on demande - Kiosque Lorrain

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— N' 1054a
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EDITION UNIQUE
JOURNAL RÉGIONAL QUOTIDIEN
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Richelieu, êt 5 4/J. Boulevard d« luEeni
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MERCIER
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0I m iaubonrg Montmartre, aux bureaux de 1 tst tiepunlkain, passage de» rrincei, a t aris.
dans toutes les Agences, et à XEti Hépublicain, à Nancy,
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Leurs échecs quotidiens
sur les rives de la Meuse;
doute Hohenzollern, hn face de
Quinchy et de Givenchy, et dans
le saillant d'Y près.
Les prisonniers faits au cours
Nous progressons vers Thiaumont.
Us sont repoussés vers Fleury et Vaux
sont au nombre de vingt, ce qui
Les Turcs sont culbutés au Caucase,
porte le total de nos prises, depuis
le VT juillet, à 266 officiers et
depuis Kighi jusqu'au lac de Van
15.203 hommes, auxquels il faut
ajouter 86 canons et 166 mitrailParis, 30 août, 0 h. 81.
leuses, et un nombreux matériel.
Petrogmd (offici si). - A
Hier, au cours de différents com- avons repoussé des attaques sur
bats, deux aéroplanes ennemis ont la rive ouest du Stokhod.
été détruits et deux antres forte•■
la jour née, Vadversaire a
ment endommagés, Deux des nô- lancé dans cette région deux mille
tres ne sont pas rentrés. — Havas. obus asphyxiants.
1» COMMUNIQUÉ OFFICIEL
Paris, 29 août, 15 h. KO.
t heures
A la conquête des cimes
h Trentin
Le mauvais temps
'
41»
Sur le front britannique
Paris, 29 août, 20 h. 35.
Communiqué britannique du 29 août,
14 h. 50 :
Le temps, toujours un peu défavorable, a limité les opérations des
dernières vingt.quatre heures à des
entreprises secondaires. Deux attaques locales à la grenade nous
ont toutefois permis de nous coniohder peu à peu aux abords ouest
ie Cuillemont et de Ginchy, et un
Pe" plus au nord. Des organisations ennemies sont tombées entre
"os mains entre le bois Delville
(t le bois des Four eaux.
Au sud-est de Thiepval une nouvelle avance a été réalisée. Une
Mitrailleuse a été capturée.
Au cours de ces opérations, nous
, °^ons fait de nouveaux prisonm<
*s, dont le dénombrement n'est
, Pas encore terminé.
j Les Allemands ont tenté, sans
succès, un coup de main au sud
« Arras.
Ifo"ne
^erie a bombardé cer-
orfl
s portions des lignes ennemies
Heuve-Capelle et le bois Gre"'er, au sud d'Armentières. •
le reste du front, activité
v
;■ ^'"aire des engins de tranchée.
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^ trophées anglais
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en_deux mois
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'5,000 prisonniers, 86 canons,
î 66 mitrailleuses
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Paris, 30 août,. 0 h. 47.
britannique du 29 août,
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Sur le front belge
LE
■Quelques heureuses aci'ons de détail,
malgré le mauvais temps
Les troupes russes et serbes ont fait
I'
Sur la rive droite de la Meuse,
Jàer en fin de journée, une opération de nos troupes vivement
née au sud-est de l'ouvrage de
m
Thiaumont, nous a valu quelques
gains de terrain appréciables et
,
_
«0 « *
——
•
une quarantaine de prisonniers.
Vers
vingt-une
heures
les
Allemands ont lancé deux attaques, l'une sur le village de Fleuy, l'autre sur nos positions aux
r
Par®, 30 août, 0 h. 48.
abords de la route du fort de
Rome
(officie!).
— Dans le
Vaux. Les deux tentatives n'ont
gré les intempéries,
eu d'autre résultat que de coûter
nous
avons
réalisé
de nouveaux et
à l'ennemi des pertes élevées.
brillants
succès.
Au
mont Majo,
Canonnade intermittente sur
nous
avons
repoussé
des
attaques
le reste du frontet avons fait des prisonniers.
2* COMMUNIQUÉ OFFICIEL,
Dans la zone de la Fassa, nous
avons conquis la cime escarpée du
Paris, 30 août, 0 h. 27.
Cauriol, de 2.49S mètres d'altituVoici le communiqué officiel du 29 août, de et avons fait des prisonniers.
23 heures :
Sur tout le front, les troupes des
Aucun événement important à tranchées ont acclamé fraternellesignaler au cours de la journée.
ment les soldats de la Roumanie.
Le mauvais temps gêne les opéraL'ennemi a répondu par des tirs
tions sur la plus grande partie du d'artillerie et de mitrailleuses, que
front. — Havas.
nos batteries ont arrêtés. — Havas.
^ 9 *>■
Nouveaux échecs allemands L'Intervention Roumaine
sir les rives du Stokhod
HAVRE.
— Communiqué belge :
Bombardement réciproque., d'intensité
moyenne sur divers points du front.
Au Nord de Dizmude, sur le bord de
l'Yser, s'est déroulée en fin de journée,
une violente Lutte à coups de bombes, et
les artilleries ont été fort actives dans ce
secteur.
<o-tt-»
Les Serbes les repoussent
et les Bulgares
inventent des succès
Paris, 30 août, 0 h. 28.
Communiqué de l'armée d'Orient, du
29 août :
■ sud est
.
ia
l'e
mi a attaqué infructueusement les
troupes cantonnées dans les îlesDt puis
yf:
jt
i*(
lac
Van, nous avons culbuté partout
l'ennemi. Nous avons progressé
près d'Ognot et fait 283 prisonniers.
avons repoussé
ne ■
lente attaque à l'ouest d'Ognot et
avons infligé de grosses pertes à
l'ennemi,
Au sud du lac de Nimroudgheull, nous avons repoussé des
attaques et avons fait 190 prison»
niers.
Est-ce une bataille navale ?
leur jonction avec les troupes roumaines
Les premiers coups de feu
_
Paris, 29 août, 18 h. 42.
. — Les télégrammes de Vienne
GENÈVE
signalent que le contact a été pris entre
les forces roumaines et austro-hongroises :
Sur les frontières orientales et
sud-orientales de la Roumanie,
disent les journaux autrichiens,
dans la soirée d'hier, nos nouveaux
ennemis, les Roumains, ont traîtreusement surpris nos postes-frontière. Les premiers coups de feu
ont été échangés.
Dans la passe de la Tour-Rouge
et dans les passes au sud-ouest et
au sud de Brasso, dans la matinée
d'aujourd'hui lundi, le combat
s'est engagé entre les avant-gardes
adverses.
Les Russes d'Ivanoff, accompagnés
des Serbes, ont franchi le Danube
Paris, 29 août, 21 h. 14.
Bucarest. — Les troupes russes
Paris, 30 août, 0 h. 42.
des armées du général lvanoff, qui
AMSTERDAM. — Une forte canonnade a éé
entendue pendant toute la matinée à l'est se massaient depuis quelque temps
de l'île Ameland. — Havas.
sur le long du Danube, en Bessa♦«»
rabie, vers Roni, ont commencé à
LES MORTS DU JOUR
franchir le fleuve.
Les Russes, accompagnés des
On annonce le décès, dans la matinée, à
Paris, de M. Dubled, député du Nord, et troupes serbes, ont pris immédiacelui, à Sainte-Privé (Yonne), du peintre
Harpignies. — Havas. tement des trains spéciaux dans la
•
—
direct on du
La jonction des troupes russes
La condamnation de Liebknecht
et roumaines s'est accomplie, diBALE. — Plusieurs journaux allemands
manche soir. — Havas.
annoncent, que les défenseurs de Liebknecht, qui s'est pourvu en revision contre
le jugement du tribunal militaire, s'appuient sur le fait que le droit a été matériellement \iolé, attendu que la condamnation a été prononcée pour un acte qui
n'a pas eu lieu.
Commentaires des journaux
Tous les journaux s'occupent naturellement de l'entrée de la Roumanie dans le
conflit, aux côtés des puissances de l'Entente. Voici des extraits des principaux
journaux de l'étranger :
Nettoyage nécessaire
ROME. — Le « Giornale d'Italia » annonce
que les autorités municipales de Rome ont
enlevé, dans ia salle du Capitole, les inscriptions rappelant les visites du kaiser. —
Havas.
La Presse anglaise
— Du « Daily Express » :
« La réalisation des ambitions de leur
race, pour la Roumanie comme pour l'Italie e't la Serbie, dépend du morcellement
Rien à signaler depuis hier sur
de l'empire austro-hongrois, dont la défaite
la Struma.
rendra la Roumanie irrédente à la mèrepatrie.
Vive activité de l'artillerie dans
RABAT. — Le résident général au Maroc
.« L'intervention roumaine hâtera la pula région du lac Doiran et sur les a fixé définitivement au 15 octobre l'ou- nition de la Bulgarie, en permettant l'averture d'une foire indigène à Fez. Cette
rives du Vardar, où nous avons manifestation coïncide d'une part avec la vance russe et elle fortifiera le parti de
M. Venizelos. Elle poussera peut-être la
détruit le parc d'aviation de fin des fêtes de l'Abid-en-Kébir (fête du Grèce, au dernier moment, à rester digne
mouton), auxquelles le séjour du sultan
Mrzenci (à l'ouest du lac Doiran). Moulay-Youssef à Fez donnera cette an- des grandes traditions dont l'abandon ne
signifierait que honte ».
Notre progression continue dans née un éclat particulier et, d'autre part,
LONDRES. — Du « Daily Mail » :
avec le concours agricole annuel qui atla direction de Ljumniça.
tire chaque année dans la ville un grand
« Grâce à la décision de la Roumanie,
L'armée serbe a poursuivit dans afflux de population suburbaine.
le front droit des Allemands se modifie, le
La foire de Fez marquera le premier
allemand d'englober la Roumanie
la journée d'hier, son avance vers essai tenté pour mettre en rapports di- rêve
dans le vaste empire germanique est bien
Vetrenik, et a repoussé de vives rects les producteurs marocains et fran- fini.
çais. Elle incitera nos fabricants à se
L'acte delà Roumanie marque le comattaques bulgares prononcées sur plier aux goûts et aux hahitudes de la mencement
de la fin, unissant les races
clientèle
indigène
en
même
temps
qu'elle
latines avec la Grande-Bretagne et la Rusla cote 1506 (nord-ouest du lac
permettra à celle-ci de mieux connaître sie contre la traîtrise et la violence alled'Ostréo) et, plus au sud. Des pri- et d'apprécier notre fabrication, non plus mandes
».
sonniers, parmi lesquels plusieurs sur de simples échantillons, mais sur des
LONDRES. — Du « Times » :
stocks constitués et prêts à répondre aux
officiers, sont restés entre les mains demandes.
« Le monde doit reconnaître que la déLa foire de Fez sera aimai le prolonge- claration de guerre de la Roumanie est
de nos alliés.
ment et l'application de l'exposition de la bienvenue et qu'elle est de la plus haute
Les communiqués bulgares con- Casablanca. M. Quantin, secrétaire géné- importance à plusieurs points de vue.
« Elle apporte l'appoint d'une armée très
tinuent à mentionner de prétendus ral de l'Association des classes moyennes,
et M. Terrier, directeur de l'Office du importante de soldats bien équipés et bien
succès aux deux ailes, d'une part gouvernement chérifien, 34, galerie d'Or- entraînés, ayant de glorieuses traditions,
vers la mer et de l'autre au sud de léans, au Palais-Royal, qui s'efforcent au moment où, sur un point du vaste front
d'assurer à la foire de Fez une participa- unique, ce nouveau facteur promet de nous
Koritza (sud-ouest de Florina). tion importante de la production fran- être particulièrement utile et sera particuEn réalité, depuis le début des çaise, fourniront aux intéressés qui s'a- lièrement désavantageux, d'autre part,
dresseraient à eux, tous renseignements pour les ennemis.
opérations, les Bulgares n'ont oc- utiles
« Les Allemands croyaient pouvoir acheen vue de leur participation évencupé qu'une portion du territoire tuelle à cette nouvelle manifestation de ter ou intimider les autres races. L'exemRépublique et de la prospérité dans la ple de la Roumanie hâtera peutê-tre la congrec non défendue, tandis qu'à la
valescence politique de la Grèce. » — Hazone française de l'empire chérifien.
vas.
Vouest du lac d'Ostrovo, à l'aile
LONDRES. — Du « Daily Telegraph » :
gauche, l'armée serbe a arrêté tou« Il est possible que tout ait été combites les attaques ennemies, en lui
né pour que l'intervention de la RoumaCottié (Joseph), matricule 2447, chas- nie et l'offensive du général Sarrail coïninfligeant de lourdes pertes. —
seur au 9° bataillon de chasseurs : excel- cident.
H;Î vas.
« Ce résultat, dû à une offensive diplolent chasseur. Grièvement blessé, le 16
matique
combinée, est heureux,
car il
avril
1916,
en
contribuamt
avec
sa
section
———
à enrayer une violente attaque ennemie. constitue une nouvelle preuve de l'unité
Godard (Brice-Pierre-Anatole), matricule de direction qui se retrouve dans toutes
8975, sergent à la 4e compagnie du 150e rég. les opérations des alliés. Pour les puisd'infanterie : sous-officier d'une bravoure sances centrales, c'est une armée fraîche
WASHINGTON. — On apprend
de bonne admirable, qui a donné maintes preuves de plus sur les bras, et c'est une source
source qu'à la suite de la visite faite à la de décision et de volonté Le 20 avril 1916, d'approvisionnements qui se tarit. »
Maison-Blanche par les représentants des attaquant avec sa demi-section, un ouLONDRES. — Le « Morning Post » écrit :
propriéitairep de chemins de fer, lea négo- vrage ennemi, a enlevé deux barrages,
« La Roumanie accepte les risques et
ciations \ont continuer avec le président fait quatre prisonniers et s'est installé soles sacrifices de la guerre à côté des alW il son
lidement dans la position. Est allé reconA l'issue de cette visite, Se président s'est naître ensuite un autre ouvrage, y a placé liés afin de réaliser ses aspirations naturelles et légitimes, sachant que ces aspirendu au Capitole, où il a discuté avec les un poste en attendant du renfort.
chefs politiques la question de l'opportunité
Arneline (Lucien-Louis), matricule 8236, rations ne peuvent être satisfaites que
d'édicler une loi pour éviter les grèves soldat à la 3* compagnie du 150* rég, d'in- par la victoire des alliés.
« Par suite de son indécision et de sa
d'employés de chemins de fer.
fanterie :
grenadier intrépide, qui s'est
Dans le cas où les négociations échoue- toujours offert pour les missions dange- faiblesse, la Grèce souffre violemment,
raient, le président Wilson est d'avis de re- reuses. Le 22 avril 1916, a soutenu le com- j mais il y a des indices que le peuple
courir à l'exploitation des chemins de fer bat à la grenade pendant cinq heures con- grec, instruit par une amère expérience,
par 1 htat.
sécutives avec le plus grand mépris du commence à comprendre sa situation.
« Il serait bon qu'il fît en sorte de ne
On,croit que 'a date fixée pour la grève danger, faisant l'admiration de sies camap^s^ avoir à se repentir d'arriver trop
~îra le 4 septembre.
1 »4
«t de ses chefs.
LA
FOlSj)E
LONDRES.
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Les cheminots des Etats-Unis
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. — Du « Daily ChronlcT» » :
« La Bulgarie est entrée en
guerre
parce qu'elle croyait que les succès de
Mackensen et de Hindenburg étaient définitifs.
« Douze mois après, la situation est
renversée et un Etat, dont la prudence
était universellement reconnue,
déclare
la guerre aux puissances centrales.
Le peuple allemand pourra-t-il continuer à croire à la légende des victoires
que ses dirigeants continuent à lui servir,
alors qu'il voit un gouvernement neutre
lui donner un démenti aussi catégorique î •
LONDRES
En Russie
PÉTROGRAD.
— Les journaux du soir pu-
blient des articles chaleureux où ils se félicitent de voir la famille des alliés s'augmenter d'un nouveau membre, doïit la
participation à la lutte mondiale aura des
effets imminents et très douloureux pour
l'adversaire.
Le <( Novoïé Vrémia » estime que l'Allemagne, en attendant un châtiment effectif qui sera-terrible, reçoit coup sur coup
des atteintes morales.
En Italie
— Le « Corriere d'Italia
B écrit :
« La déclaration de guerre de la Roumanie devient une réalité aujourd'hui.
« Après la réorganisation des armées
russes, le ravitaillement de l'armée de
Roumanie en armes et en munitions, la
présence d'une armée de l'Entente dans
les Balkans et l'unité des buts de l'action
des alliés s'achèvent par la déclaration de
guerre de l'Italie à l'Allemagne ; la question balkanique, cause initiale du conflit
européen, s'achemine vers une solution
contraire à celle que les victoires austroallemandes avaient fait espérer à Sofia ;
les événements présents doivent causer à
Vienne et à Berlin une impression profonde. »
ROME.
« Idea Nationale » écrit :
« Par la déclaration de guerre de Fltar
lie à l'Allemagne et par l'intervention de
la Roumanie, la crise historique créée en
Europe par la guerre se présente parfaitement nette dans tous ses éléments essentiels ; en outre, ces deux faits ont une
autre et grande signification : c'est que
la foi dans la victoire de la Quadruple-Entente est absolue. »
— L'
En Suisse
Le colonel Secrétan écrit, dans la « Gazette de Lausanne » de ce soir :
« Avec la Roumanie, c'est une nouvelle
armée de 400.000 hommes qui descend
dans l'arène. Elle était attendue depuis
plusieurs semaines, presque avec certitude, par les gens bien informés, par ceux
qui ont assisté de près aux hésitations légitimes et naturelles du gouvernement de
M. Bratiano. L'armée roumaine va, sans
doute, être dirigée sur la frontière austrohongroise et combattre à l'aile gauche de
l'armée du général Broussiloff. La situation militaire de la péninsule est profondément modifiée et la Bulgarie sera la première à en ressentir les coups. »
— La « Tribune de Genève » résume parfaitement l'impression générale en écrivant :
« L'échec de la diplomatie des empires
centraux présage de nouvelles défaites militaires. La position de l'Autriche qui est
déjà si mauvaise, va s'aggraver rapidement. »
Chacun voit ici, dans la double déclaration de guerre, le couronnement de la belle
œuvre diplomatique de M. Briand, en
Orient comme en Occident.
En Hollande
— Les articles publiés par
les journaux hollandais montrent que l'opinoin publique en Hollande voit dans la
décision de la Roumanie, et de façon générale, un coup énorme porté principale^
ment au prestige des puissances centrales
car, pour déclarer la guerre, il fallait qu'à
Bucarest on prévît la défaite finale de ces
puissances.
AMSTERDAM,
Les Austro-Allemands
surpris et consternés
AMSTERDAM. — On mande de Berlin au
« Handelsblad » :
« Alors que la déclaration de guerre de
l'Italie à l'Allemagne, qui était depuis longtemps attendue, a été reçue avec calme, la
déclaration de <nierre de la Roumanie à
l'Autriche a grandement surpris la population qui croyait la crise oonjurée.
« Dans les milieux politiques allemands,
on se rend compte de la gravité de la situation, mais les autorités militaires avaient
déjà, depuis longtemps, pris les mesures
nécessaires en prévision de l'intervention
de la Roumanie. »
GENÈVE — On mande de Berlin :
« La Roumanie ayant rompu le traité
conclu avec l'Autriche-Hongrie et l'Allemagne, et ayant déclaré la guerre à
l'alliée de l'Allemagne, le ministre allemand à Bucarest a été chargé de demander
ses passeports et de ^déclarer au gouvernement roumain que'l'Allemagne se considère désormais en êY.at' de guerre avec la
Roumanie. »
GENÈVE. — Bien que l'on s'y attendît à
Vienne, la déclaration de guerre de la Roumanie a causé de la consternation.
En Espagne
— La nouvelle de l'intervention de la Roumanie et de sa déclaration de guerre à l'Autriche produit à l'Espagne une sensation énorme. Les affirmations des jours derniers laissotent assez
clairement prévoir cet événement, cependant bien des Espagnols, en dehors même
SAINT-SÉBASTTEN.
des germanophiles, refusaient encore d'r
croire.
Ce qui Impresionne le plus les Espagnols, c'est l'idée que, la Roumanie ayant
attendu si longtemps, sa déclaration en
faveur des Alliés prouve qu'elle est absolument certaine de la victoire de ces derniers.
Bien des Espagnols, en effet, tout en ne
croyant plus désormais à une victoire d«
l'Allemagne, se refusaient encore à admettre que les Alliés pussent remporter un
triomphe intégral.
L'intervention de la Roumanie est cta
nature à modifier prompternent leur opinion.
MADRID. — De la « Epoca » :
« Tandis que les troupes du général
Letschisky repoussent les Autrichiens au
delà des Carpathes, qui pourrait nier les
conséquences de l'intervention d'un demimillion de Roumains, bien armés et bien
équipés ? S'ils réalisent une attaque convergente, si la déclaration de guerre s'étend à la Bulgarie, une attaque des troupes roumaines et russes convergeant a.vec
.les forces du général Sarrail ouvrirait aux
Russes le chemin de Salonique, bien plus
facile que celui des Dardanelles. »
La répercussion sur les prix
des céréales roumaines
LIVERPOOL, — Le prix des froments a
fortement baissé lorsqu'est parvenu^ la
nouvelle de la déclaration de guerre de la
Roumanie à l'Autriche.
Le prix est tombé de quatre shillings l«
quarter en une seule fois.
Le prix de clôture a dépassé à peine les
cotes les plus basses.
—_
Di
—
+m ». i
—-
rnier Averfisstment
De notre envoyé spécial.
Athènes, ]» 29 juillet 191Ô.
Une dépêche Havas publiée et commentée par la plupart des journaux d'Athènes annonce : « M. Georges Leygues,
président de la commission des affaires
extérieures de la Chambre, a entretenu la
commission sur les événement^ qui se
sont produits à Salonique et en Grèce au
cours de la dernière quinzaine et a montré par quels moyens les agents allemands et bulgares s'efforcent d'égarer
l'opinion publique. La Grèce court un
grand péril, a-t-il dit. C'est dans la fermeté des alliés que réside la garantie de
son indépendance et de son avenir. »
Ce communiqué a fait ici une très
grande impression dans tous les milieux
ententistes et germanophiles et il a apporté un véritable soulagement à tous les
Français et à tous les amis de la France,
car il leur a prouvé que les dirigeants de
notre pays n'étaient pas dupes du jeu de
l'oligarchie germanophile, qui par toua
les moyens s'ingénie à continuer à Lea
tromper.
-Depuis 1» 21 juin, les Gounarta, Im
Skouloudis, les Rhallys et tous les agents
de l'Allemagne guidée par la reine Sophie
et le baron Schenk, poursuivent un double jeu auquel il eut été dangereux de se
laisser prendre. D'une part ils organisent
des ligues de réservistes, qui s'engagent
à lutter contre « Vénizelos et la guerre »
pour le « rot et la paix ». D'autre part ils
ont le triste courage de se déclarer tous
ententophiles et d'offrir à l'Entente une
collaboration amicale, voire même une
participation à la guerre, à condition
d'exclure du pouvoir M. Venizélos et le
parti libérai
Tant d'impudence naïve méritait une
réponse Elle a été claire, nette, décisive.
La France voit clair, la France n'est pas
dupe, et tout espoir de l'oligarchie germanophile pour lui rendre une aveugle
confiance dans le roi Constantin et la
camerilla bochophile qui l'entoure doit
être abandonné.
L'Entente n'a pas fréquenté sans profit seize mois durant des hommes doués
de la ruse politique qui distingue MM.
Gounouris et Skouloudis. A l'école de ce
génial consortiuim.ces « bêtes de Francs »,
comme on les appelle ici, ont acquis eux
aussi quelques petits talents. Ils ont appris tout au moins à lire dans la pensée
secrète de leurs adversaires. Ils ne sont
plus les dupes des explosions factices
d'antivenizélisme et des propositions d'arrangement. Ils possèdent des informations, qui ne sont pas à la connaissance
du public hellène. Ils le notifient sans
ménagementa La Grèce court un grand
péril, disent-ils, et cette déclaration n'a
pas besoin de commentaires.
Sous quelque déguisement qu'ils se cachent, l'Entente connaît désormais les
agents de la politique allemande. Elle les
poursuivra et les frappera sous n'importe
qu'elle masque, surtout sous celui de l'ententophilie. Le peuple hellène a encore
assez de temps devant lui jusqu'uax prochaines élections pour les connaître à fond
lui aussi et pour répudier toute connivence avec ces dangereux facteurs. Sera-t-it
assez malhabile pour ne pas arracher
les faux-nez ? S'il s'en trouve incapable,
cela dénotera ou trop de puérilité ou trop
de décrépitude intellectuelle ; une faiblesse d'esprit pour laquelle pourvoit le législateur même dans les rapports entre individus. Le temps des plaisanteries est passé.
Du scrutin de septembre dépendra littéralement « l'indépendance et l'avenir de la
Grèce », dit M. Georges Leygues. Des
mains vigoureuses prendront la tutelle de
l'enfant prodigue, qui gaspille victime de
quelques exploiteurs, le meilleur de son
patrimoine sacré.
Il est vain de chercher à s& duper soimême, lorsqu'on a cessé de duper les autres. La note du 21 juin fut un avertissement. L'oligarchie germanophile ne voulut pas en tenir aucun compte et les agents
de l'Allemagne continuent à travailler ici à
la corruption morale et à la ruine matérielle de la Grèce, avec encore plus d'impudence et d'ardeur que par le passé. Le
baron Schenk, l'invisible chef d'orchestre
qui depuis près de deux ans dirige la politique hellénique au mieux des intérêts du
kaiser, continue impunément à organiser
en Grèce la démoralisation de l'armée et à
compromettre le roi dans cette œuvre
d'anarchie. Le grand péril, dont parle M.
Georges Leygues, consiste surtout pour la
Grèce de continuer à croire qu'au, milieu
de la plus grande guerre de tous les siècles les petites ruses niaises peuvent ôtr»
indéfiniment tolérées,
MBMOR.
enfants, Henri et Louis, âgés de 5 et de j
8 ans, pour aller chercher du sucre au iatteignît les emirons de 1 SIMÎ^Î? ^ ^a««
hameau voisin de Haussonville. C'était le }porteurs ^ V^in-Au^T^
REMERCIEMENTS
22 août, à 8 heures du soir. Quand elle i
DCCâS
GONDRECOURT r(
rentra, vers 10 heures, elle trouva la mai£> lm ait
Monsieur et Madame Jean LAURENS,
Georgctte-Thérèse Goujon, 8 mois et 8
° ' *«ÏÏÏi!>
en cendres : son aine, qui avait, eu «impies
fils (ieorges LAURENS et toute la
Tue entre deux wagons — En gare de son
sc
jours, rue du Sergent-Blandun, 119. —■ An- leur
'
Retenons-en
qu'en
maliens d*
son
tablier
enflammé
au
contact
d'une
Goodrecourt. l'homme d'équipe. Léon ra- s(
tnelœette Monfalcon, 78 uns, sans profes- famille remercient bien sincèrement tou- (
l ;u
bougie, était allé cacher ce tablier dans le I
tes
les
personnes
qui
ieur
ont
témoigne
geot,
34
ans.a
été
serré
entre
deux
wagons,
™
J
^cherche/,
,^
(
bt
sion, célibataire, rue de Strasbourg, 119. •
faut^L* ^ v,,
grenier.
Le feu, se répandit bientôt dans 1leur qui va monter ».
Nos braves
sympathie à l'occasion du décès de r1i a inort a été- presque instantanée.
g:
pl
— Marie-Louise Dubuc, 41 ans, sans pro- leur
J
i.a moi a
M
VAUCOULEURS
f
les
combles ; il fut heureusement aperçu iacquérir la. valeur qui a du
t
c
1
cher fils
veuve Zacharie, à Blénod-les-Pont- leur
Nous bornmcs heureux d'adresser nos fession,
,
d'un
soldat, nommé Albert Vanwaels- 1
pendue. — Une femme Pitoy, née Marthe d
>
W
— Louise-Mathilde-Elisabeth ]
plus chaleureuses félicitât.ons a noire «an à-Mousson.
;
cnez
^rrlonter. '
cappel,
en
permission
agricole
Etienne, 53 ans, domiciliée à Vaucouleurs, C1
Schrriitter,
27 ans, employée de commerce,
bergeret, des Imprimeries Réunie», PUUI
;
Estoe à diie qu'aux cour,
Creusot. Ce militaire, qui venait de se
a été trouvée pendue dans sa chambre. Elle M.
w
la brillante conduite de ses deux Dis, au (célibataire, rue du Général-Fabvier, 23. — "
coucher, en apercevant les flammes coin- chat
,
des titres industriels soit «S^ N.
«.ait neurasthénique.
c<
6
Un
mort-né.
'
cours des îétents combas.
prit
le drame qui venait de se passer. Vêtu diqué,
,
qui ont haussé dans d^ *»
Voici la citation du sous-lieutenant Louis
» o »
P
seulement de son caleçon, il pénétra dans tione parfois considérabk*,
^tZ
Bergeret, du 37- d'infanterie, à 1 ordre de
AVIS MORTUAIRE
la fournaise et fut assez heureux d arra- pour les entreprises ayant Dartior^t
ia
dier à une mort certaine le petit Henri ,défense ? - Le conseil^ seradt . clPéTu
<. A la '*Me de sa section, s'est emparé,,
Pour les braves enfants de Vie
Madame Jules CARTIGNY et ses Enqui,
moins heureux que son frère, n'avait bien osé. Il n'y a pas, ré étons!u «"«tf
dans un élan superbe, des objectifs assifants ; Monsieur et Madame Edmond
pu s'enfuir. A peine le courageux soldat chances de plus-value à Penvisa^^ £
Nancy, la 28 août 1916.
gmis, et, malgré les retours offensifs de
CARTIGNY et leurs Fils ; Monsieur et
venait-il de quitter la maison, que la toi- a aimi le revenu, avec le<nV^T ; U »
Monsieur le rédacteur,
Fennemi, s'y est maintenu.
J'OFFRE à tous ieax qui sont atteints de ^
Madame
ANDREUIL
et
leurs
Enfants
;
ture s'effrondrait. Il y a des pertes pour compter les nécessités etTN.?1N
A conduit une reconnaissance très clanJe
- demanderai de vouloir bien, nv ihernies le meyen de se guérie en deux mois I 4.450 francs, dont 2.950 francs pour le proh6t
les Familles CARTIGNY, GOUVENEL,
ment de la vie. Eh bien, no
«fi-euse sur un bois, au moment ou 1 ensérer cette lettre dans votre estimé jour- sans
j
bandage ni opération, comme je l'ai *
fonds national, le 5
rend plu* H
nemi, y em
-A-rapporté de précieux MARC, MRNIGOZ, HERZOG, ROYER, inai.
Priétair&
,été moi-même après de longues années de P
REMIREMONT et avec toute la marge de hausse n?,5 H
GENNELOT, RENARD et ANDRE,
l
C'est avec un vif plaisir que j'ai appris souffrances,
,
par un traitement nouveau,
La Journée du 10 eeptemWe, dont nous porte le ressort de notre vlteJiti ^
Ont la douleur de vous faire part de la .
Son frère, Antonin Bergeret, médecin
le joli geste de M. Schmidrt, pour les réfu- facile et peu coûteux. Vous qui souffrez,
annoncé l'organisation au profit des mdqii*.
au 12e bataillon de chasseurs alpins, une perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en •giés de Vic-sur-Seille. Etant moi-même profitez de cette œuvre loyale et humani- avons
Nos grands titres indust • éc°a*
■
de la ville, comprendra un grand trouvent dès lors concurrencés
fois cité déjà depuis son retour de capti- la personne de
!Lorrain, et ayant habité Vie, sans voit- taire. Je répondrai gratuiteroont ot aincè- pauvres
*
P
concert
qui aura lieu le soir à l'hôtel de
8
c
vité l'est cette fois dans les termes suiloir porter préjudice à ces braves gens, je rement pat retour du courrier à toute let- ville et des représentations cinématogra- rendement et la plus-value Dâr i 1*
vants à l'ordre du ' corps d'armée :
veau fonds national, devenu lnf »
v
demanderais à la commission qui est tr- affranchie. M. G.-A. Parker, 212, rue phiques
au Cinéma-Palace et à la Bras- vialsur industrielle-type. H est 10 •
«" Médecin d'un zèle et d'un allant incomAdjudant au 37* d'infanterie
Lafayette, à Paris
P
• ■'
I ! répartir le montant de ce don
parables Au combat du 20 juillet s'est déla représentation et la synthèse P"8^1^
—
♦ m »———————
,
vouloir bien peneer aux braves Vicois
Mort au champ d'honneur. — L arronpensé sans compter, déployant la plus leur époux, père, frère, gendre, beau-frère, de
les
entreprises et de tous les effort
servant
la patrie. Vie e®t un des premiers
neveu et cousin
i
dissement de Remiremont
de peniro naux.
'rande bravoure pour panser les blesses
™ natfo.
pays
lorrains
qui
a
fourni
le
plus
d'engason inspecteur primaire M le lieutenant
suftaligne'tîë feu, malgré les tirs violents
MORT AU CHAMP D'HONNEUR
gés
volontaires
;
une
cinquantaine
de
ces
Delhôtel, du ..." bataillon de chasseurs
îles mitrailleuses ennemies. S'est même
le 15 avril 1916, dans sa 26* année.
braves font leur devoir, et dont quelquesalpins,
est tombé glorieusement sur le
porté en a\ant de cette ligne pour y soiEPINAL
a
Et vous prient d'assister au service qud uns sont tombés héroïquement pour la
front ri» la Somme Fï ,ppé a 802 P'Jtte de
gner des Messâs qui n'ont pu être ramenés
Manifestation
de
sympathie.
—
A
l'issue
f
de
ACTIONS
*•
aura lieu le dimanche 3 septembre, à France. Malheureusement beaucoup
combat
par des éclats d'obus, le brave lieuque là' nuit. »
c
11 heures du matin, en l'église de Cham- ces jeunes gens sont sans ressources, de la session du conseil général des Vos- 1tenant, qui avait eu la jambe droite broyée Babcock et Wilcox (Ateliers de i
n'ayant pas de famille pour les aider. Je ges, et à l'occasion des récentes nomina- ne
Le* lïéutenani-enlonel commandant le 360e pigneulles.
put survivre à l'amputation du memTUIT.H
• l'ordre de la Légion d'honneur 1
wnhiént d'Infanterie cite à l'ordre du réIl m sera »*o envoyé ét lettrée 4* faire- me tiendrais à la disposition de ces mesbre mutilé.
Mines de Kall Sainte-Thérèse
r
de
M.
Henri
Camus,
vétérinaire
aide-masieurs
pour
leur
donner
plus
d'ampBes
giment Maxime Louis, de la 23* compa- part m mwmnt av+t en tenant lieu,
Encore une nouvelle victime à ajouter Constructions Electriques (Nancvï
M
jor
d»
1
classe
de
territoriale,
au
service
renseignements.
e déjà si longue des membres de Cotonnière de Dedovo.
£, la
ti6 Soldat de 2' classe. Très bon soldat,
Dans cette attente, recevez, monsieur (Tune place, conseiller général du canton l'enseignement
primaire tombés au champ Parts d".
AVIS MORTUAIRE
l
de
Chàtenois,
et
de
M.
P.
Linarès,
préfet
.
le rédacteur^ avec mes remerciements,
discipliné et dévoué. Blessé deux fois au
Forges de Commercy.
d'honneur.
cours de la campagne1. »
Il y avait trois ans environ que M. Gros Roman et C?e.
Monsieur et Madame Emile ANDRE ; l'assurance de ma parfaite considération. des Vosges, M.Armand Lederlin père, président, réunissait, mardi soir, à l'hôtel de Delhôtel avait succédé au si sympathique
M. Maxime Louis est un cominerçanft Mademoiselle Geneviève ANDRE et les FaNicolas HAZARD,
OBLIGATIONS
la poste, dans un dîner tout intime, tous M.
*
bien connu et estimé de la Grande-Rue
Claudon, inspecteur de l'enseignement
milles ANDRE et HULOT,
50, rue du Placieux,
ses collègues du conseil gênérel.
Hauts-Fourneaux, Forges et Acién
Arii.i
primaire,
lequel,
depuis
la
guerre,
a
reOnt la douleur de vous faire part de la
Chili 5 *.
•
« 4a
\ it^préeSdent
de rAssoclatton des
Dans une délicate pensée de respectueu- Jpris les fonctions qu'il venait de quitter à
Pour nos blessés
perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en
Filature de la Vologne 4 et ,4 i
mut:lés et anciens combattants de se déférence et de sympathie envers M. {peine.
Nous avens lecu pour les blessés du 20" la personne de
la grande guerre (région de l'Est).
Linarès, M. Lederlin avait tenu à asso- 1 Il ne fallut pas bien longtemps à M. Del- Brasserie de Vézelise 4 J.
corps la somme de 2 fr., produit d'une colcier à cete amicale manifestation les col- hôtel
j
pour conquérir les sympathies de Mines de la Mourière 4 %.
'lecte faite à la brasserie Pagel, 75, rue
laborateurs directs de M. le préfet : MM. tous
.
; et plus grandes ont été ces ..sym- Annuités de l'Arve 4 J.
Jeanne-d'Arc, par les poilus de la classe 18 leur fille, sœur, petite-fille, nièce et couBellard, secrétaire général de la préfec- pathies, plus grands aussi sont les regrets Filature de Cheniménil 4 | %.
• et l'Amicale Cycliste du Nouveau-Nancy.
,,
ture ; les sous-préfets et les chefs de divi- qu'il
j
sine, décédée à Nancy, le 28 août 1916, à
laisse, non seulement parmi le per- Brasserie de Champigneûllés 4 •/
/0 et
Remerciement?.
Gros Stamm Petit 4 i %.
H
l'âge de uaa an.
sonnel enseignant, mais aussi chez tous
OlNî-PAlAGE. — Tous les jours (ex- sion. ,
Le dîner, fort bien servi, a empreint un Jceux qui l'ont connu.
i matinées rte 2 h à 7 h.Mardi
Et vous prient d'assister aux Convoi fuPromotion
Il n'y a pas d'expression pour exprimer
nèbre et Enterrement qui auront lieu le et vendredi changement complet du pro- caractère de parfaite cordialité et d'amitié.
,ces regrets. La mort du lieutenant DelNous apprenons avec plaisir la nomina- mercredi 30 courant, à 3 heures du soir, gramme.
OBLIGATIONS
Au dessert, M. Lederlin a adressé en jhôtel a acquis un titre de plus à la recontion au grade de capitaine de notre com- en l'église Saint-Epvre, sa paroisse, et de
.
CINEMA-THEATRE. Salle Déglln. — son nom et au nom de ses collègues du naissance
de la nation pour tous ces bra- Compagnie Lorraine d'Electricité 4°' M U
patriote Raymond Richard, parti comme là au cimetière de Préville, où se fera
Jeudi 31, matinée de 14 à 19 h. Au pro- conseil général, ses plus chaleureuses fé- bes instituteurs qui sont tombés si vail- Brasserie de Saint-Nijolas 4 L
»
sergent réserviste à la mobilisation, Il l'inhumation.
gramme : L'Homme des Poisons (suite des licitations à son sympathique collègue M. lamment pour la défense du sol de la Pa- Eclairage Electrique 5 %.
était président du Ralliement, prolonge du
Maison mortuaire : rue Sellier, 25.
Vampires).
Camus et à notre dévoué préfet des Vos- ,trie.
69'.
.N.-B. — Les offres et demandes conte.
Le présent avis tient lieu de faire-part.
— -■
—
ges, M. Linarès, pour leurs récentes noLe nouveau capitaine est le fils de M.
A Mme veuve Delhôtel, sa femme, à son nues dans ce tableau ne doivent pas i'n
minations dans la Légion d'honneur.
Richard, le restaurateur estimé qui dirige
vieiu.x père, à M. Delhôtel, pharmacien à considérées comme des offres fermes mal
AVIS MORTUAIRE
A M. Camus, M. le président a rappelé Gérardmer,
,
le buffet de la gare et qui est lui-même
frère de cette noble victime du comme des indications sans engagement !
en quels termes élogieux a paru sa nomi- devoir,
,
un ancien officier de réserve et qui a été
nous présentons nos condoléances notre part.
Monsieur
le
capitaine
Emile
LAMBLA,
nation au « Journal officiel », le 31 juillet les plus vives et les plus attristées.
juge au tribunal de commerce.
Coupons payables en août 1916
chevalier de la Légion d'honneur, Madame
POMPEY dernier :
SAINT MAURICE-SUR-MOSELLE
Emile LAMBLA ; Monsieur Gaston LAMEntre frères. — M. François Compagny,
((
Bien
que
libéré
de
toute
obligation
L'imprudence.
—
Un
conducteur
d'autoActions
Papeteries Weibel (Ube'l et Ciel.
Avis aux anciens militaires
BLA, caporal ; Monsieur et Madame Paul débitant, rue de Metz, ouvrait son établis- « militaire, en raison de son âge, est res- mobile, nommé Louis Charles, qui passait
c. n° 23.
"
DAX; Monsieur et Madame Louis GENTIL; sement lorsque son frère Pierre, qui tient « té dans la zone de l'avant depuis le dé- sa première nuit dans le hangar servant
et auxiliaires
—
Cie générale d'Electricité, c. 19
Monsieur et Madame Edmond DAX et leurs un autre débit en face du sien, s'approcha
—
Grands Moulins Vilgrain, c. 3 (15
Les militaires blessés réformés et du ser- enfants ; les familles CHARDON et RUZE, et, après l'avoir interpellé, lui porta un ic but des hostilités. S'est montré toujours de salle de bal, appartenant à Mme Roueff,
<( actif et zélé. »
venait, le matin du 26 avril, d'allumer une
août).
vice auxiliaire qui désirent entrer comme
coup
de
poing
à
la
figure
François
ComA M. Linarès, M. le président lui a ex- bougie pour préparer le café à ses camaOnt la douleur de vous faire part de la
—
Société Coopérative agricole fa
agents auxiliaires à la sûreté générale sont
pagny
appela
à
l'aide
son
autre
frère
JoNord-Est, coupon n° il.
priés de se présenter à la gendarmerie de perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en seph, qui travaille avec lui, qui intervint primé la joie qu'il éprouvait, ainsi que rades, quand il laissa tomber imprudemtoute la représentation vosgienne, de sa ment son allumette entre le plancher dis—
J.mprimeries-Réunies de Xancy
leur résidence porteurs de leur livret ou la personne d^
et frappa Pierre à son tour.
récente nomination de chevalier de la Lé- joint. Le feu se communiqua à de la bruyècoupon 9.
autres pièces militaires.
Les trois frères ont été blessés légèregion d'honneur.
re sèche et embrasa tout le plancher en un Obligations 5 % Société des produits éleement.
H a ajouté que cette décoration qui lui clin d'œil. Si bien qu'en moins d'une demiNée Marie-Jeanne VERY
MARBACHE
tro-chimiques et métallurgiMalade dans la rue
a
été remise solennellement par les mains heure le hangar, qui renfermait à l'étage
Violences. — Mlle Louise Monet. ouvrière
ques des Pyrénées.
leur mère, telle-mère, grand'mère, cousine,
Dans l'après-midi de lundi vers 4 heu- parente et amie, décodée à Maxévillc, le d'usine, se*trouvait à la fontaine, lorsqu'ar- de M. le président de la République, lors du bois de travail et une petite remise atte—
4 A Energie Electrique de Meun
de
son
voyage
à
Saint-Dié,
revêt
dans
les
nante
furent
la
proie
des
flammes.
On
évares, un honorable habitant de Champi- 29 août 1916, dans sa 83' année.
riva Mlle Valérie Norroy, avec laquelle
et Marne.
'
gnèulles a été pris subitement d'un maelle engagea une discussion. Puis, les deux circonstances présentes un caractère tout lue à 2.500 fr. le montant des dégâts.
—
4 i- Usines de l'Arve.
E|L
vous
prient,
d'assister
aux
convoi
fuà
fait
spécial,
car
elle
est
la
juste
récomlaise en passant rue Saint-Dizier, près du
<MR-0"
—•
jeunes filles s'emportèrent ; la première
—
4 J Brasseries de Champigneul
Point-Central. Après avoir reçu quelques nèbre, service et enterrement, qui auront gifla la seconde, qui riposta en lui jetant pense des nombreux et éminents services
les.
lieu
le
jeudi
31
août,
à
dix
heures
du
masoins dans une pharmacie, il a été reconsa cruche à la figure qui. en se brisant, fit. rendus au département et du dévouement
—
4 | Mécanique Moderne.
tin,
en
l'église
de
Maxéville,
et
de
là
au
incessant apporté dans l'exercice de ses
duit- en voiture à son domicile.
une égiatignuré.
—
4 °ô Hauts-Fourneaux, Forgai
cimetière de la commune, où se fora l'inhuBAYON délicates fonctions. -— nu méoris même de
et Aciéries de Pompey.
mation.
Vol de lapins. — M. Victor Dumoulin, tous les dangers, — par M. Linarès.
—
4 1 Jeux et Jouets Françail
Accident de tramway
M. Lederlin termine en portant la sanRéunion à Maxéville, Fondoirs-Réunis, cultivateur aux fours à chaux, en allant
BANQUE RENAULD,
Seciélé aEonyœe. Capîîal : 40 millions
donner à manger à ses volailles, constata té de tous les invités et adresse l'expresLundi, dans l'après-midi, un bicycliste chemin du Crosne.
militaire passant rue Saint-Georges a été
En raison des circonstances, il ne sera que quatre lapins lui avaient été dérobés; sion de sa reconnaissance à nos chers et
>
vaillants soldats et sa confiance inébranRappelons que les "Bureaux de la Banque
tamponné et renversé, à la hauteur de pas envoyé de lettres (Je faire part, le par un inconnu.
TOUL lable dans la victoire prochaine.
Renauld restent ouverts, 58, rue Saintla rue! Bailly. Le bicycliste en a été quitte présent avis en tiendra lieu.
Accident de travail
M. Constant Charnpour des contusions. Sa machine a été
A son tour, M. Linarès prend la parole, ûean, comme par le pasoé :
?
bille, 36 ans, ouvrier d'usine à Foug, a été■ et dans une magnifique improvisation,dédo neuf houre-3 à midi
sérieusement endommagée.
(■JjNSa!)
porte-plume- réservoir
REMERCIEMENTS
victime, samedi soir, au cours de son tra- clare qu'il est profondément ému et touet de deux heures à quaîre heures
rem lissa e
_J*\J
"•" ^
P
g automatique ■)•
vail, d'un accident morte! : un wagonnet1
cauf les samedis si vailles Ce fcîcs aprèsi
Madame veuve Emile MANDLEUR, les lourdement chargé a heurté au passage le ehé du. précieux témoignage d'affection et; midi.
ÉTAT CiVI
?9>
3 £r. 50 franco
de cordiale sympathie dont il est l'objet.
familles MANDLEUR, PAYEUR et GOU- malheureux, qui' a eu la tête broyée.
»C*
■
Il rend hommage à tous ses collaboraDu 27 août 1916.
LON remercient bien sincèrement toutes
La victime, domiciliée à Toul, rue TraEn vente à l'£'sf Républicain
les personnes qui ont bien voulu leur té- versière-du-Murot, depuis la mobilisation, teurs : à M. Bellard, à ses sous-préfets, à
■
ses
chefs
de.
service,
auprès
desquels
il
a
moigner de la sympathie à l'occasion du laisse une veuve et deux enfants en bas1
Naissances
Pourquoi mettre un prix élevé à d»
trouvé constamment un concours complet
décès de
ane,
f
Néant.
et amical, et les remercie de leur grand
stylographes quand pour 2 fr. 50 ou peut
™
.
—
.
<fr
0
^»
—————.
Décès
diévouement dont il se souviendra touOrientation des placements. — il arrive, en posséder un qui a toutes les qualité»
Nicolas Martin, 76 ans, cocher, rue Dujours.
à chacun de commettre des bévues et; du stylo de luxe ?
Mitrailleur au 156° d'infanterie
poni-des-Loges, 22. — Marie-Adèle ThoM. Linarès termine en levant son verre• nous n'échappons pas à la règle. On reLA FARINE LACTÉE NESTLÉ
massin, 7 ans et 27 jours, rue de StrasDécoré de la croix de guerre
aux Vosges agrandies et toujours plusi conflaîtra toutefois qu'en général
nous
est
composée
d'une
poudre
de
biscuit
spécial
et
de
bourg, 77. — Louis-Emile Hatt, 2 ans et
atiirr il r,îinrr-iï»M-r;»gt+Êmt |ÉH—IM—*J—I
belles ; à tous les membres du conseil gé-- n'avons pas été mal inspirés dans noss
Changements d'adresses
lait
condensé
sucré.
Par
l'emploi
d'une
solution
un .'mois, chemin des Sables.
néral et à leur distingué et vénéré prési-- conseils d'avant guerre
et longtemps'
REMERCIEMENTS
Nous rappelons à NOS ABONNÉS que (<yw
de malt sa digestion est grandement facilitée aux
dent, M. Lederlin.
avant la guerre, de tout temps pourrait-■ demande de CHANGEMENT D'ADRESSE doit èlrt
bébés et sa valeur nutritive augmentée. Le meilleur
Du 28 août 1916.
3ELLEF0MTAINE; on dire. Cela, quand nous n'avons cesséi accompagnée de la dernière bande i'W"
Monsieur et Madaupe COLIN, Monsieur
succédané du lait maternel. Son emploi prévient ou
Incendie. — Mme Louis, ménagère, de-- de ranger en première ligne les place-■ niée et de CINQUANTE CENTIMES («n iimortNaissances
et Madame KLOSTER et toute la famille
combat les affections intestinales si dangereuses
meurant au Ménil, dont le mari est mobi-- ments de grandes valeurs industrielles, àL posfe ou en mandat-poste), t our pat «
Raymonde-Georgette
Lacour,
avenue1 remercient bien sincèrement
toutes les
aux nourrissons pendant l'époque des grandes
lisé, habite seule une maisonnette située; commencer par la sidérurgie. Nous ne! ? compression de bandes
(Marcel, 47. — Eugène-Fernand Robert, rue' personnes qui leur ont témoigné leur
chaleurs. Facilite le sevrage. Meilleure et moins
face à l'habitation occupée par M. Louisj voyons, en effet, aucun de ces titras quii _——_
de TAbé-Grégoire. — Julien-LucieivVictor-" sympathie à l'occasion du décès de
chère que le lait de vache. Recommandée depuis
Creusot, son propriétaire et chez lequel1 n'ait fait rentrer le capitaliste dans sa
EmUe. Grandjacquot, rue Messier, 24. —
près d'un demi-siècle par les autorités médicales
I. CHftILLY. gérant.
«ÇÉgi
elle est occupée à faire le ménage. La jour-- mise initiale et mieux. S'agit-i,l de l'ac-i
Louis-Victor Hesse, rue Saint-Nicolas, 51.
du monde entier. En vente dans toutes les
■
pgKaW
née
finie,
Mme
Loris
laissa,
seuls
ses
deux
<— Maurice-François-Gabriel Valson, rue
1
: tion de feu Vezin-Aulnuye qui fut absorbé
lKipr da l'Est Kénubiicai».
i ,JB
Pharmacies, Herboristeries et bonnes Épicerie».
François-Grinet, 12. — Louise Merlin, rue
des Quatie-Eglises. 56.
■
NANCY|;
n
Monsieur André LAURENS ,
J^ *C
* ^ ^S>
1Sralre
Tribune pour Tous
i
^J
HERNIES^
^ ^t
%,
Monsieur Jules CARTIGNY
L
VOSGES
"
Mous
avons acheteur*.
Jacpeline-Emilie-Lucette ANDRÉ
Spectacles et Concerts
Mous avons vendeurs •
j
MEURTHE-ET-MOSELLE
Marne Veuve Antoine LIKBLA
BANQUE PNAULD
L*E£ NANCY
wC
cb~
: Considérations financières
monsieur André MANDLEUR
■IIWIII
"
Monsieur Henri CLÉMENT
I
T POINT
I
B
/^TrtïN^
/C-VUiVv
(•S-isi-^êl
^jS5ff
N'EST BESOIN
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C\SKr/
'^^SJs
GOUTTE,GRAVELLE,PIERRE,
ft?yf
LUMBAGO, etc., etc.
deia
FORTE SOMME
r.our guérir RHUMATISME,
//
€§È?PfrzJ
K?r3j
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I
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L'UROMÉTINEUHBIOTTEFrères!
* y&f^^peut le faire & coup sûr.
ifc»^
)\
qifiSS^ jSiJrSVV^
Ella ne connaît pu d'inBUocèB. Elle font! comme
par enchantement les
l lffilM^
&X
tous lé» sédiments dangoreux qui encrassent
les organes des sédentalres malade».
yg*°?
JffSiF*^.
itr~9l^Si
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AVIS
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Vous êtes toujours énervées, Vous aVez des
humeurs noires, de la mélancolie, des accès
de tristesse. Votre [teint est jaune, bilieux,
Vous souffrez du Ventre, de l'estomac, des
reins, du foie, Vos règles sont difficiles,
douloureuses, insuffisantes. Vous n'aVez
pas d'appétit, Vous manquez de gaieté,
Vous compromettez Votre beauté,
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1 » Chronique locale
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» Echos, 1'° Pa8e
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