La danse des abeilles

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La vie dans la ruche
Sommaire
1.Les membres de la ruche et
le rôle de chacun
*La reine
*Les mâles ou faux bourdons
*Les abeilles ouvrières
*Comment font les abeilles du
miel
2.Comment font les abeilles les
ruches?
3.L’influence du climat sur la vie
dans la ruche
*Les abeilles en hiver
4.Secrètes de la vie des
abeilles
*La danse des abeilles
*Le langage des abeilles
LA REINE
La reine(que l'on appelle aussi la
mère) ne mérite aucun de ces
deux noms.Ce n'est pas une reine,
car elle ne dirige rien. Elle n'est
pas une mère car elle ne s'occupe
pas de ses enfants.
La reine( toujours unique) est en
fait une pondeuse. En haute
saison, elle pond environ 2.500
oeufs par 24 heures, ce qui
représente une fois et demi son
poids .
La vie de la ruchée dépend exclusivement
de la reine. C'est la seule qui est
capable de pondre des oeufs
fécondés,c'est à dire des ouvrières qui
elles mêmes s'occupent de tout.
Et pourtant cette reine, dont dépend la
vie de la ruchée et qui réalise des
pontes extraordinaires, n'était au départ
qu'une larve comme les autres.
Lorsque la reine naît, elle a un travail à
faire de toute urgence. Un travail vital
pour elle.
http://www.laruchequiditoui.fr/provider/home
LES MÂLES ou FAUX BOURDONS
Il y a dans la ruche, des mâles
qui sont issus d’œufs non
fécondés.
Ils sont facilement reconnaissables
dans une ruche, car ils sont plus
gros que les abeilles, ils ont un
abdomen rectangulaire et de très
gros yeux contigus.
Ils ne savent pas manger tout
seuls ( ou plus exactement ils ont
bien une petite langue), mais
n’aiment pas s’en servir (Ils
préfèrent se faire nourrir) et n’ont
pas de dard pour se défendre.
Certains,parviennent à s’accoupler une
fois et puis,meurent immédiatement.
Les mâles, comme la reine peuvent
voler assez loin de la ruche ( 15
km et plus) alors que les ouvrières
vont pratiquement pas au-delà de 3
km.
Les mâles contribuent à la
climatisation de la ruche.
http://abeilles.apiculture.free.fr/aux_bourdons.htm
LES ABEILLES OUVRIERES
Elles sont de loin les plus nombreuses (
de 30.000 à 100.000 selon la saison).
De l’œuf pondu et fécondé, naît, 3 jours
plus tard une larve, difficilement visible à
l’œil nu.
Les abeilles nourricières alimentent cette
larve avec une bouillie larvaire composée de
miel et de pollen, et ce durant 5 jours. Le
5ème jour, la larve aura la taille d’un gros
asticot. En 5 jours elle aura grandi de
1.700 fois.
Ce cinquième jour, la cellule sera operculée
par les abeilles, et c’est donc dans sa
petite boite hexagonale que la larve va se
transformer en insecte parfait.
Le 21 ème jour après la ponte, l’abeille va
naître en perçant l’opercule.
L’abeille est un imago,c' est-à-dire qu’elle naît
avec sa taille d’adulte : elle ne grandira plus.
Elle va nourrir les larves en faisant la bouillie
larvaire, puis une glande va se développer
dans la tête de l’abeille. Cette glande
pharyngée va produire la fameuse gelée royale
dont la reine sera nourrie exclusivement. Puis
cette glande va s’atrophier alors que d’autres
glandes vont se développer dans l’abdomen :
ce sont les glandes cirières, qui produiront de
très fines écailles de cire qui sortiront entre
les anneaux de l’abdomen. Enfin, vers la
troisième semaine, l’abeille va sortir de la
ruche.
http://abeilles.apiculture.free.fr/ouvriere.htm
COMMENT FONT LES ABEILLES DU MIEL
Le miel n’est pas, au sens propre,
une
« production » comme peut l’être la gelée royale
sécrétée par les glandes hypopharyngiennes des
jeunes abeilles, mais il est le fruit d’une
« transformation » à partir de substances récoltées
par les butineuses.
Le miel est le fruit du travail des abeilles à partir
du nectar et du miellat récoltés par les
butineuses.
Le nectar et miellat sont récoltés par
les butineuses qui les pompent avec
leur langue:
Elles stockent cette récolte dans leur
jabot, sorte de poche d’attente au début
du tube digestif, dans lequel les
premières réactions chimiques
commencent avec les enzymes de la
salive de l’abeille.
De retour à la ruche, la butineuse va transmettre sa récolte
en la régurgitant aux autres ouvrières qui vont s’échanger
cette nourriture (on parle de « trophallaxie ») et continuer
ainsi la transformation des sucres récoltés jusqu’à ce qu’elles
estiment que le miel ainsi « fabriqué » soit bon à stocker
dans les alvéoles.
Mais le travail du miel n’est pas fini, car si, au départ,
nectar et miellat peuvent comporter jusqu’à 80 % d’eau, il
faut que le miel en comporte moins de 20% (idéalement
moins de 18%) pour bien se conserver.
Pour ainsi « assécher » le miel, les abeilles
vont continuer de le travailler et surtout de le
ventiler en battant des ailes.
A nouveau, quand elles estimeront qu’il est « à
point » elles fermeront les cellules par un
bouchon de cire appelé « opercule ».
Cet opercule pour le miel est imperméable à
l’eau et à l’air alors que l’opercule qui ferme
les cellules du couvain est imperméable à l’eau
mais perméable à l’air.
http://miel-et-abeilles-en-touraine.com/article-17-comment-les-abeilles-font-le-miel
Comment font les abeilles les ruches
Les abeilles ouvrières font des ruches pour
stocker le miel et se nourrir pendant l'hiver
quand elles ne peuvent pas aller à l'extérieur
pour chercher de la nourriture. Les ruches sont
faites de tubes à six faces, qui sont les formes
pour la production de miel optimale car ils
nécessitent moins de cire et peut contenir plus
de miel. Certains urticaires couvées qui
deviennent de couleur foncée au fil du temps en
raison de pistes cocon et les taches de voyage.
Autres ruches restent de couleur claire.
Les abeilles sauvages construisent des
ruches dans des crevasses rocheuses, les
arbres creux et d'autres domaines que les
abeilles scouts estiment appropriés pour leur
colonie. Comme pour les habitudes des
abeilles domestiques, elles construisent des
ruches par la cire à mâcher jusqu'à ce
qu'elle devienne souple, puis collage de
grandes quantités de cire dans les cellules
d'un nid d'abeilles. Lorsque les abeilles
ouvrières se regroupent à l'intérieur d'une
ruche, la ruche se maintient autour de 30 à
35 degrés Celsius, la température nécessaire
pour contrôler la texture de la cire.
Les glandes des abeilles
ouvrières convertissent le
contenu en sucre du miel dans
la cire, qui suinte à travers les
pores de petites de l'abeille
pour produire des paillettes
minuscules de cire sur leurs
abdomens. Les travailleurs
mâchent ces morceaux de cire
jusqu'à ce qu'ils deviennent
tendres et malléable, puis
ajoutent la cire mâchée pour la
construction en nid d'abeille.
Les cellules hexagonales des nids
d'abeilles sont utilisées pour les larves de
la maison et le couvain d'autres, ainsi
que pour stocker le miel, nectar et le
pollen. Lorsque les apiculteurs extraire le
miel des ruches, le peigne est facilement
laissée intacte, bien que les apiculteurs
vendent des rayons de miel ainsi.
http://www.aaced.com/comment-les-abeilles-font-leur-ruches.html
L’INFLUENCE DU CLIMAT SUR LA
VIE DANS LA RUCHE
Les conditions climatiques influent de façon
prépondérante sur l’activité saisonnière des
colonies d’abeilles et des autres insectes
butineurs. Quand elles deviennent défavorables à
l’activité des butineuses, il convient de
s’intéresser à leurs impacts potentiels, aussi bien
sur le développement de la colonie que sur ses
capacités de production de miel.
Globalement, en saison active (de février - mars
à septembre - octobre), un mauvais temps
prolongé est l’ennemi de l’activité des abeilles.
Pour pouvoir aller récolter nectar et pollen
dans leur environnement, les butineuses doivent
attendre des conditions climatiques qui leur
conviennent :
- température extérieure d’au moins 13 ou
14°C (donc, durant les premières semaines
d’activité à la sortie de l’hiver, uniquement
durant les journées bien ensoleillées),
-absence de précipitations,
- vent limité (par exemple, au-dessus de 43
km/h, le vent fait graduellement disparaître les
abeilles d’un champ de trèfle violet).
http://www.jacheres-apicoles.fr
Les abeilles en hiver
Du 15 octobre au 15 avril,
en fonction des conditions
atmosphériques, la plupart,
comme les bourdons et les
autres insectes, vont
prendre des vacances et
hiberner dès que la
température descendra sous
les 10°-12°.
Il faut également garantir
une température correcte à
l’intérieur de la ruche.
http://apiruches.over-blog.com/article-les-abeilles-l-hiver-44002810.html
SECRETS DE LA VIE DES ABEILLES
*La danse des
abeilles
*Le langage des
abeilles
La danse des abeilles
Un système de communication remarquable,
propre aux abeilles, permet de diffuser dans la
colonie un grand nombre de renseignements ou
de messages, le lieu de provenance de la
nourriture (quantité, lieu et origine florale) par
exemple. Pour se faire comprendre, les hommes
disposent de la parole .Les abeilles s’expriment
différemment, grâce a un système de
communication a base de mouvements, d’odeurs,
de reperes visuels et de sons, qui constitue leur
langage. Ainsi, les ouvrières se transmettent des
informations par signes tactiles (code anténnaire),
olfactifs ou chimiques .Elles s’informent par des
sortes de gesticulations que l’on appelle „danses”
dont la signification a été découverte par le
savant autrichien Karl von Frisch.
D’autres mouvements plus ou moins dansants ont été
observés, mais leur signification échappe encore aux
chercheurs. Tantôt il semble que des abeilles engagées
dans une action cherchent à y entraîner leurs
compagnes : ainsi peuvent s’expliquer notamment les
¨danses bourdonnantes¨ d’avant la période d’essaimage,
par lesquelles certaines abeilles, se déplaçant à grand
bruit d’ailes, bousculent les autres pour les rallier au
futur essaim. Tantôt les mouvements observés
apparaissent comme des phénomenes individuels auxquels
les voisines ne prêtent pas attention: telles les ¨danses
tremblantes¨ qui peuvent agiter des abeilles plusieurs
heures durant, généralement
à la suite de quelques
événement fâcheux pour elle. Cependant rien n’indique
que ces manifestations servent à la compréhension
entre individus.
Tandis que les danses signalant des sources de
nourriture,elles constituent véritablement un langage.
http://tecfa.unige.ch/tecfa/teaching/UVLibre/0001/bin35/abeilles/danse/danse.html
Le langage des abeilles
C’est grâce aux travaux d’un observateur de génie, Von
Frisch, que nous savons comment les abeilles se
communiquent « des tuyaux » sur les champs mellifères
les plus intéressants.
Les abeilles de plus de trois semaines, vont à
l’extérieur de la ruche pour aller chercher, soit du nectar,
soit du pollen, soit de la propolis, soit de l’eau ( pour
faire de la bouillie larvaire ou pour climatiser par grandes
chaleurs).Mais ce ne sont pas des paresseuses qui
passent leur temps à se balader. Ce n’est pas le genre
de la maison. Ce sont des mathématiciennes.
Elles sont appelés les éclaireuses. Elles partent dans
toutes les directions a la recherche des champs melliferes
existants sur le moment.
Lorsqu’elles trouvent un endroit plein de fleurs
intéressantes, d’un coup d’aile, elles reviennent à
la ruche, et expliquent a toutes les butineuses
présentes dans la ruche, ou il faut aller.
Elles effectuent une danse frétillante ou danse en
8 ( c’est plus exactement une danse composée
d’une partie rectiligne et des deux boucles).
Les cadres, dans une ruche sont verticaux. Lors du frétillement
durant la partie rectiligne, l’éclaireuse indique l’angle formé par
le soleil, la ruche et le champ nectarifere. Cet angle qu’elle
avait calculé sur une projection horizontale, à l’extérieur, elle le
reproduit sur le plan vertical. Les abeilles savent donc la
direction qu’il faudra qu’elles prennent en sortant de la ruche.
Par ailleurs, le temps mis par l’éclaireuse pour parcourir la
partie rectiligne, indiquera aux copines, non pas la distance,
mais la durée de vol ( car le vent a une influence sur la
vitesse de vol.)
Pendant que l’éclaireuse fait sa danse frétillante, d’autres
abeilles reviennent à la ruche pour y déposer leurs
provendes.Si bien que l’éclaireuse peut etre amenée à faire sa
danse durant des heures.
Or pendant ces heures, le soleil bouge, et l’angle en projection
horizontale du soleil de la ruche et du champ mellifère change.
Et bien dans l’obscurité de la ruche, l’éclaireuse modifiera la
partie rectiligne de sa danse pour toujours donner la bonne
direction.
Or pendant ces heures, le soleil bouge, et l’angle en
projection horizontale du soleil de la ruche et du champ
mellifère change. Et bien dans l’obscurité de la ruche,
l’éclaireuse modifiera la partie rectiligne de sa danse pour
toujours donner la bonne direction .
Danse à 150° de l'axe du soleil >
<Danse à 60° de l'axe du soleil
Ce qu’il faut savoir, c’est que les abeilles voient la lumiere
polarisée.
Comme elles se dirigent par rapport au soleil, la nuit, elles
ne sortent pas.
Mais si le temps est couvert, elles voient la lumiere polarisée
et sortent normalement
http://abeilles.apiculteur.free.fr/langage.htm
Voilà notre groupe:
*Gavrilă Marina
*Crăciun Georgiana Elena
*Răducu Claudia Costina