BSV - DRAAF de PICARDIE

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27 mai 2014
 BLE : Epiaison à floraison. Rouille jaune toujours très présente, septoriose en progression, peu de
ravageurs.
 ORGES D’HIVER : Situation sanitaire très hétérogène au stade remplissage des grains.
 ORGES DE PRINTEMPS : Tous premiers épis, peu de maladies / ravageurs.
 LIN TEXTILE DE PRINTEMPS : Conditions propices à l’oidium.
 POIS : Cécidomyies et pucerons verts à surveiller. Pièges tordeuses du pois à mettre en place.
 FEVEROLE : Présence généralisée des pucerons noirs.
 MAIS : Adventices et pucerons à surveiller.
 BETTERAVE : Pas d’évolution du parasitisme. Stade 6 feuilles vraies à 80 % de couverture.
BLE
STADE : Début épiaison à floraison
31 parcelles ont été observées cette
semaine. 8 parcelles sont en cours
d’épiaison, 22 parcelles sont en floraison et
1 parcelle est au stade grains formés.
Stade du blé au 27 mai
60%
55%
53%
50%
40%
30%
20/05/2014
25%
23%
20%
27/05/2014
16%
16%
10%
3%
3%
3%
3%
0%
Dernière Début à mi- Fin épiaison Début à mi- Fin Floraison grain formé
feuille étalée épiaison
floraion
Septoriose
La pluie régulière de ces derniers jours continue de provoquer des contaminations. Les symptômes progressent toujours
sur les 3 derniers étages foliaires. Les contaminations du début du mois de mai commencent à s’extérioriser, en
particulier sur F2 voire sur F1.
89 % des parcelles du réseau présentent des symptômes :
•
•
•
Sur F3 : 89 % des parcelles (contre 80 % la semaine dernière) avec une fréquence moyenne de 50 %
Sur F2 : 74 % des parcelles (contre 43 % la semaine dernière) avec une fréquence moyenne de 42 %
Sur F1 : 37 % des parcelles (contre 13 % la semaine dernière) avec une fréquence moyenne de 38 %
1
Simulation des modèles : les simulations du modèle confirment les observations réalisées : des symptômes sont visibles
sur la F1 pour les semis précoces et, pour le poste d’Abbeville, plus maritime, les symptômes commencent à apparaître
sur F1 également pour les semis tardifs.
2
Beauvais
Altigo 10/11
Bermude 1/10
F1
F1
F2
F2
F3
F3
F4
F4
Semis précoces : Floraison.
Contaminations sur toutes les feuilles. Sortie des premiers
symptômes sur F1.
Semis tardifs : Epiaison.
Contaminations sur toutes les feuilles. Sortie des symptômes
sur F2, F3 et F4.
Estimation au 27/05 + prévision météo jusqu’au 02/06
Graphique épidémiologique de contaminations septoriose (Arvalis)
Seuil de nuisibilité septoriose :
A partir du stade 2 nœuds (F2 définitive pointante), 20 % des f3 du moment touchées sur variétés sensibles, 50 % sur
variétés tolérantes.
Rouille jaune
Les conditions climatiques sont toujours favorables à la rouille jaune. La maladie continue son développement de
manière jamais vue. La vigilance reste de mise. Notons que la rouille jaune est même susceptible de passer sur épis,
les glumes étant considérées comme des petites « feuilles » susceptibles d’être attaquées. La sporulation apparaît
généralement à l’intérieur de la glume.
Cette semaine, des symptômes sont signalés dans 15 parcelles sur 26 notées :
Attaque forte à très forte jusque sur F1 :
Joker, Alixan (x2), Expert.
Attaque moyenne :
Boregar, Ambition, Trapez, Rubisko, Alixan, Pakito (x2), Allez Y, Bergamo, ALtigo.
Attaque faible (moins de 10% des 3 dernières feuilles touchées) à nulle :
Tobak, Bermude (x3), Rubisko (x2), Boregard, Joker, Selekt, Barok, Cellule, Bergamo.
Seuil de nuisibilité Rouille Jaune :
=> à partir du stade 1 nœud, présence des premières pustules dans la parcelle.
Rouille brune
Les températures assez fraîches pour la saison ne sont pas favorables au développement de la rouille brune. Des
symptômes sont cependant signalés dans 6 parcelles du réseau, 3 parcelles étant très touchées avec 50 à 100% des
3 dernières feuilles atteintes (Boregar, Expert et Pakito).
3
Seuil de nuisibilité Rouille Brune à partir du stade 2 Nœuds :
=> Dès apparition des pustules sur l’une des 3 feuilles supérieures.
Fusariose
Beaucoup de parcelles sont ou vont bientôt atteindre le stade de plus forte sensibilité aux fusarioses : le début
floraison. Le stade floraison correspond à la sortie des étamines, porte d’entrée des champignons, c’est donc au
début de ce stade qu’il faut évaluer le risque. A partir de mi floraison il est trop tard ce qui est déjà le cas sur les
quelques parcelles les plus avancées. Les conditions climatiques des jours suivants auront seulement une incidence
sur le développement plus ou moins important de la maladie en cas de contamination.
En situation à risque agronomique élevé, les pluies qui encadrent ce stade sont très importantes dans la détermination
du risque. En effet, les fusarioses se développent préférentiellement en présence de fortes humidités. Les conditions
climatiques actuellement pluvieuses sont donc favorables au développement de la maladie en situation à
risque. En situation à risque agronomique faible ou nul, les pluies ont peu d’incidence sur le niveau de risque comme
le montre le tableau ci dessous.
Les températures ont également une influence sur le développement des champignons : Fusarium graminearum est
favorisé par les températures élevées (20 à 30°) alors que Microdochium sp. (M. Nivale en particulier) est favorisé par
les températures inférieures à 18°C.
Grille d’évaluation du risque d’accumulation du déoxynivalénol (DON)
Cette grille a évolué depuis l’année dernière avec la prise en compte du climat autour de la floraison. La
nouvelle grille estime ainsi le risque DON de 1 (faible), à 7 (fort) avec un gradient de risque climatique (cumul de
pluie autour de la floraison).
Variété sensible : note DON inférieure ou égale à
3.5
Variété peu sensible : note DON > à 5.5.
parcelles à risque.
4
3 parcelles du réseau présentent des symptômes de rhizoctone avec 5 à 10%
des pieds touchés. Les attaques, en général ponctuelles et superficielles, ne
nécrosent que très partiellement la section de la tige et ne génèrent pas ou
peu de perte de rendement.
Rhizoctone
G. Blanchard – CEF France
Rhizoctone
Ravageurs
Les pucerons des épis sont encore très peu présents. Sur les 18 parcelles notées, les 2/3 sont totalement
indemnes dans les témoins non traités. Dans les 6 parcelles colonisées le pourcentage d’épis touchés va de 0,5% à
15% pour une moyenne de 5% bien inférieure au seuil de 50% d’épis colonisés.
Seuil de nuisibilité pucerons :
=> 1 épi sur 2 colonisé par au moins 1 puceron du stade floraison, au stade grains laiteux-pâteux.
Des larves de criocères (lémas) sont plus régulièrement observées cette semaine. Sur 19 parcelles notées sur ce
ravageur, seules 3 sont indemnes. La moitié des parcelles ne présente toutefois que quelques traces de morsures
anecdotiques. Sur 6 parcelles les dégâts sont beaucoup plus visuels tout en restant en dessous des niveaux
d’attaques pouvant potentiellement impacter le rendement.
Des mineuses commencent également à être observées plus régulièrement. Sur 11 parcelles notées 2 sont
indemnes, 5 présentent des dégâts anecdotiques, et plus régulièrement pour 4 parcelles. Ce ravageur est toutefois
réputé non nuisible.
L’année n’aura pas été favorable du tout aux cécidomyies des épis. Les parcelles les plus avancées sont de moins
en moins exposées à ce risque après la floraison et les vols restent quasiment nuls. Sur 14 parcelles notées, seules
4 présentent un ou plusieurs individus en cuvette jaune avec 0,6 adultes piégés par jour (maxi 1) le seuil de nuisibilité
étant de 10 adultes piégés par jour. De plus les conditions climatiques ne sont pas très favorables aux pontes (temps
chaud et calme en soirée).
ORGE
Orge d’hiver
Les parcelles les plus avancées arrivent au stade pâteux au delà duquel les maladies font moins de dégâts. Les plus
tardives sont au stade fin floraison – début de formation des grains. Même si on a dépassé les stades limites
d’utilisation des seuils de nuisibilité maladies, la poursuite des observations en post épiaison permet d’observer
la concrétisation du développement des maladies. Sur 11 parcelles observées on note toujours une forte
hétérogénéité entre parcelles sans lien avec les variétés. La rhynchosporiose domine toujours avec plus
ponctuellement des attaques de rouille naine, d’helminthosporiose, ou de ramulariose, désormais associés à des
symptômes de grillures dans 3 parcelles.
Orge de printemps
Les 7 parcelles observées cette semaine n’ont pas beaucoup avancé en moyenne mais les écarts de stades sont
importants avec une parcelle encore au stade 1 noeud et l’autre à mi épiaison.
La situation sanitaire est globalement saine, mais une parcelle de Sébastian atteint le seuil de nuisibilité sur
rouille naine avec 20 et 40% des F2 et F3 touchées, associé à de l’oïdium sur F3.
Coté ravageurs, 3 parcelles présentent des dégâts de lémas mais non nuisibles aux niveaux d’attaque observés.
5
LIN TEXTILE
Stades
Grande diversité de stades dans les parcelles constituant le réseau : de 30 cm à plus 70 cm. La moyenne se situe à
45-50 cm.
Les défauts de structure se font toujours ressentir dans certaines parcelles, qu’ils s’agissent d’accidents de cette
année ou d’années antérieures.
Quelques exemples de stades et de prévision de date de floraison
Oïdium
Un premier cas d’oïdium signalé dans le réseau cette semaine à Nouvion en Ponthieu.
D’autres cas d’oïdium sont signalés dans les départements limitrophes (Seine Maritime et Pas de Calais) notamment
sur des parcelles stressées par des défauts de structure.
La surveillance s’impose donc cette semaine dans ce contexte.
. Rappel du seuil de nuisibilité : apparition des premières étoiles. La surveillance s’impose jusqu’au stade mi
floraison.
Insectes
Aucune activité signalée cette semaine d’autant plus si la météo reste tout aussi agitée.
POIS PROTEAGINEUX
Stades pois de printemps : début floraison.
Cette semaine, 11 parcelles de pois de printemps ont été observées.
Mildiou
Le contexte climatique est favorable à l’expansion du mildiou. Deux parcelles de pois de printemps présentent des
symptômes de mildiou :
dept
02
80
Commune
Juvincourt et Damary
Boussicourt
sur feuillage supérieur
15 %
30 %
sur feuillage inférieur
100%
Les symptômes de mildiou doivent être surveillés, depuis le stade 9 feuilles jusqu’à la fin du stade limite
d’avortement (FSLA) pour les contaminations secondaires.
La nuisibilité du mildiou sur les cultures de pois protéagineux est généralement faible et négligeable. Il
n’existe pas de seuil de nuisibilité pour cette maladie.
6
Anthracnose du pois
Arvalis
Anthracnose du pois
Les conditions climatiques, très humides, de la semaine dernière, sont favorables
à la contamination.
Les symptômes d’anthracnose doivent être surveillés :
- depuis la levée jusqu’à la fin du stade limite d’avortement (FSLA) pour les pois
d’hiver ;
- depuis le stade 9 feuilles jusqu’à la fin du stade limite d’avortement (FSLA) pour
les pois de printemps.
Cécidomyie du pois
Le stade de la culture est encore sensible aux attaques de cécidomyies, mais la météo n’est toujours pas favorable
au vol des insectes. Aucune cécidomyie n'a été observée pour le moment dans les boutons floraux. Le risque
est accentué pour les parcelles jouxtant d’anciennes parcelles touchées par ce ravageur. Pour détecter leur
présence, le plus simple est de pincer légèrement les boutons floraux puis de les ouvrir pour dénombrer les
éventuelles cécidomyies écrasées.
Le seuil de nuisibilité est de 1 cécidomyie en moyenne par bouton floral.
Pucerons verts du pois
Cette semaine, la totalité des parcelles présentent des pucerons verts, avec de 1 à 10 pucerons par pieds. Il n’y a donc
pas dépassement du seuil de nuisibilité. Il faut rester vigilant en cas de remontée importante des températures.
Afin d'estimer la population présente de pucerons verts, il convient de placer un support blanc rigide (feuille A4) dans la
végétation et secouer le feuillage. Puis de dénombrer les pucerons sur le support blanc. L'opération doit être renouvelée
une dizaine de fois, afin d'obtenir un nombre moyen de pucerons verts par pied de pois.
Le seuil de nuisibilité est de 30 pucerons verts par pied, entre le début de la floraison et fin floraison (méthode
support blanc). Ce seuil de nuisibilité doit également prendre en compte la vitesse d’expansion de la
population, le développement de la culture ainsi que la présence d’auxiliaires.
Tordeuse
Les vols de tordeuses sont surveillés grâce à l’utilisation d’un piège à phéromones. Le stade "Début Floraison" marque
le moment de les mettre en place.
Les premières captures de tordeuses du pois sont enregistrées dans le réseau. Toutefois, les écarts de captures
peuvent être très différents d’une parcelle à l’autre. Nous vous rappelons que le raisonnement de la nuisibilité s’effectue
à la parcelle et se base sur les cumuls de captures par piège au stade requis.
Tordeuses du pois : cumuls des captures au 27 mai 2014
dept
02
02
80
80
Commune
Juvincourt et Damary
Ste Erme
Boussicourt
St-Sauveur
Captures
52
75
132
40
Cumul
84
75
132
40
Les seuils ne sont utilisables qu’à partir du stade gousses plates du 2ème étage fructifère :
- 400 captures cumulées en pois protéagineux ;
- 100 captures cumulées en pois jaunes ;
- 50 captures cumulées en pois de semences.
7
FEVEROLES DE PRINTEMPS
Stades : début
floraison pour les pieds les plus avancés
Cette semaine 9 parcelles de féveroles de printemps ont fait l’objet d’observations.
Les pucerons noirs qui étaient déjà signalés la semaine dernière
sont présents dans toutes les parcelles du réseau.
Les pucerons sont observés soit sous forme de petites colonies
soit sous forme de manchons.
Les niveaux des attaques sont variables et s’étalent de 1 à 20 %
des plantes portant des manchons.
La présence de coccinelles montre que la prédation naturelle est
active.
Nous vous rappelons que le seuil de nuisibilité du puceron
noir est atteint lorsque plus de 10 % des plantes sont
porteuses de manchons (un manchon est constitué de
pucerons accolés sur au moins 1 cm).
Pucerons noirs et anthracnose
( photo Martine Roux Duparque )
Pucerons
Des bruches adultes sont déjà présentes. Ces observations ne présagent rien quant aux risques à venir. En
effet la bruche provoque des dégâts lorsqu’elle pique les jeunes gousses et l’activité de cet insecte est d’autant
plus important que les températures sont supérieures à 20°c.
Nous vous rappelons que l’évaluation du « risque Bruche » se fait à partir du stade « premières
gousses de plus de 2 cm ».
Auxiliaires
Parallèlement au développement de ces premiers pucerons, des coccinelles adultes ainsi que des larves de syrphe
sont présentes et actives.
Maladies
Des symptômes de mildiou ont été observés sur une parcelle du reseau.
Il n’existe pas de seuil de nuisibilité connu du mildiou sur la féverole.
Des taches d’anthracose sont déjà signalées en particulier sur des parcelles très touchées par les pucerons noirs
depuis plusieurs semaines.
Il n’existe pas de seuil de nuisibilité de l’anthracnose sur la féverole.
MAÏS
Stades : de 3 à 6 feuilles
Cette semaine, 6 parcelles de maïs ont été observées.
Ravageurs de la graine et de la jeune plante
Pas d’observations particulières. Pas de remontée d'information concernant les autres ravageurs (dont le taupin) de
la graine et de la jeune plante.
Mouche des semis :
Des dégâts de mouche de semis ont été observés dans plusieurs parcelles (hors réseau BSV) en Nord-Pas-deCalais, Picardie et Haute-Normandie.
Ces dégâts s'observent le plus souvent dans des parcelles avec destruction tardive du couvert hivernal (moutarde)
et/ou apport tardif de fumier.
8
Visiter vos parcelles pour contrôler la densité de plantes (ainsi que le stade des
adventices !). Si la densité de plantes restantes est faible, la décision de
ressemer peut-être prise. Cette décision se prendra en fonction de la densité, du
stade, de la destination, de la date de la décision... Chaque cas étant un cas
particulier, prendre contact avec votre technicien pour en discuter.
Mouche des semis
(Arvalis).
La mouche est attirée par la matière organique fraiche en cours de décomposition.
La larve s'installe dans la graine et la détruit. On observe un manque à la levée et
une baisse de densité qui, dans les situations les plus graves, obligent à un ressemis
de la parcelle.
Pucerons
Absence, mais à surveiller.
Adventices
Levée en cours.
Limaces
Avec les précipitations de ces derniers jours, les limaces sont à surveiller. Pas de dégâts signalés. Situations à
risques : sols motteux, parcelles en bordure de bois, de haie, ou de culture attractive (colza,…), présence de résidus
végétaux en surface.
Le seuil de nuisibilité est de 5 à 10 limaces /m² de la levée jusqu'au stade 6 feuilles.
BETTERAVES
Ravageurs
Sur les 3 départements Picards, on observe toujours la présence de pucerons noirs ailés et aptères peu vecteurs
de la jaunisse.
Dans la Somme sur le site de Vismes au Val, 75 % des betteraves portent toujours des pontes de pégomyies à la
face inférieure des feuilles. Il n’y a pas d’évolution des galeries et « asticots ».
Avec 6 % de plantes atteintes, le niveau reste en dessous du seuil de nuisibilité de 10% de betteraves avec
galeries et présence d’asticots ainsi que de nombreuses plantes portant des œufs.
Les vols de papillons de teignes se poursuivent dans l’Aisne et l’Oise, cette semaine les premières captures sont
observées dans la Somme sur le site de Berny en Santerre, aucune chenille n’est observée dans le cœur des
betteraves pour le moment.
Bulletin édité sur la base des observations réalisées par les partenaires du réseau Picardie : Acolyance, Agora, Arvalis, Asel, Bayer Cropscience, Bully Grains, Calipso, Calira, Capseine,
Capsom, CFA Le Paraclet, CER France 60, Cerena, les CETAS 02, les CETAS 80, Cetiom, Chambres d’Agriculture de l’Aisne, de l’Oise, de la Somme, Chambre d’Agriculture d’Ile de
France, Ets Charpentier, Ets Compas, Coop de Milly sur Thérain, Ets Bitz, FREDON Picardie, FREDON Nord Pas de Calais , Inra, ITB 02-60-80, Maison familiale de Villers Bocage, Noriap,
Sanaterra, St Louis Sucre, Tereos, Ternoveo, Textilin, Ucac, Unéal, Valfrance, Vivescia, Van Robaeys Frères, le SRAL Picardie M. Alain BECUE, M. Arnaud COLIN, Mme Marie DECAUX.
Bulletin rédigé par les animateurs régionaux des filières : Céréales : F. Dumoulin - Chambre d’Agriculture de l’Oise et E. Gagliardi - Arvalis Institut du Végétal. Colza : A. Vanboxsom –
Cetiom. M. Roux Duparque – Chambre d’Agriculture de l’Aisne. Maïs : V. Duval - Fredon Picardie et B. Carpentier - Arvalis Institut du Végétal. Protéagineux : V. Duval - Fredon Picardie et
A. Tournier - Chambre d’Ag. de l’Aisne. Lin : H. Georges - Chambre d’Ag. de la Somme et F. BERT – Arvalis. Betteraves : Ch. Chatain – Chambre d’Ag. de l’Oise et T. Leclerc- ITB 80.
Luzerne : T. Leroy – Chambre d’Ag. de la Somme
Directeur de la publication : Christophe BUISSET - Président de la Chambre Régionale d’Agriculture de Picardie - 19 bis rue Alexandre Dumas - 80 000 AMIENS Tél. : 03 22 33 69 00 Fax:
03 22 33 69 99
Publication gratuite, disponible sur les sites Internet www.draaf.picardie.agriculture.gouv.fr et www.chambres-agriculture-picardie.fr - Chambre d’Agriculture de Picardie –
Coordination et renseignements : Renée PREVOST - Tèl : 03 22 93 51 20 - E-mail : [email protected]. Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec
l’appui financier de l’Office national de l'eau et des milieux aquatiques, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto
2018.
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