1) Les conditions de vie:

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Transcript 1) Les conditions de vie:

ère
1
L’assaut de La
Guerre Mondiale
Par Etienne ROBERT, Ulysse
VENET, Thomas VEAUGEOIS,
Axelle VOGEL, Katia VERRIER,
Manon STURZER et Raphaëlle
WURTZ – 3°4
Pour le : 14/05/2014
Sommaire:
• Problématique (diapo 3 – par Raphaëlle WURTZ)
• Introduction (diapo 4 – par Raphaëlle WURTZ)
• I- Les force armées en présence (diapo 5/6 - par Ulysse Venet et
Thomas Veaugeois)
• II-Pourquoi cette bataille ?
• 1) Du point de vue des Britanniques et des Français (diapo 8/9 - par
Manon STURZER)
• 2) Du point de vue des Allemands (diapo 10/11 - par Etienne ROBERT)
• III-Zoom sur l’assaut de cette bataille…
• 1) Conditions de vie (diapo 13/14 - par Katia VERRIER )
• 2) Déroulement de l’assaut (diapo 15/16/17 - par Axelle VOGEL)
• Conclusion (diapo 19 - par Raphaëlle WURTZ)
Mise en page et plan réalisé par Raphaëlle WURTZ
Problématique:
• À travers l’exemple de la bataille de la Somme (1916),
quelles ont été les force en présence, pourquoi ontelles combattus et comment ?
Introduction:
L’assaut est l’action d’attaquer pour s’emparer de
positions ennemies.
Nous allons vous présenter dans un texte développé
l’assaut de la bataille de la somme de 1916, cette année
retenue dans l’histoire comme un tournant de la 1ère guerre
Mondiale. Dans une première partie, nous allons vous
présenter les forces armées en présence (page ), puis nous
allons voir pourquoi cette bataille a-t-elle eu lieu (page )
enfin nous allons nous intéresser au déroulement de
l’assaut (page ) et nous allons finir par une conclusion
personnelle.
I- Les forces armées en
présence
Les forces armées en présence
(par Ulysse et Thomas)
Qui sont les
combattants ?
Où se battent-ils ?
Quand se battent
ils ?
II- Pourquoi cette
bataille?
1) Du point de vue des Britanniques
et des Français:
(Par Manon STURZER)
•
•
C'est au mois de décembre 1915, au cours de réunion tenues à Chantilly, le 6
et le 7 décembre, que la décision avait été prise d'une offensive générale au
milieu de l'année 1916.
Les Français et les Britanniques se battent pour percer le front adverse. Mais
d’après le témoignage de Paul Heuze, le but de l’assaut ne s’agissait plus
essentiellement d’une percée ennemi mais de « dégager Verdun ». Le plus
important étant de faire avancer les lignes de front, et de dégager Verdun,
donc d’user un maximum l’adversaire, de lui prendre, et casser du matériel
ainsi que rétrécir leur troupes.
•
Le plan d'attaque, lui aussi, se trouvait nécessairement quelque peu modifié.
On enleva au général Foch donc plus des deux tiers des forces lui avaient été
primitivement assignées : si bien qu'il ne dut attaquer, finalement, qu'avec
une douzaine de divisions. Dans ces conditions, son front d'attaque fut réduit,
sur la zone extrême sud, d'une vingtaine de kilomètres, ce qui supprimait
l'attaque en direction de Ham : la région sur laquelle allait se dérouler la
bataille. Quant au généralissime anglais ne changeait pas son dispositif ; mais
son action pouvait et devait alors devenir la principale. La conception des
alliés était audacieuse dans ces circonstances, et ce ne fut pas sans difficultés,
au milieu de mille critiques de toutes espèces, que le Commandement français
à du faire face.
2) Du point de vue des Allemands:
(Par Etienne ROBERT)
Le déclenchement de la bataille de la somme du côté allemand est
tout d’abord étendre leurs territoires en perçant un front à l’ouest de la
France. Petit à petits ils avancent en France et ils arrivent dans la Somme.
Le front est stabilisé depuis décembre 1914, à la suite de la course à la
mer. Les combats de 1915 n'ont pas fait bouger les lignes. Les allemand ne
prennent pas des dispositions particulières, l'état-major attendant une
offensive alliée sur l'Artois ou en Alsace, les préparatifs alliés leurs
semblent un bluff. Le terrain de la bataille est le plateau picard, c’est un
terrain propice au creusement de tranchées. Le maillage des villages,
distants de deux à quatre kilomètres, permet une défense en profondeur.
Les Allemands occupent presque partout des hauteurs. Leur front se
compose : • d'une forte première position, avec des tranchées de première
ligne, d'appui et de réserve. • d’une seconde ligne intermédiaire, moins
forte, protégeant des batteries de campagne. • Et enfin, un peu en arrière,
d'une deuxième position presque aussi forte que la première. À l'arrière,
se trouvent des bois et des villages reliés par des boyaux, de façon à
former une troisième et même une quatrième ligne de défense. Du côté
allemand la bataille se fini aussi meurtrière que pour le coté de l’alliance
Les Allemands occupent presque partout des hauteurs. Leur
front se compose :
- d'une forte première position, avec des tranchées de
première ligne, d'appui et de réserve.
-d’une seconde ligne intermédiaire, moins forte, protégeant
des batteries de campagne.
- Et enfin, un peu en arrière, d'une deuxième position
presque aussi forte que la première.
À l'arrière, se trouvent des bois et des villages reliés par
des boyaux, de façon à former une troisième et même une
quatrième ligne de défense. Du côté allemand la bataille se fini
aussi meurtrière que pour le coté de l’alliance
III-Zoom sur l’assaut de
la Bataille de la Somme
1) Les conditions de vie: (par Katia VERRIER)
Les tranchées sont les symboles de la
Grande Guerre. Elles n'ont pas
seulement changé la guerre, elles ont
aussi changé les hommes, ces derniers
doivent vivre dans des conditions
abominables au quotidien. Les poilus
s'abritaient dans des tranchées et
dormaient dans des abris souterrains.
1ère
Durant trois ans, de 1915 à
1917, dans ces ‘couloirs de la mort’, il
faut tenir, résister et se battre, mais
également subir:
-les rats
-les
bombardements
-le froid
-les attaques
incessantes
-la peur
-les pertes
-la mort
-la faim
-la boue
-le sommeil
-les poux
-les chocs
physiques et
psychologiques
La vie des combattants était
extrêmement pénible puis qu’en plus du
combat, ils doivent effectués des
corvées lorsqu’ils n’ont rien à faire. Il
faut donc attendre d’être en 1917 pour
que les soldats bénéficient d'un repos
complet de trois ou quatre jours. En
attendant, ils doivent travailler:
• transport du ravitaillement et corvée
de soupe, de l'arrière au front
• terrassement et enterrement des
cadavres
• tours de gardes et de veilles
• chasser les rats
• distribuer le courrier, etc…
Enfin, les soldats se mutinèrent même
dans les tranchées, refusant de
continuer à vivre dans de telles
conditions. De plus, les souffrances
endurées par les combattants ont
profondément marqué les esprits.
2) Déroulement de l’assaut: (Par Axelle VOGEL)
L'offensive de la bataille de la Somme est
déclenchée le 1erjuillet. Ses résultats se révèlent très
rapidement en-deçà des espoirs placés dans l'intense
préparation d'artillerie qui a précédé l'assaut. Pour
l'armée britannique, ils sont catastrophiques avec la
perte durant cette seule journée de 58 000 soldats dont
20 000 tués.)
Les efforts répétés des Franco-britanniques au
cours des premières semaines de combat parviennent à
faire reculer l'adversaire, sans conséquences majeures
pour ce dernier qui parvient à s'accrocher au terrain
depuis ses retranchements fortifiés et ses lignes de
défense établies en profondeur.
À partir de la mi-juillet, l'enlisement de l'offensive
contraint le commandement français à réviser à la baisse ses
objectifs en portant l'essentiel de son effort au nord de la
Somme aux côtés des forces Britanniques. Au cours de cette
seconde phase des opérations, la poussée décisive est
abandonnée au profit d'une guerre d'usure dans laquelle se
succèdent les assauts de grignotage. À la fin novembre, face à
l'épuisement des troupes et aux intempéries qui gênent
considérablement l'évolution des hommes et le transport du
matériel, le commandement allié se résous à cesser les
opérations.
Après cinq mois de combats presque sans interruption, un
constat d'échec s'impose aux deux camps, qui l'un sur la
Somme, l'autre à Verdun, ne sont parvenus à lever le blocage
stratégique qui s'était mis en place à la fin 1914. Quant au bilan
humain il se présente comme l'un des plus lourds de la Grande
Guerre et ce n'est pas un hasard si, par la suite, les deux
batailles de 1916 occuperont une place de choix et durable dans
la mémoire collective du conflit tant elles apparaîtront comme
emblématique de la « grande boucherie. »
On estime que 3 millions de soldats participèrent à la bataille
sur une durée de 5 mois( du 24 au 30 juin 1916).
Le dispositif tactique des armées franco-britanniques
disposées de part et d'autre de la vallée de la Somme prévoit un
déploiement des troupes sur un axe compris entre les villes de
Bapaume et de Péronne situées en secteur allemand (voir la carte en
page centrale).
Les pertes (notion qui comptabilise les tués, blessés, disparus
et prisonniers) sont estimées pour la bataille de la Somme à environ
1 200 000 hommes toutes armées confondues.
Conclusion:
• La bataille de la Somme fut un tournant de la
Première Guerre Mondiale tant par ses pertes
humaines que par ses répercussions physiques et
psychologique.
• L’assaut de cette bataille fut particulièrement
meurtrier.
• L’assaut d’une bataille comme celle de la Somme, peu
de soldats y survivent… Mais même si c’est le cas ils
doivent encore réussir a infiltrer l’ennemis et à
l’éliminer ce qui n’est pas gagné d’avance…