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TENDANCES EMERGENTES
DE LA
DIFFUSION DES DONNEES
AU BURUNDI
PREDISPOSITIONS
i. Au Burundi, nous sommes conscients :
- que le monde évolue à une vitesse
spectaculaire due à l’importance de
l’information, des normes et des technologies
qui sont liées à sa production, sa circulation et
sa dissémination.
- que le contenu de ces NTIC est à la base des
changements de la société et son évolution
vers l’information, le savoir et la connaissance
et facilite le travail des acteurs et apporte une
impulsion qualitative.
Les outils de diffusion de
l’Information déjà adoptés :
i) Site web;
ii) BurundInfo;
iii) Africadata (Portail des
données);
iv)Nada ; V)CountrySTAT
VI)SDMX.
i) Site Web
-Un instrument très utilisé pour les publications par l’Institut
de statistiques et les ministères (les sectoriels).
-Notre système de gestion (Joomla) est facile à manier et ne
nécessite pas beaucoup de connaissances en informatique
-Le site de l’Institut de Statistiques est beaucoup consulté et
apprécié par les utilisateurs limitant l’usage du papier et de
déplacement à la recherche de l’Information.
- Le souhait est que chaque ministère ait son lien sur le site
de l’organe central national de la statistique.
Besoin
- Hébergement du site web dans un endroit rassurant pour
plus de sécurité (quitter le .bi vers le .org);
-Webmasters, webdesigners, les administrateurs formés;
-Equipements pour accroître le réseau informatique;
-Parc informatique suffisant.
ii)BurundInfo (DevInfo)
• Base socio-économique de dissémination.
Aujourd’hui, il y a des personnes formées et qui
s’occupent de l’alimentation de l’outil et de sa
mise à jour. Il est en ligne sur le site isteebu.bi.
• Elle a été mise à jour 3x mais les utilisateurs
n’ont pas été informés. Il y a nécessité de passer
à un système qui informe ces derniers des
changements et mises à jour d’où formation sur
les outils permettant de migrer vers le SDMX à
savoir la programmation Java, XML. Un outil de
transfert d’une base de données Burundinfo (ou
devinfo) vers la plateforme SDMX a été dvpé.
iii) NADA
 Comme pour l’Africa Data, nous sommes
confrontés au problème de renforcement de
capacités. La formation déjà reçue n’a pas été
approfondie et n’a pas fait objet de suivi. Mais
l’initiative était appréciée car dans tout ce que
nous produisons, il y a des métadonnées.
Chaque ministère est enregistré avec ses
indicateurs et une fois qu’une mise à jour est
faite, les personnes enregistrées sont mises au
courant du changement opéré par un message
publié. Il y a besoin du renforcement de
capacités.
iv) CountrySTAT
 CountrySTAT est un système statistique qui
permet d'organiser, d'intégrer et de publier des
données et des métadonnées statistiques pour
l'alimentation et l'agriculture. CountrySTAT
permet la collecte et l'homogénéisation de
données statistiques institutionnelles éparses,
assurant ainsi l'inter-compatibilité des tables
statistiques au niveau national comme au niveau
international.
iv) CountrySTAT (suite)
 Les principales retombées attendues:
- faciliter l'accès à l'information aux preneurs de
décision et centraliser des données
actuellement éparpillées entre différentes
institutions.
- Une stratégie de formation a été mise en place
pour assurer l'avenir du projet à long terme.
[L'approche de CountrySTAT est basée sur
l'application de données et métadonnées
standards de FAOSTAT et GAUL (Global
Administrative Unit Layers].
iv) CountrySTAT (suite)
 Nombreux pays ont manifesté leur intérêt et
sont en train de l'adopter dans leur système
statistique national.
 CountrySTAT a une stratégie de renforcement
des capacités au niveau des pays pour rendre le
système durable à long terme. [CountrySTAT est
en contact avec FAOSTAT et autres systèmes
d'information comme FENIX].
v) Africa Data
 C’est un outil issu de la BAD et qui se présente
comme centre de ressources et permet d’avoir
des données selon les années et produire des
cartes, des graphiques ou des courbes. On peut
exporter les données à différents formats: Excel,
Pdf, World etc.Il a été adapté à l’Institut de
statistiques (ISTEEBU) et comporte quelques
données. Nous déplorons le manque de
renforcement de capacités qui a suivi après le
départ de la BAD. Chaque indicateur possède
une métadonnée développée lors d’un atelier
qui a réuni tous les sectoriels.
vi)SDMX ( Statistical Data and Metadata exchange)
-Technologie utilisée pour rendre automatique et
standard l’échange des données et des
métadonnées dans le respect des délais et
facile à mettre à jour. Indicateurs ministèriels
déjà publiés sur SDMX.
-Vient révolutionner l’activité statistique; permet
aux producteurs d’informer automatiquement les
utilisateurs enregistrés sur les mises à jour.Ces
derniers peuvent alors mettre à jour leur
système sans avoir entrer en contact avec les
producteurs en permanence. Il y a gain de
Contraintes
Vetusté
des
moyens
classiques
de
télécommunications existants;
Taux assez bas d’équipement, obstacle à
l’attraction des investissements de prestataires
de services;
Information qui manque dans certaines
publications parce que les données non
collectées;
Faible quantité d’énergie électrique ;
Faible parc informatique et financement;
Irrégularité dans l’alimentation de base de
données.
Opportunités
• Des séminaires sont organisés pour tous les
ministères (un à 3 personnes par ministère,
ex.Novembre 2012 et octobre 2013) et sont
mobilisés sur l’actualisation de leur base de données
Cas typique, chaque participant a eu un CD Rom
pour le DévInfo. Sont aussi invités les services socioéconomiques : les conseillers des gouverneurs, les
directeurs provinciaux de l’agriculture, de la santé ,
de l’éducation et les représentants des bureaux
provinciaux de la statistique. La formation devient
l’occasion de sensibiliser les participants d’intéresser
les utilisateurs pour profiter au maximum des
données collectées via les instruments de diffusion.
Opportunités (suite)
• L’autorité gouvernemental s’investit dans la
diffusion et la publication des données et dans
la tenue des réunions de sensibilisation;
• Les institutions en place ont fait de
l’ISTEEBU l’organe central de la statistique ( la
Loi statistique et ses textes d’application ainsi
que le Visa Statistique);
• Le Comité National de l’Information Nationale
(CNIS) et son Comité Technique (CTIS)
contrôlent la qualité de nos publications.
CONCLUSIONS
 La base de données socio-économique
développée par les ministères est disponible et en
ligne depuis 2012;
N.B.:Quelques outils sont restés au niveau des
projets:malgré qu’ils soient en ligne: IMIS, NADA;
Pour DevInfo, l’Unicef a appuyé l’ISTEEBU dans ce
projet dans le cadre d’un MoU entre Unicef et
l’UNSD pour le développement de l’infrastructure
informatique y compris l’internet.
 Le site web, actualisé depuis 2013 est en ligne .
QUELQUES LIENS
- http://data.un.org/countryData/Data/show/BDI;
- http://www.isteebu.bi;
-www.sdmx.org;
-http://www.devinfo.org/burundinfo/libraries/asp
Home.aspx;
-http://burundi.africadata.org;
http://data.un.org/countrydata;
RECOMMANDATIONS
 A l’Assemblée Nationale et au Gouvernement, que
leur prise de décisions se réfère et repose sur des
données statistiques de qualité;
Nous plaidons que le Burundi, et dans tous les
secteurs, soit intégré dans la société de
l’information du savoir et de la connaissance par la
promotion des Nouvelles Technologies de
l'Information et de la Communication (NTIC)
 Aux organisateurs de la session, de perreniser ce
genre de présentations, de discussions et
d’échanges sur la diffusion et la communication;
RECOMMANDATIONS
 Aux partenaires financiers , d’appuyer les pays par
le renforcement des capacités (humain et
matériel) dans le secteur des technologies
modernes de diffusion et de communication;
 d’étendre le réseau à câbles optiques pour le
désenclavement et l’adhésion au trafic régional et
international.
VOUS remercie!
REMERCIE !
JeJEvous