Formation SVT Première S Stage bassins juin 2011 En première :  Trois grands thèmes, qui se poursuivront en terminale  Enseignement et évaluation.

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Transcript Formation SVT Première S Stage bassins juin 2011 En première :  Trois grands thèmes, qui se poursuivront en terminale  Enseignement et évaluation.

Formation SVT Première S
Stage bassins juin 2011
En première :
 Trois grands thèmes, qui se poursuivront en terminale
 Enseignement et évaluation par compétences à travers des tâches
complexes traitant à égalité, dans toute la mesure du possible,
connaissances, capacités et attitudes (cf. socle collège)
►Même présentation: connaissances, capacités, attitudes, objectifs,
mots clé, rappels, limites, convergences
 Des fondamentaux à poursuivre : Démarche d’investigation, historique,
histoire des arts, santé, environnement, utilisation des TUIC, travail de
terrain, convergence avec les autres disciplines, parcours des métiers …
 Une liberté d’enseignement contrainte par les E.C.E.
 Des passerelles entre les différentes filières :
► De la 1ère S vers la 1ère L ou E.S.
► Créer des conditions favorables pour un passage 1ère L ou E.S. vers la
1ère S
Suite
La Terre dans l’Univers, la vie, Enjeux planétaires
l’évolution du vivant
contemporains
Diversité des gènes,
des génomes
Vie fixée chez
les plantes
Dynamique de
la biodiversité
Domaine continental
et
sa dynamique
La chaleur
de la
Terre
La
plante
domestiquée
Corps humain et santé
Quelques
aspects
Pression
Communication
de la
artérielle
nerveuse
réaction
immunitaire
Tle S
Expression,
stabilité
et
variation
du
patrimoine
génétique
La tectonique
des plaques :
L’histoire d’un modèle
La tectonique
des
plaques
et
Géologie appliquée
Nourrir
l’humanité
Masculin
Féminin
Variation
génétique
et
santé
De l’œil au
Cerveau :
quelques
aspects
de la vision
1ère S
La Terre,
planète
habitable
Énergie
sol
eau
Seconde
L’exercice
physique
retour
ère
1
S
Expression,
stabilité et
variation du
patrimoine génétique
La Terre,
planète
habitable
ES/L
La tectonique
Des plaques :
L’histoire d’un modèle
La tectonique des
plaques et
Géologie appliquée
Énergie
sol
eau
Nourrir
l’humanité
Masculin
Féminin
Variation
génétique
et santé
De l’œil au
Cerveau :
quelques
aspects
de la vision
L’exercice
physique
retour
Dans la colonne de gauche :TOUT est important
Connaissances,
objectifs, mots clés =
connaissances exigibles
Des
directions
de réflexion
pour les
TPE, l’AP, …
Retour
Dans la colonne de droite : capacités et
attitudes dont on attend qu’elles soient
développées dans le cadre de l’item décrit.
Les acquis, les limites,
les pistes pédagogiques
possibles
Connaissances + capacités + attitudes = compétences
Des capacités et attitudes à développer tout au long du programme
•
Pratiquer une démarche scientifique (observer, questionner, formuler une hypothèse,
expérimenter, raisonner avec rigueur, modéliser).
•
Recenser, extraire et organiser des informations.
•
Comprendre le lien entre les phénomènes naturels et le langage mathématique.
•
Manipuler et expérimenter.
•
Comprendre qu’un effet peut avoir plusieurs causes.
•
Exprimer et exploiter des résultats, à l’écrit, à l’oral, en utilisant les technologies de
l’information et de la communication.
•
Communiquer dans un langage scientifiquement approprié : oral, écrit, graphique,
numérique.
•
Percevoir le lien entre sciences et techniques.
•
Manifester sens de l’observation, curiosité, esprit critique.
•
Montrer de l’intérêt pour les progrès scientifiques et techniques.
•
Être conscient de sa responsabilité face à l’environnement, la santé, le monde vivant.
•
Avoir une bonne maîtrise de son corps.
•
Être conscient de l’existence d’implications éthiques de la science.
•
Respecter les règles de sécurité.
•
Comprendre la nature provisoire, en devenir, du savoir scientifique.
•
Être capable d’attitude critique face aux ressources documentaires.
•
Manifester de l’intérêt pour la vie publique et les grands enjeux de la société.
•
Savoir choisir un parcours de formation.
Retour
E.C.E. :
Les outils :
Les logiciels :
• Microscope,
- Phylogène
- Anagène
- Rastop
- Google earth
- EXAO,
- Excel
- Word
- Logiciel de numérisation
(mesurim,…)
- Mesurim
- Tectoglob ou educarte
• Loupe binoculaire,
• Matériel permettant la
réalisation de
préparations
microscopiques,
• Matériel de dissection,
• Logiciels,…
Retour
Organisation annuelle du programme de 1ère S
16/17
50
sem.
%
1 - La Terre dans l’Univers, la vie et
l’évolution du vivant
6
/7sem.
2 - Enjeux planétaires
contemporains
17
%
A – Expression, stabilité et
variation du patrimoine génétique
A – Tectonique des plaques et
géologie appliquée
B – La tectonique des plaques,
l’histoire d’un modèle
B – Nourrir l’humanité
3 – Corps humain et santé
33
%
A – Féminin/masculin
B – Variation génétique et santé
C – De l’œil au cerveau, quelques aspects de la vision
11 /12
sem.
Spécificités:
 Doit pouvoir permettre changement de filière en fin ou en cours d’année
 3 thèmes communs aux filières S, ES et L (niveau scientifique différent)
élèves de Première S
=> EA première ES ou L
 Liberté pédagogique du professeur, mais durées relatives indiquées à
titre de repère:
- La Terre dans l’Univers, la vie et l’évolution du vivant: 50% (16 semaines)
- Enjeux planétaires contemporains: 17% (5 semaine et ½)
- Corps humain et santé: 33% (10 semaines et ½)
= pondération souhaitée mais pas impératif rigide
 Liberté pédagogique certes, mais parfois attentes précisées dans la
perspective du baccalauréat (ECE…)
 Des PISTES au-delà du programme => TPE, AP, clubs scientifiques …
THEME 1 – la Terre dans l’Univers, la vie et l’évolution du vivant
Thème 1 – A: Expression, stabilité et variation du patrimoine génétique
Reproduction conforme de la cellule et réplication de l’ADN
Variabilité génétique et mutation de l’ADN
L’expression du patrimoine génétique
Thème 1 – B: La tectonique des plaques: l’histoire d’un modèle
La naissance de l’idée
L’interprétation actuelle des différences d’altitude continent / océans
L’hypothèse d’une expansion océanique et sa confrontation à des
constats nouveaux
Le concept de lithosphère et d’asthénosphère
Un premier modèle global: une lithosphère découpée en plaques
rigides
Le renforcement du modèle par son efficacité prédictive
L’évolution du modèle: le renouvellement de la lithosphère océanique
THEME 2 – Enjeux planétaires contemporains
Thème 2 – A: Tectonique des plaques et géologie appliquée
Première possibilité: tectonique des plaques et recherche d’HC
Deuxième possibilité: tectonique des plaques et ressources locales
Thème 2 – B: Nourrir l’humanité
La production végétale: utilisation de la productivité primaire
La production animale: une rentabilité énergétique réduite
Pratiques alimentaires collectives et perspectives globales
THEME 3 – Corps humain et santé
Thème 3 – A: Féminin, masculin
Devenir femme ou homme
Sexualité et procréation
Sexualité et base biologique du plaisir
Thème 3 – B: Variation génétique et santé
Patrimoine génétique et maladie
Perturbation du génome et cancérisation
Variation génétique bactérienne et résistance aux antibiotiques
Thème 3 - C: De l’œil au cerveau: quelques aspects de la vision
Le cristallin: une lentille vivante
Les photorécepteurs: un produit de l’évolution
Cerveau et vision: aires cérébrales et plasticité
Thème 1:
la Terre dans l’Univers,
la vie et l’évolution du
vivant
16 semaines
Partie A
EXPRESSION , STABILITE ET
VARIATION DU PATRIMOINE
GENETIQUE
Environ 25% de l’année soit 7 à 8
semaines
EXPRESSION , STABILITE ET
VARIATION DU PATRIMOINE
GENETIQUE
• Il s’agit de :
- Comprendre comment la réplication et la
mitose permettent une reproduction cellulaire
conforme = Stabilité du patrimoine génétique
- Envisager comment la fragilité de l’ADN,
notamment lors de la réplication, est source de
mutation, cause de variabilité génétique
- Montrer que les mécanismes de transcription
et traduction expliquent l’équipement protéique
des cellules
Thème 1 – A: Expression, stabilité et variation du patrimoine génétique
SECONDE: Molécule d’ADN (fragile)
Réplication, mitose
Transcription
Traduction
Reproduction cellulaire conforme
Mutation
Réplication,
variation génétique
Expression du patrimoine génétique
Equipement protéique des cellules
REPRODUCTION CONFORME DE LA CELLULE ET
REPLICATION DE L’ADN
B.O
Mots clés
PREREQUIS
LIMITES
Les chromosomes
sont des structures
constantes des
cellules eucaryotes
qui sont dans des
états de
condensation
variables au cours du
cycle cellulaire .
En général, la
division cellulaire est
une reproduction
conforme qui
conserve toutes les
caractéristiques du
caryotype ( nombre
et morphologie des
chromosomes).
Phases du cycle cellulaire:
interphase ( G1, S,G2) ,
mitose
Chromosomes = structures
constantes dans la cellule
3ème : Diversité et unité
des êtres vivants:
ADN , molécule qui
peut se pelotonner ,
chromosomes,
La division d’une
cellule , conservation
des chromosomes.
Explication des
anomalies
constatées dans les
caryotypes
Bien distinguer :
- Conservation du
caryotype (aspect
quantitatif)
- Reproduction
conforme (qualitatif)
Pistes à développer dans
le cadre prolongements au
programme: anomalies
chromosomiques,
caryotypes et définition
des espèces
Fonctionnement du
fuseau mitotique
REPRODUCTION CONFORME DE LA CELLULE ET
REPLICATION DE L’ADN
B.O
Mots clés
PREREQUIS
LIMITES
Chaque chromatide
contient une molécule
d’ADN.
Au cours de la phase
S, l’ADN subit une
réplication semiconservative.
En l’absence d’erreur,
ce phénomène
préserve , par copie
conforme , la séquence
des nucléotides.
Ainsi, les deux cellules
–filles provenant par
mitose d’une cellule
mère, possèdent la
même information
génétique.
Donner les
connaissances de
base nécessaires à la
compréhension de la
multiplication
cellulaire conforme
aux échelles
cellulaires ( mitose) et
moléculaire
( réplication de
l’ADN).
Pistes : comprendre
la méthode de PCR,
calculer la vitesse de
réplication chez des
eucaryotes.
3ème : Diversité et unité
des êtres vivants:
Chaque chromosome
est constitué d’ADN.
Seconde :
Structure de l’ADN en
double hélice ,
séquence de
nucléotides .
La nécessité de
la présence
d’enzymes et
d’une source
d’énergie sont
seulement
signalées.
VARIATION GENETIQUE ET MUTATION DE L’ADN
B.O
Mots clés
PREREQUIS
LIMITES
Pendant la réplication de l’ADN
surviennent des erreurs
spontanées et rares, dont la
fréquence est augmentée par
l’action d’agents mutagènes.
L’ADN peut aussi être endommagé
en dehors de la réplication.
Le plus souvent, l’erreur est
réparée par des systèmes
enzymatiques . Quand elle ne l’est
pas, si les modifications
n’empêchent pas la survie de la
cellule, il apparaît une mutation ,
qui sera transmise si la cellule se
divise.
Une mutation survient soit dans
une cellule somatique, soit dans
une cellule germinale.
Les mutations sont la source
aléatoire de la diversité des
allèles , fondement de la
biodiversité.
Réplication semi
conservative
Mutation : origine,
mutations
somatiques,
germinales
source de
biodiversité
allélique
Pistes:
Lien avec les
mathématiques :
quantification de la
mutation dans
population
Lien avec les
Sc Physiques :
agents mutagènes
Mécanisme
3ème : Partie : unité et
diversité des êtres vivants d’action des
Un gène peut présenter des agents
versions différentes appelées mutagènes
allèles ; la molécule d’ADN
présente des différences
selon les allèles .
Evolution des
organismes vivants et
histoire de la Terre
Mutation = modification de
l’information génétique
Seconde : Thème 1 :
La variation génétique
repose sur la variabilité
de la molécule d’ADN.
Mutation = variation de la
séquence de nucléotides
d’un gène
EXPRESSION DU PATRIMOINE GENETIQUE
B.O
Mots clés
PREREQUIS
LIMITES
La séquence des nucléotides d’une
molécule d’ADN représente une
information.
Le code génétique est le système de
correspondance mis en jeu lors de la
traduction de cette information.
A quelques exceptions près, il est
commun à tous les êtres vivants.
Les portions codantes de l’ADN
comportent l’information nécessaire à
la synthèse de chaînes protéiques
issues de l’assemblage d’acides
aminés.
Chez les eucaryotes, la transcription
est la fabrication dans le noyau d’une
molécule d’ARN prémessager . Après
une éventuelle maturation, l’ARN
messager est traduit
en protéine dans le cytoplasme.
Un même ARN peut subir des
maturations différentes et être à
l’origine de protéines différentes.
Code
génétique;
transcription;
traduction;
ARN
prémessager;
maturation;
épissage
alternatif.
Représentation
initiale des
élèves :
Attention de ne pas
1 gène  1
protéine
aller trop loin dans les
mécanismes et dans les
connaissances exigibles
Rôles de l’ARNt
et ARN r hors sujet,
Mécanismes étudiés
Gène =
chez les eucaryotes
séquence
nucléotidique mais l’objectif n’est
pas de mettre
codante
l’accent sur les
C’est l’occasion différences entre
de faire évoluer eucaryotes et
ces
procaryotes.
représentations Différents aspects
initiales des
de la maturation
élèves.
non exigibles.
EXPRESSION DU PATRIMOINE GENETIQUE
B.O
Mots clés
PREREQUIS
LIMITES
L’ensemble des
protéines qui se
trouvent dans une
cellule ( phénotype
moléculaire ) dépend :
-du patrimoine
génétique de la cellule
-de la nature des gènes
qui s’expriment sous
l’effet de l’influence de
facteurs internes ou
externes.
Le phénotype
macroscopique dépend
du phénotype cellulaire ,
lui-même induit par le
phénotype moléculaire.
Différents
niveaux du
phénotype.
Influence de
l’environnement.
3ème : Diversité et unité
des êtres humains
Chaque individu
présente les caractères
de l'espèce avec des
variations qui lui sont
propres.
Les facteurs
environnementaux
peuvent
modifier certains
caractères.
Seconde : Thème 1
Le métabolisme est
contrôlé par les
conditions du milieu et
par le patrimoine
génétique .
Etude de la
différenciation
cellulaire pas au
programme.
Pistes:
Perturbation de
la production de
protéines dans
une cellule
cancéreuse.
Différenciation
cellulaire et
expression
protéique.
Thème 1 – A: Expression, stabilité et variation du patrimoine génétique
SECONDE: Molécule d’ADN (fragile)
Réplication, mitose
Donner du
sens
Transcription
Traduction
Reproduction cellulaire conforme
Mutation
Réplication,
variation génétique
Expression du patrimoine génétique
Equipement protéique des cellules
Site intéressant:
Université de médecine
de Genève
Accompagnement
personnalisé –
Métiers, anomalies K (pistes)
Génétique et
évolution
Partie B
LA TECTONIQUE DES PLAQUES :
L’HISTOIRE D’UN MODELE
Environ 25% de l’année soit 7 à 8
semaines
LA TECTONIQUE DES PLAQUES :
L’HISTOIRE D’UN MODELE
Il s’agit de:
- Comprendre comment le modèle de la
tectonique des plaques a été peu à peu construit
Comment ?
- En choisissant quelques étapes significatives
de son élaboration
Pour montrer - la confrontation permanente
entre les faits observés et le modèle
- l’importance des nouvelles
techniques, des débats et des controverses
La naissance de l’idée
B.O
Mots clés
PREREQUIS
Convergence
Au début du XXe les
premières idées évoquant la
mobilité horizontale
s’appuient sur quelques
constatations :
SVT 4ème :
― la distribution bimodale
des altitudes
(continents/océans) ;
― les tracés des côtes ;
― la distribution
géographique des
paléoclimats et de certains
fossiles.
Chaînes de montagnes
Fosses océaniques
Ces idées se heurtent au
constat d’un état solide de la
quasi-totalité du globe
terrestre établi, à la même
époque, par les études
sismiques. L’idée de mobilité
horizontale est rejetée par
l’ensemble de la communauté
scientifique.
Séisme
Mathématiques:
distributions,
fréquences
LIMITES
Il ne s’agit pas d’une
étude exhaustive des
précurseurs de la
tectonique des plaques,
mais simplement de
l’occasion de montrer la
difficile naissance d’une
idée prometteuse.
L’interprétation actuelle des différences
d’altitudes moyennes entre les continents et
les océans.
B.O
La différence d’altitude
observée entre continents et
océans reflète un contraste
géologique.
Les études sismiques et
pétrographiques permettent de
caractériser et de limiter deux
grands types de croûtes
terrestres : une croûte
océanique essentiellement
formée de basalte et de
gabbro et une croûte
continentale constituée entre
autres de granite.
La croûte repose sur le
manteau, constitué de
péridotite.
Mots clés
PREREQUIS
Convergence
SVT 4ième :
Croûte continentale/
océanique
Manteau
Lithosphère
continentale/
océanique
Les principales
roches qui les
composent
respectivement
basalte, gabbro,
granite, péridotite
Chaînes de montagnes
Fosses océaniques
Séisme
Physique: ondes
mécaniques
LIMITES
Il ne s’agit pas d’une
étude exhaustive des
précurseurs de la
tectonique des plaques,
mais simplement de
l’occasion de montrer la
difficile naissance d’une
idée prometteuse.
L’hypothèse d’une expansion océanique et sa
confrontation à des constats nouveaux.
B.O
Au début des années 1960, les
découvertes de la topographie
océanique et des variations du
flux thermique permettent
d’imaginer une expansion
océanique par accrétion de
matériau remontant à l’axe des
dorsales, conséquence d’une
convection profonde.
La mise en évidence de bandes
d’anomalies magnétiques
symétriques par rapport à l’axe
des dorsales océaniques,
corrélables avec les phénomènes
d’inversion des pôles
magnétiques (connus depuis le
début du siècle) permet d’éprouver
cette hypothèse et de calculer des
vitesses d’expansion.
Mots clés
PREREQUIS
Convergence
Principe de la
tomographie sismique
Notion de Flux
thermique
convection
Magnétisme des
roches océaniques
(Magnétite,
Point de curie)
LIMITES
Savoir situer cet
épisode de
l’élaboration du modèle
dans les 60’s
Pas d’autre date à
retenir
SVT 4 ième
Dorsale océanique
Physique:
magnétisme
Concepts de lithosphère et d’asthénosphère.
B.O
Mots clés
PREREQUIS
Convergence
LIMITES
Au voisinage des fosses océaniques,
la distribution spatiale des foyers
des séismes en fonction de leur
profondeur s’établit selon un plan
incliné.
Les différences de vitesse des
ondes sismiques qui se propagent le
long de ce plan, par rapport à celles
qui s’en écartent, permettent de
distinguer : la lithosphère de
l’asthénosphère.
L’interprétation de ces données
sismiques permet ainsi de montrer
que la lithosphère s’enfonce dans
le manteau au niveau des fosses
dites de subduction.
La limite inférieure de la
lithosphère correspond généralement
à l’isotherme 1 300 °C.
Définition +
précise de
-Lithosphère
-Asthénosphère
-Croûte
-Manteau
-subduction
SVT 4ème
Lithosphère
asthénosphère
Physique:
magnétisme
Mécanisme et
conséquences de la
subduction
Un premier modèle global: une lithosphère
découpée en plaques.
B.O
A la fin des années soixante, la
géométrie des failles transformantes
océaniques permet de proposer un
modèle en plaques rigides. Des
travaux complémentaires parachèvent
l’établissement de la théorie de la
tectonique des plaques en montrant
que les mouvements divergents
(dorsales), décrochants (failles
transformantes) et convergents
(zones de subduction) sont cohérents
avec ce modèle géométrique.
Des alignements volcaniques, situés
en domaine océanique ou continental,
dont la position ne correspond pas à
des frontières de plaques, sont la trace
du déplacement de plaques
lithosphériques au-dessus d’un
point chaud fixe, en 1ère
approximation, danss le manteau.
Mots clés
PREREQUIS
Convergence
LIMITES
SVT 4ième
Plaques
lithosphériques
Failles
transformantes
Dorsales
Plaques
lithosphériques
Point chaud
La formalisation
mathématique de la
cinématique des
plaques
Le renforcement du modèle par son efficacité
prédictive.
B.O
Le modèle prévoit que la croûte
océanique est d’autant plus vieille
qu’on s’éloigne de la dorsale. Les
âges des sédiments en contact
avec le plancher océanique
(programme de forage sous-marins
J.O.I.D.E.S.) confirment cette
prédiction et les vitesses prévues
par le modèle de la tectonique des
plaques.
Le modèle prévoit des vitesses de
déplacements des plaques
(d’après le paléomagnétisme et les
alignements de volcans intraplaques). Avec l’utilisation des
techniques de positionnement par
satellites (GPS), à la fin du XXe
siècle, les mouvements des
plaques deviennent directement
observables et leurs vitesses sont
confirmées.
Mots clés
PREREQUIS
Convergence
SVT 5ième
sédimentation
LIMITES
interprétation uniquement
de l’étude du 1° sédiment
directement au contact de
la croûte océanique
L’évolution du modèle : le renouvellement de
la lithosphère océanique.
B.O
Mots clés
En permanence, de la
lithosphère océanique est
détruite dans les zones de
subduction et produite
dans les dorsales.
Représentation
graphique du modèle
global
La divergence des plaques
de part et d’autre de la
dorsale permet la mise en
place d’une lithosphère
nouvelle à partir de
matériaux d’origine
mantélique.
Dorsale = siège de la
production d’une
lithosphère océanique
complète
Fonctionnement d’une
dorsale type
Dans les zones de
subduction, les matériaux
de la vieille lithosphère
océanique s’incorporent au
manteau.
Subduction:
- localisation
- = lieu de destruction de
lithosphère océanique
PREREQUIS
Convergence
LIMITES
Moteur de la tectonique
des plaques
SVT 4ième
Volcanisme
Physique:
changement d’état
Différents types de
dorsales
Phénomènes
géologiques associés au
phénomène de
subduction
La tectonique des plaques: l’histoire d’un modèle
Thème1 – B: La tectonique des plaques: l’histoire d’un modèle
COLLEGE: grandes lignes de la tectonique des plaques
En première S: démarche historique
Enrichir le modèle du
collège
notion de modèle scientifique et son mode d’élaboration Montrer l’enrichissement
confrontation permanente au réel.
du modèle mais
pas de frise
accumulation d’observations en accord avec le modèle
quelques caractéristiques du mode de construction des théories scientifiques.
La naissance de l’idée : DEBUT DU XXème: ALTITUDES – CÔTES – PALEOCLIMATS, FOSSILES
L’interprétation actuelle des différences d’altitude moyennes entre les continents et les océans:
CONTINENTS – OCEANS : DEUX TYPES DE CROÛTES
L’hypothèse d’une expansion océanique et sa confrontation à des constats nouveaux : ANNEES 60
TOPO OCEANIQUE – FLUX THERMIQUE – EXPANSION OCEANIQUE – ANOM. MAGNET.
Le concept de lithosphère et d’asthénosphère: FOYERS SEISMES – PLAN – ISOTH. 1300°C
Un premier modèle global: une lithosphère découpée en plaques rigides: FIN ANNEES 60
PLAQUES RIGIDES - POINTS CHAUDS Le renforcement du modèle par son efficacité prédictive: J.O.I.D.E.S – FIN XXème : GPS(vitesse)
L’évolution du modèle: le renouvellement de la lithosphère océanique:
SUBDUCTION =DESTRUCTION (MANTEAU) DORSALE = RENOUVELLEMENT (MANTEAU)
Thème1 – B: La tectonique des plaques: l’histoire d’un modèle
Modèle: quel sens pour les élèves?
Avoir à l’esprit que ce peut être, pour les élèves:
-
Ce que l’on veut copier, imiter, qui représente l’idéal
-
Une variante (économique, de luxe …)
-
Dans le domaine de la mode (Top)
Plus scientifiquement:
-
Un modèle d’étude (la drosophile)
-
Un modèle analogique (Tectodidact) ou numérique (logiciel)
-
Modèle = théorie: on est ici dans le domaine des idées, c’est un modèle
conceptuel, il a un pouvoir prédictif, il est évolutif, il se rapproche
asymptotiquement de la réalité jusqu’à ce qu’il soit vrai.
La lithosphère découpée en plaques: c’est sans doute vrai, mais !!!!
C’est dans ce sens que le mot est employé dans le programme.
Thème 2:
enjeux planétaires
contemporains
5 semaines 1/2
Thème 2 – A: Tectonique des plaques et géologie appliquée
Le modèle de la tectonique des plaques est envisagé dans
son aspect appliqué : comprendre les conditions d’existence
d’une ressource exploitable.
► Choisir une histoire sédimentaire compréhensible dans le
cadre du modèle de la tectonique des plaques.
► Deux possibilités :
● Soit une approche globale
● Une approche locale: proche EPLE – sortie de terrain
Remarque : Seule l’une de ces deux approches doit être traitée.
Activités SIG
(Systèmes d’Information Géographiques)
THÈME 2 – A TECTONIQUE DES PLAQUES ET GÉOLOGIE APPLIQUÉE
Première possibilité : Tectonique des plaques et recherche d’hydrocarbures
La tectonique globale
Positionnement géographique
du bassin favorable :
- au dépôt d’une matière
organique abondante
- et à sa conservation
Tectonique en cours de dépôt
(subsidence) et après le dépôt
qui permettent
- l’enfouissement
- et la transformation de la
matière organique
- puis la mise en place du
gisement.
Recherche de gisements
Rare coïncidence de toutes ces conditions nécessaires
Rareté des gisements dans l’espace et le temps.
Première possibilité : tectonique des plaques et recherche
d’hydrocarbures
B.O
Mots clés
PREREQUIS
Le modèle de la tectonique
des plaques constitue un
cadre intellectuel utile pour
rechercher des gisements
pétroliers.
À partir de l’étude d’un
exemple on montre que la
tectonique globale peut
rendre compte :
- d’ un positionnement
géographique du bassin
favorable au dépôt d’une
matière organique abondante
et à sa conservation ;
- d’une tectonique en
cours de dépôt (subsidence)
et après le dépôt qui
permettent l’enfouissement
et la transformation de la
matière organique puis la
mise en place du gisement.
La rare coïncidence de toutes
ces conditions nécessaires
explique la rareté des
gisements dans l’espace et le
temps.
5ème :
Bassin
Les roches sédimentaires peuvent
sédimentaire
contenir des fossiles : traces ou restes
d’organismes ayant vécu dans le passé.
Roches
Les observations faites dans les milieux actuels,
transposées aux phénomènes du
sédimentaires
passé, permettent de reconstituer certains éléments
des paysages anciens.
Marge passive
Les roches sédimentaires sont donc
des archives des paysages anciens.
Sismique
Notion de décomposeurs
réflexion
L’action de l’Homme, dans son environnement
géologique, influe sur l’évolution des paysages.
L’ Homme prélève dans son environnement
Conditions de
géologique les matériaux qui lui sont nécessaires et
prend en compte les conséquences de son action sur le
dépôt
paysage.
Roche mère
2nde :
Migration de
La présence de restes organiques dans les
combustibles fossiles montre qu’ils sont issus
fluides
d’une biomasse.
des environnements de haute productivité,
Piège géologique Dans
une faible proportion de la matière organique échappe à
l’action des décomposeurs puis se transforme en
combustible fossile au cours de son enfouissement.
► Tectonique
des plaques
La répartition des gisements de combustibles fossiles
montre que transformation et conservation de la matière
organique se déroulent dans des circonstances
géologiques bien particulières.
La connaissance de ces mécanismes permet de
découvrir les gisements et de les exploiter par des
méthodes adaptées.
LIMITES
Typologie
exhaustive des
bassins , des
pièges
► Seul le
contexte
géologique de
l’exemple étudié
est au
programme
THÈME 2 – A TECTONIQUE DES PLAQUES ET GÉOLOGIE APPLIQUÉE
Deuxième possibilité : tectonique des plaques et ressource locale
Sortie sur le terrain, proche du
lycée: un exemple de ressource
géologique (matériau géologique)
Les conditions d’existence d’une ressource géologique
locale peuvent être décrites en montrant l’intérêt local et
concret du modèle général de la tectonique des plaques
Deuxième possibilité : tectonique des plaques et ressource locale
B.O
Mots clés
PREREQUIS
LIMITES
Un exemple de
ressource
géologique est
choisi dans un
contexte proche de
l ’ établissement
scolaire.
Son étude (nature,
gisement) permet
de comprendre
que ses conditions
d’existence peuvent
être décrites en
utilisant le cadre
général de la
tectonique des
plaques.
Les mots
clés seront
fonction de
l’exemple choisi
5ème :
Seules
les
notions
nécessaires à la
compréhension
de
l’exemple
sont à présenter.
Les roches sédimentaires peuvent contenir
des fossiles : traces ou restes d’organismes ayant vécu
dans le passé.
Les observations faites
dans les milieux actuels,
transposées aux phénomènes
du
passé,
permettent de reconstituer certains éléments des paysages
anciens.
Les roches sédimentaires sont donc des
archives des paysages anciens.
Notion de décomposeurs
L’action de l’Homme, dans son environnement
géologique, influe sur l’évolution des paysages.
L’ Homme prélève dans son environnement
géologique les matériaux qui lui sont nécessaires et prend
en compte les conséquences de son action sur le paysage.
► L’exemple
exploité sera
nde :
replacé dans 2La présence
de restes organiques dans les combustibles
fossiles
montre
qu’ils sont issus d’une biomasse.
le cadre de la
Dans des environnements de haute productivité, une
tectonique des faible proportion de la matière organique échappe à l’action
des décomposeurs puis se transforme en combustible fossile
plaques
au cours de son enfouissement.
La répartition des gisements de combustibles fossiles
montre que transformation et conservation de la matière
organique se déroulent dans des circonstances
géologiques bien particulières.
La connaissance de ces mécanismes permet de découvrir les
gisements et de les exploiter par des méthodes adaptées.
Thème 2 – B
nourrir l’humanité
Plusieurs problématiques
Aspect quantitatif
Comment produire les aliments pour nourrir l’humanité ?
Comment produire plus ? (9 milliards d’individus sur Terre en 2050)
Aspect qualitatif
Comment produire de façon durable ?
Comment consommer différemment, à moindre coût environnemental ?
Thème 2 – B
nourrir l’humanité
Seconde: approche globale de l’agriculture
Étude d’une culture
Conception, organisation et
fonctionnement d’un agrosystème
Étude d’un élevage
Impacts écologiques différents
selon les agrosystèmes
Mise en relation des pratiques
alimentaires individuelles et des
problématiques de gestion de
l’environnement
Thème 2 – B Nourrir l’humanité
La production végétale : utilisation de la productivité primaire
Écosystème naturel
(biotope + biocénose)
Photosynthèse des
plantes vertes
Productivité primaire
Impact environnemental
Gestion durable
Agriculture
Choix des techniques
culturales
Production de
l’agrosystème nécessaire
Agrosystème
Flux de matière (dont l’eau) et d’énergie
Exportation de biomasse, fertilité des sols,
recherche de rendements
Engrais, produits phytosanitaires
Aliments nécessaires à l’humanité
La production végétale: utilisation de la productivité primaire
B.O
Mots clés
PREREQUIS
Un écosystème naturel est
constitué d’un biotope et d’une
biocénose.
Son fonctionnement d’ensemble est
permis par la productivité primaire
qui, dans les écosystèmes
continentaux, repose sur la
photosynthèse des plantes vertes.
Etude de son
fonctionnement qui
sera comparé à un
agrosystème.
En seconde:
notion
d’écosystème
L’agriculture repose sur la
constitution d’agrosystèmes gérés
dans le but de fournir des produits
(dont les aliments) nécessaires à
l’humanité.
Un exemple de
culture végétale pour
montrer comment
des techniques
variées permettent
une production
adaptées aux besoins
La production
alimentaire
par l’élevage
ou la culture
en sixième
LIMITES
La production végétale: utilisation de la productivité
primaire
B.O
Mots clés
PREREQUIS
LIMITES
Un agrosystème implique des flux
de matière (dont l’eau) et d’énergie
qui conditionnent sa productivité et
son impact environnemental.
L’exportation de biomasse, la
fertilité des sols, la recherche de
rendements posent le problème de
l’apport d’intrants dans les cultures
(engrais, produits phytosanitaires,
etc.).
Le coût énergétique et les
conséquences environnementales
posent le problème des pratiques
utilisées. Le choix des techniques
culturales vise à concilier la
nécessaire production et la gestion
durable de l’environnement.
Quantifier les
flux d’énergie
et de matière
dans
l’agrosystème
pour aboutir
à une
pratique
raisonnée de
l’agriculture
Collège et lycée:
première approche
des bases biologiques
de la production
agricole
Aucune
exhaustivité
n’est
attendue
dans la
présentation
En seconde: le sol
des
pratiques
agricoles et
des
intrants.
Thème 2 – B nourrir l’humanité
La production animale : une rentabilité énergétique réduite
Pyramide de productivité
Duvigneau
Agrosystème
Rendement
plus faible
Rendement élevé
Impact écologique différent
Circulation de matière et d’énergie
Ecosystème naturel
La production animale: une rentabilité énergétique réduite
B.O
Mots clés
Il s’agit de faire
Dans un écosystème naturel, la
comprendre que la
circulation de matière et d’énergie
production animale
peut être décrite par la notion de
fondée sur une
pyramide de productivité.
production
végétale
Dans un agrosystème, le
quantitativement
rendement global de la production
abondante se
par rapport aux consommations
traduit par un bilan
(énergie, matière) dépend de la
place du produit consommé dans la de matière et
pyramide de productivité.
d’énergie plus
Ainsi, consommer de la viande ou
défavorable.
un produit végétal n’a pas le même
impact écologique. (surtout en eau)
PREREQUIS
La production
alimentaire par
l’élevage ou la
culture en
sixième
Notion de
développement
durable au
collège et
responsabilité
humaine en
matière
d’environnement
en troisième
LIMITES
Thème 2 – B nourrir l’humanité
Pratiques alimentaires collectives et perspectives globales
Changement d’échelle:
pratiques locales  bilan planétaire
pour accéder à une compréhension globale
Amélioration des
pratiques agricoles
Choix individuels et de
société sur l’utilisation des
produits de l’agriculture
Risque de stigmatisation voire
de culpabilisation des élèves
Pratiques alimentaires collectives et perspectives
globales
B.O
Mots clés
On cherche ici à
À l’échelle globale, l’agriculture cherche à mettre en relation les
relever le défi de l’alimentation d’une
pratiques locales et
population humaine toujours
leurs implications
croissante. Cependant, les limites de la globales afin d’installer
planète cultivable sont bientôt atteintes :
les bases de la
les ressources (eau, sol, énergie) sont
réflexion qui conduit
limitées tandis qu’il est nécessaire de
aux choix de
prendre en compte l’environnement pour pratiques.
en assurer la durabilité.
LIMITES
Il ne s’agit pas
d’enseigner les
choix qui doivent
être faits, mais
d’introduire les
bases scientifiques
nécessaires à une
réflexion éclairée
sur les choix.
Aucune
exhaustivité
concernant les
pratiques
alimentaires n’est
attendue.
Thème 2 – B nourrir l’humanité
Pratiques alimentaires collectives et perspectives globales
AGRICULTURE
Population humaine
toujours croissante
Limites de la planète cultivable bientôt atteintes:
ressources (eau, sol, énergie) limitées
Durabilité de l’environnement
Productivité et gestion durable de l’environnement
Démarche classique, d’investigation scientifique
Démarche de développement durable, investigation sur bases scientifiques
P R E M I E
SECONDE
Production
SECONDE
Production de biomasse
R E
Amélioration de
Productivité
la productivité
S
Gestion
durable des
agrosystèmes
PREMIERE S
Productivité ( / temps / surface)
Rendement
Thème 3:
Corps humain
et santé
10 semaines 1/2
Thème III - A
FEMININ - MASCULIN
Environ 33% de l’année (soit 10 à 11
semaines) pour le thème 3 … donc…
4 à 5 semaines pour la partie 3 – A
Thème 3 – A
Féminin, masculin
Acquis du collège
Mise en place des phénotypes
masculin ou féminin
(différenciation
de l’appareil sexuel, puberté,…)
Éducation à la santé et à la
responsabilité:
prise en charge responsable
par l’élève de sa vie sexuelle
Lien entre sexualité et procréation
Lien entre sexualité et santé
Relations entre sexualité plaisir
Approches interdisciplinaire
(philosophie)
et/ou intercatégorielle
(professionnels de santé).
Différences avec le collège :
-
On explique la différenciation des phénotypes
sexuels.
-
La connaissance du contrôle hormonal permet de
comprendre les contraceptions, contragestions,
IVG et PMA
-
On insiste sur la protection contre les IST
-
La notion de plaisir est amenée et expliquée
 Meilleure compréhension

Meilleures décisions
 Meilleure prise en charge de sa vie sexuelle.
Thème 3 – A Féminin, masculin
Devenir femme ou homme
Fécondation
On n’aborde pas le rôle
de la TDF
Patrimoine génétique
Développement embryonnaire et fœtal
Puberté
Mise en place des structures et de la fonctionnalité des appareils sexuels:
phénotypes masculin et féminin se distinguent par des différences
anatomiques (gonades, voies), physiologiques (testostérone, AMH)
Devenir femme ou homme
Notions du BO
Objectifs
mots-clés
Prérequis
Limites
4ème :
-Les phénotypes masculin et féminin se SRY,
distinguent par des différences anatomiques, testostérone,
physiologiques, et chromosomiques.
AMH
- La mise en place des structures et de la
fonctionnalité des appareils sexuels se réalise,
sous le contrôle du patrimoine génétique, sur
une longue période qui va de la fécondation à
la puberté, en passant par le développement
embryonnaire et fœtal.
- La puberté est la dernière étape de la mise en
place des caractères sexuels.
- distinction
homme/femme
au niveau
anatomique, et
chromosomique
(3ème)
- Notion
d’hormone
- puberté
Les acquis
anatomiques
du collège
seront
seulement
rappelés
Thème 3 – A Féminin, masculin
Sexualité et procréation
Hypothalamus
Gonades
Dispositif neuroendocrinien
Hypophyse
Méthodes de contraception féminine
- préventive (pilules contraceptives)
- d’urgence (pilule du lendemain).
Méthodes de contraception
masculine hormonale.
Techniques permettent d’aider les
couples infertiles à satisfaire leur
désir d’enfant,PMA : insémination
artificielle, FIVETE, ICSI
D’autres méthodes contraceptives existent, dont
certaines présentent aussi l’intérêt de protéger
contre les IST (Sida, hépatite, papillomavirus…)
Fonctionnement de l’appareil reproducteur
Il faut traiter les rétrocontrôles
Sexualité et procréation
Notions du BO
Objectifs
Prérequis
mots-clés
- Chez l’homme et la femme, le
Les mécanismes 4ème :
fonctionnement de l’appareil reproducteur neuroendocrines - Notion d’hormone,
est contrôlé par un dispositif
de contrôle de Hormones du
neuroendocrinien qui fait intervenir
la reproduction cerveau, Hormones
ovariennes
l’hypothalamus, l’hypophyse et les
sont étudiés.
(œstrogènes,
gonades.
Contraception
progestérone),
-La connaissance de ces mécanismes
PMA
relation avec la
permet de comprendre et de mettre au
puberté et les
point des méthodes de contraception
règles.
féminine préventive (pilules contraceptives)
-Contraception,
ou d’urgence (pilule du lendemain).
pilule d’urgence,
- Des méthodes de contraception
3ème :
masculine hormonale se développent.
Responsabilité
- D’autres méthodes contraceptives
humaine
en
existent, dont certaines présentent aussi
matière de santé et
l’intérêt de protéger contre les infections
d’environnement :
sexuellement transmissibles.
Maîtrise
de
la
- L’infertilité des couples peut avoir des
reproduction
causes variées. Dans beaucoup de cas, des
(contraception,
techniques permettent d’aider les couples à
contragestion)
satisfaire leur désir d’enfant : insémination
PMA
artificielle, FIVETE, ICSI.
Limites
Les mécanismes
cellulaires de l’action
des hormones, de
même que les voies de
leur synthèse, ne sont
pas au programme.
Il ne s’agit pas de
présenter les techniques
de procréation
médicalement assistée
mais seulement de
montrer que la
compréhension de leurs
principes généraux
repose sur des
connaissances
scientifiques et
d’évoquer leur cadre
éthique.
Thème 3 – A Féminin, masculin
Sexualité et bases biologiques du plaisir
Logiciel EduAnatomist
Activité sexuelle
activation
Pas d’approche cellulaire ni moléculaire,
pas de circuits de la récompense.
Avoir à l’esprit l’aspect tabou de la question
(adolescents de cultures et religions différentes),
mais ne pas prolonger les interdits familiaux.
Le plaisir existe et il y a des supports
anatomiques et physiologiques.
Zones cérébrales
du système de
récompense
Composante
biologique du
plaisir
EduAnatomist
Imagerie médicale
IRM anatomique
(structures cérébrales)
IRM fonctionnelle
(zones d’activité)
Banque de données:
NEUROPEDA
IRM fonctionnelle et traitement statistique du signal  mathématiques
IRM et neurosciences cognitives (empathie, circuit de récompense)  philosophie
 AP
Sexualité et bases biologiques du
plaisir
Notions du BO
- L’activité sexuelle est associée au
plaisir.
- Le plaisir repose notamment sur
des phénomènes biologiques, en
particulier l’activation dans le
cerveau des « systèmes de
récompense ».
Objectifs
mots-clés
Montrer
qu’une
composante
biologique
existe entre
sexualité et
plaisir
Prérequis
4ème :
- Le rapport sexuel
est associé à la
notion de
reproduction
- Le cerveau est un
centre nerveux qui
reçoit et traite les
informations
sensitives
Limites
Les mécanismes
cérébraux du plaisir
sont étudiés
seulement d’une
façon globale
(activation de zones
cérébrales) sans
explicitation des
phénomènes
cellulaires
Thème III - B
VARIATION GENETIQUE ET SANTE
Environ 33% de l’année (soit 10 à 11
semaines) pour le thème 3 … donc…
2 à 3 semaines pour la partie 3 – B
Thème 3 - B
Variation génétique et santé
Homme
Microorganismes infectieux
Casser le dogme du
« tout génétique »
Forte variabilité génétique
issue de mutations et conservée
au cours des générations
Problèmes en termes
de prévention et de traitement
Hommes ne sont pas
« génétiquement égaux »
devant la maladie
Mise en place d’un phénotype, développement d’une maladie dépend
de l’interaction complexe entre le génotype et l’histoire personnelle
Il s’agit de mettre en évidence et de comprendre les
implications en matière de santé (prévention,
traitement) :
• De la variabilité génétique de l’Homme et de sa transmission au
cours des générations.
• Des interactions entre génotype et histoire personnelle dans le
développement de certaines maladies et le processus de
cancérisation.
• De la variabilité génétique des bactéries à l’origine de la
résistance aux antibiotiques, les rendant susceptibles d’infecter
l’Homme.
Thème 3 - B Variation génétique et santé
Patrimoine génétique et maladie
Mucoviscidose ou autre maladie génique autosomale récessive
Mutation d’un gène
Arbre généalogique
Modification d’une protéine
Prévision du risque de transmission
de la maladie
Phénotype malade macroscopique
Traitements médicaux: oxygénothérapie, kinésithérapie, action
sur des paramètres du milieu: limitation des effets
Potentialités offertes par les thérapies géniques, cellules
pulmonaires atteintes: espoir de correction de la maladie
PATRIMOINE GENETIQUE ET MALADIE
B.O
Mots clés
PREREQUIS
3ème : « Diversité et unité
des êtres humains »
Les gènes portent l’info
génétique et
déterminent les
caractères héréditaires.
Notion d’allèles.
Lors de la formation des
Relation
gèneLe phénotype malade comporte
¢ reproductrices
protéine,
des aspects macroscopiques qui
les K d’1 paire, génétiqt
s’expliquent par la modification phénotype à
différents, se répartissent
d’une protéine.
différentes échelles. au hasard. Les ¢ reprod
produites par un individu
L’étude d’un arbre généalogique Arbre
sont donc génétiqt ≠ .
permet de prévoir le risque de généalogique,
La fécondation, en
transmission de la maladie.
fréquence allélique, associant pour chaque
paire de K, un K du père
On limite les effets de la évaluation du
et un de la mère, rétablit
maladie en agissant sur des risque de
le nombre de K de
paramètres du milieu. La transmission.
l’espèce. Chaque individu
thérapie génétique constitue un
issu de la reproduction
espoir de correction de la Traitements
sexuée est génétiqt
maladie dans les cellules médicaux, thérapie unique.
génique.
pulmonaires atteintes.
La mucoviscidose est une
maladie fréquente, provoquée
par la mutation d’un gène qui
est présent sous cette forme
chez une personne sur 40
environ. Seuls les homozygotes
pour l’allèle muté sont malades.
Maladie
autosomale
récessive,
mutation,
homozygote,
hétérozygote.
LIMITES
Une seule maladie
génétique est à
connaître :
mucoviscidose ou
une autre (mais
un élève doit
pouvoir en
étudier d’autres
à partir de
documents
fournis) .
On se limite à
des maladies
autosomales.
Méïose,
fécondation et
brassages seront
étudiés en TS.
Thème 3 - B Variation génétique et santé
Patrimoine génétique et maladie
Maladie cardiovasculaire, diabète de type II
Allèles de gènes rendant plus
probable le développement
d’une maladie sans pour autant
le rendre certain.
Les modes de vie et le milieu
interviennent également
Origine multigénique de certaines maladies
Influence des facteurs environnementaux
Responsabilité individuelle ou collective
Epidémiologie.
PATRIMOINE GENETIQUE ET MALADIE
B.O
Mots clés
Le plus souvent, l’impact du
génome sur la santé n’est pas un
déterminisme absolu.
Il existe des gènes dont certains
allèles rendent plus probable le
développement d’une maladie
sans pour autant le rendre
certain. En général les modes de
vie et le milieu interviennent
également, et le développement
d’une maladie dépend alors de
l’interaction complexe entre
facteurs du milieu et génome.
Maladie d’origine
multigénique,
facteurs
environnementaux,
principes de
l ’épidémiologie.
PREREQUIS
3ème : « Responsabilité
humaine en matière de
santé et
d’environnement »
Certains comportements
(manque d’activité
physique ; excès de
→ Développer
graisses, de sucre et de
l’esprit critique pour sel dans l’alimentation)
peuvent favoriser
pouvoir exercer sa
l’obésité et l’apparition
responsabilité
de maladies
individuelle ou
nutritionnelles (maladies
collective
face
au
Un exemple de maladie
cardiovasculaires).
risque
en
matière
(maladie
cardiovasculaire,
diabète de type II) permet de santé.
d’illustrer le type d’études
envisageables.
LIMITES
Pas d’étude
détaillée des
méthodes de
l’épidémiologie,
simple
sensibilisation.
L’objectif n’est pas
l’étude de la
régulation de la
glycémie
Thème 3 - B Variation génétique et santé
Perturbation du génome et cancérisation
Modifications accidentelles du génome dans des cellules
somatiques dues à:
- des mutations spontanées
- des mutations favorisées par un agent mutagène
- des infections virales
Mesures de protection:
- évitement des agents mutagènes
- surveillance
- vaccination.
Transmission à leurs descendantes
Clone cellulaire porteur de ce génome modifié
Prudence sur le choix
des exemples (sein,
prostate…)
Processus de cancérisation
PERTURBATION DU GENOME ET CANCERISATION
B.O
Des modifications accidentelles
du génome peuvent se produire
dans des cellules somatiques et
se
transmettre
à
leurs
descendantes. Elles sont à
l’origine de la formation d’un
clone cellulaire porteur de ce
génome modifié. La formation
d’un tel clone est parfois le
commencement d’un processus
de cancérisation.
Des modifications somatiques
du génome surviennent par
mutations
spontanées
ou
favorisée
par
un
agent
mutagène. D’autres sont dues à
des infections virales.
La connaissance de la nature
des perturbations du génome
responsable d’un cancer permet
d’envisager des mesures de
protection
(évitement
des
agents mutagènes, surveillance,
Mots clés
Modifications
somatiques du
génome.
Facteurs de
cancérisation :
mutations
spontanées ou
favorisées,
infections virales.
Tumeur cancéreuse
= clone de cellules
cancéreuses.
Causes multiples.
Prévention.
PREREQUIS
LIMITES
3ème :
« Responsabilité
humaine en matière de
santé et
d’environnement »
Les mécanismes
précis de la
vaccination et de
l’infection virale
seront étudiés en TS.
Certains
comportements
peuvent favoriser
l’apparition de cancers.
Pas de
connaissances
pointues à bâtir sur
la régulation du
cycle cellulaire, les
gènes impliqués
(oncogènes, …), les
mécanismes de la
cancérisation.
3ème : « Risque
infectieux et protection
de l’organisme»
Principe de la
vaccination.
3è, 2nde : mutations
Eviter de prendre
comme exemples les
cancers les plus
fréquents pour
ménager la
sensibilité des
élèves.
Thème 3 - B Variation génétique et santé
Variation génétique bactérienne et résistance aux antibiotiques
Antibiotique A
Population de bactéries
Mutations spontanées
Sélection naturelle
et développement
des formes résistantes
Variation génétique,
exemple: résistance à
antibiotique A
Approche historique
des antibiotiques
(Penicillium)
Pas de réalisation
d’un antibiogramme
VARIATION GENETIQUE BACTERIENNE ET RESISTANCE AUX
ANTIBIOTIQUES
B.O
Des mutations spontanées
provoquent
une
variation
génétique dans les populations
de
bactéries.
Parmi
ces
variations,
certaines
font
apparaître des résistances aux
antibiotiques.
L’application d’un antibiotique
sur une population bactérienne
sélectionne
les
formes
résistantes et permet leur
développement.
L’utilisation
systématique de traitements
antibiotiques peut augmenter la
fréquence
des
formes
résistantes
par
sélection
naturelle.
Mots clés
Sensibilité /
résistance aux
antibiotiques.
Sélection naturelle.
PREREQUIS
LIMITES
3ème : « Risque infectieux
et protection de
l’organisme»
L'organisme est
constamment confronté
à la possibilité de
pénétration de microorganismes (bactéries et
virus) issus de son
environnement.
Des antibiotiques
appropriés permettent
d'éliminer les bactéries
et sont sans effet sur les
virus.
2nde: « Thème 1 »
La sélection naturelle et
la dérive génétique
peuvent
conduire à l’apparition de
nouvelles espèces.
Pas de réalisation
d’antibiogrammes
(sauf dans les
établissements
possédant les
infrastructures
adéquates).
Mécanismes
moléculaires de la
résistance aux
antibiotiques hors
programme.
Thème III - C
DE L’OEIL AU CERVEAU :
QUELQUES ASPECTS DE LA VISION
Environ 33% de l’année (soit 10 à 11
semaines) pour le thème 3 … donc…
3 à 4 semaines pour la partie 3 – C
Thème III - C
DE L’OEIL AU CERVEAU :
QUELQUES ASPECTS DE LA VISION
La vision est abordée sous 3 angles qui permettent de:
• Comprendre certains aspects de la perception
• Apporter un autre exemple d’évolution
• Montrer la complexité de fonctionnement ainsi que
la plasticité cérébrale
• Mettre en jeu l’interdisciplinarité avec
les Sciences Physiques
Thème 3 – C
De l’œil au cerveau: quelques aspects de la vision
Le cristallin : une lentille vivante
Cristallin: cellules vivantes qui renouvellent
en permanence leur contenu
Cristallin = système transparent
Anomalies de forme
Certains défauts de vision.
Avec l’âge sa transparence et sa souplesse
peuvent être altérées.
LE CRISTALLIN : UNE LENTILLE VIVANTE
BO
Le cristallin est l’un des
systèmes transparents
de l’œil humain.
Il est formé de cellules
vivantes qui renouvellent
en permanence leur
contenu. Les modalités
de ce renouvellement
sont indispensables à sa
transparence.
Des anomalies de forme
du cristallin expliquent
certains défauts de
vision.
Avec l’âge sa
transparence et sa
souplesse peuvent être
altérées
MOTS-CLÉS
-Cristallin: formestructure
-Lentille
-Accommodation
-Transparence
-Souplesse
-Myopie
(hypermétropie)
-Presbytie
-Cataracte
PRÉREQUIS
LIMITES
4°:
- récepteur sensoriel
dans le cadre de la
communication nerveuse
-Le détail de la
structure de l’œil n’est
pas à étudier.
-Le renouvellement
du contenu cellulaire
doit simplement
mettre en évidence le
maintien de la
structure déterminant
souplesse et
transparence
-Les phénomènes
optiques ne sont pas
à traiter: ils le sont en
sciences physiques
Thème 3 – C De l’œil au cerveau: quelques aspects de la vision
Les photorécepteurs : un produit de l’évolution
Gènes des pigments rétiniens constituant une famille
multigénique (issue de duplications) dont l’étude
permet de placer l’Homme parmi les Primates
Photorécepteurs rétiniens
(3 types de cônes, bâtonnets)
Sensibilité au
bleu, au vert
et au rouge
Sensibilité à
l’intensité
lumineuse
Nerf optique
Message nerveux
Cerveau, aires corticales
Anomalies des pigments rétiniens
Perturbations de la vision
des couleurs
LES PHOTORÉCEPTEURS : UN PRODUIT DE L’ÉVOLUTION
BO
La rétine est une structure
complexe qui comprend les
récepteurs sensoriels de la vision
appelés photorécepteurs.
Celle de l’homme contient les
cônes permettant la vision des
couleurs (3 types de cônes
respectivement sensibles au bleu,
au vert et au rouge) et les
bâtonnets sensibles à l’intensité
lumineuse.
Les gènes des pigments rétiniens
constituent une famille
multigénique (issue de
duplications) dont l’étude permet
de placer l’homme parmi les
Primates.
Des anomalies des pigments
rétiniens se traduisent par des
perturbations de la vision des
couleurs.
Le message nerveux issu de l’œil
est acheminé au cerveau par le
nerf optique.
MOTS-CLÉS
-Rétine :
organisation
-Cônes
-Bâtonnets
-Pigments
rétiniens
-Gènes des
pigments
rétiniens
-Duplication
-Parenté
PRÉREQUIS
4°: -cellules
nerveuses=
neurones
La physiologie de la
rétine n’est pas à
traiter donc
ne pas aborder le
renouvellement des
pigments rétiniens
3°: -gènes;
allèles; mutations
2°: -gènes;
allèles; mutations;
parenté
-Daltonisme
Nerf optique
LIMITES
4°: -message
nerveux sensitif
transmis aux
centres nerveux
Nature et
caractéristiques du
message nerveux
seront traitées en
terminale
Logiciel DE VISU
12 modules
François TILQUIN
Thème 3 – C De l’œil au cerveau: quelques aspects de la vision
Cerveau et vision : aires cérébrales et plasticité
Structures cérébrales innées,
issues de l’évolution
LSD
Plasticité cérébrale au cours
de l’histoire personnelle
Mise en place du phénotype fonctionnel du
système cérébral impliqué dans la vision
Mémoire, apprentissage
Kit
Plasticité
cérébrale en
préparation chez
Sordalab
CERVEAU ET VISION : AIRES CÉRÉBRALES ET PLASTICITÉ
BO
MOTS-CLÉS
Plusieurs aires corticales participent
à la vision. L’imagerie fonctionnelle
du cerveau permet d’observer leur
activation lorsque l’on observe des
formes, des mouvements. La
reconnaissance des formes
nécessite une collaboration entre les
fonctions visuelles et la mémoire.
Des substances comme le LSD
perturbent le fonctionnement des
aires cérébrales associées à la vision
et provoquent des hallucinations qui
peuvent dériver vers des
perturbations cérébrales graves et
définitives.
La mise en place du phénotype
fonctionnel du système cérébral
impliqué dans la vision repose sur
des structures cérébrales innées,
issues de l’évolution et sur la
plasticité cérébrale au cours de
l’histoire personnelle.
De même la mémoire nécessaire par
exemple à la reconnaissance d’un
visage ou d’un mot repose sur la
plasticité du cerveau.
L’apprentissage repose sur la
plasticité cérébrale. Il nécessite la
sollicitation répétée des mêmes
circuits neuroniques.
-Cortex cérébral
-Aires visuelles
-Collaboration
entre aires
corticales
-Perturbations
-Structures
innées
-Plasticité
cérébrale
-Mémoire
-Apprentissage
PRÉREQUIS
4°: -le cerveau est
un centre nerveux
qui analyse les
messages sensitifs
4°:-certaines
substances
peuvent perturber
le fonctionnement
du système
nerveux
LIMITES
-Ne pas faire une
étude exhaustive
des aires corticales
-La synapse sera
étudiée en terminale
-Ne pas traiter un
trop grand nombre
d’exemples pour
aborder la plasticité
cérébrale
- Les mécanismes
de la mémoire et de
l’apprentissage ne
sont pas au
programme
EduAnatomist
Imagerie médicale
IRM anatomique
(structures cérébrales)
IRM fonctionnelle
(zones d’activité)
Banque de données:
NEUROPEDA
IRM fonctionnelle et traitement statistique du signal  mathématiques
IRM et neurosciences cognitives (empathie, circuit de récompense)  philosophie
 AP