sur ses positions.
politique devient celle d'une démocratie une petite maison situé8 è une vingtaine de
Pour comprendrela Bretagne,il faut se égalitaire, passionnée, turbulente et — mètres de son kiosque.
A irois heures du matin, Mme Poulain fat
garderde l'envisagercommeun tout.II y a, chosequi parailra paradoxale a plus d'un réveiliée
en sursaat par des annuls dósespéen réalité, trois Bretagnesabsolumentdif- — anticléricale.Le Bretonbretonnant,qui res provenant
de la guérite. Etio reconnut
férentesles unes des autres. La Bretagne est incontestablementreligieux,n'aime pas Ia voix de son mi
et è doai-habillée,
continentale(je propose du moinsde l'ap- se laisser conduire politiquement par les s'élanc-a è son seconrs; eile le uouvaa tene,
dans une mare de sang ; elle regarpeler ainsi) est cello qui n'a jamais été prêtres. De la la violencedes batailles,sur baignant
da aux alentours et ne vit personae. Elle
eonquised'une faqondurablepar Finvasion le terrain anticlérical, dans la plupart des appela
è l'aide le ménage Leverd, qui habite
celtique ; elle couvre les deux départe- circonscriptions.APontivy (l'ancien siège une maisonnette voisine. Poulain, compièlements surtout terriens de la Loire-Infé- du comtede Mun),M. Brard, radical, qui ment inanimé, fut d'abord transporté chez
ensuite è ia gare de Saint-Denis, d'oü il
rieure et de l'Ille-et—
Vilaine,a l'exception avait été élu ii y a quatre ans, est battu a lui, dirigé
sur Ie cabinet médical de la gare
des arrondissementsde Saint-Nazaire,Re- 500 voixde majorité: c'est un champ de fut
du Nord.
«
donet Montfort,et elle se distinguemaldu bataillequi est disputé, entre la Droiteet
Le blessé, qui n'a pas pn prononcer une
Maineet de l'Anjou voisins. La Bretagne la Gauche,depuis 1876.Mais,dans le Tré- parole, a succombé a quatre heures, sans
frangaise(ou Pays gallo),qui vient ensuite gorrois(Guingampet Lannion, le paysde avoir repris connaissattce.
M. Mallet, commissaire spécial, a aussitöt
et qui s'étend sur la partie oriëntale des Renan), les anticléricaux i'emportent de ouvert
une enquête qui a établi que !o malCótes-du-Nordet du Morbihan, est celle haute lutte : MM. de Iverguézec,Even, heureux employé avait été tué d'un coup de
qui a été conquiseet peupléepar les Cel¬ Tunnel sont deshommesd'extrême-gauche, revolver ; la balie est entrée par l'arcade
gciuche et est ressortie par
les, du VI6 au IXe siècle, mais qui a été qui ont gagné leurs sièges, en 1906 et sourcillière
l'oreilla droite ; elle a été retrouvée dans un
perdue ensuitepar eux. La Bretagne bre- 1910,sur la Droite la plus rétrograde et coin de la guérüe. Des traces de pas ont été
lonnanteenfin,seule Bretagneproprement qui semblentbien avoir retourné le pays relevees autour du kiosque ; d'autre part, le
cornmissaire spécial a recueilii piusieuss tédite, est cellequi par la race et la langue d'une fagondurable.
moignsges établissant que trois indtvidus
demeureencoreaujourd'hui exclusivement Nousvenonsde parlerdu Morbihan.Dans av^ient
été aperpus au petit jour en train de
celtique.
le Finistère la situationest plus complexe. changer de vêtements dans tin champ situé
Celtepetite analyse historique ou géo- II y a d'abord,dans le pays de Léon, une nou loin du lieu du crime.
Notons que Poulain venait da donner la
graphiqueétait nécessaire, car elle est la forteresse catliolique inexpugnable.M.de
libre, après le passage d'un train, au
base de toute la politiquebretonnecontem¬ Mun (Morlaix 2e), M. Simon (Brest 2"), voie
moment oü il fut assassiné, et que malgré
poraine. Nous résumerons, d'un mot, la M.Soubigou(Brest3e)sont nomméscomme son douloureux émoi Mme Poulain assituation électoralede la Bretagne sous la catholiques et peuvent être considérés snra le service du sémaphore sur le passage
Troisième Répubiique en disant que les commeimbattables. Par contre, les répu¬ d'un train qui suivait. G'est un bei acie de
deux premières divisions sont et restent blicains laïques possèdentle centre et le vaillance.
Le doctenr Socquet, médecin légiste a exaentre les mainsde la Droite,tandis que la sud du département: LaCornouailleest ré¬ miné le corps qui a été ensuite transporté ê
troisième,qui est démocratiquede tempé¬ publicainedepuisla Révolutionfran^aise! la Morgue.
rament,s'oriente netlement4 Gauche.
Maisle socialismea fait sonapparitionil y
La Bretagnecontinentale ne révèle, en a une dizained'années. II a conquisBrest,
1914,aucun changement.Elle apparlenait et il jette le trouble partout. Les marins
en majoritéa la Droite et continuede lui propriétaires résistent 4 son action; mais
appartenir.Mettons4 part les deux circons- les marins sardiniers,prolétaires par cer¬
Les morta de la colonneGouraud
criptions de Saint-Maloqui, a la fatjon tains cótéset en tout cas fort éprouvéspar
normande,nomment pour raisonsperson- une crise récente, se laissent de plus en
Le ministre de la guerre communique les
nelles deux députés de Gauche, sans être plus séduire par la doctrinesociaHsteou du noms de nos tués dans le combats du 10
raai, livró par ies troupes de la colonne
nettement elles-mêmesorientées dans ce moinspar les espérancesvaguesqu'ellesou- Gouraud.
sens, nousne trouvonsde républicains (au lèvechezeux.Descandidatsuniflésont pro- Lieutenant Pierre Maze), chevalier *de la
sens laïque et traditionnel du mot) qu'a voquéun triple ballottagedans les troiscir¬ Légion-d'Honneur ;
Rennes,a Nanteset a Saint-Nazaire,c'est- conscriptionsde Quimper.A l'électionpar- Sergent-major Poyet, de Saint-Gervais-snr(Puy-de-Dome) ;
4-diredans les milieuxurbains ou mariti- tieile de 1912,dans la 'lr®circonscription Meymont
Sergent Letlieur, du 2« bataillon sénégames. Mais,dans toutes les campagnesde de^Quimper,la dissidence socialiste avait lais, originaire de Saint-Gyr-des-Gats (Venl'Ille-et-Vilaineou de laLoire-Inférieure,ce mêmefait passerun droitier. II y a la, pour dée) ;
sont des cléricaux purs, des royalistes ou l'avenir du parti républicain tinistérien, Sergent Rondinean, du 2® sénégalajs, ori¬
ginaire de Grandcour, par Ghomére (Loiredes bonapartistes qui Femportent. MM. une grave menace.
Inférieure) ;
Lefas(Fougères),Porleu (Montfort)appar- Onvoit, par ce bref tableau,que les chan- Caporal Petit, da 3® bataillon du 2®tirail¬
tiennent, quelles que soient les épithètes gementssont peu considérablesdans cette leurs, originaire de Raddon (Haute-Siöne) .
qu'il leur plait de choisir, a la Droitecatho- partie de la France. C'est qu'on y trouve
La marche do la colonne Gouraud
lique; MM.du Ilalgouët(Redon), de Ker- des blocsd'opinionpolitiquecompactsqui,
Le ministère de la guerre communique la
nier (Vilré),de Montaigu(Saint-Nazaire2e), de part et dMutre,sont pour ainsi dire im¬ note suivante :
de Juigné (Paimboeuf),de la Ferronays(An- possiblesa entamer.
Le général Lyantey a adressé au ministre
cenis) se classent dans la Droitepure ou
de la guerre un télégramme contenant des
Andre Siegfried.
détails coroplémentaires sur le combat du
mêmeroyalistes; MM.de Dion (Nantes4°)
12 mai, (colonne Gouraud), et dont voici ie
et Ginoux-Defermon(Chateaubriant)sont
résumé :
des plébiscitaires.Pas d'illusions 4 avoir :
Le général Gouraud qui campait sur I'Oued
cette région ne vient pas a la Répubiique.
Amelil se portait dés 4 heures dn matin en
trois colonnes sur les hauteurs occupées par
Le paysgallo est soumis presque aussi
les Tsouls, dont les contingents étaientrejeétroitementaux influencesdu passé.Si l'on
successivement
des deux premières
y discerne,dans la population,certains fer¬ Denx officiers aliemands, en uniforme, tés
crêtes.
ont
franchi
la
froriiière,
sabre
an
cóté.et
sont
ments d'un « républicanisme plus social
A 9 heures, nos troupes qui avaient mar¬
que politique» (commel'écrivait déja Mi- venus en territoire francais, prés de Mailly- qué un léger temps d'arrêt, pour souffler,
sur-Seilles.
reprenaient Fattaque d'une troisième crêïe,
chelet ii y a plus de cinquante ans), ii faut
Ils sont ensuite rentrés en territoire animportante qu'ils enievaient avec un
avouer que Finfluence du prêtre et du nexé, en faisant des gestes de provocation, plus
elan d'une bravoure admirable.
nobley demeuredominante. A l'exception puis sont revenus sur leurs pas et ont gagné
A midi, elles étaient maitresses de cette
des villes de Dinan et de Vannes,a Fex- le village de Secoart, effectuant ainsi un par¬ crête, iniligeant è l'ennemi des pertes consi¬
de deux küomèlres enyiron en terri¬ derables.
eeplionencore de la bordure cótière qui cours
toire franfais.
Le 13, le rósident général a rejoint la co¬
est par tradition républicaine,tout le pays
Ces deux officiers appartiennent l'un au lonne Gouraud.
rural demeure acquis a la Droite. La '2® 98e d'infanterie, et l'autre au 12®régiment
Aujourd'hui, 14, repos ; demain, 18, sauf
iraprévn, ie mouvement doit reprendre vers
circonscription de Vannes, la 2° cir- saxon, en garnison a Mesz.
Une depêche de BerJin dit que ie gouver¬ Taza, d'oü doit déboucher Ia colonne Baumconscription de Diuau, l'arrondissemeut nement
imperial a prescrit une enquête.
garten.
lesElectrnjs
Britipg
Un Raid de 6,000Jnlomètres
deFAtaagüc
Au cours ds la discussion, en deuxième
ieclure, du budget des affaires étrangères,
M. de Jagow, secrétaire d'Etat a i'Officedes
affaires étrangères, remplacant le chancelier,
prend la parole.
* Depuis le dernier discours que le chan¬
celier a prononcé ici, dit-il, la détente géné¬
rale en Europa a fait un progrès.
» Nous esperons que la liquidation de la
situation crèée par la crise des Ralkans, est
dösormais assurée par l'acceptation par les
intéressés des décisions de Londres et de
Bacarest comnn bases de la paix I! faut ardemment souhailer qu'aucune des parties
ne mette obstacle è i'exécation de ces trai¬
tés ; et que les difficultés inévitables dans
un si grand bouleversement s'arrangent è
l'amiable ».
M. de Jagow espère que la régénération
de ('empire ottoman ne ponrra être que favorisée si Ie régime de la paix parmi ies
différents éléments des territoires nouvellement partagés arrive è s'étabiir pratiquement.
Le secrétaire d'Etat dit ne pouvoir rien
communiquer au sujet des négociations en
cours en Orient. « Je n'airien de nouveau è
ajouter è ce qoe j'ai dit lors de la première
lecture du budget sur les négociations avec
FAngleterre. EUes se poursuivent des deux
cótés dans l'esprit amicai qui a régné d'ailleurs eu dehors de cela dans nos relations
avec ce pays.
« Nous avons eu aussi des négociations avec Ia
France ; bien qu'elies fusse.nt en première ligne .
d'ordre financier et technique, je crois cependant,
au point de viio politique, pouvoir me féliciter de 1
ce que uous sommes arrivés avec notre voism
occidental a une enien e qui fait disparaitre de
teis motis a friction. »
UnAn
Lo Havre, la Seine-Inférieure. l'Eure.t
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l'Oise et la Somme
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jTp.ois Mois Six Mois
Six
flviatSOTS
mliitairss
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LeMm
Un Pilote a laill! se noyer h Dieppe. — Deux avions
sont détruits au Hoc et h Bléville*
TROIS AVIONS SONT REPARTIS POUR ANGËRS
\
e
m
Au sujet des rapports de FAlIemagne avec
ia Russie, il décl<tre :
Nos rapports avec ia Russie ont récemraent
preoccupé de facon parliculière l'opinion pubOque. Le chancelier regrette tout particiilièrement
aujourd'hui de ne pas vous faire lui même les de¬
clarations qui suivent.
Lejugement porté ces derniers jours dans un
Pt.oto et Gliciiêr'eui ilovr»
procés intenlé a des aéronautes aliemandsa causé
en Allemagneune émotion considerable. Nous
avons priê le gouvernement russe de nous com¬
L'aiiöii
duCapitaine
Voisin
" Lajeanne-d'Are
brisé sonanerrlssaga
muniquer l'exposó des motifs du jugement. Je
suis oblige,ju squ'a co moment, de m'abstenir de
toute appreciation. 11est certain que le courant
Poursnivant son magnifique raid, com- ronilement d'un moteur réveille I'aUenlion
germanopbobe qui existe déja depuis un certain meucé ii y a deux mois, et comprenant
un peu lassée de Ia foule. A 1,000 mètres
temps dans une partie de la presse russe est de- déja un parcours de plus de 6,000 ki'omèvenu dans ces derniers temps loujours plus in¬ mèlres i'eseadrilie du capitaine Voisin a ac¬ d'altitude passe un appareil. II continue sa
route, ceux qui le monteat n'ay.«nt pas
tense... (Attention! crie-t on dans l'assistance),
et qu'ii a conduit a une campagne presque systé- compli hier une étape oü elle joua vérita- apercu ies signaux qui ieur sont fails. G'est
la Ville-de-Dijonqui va atterrir è midi 8 aq"
matique. Ceuxqui ont entretenu celie campagne biement de maiheur ; dans cette même journe peuvent s'étonner si les échos de la forét re¬ née trois unites, dont l'avion du chef de champ de courses oü d'auires avions, qui ne
petent les cris qu'on y pouese. (Vifs applaudisse- groupe, ont été mis hors d'usago. Fort heu- furent pas aperpus è Bléville, l'avaient déjè
ments).
rens ment ancuu des aviateurs n'a été précédé.
Nous avons assistê en Aileraagne a une reac¬ blessé grièvement.
A II h. 40, un second appareil apparait
tion correspondente a i'action d'une partie de !a
Cette escadrille qui a effeclué, dans une dans ie loinïain. II est beaucoup moins haut
presse russe. Cette polémique a permis de cons- partie
de la France, une prodigieuse ran- que le précédent et se tient h une altitude
tater une véritê insigne. Tous ceux qui out pu
observer la presse étramère ont pu remarqner donnée, commencée depuis le 12 mars, se d'environ 300 mètres. G'est le Saooie. Genx
qui Io montent : le brigadier Blot et ie saque cette presse ne juge pas avec une même compose des appareils suivants :
mesure l'Allemagne et les autres puissances.
Jecuwe-cVArc,dirigs par teeapitnine Voisin, penr Dufournel, ayant aperpu les signaux,
Toute manifestation (f'un de ces anciens officiers -chfrMe—Uesnaürilie, qu'accompagne Ie sa¬ décident d'atterrir. Ils évoiuent en spirale,
estiraés qui de temps en" temps remrmrntleur sa¬
et,au moment d'atterrir, sautent au-dessus de
bre avec quelque bruit, toutes ces manifestations ppeur Dasiaut.
ia liaie de curieux qui barre l'accès du ter¬
Villc-de-Grenoble, monté par ie lieutenant
dans un meeting d'un de nos clubs pelriotiques
rain, ils arrivent ainsi brutalement dans les
sont enregrislréosdans la presse avec des airs Gabriel et le mecanicien Ledé.
biés. L'appareil est retourné coroplètement.
graves et inquiets, bien qu'il soit naturel que les
Vitle-de-Nimes, monté par Ie lieutenant
La foule, trés impressionnée, se précivagues de l'enihonsiasma patriolique montent Volmerance el le mécanicien Peyronnin.
dans de telles réunions un peu plus haut qu'ailpite au seconrs des aviateurs. Les deux
Ville-de-Vichy. pitoté par le rnaréchal-desleurs. Par contre, si nous sommes attaqués, com¬ Iogis Poitier d'Oisy^ mécanicien Martin.
hommes sont rapidement dégagés et, lort
me cela arrive tous les jours, par nos voisins de
Viile-de-Dijon, maréchal-des-logis Clément, heureusement, on constate que, seul, le bri¬
l'Est ou de l'Ouest, ou rnême, comme cela arrive
gadier Biot est iégèrement coniusionné aux
souv nt, par les deux ensemble, personne en de- mécanicien Baime.
Savoie, m
é par !e Iirigadier Blot et le genoux. Ils se remettent vivement de leur
hors de l AIIeinagne n'y attache d'importance.
émotion, mais leur dépit est grand : l'appa¬
C'est comme eeia que s'expiique, a mon avis, la mécanicien Dutournel.
reil est brisé, l'aile gauche est cassée, le
protestation vigourcuse de notre presse, qui eut
#
train d'alterrissage faussé.
pour effet de faire di>ea un grand journal angliis
*
*
que si ce mouvement conlinuait, il aurait cerlaiLe grand oiseau est incapable de repren¬
nement pour résultat un resserrement des liens
Selon "avis télégraphique rc?u par notre dre son voi et Ie malchanceux Blot songe lade l'Entente cordiale ; j'ai douté un moment de la concitoyen M. Léon Moion, les 6 aeroplanes
mentablement au but qu'il visait depuis
bonne foi de ce journal.
longtemps. Ou le piaindra en apprenant, en
L'aclioü de la presse sur Ia psychologie natio¬ oevaient partir hier mahu de Dunkerque
nale rend, dans une epoque aussi nerveuse que pour Angers en faisaut escale au Havre. effet, qu il comptait ie soir atteindre Angtrs
la notre, tout jeu de ce genre trés dangcreux. Nous pensions et nous annoneions que les oü habite sa familie...
Le premier moment d'émotion passé, l'ap¬
Cet état d'irritaiion réciproque ne facilite point de arrivèe3 se feraient sur Ie terrain de Bléville
véritables solutions des affaires courantes. J'es- ainsi qu'il en fat lors de la venue de précé- pareil a été relevé ; on attend les autres
père toutefois que les efforts des deux gouverne- denis aviateurs militaires on civils.
avions. quand, è midi trois minutes, è la
m -nts réussiront a endiguer les courants dangegrande surprise des spectatenrs, l'on voit
L'escadrilie cn tit bien de Dunkerqne
reux L'idée que des rapports amicaux sont la vers 7 heures 48 au matin, mais avec com¬ arriver snr le terrain une automobile daas
meilleure garantie des intéréts des deux peuples
laquelle se trouve le capitaine Voisin.
resie toujours saine et vigoureuse. Elle est ga¬ me point de reihement au Havre, l'hippoGelui-ci fait connaifre qu'avec son méca¬
rantie par l'histoire. J'ai des raisons de croire drorne dn IIoc.
Aussi, n'ayant pu scupconner ce cas, ies nicien Destaux, è bord du Jeanne a'Arc, il
que de son cöté le gouvernement russe, sans se
laisser égsrer par cette agitation, a ie désir de curieux, dés 9 heures du matin, se portaient est parvenu 4 atterrir au cliainp de courses
msintenir avec nous ses anciennes relations de en grand nombre 'ü Biévilie oü, pas plus a 10 h. 28.
bon voisinage.
qu'au Hoe d'aillenrs, aucun servies d'or¬
Son atterrissage a été également monveM. de Jagow a, en outre, exposé toutes les dre n'avait été orgacisé par Fantonté mili¬ menté.
Gêné par les vaches et par un sarcleuss
autres questions qui intére-seat en ce mo¬ taire.
ment Ia diplomatie allemande.
Apiès one longue attente, ü ii h. 46, le qui se trouvait au milieu do la pelouse,
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ïlë
ÜHEPLAINTE
DELARÉPÜBLfQUE
Nice. — Le président de la Republique et
Mme Poincaré ont quitté Eze hier soir a
8 h. 33, par train spécial.
Us arriveront ce matin a Paris.
«.'OCCUPATION
DETAZA
Les Partes franchises
Le général commandant ies troupes du
Maroc oriental télégraphie au ministère de
Ia guerre qu'au cpurs du combat du 10 mai
a Taza, ont été tués, outre le lieutenant Ma¬
zel, du service des renseignements, le sergent René Lacroix, du 1«' étranger, et quatre
soldats indigènes ; il y a eu treize blessés
dont Ie maréchal-des-logis fourrier Raymond
Bourgeois, da 3« escadron, et douze indi-
LÉGION-D'EJO^NEUR
M. Richard Strauss a été nomraé officier de
la Légion-d'Honneur.
Brest. — M. Bidart de la Noë, juge d'ins¬
truction, a rt £u hier les derniers témoignages des ouvriers de la Grand'Paiud.
Piusieurs ont vu M. Cadiou le 30 décembre arriver è l'usine vers huit heures du
matin et ea repartir avant neuf heures.
L'ingénieur Pierre arriva vers neuf heures
et demie. II est done fort possible qu'il n'ait
pas rencontré son directeur dans cette journée du 30 décembre.
Lé juge d'instruction a coofié h M. de
Goulhezne, ingénieur des Ponts et Chaussées,
le soin de dresser ies plans de l'usine de la
Grand'Paiud, de la maison de l'ingénieur et
des lieux oü le cadavre de M. Cadiou a été
retrouvé.
GRÈVE
DEGAZIERS
Rodbaix. — Au cours d'une entrevus qui
a eu lieu dans Ie cabinet du juge de paix,
Lille. — Une noavelie perquisition a été entre la direction de l'usine i gaz et une déopéree hier è la maison des Frères de ia Doc¬ iégation des grévistes, satisfaction a été
trine chiéiienne è. Annapes, mais elle n'a accordée aux revendications du personnel.
pas donné de-résultats.
Le travail va reprendre aujourd'hui.
Hier soir, sur commission rogatoire de M.
Gobert, juge (Finstruction, M. Videt, comm'ssaire aux de:é;.ations judiciaires, a saisi
CÜRIEOX
GASDEFÉCöÜDiTÈ
è la roairie de Lilie ies registres ccntenant
ies listes éiectoraies.
Pai.erhe. — Dans une cünique obstétrique,
Ges registf es ont été placés sous scellés et una iemtnedu peuple a mis au monde cinq
déposés au puFouet.
.enfantsqtrrsónttous en excellentesanté.
L'AFFAIRE
DEL!LLE
LEVOL013COLLIER
DEPERLES
M. Jules Auffcay, candidal dans la cirM. Contant, juge d'instruction, vient de
conscriptiou
de Seeaux contre M. Albert rendre une ordonnance de non lieu dans
Thomas, élu député, s'est présenté hier I'affaire dn fameux colder de pet les voié en
après-midi, accompagné de M. Ghenu, chez juillet 1913, pendant le trajet de Paris a Lon¬
M. Roty, doyen des juges d'instruction, et a dres. au préjudice de M. Max Mayer, bijou¬
déposé une piainte en faux et usage de faux tier de Londres a qui il avait été expédie de
contre X.
Paris par un correspondant.
Cette piainte est motivée nar une affiche
L'instruction a donné lieu h de nombreuintituiee « Declaration », placardée le 9 mai ses investigations m Angleterre ; elle a déet stgnée Adolphe Ghéron, candidat radical- moatré que les individns coadamnés par la
sociaiiste qui se retirait.
justice angiaise n'avaieat pas de complices
M. Auffray soutient que cette affiche e3t francais, que !a cire scellant la b nte et le
i'oeiivre d'un faussaire et il s'est porté partie sucre qui avait remplacé le coiiier volé
civile.
étaient de fabricüion angiaise et qu'aucnn
employé des Postes ne pouvait êire soupConsé.
LE fêYSTÈRE
DELAGRAND'PALSJO
AU REICHSTAG
a déclaré que le gouvernement francais li»
bère sans difficultés, sur la deraande du
gouvernement allernand, ies Aliemands mi¬
neurs qui se sont engagés 4 ia iégion étran*
La Légion êtraugère
»
Berlin. — Le député Wendel, socialiste
saxon, monte a ia tribune. II profeste contre gère.
la violente campagne menée contra ia légion
étrangère.
Le bul aileint est ex»clement opposó a celui
que se propose ceffe campagne, dit-il. Au resfe,
le peuple francais vent ia paix et désire une.en¬
Les Aviateurs Rebelles
tente avec t'Allemagno ; c'est co que prouvenl
les élections franchises.
Washington. — Le croiseur Cdifornia an¬
Le député Spahn, du centre, prend Ia pa¬ nonce que mercredi, les aviateurs des rebalies zapatistes ont fait une nouvelle recon¬
role :
« L'orateur précédent a crié : « Vive Ia naissance des tranchées et des tortifleationa
France 1 », cette même France qui paye de des fédéraux a Mazatlan et qu'ils ont lancé
son argent les armes russes conire nous. des bombes qui out explosé dans les lignes
Geia suffit pour montrer ce qu'il faut peu- fédéraies.
Les pertes des iédérauxne sont pas encore
ser de sa phraséoiogie. »
counties.
M. Spahn défend les mesures militaires
RUPTURE
ö'üfJ DIGUE
par I'Allermgne.
Nancy. — Hier matin, la digue du canal a prises
L'ora*teur recommando un accord avec
UNC0UVENT
ENFEU
cédé a Fiavigny. Le canal se vide dans ia Mo¬ l'Asgleterre,
qui, en particulier, pourrait
Bruxelles. — Un incendie a détruit bref
selle.
aider l'Allemagne h comhattre les projets de
A Toni, le service des Ponts et Chaussées la Russie contre l'intégritó territoriale de la matm le couvent des Pères Garmillions,
prés de Termonde.
■apns des mesure3 pour éviter de graves dé- Chine.
Les pères et ies éièves étaient encore congats.
• Le peuple francais et Ie peuple allemand sont chés, aussi le sauvetage a-t-il été assez diffi¬
unis par le sentiment de 1'internationalismede ces cile.
grands peuples civilisés.
Trois éièves ont été assez grièvement brfiMANIFESTATION
FRANCO-ANGLAISE
DeFrance, dit-il en conchnnt on me rêpondra
« Vive l'Atlemagne» si je concius aujourd'hui lés aux mains et 4 ia tcte.
Londres. — L'ambassaieur
de France a '4gn
Les ctégais dépasseut 180,000francs.
discours par Ie cri de « Vive la France ».
preside bier soir (e banquet annuel de ia (Applaudiss meats parmi les socialiste^ — Bruits
Ghambrede Gommeice trancaise è Londres.
divers ét vivo bilarité au centre et a droite.)—Un
Des toasts cordiai^t ont été portés an pré¬ député conservateur crie : « Fi douc I »
sident de la Répubiique et au roi George.
Lc prince Shonaich Carolath regrette qpa
Pour ia Coupe de distance
Le président de la Ghambre de commerce
les declarations de M. S izonow sar la poli¬
La date limite pour ('attribution de ia cou¬
francaise, trés applaudi, a parlé du senti¬ tique étrangère russe ne soient pas encore
ment d'amilié qui unit i'Augleterre è la panics. Ii estime que I'/Cilemagne rie oe- pe Pommery, première prime de 10,000 fr.,
France.
vrait pas, par ses alliances, s'ótér toute li¬ sous ia formule da nouveau reglement, ex¬
M. Paul Gambon, phrlant du voyage des berie d'action, et que si en Autriche ou pire aujoura'hui verictredi IS mai 4 minuit:
souverains anglais a Paris, a
que I'ac- envisage ies relations amicale» avec d'au- Ginq aviateurs sont engagés, ce sont : Mare
cueil qui leur a été fait monjtre q ue ('En¬ tres litais on peut faire la même chose en Bonnier, Verrier, Pierron, Gliemet et Letente franco-anglaise n'est pas seulement
Allemagne. Poiir ia politique allemande, !e noi.r.
Marc Bonnier, snr roonoplan, qui avait ac¬
l'accord de deux gouveraements, mais qn'eile mianx est de maintensr autant que possible
voyage de VihaooublayTt Angourépond è un sentiment profond dans le coeur de bonnes relations atec FAngleterre et la compli
lême, est, repavü hier matin vers l'Espagne
des deux nations.
Russie.
dans i'intèuüon de gagner Tanger.
L'Entente cordiale, qui a fait ses preuves
Piwre Verrier. sur son hipian, s'es! envoló
Berlin. — Au Reichstag. M. Ztmmermann,
1 au point ae-vue politique et aa point de vue
| commercial, est tatiüce par le suffrage po- sous-secrétaire dSStat a I'. ffice des affaires j de Buc dans la direction de '"AlieiUiMMtt*
étrangères, répondant è di verses aucsuoas, 1 Leoo'ifa pns soa vyide
«niilaire.
LeConflit
Mesico-Américain
DERNIÈRE
HEURE
SPORTIVE
2
Le Petit Havre —■Vendredi 15 Mai 1911
i'appsreil est allé tomber 4 cheval sar la d'autant plus digne d'etre pris en considera¬
barrière da champ da conrses, au ras da tion quo la cause de la défense nationale s'y
fossé. II fut brisé en deux ei complète- rattaclie directement.
ment détnoli, mais les deux hommes sont
M. Haxtenville.
indemries ; seal le pantalon da l'officiera étó
liéchiré dans cette cuibute.
Ea arrivant sur Ie terrain, le com¬
LesAvionsatterrissenta Angers
mandant de l'escadriMea trouvó pour le
(Denotre correspondcmt
particulier)
i'tce.cir le lieutenant Gabriel et ie mécani;ien Ledé, qui, avec l'avion Villc-de-Grenoble,
Angers,ii mai.
l'avaient précédé de quelques minutes.
Trois
avions,
venant
du
Havre,
ont atterri
En se po- nt sur le terrain dn Hoc, l'aile
hui 4 Angers, entre 6 lieures et
drone inférieure de leur app .reil avait étó anjourd
6 h. 45, sans incident.
arrachée par un fil de Ier.
La Villede-Dijon,qui avait élé apergue audésüusde B'éville a orza heures trente-six,
LES
arri vait troïsièmo sur ie chamo de courses,
dü eiie atterrissait dans de bonnes conditions
nn peu aprés midi.
Enfin 4 midi vin'gt arrivalt épalemsnt au
Hoc la VUte-de-Xmes,qui desceudalt saas
inicreche.
aSk. Pai'is
outre, il avait parlé do « lamentables investigateurs », de « membres de peuplo dégé¬
nérés » et de « presse de la honte » ; l'abbó
Wetterlé et M.Siodel, rédacteur responsable
du Nouvelliste,s'étaient considérés offenses
p >rces declarations.
Le représentant de Ia partie civile était
i'avocat.Helmer, ancien président de l'Alliance nationale ; le représentant de l'accusé
óïait le président de l'Union pangermanisie,
l'arocat Claas,de Mayence,qui iusisia sur ia
question de savoir ïi i'abbö Wetterlé sentait
comme AItemand ou comme Francais.
L'abbó Wetterlé répondit qu'il était Alsa¬
cien et qu'il repoussait toutes questions concernant ses autres sentiments.
Le tribunal a vn une offensedans les ter¬
mes qui avaient étó employés, bien que d'atttre!part, Ia preuve fut produiie, a-t-il estimé, que i'abbé Wetterlé était l'excitaleur.
SGUVERAINS
OANOIS
is**
Comma nous !e disons plus liant, l'escadrilie avait pns son vol a 7 h. 43. Le temps
était brume six,mais doux, aveö una petite
brise du-Nord-Oüest.
Vers 10 lieures, la Savdie atterrissait è
Dieppeavec beaucoup de peine car Ia piage
est en ce moment tres encombrée. Peu
après survenaient la Ville-de-Vichy
et ia Viilede-Dijon.Lesucs et les autres veoaient faire
leur plein a'essence. Les trois autres avions
Ètaient descendus au Golf.
Q tand il s'sgit de repartir les pilotes fa
reut trés embarrassés. lis ne pouvaient, 4
cause de pieux piqués sur la piage, s'élancor
de eet endroit. Force leur fut da se mettre
sur ie galet.
L'avion du maréchal des logis Peltier d'Oisy, ia Vüte-de-Vichy,fut le premier en ac¬
tion. Le pilote tenta de rouler, mais un épi
lui barrait biemöt ia route avant qu'il ait pu
décolier. Voyant qu'il aliait heorter !es pie¬
ces de bots, il piqua vers ia mer, mais soudain, au contact do Peau, l'appaieil se cabra.
II rttomba romme nne masse dans l'eau.
A eet instant dramalique le pilote était seu!
sur son appareii ; le mécanicien avait, en
effet, sautê sur le galet quand il avait vu
l'appareil filer dans ia mér.
-Les curieux poussèrent dés cris d'effroi,
car ie pilots, M.Peltier-Doisy.était cotupiöteraent disparu sous Peau. On se prêcipita
mais ii était difficilede lui porter secdurs.
Tamiis qu'ön ch'erchait le moyen de le dégagèr on vit sa tête émergar peu a pen ; ii
était sauvé.
Lecouriganx pilote venait de sa dëlivrer
löi-mênie ; c'est qu'en ell'etil était reteiin 4
son avion par une ceinture. Lorsqu'il se sentit sobs l'eau et avant que l'asphyxie com¬
mence 4 le gageer il avait, grace a son sang¬
froid, essayé de déboucler sa courrois. Après
qöelqnes efforts,il y réussit. S'il avait perdu
s*aprésenee d'esprit 4 ce moment il eut étó
infaiiliblement r.oyócar il était impossible
de le secourir rapidemeut.
La foute l'acclama et le comp'imcnta de
jón sang-froid.
Sescamarades forent 'plus heurettx. Leurs
appareüs s'envolèrent assez faeilement.
L'avion du maréchal des logis Poltier
d'Oisy, qui était détérioré, a étè dérnonté
dans la soirée et expédió vers le centra
d'aviatioa auquel il était attaché.
Deleur cótè laJeame-dfArcet 'a Ville-deGreviobles'étaient arrctées 4 Biville-sur-Mer,et
la Pilie de-NimesaiBerck et au Croloy.
ALLEMAGNE
Les « Soliols » l'olonais
A Posen a en iieu le Congrès des Sociétés
gyrnnastiques ou « Sokois » poionais, dispersées non seulement dans lei provinces
polonaises de la Prusse,. mais c!an<i'empire
eiHier. II existe,,a l'heure actuelie,29t Socié¬
tés, dit « nids », avec 1i ,8(33membres (en
1913,4 ia mème date, il n'existait que 250
Sociétés). La dernièra annéa a été trés im¬
portante pour ces Sociétés; on a notamment
d cidé que le but principal des « Sokois »
üoit être, a có'.édes exereices puremetit phy¬
siques, Ie rcièyemént de l'esprit national et
i'éduöation morale. Le gouvernement allernand oppose natureilement toutes les dulicnIlés possibles au déveioppement des <tSo¬
kois »; il applique souvent a leurs réunions
les lois d'exceptiou eouceraant les réunions
poliliques, quoique los questions poütiques
et reiigieuses «Mént absolument exclues
par les statuis mêaie das reunions des « So¬
kois ».
devant Ie tribunal civil de Béthume pour
réclamer la nullité des testaments fails 4 son
profit. C'est alors que M. Mom1, aveel'autoi'isation de ia cour d'appel de Doaai, assigna
devant celle-ci M. Masure aiin d'obtenir
qu'un autre tribunal que celui de Bathune
soit appelé 4 juger le litige.
L'audience était présidée par M. Dassonviile, premier president, et M. Jaeomet, pro¬
cureur general, oecupait en personne le
siege du ministère public.
Ce magistrat a dévelqppó des conclusions
expiiquant que la suspicion iégitime n'avait
jamais eu pour objet de suspeeter l'indëpendance et l'impartialité des juges et des tribunaux ; mais eiie a été instituée pour rassurer les jusliciables. II a terminé en de¬
mandant le dessaisissement du tribunal de
Béihune.
Après les plaiioiries de
AUaert pour M.
Morelet M«Crinque pour M. Masure, l'arrêt
a été remis a huitaine.
Si le roi George et la reine Marv ont pu
Société Nationale
d'IIorticulture
dire qu'c-nmettant !e pied sur le sol francais
de
France
ils louiaient Ia terre de leurs ancètres, ie
roi Christian X est autorisé, lui aussi, 4 invoMereredi prochain, 20 mai, 4 midi, s'oaquer les nombreux liens de parente qui le
vrira au Gours-la-Reiae,enlre les ponts des
rattacheat a notre pays.
Invalides et de l'Alma, l'exposition hortiEn effet, si l'on exceple les rois Ferdinand
co'e de Printemps organisée'par Ia Société
de Bulgaria et Albert de Belgique, en leur
Nationale d'IIorticulture de France, consaquaütè, le premier de peüi-fi!s, Ie deuxième
ct'ée aux Hoses,Azalées,Rhododendrons,Ord'arrièrd-petit-iils'du roi i.ouis-Philippe,e'est
chidees et autres ilaurs de saison,ainsi qu'aux
le roi Christian et son frère, le roi Haakon
iégumes et industries horticoies etauibeauxde Norvège, qui ont ie plus (i'attaches fran
arts horticoies.
Caises.
Cetie fète ilorale s'ouvrira les autre3 jours,
Par 'enr mère, Ia reine Louise, veuve de
de 9 heures du matin a 6 heures du soir ;
Frédónc VIII,née princesse royale de Snéde,
elle clöturora Ie mardi 20 mai, au soir.
ils sont les pellts-fils d'O-car I«' et de José(L'exposition des Roses sera d'une trés
phine-Maximilieone-Aiiguste de Leuchtengrande importance par suite de concours
berg, fille du prince Eugène de Beauharnais
spéciaux qui out été étabüs).
et de ia princesse Auguste-Amélie-l.ouiseTous les jours, do 2 heures 4 5 heures, MuGeorgirtade Bavière. Or Oscar Ier, né a Paris
sique militaire ou civile.
en 1799,était ie ptopre Hlsde Bernadotte et
Conférence-promenade410lieures du mad'Eogeiiie-Befnardme-DéaiféeClary.
tin.
Le roi Christian compte done 4 la fois des
GRANDE BRETAGNE
Le Cong'ès d'IIorticulture aura lieu le 22
ancêtrés api artertant 4 l'aristocraüe franLa Vote Plural
mai, a 1Hotel de la Société.
Cïise — les de Böuuh'artlaiset les Taschwrde
LaCharabre d?s Commuaes a voté les arti¬
ia Pdgerie — et des bourgeois, teis les B?rnadbüe, des avöcats de Paü, et lesClary, des cles du bill aboli^sant le privilège qui permetiait 4 un mème êlecteur de voter dans
négöciants de Marseille.
Uu Parricide
en Cour d 'Assises
circonscriptions. G'ost en grande
Quant a la reide de Dtrtemarck, nêe du- plusieurs
parlia pour perrnettre a ces privilégiésü'exerches'sede .Meckiembotug-Sehsverinet soèur cer
Uo
rtehe
Tunisien,
Mehernetben Ramdan,
leur droit de vote dans toutes les cir¬
de la princesse impériale d'Aliemagrte, par conscriptions
agé de 29 ans.comparait devant Ia Cour d'asoü,
ayant
des
propriétés,
ils
ses arriére-gratïd'mères, les princesses Ma¬ étaient inscrits comme élecletirs, que les sises de la Seine, sous l'inculpation de parri¬
rie et Wilheiniine-Chafloite-Frédériqüo de éiectic-nsn'avaient pas lieu le même jour en cide.
Prusse, eiie descend de famiral'de 'Cóiigny. Angleterre.
Après l'appel des témoins, i'accasé fait
On suit qüe les souverains du Danemark
cette déciaraiion :
arrivéföat a Paris sarnédi prochaia et y tie—J'affirme que je n'ai pas.vonlu tuermon
La Question des Nouvelles-Höhrides
meureront jusqu'au mafdi 19 mai. Le propér» ; quand j 'ai tiré sur lui j'ai agi sous
Aux Communes, un depute ayant demau- 'influence d'une volonté qui n'élait pas ia
gramme dit sejoür a été arrêtó dans ses
dó si, vu Ie mécontentement cause par le 1mieiïi
graudos lignés.
■
Les souverains danois arriveront 4 Calais4 fonciionnement du condominium, on n'a Sans i
pas réclamé la présenee d'ua navire anglais égard
.
aux Xouveiles-Hébrides, ie miaistre de la ques ; mais, bien que Ie contraire apparaisse
mariue, M. Winston Churchill, a répondu comme conforme a la véritó. j'affirme que je
tiliy, oü les personnes attachées par le gou¬ qu'on espére qu'il sera possible pour un na¬ n'ai pas eu i'intention do le tuer. Je l'ai
vernement francais aux souverains leur vire de guerre do passer pendant cette sai- abordé ponr avoir avec lui une explication,
seront présentées et prendrönt place dans ie son nne période considerable de temps dans pour lui parlor, pour ie supplier d'ètre juste
ces parage s. Un vaisseau est en route en ce 4 mon egard 1«Jeregrette öe tont mon coeur
train.
.Noesavons dontié, en détail, le program¬ moment pour les Nouvelles-Hébrides.
ce qui est arrivé ! »
Répondant 4 una autre question, ie minisme dei premières joornées, voici maintèLe président, M.Couinatid,procédé ensuite
tre das colonies, M. Harcourt, a déclaré qu'il a i'interrogatoke de i'accusé.
nant la na :
a
etteciiveïnent
entendu
parlor
d'une
peti¬
Lundi 18 mai.—9 h.lC du matin. —Départ tion adressée au résidöat de France aux
de Paris pour Versaülss par la gare dos In¬ Nouvelle,-Hebrides
par laquelie des Anglais
valides.
La Criss sardinière
ia soüvéraineté de la France sur
10h. 15.— Prise d'armes du camp de Sa- réclament
es Nouvelles-Hébrides, mais il a, au sujet
tory.
Le Syndicat des fabricants de conserves
de certains signafaires de la pétitioa, des
Midiet demi. — Déjeuner au chateau de reasöignenlents
de sardines s'est réuni a Nanles il y a nue
qui
I'empéchant
da
domier
Versailles dans ia Galerie des Batailles. Visite trop d'importance a Ia petition en question. qninzaine de jours. Des decisions graves
dn musóe et du pare.
anraient été, assure-t-On, prises daus cette
***
2 h. 5G.— Départ pour Paris, oü les sou¬
séance sur laquelie ceux qui y participèrent
Les
Suflragelles
gardent un grand muiisme. Devant la crise
T/ois appareils sur six restaierst done en verains arriveront 4 3 h. 25a la gare des In¬
Miss
Ensell,
la
suffragette
qui
a
lacéró
porsistaute de leur industrie et l'impossiéla; de co.atinuer ie voyage et Ie capitaine valides.
mardi
un
tableau
a
l'Académio
royale
de
10 lieures. —Le roi et la reine se rendront
bilité d'ospérer un accord satisfaisant avec
Poisin décida do les faire repartir l'après4 i'Opéra pour assisler 4 la representation pehuare, a été condamnée a six mois ds les pêcfieurs, les nsiniers auraient décidó
affdiméme.
de s'organiser pour pècher désormais euxPar les soms da Molon,les avions fnrent ordinaire dans la loge du président de la fiö- prison.
naémes.
ravitaillés et la légere éraflure de la Villé-de- ptibhqne.
Si cette décision que l'on annonce «ons Ie
AUTRICHE-HONGRIE
Grenablerépatée.
Mardi 19 Mai.—9 h. 25matin. — Les sou¬
manteau est bien exacte, comme tout porte
Vn Searrdale poliiigiie eti Bohème
Prêt le premier, le maréchal-des-logisCle¬ verains quiueront Paris par ia gare dos In¬
ment prit son essor 4 3 h. 4a sur sa Vitle-de- valid.s.
Merfcrtdiont coram,mcó devant la Cour 4 is croire, il est évident que les usiniors
Dijon,doiUl'avant du capot porie, sur un
d'assises
de Prague les debits du procés in¬ ne pcurront i'appliquer intógraiameat dès
Pour l'arrivéa en France
admirable écusson brodé aux armes de ia
tenté par Panden dép.uté nationalists, M. cette campagne de pêche ; car plusieurs
villa par les dames de D.jon, la croix de ia
LescroiseursctiirassésMarseülaisèetAmiral- Sviha, au dociéar Heller, rédacteur en chef mois leur seront au minimum nécessaire
pour faire construire des bateaux, les ar¬
Légion-d'Honneur.
Aubei.do~l»-d«iHEi4m«
-«tqadrelégere, qui ef-* des NurodniListy.
Puis la Viile-de-Nimcspartit ensuite a tectuaient des tlrs a Quiberpn,bat re?« t'upLe docteur Heller est accusé du debt tie mer, etc.
Les pêeheurs n'en manifestent pas rnoins
3b. 57.
dre de se rendre a Calais pour saluer les diffamation,'pod'r 'avöir püblié, dans les NaLe temps qne fut faite la reparation de la souverains tlano.s 4 leur arnvée en France. rodni Listy, un article sur ie röiö depolicier sur toute la cöie ia pias vive emotion.
Cescroiseurs sont placös sous le comman- secret joué parM. 'Sviha.
Vüle-de-Gr
enableretards un peu Ie départ de
cei,appareii qui prit son vol a 4 h. 30.
dement du conlre-amirai Roayer.
Les témoins du docteur Heller, Ie secré¬
Les 3 appareüs espéraient atteindre An¬
taire du prirli jeune-tdhèaue Sis, le député
gers, 270kilomètres, avant la iinit.
L'Etat dss Récoltes
docteur Kramar, Ie directeur de la Basque
Les 2 apparciis brisés seront démontés
do Bohème, M. Maltas, les députés Svcïva
pour ètre expèdiésa Etampes. Les vaillaots
Voici, somrnairement résutnée.la situation
et Prckopek, le docteur Hlava, le profesavialeurs qui les pilotaient vont se rendre 4
seur 4 la Faculté de droit, M. Heyrovsky, des récoltes au I"' mai :
leur centre en en solliciteront de nouveau*
i'avocat Corny et l'êtndiant en droit*Pasi'ka,
Pour le blé d'hiver, 32 départements ont la
La Colonie fran^aise de Mexico
pour rejoindre leur collègiies a Angers et
déclare-nt que Mme Voldanova, ancienne note « bon », an lien de 31 i'an dernier ; 51
continues' leur intéressante randonnée.
Mexico,13mai.
employee de la police 4 Prague, a consiaté, ia note « assez bon »,au beu de 52; 4 la note
L'ordre règne 4 Mexicoet dans i'ensemble 4 plusieurs reprises, les relations suivies du « médiocre », au lieu de 2.
deputé Sviha avec "la police secrète, rela¬
du pays.
Ponr le blé de printemps, 14départements
Profitant du prochain départ du paquebot tions pour lesquelles i! fut payé par mois.
ont la note « bon », au lieu de 25; 38 la note
Un terrain
d'atterrissage
La Cour refuse a'enierdre Mme Volda¬ « assez bon », au iieu de 27; 2 la note « mé¬
Espagne,ie charge d'affaires de France a or¬
ganise un train spécial pour les Francais dé- nova, en sa qualité de fonctionnaife de diocre », au Iieu de 0.
Les regrettables accidents que nous ve¬ sireux de quitter le Mexiqne.
l'Etat.
Pour l'avoine, 25 départements ont la note
nons de relater appeüent plus que jamais
Une quarantaine de Francais seulement
« bon », au Iieu de 37 ; 39 « assez bon », au
{'attention sur Ia nécessité absolue pour ont proiilé de ia l'aciïité qui leur était of¬
lieu de 30; 6 la note « médiocre », au lieu
notre region de posséder un terrain d'atter¬ ferte.
dé 0.
rissage.
Pour le seigle, 1 dépariement a ia note
'— '
•"
- ——
—
«
JüsquMors, en effet, c'est snr des terrains
« trés bon », au Iieu-de0 ; 44 la note «bon»,
paitieuüers, et souvent contre le grë de leurs
an lieu de 41 ; 41 la note « assez bon », au
propriétaires, que les aviateurs ont pu desUne Allaire de Testament
lien de 42.
cendre dans 'a région havraise.
La première chambre civile do la cour
Les conditions trés défectueuses de ces enALSACE-LORRAINE
d'appel de Deuai a étó saisie d'unc demana.e
droits viennent ri'ètre mis a nouveau en evi¬
de renvoi pour suspicion légitirae, forinulée
Vn general condamné
Un incendiaire
de dix ans
dence et, sans la sang-froid et l'habileté propar M. Morel, député réélu de Montreuil.
f'essiomielle des pilotes, nous aurions auLe tribunal des échevins de Colmar, après contre M. Masure, président du tribunal
Un inccadie s'est déciaré 4 Caiiouet-Orgejourd'hui 4 déplorer une nouvelle catastro¬ six heures de deliberations, a coudamtié la civil de Réthune.
ville (Hurt), dans le hangar d'une ferme
phe.
général en dispouibiiite Keim, président de
MmeMasure monrait, ie 6 decernhr-:;1912, appartenant 4 M. Bobjeaa, président de
I! est done de toute nrgenee de résondre la Sociétémilitaire, a 200 maik d'amende et
plusieurs testaments : le premieren chambre au tribunal civil de la Seine. Les
au plus vlte et dans les meiileures conditions éventuelleinent 4 20jours de prison pour iaissant
faveur de soa mari ; les deux autres, révo- dégats sont évaiués 4 15,000francs.
possibles, la question du terrain d'atterris¬ Offenses4 l'égard de l'abbé Wettefié. L'incul- qnant
le premier, en faveur des enfants de
D'après i'enqnête a laquelie ont procédé
sage.
pe a immédiatement interjeié appel.
M. Morel.Cedernier ayant été, en qualité les gendarmes de Pacy-sur-Eure, l'iocendie
L'aviaüon militaire, dont Ie role utiie s'acLe générai Keim avait, dans un ariicie du d'administrateur légal do ses enfants mi¬ auraii
été allumé par un enfant de dix ans,
cuse de jour en jour, réclame eette créalion. 9 janvier, intitulé : « Souabe fetAlsacien », neurs, envoyé en possession de la succes¬
Eiio répoudra 4 un besoin, a une nécessité, reprocbé 4 l'abbó Wetterlé « sa Sacheté». Eu sion de Mme Masure. M. Masure l'assigna employé comme vacher dans i'éiabiissemeat.
LeCöüllii
lexico-Américaio
ÉTIIAK^MI
Feuilleton du PETIT HAVRE
62 passerez comme les autres, c'est moi qui
vous le dis.
— Nous verrons bien cela.
LA
— Vous seriez la seule qu'elle n'efit pas
ensorcelée.
— Je vous préviens que je résisterai.
— Inutilement.
— Partons done, j'ai hate d'affronter
cette sirène.
PAIS
Le comte de Glamareins enlra en ce mo¬
ment.
2oia stain,
b G-TJ'^EOXTXjT
Après avoir salué Mme Dallus et pressé
la main d'Albert :
— Décidément, ma chère amie, dit-i! a
PREMIÈRE
PARTIE
sa femme, tu tiens a aller voir la familie
Tillard aujourd'hui ?
Ua Comédie du fl/lariagc
— A moins quo cola ne te contrarie ab¬
solument, mon ami. J'y tiens d'autant plus
que voici Mme Datiiis qui veut bien m'y
acconipagner avec M. Albert, qui y tient
— Ecbufèz, clièrc amic, fépondit Lau- beaucoup de sou cöté pour des motifs que
revicc, moi qui ne la vols pas avec les tu n'ignores pas.
yeux d'un amoureux, moi qui la contjais
— Je les connais, dit le comte eu sou depuis son enfance et qui l'ai vue se dé\clopper sous mes yeux, puisque ehaque riant.
Quant a toi, rna chère 'amie, tu connais
semaine elle vient poster line jcurnfenlière avec moi, je puis vous aflirmer que aussi les motifs qui me faisaieht craindre
jamais, jusqu'a ce jour, je n'ai rencontré de te voir sortir aujourd'hui et surtout ce
une jeune Bile aussi charmante, un carae- sotr par ce brouiiiard .
tcre aussi loyal, une aine aussi délicate,
— Tu t'alarmes trop vite, mon cber Ju¬
ün eoeur aussi candide. EUc n'a pas plus les, dit Laurence en lui donaunt sur ia
a'arrière-penséc qu'une enfant et elle en a joite une peiiie tape amicale.
toute l'innocence. Bref si, comme vous,
— Je vous en fais juge, Madame, dit le
i'aVaisun ills, moil fêvc serait d'avoir une comte a Mrne D'athis ; notre cocher nous a
bclle-fillc comme elle.
quittés hier et ii estremplacédcce matin,je
— Ah ; ca, mais elle charme done tout le ne connais pas encore eet homme,etluiil ne
monde, eetle jolie Cyprienne !
connait pas mes chevaux, qui sont assez
I cut le monde, vous i'avez dit, horn- di (Belles; or. est-il prudent <lela part de
flics ct leiiiines, ieunes el vicux, ct vous y ma femme de vouloir sortir uour la pre¬
finnan
INFORMATIONS
mière fois avec lui dans les rues de Paris
le soir el par un temps de brouiiiard ?
— J'avoue qu'il y a ia en effet quelqlte
imprudence, surtout si les chevaux sont
ombrageux, répondit Mme Dathis.
— S'ils le sont ! dit ie comte, aussi avaïsje résolu d'essayer pour la première fois
i'adresse de mon nouveau coch'er en pleine
campagne.
_— Vous avez trois fois raison, et je suis
süre que notre beile cointesse,que je trouve
un peu pale des suites dc la sccousse qui
ra retenue quelques jours au lit, vondra
bien accepter notre équipage, qui attend 4
la porte et qui ne s'emportera pas celui-lè,
j'en réponds.
— Une voiturc de place, a la bonne beure ! s'écria ie comte.
— Je l'accepte volontiers, répondit Lau¬
rence ; vous voyez, Monsieur, que je vous
obéis.
— Oui, quand j'ai du renfort, répondit
Ie comte en riant.
— Je erois qu'il est temps de partir, dit
Albert en regardant sa montre.
— Oli ! dit Laurence, la montre d'un
amoureux, ga avance toujóurs ; c'est égai,
partons.
Elle embrassa son mari et partit, suivie
de MmeDatliis et d'Albert.
— Tiens, ma mère, s'écria-t-il, tu vas
voir que nous allons arriver après la "fermeture du magasin,
— Tu es fou, mon enfant, il est 4 peine
neuf heures et deinie, répondit sa mère.
— Dame ! au train dont il va, il mettra
bien une lieure et demie.
La comtesse riait de sa colère et de ses
accès d'impatience.
— Enfin, s'écria tout a coup le jeune
homme, nous voilarue Saint-Sulpicc.
11mit la tète 4 la portière, et un instant
LES LIVRES-PRIMES
Ohsèques
deM. Alphonso
Lamotta
DU
Aumilieu d'une assistance nombreuse orS
eu lieu.hier matin,ies obsèquesde M.Aiphon.
se-Louis Lamotte, directeur de i'Ecole muni.
cipaie d«s Beaux-Arts,cotiservateur du MuLe vif succès remporté auprès de nos sie du Ha«re.chevalier de la Légion-d'Hon¬
ofiicierde l'Instruction pubiique, mélecteurs par les trois volumes dernièrement neur,
dailió de 1870-71.
mis en vehte par le Petit S-Savra nous a
Dans Ie coriège imposant qui se formait 4
amené a faire faire de ces ouvrages une dix lieures rnoins un quart a lamaison mortuaire, place de ITióiel-de-Ville. on remarédilion nouvelle.
qu it la présenee de MM.Louis Benoist,sousGelle-ci est sur le point d'etre épuisée 4 prétet
; Morgand, D>'Vigné, Serrurjer, adson tour et nous croyons devoir informer joints au
maire ; J. de Conincket Godet,an¬
nos lecteurs que les' tout derniers exem- ciens adjoints au maire.
MM. Lang, Begouen-Demeaux, Coulon,
plaires sont déposés en nos bureaux du
Basstt, Durand-Vlel,conseillers municipaux;
boulevard de Strasbourg.
F. Acher et L. Meyer, conseillers géoéraux :
Rappelons qu'il s'agit de
J. Couvert, président de la Chambrede com¬
merce ; M.Taconet, membre de la Chambre
de commerce; Gas, secrétaire général 4
l'Hötel de Ville; Renault, Souque ei IIouRecettes utiles. — Menus. — Preparation
zard, avoués ; Tailleux et Boursy, avoués
êconomique des aliments.
honoraires; Ysnel, avocat.
Une déïégation d'ofliciers dn 129echargés
de rendre les honneurs militaires au deiünt
Conseils aux amateurs d'horticulture. — Soins qui était chevalier de la Légiond'honneur ;
au jardin. — Semis. — Coupes.
M.le colonel d'Harcourt ; M. le lieutenantcolonel Fiavigny ; MM.ies dcctours Loir.
Walcli et Abrarnovvitch.
MM.Ribet, commissaire centra! ; Henry,
Recueil (/'indications utiic-s. — Confrats. —
receveur municipal ; Billard, courtier mari¬
Baux. — La Loi expliquée et commentée.
time ; E. Poopel, président de la Société des
Chacun de ces ouvrages, sous une élé¬ architectes ; Dr Leroy, président de la So¬
gante couverture cartonnée, est vendue ciété havraise d'étndes diverses ; Societ, didans nos bureaux au prix de 1 fr. 95 — recteur de ia Compagnie des tramways ; P.
Laporte, directeur de I'Ecole snpêriéure de
franco poste 2 fr. 40 — contre la remise commerce
et une déïégationd'élères da cette
de trois bons.
école ; Seigneuré, président de l'Association
des anciens éièves de l'Ecoio supérieure de
commerce; les professenrs et 163éièves de
i'Ecole des Beaux-Arts; A. Hofgaard, rédac¬
teur en ebiffet A. Lanchard, rédacteur au
Journal du Havre ; Albert-Herrenschmidt et
G. Malherba, rédacteurs au journaux Li
DU
Havre et LePdd Havre; Odillard, président
de ia Mutuelle Commerciale.
" Petit Havre "
MM.Olry, directeur des télégraphes ; Le¬
roy, ancien chef tie «erviceal'Hötel de Ville ;
Nodot, directeur du Bureau militaire ; Górault, ancien directeur de l'octroi ; Févriar
BOIST
PRIME
et Lefèvre, ingénieurs municipaux ; de Clerfayt, architecte municipal ; Rnnsiaux, capi¬
N» 3
taine de la compagniedes pompiers ;Csyeux,
chet de cultures municipales ; Ph. Barrey,
archiviste municipal ; Degeorges, directeur
du cadastre ; Verdière, chef du bureau da
l'état civil ;Noë>,directeur du Mont-de-Piété;
Rollet, controleur de la comptabiiité 4
i'Höte! da Ville, et des délégations des diffé¬
rents services municipaux.
Les gardiens du Musée des Beaux-Arts,en
uniforme, escortaient le char funèbre doleur
regretté directeur.
OMSESÏVAXOSÏÏE
ISE I»A.XtXS
Le char était orné de magnifiques couroanes de fleurs naturelles, poriant les inscriotions suivantes : « Reconnaissance. — Les
Paris,ü mai,U h. »».
Éièves dès Beaux-Arts», « La Municipalité
KxtrêmsghAToméiflaaes
: 770aUUra. a Brest, du Havre, a M. Lamotte », « Le Personnel
764sniBlm.a Nice.
dn Musée des Beaux-Arts,4 M. Lamotte »,
PressionélevéeQuestEurope.
« Les chefs des Services municipaux, 4 leur
Temps proiiable: VenttiesregionsMora,nua- coüègue
», « Les Professeurs de i'Ecole des
geux, méme tempêralure.
Beaux-Arts,a teur directeur ».
Lo service reiigieux avait iieu 4 i'église
AU llAVKE
(CentreHela Vlllel
Saint-Joseph, et le corièga se dirigea ensuite
iiWHTH IIMOUTS vers li gare. t'inhumation devant avoir Ilea
4 Clamart (Seine).
A midi....
■««••....**
76i
-J- 18
Devant le r'oargon oü fut dépos-5Ie corps
771
+ 13
du défunt quatre discours fureat proaoncés
ea présenee de l'assistance recueillie.
LA FÊTE A SOUHAITER
:
DiscoursdeM. Viyne,adjointau maire
AtJJOURD'HUL. Sainte-Denise
Mesdames,Messieurs,
DBA1AIN
Saint-Honoi'é <
L'hommedont nous déploronsaniourd'èüilo
perteoccapc-raeertnincmenlene plate conside¬
rabledsnsi'bistoirearlisïquedo noireciló.
II figurpraa un Ires beau rang-sur fa lisledes
'artistes,éérivaifis,poètes,musiciensqui soulnés
sur ce sol normand,oü il semble que ia raisers
iatinesoit venuediscipliner1'imaglna'ion
germafiique; danscettovillomêmeoü les affairesn'abCaisias
Scieatifique
SOibentpas toutel'activiiéhum.Rneet qui, tout©
La cutelette qa'on payc dix
jeune encore,a spportösa largeparta la gioire
sous ne pioduit guere que
littéraireet artistiquede notrepays.
soixante quiiize calorics. «iwq
Lamottefutun artistequihonora sa ville na¬
morceaux de Sucre scié ou uue
tale. li exceüadansun art exquis, bien francais,
assiette de haricots en prbduiseut re>pertiv.ment cent irealo
raitde patiencect de méthode,et qui a vu de nos
et deux cents. CoOt: un sou.
jours des maitres incomparabics
; aussi. Mes¬
(VictorMargueritte).
sieurs,ceqifil fut commegraveur, la placequ'H
a occupéo dans la partie de Part, je n'aurai
Mussalors, n des plats fameux
pasLincolnenancedovousle dire.Jeno mesensni ['autorité,ni la compéteacanécessaires pour
Oü l'art de Vatel s'ingénie,
unepareilletacho,et je laissea monancien colEi fi da i'adresse infinie
lègüeet ami,M.de Goninck,lo soin da louer,
Du marmiton devant ses'feux.
commeille mérite,1'artistequilaisseraun grand
videparminöus.
Et R des recettes savantes,
Je voudraisici en quelques"mots vousdirece
Des plats rares et délicats
qu'ilfut,commeorganisateur,coinmeconsc-rvateur
de noire musée ; et encore, Messieurs,jo
Dont Brillat faisait si grand cas,
crainsd'etre au-dessousde rna iSelre car pour
Qu',1 prönait on phrases troublantes.
fairedignementcel élogeje devrais retracerde¬
vant vous 1'hisloirede nos collectionsartistiques
Si l'on doit manger dociement
depuis1898.
Comme on nous engagek Ie faire,
G'estMessieurs,peu de tempsaprèsla nomina¬
tionde.M.Lamotteque fut réalisé Uagrandisse»
Si la question calori . . . fere
mentdonotremusée. LeIransfert de 'la Ui'blioDoit réglementer t' aliment,
thequomunicipaleau Lyeée, p3rmettaitenfmau.
nouveau cooservateurde classer et d'exposer
Simplifions le vieil usage:
nombredetoilesjusquela enfassées.
i
Le sucre pilé, cassé, so/a
L'nslallationdo ncuvcllcssallesnficessitaitun
nouveauclasscmect: c'élait une transformation
A 1'ha.ricot associé
compete qui s'imposail.
Nousfournira le menu sags,
Cetravail'de classemontil le fitavecune mé¬
thodepxceilenteet un goüt desplus averiis.
Expéditif ef si simplet,
Cemnséequiétaitdevenuun peu son oeuvre,
Si joliment êconomique
il l'aimaitprofondément; c'élait« son musée»if
Si süiemënt caloriRque
s'en faisaitvolontiersle ciceroneet ceux qui ont
pu parcourirnos galeries aveclui se ranpelient
Et si pratique et si complet,
sans dolife ce qu'ótait une «promenadeartisti¬
que» avecun pareilguide.
Qua par ses « fayots » d'ordonnance,
II connaissaitadmirsblerasntI'bistoirede l'art
(Régime sévère et normal
et è propos dMn« mailrc d'autrefois». il savais
Dont certains ont dit bien du mal,
i.'exposcraveccharme et simplicilé.Chaqueta¬
bleauavaitpourlui son histoireanecdotiqueei il
Mais c'étaii uiie impertinence).
savaitla conteravecbeaucoupd'humour.
C'estavec les lithographies,les vieillesgravu¬
La prison demeure en tous lieux
res concernantle Havrequ'ilavaitapprisI'bistoire
— Qui s'en fut douté, ma parole ! —
de notrecite,et il la connaissaitnon pas en éruL'hötel méoonnu — ca console —
dit.ou en historiënqui raconte des faits et énumère des dates mais en artistequi sail « illusOii vraiment l'on mange le mieux.
trer » les événemcals.
Albert
Herrenscimidt
.
Et a causeraveclui, on devinaitIe professeur
*' Petit Havre '*
U CUISINE
SO'j'B.C-SOiSE
LEJARDINÏER
LEDROIT
USÜEL
LES LIVRESPRIMES
OMieLocals
PAR-Clj_PAR-LA
si rose et si frais, se couvrit d'une subite
paleur.
— Sa mère, pensa-t-elle, tout effarée. Sa
mère ici ! Pourquoi ? daris quel but ? pour
me voir peut-être ?Mon Dieu ! Mon Dieu t
Voila que je ne sais plus quelle contenance
tenir.
Et son efnbarras était d'autant plus
grand, qu?en dépit des efforts que faisait la
vieiile dame pour paraiire occupée de tout
autre chose, la jeune fiile sentait bien
qu'elie 1'examinait avec une extréme atten¬
après:
tion .
— Voila le magasin, dit il.
— Grand Dieu ! que va-t-elle penser de
La voiture s'arfêta, ii s'élanca sur Ie moi ? se disait-elle, je dois avoir l'air d'une
trottoir pour ouvrir la portière et offrir la solte .
main 4 la comtesse et 4 sa mère, puis il
Et la pauvre petite, rougissant et palispaya le cocher pendant que ces deux dames sant tour a tour, plus timide et plus gau¬
entraient.
che que jamais, mais d'une gaucherie _qui
Cyprienne, qui, on le sait, attendait sa la rendait plus charmante que la plus ha:
belle cousine ce soif-la, leva vivement la bile coquetterie, He sachant ce qu'elle detête au bruit de la voiture, et, avec ce gra- voit faire de ses regards, qu'elle portait
eieux sourire qui éciairaii tout son char¬ tantót sur la vieiile dame, tantót autour
mant visage :
d'elle, tantót sur le plafond, la pauvre
Cyprienne, convaincue qu'elle avait l'air
— Voila Laurence, dit-elle a sa mère.
Elle s'était levée pour aller 1'embrasser, d'une petite pensionnaire ridicule et niaise,
mais elle s'arrêta, interdite, 4 la vue de la ei désespérée de ne pouvoir prendre un peu
vieiile dame qui l'accompaguait et qu'ellc d'assurance, eiit voulu se voir 4 cent pieds
sous terre.
voyait pour la première fois.
Albert entra en ce moment, ce qui ne fit
M. et Mme Tillard s'étaient levés égalequ'accroiire le trouble et ia gaucherie de la
ment pour la recevoir.
XXXVI
jeune fitte.
— Mes amis, leur dit la comtesse, je vous
II salua toute la familie etfut aecueilli
ILLUSION'SPEBDL'ES
amène une ciiente qui a queique chose a en homme qui n'est déja plus un étranger
acheter
ou
a
changer,
et
dont
le
nom
ne
Pendant le trajet qui sépare Ia rue de
dabs Ja maison.
Verneuil de ia rue Saint-Sulpiee, Albert vous est pas tout a fait inconnu, je crois,
— Monsieur, dit enfin Mme Dathis a M.
ne cessa de tempê'ter contre le cocher Madame Dathis.
Tillard, voici un médaillon qui a été acheté
et contre ses chevaux 'qui travan gaient
A ce nom, Cyprienne fut prise tout 4 chez vous, je voudrais y faire faire un petit
pas.
coup d'un léger trembleineut et sou teint, i cliaugemeat-
— Tout ce que vous voudrez, Madame,
répondit M. Tillard tout simplement, sans
phrases, sans gestes, sans sourires, ea marchand de la vieiile roche.
— Tenez, a la place de l'émeraude qni
occupe le centre du médaillon, je voudrais
un diamant.
— Fort bien, Madame.
— Un diamant de la grosseur de ccluf
que tient Monsieur en ce moment.
Le Monsieur, c'élait Juiien.
Elle disait cela pour avoir occasion de se
rapprocher de lui et de l'cxaminer tout a
son aise comme elle avail fail pour Cy¬
prienne.
Elle remarqua tout de suite que les
mains du jeune homme tremblaient et que
sa physionoinie exprimait une profondeagi¬
tation.
— Voila unbien beau diamant, Monsieur»
lui dit-elle.
— Oui, en effet, Madame, répondit l'ouvrier d'une voix visiblement altérée, il est
fort . . .
11s'interrompit deux secondes pour respirer.
^
— II est fort beau, dit-il enfin.
_
— Bon, pensa MmeDalbis, je sais a quol
m'en tenir quant 4 celui-la.
Puis, s'adrèssant 4 M. Tillard :
— Eh bien, Monsieur, lui dit-elle, voilé
qui est bien entendu, un diamant semblable a celui-ci a la place de l'émeraude.
— G'est entendu, Madame, répüqua Ie
bijoutier, et voila un médaillon qui aura
subi bien des transformations.
— Ii est vrai, mais il n'en sera pas plus
mal.
f.4
I Ai Peik Hawe — Vendredi 15 Mai 191é
Wmmmm
était bon, non d'une bonté de surface, mais d'une
bonté naturelle et intime qui prenait ses racines
dans un coeur plein de noblesse et de délicatesse
au M ; sensible aux moindres attentions dont il
était I'objet, M. Lamotle savait en témoiguer sa
reconnaissance de la fsqon l» plus délicate.
Chef 4 l'autorité paternel!», il était vraiment
aime de tous cenx qui travaillai»nt sous sa direc¬
tion et qui -ujourd'bv.ilc pleurcnt avec nous.
Nous voudrions que leur tristesse püt attónuer
la douleur de ceux qui viennent de perdre un
mari, un pcre adoré. Que la familiede M. Lnmotle
veuilie bien agréer ici l'hommage attristê de uos
respcctueuses condoléances.
fTHE-SALA
duVsrtdrwfi
15Mal
1914
Be 4 a 6 heures
3
üüaulrage
jS'un ISatrau
de peche
Le bateau de pêche Va-dc-bon-cceur, de
Loemiquelic, patron Le God, surpris par
une violente rafale, a sombré en face de
Gavres.
L'équïpage a été sauvé par 1" bateau de
pêche Berthe, 4 i'exeeption du matelot Rio,
agé de 45 ans, qui a coulé et dont le cadavrc
a ensuitc été retrouvé.
Gravllle-Sainte-Honorlne
GEANDCINÉMA
GAUMOHTConseilMunicipal.—
LESGRAMDES
MARQUES
Le Conseil se réunira a Ia
Mairie,en session ordinaire, dimnpche prochain,
Aujourd'hui
vendredi
15
mai
a neuf heures du matin, pour dOfi&Srer
sur l'ordro
CEQUEUESSONT
1914, a 8 h. 3/4, première re¬ du jour suivant ;
Ilatel
F*'«ee:.x<ï
Nous apprenons que M. Meslier, qui assurnait avec tant d'iilïabiüté la direction de
i'IlötelFrascati, abandonne, pour la seconde
fois, cette lourde t'onction.
II nous prie d'etre son interprète pour remercier tons ceux qui durant sou séjour,
parmi nous, ioionttémoigué leur sympathie
et prodiguê lours encouragements, et, désirenx de'oe laisser aucun compte eu souffrance, MM. Meslier, convie MM. les fournisseurs 4 lui faire pai venir, au plus tót, ie rcievé de leur compte, en date de ce jour.
(5° CYCLE)
— Le Faux
Magistral
—
grand drarae policier en 5 parties, dont un
prologue, mis au cinématographe par les
Etablissements Gaumont, d'après Ic célèbre
roman de MM. P. Souvestre et M. Allain.
(2,000 mètres de pellicules piiotograpliiques,
2 heures de projections).
Prologue : Au Chateau des Loges.
lre pai'iie : Le Prisonnier de Louvatn.
2« partie : M. Gh. Pradier, juge d,'instruc¬
tion.
3° partie : Le Magistral cambrioleur.
4c partie : L'Evade de Êouvain.
Fantomas
sera projeté sur l'écran 4
9 h. 45 en soirée, (4 3 h. 45 en raatinée) et
sera précédé par les vues suivantes ;
HImiiou, comédie sentimentaie ; !e Maroc, panorama ; Onésime fait des economies,
eomique ; les Actualilés Gaumont.
Prendre ses places en. location pour ce
spectacle sensationnel. Tóléphone 15 31.
Service spéüial de tramways 4 la sortie.
On peat lamer au promenoir.
De même qu'il existe dans toutes les pro¬
fessions de3 hommes supérieurs
4 leurs
confrères par l'inteliigence ou par Ie talent :
grands avocats, grands médecins ou grands
artistes, de même, ii existe, dans toutes les
branches du commerce ou de l'industrie,
des maisons qui s'élèvent au-dessus du ni¬
veau commun de leurs concurrents, non
seulement par l'extension de leurs usines,
le nombre de leurs ouvriors ou leur chififre
d'aflaires, mai3 surtout par ia supórioritó de
leurs procédés de fabrication, l'excellence
de leurs matières premières etlo cachet lout
particulier que porte chacune de leurs crea¬
tions.
Cos maisons de premier ordre, ce sont
« Les grandes Marques industrielles et commerciaie3 ».
Eiles out acquis leur imputation par leur
loyauté jamais eu cléfant, par leurs efforts
sontenns 4 fournir 4 ia consommation des
produits invariabiement supérieurs pat' leur
dêsir constant d'arriver, au prix de tous ies
sacrifices, 4 produire la marchaudise la meiileure de leur spécialité.
D'ailieurs, ies grandes Marques n'liésitent
pas 4 recourir 4 la puhlicité la plus large
pour faire Ie consommateur juge iui-méme
de ieur supériorité.
Le public doit dortc leur accorderune con¬
fiance iliimitée ; il exposerait 4 tous les risques sa bourse el sa santé, en ne s'adressant pas exciusivemeat 4 elles pour sa con¬
sommation.
Moncher grand ami,
Je ne serrerai plus voire main s' Icrgemeni ouverte, un peu tremblante d'avoir créé tant de
PROGRAMME
chefs-d'oeuvre; je ne verrai plus voire lin et
doux sourire. je ne vous entendrai plus égrener
PREMIÈREPARTIE
avec tant de tonnesse et d'esprit ces délicieuses
anecdotes « en marge» dei'histoire urtislique con¬
1. TheStars ami Stripesfor eoor
«marcheatuéricaine)
I Soüsa.
temporaine dont vous charmiez pnrfois rnon la¬
Do
DELIBIS-ALDER
Ö
beur adralDistratif; mais je garderai profonriéSyloia (ballet)
ment
gravó dans mon coeur le souvenir des
Schumann
( a) Rëoerie
moments trop courts hèlus ! oü vous (aissiez
BOCCKEIUNI
| b) Menuet
v itre amilié pour vos jeunes col ègues dj secre¬
8. «AGSER-EMB tariat s'éoancber en des eolreliens familiers.
Lohengrin(selection)..
Chefs ou simples employés nous conscrverotis
D.
Popper
3. Arlequin.
Fiewe
Apïïfests©
tous égaicment.un souvenir impèrissabie du col(SMulie violoncellepar M. RenéGosselin).
légue sidroit, du chef si juste que vous avez èié.
Le
Préfet
de
Ia
Seine-Inférieure
avisê
En notre nom 4 tous, adieu, mon cher grand de l'exisience do la fièvre aphteusea été
DECX1ÈME
PARTIE
dans le
ami i
département du Calvados, 4 Tracy-Bocage,
6. LesNocesdeFigaro[ouverture) BKlM-TlTAS
Discours dé M. Boisson
canton de Yillers Bocuge, arrondissement de
7. Causes Noroégiennes
Ed. Griet
Caen.
Professeur a l'Ecole des Beaux-Arts
8. La Tosca(selection)
c.puccini-tiyas
9. Trés Jolts (suite de valses) .. '• WiUIEWL
Mesdames,Messieurs,
10. LeComtede LuxembourgimarNotre doyen, M Masse, étant soufiïsnf, m'a
Fr. Lehar
che)
prié de le remplacer dans la douloureuse tachede
venir, mon cher et vénéré directeur, au nom de
mes coliègues, les professeurs de l'Ecote'dcs
^'©yssyessx'a eaifsi
1 Orcftestre,
sons
!aDirection
deM.Léon
DUFY tous
Beaux-Arts,au nom de vos chers éièves, dont je
Mardi, les gendarmes d'Harlleur, en tour¬
connais bien les sentiments d'affeclion pour vous,
PIANOa QueueENACD
vous dire ie suprème adieu.
nee sur le territoire de Saint-Laurent-deMalgréles inquietudes que nous inspirait de- Bièvedent, étaient informós par M. ie chef
puis longtemps voire santé, nous uvons de la de italic de cette commune, que deux indipeine 4 nous faire 4 i'idee de ne plus vous re- vidus avaient été vus descendant 4 contre
qu'il devait être : c'est dans c t art si difficileet voir.
si dé icat de Penseignenunt arlistique que LaMalgréla maladie, malgré t'ilge, vous éliez resté voie dn train da 4 h. 30 vsnant de Rouen,
iriolte a réelleroeni triomphé. 11 avait les deux
plus jeune et le plus vailtant parmi nous et il qu'ils avaieat escaladó la cloture da la halte
grandes quuités, j'alDis dire les deux graudes Ie
nous semhiait que la mort devait reculer devant et cherchaient na refuge dans un terrain
'vertus d'un Mailre; it aimait son métier et il ado- cette
Grand - Thëêlre
rait ses éièves : c'était le Mailre,dans la noble pas. vaitlance, .. Mais, héias, Ia mort ne recule boisé situé prés de 14.
Les
gendarmes
se
mirent
imroédiafement
accfption de ce mot : celui qui sait voir et disSeconde de Louise
Voire souvenir, mon cher directeur, restera a leur recherche et trouvaient biehtöt un
cerner los aptitudes des êlèves qui lui sont con- pour
nous un exemplo rêconforlant de ce que des individus sur le chemin de grande com¬
ties ; étudier et observer les diverses fo mes de peut faire
Bien
que
Mile Suz. Cesbron ne fut point
la Bonté unie 4 la Volonlé.
la S'-nsibilite; leur indiquer la voie oil elles pourmunication numéro 34.
eu pleine possession de ses moyens, Ia se¬
Vous
aimiez
vos
étèves,
vous
aimiez
vos
pro¬
ront se développer ie plus librement. Aussi fut il fesseurs et vous saviez par votre exemple, par
Interrogé, il déclara se nommei' Eugèncrepresentation de Louise a renouveié
un admirabledirecteur de cotre école des Beaux- votre bonne humeur,ptr votre confiance en nous, Hitaire Rouyer, journalier, nê au Havre, Ie 3 conde
le vif succès de la première.
Arts.
, .J
par
vos
encouragements,
toujours
bienveillants,
fevrier
1894,
et
présenta
uu
billet
de
sortie
Une salie brillante a souvent applaudi et
One d'éléves. Messieurs, sont.venus lui deman- susciter chez tous une emulation saliitaire, un de la maison d'arrêt de Rouen. Comme il
rappelé l'interprète dn röle de Louise, qui a
fler le complément de leur éducation artistique, dévouement
complet
aux
intéréts
de
l'école.
possédait
sur
lei
une
somrne
de
7
fr.
CO,
il
combien d'auire» sont venus apprendre auprés de
G'est ainsi que vous êtes parvenu 4 pouvoir ofti'it de payer le montaut do son voyage, notamment cliantó avec une rare délicates¬
Jui les premiers éléments de leur art. Une fois dire
se d'expression ie grand air du quatrième
un juste orgueti : « J'ai fait dé mon
formes, il les suivait dans la vie, s'intéressait 4 écoleavec
acte ; M. Mirny, un vibrant Jalién ; M. Vaune des premières de France » Les rapports soit 3 fr. 85','puis ii tut relaclió.
enx. et eest ainsi qu'il a fait de notre école un des inpecteurs
Le
second
individu
fut
ri-ncontré
sur
le
lès, un père, au jeu sobre, qui a enievódans
au Ministère des Beaux-Arts sont
centre d'anseigneim-nt connu et estitnö par le la pour en temoigner.
chemin de grande communication 111. 11 un joli mouvement dramatique la scène fi¬
Ministère des Beaux-Arts.
Je
prie
MadameLamotte
et
ses
chers
enfants
reiusa
de
faire
connaitra
son
identité.
Misen
nale ; Mme Dalcia, dans ie róle de la mère
Gette école. ce musée ont occupé son esprit
l'expression de nolre respectueuse ét état d'arrestation, ii fut fouilié et trouvè por- qu'elle rempüt avec autorité, et tout parti¬
jusqu'a la det" ére minute. Je ne puis sans une d'agréer
douloureuse
sympathie,
souhaitant
qu'elle
puisse
teur d'un bulletin de naissance au nom de cuiièrement parmi los petits röies, M. Lamy,
vive émotion me rappeler la dernière visile que être un adoucissement a leur profond chagrin.
Jean Joudren, né au Havre, le 24 avril 1889, dont la jeune et joiie voix de ténor a donnó
je lui fis ; il était encore a la clinique. Sa guériEncore
une
fois,
mon
ch»r
et
vénéré
directeur
son était prévu» e' certaine ; et la santé avait ra- avant de nous séparer a jamais, je vous dis «u et d'un billet de sortie de la prison de Rouen, un certain relief' aux röie du ncctambule et
mené un fin sourire sur ses lèvres raitleuses. Je nom de tous, professeurs et êlèves, Adieu ! d'oü ii venait de p>jrger une peine d'un du pape des fous, et M. Zery, dans celui du
Je suppiiai de ne plus se soucier pour quelque Adieu !
mois de prison pour outrages et rébellion.
chiffounier.
temps ni du musée ni de l'école. de les oublier
II déclara qu'il avait pris un billet pour
L'ouvrage de Cliarper.tier est plus que
complèteuient pour ne penser qu'a lui-raéme, 4
L'assïstanee, vivement émue, présenta en- Yvetot,
mats avait préféré conlinuer sa route jamais, inscrit au répertoire. Les amateurs
sa familie et a sa santé, et il me le promit, mais suite 4 la familie du regretté défunt ses con¬
pour serendre an Havre. Comme ii ne pos 'de musique s'en réjouiront. C'est vraiment
Je sentais bien qu'il ne pourrait tenir cette pro¬ doléances attristées.
sédait pas la somme nécessaire pour soider une oeuvre, dans la plus haute acception du
messe ; jusqu'au dernier jour, jusqu'a la derniére
heure, il s'est tenu au courant da ce qui se pasle prix de son voyage, i! a été maintenu en terme.
L'Allaitemeiit
ArslSSJeael
sait dans les services qui lui e.taientconfiés jus¬
état d'arresUtion* pour infraction a ia police
A.-H.
qu'a la dernière minute il a voulu accomplir « la
M. Arrnand Gaotier a fait, avaut-hier, a des chemins de fer, bris de cloture et refus
longue et leurde t&cheque le sort ici bas lui i'Académie des Sciences «ne intéressante
de fournir pièces d'état civil.
La Rlreefiott
«lat Erand- 'J'f séj«<«•©
avait assigné »
De plus, 'Joudren est un iuterdit de séjour.
Tel fut l'bornme dont nous portons aujourd'bni communication.
Nous
avons
recu
ia visite au Petit Havre de
II est venu exposer nne iongne série d'ob- 11a été conduit au Ilavre, 4 la disposition
Je deuil. Au nom de M. le maire du Havre, au
M. Masson, le nouveau directeur de notre
momde l'Administrationmunicipale, au nom du servations daas a MM.Variot et Fliniaux qui de M. le procureur de la llépnbüque.
première scène.
Conseil municipal tout entier, j'apporte ici le té- renversent tontes le3 it^óes jusqu'aiors adM. Masson quitte le théatre de Cherbourg,
moignage de notre profonde donieur.
mises en ce qui cancern'é I'élevage des nouroü il a fait belle et bonne besogne artistique.
Vole»is"B de l'liiwl»
J'apporte a sa veuve et a ses enfants le témoi- rissons.
gnsge de notre sincère sympalbie et l'assuraoee
Conseii municipal s'est plu a reconnaitre
I.es sous-brigadiers cyclistes Leneven et Le
Les observations ont porté sur plus de
que tn Vitten'oubliera pas les service que lui a
ces efforts prenant une délibération qui féli800
enfants
appartenant.
anx
Gouties
de
lail,
Cadinot
apercevaient,
au
cours
de
ia
nuit
cendus l'homme qui leur laisse un si beau nom
M. le directeur de son activité et regrette
fondées par le docteur Variot : on a pu cons- de mercredi a jeudi, trois individus qui cite
entouré d'admirationet de respect.
tater qu'élevés au biberon, 4 condition d'ob- poussaient nue voiture 4 bras con tenant son départ.
M. Masson nous a exposé les projets qu'il
Discours de M. J. de Conirtch
serveries régies liygiémques nécessaires, les environ 400 kilos de tuyaux de piomb.
Interrogés sur Ia iégitimité de la posses¬ se propose de réatiser au cours de la saison
enfants prospêraient mieux que ceux qui
ancien adjoint au Maire
étaient ólevés exciuaivemeut au sein.
sion de ces tuyaux, les trois compères se procliaine.
Nous y reviendrons en temps utile. BorMesdames,Messieurs,
II résulte des observations que ceux qui troublèrent et durent avouer qu'ils venaient
C'est avec une profonde douleur qua jo vois sont élevés snivant une méthode mixte, moi- de dérober ce piomb a l'Hospi'ce General. lis nons-nons 4 noter que la direction a traité
disparailre du milieu de nous mon vieil et excel¬ tié biberon, moitié aliaitement naturel, s'en avaient voló égaiement la voiture qui ap- avec l'impresario Gh. Baret pour une série
lent ami Aiphonse Lamotte. En effet. depuis son trouvent mieux encore.
partient a l'hölel de Normandie, rue de de spectacles de comédie qui auront lieu
arrivée au Havre en 1898, comme Conservateur
tous les quinze jours, ie mardi.
L'Académie
des
Sciencss
a
été
vivement
in¬
Paris.
du Muséeet Directeurde l'Ecole des Beaux-Arts,
mardi suivant sera consacré 4 une soiIls ont été mis 4 Ia disposiiion de M. le réeLe d'opéra-comique
kous avons toujours eu des relations suivies et téressés par la précision rigoureuse et i'imde gala, avec !e con¬
commissaire de police de la troisièmo sec¬ cours d'une artiste en representation.
des dIus amicales. C'esi moi qui ai présidé sa pre¬ portance de la communication du professeur
mière distribution des prix de l'Ecole des Beaux Arrnand Gautier.
tion.
Le répertoire de la saison d'hivor comArts, et, frappéde l'imputsion qu'il avait de suite
lis se nommentEugène Foubert, agé de 36
surtout de l'opéra-comique, Carmen?
donoée 4 l'Ecole, je faisais de lui un éioge qui a Bi©» Cartes
ans, couvreur, demeurarit rne de la Ilache, prersdra
jswstale»
avec
rf|t®nse
tVertker, ie Jongleur de Notrs-Damc, Lakme,
pu parailre exagéré, m-is qui a elé pieinemenl
2
;
Francis
Jolly,
'agé
de
19
ans,
marin,
sans
ï»s*Jé®
juslilïé par la suite, car nous pouvons constatcr
de l'operette viennoise, reprise, avec
domicile; Michel Baba, agé de 33 ans, ma¬ etc.;
4 la gloire de Lamotle le grand développemenl de
L'administration postale a fait parvenir
mise en scène luxueuse, de la VeavcJoyeuse,
rin,
demeursnt
rne
Jules-Masurier.
l'Ecole et les beaux succes qu'elle a obtenus dans aux chets de service, pour être commuriiIe Comtede Luxembourg, do Ja Chaste Suzan¬
Le noramé Foubert était en outre porteur ne,
les expositions et son boa cïassement parmi le» quee aux agents des p03tes, la note suietc.; creation de Carmosine, l'oeuvro
d'un certain nombre de clefs ou rossignois.
écoles de France.
charmante do notre compatriots Henry FéDe raême pour Ie Musée,mon ex-co!!ègue ei vante ;
II arrive parfois que certains bureaux convrior, qui viendra diriger l'orchestre le soir
ami M.te docteur Viguê vous a montré éioquemde la première ; de ia Fille de Figaro, un détilarc
ment l'oeuvre de Lamotte,il me resle 4 parler de sidèreut comme nou affrauchie, ou même
l'bornme iniime et de «'artiste. Adjoint chargé des r«fusont de transmettre ia partie réponse
licieux opéra-comique de Xavier ijeronx sur
Un
journalier,
Yves-Marie
Guenec,
agé
de
beaux-artssous plusieurs municipalilés. membre de ces cartes poslales avec répouse p.ivóe,
un spirituel iivret de Iiugues Delorme, le
19
ans,
demsurant
rne
Dicquemare,
27,
a
de la Commissionde surve Ilance de l'Ecole des origiuaire de l'étranger, sous le pretexts
succès actuei de l'Apolio, etc.
été
arrêté
jeudi
matin,
vers
sept
heitres
et
foeaux-aris,du Comité d'achat du Musée,j'étais
lesdites cartes ont été fabriquées par demie, dans ia rue du Général-Faidlierbe,
M. Masson a déj4, en grande partie, com¬
en relation constante avec Lamotte. Que de fois que
i'indastrie
privée
et
que
1'affranchissement
pose
sa troupe.
«esuis monté dans son petit cabinet du Musée,ou
sous i'incuipstion de bris d'une giace d'une
Sigoalons, 4 ce propos, deux engagements
il m'accueiilait avec enthousiasme, et la nous est réaiisé au moyen d'un timbre-poste
valeur
de
200
francs,
4
la
devautnre
d'un
qui seront accueillis avec !a plus vive satis¬
causions art et il me faisait part de ses pro- collé au lieu d'uue figurine imprimée par café de cette rue.
jets d'arrangemont pour le Muse»,ses projets de les soins de I'administrution postale du pays
par le public bavrais, ceini de M.
Une enquête est ouverte pour étabiir la faction
composition pour sou Ecole. car il aimait pas- d'origiae.
Bargel, le grand premier comiquc sous ia
culpabilite
de
Guenec.
sioniu-ment son Ecole, son Musée,je dirais méCette tacon de procéder est la conséquendireclion Coste, et 'celui do M. Baron, jeune
me plus, c'était sa vie, il souffrait quand il lie
d'une iaterprétation erronée des ï'èglepremier comique.dont on a conserve au Ha¬
pouvait pas oblenir ee qu'il désirait pour son ce
vre le meillenr souvenir. Ce sont 14deux élé¬
Ass CtsïéïM® Clanniont
Ecoie ou pour son Musée.G'est qu'il les vouiait ments. La convention postale universeile
ments précieuxde succès.
grands et beaux, il rêvait 1'anrandissementde son n'a pas réservé au profit des diiïéreutes
FantsiuaR
Saï»x magistrat
M. Masson nous a domté l'assurance de
Ecoie et celui du Musée qui, évidemment,ne peut administrations de l'Union le soin exeluAprès
avoir
été
tant
do
personnages,
ie
plus suffire pour exposer ses ricbesses, mais il sif d'émettre les cartes postales avec ré¬
son plus ardent désir de donner a son ex¬
bandit
est
coadamné
en
Belgique.
Fantumas
est mort avant d'avoir pu rêaliser ses beaux rêves. ponse payée,
ploitation théatrale un intérêt artistique dine serait pas Faniömas s'il ne parvenait 4 gnc de notre cité. Les sympathies ne tardeMaisquelle joie, quaud il pouvait réussir, quand
Ges cartes pen vent done être fabriquées
successiveaient il avait obienu de nouvelies sal- par l'industrie privée et elles doivent être s'é va-iei' avec la complicité de Juve. Pour- ront pas 4 lui savoir 'grédeses efforts eta
les, quelle joie quand il obtenait un legs, un ca¬ acceptées et régulièrement transmises,pourquoi Juve fait-ii évader Fantömas ? Pour le l'encourager dans une oeuvre ingrate et dé¬
deau pour le Musée; couibien il élait heureux
livrer en France an bourrean. Comment Fan- licate 4 taquelle il entend consacrer en
quand le Muséefaisait une nouvelle acquisition: vu q u'elles soient afi'r inchies au moyen de tómas devient-il juge chargé de poursuivre
toute conscience le meiileur de son activité.
'l'Art, pour lui, éta't sa vie, il pensait encore pou¬ timbres-poste V3iables dans le paysd'origine
voir travailler a sa gravure, mais il était si absorbé des cartes postales avec réponse payée ou, sa bande ? Comment Fantömas, juge, entreA.-H.
t-il
en
poisossion
de
259,000
francs
de
bijoux
'par ces nouvelies fonctions, qu'il n'avait plus en d'autres termes, dans le pays de destina¬
de la marquise de Tergai! et de 800,000 francs
guère le temps d'y travailler sérieusement.
tion des parties réponses, que ces timbres
C'était pourtant un grand artiste ; comme gra¬
a la marquise devenue veuve ? Par une sé¬
Samedi, veilla de ciöture, représentation
veur de reproduction, il avait obtonu loutes les soient coilés ou imprimés directement sur rie de faits que vous verrez ce soir et jours de Manon, avec le concours de MileGesbron,
les
caiaes.
"
recompenses qu'on peut avoir au Salon et même
suivants au Cinéma Gaumont, oü il est pru¬ de l'Opéra-Coraique, dans le röle de Manon,
la croix de ia Légiou-d'donneur. II eut certamedent de reteair ses places en location. Télé- MM. Marny, Mezy et Valcs dans ceux de Des
ChciuiiM
de Fes* l'Efat'
ment 4 une certaine époque une grande vogue, et
phone 15.31.
Grieux, de'Lescaut et du comte Des Grieux.
la preuve en est que Ie pére Meissonnier,qui n'éDans le hut de faciliter les relations entre
Bureaux 8 h. Rideau 8 h. 1/2.
litit pas d'un ab»rd facile, avait consenti a l'autoLe
Havre
et
ia
Basse-Noi'mandie
et
la
Breta'riser a reproduire ses muvres. Lamotte m'a sou¬
Dimanche, cloture de la saison, Werther,
I'ol
d'une
Fall»©
gne,
i!
sera
délivré,
iusqu'au
2
ociobre
1914,
vent raconté ce succes. Actuellement, la gravure
drame lyriqua de Massenet, avec concours
de reproduction n'est plus a la mode, elle a été par toutes les gare» ««s 'ugnes de Normandie
tin nomaié Aimé Jamard, agé de 44 ans, de Mile Mazarin, do l'Opöra, dans le röie de
rempiacée dans les goüf.sdu publicpar la gravure et de Bretagne et aux gtiichets de la Compa¬ chiffonnier, sans domicile fixe, a été arrêté Charlotte, Mile Rezia interprétera celui de
orixina e, mais rien ne dit que dans l'avenir elie gnie Norraande de Navigation a vapeur, des
«ce repreDdra pas faveur et sera recherchêe 4 billets directs comportant ie parcours par liier matin, vers dix heures dans la rue ces Sophie et M. Marny dans ie röle de Werther
Viviers. II venau de dérober la vatise d'un dans leque! il oblint Iors de la précédente
•grandsprix.
Nous en voyons constamment l'exemple. Mon¬ mer du Havre 4 Troüvilie et par voie ferrée, voyageur de commerce, M. Gaston Masson, représentation son plus grand succès de la
sieur Lamotte a été un des membres trés actifs de la gare de Trouville-Deauville au point dans Ic couloir do l'Ilötei «es Amies.
saison constató du reste par l'uuanimité de
de la Sociétédes Amis des Arts. I( s'en est séparó de destination et inversement.
Jamard a été mis 4 la disposition dtt Par¬ la presse Havraise.
Le prix de ce billets est ainsi calcnlé ;
su moment de la scission qui lui faisait beaueoup
quet.
Bureaux 8 b. Rideau 8 h. 1/2.
de peine et qu'il considérait comme funeste 4
Trajet en chemin de fer. Prix du tarif or¬
l'Art, aussi combien a-t-il été heureux quand a Ia
M WOTET. JSATI3TZ
. 52.?.Sila
B0STS2-17
8.-TMfit'
ülinique,je lui ai annoncé que j'avais réussi Ia dinaire ;
Trajet en bateau : i fr. 80 pour les billets
Fusionet que les deux Sociétês se réunissaient
Théêtre-Cirque
Omnia
pour faire une exposition importante
de
et 2Cclasse fehemia de Ier) et Irc claslïi'hèlcrie
D'accord avec lui, j'avais décidé des grands se (bateau), et 1 fr, pour les billets de 3e
oaarchandsde Paris 4 exposer au Havre des oeu- classe (chemin de fer) et 2«classe (bateau).
Sachaut qu'ii n'avait pas nn sou en poclte,
vres importantes, susceptibies d'etre achetées par
GIWESV1AOW1NSAPATHÉ
Un service special de trains est organisé un ouvrier terrassier, Jules Drogues, agé de»
ie Musée,et il se réjouissait comme un enfant 4 entre
Trouville-Deauville
et
Le
Mans,
pour
41
ans,
sans
domicile,
se
fit
quand
même
Aujourd'hui
vendredi, a 9 heures, soirée
i'idée de cette exposition et des achats que nous
servir 4 boire et 4 manger chez M. Le Niger, de cinématographe,
avec ïrn Fill©
«ï©
pourrions fi.ire pour son cher Musée. C'élait no¬ assurer les relations ci-dessus.
MM. les voyageurs soat priés de consulter
débitant-restauratecir, rue D m chine, 65.
ire d rnier entretien et cela a éte aussi, je crois,
IVeJSt, grande scène dramatique de M. A.
les affiches concernant ces trairis qui sont
sa dernière joie.
II faut reconnaitre qu'il ne fit pas rie fo¬ Machin ; Ra Familie
SSoSéro, avec
Au nom de la Société des Amis des Arts, au apposées dans toutes les gares des ligues de lies, car i! ne fit monter la note qu'a 1 fr. 10. Prince dans le röie tie Petit-Pré. Le pronora des membres de la Commissionde surveil- Normandie et de Bretagne.
Mais sor la plaiate du restaurateur, Drogues gramme se compléte pai' une grande chas;e,
laoce de l'Ecole des Beaux-Aris, du Comité
a éte arrêté.
Le Pacte, scène dramatique ; Ma Belle-Mire
d'achat du Musee,j'adresse a sa familie si douen a mangé, scène comique ; Max Pédicure,
loureusemenl éprouvée par la perte d'un chef si
comique, et lesdernières actualités du Pcithéaimé, l'expression de notre vive et douloureuse
ÏJae VeHiire
model©
sympathie et j'adresse a l'ami Lamotte un der¬
Journal.
Réunir dans une voiture de puissance cou¬
nier adieu.
Bureau de location ouvert comme d'nsage,
rante
tous
les
perfectionnements
qui
ont
Service spécial de tramways 4 la sortie.
Discours de M. Gas
Ko» XraitgatlaniluHts
jnsqn'4 ce jour été réservés aux modèles de
Les Départs de demain
force élevée, tel est, le hut ponrsnivi et atteint
Mesdames, Messieurs.
Le départ postal liebdomadaire sur New- par les Usines Clément, Biyard, en créant la
i,a disparition soudaine et imprévue de M. La¬
tosicert
WooHett
motte, a douloureusement ému le personnel des York, sera effectué demain pur le paquebot torpedo 12 HP, 4 7,200 francs. Concessionnaire : Eieclricitè Industnelle, 13, place de
On peut dès 4 présent se procurer, chez
Services municipnuxet particuiièrement ses col¬ France.
M. Hoffmann, marchand de musique, rne de
iègues, chefs des divers services. Avec M. La¬
Le service sera doublé par ie steamer Caro¬ l'Hötel-de-Viile, Havre.
motte ils ont perdu en effet, en même temps que
Paris, des billets numérotés 4 5 francs pour
lecollègue illustre qu'ils êtaient fiers de compter line.
le concert organisé par M. Wooliett ponr
Ces
deux
paqnebols
doivent
quitter
notre
paimi eux, Ie doyen, le camarade, l'ami sür, dont
SSassvorsé pap tin f'y eSiete
le mercredi 27, rne Augusto-Dollfus, avec le
ils avaientpu souvent apprécier la droiture de port 4 une heure de l'après-midi.
Alors qu'il passait rue Faidherbe, mer¬ concours de M« E. fïall (de Boston), Mile
earactère et la bonté.
credi après-midi, vers cinq heures et demie, L. Loskine, Mme J. Lacoste, etc.
La douleur de ceux de ses collègucs 4 la Mairie
Jj'.iaèe
M. Albert Sinette, agé de 25 ans, tubiste,
Des reductions de prix seront accordées
qui ont eu le bonheur de pouvoir l'approcher
plus souvent et de plus prés est d'autant plus
Le paquebot neuf Asie, des Chargeurs s'est tronvé renversé par un cyclisie, M. aux professears de musique et musicians
vive qu'ils connaissaient mieux l'bornme exquis Réunis, après avoir subi quelques modifica¬ Yves Capdevert, journalier, demeuraot 10, d'orchestre, ainsi qu'aux éièves de i'Ecoie de
que fut M.Lamotte.
rue du Grand-Croissant.
Musique.
tions daus ses machines a quitté Dunkerque,
Artiste d'un prestigicux talent, qui avait connu mercredi, pour de nouveaux essais, 4 exéM. Sinette fat blessé légèrernent a la joue
toutes les ivres^cs de la gloire artislique, il res
gauche. Après avoir recu des soins 4 la
tail d'une simplicité charmante qui n'avait rien culer au large de Brest.
Am f»£é yisjewiic. Chansonniers montIi doit effectuer le départ du Havre, le pliarmacie Debains, il put regaguer son do¬
ri'affecté,qui n'était que le reflet d'une Smesans
raartrois dans leurs oeuvres. — Entree libre.
micile.
ilétours et d'un esnrtt sans morgue, Avant tout, ii 39mai,pourlaCöted'Afrique,
O
f
k
Falts Divers
m n.Mi
nmi .mi'iumrniiMiinmin
nli
<■«
inin ■«■—un«i
11mui» im
presentation du plus fantastique
episode de la célèbre série
des :
FAHTOMAS
!
Folies- Bergère
William Burtey amèue toujours nn excel¬
lent spectacle ; cette année ii s'est surpassé,
taut Fe programme qui accompigne la trés
amusante revue I?ïs>sï5s eoit si(a«igsjal y
jpens©, est de premier ordre et les artistes
sont tous des vedettes parisiennes.
Oa ioue déj4 ses places pour samedi et
pour dimanche en matinée et en soirée.
T{!ÉaTrtES_&
COJiCERTS
taelleslaritiies
I — Communicationsdiversfs.
II —Ecoleset bailmentscummunaux.
1. Vole de crédit pour paiement des isoloirs réglementaires pour élections ;
2. Approbationdu devis pour amenagemtnt da
la salie de réunion des Acacias en cl:)<se provi¬
soire et demande en participationdu département
pour mobilier scolaire ;
3. Approbationdu devis pour construction de
Classes provisoires au grotipe scolaire d»s Neues
et demande en participation du département pout
mobilier scolaire ;
4. Créaiiond'emplois d'instituteurs et d'institutric»s-adjoinies pour les divers projels de ciasses
nouvelies ;
5. Approbationdu projet d'agrandissement de
Ia caniine de l'Ecole des Neigcs ;
6. Approbationdes polices d'assurances poui
bdliments comraunaux ;
III. — Finances.
J. Approbationétat présenlant les non-vateurs
(exrcice 4913);
2. Approbation autorisations spóciales (cxercice 1013);
3. Approbationdes états de cotes irrécoüvrables ;
4. Approbationde l'état présenlant les excédents de dépenses sur crédits ouvert au bungel
de i'exerce 1913;
5. Prélèvement de fonds pour dépenses imprévues ;
6. Subventions aux diverses sociétés (exercice
1913);
7. Subvention au bureau de bienfaisance pout
secours aux chómeurs ;
8. Rectiflcationdu iibeilê des art. 108,Ho el
U9 du budget primitif de .914 ;
9 Veniede vieux papiers provenant de fournilures scoiaires ;
10. Autorisation au Reccveur municipal d'encaisser differentes sommes provenant de veates
effriclucespar lo service de la voirie, plans, extraits de matrices, etcf ;
H. Autorisation au Beceveur municipal d'encaissser le möntant dos carnets vendus pour prét
gratuit de livres de !a bibliotbèquomunieip lo et
ratification du prix de vente d ces carnets ;
11. Vote de crédit pour paiement du plan de la
rue Vauban prolongée;
13 Voto de crédit pour solde des fourniiures
de grains et fourrages fait par M. Palier «exercice
49 3);
14. Aulorisalionde remboursomeat de cautionnement a M.Lebosse (adjudication de grains et
fourrages en 1913);
15. Votede crédit pour paiement indemnité accordóe au secrétaire do mairie rèvcqué ;
46. Vote de crédit pour fourniture de caillou
faite par M Lamberten 1912;
17. ItégulnrisatioD do ia vente-location pour
machine a écrire Undervood;
48. Approbation décompte Compagaie des
Eaux;
)9.Approbalionde diverses délibérations du riureau de bienfaisancerelatives a legs, dispense de
marché, etc.;
20. Vote de crédit pour paiement cours dc vacances faits par des instituteurs du Centre ;
21. Régularisation de conccsHon Amand Lefranqois ;
Voirie.
I. Rue en face l'Hölel dc Vdle ; dénominalion ;
projet de construction de grille sur le mur de ciö¬
ture de la placette comprise entre les rues Hcgésippe et Athanase-Agasse;
2. Autorisation d'encaisser part réservöe pout
droits de voirie dans ia liquidation Ruault ;
3. Projet de transaction pour droits de voirie
taffairo Migraine);
4. Projt t d'acquisiiion amiable du terrain néces¬
saire au prolongement de la rue Vauban(affaire
Compagnie francaise des Extraits linctoriaux cl
tannants ;
ö. Projet d'acquisiiion amiable d'une bande de
terrain appartenant a MmeNormaudetincorporée
indüment au chemin d'actès du réservoir des
eaux de Soquence ;
6. Projet de vente de ferreilte ;
7. Projet d'entreiien par abonnement du harnachement des cbevaux de la voirie municipale ;
3. Avis sur enlevement des boues sur la route
Nationale aux frais de la Vilto de Graviile;
9. Projot de pavage des bandes empierrées de
la route Nationale;
10. Agrómentd'un sous-traitanta ('adjudication
déclarée do la fourniture de cailloux pendant la
période 1914-916;
41. Résiliaiionbail Merienne(Abbaye);
12. Projet de location d'un terrain communal si¬
tué derrière la Mairie;
13. Pzojet du renouvetlement du contrat pour
construction d'abaitoirs avec M. Degoy;
11. Avis sur demande d'une ïndewnite réclamée
par MM.Leprevostet Goument pou«-prejudice ou
domuisges supporlés dans la construction de
l'égout de la rue Vauban;
15. Avis sur projet de location de la Carrièrede
Soquence ;
18. Projet de location de la Salie des Fêtes;
17. Projet de construciion d'un mar de .Töture
snrinonté d'une grille métafliqüeen bordure de la
rue des Cbantiers. au droit de la Mare commu¬
nale.
V. — Comitésecret.
Assistance aux vioillards et aux families nombreuses ; allocation aux soutiens de familie.
Patronage Laïquede Graoilio.— Section de Tir,
Dimanche17courant dc 9 a 11 houres au sland
de la Soeiéte,avant derniére séance d'entraïnement au fusil et a la carabine, avant l'ouverture
du concours annuel entre sociéiaires fixé au di¬
manche 7 juin. — Surveillant : A. Confais.
Le siand ne sera pas ouvert le dimanche 31
mai (Pentecöte).
...
Sectionde Pré aration Militaire. — Réunion di¬
manche procbain a 6 h. 1/2, place de ia Mairie,
pour tous les membres, afin de prendre part aux
lirs d'entrainement a longue distance, qui se te¬
rent su Polygone du Hoe.
Le Conseil d'adminislration informe tous les sociètaires qu'une excursion a Rouen sera organisée pour le dimanche 12juillet.
TRIBUNAUX
Door
d'Asslses
fa!aSafne-lnférieure
Audience du 14 Mai 1914
Présidence de M. le conseii Ier Deuve
Les Vols d'Anceaumeville
et du Val-de-Ia-Haye
Le 10 décembre 1913, des malfaiteurs demeurès inconmis ont pénétré dans une propriété dite le Chateau Blanc, commune d'Anceanmeville, appartenant 4 Mme Laurent.
Après avoir franchi une haie servant de
ciöture, élevée d'environ 1 m. 20 ; ils briscrent d'abord les carreaux d'une fenêtre de
la serre ou ils parent ainsi pénétrer et oü
ils trouvèrent les ciefs des communs qu'ils
visitèrent.
A l'aide du tuyau de descente des eaux
fixé vei'ticalement sur 19 mur de fapade de
la maison. ils esealadérent le toil, ouvrirent
un vasistas et pénétrèront dans le batiment.
Le 11 décembre, au matin, M Crevon, jardinier, constata que tous ies appariemeots
étaient dans le plus complet désordre, ies
malfaiteurs avaient fouilié tous les meubles;
iis avaient fracturé deux secrétaires au
moyen da pinces, ils s'étaient emparés de
divers objets rnobiliers, un fusii de chasse 4
percussion centrale, un tapis de tabic, un
cendrier, etc., ie tout appartenant 4 Mme
Laurent ; ils avaient égaiement soustrait un
costume bleu appartenant a Mile Crevon,
fille du jardinier.
Le iendemaiu, les malfaiteurs se présentèrent au Brr Scandinavs, 95, rue dos Charretles, oü Nitsch louait une chambre 4 Mme
Wessel, qui possède un autre café a Rouen,
rue de la Vicomté, n» li, oü logeait Aping.
Ils remirent a Nitsch ie fusit et d'autres objets.
Le 13 décembre, un vol fut commis dans
des conditions amdogtrwr ati -eh»n»au de
Mme iieVü, au Vai de-la-Haye ; deux inconnus iurent aperc-us le 14, vers 8 li. 1/2 du
matin, au moment oü par une brêche de la
haie, ils tentaient de sortir du paro.
Pen de temps aprè3, on constata cpte tou¬
tes les pièces avaient été fracturées, les rnenbles avaient été fouiilés et leur coatenu
était épars sur les parquets.
Uue pendule Empire, un pardessus, di¬
vers vêtements avaient dispara, mais, en
échange, les malfaiteurs avaient laisse sur
place un complet gris verdaüe et deux mouchoirs qui furent reconnus comme provsnant du vol commis chez Mme Laurent. Ce
tut encore chez Nitsch que furent encore
déposés la pendule et le pardessus. Nitsch
emballa la pendule da grande valeur, cacha
la caisse avec le concours d'Aping.
Les auteurs principaux n'ont pas été
retrouvés, mais Ileinrieh Nitsch et Charles
Aping, tons deux sujets atlemauds sontpoursuivis pour compiioitó et recel, l'euquête
ouverte par la gendarmerie et la police de
Rouen ayant permis de ies déconvrir. Au
cours d'une perquisition, on retrouva Ja
pendule volóe dans leur domicile.
Les deux accusós s'exprimeat en allemand.
M. Donnadieu servait d'interprète.
Montiviiliers
Les accusés ne nient pas avoir vendu une
Concoursde
Pouliohes.
Nous rsppelons que le
partie des objets, mais leur système de de¬ concours de poutiches de—demi-saog
de 2 et 3 ans
fense consisté a dire qu'ils igaoraient leur aura lieu sur le chump de foire. aujourd'hui ven¬
provenance frauduleuse.
dredi, a une heure de'l'après-midi.
M. Laydeker, avocat générai, qui soutien!
Arrestation. - La gendarmerie de cette ville a
l'aceusation, souligne les trés mauvais renseignements fournis sur Ileinrieh Ilitscb, qui procédé a l'arrestation du nommé Augusle Lea habité be Havre. L4, il terrorisait sa mai- mesle, agé de 17ans, pour vagabonduge.
tresse, nne prostitnée, et y volait ies marins,
Ocfeviüe-sur-IVlep
clients de sa maitresse. II se vanta même
La troisième séance de
d'avoir tuó un marin suédois dont il voia tirAmioaisO.teoittu/ss.—
a longue portêe (200m.), aura lieu öimancho
les papiers. Aping, lui, a un passé moins 17 mai de 2 a 6 heures, au Sland du Fonddu Val,
chargé.
sur cible en forme do croix sous visuel.
M" Soudet et II. Martin présentent la déLa Commissiondes concours' de pelite et mo¬
yenne culture et des jardins ouvners, devant
fense des accusés.
Le jury, après délibération, rapporte un passer prochainemenl ebez ies concurrents, ceuxci sont priés de se faire inserire a I'Ecoie avant le
verdict mitigê de circoostances atténnantes.
mai dernier dólai.
Nitsch est condamnó a 6 ans de réclusion 10Lïnspeetion
desjardins cultivés par les enfants,
et 10 ans d'interdiction de séjour. Aping n'a pupille-.de i'Amiealo,arra lieu dans le courant
que 4 ans de prison.
dn mois dc raai.
La 3»fölc offerteaux membres actifs et honoreires est lixöe au dimancbe 7 juin.
Ouête,—MmePimont, directrice de l'Ecoin des
filies, a remis a ia Mairie,pour le Bureau da bien¬
faisance, la somme de 20fr. 25, partie du produit
d'une quête faite au cours d'une fêto postseolaire.
Sanvlc
Vaccinationset reouocinationsgrntuites. — M.le
Unsingulier payeur. — Mme Vern, née PiOsine docteur
Ducustel procédera «rauiitement a des
Ojulewiez, ögéo do 40 an?, dêbi^ante, rue de la vaccinatio&sct
revaccioatioos a la Maine, les saMareaux-Glercs, 49, a Sanvi^ reeevait dans sop
établissemenl lundi soir un DomniéCélestmRoul- medis i6, 23 et 30 mai, a 3 heures du soir.
land, 4gé de 30 ens, charretier, demeurant a Gra
Saint-Romain-de-Colbosc
v.lle, route de Fontaine.
11venait consomrocr avec trois camarades. Les
ConseilItJanicipai.— Lo Conseil municipal de
• - — tour cette viile se réunira, a ia Mairie,demain samedi,
16 mai, a 3 h. 1/2 du soir, pour délibêrer sur
i'ordre du jour ci-après:
que Imuu
i >" »■ " — ~x
—■. — •
*■
,
la dépense. 11lui fut rêpondu que ce serait RoulComple de gestion du recaveur municipal :
land.
Pendant que Ia débitante était dans sa cui¬ 8 Compte administralif du maire pour l'exercica
sine, los cainarades en proiitèrent pour s esqui- 1913: avis;
ver
Budget addilionne!de 1914;
Roulland,qui marchait le dernier, fut rejoint
Budget primitif de 1SMS$:
dans la rue par MmeVern,qui lui réclama le monCompteset budgets de I'IIöpUsl-HospIco
: avis i
tant des consommaliops.
Délibérationsde i'Höpital-Hospice: avis ;
ltouiland s'exclama : « Ah : c'est pour payer,
Assistance aux families nombreuscs ;
mais oui je vais vous payer ! » Et au même ins¬
Communicationset affaires diverses.
tant il portait un si terrible coup de poing sur
'oeil g-auclio de Mme Vern qu'elie tomonit evaConcert.— La Société Musicale (directeur M.
nouie.
. , „ „ .
K llnuchecornei donnera d»main soir samedi, t
.L'intortunée futrelevée par un voisin, M. Eude, s b 1/2, sur ia place do l'Egtise, soa premiei
qui ia transports chez elle.
concert de la saison.
En voici ie programme :
i. Versla Paix, allegro (Turine). — 2. Excel¬
: que
eortége-marcce (A. Adroit). — 3. Oudm
frapper MmeVera, en se débattact, paree que sior,
Mellet-Firmin-Guillicr,
polka pour deux pistons(L.
deux clients du débit qui l'avaient rejoint .1a- Mayeur). — Concordia,ouverture
de Fontenelle,
vaient ernpoigné.
II a déciaré, en outre, qu'il ne pouvait préciser arrangée par Heister. — ö. L'litoüc balkaniquo,
(Sciupi).
les faits, car il étail ivre iorsque la scène a eu valse
Eu cas do mauvais temps, le concert aura beu
lieu.
dans
la
Salie dos
li sera poursuivi pour coups et blessure.
GHRflllQUE
Rfi&IOliLB
Le Petit Itavre — Vendredi 15 Mai1914'
4
ONBEHEST
Pi
d'tiiie
Maisaa
Familiale
/ 5cu20 ArrnéesdeCrédit.- SD3Maisons cicjdattribuêes. \
Demanffer l'ALEÜM de la SOCIÉTÉ d'ÉPARGNE des RETRAITES
contenant photographies eS devis de maisons liabitées par les adherents.
•
»♦«
L'Album est envoyé franco centre 5 francs
adressés
h :
L'ÉTOILE DU FOYER (Dèpositaire),
3S. JRue Blanche.
JPA-.FtlS.
Seofé'tés lie tSulaalttê.
— L'Assemblfe
générale
de ia Société ce Mutoallté
et de retraite
entre
üdüites des deux sexes et de la Société Scolairo
du canton de Saint-Romaln-de
-Golitösc, aura lieu
'diiaanehe prDchain 17 mui, a 2 beu res après-midi,
k l'Ecola des Garfons deS.aiat-Rotuaia-de-Colbosc,
Or.ire du jour : Gompte-rendu
moral et finan¬
cier da Tannée '.913. Recouvellement
du bureau.
Organisation
de ia fêta annuelle.
Ge vote par convspondanee
est admis pour les
persoanes
ernpêcaêes. Adresserie
bulletin de vote
sous double enveloppe formée, l'extérieur
contrcïlgnée, soit directoment
a M. Lecat, président,
soit a M, ITnstituteur
de la commune,
administra¬
teur communal.
Bolbec
Gi'eos des Oucrisrs iïetuiisisrs. — Mercredi mafm, les ouviiers
meuuisiers
de Bolbec, su nombre de (rente
environ, se sont mis en grève.
Ceux-ci demandent
d'abord le prix unique
de
ü fr. Sa de l'heure, puis une heure et deroie par
heure après onze heures
de travail.
Pour les
dimanches
et féses compris, ils demandent a être
payés une heure et demie par lieure.
Corrmic dépiacements
: 1° de 6 a 10 kilomètres,
ils demandent
urm heure supplémentaire
payée ;
2° pour 10 a 40 kilomètres,
deux heures supplernentaires
payées ; 3° pour 20 kilomèires
et au
deia, 2 francs de déplaceraent.
Jeudi, it cinq beures,
les grévistes
ont tenu
One reunion, salie de la Justice de Paix.
11. DUffioniier
juge de psix du canton,
a étó
kvisé de leurs revondications
et va s'entrelenir
a
ee sujet avec les patrons
menuisiers
afin d'oblenir, si possible, une solution.
Commencement ü'incendie, — Vers trois heures
et üemib du soir, mercredi, un commencement
Ü'incendie
s'est declare
dans une cbeminèe
située dans la cuisine de Phabitation occupée par
M. Ernest Dnhamel, propriétaire
du café de l'Agricuilure, rue.de ia République, a Bolbec.
Grace aux prompts
secours
apporlés par 51.
Louis Levieux, sous-lieutenaat
de la compagnie
de sapëurs-pompiers,
et de plusieurs voisins,
le
leu, qui allait atteindre le grenier,
a pu être circonscrit après une heure de travail.
Liüebonne
Assistance aux Vielllards, aux lcfirir.es et aux la¬
tum. bles. — Les personnes
admises
a béüèficier
les s vantages de la ioi du 14 juiilet
1903 sont
prices do sa présenter a la Mairie Ibardi proehaiu
49 mal, s 8 beures du matin, pour recevoir
l'alioc&tion du rnois d'avrii 1914.
Concours de bestiaux. — Le concours annuel qui
a lieu a Recession de la fofie de niai se ten .it
mercredi.
li a présenté un grand intêrét par suile
du grar.d nonibre
et de la beauté des animaux
einenés.
Une foule nombreuse
n'a ce3Sé de circuier aux
sbords
du concours
jusqu'a
trois
heures
de
l'après midi. Les operations du jury out commen¬
ce a dix beures et demie pour se terminer a une
heure. Ce jury était corrsposé de Mil. Chaniilion, Gueroult, Raoul Levasseur,
Toumine et Trouplin.
A l'issue des operations, un déjeuner réunissait
a l'Hótel de Ville la municipalité,
les membres du
jury, les membres
de ia Commission
des fétes,
foires et marebés et les donateurs.
Au dessert, M. Gsron, msire, a poriê un toast
aux membres
du jury, qu'il a remerciés
de leur
bienvt iilant concours.
Aussi'öt après s'est faile ia distribution
des re¬
compenses
devaiit l'Hötel de Ville, oü ies ani¬
maux primés avaien! étè amenés. Un groupe de
musicians,
sousla direclion
de M. flippólyte RoBiilard, a exéculè
plusieurs
morceaux
trés appiauais.
Voici ie palmares :
Bceufs gras. — l" prix, iOO fr., M. Arsène
Régnier, a TrouvHle-Alliquerviiie
; 2«, 69 fr., a M.
Louis Oursel, a Raffetot ; 3«, 20 fr., M. Jean Auaouard, a Bolbec.
Vaclies grasses. — i "* prix, 400 fr., M. Jean Audou<.rd, a Bolbec; 2». 60 fr., M. Arsène Régnier, a
Trouville-AluquerviUe
; 8«, 20 fr., a M. Ernest Linglois, a Troüville-Aiiiquerviiie.
PIUX DE CANTON
l" prix, mèd.
méd. verm. et 30 fr, M.
Bceufs gras. — 4tr
Jules. Bazin, s Saint-Nicolas-de-ls-Taille.
i acties gi asses. — 4" prix, 30 fr. et mêd. verm.,
s M. Philippe Lemaiire ; 2», méd. arg., M. Léopold
5)elaune, a Saint-Nicoias-de-la-Talile.
PK IX D IIOXNEUR
i-.r prix, méd. d'or, M. Régnier, a Trouvillö-Alliguerviile ; t°, 50 fr. et méd. verm., M. Louis Oursel. a Rsfl'etot.
Bceafs herb gen. — 1" prix, 30 fr., M. Auguste
Lcvesque,
a Auzouville-Auberbosc
; 2e, 20 fr., 54
Marle Louis Slaupas, a Foucart.
Vaches hcibagères. — 4« prix, 30 fr., M. Maupas,
I Foucart ; 2«, 20 fr., 51. Albert Leberquier.a
SalntRomain.
tiénisses herbagères.—
ier prix, 30 ff-, M. Alfred
Lévesque,
a Saiot-Pierre-Lavlsse
; 2", 20 fr., M.
Auguste Léveique, a Auzouville-Auberbes.
"eaux gras.— i« prix, 30 fr., M. Henri Haucbecorise, a B' rnières ; 2», 20 fr., 51. P«u! Beraage. a Relieville ; 3», 10 fr., M. Vincent Fortuaé,
a Froberville.
Lot dc 5 mautons. — 5" prix, 30 fr., 51. Auguste
Godrfroy, a ViRedieu-les-Poéles
; 1', 20 fr,, 51.
Auguste Leclerc, a Ourville.
ii ebis avec agneaux.
— 20 fr. et in. a., M. Au¬
guste Godeïroy, a Villedieu-les-Poêles.
Pores gras — 4" prix, 30 fr., 51. Jean Héricber,
a Aüouville-Beilefosse
;
20 fr., M. Morin, a
Saint-Mards-de-lj'.acarvilte
; 3», 10 fr., M. Emile
Lemonnier. a Goderville.
Por cs de la.it. — tsr prix, 20 fr., M. Goquerel, a
Gruchct-ïe-Valasse
; 2% lö fr., M. Maréc&l, a
Irouville-A
liquei vibe ; 3«, 40 fr., M. Morin, a
Samt-Mards-de-Blacarviile.
Etct-Cicll. — Naissances. — Du 7 msi : Henri Mo¬
ris-.- . rue Croltée. - Du 3 : Fernanda
Grandfiis,
ru." du Hauzay. — Du 0 : Marie Assenard, hameau
du Bequet ; Jiarcet Monnier, rue Thiers.— Da 10 :
Marie üocagno. hameau du Bêquet.
uéebs. - Ba- 10 mal : Eiisa Leraire, veuve
Merc'wr, 07 aas, aans profession,
Hópital,
route de
Rouen. - Dn 12 : Henri Lesuenr, 34 aas, journaiiet , tue Césarine.
Feuilleton
dn
PETIT
HAVRE
108
in 's*i
s
Örsüd
Roman
Contemporain
PAR
Pierre
DEUXIÈME
SALÈS
PARTIE
Etil fallaït pourtant qu'ils s'expliquassent entièremeiït, quils s'expiiquassent
tout de suite... puisque demain recommeneait la rude vie. oü Jacquelinesentail bien qu'il lui fallait maintenant un
bras, un cerveau, une voionté diiomme,
pour la défendre!
GraceaDieu, son odieuse aventure n'avait pas eu d'autres témoinsque ies cocliers, bien vite disparus, et cet homme
si dévouéqui, malgré des dangers qu'elie
ignorait, malgré ia menace d'un de ces
puissants, plus redoutablespeut-être que
•es grands seigneurs de jadis, n'avait pas
bésité a la prendre sous sa protection,
quelles que possent être pour lui les
eonséijuenccsde son couj'age et de son
énergie...
Et i! lui avait donnétont de suite la me¬
sure de su sagesse,de sou dévouenient, de
son respect.
Criqueiot-i'Esneval
Bureau de Bienfaisance. — Lündi, la Commission
administrative
du bureau
de biénfaisanee
s'est
réunie
sous Ia présidence
de M. Vattement,
niaire, pour les Iravaux de la session
ordidaire
de mai.
Etaient présents : MM. Vattement,
mairo ; Julien, ordonnateur
; Guériu ct Lamand, membres.
Absents : MM. Acber, Bou'enger
et Paifray.
51. Guérin, élu, secrétaire,
donno lecture
du
procés-verbal
dc la dmyrière
séance,
lequet e»t
adoplê sans observation.
La Commission
se fait représenter
le budget do
l'exercice 4913 et les automations
supplémentaires qui s'y rattachent,
etc.
Procéd.yit au reglement
défioitif du budget do
1913, propose de fixer aiasi qu'il suit ies recettes
et les dépenses du dit exercice, savoir ;
Recettes :
Les recettes do loute nature étant de. .F. 5 913 43
Les dépenses de
» 3.077 67
L'aoiateur Polrèe. — L'exhibiliou que l'aviateur
Poirée devai! Conner le 24 mai a Fécamp est reportée d plus tard, en tout vraisernblablcment.
Tourville-!es-!fs
Veyageur salts Billet. — Mardi soir, a l'arrivée du
train do 6 h. 48, venant du Havre, M. Dufour. fac¬
teur enregistrant,
a constaié que fenomrjé
JuiesAlexaudre
Ferry, né a Ancrelteville-sur-Mer,
et s°
disant demeurer a Virvilie. setrouvait
sans billet.
Interrogé,
celul-cl a déclaré
s'élre ondorml dans
le train et ay it perdu sa carte d'abonncmcnt
dé-,
livrée par la gare do Virville.
Des renseignemonls
furent pris a V rvüle, oü
eet individu est compietenlent
inconnu.
Comme
Ferry se trouvait sa s pauiers ei sans argent, 11 a
été mis en état d'arrestation
pxr la gendarmerie
de
Fécamp.
CALVADOS
TrouvilSe-SGF-fVier
Arrsstation d'un sujet Alternant!. — La police de
Trouvjiié vieiit de procéder
a l'arrestatloh
du
nomraé
Kiirlh Wilhelm,
manoeuvre,
sujet aljemand, demeurant
rue des Carrièrer,
a Trouville.
Cet individu est inculpö dinfracfion
a un arrêté
d'oxpufsion,
faux et usage de faux état civil, ii a
été déféré au parquet de Pont-1 Evêque.
II reste un exédect de.
F. 2.867 76
a reporter au budjet supplementaire
de 1914.
Femm.es en couches.
— La Commission
après
avoir examiné trois demandes de fenimcs en cou¬
ches (tonne un avis favorable
pour utie seule.
Families nombrtuses.
— La Gommission,
sur la
demande de tnis chefs de familie exposant
leur
situation, decide de les inscrire
sur la lisle des
families nombreuses.
5!. le Président soumet
a la Commission
deux
dossiers reiatifs a l'assistance
aux vieiüards
concernant deux habitants de la commune.
La Commission
decide que Run d'eux, n'ayant
aucune ressource
sera admis au benefice
de la
ioi du 14 juiilet 1903, a raison
de 18 francs par
mois, l'auire oyani des enfanis pouvant
lui venir
en aide toucbera 8 ftancs par mois. La séance est
Ievée è 4 heures du soir.
Conseil municipal.. — Le Consei! municipal do
cette commune se'rêunira
a la 5Iairie, pour sa
session ordinaire de mai. mardi prochain,
19 cou¬
rant, a deux heures du soir.
Heuqueville
Ineendle. — Mardi soir, vers six heures
ct de¬
mie, un incendie
s'est declare
dans la ferme
expioitée au hsmeau d'Epaville,
par 51. Ambroise
Conseil père. cuitivateur.
Une grange, une loge, un cellier, une écurie et
uneétabie
couverts en paitle, ont été entièroaient
détruits par les fi-mmes.
De plus, différents
objets mobiliers
agricoles,
tels que : batleusi-s, moissonneuses,
herses, etc ,
récoites,
paiile, tréfle, etc., ont été égalearent
détruits.
Lu Compagnie d'assursnce
qui assure les objets,
évalue les oegdts a environ 5.000 fr. pour l'immeuble et 2,000 fr. pour les objets mobiiiers.
Saint-Va!ery-en-Caux
Uns délicate affaire. — Nous avons annoncé
précédemment
que les docteurs Bosquet et Gerné
avaient examiné is crane de Mme Saumoa, décèdée dans de tragiquas circonstances.
Les praticiens
ont déposé leur rapport samndi
dernier.
51. Lhorame,
ju>!e d'insiractjon,
après
avoir pris connoissance
des conclusions
médicolégales, a imniédiatement
délivré un mandat d'amener contre Saumon, lo mari de la victime.
Nous croyons
savoir
que le rapport
des doc¬
teurs contient des charges accablsntes
pour Sau¬
mon. Les empreintes
d'un marteau
auraient été
relevées sur le crane de la pauvre femme.
D'un autre cóté, oq se souvient
que quelques
jours avant de reniire le dernier
soupir, celte-ci
avait dêclaré
qu'elie
s'était blessée en tombant
dans son escalier, pendant Rabsence de son mari.
Ces declarations,
qui sembiaient
devoir disculper définitfvemen!
Saumon,
sont devenucs unc
charge do plus contre lui. Les dislingués
prati¬
ciens,
en cffet, non seuiement
se refusent
a
ajouter foi aux dernières paroies de la moribonds
qui, en raison de la gravité
de ses blessures,
ne
pouvait se souvenir de ce qui s'était passé, mais
considéreot
que c'est sous Reüipire de la terreur
que la pauvre fernme aurait fait cette déc-aration.
~ Saumon a été écrouó mardi soir a la maison
d'arrét d'YveloL
De nóm&reux têmoins seront entendas
par M.
Lhomme.
Fécarnp
Chute dftn ouerter.
— Mardi l'après-midi,
un
ouvricr de MM. Touzet père el Ills, entrepreneurs,
Paul Rogue, 38 ans, habitant
hameau du Ghesnay,
était monté sur une pile de bois haute de 1 m. 20
et sur laquelle
il ótendait
une buche, quand il
tomba sur le sol, se contusionnant
sérieusement
les dernières
coles. II a dü interrompre
son Iravail pour quelques
jours et recevoir les soins
d'un médecin.
Dans la gendarmerie maritime. — M. Yver, gen¬
darme,
qui était a Fécarnp depüis-quatre
ons,
vient de recevoir
son changenaenl
puur Cher¬
bourg. II «era reusplacé a Fécamp par M. Renouf,
do Cherbourg.
'M Yver avait conqiis,
psrmi Ie monde mariti¬
me de Fécamp, toutes ies sympalhies.
On ne le
verra pas partir sans regret.
Une disparition.
— Mme Lozé, marchnnde
de
creveties,
qui habile place Petite-Croix,
a eu
hier maün une surprise
désagréable
Du bas de
sou escalier, cile 8ppela, comme tous les matins,
sa niéce, Henrielte Saulé, seize ans. qui habito
avec elle.
N'obtenant pas de réponse, elle monta pour l'éveiller, mais la ehambre
étsit vide et le lit non
défait. Tout d'abord
unie Lozé ne s'inquiéla pas
trop, suppnsant, que sa uièce était allée faire une
course dans le qusrlier,
mais ne la voyant pas
revenir pour- le déjeuner,
elle fit des recherches
dans sa ehambre.
C'est aiors qu'eite trouva une
lettre de la jeune llenriette qui l'informait qu'elie
partait pour éviter de lui faire de la peine et
qu'elie ne reviendrait
jamais. Eile disait adieu et
assurait sa tanlo qu'elie partait seule.
Mme Lozé alia se renseigner
a la gare, mais
personne uc se souviut de l'avoir vuo prendre le
rain. Comme i'enfant
est partie sans vêlements
'etsans
argent, on se perd en conjectures
sur les
consequences
de ce coup de tête.
Toute la journée,
Mme Lozé a fait des recher¬
ches, mais etles sont demeurées
icfructueuses.
Avantmêmede pénétrer dans la maison,
ii disait :
— Séparons-nousimmédiatement : car,
croyez-moi,il vaut toujours mieux qu'on
ne sacherien de ces abóminableschoses...
On a beau en être bien innocent, il en
rejaillit toujoursquelque chosesur vous...
Vous êtes délivrée ; nous nous retrouverons celte nuit, si vous le voulezbien...
ne l'LÏt-cequ'un instant... et ma vieille
experiencepourra eertainement vous rendre service. . .
— Oh ! oui, avait-ellerépondu avecune
inflniereconnaissanceet avec un elan d'affectionqui avaitun peu surpris son défenseur ; oh ! oui, car nous ailons avoir tant
de choses... tant de choses a nous dire,
Monsieur1. . .
Eile lui disait encore« Monsieur», a ce
moment; maisa peineremontée chez elle,
è peine entendait-elle, a travers le petit
mur, ses pas précipités indiquant son émoi
a lui aussi, qu'elie murmurait :
— Monami1 . . mon bon ami d'autrefois!. . . Lui qui me protégeaitdéjè quand
je n'étais qu'une gamine.. . une petite apprentiedont on se raillait... Et c'est lui
qui était auprès de moi, que je n'avais pas
reconnu.. .
Maissi!... Maintenant, elle se rendait
comptequ'elie en avait eu la sensationdès
qu'elie s'était trouvée en face de lui. Et
comme,tout de suite, elle avait devinéune
ame semblablea la sieime,un coeur droit,
un caractèreloyal!. . .
Et, entre eux, dans leurs furtivesrencon¬
tres, au hasardde i'esealier, des couloirs,
que d'échangesd'ali'ectionavaient déja eu
lieuJ
Bly
öitlil
.CHEZ
T0U3
LES
B1J0UTIEBS
§ommunication
s giverses
Soclété
l'railqae
«i'tlortieiiHure
tie l'.Vrrnmiisicmcnt
d Vvetot.
— Le succes de l'expositioa generale qui aura lieu les 30, 31 mai. et
C' juin est dés niaiutenaht
assure. Les 'demandés
d'inscriotion
ariivent nombreuses
et tout fait prêvoir que 4a fete du cinquactenaire
sera des pius
briliames.
L'exposition
comprend : 1» la fioriculture,
fieurs
en pot, fieurs coupées, mosaïculiure,
garnitures
et
décors de table, d.'appariements
et toutes
compo¬
sitions lleuries ;
2° La culture maralchère ;
3° La cmture fruit ère ;
4» Arboriculture
iruiiière et ornementale
;
B° L'enseigaetuent
borticole. Cette section,
ouverteaux
ins ituleurs, aux instilutrices,
comprend
ies travaux de maiires et d'êlèves,
collections
de
planten. d'iDsectes, etc., el des travaux
pratiques
degrclïe,
écussonnage,
lailie des arbres.
C» Le.s industries annexes, produits afimenlaires
et instruments
de culture.
Le concours aura lieu sous quatre divisions :
A. — Horliculteurs
en place ;
B. — Horliculteurs
marchands
;
C. — Horliculteurs
amateurs ;
D. — Horliculteurs
de petils jardins.
Cette dernière division a été qreée pour permettre l'accès de l'exposition
aux petits amateurs
et
aux ouvriers qui, ne disposant que d'une
culture
resireinte,
ne peuvent présenter
qua de petits app rts.
Pour tous renseignements,
s adresser au secre¬
taire 51. Capron, directeur de l'Ecole, Pensionnat
d'Yvetot.
ï.'ète
.Vatioiiale
(Comité du quartier
SahiteM-ne). — Comité aelif : président,
MM. Trochet ;
vice-présidents,
Merck et Neufinck ; secrétaire
général, Samson ; trésorier général, Débais ; commissaire général, Lecoq ; organisaieur,
.Adrien ;
secrétaire
adjoint, Vigan ; trésorier
adjoint,
Iliron ; commissaires
; Thibaut, Angot, Dcmoil'ers,
Delacour, Guyaire.
Fête iVationale
et Familiale
«le Ia Rue
«le Salut-ltomain.
— Le samedi 9 mai a eu lieu
Chez M. P. Hilliquin Réleclion
des membres
du
Comité (i'organisation
pour l'exercice 191».
Le Comiié est ainsi comnosó :
Comité d'honneur.
— MM. J. Sie fried, dépulé ;
Benoist, sous préfet ; II. Génestal,
maire ; Léon
Meyer, cosseilïer général;
Brot. Jallageas, Barbay,
Thireau-Morcl,
Baylo, Hilliquin, Hébert. Roux, Leguillon. Saunier. l abbé Hamel, Vallio, Le Qui-ró,
Lange, Deiiot, Laviec,
Mme veuve
Humbert
et
MUo Morisse.
Comité aelif. — Président : 51. Laviec ; vice-président : 54. P. Hilliquin ; trésorier : M. G, Housset;
secrétaire : M. F. Le Noan ; trésorier adjoint : M.
llania ; secrétaire adjoint : 51. Lemen ; commissaire général : M. L. Le Noan ; commissaires
:
MM Le Bon, F. Harel, M. Harel, F. Hilliquia.
Mart»®
iVatioe«a!e.
— Des expérienees
de tir auront lieu au Polygone du Iloc, dans un
secteur d'environ 10° passant sur Amfard et laissant les Ratelets au Sud. et dans un secteur d'en¬
viron 7° dont la limite Sud passe par le feu de la
digue Nord de Berviile, du 22 mai jusqu'au
40
juin 1914 inclus.
Les lirs en mer ne commenceront
que trois
beures après la pleine mer et cesseront deux heu¬
res après la basse iner.
lis seront suspendus
en cas de brume.
Pour averlir les habitants et les navigateurs,
on
tirera 3 coups d'alarme espacés de cinq minutes
le dernier précédant d'un quart d'heure
le com¬
mencement
de chaque
séance
de tir.
Un drapeau rouge lloltera sur la ehambre a sa¬
ble du Polygone, pendant
toute la durée de la
séance. Lorsque 1 on tirera au dela de la bouéc
N.-O. du Ratier. une embarcation
avec drapeau
rouge sera mouillée dans les environs
du point
de chute.
Les embarcations
devront se tenir au large
et
en dehors de la ligne de tir a un kilometre
au
moins a droite et a gauche.
§ulletin des fêociétés
C< i'ele Asïïical Euterinagaslns.
— Le Cercle
a Rhonfteur
d'lDformer
ses soc éiaires
et amis
qu'il organise une excursion
sur Rolieville pour
ie dimanche 21 mai. üépart
du Havre par le train
de 44 h. 41. Retour au Havre a 21 h. 85.
Le prix (to ceRo excursion
est fixé a 2 fr. 78.
On peui se procurer des carles piés des membres
du bureau.
Sociélé
Muruelle
de i»«*6voyaace
«les tm[Hoyés de Commerce,
au siége social, 8, rae
Caligay. — Uiipnsnt
a» Z20.
Cours
Techniques
Commerciaux
Cc aidu Vendredl
Lxnsüe Francaise
(Prof. M. Pigné,
Directeur
d'EcoIe Communale).
— De 9 h. 1/2 a 40 h. 1/2.
Capligbaphik (Prof. M. l,aurent, Directeur d'Ecole
Communale), da 8 h. 1/2 è 9 h. 1/2.
AHfTHJiETiQüit (Prof. M. Pigné, Directeur d'Ecole
Go'mmunale), de 8 h. 1/2 a 9 h. 1/2.
Dactyloubapiuk.
— De 8 h. 1/2 a 40 h. 1/2.
Alleman»
(Prof. M. Fritz, de l'Ecole Supérieure
de Commèrce), 1™ armee, de 8 h. i/2 a 9 h. 4/2;
8' année, de 9 b. 1/2 a 10 h. 4/2.
Anglais Usubl (Prof. M. E. Robine, l'Tofesseur
au Lycée).
— ic° année (Section B) de 8 h. 1/2
a 9 h. 4/2.
Anglais Commercial (Prof. M. Gibbs).— 3° année,
De 9 h. 1/2 a to h. 1/2.
Aritumetiquk
coM.Mr.netals (Professeur
M. Lau¬
rent, Directeur d'Ecoie Communale)— De 9 b, 1/2
a 10 h. 1/2.
(AncieD PjSOSPüO-CACAO)
LIPLiSEXpiSBEIBÉJEüiEIS
LEPLUSPiSSSilTOEIRE60iiT8UIIBTS
Aliment idëeJ öe& enemies, cles conv&lee*cents, dei, artüritiques,
des neurasthê
niques , des vielllards et ds tens csujs qm
soutïrem de l esioraac
— -A;%.
- - '-ssssr/iw,
"ir ©'ïfSSB B©8TB B'S»S«9
admimstraiioi
PH0SCA0TTES
gTPTPFfi
grandes fêtes organisèes
a I'occssion
des chal¬
lenges Brot et Meyer n'aient pas lieu a 13 jours
seuiement
d'intervalle,
le challenge
Meyer sera
disputé en juiRet. a !a date qui conviendra
le
mieux aux clubs de la région, le 19 trés vraisembiab ement.
Voici done comment se présente la saison
du
PLH :
7 juin.— Ghampionnats
de Haute-Normandie
au
Havre.
21 ét 23 juin.— Petites Olympiades, (PLU).
5 juiilet.— Championna; d France des petites
A et Gliaiienge Rrennus a Paris.
19 juiilet.— Challenge Meyer (PLH).
£6 jailtet.—
Championnat
do la Fédération
régionat - nes petites A, terrain du PLH
2 aoüt.— Challenge de i'Athjète complet (PLH).
18 aoüt.— Challenge Derod-. (11KG).
En outre, 1 PLH participera
aux Challenges
SR gMed et de la Ville du Havre (Comité Maritime)
gruiin fBFC), Boissaye USËi. a l'interclubs
de Fé¬
camp et au concours
de l'Exp sition de Lyon,
dont les dates no sont pas encore
arrêiées.
H
asaumera done, a lui seul, l'organtsallon
do cmq
grandes reunions ouvertes 8 toüs sans distinction
de société et it espère ainsi faire la meitlenre
des
propagaudes
en faveur de l'éducation
phyHque
et aonner a cette dernière la place qu'eüe
devrait
avoir dans une ville aussi sportive que Le Havre.
Société
amicale
et muluelle
«les Em¬
ployés
«l«i Batiment
et Similaires.
— MM.
les socié ta ros sont priés de vouloir bien assister
a l'assemblöe
générale qui aura lieu «ujonrd'bui,
a 9 heures du soir, a l'Hólel de Ville, salie A.
L'Amitié
(Société de secours mutuels du ser¬
vice technique de la Compagnie Générale
Transatlantiquc)/
— Dimanche 17 msi, de 9 a 11 heures,
Hotel des Emigrants,
rue do Ptialsbourg,
34, per¬
ception des cotisalion-i.
Mspdi 19 mai, a 48 h. 1/4, aux ateliers, auai de
Londres, réuuion du bureau.
Harmonie
Maritime.
— Ce soir,
répétition
morgénérale a 9 heures.
Etude de nouveaux
ceaux. Concert.
I-cs Volontaires
<!w Havre.
— Réunion pour
tous les sociétaires
demain ssmedi a 8 h. 1/2 précises du soir pour parliciper
a la retraite de Ia
Chaussée des Etals-Unis.
Casquelte et instrument.
Gronpe
Amical
«I s Trompeltes
du Ha¬
vre. — Aujourd'hui
ver.dredi,
a 8 b. 45. répéti¬
tion généraie pour lous les sociétaires
en vue du
festival de Mohtiviliiers de dimanche prochain.
L'heure et ie rendez-vous
seront
fixés a cette
répétition.
Trés urgent.
Société
Iïavraise
de Tambours
et Cïaiï'ojss.— Ge soir a 8 h. 18, répéiiiion
généraie;
Communicalion
pour la retraite
de sattu-di prochain ; Qarslions
de sorlie et des concours.
—
Presence absolument
obligatoire.
Revanche
Havraïse
de Tambours
et Clalrous.
— Répétifion
générale
co soir 4 8 b. 30
précises. A l'issue de la répétition réunion de bu¬
reau. — Présence indispensable
fle tous.
§ulklin des fêports
Fastball
Association
/.; 'vre-Alhletic-Ciub.
— Rappelons que c'est demain soir. a 7 h 1/2, dans la grande
salie de la
Brasserie Tortoni qü'aura lieu le banquet annuel
de la section.
Les membres qui n'ont pas encore
donné leur
adhésion doivent Ie faire" aujourd'hui
midi, der¬
nier délai.
-
Paris,
uQa.
La Sociétê se charge do procurer a 5151.Ies nego¬
tiants, Banquiers et Courtiers, ies employés divers
d®nt u's auraient besoin dans leurs bureaux.
Le chef du service se lieni tous les jours, a ia
Bourse, de midi a midi et demi, a la öiapositioB
des sociétaires
saus emploi.
Soc.iété
LSunéeaae
«Je la Seiïje
Marilime.
— Une excursion générale,
organisée
par
les groopes de : Botanlque,
Entomologie
el Zoolor ie, aura lieu Je dimanche 17 mai 1914 entre :
Etainhus
et Roilevilte (parcours minimum a faire
a pied, douze kilomètres,
coupés par deux halfi-s :
Etainhus et Manéglise).
Rendez vous a 7 heures 60 a la gare (pour fac.iliter la demande d'un billet collsciif, prièred'èlre
exect).
Retour au Havre vers 49 heures.
Prière de se rnunir de victuallles
pour le repas
de midi, pain et cidre exceptés.
Les membres
que leurs occuostioris
reiiendraient au Havre dans la matinee pourronl rt joindce l'excursion
dans l'après-midi ,i Manéglise p ès
l'égiise), oü une haile (i'une demi-hcure
aura lieu
leur intention de 14 h 3j a 4o heures.
Les membres
cyciistes
pourront
utili3er leur
machine pour étendre le champ de leurs recher¬
ches.
Dépense approximative
: 2 fr. 80.
Les persor.nes
étrangères
a la Société peuvent
assister a cette excursion.
— Lundi (8 mai, rónnion
générale a 20 h. 48,
rue du Cbiiiou, 34, au siége de ia Socié è.
A l'ordre du jour: Nomination d'un Comité d'organisntion
our l'exnosition
<27 juiilet au 2 aoüt).
A Rissue de cette reunion,
séance
men uelle
de3 entomologistes.
3. rue frederic-Sasüat:
ajf-'A
-Ijpiioscas
Atblttiiine
Amicale
spoiVve
de l'èccle primaire
supé¬
rieure. — La seciion d'athlélisme
do l'éeole
pri¬
maire supérieure
ouvrira
sa saison,
dimanche
prochain par une rencontre
avec une équipe du
Havre Rugby Club, sur le terrain de celui-ci
a
Blévüle.
Cetle rencontre
portera sur les épreuves suivantes : 400 metres. 40 ' mèires. 4,50Omè res, saut en
hauteur et laaeemont du poids. De plus une équi¬
pe prendre part a la course de 1,060 mèires relais
organisée au cours de cette réunion entre leHRC,
le 129° et l'AEPS.
Les coureurs
suivants
sont convoquós
pour
2 heures au vesliaice du HRG :
Arquis, Lesout,
Pavie, E. Tison,
Gouverre,
Ebrhardt junior et senior, Lo Dart, Romain. Pefaix, Carpcntier,
Baron, Pique, Vanneur, de lionvel
Les coureurs sont informés qu'ils trouveront
le
maillot du club (couleur noire) chez M. Malloire.
SLig-ue Vi-aucaise
d'ilducation
Morale.
—
Reunion
in nsueiie
des me bres de la Ligne
d'Education
Morale demain sam éi, a 5 h. 4/2, a
i'Hö el de Ville, salie d'Hortlc.Hture.
Ordre du jour : Discussion des statnts ; nomina¬
tion des presidents
ct vice-presidents
; questions
diverses.
Challenge
Brot
Röpondanf r-v c empressement
au déslr exprim par ia Commission d'athlélisme
de la region
maritime, le Patronage L*ïque Havrais a acc -pté
de reporter le challenge
Brot au dimanch»'
14
juin. De plus, pour permeltre
aux clubs concurrenls d'avoir lo temps materiel de fa're qualdier
tous leurs représentaots,
les alhlèles
dont les
noms paraltront au journal officiel du 24 mai au¬
ront le droit de loneourif.
Ce report do daieayant
bouleversé
Ie calendrier
étabii par le P L H, aui Uésirerait
que les deux
Tout ccla s'expiiquait,a présent ; c'était
leur affectiond'antan qui se renouait, instinctivement, sans qu'ils sussent i'un et
l'autre qui ils étaient.
— Oh! mon Dieu! s'écria-t-elle soudain, en allant se jeter a genouxdevant le
petit bénitier oü était son ratneau de buis
du dernier dimanchedc Paques, qui avait
servi a aspergersa rnèremorte; oh ! mon
Dieu, vousavezvoulu cela !. . . Vous.m'avezenvoyécct ami, ce défenseur.. .Et moi,
qui, parfois,ai été tentée de vous blasphérner quandje me voyais si malheureuse,
si abandonnéede tous. . . vous me conduisiez mystérieusementici, oü j'aliais retrouver quelquechosequi est comme de
la familie.. . un coeur avec lequel je vais
enfinpouvoirm'épancher,et un appui, non
seuiementpour moi,mais pour ma Fruncinette !. . .
.
.
Or, voiiaque Francinettes'étonnait:
— C'est pourtantpas l'heure de se coucher, petitemamaii'1pourquoique tu fuis
ta prière, dis ?
Cettenaiveremarquesuffita ramener un
calme de surface chez Jacqueline ; car il
ne fallaitdonneraucun alimenta la si vive
imaginationde cette enfant.
Et si une modificationdevait être introduite dans sa vie par cette nouvelleatnitié, il fallaitque celase passat de la fagon
la plus simple, la plus naturelle, pour que
Francine ne s'en étonnatmêmepas.
Elle s'eil'orgadone d'etre « commed'habitude » ; et, commed'habitude,.Franrii!;,
après avoir follementjoué a la fin du repas,
après avoir contétoutes les histoires de la
iournée a sa petite marnau,après avoireu
i'air d'aupreudreuu oeu ses Jecoas,s'ea-
dormitd'un seul coup; et, comme d'habitude, Jacquelinela déshabilla ct mangea
de baisersccciterpetit corps, «sa poupée».
Ptiis elleattendit, lesyeux fixéssur celte
cloison, derrière laquelle elle entendait
toujours des pas désordonhés; et elle se
rap'pelaitqu'il était déja anisi lorsqueies
extravagancesde sa femme lui causaient
de trop grands soucis: il ne parvenait pas
a demeurerdans son petit bureau, il vaguait dans le magasin,dans la manutention, dans l'atelier, tournant sur lui-même,
déplacantdes cartons,des piècesde ruban,
des formesde chapeaux.. . de ses pauvrés
dofgtstout tremblants qui ne pouvaient
plus travailler soudain.
Sa femme!. . .
Cette femme, qui était maintenant la
compagnede sonpère a elle. . . eelte crea¬
ture dont eile avait pu supporter les bai:
sers el permeltrequelle en couvrit aussi
sa Francinette!. . . cette femme qu'eliese
serail el'forcéed'aimer conmieune rnère,ie
respectertoutau moins,sans i'iiorribie découverte. . .
— Et moi.j'ai été ramenée auprès de
lui. •.alors que cette miserablene songeait
qu a me perdre de la fapon la plus abomi¬
nable, la plus honteuse... Et lui tn'a défendueavecun couragede chevalier!. . .
Car elle avait trop vécu déja, trop ob¬
serve la vie moderne,pour ne pas se rend;e compteque l'béroïsme est toujours le
m me chez ceux qui défendent le droit,
{'innocence: ia manière a chafigé,siinplemeut.
— Vais-jelui dire, mon Dieu !.. ce
que ie suis... ce qu'est deveuue sa fem¬
me ?...
Havre-Bugby-Club.
— Dimaoche
prochain aura
üeu sur le terrain du Havre Rugby-Club a Bléville
deux rencontre-'
da course a pied. La l'° de ces
rencontres
mettra aux prises l'éqiiipe du 429° d'infsmerie, vainqtieur
dimanche dernier du Patrona¬
ge Laïque Havrais, et l'équipc A du HRC : quand
a la seconde, l'équipe B des vert-noir, match ra la
jeune équipe de REcole Supérieure.
Les épreuves
suivantes
ont été mises au pro¬
grammes
: 100 metres. 400, 801), saut en iianteur,
poids, toulefois dans le match HRC, éq B . AES,
te 8(0 mèires a été rempiacé par i.o 0 m. Pour les
2 ma» hes, le règlement
est ie méme : 4 coocurrents parépreuve,
mais 3 seuiement comyteront
au elassmit rit.
Le HRC mettra en tig ie les teams suivants :
Equipe A : 100 metres : Bellet, Armund, Gruehy,
Loi on. Arnoult.
400 metres : Bellet, Armand. Grucby, Ami.
8»0 mèires
; Mouquet,
Bazin, Bobée,
Léger,
Ami,
Poids : Dnjou, Fillastre, R bin, Arnoult, Arnaud,
VöUiry, Bégin.
Saut en hauteur ; BeUet, Robin, Araaud, Barrcau, Léger.
Equipe B, 100 metres : Bassr-t, Lecordier, Fisset,
Juli-, m . Loisel, Poumi yrol.
4G0 n ètres : Basset, Vissol, Riau, Juham, Lecor¬
dier. Richard, Crépin, Porla.
4,500 mèRes : Richard, Porta, Hochet, Leporq,
Diibuc, Surei.
Poids : Legros, Salesse, Loisel, Gloagueu, Porta,
Le Brozec.
Saut en hauteur : Basset, Lecordonner,
Le Bro¬
zec, Juham, Ribeil, Poumeyroi.
En plus des épreuves
ind quées ci-dessus,
Ie
HRG fera disputer les courses suivantes : 300. métres, réservé
a ses coureurs,
qui n'auront pas
participé
aux matches 429° AES DRG, et un >,000
metres.
Pour cióturer la réunion, il sera couru un 1.000
metres relais a laquelle participera
au moins cinq
équipes.
Le.- coureurs sont informés que le premier dépari. sera donné a 2 h. 3/4 que le programme
se
déroulera dans l'ordre suivant
: 1. : 10» mètres
séries, HRGB-AES ; 2. : 100 mètres
séries 129HRC IA) ; 3. : poids 429 HRO(A) ; saut en bauleur,
AES-HRG IB' ; 4. : 800 mètres : 129°-uRC IA , 4,500
mèires AE3-HRC ( ü ; 8. : Saut en hauleui : «29HRG A) ; poids, AES-HRG iB) ; 6. : 300 mètres,
hors programme ; 7. : 400 metres ; 8. : 3,060 mè¬
tres ; hors programme,
1,000 mètres relais.
Les coureure, du HRG couvoqués
ci-dessus, qui
sera lent indisponiblos
sont priés d'eri informer
su p :;s o le scciétsirc,
a la Grande Taverne.
Fjellanie
Vé óce Club Havrais — Championnat
de vitesse.
- Dimanche 17 mai, chsmpn-nn -t de vitesse ; sé¬
ries sur 4 kilométre, finaio sur .<kilomètres.
Rendez-vous
boulevard Sadi-Ca' not, a l'interseetion du cheo in des Courses, a 8 ü. 1/4 ; Tirage
des séries a 8 h. 1/2.
Tas*
Société Havraise des Amies de Combat. — 5IM
les membres actifs de la Société Havraise des Ar¬
mos de Combat sont priés d'assist -r a la prochaiae
réunion d'entr Jneme it (tir au pistolet), qui aura
lieu le dimanche 47 courant, de 9 heure- a < heu¬
res, au siana de la Grande Taverne, rue EdouardLarue.
Anciens E'èves de l'Ecole Pr tique d'Industrie .
— 11 u'y aür.i pas de seaace de lir dimanche proco 'in, la section se rendsnt au concours de Deauvilio.
Reunion au bateau de Trotrvitie, diaMnoho matin a 7 heures pour les tireurs et les Anciens Elèves qui participent a l'excursion organisée
a cette
occasion.
PRIX DE I.A PORTE-DAUPHINE . — 5,000 fr. —
Distsnco : 4,400 mèires. — 4. Miroho'ant iSharpe),
ii M. Binyham.
— 2. Benoiton (G. Stern), a M.
E1. Blar.c. — 3. Roche en Dreuil (J. Childs), a 51.
Mantachrff.
Non placés : Varouna II, Chardin,
Maharajah,
Cher Maltre, Galles du Nord, Amourette
VI, Lame
prix des 1 1las. — 7.000 fraDCS. — Distance :
2,4fi0 mètres.
— 4. Cherry Brandy (O'Neill, au
baron Ed. de Rothschild.— 2. Saint DizieriShnrre),
su prince 51urat. — 3. Norba (J. Reiffi, a 51. Grignoi)
,
Non places ; Malapprls,
Vervena,
Le Spyrou,
Wurzel.
PRrx la force.
— 40.000 francs. En outre
2.000 francs a l'élcveur
— Distance
: 2.-200 mé'
Ires. - 4. Ecoiien
(Sharpe). a M. Bingham. —
2. Dorrit (O'Neill, a M. Rutgers Le Roy. — 3. Mod
Petiot Garner), a Lord Michelham.
Non placés : Iemplier 111, Dagor, Isard II, Jlo'ia
Rabble
prix de LotvGCHtMP (handicap).
— 20 000 fr.
— D siance : 8,if>0 metres. — 1 Nestor III (Alle
mand), a M. des Forts. — 2. Lilium (G. Giout). &
M. L. Prat. — 3. Démon (J. Jennings),
a M. Jamet
Hennessy.
Non plaeés : Fauche
le Vent, Rasoir, Cassin,
Palme d'Or, Chouchoute,
Tor ika. Le Gerbére, Genilté, Omnis. GUédon, Lady Agues, Beuvron.
prix Dk surernes
— 8,000 rrancs. — Dtstan
ce : 3,000 metres. — 4. Sladame Campan (G. Clout)
— 2 Crehecut (J. Reiffi.
Non placés : Grand d'Espagce
II, Vangoyen,
Narda Handia, Men»ggiio.
Eésultats
CHEVAUX
Pari
Pelocse
Pesagk 10fr.
5 fr.
Gsjaaiili| Flua
1°° Course. — 9 part.
Foggia
46 50
Moniagagne
Holly Hill
2« Course
— 10 part.
51 50
Miroboiant
Henolion
Roche en Breuil
3- Course.
— 7 part.
Cherry Brandy
20 —
Saint Dizier
4' Course.
- 8 part
Ecouen
50
Dorrit
Mon P<-tiot
6 Course. — la part.
Ni'Slor III
275—
Lilium
Démon
6° Course. — 6 pait.
30
Madame Campan
Crebêcut
p-onostics
mutual
25 50 10 1550
11 6Q
19
31
46 14 46 50
50
7 36
7 50
19 50
13 50 10—
1650
7-
13 16—
17 15 50
6 SO
9 60
8—
95 5' 426—
53 —
2o 56
39 50
•10SO
4450
li5b
26 -
1250
7 50
9—
de la presse
USaSswssa-VjRSSItie,
2 5
ïfal
PRIX DU MtS.ML
Paris- Sport. . .. Le Cardeur Calignac.
Le Jockey
, . )Le Csrdeur, Duncan II.
.. Le Cardeur, Cnlignae.
La Liberté
PRIX DRISLCCEUR
Paris-Sport. . . .. Smart, Jaboieur.
Le Jockey .... . . Smart, Wail S.treut.
. . Smart Wall Ssreet.
La Liberté
PniX DE LA FRETTE
Naïade IV.
Paris-Svort . . . . . Le Récëieur,
Le Jockey . ... . . Rayon (t Or IV, Naïade IV
La Liberté. ... ,. E'ght Bells, Ec. Lieux.
PRIX CONSUL
Opott, Saint Ange III.
Paris-Sport
Opotf, Saint Ange 111.
Le Jockey
Opotl, Saint Ange 111.
La Liberté
PRIX BhAUVAU
Vedlée, Ec. K' lékian.
Paris-Sport. . .
Ec. Eétékian, Reine des Féiibres.
Le Jockey
Ec Kèlékian, R« ino (les Féiibres,
La Liberie
PRIX DE SALDI-CHOURY
Paris-Sport
Gue du Roi, Roxanna.
Le Jockey
Gué du Rei, Uirique
La Liberie
Gué du Roi, Uirique.
BULLETIN FINANCIER
Parts, 14 mai.
pnrx ni.AivGY la réclamer).
— 8,000 fr. — Dis
tacce : L660 metres. — 1. Foggia (Grant), a M. G.
Brosseilé.
— 2. Montagngne (Mac Gee), a la prin¬
ces se Duteeo-Singb.
— 3. Holly HUI (M Barai); a
M O ry-fKB'iercr.
Non places : Ronard Bteu III, Calvados III, Bibre, Garde a Vous, Pourquoi Pas, Gounevfile.
Le marché demaure
fndacis et te Votiidja des
transacts ns est toujours cxLCmement
réduii.
La Ren ie francaise
est cepemiaut pius ferme a
86 SJ, sur Ia meilleure
lenue du comptaot.
Les fonds - 'ËUits étranyers
sont lourds. l.'Extérieure
espagnole
fait 88 35, i'Ita1» n 96 75, 19
Ture 82 2o el le Serbe 81 15. Le Russe
i 0/0
489 termine a 73 35, le 4896 ii 70, le 5 0/0 1%6 a
01 40 ei le 4 1/2 1909 a 9 SÜ.
Nos Eiabiissements
de crédit restent mal dis¬
posés.
Ln Banque de Paris s'inscrit d 4,582, leComptoir
d'Escompre
a 1,039, le Crédit Fom ier a 895, le
Crédit Lyonnais a 1,615 et la Société Généraie
s 790
p.irrai les Chemins francais, le Lyon cote 4,23»
et l'Ói leans 1.305.
..
Le Rio-Tinto se montre plus résistant a 4 7o2.
Douloureuxproblèmequi se posnitsou¬
dain a sa conscience: devaitelle lui faire
cette peine ?.. .
Maisquand, vers minuit et demi, il frappait a sa porteax'ecla discretion la plus
absoiue,et qu'elie lui eut ouvert tout de
suite, avectransport, commeon ouvrirait a
sou ange gardien, elle savait qu'elieallait
tout lui dire ; car entre eux, entre cesdeux
victimes de la vie,11ne devaitexister au¬
cun secret.
Et ce furent ses premières paroles,tan¬
dis qu'il lui prenait ies mains dansla plus
étrange fièvre.
— Si vous saviez, mon pauvre ami, a
qui vousvenez de rendre ce service!. . .
— Aqui ?. . . a qui ?. . .
Brusquement,ii allait prendre la petite
lampea abat-jour vert, la soulevait ; et
quandJacquelinefut en pleine iumière :
— A qui ?. . . a qui ?. . .Est-ce donecela
queje sens en moidepuis le premierjour
oil je vousai vue ?. . . Et depuisces quel¬
ques heures quelque chose de si ancien
nrétreint 1ccoeur,le cerveau!. . . On vous
nommeJacquelineBarbier.. . ct c'est pour¬
tant un tout autre norn que j'ai mainte¬
nant sur les levros. . N'est-ec pas cela
que vousavezvoulu dire, ma pauvrepetite
atnie?. . .
— Ilélas !... c'est cela. . c'est bien
cela que vousdeviezsavoir avant tuut. ..
avant demc conliuuer votreamitié 1
— La petite. . la petitePamine. . . Pau¬
line Boncliu.. . notre petiteapprentiede ia
rue des Pelits-Champs?. . .
Et il y eut bien chez lui. en e(M, un
instiuclU'Hiouvemeiitde recul. . . uue évo-
cationd'tm passési duuioureux, si humiliarit pour lui. . .
Maiscommecela s'envolait vite dans Ia
pitié, dans la tendresse. le sentiment protectienret bienfaisant qne lui iiispiraient
Pauline, cette petite victime... ces deux
petites victimes!.. .
Et c'était avec le plus chaleureux élan
qu'il s'emparait d'elle, la pressaitsur sa
poitrine, mettait un ardent baiser a son
front.
Puis :
— Vousêtes bien autrementa plaindre
que moi.. . Vous avezété bien autrement
l'rappéel...
El eile pleura doucementen lui.
Maistant de douleurs,tant de secousses
avaientpassésur elle qu'elie ne s'attardait
pas a cette chose si inutile que sont des
larmes.
_
— Pardonnez-moima faiblesse,dit-elle;
ce n'est pas au milieudes pleurs qu'il faut
examinerla situation si cruelle qui nous
est faitea lous les deux. . . il va falloir,au
contraire,que nous en parlions avectout
notre sang-froid, tout notre courage.. . et
que ce ne soit pas dans une minute d'emotion que nousdécidions ee que nous devronsdeveiürfun pour l'autre. . . s'il vaut
mieux que nous detheufions dètix amis,
noussouteuantde toute notresympathie...
ou bienque nous nous séparionsii jamais
aprèsavoir mis ties coeurs ensemblepen¬
dant quelquesinstants ?. . .
— Nousies mettronsensemblepour ja¬
mais, chère petite enfant !. . . secria Roger
Verneuild'une voixsi vibrante. que Pau¬
line. tout de suite, lui montrait le petit lit
oü doruiaitsa sueur.
(A
<"«»3»!'*«•» a lougrhnnip
Jeudï
14 mai
Le Petit Havre — Vendredi 15 Mai 1314
9r
agrégê, chef de service a
SORET
{?««,«
7, Rvie Thiers
Traiiemerts Spêclaux. — Prix modêrés
(ÏSayons
X)
• Im&imwio
Pen de personuesignorentqiielletrista
infirmitó constituent les Hémorroïdes
car c'est line des affections ies plus
répandues, rnais comme on n'aime
pas a parler de ce genre de souiffrances, on sait beaucoup moins qu'il
existe un jnédicament I'Elixir cSa
da Jsurn&i
15, Ros y#RTS2*ZU.B,
S3
LETTRES
Ssjulo
os DÊCÈS
NouvellesDiverses
Acharnée a mourir
Sophie Fuusouci: r est de son état marchatsde de fleurs, et habile a Paris.rtie SaintAntoine, 16. On se rsprésenie
voioxitiers une
inarcliande
de fleurs comme une personne
toute sonrires et totue joie.
Mais Sophie Fonsonnter
a des raisons so¬
lides pour ne pas sonrire, et quant ft la joie,
eile i'igr.ora depuis iongiemos.
La maihea •
reuse est neurasthéhiqne
ad dernier degré.
Na prrvenant
pas a surmonter
sa méiancoiie, eile résoiut d'en flair avec one vie qui
lui pesait h ce point, et ii y a qudque temps,
siie absorbs one qoantité oousidérable
ci'absinthe mêlée a du Divot. On arriva a temps
pour la transporter
k 1'Hötel-Diea,
et les
soins qu'on lui prodigua la remirent bieatot
sar pied.
Mais la nenrasthénie
ne s'était pas enfuie.
Mercredi, sa concierge
ne ia voyant pas
descendre ft son habitude, fat prise de souppons, mon.ta jusqu'a son logement etécouta.
A travers ia porie, ioi paryinrent
des gémissements et des rales. Aidee des voisins, eile
enfonca ia porte, et trouva Sophie- Fonsonnier étendue sur son lit et se tordunt dans
ö'aflreuses douieurs.
Eileavait,
cette t'ois, absorbé de i'aicool
b. brüler mélangé (ie pavot.
On la transporta immédiatementfi
l'Hötel-Dieu, oii l'on
ne désespèie pas de la sauver une seconde
fois.
Un Peau-Rouge
au Parquet
Le petit parquet de la Seine a été mis en
£moi par l'arrivée d'un superbe peaa-rouge
s£i costume mi-européen,
mi-national.
G'était un nom mé Paliou, dit « ie Cer!
Agile
modèie chez les peiutres et peintre
lui-mëme, habitant ie qüartier Latin. II ve¬
rtuit. réclamer au cabinet de M. de Gab'ardo,
juge d'instruction,
une peau de panthère,
tuee, dit-il, par son père, le « Graad Ser¬
pent », daas la prairie, et qui lui avait été
volée par un modèlo italien, Giocomo Mazza
Ge dernier a é'tê envoyé a la Santé par le
!«go.
C0RRESH0NDANCE3
PARCHEÜ1IN
DEFEB
Seroiee d'Hioer
étahh au 10 Octobre 1313
ployé de commerce, rue do 1'AHas, 14 ; Joséphice
COMME,épouse GHEVALUEH, 38 ans, sans pro¬
fession, quai de Souibampton, 47 ; Renée LASSALLE. 1 mois 1/2, rue Denfert-Rocbcreau. 18 ;
Marie TURQUETIL,épouse HAZARD,41 ans, sans
profession, rue du Four, 10 ; Aiphonsine DËNOYERS,veuve GUERAVANT,52 ans, sans pro¬
fession, rue de Bordeaux, 28 .
epóolalité
de
A L'ORPHELiNE,
13-15, rue Thiers
Üeuil cos» piet ca Sï heer es
Sar dsmaode, ua&w-ersc^ne
Initièc au deuii porte 4
a domicile
TELEPHONE
83
75 - BOULEVARD
Vous êtes prié de bipn vouloir assister aux
convoi, service et inhumation da
Monsieur
Pascal-Erniie
JEANNE
Rentier
Ex-Brigadier d'Octroi en Retraite
décédé le li mai 1914, a l'age de 79 ans, muni
des Sacrements de I'Egiise.
Qui auront lieu la samedi 16 courant, S 9 ft.
du matia, en l'égiise Saint-Léon, sa paroisse.
On se réunira au domicile mortuaire, ruo de
i'Observatoire, 16.
Frisz
Biaa
pr lsBspss
8ssosAas!
De la part de :
M°<>Vsuoe Lêon DESCHAffPS,nés JEANNE,
S3 Fille *
tö. et $!<-■>
Lion DESCHAMPS
et leurs Enfants ;
M. et M°<>
FLOCH,nee ÜESCHAMPS
;
«»' AHes ÜESCHAiïPS;
M Georges DESCHAIBPS,
ses Petits Enfanls et
Arrière-Petits-Enfants ;
Eugénie GREVERANO;
Les Famines JEANNE,MAUDUtTet les Anils.
Selon la volonlé du défunt, on est prié de
n'envoyer ni /leurs ni couronnes.
II ne sera pas envoyé de lettres d'invitation, le présent avis en tenant lieu.
Conversation - Cours Commerciaux
STÉNOGRAPHIE
A LA fVlACHS^E
LA PIPE
posiiivcrcent imbouchable, condeösant 38 0/0 de
mcoiihe, done saine et agrésble a tous, se nettoyant aulomaliquement,
se nomme la PIPE
JL» R patent.
Approuvée a l'unanimité par Ia Société d'Hygieuo de France, ses purs modèies anglais, d'une
lignc impeccable et remarquablement finis, sonl
robuslement lailié3 en plein ceeur de vieiile raci«e debruyére odorihTante.
Gurieuse brochure : « Ce qu'un fumeur doit savoir et la maniére de choisir et de soigner vos
pipes », envoyée
gratis par L» B. patent
PiPE, 182, rue de Rivoli, Paris.
Dêiositaire : E. VALLOIS, tabacs,28. rue Thiers,
Le Havre.
M et M"' GRANGE
et leurs Enfants. prient les
personnes qui, par erreur, n'auraicnt pas recu
de ietlre d'invitalion, de vouloir bien les excusor et assister aux convoi, service et inhuma¬
tion de
Mademoiselle
Léortie GRANGE
décédée le 14 msi, a 1'üge de 18 ans, munle des
sacrements de l'égiise, qui auront lieu le sa¬
medi 18 courant, a 1 b. 1/2 du soir, en l'égiise
Saini-Nicoias, sa paroisse.
Le convoi se réunira au domicile mortuaire,
rue Amiral-Courbc-t, 1.
son Epouse ;
tf.M.Justin et Charles LAMOTTE;
Ti1n"Aiphée et Renée LAM0TTE,ses Enfants ;
iff»» VeuoeALFh'EEDUSO/S, sa Be!le-Mére :
Ni. Henri DUBOIS, chevalier de la Légiond'Honm ur, ffi'" Henri DUBOIS,et leurs Enfanls;
0. etSP" ALPHÊE-DUB01S;
IK"" Virginie DUBOISet ses Enfants ;
Ses Beaux-Fréres, Belies-Sceurs, Neveux et
Nieces ;
1,1.et 0"" Frangois COTYet leurs Enfants, ses
Neveux, Nieces, Petits-Neveux et Pelites-Nièccs
Monsieur
Alplsonse-Lsuis
LAMÖTTE
Directeur de I'Ecote Municipale des Beaux-Arts
Conseroateur du Musee du Haore
CheorJur de la Légion d' Honnsur
Officier do I'Insiruction pubiique
Médaille 1870 71
NP"08UO8A. N0ÈL et ses Enfants et PeiitsEnfauts ;
él. V.DURÉCU,Pilote, M" DURÉCUet leur
Fille ;
Mme Vsuoe ARNALet sen Fils ;
Les F" miles N0ÊL, DURÉCU, WATTBLED, DO
BREMER, ARNAL et les Amis.
ÉTAT CIVIL DU HAVRE
Remercient les personnes qui ont bicn votiïu assister uux convoi, service et inhuma¬
tion de
Madame
NA1SSANCE8
Hu 14 mai. — Simonne DURAND,rue Bougain¬
ville, 14 ; Marie ENACLT, rue des Viviers, 33 ;
Pier. e MALINGRE, rue Robert-Surcoul', 5 ; Lucie
ÜESSON, rue Frédério-Beiiaiiger, 8ö ; Pierreite
CONFAIS,rue Massiilon, S3.
Le Dius Qrand
Choix
Veuve
Pauline
MÉNARQ
Néc LÉROY HENRY
M" Hsnri T0.MIN, sa vc-uve ;
MM. Marcel, Henri et Fernand BUREL;
M et tö" Alexandre TOMIN;
M" Veuoe Emél e D0N0 et ses Enfants ;
M. et M" Léon HAUCHECORNE;
M. et M" CHARLES ei leurs infants;
Les families TOMIN, MARTIN, LEPERCHEY,
KITTs. DICKMANN CRQCREMORE,PICARO, HAU¬
CHECORNE, FRESNE, BAGOT, CHALIER, CON¬
VENANT.
_ Le personnel de la Ma/son TOMIN et les amis
TISSANQIER
3, Bd as Strasbourg itél.SS
VOiTURHS deD. 35 fr.
ËieycleUea "TouNste" Jèr fi
entièrement cquipées a 'u-J .
A i'laipriiiicrie da Journal LE KAVFtE
86, RUS FONTKN1ÏLL3
LETTRES
Billets
DS
MAPI
da Natssonca
AG K
is
Mai
Hauteur '7 «
Samedi
Leverdn Solell,
Couc.da Soleil.
Lev.dela Luno.
Gou.de la Lune.
16 Eïai
Opéra-comique en cirq actes et six tableaux
musique de Massenet
TMMATBE-CïaQUE
OMNIA
£ 8 U. $j&,
MtUlnéa
s lïJ.MASCHES
®U¥ERTWSE
Bm W9WTS BU
Ba 13 Mai 1914
LAMBLARDIE
8 a.»/»
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ANGOULEMS
9 & »/»
C1TADELLE
6 h. 1/2
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6 h. 1/2
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10 b. »/»
JEL'BÏS
NAVIGATION
A
VAPBUR
LE HAVRE, H0KR.EUR, TBOUVILLE ET CAEH
HONFLKliR
Vendredl.. 15
Samedi ... 16
all. a.
Bsltiqne
Cardiff
Londres
— Liverpool
. .Dnnkerque
— Trouvilte
Swansea
Southampton
... .barfleur
. . .Chernoui'g
Dieppe
Caen
Uimanche 17
HAVRE
Mai
TROÏIVILLE
HAVRE
CAEÏV
Vendredi.. 15 10 45
10 45
_
samedi .. 10 II 15
—
ll »
Dimanche 17 12 45
12 15
Ponr TROUVIt.LB,les henres prdcfdêes d'rm astëris
que (-) iisdiqueiit les départs pour ou de la Jetêe-Pro
meuado
Ea ces da mauvals tomps ies départs pauvent êtrt
supprimés.
sr&mx
CÜ1VRE
s-4
Aiai
SS1«L«S
PrSeêtlente GlSture
calsta
ealsae
PrSséfiente Ciatnre
sontenae
PrSeMsatr
Cloture
Couract.
Proetiio
4 do Mai.
Juil -.soüt
4ue'iiicr.,
Tendance soutenue 3ontenue soutenue soutenue
CühZA
Prêaêdsntc Clötars PrêeSdastf C!5iara
Matin
Juin
Juillet
Aoüt
Septembre.
Octobre... .
Novembre.
Déeembre.
Janvier.. . .
Février,...
Mars
Avril
Courant..
Prochain
4 de Mst
Juil Aoüt
(dcr&terJU'Cïctob.
ir.'Octsb
4te Nov
Tendance calme
eaime
SPIK1TÜSÜX
PrécMeute C'étusa
Couraai. .
Procbsiio.
i da Ma'
Juli -Aoüt
4 «Isrniers
3 dCctob
4 dTJciott
4 premi- r
HALLS BS faOWT»V5LL(«Ha
Jeuui 14 Mai 1914
Jilét/rsmme ie «strc Cerrespenda'nt
COURS
Besviaox
soutenue
soutenue
SDCRSS
PrSsSfisnts Clélu?»
41 75 42 JUt, 28823
Tendance, soateana
salme goutcnue sontenne
Sueret. — Roux, 29 25 a 30 — ; Rafflaes, 64 —
a 64 50.
Panne de censammatien. — Première» marque?.
Dlsponibiea ei Procbsln:
63 — a
-. Aïtrcs
marques : Dispopibias et proebaip. 59 — a 64
mm
BEST1AUX
KxTa4*6a
Amonés Vendas Paix
des poidavifa
Bmufs
Vaches... .
Taureaux. .
Veaux
Moutons. . .
Pores graa
Qdaxités
PUBLIQUES
Oreffe
dsiaJustice
d0Paix
du3°Arrondissement
duHavre
VENTE DE MOBILIER
Après le décès de M. Louis SALÊpère, de Sanoic.
A Sanvic, rue de la République, n»36(irapasEeL
le Mardi 19 Mal 1914, a 2 h. 1/2 du soir, tó*
Didi^r, greflier de la Justice de Paix, vendra aux
enchères publiques : tables, chaises, buffet, secré¬
taire. armoire normande sculpiée, commode, glacé,
pendule lit, literie, vêtemenls et divers autres'
objets. — Ait comptant.— Requête des héritiers.
(7931)
VÖITüRES
A VENDRE
B<EUl8
Vaches . . .
Taureaux .
Veaux
Moutons . .
Pores gras
Frères
m,
AVOIfïSS
PfSe&isiits Ctötnre
COUTRSit.
Proshstji
4de Mal .
Jull.-Aoüt
» de.niers
Terdatico soutenue
PARIS, (La-Villette), jeudl 14 mai
II sera vendu, deraa.n samedi, a 11 h. 1/2 du
matin, a l'Hdie! dos Ventes, rue Victor Hugo, par
commissaire-prisenr :
J COUPÉ roues caoutclioutécs.
1 LAi\DAÜ.
(79491 ;
HAVREA CHERBOURG& SAINT-VAAST
>lois de MAS
HftVRE A CHERBOURG i HAVREA SA1NT-VAAST
20 Mercredi. . 6 h. — s. I 23 Samedi...
9 h. — s.
Yaleurs Diverses
FUSNTES
LE HAVRE
A BOULOGNE-SUR-MER
ET CALAIS
Départs réguliers, Ies 1", 11 et 21 4e cheque mois
Agent E. DLUEAli, Tente B. F. Tél. 3.75.
MaV
ABSSIKISTRA'OOM ÜSvK POSTSS
— La dernière Ievée des cocrespondances pour
ie Sénegal, le Brésii et la Piata par paquebot fran¬
cais partant de Bordeaux, sera faite au Havre,
bureau principal, le 15 mai, a 12 heures S.
— La dernière ievée dea correspondsnees poer
les Eiats-Unis, ie Canada, ie Mexique, ie Guate¬
mala, Cuba, Curacao, Costa-Riea, Equateur, Haïti,
Saint-Pierre-Miqueion, Tahiti, iss fles Marquise,
Guyanes francaises et boiiaBdaises, Béptibtiaue de
Paneias et Japon, par pactuebot France ' sere
faile au Havre, bureau principal, le 16 inai. a
II b. 30.
— La dernière Ievée des correspondances pour
Ie Brésii, la Plata e! le Chili, via Magellan, par
paquebot anglais partant de La Paiiice, sera faite
au Havre, bureau principal, le 16mai, a 12 u. 5.
— La levee des correspondances pour les An¬
tilles et Mers du Sud, par paquebot anglais partant
de Cherbourg, sera faite au Havre, bureau princi¬
pal, 1c i9 mai, a IS n. 10.
NOUVELLES
MARITIMES
Le st. fr. St-Pierre, ven d'Oran,est arr. a Alger
le 12 mai.
Le st. fr. Barsac, ven. du Havre.est arr. it Bor¬
deaux Ie 13 mai.
Monsieur Albert-Henri TOMIN
Le st. fr. St-Vincent, ven. d'Oramest arr. aRouen
E"t epreneur Je Menu'serie
le 13 msi.
Le st. fr. St-Philipt e est parti de Rouen leiSmai
pour lluelva.
Le st. fr. Amiral-d -Kersahit, ven. de Nantes est
B). Eugene LAN0Ë; M. et M" GOSSEL/Net
arr. a St-Nszairele 43 mai.
leurs Enfants ; kl. Gérsrd LANGE; ««• Marie
Le st. fr ct-Darihélemy, ven. de Pslamos, est
arr. a Barcelone le 43 mai.
LANOE; Mm"Veuoe MARIEet ses Enfants ; M"
Le st. fr. St-Louis est parii de Carlhagène le
VeuoeHenri LANOEet s s Enfants, ses neveux
12 mai pour B ugie.
et nieces, parems et amis, remercient les per¬
Le
st. fr. St-Thumis est parti de Huelva le 13
sonnes qui ont bion voulu assister aux convoi,
mai pour Alicante.
service et inhumation da
Le nav. fr. Jameille, cap. Barratle, ril. de Mel¬
Monsieur Frangois-Plerre LANOE
bourne a Dunkerque, est rep. de Falmouth le 12
mai.
Jardiiier
Lo st. fr. Georgia, ven. ds Bordeaux, est arr. a
Buenos-Ayres te 12 mai.
Le-st. fr. La- Lorraine est parti de New-York Ie
13 mai a 12 h pour Havre.
Le
Susanm-et-Marie, ven.de
Bordeaux,
DEüiL
EN24HEUHES
poiü'
Messieurs
etDamesest arr.st. fr.
a Anvers le 43 mai.
Le st. fr. Haut-Brion, ven. de Dunkerque, est
arr. A Hambourg le 44 mai.
l'ournisseur
cte l'l'nion
Économiqne
Lo st. fr. Sephora-Worms, ven. du Havre, est
arr. a Hambour? le 12 mai.
au COMFTANT
3 O/O Francals....
66 'a
3 O/O Amortissab. 91 80
ACTIONS
Banque de France.. 4.650—
— de Paris. . . 1.675—
Compt. d'Escompie 1.036—
Crédit Foncier
891—
Crédit Lvonuais
1.616—
Société öênéraie. . . 800—
Est 500fr. t. p
906—
P.-L.-M
4.234 Midi500fr. t. p.... f .114—
NOrd400li', t. p... 1.70aOrleans 500fr. t. p. 1.309—
Ouest 500fr. t. p... 872—
l'ransatiantique....
142—
MessagenesMarit..
93 50
Méiaux
725—
Boléo
70u—
Suez, actions
4.CS5—
Suszipartsi
2.240 —
Suez(Sociétéciv.).. 3.619—
Busse 4 % cousoi.. 88 30
— 3 % 1891
7360
— 3 % 1896
7010
—
1906....
10!50
—
1909....97«0
—
1867/69.8840
— 4 % (S80
SS73
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parti naardi de Reykiavick, pour la France.
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(chalulier de Boulogne) ; ils ont peu pêché.
Patrixfjord, 12 mai. — Le Cour lis (de Paimpol)
est parti pour la pêche.
Saint-Pierrc-Miquelon, 12 mai.— Le nav. Marie
(de St-llaio), est arrivé ici avee 120 quintaux de
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est parit pour les lieux de pêche.
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S'adresser a M. CHAMPALLOU, 13, rue Thiers, Rouen.
8.12.15 (7S97)
Etude de M' il ASSF LH ANN, notairc au Havre.
5, rue de la
Paix (successeur de M' AUG1ZR)
L'adjudication
d'un
fonds
de commerce
de Gafé-Débit,
exploité
au Havre,
cours de
la République,
n° 111,
annoncée
pour
le
Vendre
:i
22 mai 1914, n'aura
pas lieu.
Elude de M' II ASSE LMANN. notalre au Havre,
5, rue de la
Paix ( successeur de M' AUGER)
L'adjudication
d'une
mai¬
son a Gravilio
Sainte
Honorins.
quartier
des
Acacias,
rue Pierre-Dumont,
n° 14,
annoncéepourie
Jeudi28mai
1914, n'aura
pas lieu,
cette
maison
ayant
été vendue
de
gró a gró.
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A VENDRE
AVENDRE
ADJUDICATION
Etudes de AI" MIMEREL, not aire
a Bclbec, et DESCHAMPS, notaire a Rouen.
Ie Lundi
IS Mai
1914, a «leux beures,
a Boibec,
en i'étude de M* Mimerel :
1" Lot. — liaison
a usage de
commerce,
a Boihec, rue de la
République,
n» 74, occupée
par
M. Le Guen. — Revenu
brut :
85Ó fr.
2« Lot.— Jardin
a Boibec, rues
Montauban
et Aiirien Pasquet,
Iouê a M. James 135 fr. par an.
3s Lot.— Siaisou
a Bo!bec,rue
Montauban,
n« 15, louée a M.
Brosse 180 fr. par an.
4» Lot. — Ferme
sise com¬
mune des Trois-Pterres,
canton
de Saint-Romain-de-Golboic,
sec¬
tion de rOiselière,
traversée
par
la route Nationale
du Havre a
Paris, contrnant
31 hectares
4
ara. occupée
par
M. Sanipic
moyen nant 3,4(0 fr. par an plus
les impöts. Gbasse louée 200 fr.
par an.
S« Lo t. — Piisee de Terre
en
labour, sise commune d'Houquetot, caeton de Godervtlie, qonienant 2 hectares
20 ares 40 centiares, occupée
par M. Brunnevai moyennant
200 fr. par an
pfus les impöts.
Chassü louée
10 fr. par an.
Ou pourra trailer de gré a gré
avant Padjudicalion.
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DE FAiLUTE
Par jugement en date du 13 mal
1914, i'époque
de l'ouverture
fle
la fuiliite de la Société de fait
«Veuve Henry osRLAT et f ls »,
népociants,
ayant une maison au
Havre, 12 ft's, ruo Juies-Ancel, a
Paris, 62, Butte de !a Loire, Halle
aux Vins, et 4 Libourne,
26, rue
Jules-Simon, a été provisoiroment
fixêe au 20 janvier 1911.
FAILUTE
Par jugement
du Tribunal
de
commerce du Havre, en date du
13 mai 19i4, le sieur Lêan Henry,
négociant en vins, a Lillebonne.
rue Thiers, a été déciaré en état
de faillile. — Syndic ptov. : A.
Sautrel.
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