RETOURS - Compagnie Divine Comédie

Download Report

Transcript RETOURS - Compagnie Divine Comédie

COMPAGNIE DIVINE COMEDIE

www.compagniedivinecomedie.com

F

REDRIK

B

RATTBERG RETOURS

Traduction : Terje Sinding Mise en scène : Jean-Christophe Blondel Avec : Valérie Blanchon, Sylvain Levitte Magne Havard Brekke Les 26 et 27 avril 2014 festival Théâtre Café, Oslo Du 4 au 8 novembre 2014, au Volcan, Le Havre L’Arche est agent théâtral du texte représenté.

www.arche-editeur.com

23 Bd de la MArne - 76000 Rouen 09 54 49 06 12 - 06 60 82 74 30 - [email protected]

1

2

Note d’intention

Une machine à jouer…

Ça commence sérieusement : le salon d’un couple de quadras, en deuil de leur fils, un adolescent disparu six mois plus tôt dans une avalanche.

Se produit l’inconcevable : on sonne à la porte... La Norvège, on l'imaginait sombre, paysages hostiles, méandres de l’âme, répliques elliptiques, revenants, chiens errants… C'est qu'on ne connaissait pas le renouveau de la jeune génération, joviale, déroutante, passionnante.

Le pastiche est force de renouvellement. En 1893, Alfonse Allais créait, pour moquer les impressionnistes, le premier monochrome de l’histoire,

Première communion de jeunes filles chlorotiques par temps de neige

. Brattberg, lui, invente sa forme, cuisinant les plats de ses ancêtres (Ibsen) et ses aînés (Fosse), et des recettes du cinéma (Lynch, Tarantino), de la série, de la publicité. Il fait sa comédie, comme le firent Beaumarchais et Marivaux, fatigués de la tragédie vieillissante.

L’œuvre est répétitive et imprévisible comme de la bonne musique.

Brattberg est d’ailleurs aussi compositeur ! Il a écrit

Retours

en pensant au succès des œuvres qui répètent le même thème, le ou l’introduction de

l’Or du Rhin Bolero

de Ravel , ajoutant à chaque reprise de nouveaux instruments. Le fils mort revient, meurt, revient : c’est si

impossible

physiquement, émotionnellement, que cela ouvre à chaque fois sur un nouvel inconnu, où se côtoient sincérité vibrante et grotesque jubilatoire.

,

… et à faire parler le public

Car malgré le sujet, l’œuvre n’a rien de noir. C’est une allégorie… mais de quoi au juste ? A l’issue de chacune de nos représentations, des spectateurs de tous horizons, amateurs ou non de théâtre, se sont lancés dans des débats riches et personnels. Bien sûr on y parle du deuil, de ce fantôme qui nous visite, nous réconforte, et dont il faudra se défaire, qu’on le veuille ou non – qu’il le veuille ou non !

On y parle aussi d’adolescences. Celles, éternelles, qu’on vit dans la vitesse et l’inconscience (ski hors piste, mobylette trafiquée, virée sur les fjords dans une barque pourrie…) Et celles, très actuelles, qui s’éternisent… Le grand-père de Fredrik a pris la mer à quinze ans, pour trois ans de marine marchande. Aujourd’hui, on reste à quarante ans dépendant de ses parents… C’est presque aussi contre nature que de mourir à répétition ! Le cheminement de la pièce, du drame vers l’humour (avec à la fin une scène de meurtre désopilante), peut raconter cette crispation des parents face à l’ado qui ne veut pas partir… Et il y a eu tant d’autres lectures ! Après le spectacle, les spectateurs veulent raconter

leur

histoire, une histoire tissant leur vie, leurs fabulations, avec la proposition de l’auteur. Une œuvre qui fait autant parler ne se présente pas souvent. Nous sommes convaincus que Fredrik Brattberg est une nouvelle voix importante du théâtre contemporain.

3

Pour faire entendre cette voix, nous avons voulu éviter la plaisanterie facile, la « pochade » formelle. Ces retours sont-ils une expérience menée par des Dieux sur les personnages ? A nous de vivre l’expérience avec honnêteté et humanisme, sans chercher l’effet. Et de fait, le public rit parfois peu, parfois beaucoup, et jamais aux mêmes endroits.

L’appartement : une idée née du texte

L’intimité cinématographique des scènes dialoguées, les mystérieuses adresses au public, les très nombreuses actions physiques, tout cela nous a guidé vers un projet en appartement. Le spectateur y devient acteur : nous nous regardons, il est notre invité et nous sommes les siens. Lui

pousse

alors une sorte de statut de personnage, dans ce qui semble être une cérémonie, ou une reconstitution (policière ?).

Car nous avons voulu tout refaire en vrai, entrer, sortir, aller dans les chambres, cuisiner, et beaucoup manger. Ces déplacements, ces gestes, et le temps qu’ils réclament, les objets, lumières, photos, tableaux, les odeurs, tout ce qui fait la texture du lieu, le théâtre ne peut pas le produire. On ne saurait recréer les silences d’un lieu de vie réel pendant l’épluchage d’une pomme de terre, passages de voitures, pas et paroles de voisins, oiseaux, pluie, aquarium. Chaque nouveau lieu nous nourrit de nouvelles idées, nous fait redécouvrir la pièce, plus vite, plus radicalement que quand on joue dans un décor fixe. L’adaptation au lieu devient pour nous un sujet de création.

Le spectateur, lui aussi, vit l’affaire autrement qu’au théâtre. Il est invité, au sein de la fiction, à redécouvrir les pulsations de la vie

réelle

: n’est-ce pas une des fonctions du geste artistique ? La et des repas, le naturalisme du jeu, révèlent la part fantastique des retours de l’enfant, mieux que nous n’aurions pu le faire avec des artifices scéniques. A moins que le lieu, trop réel, plus « chargé » que les acteurs, ne « gagne » sur eux la partie, les transformant en fantômes artificiels – ce qui fonctionne aussi ! Un décor réaliste aurait fait de

Retours réalité

du décor une pièce sociale. Ces lieux réels en font un objet surréel.

Toucher de très près un public différent

Le jeu intime, qui n’a pas besoin d’être porté pour atteindre son public, l’humour, qui relie toujours l’acteur et le spectateur, mais aussi la surprenante force des sujets évoqués, tout cela crée, pendant le spectacle, un climat d’empathie, de connivence, des échanges de regards, un moment de grande humanité sous les accents de la farce.

Si l’idée de l’appartement (nouvelle pour nous) est d’abord venue de la lecture, elle répond aussi au vœu de la compagnie de travailler au plus près de son public. Se trouve ici un moyen de faire un geste artistique créateur de lien social. Dissolution du rapport scène-salle, expérience intime et sociale, proximité des artistes pendant et après le spectacle : tout cela peut créer l’envie d’entrer plus tard dans un théâtre. Chacun connaît déjà ces apports du théâtre d’appartement. Mais il est rare d’avoir un texte ayant autant de d’atouts pour cette expérience : audacieux formellement, accessible et populaire, faisant vibrer tout l’appartement, alors même qu’il n’avait pas été écrit pour cela.

4

La compagnie Divine Comédie

Projet artistique

Après des études d’ingénieur, Jean-Christophe Blondel (né en 1970) entre à l’ESAD, et fonde

la Divine Comédie

, sur projet en trois points : - l’exploration de textes profonds et polysémiques, écrits entre l’invention de la mise en scène (fin XIXe) et aujourd’hui : Maeterlinck, Ibsen, Claudel, Walser, Bernhard, Fosse, Pommerat… - La réunion d’artistes de disciplines et générations éloignées, acteurs (Jean Davy, Laurence Mayor, Michel Baudinat, Fred Ulysse, Philippe Hottier pour citer des aînés), musiciens (Edward Perraud, Benjamin Duboc, Jean-Luc Cappozzo), danseurs (S H I F T S, Sylvain Groud), plasticiens (Tormod Lindgren, Marguerite Rousseau), marionnettistes (Yseult Welschinger). Le spectacle ne doit pas développer une voix ou un « pitch » préétabli mais être polysémique : le témoignage, de la façon dont ces arptistes différents auront traversé l’œuvre ensemble.

- Le travail sur ces œuvres avec des amateurs éloignés du théâtre, par engagement (faire que la réception de ces œuvres ne soit plus un signe d’appartenance à unpe classe favorisée) et par inspiration (le travail avec des non voyants, des personnes âgées, très jeunes se donnent au jeu, comme un antidote aux pièges de la virtuosité).

5

Actualité et projets

Solness Constructeur

, créée en 2012, a été coproduite par la plate forme des producteurs de Normandie (Comédie de Caen, Préau de Vire, Volcan du Havre, Trident de Cherbourg, Deux Rives de Rouen), le Rayon Vert, le Quai des Arts (relais culturel régional), et a tourné 25 dates dans 15 théâtres normands et de Paris/RP. Il sera repris à Pékin en septembre 2014, invité par le Théâtre National de Chine pour l’ouverture de leur biennale internationale. Cette invitation parachève plusieurs années de travail de création en Chine avec des artistes professionnels et amateurs, français et chinois, parfois handicapés (prix des Rencontres Extraordinaires Ville de Paris 2012).

Partage de Midi

, créé en 2009, et qui a également tourné en Chine, puis a été repris en 2012 à l’Odéon (

Impatience)

est le premier volet d’un tryptique Claudel, suivi de avec notamment Pierre-Alain Chapuis et Valérie Blanchon). Puis viendra en 2017 le

Soulier de Satin

Vire. Créé dans une version pour l’extérieur dans le théâtre de verdure de Villeneuve en Scène,

l’Echange

, avec le soutien notamment du Préau CDR de

l’Echange

, l’été 2014 à Villeneuve en Scène, a reçu un accueil unanime du public et de la presse, et sera joué 15 dates en 2014-2015.

Retours

se joue en 2014-2015 dans des appartements, mais aussi, dans des lieux qui, par leur total décalage, à la fois avec un appartement et un lieu théâtral, révèlent le fantastique de l’œuvre, comme la salle des Méduses du Museum d’Histoire Naturelle du Havre (4 au 7 novembre).

Avec Fredrik Brattberg, nous travaillons aussi à la prochaine création, un dyptique pour la scène composé de

Retours

et d’une autre pièce exploitant le même décor,

Voyage d’Hiver

. Une tournée en Norvège s’organise (Festival International de Porsgrunn, Dramatikenhus à Oslo).

Chaque année, des ateliers sont animés, en collaboration avec le Rectorat, l’Université (Rouen, Caen), des théâtres (Préau de Vire, Ephéméride de Val-de-Reuil, TGP de Saint-Denis), mais aussi des associations de quartier, des maisons de retraite, des centres de détention, des structures en charge du mieux-vivre de personnes en situation de handicap.

La Divine Comédie

est soutenue par la DRAC, les collectivités (Ville de Rouen, CG Seine Maritime, CR Haute Normandie, des sociétés civiles (ADAMI, JTN, SPEDIDAM, Institut Français..).

6

Les artistes du projet

Fredrik Brattberg, auteur

Dramaturge et compositeur, Fredrik Brattberg (née en 1978, Porsgrunn, en Norvège) a fait ses débuts en 2008 sur la Scène des étudiants d'Oslo avec le jeu Il Knocks, Amadeus / Det Banker, Amadeus. Il a participé au Festival norvégien des dramaturges à Oslo deux fois avec

visite à la famille

(2009), une pièce de théâtre sur les préjugés dans laquelle une famille norvégienne invite un musulman à dîner, et en 2011 avec sa comédie noire

Retours

, pour lesquels il obtient le prix Gledesglasset par la Guilde des Ecrivains (Dramatikerforbundet), puis par le prix Ibsen 2012. À l'été 2011, Il participe au Festival des nouveaux auteurs de théâtre de Copenhague avec

retours

. Sa dernière pièce,

Monsemann

a été créée au prestigieux théâtre Dramatikkens Hus à Oslo.

Valérie Blanchon, la Mère

Après sa formation au CNSAD (promo 1993), elle joue sous la direction de Philippe Adrien, Agnès Bourgeois, Frédéric Fisbach, Jean pierre Vincent, Alain Françon, Richard Sammut, Aurélia Guillet, Stanislas Nordey, Wajdi Mouawad, Adel Hakim, Jean-Claude Fall, Yves Beaunesne, collectif T.O.C, Judith Depaule, Christian Colin, Myriam Marzuki , Michel Didym, Sophie Lecarpentier... Elle met en scène et adapte

: Journal d’une autre

de Lydia tchoukovskaïa ,

D’une communauté l’autre

Nadéjda, Ossip Mandelstam et Anna Akhmatova, Duras avec le « Groupe D »,

planche et une ampoule

et de

Aurélia Steiner

de

La chasse au Snark

de Lewis Caroll,

Essais 1.2.3

avec Frédéric Fisbach.

Une

Sylvain Levitte, le Fils

Après sa formation au CNSAD (promo 2012), il joue avec Declan Donnellan (

Andromaque

,

Ubu

), Jorge Lavelli (

le garçon du dernier rang

), Jacques Vincey (

la Nuit des Rois

), Denis Podalydès (

Dans la foule

), Julie Brochen (

La petite renarde rusée

, l’Odéon dans

le Cadavre vivant Les Fausses Confidences

), et sera en 2014 à , par Luc Bondy. Il est également metteur en scène de chantiers au Conservatoire et présentera prochainement une forme pour 2 acteurs sur Hamlet au JTN.

Magne Havard Brekke, le Père

Comédien norvégien à la très belle carrière internationale, Magne Håvard Brekke a quitté son pays tout jeune pour étudier en RDA. Il travaille avec Frank Castorf, Christoph Marthaler, Dimitri Gotscheff, à la Volksbühne, et voyage entre l’Angleterre, la Norvège, la France, pour le théâtre (récemment dans

La Mouette

par Bélier Garcia, repris à Nanterre en septembre 2014) et le cinéma (

Un amour de jeunesse

). Il est aussi chanteur (Maison de la Poésie, novembre 2013).

7

Le comité de lecture

Tormod Lindgren, scénographe

Après l’ENS Des Arts Décoratifs – Oslo, puis le Central Saint Martin College of Art and Design – Londres, Tormod Lindgren travaille depuis 10 ans comme scénographe, costumier, vidéaste, graphiste et constructeur de marionnettes (théâtre et danse). En France, il crée cent costumes pour les

Palatins

de Rameau (Montalvo / Hervieu, Châtelet).

En Norvège, il travaille avec Kjersti Alveberg et Emilia Adelöv (danse) et dans tous les principaux théâtres (National Theatre Ibsen de Skien, Black Box Theatre d’Oslo, au Grusomhetens teater, Théâtre National d’Oslo, Festival de Bergen, Nordland Teater. Tormod a eu le prix Hedda 2008 de scénographie, pour le spectacle de danse collabore sur

@lice

. Il collabore avec des artistes des deux pays, en théâtre avec Jörn Riegels Vimpel, Agder Teater, Terje Skonseng, Erik Dæhlin, Franzisca Aarflot, et sur toutes les créations de Lars Øyno, en danse, avec Sylvain Groud, Hege Haagenrud, Edwine Fournier, en opéra,

Partage de Midi

,

Fjeldfuglen La Princesse Maleine

et de Ibsen (première mondiale), par Lars Øyno (Prix Hedda 2009, ”évènement théâtral de l’année”). Avec Jean-Christophe Blondel, il

Solness

.

Solveig Schwartz, traductrice

Franco-norvégienne,traductrice, lectrice de langue et de littérature norvégienne à la Sorbone Paris IV, elle a traduit, pour le théâtre :

Le Canard Sauvage

, Henrik Ibsen (spectacle de Yves Beaunesne),

Solness Constructeur

du même auteur pour J.C. Blondel. Elle réalise aussi des traductions d’extraits des pièces repérées par notre comité de lecture.

Elle traduit aussi des documentaires pour Cinétévé et Bellota Films : -

The Shadow fighters

, sur les résistants de la 2 nde Guerre Mondiale

Le Nouveau Cinéma Scandinave Les Ecrivains de l'Exil

8

Fiche technique

FICHE TECHNIQUE RETOURS FREDRIK BRATTBERG Equipe de tournée : 3 acteurs + 1 metteur en scène/régisseur général Contact : JC Blondel, [email protected]

, +33 6 60 82 74 30 -

Espace de jeu

L’espace de jeu est soit un appartement, soit un espace qui permet de reconstituer un appartement Les caractéristiques nécessaires au jeu sont les suivantes : mobilier a minima : un canapé, une table où il est possible de prendre des repas, 3 chaises, une table basse ou meuble télé + télé, en état de marche (ou à la rigueur produisant, lorsqu’elle est allumée, un effet « neige » accès : un accès vers la porte d’entrée, un accès vers une porte de chambre ou 2, une fenêtre accessible donnant v ers l’extérieur cuisine : prévoir soit un accès vers une cuisine (réelle ou fictive), soit une cuisine américaine avec réfrigérateur et appareil de cuisson et évier avec eau courante s’il n’y a pas de cuisine (et seulement un accès vers une cuisine fictive ), prévoir un lieu proche du lieu de représentation où il est possible de cuisiner, de stocker des aliments dans un réfrigérateur, et de faire la vaisselle

Lumières

L ’ensemble de l’appartement sera éclairé par les lumières d’habitat de l’appartement.

Si un appartement est recréé, la reconstitution doit inclure un ensemble de lumières (lampadaires, lampes posées sur des meubles, plafonnier etc) recréant une lumière d’habitat réaliste, sans projecteurs de théâtre.

Eléments fournis par la compagnie

La c ompagnie apporte l’ensemble des costumes, des accessoires de la vaisselle nécessaire à la représentation. Elle n’apport aucun élément de décor La compagnie apporte les ingrédients et accessoires nécessaires à la préparation quotidienne des plats nécessaire s à la réalisation du spectacle. Il est nécessaire d’avoir un lieu pour préparer ces repas.

9

Son

La compagnie n’a besoin d’aucun système de diffusion du son

Costumes

Nous arrivons avec 3 costumes à laver et à repasser en cas de série de 2 dates ou + repré sentations consécutives ou plus. Feuille d’entretien transmise à notre arrivée.

Loges-Catering

Prévoir deux loges pour une équipe de 3 acteurs. Merci de fournir un catering pour 4 personnes (fruits, biscuits, charcuterie, fromage) ainsi que de l’eau minér ale.

-

Un mois minimum avant la représentation

Prévoir une visite de deux heures pour valider l’organisation du lieu, en présence du directeur artistique, d’un membre du théâtre et du propriétaire.

pour un lieu reconstitué, prévoir un technicienx avec un véhicule utilitaire sur une journée (maximum) pour réunir le mobilier et l’éclairage nécessaires. Si le théâtre ne dispose pas des éléments convenant à l’équipe artistique, prévoir un budget de 500 euros maxi (sur facture) pour l’acheter en brocante.

Implantation

Pour un lieu reconstitué : prévoir une journée d’un technicien sur place la veille (ou avant) pour l’implantation du décor, des lumières, de la régie des accessoires.

Entrée dans les lieux par l’équipe des acteurs : au plus tard le matin de la représentation à 10h pour une représentation en soirée.

-

Transport et hébergement

préparation, repérage : remboursement des AR et défraiements nécessaires (1 ou 2 AR au départ de Paris) Transport équipe + costumes et accessoires : 4 AR au départ de Paris Hébergement p endant l’implantation : 2 déf. + 1 nuitée si plus de 50km de Paris Hébergement et défraiement de l’équipe : si plus de 50km de Paris, 8 défraiements et 4 nuitées par date de représentation en cas de série ; si moins de 50 km de Paris, prévoir des AR quotidiens.

10