1 - Kiosque Lorrain

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Transcript 1 - Kiosque Lorrain

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Juillet
13
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1911
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Téléphone :
3.21 -10.37 - Imprimerie 3.09
GRAND
JOURNAL
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ABONNEMENTS :
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Les Décorations au 14 Juillet
MILITAIRE
Active, Réserve, Territoriale
———
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Sont promus au grade d'officier dans la
Lésion d'honneur :
infanterie. — Daguzan, chef de batailLon au 155" ; de Mal glaive, chef bat. 100e ;
KOPP, colonel 162°.
Service d'état-major et de recrutement.
_ catherinet, offf. administ. principal 6e
I
Chasseurs forestiers. — Forget, lieut.col. territ., conservateur à Nancy.
Service de route. — 6° région sanitaire,
méd.-maj. réserve, 6» région, Meyer, med.major territ. <!0* région.'
Médaille militaire
Les Incidents
Une grève tragique
du Maroc A Paris, un non-gréviste
se défend et tue
diplomatiques un charpentier qui le frappe
Deux maçons briqueteurs,
les frères
Bruneau, qui, leur journée finie, sortaient
de la station du Méiro-Âubervilliers, vers
8 heures du soir, furent assaillis par une
dj::aine de grévistes.
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" en^etien hispano-fronco-anglo!
Frappés et terrassés, les non grévistes
allemand
1 se défendirent. Soudain, un
des frères
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SÉB STIKN 12
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billet. - Le minis- Bruneau sortit son couteau et en frappa
«? „n * ^V-"* étagères d'Espagne a son adversaire le plus acharné qui moumanTJ"^0" avec Tan.bas..ad,Hur W ! rut peu après.
Les deux frères allèrent ensuite se consd affuh
de FtaAC
iiiuer priiu'iiiiers.
Nouveaux débarquements espagnols
' Ro/jIMCH?.',n i»iJ1«*-— Le vapeur Viconteet?nî.46hanIué 300
S0 rauièis
et
quatie canons de montagne.
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*nce demande des explications
à l'Espagne
fran^fj 11 3uin»t- — Le gouvernement
( faff a envoyé à M. Martin, chargé
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au
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0 Prior de communiquer
*mcnt espagnol des observasu et des derI
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iiers incidents d'El-
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Les colonnes françaises
Soto^S**.11 Juillet. — La marche de la co{ nie , -TOinior, les 6 et 7 juillet, s'est opéincideri
i Çues s
t sérieux. Quelques atta31
"""" Bav 6 *mP0I'tanee ont été ropoussées.
Les détails de la bagarre
Voici des détails sur cette tragique bagarre ;
....
Les frères Bruneau sont originaires
Les deux plus âgés, Pierre et Jean, travaillent depuis longtemps à Paris de leur
métier de maçon.
Pierre est âgé de 31 ans. Il est marié
et père de deux enfants. Sa femme est
une courageuse ménagère, qui, en dehors de son travail à la maison, fait des
heures de ménage dans le quartier. Jean
est l'aîné de deux ans. Il s'est marié l'an
dernier et a un enfant.
Le plus jeune, Christophe, a terminé
seulement l'an • dernier son service mili-
Le»
* j? MANŒUVRES ANTIMILITARISTES
^°urcard, juge d'instruction, a interarroteau
aa-rêté
» conseiller prud'homme,
Bai'rni0Ur ProPflS|urde antimilitariste.
des m
a reconnu qu'il avait envoyé
toute in dats et a ajouté qu'il en prenait
l* responsabilité. — Havae.
Les trois frères travaillent toujours ensemble. Ils ont toujours refusé de se syndiquer, mais n'ont jamais consenti néanmoins à travailler pour un prix inférieur
aux tarifs syndicaux.
Néanmoins, ils ont toujours été considérés par les syndiqués comm» des renégats, des renards.
Mercredi donc, vers huit heures,
les
j P«» ut • " CHOLERA
trois hommes sortaient de la station du
ts qu'yn S • 14 juilet. — Le bruit a couru Métro pour regagner leurs domiciles.
[i du ii]a^s,(1» vholléra s'était produit rue
Sur le boulevard, Théodore rit la reoutorj
00 bruit est faux
marque qu'une quinzaine d'individus lui
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paraissaient les guetter.
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COMPAS DE MARINE
—. Il m© semble, ajouta-t-il, que ] aper<;n
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*® vaisseau Lernerre vient ■ çaois quatre ou cinq camarades de chanf C(
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— Rentre chez toi, gamin, se contenta
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do lui répondre Jean. Tu vois du danger
et
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.d'indiquer le partout.
Les trois frères marchèrent encore ens&mble pendant quelques minutes, puis
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^ variation et des compen- Théodore les quitta rue de Flandre, ou
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«i?. ^'ën^P.nt dès lors inutiles. - il habite au n° 47.
nftU Dlug loin, Jean entra dans urre J
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maison en construction, où il a\«it récemment travaillé, pour y prendre un
outil qu'il avait oublié.
Il en ressortait lorsqu'un homme s'avança vers lui et lui plaçant une carte de
syndiqué sous le nez, lui dit :
— Tiens, renard ! Tu ne pourras pas
en montrer autant.
— C'est possible se borna à répondre
Jean Brumeau ; mais je suis pressé d'aller à la soupe. Laisse-moi donc passer.
Alors le syndiqué crachant dans la direction de Bruneau, lui cria :
— Mange-là bien, ta soupe. Mange-là
pour ceux qui n'en ont pas à donner à
leurs gosses.
Là-dessus, les deux frères Bruneau continuèrent leur chemin. Mais, rue de Joinville, ils furent soudein entourés par une
dizaine de grévistes, qui se jetèrent sur
eux à coups de poing, à coups de pied.
Pierre tomba, assommé d'un coup de
poing à la tempe.
Jean lutta seul, mais il fut à son tour
terrassé. Son frère se traîna jusqu'à une
pharmacie.
Jean se releva. Son principal adversaire, un charpentier, chercha à le saisir de
nouveau. Mais Jean Brinneau, seul contre
10, se croyant en danger de mort, et
croyant son frère gravement blessé, sortit son couteau et frappa.
La lame entra dans la gorge de son
adversaire, qui tomba et mourut quelques
secondes après, pendant qi»e se? camarades le transportaient dans une pharmacie.
Jean Bruneau s'enfuit, et, on l'a vu, alla
se constituer prisonnier. — HavasLa grève augmente
PARIS, 12 juillet. — Les modeîenrs et
ornemanistes se sont mis en grève. Toutefois, dans le vote, il y a eu beaucoup
d'abstentions.
Les socialistes et la paix
PARIS, 12 juillet. — Un grand meeting
pacifiste a été organisé, hier soir, au manège Saint-Paul.
MM. Colly, Lauche, Vaillant, Sembat,
Thomas et un délégué des socialistes allemands ont pris successivement la parole.
L'assemblée a étudié notamment un projet de meeting o des orateurs français et
allenKinds échangeraient leuns vues respectives sur Agadir et le Maroc.
Un ordre du jour condamnant la politique actuelle au Maroc et exprimant le désir qu'il n'y ait pas conflit entre les puissances a été voté.
Infanterie. — Frômy, adjud. 26* rég.;
C
°Gendarmerie. — Lecole, chef d'escadron Lauffenburger, adjud. 26° rég.; Peyronny,
6» légion.
-*
adjud. 37e ; Schneider, adjud. 69' ; JacArtillerie. — Tumezie, colonel du 6Cr.
q'iot, adjud. 69° ; Poncet, adjud. 94* ;
Sont promus au grade d'officiel- dans 'la Goutteux, adjud. 146* ; Molinié, adjud.
réserve ou la territoriale :
146* ; Govet, au 155* ; Claudel, adjud. 3*
Services de santé. — Paroys, med. prin- bat. ohas.; Durochani,
sergent 9' bat.
e
cipal të° cl. armée territoriale 6
ré- ches.
e
Steff, adjud. 15 bat. chas.; Glérac, adj.
gl
Sont nommés chevaliers (armée active) : 19* bat. de chas.; Chatillon, adjud.
19°
e
Infanterie — De Sandt, cap. 26 Lof.; bat. chas.; Gérardi, serg.-maj. 20' chas.
Lepage, cap. 37° ; Clément, cap. au 37" ;
CavaJerie. — 3e chas., Sachi, m. logis ;
Monthciliard, lieut. 37° ; Féiy, cap. 79» ; 4* chas., Germain, maître d'armes ; MaBedin cap. 79" ; Jully, cap. 94' ; Dubuis- this, maître maré&hal-ferrant ; 12° chas.,
son, cap. 94° ; Ronce de Guiseuil, cap. 94"; Maurel, m. logis ; 17° chas., Têtu, adjud.;
QLaudot, cap. 150e ; Allés, cap. 150» ; Ha- 18* chas., Parlié, m. logis.
vard, cap. 152" ; Rouzade, cap. 152e.
5* huss., Schoer, m. logis ; 8* huss.,
Matter, cap. 153° ; Dausque, cap. 153" ; Kieffer, m. logis.
e
Maury, ca,p. 155 ; Vincent, cap. 156° ;
Gendarmerie. — 6° légion : Canin, m.
Pasnet.cap. 2" bat. chas.; Favior du Noyer logis chef ; Munier, m. logis ; Duchenoy,
de Leschéraine, cap. 3° chas.; Dalloz, cap. m. logis ; Desserrey, m. logis ; Sommé,
4° bat .chas.; Mouillet, lieut. au 5° chas.; Chaudey, Comte, Mignot, Poulet,
NiarWinsbach, cap. 10e chas.; Gaspard Michel, gaud, Gilbert, gendarmes.
5
e
cap. 10 bat. chas.;. Rauscher, cap- 10
7" légion. — Crétin, adj. ; Dubail, mai*,
chas.; Basson, cap. 15' bat .chas.; Martin,
logis chef ; Mesmer, mar. logis chef ; Lecap. 158».
cornety, mar. logis ; Payer, mar. logis ;
Chef de musique. — Lacoste, chef de mu- Muneret, mar. logis ; Guion, Quentey, Gosique 1" cl. au 5e d'artillerie.
net, Viard, Py, gendarmes.
Cavalerie. — 8e drag., Berthe de Pomme20" légion. — Gérard, mar. logis ; Serot,
ry, capit. corn. ; ize dragons, Atlain, capitaine ; 4e ehaiss., Adam," lieut. ; 12° chas., mar. logis ; Michel, Royet, Bourgeot, Gaillet, Gaillant, Maîtré, Karelier, gendarEspagne, capit. ; 17e chas., Belabre, lieut.; mes.
5e hussards, Bardi de Fourtou, major.
Employé militaire. — Poulet, direction
6° huss, Bary, capit.-com. et Bonnaud,
Toul.
lieutenant.
Artillerie. — Hlrrard, adj. 6* à pied ;
Vétérinaire militaire. — Génin, au 17"
MarigoLd, 40" art. ; Pastié, adj. 61* ; Bilchasseurs.
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Gendarmerie. — (3f région, Castin, lieut.; leau, l* ouvrier bourrelier, 61".
Commis et ouvriers. — Hannin,
ad20» légion, Boquet, capitaine.
Artïllrne. — Cormier, capit. 41e div inf. judant 7" région ; Combes, adjudant 20* ;
Cailleteiau, adjudant 20* région.
RemiremoRt ; Uuillou, cap. 60" ; Henry,
Secrétaires d'état-major et recrutement.
cap. 61* ; Pierron, cap. til" : Boilly, cap. 62";
— 7", Guénot, adjudant
de Bonnerult, cap. (>2e ; Petal, 5* à pied.
Réserve et territoria.le. — Artillerie. — ECOLE D'ADMINISTRATION
Officier d'administration, — Bisch, conGenay, adjudant Toul.
MILITAIRE
trôlear d'amies â. Verdun.
Douanes. — Vannesson, sous-brigadier
Employé militaire. — Mougenot, direcSous-officiers admis à prendre part aux
à Nancy.
tion Epihai.
épreuves orales du concours d'admission
Chasseurs forestiers. — Pairise, briga- à l'école d'administration militaire {secGénie.— Officier d'administration Kirsch,
dier à Rouvres-en-Xaintois.
tion C) :
à Nancy.
Infanterie. — Grinialdi, adjud.
153* ;
6" corps. — 6* bat. génie, Verger, serIntendance. — Hoffmeyer, s.-int. 3e cl., à
Fage, adjud. au 161* ; Barbar, sergent 41* gent major ; Hugot, sergent
Longwy.
P" cl- au 41" territ;
7" corps. — 7* bat. génie, Montalon,
Alexandre, du 20e corps, â Nancy ; Pé- territ; Braun, soldat
Boxberger, soldat lr* ol. 41* territ.; H.a.s- Viénot, sergents.
ché, b° région.
20* corps. — 20* bat. génie, Volmerange,
Service de santé. — Bonnette, major 39* selv/audej-, soldat P* cL 41* territ.; Georges, adjud. 42* territ; Bernard, soldat lr* serg. major ; Vivier, sea'gent. — Havas.
artil. ; Lemarchoud, major 155".
cl. 42° territ.; Férey, soldat lre cl. 42"
Réserve et territoriale. — Chevaliers :
r
e
Au Maroc
Infanterie. — Bourgeois, chef bat. 7* ré- territ.; Kinder, soldat l " cl au 42 territ.
ORehmor, soldat V cl. 42° territ.
gion ; Chanour, lieut." rés. région de.NeutT ANGER. — Des ca s de peste sont signaGendarmerie. — 6* légion, Fèvre, Var- lés aux environs de Mazagan. Plusieurs
chàteau ; Mathis, lieut. 17e bat chas. ; Albert, chef bat. 42e territ ; Vinceat, capit. ie!, gendarmes ; 7* légion, Moissenot.gen- douars sont atteints. Il s'agirait de la
dairane.
43"terr. ; Didier, cap. M» territ.
jpeste bubonique.
Infirmiers militaires. — 7e section, PerCavalerie. — S" dragons, Gendarme, caFIN DE LA DEBNIRRE HEURE
rey, sergent de réserve.
pitaine.
Ls général Galliénl
Service éventuel des remontes. — Vatel,
IçrCZISlinSMUKKKtOS^ÊBaTXWÊnMnnJXMMIMSKl^^
capit. terr. caval. 7* région.
Par décret rendu sur la. prwosit.ion du
Voir page 2
Artillerie. — Rouiller, cap. rés. 61" régi- ministre de la marine, la médaille miliUN
DRAME A
DOMÊVRÊ-SUR VEment ; Duplay, chef escad. territ. dii. Epi- taire est décernée au général. de division
n
ZOUZE.
*l ; Rigault, cap. territ. service spéciaux GaMiéni, des troupes coloniales. — Ha<1« la 6* région.
vas.
Les conversations
ZI
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* Ma
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On parle beaucoup depuis quelque temps
du miariiage de l'archiduc Charles-François-Joseph (qra est l'héritier du tr&ae autrichien après rairchiduc François-Ferdinand) avec la princesse Marie-Zita de
Parme.
D'airchiduc Charles-FrAnçois-Joiseph, fils
de l'archiduc Othon et petit-neveu de
rempereur, est né en 1887. La princesse
Zita" est née en 1892, elle est la- sœur du
duc Henri 6» Parme.
Le doyen des centesiaires hongrois, un
ancien raMnn nommé Isaac Reich,
est
mort à Szamoskrasse, à l'âge de cent dixs-r-pt ans. Il laisse une fortune considérable.
—
♦ • ■»
RÉGION
PIERREVILLE
Bras broyé. —- Le jeune René Gerdolle,
âgé de 13 ans, était occupé à passer de la
semence de navette sous une machine à
battre. Ayant avancé la main droite, celleci fut prise sous les cylindres.
Aux cris de l'enfant, ta machine fut arrêtée aussitôt et il fut dégagé. On constata
alors qu'il avait la main et l'avant-bras
broyés. Un médecin fut appelé, il lui posa
un appareil et il ordonna son transport a
i hôpital de Nancy.
M. Nicole, cultivateur, chez lequel l'accidént est arrivé, en est vivement affecté, et
s'est engagé â assurer l'avenir du jeune
Gerdolle.
VIVIERS-SUR-CHIER8
Démission. — te garde champêtre de
la commuaie
de Viviers-sur-Chiers, M.
Dargent, vient de donner sa démission.
CONFLANS
Abus de confiance.— M. Charles Thisse,
boulanger à ConllaDS, recevait l'autre mutin la visite d'un individu qui lui disait :
« Je suis envoyé par mon patron Hottier,
le fermier d'Ebany, que vous connaissez
bien, pour prendre chez vous un pain de
3 kilos. Not' maître a dit aussi que vous
me donniez l'argent nécessaire pour acheter du rhum aux Comptoirs Français.
A l'appui de ses dires, le visiteur exhiba à M. Thisse usn papier signé Hottier.
Sans défiance, le boulanger remit à l'individu le pain demandé et alla lui-mêmo
chercher aux Comptoirs Français le rhum
qu'il lui confia.
L'homme remercia et partit, mais au
lieu de se diriger vers É-bany, il prit la
route d'un village voisin. Ayant rencontré
une femme, H lui demanda* si elle voulait
acheter ses provisions,
Informé die ce fait, M. Thisse s'enquit
et apprit qu'il avait été victime d'Uîî es-
croc»
L
8711
Avez-vrms remarqué que chaque nouveau ministère est salué par la déclaration d'une grève, à moins que ce ne
soit de plusieurs ? Il semble que le
remaniement du personnel gouvernemental soit le signal d'un chômage général ou partiel. Ah 1 les ministres arrivent au chantier ! Eh bien ! nous
nous en allons.
Ce n'est peut-être pas fait exprès,
mais ça en a tout l'air. On n'enlèvera
pas de l'idée de quelques républicains
que c'est une coïncidence assez fâcheuse et qui se répète trop fréquemment.
Le ministère Clemenceau détînt assurément le record des difficultés initiales de ce genre. Il y eut grève au
Nord, au Midi, à l'Est et à l'Ouest. Le
président ne fut pas autrement surpris. Il s'y attendait et l'avait prédit à
ses amis.
— Il y a un tas de gens, déclaraitil, qui ne veulent pas que je prenne "e
pouvoir. Si je l'accepte, ils sont prêts
à tout. Avant même que j'aie réuni le
premier Conseil, j'aurai sur les bras
tout ce que peut soulever de révolutionnaire un mécontentement bien organisé.
Cola advint ainsi de point en poinl
Clemenceau,son feutre gris légèrement
incliné sur l'oreille, partit chez les mineurs du Nord, assisté seulement de
son secrétaire, et leur tint des raisonnements de père de famille. Il en fut
pour ses raisonnements et s'en revint
convaincu que contre la colère d'une
foule la logique est bien peu de chose,
S'il avait consulté sa philosophie. U
m'aurait pas tenté l'expérience. Mais i!
avait cru entendre la voix du devoir.
Pour le récompenser de son courage
on lui jeta dans les jambes les vignerons du Midi, et cela finit assez mal.
M. Caillaux, moins en vue .bien que
depuis longtemps tout le monde ait
songé à lui pour la direction des affaires publiques, n'a que la grève du bâtiment. Il est vrai que cette grève louche Paris et la banlieue.
Si Paris a les moyens de s'opposer
aux forces révolutionnaires, au cas où
la conciliation échouerait, il faut cousidérer aussi que les violences y sont
plus dangereuses qu'ailleurs parce
qu'elles ont un plus grand retentissement. Les colères de Paris sont terribles. Heureusement elles sont en général de courte durée.
Sur 25,000 ouvriers 18,000 chôment.
C'est une énorme majorité, et il est
probable que le travail cessera bientôt à peu près complètement si une
solution heureuse n'intervient pas.
A la vérité le bâtiment n'est pas une
denrée immédiatement indispensable à
l'existence d'une nation. On peut vivre des jours, des mois et même touk
une année sans maisons nouvelles. On
se contente des anciennes,tomberaientelles en ruines.
Aussi n'est-ce pas là qu'est le danger. Le danger est dans l'état d'esprit
des corporations qui travaillent au bâtiment. Ces corporations sont pour la
plupart impatientes et turbulentes,
promptes a l'excitation. Le .moindre
incident entre ouvriers qui veulent chômer et ouvriers qui désirent travailler
prend des proportions effrayantes. Les
coups tombent dru. La machine à bosseler et la chaussette à clous furent,
sauf erreur, sinon inventées, du moins
mises en pratique par les grévistes du
bâtiment alliés à leurs amis les grévistes du terrassement. La chasse aux renards fut aussi inaugurée par eux.
Il y a donc dans la grand'ville des
échanges sans cordialité, des coups de
poing, des coups de pied.
Si cela se termine ainsi, passe encore. Le communiqué officiel déclare
que toutes les mesures sont prises en
vue d'assurer la liberté et la protection
du travail. Il est possible qu'on le
croie. Maison ne peut tout prévoir, et
la police, même lorsqu'elle est dirigée
par M. Lépine, n'est pas partout à la
fois.
Le ministère Caillaux traverse donc
l'épreuve normale, qui est une grève.
Celle-ci ne paraît pas, bien qu'elle affecte Paris.et quoi qu'en veuille l'Union
des syndicats, avoir une
importance
bien redoutable. Elle a plutôt la figure
d'un rite. Elle se dessine sur le mur
de l'actualité comme une ombre chinoise. Souhaitons qu'elle ne fasse pas
plus de bruit.
Au fond, on ne s'y intéresse guère.
RENÉ
KERC1ER
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tops, toace-Lorraine et Luxembourg, s'adresser aux bureaux de l'Est.
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On croirait que les Parisiens se disent :
— Ma foi, si ces gens-là ne veulent
pas bâtir des maisons, c'est leur affaire. Moi, j'ai un bail de trois-six-neuf.
Qu'est-ce que ça peut me faire que les
n
maçons ne gâchent plus de mortier et
q
que les charpentiers ne soulèvent plus
^
de poutres î
Le raisonnement est égoïste. Il n'en
r
reste
pas moins juste pendant quelq
ques
jours.
Cependant il ne faudrait pas trop se
fj
fier au calme relatif de la grève. Un
r
rien peut tout bouleverser. La prudenc
ce
avant l'explosion vaut mieux que
\l'énergie après.
Le cabinet de M. Caillaux n'a eu dès
ssa naissance que des félicitations. Voi1, déjà pour lui et pour M. Augagncur
là
i:une occasion de les mériter.
LÏPETIEIIIE1
NE
PREND FIN ^
LA CLÔTURE
A
LA
CHAMBRE
■
—
SÉAKCE DU MERCREDI 12 JUILLET (MATIN)
La séance est ouverte à 9 h. 05, sous
la présidence de M. Lren, l'un des viceprésidents. On discute le budget. M. Chéron expose les divergences entre la Chambre et le Sénat. La Chambre adopte, pour
l'organisation du réseau des chemins de
fer, le texte du Sénat que sa commission
avait proposé.
Mais elle rétablit, par 302 voix contre
270, l'article limitant à 15,000 fr. le proRené MERCIER.
duit net des perceptions, article qui avait
^>-^-^>—
été disjoint par le Sénat
La Chambre rétablit également l'article
permettant aux maires d'autoriser les loteries pour les têtes communales. On adopte
l'article assimilant à la paternité legate,
Le discours de Selves et l'opinion
au point de vue de la loi de 1905, la charallemande
ge de quatre ou six enfants.
BERLIN.— Le discours de Selves à la
• La Chambre rétablit également l'article
(
Chambre
française a été bien accueilli relatif à la suppression des timbres-pridans les milieux gouvernementaux, où
mes. L'ensemble du hudget est voté par
0
on déclare s'inspirer de sentiments analo- 517 voix confie 75.
gues à ceux exprimés
par le ministre
La Chambre adopte, par 453 voix contre
f
français.
— Havas.
50, le projet d'acquisition de l'hôtel Biron.
Une lettre de Moursi-Hafid
Elle ajourne la discussion sur les logeMoulaï-Hafid a adressé aux gens de Tan- ments insalubres.
^ger
La séance est levée à 11 h. 25. — Havas,
une lettre dans laquelle il rappelle la
irévolte des Berbères, finvestissement de
Éf SEANCE DU MERCREDI 12 JUILLET 1911
Méquinez
et le siège qu'il supporta, à Pez. 11
;
La séance est ouverte ù trois tieures.sous
attendit vainement les secours de la mehal- la présidence de M. Brisison.
la des Aouz. Le sultan s'attache ensuite à
On adopte un certain nombre de pro*Expliquer que les secours qu'il a sollicités jets de loi déclarant d'utilité publique
des étrangers ne heurtent aucunement la des travaux de restauration des terrains
j musulmane.
loi
en montagne.
Il ajouts qu'il faut tenir compte de la préOn adopte également une loi étendant
cision des machines de guerre françaises, le bénéfice de La loi du 17 juillet 1908 aux
de l'industrie et d'autres considérations du élèves de l'Ecole Polytechnique.
imême genre.
Les tribunaux pour enfants
Le sultan rappelle les dêlaites des rebelOn discute la loi sur les tribunaux
les, ta tranquillité rétablie dans ie pays ;
jil invite les gens de 'l anger à participer a pour enfants et sur la liberté surveillée.
at Paul Beauregard parle dans la disi joie générale et demande à Dieu de perta
pétuer la protection qu'il accorde à son cussion générale.
L'orateur rend nommage à l'esprit gépays. — Havas.
néreux qui ;i inspiré la loi.
L'enfant âgé de nioins de treize ans ne
mérite aucune peine, puisqu'il manque
de discernement. Mais.il fait des réserves
La latrie publie, sous les plus expresses sur la liberté surveillée.
L'orateur formule un certain nombre
réserves Ja dépêche suivante, qu'elle dit wnir de l'Agence Beuter, de Londres :
de critiques foailées sur
ces pouvoirs
d'instruction attribués à des personnes
CADIX, 12 juillet. — Huit croiseurs aile
1
mànds
sont maintenant dans les eaux ma- incompétentes et en dehors de toutes les
garanties légales.
rocaines.
La loi, comme la plupart de celles q»e
fabrique le Parlement, est à tort et à
travers. C'est la magistrature qui aura le
LE
CÏSLÎSTE
devoir de la rendre applicable.
L'orateur demande à la Chambre de
Le départ pour la sixième étape du Tour
i France a été donné mercredi matin, à surseoir au vote, de renvoyer le projet à
de
la commission pour uue nouvelle étude,
1
trois
heures, à Grenoble.
de façon qu'on puisse l'adopter à la ren•Li'étape est de 348 kilomètres. FJfle est trée. (Applaudissements au centre et à
(très pénible. H s'agit de franchir les cols
droite.)
ifameux de Lafrey et de Valgeetaye. *
M. Drelon, rapporteur, combat la moLes contrôles sont installés à Gap, Bar- tion de renvoi.
(eelonnette, C-olmars, Castellane, Grasse et
Il expose l'économie de la loi. Du moNice, où la promenade aura lieu sur la ment que la responsabilité pénale pour
promenade des Anglais, au bord de la les mineurs de treize «ns est
arlmise
1plage.
dans la loi, il n'y a pas lieu d'appliquer
L'horaire prévue pour le passage du à cette période les régies ordinaires de la
vainqueur au but est trois heures et de- justice. On n dû leeaui'il à la juridiction
mie, mais il est fort possible que cette exceptionnelle de la Cbambre du conseil.
heure soit avancée..
Le budget
Cinquante coureurs restent qualifiés.Les
On suspend la discussion de la loi sur
1
coureurs
ont jusqu'à une heure du matin
les tribunaux peur enfants, à l'elïet de
pour couvrir la route.
s'occuper du budget.
M. Laniel demande qu'on rétablisse l'article relatif aux tombolas des communes.
L'AFFAIRE VERMEERSCH
M. Ktotz persiste à demander la disBRUXELLES. — Odile Vercruyx, l'ancien
jonction conformément à l'avis du Sénat.
.
domestique
de Vcrmeersch, a été mis en
Par 315 voix contre 253, la disjonction
'
liberté
après un nouvel interrogatoire.— est prononcée.
Havas.
L'article -relatif aux timbres prtMts dis■
e«B.««»wii»*B««*'*eia«»BBBKssa*«B«
iis»ilit*si"l«««
joint par le Sénat, est repris par la comaa
;
mission.
S ■
■
aï
!
j
M. KIotz insiste pour la disjonction.
|
M. Chéron appuie sur le maintien du
j
:: ij texte voté par la Chambre,
r;
j
M. Klotz promet de modifier Ht ioi et
■■■>
::
» I prie la Chambre de ne rien changer à
l'état de choses actuel jusqu'à la rentrée.
TUÈS VKOCH AI NEMRNT
;
Une
vive
discussion s engage
entre
MM. Bouisson, Lenoir, Chanot, 'es uns
|j TEST RÉPUBLICAIN
partisans de la prime, les autres hosticommencera un nouveau feuUieton
£î les.
"
.
S"
La disjonction demandée par le gouvernement favorable aux primes, et repoussée par la commission, est adoptée
par 343 voix contre 232.
L'ensemble du budget est adopté par
par Henry G RE r* ET
453 voix contre 89, sur 542 votants.
,;
H II s'agit d'une maare à la fois senti- :i
Lee cheminots
îï menicie et dramatique des plus émail- «
M. Briquet, socialiste,
revient à la
oantes et qui certainement passionnera H charge sur la réintégration des cheminots révoqués.
nos lecteurs. Donc à bientôt
Il ne peut se contenter des promesses de
mesures d'humanité faites par les compagnies.
j
demande le renvoi du proâa
19 | jetM.à Caillaux
. *
aa
la commission du travail.
aa
M. Briquet continue ; la salle se vide
,i"i ^*'-"''- ""' '"'" * "'*
'Liiaiii»i«iutiamniii
aussitôt.
M. Colly succède à M. Briquet. U reBOURSE D-'E PARIS
prend son plaidoyer qui tourne à la scie
T*HM*
et s'en prend à M. Augagneur, qui n'a
Prem.conf! Dcrn, cours
pas tenu les promesses faites aux délé12 juill.
]2]m\\.
gués.
Iteàlë « W0
04 "5
91 70
La Chambre, fatiguée, vote le renvoi,
.,liions Lyon
Hp ••
U80 .. et la séance est levée à sept heures et deMôti'ûuolilsiu
6*1 ..
681 ..
■no Ti.uo
t75o ..
ma .. mie. — Séance de nuit à neuf heures.
ttstwwiee
..
H80 ..
Séance de vnit du 12 juillet
m 80
Kxlérietir* i t(|0
§4 42
La séance est ouverte â 9 heures 15 du
Untuc consolidé 4 'M) ....
07 85
97 65
soir, sous la pi évidence de M. Etienne.
l>e Bosrs (ord.)
4t)6 ..
46û
iiiuuj MïTitje
........
198 .,
iy;ï ,.
Le budget
lirmnw (ord.)
4Ô(! ..
45fî ..
M.
Chéron
rapporteur
général, dépose
Turc...
"'c 40
9510
que le Sénat a rejeté les droits de progresI5.in.iiic otlomaiie
681 .
679 ..
90 85
9
S-rbe
" "° sion sui fa cession des oifices ministériels.
11 propose à la Chambre de ne pas prolonger le désaccord et de ratifier la déciTélégramme commercial
i Honrse du rommerce)
i fiion du Sénat.
M. Klotz. ministre des finances, exprime
WftM fournis par !■< ftufeo» Kwger MMaMkat ON
la conviction que tous les partis se mettent
Parts, ÏS jmiM. 1 h. 52 -mir.
d'accord avec le gouvernement pour que les
COI'TIANT i EHÎHBTER
sessions ne soient pas exclusivement conAT«B»5 0B MU
ao m
îa λ
sacrées au budget, et qu'on puissë s'occuli'ès (tOtt MM
'^4 8»
24 40
fcVijuw (MKt Ml.).. ......
82 4ô
82 05
per des réformes promise*.
*
Le président met aux voix le budget,, qui
COURANT
DERNIER
Li«
95 62
ffâ 75
est, adopté par 458 voix contre 88.
Huiles (100 Ml.)
o7 02
69..
M. Ktotz dépose un cahier de crédits fcWJAlcool (l'IiBClol.)
52 75
48 7ô
plémentaure», au budget de 1911, qui BOT
Sucres
38 12
Si ..
adopté par 423 voix contre 7<6.
AU MAROC
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Huit croiseurs allemands
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TOUR DEJUGE
il Notre nouveau Feuilleton |
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«MMaarommsii
On .adopte également, sur rapport immédiat de M. Chéron, et à l'unanimité de 501
votants, un cahier de crédits spplémentaires au titre des pensions civiles.
M. Chéron dépose le rapport des quatre
Contributions qui s'élèvent à «04.150.200 fr.
Plusieurs députés échangent «les observa-ions.
M. Talamas demande de fixer une date
pour son interpellaiton sur les concessions
tunisiennes.
Sur la demande de M. Caillaux, le renvoi
à Ja rentrée d'octobre est voté.
La séance est suspendue à 11 h. 30, pour
attendre le retour du Sénat du projet des
quatre contributions.
Ce projet revient à minuit et demi. U est
adontô par 458 voix contre 45.
*
M. Klotz dépose le projet de budget de
1912, puis M. Caillaux donne lecture du
décret de clôture.
La séance est levée à minuit 40. La sessian est close.
n|»
AU
3
Séance dît mercredi 1Z juillet (matin)
La séance est ouverte à 10 heures 15, sous
la présidence de M. Antonin Dubost. On
ajourne à la rentrée l'interpellation sur les
logements insuffisants et insalubres.
Le Sénat autorise la ville de Paris à un
emprunt de 240 millions pour le métro ; U
adopte un projet relatif aux croix de diverses expositions, dont celle de NANCY ; il
adopte un projet relatif au chèque barre.
Le Sénat adopte, par 285 voix contre 1 le
projet portant création de la médaille de
70. La séance est levée à 11 heures o5 et
renvoyée â 2 heures. — Havas.
L'assassin de RemenovMs gracié
mercredi 12 juillet. — Guérin,
y
l'assassin
de Remenovilie.vient d'être grac
cié.
Rappelons qu'il est actuellement déter
nu
à la prison de Lunôville.
Le saboteur ds Rupt
La séance est ouverte à deux heures
vingt, sous la présidence de M. Dubost.
M- Klotz, ministre des finances, dépose
un rapport relatif à la cession au profit
de l'Etat de l'hôtel Biron.
On reprend l'examen du budget.
M. Klotz insiste pour qu'une transaction intervienne entre le Sénat et
la
Chambre, au sujet de l'article 10 (cessions
d'offices ministériels).
Le ministre reprend les arguments qu'il
a développés hier. 11 fait en outre remarquer que le budget est déposé depuis plus
d'un an sur le bureau de la Chambre, il
y a intérêt à en assurer le vote définitif
avant le 14 juillet.
Le rapporteur déclare qu'il serait injuste de frapper les cessions d'offices ministériels d'un droit progressif. Il demande la disjonction de l'article.
Par 162 voix contre 17, la disjonction
.'
est ordonnée.
REMIREMONT, 11 juillet. —
Le nommé
ï
Pierre
Lecomte, 39 ans, journalier, sans
d
domicile
fixe, que le
garde-champêtre
>
Vanson
a arrêté pour avoir placé des
f
pierres
sur la voie ferrée, à Rupt, dans
1. but de faire dérailler le train de Busle
ssang, est un malheureux déséquilibré qui
vvoulait, a-t-il dit, « empêcher ainsi les
IPrussiens qu'il avait entrevus dans un
rrêve, d'entrer en France ».
Oh se trouverait cependant en présence
c l'auteur des tentatives
de
de ce genre
ccommises depuis ces dernières années.
Lecomte, qui a été amené à Remirermont, va être mis en observation.
,
Un enfant enterré vivant
METZ, mercredi 12 juillet —
La cour
,d'assises de la Lorraine, siégeant à Metz,
vient de juger un crime atroce, qui déno«te chez son auteur toute absence de sentiment
et de sens moral, un crime d'une
î
bestialité
sauvage, peut-être unique dans
i
les annales judiciaires.
L'accusé, Charles Andrès, âgé de 28 ans,
originaire des environs de Francfort,
i
avait
servi à Metz en qualité de sous-offi*cier au 174e régiment d'infanterie. Après
1
une tentative de désertion, il fut dégradé,
irétrogradé soldat de deuxième classe, ver*sé dans une compagnie de discipline et
1
finalement
libéré à Mayence. A Metz, il
•'
avait
fait la connaissance d'une journaîlière, nommée Jacoby, qui devint sa maîtresse.
'
Après sa libération, Andrès avait par,«couru différentes régions de l'Allemagne,
1
travaillant
très irrégulièrement. Revenu
à Metz, il retrouva la fille Jacoby, qui, entre temps, avait eu un enfant d'un étranger. La fille Jacoby ayant été frappée
d'un arrêté d'expulsion, incita son amant
à la suivre au Luxembourg, son pays d'origine. Andrès la suivit et, dès les premiers jours de leur, séjour là-bas, ils conçurent l'idée de se débarrasser de l'entant.
Le 16 mai dernier, tous deux se rendirent dans un bois à' proximité de ki ville
de Luxembourg et, après avoir creusé un
trou, ils y enfouirent l'enfant tout vivant.
Le lendemain matin, un jeune braconnier
entendit des vagissements et s'étant approché de l'endroit, il découvrit le petit être,
qu'il porta à une brave femme des environs et qui lui prodigua de suite les meilleurs soins.
On ne tarda pas à découvrir la mère dénaturée en la fille Jacoby, et son complice, l'accusé d'aujourd'hui* fut arrêté quelques jours après à Metz.
Au oours de l'instruction, l'accusé tenta
de rejeter la faute sur sa concubine, ce
que voyant, celle-ci chargea à son tour
son complice.
Amenée entre deux gendarmes à la barre pour déposer comme témoin — car elle
est justiciable des tribunaux luxembourgeois — elle renouvela les aoesuations
contre Adirés. C'est lui, dit-elle, qui, à
l'aide de son parapluie et de ses mains,
a creusé le trou, moi j'y ai déposé l'enfant et Andrès l'a recouvert de terre puis
piétiné celle-ci.
Le témoin Eine précise les circonstances qui ont amené la découverte de l'enfant. U se promenait dans les bois, après
son travail de nuit, lorsque, vers neuf
heures un quart du matin, il entendit des
vagissements. S'étant approché d'un petit
monticule dont la terre paraissait' fraîchement remuée, il découvrit le pauvre petit.
L'enfant avait la bouche remplie de ter-'.
re. Le témoin le prit et le porta à la fem-.
me Clément, habitant le voisinage.
Celle-ci est également entendue comme té-'
moin.L'enfant, dit-elle,faisait pitié à voir.
La bouche, les narines étaient remplies <_«e5
terre, qui, durcie, s'était formée en croûte. L'enfant pouvait à peine respirer. U1
fallut humecter cette croûte pour la dis-.
soudrte et l'enlever. Le témoin a ensuite}
fait appeler un médecin, le docteur Mul-!
1er, qui dépose que l'enfant était extrêmement faible. Aujourd'hui, il est complète-.
ment rétabli. D'après le témoin, l'enfantt
n'a survécu à son enfouissement que grâ-.
ce à la circonstance que le sol où il était
enterré est composé de sable et d'aiguilles de pins, qui permirent à tant soit peuj
d'air die passer. La tête de l'enfant seB
trouvait à dix centimètres plus bas que less
pieds.
Dans son réquisitoire, M. Mûrck, substitut du procureur, expose avec une âpree
énergie l'horreur et la sauvagerie de ce6
crime, pour lequel on ne saurait trouver
de circonstances atténuantes. U requiertJ
en conséquence huit années de réclusion
f
oontre l'acousé.
La cour prononce contre Andrès une
peine de six ans de réclusion et la perte|
de ses droits civiques pour une durée de
dix années.
Des bravos éclatent dans la salle au
prononcé de ce jugement sévère maiss
juste.
La fille Jacoby passera au mois d'oc-;tobre prochain devant la cour d'assises duu
Luxembourg.
»
Les articles 122, 128 et 131 sont disjoints.
L'ensemble de la loi est adopté à l'un animité.
Le budget est renvoyé à la Chambren
**
On adopte le projet de loi sur les rôquisitions militaires.
On fixe à la rentrée une interpellation
de M. Debierre sur la protection de l'école
laïque et l'abrogation de la loi Failoux.
La séance est suspendue jusqu'à six
heures, en attendant le retour du budget.
A îa reprise, le Sénat ayant accepté le
texte de la Chambre sur l'article 137, il
itt reste plus en discussion que l'article
10 (taxes progressives sur les cessions
d'offices ministériels).
Un nouveau débat s'engage à ce sujet.
A plusieurs reprises, M. Klotz insiste,
pour l'adoption de l'article. M. Gauthier,
au nom de la commission, M. Aimond en
demandent le rejet.
Après pointage, la disjonction de l'article 10 est votée.
La séance est levée à / heures. Séancei
à 10 heures du soir.
Séance de nnit
Là séance est reprise à 10 heures dui
soir.
On vote les quatre contributions, retour•
de la Chambre, puis lecture du décret de)
clôture est faite. Il est minuit dix. — LaL
séance est levée.
DAIMS L'ARMÉE
Intendance de réserve
Sont nommés au grade d'adjoint d'intendance, les attachés de 1™ classe :
Banzenger, 20e région ; Bertin, 20" région ; Ducreux, 7° région.
Au grade d'attaché de lre classe :
Tastaing, 6' région.
Au grade d'officier
d'administrationj
principal (intendance). : Charoux, 6° région.
Au grade d'officier d'administrationt
de lro classe (intendance) : Rey, 20° région ; Silvant, 20e région.
Service des subsistances. — Paindron,
6e région ; Bailly, 6e région ; Keller, Ie ré-'
gion.
Au grade d'officier d'administration de3
2° classe : Carriol, 7e région ; Bourel, 6"»
région ; Salmon, 20° région.
;
——
LES
CENTIMES ET LES
OUVRIÈRES
RETRAITES5
De nombreuses maisons de commefreeB
ont éprouvé de sérieuses difficultés, sa-.medi dernier.premier jour de l'applicationa
de la nouvelle loi, pour faire l'appointt
. des payes.
Les patrons devaient, après la retenuee
obligatoire, donner à leurs ouvriers dess
soldes qui ne pouvaient se régler sanss
l'appoint de pièces de un ou de deux cen-itimes. Or, il a été impossible, samedi, de
e
se procurer des centimes en quantité sufffisante pour effectuer les payements, et
>t
devant la quantité de demandes qui lui
ù
étaient adressées, le Trésor, qui avait néïgligé de prendre au préalable les précauitions nécessaires, décida de rationner le
e
public et de ne pas,donner plus de cinqq
francs de centimes à chacun des solliciiteurs.
M. René Besnard, sous-secrétaire d'Etat
it
aux finances, s'est ému de cette situation.i.
Il a conféré mardi matin avec le directeur
ir
du mouvement des fonds et avec le direccteur de l'administration des monnaies et
=t
médailles, au sujet de cette fabrication des
«
centimes, rendue nécessaire pour l'apipoint des salaires, en raison du fonctioninement des retraites ouvrières.
Le isous-secrétaire d'Etat a donné des
>s
instructions précises pour que cette fabriication soit hâtée dans toute la mesure du
u
possible et pour qu'au 5 août prochain
n
une somme de 50,000 francs, en pièces de
le
un et deux centimes, soit mise en circuilation.
La Monnaie fabrique normalement, à
l'heure actuelle, 90,000 pièces de un et
deux centimes par jour.
M. René Besnard est allé mardi après\
midi à la Monnaie pour se rendre compte
te
du point où en est arrivée actuellement
11
cette fabrication.
A partir du 5 août prochain, les indusstriels et les commerçants trouveront donc
1C
à la Banque de France le nombre de cenj.
times tout fraîchement, frappés qui leur
,r
seront nécessaires pour effectuer, dans
ig
les conditions prévues par la loi, l'app.
point des payes de leurs ouvriers.
I»
LES VOYAGES
de " l'Est Républicain "
,
LE Ï81SR DE FfeARCE CYCLISTE
L'arrivée à Nice
1er Faber, à 4 h. 17 ; 2° Garrigoii, à 4 hI.
27 ; 3° Cruppelandt, à une tonguèud ; 4»
i*
Duboc ; 5' Ernest Pau! ; '.^-Dupont, à 5 h.
II.
JX! ; 8e Georget ; 9e Cornet ; 10" llcusglicm.
i
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NANCY,
Après avoir longtemps hésite a organiser
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Nous publierons prochrnncmciit les conitdiiions de notre premier voyaae
Juillet. —
^xdi
^ÎmW^
§£?
Ï^mes^ésU de Vénus qui ^ient
^ininaanées d'un jeune homme On Ha
^Ufcaissaoce et après avoir
fréquenté divers
Âne
couples
allient dans ^ c
^
c
]
.
(des belles. M. G..»» ^* 1
fem
homme
qui 1 accompagnait et r' utM
.
h
d
me
fouillèrent dans la poche Interteu™ de
n
son veston et lui enlevèrent un billet ae
s
^
banoue
de mille francs.
Les deux complices quittaient aussitôt
j chambre. Peu après son départ M
la
G . constatait le vol dont il venait d et e
la
victime ; il allait porter plainte à la
i
i
Des recherches furent opérées dans la
matinée
de mercredi par des agents du
i
■ ervice de la sûreté, qui, vers midi arrêtaient
la femme auteur du vol, Juha Bu1
iriz, âgée de 25 ans, fille soumise, demeuirant rue Saint-Nicolas, KO.
Elle fit aussitôt des aveux et restitua
r.00
fr. qu'elle avait reçus en partage. Elle
r
dé'ù
'ma aussitôt son complice Stephan
<
P.'..,
fils d'un honorable industriel de
1
1
Nancy.
,
.
,
Les agents se mirent à la recherche de
P...
; ils le découvrirent au café, situé 24,
1
rue
Sainte-Catherine, où il était tranquili
1
lement
attablé.
Les agents lui passèrent, aussitôt le cabriolet
]
et le conduisirent au bureau de
ipolice, boulevard Charles-V, M. Lienhard
iétant chargé de l'enquête.
ŒS
Un crime atroce, perpétré avec un rare • so
soir, quand fut terminée cette lugubre bcsang-froid, a ensanglanté mardi soir la so
sogne.
"
En présence de M. Duron, juge de paix
commune de Domèvre-sur-Vezouze.
Les motifs sont des plus futiles. Pour à Blâmont, de M. Voisseinont, maire de
et de M. Poisson, garde chainune querelle de jeu survenue deux jours Domêvre,
D'
pêtre de cette commune, les assassins
auparavant
dans un cabaret de la loca- P<
,
rirent des aveux complets :
lité, deux ouvriers, mariés et pères de fa- m
— Nous regrettons bien notre crime,
mille ont prémédité d'assassiner sur la
»
grande
route un maçon d'origine italien- ajoutèrent-ils.
aj
=
ne, nommé Cyrille Trémoli, âgé de 30
L'enquête
ans.
Le parquet de Lunôville fut -informé,
^
. En proie au remords, l'un des meur- Mais
M. Couléru, procureur de la Réputriers, Jules Chatton s'est rendu à la blique,
y
-ne put se transporter mercredi à
gendarmerie
de Blàmont où il s'est cons- ^
t
titué prisonnier en donnant sur le crime Domêvre.
La venue du magistrat est attendue
des détails circonstanciés or, complets, dans
tli
la matinée de jeudi. M. Couléru
qui
ont
permis
de
mener
très
rapidement
£
,
&
sera
accompagné de M. Le Cornée, juge
l'enquête judiciaire.
$
d'instruction, du médecin légiste, M. le
docteur
Simon, et du greffier d'instrucLa découverte du crime
ti* M. Géhin.
tion,
Inquiète de l'absence de l'homme en
Les assassins ont été, sous bonne escorc
compagnie
duquel elle vit maritalement, te,
te conduits provisoirement à la prison
(
depuis
un certain temps,
Philomène de
d» Blâmont d'où ils seront extraits au1
Pierre!
conçut des soupçons.
je
jourd'hui pour être transférés à LunéPourquoi Cyrille Trémoli avait-il pas- vi
ville.
sé la nuit dehors ? Si tranquille d'ordinaiChatton et Lalevée paraissent très abatre, si régulier dans ses habitudes, d'où 'tus,
U
Chatton surtout que le remords tortt
et qui, en proie à une sorte d'affo]vient qu'au lieu de regagner directement turait
fson domicile, après sa
confessa à sa femme l'abominable
journée finie, il lement,
h
fs*était ainsi attardé en quittant le chanf<
forfait qu'il avait accompli.
M. Fourmann, débitant à Domêvre, fut
*tier où il travaillait, à OgéviWer ?
pour le transport du cadavre que
Philomène Pierre! fit part de ses crain- requis
<r<
l'on déposa sous le hangar municipal de
tes,
de ses inquiétudes à ses voisines :
1
la
— Je vais tâcher de le retrouver.... »
'f pompe à incendie, sur un tas d'écorCl
Elle se rendit à Ogéviller ; mais person- ces.
ne
! n'avait aperçu le maçon. Seulement un 11 Quant à la bicyclette de Cyrille Tréjournalier
du nom de Thomas, revenant moli, les assassins s'en étaient débarras'
sés en la jetant dans la Vezouze, à proxi'd'une partie de pêche, l'aida dans ses in- s<
,T
mité
du moulin. Elle fut aisément retrouvestigations.
sur les indications qu'ils fournirent
On apprit que Trémoli avait dû se ren- vée,
Y
1
contrer
sur la route avec deux individus àa la gendarmerie,
1et que, probablement, il avait été victime it
, La bicyclette de la victime et les pioches qui ont servi à l'exécution du crime
1
d'une
agression.
Pes passants avaient remarqué sur le ont été placées sous scellés à la mairie,
comme pièces à conviction, ainsi que son
'bord de la route de nombreuses traces de 2
'
sang
; ils n'y avaient prêté que peu d'at- ohajpoau, ramassé dans l'oseraie, et la
1
tention
:
\somme de soixante centimes qu'il avait
— Un chasseur a sans doute tué un re- dans sa poche.
L'émotion dans le pays
i
nard,
nensèrent-ils. »
Nous nous sommes rendu la nuit derPendant ces recherches auxquelles fut
1
employée
toute la matinée de mercredi, "niôre en automobile à Domèvre-sur-Veune scène dramatique se déroulait dans la zzouze.
Le débitant Fourmann nous a .donné sur
1
maison
du terrassier Jules Chatton.
Celui-ci avait paru sombre, préoccupé "le guet-apens de la veille les renseigne11
que nous venons de publier :
et sa femme lui ayant demandé la cause ments
— Jules Chatton est originaire de Saint
de
' son humeur mékincolique :
— Ecoute ! j'ai fait hier soir un mau- JMartin, nous a-t-il en outre déclaré... Il
9
marié dans le pays. Sa. sœur a. épousé
vais coup, avoua-t-il... Avec un de mes s'est
un des frères de la victime... Il
camarades, Ernest Lalevée, j'ai tué Tré- justement
1
e
père d'une fillette d'environ sept ans et
moli ...On s'est disputé au jeu dimanche est
soir... Trémoli nous a injuriés.. Nous nous fsa femme est presque au terme d'une grossesse... On le considère comme un brave et
sommes'vengés de lui. »
Mme Chatton conseilla, au criminel d'al- honnête ouvrier...
Par contre, Ernest Lalevée, son complice,
ler immédiatement prévenir la gendarmevraisemblablement l'instigateur de
ri de Blâmont et c'est ainsi que, deux heu- est
,
forfait. U est également marié et
res plus tard, menottes au poing, l'autour l'horrible
:
d'un enfant de quelques mois à peine.
principal de l'assassinat était conduit sur père
l
le lieu même où s'étaient déroulées les ter- TIl est issu d'une famille de pauvres bergers.
Il jouit dans le pays d'une mauvaise répuribles péripéties du drame.
t
Ernest Lalevée était arrêté à son domi- tation :
été surpris ici, nous dit M.
cile, et les deux coupables indiquèrent Fourmann,
j — On n'a pas
quand on a su qu'il avait tué
alors l'endroit où ils avaient caché le ca- r
Cyrille Tremolf... Celui-ci n'était pas dadavre.
exempt de reproches... »
Une foule énorme assistait à ce specta- vantage
Vers une heure du matin, nous heurtons
cle émouvant.
^à la
porte de M. Poisson,l'actif garde champêtre,
qui consent à ouvrir pour nous le
Dans une oseraie
I
t
hangar
transformé en morgue où gît le caA 600 mètres environ du village pous- cdavre du maçon.
sent
des oseraies assez touffues. C'est là
Le malheureux est étendu sur des écorj
que fut retrouvé, au lieu dit « le Petit- cces d'osier. 11 est vêtu d'un pantalon à grosPré », le cadavre de Cyrille Trémoli.
s
ses
côtes, les souliers et la chemise sont
Un bref interrogatoire permit de re- ssouillés de terre Le visage garde dans la
constituer la scène :
i
mort,
un calme terrifiant ; les yeux sont
— Nous avons attendu Trémoli, au restés
i
ouverts ; la bouche se crispe légèrebord de la route, vers sept heures du soir, ment
i
sous la moustache blonde ; des traces
U revenait à bicyclette de son travail... de
( sang sont à peine visibles sur le front
Nous avons lancé dans les roues de sa (et sur les joues.
machine une des pioches dont nous étions
L'abandon auquel est livrée cette créature
armés... Trémoli est tombé. Il a essayé humaine,
i
dans la paix du village endormi,
de fuir... Nous l'avons vite rejoint... Com- a
; quelque chose de tragique et de navrant ;
me il criait grâce, nous l'avons frappé de fcette impression s'avive encore à la clarté
deux coups de pioche dans le dos, puis, de
< la lune qui enveloppe le cadavre oublié
d'un troisième coup sur la tête, nous l'a- 1là comme une lamentable épave.
vons achevé sur place. »
L'émotion, pourtant, s'est emparées de
Le cadavre dissimulé dans une oseraie Domèvre-sur-Vezouze.
1
Le triste événement
voisine, Chatton et Lalevée songèrent à a
; troublé le pays. Les femmes des assassins
le faire disparaître.
(et Philomène Pierrel, la compagne de la
1
Les doux hommes revinrent à Domèvre- victime,
ont donné libre cours aux transsur-Vezouze. On les vit dans les cabarets. ]ports de leur douleur et de leur désespoir.
Us dînèrent chez eux et retournèrent enLes mêmes scènes se renouvelleront ausuite au Petit-Pré. Là, ils creusèrent jourd'hui,
j
quand les magistrats viendront
dans un fossé d'irrigation un trou assez :assister à l'aut-op^ie et pour ordonner ' le'!i
profond pour y placer le corps de leur transfert
1
de Chatton et de Lalevée à Lunévictime.
ville.
U était environ dix heures et demie du-|
Achille LIÉGEOIS.
t
II y avait quelques minutes que P...
arrêté, que M. Louis Bittenbeck, ser■.
veur
au café de la rue Sainte-Catherine,
f présentait au bureau de la sûreté.
se
U apportait une somme de 90 fr- en or
,et une cassette en laque de Chine qui con|tenait de nombreux bijoux, que P... lui
.
avait
remis en dépôt quelques jours au^paravant. Ces bijoux provenaient d'un vol
que P... avait dérobés à ses parents.
(était
j
La
hete_nahor4; ,
V
Réunion internationale au n
i
Sports.
La pn^cuce d, . p,p»r« fll
*
de l'Allemagne du sjinl,
-i n .""Pio? 1
dl
tier
et Amberger, va dc»i-, n.■ i- .; Hla'rp& ■ t
u
d'attrait
à cette réunion dont, vm . Pin I
fl
01
'* pr?l <
»gramme avec les principaux
100 metres. — Handicap -' 2r$**:
I i
m
100 nutr.,s. - Handicap. ^ "«ea. I '
(champion de France), Person, ZVu-^t I
ctl
Holot, Drotlncé, L-nprèvote.
V|
B
1.500 Jilftll'-- - H:.ll'1ic;ip. — .v
f
S N.), Versai (R. C. b\), Clamer (A T Ht
S.
F
Ain
berger (Strasb.).
-i;l 1
A
400 mètres. — Handicap. — Failliot n I
,
son,
Sefiurer, Rolot, Laprèvote, Urnth
s
■M uiulrvï, naiiv*.
- Handicap.. , '"«r | :
Glarner, ltacadot (C. s. y. L),'|;, 'j.lh
200 mettes plat. — Faniuot u,.
Schurer,
Rolot.
' rowitii
y
Rciai olympique 1.000 mètres, par
ppes do quatre coureurs :
Paris : Glarner, Failliot, Verset
I
' '
tthier.
Nancy : Laprèvote, Schurei, ucn„
'
lilot.
Strasbourg : Perron, Charpentier
ger,
X.
g
Natation. — 200 métros. — Ua.P(i,c
■ -,
Championnat .militaire entre ^ .re m <
S»| ;
rments de Nancy.
Aviron. - Courso-poursuite rê^erv*» m i
membres
du C. S. S. L.
11
Comme on le voit, les' luttes prompti
d'être
passionnantes. Les sportsme-n 1 i
a
c
cêiens ne manqueront pas l'occasion n ■
être unique pour eux d'applaudir les ni <
formances de Failliot, cet athlète Dar,'| i
j
•dont c'est sans doute la dernière saison
course à pied.
j
L'entrée par le troisième pont Fruhin ( '
(holtz sera indiquée par une banderole
i'
. Tramway : Ligne d'Essey-Saint-Mai n„ï >
3| et 4.
"'"'I
**
I'
Tramways suburbains — A I'OCCK K
de la fête nationale, la Compagnie meu I
(en service, le vendredi 14 juillet et û 7t
xmanche 16, le train supplémentaire suivimi '
la ligne de Pont-Saint-Vincent •
f !
Devant M. Lienhardt, commissaire de sur
Départ de Nancy : 9 heures uu à,, m, *
police, Stephan P...,qui a «entôlé» le com- tin.
t
pagnon de fête G..., d'un billot de 1,000
Départ de Pont-Saint-Vincent, in t>mUIM
,u i
francs, a commencé par nier les faits. Il j47 du matin.
a prétendu qu'il n'avait en rien participé
**
au vol. U s'est borné à reconnaître simAu nouveau théâtre. — A l'occasion A,
plement qu'il avait nopeé en compagnie 14
| juillet, on a fait disparaître les bmvm
;
de
G.-, de la fille Julia Buriez et d'une poutres
]
qui ètayaient la taçade du noirwsj
autre hétaïre, dans divers établissements, théâtre.
t
De cette façon la place Stanislas i
Il fut confronté avec Julia Buriez. Cel- irepris son harmonieuse beauté et elle servi
le-ci affirma énergiquement que P... était ra
i de magnifique cadre aux rèjouiasanca
le seul auteur du vol, et que c'était celui- ide la fête nationale.
ci qui lui avait remis les 500 francs re**
trouvés en sa possession au moment de
Trompes Lorraines.— Concert donné l>
son arrestation.
jjeudi 13 juillet 1911, de 8 heures et démit
Devant cette accusation, P... se décida ;à 9 heures et demie, place Saint-Julien •
à entrer dans la voie des aveux. Il recon1. Le Point du jour.— 2. Souvenir dt
nut que vers minuit, ils étaient entrés 1Rouen.— 3. La Buzenval. — 4. La Chatous quatre dons un hôtel meublé du brian.
!
— 5. La Marche du Cerf. — 6. La
cours Léopold. Il avait pris une chambre Honneurs
'
du Pied. — 7. Les Echos à
avec Julia Buriez pendant que G... et 1Clair.— 8. La Valse des Chasseurs.— |
l'autre femme aillaient dans une autre 1Le Rallye Lorraine.— 10. Le Bonsoir.
pièce.
Quelques minutes après cette séparaUnion des sociétés cyclistes du Nordtion, P... s'introduisait dans la chambre 1Est.— Pour donner plus d'éclat à la fête
occupée par G-., et son amie et prenait nationale, l'Union des sociétés cyclistes da .
'e portefeuille de G..., dans le veston nla- Nord-Est organise une grande lete â la Ptcé sur une chaise. Il retournait aussitôt pinière,
]
dans l'enceinte du concours hipdans sa chambre, ouvrait le portefeuille pique. Pour la réussite de cette fête, le coconstatait qu'il contenait trois billets de mité de rU.S.C.N.E n'a pas hésité de dele concours du Véloce-Club de
mille francs. Il s'emparait d'un de ces bil- mander
!
lets, et retournait dans la chambre où se Rambervillers, qui, par son carrousel cya eu tant de succès aux fêtes d'Epitrouvait G... U remettait le portefeuille cliste
[
nal, en juin dernier.
dans la poche où il l'avait pris.
Cette réunion consistera en beau sport
U avait immédiatement donné 500 fr. à
cycliste et en sport gai, du reste nous
Julia Buriez.
G..., qui était ivre, ne s'était aperçu de !donnons ci-dessous le programme de cette fête :
rien.
1° — Interclub.— Course réservée aus
Il s'en alla d'un pas chancelant jusaffiliées, deux membres par soqu'à la porte Désilles et s'assit sur un banc sociétés
ciété.
de la terrasse du café Piguet, où il s'en2° — Carrousel cycliste par le V.C is>
dormit. C'est là que, vers deux heures du
matin, il fut trouvé par une ronde d'a- Rambervillers.
— Course cyclo-pédestre, à courir
gents et qu'il s'aperçut du vol dont il ve- en
, 3°séries
de deux tours : un tour en vélo
nait d'être victime.
et un à pied. Finale : quatre tours, deux
P..-, qui n'avait sur lui au moment de en
vélo, deux à pied.
son arrestation qu'une somme de 52 francs
4° — Course d'obstacles.
fut questionné sur ce qu'il avait fait du
5° — Course de pupilles, réservée au!
restant de la somme volée. Il déclara qu'il jeunes gens de moins de 15 ans.
l'avait donné à une fille soumise- Cela
6° — Course aux chaises.
fut reconnu exact et l'argent put être en
7° — Course militaire, réservée aux mipartie du moins, restitué à M. G..., oui, litaires du 20e corps d'armée.
malgré la minime importance de sa perte
8° — Course à la grenouille.
effective, se souviendra longtemps de sa
***
mésaventure.
Union des sociétés militaires de Nancy
Quant à P... et à la fille Buriez, ils ont
— Les sociétés militaires seront rangées
été écroués mercredi soir.
à la revue suivant le tour de service, di
la gauche à la droite.
Enfin au bont de cotte rue
t
1. Médaillés militaires.— 2. Prolonge d»
Lu pédicure me sourit.
e
94 .— 3. Chéchia.— 4. Association frattf
Aux Bains Marceau sans bistouri,
On extirpe cor et verrue.
nelle des anciens sous-officiers et soldats.
— 5. Anciens prisonniers de guerre. — J
Corps de la Marine.— 7. Légion étrangèLibéralité
A l'occasion d'un mariage, un anony- re. — 8. Sidi-Brahim. — 9. Groupe U
— 10. Anciens musiciens. —
me a remis à M. l'officier de l'état civil,1 Marche.
Vétérans des armées de terre et de m*
la somme de 500 francs, à répartir de la■ —
12. Union des anciens sous-officie»
manière suivante :
— 13. Engagés volontaires de 1870-1871.':
Oïuvre des colonies scolaires de vacan-■ 14. Anciens du génie.— 15. Clocheton. *
ces, 100 fr. ; petites sœurs des pauvres,, 16. Vieille armée.— 17. Groupe Lasal» !
lUO fr. ; œuvre du Bon-Lait, 100 fr. ; mai-■ — 18. Groupe Blandan-Nancy.—19. Grc*
son des apprentis, 100 fr. ; société desi pe Iéna.— 20. Ralliement. — 21. Group!
crèches, 100 fr.
Wagram.
Avis
*
La Maison des Chaussures Franck solde;
Société amicale des engagés volontaire
tous les articles d'été à partir de jeudi 13I de l'Est 1870-1871. — Le comité imrik
courant.
ses membres à assister avec lui
Lire l'annonce «in 4° page.
vue du 14 juillet. Réunion à huit heu»!,
et demie, place Cairnot, en face la ma'-01
Tombé d'une piie de bois
Bellieni. Se munir de ses insignes.
Mercredi, vers midi moins un quart, M.
Joseph KJinsholï, âgé de 55 ans, manœuAssociation fraternelle des soldats
vre, demeurant rue de Tomblaine, travail-- vieille armée. — Réunion vendredi, à s"
lant sur les chantiers de P.lme veuve Culot,> heures et demie précises du matin, s"
négociante en bois, boulevard Lobau, étaitt de l'Agriculture, rue Ohanzy, 4, po,:r
monté sur une pile de bois d'une hauteurr sister en corps, accompagné du 3-ra&
de dix mètres.» Ayant fait un faux pas ul ià la revue du 14 juillet, où un fPP''
tourna sur le sol et se fractura la jambee ment sera réservé aux sociétés mili^L,:-;
gauche. Il a été conduit à l'hôpital dans lai
II ne sera pas." envoyé de convoca
voiture d'ambulance.
individuelle, le présent' avis en m I
Sauvetage
lieu.
i
Mercredi, vers 5 heures J du soir, Lords
ni '
Union républicaine de l'arrondisse^
Brique, âgé de 26 ans, marinier, à bord!1
lu bateau « Mars », baignait deux che- .Je Nancy. — L'Union républicaine oiïj:1
vaux appartenant à son patron dans la1" nise, comme elle l'a fait l'an dernier^t
Meurthe, à proximité des Cinq-Piquets.* l'occasion du 14 Juillet, un punch qu^J
Soudain, il perdit pied et allait infailli-l,' ra lieu vendredi, à onze heures du ni A
'Dloment se noyer, lorsque M. Françoiss" au Casino, rue Saint-Julien, sous
Janiquant, soldat au 26e régiment d'in- sidence de M. Schertzer, conseiller g
fanterie, se porta à son secours et par- ralElle espère que tous ses adhéren ts M
.t
vint à le retirer de l'eau sain et sauf.
Louis Brique' en a été quitte pour un pondront à son appel et qu'ils se
" un plaisir d'y assister avec leurs ai
bain, ce qui n'est pas désagréable en cette
e
Le secrétaire général. Gr*"^
:aison.
Une somme de cinquante centime»,
—
■
—
nant droit à une consommation, ser
çue à l'entrée.
t
Mariage
Mercredi matin, à Saint-Mansuy, au milieu d'une, très élégante assistance, a été*
célébré le mariage de M. Léon Laissy,
notaire à Nancy, avec Mlle Maurice, filleBi
du conseiller à la cour. Les témoins du
marié étaient MM. Lucien Laissy, lieutenant au 7e dragons à Fontainebleau, et"1
e
Jeudi 13 juillet. — 194 jour de Cannée.
Henry Laissy, étudiant en droit, ses frè
Aujourd'hui : saint Eugène. — Demain iI res. Ceux de Mlle Renée Maurice : M.
saint Bonaventure.
Henri Charlier, lieutenant au 3° cuirasEphémèrides lorraines : En 1691, érection : si ers, à Reims, son beau-frère, et M. Pau!1
de la puissante corporation des marchands; Siterlet, juge au tribunal de Vouziers, sorn
lorrains au cloître de la Collégiale Saint-. oncle.
Georges de Nancy.
Nous joignons bien volontiers nos meil[_
A neuf heures un quart. — Salle Poinel :; leurs vœux de bonheur à ceux adressés
s
Distribution des prix de l'Ecole prolession- de toutes parts aux jeunes époux.
neiie.
A huit heures. — Fêtes de quartiers et
ARRÊTA SES DÉMANGEAISONS
concerts populaires.
J. Jounot, Grande-Rue, Sarzeau (MorbiiA huit heuneis et demie. — Musique mili-- '; hall), écrit : Ma femme qui a souffert long
taire à la Pépinière et au parc Sainte-Ma-- temps et cruellement de démangeaisons, ',-;
a
rie.
obtenu de très bons résultats par l'emplo
B1USSER1E DU COURS Tons les soirs, CINEMA GRATUIT.• du Cadum, la nouvelle découverte médi>i
i:
cale. Elle avait préalablement pris beauiDépêche météorologique
coup
de
dépuratifs
sans
aucun
succès.
Ca
l
Nice 764, Cherbourg 775, forte pression1
dum arrête les démangeaisons dès sa pre "
Nord-Ouest Europe.
application et guérit les maladies dle
Probable : Vent des régions Nord, tempss mière
la peau. 50 c. et 1 fr. Toutes pharmacies.
beau et chaud.
Conseil municipal
Ecole polytechnique
Immédiatement après les examens dle
Le lundi 17 juillet 1911, à 3 heures dee
l'après-midi, te conseil municipal dee Paris, avant l'ouverture des examens dle
province, les examinateurs du 1er deirr,e
Nancy de réunira en comité privé.
Ordre du jour. — Avis à donner sur plu- se rendront à Nancy et commenceront le^
sieurs demandes de bourses à l'Ecole dua examens le 22 juillet.
Les anciens admissibles de Nancy s
service de santé militaire ; avis à donner
sur une demande de bourse à une école rendront à Paris, au lycée Louis-hR
vétérinaire ; avis à donner sur plusieurs Grand, le samedi 22 juillet, à 7 heures 5,
demandes
d'allocations journalières ;. du matin.
avis à donner sur une demande de sursiss
Banque de Nancy
d'incorporation.
La Banque de Nancy, au Point-Centra
tient à la disposition du public et loue
Faculté des sciences
des conditions modérées des compart
Ont été admis :
Baccalauréat mathématiques. — MM.I ments de coffres-forts, système Bauchi^
(
Maugras, Paul Perrin, Bastien-Jhiry, Du-■• L'installation dans les cryptes voûtées et
rand, Obeliianne, Cabirol, François, Victor blindées de l'ancienne église Saint-Roclh)
Perrin ; MM. Grélot, Schneider, Beaucaire,J réunit toutes les conditions de sécuritie_
Vivin, Didier, Lévy, Charpentier, Magnier,
MM. JAMET, BUFFEREAU et Cie, ei
Lauranis.de Castelbajac, Bailly, Grosdenis.3- perts comptables à Paris, vous metteixnt
Faculté des lettres
rapidement en mesure d'occuper un ennploi de comptable, sténo-dactylograplne
Ont été admis :
Baccalauréat latin, sciences. — MM. Cha- (hommes et dames). Initiation à leur su.cvanne, Daclerget, d'Estresse de Lauzac de cursale, 20, faubourg Saint-Jean, Nancy,
j_ ou chez soi par correspondance.
Lahorie, Charpentier, du Bouexic de Guichen, de Costard de Saint-Léger, Chicaj.
Par ces temps de chaleur
naux, Fournet, Fousnaquer, Charoy, Bidault.
La meilleure boisson rafraîchissante e!st
la limonade supérieure « CITROPS » qiui
MM. Lantcrnier, Geny, Collet, Hanns,
3
^ est très agréable, digostive et rafraîchiisRouyer, Dequones, de Reynaud de Lnnnon
i_ santé et qui se vend aux parfums suivantts:
de Biny, Lemoine, Froeïich, Jacquot, Miclesu.
citron, framboise et groseille, fraises, caist
sis, banane, ananas, abricot, orange, c:eBaccalauréat philosophie.— MM. Bridot,
André Grandpierre, René (irandpierrc, Mai_
rises, vanillinée, menthe et grenadine.
jorelle, Mùh, Auberger, Riboulotj Lemoine,
C'est une marque déposée nouvclleme:nt
B
Cousin, Lallotte, Hardy, Maix.
et qui obtient actuellement un immon;se
MM. Mascjuand, Buy, Duptcsils, Vanv succès, la goûter c'est l'adopter.
dembeiiche, Delaveuve, Leneutre, Maré5Vente en gros : Distillerie Jeanne d'Arrc,
chalj Michel, Amiable.
40, rue Sellier, Nancy
«wrcredi 12
S
;
NANCY,
Sêayice du mercredi (après-midi)
'
ds Kl. Albert Lebrun
l
SEIMAT
W
^ ^
Pour une querelle de jeu, deux ouvriers assassinent
un de leurs compagnons
PARIS. — A l'hôtel d'Orsay, les dépuh républicains des départements de la
tés
&
Meuse,
de Meurthe-et-Moselle et des Vosg
ges, MM. Grosdidier, Lefèvre, Noël, Mag
ginot,
Denis, Méquillet, Grandjean, Verh
lot,
Schmidt, Mathis et Picard, auxquels
s'
s'étaient joints M. le docteur Chapuis, sénnateur de Meurthe-et-Moselle, ont offert
u déjeuner à leur co'Mègue et ami, Albert
un
L
Lebrun,
député de Briey, pour fêter sa
rrécente nomination de ministre des colonnies. Au Champagne, deux toasts ont été
portés au héros de la fête, l'un par M.
P
Chapuis, doyen des parlementaires lorrains, au nom de ses collègues, l'autre par
RM. Denis, vice-président du conseil géné*ral de Meurthe-et-Moselle, au noin de la
majorité républicaine de cette assemblée,
d
dont
M. Lebrun est le président.
Le nouveau ministre des colonies a rér
pondu,
avec émotion, aux deux orateurs
eet les a remerciés pour les sentiments
cqu'ils lui avaient exprimés au nom de
,\
leurs
collègues lorrains.
]|B
aatllw
Un crime à Domèvre-sur-Vezouze
Régionale
En l'hoiHW
,
'''' '*'"''"
NANCY
LA JOURNÉE
(
&y
% Terrains à bâtir, à vendre
Nouveau Saint-arlax,.Belle-Vue
\
Véritable Cure d'air. — Panorama exstraordinaire. Vues de Saulxures, Velaine,
e,
Dombasle, forêt de Tonnoy, Vandœuvree,
Boudonville et toute la ville de Nancy. A
A
l'abri du vent du Nord et exposée en plein
in
Midi. Eau saine et claire du Plateau en
m
abondance. A quelques minutes du Plaateau et des bois de Malzêville, endroit faavori des Nancéiens, ainsi que tout près
de la Pépinière et de la place Stanislass,
accès très facile par les rues centrales
as
Masson, Menivan et celles du Trianon ;•
seront reliées sous peu par des ponts sur
ir
la Meurthe et traversées par le tramwayycirculaire Nancy, Pont-d'Essey, SaintitMax, Belle-Vue et Malzêville (projets à
l'étude).
Par le site tout spécial conviennent addmirablement pour chalets, villas et proopriétés d agrément. Peur 1», bâtisse, il fauudra se conformer au cahier des charges
es
qui ne tolère aucune usine, baraques en
in
planches, chaudronnerie, prreherie, de
le
ce qui pourait nuire à l'esthétique de ce
ce
ue,au ccu.* si rçnomuie et si connu:
Groupa Blandan. — Les sociétau ^
Groupe Blandan-Nancy (prolonge " %
de ligne), et des sections do P°" pol"
Varangéville, Einville, Saint-Nicoi^^e
tours de l'insigne, sont invités a
du 14 juillet et à occuper l'^P.1^ C«*
réservé aux sociétés militaires, PlaJ^
not, face à la maison Bellienid«
;e
Rendez-vous à huit heures et
matin.
Les Vétérans. — Les membres aeaSSjst«
ciété des Vétérans sont invités a . et
à la revue du 14 juillet (11° g'°ïïs etd'
se réunir préalablement, à 8 heu ur ifl5'
mie, place Dombasle, munis de
gne.
^
Groupe Drouot. - La Société j»^
ciens militaires de l'artillerie, e*
des équipages se fait un Pl8,1,s „ nc<»r.S
tous ses membres à un vin u"h n ja Ie,
fert gratuitement à l'occasion vi0gM
nationale, vendredi 14 juillet, »
^
la revue des troupes, au s- £n(réeg0 *"
er
Brasserie Lorraine (1 étage,
' craie, rue Saint-Dizier^
—-
<
'
"'
,
assistera en corps, avec léLe GWI1M
T la revue des troupes passée
teuda r
cours Léopold, où un emplacement
0
I
ré
*"X
I lui est
Et le bureau de bienfaisance
Du rapport du Conseil supérieur des
,
habitations à bon marché au président
de
la République, paru à l'Officiel, nous
.
.extrayons le passage suivant qui montre
les excellents résultats obtenus par le bureau de bienfaisance de Nancy :
iège social, Brasserie
15 précises du ma-
tin
p
o
Se munir de son insigne et de
-",*
"étions Le _trésorier remettra des_
decoiat^
ndez vQU8 àe 8
hcurrg
15
eiTibres qui n'en possèdent pas en• core.
A
.
n^hestro amUcal Lobau offrira un
^ r ie 13 juillet, à 8 heures et demie
I c
devant l'hospice Saint-Julien. En
du
.'°
l'
programme
:
vo C
i r^teiriité, marche sur la Marseillai1
f
t u Marche royale italienne (P. Suei
j
séville, opéra
s8
Le Bart) er de
^ «««ini' (Ch. Hubans). — 3. Sérénade
de
» «i»r« solo de violon par M. Barbu
Pr,lwT ,riët)i- Valse des Patineurs (L.
l (lU'^g Marche orientale (P. de
rau
Durand).
u La Maraei||aise (Rouget
5
I Fontmagnej.
-l
I
de rlsle)-^
L
{ ,j
che
e
musique :
P. PIRROT.
L'Association
amicale
, ' Sns militaires du 69» régiment
Infanterie
fait un pressant appel aux
tt
I «,MdS pour assister à la revue du 14
a
■ ïulU
u» et leur fixe rendez-vous à huit heu) leUart au siège social,
re
se muni? de l'insigne et des décora'.ions.
■■-.niant
R
f
f
f
ht
il
C des A. S.-O. de l'A. F. (section
J
van'cvl — Les membres de la section
^M
S à assister à la revue du 14
«ffuH et (trottoir de la place Carnot, face à
H maison Bellieni) ; cet emplacement est
I iSservé sur toute sa longueur aux sociétés
militaires. Il ne sera accessible qu aux
membres porteurs de leurs insignes.
"I
LTJnion occupera le rang n" 12.
Réunion à huit heures et demie sur
I remplacement mêmo;
ii
"
"
'
' «-'EST REPUBLtCAIM
'
Les Habitations a ta marche I s
au S
WjTs heures
tt
'
« Un bureau de bienfaisance, celui de
iNancy, a compris admirablement son de.
voir.
Dans un remarquable ensemble
<d'œuvres, il a créé une branche spéciale
]pour l'assistance par l'habitation. 5 mai'sons comprenant 18 logements de 4 pièces
<chacun, avec cave, grenier et buanderie,
«ont été construites. Ces habitations sont
'louées 20 francs par mois à des familles
Iformant ensemble un groupe de 160 per:sonnes. Un jardin de 2 a. 50 c. est corn1pris
dans la location. Une autre branche
1
est constituée pour le prêt de draps. 133
1
paires
sont prêtées, lavées et remplacées
,
chaque mois.
« L'œuvre
du Bon Lait a abaissé la
]
mortalité infantile de 32 à 5.9 p. 100
« La branche « Assistance par le jardin
» loue des jardins à 202 familles com|
posées de plus de 1,400 personnes, qui es:
timent à 100 francs par an le secours qui
leur est ainsi donné.
« L'œuvre de la protection de la mère
et de l'enfant oblige celle-ci au repos obligatoire et lui en fournit les moyens, tout
en veillant aux soins à donner à l'enfant.
« Voilà un bureau de bienfaisance qui
a compris que ses devoirs dépassaient la
distribution de maigres secours en argent,
et qui a fait reculer, dans la ville de
Nancy, l'abaissement moral et la misère
matérielle. »
j
négociant en chauffage, rue des Jardiniers, qui ont été consumés en partie par
un incendie qui s'est déclaré dans la nuit
d,
de
lundi à mardi, vers minuit. Toutefois,
c
!
connue
un tas de briquettes de lignite continue à se consumer lentement,une course
d
d'eau continue à noyer ces combustibles
J
jusque
complète extinction.
'
Renversé par un cycliste
Mercredi soir, le jeune Henri Guyot,
âgé de 14 ans, demeurant 18, rue Ville1
bois-Mareuil, jouait devant le domicile de
s
ses
parents, lorsqu'il fut renversé par un
c
cycliste qui prit la fuite.
L'enfant, qui
avait la jambe droite
ffracturée, a été transporté à l'hôpital où
1
il a été admis.
^Foijiqtt^îpoftiïe
JJ
CYCLISME
NANCY-LESVOSGES
Le Concours de Pronostics
î
Menus faits
Contravention
a été dressée contre les
r
onommés Firmin-François Bellard, âgé de
21 ans, correcteur d'imprimerie, demeur
(rant 8, route de Metz, à Maxéville, et
Georges-Pierre Regnard, âgé de 18 ans,
r
demeurant 26, rue de Montreville,
£peintre,
pour avoir collé, rue Grandville, des affir
ches non timbrées injurieuses envers le
fe
gouvernement.
Un ballon
Jeudi, vers 5 heures \ du matin, un bal1
lon est passé au-dessus de Nancy.
Il se dirigeait du côté de Pont-Saint1Vincent.
t
—
Conseil de Guerre
j-.
L'homologation de cette grande épreuve
ayant eu lieu mardi soir à la réunion du
comité de l'USCNE, le coureur Serrièro
Hubert en a été déclaré vainqueur, ayant
mis 10 h. 06 m. 47 s. pour couvrir l'étape.
En diminuant les quinze minutes de
neutralisation de Gérardsner, nous trouvons donc le temps exact de 9 h. 51 m. 47
' secondes.
Le rédacteur sportif du journal, après
avoir dépouillé les 852 bulletins de vote,
a trouvé les résultats suivants :
1™ Mme veuve Cordier, 31, rue du Faubourg-des-Trois-Maisons, qui avait pronostiqué Serriôre Hubert en 9 heures 50
minutes. Elle gagne le prix de 50 fr.
2° Mme Géant, 5, passage Digot, qui
avait pronostiqué Serrière en 9 h. 45 m.
50 s. Elle gagne une boîte de chocolat
Lorrain.
3° M. Robert Barth, 17, impasse Mazerny, qui avait pronostiqué Serrière en 10
heures 5 minutes 10 secondes. Il gagne
un litre de Kola-Export.
Ces prix peuvent être retirés dès à présent au journal.
**
i.n.
TRIBUNEHJBLÎQUE
A propos de la chasse d courre
Nancy, 11 juillet 1911.
Monsieur le rédacteur en chef
de l'Est républicain,
Dans le compte rendu qui vous a été
, communiqué de la réunion générale de
l'Association des chasseurs au bois do
Meurthe-et-Moselle, on lit :
« Une demande de fermeture de la
« chasse à courre en même temps que 'es
<( autres chasses est repoussée à la majo« rité. »
Comme auteur de la demande en question, je vous serais reconnaissant de me
permettre de compléter le dit compte rendu en expliquant la pensée qui m'a guidé.
J'avais demandé que la chasse à courre
fût close en même temps que la chasse à
tir, ou tout au moins réglementée.
Le régime actuel permet des abus into-
Chronique
g ——,
lérables, comme celui-ci, dont vient da
connaître le tribunal de Nancy :
Un chasseur ne pratiquant pas d'habitude la chasse à courre, fut surpris après
la fermeture de la chasse à tir
faisant
lancer, dans un bois, des lièvres par ses
chiens courants.
Us tribunal de Nancy l'a acquitté.
Cet abus, qui est très préjudiciable à la
repopulation du gibier, puisque tout chasseur possédant des chiens courants, des
terres ou dos bois, pourrait, sous le couvert de la chasse à courre, lancer les
chiens à, la poursuite du gibier au moment même de la reproduction et du repeuplement des chasses, serait donc sanctionné par la jurisprudence, si la cour
d'appel, saisie par l'administration forestière, confirmait le jugement du tribunal
de Na.Trcy.
Je ne suppose pas que telle a été la
pensée du législateur.
Veuillez agréer, monsieur le rédacteur
en chef, I'assuranee de meilleurs senti
ments.
N. STOI.TZ,
16, rue de la Commanderie.
Départementale
débitants, demeurant à Bulligny, sont
MEURTHE-&-M0SELLE ;ri,poursuivis
pour traudes de leur vin. lis
i
ont
mis de l'eau dans leur vin.
ARRONDISSEMENT DE NANCY
« C'était pour pouvoir vendre ce vin bou
J ARVILLE marché
j
et pouvoir satisfaire les petites
bourses.
Vol de légumes. — Des inconnus ont péLe vaguemestre indélicat. — Paul Boisnétré la nuit dans un jardin appartenant | M» Habert se présente pour tes contribugontier, de la 21" section des secrétaires
tions indirectes et réclame une lorte amenà M. Beaudoin, facteur, et ont dérobé une (de.
c
Dans le même rapport, nous trouvons d'état-major
et de recrutement, est pourassez grande quantité d'échalotes etd 'oi
M0 Guillaume, défenseur.
pour vols militaires et faux en écriles sociétés d'habitation à bon marché, suivi
j
gnons, estimés 25 fr.
25 francs d'amende chacun et 500 francs
dont les statuts ont été approuvés. Voici tures privées.
FROUARD d'amende
(
pour la régie chacun, quintuples
celles existant dans notre région :
t Porteur d'une commission de vaguemesUn amateur de galon. — Léon Lemaire, 'droits et à 0 fr. 77 centimes, montant des
tre, il était chargé de retirer chaque jour
Nancy
:
Le
Coin
du
feu
lorrain,
Le
1
fraudés.
nert des Trompettes Nancéiennes.—
le courrier de la section au bureau de
dit Badoff, étant au cinématographe, en- droits
'
rnn
j
"•L voici
le programme qui sera donné par Foyer lorrain, L'Habitation familiale, 49, poste
central. Il avait remarqué que le
leva le képi de l'agent Sigarani et se sau— Camille coliotte, commerçant, demeurue
Saint-Nicolas,
Société
anonyme
des
i
M i» société « Les Trompettes Nancéiennes »
vaguemestre de l'hôpital militaire laissait
va avec. Il s'en para dans divers établis- rant a Mont-l'Ktroit, est poursuivi en difla'
habitations à bon marché, 9, rue Grand- s
le jeudi 13 juillet, place du Bon-Coin, à
son courrier sur une table lorsqu'il allait
sements ; malgré les recherches, Lemaire mation par M. Royer Alphonse, marchand
ville.
t
toucher au guichet le montant des manhuit heures et demie du soir :
n'a pu être retrouvé.
de porcs, demeurant à Liverdun. Les diffaGhampigneulles
:
Société
d'habitations
(
dats qui lui étaient remis.
1 La 20e brigade (Magnier). — 2 En
mations ont été prononcées le 9 juin, JOUI
Bris
d'une
brouette,
—
M.
Alphonse
{
Le challenge de l'USHNE, fondé l'an
s
rna^se (Millot). — 3. Nancy, fantaisie à bon marché de Champigneulles à DieuIl mit à profit ces absences momentanées
de la foire à Toul, dans un café des enviBour,
domestique
au
service
de
M.
Mau.
|
rons.
nettes (Magnier).- 5. Louis XIV (Millot . louard.
pour s'emparer de nombreuses lettres. Il dernier et détenu actuellement par la Jeu- sa, négociant, traversait
la
chaussée,
Frouard : Le Foyer familial.
I
,
Ses Magnie). - 5. Louis XIV (Millot).
les
ouvrait, prenait les mandats ou bons ne Cycliste Nancéienne, sera mis en com- poussant une brouette. Survint une autoMP Miasson se présente paur M. Royer et
Lunéville : Le Foyer familial, 25, rue de
<
«
!_ G La Marseillaise.
poste et les faisait disparaître ensuite. pétition le 23 juillet prochain.
mobile qui atteignit la brouette, qui fut M" Habert défend Coliotte.
Sainte-Anne,
Lunéville.
Les sociétés de la Fédération désigneront
Le chef de fanfare, C. LEFEBURE.
Boisgontier trouva de cette façon de
, Le tribunal condamne Coliotte en 20 fr.
Longwy : Société des habitations à bon inombreux bons de poste en blanc et man- parmi leurs meilleurs cyclistes cinq cou- entièrement brisée. Le préjudice causé est d'amende
et 30 tr. de dommages-intérêts.
i)
marche de Longwy.
idats. Il toucha ces mandats en mettant reurs d'élite pour cette sensationnelle épreu- évalué à 25 fr.
— Michels Lucie, journalière a loin, est
PULNOY
Jœuf : Le Foyer de l'Est, 31, rue du la
1 mention : « Je certifie que le soldat X...
ve et l'attribution du challenge aura lieu
inculpée d'escroquerie au préjudice de Mme •
SoGiété de tir « Les Tirailleurs ». — La
Commerce.
<
par addition des points obtenus par les
Bréant, à qui la prévenue était venue emest
en subsistance à la 21* section. »
deuxième
assemblée
générale
ordinaire
Bar-k-Duc : Société anonyme barrisienprunter 6 francs pour Mme Hts. La temme
Des plaintes survinrent bientôt à l'ad- trois premiers.
ne d'habitations à bon marché, Société ministration
j
L'itinéraire est d'environ 150 kilomètres, de la société pour 1911 aura lieu diman- Michels fait défaut. Elle n'a jamais été
des postes et une enquête fut
che
prochain
16
juillet,
à
2
heures
salle
J
anonyme des habitations à bon marché iouverte.
, condamnée.
savoir : Chavigny,
Pont-Saint-Vincent,
de la mairie, à Pulnoy.
mit
MUSIQUES MILITAIRES de Bar4e-Duc.
Huit jours de prison.
Bainville-sur-Madon, Maizières, Thui.leyUn jour que Boisgontier présentait un
Ordre
du
jour.
—
Résultats
généraux
-n :
*"~~~"~~~~~~~~
Epinal : Le Coin de feu vosgien.
imandat qu'il avait visé, l'employé le re- aux-GroseilIcs, Bicqueley, Toul (contrôle
— Drapier Adolphe, 41 ans, marinier â
il
e
des
tirs
et
concours
de
1911.
—
ClasseSaint-Dié : Le Foyer dêodatien.
itint pour un motif quelconque. Le lende- tixej, Ménil-la-Tour, Bernécourt, Flirey,EsPÉPINIÈRE. — Musique du 37 d'inbord du bateau Le Surcouf, se trouvait a
^ tanterie (chef, M. Eranbry). — Concert du
Bouillonville, Thiaucourt ment des tireurs. — Distribution des prix. Lay-Saint-Kemy, quand sur une observa<>9<.
.
main, l'accusé présentait une fiche pour sey, Pannes,
—
Questions
diverses.
if jeudi 13 juillet, de huit heures un quart à
tion concernant le service que lui îaisaitune lettre recommandée. On rapprocha (contrôle fixe), Jaulny, Rambercourt, Un*> huit heures et demie :
PONT SAINT-VINCENT M. Charpentier, garde de navigation, sé
les deux écritures, et, rapidement, on fut ville, Pagny-sur-Mosélle, Vandières, Pont"
1. Marche Italienne (Rousseau). — 2.
convaincu que les signatures venaient de à-MousRon (contrôle fixe), Hatton, Nomeny,
Le 14 juillet. — Nous n'avons pu nous laissa aller, te 3 mai dernier, à outrager et
Cortège (E. Franbry). — 3. Barcelona,
la même main. Un agent de la sûreté,que Chenicourt, Agincourt, Colonies-Essey (ar- procurer le programme du 14 juillet ; menacer cet agent. Drapier est un sujet belgrande valse espagnole (Ch. Eustace). — 4.
rivée).
avait prévenu, arrêta
peut-être n'est-il pas encore arrêté définiLa réunion mensuelle de la Société cen- l'administration
ord. Nuit Persane (Saint-Saëns) : l'8 partie : la
« Je ne recommencerai plus. »
Le départ aura lieu à dix heures du ma- tivement. En tout cas, l'Amicale organiaussitôt Boisgontier.
e
trale
d'horticulture
de
Nancy
avait
lieu
fête Solitaire, la Brise ; 2 partie : au Cimetiè16 tr. d'amende.
.
Celui-ci reconnut à l'instruction s'ê'.re tin.
sera, croyons-nous, une retraite aux flamdimanche
matin,
à
9
heures
et
demie,
salle
s du re ; 3" partie : Sabre en main. — 5. Marche
— Dumanois Jules, né et demeurant a
procuré ainsi une somme de 150 fr., mais
beaux le 13 et fera tirer le 14 un feu d'arde
l'Agriculture,
rue
Chanzy.
Elle
était
du couronnement de la Muse du Peuple
Thiaucourt, étant ivre, a outragé, le ï juilqui est bien inférieure à la réalité, si l'on
tifice sur la Moselle.
présidée par M. Le Monnier, président de
hip- ^G. Charpentier). — b\ Pan et Pipeaux (J.
let, le gendarme Bur.
considère que son trafic dura plus de trois
e ce- Donjon).
NEUVES-MAISONS
la Société, auprès duquel avaient pris mois et que les militaires reçoivent des
« Je ne me rappelle de rien. »
: dtplace : MM. Barbier, vice-président ; Emi- bons de poste en blanc dont l'insertion est
La petite fleur bleue. — La généreuse
Les renseignements lournis sur le prè>
dî
Du 12 juillet
idée de faire vendre la petite fleur bleue venu sont bons.
PLACE MENGIN. — Musique du 79" ré. le Lemoine, secrétaire général ; Bel, tré- interdite dans les lettres. Pour ne pas
c
sorier.
le jour de la fête nationale gagne de plus
25 fr. d'amende.
L ï giment d'infanterie (chef, M. Lachet). —
s'exposer à récolter 50 fr. d'amende, les
Naissances
en plus de terrain.
Toutes les tables disponibles étaient gar- expéditionnaires n'ont pas réclamé.
— Puth Ferdinand, journalier à Toul, a
Concert du jeudi 13 juillet, de huit heures
Eugene-François-Xavier
Schmitt,
rue
nies à profusion des apports provenant
Comment en serait-il autrement, puis- commis de nombreuses escroqueries chez
. â neuf heures et demie :
Boisgontier déclare avoir yolé pour sa- Clodion, 11. — Jean-Georges-iPaul Moser,
s ott
qu'il s'agit d'une belle œuvre, patriotique M. Besançon, cantinier à Uruiey, i irancs ;
P
Allegro milïlaire (JLachet). — Ouverture des cultures de MM. Lallement, jardinier tisfaire aux exigences d'une femme don\
rue de Mon-Désert, 148. — Charles-Marcel- au premier chef.
nou s
îî. Henry Paul, épicier, 30 francs ; M.
, de la Petite Bohème (Hii-schmann). — Mar- chez M. Cournault, à Malzêville ; Goury, il avait fait connaissance.
Adrien Volff, rue du Sergent-Blandan, 61.
!
Nous apprenons avec plaisir qu'on ne Simonaire, entrepceitaire de bières, 20 fr.r
°* clie Triomphale (Vanremoortet). — La| jardinier à l'Ecole nationale forestière ;
Après plaidoirie de Ma Moreau fiis, le r— Marcelle-Marguerite Dubois, rue des
vendra pas seulement vendredi prochain M. Brocard, de Bruley, 7 francs.
Mousmèe (Ganne). — Carmen, sélection! Renard, maraîcher à Nabécor-Vandœu- conseil le condamne à deux ans de prison Quatre-Eglises, 56.
1 aus
Le prévenu fait défaut. Le ministère pu(Bizet). — Le Bouquet de Marguerites. vre ; Louis Adam, jardinier à Saulxures- et 100 fr. d'amende.
la petite fleur bleue à Nancy, à Toul, à
1 s0
Décès
les-Nancy.
' (Kieffer).
Commercy, mais un comité de dames s'est blic demande au tribunal d être très sévè***
Léon-Panarace-Micnel
Bernhard,
20
ans,
re.
M. Renard reçut les félicitations de la
Désertions. — Rivolet Adolphe, soldat au' ehapelier, rue de Tomblaine, 47. — Marie formé, pour la vendre, à Neuves-Maisons,
Six mois de prison.
commission d'examen pour son superbe
à Pont-Saint-Vincent, à Chaligny, à ChaPARC SAINTE-MARIE. — Musique du.
d5f>"
'régiment d'infantrerie, avait [obtenu
Feisler, 73 ans, journalière, veuve Wolff, vigny.
— Igel Frédéric, mendiant, de passage à
,ourir 26" d'infanterie (chef : M. Hubert). — lot de légumes.
aux environs du Nouvel-An une permission rue de Boudonville, 51-53. — Marie DemanM. Lallement présentait une collection pour se rendue dans sa tamille à Paris,mais
| vé!o Programme du jeudi 13 juillet 1911, de,
On connaît l'excellent esprit des popula- Remenauville, a volé une montre à M. Mangel, 39 ans, sans profession, épouse Guil^m 8 h. 15 à 9 h. 30 du soir :
de pavots, pétales entiers et pétales fran- il ne rentra au corps qu'après une absence her, à Abainville (Meuse). — Marie-Antoi- tions de la Haute-Moselle.
Nul
doute ginot, propriétaire â Remenauville.. igel
1. Marche des Etudiants (Bresles). —
gés, de toutes nuances du plus heureux illégale de 520 jours.
qu'elles
n'accueillent,
avec
faveur
et
gé- fait défaut. 11 a été condamné plusieurs
nette Bedel, 6 mois et 12 jours, rue Jeanfois.
2. Egmont, ouverture (Beethoven). — 3.
effet, et une bonne collection de légumesnérosité,
la
petite
fleur,
charmant
symbole
Aux fêtes de Pâques, n'ayant pas obtenu not, 14 bis. — Daniel Surer, 80 ans, retraiUn an de prison.
> au La Périchole, sélection (Offenbach). — 4.
M. Goury montrait une jolie collection de permission, il usa d'un subterfuge qui té du chemin de fer, Grande-Rue, 122. — de grâce et de charité.
Souvenir de Baden-Baden, valse (Bous- d'Impatiens Holstii.
Rête
nationale.
—
Grâce
à
l'initiative
LIVERDUN
réussit parfois. Il se hit adresser de faris Eugénie-Mélanie Ferry, 49 ans, aubergiste,
quet). — 5. Salammbô, fantaisie (Reyer).
Enfin, M. Adam exposait aussi un lot par son amie une dépêche disant que sa épouse
Vincent,
à
Lay-Saint-Remy des commerçants et de leur parfaite enPlainte.— M. Jacquemin Adolphe, mix mi "*~
La Foire au pain d'épice (Rivet).
tente
avec
la
municipalité,
Neuves-Maide fleurs et légumes variés.
sœur, en traitement d'anémie, venait de (Meurthe-et-Moselle).— Hélène-Marie Clauneur à Pompey, a porté plainte pour un
Venait ensuite la série des plantes cu- tomber gravement malade. Rivolet ayant de, 5 ans et 8 mois, à Villers-les-Nancy sons fêtera joyeusement le 14 juillet. En vol commis à son préjudice. Cinq plan- .
voici
le
programme
complet
:
BRASSERIE MICHAUT. — 14 juillet, rieuses et peu connues : toutes les varié- obtenu quatre jours d(e permission, les pas- (Meurthe-et-Moselle). —
Jean-Marie-Edches de sapin auraient disparu. L'auteur
13 juillet.— 6 heures du soir : Salves de ce vol est connu.
cinéma en matinée et soirée. Cadeau à tou-I tés des nymphnea qui vont faire à l'issue sa joyeusement en compagnie de son amie mond Martin, 40 ans, commis des postes et
tes les dames.
\
d'artillerie.
Sonnerie
de
cloches.
De
5
à
de la séance l'objet de la conférence de et au lieu de regagner son corps, il préféra télégraphes, rue de Strasbourg, 162.
lancy.
9 heures, chevaux de bois gratuits pour
M. Laurent aîné, de Rosières-aux-Salines, rester dans un hôtel meublé de la rue Bi—
• *.«- ©
—'—1
Transcription
les enfants des écoles. Retraite aux flamSPECTACLESy puis de nombreuses plantes curieuses cul- chaton, se dissimulant sous un faux nom.
Charles-Léon
Dêmoïne,
»j
ans,
facteur
beaux à 8 heures et demie. Illumination
EDEN-THEATRE, CINEMA PATHÉ.--- tivées par M. Brégeon, chef des serres du C'est là qu'il fut arrêté le 10 juin dernier. des postes, décédé le 27 juin 1911, à Grimon- des édifices publics.
ge * Ueux
représentations
supplémentairesB Jardin botanique de Nancy, notamment le — Par 4 voix contre 3 ayant prononcé une viller (Meurthe-et-Moselle).
14 juillet.— 6 heures du matin : Salves
rater- (matinée et soirée) auront lieu, à l'oca- Crinum giganteum, magnifique amarylli- peine plus forte, le conseil condamne Rivoet sonnerie de cloches. 8 heures, distriildats. MU de la Fête Nationale, dans la salle5" dée de l'Afrique tropicale, enfin des ra- let a six mois die prison,
bution de bons de viande à domicile. De
a
— Paquier Charles, caporal à la 238 secélégante, si confortable, de la rueE meaux de beaux arbustes d'ornement proARRONDISSEMENT DE COMMERCY
9 à 10 heures, concours de tir au stand de
ivi» MORTUAIRE
e- Bénit.
venant des pépinières de l'Abiétinée, aux tion d'intendance, est poursuivi pour déserrang
l'école des garçons. Onze heures, distrie
Le
tion
à
l'intérieur.
soins
de
M.
Didier,
son
érudit
directeur
;
« ,Q
spectacle a été spécialement choisi.
.MELIGWY-LE-PETsT
- 11. Les
faims d'art Pathé SQnt de véritables on y voyait : l'hydrangea arborescens
Le 18 mai, il quittait Nancy pour se ren- I Vous êtes prié d'assister aux convoi fn H bution des prix de tir à l'école des garil tièbre, service et enterrement le
çons. Midi, salve et sonneries.
s
dre à Paris ; le 30 mai, il se présentait voBizarre accident.— On nous écrit :
rae
re
d art La
grandiflora,
création
de
MM.
Lemoine
et
'
n^' f
^ène historique de BoDeux heures, départ d'une course cylontairement à son corps,
« Mme Brainchmann étant aux fraises,
riwe et Piche8r» dégage une intensité6" fils, rustique, très florifère, ooreria japocliste, à laquelle peuvent prendre part sa chevelure s'est accrochée à un églanA
la
minorité
de
favieur,
Paquier
a
été
m.- a «motion remarquable ; Les deux che- nica en fruits, des fleurs de magnolia gran- acquitté.
tous les amateurs (Neuves-Maisons, Ton- tier et elle était retenue tel Absalon,
Commis des Postes et Télégraphes
0I
COntl
ent urie le
n de
noy et retour). 2 heures et demie, distri- quand, par un hasard heurenx vint à
V un i
?T
Ç°
morale et" diflora, l'eleagnus edulis et l'eleagnus reVols militaires. — Laleuf Etienne, du 60e
a
m
in ime ; Bill
flexa, etc....
décédé à Nancy, le 13 juillet 1911
bution aux enfants des écoles de mirli- passer M. Brocard qui, entendant ses gétiêr H? S
£
y ^Prend son méG
ur
d'a.rtilierie,
à
Toul,
est
inculpé
de
vols
midans
sa
4P
année,
Après
le
dépouillement
de
la
corresponchauffeur \
une Automobile emtons et éventails. Vente de fleurettes trico- missements, s'est porté à son secours et
litaires.
muni des sacrements de l'église
r P
En
roie à un
'"
dance
du
mois
et
l'expédition
de
diverses
'
S
P
violent désespoir
lores au profit de la caisse des écoles.
a pu non sans peine la dégager de sa
Plusieurs vols s'étant produits dans la 3e
qui
auront
lieu
le
vendredi
14
juillet
1911.
à
a amour, Rigadin veut mourir, mais ses* affaires comportant notamment ouverDe 3 à 5 heures, au Point-Central : lâ- triste position.
er
9 heures du matin.
. wnestes projets échouent et i toit ptrz ture de crédits pour participation de la batterie dans le courait d'avril, le 1 mai,
cher
d'un
montgolfière.
Jeux
divers,
mâts
SA t NT-M i H SEL
Société à la fête des fleurs du 14 juillet et Une perquisition générale fut opérée dans B De l'église Saint-Pierre on se fendra au
de cocagne .course en sac, etc., etc. ; de
de Préville où aura lieu l'inhumapour l'achat d'ouvrages destinés à la bi- les paquetages de» artilleurs de la batte- g cimetière
Vacances judiciaires. — Le service des
nombreux
prix
offerts
par
la
municipation.
bliothèque de la Société, MM. Brégeon et rie ; dans celui du canonnier LaieuT, o«
lité et les commerçants et exposés à la vacations est ainsi fixé :
Maison mortuaire :
;
Didier prirent successivement la parole trouva différentes choses : un porte-monAudiences : les mercredis 9 août, 23
maison de cycles Cuvillier, récompensenaie
volé
à
un
brigadier
au
camp
de
Mail162.
rue
de
Strasbourg.
août, 6 septembre et 20 septembre.
'. pour donner d'intéressants détails sur l'oront les efforts des matcheurs.
ly,
des
bandes
molletières
volées
à
un
tieuDe la part de Madame veuve MARTIN,
La rentrée solennelle du tribunal est
' rigine et la culture des plantes apportées
8 heures, banquet des pompiers au restteinant de la batterie, un manuel de lannée GHOLLIER, «a mère, et de toute la
reUS€ment Par Une
en séance.
fixée au lundi 2 octobre, à 11 heures du
taurant Eury.
e
gues appartenant à un maréchal des logis,
, de la 'éconclualS^ genéraTè
famille.
Divers rapports de la commission de vi9 heures, illuminations, feux de benga- matin.
un couteau de l'armée suisse volé égaleIl ne «cru
envoyé «le lettre* B le, fusée.
sites des jardins furent ensuite déposés ; ment.
Tribunal correctionnel. — Audience du
A
9
VS
n e 168 JeUX à Si
a
«te ruii-e part, le primant mvim «n B
Le maire de Neuves-Maisons mettra lî juillet 1911.— Bruch Henri, 34- ans,
; a^ Pore
ah ^ f' ' '
"8 H- lorsqu'enfin l'ordre du jour fut épuisé, M.
Laleuf prétend n'avoir volé aucun de ces
tenant
lieu.
ur
er
t le président donne la parole à M. Laurent objets : le porte-monnaie, il le trouva vitous les cafetiers de sa commune dans serrurier, sans domicile fixe, qui dévalisa
aîné, pépiniériste à Rosières-aux-Salines. de, les bandes-molletièree il les a achetées
la joie. Il vient en effet de prendre un de nombreuses loges, a un casier judiN S DU
M. Laurent, on le sait, devait traiter dans son pays natal, etc. Ces objets ont été
arrêté leur accordant minuit le 13 juillet ciaire bien rempli. Le prévenu reconnaît
N A L compmin n 't° entre autres
"ATHÉ-JOURde la culture des nymphaea, ces belles pourtant K>rmeiiemieint reconnus par leurs |
et la nuit le jour de la fête nationale.
»e président ^u-'-eres a
actualités,i
ses cambriolages et il ne nie nullement
KKMIîltt'JKMÏil^'rs
n
>Circuit d'OTiaTmn
- Amsterdam,
lé plantes aquatiques déjà présentées par propriétaires respectifs.
être sous le coup d'un arrêté d'expulsion
1t
arrivêe de
VÉZLISG
*t Vidart à v/nnc > nes
Beaumontt lui dans diverses expositions de la Sociédu 2 avril 1906. Depuis il a passé sa vie
L'accusé se défend avec beaucoup d'habi- I La Famille CONRARD remercie bien sin H
cliste de Pari«
?P
. le grand-prix cy-. té où elles accaparèrent la faveur du pu- leté et proteste énergiquement de son inno- B cèrement toutes les personnes qui lui ont B
Cyclisme.— Nous apprenons qu'une so- à voler, il a villégiaturé de prison en
aaIa
.opîie»1 Picfue, M «»!■'
y, champion britan-. blie
fl témoigné de la sympathie à l'occasion du S ciété de cyclistes est en voie de forma- prison : à Paris, à-Nancy, à Toul et à
cence. — Acquitté.
essi
forgrinaugure
.¥
my,mlnistre de la guerre,
g décès de
Après avoir demandé, comme orateur,
tion à Vézelise. Nous aurons l'occasion Saint-Mihiel même. Bruch, par suite de
S
^itiqae
V
comité des fêtes de gymnas-,- une indulgence dont il n'avait certaine.
-s»-®-*
■
—.
de revenir prochainement sur ce sujet.
ces quatre dernières condamnations, est
a
R
fète
reléguable.
ui*
EPRE8ÊM S».
annuelle, etc.ment pas besoin, M. Laurent fit une raq
s
TA
T
,0M>
:
m#iwiHet,
matin ■ e T
vendredi
144 pide étude des plantes aquatiques en géARRONDISSEMENT DE TOUL
Après réquisitoire serré de M. Franck,
Té
,fp^ e ; di n^ ^ soirée ; samedi 15, soi-- néral, classées par les horticulteurs en
||
\ntoinette NÉtJUIN
ma
TOUL substitut du procureur de la Républila^,
«manche
16, matinée et soirée!
que et plaidoirie de son avocat d'office
quatre grandes catégories : les plantes
COMMUNIQUÉS
Bulletin militaire. — Mercredi, à huit M6 Mathieu, Bruch est condamné à un
marécageuses, émergées,
immergées et
at
0 R
0
ts 1 P ma" e ^? ', Skating.Rink, séance de3 flottantes ; après avoir montré quelques
heures
du
matin,
les
officiers
et
sous-ofan de prison et à la relégation.
Société de Santifontaine. — Dimanche,
1T1fero»
^.^J^us les mercredis soir
ficiers du 39" d'artillerie sont allés à la
— La femme de ménage de M. Dûrr,
spécimens des plantes des 1" et 2e catégo- cette société a tenu son assemblée angare faire leurs adieux au Golonel Gui- café du Progrès, nommée Delvallez Hélèamisries, M. Laurent aborda l'étude des nym- nuelle dans une galerie de la salle PoiEn
pon, récemment nommé au camp de Châ- ne, femme Touchet, a profité de ce qu'elle
rel.
Obligations foncières 3 % 1903
phaea qui appartiennent à la 4° catégorie.
lons. Cette manifestation spontanée * de faisait la chambre d'un locataire, BouM. Collet, le président, a énuméré diEnfin, il fit passer sous les yeux des asLe numéro 115.424 gagne 150.000 francs. sympathie a profondément ému ce chef doux, garçon brasseur, pour lui soustraiobtenues dans ce
sistants des fleurs des principales variétés verses améliorations
Le numéro 539.966 gagne 30.000 francs. aimé et respetê de tous.
re, dans une malle,un coffret en bois rencultivées par lui : Ja>"nes Brydon, colossea, quartier, jusqu'alors si délaissé : lanterLes numéros 81.447 — 210.444— 104.719
B,
1
l anée Eau de
Mordu par une vipère. — Mardi soir, fermant 30 francs La prévenue, soup"« Vlohl
Vichy gazeuse à basa
nes
à
gaz,
bornes-fontaines,
boîte
aux
letu *.
candidissima,
Au:
ora,
Cromatella,
Vésu73.568
—
175.031
—
595.708
—
258.892
—
,„„. JD
^
y-Etat. 2»- le flacon de 100 comprimés.
un ouvrier bûcheron travaillant dans le çonnée de suite, nia d'abord, mais une
ve, Robinsoni, etc.. L'auditoire, qui s'é- tres. Le chemin de la Côte va enfin possé- 441.612 gagnent chacun 5,000 francs.
bois de Gondreville, a été mordu par une ' perquisition ayant fait découvrir le cofdtl
-^-»-<9——
tait accru, pour entendre le conférencier, der un égout.
Les cent trente numéros suivants ga- vipère. Le docteur Brullard a fait deux fret, elle avoua. Vu ses bons antécédents,
d'une section d'élèves de l'Ecole normale,
Plusieurs sociétaires ont émis des vœux gnent chacun 1,000 francs :
Sta,i
piqûres à cet ouvrier et à cette heure tout Hélène Touchet obtient la loi de sursis
fit à M. Laurent un vif et légitime suc- — approuvés par l'assemblée — en vue
5.493
6.942
7.174
9.281
9.881 danger est évité.
pour les trois mois auxquels elle est concès.
a
d'obtenir
d'autres
améliorations
;
exemple
16.179
22.244
27.988
29.952
33.413
Jj^etf
Mois de juin 1911
Remise d'un drapeau. — Le 14 juillet damnée.
Co
de SainteLa séance prit fin à 11 heures. Les as- la couverture du ruisseau
33.968
37.283
38.869
39.022
39.633 prochain le drapeau du nouveau 6e régi1 che n
Pour coups et blessures : Harbonnier
^ grippe i'
;
- Diphtérie ot croup, 1.-_ sistants, en se séparant, se donnèrent ren- Anne.
47.078
50.957
52.369
53.232
54.66? ment d'artillerie de forteresse sera remis Hubert, manœuvre à Saint-Mihiel, paiera
es ro;Uad
Ont été élus membres du comité : MM.
ddh'^'l'ùbeivni.
ies épidémiques,r
dez-vous pour le dimanche 23 juillet, à 10
58-316
60.041
60.197
65.026
69.923 à Paris, au colonel et à une délégation 20 francs d'amende. — Richier Paul, 34 '
ulose (|,
oroie ""bercuif, 'f
<'s poumons, 20. - Tu-. heures du matin, rue Bagard, pour en- Mathieu, maire de Laxou ; Demetz, chef 72.276
73.597
80.207
81.555
85.605 d'officiers et sous-officiers de ce régi- ans, serrurier à Saint-Mihiel, 20 fr. d'aSP
|Ul0ses 3 tles méninges, t.- Autres tuber-t.. tendre M. Thirion traiter de la culture de bureau à la compagnie de l'Est, retrai91.946
96.857
98.087
99.528 102.501 ment.
mende. C'est l'épilogue de cette scène du
ali
1
e1
-rt? !?ties "H~" V'; !"' ' et autres tumeurss du Chrysanthème à grandes fleurs et de . té ; Monnot, horloger-bijoutier. Il impor- 103.903
106.284
114.007 121.123 128.44*
Tribunal correctionnel. — Robert Vin- 27 juin pendant laquelle Richier mit en
le laX1s!io", hèm^ Mci)"»K'ite simple, 3.- Con- ses applications pratiques.
te de rappeler que, vu une étroite commu- 130.204
131.535
134.532 138.557 148.381 cent, sujet alsacien-lorrain, expulsé par si piteux état Honoré Drupt, peintre, qui
as^ 'veau,^mon;ag,e oi ramollissement duU
nauté d'intérêts Laxou est rattaché aux 151.074
1-52.357
154.302 185.92-1 191.982 : arrêté du 30 janvier 1897, est rentré en ne fut dégagé et a échappé à des blessu—
-«tfv^-^,——
ladi
pe) f& - Bro„n , ;;
e^.organiques du cœur,t
■ attributions du comité de Santifontaine. 193.725
194.882
195.345 212.211 217.121 France.
res autrement graves que grâce à l'interh
Iir
Amicale Didion et Saint-Sébastien. — 226.5ÎK
231.468
236.937 237.866 244.69C i
es e*X~~
o rhr I, u,,1Ome- et- a Pneumonie,s,
Commencement d'incendie
« Je ne peux vivre qu'en France », dit- vention efficace du capitaine de chasseurs
lû 0
t
La
fête
champêtre
annoncée
pour
le
di246.160
246.600
254.298
255.730
264.71E
sur
. !'Mei
°J' -f
«lr«s affec-il. Il a déjà subi plusieurs condamnations. à cheval de Heine. Les prévenus peuvent
Mercredi, vers midi et demi, un commen?
01
ai r 101
16 juillet est remise a une date 274.326
283.371
284.01A 296.161 29S.55Ê ; « Je demande l'indulgence du tribunal ». s'estimer heureux d'en être sortis à si bon
n enièvh
' '•es|)ii-Hloire,20; - DiarC- cément d'incendie s'est déclaré ruelle de manche
qui sera ultérieurement fixée.
301.789
302 228
303.934 310.950 299.55? ; — Un mois de prison.
i.
rEsprit,2, près .de la rue PéisiWea.chez Mme
compte.
<
Les sections de gymnastique et de tir -333.419
337.253
343.001 342.051 351.931
des "K^^e du i''^uclions mioslinales, 2. — Lecossois Eugène,
sans profession
- veuve Humbert. Le feu, qui a pris naissanToujours pour coups et blessures : Mof< I0
Né
par M. le commandant 353.517
362.842
373.164 374.123 334.395 : ni domicile fixe, est iaculpé de vagabond» ^t ^^U
' : ~
PA>lt* e» maladiee ce dans une armoire à linge, a pu" être seront inspectées
I rizot Honoré. 51 ans, et Michenon JulesDuchAne du 2C5 régiment d'infanterie, le 387.423
T 11 ncurs 11011 cancéreuses
393.255
395.986 400,155 4w.47i i ] dage ; il est né en 1897 à Damrnarie,près I Noël, 25 ans, manœuvres à Montigny-ded'invlX f U'es tii-ii.^Ts éteint par les locataires. Lesi pompiers
18010
samesâi 22 juillet, â huit heures un quart 400.583
404.217
ifii
498
407
038
408
10?
inc
^me?"
» de?, organes génitaux de
I
Bar-le-Duc.
e avaient été appelés, mais ils n'eurea* pas
Vaucouleurs,' 20 fr. d'amende ohacun.
416.261
421.653
42&49S 423.859 434.071 i
. la 'T" Ue confo,",r, UL'bllite congénilalo et vi-i- â intervenir. A Leur arrivée, tout était ter- du soir, au siège social.
II a quitté ses parents depuis le 3 mars.
A la suite d'un vol de houille commis
3
■Ancîens enfants de troupe, — Lw pro- 434.757
437.540
442.025
444.186
44i,8W
■issuf
-Mo?
V;^"'. - ~
l>''biliiô sénile,
I
Cet enfant ne vit que de maraudes.
s, miné. Les dégâts évaluée à 100 fr. sont asen octobre 191b la gendarmerie ne fut apscC
Sll
101en les
chaine
réunion
des
enfants
de
troupe
au453.445
468.213
476.275
483.942
484.00;
),
surês.
I
« .Mon père me nattait. »
■
olal^- icido
(suicide excepté),
pelée à ouvrir une enquête que le 27 juin
Aull
ra lieu samedi 15 juillet, à 8 heures | du 488.786
489.530
490.799 493.289 506.98'; '
trée "lrJl„'1lclles lnCom
'°s maladies, 2t. —
Le tribunal déclare qu'il a agi sans dis-■ dernier. Le prévenu, Bonjean Kcimond, 31
Le feu rue des Jardinière
sofr, café de la Bourse, place Dombasle. 520.748
■nai, i 'connues ou mal définies, 5, 521.817
523.061 526.886 531.945 : cernement et l'acquitte,
I ans, ouvrier d'usine à Sorcy, nie energi9l(
Mercredi matin, les pompiers ont quitté Tous renseignements utiles s&ront donnés 534.208
534.454
545.289 552.474 556.875 i
— Mme veuve Grillot, née Augustine Pe-■ quement. Le tribunal l'acquitte.
défioiitivÊiment les chantiers de M, Culot, à la réunion.
35&5S6
581.258
589.861 590.115 593.371
rez, et Gauler Auguste.nè en 1843, son ma-. I
_ Rour délit de pèche, outrages et vio^
l
S
4
»II
DU 20° CORPS
nj
Union vélocipédique de France — Championnat régional, fond 100 kil. des licenciés indépendants. Prix « Le Globe ». —
Le championnat régional des indépendants sera couru à Charleville le 23 juillet sur la route Mohon-Margut et retour
rente superbe comme profil et comme
sol.
Les engagements sont reçus au siège
social de l'Union cycliste ardennaise, café
Bourdon, cours d'Orléans à Charleville,
moyennant deux francs et accompagnés
du numéro de la licence.
Le champion départemental sera engagé à titre gratuit.
'i
" $PEYELES-£OEERTS
Société centrais d'horticulture
ETAT CIVIL
MEUSE
- g.
1 Monsieur Edmond MARTIN i
rlt, " btlâ
gH
I
i
J
5
1
è
GROUPES
et
SOCIÉTÉS
1 Madame Veuve CONRARD §
J
TIRAGES FINANCIERS
ftSIÉS VICHV-ÉTAT
I
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%e dâmoaraphique st médicale
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;,r
tance», Pierquin Aimé, 27 ans, journalier à
toaurt-Mihiei, par défaut, nu francs crânienno et quinze jetors de prison.
— Oiraudon Louis, ZI ans, et va.ubourg
ttli Roy Marins-Henry, 15 ans, cultivateur
e Lommercy, sont prévenus de mouillage
«e lait. M. le commissaire Caclieux a prélevé du lait dans la rue Carnot, lors de la
distribution de ta marchandise.
Giraudon, Le patron, et son domestique
yaubourg nient avoir' baptisé le lait. La
traite a été faite par la belle-mère, une dame Payard, le lait a passé en différentes
mains, qui a opéré le mouillage '! Nul ne
te sait, en tous cas, ce n'est pas moi, proteste le patron ; moi, non plus, ajoute le
domestique. Lo tribunal, embarrassé, sans
(toute, acquitte les deux prévenus, « attendu, dit le jugement, que le lait a été manipulé par plusieurs personnes ».
Giraudon et Vaubourg de profiter du
doute et de l'impossibilité d'établir leur culpabilité.
— L'Est républicain a narré en 3on temps
la scène qui se dérouta, le jour de la Pentecôte, à Savonmeres-en-Wocvre. Un garçon de culture, sujet allemand, âgé de 23
ans, le sieur Hûther, au cours d'une discussion au jeu de quille et sous le prétexte
le plus futile, frappa le soldat Potitioux,
en congé, d'un coup de couteau au coude
et blessé grièvement le jeune Delietncourt
â la tête et au ventre. La victime fut quelques jouns entre la vie et la mort. Le docteur Barbier, qui ne put se prononcer avant
plusieurs jours sur la gravité des blessures, craignait une péritonite.
Heureusement, iî n'en fut rien et à l'audience, le jeune Beliencourt a pu déposer,
il n'est pas guéri complètement cependant.
Poursuivi en correctionnelle pour coups et
blessures avec cette circonstance qu'ils ont
entraîné une incapacité de plus de vingt
jours, Hûther est condamné à deux ans
de prison et 50 francs d'amende.
—Le tribunal a rendu sos jugements dans
l'affaire des manuels scolaires. Pour infraction à la loi de la séparation du 9 décembre 1905, provocation a la désobéissance aux lois, dans des dis-cours, à l'église,
l'abbé Sauvage, curé de Bouconville, et
l'abbé Mirouël, curé de Seuzey, sont condamnés en chacun 50 francs d'amende.
L'abbé Horlier, curé de Woimeby.ne s est
pas contenté de dire, comme ses confrères,
« que les entants qui se serviraient des livres défendus seraient privés des sacrements eit ne foraient pas leur première
conmiunion », il a, en outre, distribué une
brochure dans laquelle il attaquait l'instituteur.
Le jugement cite différents passages de
cette brochure : la neutralité de l'école est
un leurre, etc., etc. Ce fait est pour le tribunal une aggravation de cutpabilitê pour
l'abbé Horlier, qui est condamné à 100 fr.
d'amende.
bribeurs, nommés Jean Jeandey et Jules
I Géhin, manœuvras ù ltemi ivniont, qui,
nuitamment, avaient tout simplement mis
à soc, à la prise d'eau de la Moselle, la
| rigole d'alimentation du canal do l'Est,
pour capturer plus facilement le poisson.
LE THILLOT
La foire.— La dernière foire n'a pas été
forte, les cultivateurs étant occupés à renI trer les fourrages ; les porcs valaient 80
I francs les 50 kilogrammes vif ; le bétail
était
toujours cher.
1
ARRONDISSEMENT DE SAINT DIE
SAINT-DIÉ
Les fêtas franco-américaines.— Les préparatifs des fêtes de Saint-Dié sont poussés activement ; peu à peu les rues se pavoisent, les arcs de triomphe s'élèvent ;
I installation des
illuminations par
lu
maison Hilluireau, de Suinl-Ouen, est ù
peu près terminoe.
L'aérodrome de Sainte-Marguerite est
en état. Chaque matin, une uilluence considérante de curieux " séjourne pendant
des heures entières dans l'espoir d'a^ister aux essais du monoplan Lecomte.
Chaque matin, jusqu'alors, cet espoir a
été trompé- Une pièce essentielle, impatiemment attendue par l'aviateur, aura
immobilisé l'appareil jusqu'au
dernier
moment.
On compte toujours sur Chevalier (Nieupert) et Robinet (Sommer). On espère
aussi la participation des lieutenants de
Malherbe et Jost ; le premier de ces officiers aurait même l'intention, si le temps
est favorable, de venir de Sedan par la
voie des airs.
Les trains spéciaux. — La compagnie
des chemins do fer de l'Est a l'honneur
de porter à la connaissance du public
qu'à l'occasion dos fêtes franco-américaines de Saint-Dié, elle mettra en marche
des trains spéciaux aux heures ci-après :
Les 15 et 16 juillet. — Saint-Dié, dép.,
10 h. 36 soir. — Saulcy, 10 h. 46. — SaintLéonard, 10 h. 52. — Corcieux, 11 h. 08.
— La Houssière, 11 h. 13. — Biffontaine,
II h. 20. — La Chapelle, 11 h. 26. — Laveline, 11 h. 35. — Bruyères, 11 h. 43. —
Laval, 11 h. 48. — Lép'anges, 11 h. 54. —
Deycimont, 11 h. 59. — Docelles, minuit
06. — Jarménil, minuit 13. — Arches, minuit 20. — Dinozé, minuit £9. — Epinal :
arrivée, minuit 37.
Le 16 juillet. — Baccarat : dép., 10 h. 30
matin. — Raon-l'Etape, 10 h. 42. — Etival
10 h. 50. — Saint-Dié, arr. , 11 h. 04.
Le 16 juillet. — Saint-Léonard, dép. :
11 h. 06 soir. — Anould, 11 h. 12.— Fraise,
arrivée : 11 h. 21.
Le 16 juillet. — Etival, dép. : 11 h. 13
matin. — Saint-Michel, 11 h. 20. — SaintDié, arrivée : 11 h. 29.
. Le 16 juillet. — Saint-Dié, dép. : 7 h. 25
soir. — Saint-Michel, 7 h. 35- — Etival,
arrivée : 7 h. 42.
Le 16 juillet. — Saint-Dié, dép. : 6 h. 29
soir. — Saint-Léonard, arrivée : 6 h. 41
soir.
ARRONDISSEMENT DE NEUFCHATEAU
(Continuation sur Anould et Fraize à
NEUFCHATEAU l'heure habituelle.)
Concours de juments poulinières et pouLes trains du service régulier seront
liches. — Ont été primées dans l'ordre sui- doublés suivant les besoins.
vant, au concours qui a eu lieu à NeufNAYEMONT-LES-FOSS5SS
chàteau le mardi 11 juillet :
Entre sœurs. — Mme Jeanne Kuster,
1° Juments poulinières. — 1 Canine, à
ménagère à Nayemont, a porté plainte
M. Audinot, à Frain ; 2 Reinette, à M.
contre sa sœur, Mme Chanal, qui lui auCremel, à Urville ; 3 Biche, à M. Marchai,
rait crêpé le chignon et l'aurait frappée
à Pargny-sous-Mureau ; 4 Coquette, à M.
Montigniès, à Neufchâteau ; 5 Légère, à à coups d'ombrelle.
SAINT-LÉONARD
M. Louis Adam, à Midrevaux : 6 Poupoule, à M. Mercier, à Rouceux ; 7 PouTriste fin. — Le 27 juin, Mme Noël, de
poule, à M. Petitjean à Coussey ; 8 SulSaint-Léonard, âgée de. 60 ans, quittait
tane, à M. Fleuret, à Coussey.
son domicile pour aller dans la forêt de
2° Pouliches. — 1 Pâquerette, à M. Ro- Palmont. Mais elle ne reparut pas à Saintland, à Saulxures-les-BuIgnéville ; 2 Ser- Léonard, si bien qu'au bout de quelques
poloUe, à M. Marchand, à Rouceux ; 3 jours on la considéra -comme morte en
Blida, à M. Marchai, à Bulgnéville -, 4 forêt ; cependant les recherches tentées
Biche, à M. Thiriot, à Laneuveveille-sousen vue de retrouver son cadavre demeuChâtenois ; 5 Isygnette, à M. V. Marchai,
rèrent infructueuses.
à Neufchâteau..
Ces jours derniers, la gendarmerie de
Aecïdant d'automobile. — La route de
Saint-Dié recevait une circulaire portan.i
Neufchâteau à Contrexéville est très acci- le signalement d'une femme qui avait été
dentée. Les virages dangereux sont nom- trouvée morte dns la forêt de Jeanménil.
breux. L'un d'entre eux surtout doit être
Le maréchal des logis chef, M. Chavet,
abordé avec de grandes précautions, et eut l'idée de comparer ce signalement
jusqu'alors aucune plaque indicatrice ne avec celui de la disparue de Saint-Léole signale aux chauffeurs.
nard : ils concordaient de tout point. On
C'est celui qui est situé à environ six se perd en conjectures sur les motifs qui
cents mètres de Rebeuville, entre cette ont pu pousser Mme Noël à errer ainsi
commune et Villars.
dans les forêts,sans ressources et sans but.
Deux automobiles se sont tamponnées à On croit qu'elle est morte d'inanition.
cet endroit.
Les voitures sont hors de service.
Les voyageurs qui les montaient en ont
été quittés pour la peur. Seule, une dame
"
■—-——
~— -II»'——
a été légèrement blessée à la main droite
par ïcs débris de la glace brise vent.
ARRONDISSEMENT DE REM f REMONT
REMIREMONT
METZ
Marches militaires et Insolations. —
Le feu. — Au cours d'une crise de neurasthénie ou de démence, Maria Benoît, Ces jours derniers, la 33' division d'infancouturière, qui demeure place du Bâtard, terie, en garnison à Metz, avait entrepris
a mis le feu dans son logement. Quand les une manœuvre dans les environs des
voisins furent mis en éveil par une fumée Etangs.
insolite, ils prévinrent la police, mais celParties à trois heures du matin, les
le-ci dut crocheter la porte que la femme troupes sont rentrées à deux heures après
Benoît avait formée à c'ef et refusa d'ou- midi dans leurs casernements,après avoir
vrir. Bientôt le commencement d'incendie laissé de nombreux traînards en route.
qui s'était déclaré dans un vieux meuble On signale vingt-deux cas d'insolation et
fut éteint et l'irresponsable est étroitement les malades ont dû être ramenés à Metz
surveillée pour empêcher toute nouvelle sur des voitures réquisitionnées à cet effet.
L'étape ne comprenait pas plus d'une
tentative.
L'élection aux prud'hommes. — L'élec- trentaine de kilomètres, mais par une
tion au conseil de prud'hommes qui a ou chaleur sénégalienne.
lieu dimanche obligera à un deuxième
tour de scrutin, qui aura lieu dimanche
UN EON CONSEIL. — Si vous voulez
prochain, 16 juillet.
de sucre,
Dans la première catégorie, sur 1,073 consommer un excellent vin
électeurs inscrits, il y a eu 70 votants. Les sain, hygiénique et fortifiant, dont le prix
voix se sont ainsi réparties : MM. Mer- de revient est de 0.15 le litre et dans leaiet, coupeur, 66 voix, et Hiniger Emile, quel il n'entrera que du très bon vin, du
sucre et de l'eau, écrivez à l'ENTREPOT
3 voix.
■ Dans la deuxième catégorie, sur 304 VINICOLE de VITTEL (Vosges), qui vous
adressera gratis et franco tous les renélecteurs inscrits, il y a eu 20 votants. Les
voix se sont ainsi réparties : MM. Durupt, seignements nécessaires, ainsi que des at14 voix ; Maure, Antoine et Chicanaux, 1 testations de nombreux clients qui ont
consommé de ce vin et qui s'en déclarent
voix chacun.
Los bribsurs.— La police a surpris deux très satisfaits.
_
j
Le Javelage
des Céréales
■
VOSGES
LORRAISB ET ALSACE
v
Ï.„.
- . L'ACTUALITE AGRICOLE
| Eef)o§ de la JVlode
(
Paris, 11 juillet 1911.
Les départs pour la campagne vont sonner: et l'on est assez embarrassé, au dernier moment, pour faire un choix judicieux de ce que l'on doit importer avej
Dans le Midi, les céréales peuvent être soi, surtout si l'on a des enfants.
La température est variable, il est donc
mises en gerbes aussitôt ou peu après la.
coupe, mais dans les autres régions de la très prudent de se munir de vêtements
France, il n'en est généralement pas ain- chauds, pour la fraîcheur des soirées, ou
si. Le plus souvent, coupées, comme il oeMe qu'amène souvent un violent orage.
oonvient, avant maturité complète, les cé- Pour les jeunes enfants, ri eh n'est pius
réales n'ont pas asséz perdu l'humidité pratique que le costume de tricot de laine,
de leur sève et ne sont pas assez sèches rouge ou bleue, culotte courte ou tricot à
pour être liées immédiatement ; d'ailleurs, manche, et le polo pareil. On ne leur met
elles sont fréquemment mélangées do pas de bas dans les sandales de cuir jau:
mauvaises herbes encore plus ou moins ne, et ils sont très amusants, les petits,
vertes, ou de luzorne ou de trèiles semés dans cet accoutrement-là. 11 y a, pour les
avec elles .; il est donc bon d'atteindre, protéger du vent, le paletot de r'atine, soit
avant de procéder au liage, que la dessic- blanc, soit b'jcu, sur lequel on met un gacation soit ai-sez avancée pour que les fer- 1 lon do la couleur du polo.
Pour les fillettes plus âgées, le costu'menta lions' en g'. ibc- , si nuisibles à la
qualité du grain et ctè la paille, ne soient me marin en tricot, avec petite jupe, est
tout indiqué. Sur la tôle, une grande clopas à craindre.
A laisser-les javelles sur terre pendant che de paille,- qui les garantissent du soquelques jour's'on a un autre avantage : leil.
La mode des paletots de laine tricotée, |
exposer les"céréales à l'action alternative
du soleil et de la rosée ou des pluies aug- soit à la. main, soit à la machine, .se
•njtento la fragilité de l'épi ot, par là, .le maintient toujours. Comme résistance,
battago sera plus facile et plus complet. c'est encore la laine blanche qui est la
Enfin, pendant son séjour en javelles, le !I meilleure, car au nettoyage elle ne changrain achève de mûrir en utilisant les i ge pas. Tandis quo la laino de couleur
sucs- nourriciers contenus dans la plante subit au nettoyage des mécomptes,- et n'a
pi us ensuite cette jolie souplesse do la
et qui émigrent jusqu'à lui.
Djrsque le temps est sec ou très légère- première heure, et garde un certain rement pluvieux, le javelage ne
présente flet grisâtre peu avantageux.
Les robes actuelles prennent fort peu de
aucune difficulté et ne nécessite aucun
soin spécial. Si les javelles ne sont pas plaae dans les malles ; et comme je l'ai
trop volumineuses, si. lés mauvaises her- dit antérieurement, la mode des tuniques,
bes ou les plantes fourragères qm ont pu 1des voilages de mousseline de soie, perêtre semées avec. la céréale ne sont pas met de transformer une toilette, tout en
le même fourreau.
trop abondantes' ou trop développées, on gardant
i
Certaines maisons de Paris détiennent
peut laisser les javelles abandonnées à
elles-mêmes ; en tout cas, il suffit ordinai- 'des malles particulièrement pratiques.
Elles sont appelées : Innovation. Forrement de les retourner une fois ou deux.
Lorsque, au contraire, les javelles ren- 1mées de deux parties, tout comme une
ferment une forte proportion de plantes valise, elles présentent cette particularité
de ces parties est munie de cinq
vertes, et surtout lorsque les pluies sont qu'une
'
pour ranger le linge et toutes les
fréquentes, il importe de les retourner tiroirs,
'
délicates de la toilette.
L'autre
un notmbro de fois suffisant pour que la choses
'
a, au haut, des lamelles qui perpaille sèche .et que .le grain no germe pas ^partie
«1
1
de suspendre ses vêtements. Arou ne contracte pas un goût de moisi. Les mettent
retournements sont d'autant plus néces- rivé à destination, on ouvre la malle, la
saires que les javelles sont plus grosses pose en hauteur, et l'on a à la fois une
et une commode, qui évitent le
ou que le trèfle, par exemple, semé avec armoire
'
puisque tout se trouve être
la céréale, est plus développé, parce qu'il déballage,
'
rangé aussitôt la malle ouverte.
entretient une fraîcheur rapidement fu- bien
'
Est-il nécessaire d'ajouter
que cette
nesbe ; ils sont tout aussi indispensables
après les fortes averses. ' Si le temps d'ail- :malle très pratique nous vient d'Améri?
leurs est franchement mauvais, il est tout que
'
Il existe aussi un nouveau genre de
indiqué de remplacer le javelage par la
malles à chapeaux, qui, grâce à des commise en moyettes.
combinés avec intelligence,
Le seigle et l'orge supportent difficile- partiments
!
ment un javelage un peu long par temps !peuvent contenir jusqu'à six grands chapluvieux ; le grain se tache, brunit et ger- peaux. Pour qui connaît l'envergure de
chapeaux actuels, la dimension
me aisément. Pour l'une et l'autre de ces certains
'
plantes, le liage doit suivre de près la de
' .cette malle à chapeaux est facile à decoupe, pour peu que les pluies soient à viner.
Puisque je suis sur le chapitre « chacraindre.
Le sarrasin craint aussi lecontact pro- :peau », je viens d'en voir un tout noulongé avec le sol ; il est d'autant plus veau destiné à l'une do nos grandes monIl est tout simplement en velours
utile de le dresser rapidement en petites daines.
'
moyettes qu'à l'époque où on le récolte la noir. Figurez-vous une forme très grande,
;
tête ronde, peu élevée. Les bords sont
température est moins élevée,
la pluie à
ourlés d'un large biais de velours noir.
plus fréquente et le sol plus frais.
Le blé peut, par contre, sans souffrir Par flessus le tout, est posé, très à plat,
d'une façon appréciable, supporter un ja- 'un immense plateau de velours noir, revêlage de plusieurs jours, même par un tenu par des points sur le devant et les
temps plus ou moins pluvieux ; néan- côtés.
'
Sur le derrière, il est replié en partie
moins, il faut veiller soigneusement à ce
1
sur
la calotte et repose sur un large
que le grain ne germe pas, car il perdrait
en poids et fournirait une farine facile- nœud noué en tulle blanc.
C'est son unique garniture. Le dessous
ment altérable, donnant une pâte difficile
à pétrir et un pain lourd très disposé à 'est tendu de tuile blanc et au bord, retombant tout autour, un biais double de tulle
abandonner la croûte.
L'avoine est de toutes les céréales celle blanc de la largeur de trois centimètres.
C'est d'un chic absolu dans sa grande
qui résiste le mieux à un javelage prolongé. De savants agronomes et des maî- simplicité.
Je vous avais déjà signalé d'ailleurs
tres de la pratique agricole ont même
conseillé de la faire javeler pendant long- l'emploi du velours noir souple, mélangé
temps., Mathieu de Dombasle, entre au- au linon et aux dentelles des toilettes légères ; soit qu'on en mette de larges bantres, a écrit à ce sujet :
« Il est ordinairement avantageux de des . au bas des j upes, ou qu'on l'emploie
coupai- l'avoine un peu sur le vert, sur- en ceinture, ou encore en larges biais
tout certaines variétés avec lesquelles on soulignés d'un biais de faille blanche.
Des. ombrelles même se font en pareil
courrait risque de perdre beaucoup de
grains par l'effet des grands vents si on velours, avec au bord les mêmes biais
les laissait mûrir complètement sur pied. soulignés de taffetas blanc.
Le luxe des bas de soie dépasse tout ce
L'avoine qui a été ainsi coupée avant sa
parfaite maturité doit javeler, c'est-à-dire que l'on peut imaginer. J'en ai vu des rorester pendant une huitaine de jours au ses, des bleus, des mordorés, des blancs,
moins sur le sol, pour que le grain arri- des mauves, des violets, des rouge-cardive à sa perfection. Il est bon même qu'il nal brodés de teintes vives, au ton sur
reçoive, dans cet intervalle, une ou deux ton, avec une richesse do dessin admiraondées ; une trop longue exposition à ble.
D'autres avaient des incrustations de
l'air ou à la pluie peut seule nuire au
grain, et surtout à la paille, comme on le dentelle sur le cou-de-pied et montant jusvoit dans presque toutes les récoltes des qu'au haut de la jambe, qui faisaient de
cultivateurs qui poussent à l'extrême la ces bas de véritables œuvres d'art, en tant
pratique du javelage de l'avoine.
On que travail et transparence.
Ces bas-là ne se portent que le soir, avec
pourrait croire que le gonflement produit
de
sur le grain par la pluie qu'il reçoit en les toilettes faites d'enroulements
cet état ne doit être que momentané et mousseline de soie, sur lesquels on jette
qu'en se desséchant, il reviendra au mê- une tunique de perles aux multiples coume point où il était auparavant ; mais on leurs.
A' la première du grand gala anglais
se-tromperait beaucoup.'Ce n'est pas de
l'eau seule qui est entrée dans le grain ; du Châtalet, où l'on jouait l'exquise opéles tiges ramollies par la pluie ou les to- irette « The Quaker Girl », j'ai vu, entre
sées, en transmettant cette eau aux grains autres, une toilette qui fit sensation. C'épar l'effet du reste de vie qu'anime en- tait un fourreau de satin blanc recouvert
core la plante, leur transmettent en même de grosse guipure bise.
Là-dessus, était jetée une tunique, faite
temps des principes nutritifs qui augroentent le poids, ainsi que le volume du dans le genre d'une toile d'araignée, toute
en perles tubes vertes et blanches. A chagrain. »
L'opinion du grand agronome lorrain que mouvemeait, ces perles bruissaient joest trop absolue. Comme les autres céréa- liment.
Sur la tête, la. femme blonde ainsi- vêles, l'avoine soufêre d'un javelage trop
prolongé j le grain augmente de volume, tue avait une sorte de casque de perles
il est vrai, et sa couleur devient plus fon- semblables, surmonté d'un immense pacée, mais il reste moins sec, moins lui- nache d'aigrettes noires d'un prix incalsant, moins coulant dans la main ; il culable.
En général, jamais je ne vis autant de
perd une partie de ses qualités marchandes ; d'autre part, comme à l'augmenta- perles, de diamants, de pierres précieution de volume ne correspond pas une ses, que dans cette. assemblée où la coloaugmentation de poids et que la vente se nie anglaise et la colonie américaine se
fait au poids, il n'y a pas d'avantage à trouvaient réunies.
Comme ornement do coiffure, j'ai reprovoquer le gonflement du grain.
marqué plusieurs couronnes de feuilles de
LONDINIÈRES.
I
:â
A LA BELLE JARDINlgm
Continuation de la Grande ïïm m y
NAM
6-0-52, rue St-Dizlcr -
a do la piacû llu Mar
Rabais coiislrièrafeîs sur iodes tes marchandises
lauriers, emboîtant le chignon, et piquées
de grosses perles et de diamants magnifiques.
.
1
C'était d'un effet à la fois simple et
somptueux.
„
Comtesse BERTY.
■—o ——
——
NOS RÉBUS
500 800 FR1 m. 188.
Il y a du feeurre dessus.
•
■
Etant opaque,
garanlii du
soleil.
On va en dis-
poser pour en
toucher les intérêls.
Petites eoTOpiiisijj
D. — J'ai loué un jardin derr" '
maison quo j'habite , celui-ci entnw1»
murs d au moins un nietre 50 d» u
teur, les chats viennent contuiueii
ravager ce jardin en se livrant j'| "'i
tes homériques. Ai-je le droit de le?9'* i
tre avec un revolver, fusii ou tout ^
moyen à ma portée ?
B. — Non. Si les chats vous canpréjudice, vous pouvez
demande?
dommages-intérêts à leur propriétair^
4
^"ï
D. — J'ai loué une maison pour IR
sans état des lieux, mon locataire ^
1
un colocataire ; les réparations
sont à sa charge, écrites sur son k"
Une devanture cloche, une serrnr
fonctionne plus bien, à qui incomhpm,1*
réparations ?
R. — Au locataire.
wV"
i
*'*
— Commerçant aussi, j'ai, comme vous,
cessé mes payements.
iter&S*»^^»^
■^S^=r^^&r
NOUZ. Est pale
et maigre.
U U U
LON
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U U U
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LON
Se touchent
presque.
Difficiles à
entamer.
Ter
deS
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ufs
»«uis.
I
D- — Je suis locataire de terrée
baux successifs depuis environ 28 **l
A présent, nous nous apercevons u
priétaire et moi que jo cultive envirr,^'
hectares en plus de la contenance m
J<
sur les baux.
lJ°neiF
Le propriétaire est-il en droit dp
faire payer l'arriéré des 28 ans. N'v M!
pas une prescription à invoquer ?
■
R. -- La prescription en matière il
loyers est de 5 ans.
D. — Quelles sont les sociétés S'OCCUMH
11
des habitations à bon marché ?
R. — Société l'Habitation familiale *
side-t M. Chevillot, 49, rue Saint-NicoC
Le Foyer Lorrain, rue de la Pépinière 26'
;
**
D — Quels sont les emplois administra
tifs dans lesquels aucun diplôme nVst esi.
gé à l'examen d'entrée ?
R. — Adressez-vous à l'Ecole du fonction
niire, 128, rue de Rivoli, Paris, où vous
aurez tous les renseignements.
Anus* ' ■ V ie.
D- — Au bout de six mois, un soldat réformé temporairement & catégorie pour
maladie contractée au service, sera-t-i! li
béré avec sa classe ou avec celle de l'année
suivante V
R. — Il sera libéré avec sa classe.
**
D. — Combien touche annuellement BJ
ministre ?
R. — 60.000 fr. par an.
Six prix seront tirés au sort parmi les
personnes qui auront envoyé le plus de
solutions justes. Voici ces six prix des
quatre rébus de la série D- I.
l*r prix : Une broche (argent).
+ #
2« prix : Un bibelot (fantaisie).
D. — Qu'entend-t-on par ligne flottante'
S* prix : Un volume.
Ne faisant partie d'aucune société de pî4", 5*, 6* prix • Deux cartes artistiques- che, ai-je le droit de poser ma gaule sielï'
(Chaque gagnant de deux partes posta- se trouv e à portée de ma main ?
les n'aura qu'à nous adresser les noms
Un adjudicataire de lot de pêche a-tlB
qu'il désirera voir figurer sur ses cartes. le droit d'accorder à un pêcheur à la lignt'
Celles-ci, dues à une main artiste, consti- un permis de pêche à plusieurs gaules ! 1
tueront donc autant d'eeuvr-es originales.)
R. — La ligne flottante ne doit pas être
1 ***
munie de plomb qui la tienne fixée au fond
Ont deviné le dernier rébus :
de l'eau Elle doit être tenue à la main. Lest
Taincrède de Foui-cheville — La Glu —■ adjudicataires peuvent délivrer des permis
Maine d'Eu — L'invalide de Bains-les-Bains pou; lignes de fond.
— Zinoutte — Parangon — S. Piègle —
D. — Jouant au piquet à deux, j's\ It
Bébert l'exilé — Le baron X... — Eifel au
Q —iDraner Joseph — S. ça ? — Le loustic point, plus deux quintes, puis-je eortipfeî
de Titine — Notre Cagneux en retenue — 90, étant en premier, mon adversaire ayanl
G. Gagné — Coco des Roseaux — Mon petit trois rois ?
R. '— Oui. Les rois ne se comptant qu'aTom — Le Veilleur — Ma petite sœur —
Riri — De Saint-Garni — Le Fréfred du près le point et les quintes.
—"*
Monmoud SainkPierre le Neuf — Le père
D. «*• Mon père est mort il y a trois»
de Zézette — Lord J... — Le père Manganatt — Le père Ysthil — Le père Ohneit — mois, laissant un bien de 10,000 fr. en ai
Le père Itoine — Un vieux pot d'acre kissè gant, immeubles et terrains, li y a trél
ember M fiooté les sieus — Loin du Pays — majeures et trois mineurs ; dans une ré™
Cœur meurtri — Un nabot né a Laguigne nion de famille, nous avons décidé m
— Sam à Muse — Le sous-préfet de la Bou- laisser notre part à notre mère.
1° Est-ce que ma mère doit faire une*
zule — Seth et moi (avez raison) — F. A.
C. — L'ex-cabot rond de cuir — Le petit claration d succession '?
Edmô — Aguadir — Loulou et Bibiche de , 2° Quelles démarches doit-on faire da»
la Carrière — Paul y Gone d'Ugénie — ce cas ?
3° Esit-on forcé de déclarer la. va!w
Le pêcheur du rû de Nabécor — Un nouveau Toulois — Le papa d'André — Un exacte de ce que l'on possède, ayanl fe
trouver un notaire, celui-ci veut voir o*
baoué de la Seille.
police d'assurance que ma mère possi*B
- *
Est-aMe forcée par la loi de la lui donner
Voici quelle était la solution :
R. — 1° Oui.
Dans LAF erre Dumas — Roch — l'Alle2° Le plus simple est de charger le wmagne — vœu — jouet — rosse INGE — taire de faire le nécessaire.
DEUL affable — en TAN TANDE tire —
3°, Oui, sur les deux questions.
AIL et MAR ont du feu.
***
D. — Ayant donné mon mois à mon mm
Dans l'affaire du Maroc, l'Allemagne
veut jouer au singe de la fable, en tentant tron, ai-jè droit aux deux heures qui
accordées chaque jour pour cherclvei' vwm
de tirer les marrons du feu.)
autre place, etc.?
R. — Si vous êtes employé de cominH*!
SÉRIE D
oui. Votre patron a le droit de retenir »■
jours non faits.
if
D. — Mes deux sœurs et moi
nous faire le partage de la moitié du ® p
nage qui vient de notre mère ?
.. ....
.■
«fr g ^fr» ni- ; ■
■ n
R. — Si vous êtes seules héritier*^ f.
avez le droit de partage! amiablera®1 I
succession de votre mère.
La Nouvelle REINE des bières
est fabriquée avec du malt d ORGE et du
HOUBLON exclusivement.
La BRASSERIE ne fabrique pas de petite bière ou bière de MÉNAGE, ni au- gaiaetit ur fwtttN sa bière ndusivemenl foWq»* *"JJ
tres du même genre.
MALT ET UOl'BLOXS Dli l"' CHOIX, liés sa'me el V^W
-I
1
Rébus
3 I
Bière de Chamoioneulles
Brasserie
de
Nancy
^Si
,r:-n;.'Ti
O
*
SOLDES & #
temps jusqu'à ce que leur chef revînt et ser et à détruire une meute de chiens coumier des trois individus.
Sur la réponse affirmative d'Edna, il disposât de l'intrus. Quelqu'un mentionna, rants qui désolèrent 'e nays. Il eut ainsi
des aventures disparates et bizarres ©t il
tira immédiatement sur son rival et l'a- le nom de Bill.
— Bill est mort, — déclara laconique- survécut à toutes.
battit d'une balle en pleine poitrine. Un
Maintes fois la mort menaça de près
second projectile cassa la tête du lieu- ment Bert. — Je viens de lui envoyer une
H.-a. WELLS
tenant de Bill, et un troisième blessa le bulle dans la peau... Inutile de nous Edna et Bert, sans les atteindre. Ils s'aidernier qui prit la fuite en hurlant avec , M-éoccuiper de lui pour l'instant. 11 a son mèrent, souffrirent ensemble et furent
Compte, et le rouquin qui louchait a son heureux, et elle lui donna beaucoup d'endes tortillements comiques.
Puis, le revolver à la main et indifférent compte .aussi... On n'entendra plus parler fants — onze, en fait ,— dont quatre seuà la présence des- deux f emmes terrifiées de Bill, plus jamais. Il avait des idées lement succombèrent aux inévitables priderrière lui, Bert demeura immobile, ab- saugrenues sur le mariage, et ce sont les vations de cette vie primitive. Les deux
types comme lui qu'il va falloir mettre à époux vécurent et moururent bien, comsorbé dans ses pensées.
me on entendait ce terme en ce temps-là,
f/- J, Y* T%
T%
,
Jusqu'ici les choses avaient bien tourné. la raison.
et leur sort fut le sort commun.
Ce discours souleva l'enthousiasme.
Bert comprit, de toute évidence, que,
ÉPILOGUE
Bill fut sommairement enfoui, et le Cos'il ne se lançait pas daris la politique, il
Par un beau matin d'été, trente ans
risquait fart d'être.pendu comme assassin, mité de vigilance institué par Bert régna
exactement après que les Allemands euet, en conséquence, sans dire une seule à la pla.ee du pugiliste.
rent lancé sur le monde leur première
parole aux deux femmes, il descendit à
i'aubergte du village, devant laquelle il se faire une place au soleil, parmi .es flotte aérienne, un vieillard, à la recherétait passé peu de temps auparavant. Il bois de chênes do la Weald, et loin du ! che d'une poule qui manquait à sa bassela cour, emmena un jeune garçon à travers
y pénétra par l'arrière et se trouva en face î courait des événements. Désormais,
d'une bande de quidams douteux qui bu- j vie -n'est pour eux qu'une succession d'é- I les ruines de Bun £W1, vers les tours dévaient en discutant de questions matrîino-1 cliauffourées entre paysans, la routine I chiquetées du Palais, de Cristal. A vrai
niâtes- et des amours de Bill, sur un ion | quotidienne au milieu des poules, dos co- dire, le vieillard n'avait pas atteint la dé- v- ."-v*.——
facétieux sous lequel perçait néanmoins | chons, des enfants, des menues, choses et crépitude, .— il allait avoir soixante-trois
leur envie. Bert tenait négligemcicnt à la ; des mesquines économies, et bientôt Cla- ans dans quelques semaines, — mais, à
main son revolver minuUeusêïiient rechar- pham et Bun HiU et l'existence au siècle se baisser constamment sur la bêche et
Un beau jour, il surprit F.dna occupée
gé, et il invita l'honorable assemblée à se i da la science triomphante furent pour sur la fourche, à demeurer exposé aux inà soigner aes cochons, et il sa mit immétempéries sans jamais changer do. vêtejoindre, ô ce qu'il eut i'a>idace d'appeler un j Bert le souvenir affaibli d'un rêve, ll^nc
diatement à lui râîre une cour pressante,
ments, il était resté courbé en deux com«
Comité
de
vigilance
»
placé
sous
sa
diau mi l lieu des auges grai sseu ses. Edna
me une faux. En outre, la perte de res
rection.
avait opposé une vaillante résistance.mais
dents, en lui rendant la digestion difficile,
—
Le
besoin
s'en
fait
sentir
dans
la
réil continuait ses vigoureuses insistances
avait affecté son teint en même temps que
les
"flottes
aériennes
^
parcouraient
^twgion, et nous sommes quelques-uns qui y
et se montrait ^xtraordinairement impason humeur. Par les traits et l'expression
avons pensé, — ajouta-t-il.
tient.
côté
de du visage, il ressemblait étrangement au
Il se présenta hardiment comme ayant orjas'uféraMea se passaient du
— Il peut venir à tout moment, — ditLondres. Plusieurs fois même l'ombre des vieux Thomas S>ro.lhvay?, jadis cocher de
des
amis
dans
le
voisinage,
alors
que,
©le-, en (regardant Bert dans les yeux.
si" Peter Bone ; il n y avait à cela rien
somme toute, il u'avait,^ à part, son frère, dirigeabiep lui fit redresser son dos cour- de surprenant, car le vieillard était Tom
Qn était" retourné à l'âge barbare où
bé sur le sol, mais il n'auvait su dire pi
L'homme devait conquérir aa compagne
où allaient ni d'où venaient ces ^.onstres: Sma'hva.ys, te IL s, établi autrefois dans
une petite bomique de fruiterie, sous l'arpar la force.
I
r ■-, c-iMiatten fut débî-ittvie raînleirieiit,
mature,de fer qui soutenait U viaduc du
U faut, lici, déplorer que la venté soit
I maïs avec beaucoup d'égards. Les malanmoneraw, au-ce^sus de ,a grande ,«ue de
en conflit avec la tradition chevaleresque.
drins
le
prenaient'pour'
un
fou
qui
arriOn aimerait à montrer Bert s'élançant
— C'est lui ?... Sûr * — dcmanda-t-il î vait dans la locu-i-ité sans -avoir entendu
|
A présent, il n'y avait plus de boutiaussitôt pour défier son, -rival ; puis, au
j parler de Bill, et ils dédiraient gagner du
jçdlieu de 1 arène entourée de tp.vCi.a..e'Jï&, ! simplement, en indigent du 'dc-j^t le
1
H
* i i.gl--^.:.:igâiâBrôjBt^awM
Feuilleton de VEST REPUBLICAIN
N° 68
LA
^- - Tu.
^^'^
P»r
D/LJMS ïiES
Henry-D! Davray & B. Kozakiewicz
que de fruitier, et Tom vivait dans ,jy
des villas abandonnées, près des te-fl _ .
à bâtir qui avaient été et étaient. w
le site de ses travaux agricoles. ?a p.
me et lui occupaient les chambres °y
rnier étage ; dans la salle à mange»• JÊ
salon, dont les portes-fenêtres s 011 oièe
sur la pelouse, et dans les autres
du rez-de-chaussée, Jessica, — * f
une vieille femme, maigre, ridée et
1
ve, mais encore énergique et PruUatiii$
u
gardait ses trois vaches et une m
do poules dôguingandées.
. ., er//
Tom et Jessica appartenaient a ^ n &
or
tite communauté de citadins
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fugitifs qui, au nombre de cent eu i
environ, s'étaient finalement
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s'adaptant aux conditions nouy*11* lâ«
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tence qu'avaient créées la P
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mine et la peste venues dans le s '^ett»
la guerre. Ils étaient sortis de
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et do refuges étranges pour
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nouveau dans des maisons fani« ,a M
commencer cette âpre lutte conue [g <m
turé, cette conquête quotidienne
tance, qui formait à présent 1 »»^ „ iisf
ci pal de leur vie. Cette préoccupa sll(«
que fit d'eux un peuple pm?'»1L> cUM|
après que Wilkes, le gérant d »»
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tourmenté des droits surannés « fle5|
priétaires disparus et s'enque«n
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1res de chacun à s'installer dans
sons abandonnées, eût été no> oS, ^.jt
réservoir de l'usine à gaz en
ciipf'i'i
pas qu'on l'eût délibérémcn
^ de |
mais ses voisins avaient, ' _ ' alu'al fli«
minutes au-delà des limites . . jntiJI
bain forcé qu'ils
voulaient
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pour le punir do ses curios
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tes.
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une rencontre acharnée se livre, et le
champion de la bonne cause, par quelque
miraciie d'audace, d'amour et de bonne
chance, reste finalement vainqueur.
Mais rien de la sorte n'arriva : Bert
chargea soigneusement son revolver, puis
il s'insrballa dans la grande salle du cottage, à l'entrée de la briqueterie abandonnée, et, l'air anxieux et perplexe, il écouta
tout ce qu'on lui raconta sur les faits et
gestes et sur la personne de Bill, se plongeant parfois dans de longues méditations.
Tout à coup, la tante d'Edna, avec un
trémolo dans la voix, annonça l'apparition du personnage. En compagnie do
deux chenapans de son espèce, il franchissait la barrière du jardin. Bort se leva, écarta du geste les deux femmes et
regarda à travers la vitre.
Les nouveaux venus offraient un remarquable spectacle. Ils portaient une sorte,
d'uniforme composé d'une veste rouge et
d'un jersey de laine blanche, oomme en
mettent les joueurs de o-olf, et d'une culotte, de bas et de chaussures comme les
joueurs de foot-ball. Pour la coiffiure,chacun d'eux s'abandonnait a sa fantaisie
personnelle. Bill arborait quelque chose
comme un chapeau de femme couvert de
plumes de coq, et les autres avaient de
grands feutres mous à larges bords.
Bert soupira, profendémiept pensif,
et
Edina, quoic-ne peu inquiète, ''épiait du
coin de l'œil. Ni sa tante ni elle n'osaient
i bouger. Bert s'éloigna de la fenêtre, ga! gna lentement le corridor, et, avec l'expression soucieuse d'un homme dont l'esprit est préoccupé nor un problème complexe et indécis, il appela Edna. Quand
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L'EST REPUBLICAIN ———i » i
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Faits-Divers
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..IRIONS-NOUS...
- La semaine
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i ne. apprêtous» d'une nnporF ' ^îisoii de modes de Paris ayaol lu
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fondre
parut plaisante aux
La rriW]le3 et toutes écrivirent d amouj'". Anttres. L'écrivain à marier ne
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sérieux la plupart do ces lotI f . mais pensa qu'il pourrait trouv er,
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toutes ses correspondantes une
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irmante,
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uno femme. Il ré-_
■ auue„ Vh
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gardant rano
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affirmait être
un0 geu!e) qui
unioue de parents riches, il donna
■ fllte ÏÏ" c'était le fils d'un éditeur du
■ f^Zvà Saint-Germain.
■ Doiiif.^
0 deg midtnettes ayant obtenu
■
^ndez-vous du jeune homme, toutes
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M s'y v&\ t jip.u soigné et, disons le mot...
■ bel''' très propre.
Pfp lendemain, elles firent une longue
■ ^■irnée dans les établissements de bains
m , îô!; h i/ars et commandèrent ici des
■ tins là'des tuba, des appareils à dou_ rhôou dçs éponges, quelles firent livrer
« an domicile du jeune homme.
■ relui ci vi' arriver avec effroi ces doud'u*|nsiles, n'imaginant pa.si ce
q e pouvait signifier cette mauvaise plaiU
■ santerie.
«I
I
I
IMMENSE INCENDIE. --Mardi soir un im* menée incendie s'est déclaré à Iille dans
Jîn <mtwjp6t d'huiles industrie les apparI -nnnt à M- Dervaux, négociant.
^ dép -t contenait environ 2,000 fûts
F H-hnile d'une valeur totale de 200,000 fr.
m U est entouré de maisons ouvrières, pour
t| niunart construites en bois.
J
sinistre gagna bientôt tout le dépôt,
{§ ^ urle énorme colonne de fumée noire
«li s'éleva au-dessus de la ville,
Los pompiers accourus s'empressèrent
de protéger les maisons voisines, mais
■Il
malgré leurs efforts, cinq de ces habitations ont brûlé.
k
Une blanchisserie et un atelier de menuiserie ont été également la proie des
flammes.
,
!(1
Vers doux heures et demie, une voiture
de pompiers, qui se rendait sur les lieux,
été tamponnée par un tramway et jetée
a
sur une automobile venant en sens inver.
se Le pompier qui conduisait la voiture
a été projeté à terre et a eu la lèvre cou»
née.
I
*A
. de
de Sairit.nl.rvnis
_«
Saint-Louis, lorsum'il
lorsqu'il fc,«
fut «.—._<„
surpris et
séduit par le charme de la voix féminine
qui répondait dans l'appareil. 11 téléphona souvent dans la suite,sans autre besoin
que celui d'entendre cette voix exquise et
finalement demanda ù 'a jeune personne
lu permission de faire sa connaissance,
r-iatteo, mais étonnée des ardeurs si pressantes do cet amant mystérieux qu'ell*
n'avait jamais vu, miss Viola Kortkemo
éluda sa. requête, puis enfin, agacée de
son obstination, se fit transférer a un autre bureau. Doux
années
s'écoulèrent
deux longues années, pendant lesquelles
l'amoureux pétrolier eut beau presser le
bouton do la sonnerie et approcher le récepteur do son oreille anxieuse : pas une
fois la voix divine ne répondit ■'.
« AllO ».
JVl. Mac Calpin était désespéré • mais
il n'oubliait pas. Quelle ne fut pas son
émotion, au coure du mois dernier lorsque, téléphonant à un client, il entendit
soudain la voix enchanteresse qui lui demandait : « Number please ? » U n'eut
pas une seconde d'hésitation et répondit •
« Je suis William-Mac Calpin. No bougez
pas. Je vais vous chercher ». Emue et
conquise à son tour par une si belle fidélité, Miss Viola Kortkemp ne put se défendre plus longtemps d'un accès de sympathie : elle déclina son nom, donna l'adresse do son père, et autorisa l'invisible
soupirant à se présenter enfin. M. Mac
Coup in courut aussitôt chez M. Kortkemp père, qui exerce à Saint-Louis les
fonctions honorables et utiles de capitaino
des pompiers. Le « oil mari » plût de près
à la sirène, pomme la sirène lui avait plu
de loin ; le 'mariage eut lieu dans les plus
bieXs délais. M. Mac Calpin n'est pas encore milliardaire, mais il le sera un jour.
L'exemple de Miss Kortkemp prouve aux
téléphonistes qu'à force de dire : « Allo ! »
à la fin elles se casent.
Af
xj,
-
—=*
N PÊCHE UN... SOUS-MARIN.
A SUPERSTITION DU CHIFFRE
PAS.
Dans une agence de
L
13
NE FAIBLIT
—
voyages, raconte « Exoelsior », un monsieur, qui
vient de prendre un billet pour Modane
et Turin, demande, hier matin, qu'on téléphone à la gare de Lyon pour que lui soit
réservé un coin dans un wagon de première, au train de i h. 25 du soir.
L'employé revient, la communication
faite, et se dispose à joindre au billet de
parcours une petite fiche où il a porté le
numéro de la place retenue. Mais le monsieur, d'étant penché, constate que son
coin porte le numéro 13.
— 13 ? Je n'en veux
pas. Téléphonez
pour avoir urne autre place.
— On m'a assuré, monsieur, que toutes
les autres étaient déjà retenues,sauf celleci; J'avais presque prévu votre objection,
car elle nous est fréquemment faite.
— Vous voyez, je ne suis pas le seul.
Eh bien, puisqu'il en est ainsi, je préfère
reporter mon voyage de vingt-quatre heures.
Le monsieur dont il s'agit est l'un des
plus gros industriels de la place de Paris
et qui manie vingt millions par an. C'est
un homme de tête, qui joue avec les pires
difficultés et en triomphe. Mais la terreur
du chiffre 13 ne se discute pas.
Cinq minuter»
avec des gens guéris
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derrière.
La réunion des actionnaires
de la Société anonyme des
Forges et Fonderies de Montataire, en assemblée générale
ordinaire aura lieu le vendredl 4 août mi, & deux heures
précises, au siège social, 16,
rue Le Peletier, pour délibérer
sur l'approbation des comptes
et de l'inventaire de l'exerclce 1910-1911 et sur toutes queslions portées à l'ordre du jour,
Les porteurs ou titulaires de
cinq actions au moins ont seuls
le droit d'assister à l'assemblée générale aux termes des
articles 27 et 28 des statuts.
Les titres au porteur devront
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entre veuve Marion et Berlin,
comprenant 5 pièces au rez^
de-chaussée, 5 pièces au pre-
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demandé.
S'adr. 25, rue de.
" Dominicains. Se pré.enter avec
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CElMSUC au courant d«
la mercerie, bonneterie. S'ad. chez Tojl vi p V, nTY1T!T P demande en
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Travail assuré.Bonne rétribution.
S'adresser au journal. 167.
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S'adresser au journal, 187.
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ou heures, connaît à fond la
partie. Mme Laurent, 63, rua
^es Quatre-Eglises, au fr.
JEUNE DAME libre toute I.
ournée demande des ménaJ
trars-ail quelconque. —
ges ou
Mme Lavrau, 49, rue de'l'EquI-
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M. Antoine Charles, né h
ris, le 18 avril 1883, est
cherché pour héritage.
Ecrire a M. Colbn, poste
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Ponts, Nancy.
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1. h. i après midi en la maine de cette commune.
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' grande maison, sachant cuisiSuivant acte sous seings ne, ménage, demande place,
^ dftte du w juilIet S'adresser rue de Toul, 86.
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1911.M. Lucien MANTERNACH,
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demeurant a> Jœuf. rue de Fran- demande place comme garçon
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200 fraros, Mjabies : 125 irînes en ssuscriTSit,75francs
du 2 aï 19 Jimier 1912. Ces 60.003 acuons sont
offerles par préférence aux actionnaires de la
Compagnie qui auront un droit inedactiWt de
souscrire à raison de tr»!s actions noarsiles par cinq
attisas 5nci?s»js «t pourront, en outre, présenter
une souscription complémentaire réductible sans
liaiitalion du nombre des titres demandés. La
Souscription est ouverte le 10 juillet pour
être oloae le 20 juillet 1911.
Pour plus amples renseignements s'adres3«r
au Siii»
la Sotfété, 29. ne il Losdrss, i Psrii.
L'insertion stq>ulée par U loi a paru dans !•
Bulletin annexe du Journal Officiel du lo Juillet 1911.
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les Pilule., Pink. Cinq minutes, le temps
(■aller jusqu'au bout de ce petit compte
rendu et vous aurez, lu les bonnes nouvelles
données par des malade» du Nord, du Sud
de l'Est et de rOUésT; de lia France. Si vous
u êtes pas bien portant, si vous avez un
malade chez voixspe_*« aux Pilules Pink.
Eiles guérissent.
Mme Harfaux, gérante du bureau télégraphique à Noyeiies-sur-Escaut, par Murcomç (Nord), écrit ;
« J'ai été très anémique, très affaiblie, et
seules les Pilules Pink ont pu me rétablir
lot me rendre les forces perdues.Depuis que
j'ai pris les Pilules Pink.moi qui mangeais
a peine et digérais fort mal, j'ai de bonnes
digestions et un grand appétit. »
De Mlle Jeanne Marage, à Saint-Macloula-Bfière,
par
GoderviUe
(Seine-Inféxieure) :
« Je suis réellement satisfaite d'avoir
pris les Pilules Pink qui m'ont complètement guérie de mon anémie. Depuis deux
ans, je traînais cette maladie sans pouvoir
en être seulement soulagée.J'étais toujours
pâle et je me plaignais constamment de
maux d'estomac. Je ne pouvais plus m'ocetipar de mes travaux, je n'en avais pas la
force et je ne savais que devenir. Les Pilules Piiuk m'ont très vite rendu une parfaite
santé. »
Mlle Marie Chabert, ourdisseuse à Lyon,
rue Tlorraille, noms a écrit :
« J'ai le plaisir de vous informer que le
traitement des Pilules Pink m'a fait beaucoup de bien. J'ai eu l'influenza et,bien que
guérie dio cette maladie, j'étais restée épuiséo et incapable de retrouver ma bonne
santé d'autrefois. J'avais essayé plusieurs
médicaments, mais ils n'avaient pas réussi
à me guérir. Une amie m a alors conseillé
les Pilules Pink. Elle s'en était très bien
trouvée et il en a été de même pour rirpi.
« Grâce aux Pilules Pink, ma pâleur a
été remplacée par de bonnes couleurs, j'ai
retrouvé mon appétit, nies forces ; mes migraines ont disparu. »
M. Talon Gérard, cocher, 59, rue du Jeude-Mail, Cette (Hérault), a été guéri par les
Pilules Pink. Il écrit :
« Atteint d'anémie et de maux d'estomac
au point de ne plus pouvoir m'alimenter,
j'ai fait usage des Pilules Pink et elles
m'ont très bien guéri. »
On trouve les Pilules Pink dans toutes
les pharmacies et au dépôt : Pharmacie
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boîte ; 17 fr. 50 les six boîtes, franco.
Il vient
d'en arriver une bien bonne à de braves
SUR
marins de Lorient, raconte l'Echo de Paris.
Depuis le matin, ils se livraient dans
tes Coureaux de Groix aux douceurs de
la pèche sous un soleil brûlant, un soleil
implacable Le poisson se faisait rare et
nos braves matelots commençaient à déi
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It?^
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sespérer, quand soudain un mouvement
MARCHÉ AUX VEAUX
anormal se produisit sous les eaux.
Avant de s'adresser aux soi-disant spéLa Villette, mardi 11 juillet.
Joie intense : un poisson de la plus
shaJistès totalement inconnus qui surgisVeaux amenés, 324 ; vendus, 312.
grande taille, à n'en pas douter, était resent chaque jour, nous ne saurions trop
Vente plus facile ; mêmes prix.
tenu dans les filets. Vite, on fut à la maLes veaux de choix de Seine-et-Marne, «recommander à nos lecteurs de lire attennœuvre, mais, ô surprise, filets et barque
de l'Eure, de Seine-et-Oise, d'Eure-et-Loir, tivement un remarquable ouvrage de 150
étaient entraînés à la dérive,
du Loiret se sont vendus de 1 10 à 1 15 ; pages et 200 gravures : le TRAITÉ de la
— Bien sûr, dit le patron Lagadec, c'est
les champenois, de 1 fr. à 1 10 ; les man- HERNIE) des Affections abdominales et
pas un poisson ordinaire,
En effet, c'était le sous-marin « Fructi- oeaux, de 95 c. à 1 05 ; les gournayeux, des Varices (par A. CLAVERIE, M CM-. ©)
dans lequel la Vérité sur ces affections est
dor », qui venait d'effectuer une plongée de 85 à 95 c; les caennais, de 80 à 90 c.
dévoilée,
Le demi-kilo net.
et qui revenait à la surface des flots,
Dans un but humanitaire et de vulgariLes braves pêcheurs de Groix n'en sont
sation scientifique, cette magnifique bropas encore revenus...
chure sera adressée gratuitement et dis»
L-2 MARIAGE DE M. MAC C ALPIN. — M. Mac
crètement à tous *es lecteurs de l'Est républicain qui en feront la demande auCalpin est un des directeurs de la Stan- j Diplôme d'honneur —- Deux médailles d
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Insertion légale (2e avis)
Suivant acte sous seing privé, en date du 29 juin 1911, M.
Jean FREISSE, cafetier à Nancy, a vendu à la Brasserie GREFF
à Nancy,
Le fonds de commerce de Café-Brasserie qu'il exploitait à
Nancy, rue de la Comme nderie, n» 34, et connu sous le nom de
« Brasserie du Globe ».
Les oppositions, s'il y a Heu, seront reçues au plus tard dans
les dix jours qui suivront la présente Insertion qui renouvelle
la première parue le 2 juillet 1911, chez M. A. MARCHAND,
agent commercial, 13, rue Saint-Nicolas, où domicile a été élu.
Insertion légale (2e avis)
Suivant acte sous seing privé, en date du 29 juin 1911, M.
Charles MATTER, propriétaire à Nancy, a vendu à M. Félicien
MONTEMONT, garçon de café à Nancy,
Le fonds de commerce de Café-Restaurant avec chambres
meublées qu'il exploitait à Nancy, rue Mac-Manon, 30.
Les oppositions, s'il y a lieu, seront reçues au plus tard dans
les dix jours qui suivront la présente insertion qui renouvelle
la première parue le 2 juillet 1911, chez M. A. MARCHAND,
agent commercial, 13, rue Saint-Nicolas, où domicile a été élu.
INSERTION
LBGALI
Etude de M" GRILLOT, avoué à Nancy, 7, me des Carmes.
ASSISTAXCB
JUDICIAIRE
Décision du 4 avril
1911
ConwsiflB da séparation fie Gorps m divorce
D'un jugement par défaut rendu pat le Tribunal civil de Nancy, en data du six juin 1911, enregistré,
Entre Mme Marie-Lucienne SCIIONN, couturière, demeurant
à Nancy, épouse judiciairement séparée de corps et de biens de
M. DEVES,
Et M. François DEVES, employé demeurant autrefois à Nancy, actuellement sans domicile ni résidence connu*» ;
II résulte :
Que le jugement de séparation de corps du vingt-quatre
janvier 1906 a Hé converti en jugement de divorce,
La présente publication est faite en conformité de l'article
247 du Ode civil et en vertu d'uno ordonnance rendue sur
requête par M. le Président du Tribunal civil de î«nncy en
date du cinq juillet 19T1, enregistrée.
Peur extrait dressé par l'an-oué soussigné,
G. GRILLOT.
Etude «te M' GEROME, commissaire-priseur de l'arrondissement de Lmaéville.
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