LE SENTIER DE HUASHAN La route piétonnière la plus dangereuse au monde Située à seulement 120 km à l’Est de la ville de Xi'an, dans.

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Transcript LE SENTIER DE HUASHAN La route piétonnière la plus dangereuse au monde Située à seulement 120 km à l’Est de la ville de Xi'an, dans.

LE SENTIER DE HUASHAN
La route piétonnière
la plus dangereuse au monde
Située à seulement 120 km
à l’Est de la ville de Xi'an,
dans la province de Shaanxi en Chine.
Huashan est l’une des cinq montagnes
sacrées et l’une des attractions
touristiques les plus populaires.
Elle est appréciée pour le paysage
naturel magnifique et les anciens
temples taoïstes,
mais Huashan est célèbre pour la voie
dangereuse qui mène au sommet.
La montagne de Huashan
compte cinq pics.
Si vous regardez d’un certain angle,
la montagne ressemble à une fleur.
Si vous êtes courageux
et que vous avez la chance
d’atteindre le sommet,
vous serez récompensé
par une vue incroyable
sur le complexe
de la montagne entière.
Les gens qui acceptent le défi
de ce sentier de randonnée
sont généralement de jeunes têtes
brûlées qui utilisent cette occasion
pour démontrer
leur “mauvais savoir-faire” car,
malheureusement, beaucoup
d’entre eux sont victimes
d’accidents mortels.
On estime chaque année
à près de 100
le nombre des accidents mortels
dans le sentier de Huashan, mais,
“MERCI” à la censure chinoise :
aucun document officiel
de ces accidents.
La partie la plus dangereuse
de Huashan Trail est considérée
comme le “Changong Zhandao”
de presque 4 mètres de long
et 30 centimètres de large,
le long d’un sentier
de la falaise verticale,
où un seul faux pas
est le moyen
de tomber dans l’abîme..
Si vous souhaitez ignorer la terrible épreuve de la
trajectoire de Huashan,
Vous pouvez prendre le funiculaire jusqu’à North
Peak et profiter de la vue incroyable.
Mais alors on ne peut pas se vanter de conquérir le
chemin le plus dangereux du monde.
A la vue des photos, je ne peux pas m’empêcher de
me demander comment ils ont réussi à construire
ce chemin et comment ils ont posé les planches.
Qui sait ce qu’est devenu le peuple qui l’a construit…