Nouveau plan social en France chez Schneider Electric !

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Sections CFDT Groupe Schneider Electric – Novembre 2014
Nouveau plan social en France
chez Schneider Electric !
Schneider lance un PSE sur l’activité ‘’postes préfabriqués’’
(postes bocages). Après le Plan de Sauvegarde de l’Emploi ( plan Social) de GSC EMEA Produits (juin 2014),
c’est de nouveau 143 emplois industriels en France qui sont supprimés.
Alors qu’en juin on dénombrait environ 200 personnes qui devront quitter le groupe sur le plan social de GSC, une
seconde vague de 143 suppressions de postes est annoncée. Le site de St Soupplets fermera (35 postes
supprimés). Le site de Fabrègues passera de 166 à 58, des postes actuels. Les sites de St Alban (Chambéry) et
Montoire (près de Tours) sont aussi concernés par ce PSE, avec la création de quelques postes.
Les ex-usines AREVA, ayant intégrées Schneider, payent un lourd tribu, aux restructurations pour cette fusion.
Après les fermetures de St Cyr (près de Macon), de la Pompignane (Montpellier) Petit-Quevilly (près de
Rouen), PCV Villeurbanne (près de Lyon), c’est St Soupplets (en région Parisienne) qui disparait, et Fabrègues
(Montpellier) qui peut se poser beaucoup de questions sur son devenir avec seulement 58 salariés.
Vous trouverez joint le communiqué CFDT sur ce dossier (repris par la presse nationale).
27 novembre 2014
Contacts : Rémy BOGOTTO, coordinateur CFDT groupe Schneider Electric, 06 84 64 45 30
Danielle GIRARDEAUX, DSC CFDT Schneider Electric Energy France, 06 13 44 94 99
Schneider Electric : la CFDT dénonce des « licenciements boursiers »
La direction de Schneider Electric a annoncé un plan de sauvegarde de l’emploi sur ses quatre sites postes
préfabriqués. Les deux établissements Schneider Electric Energy France (filiale du groupe Schneider, issus du
rachat d’Areva) sont plus particulièrement touchés : sur le site de Fabrègues (Hérault) seuls 58 des 166
postes pourront être conservés ; l’atelier de 35 postes de Saint-Soupplets (Seine-et-Marne), qui lui est lié, sera
fermé. Cette décision intervient alors même qu’un accord GPEC en cours prévoyait 700 embauches et n’est,
pour le moment, pas respecté.
Pour la CFDT Schneider Electric, la direction a clairement envisagé de licencier une partie des salariés qui
seraient concernés par ce plan. Les modalités de son déroulement et le calendrier de sa mise en œuvre (le
PSE concernant le site de Saint-Soupplets qui doit être bouclé en septembre prochain) ne laissent aucune
possibilité de mener à bien les reclassements.
S’il est vrai que Schneider Electric connaît des restructurations depuis plusieurs années, jusqu’à présent, les
plans sociaux organisés par la direction du groupe privilégiaient systématiquement le repositionnement des
salariés concernés. Parfois vécue difficilement car synonyme de mobilité, cette solution avait le mérite de
préserver les emplois. La durée et le processus de négociations permettaient de disposer du temps nécessaire
pour parvenir à reclasser l’ensemble du personnel.
La CFDT dénonce ces pratiques de la part d’un groupe international prospère. Elle s’inquiète
du tournant donné aux relations sociales et assumera ses responsabilités face à ce nouveau cadre.
le syndicat qui change mon quotidien - www.cfdt-schneider.com.