Transcript Service Prévention La démarche « toxtrainer » au Centre Hospitalier Chrétien

Service Prévention
La démarche « toxtrainer » au
Centre Hospitalier Chrétien
Bruno Mary, responsable SIPP
Service prévention
Le Centre Hospitalier Chrétien
Clinique St-Joseph Liège
Clinique Notre Dame à Waremme
Clinique de l’Espérance à Montegnée
Clinique St-Vincent à Rocourt
Clinique Ste-Elisabeth à Heusy
Clinique Notre Dame d’Hermalle
Le réseau Sénior (7 résidences pour personnes
âgées)
18 polycliniques extérieures
Une Unité Centrale de Production (cuisine,
imprimerie et menuiserie centrale
Une unité Centrale Administrative et Logistique
Le Centre Hospitalier Chrétien
Le groupe compte 1.051 lits aigus, 30 lits MSP
(maison de soins psychiatriques) et 425 lits en
résidences pour personnes âgées.
3.200 personnes (tous métiers confondus – soit
2.780 équivalents temps plein).
600 médecins et prestataires indépendants
(kinés, dentistes, psychologues, …).
Le SIPP est composé de trois CP « généralistes »
et d’un CP psychologue.
L’Institution comporte 7 unités d’exploitation.
Le conseiller interne chef du SIPP a suivi la
formation « Toxtrainer » à Namur.
Présentation de la méthode en CPPT et décision
sur les deux services à tester (2006).
Retour d’informations en CPPT des évaluations
des travailleurs sur la démarche (2006).
Lancer la démarche dans d’autres services
(2007).
Les sites référencés
La clinique St-Joseph
 Le service de stérilisation
Les sites référencés
L’Unité Centrale de Production
 L’imprimerie centrale
Buts de la démarche pour le CHC
Répondre à la législation.
Tester« Toxtrainer » dans deux services (soins
– technique).
Evaluation du risque « chimique » dans ces
deux services.
Evaluation de la démarche avec les CPPT, CP et
les travailleurs.
Intégration des mesures dans le PAA et le PGP.
La démarche Toxtrainer avec les
travailleurs
Groupes :
 Au niveau de l’imprimerie : groupe composé
de 2 travailleurs, 1 membre du CPPT (4
réunions de 2h).
 Au niveau de la stérilisation centrale :
groupe composé de la chef de service, 2
travailleurs, 1 membre du CPPT (8 réunions
de 2h).
Réunions animées en dyade CP interne et
médecin du travail.
Points positifs de la démarche
Méthode participative.
Véritable prise en compte du risque chimique par le
personnel.
Les échanges entre les participants sont
enrichissants.
Les travailleurs recherchent des solutions aux
situations qui leur paraissent dangereuses.
La relation avec le CP médecin du travail est
modifiée (sens positif).
Développer des mesures de prévention en
collaboration avec les travailleurs.
Supports reçus (mémento, module ppt, …).
Temps consacré.
Quelques interrogations
Méthode participative !
Importance d’avoir des travailleurs réceptifs.
Méthode adaptable à des sujets très techniques
ou scientifiques ?
Nécessité d’une formation d’animateur.
Conclusion
Méthode innovante avec supports de qualité,
adaptable à tous les services.
On part de l’expérience des travailleurs.
Échanges / écoute au niveau des différents
intervenants.