PRESENTATION DU RAPPORT SUR CAMEROON BUSINESS FORUM * CBF

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Transcript PRESENTATION DU RAPPORT SUR CAMEROON BUSINESS FORUM * CBF

PRESENTATION
DU RAPPORT
SUR
LE CAMEROON BUSINESS FORUM * CBF
LE PRIME MINISTER FOREIGN INVESTMENT COUNCIL * PMFIC
TERMES DE REFERENCES
Résultats attendus
Création d’un Forum des affaires : Plateforme de Dialogue PP
pour l’amélioration du climat des affaires au Cameroun
Structure consensuelle de pilotage de cette plateforme
METHODOLOGIE
Revue et Analyse des initiatives gouvernementales de DPP
Evaluation des modèles existants de DPP par les organisations
multilatérales
Consultation des parties prenantes : secteur privé, gouvernement,
bailleurs de fonds, société civile
Visite du Forum des affaires du Vietnam
Propositions de design et de la structure de pilotage
Présentation du rapport aux parties prenantes
Atelier de validation
DEROULEMENT DE LA MISSION
Du 15 janvier au 22 février 2007 :
Rencontres des représentants du secteur privé, du gouvernement,
des bailleurs de fonds et de la société civile
10 février : rapport provisoire
13 février : discussions internes du rapport provisoire
21 – 30 mars : Élaboration schéma CBF & PMIC
04 avril : Discussions internes Rapport CBF & PMFIC
15 juin : Atelier de validation du Rapport CBF & PMFIC
BASE D’INFORMATIONS
Bibliographie :
DSRP 2003,
Actes CIESP 2006,
ICA 2006,
Doing Business,
Etudes BDS,
Publications sur les DPP
Vietnam Business Forum report
Cameroon Investment Forum, 6-8 novembre 2006
Comité de compétitivité:
Séminaire à Kribi indicateurs Doing Business 2006 en février 2007
Rencontres avec différents acteurs
STRUCTURE DU RAPPORT
Table des Matières
Abréviations
Introduction
1. Climat d’investissement, Secteur privé et Croissance
2. Dialogue public privé : perception des détenteurs d’enjeux
3. Évaluation des détenteurs d’enjeux : forces et faiblesses
4. Analyse comparative des mécanismes de dialogue public privé et Impact sur
l’environnement des affaires et les Investissements étrangers.
5. Schéma pour la promotion des investissements étrangers et l’amélioration de
l’environnement des affaires par le renforcement du dialogue public privé
6. Analyse des risques
Annexes
Bibliographie
CH 1. JUSTIFICATION DE L’EXERCICE
IMPORTANCE DU DPP
Pari du Cameroun après le point d’achèvement : Une croissance vigoureuse et
équitable, profitable au plus grand nombre
Forte corrélation entre flux investissements privés, croissance et réduction de
pauvreté
Illustrations : Malaisie, Chine, Chili, Brésil, Corée, Thaïlande, Vietnam
Cameroun en dessous de son potentiel et des ODM
Faible niveau des IDE : moins de US$ 100 millions par an
Enquête ICA 2006 : Principales contraintes identifiées

Infrastructures : énergie, transports

Cadre législatif et règlementaire : fiscalité, justice, travail

Accès aux financements

Corruption
IMPORTANCE DU DPP (suite)
Deux axes de solution :
Amélioration de l’environnement des affaires pour la
compétitivité des entreprises locales
Accroissement des investissements directs étrangers
Dialogue Public privé au cœur de la problématique
d’amélioration du climat d’investissement et du
renforcement de la compétitivité.
Graphique 1 : Évolution de la croissance sur la période 1994-2005
Taux de croissance réel du PIB
6,0%
5,0%
4,0%
3,0%
2,0%
1,0%
0,0%
1994
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
Tableau 1 : Indicateurs de quelques pays en développement et
émergents
Pays
1.Malaisie
2.Sénégal
3.Kenya
4.Afr. du sud
5.Côte Ivoire
6.Tunisie
7.Rép. Corée
8.Cameroun
Secteur
Secteur
Secteur
Primaire secondaire
tertiaire
(en pourcentage du PIB 2004)
9
17
17
4
28
13
3
45
49
21
19
31
21
30
35
19
42
62
64
65
52
58
62
37
Inv.directs étrangers
(IDE)
(En millions de US$)
2002
% exportations
manufacturées sur
total exportations
2002
3203
93
50
739
230
795
1972
86
79%
51%
24%
63%
21%
82%
92%
7%
Source : UNCTAD World investment report, 2001 ; Economic freedom of the world 2004 Annual report by James
Gwartney and Robert Lawson.
Tableau 2 : Cameroun, Ghana, Sénégal : comparaison de
quelques indicateurs sociaux
Indicateurs
Cameroun
Ghana
Senegal
Pays à revenu
moyen
Revenu par habitant (US$)
630 (2003)
320 (2003)
540(2003)
440 (2003)
Taux de pauvreté (%)
40.2 (2001)
39.5 (1998/99)
n.a
n.a
Taux d’achèvement de l’école
primaire (2000/01-2003/04)
70
62
48
71
Taux d’inscription des hommes et
femmes à l’école primaire et
secondaire (%)
85
91
87
84
Taux de mortalité infantile
95
59
78
80
Taux de mortalité des enfants de
moins de 5ans (par 1000 naissances
vivante en 2003)
166 (2003)
144 (2004)
95 (2003)
137 (2003)
123 (2003)
Ratio de mortalité maternelle (par
1000 naissances vivantes)
73 (2003)
69 (2004)
54 (2003)
69 (2003)
69 (2003)
Taux d’accès à l’eau potable (%,
2002)
41 (rural)
84 (urbain)
68 (rural)
93 (urbain)
54 (rural)
90 (urbain)
70 (rural)
89 (urbain)
Taux de prévalence du VIH
(pourcentage de la population âgée
de 15-49 ans, infectée par le VIH)
5.5 (2004)
3.1 (2003)
0.8 (2003)
2.1 (2003)
Sources : Indicateurs de développement humain 2005; Evaluation de la pauvreté au Cameroun, 2005; Enquête
démographique et de santé (EDS) 2004, extrait de Interim Strategy note for Cameroon, november 2006
CH 2. DIALOGUE PUBLIC PRIVE
PERCEPTION DES ACTEURS
Climat de défiance et de méfiance
Secteur Privé:







Absence de considération pour le secteur privé
Traitement incompréhensible de la vache laitière
Incapacité de mise en œuvre des recommandations
CIESP : Talking shop
Absence de mécanisme de suivi
Scepticisme et lassitude pour une autre initiative DPP
Espoir fondé sur la présence des bailleurs dans cette intitiative
PERCEPTION DES DETENTEURS D’ENJEUX
Bailleurs de fonds

Problème de coordination et de mise en œuvre

Harmonisation des initiatives semblables en cours

CBF : Plateforme d’échange et de coordination des
interventions d’appui au développement du secteur privé
Secteur Public

Incapacité du secteur privé à contribuer aux stratégies de
long terme

Secteur privé rivé sur les opérations de court terme
CH 2. DIALOGUE PUBLIC PRIVE
PERCEPTION DES ACTEURS (suite)
Société civile

Faible courant de dialogue entre le secteur privé et la société
civile

Société civile : pépinière de la préparation des chefs
d’entreprises et hauts cadres de l’administration.
CH. 3 EVALUATION DES ACTEURS
FORCES ET FAIBLESSES
Secteur privé
Points forts
Dynamisme et diversité de l’entreprenariat
Prise de conscience croissante du rôle important du secteur privé
Exigence croissante de participation à la gestion des affaires économiques ;
Points faibles
Disparité de culture entre les entrepreneurs : commerçants, PME,
exportateurs, non exportateurs, multinationales ;
Absence de communauté d’intérêt et d’identité commune ;
Recherche de rente et promotion d’agendas individuels ;
Absence d’une capacité commune de veille stratégique ;
Insuffisance de ressources humaines et financières ;
CH. 3 EVALUATION DES ACTEURS
FORCES ET FAIBLESSES (suite)
Secteur public
Points forts
Finances publiques stabilisées
Réformes en cours dans la gestion des finances publiques
Atteinte du point d’achèvement : libération des ressources
Points faibles
Méconnaissance de l’entreprise privée et de son cadre opératoire
Faible appréhension des enjeux et défis associés aux évolutions du
monde
Faiblesse de gouvernance :

Mécanismes de marché peu fiables

Justice peu crédible

Processus décisionnels non transparents et lourds

Coordination inefficace

Faible réactivité
CH. 3 EVALUATION DES ACTEURS
FORCES ET FAIBLESSES (suite)
Bailleurs de fonds
Points forts
Capital de confiance auprès du secteur privé
Capital de respect auprès des secteurs public et privé
Appréhension des enjeux et défis du secteur privé face aux évolutions
Disponibilité des ressources d’expertise pour le renforcement des capacités
au sein des groupes de travail
Disponibilité des ressources financières.
Points faibles
Insuffisance de coordination et d’harmonisation des interventions ;
Dialogue lâche avec le secteur public ;
Niveau élevé de tolérance ;
Absence de pressions pour la mise en œuvre des actions arrêtées.
CH. 4 COMPARAISON DES MECANISMES DPP ET
IMPACT SUR AMELIORATION ENVIRONNEMENT DES
AFFAIRES ET INVESTISSEMENTS
CIESP
FAIBLE EFFICACITE EN MATIERE DE MISE EN ŒUVRE DES
RECOMMANDATIONS ADOPTEES.
Causes :
Système de dialogue sporadique et non systématique
Absence de groupes de travail permanents pour approfondir
recommandations
Absence de matrices d’actions contraignantes : résultats, responsabilité,
délais.
Absence de mécanisme de suivi
Comité de Compétitivité
Positionnement institutionnel inapproprié
Comité de Facilitation du trafic maritime
CH. 4 COMPARAISON DES MECANISMES DPP ET
IMPACT SUR AMELIORATION ENVIRONNEMENT DES
AFFAIRES ET INVESTISSEMENTS
CIESP (SUITE)
Conseil Présidentiel des Investisseurs
Appui Banque mondiale pour accélérer la mise en œuvre des
réformes d’amélioration de l’environnement des affaires
Sénégal, Ghana, Tanzanie, Ouganda, Mali
Participants : personnalités internationales du monde des affaires,
résidents ou non résidentes, plus représentants locaux des
associations patronales.
CH. 4 COMPARAISON DES MECANISMES DPP ET
IMPACT SUR AMELIORATION ENVIRONNEMENT DES
AFFAIRES ET INVESTISSEMENTS
CIESP (SUITE)
Facteurs de succès :
Secrétariat permanent et Groupes de travail
Implication personnelle du Président du pays hôte
Evaluation
Impact favorable en matière d’accélération des réformes
Absence de corrélation entre CPI et flux d’investissements
Recommandations
Elargir participation nationale
Inclure bailleurs de fonds
Impact des mécanismes DPP sur l’environnement des
affaires et les investissement étrangers
 Amélioration de l’environnement des affaires
 Accroissement des investissements étrangers
 Deux logiques différentes qui exigent des stratégies spécifiques
 Améliorer l’environnement des affaires pour renforcer la compétitivité des
entreprises locales
 Attirer des investissements étrangers dans des secteurs nouveaux à fort
potentiel d’exportation par des approches sectorielles et ciblées.
Business Forum
 Un autre processus de DPP initié par la SFI dans certains pays
d’Asie : Vietnam, Cambodge et Laos
 Similarité d’objectifs avec le CPI
Illustration du Vietnam Business Forum
 Processus de dialogue PP à deux niveaux :
 Premier niveau : Secrétariat Permanent point focal
•
•
•
•
Groupes de travail spécialisés
Fréquence régulière des réunions des GT
Traitement approfondi des sujets
Propositions de réformes (textes législatifs et
règlementaires, institutions, etc.) transmises au Forum

Deuxième niveau : Forum, instance supérieure et
quasi décisionnelle
• Réunion deux fois par an sous la présidence du V//PM
• Participants : Représentants secteur privé (entreprises,
associations) et Gouvernement
• Observateurs : Bailleurs de fonds, Missions
diplomatiques, Société civile
• Durée : 04 heures pour décider.
• Résultats
• Efficacité reconnue dans la mise en œuvre des réformes
Facteurs de succès
 Compétences du secrétariat et groupes de travail permanents
 Dialogue rigoureux, structuré et systématique
 Processus orienté vers les résultats
 Mécanisme de suivi et de contrôle d’exécution
 Défense des intérêts généraux et non particuliers
 Pas de plaintes mais des solutions réalistes et faisables
 Ambassadeurs et Hauts commissaires : Parrains et Témoins
 Ancrage local pour l’appropriation et la pérennisation
 Volonté politique
CH. 5 SCHEMA POUR LA PROMOTION DES
INVESTISSEMENTS ETRANGERS ET L ’AMELIORATION
DE L’ENVIRONEMENT DES AFFAIRES PAR LE
RENFORCEMENT DU DIALOGUE PUBLIC PRIVE
A - Prime Minister Foreign Investment Council (PMFIC)
 Mécanisme de dialogue initié autour du PM le 19 mars 2007
 Similarité avec le Conseil Présidentiel des Investisseurs à l’exception de
son articulation autour du PM
B - Cameroon Business Forum (CBF)
(Diagramme a)
OBJECTIF GLOBAL : RENFORCER LE DEVELOPPEMENT DU SECTEUR
PRIVE POUR UNE CROISSANCE VIGOUREUSE ET EQUITABLE
A – SITUATION
ACTUELLE
Comité interministériel Élargi au Secteur Privé (CIESP)
Prime Minister Investment Council (PMIC)
Large Dialogue Public – Privé
Dialogue restreint Public
–
Privé
Groupe Consultatif
Structure informelle
B - SITUATION
FUTURE
Prime Minister Foreign Investment
Council (PMFIC)
Organe conseil pour la promotion de
l’investissement étranger
Cameroon Business Forum (CBF)
Organe Exécutif de Facilitation du Dialogue
Public – Privé et de mise en oeuvre des
réformes
Structure
semi - formelle
Structure formelle
- Amélioration de l’environnement des affaires
- Renforcement compétitivité des entreprises
- Conception et mise en œuvre des réformes
- Concrétisation des idées / concepts / projets
- Structure indépendante
- Processus continu, diligent et systématique
- Groupes de travail permanents orienté
vers les résultats
- Système de suivi et contrôle d’exécution
- Accès aux ressources
- Membres actifs : représentants sect.
Public/Privé (environ 20 pers à titre indicatif)
- Observateurs : Ambassadeurs / Bailleurs /
Société civile / Médias
Objectifs
Capacités
Atouts
PARTICIPANTS
* Mobilisation des investissements
étrangers au Cameroun
* Génération d’idées et conseils
* Identification d’opportunités
* Accès aux leaders mondiaux des
affaires
* Expérience internationale/Connexions
/ Réseaux relationnels
* personnalités internationales du monde
des affaires, des sciences et de la
technologie
* Personnalités locales, invitées du PM
Provenant des sect. Public / Privé et du
milieu académique.
 CAMEROON BUSINESS FORUM (CBF)


Instrument opérationnel visant à accélérer la mise en oeuvre
effective des réformes d’amélioration de l’environnement des
affaires
Plateforme de concertation et dialogue entre les différents
acteurs – public, privé, bailleurs de fonds, société civile – pour le
développement d’un secteur privé dynamique et compétitif.
 OBJECTIF SPECIFIQUE : RENFORCER LA COMPETITIVITE DU
SECTEUR PRIVE LOCAL PAR UN ENVIRONNEMENT PHYSIQUE
ET INSTITUTIONNEL APPROPRIE.
 Participants


PM, Ministres et collaborateurs
Secteur privé : associations, responsables des GT, Secrétaire
permanent
 Observateurs



Missions diplomatiques
Bailleurs de fonds
Société civile
 Structure organisationnelle à deux niveaux
(Diagramme b)
 FORUM






Forum, instance supérieure du CBF
Présidée par le PM
Co-modérateurs : MINEFI, Représentants SFI et BM
Réunion deux fois par an
Décide sur les matières transmises par le SP
Ouput : projets de lois, de dispositions règlementaires,
propositions de renforcement ou modification institutionnels,
matrice d’actions.
PRIMATURE
Coordination Gle.
DPP
AMBASSADES
/
HT CSARIAT
MINEFI
CCIM
SPIHT
GEFAC
MINTRANS
CBF
MINDI
APECCAM
GICAM
CA FCAM
Coordination des
organisations du
secteur privé
pour le DPP
(présidence
tournante = 1an)
Coordination
interministériell
e du dialogue
avec le secteur
privé par
MINEFI
FORUM
MINPLADAT
MINTP
SEC.
PERMANENT
GT
Tourisme
GT
GT
Fiscalité Cadre règl
GT
Infrastructures
GT
Corruption / éthique
BAILLEURS + PAYS
GT= Groupe de Travail
MINCOMMERCE
MINPME
GT
Financement
GT
Compétitivité
 SECRETARIAT PERMANENT

Point focal et structure indépendante

Fonction de facilitation et non décisionnelle

Fonction non gouvernementale

Cerveau du système : planification et production du travail

Groupes de travail sectoriels ou thématiques

Interface avec le Forum, les bailleurs, les ministères
 Interface entre le CBF et les Services du PM
 GROUPES DE TRAVAIL

Participants : Secteurs public et privé

Co-présidé par chef d’entreprise et haut fonctionnaire / Champions

Assistance de spécialistes selon problème

Traitement des problèmes en profondeur

Préparation des décisions à soumettre au Forum

Fréquence régulière des réunions

Production : projets de résolutions pour l’examen du Forum
 THEMES DES GT
 SYSTEME DE SUIVI

Suivi des matrices d’actions : objectifs, actions, responsables,
délais.
 COORDINATIONS RESPECTIVES DES SECTEURS PUBLIC ET
PRIVE
Coordination technique des activités respectives des secteurs
privé et public.
 Coordination Générale du DPP au sein des Services du Premier
Ministre.


Coordination générale du dialogue public privé, fonction relevant
de la répartition du travail au sein des Services du Premier
Ministre
Non une instance décisionnelle supplémentaire du CBF.
(Diagramme d)
JAPA
N
HOL
FRANCE
UK
CANADA
GERM
UE
G8+
US
PRIVATE SECTOR REPRESENTATIVES (ASSOCIATIONS + WORKING GROUPS LEADERS)
DONORS
OTHER BUSINESS ASSOCIATIONS + NGOS + MEDIAS
AMBASSADORS AND HIGH COMMISSIONERS OF DEVELOPMENT PARTNERS
CBF – PPD Table
WB
IFC
PM
MINEFI
MINTRANS
MINTP
PUBLIC SECTOR PARTNERS + WB + IFC
MINJUS
 Organigramme du SP et Ressources humaines
(Diagramme c)
SECRETARIAT PERMANENT
Division
technique
Division du
suivi
GT
GT
GT
GT
Division formation,
marketing, communication
Marketing / Promotion
Formation / Education
Communication / PR
GT
GT = Groupe de Travail
GT
 Localisation du Secrétariat permanent


Douala
Antenne à ydé
 Rôle de la SFI



Facilitateur
Parti pris pour l’action et le résultat
Bailleur de fonds (SFI)
 Rôle des autres bailleurs




Leviers importants
Crédibilité
Expertise
Financements éventuels
 Rôle des Missions diplomatiques



Parrains
Témoins
Caution
 Résultats attendus




Chiffrés
Spécifiés
Mesurables
Chronométrés
A travers des indicateurs déterminés tels ceux du rapport Doing
Business.
 Système de suivi

Fondé sur des indicateurs de performance quantitatifs et qualitatifs fixés
d’avance.
 Système de suivi
 Information, Formation et Communication
 Financement
Société Financière Internationale
CH. 6 . ANALYSE DES RISQUES
Risques en provenance du secteur privé

Absence de coopération entre les acteurs du secteur privé

Méfiance

Manque de prise de conscience de l’intérêt commun

prise en otage ou perception

méfiance entre secteurs privés local et étranger
Risques en provenance du secteur public
Absence de volonté politique
Maintien ou initiation de mécanismes de dialogue concurrents.
Faiblesse dans la mise en œuvre
Risques en provenance des bailleurs de fonds
Absence de consensus ou d’unanimité parmi les bailleurs pour le
soutien à ce schéma
Initiation de mécanismes de dialogue public privé parallèles
Retrait des appuis financiers
faible appui aux processus
Risque en provenance du CBF et du PMFIC
Contre performance du secrétariat permanent
CH. 5 SCHEMA POUR LA PROMOTION DES
INVESTISSEMENTS ETRANGERS ET L ’AMELIORATION
DE L’ENVIRONEMENT DES AFFAIRES PAR LE
RENFORCEMENT DU DIALOGUE PUBLIC PRIVE
A - Prime Minister Foreign Investment Council (PMFIC)
 Mécanisme de dialogue initié autour du PM le 19 mars 2007
 Similarité avec le Conseil Présidentiel des Investisseurs à l’exception de
son articulation autour du PM
B - Cameroon Business Forum (CBF)
(Diagramme a)
 PRIME MINISTER FOREIGN INVESTMENT COUNCIL (PMFIC)

Instance consultative auprès du Premier Ministre visant à favoriser
la mobilisation des investissements étrangers au Cameroun
 OBJECTIF SPECIFIQUE : ACCROITRE SUBSTANTIELLEMENT LES
INVESTISSEMENTS PRIVES INTERNATIONAUX AU CAMEROUN.
 SECTEURS A FORT POTENTIEL D’EXPORTATIONS
OBJECTIF GLOBAL : RENFORCER LE DEVELOPPEMENT DU SECTEUR
PRIVE POUR UNE CROISSANCE VIGOUREUSE ET EQUITABLE
A – SITUATION
ACTUELLE
Comité interministériel Élargi au Secteur Privé (CIESP)
Prime Minister Investment Council (PMIC)
Large Dialogue Public – Privé
Dialogue restreint Public
–
Privé
Groupe Consultatif
Structure informelle
B - SITUATION
FUTURE
Prime Minister Foreign Investment
Council (PMFIC)
Organe conseil pour la promotion de
l’investissement étranger
Cameroon Business Forum (CBF)
Organe Exécutif de Facilitation du Dialogue
Public – Privé et de mise en oeuvre des
réformes
Structure
semi - formelle
Structure formelle
- Amélioration de l’environnement des affaires
- Renforcement compétitivité des entreprises
- Conception et mise en œuvre des réformes
- Concrétisation des idées / concepts / projets
- Structure indépendante
- Processus continu, diligent et systématique
- Groupes de travail permanents orienté
vers les résultats
- Système de suivi et contrôle d’exécution
- Accès aux ressources
- Membres actifs : représentants sect.
Public/Privé (environ 20 pers à titre indicatif)
- Observateurs : Ambassadeurs / Bailleurs /
Société civile / Médias
Objectifs
Capacités
Atouts
PARTICIPANTS
* Mobilisation des investissements
étrangers au Cameroun
* Génération d’idées et conseils
* Identification d’opportunités
* Accès aux leaders mondiaux des
affaires
* Expérience internationale/Connexions
/ Réseaux relationnels
* personnalités internationales du monde
des affaires, des sciences et de la
technologie
* Personnalités locales, invitées du PM
Provenant des sect. Public / Privé et du
milieu académique.
PMIC et CBF : deux instruments inter - actifs pour l’accélération de la croissance
à travers l’amélioration de l’environnement des affaires et la mobilisation des
investissements privés
Générateur de conseil et d’idées
PMIC
Feed – back
Explication
Instrument de conception et mise en œuvre
Design and implementation tool
CBF
Explication
Projets
Légende : PMIC = Prime Minister Investment Council
CBF = Cameroon Business Forum
CAMEROUN PROFIL FILIERE TOURISME
Contexte favorable
TOURISME DANS LE MONDE
808 millions arrivées internationales en 2005
766 millions (2004)
1,56 milliards de touristes en 2020
35% des exportations de services
8% des exportations de biens
TOURISME EN AFRIQUE AU SUD DU SAHARA
Industrie du tourisme : Croissance remarquable en Afrique au
sud du Sahara
2005 : Taux de croissance de 11% par rapport à 2004
36,8 millions de touristes 2005
10 millions de plus qu’en 2004
9,9% de contribution au PIB
6.060.000 emplois créés (plus gros générateur d’emplois ; 7,8%
de l’emploi total)
Objectifs de croissance
Passer de 500000 touristes en 2007 à 1000.000 touristes en
2012
Structure de répartition par produits
Existence et dynamique des marchés

Évolution passée (Volume/Valeur)

Perspectives (Volume/Valeur)

Segmentation Demande
Tourisme de masse
Tourisme de safari
Tourisme balnéaire
Eco-tourisme
Eco-tourisme & safari
Sources géographiques : Europe, Etats-Unis, Asie, Amérique
latine
Démographie : Jeunes, troisième age, jeunes adultes, riches,
etc.
Culture : caractéristiques culturelles du segment cible

Structure Offre (Typologie Acteurs)
Tours operators
Compagnies aériennes
Agences de promotion
Investisseurs touristiques
Médias.

Concurrence (Produits/Prix/Distribution/Promotion/Autres)
Déterminants de la compétitivité sur chaque type de
produit
Analyse Capacité Concurrentielle Cameroun

Eco-tourisme

Safari
Impact économique (Dépenses touristiques) en Afrique au
sud du Sahara
33 millions de US$ (17,3 milliards FCFA) en 2004
47 ………………… (24,7 milliards FCFA en 2005)
77…………………. (40,4 milliards FCFA en 2006)
Attractivité aux Opérateurs Privés


Cadre institutionnel et juridique sécurisant
Contrats de concession dans le cadre des PPD
QUELQUES FILIERES
INFORMATION TECHNOLOGY
FINANCEMENT DES INFRASTRUCTURES PAR LES CAPITAUX
PRIVES
MINES &ENERGIE
BIO-CARBURANT
AGRO-INDUSTRIES
DEVELOPPEUR
S/PROMOTEUR
S
de projets
touristiques
FOURNISSEURS
INTRANTS
-Sites touristiques
-Parcs nationaux
-Equipement
STABILITE
POLITIQU
E
GOUVERNANCE
ECONOMIQUE
- Vision/Orientations
- Budget/Monnaie
/Marchés
CADRE LEGAL &
REGl.
- Sécurité juridique
-Législation
travail /Foncier
Conditions d’entrée
(visas)
- Concession/DPP
- Normes Contrôle
Qualité/Sécurité/Fiscalité
-
MAINTENANC
E,
INGENIERIE &
TECHNOLOGIE
investissements
touristiques
Activités
--
CAPITAUX
Financement
projets
touristiques
-Gestion RH
-Planification stratégique
SYST
EDUCATION &
FORMATION
- Qualif. Prof.
- Gestion Production
- Gestion Financière
- Marketing : Déf. produits
PROMOTION &
marketing
- Promotion
- Image
-Partenariats PP
AGROALIMENTAIRES
MARCHES
-Locaux
-Régionaux
- Internationaux
INFRASTRUCTURE
S
-Transports
-Télécoms/TIC
-Énergie /Eau
-