1 - Kiosque Lorrain

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Transcript 1 - Kiosque Lorrain

Lundi 31 Août 1503
CiKO
^ ============^
CENTIMES
=
===
fiÉDÂCÏiOM et ADStNiSIBAlp. 51, RUE SAIHT-D1Z1EB
RcMclcur m
chef:
Troisième Edition - 5099
~~Z~
LEON
GCULETTE
•
SALLE D'EXPOSITION, DE PUBLICITÉ ET DE DÉPÊCHES
au Point Central do la ViUe.
-
&
W
; t *
cf.*
q"ftulopsies nombreuses, qu'une blessure i C'est
C
sans doute celte cause qui explique no
nos gymnastes peuvent rivaliser, avantapéul entraîner la mort à une date éloignée la
la réduction
r
des congés. Après les périodes ge
geusement, avec ceux de sociétés plus Andu moment où elle a été reçue.
du
du mois deseplembreetdu mois d'octobre il cir
En conséquence, sur la proposition du gé- y
y a
a lout lieu d'espérer qu'ils reprendront ciennes
1
TÉ^^2i2m^n^
né
néral André, le texte suivant vient d'être dans
dar les mêmes proportions que par le coLa distribution des prix de tir des concours
préparatoire et spécial a clos la premis
pas
m; en vigueur :
passé.
mi
mière partie de la fête.
Paris, 31 août, 4 h. 50 matin.
«
Avant
l'expiration
d'une
année
à
compte
Le itiimn;:i< ut lioiiloumié
ter du jour de la blesssure, les blessés qui
*
————
' JJ£
ne
se
considéreront
pas
comme
guéris
fe*
Nous
apprenons que c'est notre distingué i }La deuxième partie de cette solennité a
IF. PROCHAIN CONSEIL DES MINISTRES
rouf constater par un médecin militaire que compatriote,
9°"
le sculpteur Bussière. qui a ! été
et' toute aussi intéressante que la prêmierif.
e'e.
lœFlaaro dit qu'Ouest douteux que le
los effets des dites blessures subsistent en- été
chargé de l'exécution du monument Les orphelins de Saint-Stanislas ont exéu
mouvement préfectorififootivé par le deces
,Qui ne s'est plu à envier parf ois le sort
core. Cette constatation devra être renou- <ï
cuté,
d'une manière parfaite, des exercices
qu'un
comité récemment formé à Vil.tel jGU
.
mi
M Franqalôrésj préfet des Basses-Pyré- ,
velée d'annô en année.
^ec
pas accéléré et gymnastique; ùn
veut faire élever à la mémoire de M. Am- imilitaires:
DE NOTRE PRÉCÉDENTE ÉDITION
des
c forestiers ! Ils vivent, à l'écart de l'agiKLs et le mouvement judiciaire, motive "
Le médecin qui aura soigné le malade à broise
"rc
Bouloumié. Le choix du comité ne I travail libre aux appareils, etc.
tation des villes, dans la paix des grands
01
narle Remplacement d'un conseiller à la ta
se
son décès devra établir que la blessure a pouvait
P
La Sentinelle ne l'a cédé en rien _à l£i
être plus heureux et sera ratifié
roir de cassation, décédé, soient signés au bois
bc
où il fait si bon rêver. Le rêveur, par
Paris, 30 août, 6 h. soir.
ét la cause directe de la mort.
été
Paj tous ceux qui s'intéressent à l'art.
société
amie, car elle s'est fait aussi beaupar
so
Conseil des ministres de vendredi pro- excellence,
Jean de La Fontaine'ne fut-il pas
GO
Tous les certificats médicaux seront légaapplaudir dans des simultanés au&
e5
Aloiilage de statues {suite)
hcoup
,
ÉLECTION SÉNATORIALE %
3;
lisés par l'autorité compétente.
ç
"barres
parallèles, un travail libre aux appaUI « maître des eaux et forêts î »
un
^Daris cette réunion, les ministres se borSi les blessés sont décédés une année rè- J.On a terminé vendredi soir le moulage I re
reils, une leçon de bâton et les pyramides,
Une
élection
sénatoriale
a
eu
lieu
dinianJ*
Mais
La
Fontaine
était
un
fonctionnaire
neront simplement à examiner ces deux
le tout fort bien réussi.
volue
après la dernière constatation médi- de
. , la statue de Mathieu de Dombasle, sur I le
À
'mouvements. — Havas.
déplorable, laissant les arbres à eux-mêmes, che
^ dans le département de Maine-et-Loire, cale
La distribution des prix, pour les con«
leurs veuves ne pourront bénéficier de la
& :place du même nom, et samedi malin, à
Voici les résultats :
ia
la première heure, on a débarrassé fe mo-ico
négligeant complètement les soins assidus
la pension. »
cours à séries fixes, a clos la distribution
Inscrits,
961
;
votants,
955.
—
MM.
Domi
nu
LE GÉNÉRAL ANDRÉ fl LflNORF.CIES {suite) ^
numcnl des échafaudages.
[de
des récompenses el la double fête s'est teret difficiles qu'ils exigent,les abandonnant, nique
n
Delahayo, président non installé de la Le moulage de l'agronome lorrain a donc jm
minée par un joyeux défilé-départ : « La
c
chambre
de
commerce
d'Angers,
monarLandrecies. — Dans son discours au sa
sans vergogne, à leurs ennemis.
|
été exécuté beaucoup plus rapidement que , Saint-Cyrienne
Sa
», exécuté par l'excellente
c
648 voix, élu ; Boulanger, républi- Â
oanquet du soir, le général André a remercelui de Drouot.
rn
Car les ennemis des arbres sont légion. chiste,
.
i
musique
de Saint-Max.
c
cain, 292; Vouhiers, républicain, 5; Gain, g
cié d'abord les habitants de Landrecies de
Il
reste
maintenant
à
nettoyer
sérieuseLes cars Prôville-Saint-Max ont dû, à
'
conservateur, 3 ; Gary, républicain, \
K
leur accueil et s'est déclaré persuadé que Il est un danger moderne surtout contre le- avocat,
ment les piédestaux de ces deux statues, l'c
l'occasion de cette double solennité, faire
il faut absolument réagir : le danger 1 : de Castries, conservateur, 1.
c'était non pas à lui mais à l'idée républi- quel
T
les bornes en granit de Mathieu de Dom- d'excellentes
d'i
recettes, car, dans toutes les
(Il s'agissait de remplacer le comte de
*
ba
foine qu'il représente qu'étaient allées leurs résultant
rc
des dégâts causés aux forêts par
basle et tout l'entourage de Drouot, qu'on voitures,
vc
les voyageurs étaient réellement
àeclamations.
Maillé,
monarchiste,
décédé.
àl
a laissé dans un piteux état, avec des pavés «« cylindres ».
les balles du fusil de l'armée.
Le candidat monarchiste, M. Dominique
Le ministre propose de porter un toast à' i enlevés et une chaîne toute souillée de plaMrJ. George, notre jeune'et distingué! Delahaye,
c
fut élu président de la chambre
l'idée politique que représente M. Combes,
I tras.
Pont-fl'Emsey-Saint-Max
concitoyen, garde général des forêts à Hé-• de
d commerce d'Angers. Le ministre du comÛont le nom, dit-il, peut être acclamé par C(
Pendant que le service des monuments
Lundi 31 août, 243* jour de Vannée.
A la sortie de la distribution des récoml
merce
refusa
de
ratifier
cette
élection.
La
Botes les bouches, car il ne sera jamais ricourt,
ri
Il publics
pu
a fait paraître chez Berger-Le- ]
sera occupé à ce nettoyage néces- p<
penses des sociétés de tiret de gymnastique,
i
de M. Dominique Delahaye — l Aujourd'hui : saint Gauzelin.—Demain: sa
dangereux pour la République.
vrault,
une substantielle et considérable■ candidature
saire, il est bon de lui signaler la statue de ! di
v
Sl
dimanche soir, une voiture conduite par
f
saint
Gilles.
ca
■
frérp
de
M.
Jules
Delahaye,
ancien
député
« Je suis heureux, continue le ministre de
Callot, toute couverte de tâchas de terre jM.
M Esch, venant de la commune d'Essey,
«j.
la guerre, toutes les fois qu'il entend accla- communication adressée par lui à la So-- bboulangiste et antisémite — avait un carac- | 1790.— Célèbre affaire de Nancy: trou- glaise,
lancée
en
boulettes
par
les
gamins
fa
ia
renversé, devant le n° 15 de l'avenue
C1
ciélé
des
sciences
de
Nancy
sur
ces
dégâts,
b
liés
militaires
au
déh
tde
la
Révolution
et
(j
. tère de protestation contrel'altitudedu gou- »
mer M. Combes, car c'est Je gouvernement
u
Û;
Carnot,
à Saiul-Max, le jeune Charles Siein,
dévouement du jeune officier breton Dé-. du quartier.
tout entier el son programme que l'on ac
Les forestiers sont des « scientifiques ». vvernement en cette affaire.)
a
âgé
Utiles.
((
Les réservistes
- de huit ans, qui traversait la chaussée.
clame en sa personne.
A
Aussi Mr J.George a-t-il posé son sujet avec
!
« Nous nous sommes engagés avec M.
soir, les abords des casernes de (j, Des témoins de l'accident s'empressèrent
VOYAGES ET DISCOURS MINISTERIELS q Examens pour l'école d'agriculture de|I Samedi
de relever cet enfant et de le porter chez
Tomblaine.
Ni
Combes dans une bataille, nous écoutons une netteté toute mathématique. Les blessu|I Nancy
présentaient une grande animation, jI ^
Marchai, débitant, où les premierssoins
11
Le général André, ministre de la guerre,
ordinaires'des arbres,presque touj ours suA 8 h. l\2. — P'"ce Boffrand : Concours ij El
tous ses ordres et nous les suivrons jus- res
Elle élail causée par les femmes et les fa-iM.
1 j
t furent donnés.
|m:
qu'au bout, car les soldats ne discutent pas perficielles,
p
| milles des réservistes qui venaient les cher- i lui
se cicatrisant facilement. Il n'en1 a
j présidé les fêtes de Landrecies. dans le ade juments poulinières.
L'enfant fut placé ensuite sur un brancard
(Remise de la croix de la Légion
A 10 heures. — Epllse Saint-Pierre: Fêtel cli
pendant le combat. »
e pas de même pour les blessures reçues Nord.
cher à la sortie de la caserne. Des permis- e|
est
d
î d'honneur
à la ville, comme récompense ddes jardiniers du faubourg Saint-Pierre.
sic
Le ministre de la guerre est reparti pour
sions
leur ont été accordées assez facile- el transporté ches ses parents.
c
1par les balles.
des
sièges qu'elle a héroïquement soutenus,
m
ment.
je Au moment où le triste cortège y arrivait
Paris à 8 h. 30.
1
le docteur Friot qui passait eu voiture a
en 1794.)
En effet, ce sont, écrit M. George : « des; notamment
<'!:KV«(JX en panne
E
Les bouilleurs de cru
Essey et avait appris l'accident s'empressa
M. D0UWER6UE A JONQUIÈRES «« blessures pénétrantes consistant dans' i Après les réceptions, le général André
5 s'est rendu àl'hôtel de ville où il a pris place;
de venir prodiguer ses soins à la petite VH>
Le règlement d'administration publique, \ prDimanche, dans 1? soirée, M. M..., pro- time,
♦ l'arbre en des fentes et en une galeriei dans
c
sérieusement blessée aux jambes pai*
priêlaire à Pont-à-Bar(Ardennes), a déclaré 11
la tribune officielle établie sur la place' concernant
Jonquières.— Dans son discours au banc
les bouilleurs de cru, cause un \\\\
l£ roues du véhicule.
«
creusée
aux
dépens
des
tissus
qui
sont.
«
;
a
la police que son charretier avait disparu les
t
en
l'ace
du
monument.
g
quet du soir, le ministre des colonies a dé- *
grand émoi dans le département de Mour-!av
Le cocher, auteur de l'accident, avait conquatre chevaux qu'il lui avait confiés
claréque le ministère était soulcnu par la « hachés et tués, l'arbre ne peut pour ainsij
Tout autour se dressent les drapeaux et- tthe-et-Moselle. el particulièrement dans 1 ar- .avec
! pc
tinué
sa course précipitée mais son attelage
i pour conduire un bateau de Frouard à Neu"
pensée que l'avenir de la République était «« dire rien, et ces blessures inguérissables bannières
des sociétés de musique ou de! rondissement
j
[
vinicole de Toul.
jve
b
a
avait
pu être arrêté par les pompiers de
i ves-Maisons.
gymnastique derrière lesquels se presse'■
dans l'esprit laïc.
j «
Il vient au lendemain des déclarations de
Saint-Max.
Il continuera, a ajouté M. Doumergue, à « deviennent immédiatement le siège d'unI •une foule nombreuse.
j Combes, à Saintes, qui paraissaient re- I za Les agents de la sûreté Naudin et Fi- s
M.
se sont mis à la recherche des cheachever son œuvre, parce que le pays est «" foyer d'infection pour tous les organis-iLe ministre de la guerre remet alors la1 ilativement satisfaisantes pour les petits salue
Petites plaintes
va
(
vaux qu'ils ont retrouvés à l'écurie de M.
auL ibouilleurs.
avec lui. — Havas.
*« mes inférieurs qui y ont libre entrée. La
ft croix d'officier de la Légion d'honneur
P<
On
nous
prie
de signaler à l'administration
Fénard, rue Bénit, où le charretier les jj
de Percin, commandant le 84e de
, « décomposition des tissus s'accroît de jourr colonel
\
M. Chapuis, dimanche dernier, au comice: av
l'état dans lequel se trouvent les caniveaux
L'ÉQUIPÉE DE JACQUES LEBAUDY (suite) \
avait placés en pension.
^
ligne, et la croix Je. chevalier au comman-■ de
t
Dommarlin-les-Toul^ avait, lui aussi,
du faubourg Saint-Georges près du PopÊ
; « en jour ; l'arbre, incapable de réagir, est;l dànt
<
Les chevaux onl élé remis à M. M...
$
Pbnsignon, au capitaine Piou et à M.• prononcé
j
un discours encourageant.
d'Essey, ils sont cause de nombreux acciM. Ludovic Naudeau, envoyé spécial du! «* livré sans défense à tous ses autres ennsi- 1DeloTire, maire de Landrecies, au litre miMais, apparaît ce règlement draconien
\-- «
d
dents de voiture el les réparations' sont en
1
Journal aux îles Canaries, lui télégraphie: << mis ; il reste exposé à être frappé par jde litaire.
(dans lequel M. Rouvier, ministre de^ finan- .
e
Deux rixes sérieuses ont eu lieu diman-. cconséquence urgentes.
Se Las Palmas qu'ayant été précédé sur la• «< nouvelles balles »
, Aussitôt après la remise des décorations,r (ces, contrecarre absolument les paroles du. che soir, la première rue de Tomblaine, la
La clôture en planches qui condamne, sur
côte africaine par le croiseur français Galil'harmonie et la chorale du Caleau ont exé-- président
j
du conseil.
seconde
p.
rue de la Hache, à l'angle de la rue\ 1le pont d'Essey, lï porte de l'escalier accéM. George a étudié d'abord minutieusei
lée, a dû renoncer à tenter quoi que ce soilf
scuté
une
cantate
A
la
Liberté,
qui
a
souleu
cdant jadis à la berge du côté gauche de la
1
Notre consœur l'Etoile comprend com- Clodion.
pour délivrer les cinq marins do Lebaudy,) ment
les dégâts causés par les balles aux
vé d'unanimes applaudissements.
.
\
J
x
bien
la situation est étrange, l'anomalie flaLa police a dressé.procès-verbal.
Meurthe,
a été enlevée. Des enfants de tout
capturés par les Maures.
Earbres des différentes essences.
* La société de Wasmes (Belgique), dontt jgrante.
sâge risquent donc de se tuer en dégrin(
11 a dû se borner à ravitailler les captifs,
tous
les
membres
sont
revêtus
du
costume
5
Voici le chêne : « Le dégât causé et l'alElle le fait remarquer : Ainsi, voilà l'argolant par cette ouverture.
avec lesquels il n'a pas pu s'enlrctenir,mais'
national des mineurs, a chanté ensuite le t
Dimanche, à une heure de l'après-midi.
— On signale aussi la mauvaise odeur
iju'il a pu apercevoir et qui paraissaient en■ «4 tôralion produite dans un chêne par unee Salut à la France, la Marseillaise et lai <licle 4 qui indique que les bouilleurss
i devront inscrire sur un registre spécial la une
™ ronde d'agents a élé injuriée rue delà' 'que
<3
dégagent des cabinets d'aisâncès si lues
bonne sauté.
«< seule balle est considérable et inguérisi- Brabançonne, dont l'exécution a élé sui-- ]nature et la quantité des matières verséest -1
5 Hache, par un ouvrier maçon', Arthur Kal-'. sur
s
le côté droit de la première pile de cé
Les indigènes qu'il a interrogés ont dé-- «< sable.
vie d'une longue et chaleureuse ovation.
\da ns l'alambic, la date et l'heure du com- le
. 1er, âgé de 2.1 ans, demeurant rue Clodion. pont.
I
cVivé qu'ils n'attendaient que l'ordre du sul« Go dégât et cette altération sont d'aumencement et celles de la fi.i du charLes agents ont conduit Kaller au violon,
— Les travaux nécessités par la pose des
tan pour livrer les prisonniers au commant«%
w
1
gement de l'appareil. Ce même article ditl mais,
dans le parcours, l'irascible maçon les5 voies
du tramway à Jarville prére^cr\ Jes
« tant plus considérables et plus immédiatss
dant du Galilée. — Havas.
a frappés,
M. Doumergue, ministre des colonies, ai <que, lorsque la période de distillation n'ex-. a
iinconvénients pour le roulage, en r; is - i i'e
« que l'arbre esl plus jeune, que le nombree iquitté dimanche matin Nîmes, allant à <
1
i cède pas vingt qualre heures consécutives,
— Dans la nuit de dimanche à lundi, sixi l'encombrement
de cette route d'ordinaLe
M. LttURENT-TflILHftDE ET LES BRETONS! !« des balles qui ont frappé le chêne est plus •
E
is Jonquières, village de sa circonscription,• 1les bouilleurs sont admis à consigner au{ pochards
P1
fréquentée.
et trois filles soumises ont été dé si
Le Français signale qu'à la suite de lai '« élevé et que les hauteurs des blessures
,s présider à l'inauguration d'une nouvellea ;verso de l'ampliation de la déclaration faite, posés
au violon.
P
Ainsi, samedi matin, un cocher qui conpublication, dans l'Action, d'un article de? .* sont plus grandes, l'altération gagnant mairie el aux fêtes données à cette occa-,- à
i la recelte buraliste, les observations rela- ,
duisait une voilure dé noce, dans laquelle
II
1
r
s
Laurent. Tailhade injurieux pour les Bre- ,
sion. M. Doumergue était accompagné dee tives aux prescriptions qu'édictait cet arti- «
se trouvaient deux invités, est tombé dans
Î- MM Bonnefoy-Sibour et Crémieux, séna-- <cle 4,
tons, celui-ci a dû quitter Camaret (Finis-" « plus vite les parties inférieures que supé. une
fouille où il s'est blessé
e
1
~
«
rieures
de
l'arbre.
teurs du Gard,
tère) où il se trouvait en villégiature àvec '
I
Dans la soirée, la voiture, lourdement
Or
M.
Combes
a
affirmé
que
les
petits
Mme Laurent Tailhade.
5
ET
(
Aussitôt arrivé, M. Doumergue s'est ren« Le chêne ainsi atteint est condamné à
chargée de marchandises. dA M. Onffe,
- bouilleurs ne seront point teilus de tenir le
. ( TJnvj partie de la population avait lapidéS «• mourir au bout d'un temps plus ou moins du à la mairie où ont eu lieu les réceptions
commissionnaire à Lunéville, a, à son tour,
s registre indiqué par l'article 4. M. Rouvier,
s officielles.
l'hôtel où il était descendu et menaçait des ,« long ».
roulé dans les fouilles.
de son côlô, veut les forcer à tenir ce regisC'est par une après-midi splendidementt
lui faire un mauvais parti.
Après avoir signé le procès-verbal d'inaui- tre.
e
M. George continue en affirmant que « la
ensoleillée qu'a eu lieu dimanche, à Saint[a guration de la mairie, M. Doumergue s'est
La gendarmerie a dû protéger sa voilure.
Jarville
t
Qui va avoir raison du président du con-- %
— Havas.
Max, une double solennité: Celle de la dis. rendu à l'école des garçons où il a présidé
« balle, quelle que soit l'essence, cause parf
e
é seil ou du minisire des finances ?
ti
tribution des prix de tir du 42 régiment'. ■ M. Louis Caretto, terrassier, occupé à
un grand banquet de 400 couverts.
RÉUKtOFj SOCIALISTEE « lout le même dégât et les mêmes désorr
a été victime, l'autre nuit, l'un
territorial et la fête de la société de gym- Jarville,
'
"
Au Champagne, le préfet du Gard a por« dres.
n
nastique
la Sentinelle de Saint-Max qui, on[ vol.
Lorient. — A l'issue d'une réunion sociaté, en termes très heureux, un toast trèss
On a dérobé la pioche de cet ouvrier dans
L'article 15 énonce que le transport des |
se le rappelle, a obtenu, celle année même,
« L'altération qui se produit appaiaitavec
ustc, à laquelle assistaient de nombreux£
^ applaudi au président de la République.
champ de pommes de terre, où il l'avait
matières du domicile à la distillerie et celuisi a
à Marseille, de nombreuses récompenses. ' un
'
ouvriers venus d'Ilennebont, des groupess « ses conséquences non pas comme un cas
Le
maire
de
Jonquières,
MM
.
BonnefoyIS
, cachée en quittant le chantier.
'" des eaux-de-vie de la distillerie au domicile
La
fête
avait
lieu
dans
le
même
enclos
nombreux onl parcouru les rues de la villee « particulier à un arbre ou à une essence, Sibour et Crémieux, sénateurs, ont ensuite
e
e
3
e
— Une amusante histoire défraie maintes'effectueront sous le lien d'acquit-à-cau-, 1
que celui où elle fut célébrée, l'an dernier,
en chanlan t Y Internationale. Aucun inci' pris la parole. Enfin, le ministre a répondu.
l
l
* * mais comme un fait général et acquis,
> tion.
P
près
de la salle du gymnase, sur la route;' nant les conversations des habitants dè
dent notable à signaler. — Havas.
s,
Jarville. Voici quelques renseignements à
L'Etoile rappelle à ce propos ce qu'a ditt d
de Tomblaine au Ponl-d'Essey.
« qui a pour origine une cause générale. »
MM. Trouillol, ministre du commerce, et
îl M. Chapuis à Dommartin-les-Toul. il a en-[.
Dès
deux
heures,
la
foule
se
pressait
'ce sujet :
U
L'auteur
s'occupe
ensuite
des
indemnités
DÉPART DE L'EXPÉDITION CHARCOT
11
H Chaumié, ministre de l'instruction publiA la suite d'une discussion violente avec
i- gagé les viticulteurs à créer des distilleriess nombreuse
sur le champ de la fête. Une'
— qui doivent compenser les dégâts faits aux
e
x que, ont assisté à la distribution des récomi- coopératives.
Brest. — Le Finançais, qui emporte l'exestrade fort bien décorée avait été dressée'e !son voisin, Mme X..., quinquagénaire, est
e
^ arbres, « l'établissement dans l'intérieur
allée déclarer à la gendarmerie que ce derPLUttiou Jean Charcot vers le pôle Sud est
>.
Les produits distillés en commun pris enu en face des appareils de gymnastique.
n. penses du concours agricole de Marmande.
^ Aucun incident.
Paru hier à 3 h. 35 de l'après-midi.
charge par la régie après le prélèvement de
«des forêts ou dans leur voisinage imméSur le devantde cette estrade, une grande nier était venu, l'autre dimanche, chez eïte.
e t;
l'absence de son mai i, et qu'après lui
Une foule nombreuse a acclamé les ex'
x- « diat, de champs de tir, étant une cause de
EN MACÉDOINEc 20 litres d'alcool pur, montant de la con- table est chargée des lots gagnés par les®s en
ie
avoir fait des propositions fort tendres,
plorateurs. M. Jean Charcot a répondu par
adroits tireurs.
h. sommation familiale, ne paieraient les fraiss plus
P
if « la baisse du revenu des forêts, cette dimij.
Irieste. — Une escadre autrichienne.
l« cri de : « Vive la République ! » — Hae, qu'au sortir du chai commun.
Parmi ces divers objets, on remarquedes 'qu'elle avait repoussées, il avait cherché à!
a
vas.
" « nution de revenu affectant péniblement. composée de trois cuirassés et de onze
se
C'est évidemment une solution satisfaij. lniMailles en or. en argent, en bronze, et?l :abuser d'elle, mais que, grâce à une r,éste
« tous les propriétaires de bois : l'Etat, les torpilleurs, a quitté le port de guerre de
le santé, — et nous nous joignons à M. Cha-. ?des diplômes. Voici aussi dés cache-pots,; tance énergique, elle avait échappé a sels
es pola et s'est dirigée vers les eaux dalma;
t
a- puis et à l'Etoile pour attirer sur une telle
J
« communes, les établissements publics et les.
joliment
décorés ; des lampes, des écrjnss' obsessions.
EU
e c
Le voisin a répondu aux gendarmes qu'il
solution
l'attention
des
intéressés
—
mais
'
«contenant
des
cuillères
à
café,
des
cou« les particuliers. »
{suite)
Après avoir visité les ports de Zara et de
s
V était au mieux avec Mme X... et que Chale toutes ces distilleries restent à fonder,
c tleaux, des dessous de plats, etc., etc..
Sebenico, l'escadre est allée faire une croii- beaucoup de cultivateurs ne s'y décideront
!t,
A trois heures prés ises les autorités vien- que fois que le mari de celle-ci était absèn*,
Rencontres sanglantes
• • siôre le long de la côle méridionale de' la
1
la que lentement.
nent prendre place sur l'estrade qui leurrT il venait vider force bouteilles avec sa voiQ.
« En 1897, la moins-value annuelle du reSalonique. — Suivant une dépèche offie
*e_ Dalmatie. Actuellement elle se tient prête à
à
Et pendant longtemps le régime ruineux est réservée. On remarque M. le comman- sine. Que dimanche il a fait de même .et
x c
aeile turque, six bataillons turcs ont enle-. « venu forestier déterminée par les champs
_
partir pour l'Orient, si sa présence y est
st des acquits-à-caution continuera â sévir.
dant Bader, du 37* d'infanterie, déléguéï que c'est lui qui a dû résister aux tendres
e
vé hier, a Smilano, une position occupée
^~ nécessitée par de graves complications.
«
;e
«
de
tir
et
de
manœuvre
était
évaluée
pour
parle général Michal,pour présider la fete;. sollicitations de Mme X..., qui était devePar 3,000 Bulgares.
» *
le capitaine Brunei, de la territoriale, pré-? nue trop entreprenante..., il n'a pas (a-t-îl
« l'Etat à 150,000 fr. environ. Ce chiffre, aurg
Ce qui excite le plus de plaintes, le plus
Un millier de Bulgares ont été tués. Les
uI
NOUVELLES
DIVERSES
ls P
es
sident de la Société de tir ; Bourgeois, se- ajouté) voulu orner le front de son voisin.
« jourd'hui, doit être certainement bien su- de récriminations, c'est le scellement des
Pertes des Turcs sont, insignifiantes.
iU
15 <
~
L'empereur
Guillaume
a
chargé
son
âmcrétaire
de cette Société ; Vlriot, conseiller
nalambics
avec
une
espèce
d'appareil
barba^
Les Bulgares ont été aussi chassés de Ne-. « périeur et il doit être très élevé pour les
Malzéville
e
es bassadeur à Paris, le prince de Radolin, de
d'arrondissement
; Courtot, instituteur à
le re, prétexte — malgré sa désagréable destit
weska. Suivant eux, cette position était
l
dt « forêts communales,
i_
Les
gardes
des
propriétés Kronherg et du
remercier
chaleureusement
M.
Loubet
de
"
Saint-Max
et
un
grand
nombre
de
conseille imtion — à des plaisanteries faciles.
J
évacuée lorsque les Turcs sont venus la
Trianon ont amené dans la nuit de samedi
la
« Cette cause de diminution ne peut que s n don de 5,000 francs aux sinistrés des
îs
Ce sont les employés de la régie qui de- lers municipaux de la commune.
Bombarder et l'ont reprise.
inondations de Silésie.
Le service d'ordre est fort bien assuré parr à dimanche à l'agent Lucas, délx jeùn%s
_ « s'aggraver avec la durée des tirs et "la
vront lever les scellés Seront-ils jamais
Les Turcs n'auraient pas molesté les bala
Ls j
a
Nantes. — Un important incendie s'est
. gens, surpris au moment où il se dispo. ,les sapeurs-pompiers de Saint-Max, comsants de Neweska.
st assez nombreux pour cetle besogne consi« portée de plus en plus grande de ces
A
:es d claré, dimanche, dans la tannerie Des*" mandés par le sympathique lieutenant Mcry.' saient à enlever du plomb dans ces propriéîsdérable?
Si
les
employés
tardent,
les
marcs
;s
* tirs. »
La dynamite
bois, située sur les bords de la Loire.
Après l'exécution de la Marseillaise par.. tés.
s'abiment. M. Chapuis a promis de demana j
:
Deux pompiers, Gabriel Pécheur et EuUne indemnité très légitime est donc évi" la
musique « La Jeune Lorraine » de Saint^_
Les individus ont été incarcérés au vioVienne. — Une bande d'insurgés, sous
u- der que les receveurs-buralistes, qui sont
j
as
n
c mm
gène Verger, ont reçu, sur la tète, un lourd
A
Ion municipal, ils ont dit se nommer Rôllin
Max,
M. Brunei prononce une allocution où
L °
anderaenl de Kisoloff, a fuit saulcr
rd sur place, puissent procéder au descellej
,nt
e
cr demment due, mais ces indemnités sont
a cascrn
tuyau de zinc. L°s dégâts causés par l'in" ,il démontre l'utilité du tir, qui ne fera que Armand, 19 ans, et Péters Louis, 14 ans, et
Oiwvi
e turqne de Peringedirège.
n- ment.
e. souvent refusées, ce qui tient à la légisiaia- cendie sont évalués à 250,000 francs.
croître
encore en raison de la réduction du
mt que deux cents soldats onl péri.
u demeurer aux Trois-Maisons.
Ce sérail beaucoup plus simple, beaucoup
t
l
,
tion
actuelle,
ne
permettant
pas
l'évalua_
Saint-Pétersbourg.— Le grand-duc MiP temps du service militaire actif.
cii^„ . maison particulière, à Garitza, où
ia
li- plus logique. Mais l'administration ne passe
5
;e
I.
Saint-Max.
chel Nicolaïévitch, oncle du tsar, frappé
ffl"ant0 soldats turcs étaient cantonnés, j|
a lion du dommage.
pé pas pour aimer éviter les complications.
j A son tour, le commandant Bader fait
d'une
attaque
d'apoplexie,
a
perdu
la
parole.
l'éloge
des
sociétés
de
tir
et
de
gymnasliélé
i_
Dimanche
malin,
a eu lieu à Saint-Max
ije
M. George a étudié cette législation
e.
Telles sont quelques réflexions entendues
ûvivim?»
détruite par une explosion de
011
3S (
D'après le bulletin publié, il s'est produit
que
de Saint-Max. Il démontre la nécessité
,é une réunion du conseil municipaj, a l;effel
"yaamite.—Havas..
lit de bouilleurs.
.
défectueuse, et il propose de lui apporter
1er à sept heures du matin une attaque d'apode faire de bons tireurs et de développer
\v d'élire un maire, en remplacement dé M.
oNul ne met en doute la bonne volonté de
Ie ,
certaines modifications.
plexie accompagnée d'une paralysie du côté
té M. Chapuis.
jpar la gymnastique la vigueur des soldatas Iluet, décédé.
__JVNJW LA DERNIÈRE HEURE
de
l'avenir.
gauche.
A
midi,
la
paralysie
était
moins
acLa législation en vigueur, modifiée :
Trois tours de scrutin ont ou lieu.
teD'autre part, nous avons publié la lettre
centuée. Malgré l'assoupissement, le malade
>
Au premier tour, M. Délavai avait été
3e si nette dans sa concision où M. le sé. Le président de la fête termine son allo« L'Etat lui-même se verra enfin allouer
Ler
E
a encore toute sa connaissance. Le fonotioni- élu, mais il a refusé d'accepter ; au second
n- nateur Poincaré traduisait l'étonnement"L eu tion en disant que la devise de toul Fran« une indemnité pour les dommages qui
iui nement du cœur est satisfaisant. Le nombre
doit être : « Tout pour la France ! Toul
!t tour, M. Durantey a été élu et s'est aussi
re douloureux causé par le règlement de M. gais
;
AU MAROC:
« sont causés aux forêts domaniales et pour
,U1- des pulsations est de 60. La température est
!■• pour la Patrie!» (Vifs applaudissements.)
\ récusé. Enfin, au troisième et dernier tour,
ist Rouvier et annonçait son intention de le
;
16
normale,
•
0
6 no v
M. Sognet, élu, a refusé de même.
. « La dépréciation du prix des lots de chasse,
oa
questionner à ce sujet, lors de la rentrée
su,
;e
«
m
' l'échec^ubnJpi ^
i eaux détails sur
Le conseil s'est donc séparé sans avoir
des Chambres.
. « et l'autorité militaire sera enfin contrainte
l
s cb éllen
Les
exercices
de
gymnastique
vontmainite
*
m
«es. Le coml at eut Heuà
abouti à donner un maire à la commune.
a
.
Peut-être parviendra-t-on à arracher quelI
I
Nous avons parlé hier de la discussion qui rap;1tenant
alterner
avec
les
morceaux
de
niusil 1 ouest de T-ivQ o
^° Kilomètres a
à « à rembourser au budget des recettes des
lD
1_ Une prochaine réunion aura lieu incessamles
<
.it que
exécutés par la Jeune Lorraine,
ue « forêts, par voie, de virement de compte, pelle celle de la tiare d^. Saïtapharnès, commencée ques atténuations au règlement? Il faudrait
i ^prévue dÀ ,th^rprls iPar une attaque
-, ment.
1
es (,ui avaie 1
le,
à
propos
de
la
fameuse
^téle
de
Mésa
dont
eu
gloj
_
—
pour
bien
faire
—
que
ce
règlement
ne
ie
Voici,
pour
commencer,
un
mouvement
t outes
" '
» co'icen- « le montant de ces indemnités.
0
S forces di,ns ceL
rifie le Louvre.
fût pas uniforme.
id'ensemble de la XXIX* fête fédérale de
« co,
endroit,
La sévérité est peut être indispensable
I
j.
Hàtons-nous
d'ajouter
que
l'authenticité
a
d'ari
Perdu ,'
' , n'ï'andant la colonne,
'
«
Tandis
que
jusqu'à
aujourd'hui
l'autorile Marseille,
exécuté par la société gymnique
ir
le
La fête de Villers-les-Nancy a été célébrée
ie
i dans le Midi ou l'Ouest. Là, la fraudes'exerle sig iai
ai « té militaire, contrairement aux principes dents défenseurs.
r- <des Orphelins de Saint-Stanislas, sous la
la dimanche avec un entrain qui nelecédàit en
>es
'
%«a débandade
"
çait d'une façon colossale. Mais dans nos
<
DS direction de M. Bossner,
et la Sentinelle,
e, rien à celui des années précédentes.
to
1
,rou es
« les plus certains de la matière, contrairepays de l'Est, le régime draconien préparé
'
ré dirigée
par M. Baron.
rfin ^,
P
rebellés, on voyait,
Dès deux heures de l'après-midi de louJ9j « ment aux prescriptions du décret sur la
par M. Rouvier n'est pas nécessaire.
I sde afellu le;a(qU1
'f^a^e, un grand nombre
Cet exercice, des mieux réussis, soulève
ve gues théories de promeneurs, venues pi'ifies ; ue ]
Seulement,
peut-on
opérer
une
distinction
m une véritable ovation. Il est suivi d'un si[ '" en r, v,
' ^
l
e combat se des3i- cipaleinent da Nancy, s'installaient dans les
ïd_ « comptabilité publique, contrairement aux
6Ur
entre les diverses régions?
to.it fi»\- ' dMS insurgés, s'occupèrent
multané à la barre fixe par la Sentinelle,
ni « engagements pris, se refuse au reinboure, établissements de la commune pour y vider
puis commence la distribution des prix de
La [tension de veuve
Les employés de tramways
ie le gosier asséché par la traditionnelle brio« sèment de la moins-value annuelle du rev
b e
°ir des inc.
' ssés qui tombèrent au poutir, des concours d'honneur ét prix de séann- che, quelques bouteilles du cru.
Un important décret vient de modifier
fle
es fureilL
lie " venu forestier résultant de la dépréciation
er
Jusqu'à présent les employés des trâmon
u- ces.
reneTi ■ ^'
forcés, en signe
Un bal charmant et endiablé a réunj toute
^
justement
l'article
21
de
l'ordonnance
de
111 v
■te « du prix des coupes et des lots de chasse
de de Nancy avaient droit à un jour de repos
t
Qu'ils avW 7
°4uer le nom du prophète
3se
os
La musique joue à ce moment La Coupe
ge la jeunesse. On dansait encore lundi mi1831 relatif aux pensions de veuve,
en
tous les 25 jours environ. Le repos ne leur
il
comiA f ,rcnié- disaient les rebelles,
ur
d'argent,
morceau
réellement
de
circôirsÎS, « dans les zones dangereuses, et l'adminisrélin.
lisU stipulait que, dans le cas de mort par
iar viendrait plus maintenant que toutes les six
is
Prouve i» ?IU P°U1" Abd el Aziz. Ce détait
ix tance.
• ■
Bouxièrea-aux-Chêncs
ail « tration des eaux et forêts n'a aucun moyen
-en blessures eu service commandé, la veuve
:in
epi
lioa 110111 esl
ve ou sept semaines, d'où une certaine efferC
de loiif les
■
i'objet de ^*
ia « de l'y contraindre. »
n'Les orphelins de Saint-Stanislas, rêcol3l
restera sans droit à la pension si le décès
"
La
fête
patronale de Bouxières-atgc-Chê:ès vescence parmi ces braves gens qui ont un
i« contiuiin A su, Populations de l'intérieur
rn tent avec la gymnastique scolaire, mouvesurvient après que le blessé aura obtenu
Ie" nés ajété célébrée dimanche avec un -entraîn
nu métier très dur.
s-F
Les îin
'
i'an.
J Plus loin, à la Bibliographie, uous don3n
ments
divers
avec
chants,
une
ample
moisIS_
*
guérison
suffisante
pour
reprendre
son
av
on
Ilsfo'nt remarquer que la journéede repos
iorahi«'cT'!os du Rif sont également délé- nous les conditions d'édilion de rouvfage
os son de bravos, et le Chœur des soldats, de que favorisait une température trèp çojuvéîge service ou îine année révolue après la
dc nable. Les nombreux forains qui y «ïgieivt
la tous les 25 jours est prévue dans le règlete
,tre danv tdai
v ss,a!lan- On continue à se batle- Faust, en harmonie parfaite avec IQS iao'uat- de Mr J. George, et la division de ce travablessure.
W- installés ont fait d'excellentes recettes-ci le
I laréu-io,, ,.. , .tnct, el quelques tribus de vai mais uous av01is leim
ment approuvé par là préfecture et combien
en
vemenls
alternatifs
des
bras
ét
des
jambes
es bal fort animé a duré jusqûià l'auroîè dè
Or, il est aujourd'hui scientifiquement déj.
Puis q„''', esl»s fidèles au suilan, ont dejj
'>
à mettre en rcâê- il serait illégal de les en priver.
r
des petits gymnastes, et du plus charmant
inoutré
par
dés
observations
précises,
bani
lundi.
\ *usdan5 .«c.^'fiPs constamment le des;S. | lief, par un article spécial, l'importance de
3aEn ce moment le personnel de la compa>a- effet.
de sé«,s HOU seulement sur" l'examen clinique,
«ansces Utftes intesÛiléS.
re, guiè est fort réduit par suite du départ de
de
Les
sauts
au
tremplin
par
les
deux
sociéLîvijrdiiii-ïïôtei
i-on étude et l'iniei'êl qui s'en dégage- povr
>vr I mais encore sùf lé"s résultats indiscutables
les numbreux réservistes.
tés de gymnastique ont âusfi pp^SVé ijue
ne!Station. esUtftle, — Êhambies couforlafil^
NANCY, dimanche 30 août 1003.
notre région de l'Est, si militaire et si fone
re
restière.
Ce livre : Les Dégâts causés aux
forêts, a déjà valu à son auteur des louanges aussi flatteuses que justement décernées. Il nous sera permis d'y joindre les
nôtres.
HEURE jj|
Lis tfgits mài m Mi :
PAR LES TIRS MILITAIRES "'
fNOUVELLES DIVERSES l
Si
Chronique de Us! i
T,
La Journée à Nancy
jjj
;
.
r
j
Distribution des prix de tir
du 42 régiment territorial
J
Fête de la « Sentinelle de Saint-Max »
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MACÉDOBNE
J
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BULLETIN MILITAIRE
petits poinls, nn\ n. .
son devoir, il n'a rien à efaindrê et c6 inquiétants
in
sounî : défendre au mieux Tes intérêts do son entre les nommés Eugène Labolle, lisse- sor
pas
à disparaître,du moins pour
^Hf
devoiMui
est facil©;
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P»
rana
el
Pierre
Lasserre,
manœuvre.
Ce
dei
village d'adoption,
g
TMuhf- : UK Mi;.c 1 ' :uMiwVjlM. fie- f/
Souviens-toi
aussi que non oest puis temps,
te
car les sécrélions do la no-'ic';I|;e
dernier ayant frénétré dans la cave de Lac
ïneurant à Sainl-Nicolas-du-Port, a trouve, ^
Vordiin. — Vers huit heures du soir, f*
ces soi-disant vers1
''î- J
noble
qu'un brave soldat sous son uni- (retiennent
m
bolle et eulbuté la cage des lapins, lui en no
j
ilans les allées de son jardin, 57 arbres cou
les habitants du Ponl-de-Tilly étaieut mis demanda
ï
le motif. Une querelle éclata et .
Mais quand on a le remède.
lu
ipes dans la nuit, par un inconnu.
en émoi à la suite d'un coup de fau tiré des
ï coups de poing furent échangés. Las- F0
. e
rTÎÎ seras partie utile et ignorée, roua? Mme Marcha! a signalé le fait à la gcnTante RO^AT ns
dans une maison. Immédiatement, la* poli- "
—
serre a quitté Saulxures le lendemain de ce ge J obscur dans la vaste machine militlarmerie, qui a aussitôt ouvert une ence, requise, a arrêté et conduit Je nommé jour.
f'
Le Marathon de l'Est (40 kilomètres, ce
taire mais la machine vit comme toi,
'quête.
j$
Petit devant M. Chatard, comrnissaifé de ^
Nancy-Dieulouard
et retour, 2e année). — P
Société agricole «le Suint Dié. — car
~ ' elle a une âme : la Patrie t
l»o>»f Saint-Vincent
p<
|
police.
Pour
la deuxième fois, cette superbe épreu- p<
ca
Concours
d'ani^naux reproducteurs. —
' te devais ces conseils dictes par 1 a- ^
Je
Petit,
interrogé,
a
déclaré
au
magistrat
Ç<
La gendarmerie vient de procéder,àPont- ve
v< de fond se court à Nancy.
Une subvention de 570 francs, une médaille
J
qu'il avait tiré un coup de revolver sur le U
Pour la deuxième fois, nous pouvons en- qi
mour que, jusqu'à la dernière heure, je
Saint-Vincent, à une enquête au sujet d'un
mo
nommé H..., demeurant rue de Pont-de-Til- de
d< vermeil, deux médailles d argent et deux tarderai
un brillant succès pour l'active m
à mon pays.
bris de clôture commis au domicile d'un lia- regislrer
re
Il est un point sur !e<riel W
médailles de bronze ont été accordées par gai
Iv, sans avoir l'intention de le blesser, m
qu'est le Racing-Club lorrain.
lj
Jo
les devais surtout a mon affection n
>;
bilant de cette . commune qui a porté société
se
M.
le
ministre
de
l'agriculture,
pour
être
J
n'arriveront
probablement fnmaf« pec,!A|irs
parce
qu'il supposait qu'il était l'amant de M
Le
temps,
au
départ,
s'annonce
superbe,
pi
plainte.
..
distribuées
au
nom du gouvernement de la profonde
tre
d'accord,
c'est au sujel de ]» •■ '\se mf,l- i
pour
toi.
tr<
prc
sa femme.
di
il ne fait pas Irop chaud ; les coureurs sont s;
Les nombreux témoins entendus ont rela- u
République.
—
Une
subvention
de
300
fr.
h
de
la
pauvreté
de nos rivières ricliessc oii I.
ROGER
DE
BEAUVOIR.
*
de
H... n'a pas été blessé, la balle ayant été R
enchantés de l'état des routes. L'organisa.té certaiues scènes de famille qui se sont e;
été aceordée pour être distribuée au nom
Si
la
quantité
de poissons MM
se loger dans le plafond de la pièce.
et
était parfaite el les contrôles fort bien S(
passées chez l'intéressé. Celles-ci permet- tion
tu
du
conseil général des Vosges.
_
^
an doit servir d'indication, 01 ÏÏÏ 65
Petit
a
été
arrêté
et
mis
à
la
disposition
de
di
tenus.
Iraient de rédiger une pièce de théâtre des te
Le eoncours organisé par la Société agn- B=
sans crainte de se tronmer m aP? u dir«!i 1
Donc, félicitations aux organisateurs, M.
IV! le procureur de la République.
plus hurnoristkiues :
cole aura lieu le dimanche 20 septembre
certain nombre d'années
-puls
—
Une
trentaine
de
cigognes
ont
été
ce
MM.
Béringer,
Nicolas.
Le
jury,
présidé
iLe mari est fort malmené par sa femme M
1903. sur la place de l'Eglise, â Raonnos contrées deviennent 'toufr>n«'S1'08 ^ i
aperçues
dans
les
prairies
voisines
de
BaleyU
par
M.
Ponton
d'Amécourt
et
composé
de
aj
qui le rosse fréquemment en publié, et èb> pi
s
entre les éleveurs de l'arrondisseen plus pauvres. C'est l'on
?c i,Il's |
court par un sympathique commerçant ver- l'Etape,
l'J
MM. Tisseron, Béringer, Grillot, Pisler, a c<
ïii partage la couche conjugale que lorsque M
grand
nombre
des
pêcheurs
e
V
" Du
dunois.
Quittant
les
pays
annexés,
cette
m
fonctionné
à la grande satisfaction des con- d
efela lui plaît, à elle.
le
ral1 as
Le
bétail
de toutes les races sera admis ||
sez
difficile
de
leur
prouver
ou'îu
" I
imposante de cigognes, était venue
currenls. Toutes nos félicitations à M- troupe
ti
L'enquête a établi que le bris de clôture ci
sous la réserve des conditions d'âge suipent. puisque, pour savoir ce oup.wJl lr°^'
directeur de 1' «Auto-R.evuc de se
s< reposer là un instant, avant de repren- se
à<wùt été commis par les plaignais qui, au Kreis,
K
ri i
res
coi-ilicnnent d'habitants, il fan' |.
y
son vol vers des régions plus chaudes, vi
l'Est », journal patronant l'épreuve, et dro
d
ëfsuTS d'une discussion, avaient lancé de la 1'
Taureaux, de 15 mois à 3 ans (deux dents Un civet d'après Alexandre Dumas père. in
ràettre à sec, chose qui ne serah D-K /"*
Quoi
qu'il
en
soit,
1«
commerçant
de
la
dont
la
compétence
sportive
a
été
encore
vaisselle à travers les vitres des fenêtres.
d'
— Pudding bonne femme. — Pour*
de remplacement au plus) ; vaches, jusqu'à
sij commode à faire.
'
' * %
I
s
Ville-Basse,
n'eut à cette vue, qu'une pen- di
une cause de succès.
I
V
Les jeunes gens de Pont-Saint-Vincent u
otiiiser» Ses pommes vertes. —
88 ans ; génisses, depuis 1 an : truies et verEn dehors de celle manière» d'e$|jm
sée.
Il
revint
précipitamment
à
MaisonVoici
les
noms
des
coureurs
qui
sp
sont
si
s'amusent énormément de ces scènes pfeu
Manière de eonserver les
„]
rats, jusqu'à 3 ans.
plus ou moins granelerichesse d'une', ji"1'!a
pour y prendre un fusil, mais les ci- K
présentés
au départ $ous les ordres ('u star- Rouge
K
ordinaires.
P
fleurs fraîohes. — Les
g,
• Les bêles du concours devront être renen se basaul sur les rf?ç»llals de la ûèVhl4
gognes n'attendirent point son retour —
ter, M. Béringer: 1 Nicolas RCL; 2 Savin g
points noirs... du nez.
jdues
sur
la place de l'Eglise le 20, avanthuit
Ciiamiicnoux
^
c
chaque
année, il en èsl une autreiciui 1 • ' I
Sait-il,
notre
Verdunois,
que
son
acte
eût
d
(Commercy) ; 3 Douai (Commercy) ; 5 Maheures
du
matin.
>
esl
opposée el qui mol le triste résmi
1
été
raillé
par
les
Romains
et
considéré
comh
Alexandre
Dumas
père
élail
un
exce!es
M. IHeudonué Gesnei, êgé de 56 ans, cul- ti
thieu (Nancy) : 6 Malègue (id.) ; 7 Ducas- é
Une somme de mille francs sera distri- . '
parla pêche depuis quelques ann;
tivateur à Champenoux, vient d'adresser tel
u (id.); S 'Auvray RCL ; 9 Wéber RCL; me
n criminel par les Arabes qui croient qu'à
lent
cuisinier et il a laissé maintes recet- obtenu
o\
en
t
sur le compte des mauvais temps, de* ii
la prière de Mahomet, Dieu a transformé, i buée.
b
une plainte au parquet au serçet d'un enté- i<
14 Lavocal; 22 B?rbey ; 26 Spendion GSL; h
les exquises que ses amis se sont trans- J*
La valeur et le nombre des prix seront tes
ses eaux el enfin de loutes ces causes atin*3"
e ces oiseaux, une troupe de leurs corecernent des récoltes» d'avoine de trois pièces 27
2' Boinet GSL ; 28 Lucas GSL : 29 Fritsch en
mises. De ce nombre est sa fameuse 5
répartis sur le lieu du concours proportion- mi;
volant les pèlerins de la Mee- ri
phériques qui influent si forlemen! sui
I
: 30 Faux et GSL ; 31 Blondel GSL ; 32 ligionnaires
li
Se terre appartenant â un habitant de la GSL
G
les
de civet de lièvre qu'il tenait, allures
^
nullement au nombre des animaux présentés recelte
rec
du poisson.
que.
n
Sigmann
(scolaire) ; 34 Fortin (Nancy) ; 35 q
commune, qu'il a louées à ce dernier.
s
%
dans
chaque
catégorie.
aiu
ainsi
qu'il
l'a
raconté
lui-même
dans
un
Heureusement, nous sommes dans la d
(Nancy). 18 partants.
Sans me prononcer carrément pour l'tu
La perte subie par M. Gesnei est évaluie Berjean
B
Tous les prix seront accompagnes de di- des
de; volumes do ses Mémoires d'un vieux ou
Meuse et il n'y avait à craindre, en ce moChampignev.li'es (5 km.). — 1 Fortin 2 b. h
par celui-ci à 55 fr.
0i pour l'autre de ces opinions, je n ! '
d'honneur.
g
.aj
p
18 m., 2 Lavocat, 3 Malègue, 4 Douât, 5 Ni- nment-ci du moins, que l'arrivée du garde plômes
L'épilogue de cette plainte aura lieu in- il
garde
de M. Deviolaine, chez^qui il allait avouerqu'il
ai
y a du vrai dans chacune d'ciip!
Les personnes qui désirent présenter des ? •
6 Savin.
cchampêtre.
cessamment devant le tribunal correction- colas,
c<
et que si, d'un côté, on doit admettre un
faire
plus
souvent
que
ne
l'eût
voulu
sa
animaux sont priées d'en informer le pré- *~v
Frouard (milieu du village) (7 km. 800).—
notable dans nos rivières ti
ml.
Halïes. — Ces jours derniers, un mar- a
:
mère, l'école buissonnière. Mais je passe dépeuplement
<J<
sident
ou de les faire inscrire au bureau de pe
faut aussi convenir que les sécheresses e
chaud vannier, le nommé Oudin René, âgé ¥
Haro né
i1 Lavocat 2 h. 35, 2 Fortin, 3 Malègue, 4 Do- c
de Saint-Dié, rue de la Meurlhe, les mardis la
& plume à l'auteur de Monte-Cristo qui J*
nat, 5 Berjean.
les
temps soutenus penciaiîl dè si 1
de 12 ans, rencontrait, à la sortie du villa- ,
d
r: mauvais
La gendarmerie a dressé procès-verbal
et vendredis, avant le concours, et à Raon- avait
avj soigneusement noté la prépara lion longues
Marbache (Café Thoussaint). — 1er, à 3 h. ge
„ de Saulmory, un jeune homme parais- ?,
périodes ont influencé d'une m»
contre le sieur Fayot, manœuvre à Haroge, moins
dont
son
ami,
le
garde,
le
régalait
dans
l'Etape
chez
M.
Gabrieh
marchand
de
vins
doi
1
10, Fortin, quia lâché Lavocat à la £
a
nière
n
notable le rendement de la pèche
saut âgé de 18 ans et qui se reposait au bord
pour avoir donné des coups de poing a M. g(
en gros, délégué de'la société.
les grands jours :
Les
sortie de Frouard, 2 Lavocat, 3 Berjean, 4 tl
Si d'une part on doit déplorer l'uppau,
de ia route, Le même jour, vers 5 heures
Médard, manœuvre à Vaudeville, leque] Maiègue.
Do
même
les
personnes
qui
désirent
pren,
«Dépouillez el videz un lièvre, coupez- vvrissement de nos rivières el surtout ù
w
j soir, Oudin René aurait fait la re montre ,
du
a»vait tenu des propos malsonnaiils à l'égard
dre part au banquet qui aura lieu à l'issue jle
Belleviile. — 1er Fortin, 2* Lavocat.
c par morceaux, ayant soin de conser- tr
Irisle résultat du frai de celle année, qui a
du
môme individu sur le chemin de Wi- 3
u
de" la demoiselle Fayot.
du
concours,
sont
instamment
priées
d
'en
Dieulouard (sortie du village). — 1" For- sseppe à Beauclair, mais aloi"! celui-ci s'ap- I
ver: le sang dans un endroit frais. Faites &
éié à peu près nul sauf pour les espèces M
faire pari à un membre du bureau ou à M.
U
tin,
à 3 h. 22, passe très frais et a bon es- »procha, ferma la bouche d'une main à Ou- li
pas besoin de devenir plus nonihreu. I
un roux avec un peu de farine et de n'ont
n
Gabriel, avant le 17 septembre; le prix a un
2' Lavocat, frais aussi. 3 h. 24 ; 3- Ber- lin,
^
La gendarmerie vient de dresser procès- poir;
p
telles que la hotu, par exemple, d'à». I
et s'empara de 0 fr. 75, montant de sa V
faites revenir dans ce roux quel- ses,
9
élé fixé à 3 fr. 50 ; les dames y seront ad- beurre,
DG
e
jean, 4- Malègue, 5- Donat, 3 h. 26; 6- Ma- recette
verfeTau sujet de coups et blessures dont j<
du jour.
Ire part, il faut ne pas Irop désespérer car 'I
r
11
ques
morceaux de petit salé ou de lard, j*
Q
r
Ihieu. 7- Savin.
âjé.te victime, aux forges de Poiit-à-Mous- U
La gendarmerie ayant ouvert, une en- mises.
le poisson souvent nous réserve bien des i
1C
mettez-y
votre
lièvre
et
mouilloz-le
quand
^
Belleviile.
—
Fortin
encore
en
lêle
faison, Albert Klein, 20 ans, ouvrier maçon,
IVéerologie. — On annonce la mort de P]
quête, entendit plusieurs témoins, et le
a
surprises. Qui de vous, en effel, ne s'ftsl I
blit et semble abattu.
i1,
lue la part d'un ajusteur de cette usine, b
jeune
Oudin, mis en contradiction avec 5M. le chanoine Bernard, décédé dans sa re- lil\ 'sera chaud, avec moitié bouillon, moi- „
pas déjà demandé d'où sortaient ces pote. 1
Entre
Belleviile
el
Marbache,
Fortin
abanj
tié vin rouge ; ajoutez-y du sel, poivre, a
François '.:••!•;rw 18 ans, ajusteur.
lui-même, avoua qu'il a /ait imaginé cette traite
t
de Montbras.
lié
sous que vous voyez un beau jour en (matj.
donne
définitivement
perdant
ses
droits
à
Maure,
roc.mnu en partie les faits qui d
attaque
a
et ee vol pour échapper aux répriM. Pierre-Michel-Christophe Bernard, nê bouquet
bo
garni, une gousse d'ail, un u
lilé dans certains endroits où. les jours
,!
la
prime
de
virage
de
Dieulouard.
lui sont reprochés par Klein. L'épilogue ^e
mandes de son père, ayant perdu lesquinzé à
4 Poussay le 10 avril 1817, ordonné prêtre oignon
B
oif
piqué
de
deux
clous
de
girofle
et
p
précédents,
il vous aurait élé impossible
Marbache. — Lavocat en tète.
bette affaire aura lieu incessamment devant
sous qu'il avait touchés.Ille 2 août 1840, fut nommé vicaire au Clef jus un
d'en découvrir un seul?
ua peu de muscade râpée. Quand le lié- d
Frouard» — Pas signalé le passage des
le tribunal correctionnel.
^
K 18 décembre 1840, professeur à Lamar- vre
le
vn sera à moitié cuit, vous y joindrez le
, Le poisson est très fort lorsqu'il s'atn'l de
coureurs.
che en 1842, devint précepteur en 1854, curé f •
s
et ni les filels ni les lignes
Ville tte
foie
el le poumon. Fai les cuire à grand s'escamoter,
01
Lutte superbe entre Mathieu qui passe
de
Frain
le
21
août
1858,
curé
de
Vrôcourt
'
n'ont aucun résultai sur lui lorsqu'il Wil
Mme Delphine Douche avait, tout récem- T
!ei jusqu'à réduction des trois quaris.
feu
"
Lavocat avec une aisance extraordinaire.
le 29 octobre 1874. curé-doyen de Coussey
se cacher. C'est ce qui explique comment 8
ment, fait clore un champ de trèfle pour
Champigneulles. — Mathieu en tête, très
Ayez alors deux douzaines de petits „peut se faire que certains jours ou fait 4»
le 1" décembre 1882, chanoine honoraire ie Aj
que des voisins ne lui commettent pas de j
frais, heureux, il a course gagnée.
que vous glacez dans une casse- très
[A
iO août 1895, aumônier à Montbras le 1"' oignons
oif
belles pèches à la lig.ie <»t aussi a?«c |
elégâts,
Arrivée à Nancy: ï" Mathieu, en 3 h. 9;
M. Flenriel. — Nous avons annoncé la \août 1895.
ro
rolle
avec un peu de beurre, un demi- j§les filets, tandis (jue les jours néfastes, li. ]
Loutre malin, Mme Douche trouva la ~
2Barbey,
en
3
h.
13
;
3Lavocal,
en
3
h.
20;
D
mise
à
la
retraite
de
M.
Fleuriel,
inspecteur
clôture, composée de piquets reliés par des f
verre do vin blanc, jusqu'à belle couleur g
gnards et pêcheurs aux filets reviennent
4- Malègue, en 3 h. 23' 12" ; 5' Berjean, en cd'académie du. département des Vosges.
S
tous
trrcdonlttes sur loute la ligne.
fils de 1er avec ronces fortement tendus, *
blonde
;
ajoutez
aussi
des
champignons
t<
3 h. 29 ; 6- Donat, en 3 h. 31 ; 7- Blondel, en
M. Fleuriel, ancien professeur au lycée de
Ce qui est déplorable pour la noble cor- {
qui était arrachée.
%3 h. 32' 16" ; 8- Savin, en 3 h. 34 ; 9- Fauvot, Nancy,
et
des
fonds
d'arlichauls
coupés
ou
morT
successivement inspecteur d'acadéMme Douche a déposé une plainte à la ?
p
des pêcheurs à la ligne à laquelle {
ceaux ; failes aussi, en même lomps, frire poralion
T.
à Vesoul el à EpînaL a fourni une Ion- *
gendarmerie qui a ouvert une enquête.
â10- Ducastél, 11' Nicolas, 12- Auvray, ont mie
nous avons l'honneur d'appartenir, c'est
mis moins dé 4 heures.
ggue et honorable carrière dans renseigneà l'huile de petits croûtons de mie de "que
nous ne possédions pas un calendrier 1
Les derniers 100 mètres ont été courus le ment.
i
Iï« mmisgwg -Gotl Itrange
pain.
!qui nous renseigne sur les jours favoraplus
vite
par
Nicolas
et
Auvray,
du
R
C.
L.
Très
versé
dans
la
connaissance
des
lanToutes ces garnitures préparées, vans jjbles afin de nous épargner les tristes cor
Entre Italiens. — Dans la nuit de sa- *
A l'arrivée, il y avait plus de trois mille gues
g
étrangères, M. Fleuriel a contribué
liez
v
Lie voire civet avec le sang que vous vées
rncdï à dimanche, 30 août, vers 1 heure du
auxquelles nous sommes condamnés.
personnes
qui
paraissaient
s'intéresser
à
p
pour
une
large
part,
dans
le
département,
—
matin, deux ouvrièrs italiens se sont pris *
aviez en réserve ; dressez alors voire
J'avais rêvé de faire quelque chosD dans
cette
manifestation
sporlive.
è
à
la
réforme
de
l'enseignement
d^l'allemand
de querelle. L'un, nommé Luchi, a frappé
On connaît celte publication due au talent lièvre
liç
sur le plat, couronnez-le avec les ce
c genre, en commençant d'aboi' par oli- f
La musique, du 69" jouait ses plus jolis eet dt l'anglais qui occupent enflu, dans les
l'autre, nommé Casali, d'un coup de couteau
les effets des phases de la
sur
e au patriotisme éclairé de M. Roger de petits
oignons glacés, versez la sauce server
f
et
pe
à l'aisselle.
Imorceaux en attendant l'arrivée des cou- iprogrammes, la plade imporlanfe qui leur
le résultat de la pêche, et. je m'étais adresdessus,
ajoutez
les
champignons,
les
reurs.
M.
Leblan,
très
complaisamment,
a
é
était
due.
r
Beauvoir.
On croit la blessure mortelle. Luchi a
l'auditoire. Remerciements à M.
d'arlichauls, le pelit salé ; garnis- sé aux pêcheurs qui me lisent en leur deComposée par lui avec un soin extrême, fonds
f°
IVomSi&ntions ee«léwi!i;*ti«]iiiOf<. —
pris la fuite. On pense qu'il a passé la ffôn- charmé
S
mandant de noter les résultais de leur pc- I
'
.
Godard,
directeur
de
la
brasserie
de
M
axéi
s
sez
le
tout avec vos petits croulons frits, che
Par décision épiscopale :
tière. Le parquet de Brie& s'est rendu sur "j
éditée avec luxe par la maison Pion (3 fr.
^
c
avec la date ; d'après ces résultats com- j
ville,
qui
avait
prêté
aux
coureurs
le
vaste
et
servez
chaudement.
»
p
M. Tabbé Tresse, curé d'Ahéville, a été cchez tous les libraires), elle joint l'utile à
lés lieux, dimanche.
»
parés j'aurais obtenu une table qui m'afllocal pour leur permettre de se déshabiller nommé curé de Bleurville ;
El, maintenant, mes chères nièces, rrait fourni des documents ; mais va te pro
et qui s'était mis à la disposition du
M. l'abbé Corroya été nommé curé d'Ahé- 1l'agréable. Gomme Annuaire, elle feur- dès que la chasse sera ouverte, pensez nmener, pas un seul pêcheur ne m'a ré- 1
Accident mortel. — Une dépêche de' iR. C. L.
de renseignements ; comme Album, au civet d'Alexandre Dumas.
ville.
1mille
1
ppondu !
Lqngwy nous annonce que le tramway a
av
Remarqué dans l'assistance MM. Henriou,
illustrations inédites, sont des plus
C'est pourquoi j'ai pris le parti de rit*
En attendant ce momont si fort désiré
tué, en passant devant l'établissement des• Réal,
]
Etajt civil d'Eplnal.— Publications ses
"
Pickel ; M. Velu, du Fooi-Bali-Glub
religieuses, un homme dont le nom exact' luiiévillois
i
dos amateurs de gibier, voici un joli ^dans ma barbe lorsque je vois revenir W
; Dcssessart, Dumont, le lieute- <de mariages. — Moïse Emerique, employé iappréciées. Aussi Y Album-Annuaire de de
avec des figures d'enlcrremttV
ifé nous parvient pas. Ce malheureux êlait■ nantPaquin.
de commerce, et Lucie Bloch. — Auguste /l'ai mée française est-il attendu chaque de
dessert peu coûteux qui amènera un lignards
Jr
là la consolation que jo m'accorde. domicilié à Pierrepont. Le défunt était âgé
Jacquemin, paveur, et Marie Eugénie Pré ,mmée par les patriotes et par les collection- be
bon sourira sur les lèvres des écoliers ^C'est
Notons
que
le
temps
de
Barbey,
le
gagnant
j
V. M.
cie 43 ans.
tôt, lingère. — Félix-Auguste Chaput, sta1
que
les vacances ont ramoné à la maide l'an dernier, était de 3 b. 36. Mathieu, le
par les hommes d'étude et par les Q.
1
giaire du génie à la chelTerie d'Epiual, et neurs,
son
:
gagnant, a fait preuve de réelles quabtés.se I
hommes
de goût. (Une qualitc n'exclut pas sc
Marie-Sidonie-Adeline Viilaume.
1
ménageantfortbien et produisant son effort '
Prenez trois ou quatre brioches rasNaissance?.— Madeleine-Eugénie Coché. ]l'autre.)
Pendant un violent orage qui a éclaté' -,vers la fin. Il esl arrivé à une belle vitesse
^
sies, ôlez-en les croules, divisez-les en
Georges-Marie-Justin Perry, — Paulsur la région de Lexy, ù'n cultivateur, Vie-; et
, ne semblait pas fatigué. Il s'était entraîné —
On lira avec émotion les éloquentes et m
morceaux el mettez-les dans un saladier
torien Duboscq, âgé de 54 ans, demeurant .
Emile Amé Perrin.— Jeanne-Marie-Fidéline ,
; avec Touquet qui n'a' pu participer à ré- ;Grandemange. — Maurice-Louis-Augusie ]fortes lignes placées par Roger de Beauvoir avec l\i livre (125 gr.) de raisins secs
ai
à Arlon (Belgique?, qui s'était réfugié sous! preuve
\
el avait bou espoir. Espérons que
di
C'est très perplexe encore que nous écH- 1
Vildermuth.—Marcel-Eugène-Adolphe Re- en
« têle de son nouvel Album-Annuaire :
un arbre' avec son fils, âgé del2 ans, fut {
do Gorinthe ou cabo et un morceau de
' l'an prochain nous le reverrons "dans cette
Renversé par la foudre.
nard.— Marie-Louise Léger. — Yvonne-Bébeurre de la grosseur d'une noix. Versez ]vous ces lignes, nous demandant si le «ta*
épreuve. En résumé, une belle journée du
va enfin revenir pour permettre <Ç !
IVenfant fut également précipité violem- beau
,
lène-Henriette Vinot.— Paul-Georges Bourf
d!
dessus
un demi-lilre de lait bouillant temps
sport.
rentrer les récoltes ou si la pluie va conti 1
ment à terre gond.
Voilà pour les sporstsmen.
« Mon ami, il y a huit ans, quand ton1 bien
b;
sucré.
Déballez
le
lout
ensemble,
Des paysans accoururent et constatèrent
nucr, détruisant ainsi lout ce qui reste sur ;
Décès. — Georges Richmann, 52 ans, ti.»- :
DESMARETS.
Q
le mélange sera homogène, c'est- )le chaume, car il nous faut bien le rocon
que le père était complètement paralysé et
serand à la Gosse. — Henriette-Rose Ro-'. frère est entré à la caserne, j©' lui aii Quand
"
~™ ™"
àquand il formera un lout uniforme, naître,
,
avait perdu l'usage de la parole.
chelle, 14 ans. — Marie-Marguerite Evrard, 'donné quelques conseils,; il. les a suivis : à-dire
si beaucoup de cultivateurs avaic.1
1
dans un vase six œufs, versez fini
1
bon Français, ce fut un bon1 fouotlez
fc
Quant à l'enfant, il a été brûlé sur une i
de couper leurs blés cl de les rentra'
19 ans, célibataire, rue Malpertuib, 12. — c'étaitun
GRAND
CAFE-BRASSERIE
DE
LA
RGTONDE
grande partie du corps.
Marcel Rietmùller, 4 semaines, à la Roche. soldai.
dans
un saladier et ajoulez-y un verre 1avant la saison des pluies, il en esl beani:
D - UNI IS —
•
• •
— Léontine Libraire, 47 ans, épouse de>
d'autres aussi qui. soit parce que la
<
Ton tour est venu de servir la France : do
d< rhum. Mélangez le tout ensemble el, coup
Charles Chartres, coloriste, rue Saint-Mi-" ,Je veux te redire les conseils qui lui ontt vorsez
dans un moule droit. Passez cin q jmaturité élait moins avancée, soit parce que
i<
chel, 10.— Rosalie Aulon, 73 ans, épouse de; profité; mais il en est d'autres que null rr
de l'herbe les forçait de les lais
minutes au four pour donner de la con- l'abondance
j
Benoit Pelit, rue Saint-Michel, 93. — Nicoser plus longtemps en meulons n'ont pi .
slstance
et
servez
chaud
ou
froid
à
vo:
ne songeait à donner en ce temps-là,, si
las-Adolphe Thomas, 60 ans, manoeuvre. rentrer avant le mauvais temps. L'eau «I :
le lé.
Joséphine Kuuiz, 26 ans, ouvrière de fabri-. parce qu'on les croyait inutiles, et que; Ion
tombée en I elle abondance que les ger'*s !
Voilà un gâteau vite fait, excellent et .sont complètement mouillées formant S»
que, épous-o de Joseph Dresch.— Paul Bau-. tes Iristes enseignements de l'heure pré!
La future troupe
d'un revient fort doux, ce qui ne gâte rien. base un vérilable fumier. Au sommet i& \;
mond, 14 ans 1[2, rue de la Cour-Billot. 8 sente me font un devoir d'offrir à tes ré-- d
—
André-Marcel
Claudel,
2
mois,
faubourg
5 flexions.
Puisque nous parlons friandise, j'aii épis
1
mouillés, le blé germe d'autanl pl ;
M. Jasson a répondu hier en Tribune» A propos d'un accident
Tepuis quelques années, tu le sais, unej b
bien envie de vous apprendre commentt :facilement que la température est restés i
publique
aux
observations que nous
à la Chauuronnerie lorraine, d'Ambrail, 58. —- Constant-Marie Coqutllon,
40 ans, cafelicr à laGosse.y Maurice-Pierré' campagne a elé dirigée contre l'armée,. o
on peut utiliser les pommes vertes qui[ 1douce.
avons présentées au sujet des réfections dui
Nancy, 30 août 1903.
Jacquot, 2 ans 1x3, rue de Chanlrâme, 33.-—* Des Français ou plutôt des hommes nésB t<
Aussi ne faut-il point compter sur unthéâtre. M. Jasson ne dément rien. Il se»
tombent avant maturité, pour préparer
Monsieur le réducteur en chef,
2 morts-nés.
sécheresse excessive, qui sans travail atborne à dire : « Il n'y a pas d'anarchie àï
en France, les uns pour arriver au bou-- d'exquises
d
compotes.
Je vous serais reconnaissant de vouloir
sorberait l'humidité des gerbes. Il faut pr°
Architecture. On n'a agi que d'après mess bien faire insérer, d&ris les prochaines édi* fCYorsemoul social qu'ils rêvent, les auPrenez, par exemple, un kilo do pom- fiter du premier beau jour, délier les
ordres. »
tions de votre estimable journal, la petite. rille. — On sait qtie rïllustï'e hoir.m^* 1res par haine de toute sujétion et de) mes,
nr
épluchez-les et coupez-les en mor-' bes, les retourner, les sécher et les rcal^ \
C'est beaucoup plus grave, alors !
note rectificative suivante, au sujet d'un ac-. d'Etat qui vient de mourir fit, ea 1898, une5 mute discipline, le plus grand nombrej eeaux.
«
;aussitôt. Certes, pour cela, la grandecr.
Ainsi, c'est d'après les ordres de M. Jas-- cident arrivé vendredi dernier à la Grande. cure A Gontre.xéville. Oh rapporte quelques
onûX par (erreur du champ de bataille,,
Faites un sirop avec doux verres d'eau; turc manque un peu de la main-d'œuviy ;
anecdotes à ce sujet.
son qu'on a d'abord fait une scène horizon-- chaudronnerie lorraine :
Le jour de son départ de Contrexéville,, disons-le nettement : par lâcheté, onlI e
tale en supprimant le « ventre » de l'anel une demi-livre de sucre, ajoutez-y lesi nécessaire, mais il faut savoir faire un »1° La voie était munie de taquets d'arle directeur de l'établissement et le docteurr tendu tous leurs efforts à ceci : l'anéan-- p
cienne C'est d'après ses ordres qu'on a en-- rêt ;
pommes el 125 grammes de raisin de Go-. criflee.
suite rajouté ce qu'on avait coupé. (Fairee
Les avoines ne sont guère meiilcufc ?;, ,
ri
2° L'installation de celte voie et de ces ta-. Debout d'Estrées ie trouvaient sur le quaii lissemenl de l'armée, dut la France en1 rinthe
triés et lavés.
et défaire...) C'est d'après ses ordres que leo quets a été faite sous le contrôle de la com-. de la gare et causaient avec lord SaUsbury. mourir.
tuation
que les blés, du moins poui'ce '';'.
Ajoutez également un peu do poudret
Ces messieurs parlaient, entre eux du
trou du souffleur, si on ne le modifie pas,i, pagnie de l'Est;
qui
sont
liées et en trézeaux. Quant accu 7 J
|
Cetlo campagne a déjà malheureuse-- de
d canelle. Faites cuire à feux doux.
va-se trouver à plus d'un mètre de la rampe.■■
qui sont sur le chaume, si elles sont rooui
3° Aucun butoir ne serait suffisant pour, congrès de La Haye; le train entrait en1 ment porté ses fruits. Parmi les camara:
Quand la cuisson esl terminée, versez; lées et collées au sol, il suffira de relourm '
Il eût mieux valu pour M. Jasson laisserr arrêter un train chargé de marchandises, gare. Lord Salisbury, en montant dans son
;
des, trop, hélas ! arrivent au régimentl le
le tout dans un compotier et laissez re-1 les
subsister notre première version.
javelles pour les sécher et les rentre1 « .
lorsque la machine continue sa marche[ wagon, dit au directeur : « Rappelez-vous,
|
hostiles
à
la
discipline,
haineux,
préveft
froidir.
;
messieurs,
que
les
congrès
de
paix
sont
des
Ajoutons que M. Jasson nous a prié d'en-i" (voir accident de la gare Montparnasse).
même soir, si possible.
!
nus contre les nécessités du service, disvoyer à ses bureaux un de nos collabora-*•
Voilà un dessert très sain et qui feraL
Ces navrantes constatations sont P;
4° La manœuvre était dirigée par les. congres de guerre.
:
Trois mois après, nous manquions d'a-- posés à exagérer le moindre ennui, à sei plaisir,
teurs auquel ii promet, de donner, plan enn agents de la compagnie de l'Est, et c'estï
p
la disette de fruits ne permettanti failes pour engager la meunerie a acoc*
mains, les renseignements nécessaires.>■ malgré les signaux réitérés de ceux-ci etl voir la guerre avec l'Angleterre à proposs plaindre de tout et toujours.
p
pas
celle
année de servir sur toutes les. 'des blés nouveaux; elle se montre effl»w
Nous déférerons au désir de M. Jasson et
sivement difficile, et non sans raison. «»g
■i des employés de la Chaudronnerie que le, de Fachoda et ensuite la guerre du TransAux portes de la caserne, ou le remet-- U
labiés
des
fruits de choix.
vaal.
nous publierons, s'il y a. lieu, ses explica. le choix des offres qui lui sont faites. «* :
i- mécanicien a continué à reculer;
tra des brochures où l'on te dira que la1
Une
sage
économie
est
le
grand
souci
'
Lord Roberls étail à Controxôville eu
tions.
nous dit que certains pays producteurs, 11 •
5" L'importance de celte affaire a été de»
Patrie n'est qu'un mot, que tu serais3 d
de toute maîtresse de maison soigneuse,' que le Nord, sont plus mal partages u
beaucoup exagérée par le complaisant voi- même temps que lord Salisbury.
# *
e cette économie doit s'étendre à toute
Lord Roberls a fait trois cures successi-. naïf de donner ta vie pour elle, que lai et
sin qui Vous a écrit, et les dégâts sont rela» nous, que la récolle est aux trois q^4
Voici le tableau complet de la troupe
e livement insignifiants.
caserne est un bagne, les officiers des5 c
ves à Contrexéville, en 1897, 1898 et 1899.
chose.
perdue, etc.
, !
pour la saison prochaine :
gardos-chiourme féroces et idiots, loi1
C'est affligeant, mais cela n'empêche P .
Veuillez agréer, monsieur, avec mes re-"
«Contrexéville. — M. Jules Fourquin.u môme un forçat et que, entre l'ennemi el p Ainsi, tenez, voulez-vous un bon moyen
11111B
MM. Mirai, directeur administrateur;
'; merciemenls anticipés, l'assurance de ma âgé de 35 ans, charpentier, à Vittel, s'était
t pour économiser los bouquets dont vous} que notre culture lorraine reçoit la
;cS
Poitevin, régisseur général; Gabel, régis5- parfaite considération.
£ 1 officier sur le champ de bataille, tu.1 parez
p
contre-coup. Si l'on ajoute a cela que
votre demeure?
rendu à bicyclette à Contrexéville, pour s'y
seur de comédie ; Aubry, 2* régisseur.
L'Administrateur délégué,
orges
sont
considérées
comme
inutnis
au-'
l
n
auras
pas
à
hésiter,
c'est
ton
officier
F " Rien de plus facile.
entendre, avec M. Falaise, au sujet de tra!l
NOBLOT.
;
qu'il faudra frapper.
vaux à exécuter dans une propriété.
Pour conserver un bouquet de fleurs, sauf à les employer pour la consomnalu
CPEHfi ET OPÉRETTE
[ du bétail, que les pommes de terre po_ ;e
Arrivé
à
Contrexéville,
M.
Fourquin
se
Voilà
ce
qu'aujourd'hui
on
écrit,
et
ce
il
> il faut d'abord asperger légèrement le3 sent, on aura une idée de l'état despm
e
Bruzzi, 1er ténor ; Roger, 2e ténor en tous
IS
Chemin* «le fer rie l'Est
rendit au café Bourdas où il trouva sonn ne r.ont pas des Prussiens qui signentt b
bouquet avec do l'eau fraîche, puis le
genres: Chadal, baryton d'opéra comique
fs |
-e
M. Démange, premier sous-chef à la garss client, avec qui il resta une demi-heure eui- ces infamies.
nmettre dans un vase contenant de l'eau> nos campagnards.
et d'opérette: Deney, baryton en tous gen- de Châlons-sur-Marne, est nommé chef deo viron. A ba sortie du café, il s'«perçut que
1
Heureusement les betteraves, les nave .
rî
e
A
la
chambrée,
on
lira
ces
brochures,
d
e
ie gare à Gray.
res; Darnaud, l basse; Poitevin, 2' basse
savon. On retire chaque matin le5 et autres légumes dont ia culture a ,
I
sa bécane, qu'il avait placée cou Ire' le mur1 ett de beaux parleurs commenteront ces do
1_
des premières ; Le Prin, trial; Gabel, las hbouquet de celle eau de savon et on le> de ne pas faire une partie de sa proaut j011)
M. Vaudack, sous-chef à la gare de Bar-!
'- de l'établissement, avaU disparu,
ruette.
n
en biais (la lige entrant d'abord)\ profilent de cette température.
.
nui
le-Duc. esl nommé sous-chef à la gare dee
La victime de ce vol soupçoi ne un jeune| tirades révoltantes ; ils feront peut-êtree met
Mmes Rolland, 1" chanteuse légère: Jesl«, des prosélytes parmi les simples; il est
II en est de même pour les rega1^ ($■
S- Châlons.
il clclans de l'eau pure; on l'y tient pondantl
garçon de Girorcourt d'avoir commis ce
sing, 1" chanteuse mezzo-soprano ; Vial, l"
si facile de démontrer que la paix vautt deux
d
méfait.
minutes, ou l'en retire ensuite et,l poussent à l'envi ; déjà si le temps, & ^
dugazon, 1™ chanteuse d'opérette; Dupuis,
rtnenx que la guerre, que le foyor ezl
con asperge lég-èremont de nouveau los„ mettait au beau on pourrait com^C
La machine valait 300 fr.
il
5
2" dugazon, 2" chanteuse d'opérei te ; Fiv.déâ- j
préférable à la caserne, que le devoirr ffleurs avec de l'eau fraîche. On replace couper. Les jeunes prairies arti«<-'
m
p
Frîssse-snr-MoNeSr*». ••- Mme Clément
lt
ricb, 25 dugazon, 2e chanteuse d'opérette;]
3 rnées dans les récoltes offrent ûe)Vceiui-ci
esl
pénible
surtout
quand
il
doit
aller
l
Morel, cultivatrice au Hangy, cômmune de
BWI mm. 'w %m? &sm
Màtrat, 1" duègne.
;
r le bouquet dans l'eau de savon ; il paraî-- ture abondante au bétail. La vie
le
.P jusqu'au sacrifie* de la vie !
ttra aussi frais que s'il venail d'elre cueitI Frehse-sur-Moselle, H déclare, dans la mali- est assurée jusqu'aux premières ne'n"uvaisc
Gréranvillier». — Le jeune Georgess née du samedi vingt-neuf août courant, nia
ARTISTES DE COBIÉDIE
la
Alors, mon ami, loi qui es instruit et
1li. L'eau de savon sera changée tous les3
>t
La température actuelle est. m ouU*ert
Bayer,
âgé
de
13
ans,
d'Avranviîie.
mois
j gendarmerie du Thillot, que M Eugène Go~
MM. Malïéo, 1er rôle en tous genres; Doo- t ilelligont, fais ton devoir; éclaire tes
is ttrois jours. Soignées ainsi, les fleurs res-,. pour les houblons qui après aV0.11,(inantde
°" sonneur au service de M. Hemion, cultiva-"Icher, garde bar.iôre, son voisin, LI4 se
nelly, jeune premier rôle ; Marnay, jeune
,e leur à Gérauvilliers, élail aux du mus au
»e camarades, dis-leur que, pour que le
t
de la sécheresse souffrent nW"^, j^les
e tent
fraîches pendant tari louglomps.
u trouvait en éiat i'ivresso dans la soirée d*
premier ; Gabel, l,r comique : Le Prin, jeune
ie lieu dit la « Côle des-Vaches » où se trou» loyer soit paisible, il faut que la caserl'excès d'humidité. Les cloches s0'mfflcilePassons
quelques
minutes,
si
vous
le
\dimanche
23
août
cornant,
était
»enu
àdeux
B
premier comique: Gilland, père noble, co.| !KÎ so^ soumise ; que si la guerre est unn ivoulez bien; à notre cabinet do toilette cependant, mais leur séchage sera «.011( dej*
jf vait une meule de pailio appartenant à M.
5
(
mique grime : Dartès. 3 rôle, rôles de gen!
En présence des accidents qui $e^re, l»
" Mcnrion. Après goûter, Soycr alluma un pa'E J fléau, le plus torrible des fléaux pour unn Quantité
(
de gens supposent avoir desb;
re ; Joris, rôles de genre.
produits et qui pourraient se prou . jeS
quet de paille nun ioin de'la meule; le feu
h'
peuple,
c
'est
do
perdre
son
indépendani
f
a- vers dans la peau ot s en tourmentent je
MMmes Clareuce, l« rôle en tous genres,
e culture agirait sagement en »0,"fv. Ces
*> se communiqua aussitôt à cette dernière,^jla même scène, le vendredi 29 août couu-J ce ; que saus discipline une armée n'est
grande coquette ; Jalabert, jeune premier
st ireçois, chaque semaino, plusieurs lettres
!J
qui fut consumée entièrement. Le préjudicee ranl.
d'appel dans les « tesS°'rians le
[qu'un troupeau à la merci du premier
rôle ; Berty, première ingénue ; Andrée
ir ia ce sujet. Or, ces soi-disant vers nees cheminées
cheminées enlèveraient comme ?oeuve«!
Mary, première soubrette: Jeanne Slêlé,
pnnemi discipliné ; dis-lour que cotte lili- ssont que de pelilos massos de graiss<a9 regains les gaz do fermentation qul
ét»*1
j Sanlxnpcj. — Le 27 courant, Mme
jeune première; Frèdéricb,'jeune piemière
j£ berté, dont ils parlent tant, ne subsiste
<qui, par leur accumulation, obstruôtrt lè^ causer des incendies. Le mleu%. 1
te
eOureîaes» — On annonce la mort de M.
s
jmnl
risslngenmtés ; Malrat, première duègne ;' Polit.
: ;î (3,ue parce que l'armée est forte, et que
|
possible de le faire, serait de batire
ie glandes
de la peau. Si l'on presse une de
e
vi
Alïartl, 8* soubrette.
\ c'esl folie de vouloir briser sa seule sau\
1- ces
glandes obstruées, on en fait sorHr diatement car lo grain n'est poim
Pendant plus de 35 ans instituteur de la
a j la fontaine. Des injures et des coups lurent
n
1 complètement à son état normal.
vagardo.
commune, il s'était acquis, par un dévoueune polite masse do graisse qui s'allnm^
ORCHESTRE
ment inlassable, laue/lion doses élèves el
ie
Après cela, comme à ton frère, je diNous no pouvons, certes, asslsH' t ce!leS
il
A la suite d'une plainte déposée par Mme
ii- ion forme do ver. Lo pe\i do nous? 9
e léances de la culture sans réponqic ^5.
la considération des habitants. Aussi, quand
d I Creusot, celle-ci présenta aux gendarmes
us rai : rappelle-toi qu'il n'y a rien d'humii
ni- qui
en a recouvert l'extrômiie lui
es vi
.
iur. sonnée pour lui iLeure ue la retraite,
^ | deux factures d'huile s'élevant à 1S fr. 23 el
ï?nerons, qui sont tout a,Jss^.) on P1U,'
et liant dans l'obéissance ni de blessant
ut l'apparence d'un point noir aonm-o .
à&rohestre de drame ; Leblanc, pianiste ses concitoyens, en témoignage de reconelNous dirons plus même, car la lj51
'{ ganU"
a* dans la discipline.
i-|19fr. 10que M. Hollz, contremaître détaD 0
qui a donné lieu à cetle erreur 4
Qu'il
J
ajvieusea
amené les maladies Çi)t el y»
y a
il I brique et représentant d'une maison de SaLos chefs qui te l'ordonnent y sont ass- des vers dans la p^au.
Jques que l'on redoutait, le miWÇ,;' t èofi
e I Ion, avait acquittées sans le timbre régie' "jlrents eux-mêmes, et, quelque hauts
ts
On recommande, pour faire disoariîi
4,e donner aujourd'hui les renseignements
dium. Cetle dernière maladie suinl" u,e dere
,s_ qu'ils soient, elle est au-dessus d'eux,
ces pointe noirs le mélange suivant . la présence a été constatée la se.m
" e nous possédons sur chacun des artistes
' vageS
ilj Ce dernier s'est vu dresser deux procèsnDats l'armée, les révoltés contre la Ether suffurique, 30 gr., oaîbonale d'an :' J nière, menace de faire de f^llU,, ,vaenC>
sur le programme que s'est tracé la diii 1 verbaux pour chacune de ces coniravennu
règle sont tous nalbeuroux. Ceux-là, on
t-.J lions.
iu ! ravait distingué dans son rulo d'ôdueateur.
fn moniaque, 4gr.. acido hprique 5 ÎTIJ et avant que la veraison fut coi ^uff*
s
, jtt'licle.
•>
On
s'apprête
à
la
combattre
par
»»
\Ea toutes circonstances, H rî cut qu'on seul
rs'lesbriso. Quaai
«oldat c^ui rempliti
U — Une rixo a éclaté ces jours derniers
b-Heau, 65gr. Ou louonuo malin et soir £4'
^igos et les aiTosagc^.
6l)FOi)iqti8jpoFtiïe
IBOlSÊijïpjcij
I
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«• J
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DE TANTE ROSALIE i
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I
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I
Album-Annuaire
II
de l'Armée française ^
J
j
BULLETIN AGB8CÔLE
Etat des récoltes
j
AUTHÉÂTRBDE IAICT
Concert-apéritif tous Ses soirs
TRIBUNEJDBLIQUE
5
j
t
I^
J
EST REPUBLICAIN^
l^undUU
Août 1903
INCIER
Maxéville. — Echangé à 710 en dernier! \ aleurs rtlversos.— Etablissements
lieu.
,
\èt
économiques de l'Est.— O/ferts à 500.
Meuse.— Demandée à 485.
,.^fcideq i donne de merveilleux
Sermaizc. — Des demandes à 800, derU
L'obligation 40[0 ** à 505.
ni
nier
prix fait.
at
10
Ê^
^ i me est d'autant plus à redouSochaux. — L'obligation* 1[2 OpO** de 500
rue
-D^ier
Magasins généraux de Nancy. — Nous
el
a 9
t^ MLfî/ st la plus terrible : le mal couà 505.
ai
disposons
d'un petit nombre de titres &
B
endille et so
Verrerie et
Glaceric. — Une 11,,200.
q
ler jrtEfi«T»
ï
— à
Pvrela.Œ
Ôs vignerons
ont intérêt
réunion des représentants de l'industrie
Assemblée le 14 septembre.
sous 1 e1™"' N enrayer sa marche,
Le service de celte Revue est fait gracieusement à toutes les personnes qui en adressent la demande
belge des glaces doit avoir lieu le 31 août
Malgré la suppression des mngisins de
fout
tenter
^^[f^t
nnc
en
général,
On croit qu'elle décidera une hausse des concentration
DO
cc
qui donnaient de grands bé11 La santé du uewu e
des
u
à falre
prix..
ni
La
baisse
des
fonds
d'Elats
el
la
tension
,a ô
néfices, le compte de profits et perles s'élève
Les sommes ainsi distribuées représen- P
IL
IP^ ^ Xte5d cKe îo«r à étendre monétaire en Allemagne sont la conséCroismare.—
Nous
disposons
de
quelques
encore
à 52,377 fr. 9[.
C1
tenl
te
moins de 28 0[0 du disponible ; le reste
quence des besoins de l'industrie, qui reAachener-Hutten. — De 7.925 à 7,910.
v aux amortissements el aux réserves. titres.
Il sera proposé à l'assemblée des dividenva
(Gemmelaincourt. —Traité récemment à &
prend à nouveau son essor. Dans l'emdes de 60 fr. par action el 12 f r. par j ari de
L'assemblé annuelle convoquée pour le 26 G
Celte proportion est de tradition à Monta- -,
fc
fondateur.
pire, où les capitaux liquides sont encore peu septembre
se
sera appelée à ratifier la fusion u
3
taire. B semble que les cours actuels n'en 515.
Val-Saint-Lambert.
—
Obtenable
a
82a.
abondants
et
l'activité
industrielle
intense,
a'
avec
Audun
et
à
modifier
le
capital
en
conU
Situation financière toujours excellente.
tiennent
pas
suffisamment
comple.
....
Laissons von
f^f
^S 'pour les f oscillations de l'argent entre les place- siséquence.
Vallérysthal. — Demandé à 5,550 dernier L'actif
\,
cl
h
a
réalisable et disponible te monte à
Mord et Est. — De 1,619 à 1,610.
Lteurs vont >^' %ur 0conseillerons de les
£
fait.
u
1
Celui-ci est actuellement de 9 millions de
186,850
fr. 22 en face d'un passif exigible
Ougrée. — De 1,365 monte à 1,389, pour prix
Wés d'hiver, ho ^ 'eu rue s fa,tes dans les ments à revenu fixe el les emplois indusLes bénéfices sont supérieurs de 39,000fr, qui
qi ne dépasse pas 29,880 fr. 70.
mark représenté par 2,800 actions nomina- revenir
r<
à 1,308.
.
Rendre
note. des
de se lancer ^riels comme titres et comme escomptes H
a1
précédents.
de 1,100 mk et 5,920 actions de 1.000
ti
thampsd'expeiience,s,eiie ^ teUe vanete. *sont très sensibles, le niveau baissant con- tives
Villeneuve-Triage. — Assemblée le 14
Les opérations d'échange des titres pour- aux
Un dividende de 220 fr. nets sera pro- septembre
au porteur. On proposera l'unification ri
sidcrablement d'un côté ou de l'autre. Le mark
rr
S(
C
ront
nuire
pendant
quelque
temps
à
la
réqui se réunira aussi à tilre ex1 type des actions par l'échange des 2,800 g
Bans JL i«sti uteurs dévoués se sont char- marché
*
posé.
i,
1
du
allemand
est
considéré
à
juste
titre
d
gularité du marché. Mais nous ne pensons
traordinaire pour une émission d'obligaPueiS^drcsser
des
rapports
sur
ce
suje
;
»
de 1,100 mk contre 3,080 actions de ppas que la hausse ait dit son dernier mot.
comme un baromètre pour les mouvements actions
ai
tions.
c
Céramique.
— Matériaux «le ti
t /cu&eurs ne craignent pas d'avoir g
1,000 mk.
financiers.
Il en est à la période de décrois- L
construction.— La convention qui unit
n
Providence. — Très animé entre 2,000 el c<
L'inventaire accuse un bénéfice qui perfeurs à eux, ils peuvent le fane en toute I sance
.
Ars-sur-Moselle. — Le marché s'anime. %,
des fonds d'Etats et de hausse des tiles fabriques allemandes de porcelaine avec ri2,080. Derniers cours 2,025.
J*
mettrait de distribuer un dividende de 5 0i0
Derniers cours 791 mk pour l'action de
onfi
rr
tres industriels. — Qu'on se le dise.
D
Providence Russe.— Se consolide entre les
m: marchands vient d'être prolongée jus- mais
nous croyons savoir que, par mesure
qu'eu
1910.
d
priorité el 88 mk 20 pour Pordmairc.
li125 et 130.
*
pi
qi
de prudence. le conseil ne proposera qu'une
h f&r)
A.JACQUES.
Athus. — Cote 1,230.
Carrières de Lorraine. — Oblenables à n
répartition de 3 0]0.
Raly el Cie (Saulnes). — De 4,500 à
Houblons.
2j
250.
Audun-le-Tiche. — Rentre dans le cal- 4,510.
4,
I Banques. — Banque d'Alsace. —
Ville de Nancy 3 3)4 OlO. — L'obligame,
tion demandée.
Ainst (Belgique). — La fermeté de notre De
E 765 à 775.
Chaux-Ciment de Brin. — On offre ti
m de 587 à 579 50.
On prête aux administrateurs, dil la Cole
^frché ou, pour mieux dire, la hausse sur
au
pair.
Aumelz. — Rappel 375.
L
Libre, l'intention de prendre désormais à au
Claude-Lafoniaine, Martinet et Cie
Jouets de LunévlltetyÇfteeA-WelUet Gis),
Ë houblon d'Alost 1902, ainsi que sur celui (<
Ch. Fisson et Cie (Xeuilley). — Récem- obtenable
o
(Comptoir des Ardemies). — Dernier cours
au pair. L'obligalion 4 0[0 ** hyChampagne.— Nous avons preneur à 80 la
h charge de la société l'impôt sur le divif in récolte de celle année, a fait de nou- connu
,
échangé à 5,600. — Des demandes à ppothécaire, échangée nu pair, plus intérêls.
de nous, 397,50 espèces ou 647,50 no- V
dende. Celte mesure ferait l'affaire des ac ment
ni
avec contrepartie à 110.
d
c
flux et sensibles progrès dans le courant n
minai.
tionnaires
et ne coûterait à la société que ce prix.
Châtillon-Commentry.— Cote 1,150.
ti
Tonnellerie Adolphe Frilhinsholz. —
L'obligalion est recherchée à 500 fr. plus Négocié
IN
L'celte semaine.
Foncier d'Alsace Lorraine. — De 890 à
Chéneaux et tuyaux en fonte (Laneu- 70
71 ,000 f r.
à 1,002 dividende attaché en der* Pr. effet, depuis quelques jours, il s'est [900.
91
nier lieu.
n
ville-Saint-Joiro).
vi
~* Obtenable à 500.
On sait que Saulnes possède 1,500 actions intérêts.
«
iJssenfé de nombreux acheteurs pour le
Granits de Saulxures-sur-Moselotte. —
La Lettre de gage 3 li2 0[0** obtenable à
L'obligation 4 1|2 0[0** est activement reG/tiers. — Clôture à 915 après 920 au plus LLongwy, qui lui donnent droit à 300 actions
induit de la dernière récolle à 143 et 145 p
N ras disposons de quelques titres à 515, cherchée
c
au pair plus intérêts.
100 50 0[0.
h:
nouvelles.
haut,
n
r nir 50 kilos- Les vendeurs qui devien■«
Générale alsacienne cote 432 mk.
Echange facultatif des litres contre des
Rodange. — Toujours sans transactions, soit
so 265 fr. espèces.
nent très réservés, sont presque in trouva Lévy, Mees et Cie à 1,010 en dernier lieu, aiactions Ougrée dans la proportion de 3 à 2, Dernier
Maxant, Pagny et Cie (Carrières de r
E
cours 2,090.
lias Car celle marchandise esl sur le point I BanquelnlernationaizduLnxembourg jt
Maxéville).
—■ Echangé récemment à 510.
|
jusqu'au 30" septembre.
Bombas. — De 1,710 à 1,750 mk.
M
fe' faire complètement défaut. Sur noire sans
i
Portland de l'Est. — Trouve preneur de «
changement à 368 75 pour l'action de
La Banque Renauld et Cie se charge de
On parle d'un dividende de 10 0[0 au lieu
S
ftace et même dans notre pays, il n'existe 250
2:
260 à 265. Contrepartie à 300.
fr. nonainal.
fc
de 5 0[0 l'année dernière.
26
faire
le nécessaire.
d
I lus que quelques lots isolés, qui sont ferSablières et grès suisses de Villeneuve.
Mayer et Cie (Metz). — Nous avons des
Commercy.— Traité à 600 en dernier lieu.
SUR LA VIE
Rumelange. — De 1,830 à 1,810.
nement tenus à ce dernier prl x.
I ddemandes.
Benain-Anzin.— De 1,190 à 1,209.
Sambre-et-Moselle. — S'anime de 214 à — Nous disposons de quelques titres libérés
I Eu houblon de la prochaine récolle livrai- [ Banque de Metz.— Recherchée à 475 fr. Deutsch-Luxemburgische (Differdange). 220
Capitaux «llïFéréw
de moitié à 250 espèces.
2: 50 après 223 50 au plus haut.
de
son octobre-novembre, la hausse a égale- espèces,
Par une assurance do Capital diflé»
Société céramique des Ardennes.— Les
e.
argent allemand, pour l'action de —
— De 840 à 845 mk. pour l'action ordinaire
SâWehrûeh. — De 8,200 à 8.220.
Itaent été très sensible, puisqu'il a été paye 400
ont voté la dissolution de la rré, la Compagnie s'engage à payer une
et de 920 à 926 mk pour la privilégiée.
On donne 250 fr. comme chiffre probable actionnaires
ac
mark nominal libérée de 100 mark.
cl
4(
Sc
iuccessiveinent 150 à 155 fr. et jusque 100' [ L'assemblée s'est tenue le 25 août.
Société comme conséquence de la vente des ssomme déterminée â l'assuré, s'il est viLe conseil ne semble pas pariisan d'une du
d dividende.
v
)r par 50 kilos pour plusieurs grands lots
vant à une échéance fixée. En cas du décès
usines
aux établissements Porcher.
Les bénéfices atteindraient 4,125,000 fr.
«j
de dividende sur les bénéfices
Brillants résultais que ceux dont il lui distribution
d
le contrat, sans qu'il ait été possible de1 était
(,
assuré avant l'échéance, les primes
Schneider et Cie (le Creusot). — Marché
rendu compte. C'est d'ailleurs une Ira- réalisés.
r<
Textiles. — On traite aussi peu d'affai- dudit
v
pouvoir exécuter tous les ordres d'achat qui Q-dition à la Banque de Metz.
restent acquises à la Compagnie, —
La Société va entrer dans le syndicat de actif
a
de 1,705 à 1,710.
re que possible ; les industriels se tiennent versées
res
0
ifcistaient sur notre place.
Senelle-Maubeuge. — Echangé à 626.
st
Avec un capital de 1,600,000 fr.; dont un la
t« machine Elle attend de bons résultais
sur la réserve et attendent les nouvelles de $ou bien celle-ci los rembourse aux ayants
(Bulletin des Halles.)
Société Alsacienne. — La demande s'est la
ia recolle et les dispositions du marché amé- droit, si la police a été faite avec contreIquart
seulement versé, il a été réalisé un dde celle fabrication.
q
a
«.
Dudelange. —- A 1,130. La jouissance à élevée
é
à 5,S00, mais la contrepartie reste à ricain.
ri
j cchiffre d'affaires de 252 millions et les béCes nouvelles parviendront du 6 au assurance.
Exemple : âge de l'assuré, 1 an ; échéan5
5.450.
13 septembre prochain.
I nnéfices bruts ont atteint 337.547 fr., les plus 520
5S en dernier lieu.
Avis» aux cultivateur»
13
c fixée, 20 ans ; capilal assuré, 10.000 ïr.
Eich. - De 5,050 à 5,060.
depuis 10 ans.
Vezin-Aulnoye. — Un petit lot d'actions
Les Iissus ne se relèvent pas et la tenue ce
|
I MM. Vilgrain. Simon et Gie payent les; I éélevés
Le disponible de 240,000 fr. a élé ainsi reLes dirigeants ue s'abandonnent pas à la sera
s
mis en venle à la prochaine adjudica- des
d( filés est à peu près satisfaisante.
bons blés vieux ou nouveaux 21 fr. 25 les
gPrime annuelle : sans contre-assurance,
mollesse
d'une fortune faite. L'existence tion
t
parti
:
n
publique de la bourse de Bruxelles le .Les bénéfices des sociétés alsaciennes, 338
100 kilos rendus aux Grands-Moulins
P
î fr. ; avec contre-assurance. 359 fr. — ou
des
Actionnaires
96.000
d producteurs de fonte devenant de plus 11er septembre.
cfi
cfue nous reproduisons ci-desscus, sont sen- ïprime unique : sans contre assurance, 4,537
fr.; avec contre-assurance, 5,189 fr.
j Tantièmes, direct, et personnel 71.500
een plus difficile dans le Luxembourg, ils
PîÏÏerupt-tqiial'ï>leu. — Continue â pro- siblemonl
si
supérieurs aux précédents,
Amortissements
12.500
cherchent
cl
une solution. Celle-ci n'est poinl, gresser
g
de 425 à 475.
La filature résolue à Saint-Dié par M. Eu- s S'adresser à la Compagnie d'AssuBULLETIN COMMERCIAL
Générales sur la Vie, à PaRéserve disponible
40.000
ddit la Cote libre de Bruxelles, dans la créaVireux-MoUiain. — De 670 à 690.
g(
gène
Kempf comporterait 16,000 broches rances
r
1
tion d'une aciérie qui ferait concurrence
Fonds de dividende
20.000
ti
Echange facultatif des titres à raison do a
avec plan permettant de les doubler ullé- cris, 87. rue de Richelieu, la plus ancienne
et la plus importante des Compagnies franMtii-clié de ront-à-Mo«s»oa
aux gros intérêts que possède Eich dans Du- 2 Vireux contre 1 Ougrée jusqu'au 30 sep- rieurement.
ri
c
delangc.
11 avait été un moment question ttembre.
Somme égale
240.0Û0
d
(Café .Tanin)
Association industrielle d-éHEit (Epi- jçaises (fonds de garantie, 70O milentièrement réalisés), — ou à l'un
I Blé vieux, de 21 50 à .... ; blé nouveau, des
Le dividende est fixé à 30 fr., payable dès dde créer une fabrique de roues pour waLa Banque Renauld et Cie est à la dis- nal).
— Dividende 5 0[0 (comme d'habitude). lions,
^
n
110 50 à .. .. ; blé de semence, de 25 .. à .. ..i nmaintenant.
de ses représentants dans les départements.
g
gons,
mais ce projet a élé abandonné. Au- position
p
des porteurs pour faire le nécessai- L
La
valeur
n'intéresse
d'ailleurs
pas
le
pufîeigle. de 15 .. à .. .. ; orge, de 15 .. à 18 ..
décision n'a encore été prise, mais il rre.
Les réserves se trouvent portées à 300,000 cune
c
bi
blie,
la société étant tout à fail.fermôe.
, Envoi gratuit, sur demande, des notices
I ïvoine vieille, de 18 .. à .. ; ..avoine nouyelle,- ffr., soit le double du capital versé, et aux- est
e évident, affirme le journal belge, qu'il
1 de 14 . • à. 15 .. ; avoine de semence, de 20 à .. ;
Baudoin Risler et Cie. — Filature de et tarifs de la Compagnie.
Obligations métallurgiques. —
faire quelque chose dans un avenir
il convient d'ajouter le fonds de di- faudra
fi
Saint-Sauveur. — Obtenable à 7,725.
. Pour tous renseignements, de même que
l sarrasin, de 18 .. a .. .. ; maïs, de 18 .. a 20 .. :; quelles
M
Carbonisation 4 OiO **. — Au pair plus «S
pour
traiter, s'adresser à MM. les agents :
de 53,400 fr.
rrapproché.
t drèche de maïs, 6 à .. ..; haricots, de 25 a 30 .. !; vidende
»
Blainville. —Dernier prix fait 575.
<
intérêts
Fonloy, — Cote 50 pour l'action priviléDes félicitations ont été adressées par les
< lentilles, de 20 .. à : 3 .. ; pois, de 22 .. à 23 .. ;'■
L'obligalion 4 0[0** au pair plus intérêts. (SIMON, à Nancy; de GOLBERY, à Epinal;
Champagne
3
0}0**.
—
Obtenable
à
320,
races, de 18 .. à :. J .. ; colza, de 27 .. à .. .. : aactionnaires à la direction dont l'éloge n'est giée
à Longwy; JACQUINOT, à
et 2*5 50 pour l'ordinaire.
g
Bœringer Guth et Cie. — Des deman- GEROME,
dernier prix fait. Le tilre est remboursable
(Commercy ; DELAUNOY, à Bar-leDuc;
féverolles, de 18 .. à .. .. ; foin vieux, de 8 à .;; I pplus à faire.
Franche Comté.— Reste aux environs de ?à 500.
des
à
7,000,
dernier
cours
pratiqué.
i
d
loin nouveau, de 6 .. â . .. ; regain, de 4 .. » 5 ;;
Elysée MOUGENOT, à Mirecourt : GEBanque de Mulhouse. — Derniers cours 3309.
Chardonnet.— Remonte de 680 à 740.
i
Châtillon-Commentry 4 0[0. — Vers 500.
paille de blé, de 4 .. a 5 .. ; paille d'avoine, de3 850
g
à Verdun; MORDILLAT, à Vilry-leLongivy. — En tendance ferme de 1,000 à
pour l'action ancienne, et 2,110 pour la
Cotonnière lorraine (Val-et-Ghât illon).— RARD,
i
Commercy 4 0p0* au pair plus intérêts.
3.. à ... ; paille de seigle, de 6 à 8; son, (,
1,030.
1
1
de 13 .. à .. .. ; farine 00, de 32 .. à 33 .. ; fa-; nouvelle.
disposons de quelques titres. L'obli- iFrançois; veuve ALEXANDRE, à Luxeuil:
Nous disposons d'un petit nombre de ti- Nous
^
Le droit de souscription est très recher- jtrès.
à Belfort; PIOT, à Chaumont : de
Nancéienne. — Récemment échangée à
line 1", de 30 .. à .... ; farine 2*. de 28 .. à"
gation
4 0[0** traitée au pair plus intérêts, ROGH,
i
g
cché jusqu'à 10 fr.
.... ; pain (les 3 kilos), 1 fr.; remoulages blancs,,600.
B
Ech, Guth et Cie (Malmerspach). — Trai- LAGABBE, à Neufchâteau.
Denain-Anzin
4
0(0
cote
502.
de 16 .. a .. ..; retraits rouges, de 14 .. à .. ..;;
Souscription aux actions nouvelles.
Renauld et Cie. — Dernier prix fait,
Deutsch-Luxemburgische (Differdange). té
t' en dernier lieu à 3,400 mk avec des deriz, de 25 .. à .. ..; pommes de terre (vieilles),, 11,050, coupon détaché.
Prix d'émission, 750 fr.
n
Contre partie à 3,700 mk.
— L'obligation 5 0|0 **' à 100 10 0[0 et l'obli- mandes.
de . .. à . ; pommes de terre (nouvelles), de9
Privilège pour les actionnaires actuels à gation
,
Présentation des lilres numérotés de 1 à
Gros, Roman et Cie (Wesserling). — On
4 1]2 0i0** à 102 0[0.
r 5. à 8 .. ; choux, de 5 à .. ; carottes, de6 /,
4,000
pour l'échange contre de nouveaux rraison de 1 action nouvelle pour 5 anciennes, ' De Dietrlch i\2 OiO ** demandée au pair ooffre à 6,750 fr.
B • •• »
*
.
ssans aucun droit de préférence pour les plus
I Houblons ordinaires, 135 à ... les 50 kil.;Spalt, j certificats munis de coupons.
Bénéfices 641,315 mk contre 503,821 mk.
intérêts.
1
On a lu, en tête du journal, l'article consacré
fractionnelles.
IlôO a ... fr.
Ch. Staehling, L. Valent in et Cie. — quantités
Ç.
Gouvy 4 0|0**. — Obtenable à 240 pour , La Gosse. — Des demandes à 8,500. Con-■ à; l'œuvre de M. J. George, garde général des foVersements:
375
fr.
en
souscrivant;
375
i
j Marché aux petits porcs du samedi 29 août.. Rappel
I
1,430 mk pour l'action de 1,000
li
tre-partie à 9,100.
irôts. Ajoutons que cet ouvrage : Les dégâts caitl'obligation
de
250
fr.
I—25 à 40 fr. la paire.
r
fr.
jmk
et 1,144 mk pour celle de 800 mk.
r le 15 septembre 1904.
Kullmann (Epinal). — Nous disposons, 1ses aux forêts par les balles du fusil de l'armée.
Longwy 4 0[0 **. — Au pair plus intéPorcs gras, 85 à .. fr. les 50 kilog. Poids mort.
La Banque Renauld et Cie se charge de rêts,
,
H. Thomas et Cie.—A 500 dernier prix fait.
de quelques titres à 1,400 dernier prix fait. 1l'indemnité qu'ils exigent et son règlement s, forme
demandée.
d
transmettre les demandes.
Marehc de Toul do SS août f»03
Mer Rouge (Dornach).— Bénéfice 255,872 'un Tolume grand in-$, avec 13 figures et 10 planLorraine Industrielle** 4 OiO.— Au pair
I . Métallurgie. —• La métallurgie lorUne ligne sautée dans le résumé du bilan ,plus
n
{Café du Commerce)
mk contre 176,046 mk. Dividende 5 0[0com- 'ches en pholotypie, broché. Prix : 4 fr.
intérêts.
1
raine
esl
frappée
d'un
nouveau
deuil
en
la
f
Voici, en résume, les points principaux élucidés
fait par notre dernier bulletin en a, changé
n
i
(les 100 kil , 21 .. à .. .. ; seigle, 14 .. à .. ,
précédemment.
4 OjO. — A 500. me
(dans celte étude, conçue en vue surtout d'une apde M. Robert de Wendel.
1 physionomie.
la
] Marine-Homêcourt
L. Orge, 15 .. à .. .. ; avoine, 15 .. i .. .. ; farine,• personne
'
Mirecourt. — Au pair en dernier lieu.
jplication pratique :
Des
demandes.
'
R
était
l'un
des
gérants
de
la
maison
Les « concessions de mines » qui, ainsi
St.. t...; sous, .. ..;foin, 6 ..à.,; paille,
L'obligalion 4 1 [4 0[0 traitée au pair plus
Données techniques indispensables sur le tir. —
4 ..; pommes de terre, 4 .. à . .. ; houblons 50 k. :; 1universellement connue dont les établisse- qque nous l'avons dit, sont complètement j La Banque Renauld et Cie à Nancy Jlintérêts.
<
figure parmi les établissements officielleConditions
dans lesquelles les arbres d'une forêt
,,. à ... ; sarrazin. ..
I
I ments tant en Lorraine qu'en France occu- amorties,
a
n'y figurent que pour mémoire. ment
,
e
e
e
être atteints par les balles. — Dégâts cauAppel des 2 et 3 quarts des obligations à peuvent
i
chargés de payer le coupon au I ' sepPrix des bestiaux sur pied, les 100 kil.: bœuf,', petit
{
près de 15,000 ouvriers et qui, après CCe sont les « Mines de Tucquegnieux», qui |
er
1
sés par les balles aux arbres el aux peuplements.
bla date du 1 septembre prochain.
§75.. ; Vaches, 65 .. ; veaux, 00 .. ; moutons,ii 1870,
]
reportèrent immédiatement en France ssont portées pour 2,792,027 fr. 90, et ce chif- tembre,
8s ; porcs^ 98 ..
La Banque Renauld et Cie à Nancy, —
' Conséquences de ces dégâts : diminution de la
v
une partie de leur industrie, en édifiant les ffre représente simplement la valeur des . Maxéville 4 0]0 ** — Au pair plus intérichesse forestière; dépréciation de la valeur des
Des demandes.
H
figure parmi les établissements chargés de' coupes
(Vlarcîie de Venlun du 35 août
iimportantes usines de Jœuf.
t
(
travaux
d'aménagement. Enfin la somme de rêts,
et des lots de chasse ; baisse du revenu for
Micheville
4
0[O
**.
—
Traitée
au
pair
recevoir
les
versements.
,
. Blé, 22.. à .. ..; seigle, 15 .. à .. ..; orge,1.1 C'est cette maison qui a introduit et ex- 1,200,000
1
reslier. — Nécessité d'une indemnité équivalente
fr. s'applique aux « Chemins dfc plus
,
intérêls.
Russo-Française.
—
L'obligation
5
0[0
**
115,.. à .. ..; avoine, 15 .. a .., le quintal; fa-'■- iploité la première en France lo proeédé fer
;aux dégâts.— Législation relative aux exercices de
f ».
1tir et au règlement des indemnités. — Modification
Montataire 4 lp2 0[0. — Traitée à 470. ddemandée à 470.
, f jlfl», 1" qualité, 33 .. ; 2« qualité, S0 .. ; 8» qualité, Thomas
'
GHchris t. pour la fabrication de
Lorraine industrielle. — A 650.
J » ..; foin, le quintal, 6 ..; paille, 5 ..
j
Saint-Julien.
—
Des
demandes
-à
275
;
i
Pompey
4
0n0.
—
Des
demandes
de
462
50
indispensable
de cette législation. — Nécessité,
l'acier
avec
les
minerais
phosphoreux
de
la
L'assemblée extraordinaire est reportée à; 465.
jfain blanc fantaisie, le kilog., ... : pain blanc *
ccontrepartie à 475.
lpour les membres des commissions d'indemnité,
,
région
de
l'Est.
Elle
a
été
ainsi
le
précur?
au 13 septembre. Elle se tiendra au Grand(de connaître la nature des dégâts invisibles qu'ils
jerçé, 0 375 ; pain blanc non percé, 0 35 ; pain bis j
,
Schlumberger
fils
et
Cie
(Mulhouse).
—
Providence 4 0[0 **. — De 500 â 503 50.
r
seur et l'instigateur de l'immense dêvelop- r' ôlel, à deux heures après midi. Dépôt des
E
chargés d'évaluer. — Insuffisance de protec402,122 mk contre 187,382 mk. Di- sont
I
Providence Russe 4 0[0**. — De 200 à Bénéfice
pement pris dans la suite par la métallurgie tares
i
pour le jeudi 3 septembre. La Banque <212.
tion des forêls dans les zones dangereuses.
four* des recule*
vidende
6 0[0 contre 4 0(0.
v
J
Renauld
et Cie figure parmi les établisseEpinal, vendredi 29 août 1903. — Fécules 1" dans l'Est de la France.
Thaon. — Oîlnl à 10,500, mais coupon de
Senelle-Maubeuge 4 0[0 **. — A 505.
***
r
officiellement désignés pour les recedes Vosges. Disponible et livrable, SI fr. 50 ?à J La grande personnalité de M. R. de Wen- ments
Polichinelle
Vezin-Aulnoye 4 0(0 **. — Rembourse- 1l'exercice détaché.
® .. Gares féculeries. Stock au 31 juillett 'del disparaît au moment où l'activité en- \voir.
Polichinelle, journal humoristique du la fament des obligations.
Vaucher et Cie (Mulhouse). — Bénéfices
1«Q3 : 884 sacs aux Magasins généraux.
core complète, se combinant avec l'expéOn connaît l'objet de la réunion :
La Banque Renauld et Cie est désignée 6682,287 mk contre 575,887 mk. Dividende 1mille, paraissant chaque semaine, lo vendredi
rience et la pratique de la vie, marque chez
La concession de Jarville est vendue pu- ,officiellement pour faire le nécessaire,
Le
numéro avec illustrations coloriées, dix cen4* lp2 0[0 comme précédemment.
Marehé d'Epi oal du 29 août. —
]
(times.
- l'homme
éminent le point culminant de sa rement
i
et simplement à une société dont
Villerupt-Laval-Dieu
5
OiO
**.
—
Beurre, 2 40 à 3 f. le kilo ; œufs, la douz.,i <destinée. Aussi n'en est-elle que plus dou- nous
l'a.petcrle.— Signalons une nouvelle;
Abonnements. — France, un an, 6 fr. ; étrange.
i
avons annoncé la formation.
: ]
-b
Au pair plus intérêts. Des demandes.
ssubstance appelée à détrôner tous les pro-. '8fr.
! 110 a 1 20 ; Gruyère, le kilo, 2 à220; GéH loureusement ressentie, la perte d'aujourCelle d'Errouville donnera lieu à une soDirection
et
administration
:
4,
rus
Montmartre,
ranimer, 1 40 à 1 50 ; Camembert, 0 50 aà d'hui.
,
duits
jusqu'ici
employés
pour
la
charge
et
,
Houillères.
—
Allemagne.
—
Une
réud
tciété au capital de 3,000,000, dont 2,700,000
' Paris.
11 couchage des papiers blancs de luxe.
0 60 la boîte. — Viande de bœuf, le kilo,M M. R. de Wendel avait été nommé cheva- ifr. pour l'apport de la Lorraine.
nion pour le renouvellement du syndicat du le
2
' •
< t ! veau> 1 80 à 2 .. ; mouton, 2 ..• ]lier de la Légion d'honneur après la guerre
Cetle
substance
a
été
baptisée
par
son
»+•
Marine-Homêcourt. — Entre 1,150 et charbon doit avoir lieu le 15 septembre, i:
a 2 80 ; poï'c,2 .. à 2 20; cheval,0 40 à 1 fr.;■; (de 1870-71, à laquelle il avait participe com- 1,160.
mais il est certain que l'accord ne sera pas inventour « Kaolinite ». La concession com1
La Réglementation du Travail
[ triperie, 0 50 à 1 fr. — Poulets, la paire, dee me
,
nmerciale en a été donnée aux établisselieutenant d'artillerie de la garde moLes industriels et commerçants liront avec In
Parmi les administrateurs nouveaux, dont encore établi à cette date.
»,a 12 fr. ; canards, la pièce, de 2 50 à 4 .. :; ]bile au siège de Thionyille.
Recherches en Lorraine (prolongement ments Poulenc, société anonyme au capitalI |plus grand intérêt le numéro du 15 août do la Ré1 choix sera soumis a la ratification de la
le
Pigeons, la pièce, l .. à 1 30 ; canards sautPaternel envers tous, homme d'affaires prochaine
i
assemblée générale, c'est-à-dire du bassin de Sarrebrùck). —\ La société dde 4 millions, dont lo siège est à Paris, 92,j glementation du Traoail, journal qui traite toule*
à
les questions si complexes de la limitation do*
iofGES',-A'
• fr- ï laPin> le kilo> 1-80 àa ,consommé, dédaignant les faciles loisirs de 1vers fin octobre, citons M. Guillain, inspec- Bonne-Espérauce (Niederbrûck) a déjà rrue Vieille-du-Temple.
Ilêvre la
\uh\
>
Pièce,. .. à . ..; chevreau,ii la richesse pour mettre celle-ci, en même Iteur général des ponts et chaussées, ancien consacré un million de francs à ses recherChampon-Bichelberger (Etivaî). — Des, 1heures de travail, de l'hygiène, de la sécurilé, dis
a
asdunuces et des retraites.
1
f ii ?' • • •
• • • ; oie, le kilo, . .. à . .. ;j itemps qu'une vaste intelligence au service ministre
i
des ir^yaux publics et des colo- ches qui, pour la Lorraine, ont d'ailleurs été demandes.
Extrait du sommaire : Qu'entend-on par travail
alouettes, la douzaine, . .. à . .. ; grives,
:
Assemblée
le
14
septembre.
—
Dépôt
des
,
deux
fois
couronnées
par
le
succès,
à
Faulc'est bien ce qui caractérisait inies, actuellement député du Nord et l'un
effectif î Repos hebdomadaire et des jours fériés.
f Pièce, . .. à . .. ; faisans, la pièce, . ..s,• l'industrie,
',celui qui n'est
titres
huit
jours
à
l'avance.
quemont
et
à
Saint-Avold,
où
la
houille
a
t
plus. Et, d'un trait, nous (des vice-présidents de la Chambre des dcLa pr.oteclion des organes dangereux. Lalymphanfa.. ; sanglier, lo kilo, . .. à . fr. ; lapins aurons loué sa mémoire
Electricité. — Générale électrique? gite des sucierg. La loi sur les accidents*. L'afliété rencontrée aux profondeurs respectives
et toute samémoirei putés.
]
l»e garenne, la pièce, ... à ... ; brochet,
II
t, et toute la famille à laquelle elle appartient,
700 mètres et de 685 mètres, avec une cobtenable au pair. — L'obligation 4 0[0 ** chige dans les ateliers, etc., etc.
Hilo, 2 .. à 3 .. ; huîtres, la douzaine, •. en disant des deux que la fortune acquise ] M. Guillain est l'une des personnalités les de
au pair plus intérêts.
La Réglementation du Travail publie iii-c.fc
; plus justement en vue da Parlement et dont épaisseur de couche de deux mètres pour• demandée
. tt • |r. ; asperges, le kilo, ... à ... ; truite,
Station électrique de Montmédy. —. tonso la nouvelle loi sur l'hygiène et la sécurité,
2, dans les affaires retournant constamment. les
1
qualités d'affaires feront un collabora- Faulqùemont.
! I'..a7 50.
promulguée
le 11 juillet 1903.
D'après la législation allemande, il faut tCette usine va devenir la propriété de M.;
aux affaires, avec la fécondation du travail teur
I
précieux dans les conseils de la comAbonnement : 10 fr. par an ; rue Dauphine, 18.
.
Duvernoy
qui,
par
son
intelligence
et
son
1
que
l'inventeur
ait
foncé
six
puils
non
sté1
personnel,
crée
un
titre,
non
à
l'envie,
mais
i
pagnie.
Paris (6>).
Marché aux fourrages (La Chapelle)
a su lirer des résultats d'une afriles pour obtenir la concession de 1,200i activité,
J
I à la reconnaissance.
du 29 août
1
.
faire
joignant
à
peine
les
deux
bouts
aupahectares
d'un
seul
tenant,
justifiant
une
,
M.
R.
de
Wendel
était
président
du
comi. Petit marché, 70 voitures de paille et 20n
1
ravant.
Iourra
~ té des forges de France, haute qualiflcaA la suite des essais des tourelles du grande entreprise.
ges. Mêmes prix sur les pailles.
VACANCES
i>- tion qui dispense d'énumôrer toutes les au- »
l
:
Situation
des
exploitations
de
lignite
:
. °urrages fermes.
Suffrcn l'armement commence à reprendre
Transports. — Automobiles Peudans les Vosges. — Mine de Norroy (Paray geot.
1res pour fixer le rôle de tout premier or- un
' peu.
— Echangé récemment à 752.
(
Paille de blé
20 à 24
i Si vous désirez les passer agréablement f
dre qu'il occupait dans la métallurgie.
Les Ardennes et la Champagne qui tra-. Chrttillon). — Au cours des travaux de reLongivy (société d'exploitation).— Au pair,■ y
Paille de seigle
24 30
excursion nez avec la
i
J Ce rôle est, en effet, dévolu aux qualités 1vaillent beaucoup pour l'agriculture souf-. cherche au sud du plateau de Norroy, il ai L'obligation
4 0[0 ** traitée au pair plus inPaille d'avoine
18 23
VOITÎ'ÎSE LÉGÈRE
été extrait 129 t. de lignites qui ont été uti-■ térêts.
t
Jqui font les personnalités émergeantes.
ifrent du mauvais temps.
toin
Il ne nous reste plus que quelques: 1
j
Nous prions Mme Robert de Wendel et
Allemagne. —- Production de la fonte en lisées dans l'usine de plâtre de Vittel.
titres.
Pom nouveau.
42 43L
Mine de Suréauville. — Inexploitée.
jses enfants, ainsi que M. Henri de Wendel, ]juillet, 865.3431, contre705,921t., et 619,5391.
Lunéville-Einville. — Des demandes
Luzerne
Mine de Saint-Meuge (Gemmelaincourt).• d'obligations
<
J frère et co gérant du regretté disparu, d'à-. pour
1
les mois de juillet 1902 et 1901.
4 Ou")**.
Luzerne nouvelle
..... 42 47
la voiture triomphante dans tous les I
j gréer l'hommage de notre plus douloureuDepuis le 1er janvier, cette production a — On prévoit pour 1903 une extraction de!
Vallée de Celles. — Obtenable au pair.
Regain
1
concaurs de tourisme.
85
,000
t.
qui
trouvera
son
emploi
â
la
ver.
été
de
5,799,875
t.
contre
respectivement
I
se
sympathie,
et
nous
saluons
respectueuSainfoin
'
Eaux et Hôtels. — La création des
.
rerie
de
Gironcourt
et
à
la
cotonnière
de
I
sèment
la
dépouille
de
celui
qui
sut
ano.
4,719,697
t.
et
4,603,318
t.,
soit
des
augmenConcessionnaire;
M. fUoté, 44, rue
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1903
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Mats-Unis. — Un temps d'arrêt dans lee
la m eilleure source pour boi re à d o miellé gu éx du 1" septembre, n° 17, est de 12 fr. net aui
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\ ; ^ vS dYP •OE MOftlDE
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est le
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,ri(le
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cotl
"*
foie dp m
,
«u. 11 remplace l'huiie
». à 947,193 fr. 81 contre 203,944 fr. précédem- tres.
ne] dre un peu d'ampleur. Prix sans changegrande multiplicité de concours. 8Ur et drinM'UC-' a la(luelle ii est bien supément. C'est le chiffre moyen des années?
pô- ments.
i'
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l CABINET DENTAIRE
,s 1898 et 1899, l'exercice 1901-1902 ayant étée ble au pair plus intérêts.
If *g»'cable u aucun des inconvénients,
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Le
rapport
de
la
Société
Vichers
Sons
léguant au second plan le côté payant, la
|e lout à fait exceptionnel.
les Paies et an*^lre' il convient aux enfanls
ils I and Maxim ne fait encore que prévoir une
d
y
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1(1 les a ceux
j P. BARTHELEMY
U^
Le net disponible de 1,045,181 fr. 53 a
ine reprise de la construction navale,
a mandes à ce prix.
*
faible i» ,t(!
' '
dont la poitrine
le
cas
ici.
ltt
6s
ll
G
,' ïan Glfes; T,V ie. 'Pérament
délicat, aux jeusuRussie.— Les récoltes sont supérieures à donné lieu à la réparlitiop suivante:
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- i? 'é est i " d0 formation ou dont la celles d'une bonne année. On peut escomp>
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811 10 0 11 esl
^nter
do
ce
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'"ï lîls ^ngor^m 6nt! des
/ souverain c^nobtenable ^u pair.
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le —
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Larbaud-Saint-Yorre
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1
Lundi M
FAITS JIVERS
Ott'ICIER
M LEBAUDY [suite). —
M. Pelleter, marin à bord du Frasquita,
goélette de Jacques Lcbaudy, a écrit la lettre suivante, datée du 6 août de Las Palmas,
à sa mère demeurant à Plouczoeu (Finislère):
« Chère mère,
Je vous écris ces quelques lignes pour
vous donner de mes nouvelles. Je suis toujours en bonne santé, Dieu merci, en espérant que cetle lettre vous trouve de même.
Je retardais tous les jours à vous écrire
parce que je croyais m'en aller avec mes
collègues.
Vous avez dû recevoir de mes nouvelles
par Cazoulat qui est parti à la maison. 11 a
dû vous dire aussi la navigation qu'on faisait en Espagne et peut-être vous avez vu
sur les journaux qu'il y a cinq hommes prisonniers sur la côte du Maroc. Celaient
tous des Bretons. Il y avail parmi eux JeanMarie Bourdiec, celui qui tient un débit au
Havre; il y avait un autre de Primel, un
autre de Saint-Jean-du-Doigl : les deux autres, je ne les connais pas, et nous n'avons
pas.eu de leurs nouvelles il y a un mois el
demi. On ne sait pas s'ils sont morts ou vivants. Nous autres, on ne sait pas quand on
ira en France, puisqu'on parle de saisir le
bateau et de f... l'équipage en prison.
Déjà le bateau à vapeur est saisi par un
navire de guerre espagnol qui nous suit partout où on va, parce qu'il pense que l'on
fait de la fraude. Nous commençons à avoir
assez du Frasquita. Vivement qu'il nous
envoie en France. Et encore nous autres
(nous ne restons plus que quatre à bord),
nous sommes bien avec le patron.
Pour sa fête au patron, qui s'appelle Jacques, nous lui avons envoyé un bouquet de
fleurs et il nous a remerciés en disant qu'il
L'EXPÉDITION
(SUite).
Cn annonce que le lieulenant-colonel BonSel, du 1er tirailleurs à Blida, a reçu du
fccmmandant Dilric, en garnison à Tours,
qui prit part au combat d'Ademba, à Madagascar, le télégramme suivant :
« Je lis dans les journaux une histoire qui
« ne peut que se rapporter au lieutenant
« B..., tué à Ademba, en 1897, devant moi,
« et qui a élé enterré par mes soins. Je
« crois de mon devoir, dans l'intérêt de la
« famille, de vous confirmer ces tristes sou« venirs.
« Commandant Derme. »
Ce qui a pu donner naissance à cette histoire, c'est t'annonce du retour de Madagascar du lieutenant Rodey, qui porte le même
nom que le lieutenant dont ou n'avait indiqué encore que l'initiale.
DISPARU DErUIS HUIT ANS
LE TEMPS EN SEPTEMBRE. — Le « Vieux
major » a élé bon prophète : il nous avait
promis un mois d'août détestable. Nous
avons élé servis à souhait. Et voici ses pronostics pour septembre :
Du Ier au 6, continuation du temps variable avec éclaircies et averses, réchauffement lent et disparition progressive des
orages el perturbations atmosphériques. Du
7 au 20. beau temps général, avec, par régions, vers ie 18 ou 19, quelques rares ondées de peu d'importance ; 21,22, vent frais,
ciel nuageux, puis, presque brusquement,
du 22 au 29, reprise du beau temps avec
chaleurs dépassant progressivement la normale et ramenant les pluies orageuses àpartir du 30.
<SO, rue Suint-.Scan, NANCY
REPUBLICAIN
EST
Août 1903
DE
ferait toul ce qu'il pourrait pourrons, parce
qu'il était très satisfait de notre service. Je
ne vous envoie pas d'argent d'ici parce que
je pense aller faire un tour à la maison cet
hiver. Nous avons peut-êlre à rester jusqu'au mois d'octobre par ici en Espagne, et
alors nous irons cn France pour désarmer.
Ça ne sera pas loin du premier de L'an qu.md
j'irai à la maison. Enfin, ne vous faites pas'
de mauvais sang pour moi, si on n'écrit pas
souvent, c'est parce qu'on ne sait pas où on
va, ni rien. Je vous embrasse.
Signé : PELLETER.
A bord du yacht Frasquita. »
Un crime horrible
vient d'être commis dans une carrière de
pierres, à Baikoc, pelit village situé près
d'Arad (Hongrie).
Un ouvrier, récemment congédié, parvint
à s'introduire dans la carrière el y déroba
de la dynamite. Pendant que ses anciens
compagnons déjeunaient, une terrible explosion se produisit.
Six ouvriers furent littéralement réduits
en bouillie.
Quinze autres ont reçu de graves blessures.
Le meurtrier, qui a élé arrêté, a avoué
son crime avec un cynisme révoltant.
UN CRIME HORRIBLE. —
çon suivie au Voltaire où il traitait de
questions philosophiques.
Selon ses volontés, sa lettre de faire-part
contenait la suscription suivante :
« pieu, la liberté morale des actions
humaines, la responsabilité de l'homme et
son exislence ultra-terrestre
Sont les vérités morales qu'il affirma
le plus. »
Ceci n'est que l'expression bizarre des
convictions d'un spiritualiste, mais, vraiment, que dire de celle circulaire imprimée
en vert, signée el envoyée par M. R. Teixeira Mendes, « vice directeur de l'Eglise et de
l'apostolat positiviste du Brésil, légat positiviste occidental auprès de la très sainte
ville de' Paris » ?
« Le 10 Gullemberg prochain (28 août
1903), sera consacrée solennellement au
culte de l'Humanité la maison
5, rue Payenne
(près de l'église Saint-Paul-Saint-Louis,
rue Saint-Antoine)
où est morle, au troisième étage
le 5 avril 1846, An II du positivisme religieux
CLOTlh.DE
(Charlolle-Glolilde Joséphine, fille de Henriette-Joséphine de Ficquelmont et de Joseph-Simon-Marie, ancien volontaire au 2'
bataillon du Loiret, le 9 août 1792, mort capitaine retraité.)
La tendre et immaculée inspiratrice
d'AuGusTE
Jeudi est
décédé, à Avignon, M. Clément Sainl-Just
(Norbert-Just-Napoléon), ancien libraire et
publicisle, à l'âge de quatre-vingt-douze
ans.
C'était un bibliographe, un historien et un
publiciste distingué.
Il avait volontairement quitté les ordres
peu après son ordination.
Il collabora par correspondance d'une faLES
BIZARRERIES HUMAINES.
—
[
COMTE
La modeste cérémonie aura lieu à midi
précis et se résumera dans l'affichage d'une
inscription commémoralive et dans la distribution, devant la maison, de roses el de
quelques volumes imprimés exprès pour cet
acte. »
est mort des suites de cette chute. M. Hayard
laisse une veuve et quatre enfants.
Léon Hayard meurt éditeur, après avoir débuté
comme camelot. Très à l'affût de l'actualité, il
avait songé à s'établir après avoir, par sa vçrve,
par son esprit d'à-propos, fait la fortune d'éditeurs de publications éphémères, nées d'un événement sensationnel, oubliées en quelques jours.
Le général Boulanger lui dut beaucoup, le président Krûger aussi ; nous voyons encore « l'Empereur » dans le train qui emmenait le vieux
vaincu do Marseille à Paris. Ses lieutenants rentraient avec lui, après avoir organisé manifestations et ventes de boniment. Sa dernière trouvaille
fut la chanson qu'il composa sur l'air de Viens
Poupoule, pour saluer l'arrivée du roi Edouard,
et qui obtint un tel succès qu'il accompagna à
Londres le président pour en lancer l'adaptation
anglaise :
Dear Mimile ! Dear Mimile ! Corne !
AU my people say
You 're vvelcome as the day.
Yer !
Dear Mimile ! Dear Mimile ! Corne !
Your refusai would much vex
Yours Truly,
Edward Bex 1
Cette chanson, en anglais de la rue Saint-Sauveur, eut un succès fou.
Une délégation de la Société amicale et fraternelle des anciens chasseurs d'Afrique s'est rendue
en pieux pèlerinage dimanche, à Fioing-Sedan,
pour déposer une palme sur l'emplacement où le
1" septembre 1870 tomba, blessé à mort, le général Margueritte. La délégation a profité de celte
circonstance pour prendre les dernières dispositions au sujet du terrain sur lequel la Société fera
élever prochainement le monument des i Braves
Gens ».
La succession de M. Gustave Larroumet comme
M. Napoléon Hayard, surnoms.0 l'Empereur des
camelots, qui, renversé par une automobile le 15 critique dramatique du Temps est dévolue au genaoût dernier, à Paris, avait été blessé grièvement, dre de Francisque Sarcey, M. Adolphe Brisson. On
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berculeux, dont i
KJ , , Enfants gif
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nxé a
par arrêté ministériel du s>o £
11? I6*
1901
marchand de tabacs parisien?^
' 5
né, par la dixième chambre correrH^Wde la Seine, à 200 fr. d'amende
*~
Il est vrai qu'au mois d'octobre M*
cour de Bordeaux avait acquitté ,3 la <
marchand de tabacs poursuivi pour
fraction analogue, « attendu que u
de loterie une fois émis sont dans i
^ le!
merce el soumis, à ce tilre aux fWh? J1-011, v<
118
de l'offre et de la demande ». Mais »,
P
d'avril dernier, la cour de cassaùon 50is !il
cet arrêt, en déclarant « qu'on ne «,
* $
admettre que des tiers puissent invoon»^ &
bénéfice de l'autorisation pour se livrer '
vente des billets d'une loterie et se £
traire aux conditions auxquelles l'atUm-iS
uus4- _
tion soumet cette vente. »
c
Le marchand de tabacs parisien ienn™
£
6Uura
ce dernier arrêt.
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« Monsieur,
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.« que de lait cl ne pouvant digérer au2
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„
« cun aliment. Aucun régime ni aucun
1OO00 P
« des mille remèdes que j'avais es1 - —
— 11 000 iw
« sayôs n'avaient pu me guérir,tandis
1
?
1,3 0.- 26 000 If
« que vos Poudres de santé de Cock
b
]
984.16
000
l
« m'ont aussitôt rétabli. Leur action
1 — —
— 18 000 i(
« est vraiment merveilleuse. Votre
2
1,400. — 26 000 M
« produit est appelé à détrôner tous11
2
2,440. - 40 000
« les autres. »
2
2,385. - 40 000
»
Il serait difficile de dire davantage.
11
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par le tribunal civil de première instance, séant à Briey,
le jeudi 30 avril 1903, enregistré et signifié dans la cause
d'entre:
M. Jules PAQTJIN, ajusteur aux aciéries de Longwy,
demeurant à Longwy ;
Demandeur, ayant M' de LANEUVAIS, avoué exerçant près le tribunal civil de Briey, demeurant en celle
ville pour avoué constitué ;
Et Mme Marie-Catherine DUPONT, sans profession,
épouse de M. Jules PAQUIN, avec lequel elle esl domiciliée de droit à Longwy;
Défenderesse défaillante, faute par elle d'avoir constitué avoué,
Il appert :
Que le divorce a été prononcé entre les époux PAQUIN-DUPONT, sus-nommés, aux torts de la dame Marie-Catherine DUPONT.
Pour extrait certifié conforme par l'avoué
soussigné constitué du demandeur.
Briey, le 26 août 1903.
De LANEUVAIS.
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Feuilleton de
V£ST REPUBLICAIN
N" 14.
La Fane liipelire
Pur Henry GltEXET
En écriv.int de la sorle, le maréchal
des logis de royal-dragons ne mentait
que de moitié.
Les cœurs aiinanls sont sensibles et affectionnent volontiers qui aime.
/ u ^siMIledc Clairvillo accueilli belle
Quinine avec des transports de joie.
— Soyez ia bienvenue parmi nous, mademoiselle de Aleyrac, el faites étal de
moi pour lout co qui concerne les attributions nouvelles pour vous, de demoiselle d'honneur.
Rougissant d'avoir laissé échapper cet
aven, Léorior so jela dans les bras de
Christine, qui l'embrassa en disant:
— Vous pouvez avoir confiance on moi,
ma loule belle. Je connais vos socrels.
Ne suis-je pas, d'ailleurs, moi-mêmo fiancée à M. do Mann on t.
— Oui, mais voire famille ne s'oppose
pas à votre union.
— Corles, non. Et dès que M. de Marmont aura acquis un peu de gloire au
service de Sa Majesiô, jo m'empresserai
de lui donner ma main.
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— Très souvent.
gnée de quelques pas, obliqua du côté de
Le roi de France tourna ses regards
— Tandis que nous sommes obligés de la tante de Léonor, et manœuvra de ma- du côté de l'Angleterre.
nous cacher, M. de Léon et moi.
nière à se trouver assez près d'elle pour
Le roi Charles n'était pas sensible à
— Je sais ; un père barbare...
pouvoir l'observer à son aise.
la gloire, mais avait de grands besoins
— Oh ! ne dites pas de mal de mon
Mlle de Clairville était une grande et d'argent ; c'est par là que Louis résolut
père. Il m'aime bien quand môme, mais sèche personne, à l'air peu aimable. Elle de se l'attacher. Il décida de lui faire
la colère l'aveugle.
était tolérée plutôt qu'admise a la cour offrir une somme considérable pour prix
— Enfin, la volonté dos vôtres, repré- de Madame. Comme elle élail de haute d'un trailé secret.
sentée par votre tante, Mlle de Clairville, et vieille noblesse, on n'osait pas trop
Ce projet de liaison ne fut confié en
s'oppose à ce que voire fiancé puisse vous reconduire, bien qu'on sût toutes les France qu'à Turenne, Louvois et Mafaire sa cour. Ne me présenterez-vous tracasseries qu'elle avait fait endurer à sa dame.
pas à votre chère tante?
nièce.
Une princesse de vingt-six ans, fut, en
— Non 1 II est préférable qu'elle ignoMlle de Meyrac l'examina attentive- effet, le plénipotentiaire choisi pour conre nos bonnes relations.
ment el s'éloigna pour aller prendre près sommer ce traité avec le roi Charles.
— Jo comprends, elle soupçonnerait de Madame son service, dont c'était
On prit pour prétexte du passage de
quelque intrigue.
l'heure.
Madame en Angleterre un voyage que
— C'est cela même.
A l'avenir, elle saurait la reconnaître le roi voulut faire dans ses nouvelles
— Je serai donc obligée de me passer rien qu'à son ombre.
; conquêtes vers Dunkerque et Lille.
de l'amitié de celle charmante femme.
Tandis que so déroulaient des jours | Ce voyage dépassa en pompe et en
Miiis vous me la montrerez au moins?
bien monotones pour Christine à la cour splendeurs loul ce qu'il est possiblo d'i— Oui, car cela peut nous êlre utile.
de Madame, le momenlfixé par Louis XIV, maginer.
— Jo crois bien, quand ce ne serait pour son grand voyage dans les Flandres
C'est au milieu d'une véritable armée
que pour la tenir à l'écart.
arriva.
que Louis visila toutes les villes conqui— Que vous êtes méchante.
Le roi n'avait pu pardonner à la Hol- ses, semant l'or, les bijoux et los pré— Non, je suis juste.
lande de l'avoir contraint à la paix, alors sents de toutes sortes, non seulement
— Précisément, voici ma tante Arman- que le succès favorisait ses armes.
chez ses officiers et ses sujets, mais endine qui vient de ce côté... SéparonsPour punir cotlo république de son au- core parmi la noblesse flamande venue
nous.
dace, il résolut do la conquérir.
de Bruxelles, et qu'il accueillit, surtout
— Avec une précision qui eut fait honL'entreprise n'était pas fort difficile, les dames, avec la dernière galanterie.
neur à de vieux soldats on manoeuvres, car l'armée hollandaise n'existait pour
Au cours de ce long voyage, Christine
les deux jeunes filles se tournèrent le dos ainsi diro pas.
de Meyrac et Marmont n'avaient pu
et marchèrent chacune dans une direcCet Etat avait porté tous çes efforts échanger que do courts propos. Ils fution opposée.
vers la mer, el avait su faire les plus for- rent plus heureux à Dunkerqu», la veilIl élail impossible de soupçonner qu'à tes escadres du monde.
le de l'embarquement de Madame et de
l'inslant même, les deux jeunes personPour réussir, il suffisait donc à Louis sa maison pour l'Angleterre.
; nés vonaient d'échanger les plus douces XIV de trouver un allié qui fût à même
Le comte de Marmont, qui n'était pas
confidences.
de tenir lêle aux armées navales de la de service çe jour-là, recevait sa fiancée
1 Christine de Meyrac, après s'être éloi-, Hollande.
» à l'hôtel du Çoa-Sardy, où U s'était
S ;
ménagé, à prix d'or, un logis confortable.
Le beau maréchal des logis de Léon
élail, lui aussi, de la fêle, car sa chère
Léonor avait promis de venir le voir pendant quelques inslants, sous la tutelle de
son amie Christine.
Les deux jeunes filles furent exactes
au rendez-vous.
Elles avaient pu s'échapper, grâce au
desordre inhérent à un voyage pareil el
qui ne permettait pas à Mme la surintendante d'avoir sans cesse l'œil sur
toutes les filles d'honneur do Madame
Plusieurs d'enLreelles élaient, d'ailleurs,
logées en ville, celait le cas pour mademoiselle de Clairville eL pour Christine.
»,£pI].ès„les Premici's épanchements,
Mlle de Meyrac aborda un sujet important pour sa mission.
S'adressant à Marmont :
.
-remarqué, ces jours-ci, parmi
S dG b0 cl
^llurlfIh
o
" f.>'» homme aux
al mes étranges et dont le visage ne
8
m'est pas inconnu.
ChTisUne !imP°rle C6t h0mmo' ma chère
— Il m'imporlo beaucoup, au con
traire car si mes soupçon» sont iffi
fies, j'ai dépisté un espion iauService S
es
ennemis dè Madame
ans ce
T-P
cas, l'antienne chantre Oui
U
(Q
le fait suspecter cet homme
— Tout.
— Mais encore ?
wi7i?^„a^U-llidQ obse<ï«teu.se démentie
la dureté de son regard. Qu 0bS|j!
î ™^
m
s
nation à so trouver là où il n'a q"e
on le ronconlre partout, alors Q^ji
vrait, comme ses camarades, se i»u r
l'office.
, -m
— lî est de fait que cela est
rieux.
' s2tl
— Enfin, et surtout, certain w>tt
d'intelligence qu'il échangea l.au"/rèra
en ma présence, avec Monsieur,^
du roi, et qui n'était pas l'h«m™Li
d'un valet à son maître toul-P^èretf
Marmont et do Léon se rte*1™
emus.
relhut»'
— Que dis-lu là, Christine? ^B ayec
Ole domestique serait d'inteUig6"
Son Aliesse?
, n_«, do«'
— Pour moi, la chose n'est P"°
leuse.
.
J
ce1
— Quelle est la physionomie "6 sûfl
homme ? Dépeins-nous les traits
visage.
. — Il a l'air d'un soldat déguise» #.|
qu'il ait lo visage rasé et affeçw "
Iftudo des plus humbles. Ses t
wC;
durs el son nez recourbé sernbio es{Cf |
d'un oiseau de proie. Son langa&^,r0veJ'i
lui d'un Gascon ou plutôt d'un
m
cal, et il s'étudie à dissimuler
cent :
mP5!
Marmont et de Léon dirent en
temps :
Aa
^ — C'est le portrait du sieur ae
4