PERTURBATEURS DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL
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Transcript PERTURBATEURS DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL
Lequel de ces 2 textes est plus facile à lire ?
La puissance du cerveau
Leons une uédet de l'vinUertiés de mCaberigd, l'dorer des tlteesr
dnas un mot n'a pas d'pmirotenca. La useel secoh miprotenat est
que la meeirèrp et la rednèeir eltrets sentoi à la obenn celpa. Le
seret etup retê ndsa un esédrord totla et suvo upozev utjoruso elri
nssa orleblpèm. C'est erpac que le reucave manuih ne lit pas
ehucaq teletr lele-emmê, isam le mot mocem un utto. La erepuv...
Sleon une édtue de l'Uvinertisé de Cmabrigde, l'odrre des lteters
dnas un mto n'a pas d'ipmrotncae. La suele coshe ipmrotnate est
que la pmeirère et la drenèire ltertes snoiet à la bnnoe pclae. Le
rsete peut êrte dnas un dsérorde ttoal et vuos puoevz tujoruos lrie
snas porlbème. C'est prace que le creaveu hmauin ne lit pas
chuaqe ltetre elle-mmêe, mias le mot cmome un tuot. La peruve...
LE CORPS HUMAIN
Le système nerveux
SYSTÈME NERVEUX
C’est le CENTRE DE CONTRÔLE de notre corps.
Il assure la réception, le traitement, l’emmagasinage et la transmission
de l’information provenant des différentes parties du corps et du milieu
extérieur (par les sens).
On le divise en 2 parties principales
SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
SYSTÈME NERVEUX
PÉRIPHÉRIQUE
LA CELLULE DU SYSTÈME NERVEUX : LE NEURONE
• On possède en moyenne 100 milliards de cellules nerveuses (neurones)
• Longueur: de très court à jusqu’à 1 m de longueur
• Ne se régénère pas sauf sous certaines conditions
• Rôles du neurone: capter les stimulus (donc excitable) et les transmettre au
cerveau (donc conductible) sous la forme d’influx nerveux (courant électrique).
1
2
STIMULUS
Agent interne ou
externe qui
provoque une
réaction
3
4
http://users.skynet.be/sep-cf/Imagessite/influx.gif
http://www.lecorpshumain.fr/corpshumain/img_fiches/fonctionnement/transmission_influx_3.jpg
LA TRANSMISSION DE L’INFLUX NERVEUX
(Zone de
jonction)
Voir: http://pedagogie.ac-amiens.fr/svt/info/logiciels/animneuro/index.htm
Moi, le neurone,
je suis comme un
fil électrique…
La synapse que je fais
avec d’autres neurones,
c’est la prise…
Et le courant qui circule
et me chatouille, c’est
l’influx nerveux!
pages.infinit.net/wave/diaporamasys_nerveux_final.ppt
synapse
www.radio-canada.ca
LE SYSTÈME NERVEUX PÉRIPHÉRIQUE
C’est l’ensemble des nerfs qui relie
les différents organes et régions du
corps au système nerveux central. Il
comprend:
1. Les récepteurs sensoriels captent
les stimulus et les transforme en
influx nerveux (organes des sens).
2. Les nerfs sensitifs acheminent
l’information provenant des
récepteurs sensoriels au système
nerveux central (influx nerveux).
3. Les nerfs moteurs transmettent les
commandes du système nerveux
central aux muscles afin de produire
des mouvements volontaires ou
involontaires (réflexes).
http://dispourquoipapa.free.fr/imgfiches/systeme_nerveux.jpg
LE SYSTÈME NERVEUX CENTRAL
Il coordonne la majorité des activités du système nerveux.
1. L’encéphale
2. La moelle épinière
http://www.infovisual.info/03/024_fr.html
Moelle
épinière
http://www.chups.jussieu.fr/ext/neuranat/coupes/texte/sag_02.htm
L’ENCÉPHALE
Cerveau
Cervelet
Tronc cérébral
L’ENCÉPHALE
= membranes
+ Liquide céphalorachidien
CERVEAUX DE MAMMIFÈRES
Proportionnellement
à notre poids, les
humains ont le plus
gros cerveau des
vertébrés.
LES FONCTIONS DU CERVEAU
1. Commande des mouvements volontaires
2. Interprétation des messages captés par les sens
3. Siège de l’intelligence (langage, imagination, planification,
raisonnement ) et de la conscience
4. Siège des émotions
5. Régulation des fonctions physiologiques (faim, soif, éveil,
température, etc.)
LES FONCTIONS DU CERVELET
1. Centre de coordination des
mouvements.
2. Centre de l’équilibre et de la
posture.
Quand on répète un mouvement
pour raffiner sa technique (sport,
musique), on modifie certaines
voies nerveuses de son cervelet.
Contrairement au cerveau, ces
voies ne sont pas croisées de
sorte qu’une lésion d’un seul
côté du cervelet occasionne un
problème du même côté du
corps.
LES FONCTIONS DU TRONC CÉRÉBRAL
1. Centre de traitement des stimulus
internes liés à la survie: respiration,
rythme cardiaque, pression sanguine, etc.
2. Centre de commande des mouvements
involontaires (digestion, péristaltisme)
3. Centre des réflexes (vomissement,
éternuement, déglutition)
LA MOELLE ÉPINIÈRE
LIENS ENTRE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET L’ENCÉPHALE
Voir: http://pedagogie.ac-amiens.fr/svt/info/logiciels/animneuro/voies/voiemotrice.htm
COMMUNICATION ENTRE LE SNP ET LE SNC
Début du circuit:
Récepteurs
Nerf sensitif
Fin du circuit:
Muscles
SNP
Cerveau
SNC
Moelle épinière
LA MOELLE ÉPINIÈRE ET LES RÉFLEXES
Elle est aussi le siège (l’endroit) de certains réflexes ou
mouvements involontaires (comme l’extension du genou)
http://home.scarlet.be/jp.boseret/arc%20reflexe.jpg
LE CERVEAU ET LE PLAISIR
Le circuit de la récompense:
« Récompenser l’exécution des fonctions
vitales par une sensation agréable »
L’aire tegmentale ventrale (ATV), reçoit de
l’information de plusieurs régions du corps qui
l’informent du niveau de satisfaction des
besoins
fondamentaux
ou
plus
spécifiquement humains.
L’ATV transmet ensuite cette information au
noyau
accumbens.
Cette
transmission
s’effectue grâce à un messager chimique
particulier, la dopamine. Son augmentation
dans le noyau accumbens, et dans d’autres
régions, aura alors un effet de renforcement
sur des comportements permettant de
satisfaire nos besoins fondamentaux.
Modèle moléculaire en
trois dimensions d'une
molécule de dopamine
LE CERVEAU ET LES DROGUES
Une drogue est un composé chimique, biochimique ou naturel, capable
d'altérer une ou plusieurs activités neuronales et/ou de perturber les
communications neuronales.
Les drogues agissent sur le cerveau soient:
1. En ralentissant le passage de l’influx nerveux
Dépresseurs
2. En accélérant le passage de l’influx nerveux
Stimulants
3. En déréglant le passage de l’influx nerveux
Perturbateurs
Certaines drogues peuvent engendrer une dépendance
physique ou psychologique. L'usage de celles-ci peut
avoir pour conséquences des perturbations physiques ou
mentales.
DEPRESSEURS DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL
Analgésiques
Opiacés :
Opium
Morphine
Héroïne
Codéïne
Méthadone
Synthétiques :
Percodants
Talwin
Lomotile
Somnifères et
Tranquilisants
Somnifères :
Barbituriques :
Downers
Tuinal
Seconal
Nembutal
Non barituriques :
Bleus
Membrax
Noludar
Dalmane
Tranquilisants :
Anxiolitiques
Neuroleptiques
Alcool
Bière
Vin
Spiritueux
STIMULANTS DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL
Stimulants majeurs
Cocaïne
Coke
Freebase
Crack
Bazuka
Speedball
Amphétamines
Speed
Benzédrine
Méthédrine
Tenuate
Méthylphénidate
Phenmétrazine
Diéthylpropion
Phendimétrazine
Benzphétamine
Mazindol
Fenfluramine
Stimulants mineurs
Modificateurs de l'humeur
Caféine
Chocolat
Cola
Boissons énergisantes
Réserpine
Inhibiteurs de
la monoamine oxydase
Antidépresseurs
Tryciliques
Substances qui ne
sont pas considérés
comme des drogues
en raison de leurs effets
qui ne modifient que
très faiblement
l'état de la conscience.
Antidépresseurs
de seconde génération :
Fluoxétine
Citalopram
Zimélidine
Bupropion et Nomifensine
Lithium
PERTURBATEURS DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL
Cannabis (chanvre
indien)
Les hallucinogènes
LSD
Mescaline
MDMA
Les substances inhalées
Hydrocarbures :
Colle
Diluant
PERTURBATEURS DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL
Butane
Tryptamamines :
Marijuana
Vernis
Psilocybine
POT
Décapant
Psilocine
Résine
Diméthyltryptamine
Haschich
Fluocarbones :
Méthoxy-amphétamines
THC T-H
Produits aérosols
Triméthoxy 3,4,5Nitrites aliphatiques :
amphétamine
Rush
DOM (STP)
Poppers
MDMA (Ecstasy)
Quick Silver
DOET
LE CERVEAU ET LES DROGUES
Les drogues peuvent avoir des effets désastreux
http://da.img.v4.skyrock.net/da6/ptitecece06/pics/1000914108_small.jpg
http://egyptian1.hautetfort.com/album/divers_notes/gyn88dig.jpg
La dépendance aux drogues est insidueuse car elle affecte le
centre du plaisir du cerveau.
LE CERVEAU ET LES DROGUES
L’exemple de la cocaïne (stimulant)
1. La drogue bloque le système de recapture
de
la
dopamine,
un
autre
neurotransmetteur, dans le circuit de la
récompense. La dopamine stimule donc
sans arrêt le second neurone qui transmet
aussi sans arrêt un influx nerveux ce qui
produit de l’euphorie.
2. Après quelques temps de consommation,
le cerveau s’en remet à cette drogue pour
maintenir un niveau élevé de plaisir
associé à l’élévation artificiel du taux
de dopamine dans ses circuits de la
récompense.
3. Cette sensibilité accrue provoquera la
dépression et le sentiment de manque
quand cessera l’apport extérieur de la
cocaïne et le retour à la normale du taux
de dopamine.
LES 3 CERVEAUX : HÉRITAGE DE L’ÉVOLUTION
Le cerveau « reptilien », le plus ancien,
assure les fonctions vitales de l’organisme
en contrôlant, la fréquence cardiaque, la
respiration, la température corporelle,
l’équilibre, etc. C’est aussi le centre des
réflexes
Il comprend le tronc cérébral et le
cervelet, essentiellement ce qui forme le
cerveau d’un reptile. Il est fiable mais a
tendance à être plutôt rigide et compulsif.
Il échappe à notre volonté.
LES 3 CERVEAUX : HÉRITAGE DE L’ÉVOLUTION
Le cerveau « limbique » ou « mammalien »,
apparu avec les premiers mammifères,
capable de mémoriser les comportements
agréables ou désagréables, et par
conséquent responsable chez l’humain de
ce que nous appelons les émotions.
Il comprend principalement l’hippocampe,
l’amygdale et l’hypothalamus. C’est le siège
de nos jugements de valeur, souvent
inconscients, qui exercent une grande
influence sur notre comportement.
LES 3 CERVEAUX : HÉRITAGE DE L’ÉVOLUTION
Le « néo-cortex », prend de l’importance
chez les primates et culmine chez
l’humain avec nos deux gros hémisphères
cérébraux qui prennent une importance
démesurée.
C’est grâce à eux que se développe le
langage, la conscience, la pensée
abstraite, le raisonnement, l’imagination,
l’intuition. Le néocortex est souple et a
des capacités d’apprentissage quasi
infinies. C’est aussi grâce au néo-cortex
que peut se constituer la culture.
LE CERVEAU ET LA PEUR
Les comportements générées par la peur sont
remarquablement bien conservées chez tous les
vertébrés, mais aussi chez tous les humains, quelque
soit leur culture :
1. Arrêt de l'activité en cours,
2. Comportement d'orientation vers la source
menaçante,
3. Inhibition de toute action durant la phase où l'on
évalue la menace,
4. Si la menace se confirme, tentative de fuir ou de se
cacher,
5. Si nécessaire, lutte contre la menace pour tenter de
se défendre.
Changements physiologiques survenant en parallèle:
1. Augmentation de la fréquence cardiaque,
2. Augmentation de la respiration,
3. Dilatation de la pupille,
4. Suppression de la douleur face au danger
L’ÉLECTROENCÉPHALOGRAMME
L'électro-encéphalographie (EEG) est la mesure de l'activité électrique du
cerveau par des électrodes placées sur le cuir chevelu souvent représenté
sous la forme d'un tracé appelé électro-encéphalogramme.
L’ACTIVITÉ CÉRÉBRALE
Les activités électriques cérébrales rythmiques sont classées selon leur fréquence.
Une
seconde
d’enregistrement
électroencéphalogramme.
d’un
Les fréquences supérieure à 24 Hz,
généralement d'environ 40 Hz sont parfois
dénommées Gamma.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rythme_c%C3%A9r%C3%A9bral
Alpha : fréquences comprises entre 8.5 et 12
Hz. Elles caractérisent un état de conscience
apaisé, et sont principalement émises lorsque le
sujet a les yeux fermés.
Delta : fréquences jusqu’à 4 Hz, normales chez
le très jeune enfant, elles peuvent ensuite
caractériser certaines lésions cérébrales.
Beta : correspond aux fréquences supérieures à
12 Hz (et généralement inférieures à 45 Hz).
Elle apparaissent en période d’activité intense,
de concentration ou d’anxiété.
Theta : fréquences entre 4.5 et 8 Hz. On les
observe
principalement
chez
l’enfant,
l’adolescent et le jeune adulte. Elles
caractérisent également certains états de
somnolence ou d’hypnose, ainsi que lors de la
mémorisation d'information.
LE CERVEAU ET LE SOMMEIL
Pendant notre sommeil, l’activité du cerveau passe par différentes
phases: sommeil lent léger, sommeil lent profond, sommeil paradoxal.
Ces phases se répétent à environ chaque 90 min. On a donc plusieurs
de ces cycles par nuit.
Sommeil paradoxal = période des rêves et de réorganisation des
nouvelles connaissances acquises dans la journée (mémorisation).
Améliorer sa mémoire en dormant: oui, c’est possible
Apprendre en dormant: non, car pour apprendre, il faut de la volonté et
de l’attention/concentration… et il faut être reposé pour cela !
LE CERVEAU ET LE RÊVE
• Il survient pendant le sommeil;
• Sa structure est diffuse et dynamique;
• C’est une représentation, aux yeux de notre esprit, de nos préoccupations;
• Même si le rêve n’est pas perçu par nos cinq sens, il est réel;
• Sa fonction reste une énigme et de nombreuses hypothèses sont actuellement à
l'étude;
• Chez l'adulte les rêves occupent environ 20% du temps total de sommeil, 45 à
65% chez le nouveau-né, 20 à 25% chez le jeune adulte et 13 à 18% chez la
personne âgée;
• Pour l'adulte, la période du rêve représente environ 1h1/2 chaque nuit, soit, sur
une vie, une durée moyenne de quatre années.
Selon la culture amérindienne, le capteur de rêves
servait à filtrer les bons des mauvais rêves.
LE COMA
Le terme « coma » signifie « sommeil profond » en grec ancien. Le coma est
une abolition plus ou moins complète des fonctions de la vie de relation
(conscience, motilité, sensibilité) alors que les fonctions de la vie végétative
sont relativement conservées. Le patient, inconscient, est couché sans
bouger et ne sent rien. Le coma est non réversible par les stimulations. Il
peut être d’origine traumatique, toxique ou médicale.
LA MORT CÉRÉBRALE
La mort cérébrale est un état de cessation complète et définitive de l'activité
cérébrale. L'absence apparente de fonctionnement cérébral ne saurait
constituer le diagnostic à elle seule, la preuve devant être faite que cet état
est irréversible.
L'individu en mort cérébrale n'a aucune activité électrique cérébrale et ne
montre aucune réactivité à l'examen neurologique (absence de réponse à la
douleur, disparition des réflexes des nerfs crâniens (pupilles fixes par
disparition du réflexe photomoteur pupillaire), disparition du réflexe oculomoteur, du réflexe cornéen, de la ventilation spontanée).
LE CERVEAU ET LES EXPÉRIENCES DE MORT IMMINENTE
Tunnel et lumière
imagination ?
blanche:
réalité
ou
Pour certains, c’est la preuve d’une vie de l’esprit
après la mort du corps.
Pour d’autres, ce n’est qu’un effet du cerveau.
Actuellement, on ne dispose d'aucune certitude
scientifique sur une vie après la mort.
LE CERVEAU ET LA MÉMOIRE
La mémoire est notre capacité de se rappeler des expériences passées.
Elle est donc essentielle à tout apprentissage puisqu'elle permet le
stockage et le rappel des informations apprises.
Mémoire sensorielle
Le stockage se fait automatiquement
lors de la perception.
Mémoire à court terme
Elle permet d'enregistrer des
informations limitées pendant un
laps de temps de moins d'une
minute.
Mémoire à long terme
L'information peut s'y maintenir
pendant une très longue période et
parfois même pour la vie.
http://lecerveau.mcgill.ca/flash/i/i_07/i_07_p/i_07_p_tra/i_07_p_tra.html
TUMEURS AU CERVEAU
L'expression « Cancer du cerveau », également dit cancer ou « tumeur du système
nerveux central » regroupe plusieurs formes de tumeurs susceptibles de se développer
dans le cerveau. Elles sont créées par le développement anormal et anarchique de
divisions cellulaires, à partir soit d'une cellule du cerveau lui-même, soit d'une cellule
métastasique exportée d'un cancer situé dans une autre partie du corps.
Les symptômes d'une tumeur du système nerveux central sont liés à son emplacement.
Les symptômes les plus répandus comprennent les maux de tête, les vomissements et,
parfois, des crises d'épilepsie ou l'ataxie (perte d'équilibre). Les symptômes résultent de
la destruction, de l'envahissement ou de la compression du tissu cérébral, un effet de
masse, par la tumeur. Ces symptômes sont causés par une élévation de la pression
intracrânienne et l'irritation d'une partie adjacente du cerveau ou des dommages subis
par celle-ci.
L’HERNIE DISCALE
Le disque intervertébral est
écrasé et son noyau plus
résistant (au centre) est
déplacé vers le nerf
sciatique et se trouve à le
coincer d’où la douleur
ressentie.