M - Kiosque Lorrain

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Transcript M - Kiosque Lorrain

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Abonnement
1 FR. PAR MOIS
mandat, bon ou
Paraît le
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Franco par poste
0
•
MEIRTHE
Numéro
ET
20
MOSELLE
Rédaction, Administration» 11, Place de la Madeleine - Pari» (VIII )
ORGANE DE LA SOCIÉTÉ D'ASSISTANCE AUX RÉFUGIÉS, ÉVACUÉS ET SINISTRÉS DE MEURTHE ET MOSELLE
Siège Social 35, Boulevard Baussmann, 35 — PARIS (IXe)
Bureaux ci Permanence - de iO h. à midi et je 14 à 17 h. — ii, Place de la Madeleine
Dimanche prochain, 2 juin, aura lieu la réunion mensuelle des réfugiés de Meurthe-etMoselle. SALLB DU CLUB BBLGE, £7, rue Vivienne
Avis aux réfugiés
Nous rappelons que le Comité de notre
Société a décidé d'attribuer à l'avenir, —et pour autant que ses disponibilités le lui
permettront, — aux familles réfugiées de
Meurthe-et-Moselle, en plus des secours
ordinaires en nature1 une allocation spéciale en espèces, à l'occasion des naissances.
Pour le premier et le deuxième enfant,
cette allocation est de 10 francs; elle est
portée à 15 francs pour le troisième et à
20 francs pour le quatrième et les suivants.
Les demandes doivent être adressées à
notre permanence accompagnées du livret
de famille ou d'un bulletin de naissance.
(Ces pièces sont rendues.) Ne pas oublier
dans les lettres de rappeler la localité
habituée avant la guerre.
La reconstitution
des régions dévastées
Du contact permanent que nous entretenons avec les réfugiés, nous avons souvent
recueilli l'impression que pour une notable
partie, si les questions intéressant leur situation présente retiennent toute leur attention, il n'en est pas de même pour celles,
combien plus importantes encore, qui se
poseront au lendemain de la paix. Il serait
déplorable que d'une façon générale, il en
fut ainsi.
Les habitants des régions dévastées ne
doivent pas distraire leur pensée de la tâche qui leur incombera après la guerre. En
relevant leurs ruines, non seulement ils
reconstitueront leur propre patrimoine,
NANCY
mais ils redonneront à l'ensemble de nos
Dans la police
pays anéantis l'essor d'autrefois sur les
M. Reboulleau, commissaire de police à
bases nouvelles ordonnées par le progrès.
Montmorillon (Vienne), est nommé commisCertes, le problème est vaste et sa sosaire spécial de police sur les chemins de
lution ne peut être obtenue qu'au prix des
fer de l'Est à Nancy en remplacement de
efforts de tous. Cependant il se pose dans
M. Lucchini, qui a reçu une autre destinatoute sa réalité et ses difficultés qu'il y a
tion.
lieu de surmonter. Ce n'est pas en l'écarL.es colonies scolaires
tant de son esprit qu'on le résoudra, il faut
uu bien être social ou à l'esthétique .
y penser dès maintenant.
Lors des évacuations de février et mars
Ce sera le rôle des organismes compé« L'Etat nous apportera son aide », nous
derniers la municipalité de Nancy a créé
tents. Déjà à Nancy, sous le patronage de la
dit-on. Evidemment, mais comment se tra- J
Ainsi que nous l'avons annoncé, les (deux centres de colonies scolaires; l'un en
Société
Industrielle
de
l'Est,
s'est
formé
le
duira ce concours!* La loi de réparation des k
Ille-et-Vilaine, l'autre dans le Calvados.
« Comité de reconstitution des régions convois de rapatriés arrivent à nouveau J
dommages de guerre, depuis trois ans sur (
La colonie d'Ille-et-Vilaine arrivée à Diéprouvées par la guerre : Meurthe-et-Mo- à Evian depuis le 21 mai. Voici les dépêle chantier parlementaire, n'est pas encore J
nard, le 27 février, est répartie en quatre
ches
reçues
de
notre
correspondant
:
selle, Meuse et \ osges » et nous voudrions
votée. Elle le sera prochainement, espé- s
groupes : Dinard (Hôtel Royal), 480 lilles;
Premier convoi.
voir tous les sinistres s'inspirer des remarrons-le avec tous les intéressés qui récla- 1
Arrivé
21
au
soir
—
648
rapatriés
de
Lille
JOinard (Hôtel Emeraude, 130 garçons;
quables études qu'il publie dans son organe
ment instamment ce vote par le canal de 1
et
environs,
venant
de
la
province
de
Liège,
iSaint-Lunaire (Hôtel Plage), 250 garçons;
mensuel, La Reconstruction Lorraine. iNos
leurs associations. Les sinistrés seront in- 1
Direction : Savoie.
îSaint-Lunaire (Hôtel du Colfe), 140 garçons.
réfugiés sont donc assurés de trouver les
Deuxième convoi.
deinnisés des idommages matériels qu'ils 1
Le convoi d'enfants à destination du Calconseils nécessaires et dès à présent, tous,
Arrivé 22, au matin — 630 habitants de ^vados est arrivé à Ouistreham, le 12 mars.
auront subis; en principe, l'Etat leur four- i
sans
exception
doivent,
à
notre
sens,
s'intél'arrondissement de Valenciennes, venant de la jDès le 15, les centres étaient ainsi pourvus :
nira les moyens pécunaires pour réparer ;
resser aux importantes questions de l'après- porvince de Liège. Direction : Savoie.
7*
ces dommages, pour remettre les choses 1
351
garçons à Ouistreham et Villers-surTroisième convoi
*
guerre.
dans la situation où elles étaient avant Fin- é
1Mer; 287 filles à Courseulles, Bernières et
Arrivé
22
au
soir
—
6Ô2
rapatriés
du
Nord,
Les circonstances auront créé parmi eux
vasion ennemie. Gela est acquis, on peut le
152 élèves des écoles libres à
du Pas-de-Calais et de l'Aisne, venant de la Deauville;
1
1un état d'esprit favorable à l'accession des
dire, mais il convient plus que jamais en
Houlgate,
soit en tout 790 enfants.
province de Liège. Direction Yar.
J
idées nouvelles. 11 aurait été dillicile autreQuatrième convoi
cette circonstance de ne pas oublier le mot 1
L'état de santé de tous ces enfants est
fois, sinon impossible, de rallier bon nom- j Arrivé 23 au matin — 675 habitants de
du fabuliste La Fontaine : « Aide toi, le
fexcellent. Il y eut naturellement au début
bre d'entre eux à certains changements » Roubaix, Tourcoing, partis de la province
quelque peu de nostalgie, mais à présent
Ciel t'aiderai »
profonds des ■ coutumes et des mœurs an- j de Liège, direction Var.
On ne peut rien faire sans argent, c'est 1
tout va bien.
crées par l'habitude, cette seconde nature, '
vrai, mais il n'est pas suffisant de faire, il <
Gendarmerie
s'ils n'avaient été brusquement transplan- J
faut faire bien. Les espèces, pour sonnantes 1
Le
lieutenant
Mourot, commandant la
tés
dans d'autres régions à des centaines,
1
qu'elles soient, sont dépourvues de vertus
gendarmerie
de l'arrondissement de Nancy,
i
1de kilomètres du domicile que beaucoup
magiques, elles ne nous donneront pas
1
n'avaient et n'auraient jamais quitté si la' 1° Le règlement d'administration publi- vient d'être promu au grade de capitaine.
comme par enchantement, nos cités recons- J
Affecté
à Montauban il est maintenu proviguerre ne les en avait chassés. iNos popula- que réglementant les conditions d'applica- J
truites, nos pays reconstitués dans les con- i
à Nancy.
i
tions auront pu tirer de leur séjour forcé tion de la loi Basly, du 19 avril 1918, rela- soirement
ditions désirées par tout esprit clairvoyant.
I •• ïeu
dans les diverses parties de la France, des tive à la réquisition des logements au proLes difficultés de toutes sortes, dont on ne
Un incendie a détruit les ateliers et ma1enseignements précieux. Des avantages ou fil des réfugiés.
peut prévoir la portée, seront nombreuses.
2° La constitution et le fonctionnement gasins
,
des inconvénients ont été remarqués, dans
de M. Génin, entrepreneur de plomLes gens de l'Est et du Nord sont de taille
les façons de vivre ou de -travailler l'ins- de la Commission supérieure d'assistance berie et de couverture, 125, rue St-Dizier.
à les vaincre, mais ils doivent s'y pré'
tallation des habitations, l'outillage agri- aux réfugiés prévue par l'article 96 du Les
dégâts sont considérables, on les estime
parer.
cole, commercial ou industriel, et même de statut des Réfugiés, inséré au Journal Ojfi- ]à plus de 300.000 francs. Il jy a assurance.
La « renaissance » — dans le sens le plus '
certaines méthodes dont on se déclarait ciel du 17 février 1918.'
Les causes du sinistre sont accidentelles.
large du mot — des régions dévastées sera '
dans nos pays adversaires résolus. N'est-ce
Mort subite
l'œuvre 'des habitants eux-mêmes. Il ne
pas un agriculteur d'un petit village du
peut en être autrement, et c'est des initiaM. Etienne Schartz, âgé de 80 ans, jarcanton de Chambley, qui nous vantait ré1 dinier, 47, rue de la Source est décédé
tives de chacun que sortira le meilleur récemment les bienfaits de la motoculture et
subitement au café Stéphan, rue Héré.
sultat. Est-ce à dire que ces initiatives ne
L'Académie française, a élu le titulaire
qui proclamait la nécessité de procéder au
doivent pas être guidées sur un terrain
l'itat civil
du fauteuil laissé vacant par le regretté j
remembrement des terres?
compatible avec l'ensemble des intérêts
Du
12 mai.
Sénateur
de
Meurthe-et-Moselle,
M.
Alfred
Le problème, en son entier, s'impose
particuliers qui constitue toujours l'intérêt
DÉCÈS. — Pierre-Joseph Xiederbcrgcr, 3 mois,
Mézières.
aussi
à
l'étude
des
membres
des
muicipagénéral? Non. Aussi appartient-il à chaque
C'est M. René Boylesve qui a été désigné rue Saint-Nicolas, 96. — Georges Cuny, 66 ans,
sinistré de faire en quelque sorte son édu- lités : alimentation des communes en eau
forgeron, à Frouard.
au
deuxième tour de scrutin.Les autres canDu 13 mai.
cation, de réfléchir à tout ce qu'il pourra potable, égoûts, éclairage, etc..., sont des
didats étaient MM. Louis Bertrand, Joseph
NAISSANCES. — Robert-Albert Humbert, Granréaliser, lors de la reconstruction de ses questions municipales du lendemain de la
Reynach,
Henri
Welschinger,
Paul
Fort,
de-Rue, 8. — Yvonne-Marie Sorlet, rue Daubiens vers le maximum de mieux-être. Il guerre; il s'impose également aux chefs
Maurice du Plessis, Nauroy, docteur Fauvel phine, 12. — André-Henri Thiêbaut, rue de la
devra rester libre d'agir à sa guise, mais d'industrie comme à tous ceux qui peuvent
Primatiale, 10.
et Lacombe.
il est essentiel que cette liberté soit. tem- par leur situation contribuer à la vie ineil
DÉCÈS. — Joseph-Thomas Boehm, 59 ans, jarlettre
de
l'ouvrier,
et
y
aider;
il
se
pose
pérée des règles d'une discipline bien comdinier, chemin de Nabécor, 59. — Alice-Marieprise, spontanément consentie, observée enfin pour chaque sinistré, quelle que soit
Thérèse Baum, 30 ans, épouse Geoffroy, avenue
de France, 65. — Marie Durand, 44 ans, épouse
sans contrainte. En la circonstance, ce sera sa position sociale, puisque nous prétenMourlan, rue Clodion, 40. — Anne-Marie Darle cas si chacun comprend la nécessité et dons que les règles générales venant de
Le ministre des Finances a fait approuver rerer, 65 ans, veuve Routier, rue de l'Equital'intérêt "des directives préconisées par les trop loin, des intéressés directs seraient fororganisations qui auront la charge de gui- cément trop uniformes pour s'adapter aux par le Conseil des ministres un projet de tion, 61.
Du 14 mai.
'
additionnels aux douzièmes provider les sinistrés dans leur tâche de recons- vœux particuliers de chaque irégion, de '.crédits
NAISSANCE. — Georgette-Marie A dé, rue Macchaque
localité
même,
puisque
nous
estiisoires
concernant
les
dépenses
militaires
et
titution.
Mahon, 72.
Quand, poiir prendre un exemple, les mons qu'il faut en la circonstance laisser'! les dépenses exceptionnelles des services
DÉCÈS. — Henri-Albert Weinland, 2 mois, rue
une
large
place
à
l'initiative
individuelle
:
civils.
habitants d'une localité rurale admettront
Messier, 28. — Marcel-Charles Beldon, 7 ans
1
Parmi ces dernières nous relevons les et demi, rue Vayringe.
qu'il est préférable de rebâtir leur maison judicieusement éduquée et dirigée dans la
'chiffres de 36 millions pour faire face à
Du la mai.
d'après des dispositions modernes réalisant voie des bienfaits collectifs du progrès.
NAISSANCE. — Alice-Marguerite Adcnot, rue
C'est pourquoi nous aimerions voir dès l'augmentation des dépenses d'entretien des
les meilleurs règles d'hygiène et de confort,
ils n'auront aucune hésitation à suivre les à présent, tous les réfugiés s'intéresser aux évacués et réfugiés et de 27 millions pour des Quatre-Eglises, 56.
Du 16 mai.
[multiples questions de la reconstitution de , majorer de 5 francs par mois à la charge
suggestions qui leur seront données.
NAISSANCES. — Georges-Lucien Risser,
rue
'nos
pays.
Il
le
faut
si
l'on
veut
écarter
les
de
l'Etat
les
allocations
aux
vieillards,
Les avantages d'ordre pratique, matériel, '
1 solutions incomplè#is de l'imprévoyance, infirmes et incurables et aux familles nom- Henner, 7. — Andrée-Paulette-Catherine Lauseront facilement mis en lumière et recon- [
rent, rue Clodion, 67.
•
nus. Il est d'autres points où cette tâche néfastes au progrès et à la richesse que . breuses.
DÉCÈS. — Vietorine Gross, 64 ans, épouse
sera plus ardue : entre aqtres ceux qui nous réclamons tous pour nos régions na- i Lé Parlement va être saisi de ce projet Maire, rue Thierry-Alix, 7. — Charles Lambinet, 68 ans, fumiste, rue Sanjfc-Nicolas, 3.
de loi.
touchent à l'hygiène et à la santé publique, guère si prospères. — R. G.
CHEZ NOUS
Les rapatriements
On attend impatiemment ;
A I Académie française
Le fauteuil de M. Mézières
Pour les réfugiés, les vieillards
et les familles nombreuses
j
j
j
a
'
Du 17 mai.
DÉCÈS. — Berthe-Catherine-Justine Picard, 56
ans, veuve Mangenot, rue de l'Abbé Grégoire,
20. — Emile Barreaux, 40 ans, à Faulx. —
Aline Baron, 26 ans, religieuse, rue de Strasbourg, 194.
Du 18 mai 1918.
NAISSANCE. — Raymond-Henri-Albert
Hatt,
chemin des Sables ,s. n.
DÉCÈS.
— Raymond-Philippe-Georges-Marie
Datry, 1 ans, rue Saiut-Dizier, 105. — Marguerite-Henriette Paté, 88 ans, rentière, veuve Belner, rue Lothaire II, 18. — Etienne Schatz, 79
ans, jardinier, rue Jacquard, 42. — Rosalie Marchal, 80 ans, veuve Urbain, à Ludres.
PUBLICATIONS DE MARIAGE ENTRE : CharlesMarie-Camille Barbu, employé de banque, et
Jeanne-Marie Uhring, couturière, tous deux à
Nancy. — Jean-Baptiste Georges, négociant en
vins à Saint-Amand-Mout-Rond (Cher), et Marie-Alice Etienne, veuve Moulin, négociante à
Nancy. — Marcel-Jules Mollidor, ouvrier en
chaussures, et Hélène Thiébaut, ouvrière en
chaussures, tous deux à Nancy. — François
Champmartin, chauffeur au chemin de fer, et
Emma-Madeleine tlubrecht, employée au chemin de fer, tous deux à Nancy. — Henri-Emile
Prech, manœuvre à Nancy, et Elisabeth-Amélie
Philippe, ouvrière d'usine à Pont-Saint-Vincent.
— Paul René Ferry, valet de chambre, et RosaOdile-Victoire Thouvenin, ouvrière d'usine, tous
deux àNancy. — Joseph-Ernest Vautrin, parquetteur à Saint-Firmin, et Henriette-Julia-Fidéiie Aiguier, femme de chambre à Nancy. —
Emile-Jean-Pierre Cuny, dessinateur à Nancy,
Maria-Marguerite Lebon, à Nancy. — Louiset Germaine-Isabelle-Henriette Huot, sans profession à Brienne-le-Chàteau (Aube). — HenriAuguste Picase, employé des postes à Paris, et
Maria^Marguerite Lebon, à Nancy. - LouisRené-Pierre Guillaume, ébéniste, et Pauline
Magengast, ouvrière à la manufacture des tabacs, tous deux à Nancy.
JAKVIELE
Noyé
Le corps d'un soldat nommé Paul Guingot, a été retiré du canal de la Marne au
Khin, à la hauteur des Hauts-Fournaux. Il
ne portait aucune trace de blessure.
POJUt'EY
Noyé
L'ouvrier d'usine Auguste Bruant, 57
ans, a été trouvé noyé dans la Meurthe au
lieudit « Le Petit Saulcy ». On pense qu'il
sera tombé accidentellement dans la rivière
étant en état d'ébriété..
PON T-A-MOUSSON
Condamnation»
La tenancière de maison close, Marie Benoit, 42 ans, rue des Fossés et la sousdirectrice Marie-Antoine, 41 ans, ayant recélé des bouteilles de vin dérobées à Montauville pur des militaires, ont été coudantnées chacune à 50 francs d'amende par le
tribunal correctionnel de Nancy.
Marie Georges, 44 ans dactylographe,
avenue de Metz, Léonie Boisseau, femme
Langlais, 48 ans, rue des Carmes et une
jeune tille de lb ans, coupables d'avoir recélé du linge dérobé dans le logement Théobald, ancien sous-direeteur d'une usine,
sujet allemand mobilisé dans les arméesi
ennemies, se sont entendues condamner à,
six jours de prison avec sursis.
Accroloyie
M. Devilliers, mécanicien, marchand de1
cycles, rue Saint-Laurent, mutilé de la,
guerre, actuellement surveillant général du.
cours des apprentis ïoulois, et Mme née
Toussaint, litle du conseiller municipal de
Toul, viennent d'avoir la douleur de perdre leur jeune fils décédé récemment en
■
cette ville.
TOUL
Mort d'un héros américain
Le major américain Raoul Lulberty a été
tué dimanche soir dans un combat avec un
triplace allemand au-dessus des lignes américaines, près de Toul.
Décoré de la croix de guerre, des médailles militaires française et anglaise et de
!
Vi Légion d'honneur, il avait a son actif
dix-huit victoires aériennes. 11 a reçu la
sépulture dans un petit village du Toulois.
LE OUUlUGli «iit,OAll»_i.\!s„
Sur rapport du ministre de l'Intérieur, le
président de la République a accordé 'les
distinctions suivantes aux personnes ci-dessous qui ont accompli des actes de courage
et de dévouement :
Médaille d'argent de lre classe. — M. Balland
(Marie-Joseph), garde communal des eaux et forêts à Saint-Clément.
Médaille de bronze. — M. Biaise (Paul-Jules),
agent de police à Lunéville.
Médaille de bronze. — Mu" Vaucher (Louise),
employée à Frouard.
Médaille de bronze. — M. Virello (GustavePierre), hôtelier à Toul.
Mention honorable. — M. Geoffroy (Paul),
serrurier à Dombasle.
Mention honorable. — M. Antoine (JosephLouis-Charles), ouvrier à MaxéviRe.
Lettre de félicitations. — M. Didillon (Ernest), employé retraité de l'octroi de Nancy,
demeurant à Saint-Max.
LES AGENTS» OE LA RÉGIE
Par arrêté du 30 mars 1918, le ministre1
des finances a, sur la proposition du con'
seiller d'Etat, directeur général des contributions indirectes, accordé la médaille!
d'honneur instituée par le décret du 29I
décembre 1897, aux agents des contributions indirectes désignés ci-après :
MM.
Albert (Henri-Joseph), receveur ambulant, àt
Marbache.
Colin (Hyppolite-Jean-Joseph), receveur sé-•
dentaire, à Pont-à-Mousson.
Didelon (Victor-Consatnt), commis principal1
à Thiaueourt, actuellement à Blâmont.
Ginry (Jules-Elie), receveur «mbulant à Nomeny.
Mathon (Jules-Ambroise), inspecteur dans le,
département de Meurthe-et-Moselle.
Michelet
(Marie-Alphonse-Siglsbert-Lurien),,
commis principal, a Marbachs.
BULLETIN
™
«-TTUTWK
ET
MOSELL'K
__
_
-
1
~"
1917
Francfort, le 7 janvier VJlb). Uirle reçue
1
Simon (Emile-Louis), commis principal chef ji
par Mme Leleu (Suzanne), réfugiée de Mars-lade poste, à Pont-à-Mousson.
Tour, à Sainte-Terre (Gironde).
Simonin (Arsèue-Auguste), commis principal,
ARNAVILLE
à noiueiiy, aciueileniouiio-eseui aiiiuuiaut a
M Bonhomme (Jacques), natif de Forbach,
THIAUCOUHT
Pagny-s ur-Aloselle.
est déeédé à Arnaville lin 1917, à l'âge de 77
La vie continue assez tranquille à Thiau- eans Les autres membres de la famille sont en
MEi>Ai___ï? DU T1VAVA1L
Le ravitaillement se fait normale- lionne
,
sauté (Arnaville, le 29 décembre 1917,
Des médailles d'honneur en argent pour court
<
bien que certaines denrées manquent jFrancfort, le 15 mars 1918). Carte reçue par
services dans le même établissement indus- ment
J
\sa fille, Mme Leuleu (Suzanne), réfugiée de
triel ou commercial ont été accordées à :
<complètement.
à Sainte-Terre (Gironde).
La population est occupée aux corvées Ut Mars-la-Tour,
.
M. Spach (Emile-Alfred), ouvrier composiCIREY-SUR-VEZOUZE
les hommes travaillent principaleteur dans la maison Berger-Levault à Malzé- voirie
'
M. Verlé (Auguste) est en bonne santé. « Alville.
Jment 'dans les champs, les femmes lavent lons bien tous trois ». Carte reçue par Mme CaM. Stauder (Philippe), ouvrier fondeur en ca- Jte linge des soldats ce qui leur procure jinaille (Marie), à Saint-Jean-de-Maurienne (Saractôre dans la maison Berger-Levrault, h <quelques ressources. Les écoles sont tou- ,
voie).
________
Nancy.
jours ouvertes; la classe des garçons est
EN LORRAINE
Mme Stotz, née Martin (Marie-Rose), ouvrière faite sous la direction de l'instituteur et
plieuse dans la maison Berger-Levrault, à 'des institutrices : celle des filles est faite
Metz
Auiicy.
par
les
sœurs
du
pensionnat.
Deux
lojs
par
Nous
apprenons
la mort de Mme Veuve
M. Thomas (Nicolas), ouvrier à la Société ]
j
née Anna Stoll, décédée après
anonyme des Forges et Aciéries du Nord et de ;semaine, les enfants assistent à des séances J.-Gabriel,
1 Est, à Jurvhle.
de «inéuia.
iu*e longue et pénible maladie, à l'âge de 81
M. Thomas (Louis), comptable dans la maiL'état sanitaire est satifaisant. 11 n y a ans,
.
en son domicile, 2, rue de Seille,
son Berger-Levrault à Nancy.
eu à Thiaueourt aucune maladie conta- Queuleu.
^
Les obsèques ont eu lieu le 25
M. Trognon (Louis-Nicolas), chef placier à la gicuse les règles d'hygiène les plus strictes ,avril.
Compagnie Singer a Nancy.
'
l°ont d'ailleurs ordonnées et la surveillance
M. VUoaut (Josepn), conducteur dans la mai- 1
On annonce la mort de M. le chanoine
i
à ce sujet est très sévère,
son Berger-Levrault à Nancy.
t
Ovide Jeuhomme, doyen du ChapiM. Wagner (Martial), ouvrier chaudronnier i|1 Courant mars 1918 on a enregistré deux titulaire
à la Société anonyme des Hauts Pommeaux, décès : celui de Mme Veuve Rollet-Lalance, |tre de la cathédrale, décédé à l'âge de 83
Forges et Aciéries de Pompey, a Custmes.
ji âgée de 80 ans et d'Irma Perrin, en religion ans.
,
Né à Boulay en 1835, il lut oidonné
M.. WoUlel (Altred), ouvrier mécanicien a la ! sœur Eugène, âgée de 28 ans, originaire jprêtre en 1858, fut professeur au petit sémiCompagnie des Forges de Chdtillon, Cominend'Epinal.
inaire de Montigny-les-Metz, desservant à
try et Aeuve_-Mai_ous à Pout-suiut-Vincent,
j
LKs OTAtiES
|Gommelange et supérieur du grand sémiMme Wolyuemuth née Bulber (Christine), !
naire
de Metz. 11 était chanoine titulaire deAinsi
que
nous
l'avons
annoncé,
les
j
ouvrière tisserande dans la maison les liis '
1890.
otages hommes internés en Pologne russe puis
j
cl Emmanuel Laug à Nancy.
• *
M. Zirnhelt ^tlharles-Fi'édéric), ouvrier re- ont été transférés à Blook-Roon, près de
Le 19 avril, M. Albert Charpentier, le
lieur dans la maison Berger-Levrault à Nancy. Vilna. Les malades ont été admis à l'hôpii
Ual de Sakret (ville de Willa, étapes).
jpropriétaire actuel de la firme Moitrier, a
célébré
le 25E anniversaire de son mariage
|
Voici
des
extraits
du
rapport
d'un
déi
__tat-civii des _.eïugi_s
j
!
et
de
sa
prise de possession de l'usine et
légué de l'ambassade d'Espagne relatif à ce <
des magasins de son beau-père.
NAISSANCES
camp et à cet hôpital :
Joséphine-Aline, lilie de Jantzem (Auguste;, '
***
A BLOOK-ROON
et de Jacques (Berthe), de Nancy, 49, rue des ! Alimentation, — A 0 heure* du matin,
Extrait d'une lettre communiquée par un
l'onts, à Asuières, 14-1, boulevard Voitane, le1
un petit déjeuner, composé de café, de pain de nos compatriotes à notre confrère l'In_i avrh 1918 (i6 enfant;.
et
de marmelade. A midi, le repas prin- transigeant :
Jeaune-Adrienue, litle de Le Bris (Adrien), et
« ... A Metz, c'est la grande misère : trois
de Sclinull (Jeanne), de Moncei-sur-SeiUe, à Van cipal. Le repas d'aujourd'hui consistait en
ves, 19, rue du Plateau (Seine), le _U avril 1918. une soupe d'orge perlé; en un plat de livres de pain noir pour sept jours, pas de
iViarie-Louise, llile de Uruvvtolle (Jules), mo- viande et de légumes, la ration hebdo- pommes de terre, cinquante grammes de
bilisé aux usius, et de Backés (Marie), de Jœui, madaire de poisson est de 400 grammes viande pour quinze jours; enlin, si peu, que
au Creusot, 33, rue Edith Caveli, le 4 mai 1918. (quatre jours). Celle de marmelade est de je ne comprends pas comment le monde
Andrée-Marie-Madeleiue, liile de Schmitt (Mi75 grammes. Celle de saucisse est de 150 peut encore exister. »
chel-Eugène, et de Grosjean (Marie), de PoutAutluu le-Tiche
grammes.
Celle de harengs 150 grammes.
a-Moussoii, à Gourzon (Haute-Marne), le 5
Celle de la graisse 70 grammes. A 5 heures
Les embarcadères près de la gare de cette
mai 1918.
Thérèse-Suzanne, Mlle de Thiéry (Augustin- du soir le souper, qui consiste, en général, ville Cabusière, Les Etangs et la llutt vienAmédée, et de Henry (Anne), de Serrouville, en une soupe ou un café.
nent débaptisées en Dorf, Weier et llutt.
a Paris, 33, rue des Belles-Feuilles (16*), le 6
Correspondance. — Quelques-uns reçoi«Courcelles
e
mai 1918 (8 enfant vivant),
vent des lettres de leur famille. D'autres
Un décret ministériel a établi que la comuerniaiiie-ilélène et Robert, enfants jumeaux de
jusqu'à présent, n'ont reçu aucune nouCoUovald (Jean) et de Boutley (Victorme), de
mune de Kurzel a. d. Nied (Courcelles-suriJont-à-Moussoii, rue des Murs, à Potigny (Cal- velle. A dater de ce jour, la poste a été Nied — canton de Paage, arrondissement
vados), cité 63, le 7 mai 1918.
i, fermée, conformément à une disposition de Metz-Campagne) s'appellera dorénavant
Aladeleine-Angèle et Elisabeth-Lucienne, Mlles 1 récente des autorités supérieures alle- Oberkurzel, et que la commune de Kurzel
jumelles de Royer (Marie-Charles), prisonnier mandes cette mesure ne concerne que la
(Courcelles-Chaussy — même canton du
rapatrié, et de Caillet (Jeanne-Cliariotte), de correspondance expédiée de ce camp. JusFriauville, à Cahors, 27, quai du Regard, le qu'à la date de ce joui', on n'a pas reçu même arrondissement s'appellera de seccôté Niederkurzel.
13 mai 1918.
j dahs ce camp des dons du Comité central
Thionvilie
Abel-Pierer-Louis, lils de Schêrer (Thiébaut- J
Alphonse), préposé des Douanes, et de Uanen 1! de secours, ni de biscuits. 11 convient d'apLe Conseil municipal de Thionvilie, dit
(Marie-Louise), d Audun-le-Roman, au Havre, peler l'attention sur' ce point, vu que les| l'Alsacien-Lorrain de Paris, s'est occupé le
prisonniers ont un grand besoin de recevoir
Caserne des Douanes, le 17 mars 1918.
16 avril, de l'importante liquidation des
Roger-Gaston, liis de Françlet Alphonse), et des dons.
usines de Wendel.
de iVuu (Louise), de Vaileroy, à Anthiou (NièA SAKRET (hôpital militaire)
Divers groupes d'intéressés se sont créés
vre), le 26 avril 1918 (8° enfant vivant).
i Alimentation. — Elle est bonne. Le repas1
sujecessivement pour l'acquisition de ces
MA1UAGE
d'aujourd'hui, jour sans viande, était une!
Subn (René), de Toul, sous-lieutenant au 104e
usines. Certaines circonstances font craind'infanterie, décoré de la Croix de guerre, bles- soupe d'orge perlé et des fruits cuits. Les[ dre que les minerais ne soient plus travailsé 4 fois, et Mouchot (Suzanne), de Noyers-sur- personnes atteintes de maladies sérieuses' lés sur place si le groupe d'industriels rhéSerein (Yonne), le 11 mai 1918, à Sens, 42, rue reçoivent une nourriture spéciale. La ration^nans-westphalien devenait acquéreur. Les
du Tau.
de pain est de 000 grammes par jour. Les
i usines métallurgiques de Lorraine et de la
DECES
'malades disent que la nourriture n'est pas1
Bisse (Marie), 16 ans, de Jœuf, à Paris, 22, suffisante, . mais ils ont été ihospitaliséSj Sarre ont donc l'intention de faire une offre
commune.
rue Durantou (13e), le 11 mai 1918.
aliu de ce reposer de ieur LiibiLsse : ils
Thiaville (Joseph), 38 ans, manœuvre, de
Ces faits exposés, le maire a proposé
désireraient qu'on leur donnât une nourDieulouard, à Nancy, le 13 mai 1918.
I
l'adoption d'une protestation à adresser au
Epouse Léonard (Eugène), née Lecomte (Odi-,' riture plus substantielle.
chancelier de l'empire, réclamant qu'au
le, 54 ans, d'Audun-le-Romans, à Saint-Priest '! Correspondance. — Quelques-uns ont' moins 70 p. 100 des minerais de Wendel
reçu des nouvelles de leurs familles, mais
(Isère), le 30 avril 1918.
Schneider (Eugène), 71 ans, membre de la So- beaucoup d'autres n'en ont pas reçus. Ils| ne sortent pas de la Lorraine. Les maires
' des deux arrondissements de Thionvilie
ciété des Vétérans de 1870-71, de Nancy, 4, n'ont jamais reçu de biscuit, ni de dons.
auront également à se prononcer sur cette
avenue Milton, a Rochefort-sur-Ménon (Jura), le
# *
17 mai 1918.
I| La libération de tous les internés civils question, vitale pour le pays.
Veuve Lallemand (Prosper), née Bigarée (Occomporte celle des otages enlevés en jantavie 66 ans, de Clémery, à Millery, le 17 mai
Lit liquidation a été ordonnée pour les
vier dernier dans les départements occu1918.
i
propriétés foncières des sujets français
Veuve Adam (Aloïse), née Wild (Clémentine), pés et envoyés à Holznninden et en Lithua78 ans, mère du propriétaire de la « Brasserie nie. La libération des civils doit être effec- Georges Thomy, ancien sous-préfet, et
des Dom », de Nancy, à Billancourt (Seine), le tuée avant le 15 août prochain. Les otages Pierre Marchai, banquier.
13 mai 1918„
bénéficieront en premier du nuuvel accord
Les séquestres
Courrier (Justin), 28 ans, chasseur à pied du et seront très prochainement renvoyés dans
L'Alsacien-Lorrain de Paris publie la liste
26° bataillon, mobilisé aux Laminoirs de leur foyer. Un grand grand nombre de ceux[
;
Frouard, de Pont-à-Mousson, 23, rue Moyenne,
suivante de propriété mises sous séquestre :
qui demanderont à revenir en France libre
à Frouard, le 17 mai 1918.
ARRONDISSEMENT DE METZ-CAMPAGNE
Manzenot (Louis) 59 ans, do Beauzemont, à verront leur demande accueillie.
Champ appartenant a Dominique VVillaume,
Nevers, le 23 janvier 1918.
rentier, et à Dominique Willuume, brasseur, à
NOUVELLES» PEKSONNELLES
Heysen (F'rançois), 75 ans, Je Bechamps, à
Rouves (France) même administrateur).
Roanne (Loire), le 18 janvier 1918.
P1ERREPONT
Lessg. — Champ, jardin, vigne appartenant
Bertrand (Nicolas), 64 ans, de BruviUe, à
Mme Fluiron, les enfants Bauer, Mme Œitt~
' à Anne Pétre, veuve de Jean-Louis Bourg, à
Crest (Drôme), le 19 janvier 1918.
matin et sou fils, sont en bonne santé (7 janMentre (Louis), 68 ans, de Letricourt, à vier 1918). Carte reçue par Mme Lefondeur à■ Lessy (administrateur : Reuter, huissier à
' Metz).
Saint-Etienne, le 8 janvier 1918.
Marnay (Saône-et-Loire).
Champ, pâturage, jardin, vigne, appartenant
Gauche (Nicolas), 77 ans, de Mont-SaintNORROY-LE-SEC
à la veuve et aux héritiers de Jean-Louis Boury
Martin, à Paris, 62, rue d'Hautpoul (19e), le
Mme Collignon-Schmitt (Adeline) et les fa■ (même adminisrateur).
5 janvier 1918.
milles sont en bonne santé « ainsi que notre
Champ, vigne, appartenant à Louis-Auguste
Fêrard femme Ruilliard (Marie), 55 ans, de petite Marie » (23 mars 1918). Carte reçue par
Naudin et à sa femme, à Lessy (même admiNancy, à Beaugency (Loiret), 1, rue Neuve, M. Collignon Emile, aviation d'Istre, 1e Cie,> nistrateur).
Centre du Mas-Tubé (Bouches-du-Rhône).
en janvier 1918.
Maison
d'habitation, dépendances, cour,
MERCY-LE-11AUT
Hell femme llequet (Eugénie), 39 ans, de
champ, vigne, campagne appartenant à MichelMme Veuve Maudit (Joséphine), est en bonne
Nancy, à Beaugency (Loiret), 1, rue Neuve,
* Nicolas Richard, à Lessy (môme administrateur).
santé ainsi que la famille : « Charles travaille1
1918.
Champ, vigne appartenant à Michel-Nicolas
Lévy veuve Meiss (Esther), 77 ans, de Nancy, et veille sur la maison. Curé Aubrion (Jules),> Richard et à sa femme, née Catherine Losch, à
e
à Paris (17 ), avenue Carnot, 1 bis, le 5 jan- pere Rodiçq, Lucien Collignon sont décédés »< Lessy (même administrateur).
(Mercy-le-Haut, 11 décembre 1917, Francfort le
vier 1918.
ARRONDISSEMENT DE METZ
Wachter (Thérèse), 66 ans, de Nancy, à 2 avril 1918). Message reçu par Mme Cazin Marie, château de Miraman, quartier de Grizard,,
l'Hospice de Niort, le 2 janvier 1918.
Mey. — Maison d'habitation, dépendances,
Michel (Antoine), 68 ans, de Nomeny, à Ne- à Nîmes (Gard).
cour, jardin, appartenant à Sophie Kaufer, daDAMPVITOUX
vers, le 14 janvier 1918.
me Georges Gilbert, à Nancy (même adminisM. Pezel (François), âgé de 75 ans, est décédéi ti'rtteur).
dans la première quinzaine d'avril 1918. aprèsi
Mécleuves. — Champ, prairie, appartenant à
une courte maladie.
Joseph Henrion, chef du personnel de la direcXIVRY-CIRCOURT
tion des chemins de fer de l'Etat, à Paris (adD'après une lettre reçue par l'AgenceI
Nous apprenons le décès de M. Moineauxt ministrateur : Wolf, huissier, à Metz),
internationale des prisonniers de guerre, à1
Raville. — Champ, prairie, jardin, apparteGenève, une dizaine de prêtres français an- (Charles), survenu le 27 avril 1918. Le défuntt
était âgé de 55 ans.
nant à Anna Velvert, veuve Alphonse Clément,
térieurement internés dans des camps de!
PUXE
en France (même administrateur).
civils, ont été transférés à l'abbaye de BeuA la date du 20 mars 1918, les familles PriChamp appartenant aux héritiers de Joseph
ren (Hohenzollern). De lettres envoyées par1 non, Maraudel et Neyens étaient en bonne san-- Clément, en France{ môme administrateur).
la plupart d'entre eux à leur famille, il res té. Message reçu par Mme Collignon Eugénie,,
Champ, prairie, appartenant h Joséphine-Masort qu'ils y jouissent d'une liberté rela rue des Orangers, au Cannet (Alpes-Maritimes).. rie Ferveur, en France (même administrateur).
SERROUVILLE-ARNAVILLE
Champ, prairie appartenant à Augustine Bertivement grande; ils y disposent de livres,
'
Mme Sainte-Croix est h Serrouville en bonnee trand, dame Jule« Martinot, à Paris (même adsont autorisés à faire des promenades
' santé. Sa fille, Marie, qui était institutrice ài ministrateur).
libres, à aller à la pêche, etc... Leur cor- Arnaville lors de la déclaration de guerre, est
t
Champ, prairie, appartenant à Louis JJtodhain,
respondance n'est plus limitée.
h présent à Anderny (SerrouvDl© le 21 octobre6 à Paris (même administrateur).
AU-DELA DU FRONT
lies nouvelles
i
j
J
les prêtres internés eit Allemagne
a—,
BULLETIN
DE
MBURTHE
ET
MOSELLE
3
LE LOGEMENT DES RÉFUGIÉS Uni
Union des Comités centraux des Mu»iés LES
L ALLOCATIONS MILITAIRES M
f
Une proposition <I»> loi de M. Chassaing
Pfl
Pour
ks départements envahis
i
-
APPEL D'OFFRES
Séance du 14 Mal 1018
(
pour la fabrication de meubles
1
On sait que la loi du 29 septembre 1917
Lors de la discussion à la Chambre de la
La
séance
a
été
consacrée
à
l'examen
acc
du
accorde
un
supplément
d'allocation
aux
béj_
loi Basly, M. Chassaing, député du Puy-de- d 'un certain nombre d'affaires courantes : nél
Les services techniques de reconstitution
néliciaires de l allocution militaire ayant jes
Dôme, avait déposé un amendement' ten- dén
des moyens d'habitation et du sol, du Midémarches
en cours auprès de différentes plu
adl)
plusieurs
mobilises.
Ce
supplément
esi
de
dant à autoriser tous les locataires à sous- administrations; organisation de colonies U i
(
nistère
du Blocus et des régions libérées
500
1 0 fr. 75 par jour et par mobilise en plus nous
louer leur appartement aux réfugiés malgré scolaires;
QO|
communiquent la uole suivante :
installation
d'abris
provisoires
du
du
soutien
principal.
L
toute stipulation contraire dans leur bail ou P°
pour
tes réfugiés; propagande de la Croix- j lLine circulaire uu 15 octobre avait fixé
Le Ministre du Blocus et des Régions libérées
Ro1
contrat de location. Nous avons publié la Bouge
américaine en vue de l'amélioration1 te
te point de départ de ces allocations sup- îa ddécidé la mise en fabrication immédiate d'une
d
partie du compte rendu officiel reprodui- de? la vie locale, à sa reprise, dans les ré- i pié
de meubles destinés à la réinstallaio:
plémentaires au F1' octobre 1917 pour tous fourniture
^7 des populations
sant la discussion qui eut lieu au sujet de ë
tiou
dans les régions libérées.
gions
dévastées; constitution d'un fichier Iles
cen
les
mobilisés
présents
au
corps
à
cette
date,
j.
En conséquence, il adresse uu appel d'offres
cet amendement. M. Chassaing, on s'en sou- central d'assistance; bagages des rapa- et
tr
et au fur et à mesure de leur incorporation ans
r
aux entrepreneurs français susceptibles de se
vient, ajrait consenti à le retirer pour ne Me,
^ etc.
noi
pour tes autres.
eh;j
charger de cette fabrication en vue de traiter
pas retarder le vote de la loi.
—
Aucun délai n'a été prévu pour la pré- de gié à gré après mise en concurrence des ofLe député du Puy-de-Dôme n'a pas aban.
sentation
des demandes, et les administra- fres présentées.
j*
donné son idée et tout récemment il vient
Les offres sont demandées pour la fabrication
lions
préfectorales
se trouvent encore jourde déposer sur le bureau de la Chambre
I
de
uei
e 190 lots, savon? :
saisies ne requêtes concernai^
.
une proposition de loi tendant à modifier meLe Groupe parlementaire des départe*- nellement
ARMOIRES : 10.000 armoires en 30 lots de
de!
hommes mobilisés antérieurement au 200
20( armoires chacun.
l'article 1717 du code civil « pour faciliter ment
prt envahis s'est réuni au Sénat sous la des
présidence de M. Cuvinot.
^
lor octobre 1917, et qui donnent lieu à des
l
BUFFETS
: 13.000 buiïets type 1 eu 30 lots de
le logement des réfugiés, des rapatriés et
J
ra
rappels
de sommes relativement iinpor- 300
30t buiïets chacun. — 9.000 buiïets type 2 eft
Le
ministre
des
Finances
lui
a
fait
sal
de tous ceux qu'un fait de guerre prive voi
Ul
30 lots de 300 buiïets chacun.
voir qu'il avait donné des ordres néces- tantes.
momentanément de leur foyer ». Cette pro- sai
M.
le
Ministre
de
l'Intérieur
vient
de
dé'TABLES : 20.000 tabès type 1 eu 20 lots de
saires
pour
que
des
instructions
soient
position a été renvoyée à la commission de adi
cit
1.000 tables chacun. — 10 000 tables type 2 en
cider
qu'à partir du F' juin 1918, te point |g
adressées
d'urgence
aux
services
intéresla législation civile qui l'examine en ce sés
tables chacun.
de
départ des allocations supp'émenlaires 10 CHAISES
, lots de : 1.000
en vue d'accorder aux réfugiés toutes de
moment.
jses
30-000 chaises type 1 en 15 lots
ac
1
1 prévues
par la loi du
septembre 1917 Qe
facilités
pour produire tes indications né-'P
'
de 2.000 chaises chacun. — 30.000 chaises type
M. Chassaing a fait à un de nos confrères, ces
sei
uniformément celui de la date de la 22 en
1
à l'établissement des impôts cé- I serait
13 lots de 2.000 chaises chacun.
les déclarations suivantes :
' cessaires
ti
u
dulaires.
de
demande.
Un même soumissionnaire pourra présenter
De nombreuses doléances m'ont été adressées
« Un doit admettre, dit M. Pains qu'un des
de soumissions pour 20 lots au maximum,
aiusi qu'à plusieurs de mes collègues, par des ré)Le garde des Sceaux lui a adressé une dé
d'arinoires, buffets ou tables, pour 15 lots au
délai
suftisant
a
été
aceorxlé
aux
familles
réponse
conforme
à
la
motion
récemment
réfugiés des départements envahis. Ceux-ci se Vo
mi
maximum
de chaises
e
I
JJOUI
'
se
mettre
en
instance
et
que
celles
votée
relative
à
la
gratuité
de
la
délivrance
V
plaignent du peu de confort des focaux qui leur ,i"
qui fout l'objet du présent appel
ij qui ne l'auront pas fait avant te 1er juin (d'oiïres
j. Les meubles
sont attribués; et il faut malheureusement re- des actes de notoriété.
devront répondre aux spécilications ré-.,
1/1
connaître que ce n'est pas sans raison. Afin'! Le ministre de la Cuerre lui a fait con- 1 imt
estimé pouvoir jusque4à se passer du sultant
des devis et cahier des charges et des
ÏU
ûa
de remédier à cet état de choses, je propose naître
secours de l'Etat. »
pi
que satisfaction était donnée à ses I 86
plans qui seront communiqués par lettre aux
.
.
de multiplier les logements en autorisant les.de
m
desiderata concernant la situation des offiintéressés sur leur demande et tous les jours
locataires à faire iever les interdictions de sous- CM
non fériés, de 10 heures à midi et de 15 heures
l'our
tes
petits
retraites
ue
1
Liai
m
ciers et sous-oiliciers à solde mensuelle, prilouer qui figurent généralement dans les baux: so
à 17 heures, au Service technique de reconstisonniers
de
guerre,
rapatriés
comme
grands
1
Si cette disposition se conçoit et a sa raison m<des moyens d'habitation, à Paris, 244,
On sait qu'une loi du 18 octobre 1917 per- tution
tu
d'être en temps de paix, il n'en est plus de malades.
Saint-Germain.
mettait d'accorder une allocation temporaire de boulevard
bc
M.
Hayez
a
donné
connaissance
des
acK
même dans les circonstances actuelles, où touLes fabricants qui répondront au présent ap10 francs par mois aux petits retraités de l'Etat
00
d(
tes les forces de sotidarité nationale doivent cords signés au sujet du rapatriement des> dont
pel, tout en demandant des modiiications des
la pension était intérieure à 1.000 par au. I p<
être mises à la disposition de l'intérêt général. Pf
prisonniers de guerre et des prisonniersi
types prescrits, devront soumettre au Service
1° Lorsque quel que soit leur âge, ils étaient t)
cr
"Si un locataire mobilisé ou non, se déclare prêt; civils.
m
technique de reconstitution des moyens d'hamariés ou avaient à leur charge un ou plusieusi te
à mettre un logement à la disposition d'un rédes dessins d'exécution ainsi que tous
enfants pour lesquels ils ne recevaient aucunt bitation,
bi
A l'unanimité le Croupe a remercié et ei
fugié ou d'un rapatrié, il ne faut pas qu'il se et
m
modèles et échantillons nécessaires; ceux-ci sesecours;
s chaleureusement félicité MM. llayez et Léon ,1 S(
heurte au mauvais vouloir du propriétaire nl|Pj
ront
déposés au chantier d'études et d'expérienr(
[ Pasqual pour l'activité et l'initiative dont â. 2° Lorsque, veufs ou célibataires, ils étaient;■ ces
qu'il soit menacé par lui soit de résiliation dejy<
" âgés
de plus de 63 ans ou se trouvaient, à rai- ci du Service, boulevard Suchet, à Paris, près
!
ils
ont
fait
preuve
dans
les
négociations
reJ
bail, soit d'une action en dommages-intérêts. Lu
la gare d'Auteuil.
" son de leur état de santé, dans l'impossibilitéi la
En outre, il m'a été donné de constater que, ' latives à ces accords.
Les offres seront reçues du 26 au 30 mai 1918
de, tenir un emploi ou de faire un travail poua
de très nombreux locaux pourraient être mis'A Sur un exposé de la situation alimen-- vvant leur procurer des ressources supplémen-- sous
la forme de soumissions cachetées. Elles
s<
1 la disposition de ces victimes de la guerre, I taire des pays envahis, fait par M. llayez, titaires;
devront lixer pour l'exécution du travail, un
d
si l'administration se trouvait à même de se ni
délai aussi bref que possible, dont il sera tenu
L'allocation ne devait, au surplus, être accor-- d
un certain nombre d'observations ont été[
procurer plus aisément le matériel nécessaire;;|< éc
compte au point de vue de la comparaison des
_ dée, dans l'un et l'autre cas, qu'autant quej ci
1 échangées qui laissent entrevoir à bref dé- f,
pour meubler ces locaux. J'ai écrit eu consé- la
offres.
Ce délai tiendra compte de l'obligation
o
j,l'ensemble des ressources du pensionné eût étés de
quence, au ministre de l'Intérieur pour lui de-- lai
- une amélioration du ravitaillement.
jugé insuflisant.
d produire un modèle-type du meuble avant
mander : 1° que lors de l'évacuation des seceu série.
La loi du 30 avril 1918 renferme des dis-- fabrication
f;
teurs dangereux par la population civile des
Il sera également tenu compte tant des mopositions plus libérales, applicables depuis le>
trains de ravitaillement revenant à vide soient
difications
heureuses qui pourraient être pro1 '• mai :
d
mis à la disposition des intéressés pour le (Il
notamment au point de vue de la fa1° Le taux de l'allocation est porté de 10 fr. posées,
p
3 dans les Bureaux de Bienfaisance de Paris
,
transport de leur literie et des objets mobiliers;
' aà 20 francs;
«cilité de démontage pour expédition, que des
2° que les objets de première nécessité aban.
2° Le maximum de la pension au-dessus du-- f<facultés de stockage offertes en sus des presA
la
suite
de
nouvelles
nominations
et
donnés en grand nombre dans la zone des opé- di
du cahier des charges.
l'allocation cesse d'être accordée est élevéé criptions
e
mutations survenues depuis quelquess quel
j
rations et voués d'une façon presque certame-i de
i
11 y a lieu de signaler que les soumissionde 1-000 francs à 1.800 francs:
e
nous croyons utile de donner cià la destruction soient, dans la mesure du pos- temps,
i
ne peuvent être garantis contre la réqui3° L'attribution de l'allocation cesse d'êtree naires
n
a'
la liste complétée et modifiée desS subordonnée
s
sible, expédiés sur l'intérieur.
' dessous
- sitiou
éventuelle des trois quarts de la producà
la
situation
de
fortune
de
Fins
rt
D'autre part, je lui ai exposé que par suitei représentants
des scieries par le service de l'Inspection
des réfugiés en résidence ài téressé;
telle est due, quelles que soient les res-- tion
t
de la cession au service de santé américain de Paris, dans tes bureaux de bienfaisance des5 6sources de celui-ci;
8générale des bois.
3
certains hôpitaux militaires français installés 20
- arrondissements parisiens.
Les fabricants qui soumissionneront à la sui4° L'âge à partir duquel les veufs ou célibadans des hôtels, un matériel important de li-3
sans enfants à leur charge peuvent obtenirr te
t du présent appel d'oiïres devront joindre
Les attributions de ces délégués s'éten- taires
{
à leurs propositions toutes références et justiterie, qui a été remplacé par du matériel amé- di
rappelons-le, aux réfugiés de tous les l'allocation est ramené de 63 ans à 60 ans;. s lications d'usage sur leurs travaux antérieurs
ricaiii, a été remisé dans des greniers ou dans5-jdent,
I w,
*
3° Le bénéfice de l'allocation est étendu aux ti
envahis qui résident danss tmilitaires jouissant d'une gratification égalee eet leurs moyens de fabrication.
des dépôts où il demeure immobilisé et se dé- départements
y
Les propositions faites par les soumissionnai-,
précié. Je demande, en conséquence, que ce' l'arrondissement au bureau duquel ils sontt oou supérieure à une invalidité de 30 0/0 et cormobilier soit mis à la disposition des réfu- r<
respectivement nommés, c'est-à-dire que6 respondant
r
pour ie simple soldat à 600 francs,L res
r devront être valables jusqu'au 30 juin 1918.
giés.
te
le caporal à 700 francs, pour le sergent à "
tous les réfugiés (du Noid, de la Marne,i pour
P
KKNSfclGIVKiyiLiVrS UTILES»
Qu'il soit fait droit à ces demandes, conclutt de
d Meurthe-et-Moselle etc.), qui habitent£ s800 francs, etc..
M. le docteur Chassaing, et le département dua k
[
B ressort du paragraphe 3 rappelé ci-dessuss
le
premier
arrondissement
par
exemple,
La
circulaire du 17 février 1918 prescrit que
Puy-de-Dôme pourra, à lui seul, recevoir encore ( J
!
'' que
les petits retraités de l'Etat qui ont vuu les
j, officiers de complément domiciliés dans les
e
doivent
adresser
leurs
réclamations
à
M.
|
300 000 réfugiés ou rapatriés.
jy
^ leur demande d'allocation rejetée par la comMatins ou à M. Yogein en leur écrivant à™ rmission cantonale h raison des ressources dont" rrégions envahies, atteints par la nouvelle Jfc
u
* mite
d'âge, auront droit à un traitement de
Ces déclarations sont d'autant plus iulé-;- 1'l'adresse suivante :
i
ils
disposaient, sont aujourd'hui en mesuree «,faveur : leurs services, comme officier de comressantes qu'elles sont faites à l'heure dee
M. Matins (ou M. Vogeiri)
i
d'obtenir
satisfaction. Ils peuvent dès mainte-*" plément,
'
devront être utilisés, sur leur dela reprise des rapatriements et à la veillee
nant
renouveler leur demande à la préfecturee *mande, dans la plus large mesure, soit à l'arDélégué des Comités des Réfugiés
'
ou
du retour en Franee de nombreux prison-iau Bureau de bienfaisance
' sous-préfecture de leur résidence.
rière des armées soit dans la zone de l'intér
Il est rappelé que toute demande d'allocationa rieur,
niers de guerre, militaires ou civils des ré-idu lor arrondissement, Paris.
r
soit aux colonies.
, temporaire, présentée pour la première fois, estlt
gions envahies.
(J. 0. du 23 février 1918).
Les réclamations sont également reçue àa rédigée
,
sur
une
formule
spéciale
mise
par
la
—
- nnotre permanence.
•
,
mairie
à la disposition des demandeurs et;
Les mobilisés agricoles doivent travailler
(qu'elle doit être accompagnée du brevet dee
Four les agriculteurs des régions envahiesg Voici la liste des délégués :
dans
les mêmes conidtions que les ouvriers
e
£
pension
ou
du
titre
de
gratification.
I * arrondissement. — M. Maints (YosKec) et I
> ?agricoles de la localité. Ils bénéficient d'une
Si la pension a été constituée par des verseLe Journal Officiel du 8 mai, a publié leQ M.
' Vogein (Vo.-ges).
-, |journée de repos par semaine, de préférence
J- |ments à la Caisse nationale des retraites pour
texte de la loi du 4 mai 1918, relative à la , 2° arr. — M. Bagnard (Meuse) et M. Debail(/. 0. du 12 mars 1918).
là vieillesse, il y a lieu de produire en outre 1le dimanche.
leul
(Meurthe-et-Moselle).
mise en culture des terres abandonnées.
1
* » *.
5- un
certificat émanant de l'administration à la3e arr. — M. Gambart (Somme) et M. GuéL'article 4 de cette loi comporte le pasj
rt
Une
instruction
du
21 janvier 1918 a pree5
1quelle appartenait le postulant et établissant
" non (Meuse).
1
le crit
le versement dans les sections d'infirmiers,
sage suivant qui intéresse les agriculteurs
r« que
celui-ci comptait au moins vingt ans de
<
's
4e arr. — M. lloussière (Aisix ) et M. Clav«
et leur affectation exclusive à des formations
services.
des régions envahies :
(
(Marne).
5- sanitaires,
de tous les sanitaires rapatriés serif
Les anciens agents de l'Etat seuls peuvent rés
je
5e arr. — M. Hulot (Ardennes) et M. Lecuir
« Lorsque le Comité départemental se
1
>s vaut
aux armées ou à l'intérieur.
clamer
le
bénéfice
de
la
loi.
Les
agents
des
!
(M-et
-M.)
trouvera en présenec d'une demande éma
(/. 0. du 30 mars 1918).
y. départements et des communes en sont exclus,
Si
ov arr. — M. Alexandre Legra-i 1 (trésorier holç
nant d'un ou de plusieurs agriculteurs des
ainsi que les retraités des chemins de fer des
ÎS
**«
noraire
de
l'Union)
et
M.
Délie
(Oise).
1
régions envahies — ceux-ci groupés en assoîs
Le temps passé dans une usine 4a guerre ne
7° arr. — M. Ani 'ne (Meuse) et M. Cochi- compagnies ou de l'Etat, les assurés retraités
ciation agricole de culture — il leur don* nat
,
île la loi sur les retraites ouvrières et paysan»- <compte pas dans les deux années de service
(Marne).
je lies et les anciens militaires pourvus d'une rei
nera la préférence pour l'exploitation des
e- effectif,
exigibles pour avoir droit à la haute
JS
s° arr. — M. Barrachin (Ardennes) et M. de
traite proportionnelle accordée après quinze ans
is paye de guerre.
{J. O. du 30 mars 1918).
terres abandonnées.
Tassigny Ardennes).
a9e arr. — M. Cacan (Nord) et M. Carrez (Nord)n de services, non réversible sur la veuve.
« Cette concession se terminera dès l'en***
3g
10e arr. — M. Décamp (Ainse et M. SimonLes agriculteurs R. A. T. en service aux arlèvement de la récolte qui suivra la On des
Baudry (Meuse).
||
Les permissions exceptiounelles
imérs ont droit à une permission agricole par
hostilités.
1P arr. — M. Boissonnade (Somme) et M.
an par prolongation de 13 jours à l'une de
« Les avances qui leur auront été cona
Wiet (Marne).
leur trois permissions de détente de 10 jours.
Et
les
parents
des
rapatriés
?
e!
senties seront imputées sur leur dommages
12° arr. — M. Gallois (Marne) et M. Superr
îr
Le général Pétain a décidé que tes perde guerre et à des prix à déterminer par
'
Tout homme placé en sursis d'appel est unnant (Aisne).
,.
w
tn! missions exceptionnelles qui, en raison des
expertise contradictoire.
13» arr. — M. Fenard (Vosges) et M.
Colm
es posable à la taxe exceptionnelle de guerlre,
es quelle que soit la durée du sursis, dont il bê« Dans le cas d'entente amiable entre un
m (M.et-M.).
. I circonstances, avaient "d'abord été limitées
il14e arr. — M. Jamas (Marne) et M. Wauquier
le néficie. Si, à l'expiration de son sursis, B est
«r aux cas de décès ou de danger de mort de
propriétaire de ferme inculte et un agriculas de nouveau mobilisé, il peut, sur réclamation
proches
parents,
seraient
étendues
aux
cas
teur des régions envahies, ce dernier béné£. (.Nord).
et
présentée dans les conditions prévues par l'ar13e arr. — M. Julien Legrand (Pas-de-C.) et
de
mariage
ainsi
que
de
naissance
d'un
enficiera des dispositions de la présente loi. _» M. Loiseaux (Aisne).
ticle 6 de la loi du 30 décembre 1916, obtenir
jl lant.
Ige nrr __ .1/. Bemheim (M.-et-M.) et M. Vilune réduction d'impôt proportionnelle au nomNous ne voyons pas figurer, et nous le
le
bre de mois entiers restant à courir à dater de
Les avances aux sinistrés
lain (Ardennes)
_
,
w
1X
il- regrettons, parmi les cas donnant droit aux sa réincorporation. (J. 0. du \ avril 1918).
!7e ARR. ^_ M François (P.-de-C.) et M. Waldes bombardements
e*
lon (Nord).
„ „„, , permissions exceptionnelles, celui du re* *.
18e arr. — M. Didelot (Vosges) et M. Billet
let tour en France libre des parents rapatriés.
!S
'
Les
hommes
en
sursis
4'appel sont démobjUne note parue dans la presse au sujet
|et
n
(Pas-de-Calais).
, _
,
Nos soldats des régions envahies s'en in' Usés, et, par conséquent, rendus à la vie cix
des avances qui peuvent être consenties aux
on
^
l'M arr. — M May (Marne), et M. X... (non quiètent vivement. Simple oubli, peut-être,
'e< vile.' pendant k durée de leur sursis; ils ne
1S>
victimes des bombardements ennemis,
désigné),
us su liraient, donc (Hre admis dans les hôpitaux
^ mais qui doit pouvoir être répart. Nous
e
20 arr. — M. Boucher (Nord) et M. Gobert
ayant subi des dommages mobiliers nous a
lé- militaires.
(/• 0. du 9 avril 191S).
pensons qu'il suffira de le signaler au géné*
valu un certain nombre de demandes de (Nord).
______
— ral en chef pour qu'il donne aussitôt les
es
* *
renseignements émanant de réfugiés des
Un
militaire
évadé
des
régions envahies, cité
ordres nécessaires.
h l'ordre par le général commandant une région
Aux médecins des régions envahies
communes envahies.
conformément aux prescriptions de la note du
Pour y répondre, disons que les avances
général commandant en chef h° 76665 du 9
sa
Croix-Rouge Internationale
ue Les médecins appartenant aux régions en
en question ne peuvent être accordées que
mars 1917 et par application de la D. M. n°
>n
;n- vnhies ou évacuées qui désireraient con
lorsqu'il y a eu contatation ou commenla 15675 R dft 18 juin 1917, n'a pas droit au port
erLe
président
du
Comité
International
de
jsnaître
les
différentes
régions
où
les
sercement de constatation par les commislé- de la Croix de guerre.
n Croix-Rouge, M. Gustave Ador, chef du dé5
es. vices médicaux étant insuffisamment assu
sions et pour les réparations immédiates.
ia.
(J. 0. du 9 avril 1918).
L parlement suisse de l'Intérieur, prie les faîes
rés
ils
pourraient
aller
utilement
exercer,
C'est dire que les réfugiés des communes
milles qui s'adressent à lui de ne plus lui
• •
au
;er
Le secours mensuel de 5 fr. n'est pas alloué
envahies ou situées sur la ligne de feu, ne
ne trouveront tous renseignements utiles au
écrire directement à Berne, mais d'adresser
lis- ministère de l'Intérieur, direction de 1 As- leurs lettres au Comité International de la aux sous-officiers, il est accordé aux soldats
peuvent dès maintenant les recevoir puis:au Croix-Rouge à Genève,
originaires des régions envahies, sans qu'il soit
tre sistance et de l'Hygiène publique, 4e bureau
que la constatation des dégâts ne peutêtre
gestfait d'exception pour les militaires de Fintéidl
Rappelons que les lettres ainsi adressées?
5ns
(11,
rue
Cambacérès),
de
10
heures
a
midi
faite pas plus d'ailleurs que les réparions
Irieùr. (J. 0. iu 11 avril 1918.)
I jouissent de la franchise postale.
I et de lt> heures à 17 heures.
immédiates.
Les délégués des réfugiés
?
'P
I
4
BULLETIN
m
MBURXHE
ET
MOSELTLK
mwm mmmm
_
,
—
ADKËSSËS DES KLlldlLS
n
DE MttelliE-EÏ-MOSELLE
I nient eu avant malgré les feux meurtriers des
mitrailleuses eimemies. (Croix de guerre.)
M. Maniant, qui appartient à la classe 1916, a
Les insertions paraissant sous cette rubrique
Renseignent-,communiqués par les juinilles. quitté Aloncei dès ie premier jour de la guerre, sont gratuites pour les abonnes et les miliThiolère (Maurice;, fils de notre regretté con- pour attendre en Franee libre l'appel de sa clas- taires, caporaux et soldats.
Pour les autres personnes, ie prix en est fixé à
frère Edouard Thiolère, directeur de la Revue sé. 11 est en ce moment eu traitement à l'hôpi0 i'r. àU la ligne.
26e liste aiiétee au 1er Mai îDlo
Industrielle de l'Est, aspirant au 29" chasseurs tal 92 à Saint-Etienne.
Rennequin (Auguste), de Menaumout-Lauteà pied, décoré de la Croix de guerre avec palme
Afin de nous permettre de tenir constamPour des raisons d'ordre militaire, il ne nous
et étoile, cité deux fois à l'ordre du jour, tombé fontaine, chasseur à pied au 19e bataillon, S.IL est pas possible de laire ngurer dans notre ment nos liches a jour, nous prions ceux de
glorieusement pour la France le 4 avrU 1918, à 11. : Chasseur du plus grand dévouement, a tou- Bulletin, les adresses des soldats d'une façon nos rélugiés qui changent d'adresse, de voul'âge de 21 ans. (Mme Veuve Tiolère habite ac- jours montré une grande énergie et un grand plus préeise.
loir bien nous en informer en nous rappelant
oi l'indication est insullisante, écrire à notre dans leur lettre ieur domicile en JVleurthe-etcourage dans tous les combats auxquels il a
tuellement Dijon, 24, rue du Petit-Potet.
t
L'abbé Lectaire, vicaire à Baccarat, natif de pris part en 1915, 1916 et 1917. Au cours de permanence qui conserve les adresses eom- Aloseile.
Dombasle, sergent aumônier au groupe cycliste la bataille du 29 mars au 10 avril 1918, a don- plete^ des demandeurs, en indiquant la comAUTBEVILLE
de la 2e Division de cavalerie, mort au cnainp né de nouvelles marques de dévouement en as- mune sous le titre de laquelle ngure la de- Faipot (Marie et enfants : Cécile, Gilberte, Romande et la date du numéro du Bulletin.
d'honneur, le 27 avril 11)18, à l'âge de 33 uns. surant sou service de façon parfaite dans les
bert) — Lahas, par Samatan (Gers). %
A
Boutin (Jean-Pierre, de Chamoigneulles, ca- situations les plus critiques. A été blessé le 27
Gérard (Amélie et enfants), Jeanne, Geore
PRIERE
INSTANTE
a
toutes
personnes
d*
poral au 88 d'Infanterie, mort pour la r'rance, septembre 1915.
gette, Aline) — Lahas, par Samatan (Gers).
donner renseignements, quels qu'Us soient» BUT
le 4 mai 1918, par suite de blessures reçues au
BEAUMONT-MULN'EVJLLE
Uaumard (Maurice;, sergent au 31* înlanterie,
champ d'honneur ie 23 avril précédent. Inhumé
Adam (Aline), 19 ans — Toulouse (Haute-Ga3°
compagnie,
classe
îall.
n"
Mie
dot;
—
provisoirement à Boulogiie-sur-Mer, le 6 mai.
ronne), route Saint-Simon, parc Anglais.
niesse et ursparu le 24 août 1914 a JNoers, prêt:
Thouvenin (René-Robert), de Villey-le-Sec,
BREMENJLL
■Longuyon.
fccrire
a
M.
Uaumard,
10,
rue
ae
la
ancien élève du collège de Toul, du Lycée de
Bresse (Amélie, Marie) — Mantes, 36, rue du
Liinertu.
a
Vutcennes
(Seine,/.
Nancy et de l'Ecole spéciale de Saint-Cyr, asTemple (Seiue-et-Oise).
AU SOIR
* *
pirant au 339e d'infanterie, mort glorieusement
Veuve Dumard (Joséphine), 66 ans — Mantes
.1/. Connol (fierre-^iioert), né le 29 novembre
pour la France, le 12 avril 1918, à l'âge de
(Seine-et-Oise), 36, rue du Temple.
1881, à Colombey-les-nenes, classe 1901, soldat
21) ans.,
BRIEY
6
e
au
itiO
d
infanterie,
10°
Cie,
matricule
loti
Wetzel
(André),
23
ans
—
Evian.
Perrin (Louis), de Frouard, canonnier de I
Mme Mourqueur (née Andelot) — Brunoy (Seie
(0115/V),
disparu
le
20
août
1914,
à
Alorhange
classe au 108 d'artillerie lourde, mort au serne-et-Oise), 125, rue des Vallées.
ou à Crévic." par Mme Connot, 7, place Thiers
vice de la Patrie, à l'hôpital de Mazères-Barran
CHAMPIGNEULLES
a Mirecourt (Vosges).
(Gers), le 8 mai 1918, à l'âge de 20 ans.
Buffet (Germaine, née Linglet, (Jean) — LnsCuël (Henri), de Seicheprey, maréchal des Tintinger (Léopold), de Landres — Vitray-soussault (Indre-et-Loire).
FREMONVlLLli
logis au 39e d'artillerie, tué glorieusement face
Brezolles (Eure-et-Loire).
CHAZELLES
M.
Mougeot
(Louis)
son
épouse,
née
Biet
à l'ennemi an Fiaiiidre française, ie 29 avril Rumen (Justiu), de Longwy — Paris, 188, rue
Baltz (Alphonse), 52 ans) — Modères (Tarn-ete
(Marguerite),
par
M.
Meyer
(Auguste),
12,
avede Crimée (19 ).
1918.
Garonne).
Verjus (François), de Lunéville, sergent au Fordoxel (Jean-Félix), de Hussigny — Paris, nue Lamartine, à Bourges.
Bigel (René-Augustin, 52 ans) — Golfech (Tarne
HUSbiCAÏ
115 chasseurs alpins, mort pour la France, à
33, rue Planchât (20e).
et-Garonne).
Aille Delchambre (Judith), par Mme Schneil'âge de 32 ans.
Clesse (François), de Villerupt — Paris, 14,
Sido (Charles), 57 ans — Sexey-aux-Forges (M.e
der,
à
Murols
(Puy-de-Dôme),
qui
a
nouveiles
rue Caffarefli (3 ).
et-Moselle).
Bauret (Eugène), de Tiercelet — Paris 54, rue de sa famille à lui communiquer.
Sida (Joseph), 55 ans — Molières (Tarn-et-GaNOS PRISONNIERS
e
LONG
W
i
-GOURALNLUURT
Kamus (20 ).
ronne).
Mme Pastant (Justin), née Uerlet (Adrieunej,
M. Vïal (Marcel), de Bouxières-aux-Chênes, Brossel (Albert), de Landres — Paris, 48, rue
CIREY
39 ans, rue de la Métallurgie, n" 39, par son
Castugary (15e).
sous-lieutenant au 79e d'infanterie, récemment
Desportes (Apolline) — Béziers (Hérault), 18,
mari,
M.
Pastant
(Justin),
cnez
M.
Vaguer,
rue
Renrion
(Alfred),
de
Vilte-lloudlémoiit
—
Pacapturé, est interné à Karlsruhe.
rue Tourveutouse.
de la Jeuyeule, à Pompey (M.et-M.), qui n'eu
ris, 12, rue Sairft-Amand (15e).
Le sergent Barrier (James), de Nancy, du 4e
Laurent (Joséphine, Joseph, Lucie-Mélanie, Maa
eu
aucune
nouvelle
depuis
la
guerre.
d'infanterie, fait prisonnier dans une récente
rie-Lucie) —1 Lunas (Hérault).
MON r-SAL\T-MAr!TL\
affaire, est au camp de Cassel-Niederzwehren.
Gondrexon (Auguste 48 ans, Marie 45 ans, Eu.U. Uraun (Raymond), douanier, sergent au 33'
M. Colin (Georges), d'Hammeville, lieutenant
génie, Auguste) — Montiuyon (Allier), 162,
d'infanterie, 3" Cie, disparu aux Lparges, le
au 153e d'infanterie, est à Karlsruhe.
rue de la Bépublique.
Colas, 156° Infanterie. — Non, les permission- 3 avril 1917, par son épouse, Mme hrauu, à
COLMEY
naires de l'intérieur n'ont pas droit à l'indem- V'endœuvre-sur-Barse (Aube). Donner renseiDosman (Emde et Mme, née D jrnoiseau, Marie,
nité de 2 fr. par jour. Toutefois on étudie en gnements quels qu'ils soient.
Elvire, Georgette, GamUle, Léonie, Olga) —
ce moment la possibilité de leur accorder.
MOUT1EBS -Couloulens (Aude).
Une réfugiée à Lyon. — Barême vane par
Mme Houdiarne (Hélène), par M. lloudiarue
Nous serions reconnaissants à nos lecteurs département. Pouvez faire une demande à maiCONFLANS-JARNY
et à nos valeureux soldats de nous communi- rie. Vos ressources sont inférieures a 't francs Lucien, soupe populaire à Komans (Drôine), qui Postal (Germaine), née Collo, 30 ans — Troyes
quer les noms de nos compatriotes de Meur- par jour, aurez certainement dro t. car mini- demande à rapatriés de donner nouvelles.
(Aube), 3, faubourg Concel, ruelle Molin, chez
PREUT1N
tne-et Moselle qui ont mérite la croix de la mum barême est de 5 fr. pour tes plus peM. Postal.
Mme
Bourgeois
(Hosulie),
née
Dehage,
«PS
Légion d'honneur, la médaille militaire ou tites communes; 2° Ne pouvez avoir rappel. DeEUVEZIN
parents,
M.
Dehage
(Léon),
propriétaire
à
M^xy,
uue citation a l'ordre du jour.
vez verser au moins indemnité cie loyer soit
Chabaux
(Mélina,
57
' ans, Adèle, 17 ans) —
e
Nous adresser la copie textuelle de ces ci- 5 fr. Or, pour le reste; serez exonérée dès que par M. Bourgeois, 3 zouaves, Bat. M. section
RogéviMe (M.-et-Moselle).
tations ou des motifs de distinction et nous toucherez allocation. (Art- 15, loi du 9 mars de mitrailleuses à Ben-Gardane (Extrême-oudJEANDELIZE
Tunisien).
taire connaître le domicile en Meurthe-et-Mo- 1918.)
Lexa (Marguerite, 62 ans, François 60 ans) —
sefle de linteressé.
R. L. — 1° Non. 2° Si père, tué à l'ennemi
Saint-Saturnin (Puy-de-Dôme).
ADRESSES)
ou mort suite blessures, ou appartenant à forMalpsot (Joseph, 86 ans) — Versadles (Seineet-Oise), 21, rue des Tournelles.
Fritsch (Michel), de Jœuf, soldat au 154e mation de l'avant, jeunes gens classe 19, pou- Hédin (Paul) — Mobilisé aux Ateliers de consJŒUF
truction de Lyon, impasse Brachet, n° 5,
d'infanterie, actuellement à Béziers, hôpital 38, vaient avant incorporation demander affectation
Peut'e Vilain (Juliette, née Dupuis, 34 ans) —
Lyon (7e arr.).
centre de réforme : Brave soldat, d'un très bon régiment de leur choix.
Chaillé-les-Marais (Vendée).
Meger (Baptiste), de Lougvvy-Bas, 25, quartier
exemple pour ses camarades et d'une belle teLIMEY
Saint-Antoine — 109° d'infanterie, 7° Cie, par
nue au feu. A été grièvement blessé le 20 août
Mme Panthieux — Paris, 40, rue Dulong (17e),
B.C.M.
1917 devant Verdun en se portant à l'assaut
chez M. Bonnassy.
des trancnées ennemies. Enucléation de l'œil
LONGWY
droit. (Croix de Guerre avec palme.)
Scheffer (EmUe) — Marnaval, St-Dizier (HauteLa Coopérative belge, Société anonyme
(Suite)\
Marne), chez Mme Faure.
UlbctUlOlIà
à capital et personnel variables, Siège SoPour suppléer au défaut d'indication du n° du
MAMEY
A l'Ordre du Corps d'Armée
cial : 47, rue Vivienne, Paris. Magasins secteur postal, il suffit d'adresser tes lettres, par Renard (Emile, 47 ans) — Dor*èvre-en-Haye
Thiolère (Maurice), de Nancy, fils de feu principal de vente : 42, rue Vivienne, le Bureau central militaire de Paris {B. C. M.
(Meurthe-et-Moselle).
'
M- Edouard Thiolère, directeur de la iteuue In- c/mme suite à l'avis paru dans un dernier Pans).
MONT-SAINT-MARTIN
Classes
dustrielle de l'Est, aspirant à la CM.2 du 29e numéro, nous communique la note suivante
Gilbert (Juliette, née Villes, 35 ans) — Mone
e
chasseurs à pi«d : Jeune gradé d'une bravoure
1894 Mangenot (Louis), 2 cl., 44 Terr. In!.,
taut (Haute-Garonne).
exemplaire. Au cours de la journée du 4 avrU, que nous insérons bien volontiers :
G° Comp. — Hatrize.
Rennequin (Gabrielle), née Thiry, 39 ans, Yvons'est surpassé jusqu'à l'extrême limite de ses
Tous les produits d'alimentation de première 1893 Surback (Edouard), 2° cl., 12e Ter. Inf.,
ne, 7 ans, Jeanne 4 ans) —■ Troyes, à la
moyens pour enrayer une forte attaque enne- qualité à prix avantageux.
lro Comp. — Cons-la-Gruudville.
gare.
mie. A été tué près de sa dernière pièce.
L'œuvre admet comme adhérents tous les ré- 1897 Bronguard (Nicolas), 2° cl., 44e Ter. Inf.
PONT-A-MOUSSON
De Moustiers{ Guy), lieutenant au 29e dra- fugiés belges et français des régions envahies.
7° Comp. — Hatrize.
Abraham (Anne, 61 ans) — Paris, 128, avenue
gons : officier d'une bravoure exemplaire, enLes actions sont de 30 fr. et peuvent être 1913 Meniez (Jean), brig., 83° ArtiU. lourde.
de Glichy (17e). Chez M. Maurice Lauraiu.
traîneur d'hommes sans égal. Au combat du 27 libérées par versements mensuels.
— Longwy.
SAINT-BAUSSANT
mars 1918, a su inculquer à ses hommes l'esLes actions libérées produisent 6 0/0 d'in- 1912 Grunewald (Emile), 2e cl., Détae- Part de Groff (Marie, 52 ans, née Lallernand, Julien,
prit de sacrifice dont d était animé, luttant vi- térêt.
C. O. A. — Doinèvre-en-Haye.
Maurice )— Vertuzey (Meuse).
goureusement contre un ennemi supérieur en
Les coopérateurs obtiennent 7 0/0 de ris- 1907 Thomas (Joseph), 2e cl., 164" Inf., C. H.
THIL
nombre, défendant le terrain pied à pied, lui tourne sur tous leurs achats (sucre seul ex11. — Tucquegnieux.
Van Werts (Joseph, 32 ans) — Saint-Etienne
e
a infligé de lourdes pertes. Disparu en faisant cepté).
1904 Thévenin (Etienne), caporal, 128 Inf.,
(Loire), au Bernay-Massy.
héroïquement son devoir.
Pour tous renseignements s'adresser au bulre Comp. — Longuyon.
VAUCOURT
Nous avons appris que le lieutenant Guy de reau de l'Association générale Belge, 47, rue 1910 Guette (Amédée), 2e cl-, 10° Génie mari- Briot (Jules, 44 ans) — Crévic (M.-et-Moselle).
Moustier avait été grièvement blessé et fait pri- Vivienne, a Paris, et au Magasin de la Cootime, Comp. 20/4 B. — Juvrecourt.
VILLERUPT
sonnier. Il est le liis du comte de Moustier, pérative Belge, 42, rue Vivienne à Paris.
1900 Viot (Prosper), 2e cl., 16e Chasseurs à Azzali (Lucie, 21 ans) — Troyes (Aube), 2, place
maire de Clémery ét membre du Comité de
p\ed, 1 active. — Conflans.
Saint-Mizier.
notre Société.
AGENT D'ASSURANCES DES PAYS ENVAHIS 1911 Neuzerling, 2e cl., 5e Art. à pied. —
(A suivre)
Noirclerc (Jules-Marie-Joseph), de Nancy, 9,
Jœuf.
ou employé même branche, mais très capable et
e
e
e
rue d'Amerval, soldat à la 20 section de secréactif est demandé pour durée guerre; appointe 1893 Emaux (René), 2 cl., 5 C. O. A., dét.
SCIERIE
taires d'Etat-major et de recrutement : soldat
princ. —■ Trieux.
ments fixes. S'adresser : OMNIUM DU CENTRE,
ON DEMANDE : Scieurs, Charrons, Menuire
méritant et dévoué, qui a donné au cours de la
1893 Lebrun (Charles), l cl., 0 Infirmiers, C. siers, Charpentiers, Charretiers de bois,
Montargis (Loiret). — TRÈS PRESSÉ.
campagne des preuves de courage, d'abord
B. D. — Doncourt.
tâcherons. — Places stables et d'avenir. —
comme agent de liaison dans un régiment d'in1908 Bilde (René), 2e cl., 39e Art. camp. — écrire en donnant références à M. de Cournon,
OUVRIERS SPÉCIALISTES
fanterie, puis à l'Etat-major du 31e Corps d'arEuvezin.
mée, au cours de missions photographiques ac- pour Aciérie Martin, demandés par Usines 1898 Bienfait (Célestin), 2e cl., 20e Train, sect. S ierie à Messei (Orne).
complies en première ligne dans des conditions métallurgiques de l'Ariège, à Pamiers.
C. M. 539. — Xammes.
" '
— Ecrire : Directeur Usines, Pamiers.
parfois périUeuses.
1896 Bertrand (Charles), 2« cl., 42° Inf., 57e
A l'Ordre de la Division
Comp. M. P. — Thiaueourt.
BUCHERONS
Cremel (Charles-ltaymond), aspirant au ...e sont demandés par M. Rodange, à Andryes 1895 Franquin (Jules), 2e cl., 44e Terr. Inf.,
VIENT DE PARAITRE
3e Comp. — GenaviHe.
d'infanterie : Jeune aspirant de la classe 1918, (Yonne). Très bon prix Travail assuré pour
BADONVUIAER-LA-MARTYRE (3* édition). Jolie
1895 Vanines (Paul), 2e cl., 6e Génie, 2 C.
s'est distingué comme volontaire dans un coup toute l'année.
M. D. — Rehon.
plaquette relatant les événements tragiques qui
de main, le 5 mai 1918, alors qu'il voyait le feu
1901 Bouquc (Félix), 2e cl., 5 C. 0. A. — se sont déroulés, depuis le début de la guerre,
pour la première fois. A concouru par son
MAGASINS
dans cette coquette cité Lorraine, aujourd'hui
— Ville-au-Montois.
courage à fa capture de prisonniers.
1896 Uufour (Jules), 2e cl., 8e Génie, P. Télég. encore sous le feu de l'enneni, ,avec 18 vues
L'aspirant Cremel est le lits de l'instituteur
de ses ruines, par Emile FOURMER. Préface de
Moutiers.
de Lunéville et ancien élève du coUège de cette
1914 Kempf (Maurice), 2e cl., 130° Inf., 8e M. Léon MIRMAN, Préfet de Meurthe-et-Moselle.
81-83 B. Sébastopol, — 31, rue Turbigo
ville.
•>
En vente en nos bureaux, au profit de notro
C. T. D. — Nancy.
Lexa (Constant), de Briey, soldat au 151e d'inPARIS
1903 François (Joseph), brig., 20° Escad. du caisse de secours : Prix : 1 frauc; franco |
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1 fr. 10; recommandé : 1 fr. 25.
Train. — Longwy.
tuellement aux Sables-d'Olonne : Soldat brave
v
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1907 Merfeld iGustave), 2° cl., 416e Inf., 2"
et courageux, a su judicieusement se servir de
A
Comp. — Homecourt.
son fusil mitrailleur. Très belle attitude aux
CONDITIONS SPÉCIALES
LES ALLEMANDS A NOMENT. — Relation exacte
e
1916 Guérin (Augustin), 2 cl., 6° Chas. Afri- des événements au cours desquels la riante
combats des 8 et 10 septembre 1917 devant Verpo t lea réfugiés de Meurthe-et-Moselle
que, l6r Escadron. — Toul.
dun. Blessé pour la 3e fois.
Les Magasins sont ouverts le Dimanche jusqu'à midi
cité lorraine fut transformée en un indescrip(A suivre)
Geoffroy (Georges), sergent au 171e d'infantible amoncellement de ruines, par André Vie
terie, 2 Cie f usiniers mitrailleurs : Sous offiRIOT, préface de M. Louis MARIH. Ulustratione
cier d'un courage et d'une énergie remarquade MM. MARQTJIGNÏ et VIRIOT.
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bles, dont il a donné de nouvelles preuves aux
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cours des récentes attaques allemandes; son
franco 2 fr. 20; recommandé 2 fr. 35.
Les Grands Magasins
équipe de fusiliers-mitrailleurs ayant été déa
a •
truite, n'a pas hésité à prendre l'arme et, à conLES COUARRAILS DE PoKr-A"Mousson, par Gatinuer le tir lui-même, faisant subir à l'ennemi
les. plus lourdes pertes. (Croix de guerre.)
briel Gobron : Souvenirs de l'auteur exilé sur
I rt II In M litoli -115 Kltlïw tVM*i. PUIS
35
à
43,
Boulevard
Barbes,
Paris
Le sergent Goeiïroy est de Longwy
la terre d'Afrique; contes des grand'mamans,
Accordent aux REFUGIES une
coutumes originales : couarrails, trimazos,
A l'ordre du régiment ou bataillon
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toc-toc,, valentins et valentines courant le
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Agarant (Albert), de Longuyon, mécanicien à ' Immenae uiortiment de MEUBLES
Sur leurs Achats à tous les Hayons :
gâteau. C'est la Lorraine qui revit dans cette
li 6e section, chemins de fer de campagne : I
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œuvre.
Dans la nuit du 14 au 15 mars a fait preuve
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L'auteur a mis gracieusement à notre disd'un courage et d'un dévouement exceptionnels
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en se portant sous les obus au secours de sa- , Cabinets de Travail, Meubles en bot* blanc,
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branchée et le quai étaient soumis à un violent ■ («avertirai, Ttpis, Ti«as pour AjausMemeitt, QUeet.
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Hamant (Lucien), de Moncel-sur-Seille, chasN.-B. Mesdames et Messieurs les (-ënéflciaipes
Le Directeur-Gérant : René GBNIW
sont priés de se munir de leur carte d'identité.
seur alpin au 116e bataillon : jèupe chasseur I aux RÉFUGIÉS sur présentation de leur carte d'Identité
• HP fOVOHV * OC,11. RUI HtkkMttXVIIUI)
d'un courage remaisquable, s'est porté brave-
NOS MÛftrS
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.tapâmes de Meurl_e-ei-toi.e
Convoi du 15 Mai
Interné venant de Suisse
Prisoimiers miliiaîres rapatriés
Petite correspondance
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Médaille Militaire
fraternité Franco-Belge
contre la vie chère
NOS POILUS A HLUlLLi
Bibliographie
THIERY ET SIGRAND
AU BUCHERON
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1
A la Mais MiDorée