Transcript Diaporama
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Une forme de
décloisonnement….
…massif : 3 semaines
MACLE
Tous les élèves d’un
même niveau…
…concentré : 1h30
au moins chaque
jour (la demijournée).
…répartis
en groupes
de besoin.
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POUR QUI ?
-
A l’origine pour les élèves de CE2
Mise en place du dispositif également
en CE1, CP, GS (fin d’année)
Extension du dispositif en 6ème
En Maternelle : MACLO
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POURQUOI ?
- Pour permettre aux élèves les moins
avancés dans l’acquisition de la lecture de
progresser de manière significative en
travaillant au sein de l’école dans des
groupes à effectifs très réduits.
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PAR QUI ?
-
-
l’enseignant de la classe
Le maître du RASED
Le maître supplémentaire
La directrice ou le directeur
Le maître-brigade si disponible
Un PEMF…
Animateurs culturels, intervenants associatifs
travaillant l’accès à la culture écrite….
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COMMENT ?
Après des évaluations diagnostiques :
-
-
En groupes de besoin dont la taille est
adaptée aux caractéristiques des divers
élèves (maximum 6 pour les plus faibles
lecteurs)
En groupes de besoin puis en groupes
hétérogènes de projets
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Etape 1 : cerner les besoins de chaque
élève
Etape 2 : répartir les élèves dans des
groupes de besoin
Etape 3 : concevoir un programme
d’activités pour chaque groupe
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Les groupes de besoin sont constitués sur la
base d’un diagnostic précis à l’aide de
bons outils d’évaluation.
Cette évaluation diagnostique est décisive
pour la réussite du MACLE car c’est d’elle
que dépend le choix des activités dans les
groupes de besoin et donc de l’efficacité
du dispositif pour les élèves les plus en
difficulté face à l’écrit.
Les progrès des élèves tiennent au fait que
les activités répondent à leurs besoins,
qu’elles sont organisées dans le cadre d’un
travail intensif, mené en tout petits groupes.
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3 champs d’activités
- La compréhension de textes
- Le travail sur les micro- et
mésostructures (graphèmes, syllabes, mots,
groupes de mots, phrases)
- La production d’écrits
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1. Ecouter, imaginer, dire, lire, raconter des
textes choisis pour leurs résonances
émotionnelles et leurs qualités linguistiques et
plastiques avec la possibilité d’exploitations,
telles que:
- Qui a raison ? (en utilisant le rapport texte/illustration)
- Récits en images, images en récit
(reconstruire la séquence narrative d’un récit connu en remettant
en ordre les illustrations et en disant le récit avec ses propres mots,
image par image)
- Dire/lire : dire une histoire de mémoire, puis
la lire à haute voix
- Lire des histoires pour les petits
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2. Utiliser des supports écrits divers et
comprendre leurs fonctionnements propres
Il convient de favoriser une familiarité avec
les différents supports d’écrits. Les objectifs
d’apprentissage concernent le
développement du comportement de
lecteur « savant » : savoir se repérer dans un
journal, utiliser un sommaire…
-lire et feuilleter quotidiennement un
journal d’enfants et prévoir du temps
en classe pour échanger sur les
lectures des uns et des autres
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3. Identifier et résoudre des problèmes de
compréhension
Il s’agit d’amener les élèves à prendre
conscience des sources possibles de difficultés
de compréhension en lecture et à chercher les
solutions pour y remédier.
Questionnement :
- Où et quand se passe l’histoire ?
- Combien y a-t-il de personnages ?
- Quels sont les interlocuteurs dans les
dialogues ?
Il convient de favoriser la compréhension du
rôle des inférences en lecture et d’amener les
élèves à prendre conscience de la nécessité
d’ajouter des informations à celles qui sont
explicitement données (les inférences).
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1. Compréhension de phrases,
ponctuation et morphosyntaxe
- compréhension de phrases (p62)
- ponctuation : demander aux élèves
de rétablir la ponctuation dans un texte
d’où on l’a faite disparaître.
- morphosyntaxe : exercices
consistants à retrouver les mots
correctement orthographiés (p 66)
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2. Lecture par groupes de mots
Dans les activités proposées, il s’agit
d’amener les élèves à prendre conscience
de la nécessité de constituer, au cours
même de la lecture, des groupes de mots
porteurs de sens.
- Rétablir la segmentation prosodique d’un texte connu, après
qu’un adulte en ait fait une oralisation absurde.
- Suivre du doigt, sur un texte, la lecture orale faite par l’adulte
- Préparer une lecture à haute voix d’un texte en faisant
ressortir, par exemple, avec des traits verticaux, les groupes de mots qui
seront dits ensemble.
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3. Vers l’automatisation du décodage
Que faire pour aider des élèves qui
auraient été piégés par l’illusion de la
régularité du système
graphophonologique du français ?
- Prise de conscience : une syllabe peut avoir 2,
3, 4 ou 5 lettres
- Cartons éclairs de syllabes
- Utilisation de textes présegmentés en syllabes
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4. Mémorisation du lexique
orthographique
La lecture orthographique est moins
séquentielle que la lecture par décodage,
elle est plus rapide et plus sémantique et
pour tout dire, plus efficiente que le
décodage.
La lecture orthographique est ou devrait
être un objectif majeur de l’école
élémentaire.
A la fin du cycle 2 et à l’orée du cycle 3,
cet objectif est crucial.
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Objectif : aider les élèves à « mettre en
mémoire » l’orthographe des mots les plus
fréquents.
- Dictée recherche
- Cartons éclairs de mots, de groupes de mots,
phrases
- Enseigner des stratégies de mémorisation de mots :
nombres de lettres, épellation, analogies
orthographiques, visualisation mentale,
syllabogrammes
- jeu de mémory
- jeu du pendu
- recenser des analogies
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5. La dictée sans erreur
La dictée a été préalablement
préparée. Les principales difficultés ont été
repérées par les élèves eux-mêmes. Pour
chaque difficulté, on s’efforce de trouver un
moyen de mémoriser l’orthographe.
Au moment de la dictée, les élèves
disposent du texte dactylographié, imprimé
au verso de la feuille sur laquelle ils vont
écrire.
A chaque fois qu’ils ont un doute, ils
peuvent rechercher dans le texte référence
puis indiquer qu’ils ont utilisé l’aide du texte
en soulignant le mot.
Le texte doit comporter des mots fréquents et
doit être accrocheur pour les élèves.
Slide 19
Les exemples de situation d’écriture
ne manquent pas :
le journal, les poèmes, les cahiers
d’expérience, la correspondance, la
confection d’albums à partir d’illustrations..
Mais aussi, dans un temps plus serré et
avec moins de contraintes textuelles : le
concours de la phrase la plus drôle.
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RETOUR D’EXPERIENCE
ECOLE EN REP +
MACLE CE1
1 classe de CE1 et 1
classe de CE1/CE2
24 élèves :
12 bons lecteurs
8 élèves fragiles
4 élèves en grosses
difficultés
2 enseignantes
Les élèves de CE2 sont
répartis dans les autres
classes de CE2 avec
l’assistant pédagogique
PMQC
1 axe de travail commun : les loups
4 axes prioritaires : la lecture compréhension, la fluidité, la
mémorisation orthographique, la production d’écrits
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BILAN
Investissement des élèves
dès la rentrée
Beaucoup de progrés
quant à la fluence
Réinvestissement de la
méthodologie en classe
Trop d’axes de travail (4)
Période mal choisie (dès la rentrée)
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Une forme de
décloisonnement….
…massif : 3 semaines
MACLE
Tous les élèves d’un
même niveau…
…concentré : 1h30
au moins chaque
jour (la demijournée).
…répartis
en groupes
de besoin.
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POUR QUI ?
-
A l’origine pour les élèves de CE2
Mise en place du dispositif également
en CE1, CP, GS (fin d’année)
Extension du dispositif en 6ème
En Maternelle : MACLO
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POURQUOI ?
- Pour permettre aux élèves les moins
avancés dans l’acquisition de la lecture de
progresser de manière significative en
travaillant au sein de l’école dans des
groupes à effectifs très réduits.
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PAR QUI ?
-
-
l’enseignant de la classe
Le maître du RASED
Le maître supplémentaire
La directrice ou le directeur
Le maître-brigade si disponible
Un PEMF…
Animateurs culturels, intervenants associatifs
travaillant l’accès à la culture écrite….
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COMMENT ?
Après des évaluations diagnostiques :
-
-
En groupes de besoin dont la taille est
adaptée aux caractéristiques des divers
élèves (maximum 6 pour les plus faibles
lecteurs)
En groupes de besoin puis en groupes
hétérogènes de projets
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Etape 1 : cerner les besoins de chaque
élève
Etape 2 : répartir les élèves dans des
groupes de besoin
Etape 3 : concevoir un programme
d’activités pour chaque groupe
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Les groupes de besoin sont constitués sur la
base d’un diagnostic précis à l’aide de
bons outils d’évaluation.
Cette évaluation diagnostique est décisive
pour la réussite du MACLE car c’est d’elle
que dépend le choix des activités dans les
groupes de besoin et donc de l’efficacité
du dispositif pour les élèves les plus en
difficulté face à l’écrit.
Les progrès des élèves tiennent au fait que
les activités répondent à leurs besoins,
qu’elles sont organisées dans le cadre d’un
travail intensif, mené en tout petits groupes.
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3 champs d’activités
- La compréhension de textes
- Le travail sur les micro- et
mésostructures (graphèmes, syllabes, mots,
groupes de mots, phrases)
- La production d’écrits
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1. Ecouter, imaginer, dire, lire, raconter des
textes choisis pour leurs résonances
émotionnelles et leurs qualités linguistiques et
plastiques avec la possibilité d’exploitations,
telles que:
- Qui a raison ? (en utilisant le rapport texte/illustration)
- Récits en images, images en récit
(reconstruire la séquence narrative d’un récit connu en remettant
en ordre les illustrations et en disant le récit avec ses propres mots,
image par image)
- Dire/lire : dire une histoire de mémoire, puis
la lire à haute voix
- Lire des histoires pour les petits
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2. Utiliser des supports écrits divers et
comprendre leurs fonctionnements propres
Il convient de favoriser une familiarité avec
les différents supports d’écrits. Les objectifs
d’apprentissage concernent le
développement du comportement de
lecteur « savant » : savoir se repérer dans un
journal, utiliser un sommaire…
-lire et feuilleter quotidiennement un
journal d’enfants et prévoir du temps
en classe pour échanger sur les
lectures des uns et des autres
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3. Identifier et résoudre des problèmes de
compréhension
Il s’agit d’amener les élèves à prendre
conscience des sources possibles de difficultés
de compréhension en lecture et à chercher les
solutions pour y remédier.
Questionnement :
- Où et quand se passe l’histoire ?
- Combien y a-t-il de personnages ?
- Quels sont les interlocuteurs dans les
dialogues ?
Il convient de favoriser la compréhension du
rôle des inférences en lecture et d’amener les
élèves à prendre conscience de la nécessité
d’ajouter des informations à celles qui sont
explicitement données (les inférences).
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1. Compréhension de phrases,
ponctuation et morphosyntaxe
- compréhension de phrases (p62)
- ponctuation : demander aux élèves
de rétablir la ponctuation dans un texte
d’où on l’a faite disparaître.
- morphosyntaxe : exercices
consistants à retrouver les mots
correctement orthographiés (p 66)
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2. Lecture par groupes de mots
Dans les activités proposées, il s’agit
d’amener les élèves à prendre conscience
de la nécessité de constituer, au cours
même de la lecture, des groupes de mots
porteurs de sens.
- Rétablir la segmentation prosodique d’un texte connu, après
qu’un adulte en ait fait une oralisation absurde.
- Suivre du doigt, sur un texte, la lecture orale faite par l’adulte
- Préparer une lecture à haute voix d’un texte en faisant
ressortir, par exemple, avec des traits verticaux, les groupes de mots qui
seront dits ensemble.
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3. Vers l’automatisation du décodage
Que faire pour aider des élèves qui
auraient été piégés par l’illusion de la
régularité du système
graphophonologique du français ?
- Prise de conscience : une syllabe peut avoir 2,
3, 4 ou 5 lettres
- Cartons éclairs de syllabes
- Utilisation de textes présegmentés en syllabes
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4. Mémorisation du lexique
orthographique
La lecture orthographique est moins
séquentielle que la lecture par décodage,
elle est plus rapide et plus sémantique et
pour tout dire, plus efficiente que le
décodage.
La lecture orthographique est ou devrait
être un objectif majeur de l’école
élémentaire.
A la fin du cycle 2 et à l’orée du cycle 3,
cet objectif est crucial.
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Objectif : aider les élèves à « mettre en
mémoire » l’orthographe des mots les plus
fréquents.
- Dictée recherche
- Cartons éclairs de mots, de groupes de mots,
phrases
- Enseigner des stratégies de mémorisation de mots :
nombres de lettres, épellation, analogies
orthographiques, visualisation mentale,
syllabogrammes
- jeu de mémory
- jeu du pendu
- recenser des analogies
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5. La dictée sans erreur
La dictée a été préalablement
préparée. Les principales difficultés ont été
repérées par les élèves eux-mêmes. Pour
chaque difficulté, on s’efforce de trouver un
moyen de mémoriser l’orthographe.
Au moment de la dictée, les élèves
disposent du texte dactylographié, imprimé
au verso de la feuille sur laquelle ils vont
écrire.
A chaque fois qu’ils ont un doute, ils
peuvent rechercher dans le texte référence
puis indiquer qu’ils ont utilisé l’aide du texte
en soulignant le mot.
Le texte doit comporter des mots fréquents et
doit être accrocheur pour les élèves.
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Les exemples de situation d’écriture
ne manquent pas :
le journal, les poèmes, les cahiers
d’expérience, la correspondance, la
confection d’albums à partir d’illustrations..
Mais aussi, dans un temps plus serré et
avec moins de contraintes textuelles : le
concours de la phrase la plus drôle.
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RETOUR D’EXPERIENCE
ECOLE EN REP +
MACLE CE1
1 classe de CE1 et 1
classe de CE1/CE2
24 élèves :
12 bons lecteurs
8 élèves fragiles
4 élèves en grosses
difficultés
2 enseignantes
Les élèves de CE2 sont
répartis dans les autres
classes de CE2 avec
l’assistant pédagogique
PMQC
1 axe de travail commun : les loups
4 axes prioritaires : la lecture compréhension, la fluidité, la
mémorisation orthographique, la production d’écrits
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BILAN
Investissement des élèves
dès la rentrée
Beaucoup de progrés
quant à la fluence
Réinvestissement de la
méthodologie en classe
Trop d’axes de travail (4)
Période mal choisie (dès la rentrée)