1 - Kiosque Lorrain

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Transcript 1 - Kiosque Lorrain

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CENTIMES
Mercredi 19 Avril 1899
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QUOTIDIEN
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ABOMEMEWTS
Un an
6 mois
KG Y
»
Meurthe-et-Moselle, Meuse, Vosges
20 »
Autres départements
24 »
Etranger
28 »
L'abonnement est payable d'avance et continue sauf avis
MA
Rédacteur en chef:
3 mois
9 » 4 50
10 »
5 »
12 »
6 »
14 » 7 »
contraire.
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IXSÈftTIOXS
GOULETTE
page)
RÉCLAMES (3« page)
ANNONCES
ADMINISTRATION et RÉDACTION, 51, RUE SAINT-DIZIER
SALLE D'EXPOSITION, DE PUBLICITÉ ET DE DÉPÊCHES
Adrr~*e télégraphique : EST-RÉPUBLICAIN-NANCY
au Point Central de la Ville.
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E
(4
FAITS DIVERS
CHRONIQUE LOCALE
■•
20
30
50
1 ..
CJ
ît. la ligne.
—
—
Tarif spécial pour H publicité dans la Salle de Dépêches.
Pour tous renseignements, s'adresser à l'Administration:
sordre dans la marine marchande de" l'en- ble
b que l'autre en effectif régulier. Tout
i de Liège, il manquait hier matin 1.200
A un autre point de vue, il nous se- s<
NA NCY, mardi i8 avril iS99.
ce qui peut développer l'habitude de l'arnemi.
c
j ouvriers ; par contre, 10,000 ouvriers'ont
LA
rrait impossible d'admettre une limitation n
bitrage peut être considéré comme favoréfusé de travailler dans le Borinage.
Il
ne
saurait
être
question,
non
plus,
b
quelconque à notre droit d'organiser en
I Plusieurs réunions se sont tenues dans
cas de guerre des corps francs, à côté de ' de
d limiter les contrebandes de guerre, rrable au droit. Toutes les règles, au conqui restreindraient les moyens de
, diverses localités. Les grévistes ont parti
l'armée régulière. La plasticité de la na- Au
A cours des discussions dans la presse traire,
i couru les rues en chantant des refrains
défense
de toutes sortes d'un peuple, lutdes
deux
côtés
de
la
Manche,
l'automne
d
tion française, supérieure à celle de la d
(révolutionnaires. Il n'y a pas eu de trouLes précautions à prendre
tant pour l'existence, ne seraient favoradernier, il a été dit dans les journaux bri- t;
généralité
desnations
européennes,
trouve
d
j bles. Le député socialiste Brenez a déclaré
qu'à la force et à l'oppression.
par la France
?son compte dans les improvisations de t;lanniques que les céréales ne devaient bles
b
que les mineurs se contenteraient d'une
Il
est
indispensable que le gouvernepas
constituer
une
contrebande
de
guerLa conférence pour traiter des ques- ttroupes après des défaites ou dans des p
augmentation de salaires de 10 p. 100 ;
ment français se rende bien compte de la
re,
c'est-à-dire
qu'elles
ne
seraient
pas
n
moments
critiques
;
on
l'à
bien
vu
sous
la
r
mais les patrons ne paraissent pas dispo- itions relatives au désarmement et à l'atté- r
grande circonspection qu'exige la sisaisissables sous pavillon neutre. H nous très
ti
sés jusqu'à présent à céder. — Agence nuation
.
République et môme, en partie, si
des maux de la guerre va se première
p
tuation particulière de la France, suscepest
absolument
interdit
d'adopter
une
ti
nationale.
réunir le mois prochain. Le monde en- en
e 1870-71. M. de Bismarck avait alors la e
d'être engagée un jour, soit sur terdoctrine. (En effet, la Grande- tible
ti
de ne pas admettre que nos semblable
s<
L'affaire de l'ex-abbé Char|
lier
doit applaudir à la généreuse initia- prétention
p
re,
soit
sur mer, dans une lutte avec des
ne produit pas, à beaucoup r
Paris, 19 avril, 4 h. 50 matin.
ibonne! au Parlement belge \tive du tsar. Il est probable qu'un jour gardes
mobiles fussent des soldats ré- Bretagne
B
g
belligérants
qui auraient des effectifs ré'
près,
assez
de
blé
pour
sa
subsistance
;
b
parce que, au début, ils n'avaient p
Il y a eu hier une séance orageuse à la jles éventualités de guerre entre les peu- guliers
■ .. niiblicntion du « Figaro »
g
supérieurs. Il faut que la France
vit sur l'étranger ; on peut donc la guliers
g
*
(suite)
j c
Chambre des représentants belges, à l'oc- pies européens pourront être complète- fpas tous d'uniformes corrects. Nous ne elle
e
à la famine.) Nous devons consi- ppuisse compenser cette infériorité de ses
Le Figaro public ce matin la fin de la ' casion de la reprise de la discussion sur ment écartées et que même une union pourrions
sanctionner de semblables pré- ; réduire
r
p
c
réguliers par toutes les ressourdéposition de l'ex colonel Picquart, puis i; il'incident Charbonnel. Les députés catho- étroite, constituant la fédération des ttentions à l'avenir ; toutes les ressources | dérer
les
céréales et toute autre denrée effectifs
e
d
ces,
quelles
qu'elles soient, que la guerre
les dépositions de M. Jules Roche, du lliqués
i
voulaient étouffer le débat; la '
nécessaire à l'existence comme contre- c
Etats-Unis du continent d'Europe, pourra eextrêmes auxquelles peut recourir un n
sur
terre ou sur mer peut comporter.
commandant Weyl et du colonel Cordier. gauche
g
a protesté ; la séance a dû être
bande
de
guerre
au
premier
chef
et
nous
s
peuple pour sa défense, il est de notre b
suspendue. On sait qu'il s'agit de l'expul- 1se constituer. Nous avons bien des fois p
conséquent, si nous pouvons faire
s
le droit de les saisir sous pavil- Par
I
A propos des déposition» du
devoir
strict de nous en réserver absolu- réserver
r
«xprimé
cette
idée.
c
1
6sion du territoire belge, par le ministre
des
concessions
dans la voie de l'arbiIon neutre. Il est évident que le légitime d
M. Picquart
l'emploi. Un gouvernement qui, par h
On ne peut nier, toutefois, que ce jour ment
i
de l'intérieur, de l'ex-abbé Charbonnel,
trage, de l'extension de la convention de
intérêt
de
notre
défense
l'exige,
et
que
les
t
ou par faiblesse, y renoncerait i:
M. Emile Weyl a adressé une lettre aancien professeur à Paris, qui était allé ne
1
: luise pas encore et que, en attendant, légèreté
(Genève et dans les deux autres cas que
Mazeau, premier président de la faire des conférences qui ont déplu au toutes les puissances, surtout celles qui, compromettrait
la défense et la vie même pprécédents, d'autre part, l'autorisent.
c
avons notés plus haut, il nous est
Ainsi, sur tous les points qui précè- nous
i
Cour de cassation, dans laquelle il pro- gouvernement
„
belge.
par leurs antécédents ou leur voisinage de
c la patrie.
impossible
de renoncer, sous peine de
dent
et
nombre
d'autres,
nous
devons
i
teste contre la déposition de l'ex-colonel ^
Au point de vue de l'armement aussi, d
Les événements de Samoa (suite) sont le plus menacées, doivent se garder
désarmer
la patrie, à des moyens de lutte
nous
montrer
de
la
plus
complète
intranc
Picquart.
nous devons être de la plus grande cir- r
Les trois délégués des Etats-Unis, de de renoncer à une partie de leurs armes i
qui pourraient nous être utiles dans une
C'est au sujet d'un article relatif à Maconspection
; si l'on peut prohiber les ssigeance. Fussions-nous seuls, nous ne c
défensives.
La
France
est
du
nombre
de
c
l'Allemagne
et
de
l'Angleterre
choisis
dagascar, dans lequel il énumérait som- V
devons
pas
hésiter
à
refuser
tout
consenç.guerre terrestre ou maritime,
constituer une commission chargée ces peuples qui doivent bien peser toutes ïballes comme celles dont se servent les d
mairement mais distinctement les gran- pour
p
Paul LEROY-BEAULIEU.
tement
à
une
restriction
quelconque
des
des lignes de l'expédition future, article de
d régler l'affaire de Samoa, auront deux les conséquences éventuelles d'une renon- iAnglais dans l'Inde et qui font d'inutiles tdroits utiles à un belligérant, surtout à un
[Economiste français.)
qui aurait pu être vu par Dreyfus.
cou trois réunions préparatoires à Was- ciation à leur complète liberté en matière iravages dans le corps des soldats atteints, c
belligérant qui peut se trouver dans une
on
M. Weyl termine sa lettre en ces ter- hhington avant leur départ pour l'archipel. d'armements sur terre et sur mer.
c ne saurait sanctionner aucune prohi- 1
d'infériorité par rapport à tel
C'est à Apia, sur le territoire même des
d'une arme quelconque qui peut situation
s
Il est certain qu'aujourd'hui la France bition
l
événements,
que la commission fonction- est devenue une nation très pacifique ; (être sérieusement utile à la défense. Il ne lbelligérant éventuel. Aucune considérae
« Je me tiens à la disposition de la Cour
Les socialistes ont remporté une nouvelle
nera. Le départ des délégués est toujours
tion de courtoisie ni d'alliance ne pourrait
1
pour déposer à ce sujet sous la foi du
sans avoir à consacrer aucunement, au ifaut jamais oublier que, une guerre écla- t
1victoire à Berlin, dans une élection partielle.
fixé
au 25 avril.
1
nous
arracher
un
consentement
à
une
lisoit sur terre, soit sur mer, la France i
serment ; je lui dirai que je ne connais
point de vue moral, l'état territorial créé tant
1
1
ce fait isolé n'ait pas grande impor* •
mitation quelconque de nos moyens de Quoique
pas Esterhazy, que je n'ai jamais échangé
par le traité de paix de 1871, sans aban- :aurait sans doute des effectifs moindres i
1tance, il est curieux de constater que si le
Une
dépêche
d'Auckland
(Nouvelle-Zédéfense
in
extremis
sur
terre
ou
sur
mer.
un mot avec lui, que j'ignorais même son
que l'autre belligérant, à savoir l'Allema- <
socialisme ne fait pas do progrès, il ne subit
annonce que les dépêches du Fo- donner tout espoir d'arrangements politi- <
existence jusqu'au jour où il a été dénoncé lande)
1
gne d'une part et l'Angleterre de l'antre, INous sommes alliés ; nous ne sommes pas ;pas de pertes.
ques
et
amiables
qui
pourraient
atténuer
{
1
reign
Office adressées au représentant de
1vassaux.
publiquement.
Jamais de mémoire d'homme le bien-êtra
pour elle et pour les provinces séparées <et que, par conséquent, son intérêt su#
« Je connaissais Dreyfus et j'affirme 1la Grande-Bretagne à Apia ayant manqué
n'a
été si général en Allemagne qu'au moprême
est
de
pouvoir
user
de
toutes
les
la
blessure
qu'elles
ont
reçue
en
com
]
qu'il n'a jamais été question entre nous 1le paquebot, ont dû être expédiées par
Si la conférence pour le désarmement ment actuel ; l'industrie ne peut pas sulfirg
armes auxquelles peut recourir une naun
steamer
de
l'administration
britanmun,
il
est
sûr
que
la
France
ne
nourrit
>
de Madagascar. J'ajoute que jamais je i
devait
porter sur les points de ce genre, aux commandes qui viennent tant de l'inté,
aucune idée d'agression en Europe.
1tion menacée dans son existence même.
n'ai cru à sa culpabilité.
inique.
elle serait fatalement vouée à n'avoir que rieur que de l'étranger ; elle manque de bras ;
* •
De même, en dehors de notre continent,
« Veuillez agréer, etc. — E. WEYL, offidans plusieurs centres industriels on s'arra)
résultats négatifs. Il est d'autres che littéralement l'ouvrier.
1
Les délégations de 40 sociétés alleman- nous sommes très déterminés à défendre
cier de marine en retraite », — Agence naC'est surtout au point de vue maritime des
des
se sont réunies hier à New-York nos droits, mais nous ne voulons attaquer ,que nous devons être prudents ; nous nej points, cependant, où l'on pourrait arritionale,
c
Celui-ci vit bien; le temps est loin déjà où
,
pour
fonder une association permanente personne.
Le procès de la « Ligue des I
saurions, même dans la plus petite me-- ver à une entente. La France consentirait l'ouvrier allemand devait émigrer à cause de
Droits de l'homme (suite)
<■qui aurait pour objet d'empêcher toute
sure, limiter nos moyens maritimes. Il ai probablement, par exemple, à ce que l'on;1 ;sa profonde misère ; il appartient maintenant
alliance entre les Etats Unis et la Grande- prohibât les bombardements, même des au domaine des fables. Les statistiques otfl(Voir d'abord plus loin.)
La France, toutefois, exposée à se trou- été question, dans une esquisse de proBretagne. Les associations allemandes de
t villes fortifiées, dans la partie de ces vil-■ cielles ont constaté que le nombre des émiLa Ligue pour la défense des Droits de toutes
les grandes villes des Etats-Unis ver en lutte — que le ciel écarte ce présa- gramme, qui, nous le supposons, ne doit- les qui ne constituent pas des ouvragesi grants a diminué de 20 0/0 depuis cinq ans. J
(
l'homme et du citoyen, bien que les ter- ont donné leur adhésion.— Agence natio- ge 1 — soit avec l'Allemagne qui a une po- avoir rien d'officiel, de renoncer aux baLes progrès du socialisme inquiètent Guils militaires. Elle admettrait que l'on étenmes du jugement qui a frappé hier quel-' nale.
pulation plus forte et une armée plus• teaux à éperons, aux bateaux sous-marins
• laume II. Le bruit court à Berlin que l'erupedit
et
que
l'on
complétât,
sans
entraver
ques-uns de ses membres soient pour elle
Immense incendie à la Guade- nombreuse, soit avec l'Angleterre dontt et à divers engins de cette nature.Le gou-a les nécessités légitimes de la lutte, lacon-. reur aurait l'intention de soumettre la capiune satisfaction morale, a décidé d'inter- 1
. taie à un régime d'exception.
les flottes dépasseront toujours énormé-- vernement français qui adhérerait à une
loupe
jeter appel de ce jugement. Elle tient à
i vention de Genève pour les secours aux
La capitale avec sa banlieue formerait déi
Depuis quelque temps, des incendies ment les nôtres, ne doit, sous aucun pré-■ proposition de ce genre commettrait un
user de tous les recours qui lui sont offerts
; dus
à la malveillance étaient signalés à la texte, abandonner aucune des armes ac-■ véritable acte de trahison envers la patriee blessés et l'immunité du personnel sani- sormais une province spéciale. A la tête de
1
pour protester contre les rigueurs dont
s taire.
cette province, serait mis un président aupé1Guadeloupe. Une dépêche arrivée hier cessoires qui peuvent, dans les cas in ex-■ française. Nous ne savons si les navires
elle a été victime. — Agence nationale.
Si l'on voulait — ce qui serait utile —" rieur, qui remplacerait le bourgmestre et le
soir au ministère des colonies apprend tremis, être utiles à une nation réduite3 à éperon sont encore d'un grand usage ;;
t conseil municipal, désormais abolis, et qui
Le retour du commandant
jqu'un nouvel incendie a éclaté à Pointe-àmais ils peuvent le redevenir, et cela suf-- réglementer les indemnités de guerre et3 aurait sous ses ordres un certain nombre de
r
Pitre ; il s'agit cette fois d'un sinistre aux abois.
ne
pas
les
laisser
dégénérer,
par
l'abus
Il y a donc des mesures que la FranceÎ fit pour que nous necommettions pasl'imgrande importance.
L'accueil le plus sympathique et le pluss d'une
i
- de la force du vainqueur, en une sorte dei conseillers de gouvernement, correspondant
doit,
sans aucune espèce d'hésitation,écar-- prudence d'y renoncer. Quant aux torpil. aux districts qui subdiviseraient la nouvelle
Plus de 500 maisons et cases ont été
chaleureux attend partout en France le>
i rapine aux dépens du vaincu et d'appau-j province. De môme que le président à Berlin,
3 leurssubmersibles,ils constituent le grand
ter.
Ainsi,
elle
ne
saurait
admettre
une
i
brûlées
;
le
feu
continue.
—
Agence
nacommandant Marchand et ses vaillants :
- vrissement systématique de celui-ci, la. ses conseillers seraient substitués dans la
convention qui prétendrait fixer, directe-- espoir de la France. On a vu de quelle potionale.
compagnons d'armes.
1
France pourrait aussi entrer dans cet banlieue aux assemblées communales automent ou indirectement, un rapport entre3 pularité ils jouissent.
Toulon et Marseille notamment, leur
e
ordre d'idées.
nomes.
On
n'est
pas
malheureusement
encore
l'effectif militaire et la population de chapréparent une réception enthousiaste. A
Il est vrai qu'une telle réforme a besoin
n
Enfin, elle n'éprouverait aucune répuLe premier mai : — Les cinq grandes a or,
complètement
sûr
de
leur
efficacité
;
si
on
Paris, la mission trouvera l'hospitalité la
que puissance; une telle mesure, en effet,
i
d'être confirmée par le Landtag prussien
ganisations
nationales
»
ont
décidé
par
l'en:gnance
à
favoriser
et
étendre
l'expédient,
plus large au Cercle militaire qui, dès s
nous mettrait à la discrétion de l'Allema-- l'était, ce serait pour la France un inex- (Chambre des députés), mais on dit dans l'enmaintenant, se prépare à recevoir géné tremise de leurs délégués, que le Premier Mai gne qui compte près de moitié plus d'ha primable bonheur. Alors, en ayant unee si recommandable et si heureux, de Tart tourage de l'empereur qu'on est sûr du conserait célébré, cette année, à Paris, en un
it
bitrage.
Sans
le
rendre
nécessairement
reusement ses hôtes.
meeting qui se tiendra le soir, à huit heures bitantsque la France. Sans doute, commes centaine de torpilleurs submersibles tout
i- obligatoire, on pourrait en faire un pré-- cours de cette assemblée.
La grève des mineurs belges et demie, salle de la Galté. Chaque organisa- l'a dit avecbeaucoup de raison M. de Frey-- le long de nos côtes on écarterait toutdans liminaire, notamment dans les disputess
M. Bonvalot a fait une conférence à la sall8
tion sera représentée par deux orateurs. Voilà cinet, nous ne pourrons toujours mainte-- ger de blocus et de bombardement de ces
(suite)
[si fréquentes aujourd'hui pour des limi- du théâtre de Béziers, devant 2,000 personnes,
La grève des mineurs prend de l'ex- le premier profit de l'entente socialiste ; on a nir sur le pied de paix une armée égale eni côtes par les flottes supérieures d'un ada
ii tes coloniales, pour les discussions en avec un grand succès. Il a préconisé la réfortension. On croit que dans deux ou trois limité le nombre des discours : il n'y en aura nombre à celle de l'Allemagne; mais c'estt versaire maritime ; on réserverait aussi
iS matière de tarifs de douanes et les démê- me de l'enseignement en vue de préparer des
que
dix.
t
à
nos
croiseurs
la
possibilité
de
faire
des
jours elle sera générale. La situation reste
notre gouvernement et notre Parlement
a lés de nature analogue. Ici, en effet, il nee hommes à lutter sur le terrain industriel et
La
célébration
du
Premier-Mai
dans
la
castationnaire dans le bassin de Liège.
qui doivent rester les juges souverains dee raids de 300 ou 400 kilomètres dans la
is'agirait pas de réduire les moyens de6 commercial avec les nations étrangères et
pitale
se
réduit
donc,
cette
année,
à
une
simDans le bassin de Charleroi il manquait
l'écart que nous accepterons entre l'effec-- Manche, dans l'Atlantique et dans la Méi* faire prospérer nos colonies.
ple
cérémonie
oratoire
qu'on
a
eu
le
bon
esprit
ihier matin 10,200 ouvriers, ce qui fait un
diterranée et de jeter la terreur et le dé- défense de l'un des belligérants, plus faitif de nos voisins et le nôtre.
total de 12,000 grévistes. Dans le bassin de placer, le soir, après la clôture du travail.
Conférence poar le désarmement °
' > EDITION DE MERCREDI
\
gernière <Hwre »
j
à V.
f
Le socialisme en Allemagne
REVUE
M'êÊÉÊR
Parus à Paris mardi matin
PRINTEMPS I
Du Voltaire :
C'est ça qu'on appelle Printemps?
Un froid glacial, un ciel de suie,
Grêle, tonnerre, vent et pluie,
Ah 1 Dieu de Dieu ! quel sale temps !
Mettant avril quand c'est brumaire,
Le calendrier n'est exact
Que — laut-il qu'il manque de tact ? Pour ton terme, ô propriétaire I
Le Printemps ! laissez-moi... c'est un
Bruit qu'ont fait courir les poètes,
Pour chanter la nature en fêtes
Et les fleurs avec leur parfum.
Mais vainement François Coppéa
Dit : « Mignonne, voici l'avril. »
Phœbus ne revient pas d'exil,
foin de cette prosopopée 1
Le seul espoir que nous ayons
(Nous allez voir si c'est logique),
Bureau météorologique
C est à toi que nous le devons.
Car, Bureau, quand ton baromètre
Est à la pluie et pour longtemps,
•Jamais ne tarde le beau temps
A venir s'installer en maître.
Et ai le soleil ne vient pas,
passant les nuages moroses
tt, d'une mitraille de roses,
Criblant l'hiver et ses frimas,
Peut-être que, dans les cieux vides,
«éfugié bien loin de nous
yui nous épuisons, pauvre fous,
~u tant de >. lté, ir^-c^ï.
Le Printemps, du soleil vassal,
Ivre d'air pur et de lumière,
Fuyant la nauséeuse Affaire,
Veut faire grève, ô Floréal 1J
M. Joseph Reinach se fait rappeler à l'ordre
M. Joseph Beinach a écrit dans le Siècle un article dont voici la conclusion :
« ... Et, maintenant, hyènes, chacals, journalistes de boue et de sang, tartufes enftellés, patriotes de cafés-concerts, brutes humaines, jésuites, politiques solennels de la« ehose
jugée », tricoteuses de|salon, bourreaux et valets de ministres, continuez à aboyer« Joseph REINACH. »
A quoi la Gazette de France riposte :
a M. Jo3ffph Reinach est le gendre et le
neveu du baron juif de Reinach, qui jetait
l'or à pleines mains, dans le Parlement, au
Du Figaro :
temps du Panama.
M. le baron de Reinach opérait de compte à
« Vous aurez certainement fait cotte remardemi avec l'escroc juif Arton et l'espion juif que, que lorsqu'un crime a été commis, on
trouve toujours comme entrée de jeu cinq ou
Cornélius Herz. »
six pistes, qui semblent de plus sérieusess, et
une demi-douzaine d'individus qui répondent
au signalement de l'assassin. En moins de
quinze jours, ce phénomène s'est encore proDe l'Echo de Paris :
o D'ici au 15 mai, les états-majors de corps duit pour le crime de Choisy-le-Roi, et pour
d'armée auront centralisé les états d'ensem- cet autre, encore plus récent, de « la Femme
ble du personnel proposé pour l'avancemenl dans une valise », drame assurément fort répugnant, mais titre merveilleux pour un feuildans la Légion d'honneur.
Tous les ans, le 15 novembre, le ministre de i letdn I
Tout de suite, la police a reçu une avalanche
la guerre recevra la statistique détaillée des y
militaires remplissant les conditions pourêtn > d'indications qui, toutes , naturellement,
promus ou nommés dans la Légion d'honneur . étaient contradictoires. Les commérages de
C'est sur des données d'ancienneté que ser; t quartier se sont donné libre cours, et, si le
attribué, chaque semestre, le nombre de cro» t service de la Sûreté n'y mettait une prudence
et de médailles militaires revenant à chaqui 3 bien naturelle, il aurait déjà opéré une vingcorps de l'armée de terre. Il sera désormaii 3 taine d'arrestations. Cela prouve deux choses,
possible d'assurer entre les divers personnel 3 car de chaqoe petit fait il faut essayer de tirer
militaires une répartition équitable des croi: c la conclusion. C'est, d'abord, le nombre infini
et des médailles que la grande chancelier! s de gens qui courent les rues de Paris, et qui
déclare disponibles. Le ministre de la guerr e seraient, à l'occasion, capables de commettre
veut éviter le retour des critiquss adressées à un crime. 11 est bien certain, en effet, que la
Rotes d'un Parisien
Prochaines décorations
de a tuer le ver », le matin, avec de l'algument ; peut-être même sont-ils très fiers tude
t
M. Lederlin, le distingué directeur des
de cette particularité ! Pourtant des chefs cool,
c
de blanchisserie et de teintured'industrie ont eu plus d'une fois la preuve établissements
é
des inconvénients qu'entraîne l'emploi des rie
i de Thaon-les-Vosges, vient d'installer à
vieilles mesurea ; des commandes ont été por- il'entrée de ses usines plusieurs cantines où,
un sou, on sert, chaque matin, à tout outées à d'autres pays parce que lea acheteurs pour
j
ne voulaient pas s'engager dans le dédale des >vrier qui le demande, un grand verre d'excelcomplications qu'entraîne la notation britan- 1lent café et du lait à discrétion.
Les cantines fonctionnent depuis quelques
nique. Dea Anglais s'en sont émus, et de là
et les ouvriers s'y montrent,assure-t on
est sortie la petite agitation qui trouve asile mois,
i
empressés.
dans les colonnes du Times ; mais les ad?er- très
|
Inutile d'ajouter, nous dit notre confrère
saires du système métrique ne désarment
que
le sucre est payé par la Société, qui sè
pas :
,.
'
« Nous tenons, disent-ils, à nos vieux usa- itrouve heureuse d'avoir à combler un déficit
plus considérable que le nombre des
ges ; tous nos concitoyens ne sont pas des d'autant
<
hommes de science, des ingénieurs, des mé- iconsommateurs est plus élevé.
A cet exemple d'une heureuse et bienfaisancaniciens, etc.; il y a un peuple tout entier et
des humbles qui ont des habitudes ; or, nous |te initiative, nous pouvons, dit la République
en ajouter un autre. On nous a, en
n'admettons pas qu'on cherche à les violenter française,
j
en faveur d'un système qu'ils ne connaissent ieffet, raconté récemment que, pour mettre ses
du Kertoft et de Saint-Amé en aituapas, tandis qu'ils sont attachés aux usages ouvriers
i
de remplacer par de bon vin naturel les
de leurs ancêtres. Que lea ingénieurs fassent tion
i
ce qu'ils veulent ; au reste, ils ont le droit de 1boisaona alcooliques dont ils uaaient, M. Hense servir du système métrique, et cela doit iry Boucher, l'ancien ministre du commerce
fait venir, par wagons, du vin qu'il met à leur
leur suffire. »
au prix de l'achat en gros, et avec
Ces conservateurs à outrance ajoutent que disposition
,
toutes
facilités
de remboursement.
le
Parlement
n'a
rien
à
voir
dans
cette
affaire
Du Journal des Débats :
C'est là, on le reconnaîtra, de la bonne et
et ils ont l'air d'insinuer que ceux de ses
a Le Times a ouvert ses colonnes aux par- membres qui voteraient une telle loi seraient intelligente philanthropie, et si les deux
tisans et adversaires du système métrique ; certains de perdre leur mandat sous le coup exemples que nous signalons avec tant de
ceux-là demandent que le Parlement soit sai- de l'indignation des ménagères, des bouchers, plaisir étaient suivis d'une façon générale, la
si d'un bill rendant ce système obligatoire ; épiciers, petits détaillants qui tiennent aux tâche dea adversaires de l'alcoolisme s'en
ceux-ci répliquent qu'il serait impopulaire et vieilles mesures. II y a évidemment quelque trouverait singulièrement simplifiée et facique, d'aileurs, il est inutile ; car l'emploi des exagération dans cette façon d'argumenter. litée.
mesures décimales est déjà permis dans toute Quoi qu'il en soit, il ne parait pas que la quesNous sommes, du reste, persuadés que MM.
l'étendue du Royaume-Uni. On sait que no3 tion ait le don de passionner les masses et Lederlin et Henry Boucher ne manqueront
voisins d'outre-Manche continuent à se servir que l'adoption du système métrique ait chance pas d'imitateurs.
des mesures de longueur et de capacité qui d'être rendue obligatoire dans le Royaume
n'ont pas de base scientifique : pour les pre- Uni, malgré la campagne de ses partisans. On
mières, ce sont des yards, pieds, pouces ; conviendra, cependant, que la généralisation
Nous avons parlé de l'incident d'Auxerre et
pour les secondes, des tonnes, hundred- de ce système dans le monde entier est dési- des propos saugrenus attribués à un capiweights, pounds (livres), onces, etc., toutes rable. Ne désespérons pas: c'est une affaire de
taine.
quantités qui ne ae prêtent pas au calcul et
Ce capitaine, M. B..., adresse au Journal
exigent le concours de tables quand on veut temps. »
de l'Yonne une lettre démentant qu'il ait été
faire la moindre opération mathématique.
Au contraire, l'emploi du système métrique,
mis aux arrêta et disant que c'est sur sa de— il est autrement simple, — s'est généralisé
Le
Travail national nous apprend que, dans mande qu'une enquête a été ouverte sur les
dans presque tout le monde civilisé ; mais la
propos qui lui ont été attribués.
plupart des Anglais sont insensibles à cet ar- un but de combattre chez ses ouvriers l'habi-
des décrets antérieurs, dans lesquels la presse ! plupart de ceux que l'on signale ainsi sont
a relevé l'éviction de certains corps au profit, des clients très sujets à caution.
Et puis, il y a aussi une autre constatation
de certains personnels privilégiés.
A la veille de chaque déplacement du pré- à faire, c'est le goût particulier qu'éprouve la
sident de la République et des voyages mi- foule à jouer un rôle dans ces sortes d'affainistériels, les directions du ministère de la res. Pour bien des gens, c'est comme un drame
guorre établiront des propositions de récom- de l'Ambigu auquel ils se trouvent mêlés. Ils
penses immédiates aussi équitables que pos- éprouvent un frémissement rétrospectif, et
sible pour les personnels des différentes gar- même un peu d'orgueil, à se dire que, peutêtre bien, cet individu qu'ils ont rencontré le
nisons visitées.
Comme on le voit par les indications mê- matin, avec deux valises, était l'assassin. Et
mes de la circulaire de M. de Freycinet, la ils ont une déception en apprenant, ensuite,
croix de la Légion d'honneur et la décoration que c'était tout bonnement un voyageur qui
de la médaille militaire vont de plus en plus se rendait à la gare. Il leur semble alors
qu'on leur enlève une part de gloire, et ils enêtre données à l'ancienneté.
Ne serait-il pas toujours désirable de surex- vient la voisine qui parait avoir suivi une
citer l'émulation dans l'armée et d'entretenir meilleure piste, et dont le prestige s'en accroît
parmi les militaires le désir de se signaler par d'autant dan3 le quartier. — E. »
le mérite qu'un ruban peut récompenser de
Ces réflexions humoristiques ne pourbonne heure ? »
raient-elles pas s'appliquer quelque peu à
l'affaire Pinglé ?
Le système métrique en Angleterre
Contre l'alcoolisme
Mercredi 10 Avril 1899
L'EST RÉPUBLICAIN
AFFAIRES DREYFUS
ET CONSORTS
demandes, et que c'est une jurisprudence
23 de chevalierà des capitaines de frégate
La côte de Pagny est depuis longtemps reconstante, à laquelle elle a toujours été
Lu sur la vitrine d'un cordonnier à Nancy : et lieutenants de vaisseau.
Conseil de guerre du 20'
nommée par la qualité des vins que produit
fidèle, qu'il ne peut être fait état pour — On demande un jeune cordonnier pour
son sol calcaire oolyti^ue. Les plants cultivés
Les
élection»»
espagnoles
(suite)
Séance du mardi i avril***
rétablir des irrégularités commises, que faire le vieux.
Refus d'obéissance. — Louis 8Lam
Voici les résultats définitifs des élec- sur la côte de Pagny occupent une superficie
des pièces du.dossier elles-mêmes et qu'il
de 100 hectares de vignes. Les vins de Pagny, à pied au 2» bataillon, à LunévilU yi,Cb»Wea
Paris, 18 avril, 2 h. 50 soir.
tions législatives aux Cortès :
n'est pas possible de faire appel au tém
produits
par les petits noirs, peuvent être divi- de prison le 13 mars dernier n
Punir
moignage des juges ou des jurés, qui ne
Sont élus : Silvelistes, 180 ; polaviéjis
Le procès des Ligues
de
t-és en trois catégories :
rendre
au
peloton
de
punition
Ba
peuvent, sans délit, violer le secret des
tes, 33; ultramontains, 30 ; tétuanistes, 18;
Le sergent Chaput, qui i„j ' .
Une foule très nombreuse s'était portée délibérations.
1* Vins rouges très légers, se digérant très
libéraux, 86 ; gamazistes, 30 ; républide notre précédente édition
hier au Palais de justice de Paris. Il y
bien, remarquables par leur bouquet et qui dre, alla rendre compte du refus & r1.1 l'°N
cains, 15; roméristes, 5; carlistes, 4.
d Uli
Le rapport Ballot-Beaupré
avait de nombreux antisémites.
Paris, 18 avril, 2 h. 50 soir.
La composition de la nouvelle Chambre peuvent rivaliser, dans les bonnes années, Mire. Celui-ci se rendit aussitôt 5 * 'locaant
(suite)
La séance s'est ouverte à midi, sous la
avec les meilleure crus de la Bourgogne et du disciplinaires. Il commença par p ?*
u*
est jugée trop hétérogène.
A l'Elysée
la
Tous les journaux dreyfusistes publient
présidence de M. Rouleau.
Beaujolais.
my à obéir au sergent et lui montra u
"
C Qsê
Le roi Oscar II de Suède s'est rendu
Dans la salle, on remarquait la présence des articles indignés,affirmant quel" gou
2" Vins gris à sève pétillante, dont M. Bar- quences d'une pareille conduite M 3 ° *
du comité de la « Ligue des Droits de vernement a demandé au premier prési- ce matin, à onze heures trente, à l'Ely'
bamj
thélémy, propriétaire et lauréat du concours persista dans son refus.
l'homme »; MM. Cavaignac, Jules Lemaî- dent Mazeau « d'en finir »;
sée, où un déjeuner lui était offert. Les
C'est un mauvais soldat qui
de 1899, s'est spécialement occupé depuis
a en C rU ds
Que M. Mazeau a prié M. Ballot-Beau- honneurs militaires ont été rendus par le
tre, Coppée, Jules Guérin, ainsi que d'auvingt ans.
nombreuses punitions. — Un an de °"
tres membres de la « Ligue de la Patrie pré de déposer son rapport en sorte que 39e d'infanterie. Le président de la flépu
,<<m
3* Les vins blancs que les hôteliers recherUne forte tête. - Jules-Jean Goufcn
"
la Cour puisse se réunir le 27 avril. — blique s'est avancé au-devant du roi et l'a
Solda
française ».
chent volontiers.
au 10" bataillon de chasseurs à pie] 1
'
LE
TEMPS
QU'IL
FAIT
Le rôle ne comportait que les dossiers « L'affaire » serait jugée avant le 2 mai, fait entrer dans la grande salle.
ainN
L'histoire atteste que les ducs de Lorraine Dié, a fait une absence illégale
Avril pluvieux
contre la « Ligue pour la défense des Droits date de la rentrée de la Chambre.
Urs d
Parmi les assistants, on remarquait
au
avaient une prédilection marquée pour les laquelle il a dissipé les effets militau°
Annonce an fécond et gracieux.
*
On se montre surpris au ministère de MM. les ministres présents à Paris et
de l'homme » et celle de la « Patrie franvins de Pagny. Nous ne doutons pas que les avait emportés. L'accusé est un mauv* qu"lt
Tant
mieux
1
Car,
si
l'on
pouvait
se
plainla justice de certains bruits qui ont cou- leurs dames, les membres de la délégaçaise ».
8
SoU
dre de quelque chose, ce n'est certes pas du amateurs de bons vins gris ne témoignent à dat, qui a encouru dans son eonee"
q att
La « Ligue des Droits de l'homme » a ru au sujet de la pression gouvernemen- tion de Suède et de Norvège à Paris, la
M. Barthélémy en quelle estime les gourmets cents jours de prison, ce qui | j
ai ï! &
tale tendant à faire avancer la date de suite du roi, les officiers et membres manque de pluie, en avril. La journée de tiennent ses vins supérieurs.
U a V u
été appelée la première.
retenu au corps après le départ de sa i
mardi n'a pas voulu déroger aux habitudes
cl3
Après les formalités d'usage, le substi- l'achèvement du rapport de M. Ballot- des maisons civile et militaire de la pré— Six mois de prison.
"
sse.
(Journal des débitants.)
des précédantes. Comme elles, elle a été marsidence.
tut Bouloche donne lecture de l'acte d'ac- Beaupré.
quée par la pluie, abondante surtout vers une
Petite correspondance
Abandon de pode. - Le 22 lévrier u .
Quant à la date à laquelle le rapport
Pendant le déjeuner, la musique du 39«
cusation.
heure et demie. 1P à m di.
Demande. — J'ai l'honneur de vous prier Beauvallot, cavalier au 9* dragons à L* a
Au banc de la défense, MMes Trarieux, sera terminé, M. Ballot-Beaupré a indi- a fait entendre diveis morceaux. A deux
30 avril. — Soleil : lever, 5 h. 02 ; cou- de VOU'OT me renseigner, si vous le pouvez, était de garde d'écurie. A cinq heures d'".6'
qué fin avril. Dès qu'il sera terminé, M. heures un quart le roi a pris congé du
Duclos, Lévy Salles, Bergougnan, etc.
cher, 6 h. 57. Pleine lune le 25 avril.
sur les conditions faites aux personnes dési- il quitta son poste en disant â son cam S°lr'
Après la lecture de l'acte d'accusation, le procureur général sera requis d'en président de la République. Il a été reconreuses d'être interprètes officiels d'allemand qu'il se rendait chez un sous-officier d ^
Dépêche météorologique
duit à sa voiture avec le même cérémo
M6 Ludovic Trarieux a pris la parole pour saisir la Cour. — Agence nationale.
et d'anglais à l'Exposition de 1900. A qui faut- était l'ordonnance. Il ne rentra qu'à nuin?' 'l
763
Dunkerque,
760
Marseille.
Faible
presniai qu'à l'arrivée.
la défense de M. Duclaux, président de la
Lettres de Dreyfus
sion Méditerranée, vent Nord faible Bretagne il s'adresser ? Quelles pièces à fournir ? En res du soir.
"eu— Le président de la République a re« Ligue des Droits de l'homme » et du
Certains journaux — se basant sur un
Probable : Vent variable faible ou modéré, somme, indiquer tout ce qui est à votre conInterrogé sur l'abandon de sa garde B
principe même de cette ligue.
rapport de M. Deniel, commandant des çu ce matin le vice-amiral Salandrouze de nuageux, température normale Ouest, assez naissance pour le cas.
vallot a reconnu qu'il s'était rendu en viU?*
L'avocat a terminé en faisant l'éloge du ; îles du Salut — ayant reproché au con- la Mornaix, le vice-amiral de Maigret et fort puy de Dôme.
Réponse. — En principe, pour tous rensei- il avait dîné en compagnie d'un camarade6 °n
lieutenant-colonel Picquart.
damné de l'île du Diable de ne pas écrire le préfet de l'Ariège. — Agence nationale.
Croix-Rouge française
gnements, il faut s'adresser à M. le commis- ,ne croyait pas, ajouta t-il, commettre n„
Un tonnerre d'applaudissements et des à sa famille, le Siècle a publié hier un cer- La grève des mineurs belges
Rappelons que c'est aujourd'hui mercredi, à saire général de l'Exposition universelle.
faute grave en quittant sa garde, alors au'nn
cris de « Vive Zola 1 » mêlés d'exclama- tain nombre de lettres de Dreyfus parmi
• »
Charleroi.
—
La
fédération
des
mineurs
autre cavalier se trouvait à l'écurie. — D
2 heures, que commencera la vente de charité
tions irritées et d'un hurlement de « Mort les plus récentes.
eux
Demande. — Une cuisinière ayant quitté sa mois de prison.
du bassin de Charleroi a décidé de se ralaux juifs ! », a accueilli cette allusion au
La première est datée du 27 octobre lier à la décision de la fédération natio- organisée au profit des blessés militaires et place me laisse une dette pour marchandise
so'dats tapatriés des ex[éditions coloniales.
Outrages envers des supérieurs. — Dana 1
prisonnier de la Santé.
1898. La dernière du 25 février 1899. Dans
comestible. Son maître refuse de me payer ;
nuit du 11 au 12 mars dernier, vers deux heu*
L'ordre rétabli après une menace d'é- toutes, Dreyfus proteste avec grande éner- nale qui a décrété la grève générale immé- Les galeries Poirel seront ouvertes de 2 h. à est-il dans ses droits ?
diate.
6 h. et de 8 h. à 11 h. du soir. Jeudi la vente
res, le cavalier Léon-Abel Jumeaux, du %
vacuation de la salle, Me Trarieux a pu gie de son innocence. Il y prodigue les
Réponse. — Cela dépend des circonstances
L'assemblée a aussitôt pria ses disposi- continuera à 2 heures et se terminera à
dragons, à Lunévilte, se présentait à la porte
terminer sans autre incident.
marques d'affection à sa femme et à ses tions pour l'affichage des manifestes, l'oret de l'appréciation du juge de paix.
6 heures de l'après-midi.
du quartier Beauvau. Le brigadier Verthé
Les juges ont commencé aussitôt à déli- enfants.
ganisation des meetings, etc.
lui ouvrant la porte, lui donna l'ordre de pasbérer.
S} ndicat des entrepreneurs
Demande.
—
J'ai
déposé
une
plainte
à
la
Les propos de concierge
ser au poste pour se faire porter rentrant, JuL'auditoire est houleux et bruyant.
Voyage du roi d'Italie en SurLe
comité
provisoire,
nommé
par
la
réunion
gendarmerie au sujet de vaches qui tous les
La Liberté dit tenir d'une personne bien
daigne (suite)
Les juges rentrent dans la salle.
préparatoire des entrepreneurs le 17 avril, jours sont en liberté dans la ville que j'ha- | meaux adressa des injures au brigadier et së
informée
que
Mme
Pays
dément
les
faits
dirigea vers les cabinets. Comme il essayait
Les membres du comité de la « Ligue
Un triste accidenta assombri la fin du se trouve dans l'impossibilité absolue de
bite et qui pourraient très bien occasionner de ensuite de regagner l'escalier de sa chambre
des Droits de l'homme » sont tous con- avancés par lesdépositions des concierges séjour des souverains à Cagliari.
trouver une salle de réunion suffisante avant
de la rue de Douai, dépositions que le FiHier matin, au moment où les souve- le 24 avril. La réunion est donc fixée à ce graves accidents. Il y a eu enquête et les cho- sans entrer au poste, le brigadier l'appela. Judamnés à 16 fr. d'amende avec sursis.
ses en sont restées là. A qui dois-je m'adres- meaux renouvela ses insultes.
garo
a
reproduites.
Après divers considérants, le jugement
rains, au milieu des démonstrations enDans 1' « affaire », affirmations et dé- thousiastes de la foule, partaient pour jour, à deux heures de l'après-midi, à la ser pour faire cesser cet abus ? Dois-je invoLe maréchal des logis Douard, voyant qua
dit:
salle Poirel.
quer la loi ou est-ce une question municiConsidérant notamment que les délin- mentis s'entre-croisentde telle sorte qu'on Sassari, la balustrade d'une terrasse, sur
Jumeaux
était ivre, le;fit|conduire à la salle de
Le
comité
fait
appel
aux
divers
chefs
d'inpale?
police.
quants étaient de bonne foi, les condamne ne sait plus du tout, du tout, auquel en- laquelle se trouvaient les élèves de l'Ecole dustrie ou d'entreprise non représentés à la
tendre.
Réponse.
—
Il
y
a
dans
la
plupart
des
villes
à 16 fr. d'amende.
normale de filles, s'écroula, entraînantles première réunion, tels que fabricants de chaI
Au moment d'entrer dans les locaux discides arrêtés municipaux réglant le cas. Mais à
La publication du « Figaro » élèves dans sa chute.
peaux de paille, de limes, propriétaires de défaut d'arrêté, on peut invoquer la loi, qui ! plinaires, le cavalier saisit le sous-officier par
(suite)
Un portefaix, qui se trouvait sous la briqueterie, tuilerie et faïencerie, et les prie
l la pèlerine du manteau, et lui adressa des inM. Picquart à propos de l'article pu- terrasse, a été tué. Quatorze élèves ont été de bien vouloir assister à l'assemblée du 22 inflige une amende aux propriétaires d'ani- j jure3.
Le procès de la Ligue de la Patrie franmaux qui les laissent errer dans les lieux
çaise, dans lequel sont inculpés MM. Ju- blié le 14 septembre 1896 par YEclair sur blessées, dont huit grièvement.
L'inculpé est un mauvais soldat, s'enivrant
avril, au cours de laquelle un projet de sta- habités (art. 475 du code pénal) En cas de
la
communication
de
pièces
secrètes
au
les Lemaître, Syveton, Dausset, est appeLes souverains ont fait arrêter le train tuts pour la formation d'uDe chambre syndifréquemment. Il a encouru soixante-dix-huit
dommages, le propriétaire est également resconseil de guerre, a déclaré qu'il croyait et sont descendus pour visiter les blessés. cale sera déposé.
lé aussitôt après.
jours de punition et a subi avant son incorpoponsable. Vous pouvez vous adresser soit à ration trois condamnations pour coups. — Ua
Me Clun et, avocat de l'undes prévenus, d'abord à une manœuvre de la famille Ils sont repartis à dix heures et demie
Les peintres militaires de l'Année
l'autorité municipale, soit à la gendarmerie, an de prison.
demande l'audition de plusieurs témoins. de Dreyfus. Il pria le général Gonse pour Sassari, salués de vives acclamations.
terrible
soit au commissaire de police.
Après l'audition de MM. Coppée, Bru- d'ouvrir une enquête, ce que le géL'escadre française a disparu dans la diAccident du travail
Une
conférence
publique
sera
faite
samedi
Au théâtre
netière, Giard, de Mahy, Rambaud, Ca- néral refusa. Plus tard M. Picquart pensa rection de l'Ouest.
M. Joseph Prouvé, couvreur, âgé de 60 ans,
prochain
22
avril,
à
8
h.
1/4
du
soir,
à
la
La pluie, la pluie par trop agaçante à la fin,
vaignac, Maurice Pujo et Gentet, l'au- que l'article provenait d'un officier de l'é
Avant de partir, les souverains ont salle Poirel, par M. Ulrich Martinet, délégué
demeurant rue de la Liberté, en travaillant à
a contrarié un peu, mardi, le projet caressé
dience est levée et renvoyée à mercredi. tat-major. Il communiqua ses doutes au laissé au préfet 100,000 fr. pour les paula toiture d'une maison, chemin de Liverdun,
général de la Société populaire des Beauxencore par tant de personnes, de venir, ou
Aujourd'hui se termineront les débats général Gonse qui, depuis ce moment, vres et les œuvres de bienfaisance.
Arts, sur : Les Peintres militaires de l'Année
est tombé sur le sol de la rue d'une hauteur
■
plutôt
de
re-venir,
entendre
la
Poupée.
Ça
été
du procès de la Patrie française. Puis les lui témoigna une hostilité sourde.
terrible.
de huit mètres. Dans sa chute il s'est fait
*
vraiment grand dommage, est-il besoin de le
autres Ligues seront jugées à leur tour.
Sir Philipp Currie, ambassadeur d'AnDe nombreuses projections à la lumière
une luxation de la jambe droite et quelques
dire
?
car,
de
même
que
les
précédentes,
la
reInutile de dire que ce n'est plus pour le
contusions sans gravité.
gleterre en Italie, va partir pour le golfe oxhydrique, représentant les tableaux de Deprésentation
a
été
parfaite.
tribunal que l'on plaide.
d'Aranci. Il est chargé de saluer le roi et taille, de Neuville, Aimé Morot, Berne-BelleTentative de meurtre(sui'fe)
Mme Gabrielle Dziri, l'exquise, la délicieula reine d'Italie, au nom de la reine Vic- cour, etc., accompagneront cette conférence.
Déclarations de M» Lebret
se et si mignonne poupée, a remporté son
Voici quelques renseignements sur cette afLe dîner de la promotion de Saint-Cyr toria, à leur arrivée à bord du vaisseauLes portes seront ouvertes à huit heures
On sait que M. Charles Bos, député la 1888-90 a eu lieu lundi à Paris, au Cercle mi- amiral anglais.
succès habituel. On n'a pas non plus ménagé faire : Dimanche, dans la journée, M. Gabriel
pour les personnes munies d'une lettre d'inla Seine, a écrit au ministre de la justice litaire. Les officiers de cette promotion y ont
les applaudissements, amplement mérités Chuiner, cocher chez les pères rédemptorisvitation et pour celles payant un droit d'en» »
pour lui annoncer son intention de l'in- fêté, d'une manière très touchante, l'un des
d'ailleurs, à Mme Avalet, si amusante dans tes, à Houdemont, était allé, en compagnie de
L escadre anglaise a mouillé lundi soir, trée de 25 centimes.
terpeller, à la rentrée, « sur les motifs qui leurs, le capitaine Gouraud, vainqueur de Sason rôle de maman Hilarius à la fois et de son camarade Marichal, jardinier à HeilleA partir de 8 h. 1/4 l'accès des galeries seà
quatre
heures, au golfe d'Aranci.
l'ont empêché de saisir la Cour de cassa- mory, arrivé le matin même de Dakar.
tante
Boniface ; à M. Bargel (Maître Hilarius; court, rendre visite à des amis habitant
Les souverains iront, vendredi, la vi- ra public et gratuit.
tion d'une demande d'annulation du proet à l'excellent baryton, M. Mazotti.
Frouard. Les deux hommes y restèrent jussiter et prendront part au lunch offert à
Don
cès Dreyfus ».
Tous les artistes seraient à citer. Il faut que dans la soirée.
A la suite de l'emprisonnement de M. Max
A l'occasion du décès de M. Gargam, son espérer que, jeudi, le mauvais temps aura fait
Sur cette question de l'annulation, M. Régis au fort de Sidi-Ferruch, les antijuifs bord du Majestic. Ils offriront, le soir, un
Le dernier train pour Houdemont étant
père, M. Charles Gargam a remis à M. le mai- trêve et que la Poupée amènera une salle parti, Chuiner et Marichal prirent une voiLebret, garde des sceaux, a fait à un jour- d'Alger avaient décidé d'organiser un pèleri- dîner à bord du Savoia.
Dimanche, le roi et la reine se rendront re de Nancy, une somme de 100 fr. pour le bu- comble. On ne serait certainement pas fâché, ture pour rentrer chez eux.
nal parisien d'importantes déclarations, nage à ce fort. Ce pèlerinage a eu lieu lundi.
reau de bienfaisance.
où il déclare l'impossibilité de demander Vers deux heures de l'après-midi, deux cents à Caprera.
En arrivant à Houdemont, Chuiner ayant
d'ailleurs, d'avoir, au besoin, pour elle, risl'annulation du procès Dreyfus en 1894.
* *
Service funèbre
trouvé fermée la porte de sa maison, résolut
qué un rhume aléatoire.
personnes dont une cinquantaine environ veLes journaux de Rome saluent en terVoici un extrait des déclarations de M. nant d'Alger et le reste des localités voisines
d'aller coucher chez sa mère, qui habite HeilMardi, à neuf heures et demie du matin, a
Concert
Lebret :
lecourt. Aprè3 avoir renvoyé la voiture, ils
de Sidi-Ferruch se sont trouvées aux alen- mes sympathiques l'arrivée de l'escadre été célébré, à l'église Saint-Léon, un service
On nous écrit :
« Lorsque le cabinet Brisson a décidé de tours du fort où est enfermé M. Régis. Aucun anglaise en Sardaigne et font ressortir funèbre en mémoire de M. le docteur Sibut,
« Mlle Stella de la Mar, le distingué profes- gagnèrent tous deux à pied cette dernière
déposer devant la Cour de cassation la deman- incident n'a marqué cette manifestation inof- les liens qui unissent depuis longtemps médecin-major de marine, attaché à la mission seur de chant, vient de donner son audition commune, en suivant le chemin de la Ronl'Italie et l'Angleterre. On annonce qu'a- Gentil, décédé à Libreville (Congo français) le annuelle d'élèves au salon de l'hôtel de ville. chère.
de de revision, il est incontestable qu'il avait fensive.
le choix entre la demande en annulation et
près les fêtes du golfe d'Aranci, l'escadre 9 avril dernier, dans les circonstances que
A un endroit où la route fait un coude,
Citer tous les numéros du programme secelle en revision. Il a opté.
La statue de Jeanne d'Arc, de Frémiet, qui britannique visitera plusieurs ports ita- nous avons rapportées.
Chuiner et Marichal aperçurent trois indivirait
trop
long.
Contentons-nous
de
dire
que
J'estime que du moment où il s'est pronon- fait l'admiration de tous les passants, va liens où des fêtes seront données en son
Dans la nef avaient pris place la famille, la cette audition était un concert. C'est le plus dus qui passaient à travers champs et paraiscé pour la demande en revision, il est impos- quitter pour quelques jours son socle de la honneur.
plupart
des médecins militaires et les déléga- bel éloge que l'on puisse adresser à Mlle de saient vouloir venir leur barrer le chemin.
sible maintenant de formsr une demande en place des Pyramides, à Paris.
Le roi Humbert et la reine Marguerite tions des officiers de la garnison.
la Mar qui, en témoignage de la sympathie et Chuiner en fit l'observation à Marichal, qui
annulation.
Il s'est produit, en effet, un tassement de
Cela se comprend très bien. La demande en travers dans les fondations du socle, à la sont arrivé hier soir à Sassari. Ils ont été
de la reconnaissance de ses élèves, a reçu de calma les craintes de son compagnon en lui
Conseils municipaux
annulation, par sa nature même, est nécessai- suite de l'installation d'une bouche d'incen- acclamés avéc enthousiasme par la foule
nombreuses gerbes de fleurs et un superbe disant que ce n'était pas à eux que ces homLa deuxième session ordinaire des conseils
mes devaient en vouloir. Ils continuèrent
rement préjudicielle à la demande en revi- die, et l'édilité va remédier à ce petit acci- et les étudiants. Les souverains ont paru
bracelet garni de diamants.
donc leur route.
sion, car, s'il y a des raisons pour annuler dent. C'est pour faciliter cette opération que plusieurs fois au balcon pour remercier municiqaux du département, pour l'année
Tous nos compliments à M. Hekking, rémicourante, s'ouvrira le 7 mai prochain et sera
une sentence, il est absolument inutile d'aller la statue de Jeanne d'Arc va, à partir de ce la foule de ses ovations.
Mais bientôt ils rencontrèrent les trois Innent violoniste, et à Mlle Dennery qui a
chercher si, depuis cette sentence, des faits matin, être transportée à la fonderie.
close
le
18
juin
suivant.
•
dividus,
les sieurs Henri Marchai, âgé rie 19
charmé l'auditoire par son talent brillant de
nouveaux se sont produits qui sont de nature
M. Frémiet en profitera pour donner à sa
* »
ans, garçon de culture à Houdemont> et les
Les vins lorrains au concours général pianiste.
à la faire tomber. L'annulation est donc ab- statue une patine nouvelle qu'il a récemment
A l'occasion du voyage de l'escadre franagricole de Paris
solument préjudicielle à la demande en revi- trouvée et qui, inaltérable, préservera désorM. Thirion a tenu le piano et a accompagné frères jumeaux Felte. Ces derniers étaient
çaise
en Sardaigne, l'amiral Magnagbi,
Les vins rosés de Lorraine ne sont pas avec beaucoup de finesse et d'art les nombreux porteurs de nerfs de bœuf. Sans aucun mosion. »
mais ce chef-d'œuvre de cette abominable
commandant en chef de l'escadre italienne,
tif, Marchai se jeta sur Chuiner et le frappa
M. Lebret fait allusion à la jurispru- salissure qui transforme peu à peu en négres- a été nommé grand-croix de la Légion moins prisés des consommateurs de nos villes morceaux du programme. »
de quatre coups de couteau, un au poignet
ses les plus belles statues de Paris.
que les vins blancs et les picolos. Aussi, mendence de la Cour de cassation pour le juArrestation
gauche qui coupa l'artère, un à l'avant-bras
On sait que la statue de Jeanne d'Arc, de d'honneur, le général Rogier a été nommé tionnerons-nous avec un soin spécial le seul
gement des demandes en annulation. Il Frémiet, à Nancy, est la reproduction — légè- grand-officier. De plus, des croix de comLe sieur Auguste Teissier, âgé de 25 ans, droit, un autre à l'épaule du même côté et en
lauréat
de
la
Lorraine,
M.
François-Jules
Barest intéressant de rappeler que c'est la rement modiliée dans les accessoires — de la mandeur ont été distribuées à des capigarçon coiffeur, Grande-Rue, 5, a été arrêté et fin le dernier au-dessus du sein droit.
thélémy à Pagoy-sur-Moselle (Meurthe-etchambre criminelle qui est saisie de ces statue de la place des Pyramides.
déféré au parquet pour coups portés à la fille
taines de vaisseaux, 11 croix d'officier et Moselle).
Cette dernière blessure, d'une largeur de
l',
NOUVELLES DIVERSES
CHRONIQUE DE L EST
Échos de partout
Fechty, habitant la même maison.
Feuilleton de l'Est républicain.
N» 34
L'Homme au capuchon gris
par Pierre[de Lano et Emmanuel Gallus
Deuxième partie
LES NOCES; ROUGES
(suite)
— Pardon, monsieur Georges, fit le
vieux Breton, laissez-moi parler et veuillez m'écouter. Les minutes vont vite. Ces
minutes sont, pour nous, des heures.
Nous n'avons pas de temps à perdre, et
puisque la... chose est décidée, il faut
agir»
Et, s'apprpchant de la table, il mit le
doigt sur le plan, en indiquant la croix
rouge qui avait intrigué Maucourt.
— Cette marque, monsieur Georges,dit,
très bas, le gardien, révèle la situation
d'une grosse dalle qui communique avec
un souterrain.
Le condamné tressaillit.
— J'ai pu me procurer ce plan, mais je
n'ai pu trouver le mémoire qui l'accompagne. Ce plan, il faut que je le remporte,
que je le remette à sa place, là où je l'ai
pris. Songez que si on venait à s'apercevoir de sa disparition, c'en serait fait de
votre évasion, de tout le tremblement,
quoi t... Cette croix rouge, seule, vous
trahirait.
— Que veux-tu dire?
cinq centimètres et d'une profondeur de huit,
— Ecoutez-moi.
isur la situation exacte de la dalle... C'est
attention était nécessaire pour les découMaucourt, intéressé, tendit l'oreille.
bien dans le coin de gauche qu'elle se vrir. L'obscurité de la pièce, près du lit, comme malgré lui, parcouraient la dalle
— Le souterrain, dit-il, est là, c'est étaen tous sens, l'exploraient.
— Je crois savoir, pour l'avoir entendu trouve.
1 bli, mais il est profond.
C'est, paraît-il,
rendait, en outre, toute recherche fort
conter, que le mémoire qui nous manque
Il
lui
parut,
alors,
que
son
cœur
cessait
— Oui, murmura Kéradec... Mais êtes- difficile.
une
sorte
de
long
boyau
qu'on
doit suivre
de battre ; il faillit s'affaisser sous l'émomentionne qu'une dalle ouvrant sur un vous bien sûr qu'elle soit dans votre celLa dalle trouvée, Maucourt, pour la re- tion qui s'empara de lui. Etait-il éveillé, à plat ventre, en rampant sur les genoux
souterrain se trouve placée dans la cellu- lule?
pérer, y appuya son marteau. Puis, par- réellement, ou bien un rêve — un rêve et sur les mains... Si, malheureusement,
le n° 8.
Les lignes du plan étaient si confuses
tant,
à présent, du fond de la cellule, il abominable et radieux en même temps, nous nous trompions, vous laisseriez vo— Ici ! s'écria Georges.
que rien n'était précis à cet égard, en efrevint
vers la même place en comptant le visitait-il ? A son toucher, venait de tre peau, là-dedans. Vous deviendriez la
Il s'était levé, fébrile. Tous ses mem- fet, et l'observation si judicieuse du Breles
pierres,
en comptant également les s'offrir la preuve tangible, irrécusable, proie des rats qui y pullulent comme dans
bres tremblaient.
ton arrêta l'élan de Georges.
raccords qui les séparaient. A la septiè- que la pierre tant souhaitée était là, dans un égout... Vous y trouverez,aussi, de la
— Ici, oui, fit Kéradec.
Kéradec ajouta :
me, de violentes palpitations ébranlèrent l'ombre, devant lui. Lacroix marquée sur vase épaisse et fangeuse.
Le condamné prit les mains du Breton
— Je m'en vais... Pendant mon absenMaucourt frissonna.
sa poitrine. Sa main, tâtonnante, venait le plan se trouvait répétée sur la dalle,
et les serra avec force.
ce, faites les recherches nécessaires.
— Ce souterrain, continua Kéradec,
de rencontrer le marteau.
Puis, il murmura:
creusée en deux rainures que la poussièIl sortit un objet de sa poche.
Kéradec avait dit vrai; son espoir ne re et que le temps n'avaient pu réussir à n'a qu'une issue, masquée complète—- Merci... merci, mon vieil Alain...
— Voici un marteau. Vous frapperez
ment, bouchée, obstruée... Cette issue, il
Le gardien frémit. L'émotion le paraly- aussi légèrement que possible sur les l'avait pas trompé. Le nombre de dalles effacer.
faut que je la recherche. Ce sera difficile.
sait et il avait besoin de tout son courage dalles. Le son qu'elles rendront vous gui- indiqué par le mémoire dont avait parlé
Faisant appel à toute son énergie, ac— Tu la trouveras, mon bon Alain.
le gardien était exact, et la pierre qui croupi sous sa misérable couche, il se mit
pour surmonter son trouble.
dera.
— Il faut que je la trouve, je le sais
devait
lui
ouvrir
le
chemin
de
la
liberté
— Si mes souvenirs me servent bien,
à gratter la pierre avec ses ongles, insenEt, reprenant le plan étalé sur la table :
bien, et je réussirai, je vous le jure...
reprit-il, cette dalle doit être la quatriè-1 — Quant â la carte, elle est à moi, vous était, il n'en pouvait douter, dans sa cel- sible aux meurtrissures de sa chair.
L'issue découverte, il me faudra descellule.
me, en partant de la porte, vers la gau- pouvez la garder.
Le travail fut long, pénible. Des lanièPour se convaincre mieux, pour établir res de peau s'enlevaient de ses mains et ler la pierre, qui en forme l'entrée. La
che, et la septième en revenant sur le mêMaucourt allait se précipiter vers lui,
besogne sera longue j je ne pourrai, en
nettement ses observations, Georges s'em- il saignait.
me côté, par le fond.
l'accabler de remerciements, de tendres
effet, travailler que la nuit, en m'entoupressa alors de sonder la muraille, atten
Maucourt explorait la pièce.
Mais,
quelles
souffrances,
en
cette
heueffusions, mais le gardien l'évita. Avant tif au son qu'elle produisait.
rant de précautions infinies. Cette issue
re, l'eussent arrêté? R s'acharnait dans
— Mais, alors, remarqua-t-il, la pierre 1de disparaître, pourtant, il glissa sa tête
doit être entre le bastion et la demi-hpje
serait placée sous le Ut ?
1
Bientôt il arriva à la dalle qu'il suppo- l'oeuvre de son salut, die sa délivrance, et qui regardent du côté de La Flotte. Jne
dans
l'entre-bâillement de la porte, et
— C'est possible.
sait devoir masquer l'entrée d'un souter- l'aridité de sa tâche ne le rebutait pas, U sentinelle peut me surprendre, tir^r sur
murmura :
— On peut voir, du reste.
^-Souvenez vous bien... quatrième dalle rain. Là, en proie à une indicible, à une était, alors, ainsi qu'un fauve, ayant cons- moi ; mais, bah, allons-y... à la guerre
Kéradec l'arrêta.
vers la gauche... septième à partir du croissante émotion, il donna, faiblement, I cience de sa misère et brisant, dans un comme à la guerre, et le vin ét; nt dans
d
quelques coups de marteau. Un tressail- effort suprême, les liens qui l'enchaî- le verre, il faut le boire.— L'e-jtrée
■— Plus tard... Il faut que je vous quit- ]fond...
prend
nent.
te... Jetez un dernier coup d'oeil sur
lement
prit
alors
tout
son
être.
Il
lui
Et sa main tendue désignait l'endroit
jour au fond du fossé de la citadelle. Des
Soudain, Use releva, très pâle. Il venait, herbes, des terres la dissimulent, la déle plan,.. Remarquez bien la croix rouge... <où devait, selon toute probabilité, se por- sembla que, derrière la pierre, le bruit
léger de son marteau tombait dans du enfin, de reconstituer les deux traits de la robent à tous les yeux...
Pendant que le gardien parlait, Georges ter
1
l'effort du prisonnier,
croix indiquée sur le plan. La dalle était
examinait le parchemin jauni, Les lignes
La serrure fermée, les verrous tirés, vide,
Maucourt l'interrompit :
en étaient presque effacées. Certaines, ]Maucourt demeura un instant immobile,
Il haletait, et, prenant sa tête en ses bien placée dans sa cellule.
— Tu as des craintes ?
.
Le lendemain, Kéradec, mis au courant
même, ne se distinguaient plus.
<
comme
aux écoutes. Puis, se traînant à deux mains,il supplia Dieu de ne le point
Un sourire illumina la face ridée
<
dans sa cellule, il compta les rendre victimed'une illusion trop cruelle, des faits par Georges, compléta ses ren- vieux
Soudain, sur la face du prisonnier, une genoux
!
Breton.
seignements.
n
joie apparut. Ij luj semblait qu'il venait dalles.
«
de laisser à son esprit, à ses sens, toute
— Oui, j'ai des craintes pour vous, mou.
Ayant juré d'aider le condamné à fuir, ;sieur Georgea. Car, si l'on me tue ou de découvrir la place exacte occupée par
Ainsi qu'il l'avait prévu, la quatrième leur lucidité ; dans la crainte même que
j suis pris, votre fuite devient mate"
la dalle qu'indiquait la fameuse croix se
s trouvait sous le lit. Les joints des pier- 1sa joie ne l'abandonnât, il n'osait tenter d'organiser son évasion,, il ne songeait je
1
plus à se reprendre, à se récuser. Le sa- 1iement impossible. Il faut que Ie ;1V '
nouvelle expérience.
rouge, et il se tourna vers le Breton.
1
res
étaient si effacés qu'on ne les distin- une
1
crifioe de son humble gagne-pain, de sa voyez-vous,
au îiioins jusqu'à ce que v
— Il n'y a aucun doute à avoir, dit-il, guait
É
qu'ayec peiae, et qu'une extrême
Cependant, ses doigts, nerveusement,
vie même, était fait,
!Soyez dehors,
^
j
)
L'EST REPUBLICAIN
x crrave Le docteur Lévy, de Nancy,
est tre» g' geg gojns au blessé, n'a pu encore
a d
qui
°
sur les conséquences qu'elle
,e
oncer
allier
?ra°entr
P°u . r
Ch
.
.
perdant le sang en abondance,
*ns connaissance sur la route pendant
tomba sau sseur prenait la fuite, Marichal
flue 6°^n camarade et le conduisit au domi'
n
cïle ^^"ert, "maire de Heillecourt, prévint
»• J~
er\B qui ouvrit une enquête. Lundi,
Ja genû am ^ gendarmes se rendirent à
031
après' Ilg decouvrirent Marchai caché
110
grenier à foin de son patron.
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I
p
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AIIIDLIIL
d'ei
Dï'Ii
1 i.
f
T
T
•
, ~~~
'
La loi sur les accidents du travail et
l'agriculture
Dombasle (M.-ei-M.), le 17 avril 1899.
Monsieur le rédacteur en chef,
J lis l'article de Mr A.-D., auquel vous
Je
ave
avez donné l'hospitalité dans votre numéro
de»ce jour.
de
N
M' A.-D. espère-t-il réellement que tous les
cuti
cultivateurs
sensés vont se syndiquer pour
réc:
réclamer la faveur de payer une indemnité à
leu: travailleurs (eux ne font rien non plus)
leurs
arrét6 et amené 16 mÔme
Ur à qui par leur négligence ou leur mauvais vou^1° a été
'°
loit
loir s'attirent un accident, qu'il en résulte ou
n0B
Nancy". niatin Marchai a été conduit au par- non
une blessure pour le patron ? (Les dégâts
M
• il a été confronté avec Marichal et les matériels
mal
possibles ne figurant que pour méquet, ou "
moi
moire.)
d'entendre le professeur et l'élève et de les
biss
bisser
vigoureusement. Mlle Catherine Gantz
q
ui
qui
accompagnait, avec son talent habituel,
mér
mérite également de sincères compliments,
N
OU
Nous
avons été privés du plaisir d'entendre
Mlli
Mlle Brégeot, dont le nom figurait au programme, souhaitons que l'indisposition qui la
rele
retenait à la chambre soit de courte durée.
L
La note comique a été donnée par un de
nog
nos fidèles de l'Union musicale, l'excellent M.
Des
Desbordes, que les Nancéiens ont plus souven
vent que nous le plaisir d'entendre, et qui a
été bissé et rebissé.
été
P
Puis on a dansé à lasser les plus intrépidas,
'
<
m
*%
On nous signale pendant l'entr'acte du
con
concert un incident que nous tenons à relever,
ver.
f
Mercredi 19 Avril 1899
coi
concessions qui étaient cependant de na- être
etn ajoutés 20 centilitres (75.853 hectolitres née
née de commandes pour plus de trois ans.
pou
pour toute la France) consommés en franchi- CeU
Cela explique l'excellente tenue du titre.
tui
ture à donner satisfaction aux ouvriers,
ne
ne parurent pas encore suffisantes à
qu
quelques-uns et c'est ainsi qu'ils cessèrent
le
le travail au nombre d'une (soixantaine.
j •— Après des pourparlers entre le patron
e
les ouvriers, la grève a été évitée dans
jet
es
les
ateliers de M. Maujean, fabricant de
jj.
c
chaussures, rue des Allemands.
Luxembourg
Suites tragiques d'un procès
Un drame vient de se dérouler à la cité
ouvrière
de Schifflange. La dame Joseph
~
Felgen, née Catherine Ney, a été tuée par
j,
^l'ouvrier d'usine J. Colling. Depuis longtemps
la paix ne régnait plus entre les
.
deux familles ; cette guerre interminable
avait
fait naître en Colling une haine in,
domptable
et lui avait enfin suggéré le si.
nistre
projet qu'il vient d'accomplir.
'
En
revenant de son ouvrage, il apprit
'
que son épouse avait ce jour même subi
une condamnation dans un procès que
j,^
l'épouse Felgen avait intenté contre elle.
j. Exaspéré par cette nouvelle, il s'arma
d'un grand couteau de boucher, et, ayant
guetté
la sortie de sa voisine, il lui planta
j>
le couteau dans le cœur. La mort a été
ins
instantanée.
'
L'assassin, qui avait, paraît-il, bu beaucoup d'eau-de vie avant le crime, a été
arrêté sur-le-champ par les gendarmes
d'Esch-sur-l'Alzette qui venaient justement de passer sur les lieux.
t 1
J*
se,
se, chez les bouilleurs de cru, — ce qui porte Atn , T,~i0n comPte sur un dividende de
la consommation totale, par habitant, à 5 nu Ir. Un des principaux avantages du Boléo
la
litr
est
litres 08.
^le chiffre modeste de son capital qui rend
plus sensible sur le chiffre du dividende toute
* *
aug
augmentation des bénéfices.
F
Pour noua résumer, la consommation des
B
Bec Auer. — Le dividende est fixé à 53 fr.
boil
boissons — à domicile ou dans nos 450,000 ca- par
barets, — a atteint, par tête, en 1898:
f
Espagne.
~ La majorité des ministres se serait prononcée pour un impôt de 25 à 30 0/0
Vin
112 litres
sani
sans exception pour aucune dette. Cette nouCidre
28 —
vell
velle est, selon nous, vraisemblable, et peut
Bière
25 —
sen
servir
de point de repaire dans la direction du
Alcool
5 litres 08
marché de 1 Extérieure.
n
Russie. — On s'occupe, paratt-il, dans les
nautes sphères administratives pétersbourgeoises de deux questions intéressant l'indusLes personnes qui sont affligées de dartres, ]trie de l'empire slave. Nous avons déjà parlé
de ;boutons, de rougeurs ou démangeaisons, de
î la première qui a trait aux garanties légales
d'acné, d'eczémas et autres maladies de la à accorder aux entreprises étrangères. La sea une importance autrement considépeau, provenant de l'âcreté du sang, celles qui conde
;
puisqu'il ne s'agit de rien moins pour
sont atteintes de glandes, abcès du cou, en- rable,
,
gorgement des ganglions, pertes blanches, le
. gouvernement que de s'engager à ne pas
tous accidents dus, <n général, à un tem- faire
.
subir aux produits industriels étrangers
pérament faible ou lymphatique, feront bien, de subites réductions de droits de douanes
si elles veulent se guérir sûrement, de boire f Beyrouth-Damas. - Des groupes financiers
à chaque repas un verre de Vin de Moride, ;de premier ordre s'occupent do remédier à la
aux plantes marines. Paris, 2, rue de la Tache- situation difficile dans laquelle se trouve Ja
rie. La bouteille, 4 francs, franco.
compagnie, et en attendant, la Porte lui a assuré les moyens de faire face au paiement des
prochains coupons de ses obligations. Toutes
inquiétude au sujetde ta solvabilité de la compagnie semble donc avoir disparu.
\
Il y a quelque temps, M. Didierlaurent, le
Arrogé'sur les motifs qui l'ont poussé à
H y aurait là un moyen de simplifier le très
11
très sympathique chef de la comptabilité de la
a
r Chuiner, il a répondu que depuis partage
P r
des terres et d'éviter leur émiette- maison
mai
Garnier-Thiébaut, obtenait, pour ses
irapper
.
mei
leg euQeg geDg dg Heillecourt ment à la mort d'uu chef de famille,
pour bon
bons
et loyaux services dans cette maison, la
qU
Al ceux d« Houdemont et qu'il avait P^
peu qu'elle survienne à la suite d'un des ac- mé(
médaille d'honneur des bons serviteurs; aussi
,raP pa
, len2er
ses camarades. Il a été écroué à oid.
cidents en question ; l'Etat prélevant d'abord les
les Chanteurs montagnards, dont M. DidierveuB
oulu
,,
...
une
r
o
une garantie capable d'assurer la pension du laui
L maison d arrêt.
laurent est le doyen d'âge, se sont-ils réjouis
|a
tra
travailleur, les enfants auront plus facile de avec
ave les amis du nouveau décoré, et, comme
Menus faits
partager
le
so'de,
—
s'il
en
reste.
Mardi dans l'après-midi, la police a sur- P"
on est joyeux à la Chorale, les chanteurs ont
Mais
il faudra't aussi que nos législateurs fait
T
flagrant délit d'adultère un couple,
"
fait confectionner par le pâtissier Simon une
rlS
donnent
aux
agriculteurs
la
compensation
qui
déc
P
à Nancy pour y cacher un amour défen.
décoration...
en forme de gâteau, et l'un des
DU
pour les industriels. C'est dire que si la can
J L'homme et la femme ont été déférés au existe
™
i
l.
lii
r»
iv
u
responsabilité est augmentée, l'autorité doit un
un petit speech très spirituel et tout de cirtri
diminuée. Il faut qu'ils ne soient plus con
Afflue Saint-Jean, mwdi, vers 7 h. 1/2 du être
^
La Banque Renauld et Cie, 21, rue
ma
chez eux, ainsi que le dit si bien un
C n'engendre pas la mélancolie, à la Cho* * le sieur Arnould-Frédéric Schmitt, 47 maîtres
Sai
On
Saint-Dizier
(passage du Casino), — qui a afUNE HONNE PAR LA FENÊTRE. — Trois jeu- fer
journalier, était rond comme la barrique de" nos dépulés en parlant des industriels. On rah
raie! — L. D. »
:
fermé le Bulletin financier de l'Est républicain
aussi, par raison de liberté, réduire la
nés malfaiteurs, Hertel, 18 ans ; Gat, 18 —
— se charge de la négociation de toules les
il avait bu le contenu. Un agent l'enga- pourrait
P°
val
des conventions et au lieu de l'engageans et Lechien, 20 ans, ont comparu lun- valeurs
locales et régionales.
à regagner tranquillement son domicile, durée
"UI
B
annuel des garçons de culture, faire
di devant la cour d'assises de la Seine, ^
1.18 Schmitt répondit par des insultes aux pa- ment
à l'heure et supprimer tout cersous l'inculpation de vol avec effraction ^
Zei bienveillantes de l'agent qui, cette fois, l'engagement
^
—^— ■ -——
La loi sur les accidents du travail. —
et de tentative meurtre.
tificat
ou livret. Avec un personnel rendu inle conduisit au violon.
....
ten
AVIS MORTUAIRE
n réunion extraordinaire des membres de
Une
tentionnellement
moins
stable
et
sans
réfé^
Hertel qui avait eu sa sœur bonne chez
» Mardi vers oûze heures du soir, le sieur
la "Société industrielle de la Meuse aura lieu
les
époux
Boutet,
163,
boulevard
MontI
rences
possibles,
les
accidents
seraient
plus
H-'nri Etienne, âgé de 28 ans, manœuvre,
1S Les personnes qui, par erreur ou omisme
mercredi 19 courant, à six heures du soir,
pâmasse, avait indiqué à ses deux coac- I
Sion, n'auraient pas reçu de lettre de faire I
«int en état complet d'ivresse, s'est présenté fréquents et, par suite, la loi plus effective.
dal
une des salles de la mairie de Bar-lecusés les habitudes de la maison. Ils sa- ■ part du décès de
Il serait bien, cependant, à titre transitoi- dans
m bureau de police, demandant à être dépoLe bilan de la soif
vai
Du
Duc.
vaient
que le jeudi, la bonne restait seule |
re,
«é au violon. Satisfaction lui a été donnée.
™, que la responsabilité de l'employeur (ou
1
S
dans
l'appartement.
MM
les
industriels
et
entrepreneurs
du
dénon
travailleur)
cessât
d'exister
lorsque
le
*
Les
statistiques
officielles
nous
permettent
^a
Malzéville
.
par
partement
qui
voudraient
adhérer
à
la
Sociéd
Le
23
décembre,
Hertel
conduisit
Gat
1
d'établir
aujourd'hui
le
bilan
de
notre
soif
—
'
Des élections municipales complémentaires travailleur ayant rompu sa convention, que té
Née GRAXDGEORGE
té,.* sont invités à prendre part à cette réu- £et si l'on veut même de notre ivrognerie — e
et Lechien, boulevard Montparnasse, et
décédée à Nice, le 16 avril 1899.
Viennent d'avoir lieu à Malzéville II s'agis- nous appellerons encore d'usage, et exigé son
a11
mo
alla
les
attendre
au
Luxembourg
où
denion.
But
de
la
réunion
:
Loi
du
9
avril
I
pendant
l'année
1898.
compte
immédiat,
aurait
dépassé
l'huis
d'un
mit de remplacer six conseillers décedés ou
sont priées de vouloir bien excuser la
va
se partager le butin.
I
1898, concernant les responsabilités des acciAu vin d'abord, qui a donné au fisc la som- vait
démissionnaires. Deux listes étaient en pré- pied
• j ou de 0 mètre 33 centimètres.
| famille et de considérer le présent avis m
1Quand Gat et Lechien pénétrèrent dans |
r
de
dents.
me de 155,565,327 francs, en diminution de ,
J'ai l'honneur d'être, etc.
'
I comme une invitation à assister aux
la bonne, la demoiselle |
I convoi, service et enterrement qui auront §
Be
' a
Location de la chasse dans les déboi- '6,071,961 francs sur la recette de l'année 1897. l'appartement,
Louis PERBAL.
Ôntété élus : MM. Xouillot, par 306 voix;
e
Lechapelays
descendait
à
la
cave.
C'est
dans
l'Hérault
que
la
consommation
^
1
lieu le jeudi 20 courant, à dix heures et
sements
de
l'Etat.
—
M.
le
ministre
de
la
.
Ch Dussurget, par 295; Thiéry Journal, par
Ils voulurent pénétrer dans l'apparte- 1 demie Ou matin, en l'église Saint-LéoD, et
gi
a été la plus élevée: elle a atteint
guerre
vient d'adresser à M. Buvignier, séna- individuelle
J
278' Benjamin Jardinier, par 236, et Franmi
A propos d'une plainte à la police
tteur
ment
sous prétexte qu'ils avaient une let- I de là au cimetière de Préville où se fera S
342 litres par habitant.
e
de la Meuse, la lettre suivante :
çois' Vernier, par 247. Le sixième candidat de
trf à remettre directement à M. Boutet. |
Nancy, 18 avril 1899.
tre
§ l'inhumation.
Puis
viennent
:
la
Gironde
avec
201
litres
;
« Monsieur le sénateur et cher collègue,
j
cHte même liste vient en tête du ballottage.
Monsieur le rédacteur,
Gomme
la
bonne
refusait
de
les
laisser
'§ On se réunira à l'Eglise Saint-Léon.
|
la
Seine,
187
;
la
Loire,
159
;
les
Bouches-du« De concert avec MM. les sénateurs Boulan- ■
L'autre liste a réuni 140 suffrages.
]
Nous
vous envoyons ces quelques mots ger
g, et Develle, vous avez bien voulu signaler Rhône,
entrer, ils se jetèrent sur elle : Gat lui ^
152 ; la Haute-Garonne, 134 ; Seine et en
.
Lunéville
po
s :
pour
vous demander une petite place dans les àà mon attention une pétition d'un certain Oise et la Côte-d'Or, 128 ; la Marne, 125 ; la serra
la gorge et l'entraîna jusque dans sa ^
?
Le Comité de la cavalcade de bienfaisance a colonnes
col
de votre journal. H s'agit d'une nombre
n
Lechien survint alors, la bâil- ||
de chasseurs, concernant l'affermage 'Haute-Marne, 117 ; lé Jura et le Loiret, 105 ; chambre.
,
réalisé un bénéfice net ds 1,100 fr. Cette som- pli
plainte déposée contre nous par le sieur Gui- d
du droit de chasse sur les terrains déboisés 1la Meuse, 104 : Saône-et-Loire, 103 ; Iodre-et- 101
lonna avec une serviette éponge, lui li- û
me sera offerte à l'Œuvre des crèches pour ne
dépendant de la place de Verdun.
ILoire, 89; les Vosges, 88 ; Loir-et Cher, 78 ; gotta
net, cordonnier au faubourg des Trois-Mai- d
les pieds avec un mouchoir, les m
I Les personnes qui, par erreur ou omis%°
|
mi
moitié au Bureau de bienfaisance pour l'autrei soi
§ sion, n auraient pas reçu de lettre de
sons, nous accusant d'avoir brisé une de ses . « J'ai l'honneur de vous faire connaître que les
mains avec une cordelette, puis lui serra i
Landes, 70.
V
H faire-part du décès de
la question a été examinée par le service local
vitres.
Or, l'enquête faite par la police a prou- ^
Les départements où l'on a bu le moins de lee cou avec un autre mouchoir en mani- H
moitié!
J
du génie et par les autorités militaires supé- ,
vé qu'il nous avait accusés à tort.
{estant
le
regret
de
n'avoir
pas
de
couI
vé
vin
sont
:
le
Morbihan
et
la
Somme,
15
litres
— On nous écrit:
r
rieurs
de la 6* région.
ei
w
C'est pourquoi, Monsieur le rédacteur, nous
« Le fait s'est passé dimanihe, à cinq heu« En présence des inconvénients qui résul- !par tête ; le Nord et la Mayenne, 12; Ille-et- *teau. Gat intervint à son tour et serra le E
Née Juliette GEORGE,
m
vo
mouchoir
plus fort. La jeune fille fit la il
demandons d'insérer cette note dans t<
Vilaine,
11
;
le
Calvados,
10
;
le
Pas-de-Cares aorès-midi, dans un débit de tabac du 2*> vous
feraient pour les propriétaires des bois voi■ deoédée à Mont-sur-Meurthe, le 16 avril
m
.
un de vos prochaines éditions, car il y va dei sins
morte
et
les
malfaiteurs
commencèrent
à
a
une
s:
et pour les locataires de la chasse de ces Ilais, 9 ; l'Orne, 8 ; la Manche, 7 ; lesCôtes-du.
1899, à l'âge do 59 ans,
n
no
l'appartement fouillant les tiroirs; E
mêmes bois, du système d'affermage par adju- Nord,
1
réputation.
6. Particularité à noter : il n'est pas un visiter
Y)'
Dn militaire demande un paquet de tabacs notre
d
H
sont priées de vouloir bien excuser la
dication,
ce
mode
de
location
ne
saurait
poui
ils
3
'emparèrent
de
30
francs,
d'une
|j
l
Agréez,
etc.
département français où fe fisc ne constate
et présente en paiement une pièce de cent
m familld et de considérer le présent avis
V
voir
être appliqué pour les déboisements mili- |l'usage du vin.
m
montre en argent et fracturèrent un se- 1
Jules et Charles BAERMANN,
Bous:
une invitation à assister aux B
(
taires
des
portions
enclavées
dans
les
bois
voicr
; mais leur besogne fut inter- B
|| comme
35, rue de la Salle.
„'
En moyenne, chaque Français — femmes et crétaire
— « Je ne puis vous rendre là-dessus, ditt
M
convoi funèbre, service et enterrement M
sins et ne représentant qu'une faible largeur; (
ro
rompue.
I
la marchande, je n'ai plus de monnaie.
~
■ qui auront lieu à Naucy, le mercredi 19 ■
aussi il a été décidé de louer la chasse dans enfants compris — a payé 4 fr. 07 d'impôt,
La demoiselle Lechapelays était parve- S
Marché de Pont-â-Mouason
cces déboisements par expertise, aux locataires| pour une consommation de 94 litres par têîe,
g avril, à dix heures du matin, en l'église»
— J'ai justement votre affaire, propose un(
l
nue
à se débarrasser de ses liens et pour B
B Cathédrale, et de là au cimetière de
(CaféJanin)
d la chasse dans les bois environnants.
auxquels il faut naturellement ajouttr la con- ?
de
elient qui prenait 5 timbres à 15 centimes ;
■ l'réville où se fera l'inhumation.
plus vite n'avait pas hésité à sauter ||
« En ce qui concerne les autres portions,t sommation en franchise chez les récoltants, fuir
Blé, de 19 50 à 20 ..; blé de semence, .. .
voici 4 fr. 23 et mes 75 centimes de timbres,'
r
£
par
la fenêtre.
I
sur
lesquelles
il
est
possible
de
chasser
sans
a
à
..
..
;
seigle,
14
..
à
..
..
;
orge,
17
s
i
évaluée
à
7,807,751
hectolitres,
soit
en
tout
P
H
On se réunira à la Cathédrale.
ça fait la rue Michel 1 »
les locataires des chasses avoisinantesi 42,745,370 hectolitres, — ce qui donne une[
Elle ne se fit que des contusionr; sans M
. à 20 .. ; avoine vieille, 16 .. à 18 .. ;■ que
q
Puis le farceur empoche les timbres et lai ^
en être incommodés, comme ces ter-" consommation totale, par tète, de 112 litres.
avoine nouvelle, 16 .. à 18 .. ; sarrazin, puissent
P
gravité.
Toutefois les violences dont elle ~
&l
pièce do cent sous.
20 .. à .. ..; mais, 17 .. à .. .. ; hari-! rains
sont situés aux abords immédiats desi
a
20
r
avait
été
l'objet ont gravement ébranlé
.
^
BRONCHITF UX
E N r?HU M¥S~Î
— « C'est bien ça, répond la marchande,> co
cots, 30 .. à .. ; lentilles, 40 .. à .... ;• forts, il est indispensable, pour des motifs de;
• *
se
son système nerveux.
L*
Lisez
annonce Croix Htanchc 4" page.
et je vous remercie, monsieur, de votre obli-- pois,
'
sûreté
intéressant
la
défense
du
territoire,
La consommation de la bière a donné à l'ad20 .. à .... ; vesces, 20 à .. ; colza, s
p(
interdire le libre parcours aux personnes» ministration des contributions indirectes une at Les passants, dont cette chute avait ~
gpance.
3C
30 à ..; féverolles, 19; foin vieux 5 à 6; foini d'en
d
• attiré l'attention, prévenus par elle de ce
— J'te crois! 1! fait l'homme en sortant. » nouveau,
ni
5 .. à 6 .. ; regain, 4 .. à ... •; étrangères à l'armée ; en conséquence, tousi recette de 25,141 521 fr. — en augmentation qi
qui se passait, et avec l'aide des gardiens
paille de blé, 4 .. à 5 .. ; paille d'avoine,' les déboisements de cette catégorie seront af-" de 769 342 fr. sur celle de 1897 — pour unei d<
Briey
f .. à 4 .. ; paille de seigle, 4 .. à 6 .. ;i 1fermés à la collectivité des officiers.
> de la paix, arrêtèrent Gat et Lechien qui M.
_ et Mme CUViBR 8, rue Raugrafl, au
3
't
L'assemblée générale annuelle des membress g(
s'étaient
réfugiés au sixième étage. Iler« Toutefois, la clause réservant ô ces der- production totale de 9,557 616 hectolitres, lai s
son, 13 .. à .... ; farine 00, 30 .. à .. .. !;
titulaires et des membres honoraires de la so-h {a
la chasse au chien d'arrêt, qui avait étéj plus forte que h brasserie française ait ja-• te
tel fut arrêté quelques heures plus tard, f' On trouve ImbJournat Mid/catli R. P, Debreyne, eélèlre médecin tu
farine 1", 28 .. à .. .. ; farine 2*. 26 .. àl niers
f
ciété musicale la Lyre de Briey a eu lieu sa-- _.. . .;pain (le kilog),0 30; remoulages blancs, 1insérée dans les baux précédents du droit de3 mais connue.
Après une longue délibération, la Cour hMonastère de la Grande-Trappe
Si c'est dans l'Hérault que la consommationi aa condamné Gat à dix ans de travaux for- le»
medi dernier à l'hôtel de ville. Il a été donnéé r
17 .. à .... i retraits rouges, 13 .. à .... •; cchasse loué à des particuliers, n'ayant pluss
« moyens do se guérir de l'Asthme, la Bronchite, VAnêmlt, la Con«tlpttion,lm Maux tCoXomic. l'f«émi,les»ftuma(/,ms,. Envol gratuit
c
ne sera pas reproduite dans les nou-- individuelle du vin a été la plus forte, c'est ài cés,
c(
25 .. à .. .. ; pommes de terre, 4 .. à d'objet,
lecture, dans cette réunion, du rapport de ML riz,
ri
«ur
Lechien à la même peine, Hertel à " demande au monastère, Mortagne (Orne), ou a son corresp. à
1
veaux
contrats. »
l'autre bout de la France, dans le départe-- di
Henri Iung, secrétaire, sur la gestion des fi-- 5 .. ; choux, . .. à . ; carottes, 7 .. à ..
deux ans de prison et Gat est condamné fi Aaucy, p .armacie Ferry; Toul, pharm.
Houblons, de 140 à ... fr.
ment du Nord, que l'on a bu le plus de bière,• di
nances de la Société pondant l'exercice 1898,î
Greiner
; Lunéville, phann. Ricklin ;
de plus à la relégation.
^
La consommation y a été, en effet, de 256 11Mirecourt, pharm. Blandez; Remirepuis l'assemblée a procédé au vote pour le' ^ Marchéaux petits porcs du samedi U avril.—
40 à 60 fr. la paire.
mont, phar. Langlois.
} très par habitant,
remplacement d'un membre du conseil d'adMarché aux bestiaux de la Villette
Suivent : les Ardennes, avec 160 litres ; le ■
ministration. M. Henri Schwartza été élu àces
i3
fonctions.
Du a avril 1899
1Les ouvriers cordonniers à Mt>tz (suite) Pas-de-Calais, 147 ; l'Aisne, 83 ; Meurte-ct-MoK 1
KB
V^*
j
La proposition faite par un membre du con- Ainsi que nous l'avons annoncé, une' sselle, 80; Somme, 53 ; Meuse. 40; Vosges, 40.
•
UX.
i
iê
~
PRIX DP KILO '
Dans seize départements, l'Ain, les Bassesseil de rendre personnelles les cartes d'entrée
grève s'est déclarée parmi les ouvriersde
pRIX
2t.2i6
\
| ESPÈCES AMENÉS VENDUS T'
2; I 3'
rêmes. ' la manufacture de chaussures de M. Er- Alpes, l'Aveyron, le Calvados, l'Eure, la 61qui sont données gratuitement aux membres
s
qualit. qualit. qiialil. ext
.
ronde,
le
Loir-et-Cher,
le
Lot,
la
Mayenne,
les
"
honoraires de la Lyre pour deux concerts cha- _
nest Legris, rue Mazelle. Environ 60 ou- {
8
EXTRAIT DE L'ETAT CIVIL DE METZ
Hautes-Pyrénées, la Haute-Saône, la Sarthe,
que année n'a pa3 reçu de solution. Cette proig
3- BBoeufs.. 3068 2818 1.46 1.36 1.14 1.02 à 1.58 vriers, monteurs, finisseurs et manœuvres
^
NAISSANCES
ttous les jours à parïir de trois heures, oa
|l
la
Haute
Savoie,
la
Vendée,
la
consommation
position était motivée par ce fait que beaui- Y;
fâches.. 1038
909 1.44 1.32 1.12 1... à 1.56 occupés aux machines, ont cessé le travail
Paul-Henri
Marie
Sabatier.
—
Virginien'a
pas
dépassé
1
litre
par
habitant.
prête des fûts aux acheteurs (comptant),
rTaurcaui.
369
349
1.101.020
92
0.82
à
1.20
coup de membres honoraires donnent ces car- î
samedi soir, tandis que les hommes à la
rue de Str»sbourR\ 45, Nitnoy
Jeanne Pochuti. — Marie^Louise-Jeanne3 Cnambay,
*
.
Veaui.. 1486 1050 2.10 2... 1.90 1.70 à 2... journée, au nombre d'une centaine, contes à des domestiques qui vont se mettre aux
1X J
, Dans dix autres départements, les Hautes- ^
±* Jean L;ing. — Henri Igel.—
22930 19730 1.901.70 1,50 1.3Q à 2... tinuent leur travail.
Alpes, les Alpes Maritimes, la Dordogne, la. MourreauJï
premiers rangs et sont cause que les person- Montons.
jj
Keibler. — Lisette["Porcs... 3188 3188 1.501.42 1.34 1.18 à 1.60
Nous avons l'honneur d'informer les lecjj Drôme, le Gers, l'Indre, les Landes, Maine-et- Caroline-Ernestine
~
nés bien élevées désertent les concerts de la
On sait que le mouvement actuel parmi
, Lina
Muth. — Marie Jeanne Georges. —. teursde L'EST REPUBLIC AIN qu'à l'approche
j j(Loire, la Nièvre, l'Orne, les Basses-Pyrénées,
^
Lyre,
les ouvriers de la chaussure à Metz est
5
g Adrien
Jean Michel. — "Edouard-Léon 'des Premières Communions, ils trouveront
^
L'idée d'un festival des sociétés de musique
surtout dû à l'instigation des meneurs duu les Pyrénées Orientales, elle n'a même pas
dans
nos Magasins un grand choix d'articles
,J Roch,
— Hélène Marie Stein.
,
_
atteint
un
litre,
et,
dans
la
colonne
que
leur
*
de la région, qui aurait lieu à Briey le jour
dahors, principalement à l'actiondu Syn J
religieux à des prix très modérés tels que:
PU11UCATIONS
DE
MARIAGES
la statistique officielle, nous troude la fête du comice agricole, prend tous les
dicat des cordonniers, dont le siège est ài consacre
i
Caisse régionale mutuelle agricole. — j|
Ernest Follmann, employé de bureau, . MISSELS, LIVRAS DE PIÉTÉ, CHAj vons
lé chiffre 0.
Nuremberg. Un délégué de ce Syndicat,
jours plus d'extension. Trois sociétés, celles de j
: et
Barbe Victorine Scbang, à Mefz, —• PELETS, DIZAINES, IMAGES avec ou
Une réunion, tenue sous la présidence de M. ^
'
Chaque
Français
a
bu,
en
moyenne,
25
li*
M. Siebert, a été le conseilleur des ou- (
Longwy, Gorcy et Jœuf, ont déjà promis leur f
Henri
Prétot, employé de banque au Sa- |sans impression, PORTE - MONNAIE
(féline, en vue de l'organisation et de la constrès
de
bière,
—
ce
qui,
on
en
conviendra,
J
9
vriers messins ; ceux-ci ne constituent pas
adhésion.
blou,
et Léouie Godfrin, à Metz. — Ahvic CROIX et MÉDAILLES, BENITIERS*
ttitution d'unp caisse régionale mutuelle agri- ^
I
n'est
pas
énorme,
—
et,
de
ce
chef,
a
versé
au
J
[U
d'association proprement dite, mais ils
RELIGIEUSES, etc,
Charles Pfarre, ferblantier au Sablon, ett STATUETTES
'
cole, aura lieu daps la grande salle de la mai- ^
I fisc un impôt de 63 centimes.
sopt affiliés pour la plupart au Syndicat alCatherine
Meyer.à
Metz.—
Georges
Prian,
rie
d'Epinal,
dimanche,
23
avril,
à
deux
heu^
J
j
lemand.
* *
négociant à Châtenoig, et Lucie Ravoux, à
res et demie de l'après-midi,
QÎ
Avec le cidre, nous descendons encore à des
]
Le mouvement avait commencé parmi
es Metz.
Du 18 avril
Libraires-Éditeurs
— Xavier p,auplet, couvreur, et Cé-i.
Les dévaliseurs de villas f suite J. — Le .
ii- chiffres inférieurs. Cette boisson n'a rapporté
té ]
NAISSANCES
,chef de la bande, qui a « travaillé » dans les les ouvriers de M. Ernest Legris. La silestine Renauld, a Mefs. — Jean Schn'j;-,-,. 113, rue Saint-Diziër, NAIVCY
lit â l'E'at que 11,396,451 fr., en diminution de
le ,
Adrien-Léon Bernard, chemin des Sa- arrondissements d'Epinal et Mirecourt, le tuation matérielle de ces ouvriers avait
cocher, et Joséphine Spannasçl, à Metz.
(
nt 1,486,364 fr, sur l'année 1897 — qui, elle-mêmes, 34. — Jean-Roger Sommerau, rue peintre Charles Munsch, dont nous avons si- été représentée comme particulièrement
ô"
DÉOÎS
lu me, accusait déjà une baisse de 2,084,634 fr.
susceptible d'être améliorée ; l'organe du
Baron-Louis, 19. — Eugèue-Louis-Robert
rVeuve
Gaillot,
60
ans, née Anne Bar. —
gnalé l'arrestation, a dû o maDger le mor ;
Syndicat a été jusqu'à écrire que les saa sur le produit de 1896.
buyon, rue Claudot, 56. — Jean-JustinCnirurgien-Dentiste
Veuve
Bodeving,
82
ans, née Suzannee
ceau ». Sur ses indications, en effet, la poil- '
eC'est dans l'Ille-et-Vilaine que le cidre, sec
laires ne dépassaient pas 14 mark par seMaurice Dubs, rue du Ruisseau, 49 bis.
ec Wagner.—
Ernest Wagner, 41 ans, fabri- NANCY, 33, rue des Carmes, 33, NANCY,
ce d'Epinal vient d'arrêter un nommé Aln- ou mousseux, a les plus fervents amateurs3 :: (
maine, ce qui est notoirement faux, attenConsuliations : de 9 h. du matin à H h
DÉCÈS
cant de voitures. — Veuve Noël, 77 ans,
phonse D..., âgé de 21 ans. D'autre part, un
J
,e- chaque habitant s'en est offert, l'an dernier, ;
S
et de 2 h. à 5 h. du soir.
°seph-Marie-Camille Barbas, 46 ans, 1télégramme de Corcieux annonce qu'un nom- du que dans la manufacture de M. E. Ler, née Barbe Pièrnet, — Veuve Berger, 78
rk 136 litres, — 18 litres de moins, cependant,
lt '.
journalier, rue Clodion, 22. — Barbe- mé Henri B..., 25 ans, a été arrêté dimanche gris les salaires varient de 18 à 26, mark
.
ans,
née
Anne
Spurck.—
Frédéric
Gitzen,
u, qu!en 1897Françoise Angélique Prieur, 87 ans, sans soir, en cette ville, en vertu d'un mandat de par semaine, à la condition, bien entendu,
79 ans, journalier.—Veuve Jamann, 52
Profession, veuve Didier, boulevard Lo- M. le juge d'instruction de Mirecourt. Cela que les ouvriers ne manquent pas le lunn«*»
i
ans,
née Pauline Parfait. — Sybile Ar
di et môme le mardi. Mais il fallait un
nau, 19. —Catherine Tremmel, 68 ans,
la
Arrivons à l'alcqol qui écrase foutes les au;
u- nolds,
31 ans, cuisinière. — Chrétien
porte actuellement à sept le nombre des ar- 1
| prétexte pour agir sur l'opinion, et c'est
ist très boissons réunies. Alors, en effet, qu'elles
sans profession, veuve Bernard, rue d'Al
es Schang, 83 ans, ouvrier de fabrique. —
restations relatives aux exploits de la bande!
chose connue que les socialistes — car ce n'ont rapporté que 192 millions au Trésor, illaa François Jacques Karschina, 58 ans, mésace, 9. -Euphrasie Marchand, 85 ans,
Munsch.
re
sont eux qui, au iond, dirigent le mouve
jeté, à lui seul, dans les caisses de l'Etat
1
«ans profession, veuve Devaux, rue Pierat nuisier. — Veuve Mayer, 81 ans, née EliEplnal. — M. Boré est nommé hujssier du1 ment — ne sont pas très scrupuleux dans
DS 305,726,894 fr., — avec une augmentation de |
« tourier, 6 bit. — Marie-Thérèse Thénot,
de
sabeth
Ducamp.
—
Veuve
Masson,
86
ans,
s,
0 a
tribunal d'Epinal, en remplacement de M.• le choix dp leurs moyens lorsqu'il s'agit
ïit 33,422,130 fr. sur son produit de 1897, qui déns 4 mois, rue de l'Etang, 16.
é- née Sieiliev.
« <Dj^o d'honneur, deux médaille* d'or)
Chenat,
passait lui-m&me de 7,093,p78, (r. Qeîui de
de faire de l'agltatioû.
-f'
'
- Gérardmer, — Concert de l'Union musicale.
Les délégués des ouvriers accompagnés
és 1896. 'Quarante millions d'augmentation en
«ENNESSY et C'« - Cognacs /" marque.
~
exultations rie 9 t S hBo;Bi
N
■
«: A. BARBÉ, 13, rue Eugène-Ferry, Nancy.
ec deux ans t
On nous écrit :
de M. Siebert s'abouchèrent donc avec
« Fort gentille la soirée offerte dimanche3 M. E. Legris et lui soumirent leurs re•eDans la Seine-Inférieore, on a bu, l'an dersoir par l'Union musicale à ses membres ho-- vendications. Celles-ci partaient en. pre■e- nier, par tète d'habitant, 14, litres 88 d'alcool,
Ex-ilève de FK'-Juà dentaire de Porti
noraires. La salle de 'heà're du_Cagino, gra-- mier lieu sur une augmentation des
lès En 1897, qn n'y avait atteint que ie chiffre de
{Capital : 4 millions)
'PauHourç £atat-Jean, 3, NANCT
cieusement mise â la disposition de la Sociétéi salaires des ouvriers occupés au montage,
je,
13
litres
82.
(C'est
ce
maximum
de
14
litres
1 4 rue
rm?,,. *
Gambette, SAXCY
(tu lace les Magasins-Réunis)
ÎHÎ qui a été pris par le Congrès pour la moyenOMISES FANTAISIE HAUTE NOUVEAUTÉ par l'administration du Casino, présentait uni au finissage et aux machines i l'augmen^
Rectification. — Une erreur s'est glissée
je
U» 9 h, à 5 h. — Prix très modéré*
très joli coup d'oeil. Notre société musicalee tation demandée était de 10 à 30 p. 100
00 ne.)
——
—,«.
dans les cours que nous avons indiqués pour •
qui ne faiblit pas sous le bâton du dévoué cheff sur la plupart des articles; en outre, les
Puis viennent: la Somme, 10.60; le Calva- la Banque d'Alsace dans notre Revue des vaThéâtre municipal de Nancy
M. Gantz, a 'mérité les plus sincères applau-- ouvriers demandaient une demi-heure
ire dos, 10.20 ; l'Eure, 9.82; l'Oise, 7.98; la Seine, leurs locales du 17 avril. Des négociations
reauPTCt c e du jeudi 20 avril 1899. - Bu- dissements pour les deux ouvertures qu'elle
e
supDlémentaire,
soit
une
heure
et
demie
lie
8.65 ; l'Aisne, 8.50 ; la Manche, 8.45 ; le Pas- ont eu l^çu entre ^31 et 736 pendant la semaiRenr*'.. .beures 3/4 ! rideau, 8 h. 1/4. - a brillamment exécutées. Les chanteurs monres de-Calais, 8.1^ ; Eure-et-Lqir, 7.5|ft; laMayen- ne qui nous occupait. Les cours de 713 et 715 '
- d'interruption du travajl à midi ; d'autres
opéra o -tion du grand succès La Poupée,
n'ont pas été cotés.
tagnards, qui se faisaient entendre pour laa réclamations enfin portaient sur les amenSQ- ne, 7.28; Seinè-et-Olse, 7.21 ; le Finistère,
lOCfVTIDK 8£ BEUBLES ET LITERIE
*
rôles dp lMq, féericIue 611 quatre actes ; pan
rdonneau
deuxième
lois,
méritent
une
bonne
part
du
u des et sur le tarif des fournitures dites de 6.75; Seine-et-Marne, 6.02; Ille-et-Vilaine,
dran- ui,
> musique de M. AuDziri
Marché très terme. La facilité avec laquelle
théàtr,,
' Première chanteuse du succès ; ils ont exécuté trois choeurs, tous8 crépin.
5,99; la Sarthe, 5.88; les Bouches-du-F.hô,ne,
s
est
accomplie la liquidation a rendu du courûle rt'iu 8 Boufles-Parisiens, remplira le fort difficiles, avec un bonheur d'expressionn
me
5,48;
les
Côtes-du
Nord,
M2;
le,s
Ardennes,
Les pourparlers paraissaient en bonne
^QAlésia,
rage à la spéculation qui se lance à la tnusse
très remarqué ; les voix sont fondues et laa voie ; M. Legrjs avait consenti une aug/g- 5.41| le Nord, 5.12; l'Aube', 4.23; l'Hérault,
avec une ardeur nouvelle. Seul le compartiPis!^grands ballets réglés par Mlle Viola ; qualité des choristes remp'ace la quantité
ti
GUEHISOH
8 mentation notable pour les ouvriers ou
du 3^81; le Loiret, 3; l'Yonne, 19?: le Lqt-et- ment minier reste étranger au mouvement.
B40 C4lE
densTuso „ u,ère' P8' Mlle Gilardi, première pour le fini de l'exécution. Bravo 1 messieurs !
SU* noble.
! montage et avait également fait quelques
aes Qarqnne, L7|; le Lot, t« i le Gers, 0.99. (On
Banque de Paris. — Cette société prépare.
deux fois bravo !
ers remarquera avec plaisir qu'aucun de nos dé-. dit-ou, la création d'un grand établissement
concessions pour la catégorie des ouvriers
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a
Un jpune violoniste, Paul Pierré, élève dee finisseurs ; il avait aussi pris en considédé- parlements lorrains ne figure dans cette liste.)! de cédit en Espagne.
DE
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Près-midi, un médaillon ar8auI
Mlle
Marie
GanU,
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obtenu
des
applaudissel
ho,
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Produit
autorisé
spécialement.
■- ration les réclamations concernant les
Pour l'enbemble de la France, le Trésor a I Est algérien. — Le dividende sera cettee
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°fi;raphie d un vitillard à
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Renwifnemenls, t'idreuer chu le«
> amendes et s'était déclaré disposé à re- reçu 7 fr. 99 pour une consommation imposée; année de 3p k. Depuis 1892 il n'avait pas été
Saint-ipan
'^Porter 37, rue du faubourg ments sincères; dans Ja S^mphonio concerSte
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tante, de Daucla, l'assistance a eu "le plaisir
n,irez-de-chaussée. Récompense.
irlyjser le tarif sur les fournitures. Mais ces de 4 litres 88 par tète, — à laquelle doivent' supérieur a 27 fr. 50.
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Firminy. — On dit la société approvision•n-[EN VENTE DANS TOUTES LES, PHARMACIES
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JSip^pAnèmie
S -YINCENT-ot-ïN^
Mercredi 19 Avril
L'EST RÉPUBLICAIN
La police a également fouillé tous les J monoQ trnnvaît fin lfp*ni 911r lfl hnrrl rlil mes parents ont refusé leur consentement]
bois voisins de Versailles ; aucune indi j
à notre mariage, M
cation n'a été recueillie. A Bue, notam- J
ment, le brait de la découverte d'une tête I
de femme a circulé avec persistance. Del
UN CORPS DE FEMME DANS UNE VALISE (suite). nombreux
promeneurs, en rentrant à|
— Les recherches laites au sujet de l'af- Versailles, certifiaient môme le fait, mais j
faire mystérieuse de Boulogne n'ont en- tous ces bruits sont faux.
core donné aucun résultat.
Une nouvelle disparition a été signalée. I
La piste de Chaville, en ce qui concerne AMarnes-la-Coquette, une couturière âgée
Dans le portefeuille du malheureux, le trouvé la mort. Voici dans quelles condi- ;
les traces de sang, serait
de 28 ans, qui vivait maritalement avec
plusieurs bouchers faisant, le matin, des un journalier, a quitté le pays depuis le commissaire de police a trouvé quatre let- tiuns s'est produit ce tragique événement:
livraisons sur le chemin où ont été rele- 11 avril. Jusqu'à présent, on n'a pu re- tres, dont une adressée au magistrat, j Un petit détachement faisait route vers
Georges Riché, disant qu'il se suicidait le Sud. A une étape à quelques kilomèvées les taches, ayant déclaré qu'elles pou- trouver sa trace.
| très de Ghardaîa, on campa dans le lit
vaient provenir de leurs voitures.
Les agents ont fouillé minutieusement | pour des raisons d'ordre intime.
Toutefois, comme une certaine quantité tous les garnis de Versailles et se sont j Quelques instants après, on repêchait d'un petit oued (torrent) en dépit des
: prescriptions du commandant qui avait,
de ce sang a pu être recueilli, il sera ana- rendus chez diverses blanchisseuses. Tou-!
au contraire, ordonné d'établir les tentes
lysé pour voir si c'est du sang de bête ou tes ces recherches n'ont fourni aucun élédu sang humain.
ment nouveau à l'enquête.
j
Le sous-officier, on caporal et quatre
Une fille Blanche R,.., dont la dispari| hommes, furent surpris pendant la nuit,
LE
DÉSESPOIR D'UN SAPEUR-POMPIER. —
tion avait été signalée au Grand-MonOn a trouvé sur elle une lettre dans la- alors qu'ils dormaient, par un torrent
treuil, a été retrouvée à Gif, petite localité
» a * ans, en idi,© le numeiu i uu <-ju.di jciii- quelle elle disait : « Je me suicide avec d'eau descendant précipitamment à la
du canton de Palaiseau.
FAITS DIVERS
j
j
suite d'un orage récent rjul s'était produit i
LHUilîiiUA j ({Ul HYîiiL lu
{rrauu
06 BOUS-Olii^
gnau : Les époux Casteii, demeurant dans)
un appartement situé au troisième étage
d'une maison de la rue du Sentier, au ?EIT T '--r:-*"'- ^^ci^r -:;::^wi bu.Tt:!«f»M
• ^
ï-m :^. -; t'!Ps««ïï:: w
quartier Saint-Jacques, avaient laissé TT»
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«f^^^.sr i, _r,:t**
seuls dans leur lit leurs enfants, âgés l'un
de onze ans, on autre de sept ans et un
troisième de onze mois,
Le père était à son travail et la mère
causait avec des voisines, quand, on ne, • Uto»Pour «tir,
sait comment, le feu a pris au lit où se
lé0B
SOULETTÊTà^T
trouvaient les enfants.
Quand on a pénétré dans la chambre, I Naiey. — Imprimerie cooDér~H—'
l'un des pauvres petits était déjà mort,
*
<■■<■:<■">
——a—j hôques pouvant grever la parcelle de!
errain ci-dessus désignée :
Pour insertion :
e
Etude de M Georges GRILLOT, licencié
L'avoué de la ville de Nancy,
en droit, avoué près le tribunal civil
_
de Nancy, demeurant en cette ville, ■
rue Saint-Dizier, 83.
^niltlIPÏ&PO est demandée par Mme I
JUUIUI ICI tï LETERTRE, rue Saint-]
ïeorges, 45.
Utilité publique
Loi du 3 mai 1841
Négociant de Nancy exploitant une ï
spécialité lui rapportant un bénéfice net E
de 10,000 fr. par an, désire trouver as-1
socié avec apport d'environ 20,000 fr. B
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adjoindre autre spécialité. AncienP
ne maison très connue.
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S'îidresstM' à NI. Vnssr. rds
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Dizier,
89, Nancy. •
INSERTION LEGALE
Nous confions sux bons soins de nos clients nos syphons, ainsi que nos
nouvelles bouteilles américaines (système du The General bottle seale
Syndicale, breveté et enregistré sous le numéro 171.416 au Ministère du
commerce de France.
Ces verres, qui portent la raison sociale s HUMBERT Frères »,
gravée ou moulée sur leur flanc, sont la propriété exclusive et inaliénable do notre maison. — Ils doivent toujours nous être rendus à nousmêmes et ne peuvent, en aucun cas, être échangés ou revendus par qui
que ce soit.
Nous prions les particuliers, détenteurs de syphons et bouteilles, de
bien vouloir les déposter chez les épiciers et limonadiers ou débitants les
plus voisins de leur domicile.
j
Trllaiii te vmm la îmf
Purge d'hypothèques \
Par son jugement du 17 avril 1899, le J
:ribunal de ce siège a déclaré en état de I
aillite, ouverte provisoirement à dater;!
ludit jour, M. MONIOT, limonadier, de> meurant à Nancy, rue Stanislas, 5.
U anomméjuge-commissaira M. Bour- '
nique, l'un de ses membres, et syndic
provisoire M. Gabriel Bloch, demeurant
à Nancy, rua des Carmes^ 9,
Aux termes d'un acte de vente reçu
par M" BAUDOT et GERARDIN, tous
deux notaires à Nancy, en date des
31 mars et 6 avril 1893, enregistré,
La ville de Nancy, représentée par
M. Pierre Guérin, propriétaire, ancien
président du tribunal de commerce, I TtPMiinP un jeune homme
M U&aAnUÛ de li à 18 sns pour faire
chevalier do la Légion d'honneur et
l'un des adjoints au maire de la ville les courses. S'adr. au journal, 921.
de Nancy, y demeurant ; agissant en sa
|ni|ûj3 chambre et cuisine.
dite qualité d'adjoint par délégation de
lUuSl 20 fr. par mois. S'adresser rue
M. le maire, en date du 18 mai 1896 et
en vertu d'une délibération du conseil Charles III, 121, au 2'.
municipal de Nancy, en date du 5 mars
1897, approuvée par M. le préfet, le
18 août suivant,
écurie et remise, à T&uer. S'adr. chez
A acquis pour cause d'utilité publiM. SAUMIËR, tapissier, Au coin de
que de : M. Charles-Isidore Lefort. enSaint-Roch, Nancy.
trepreneur de travaux publics et dame
Marie-Joséphine-Alice Linique, son
■■ ■
■■■
épouse, de lui assistée et autorisée,
M. Louis LEBLANC, rue du Duc-1
demeurant ensemble à Nancy,
Raoul, 9, prévient le public qu'il ne réUne parcelle tic terrain, sis» pond pas des dettes contractées par sa
à Nancy, chemin des Sœurs, section A, lemme, née IJerthe PAIVIiV.
n" 422 du plan cadastral à réunir à la
voie publique, par suite d'alignement, Ajiekesusio lïjïïjtfoï* SÏEïïTïvT
d'une surlace totale de cent cinq mètres
carrés vingt-quatre décimètres carrés.
Telle que la dite parcelle s'étend,
Couvreur-JlrcLoisier
poursuit et comporte, et telle d'ail- TOITURES EN TOUS GENRES
leurs qu'elle figure sous une teinte jauTuiles, Ardoises, Terrasses, etc.
ne, limitée par les lettres a, b, h, i, e, Actuellement : 5, rue du Pont-Mouja
c, d, en un extrait du plan d'aligne- NAXCY ment de la ville de Nancy, lequel est
___________
demeuré annexé à l'acte de vente.
La ville de Nancy est entrée en jouissance de la dite parcelle, depuis le 6
avril 1899.
,
,
Bile s'est obligée : à prendre la dite
Ruâmes
;|- dans son état actuel, à souflrir
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AVIS AUX DAMES
;Pas de corsages parfaits sans
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lîrtïvctéS. fi. I». G.
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spéciale permettant de modifier et développer la
poitrine en lui donnant un aspeet gracieux, indiquant
d'une faeon merveilleuse les lignes du corsage et la
fine e de la taille.
Par sa souplesse, sa légèreté et le fini de sa fabrication il se recommande à la toilette des Dames.
Eu vente chez;
§ m
I Bron-ÉIfe,
1 fstbia,
les servitude passives, apparentes ou
occultes, continues ou discontinues qui
neuventou pourront grever la dite parcelle, sauf à s'en défendre et à profiter
de celles actives s'il en existe, la tout à
ses frais, risques et périls, sans recours
contre les vendeurs ; à acquitter les F
impôts et contributions de toute natu- Bn'est plus rien si l'on connaît la viaiegg
re auxquels la dite parcelle est et pour*, gspéoialité qui convient à ces maladies.H
ra'ètre assujettie, à compter du premier ■Lu science a réalisé un immense progrèsH
janvier 1899, enfin à payer les frais et Ben nous dotant des
honoraires de la vente.
Cette acquisition a été faite moyenB au gaiacol, morrhuol et codéine ||
nant le prix principal de six cent tren- Ksi supérieur» a toutes les pastilles ettj
te et un francs quarante quatre centi- Mpàtes et dont une boîte «rafttt lors-g
i^-s que la ville de Nancy s'est obligée jfqu'on prend la maladie au début. Em-g
HP navr""
aux vendeurs aussitôt aprè^ Hplnyez ce produit sérieux et eflicaee etS
?Lco?npliss.^ent des formalité, de ravous n'en voudrez plus d'autre. Usage»
transcription et a.) P^ge, avec les m- «facile et agréable. 55.000 guérisonsH
Iconstatéos en un an. Recommandé par»
térêts au taux de quatré Mpr cent an Blés docteurs.
à compter du jour de. 1 entrée su puisDéeôt Général : ,
sance.
gpnarraaeie A. THELIEZj
Les anciens propriétaires autres que
SAINT-OMEH (Pas-de-Calais)
H
les vendeurs actuels, étaient : M M Envoi FRANCO contre valeur en tim-M
Eugène Cahcn dît Nathan, proprié a iv Mires-poste dans les localités où U n'yJB
et Mme Louise-Thérèse Cauen dit Na- tàti pas de Dépositaires.
than, son épouse, demeurant ensemble fh*llW î fca boîte jl'essaî, 4 ft>.S5g
t-a granile boîfe, S* francs. B
à Nancy ; Mme Charlotte Auscher, pro- W
■ Dans les localités ci-desso-as, s'a4resserH
priétaire, demeurant à Nancy, veuve de Baux pharmaciens désignés :
M Arthur Cahen dit Nathan ; Mme Ces- i NANCY, GUÉVBL, r. St-Dizler, MONAL.H
cile-Elie Cahen dit Nathan, épouse de Ir. des Dom.; NEUFCHATEAU, RICHERT ;H
M Roger-Marx Marx, chevalier de la mVEZÈLISE, COLLIV ; ST-NICOIAS, ROL-H
Lésion d'honneur, inspecteur principal ÏLIN ; REMIREMONT, LANGLOÏS ; COUM
B
îles Musées au Ministère dm Beaux- W.KERCT. OMNOT; ZELLEH, ph. ÏOUL.
Arts avec lequel elle demeure à Paris ;
la communauté Arthur Cahen dit Nathan-ÀUScher ; les hospices civils de
30,000 fr. à mettre de côté par an!
en prenant suite d'un commerce de gros
Nancy.
Il est déclare' qiî3 la présente publi- très facile à gérer. Affaire de 1" ordre.
cation est ainsi faite en conformité des Un capital de 20,000 fr. suffit.
S'adresser à M. Vassé, rue Saintarticles 13 et 19 de la loi du 3 mai 18*1,
à l'eflet d'arriver à la purge des hypo- Dizier, 89, Nancy.
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HOMME marié, chargé de famille,
sérieux, demande place dans borne
maison, garde de propriété ou ,",?!B'Ji
de peine, de courses, ou d'expéditions,
muni de bons certificats.