Transcript Août 1930

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Républicaine
A PROPOS DES TROIS GLORIEUSES !
Pendant quinze ans, Louis XVIII et let, la seconde Révolution et la troiCharles X ont continué l'ancien ré- sième Liberté.
gime. Semblable à certains fleuves de
« Je prends la Révolution qui était à
l'Egypte qui disparaissent momenta- gauche, je la mets à droite ; ce qui
nément dans les sables pour reparaître était à droite, je le mets à gauche. le
à quelques lieues plus loin, la monar- fais un micmac auquel le diable ne
chie légitime lit sa réapparition avec comprend goutte, ni vous non plus ;
un surcroît d'intolérance et de tyran- je mets tout cela sous le gobelet du
nie.
juste milieu, et, avec un peu de pouLa bourgeoisie et le peuple, les 1 dre de non-intervention, je dis passe,
petits-tils de Voltaire et les va-nu- ! impasse et contre-passe.... Tout est
pieds superbes des faubourgs, se li- passé, Messieurs, pas plus de Liberté
guèrent les 27, 28 et 29 juillet 18.Ï0 I que de Révolution ... A un autre,
pour renverser le régime abhorré.
Messieurs. »
On eût, au début du règne non- !
veau, l'illusion d'un changement com- |
Après l'avortement de 1789 l'avorplet dans l'orientation du pouvoir au
tenicnt de 183«.
profit de la masse des citoyens. LouisLe peuple, poursuivi par la fatalité
Philippe n'était-il pas le soldat de
cl connue victime du fatum antique,
lemmapes et de Yalmy ? Il chantait
est-il donc condamné à l'ilotisme et à
volontiers la Marseillaise au balcon
l'éternelle misère ?
des Tuileries devant le peuple assemComme les damnés du Dante en
blé et arborait franchement le draest-il
réduit à laisser toute espérance
peau aux trois couleurs. Aux yeux de
aux
portes
de l'enfer social ?
tous il donna a,u début de son règne
Tandis
que
Chateaubriand prédit la
l'illusion d'un trône populaire entouré
Révolution
sociale,
Lamennais écrit
d'institutions républicaines, et Laen
s'adressant
aux
monarchistes
: « Si
fayette, aimé de la foule, assurait à
tous que le règne clu duc de Chartres vous essayez de nous donner des fers,
nous les briserons sur vos tètes. »
serait la meilleure des Républiques.
Lamennais incarnera plus tard l'im*
mense foi au progrès social qiiredonnera à l'être humain « l'aliment du
11 fallut déchanter.
corps et celui de l'esprit, non moins
Le peuple qui avait contribué à la nécessaire à l'homme ». 11 ajoutait :
Révolution nouvelle se retrouva Gros « Venez donc, vous tous qui ne crouJean comme devant. La politique de pissez point au sein d'un abject égoïsrésistance aux légitimes aspirations du me, vous qui vivez, vous qui aimez,
pays se personnifia en deux hommes, venez et unissons-nous pour accomCasimir Périer et Guizot, qui incar- plir l'œuvre d'amour. Le temps pronèrent la réaction égoïste et dure.
pice est arrivé, la moisson blanchit et
Le Gouvernement de Louis-Philippe déjà l'Orient resplendit des feux qui
vise à consommer la fusion des partis achèveront de la mûrir.
sous le haillon incolore de l'équi« Espérance et joie à ceux qui ont
voque et le nom trouble du juste faim et soif de la justice, car ils
milieu.
seront bientôt rassasiés ! »
Plus de partis, plus d'idées armées
Tandis que plus tard Louis-Rlanc
pour la conquête des cerveaux, plus se fait le défenseur des droits essende programmes, plus d'idéal !
tiels à la nature humaine, le pays se
La Révolution a été consommée au soulève à la voix de Ledru-Rollin, le
profit d'une classe, la bourgeoisie, tribun radical, et il renverse le trône
qui faisait figure lorsque, confondue de Louis-Philippe aux cris de Vive la
avec le peuple, elle s'appelait le Tiers- Hé forme, sous la Révolution du mépris.
Etat, et qui devint sous Louis-PhiLa Révolution de 1818 nous a donné
lippe un instrument de règne attaché
le suffrage universel qui est l'arme
au pouvoir par le lien sordide du
légale remise au peuple pour assurer
positivisme mercantile.
son émancipation.
La bourgeoisie veut des affaires et
Cette arme deviendra parfaite et le
Guizot lui ressasse, en le tournant et
progrès
social sera assuré lorsque chale retournant sous toutes les formes,
cun
des
citoyens de la République
le mot fameux : « Enrichissez-vous ! »
aura,
grâce
aux bienfaits de l'éducaUne seule morale, celle de l'intérêt,
tion,
atteint
la pleine conscience de
préside aux destinées du pays qui a
ses
devoirs
et
de ses droits.
renversé la Rastille et donné au monde
Grâce
à
l'Ecole
Unique, chaque enla Déclaration des Droits de l'Homme
fant
du
peuple
pourra développer
et du Citoyen. Quelle déchéance !
intégralement ses facultés.
Il en résultent une élévation du
Plus de partis, plus d'idées, [dus progrès général des "idées, une aptide programmes !
tude et une collaboration plus étenLe pouvoir orgueilleux et équivoque, due et plus étroite des classes popusaturé d'égoïsme bourgeois, peut dire laires au maniemdnt des all'aires pucomme la statue voilée de l'Isis égyp- bliques.
tienne: « le suis tout ce qui est, tout
Ne laissons pas dévier la République
ce qui fut, tout ce qui sera. Rien et faisons confiance aux républicains
n'existe que par moi et nul n'a, jus- de toutes nuances qui oublieront leurs
qu'ici, levé mon voile ! »
différends pour accomplir
l'œuvre
d'amour prédite par Lamennais.
.*
Au lieu de la souveraineté de tous,
ce n'est que la domination d'une
caste. A quoi bon avoif fait 1789 ?
si c'est pour remplacer une noblesse
qui avait du panache par une bourgeoisie qui en manque totalement,
Tandis que d'admirables journalistes, Carrel et Armand Marlast,
fustigent le régime à coups de pamphlets, les artistes du Charivari et de
la Caricature, et, à leur tète, Charles
Philippon et Daumier, lui font la
guerre à coups de dessins.
Dans un numéro de la Caricatura,
le roi est travesti en vulgaire escamoteur et on lui prête le langage suivant : « Tenez, Messieurs, voici trois
muscades ; la première s'appelle Juil-
A G R I C O L E ,
Républicaine
Georges LE BAIL.
LE REGIME DE L'ÉQUIVOQUE
Comme en 1830, la République de
1930, à cent ans de distance, est devenue aussi le régime de l'Equivoque
qui ruine les convictions et brise les
caractères et le ressort moral d'un
peuple au profit des intérêts,
M. Tardieu est en train de noyauter
le régime avec le concours de toutes
les voix de la Droite et la complicité
d'un certain nombre de républicains
qui devraient rougir de la promiscuité
à laquelle ils se condamnent.
Le peuple, si cela continue, ne tardera pas à repousser ces républicains
en leur disant : « Qui se ressemble,
s'assemble ; je ne vous connais plus. »
Il y a du pour et du contre dans
l'imbroglio actuel, diront ces républi
cains !
Peut-être, mais nous sommes à un
tournant du chemin, et, il faut choisir.
Ce n'est pas tout de vivre et de durer.
Encore l'aut-il ne pas subir une république dont on aura tout banni : La
vertu républicaine, l'esprit laïque, la
liberté, l'honneur, c'est-à-dire tout ce
qui constitue la vraie démocratie et
fait qu'elle vaut la peine d'être vécue
et servie.
Hataplan.
Toules Ics fois
monde tranquille
donne le nom de
Ciré assurti qne la
1ST O S
LOCAUX
SCOLAIRES
L'Ecole Primaire Supérieure de Pont-l'Abbé
qu'on verrà ioul le
dans un élat qui se
Hépublique, on peni
libertà n y est pus
Montesquieu.
Brides de Souvenir
M .
J a d é
Vous souvient-il de l'acharnement que
niellait jadis M. Jadé, dans les réunions
publiques, à reprocher à M. Le Bail son
vote ù la Chambre dans la question de la
déclaration et de la réquisition du blé.
iMonsieur Le liait voulait introduire l'inquisition à la ferme !
Monsieur Le Bail voulait réquisitionner
le blé du cultivateur !
Et M. Le Bail lui répondait :
Si on connaît l'importance annuelle de
la récolte de blé on évite des achats superflus à l'étranger qui pèsent durement sur
notre marché intérieur, amènent l'avilissement du prix du blé et nous'condamnent
à exporter tous les ans plusieurs milliards
de notre argent à l'Etranger.
La réquisition ne serait pratiquée que
contre les intermédiaires et proliteurs aux
mains blanches qui revendent cher le blé
qu'ils ont acheté à vil prix aux producteurs.
Qui des deux, du Le Bail ou de Jadé, avait
raison '?
Mais, M. Jadé n'avait pas de succès dans
ses réunions. La mèche était éventée.
A plusieurs années de distance je p o s e
la même question aux agriculteurs de la
région.
Fanfan la Tulipe.
L'Affaire Jadé contre le « Citoyen
M. Jadé réclamait au Citoyen pour un
article relatif au rôle qu'on lui prêtait dans
l'affaire Quillivic d'Audierne.
1° 50.000 francs de dommages-intérêts.
2° Une peine d'amende ou de prison.
3° Des insertions dans les journaux.
Il obtient un franc de dommages-intérêts.
16 francs d'amende.
Pas d'insertions.
La montagne accouche d'une souris.
Glanes
Ecole vue de lu Cour d'honneur
e tl e B l é
et
Il manquait
Il fut un temps où il était de bon
ton, dans les milieux rétrogrades, de
dauber à qui mieux mieux sur les
palais scolaires de la 3° République.
Les palais scolaires !
Combien il en reste cependant qui
ne seraient même pas jugés assez
sains pour loger des animaux.
Que l'on s'étonne ensuite des progrès de la tuberculose !
Oui, en fait de locaux scolaires, les
taudis sont bien [»lus nombreux que
les palais.
Quelques rares essais, fort heureusement, ont été faits récemment pour
remédier à ce lamentable état de
choses.
Le plus parfait spécimen eu cet
ordre d'idées est. incontestablement
l'Ecole Primaire Supérieure de Pontl'Abbé.
La Municipalité de cette ville a tenu
à faire grandement les choses. Flic y
a consacré 3 millions. Mais aussi peutelle être justement fière de son œuvre.
Rompant avec toutes les traditions,
elle n'a pas voulu construire au milieu
de la ville une grande boite de pierre
entourée de hautes murailles monacales à l'aspect rébarbatif.
C'est au contraire dans les champs,
au milieu de la verdure, dans un paysage agreste qu'elle a édifié ce beau
bâtiment..
Cette école modèle fonctionne depuis
un an, et cependant il ne s'y est produit aucune évasion.
Pourquoi les jeunes gens iraient-ils
chercher dehors une liberté qu'ils ont
à l'école même '.' Un terrain de jeux
de plus de cent cinquante ares leur
fournit l'espace nécessaire à leurs
ébats.
Les classe» aussi sont spacieuses et
éclairées par de grandes baies vitrées.
Autre précieuse innovation : un jardin a été réservé spécialement pour
les élèves ; ils y sont initiés aux travaux horticoles. Ils sont chargés également de l'entretien d'une cour
d'honneur, de cinquante ares, qui leur
sert de jardin d'agrément. Là ils apprendront à aimer, à cultiver, à soigner les fleurs.
Tout est spacieux dans cette école.
Dans le réfectoire, i00 convives se
tiendraient à l'aise.
Même confort dans les dortoirs qui
sont prévus pour 150 internes, mais
où l'on pourrait facilement en loger
davantage.
Partout aussi l'eau est à discrétion :
couloirs, lavabos, douches, cours...
Tous les locaux sont éclairés et
chauffés à l'électricité. Ce mode de
chauffage est encore une rareté.
Le pensionnat est directement régi
par la municipalité qui met son point
d'honneur à ne réaliser aucun bénéfice
sur la nourriture.
Cela se voit sur la mine replète des
pensionnaires.
L'école a aussi, comme les autres
E.P.S., des ateliers pour le bois, le
fer et la reliure. Elle en aura aussi
pour les arts d'agrément : pyrogravure, découpage, etc...
Un petit orchestre est en formation
et l'année prochaine on espère créer
une fanfare. L'établissement possède
une belle salle de fêtes assez grande
pour (>00 spectateurs.
. N'y a-t-il pas là une ccole toute désignée pour les enfants des villes dont
les poumons ont besoin de respirer
librement l'air salubre des champ»,
rendu plus sain encore par la proximité de l'Océan ?
Perles
une
cantinièrc
Pourquoi, n'y avait-il pas de cantinièrc dans le défilé historique du 14
j u i l l e t ? On avait d'abord pensé à y
faire figurer une, mais on y renonça.
Certes les candidates ne manquèrent
pas. Malheureusement elles étaient
presque toutes jeunes et jolies. Or,
pour respecter la vérité historique,
si une cantinièro pouvait être jolie, elle
Ecole (facade est Ateliers et Salle de F ê l e s
n'en devait pas moins avoir un âge
canonique, qui permit de la considérer
comme la mère des soldats.
Il se présenta bien des candidates
réalisant les conditions d'âge, mais
l'une réclama, en échange, le droit de
jouer le rôle au sérieux et de vendre
Il y a quelques jours, un des oraDes actes de violence et du sang
Déjà, il y a quelques années, en
du vin aux soldats, Une autre était
teurs extrémistes du British Labour pleine Chambre des Communes, M. répandu ? Il y en a eu liéla» ! évidemtrop ûgée ! Une troisième avait bien
s'écriait dans un meeting :
David Lloyd George, qui fut peut- ment pendant la Révolution française ;
l'expérience du troupier, puisqu'elle
—- Pourquoi les Français montrent- être un grand homme d'Etat, mais mais cela ne dura pas des années.
tenait une maison hospitalière assez
ils si peu d'indulgence à l'égard du qui ne fut certainement pas un grand Cela dura exactement dix mois. La
fréquentée par des militaires..,
bolchevisme russe ? Ils oublient que, historien, n i un grand géographe, « Terreur » (ce que l'Histoire apLe comité estima, dans ces coneux aussi, ont eu une Révolution, et avait dit quelque chose d'analogue.
pelle la « Terreur ») commença en
ditions, que mieux valait se passer de
qui ne fut pas des plus douces. Elle
— N'oublions pas, avait-il déclaré, septembre 1793, quand le Tribunal
cantinièrc. Et c'est pourquoi on n'en
donna lieu à d'effroyables actes de que la Révolution française a donné révolutionnaire commença à fonctionvit pas au défilé.
terrorisme e t à la confiscation de lieu à la confiscation et à la division lier et se termina en juillet 1794,
Cyrano
toutes les propriétés terriennes. Cela de toutes le» terres ; c'est même peut- quand Robespierre lui-même monta
L'abondance des matières nous oblige devrait, à tout le moins, inciter le être à cette confiscation que la France sur l'échafaud. Or, pendant ces dix
à renvoyer au prochain numéro la fin Français à la clémence envers les d'aujourd'hui doit son esprit conserva- mois, savez-vous combien il y eut
d'exécutions capitales ? D'après des
des « Notes d'un voyage en Algérie ». excès qui peuvent avoir été commis en teur.
Russie,
On voit la thèse. Voyons les faits... statistiques des archives révolution*
It Citoyen
naires, très exactement, 2 . 3 % . C'est
uii chiffre, qui, je le crains, a été singulièrement dépassé dans les dix années de la Révolution russe.
Quant a la division des terres
françaises, c'est uac énorme erreur
historique — ni la première, ni la
dernière — qu'a commise M. Lloyd
George, en la datant de la Révolution de
1789. La division des terres eu France
remonte au XI11" siècle, lorsque le
servage f u t aboli et que les paysans
obtinrent le droit de propriété. Ils
usèrent si bien de ce droit qu'en 1789
loi•sque la Révolution éclata, il n'y
avait en France pas moins de 4 millions de propriétaires terriens sur une
population totale de 2.'i millions d'habitants — ce qui revient à dire qu'un
Français sur six était propriétaire d'un
champ, d'une maison ou d'une ferme.
S O N S D E CXiOCHE
du Greffe du Tribunal civil du M è r e
(Section d e Quimper)
Affaire Le Bail contre Jadé
La joie de la presse cléricale
«
La condamnation du Citoyen a eu le
don de créer de l'agitation dans la
presse cléricale qui se remue à cette
occasion comme une fourmilière.
L'Ouest-Eclair parle d'une condamnation prononcée avec des attendus
particulièrement
sévères pour le
Citoyen, dans l'affaire Jade.
Le Citoyen se gardera bien de s'élever contre un verdict prononcé par
des magistrats probes et consciencieux.
Mais voila. Obtenir un franc de dommages-intérêts quand on n'en demande
pas davantage, c'est bien, mais n'en
obtenir qu'un seul quand on en demande 30.000, c'est moins bien, et,
ce léger avantage n'autorise pas les
cléricaux à monter au Capitole.
Les magistrats ont généralement
l'habitude de proportionner la peine
ou les réparations civiles à la gravité
de la faute et à l'étendue du préjudice
subi, et ils n'ont pas manqué encore
cette fois d'observer cette règle d'élémentaire équité.
Avouez-le, homme de Y Ouest-Eclair,
un brin de millet, c'est bien peu de
chose pour satisfaire la dent longue
et creuse des carnivores de la presse
de droite.
Naturellement, la Révolution française, qui ne créa pas la propriété
paysanne, n'a pu conlisquer les terres
ou les maisons : il lui »aurait fallu
procéder à 4 millions de confiscations !
Ce qu'elle confisqua, ce furent les
biens du clergé et de la noblesse. Et
encore l a confiscation fut-elle plus théorique que réelle. Par exemple dans le
district de Toulouse sur 3.000 propriétés
foncières enregistrées en 1789, il n'y
en eut que 370 de confisquées pendant
la « Terreur ». Là-dessus I I I furent
vendue»! et 239 firent retour à leurs
propriétaires primitifs sous le premier
Empire. Comparez ces chiffres avec
ceux que donnaient récemment les
Izvestia et d'après lesquels, au l o r
mars dernier, 1-4 millions d'exploita*
» *
tions rurales avaient été confisquées
Et voici encore que le Progrès du
en Russie soviétique — c'est-à-dire'
que la moitié des campagnards russes Finistère, qui est, comme chacun le
avaient été dépossédés de leurs champs sait, le journal de l'Evêché, saisit
l'occasion pour lancer avec lourdeur
ou de leurs demeures !
au Citoyen un trait de sa façon.
D'ailleurs, comment pourrait-on dire
Selon Tac, successeur de Goyen,
que la Révolution française a détruit notre journal a coutume de tremper
la propriété individuelle, quand c'est hebdomadairement
sa plume dans le
à la Révolution française qu'on doit vitriol de l'injure et de la calomnie.
Il faut que Tac nous soit tombé
le Code civil, qui est le plus grand
monument érigé par la France à la d'une planète et ignore tout des choses
défense du droit de propriété indivi- de la terre, pour tenir pareil langage.
duelle ? Et puis, comment oublier Qu'il lise la collection du Progrès et
que la Révolution française a créé celle du Citoyen, qu'il compare, et il se
rendra compte, le pauvre, de la probeaucoup plus' qu'elle n'a détruit ?
vision inépuisable de fiel qui peut
Comment oublier qu'aux heures les entrer dans l'Ame des dévôts. L eau
plus
sombres,
aux instants les plus
tragiques, elle a jeté les fondements
de tout le droit et de toute la civilisation moderne ?
s
C'est la Convention française qui a
proclamé le droit de l'individu à la liberté do conscience et qui a garanti
le libre exercice de tous les cultes.
C'est la Convention française qui a
aboli l'esclavage. C'est la Convention
française qui a organisé l'instruction
en France et qui l'a organisée avec
une perfection telle que les divisions
établies (enseignement primaire, enseignement secondaire, enseignement
supérieur) subsistent encore aujourd'hui et ont été adoptées par la plupart des pays d'Europe. C'est la Convention française qui a fondé ces
grands centres d'éducation qui s'appellent l'Ecole Normale, l'Ecole Polytechnique, l'Ecole des Langues Orientales. C'est enfin la Convention française à qui on doit non seulement le
Code civil, dont j e parlais tout à
l'heure, mais la plus grande partie
des Codes qui furent promulgués
quelques années plus tard sous Napoléon I " et qui constituent le droit moderne.
Au reste, quatre noms demeurent
qui incarnent toute l'œuvre législative
de la Révolution française et ces
noms, après plus d'un siècle, brillent
d'un éclat singulier : ce sont les noms
de Cambon, qui créa le grand-livre
de la Dette publique ; de Cambacérès,
qui dirigea tous les travaux du Code
civil ; de Lakanal, qui organisa l'instruction publique et fonda le droit de
propriété littéraire, et de Carnot, surnommé «l'organisateur de la Victoire »,
qui chassa du sol de France toutes' les
armées étrangères qui l'avaient envahi.
Il serait un peu cruel de rechercher
si la Révolution soviétique, après dix
ans de dictature, a produit quelque
chose d'aussi énorme et si les chefs
bolchevistes laisseront derrière eux
quelque chose de comparable. Mais,
en tout cas — au moins pour les Français — c'est manquer de respect à
l'histoire que de mettre sur le même
pied les deux Révolutions, comme ce
serait manquer de respect aux lois de
l'astronomie que de mettre sur le
même plan le jour et la nuit....
Stéphane LAUZANNE
(Actualités)
t'Eleetioii Sénatoriale
L'élection sénatoriale,
en eue de
pourvoir ail remplacement du re (frettò
M. Fenoux, est fixée au dimanche 21
septembre proohaln.
Les Conseils municipaux du Finistère
sont convoqués pour le dimanohe
1 7 a o û t , afin de désigner leurs déléf 41 ' /
'*.
Extrait lies Minutes
bénite n'innocente pas le piment de la
phrase ni le jet de l'acide swlfurique
quand il est répandu sur autrui par
une main dévote.
Si Tac ne nous venait pas d'en haut
connue un bolide, il saurait son La
Fontaine :
Dieu fit pour nos défauts la poche de
derrière,
Et celle de devant ¡jour les péchés
(/'autrui.
•
•
çon sur Le Bail et lui a causé un préjudice moral dont il lui doit réparation.
Par ces motifs :
Le Tribunal vidant son délibéré et
sans s'arrêter aux autres demandes,
fins ou conclusions des parties, sinon
pour les rejeter.
Condamne Jadé à payer à Le Bail
la somme de un franc à titre de
dommages-intérêts.
fDit que Le Bail pourra faire insérer
le présent jugement (motifs et dispositifs) au tarif des annonces légales et
aux frais de ladé dans trois journaux
de Bretagne à son choix, et ce, dans
le délai d'un mois à compter du jour
où ledit jugement sera devenu définitif.
Dit qu'une seule insertion pourra
être publiée dans chaque journal
choisi.
_ Condamne ladé aux dépens dont
distraction au profit de M0 Bourdais,
avoué, sur son affirmation d'en avoir
fait les avances.
Ainsi jugé et prononcé en ladite
audience publique au palais de justice
à Quimper.
Le Président, signé : Dubois.
Le Commis-Greffier, signé : Quéméner.
Ensegistré à Quimper, le onze juillet
mil neuf cent trente,
Folio : quatre cent cinquante-cinq,
Case : huit cenl huit,
Reçu : cinquante-six francs vingt
centimes.
Le Receveur de l'Enregistrement,
Signé : Cornet.
Ouï à l'audience du vingt-six mai
mil neuf cent trente, les avoués des
parties dans leurs conclusions, les
parties elles-mêmes dans leurs explications et moyens, le ministère p u blic dans ses conclusions et l'affaire
mise en délibéré et renvoyée à une
audience ultérieure pour prononcer le
jugement.
Attendu que ladé ayant publié par
affiches le dispositif du jugement du
onze mars mil neuf cent vingt neuf,
par lequel Le Bail, en sa qualité de
Président du Comité du secours a y s
marins-pêcheurs était condamné aux
dépens du procès, Le Bail en privé, a,
par exploit de Forget, huissier à
Quimper, en date du quatorze décembre mil neuf cent vingt neuf, assigné
Jadé à comparaître devant le Tribunal,
pour s'entendre condamner :
Premièrement : à payer à Le Bail,
la somme de un franc à titre de dommages-intérêts ;
Deuxièmement : à l'insertion du j u gement à intervenir dans quatre journaux de Bretagne au choix de Le Bail.
Attendu que, Le Bail prétend, d'une
part, que ladé a fait procéder sans
droit à l'affichage du dispositif du
jugement du onze mars mil neuf cent
vingt-neuf, condamnant aux dépens
Le Bail ès-qualités ; Que s'il lui était
permis d'en faire la publication dans
les journaux, il lui 'était interdit de
la faire par affiches, et, d'autre part,
qu'en ce faisant et par l'emploi de
La plaie des Bélugas
majuscules dans le corps de l'affiche,
notamment des mots : « Condamne
Le G o u v e r n e m e n t abuse de la patience
Le Bail ès-qualités aux dépens », il a des m a l h e u r e u x p ê c h e u r s .
jeté le soupçon sur Le Bail et lui a
Du t e m p s de P e l l e t a n , les p ê c h e u r s
causé un préjudice moral ;
étaient p r o t é g é s . Il est vrai q u e la Marine
Attendu que l'article trente neuf de pouvait alors m e t t r e à la disposition d e s
la loi du vingt-neuf juillet mil huit p ê c h e u r s de petits torpilleurs qu'elle 11e
cent quatre vingt et un, ne spécifiant possède plus a u j o u r d ' h u i .
Mais à un mal identique, il f a u d r a i t
aucun mode particulier de publication,
o
p
poser aujourd'hui des remèdes nouil faut en conclure, qu'en principe
veaux.
tous les modes de publication sont
E n t r e les vingt moyens de c o m b a t t r e les
autorisés : (Barbier, numéro sept cent
bélugas, g r a n d s r a v a g e u r s de filets et g r o s
e m p ê c h e u r s de p é c h e r en r o n d , le GouAttendu en conséquence, que ladé v e r n e m e n t avait fini p a r a r r ê t e r s o n choix
en publiant par affiches le dispositif il y a 3 a n s et il en avait a d o p t é 1111 qui
d'un jugement rendu à son profit n'a consiste & c o n s t r u i r e e t à a r m e r d e s
enfreint aucune prescription de la loi. v e d e t t e s .
Ces d e r n i è r e s ne p o u r r o n t certes p a s
Attendu à la vérité qu'aussi bien en
matière civile qu'en matière pénale, a s s u r e r la destruction d e s bélugas, mais
l'affiche constitue toujours une aggra- elles p r o c u r e r o n t au moins a u x p ê c h e u r s
vation de la condamnation et qu'il est l'avantage de d é b a r r a s s e r m o m e n t a n é m e n t
les lieux de pêche de la présence de ces
de jurisprudence constante, que, lors- bêtes malfaisantes.
que le Tribunal n ' a pas ordonné
En o u t r e , on peut e s p é r e r q u e la p o u r l'affiche du jugement, la partie au suite intensive de ces r a v a g e u r s , assurée,
profit de laquelle ce jugement a été au p r i n t e m p s , p a r ces vedettes o p é r a n t en
rendu ne peut le fairp afficher à ses escadrilles, a u r a p o u r c o n s é q u e n c e d'en
frais, sans s'exposer à des dommages- d é t r u i r e un certain n o m b i e et d ' é l o i g n e r
les a u t r e s des p a r a g e s habituels où s'effecintérêts ;
Attendu qu'il échet de rechercher tue la pêche sardinière.
Les p ê c h e u r s o n t droit à a u t r e chose
si Jadé a exercé son droit d'une façon
qu'à d e s phrases. La pêche sardinière est
abusive et si sa responsabilité est
f r a n c h e m e n t mauvaise, g r â c e à l'inaction
engagée ;
du g o u v e r n e m e n t qui, au lieu de se livrer
Attendu qu'il y a lieu d'observer à d e s d é c l a r a t i o n s et à d e s p a l a b r e s o r a que l'affiche incriminée reproduisant toires, ferait bien mieux de r é p o n d r e ellipurement et simplement le texte inté- cacement p a r d e s m e s u r e s de protection
gral du dispositif du jugement du et de défense a u x espoirs t o u j o u r s d é ç u s
onze mars mil neuf cent vingt-neuf des p ê c h e u r s q u i se livrent si n o m b r e u x
et ne contenant aucune appréciation à la pêche ingrate de la sardine.
Au G o u v e r n e m e n t d ' a s s u r e r a u x p ê ni sur le jugement ni sur le fonds du
procès ; — ladé n'a pas, au regard c h e u r s le droit au travail en mer q u i les
du Comité de Secours aux marins- m e t t r a ù l'abri de la misère. Si non c'est la
pêcheurs, abusivement exercé son famine p o u r l'hiver.
Un ami des marins.
droit et que, de ce côté, sa responsa-,
cinquante) ;
Malgré la surveillance étroite de la
haute police cléricale toujours en éveil
et en quête de procès à faire pour assurer quand même le prestige de
l'Eglise et épargner toutes les critiques à ses ministres, le Citoyen n'a
eu qu'un procès de presse depuis
23 ans. Il lui a été intenté avant la
guerre, à propos d'un rien, par un
vicaire du diocèse. Après le grand
conflit, ce petit procès vivait encore.
11 avait résisté à la tourmente et à
l'union sacrde.
Et cependant, quelle belle chose
que l'union sacrée ! le ne sais plus
quel archevêque le proclamait encore
ces jours-ci devant le Président de la
République, et Monseigneur de Quimper ne manquera pas de la vanter à son
tour à M. Douinergue quand il viendra
saluer à Quimper en octobre prochain
bilité n'est pas engagée :
le Président aux mille sourires.
Toujours la question d e s Bélugas
Attendu que, compte tenu de la
Pan ! Pan !
date de la signification du jugement
et des délais d'appel, on ne saurait
sérieusement soutenir que l'affiche
Le Voyage
de Font-1'Abbó
dont s'agit ait été, fin juin ou commencement juillet mil neuf cent vingtNous a p p r e n o n s q u e les maires d u c a n à Quimper et ¿ Brest
neuf, placardée tardivement et à une
ton de Pont-l'Abbé, MM. Adam, Bargain,
époque qui ne serait pas contempo- Guirriec, Donge, Larnicol, Kernallen, Coïc,
C'est le j e u d i 9 o c t o b r e prochain q u e raine de celle du jugement.
Jolivet, viennent de p r o t e s t e r p a r u n e
M. Douraorgue, président de la République,
Mais attendu que Le Bail se pré-: d é p ê c h e , p r è s du Ministre de la Marine
viendra à Q u i m p e r et à lires! à l'occasion
de l ' i n a u g u r a t i o n d u g r a n d p o n t d e P l o u - sente à l'instance, en son nom per- Marchande, c o n t r e la situation l'aile aux
gaslel-Daoulas.
sonnel et non en sa qualité de Prési- p o p u l a t i o n s côtières p a r le m a n q u e de
Voici le p r o g r a m m e é l a b o r é h l'occasion dent dudit comité de secours, que sa protection c o n t r e les d é p r é d a t i o n s d e s
de celte visite présidentielle :
b é l u g a s q u i sèment la r u i n e d a n s les m é A Quimper. — A 8 h. 15, arrivée il la g a r e demande de dommages-intérêts paraît n a g e s d e s pêcheurs.
de M. D o u m e r g u e et d e s Ministres ; ù fondée ;
Celle pétition a é t é transmise p a r les
Attendu qu'en ne reproduisant dans
8 li. 40, réception d e s a u t o r i t é s il la P r é soins
d u d o c t e u r l.e Coz, conseiller g é n é f e c t u r e . Knsuite, s u r le Clmmp-de-Halaille, son affiche que le seul dispositif du
p r é s e n t a t i o n a u P r é s i d e n t de g r o u p e s jugement sans l'éclairer des motifs, ral.
• »
b r e t o n s , et d a n s e s b r e t o n n e s , délllé d e s
sociétés ; A 9 h. 10, à l'hôtel de ville, p r é - il apparaît que ladé a eu l'intention
M. G e o r g e s Le bail, s é n a t e u r , a écrit, il
sentation d u conseil municipal, visite au d'atteindre la personnalité de Le Bail ; y a u n e dizaine de j o u r s , u n e letlre de
m é m o r i a l d e s e n f a n t s de Q u i m p e r m o r t s
Attendu, en effet, que d'une part, si p r o t e s t a t i o n à M. le Ministre de la Marine
p o u r la F r a n c e .
certains motifs dudit jugement sont Marchande au s u j e t de la situation inadEn s o r t a n t de la mairie, le P r é s i d e n t se relativement sévères, pour le comité
missible faite a u x p ê c h e u r s sardiniers,
r e n d r a h la g a r e , d'où son train partira
de
secours,
il
en
est
au
moins
1
1
1
1
qui
n
o t a m m e n t à ceux de la baie d'Audierne,
p o u r Brest, vers 10 h e u r e s .
par
les ravages d e s bélugas.
est
à
la
louange
de
Le
Bail,
l'un
des
A Bren t. - Le P r é s i d e n t de la R é p u b l i q u e
et sa suite a r r i v e r o n t à la g a r e d e l'Etat à « dirigeants dont l'honnêteté 11c sauLe Ministre n'a p a s e n c o r e r é p o n d u .
11 h. 45. Le c o r t è g e se r e n d r a i m m é d i a t e - rait être suspectée ; »
M««n»»»ixiiiiiniiimnTmmu
ment à la salle d e s l'êtes où M. D o u m e r g u e
Attendu que, d'autre part, à la lecprésidera à 12 h. 15 un g r a n d b a n q u e t .
RÉPUBLICAINS !
A 14heures, M, Doumergues'embarquera ture de l'affiche litigieuse l'ignorant
Vous ne trouverez pas le Citoyen
à l'Arsenal à bord d'une vedette pour se du sens des mots « ès-qualités » pourrendre, h la cale du » Point du J o u r », pré- rait croire que c'était Le Bail person- chez tous les dépositaires de journaux
sider au lancement du croiseur« Dupleix». nellement et non Le Bail, eli sa qualité du département, mais vous le trouverez
Vers 16 h e u r e s il se r e n d r a en a u t o , Huide Président du comité de Secours, qui sûrement chez vous en vous abonnant.
la rive de K e r h u o u , p o u r l'inauguration
olliclelle d u Pont de Plougastel. A p r è s la avait été condamné aux dépens du (Voir bulletin d'abonnement eti 4"page)
réception p a r le Bureau d u Conseil g é n é - procès ; d'où commentaires et interral du Finistère et la Municipalité du R e - prétations défavorables à l'encontre
l c c q - K e r h u o n , M. D o u m e r g u e traversera
de Le Bail,
le pont. S u r la rive de Plougastel le présiAttendu qu'en publiant en entier le
d e n t sera reçu p a r lu Municipalité de cette
jugement du onze mars mil neuf cent
commune.
L e s p e r s o n n e s q u i d é s i r e n t (aire paLe Président delà République regagnera vingt-neuf, c'est-à-dire avec ses motifs raître d e s A n n o n c e s o u d e s C o m m u n i Brest en automobile et assister», sur le et son dispositif, le procès actuel ne q u é s d a n s l e Journal « Zja C i t o y e n » son«
Cours d'Ajot, à un grand défilé breton ; serait pas né et ladé aurait sûrement i n s t a m m e n t p r i é e s d e l e s a d r e s s e r a u
ensuite il se rendra au Monument aux
Morts pour la France, et y déposera une atteint le but qu'il affirme s'être pro- b u r e a u d u Journal, 8 1 , r u e ttu S a l l é , k
posé, mettre un point final à une cam» Quimper, 1« mardi s o i r d e c h a q u e
gerbe de fleurs.
M. Doumerguo quittera Brest par le pagne do presse tendancieuse ; Que • s m a l n e , a u p l u s tard.
II,')in (le 18 l | i t i n o q (•»/>•• M Iionfimi. >1 pq.-l •
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Une protestalioo des Maires du Littoral
du Président de la Républp
A v i s important
HERNIE
J E S U I S GUÉRI. — C'est l'arnrmatlon d e
toutes les p e r s o n n e s atteintes de h e r n i e s qui
ont porté le nouvel appareil sans ressort de
M a i
« C C D le Grand S p é c i a l i s t e de
• U L A o E n PARIS. 4 4 , Bd SÉBAST0P0L
En adoptant ces nouveaux appareils, dont
l'action b i e n f a i s a n t e se réalise s a n s g ê n e ,
sans s o u f f r a n c e s ni I n t e r r u p t i o n de travail,
les h e r n i e s l e s plus v o l u m i n e u s e s e t les
plus r e b e l l e s diminuent Instantanément d e
volume e t disparaissent p e u à p e u c o m p l è -
tement.
Devant de tels résultats s a r a n t l s t o n j o u r s p a r
écrit, tous ceux atteints de h e r n i e doivent s'adresser sans retard h M G L A S E R qui leurrera
s r a t u l i e m e n t l'essai de ses appareils de 9 à 4 h-à
Quimperlé, 8 août, Hôtel d u Lion d'Or
et V o y a g e u r s .
Brest, d i m a n c h e 10 a o û t , Hôtel Continental.
NI le CEINTURE PERFECTIONNÉE
p o u r d é p l a c e m e n t de tous o r g a n e s
T R A I T É de la HERNIE
fc° s u r d e m a n d e à M. GLASER
44, Bd Sébaslopol, P A R I S
NOUVELLES DÉPARTEMENTALES
Zie Mérite Agricole
Voici la liste, p o u r n o t r e d é p a r t e m e n t ,
de la p r o m o t i o n d u Mérite Agricole :
O/liciers : MM. Bellec, vétérinaire à
Landivisiau ; C u d e n n e c , a g r i c u l t e u r à
Plouigneau ; Esclauze, d o c t e u r vétérinaire
à Brest.
Chevaliers : MM. Baley, éleveur à Lesneven ; Damalix, s e c r é t a i r e d e la Société
d ' h o r t i c u l t u r e de Q u i m p e r ; Daniel, cultiv a t e u r à Plomelin ; Déniel, cultivateur à
P l o u n é v e n l e r ; Donou Goulven, éleveur
ii Lanmlis ; Farcy, d i r e c t e u r du l a b o r a t o i r e
de chimie à Brest ; Férec, cultivateur à
Pio u g a s n o u ; Guillou, a g r i c u l t e u r à Plouénan ; Guitot, cultivateur à Hanvec ; Mme
veuve IlénalT, cultivatrice à Plugulïan ;
MM. Huitric, a g r i c u l t e u r à E r g u é - G a b é r i c ;
J a c o b , cultivateur ù P l a b e n n e c ; J é g o u ,
a g r i c u l t e u r . à S a i n t - J e a n - T r o l i m o n ; Kerivel, a g r i c u l t e u r à Poulla/i ; Laheliec,
cultivateur à Guerlesquin ; Le Cléach,
a g r i c u l t e u r à T r é m é o c ; Le G u e n n e a u ,
cultivateur à P e n h a r s ; Colloter, cultivateur
à P l o u g a s n o u ; Cornee, cultivateur à
Plonéïs ; Rohon, cultivateur à Cléder ;
N olani, a g r i c u l t e u r à P l o m e u r : Mesguen,
cultivateur à S a i n l - M a r t i n - d e s - C h a m p s ;
Nédélec, a g r i c u l t e u r Milizac ; P o u l i q u e n ,
cultivateur Locmélar ; Queinnec, a g r i c u l teur au F a o u .
Instruction Publique
— M. Boursin, d i r e c t e u r de l'école n o r male d ' i n s t i t u t e u r s à Q u i m p e r , est n o m m é
i n s p e c t e u r p r i m a i r e à Corbeil (S.-et-O.).
— M. F e u n l r e u n , i n s p e c t e u r p r i m a i r e d e
la 2 e circonscriplion de Brest, e s t n o m m é
ù la l r '- circonscriplion, en r e m p l a c e m e n t
de M. Dégé, a d m i s à la retraite.
— Mme Manteau, directrice «le l'école
p r i m a i r e s u p é r i e u r e de S t - J e a n - d ' A n g e l y ,
esl n o m m é e directrice de l'école p r i m a i r e
s u p é r i e u r e de Quimperlé, en r e m p l a c e ment de Mlle Brière. a d m i s e à la r e t r a i t e .
Concours de poulinières suitées, non suitées et de laiterons mâles
Les d a t e s d e s c o n c o u r s de la société
hippique d'élevage du sud-Finistère sont
fixées c o m m e suit en 1930 :
Bannalec, le Iti s e p t e m b r e , à 8 h e u r e s .
Quimper, le 17 s e p t e m b r e , à 9 h e u r e s .
Chùteaulin, le 18 s e p t e m b r e , à 8 h e u r e s .
Carhaix, le 19 s e p t e m b r e , à 9 h e u r e s .
Tableau indicatif des p r i m e s à d i s t r i b u e r
aux poulinières en 1030, savoir :
Subvention de l'Etat : 55.000 f r a n c s ;
subvention du d é p a r t e m e n t d u Finistère :
19.420 f r a n c s ; subvention de l'Oiliee a g r i cole du Finistère : 2.000 f r a n c s .
La grève des Chemins de fer
départementaux
Des revendications c o r p o r a t i v e s avaient
été p r é s e n t é e s p a r les e m p l o y é s à la Cie
des Chemins de fer d é p a r t e m e n t a u x .
Malgré la réunion de la Commission
paritaire q u i s'est t e n u e vendredi a p r è s midi à la P r é f e c t u r e , à Q u i m p e r , mais qui
n'aboutit à a u c u n résultat, le p e r s o n n e l
s'est mis en grève d i m a n c h e matin.
P a r suite de cette grève la Cie se voit
d a n s l'obligation de n ' a s s u r e r s u r le
réseau q u ' u n service r e s t r e i n t e t limité aux
v o y a g e u r s , les c o r r e s p o n d a n c e s ne sont
pas g a r a n t i e s .
P o u r les h o r a i r e s s ' a d r e s s e r dons les
gares.
se pressait-elle, bien avant le lever d u
j o u r , a u x deux b o u t s d e la petite place d e
la prison.
Seuls q u e l q u e s prévilégiés avaient e u
accès s u r le t e r r e - p l e i n , devant la maison
d'arrêt.
Le lourd f o u r g o n t r a n s p o r t a n t la sinistre
machine arriva à 4 h e u r e s p r è s de la p r i son. On c o m m e n ç a aussitôt le m o n t a g e d e
la guillotine qui dressait q u e l q u e s instants
plus tard sa haule et m a c a b r e silhouette
devant la p o r t e môme de la maison d ' a r r ê t .
Floch était éveillé. A M. le P r o c u r e u r q u i
lui a n n o n ç a i t q u e sa d e r n i è r e h e u r e avait
s o n n é et lui d e m a n d a i t d'avoir d u c o u r a g e ,
il r é p o n d i t c o m m e inconsciemment p a r un
« Oui » blasé. 11 entendit ensuite la messe,
se confessa, puis se p r ê t a très d o c i l e m e n t
aux exigences des aides d e Deibler q u i lui
firent r a p i d e m e n t sa d e r n i è r e toilette.
Vers 5 h. 20, la p o r t e d e la prison s ' o u vrit d a n s u n b r u i t d e ferraille. Floch a p p a r u t e n t r e ses b o u r r e a u x qui le p o u s s è r e n t
b r u s q u e m e n t s u r la bascule. Un déclic.
Un b r u i t s o u r d . Justice était faite.
En un clin d'œil, la lêle et le c o r p s d u
supplicié d i s p a r u r e n t d a n s le panier q u e
l'on c h a r g e a p r e s t e m e n t d a n s le f o u r g o n
qui, e n t o u r é de g e n d a r m e s à cheval, p r i t
aussitôt la r o u t e du cimetière S a i n t - J o s e p h
où, a p r è s la bénédiction, d o n n é e p a r u n
p r ê t r e q u ' a c c o m p a g n a i t M» Feillet, les
r e s t e s d e Floch f u r e n t e n t e r r é s .
La guillotine d é m o n t é e e t nettoyée p r e nait le chemin d e la g a r e vers 6 h e u r e s
et q u i t t a i t Q u i m p e r d a n s la m a t i n é e .
A j o u t o n s q u e Floch avait é t é c o n d a m n é
à m o r t p a r les Assises du, Finistère le 12
avril d e r n i e r .
R a p p e l o n s aussi q u e la d e r n i è r e e x é c u tion capitale q u i e u t lieu à Q u i m p e r r e m o n t e au v e n d r e d i 7 o c t o b r e 1921. Elle
c o n c e r n a i t Hervé, a u t e u r d e d e u x c r i m e s
s u r deux cultivateurs v e n a n t de la F o i r e .
A u p a r a v a n t , le 2 j u i n 1888, Paul F a i n e
qui avait violé et assassiné u n e fillette a u
Lendu, près Q u i m p e r , avait é t é d é c a p i t é ,
non d e v a n t la prison, mais à l'entrée d u
cimetière Saint-Louis, a u C h a m p - d e - F o i r e .
Fêtes des 14, 15,
et 1 7 Août
16
J e u d i 14, à 20 h. 30, s u r la place SaintC o r e n t i n . c o n c e r t p a r la « Lyre Quimpéroise ».
V e n d r e d i 15, g r a n d e s a t t r a c t i o n s f o r a i nes ; à 14 h e u r e s , c o u r s e s d e chevaux s u r
l ' h i p p o d r o m e de Cuzon ; à 15 h e u r e s , j e u x
publics d a n s les allées d e Locmaria.
S a m e d i 16, à 21 h e u r e s , sous les halles,
g r a n d bal de bienfaisance, prix d ' e n t r é e :
5 francs, u n e q u ê t e y sera faite a u profit
des p a u v r e s .
Dimanche 17, à 14 h e u r e s , c o u r s e s d e
chevaux s u r l ' h i p p o d r o m e d e Cuzon ; à
22 heures, dans les allées d e Locmaria,
g r a n d feu d'artifice.
— A l'occasion d e s fêtes de Q u i m p e r les
cafetiers et d é b i t a n t s sont a u t o r i s é s à tenir
leurs établissements o u v e r t s j u s q u ' à 2 h e u r e s du matin les 14, 15, 16 et 17 aoilt.
lies abtosemenli Ch. Barat.
On
n o u s signale q u e les T o u r n é e s Ch. Baret
d o n n e r o n t cet hiver à l ' a b o n n e m e n t d i x sept r e p r é s e n t a t i o n s s u r n o t r e scène m u nicipale.
L'abonnement comprend des avantages
t r è s intéressants, n o n s e u l e m e n t d ' i m p o r tantes r é d u c t i o n s s u r le tarif des prix d e
places, mais aussi u n e a s s u r a n c e c o n t r e
toute a u g m e n t a t i o n éventuelle d e s tarifs
p e n d a n t le c o u r s d e la saison, et la faculté
de bénéficier d u m ê m e a v a n t a g e d ' o c c u per la m ê m e place, et d e p r o f i t e r d e la
m ê m e r é d u c t i o n p o u r les r e p r é s e n t a t i o n s
h o r s série q u e les T o u r n é e s Ch. Baret
p o u r r a i e n t être a m e n é e s à d o n n e r d a n s
n o t r e ville d a n s le c o u r s de la saison.
Enfin, l ' a b o n n e m e n t évite l'ennui d'avoir
à se d é r a n g e r p o u r o b t e n i r sa place a u
b u r e a u de location, c h a q u e fois q u e l'on
désire aller au T h é â t r e .
P o u r tous r e n s e i g n e m e n t s , s ' a d r e s s e r a u
b u r e a u de location. La souscription s e r a
close le 13 o c t o b r e 1930.
P r i x « A n n e - M a r i s ». — M. E . Ménez,
maire, e n t o u r é de la Commission municipale. a remis, avec le c é r é m o n i a l habituel,
le 26 juillet au soir, le prix <« Anne-Marie »
à Mlle A n n e Le F a o u , 22 ans, factrice, 70,
r u e de la P r o v i d e n c e .
Concours dan Baoos b o v i n »
Le
c o n c o u r s d ' a r r o n d i s s e m e n t d e s races b o vines A r m o r i c a i n e et Pie-Noire a u r a lieu
s o u s la présidence de M. Louis F e u n t e u n , .
président de la société, le 22 s e p t e m b r e , à
9 h e u r e s , établissements Le Dé, r u e d e s
Douves, à Q u i m p e r .
Montant d e s p r i m e s à d é c e r n e r : 12.965 f r . ,
d o n t 7.500 f r . s u r s u b v e n t i o n d e l'Oiliee
Ouverture de la Chasse
agricole d é p a r t e m e n t a l et 5.465 f r . s u r s u b L ' o u v e r t u r e de la chasse d a n s le d é - vention du Conseil g é n é r a l du F i n i s t è r e .
En o u t r e , s e r o n t d é c e r n é e s , a u n o m d u
p a r t e m e n t d u Finistère a u r a lieu le
g o u v e r n e m e n t d e la R é p u b l i q u e : u n e m é d i m a n c h e 21 s e p t e m b r e p r o c h a i n .
daille de vermeil, d e u x médailles d ' a r g e n t ,
trois médailles de b r o n z e .
P o u r ê t r e a d m i s à e x p o s e r , les c o n c u r B U V E Z DU
r e n t s d e v r o n t faire p a r v e n i r à M. P e r r a u l t ,
s e c r é t a i r e d e la Société d ' a g r i c u l t u r e , 18,
r u e Jules-Noël, Q u i m p e r , une d é c l a r a t i o n
écrite, avant le 10 s e p t e m b r e 1930.
MAISON FOUBNIER
X.ea C o u r a e a . - On sait q u e les C o u r s e s
h i p p i q u e s de Q u i m p e r , q u i sont t o u j o u r s
t r è s suivies, a u r o n t lieu, cette a n n é e , les
15 et 17 aoiM.
D'après les r e n s e i g n e m e n t s p a r v e n u s , c e s
r é u n i o n s sportives sont a s s u r é e s d ' u n
g r a n d succès.
Un guichet spécial sera ouvert p o u r les
sociétaires d é s i r a n t faire l'échange d ' u n e
carte d ' e n t r é e p o u r u n ticket d ' a u t o m o b i l e .
P o u r éviter l ' e n c o m b r e m e n t d e s g u i c h e t s ,
Mardi matin, à l'aube, l'assassln-incend e s cartes s e r o n t mises en v e n t e e u
diaire, Yves Floch, l'odieux m e u r t r i e r d e Grand café de B r e t a g n e .
Mme Colin et de sa fillette, d u village de
B a l dm l a C r o i x - B o u g o n
Le ffrand
Kerruc, en Plouhinec, a payé sa d e t t e à la
bal a n n u e l d o n n é p a r la société S. B. M ,
société.
Nos lecteurs o n t e n c o r e p r é s e n t s à la el l'association d e s D. F. a u r a lieu le l u n d i
18 aotlt, salle Odet-Palace.
m é m o i r e les détails a t r o c e s d e s Crimes
Tout sera mis en œ u v r e p a r les d i r i g e a i s
dont Floch se rendit coupable d a n s la nuit d e s deux sociétés p o u r q u e celte f ê t e ait
du p r e m i e r janvier d e r n i e r . Nous ne re* le m ê m e succès q u e les a n n é e s p r é c é d e n t e s .
v i e n d r o n s donc p a s s u r les c i r c o n s t a n c e s Prix d ' e n t r é e : 15 f r a n c s . — S o u p e r facul»
de ces a b o m i n a b l e s forfaits, q u e Floch, talif p a r petites tables.
on se le rappelle, avoua avec un Cynisme
P o u * n o t r o p o r i . — La C h a m b r e d e
révoltant.
C o m m e r c e d e Q u i m p e r ,vient d e d é c i d e r
Les bois de Justice étalent a r r i v é s en d ' a c h e t e r u n e g r u e s u r camion, e n v u e
g a r e de Q u i m p e r d i m a n c h e soir.
d ' a m é l i o r e r les m a n u t e n t i o n s d e s m a r La nouvelle de leur arrivée fut c o n n u e chandises au port d e Q u i m p e r , et d'éclairer
lundi malin p a r les éditions d e s j o u r n a u x le quui neuf p o u r p e r m e t t r e le travail d e
r é g i o n a u x q u i annonçaient
également nuit.
S I K OO Y
QUIMPER
L'BMlioD de Yves Fioco
1 * assassin - Incendiaire de P M I
l'exécution de Floch p o u r le l e n d e m a i n .
Aussi une l'ouïe immense, maintenue,
A v i a . — Les é t u d e s d ' a v o u é s à Q u i m p e r
seront fermées du samedi 9 août au s o i r
jmian'n"
1 " aontomKr»,
le citoyen
M i n l t a t l aux Examens dans nos
Eoeles laïques. — Ecole de lu rue du
Lycée : certificat d ' é l u d é s , 27 élèves r e ç u s ;
examen des b o u r s e s , 18 élèves r e ç u s ; école
professionnelle de Nnnles, G. F r n b o l o t et
F. R o b e r t ; s u r n u m é r a r i n t d e s postes, Mazo, Nacré e l L e Nonch ; brevet élémentaire,
AscoPt, Au ter, Cellon, Doaré, Dréo, S e z nec ; Kcole N o r m a l e d ' i n s t i t u t e u r s , Y. Le
Gars, J . Lévénés* J . D o n n a i s , IL Ster ;
liste s u p p l é m e n t a i r e , P . Le Gars.
Ecole du boulevard de Kerguélen. — C e r tificat d ' é t u d e s , 15 élèves r e ç u e s ; e x a m e n
d e s b o u r s e s , 10 élèves reçues.
Dans n o t r e d e r n i e r . n u m é r o n o u s avons
d o n n é les r é s u l t a t s o b t e n u s à l'école d e
la r u e Vis.
naille el la fleur d e la jeunesse d o P o n t l'Abbé.
Bravo m e s e n f a n t s ! Bravo, ces parfaits
i n s t r u c t e u r s , les i n s t r u c t e u r s q u i s'appellent B e r n a r d e l Pradal, et qui, a p r è s avoir
été ù lu peine, sfe trouvèrent aussi à
l'honneur.
L'organisai ion e s t indispensable à d e s
Coz, ndj'. à Landéda (g.), e s t n o m m é e rant au Pays des Fruits, en la com- clauses et conditions3u cahier des charpartis a n i m é s d e la volonté d e vaincre. a d j . à Lannilis.
ges dressé par ledit notaire et déposé en
mune de Combrit
J a c q , c h . d'éc. à Nizon, est n o m m é e inst.
L'instinct p o p u l a i r e e t l'impulsion reçue
son étude où toute personne peut en
M.
Pierre-Jean
Morvan,
époux
de
des a n c ê t r e s n e sulliront p a s t o u j o u r s à à Névez.
prendre
connaissance et ce, en présence
Mme
Catherine
Maréchal,
cultivateur,
Coïe, a d j . à Ellianl (g.), esl n o m m é e à
a s s u r e r l'avenir d e lu R é p u b l i q u e contre
de
toutes
personnes et notamment de
Penniarch-Kérity.
demeurant à Kcrhervant, en Loctudy ;
les t r o u p e s orgunisées du général de Cas1°
M.
Pierre
Draoullec, subrogé-tuteur
S t é p h a n , a d j . à Tréfiiagat-Léchiagat, est
Mme Marie-Louise Morvan, et M. des trois mineurs Toulemont issus du
lelnau.
n o m m é e ù P e n m a r c h (St-Guénolé).
Pierre-Jean Biger, son hiari qui l'as- mariage de feu Noël Toulemont avec
Bravo e n c o r e p o u r les h o m m e s dévoués,
Aux e n f a n t s de t r o u p e q u i défileront d i Jolais, a d j . à Guiler-Plogastel, e s t n o m p r é s i d e n t s o u p r o t e c t e u r s actifs d e c e s m a n c h e d a n s vos m u r s nous o p p o s e r o n s mée à PlogasleI-Saint-G«rmain.
siste et l'autorise, cultivateurs, demeu- Mme Marie Le Pape ; 2° M. Laurent
J
o r g a n i s a t i o n s , q u i p a r leur zèle el l'in- d a n s l'avenir les j e u n e s c o h o r t e s d e s inBizven, a d j . à Pont-l'Abbé (g.), est n o m - rant à Iverniviel, en I lobannalec ;
Toulemont, subrogé-tuteur des trois
térêt qu'ils p o r t e n t il leurs sociétés méri- d o m p t a b l e s e n f a n t s d e lu patrie r é p u b l i - mée à P o n t - l ' A b b é - L a m b o u r (Maternelle).
Mme Marie-Jeanne Morvan, et M. mineurs Toulemont, issus du mariage
tent d'être p u b l i q u e m e n t félicités et r e - caine, la grenaille populaire e l laïque.
Jolly, a d j . à P e n h a r s (Moulin-Vert prov.),
Jacques I.e Bhun, cultivateur, son de Pierre-Jean Toulemont avec Catheesl n o m m é e à R o s p o r d e n (cl. enfant.).
merciés p o u r leur zèle el leur d é v o u e m e n t
mari
qui l'assiste et l'autorise, de- rine Calvez, tous deux décédés ; 3°
Arrêté Municipal
A r r i b a r l , a d j . à B r c s t - S a n q u e r , est nomcivique.
meurant à Kcrvillogant, en Treffiagat ; M. Sébastien Cariou, subrogé-tuteur
Après le délîlé, a lieu le vin d ' h o n A la suile d ' u n e lettre d e M. R e n a u d , mée à Brest (Port de Commerce).
Delar lie., a d j . a Brest ( P o r t de C o m m e r Mme Marie-Corentine Morvan, en des trois mineures Cariou, issues d u
n e u r . Les halles sont toutes g r o u i l l a n t e s président d u comité d'organisation de la
mariage de dame Catherine Le Bec
ce),
est
n
o
m
m
é
e
à
B
r
e
s
t
S
u
n
q
u
e
r
.
religion Sœur Elisabeth-Marie, Cou- avec feu Noël Cariou, tous sus-nommés,
Etat-oivll dn 3 0 Juillet au B Août de m o n d e .
fête de g y m n a s t i q u e F . G . S. P. F., à P o n t Mlles
P
e
n
e
s
,
à
d
j
.
à
Brest-Vauban
(Mat.),
1 9 3 0 . — Naissances : Maryvonne .lézévent Pincher-Creeck, Alberta, Canada: ou eux dûment appelés.
Tout le conseil municipal de Pont-l'Abbé l'Abbé, le Maire a pris l'arrêté suivai/l :
est n o m m é e à Lambézellec (P.-It.) Mat..
q u e l , r u e de l'Hospice, 17; E u g è n e Le (iotï, (côté gauche) est là, maire en tête.
Article l" r . — P o u r les j o u r n é e s d e s 9 et
Mlle Marie-Perrine Morvan, célibar u e d e Brest, l(i ; Robert l l e r v é , place
Le Lann, c h . d'éc. à C l é d e n - P o h e r , est
A. B O U R D A I S ,
Les maires d e g a u c h e d u canton sont 10 Août 1930, tous r a s s e m b l e m e n t s , sorties n o m . inst. ù Plonévez-dM-Faou.
T e r r e - a u - D u c , 1 ; Ginette Guyader, r u e ilu
taire majeure, institutrice libre à
Avoué-licencié.
P o n t - F i r m i n , 4 2 ; Paul L a u t r i d o u , r u e Suint- aussi là a u complet : Coïe, Adam, B a r - en corps, processions, défilés, sonneriesClohars-Foucsnant ;
Mathieu, 12 ; Hervé Le Golï, r u e de la P r o - gain, Guirriec, Larnicol, Donge, Kerna- de clairons, île t a m b o u r s e l a u t r e s i n s t r u M. Sébastien Cariou, veuf de Marie- Etude de M0 B0UBDAIS, avoué-licentlen, Jolivet.
Pour toutes
m e n t s a n a l o g u e s , c h a n t s et cris, sont e x - I n s t i t u t e u r s
vidence, 30.
Décès : Louis Robin, o u v r i e r b o u l a n g e r ,
Louise
Toulemont, cultivateur à Ker- cié à Quimper, 3 rue I^ouis-llémon.
Bi ' a u c o u p de d a m e s . S u r les piliers du pressément interdits s u r les rues, quais, P u b l i c s
vos Fournitures
39 ans, r u e d e l'Hospice ; J o s é p h i n e G u é - g r a n d hall municipal ces mots q u i disent places et voies p u b l i q u e s de la c o m m u n e
niviel,
en la commune de IMoJjannaClassi
rin, c o u t u r i è r e , 79 ans, r u e d e l ' H o s p i c e ;
de Pont-l'Abbé.
adressez-vous à la
<i™
lec ;
Jean Le Gùillou, vannier, 57 a n s , é p o u x tout : « Vive l'Ecole laïque », puis les d e u x
EXTRAIT
Art. 2. — Les différentes sociétés e l voiCavellec, r u e de l'Hospice ; F r a n ç o i s L'Alai- d a t e s s y m b o l i q u e s d u c i n q u a n t e n a i r e :
Librairie laïque du Citoyen
M. J.ouis Cariou, époux de Mme
t u r e s de t r a n s p o r t en c o m m u n , p o u r aller
son, m a r i n - p ê c h e u r , 58ans, é p o u x Le Page, 1880-1930.
Marie-Jeanne Quiniou, cultivateur,
D'un jugement rendu contradictoiau terrain d e s p o r t s « Lu J e a n n e d'Arc » i c » n n H H H » t t K H H » H t t m T
r u e J e a n - J a u r è s , 13 ; F r a n ç o i s Cloaree,
Le d o c t e u r Le Coz, président d ' h o n n e u r situé à la sortie d e P o n t - l ' A b b é , s u r le
demeurant
à Kéralouet, en l'iolian- rement par la première Chambre du
cultivateur, 30 ans, r u e d e l'Hospice : Marthe B r o u s m i c h e , 45 ans, r u e de Brest, 15; de l'Amicale scolaire, ouvre la série d e s chemin de Plonivel (V. O. 2), suivront les
nalcc ;
Tribunal civil du Finistère (section'
Benoit Kernévez, j a r d i n i e r , G8 ans, r u e de discours. Il excuse le p r é s i d e n t d e lu s o - itinéraires ci-après :
M.
Pierre-Jean
Cariou,
veuf
de
de
Quimper), le 9 avril 1930, enrel'Hospice.
ciété, M. Le Séach, q u ' u n deuil récent a
1") Celles v e n a n t d e lu direction d e la
gistré,
Mme
Marie-Jeanne
Calvez,
cultivade
M"
BOURDAIS,
avouéEtudes
Publications
de Mariages : Marcel Le e m p ê c h é de venir, el lit u n e lettre de lui. g a r e d e Q u i m p e r : r u e V i c t o r - H u g o (G.
Bail, e m p l o y é de c o m m e r c e , d o m . ii Vannes,
licencié à Quimper, 3, rue l.ouis- teur, demeurant à Ker Verzit, en PloEntre :
C. 20), r u e P a s t e u r , place au Beurre, route
et Marie k é r o u é , s . p., d o m . ù O u i m p e r ; On a p p l a u d i t .
du
Cimetière
(V.
0
.
4),
(ou
r
u
e
Pasteur,
»annalec
:
llémon
;
M"
LUCAS,
avoué-licencié
Mme
Marie-Yvonne-Françoise
SelPuis il distribue à la j e u n e s s e , à ses
Marcel Guillou, c o n t r ô l e u r d e s C o n t r i b u Mme Marie Cariou, veuve de M.lin, épouse de M. Yves-Pierre-Marie
tions indirectes, d o m . ù Blain (L.-l.), e t m o n i t e u r s et à ses p r o t e c t e u r s d e s éloges r u e d e l'Hôpital, place d e s C a n n e s , devant
à Ouimper, rue Vis ; M0 POULIl'églisa, r o u l e d u Cimetière), r o u t e s d e
Augustin« Le P a g e , institutrice, d o m . à mérités. On applaudit t r è s fort.
Louis Guirriec, cultivatrice, demeu- Guillou, demeurant de droit à KéranQUEN, notaire à Pont-l'Abbé.
Loctudy et de Plonivel.
Quimper ; Pierre Jaouen, boulanger, dom.
rant au Douric, en la commune de gal, à Lanriec, mais autorisée à résider
Il
l'ait
e
n
s
u
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t
e
un
b
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l
é
l
o
g
e
d
e
l'école
laïque.
il K r g u é - A r m e l , e t Alice K e r b a r c h , e m 2" Celles venant d e la direction de Plopendant l'instance chez M. Scllin, à
Pont-l'Abbé :
ployée d e c o m m e r c e , d o m . il Q u i m n e r ; On l'acclame. C'est q u e le d o c t e u r Le Coz nieur el P l o n é o u r : r u e s J u l e s - S i m o n , LaP i e r r e Le Lons, s e r g e n t a u 137" H. I., il jouit ù P o n t - l ' A b b é d ' u n e p o p u l a r i t é très m a r t i n e , r o u l e île P l o b a u n a l c c (C!. C. 2 A),
Mme Corcutiiic Cariou, veuve de Penhars. en Lanriec, demanderesse,
Q u i m p e r , e t N'oémy Croissant, s. p., d o m . j u s t e m e n t méritée. L ' a p p l a u d i s s e m e n t va allée du P r a t (V. O. 9), r o u t e s de Loctudy
en / Etude
M" Bourdais, avoué.
M. Jean Stéphan, cultivatrice, demeuii Brest.
et d e Plonivel.
à l ' h o m m e q u i est b o n et à la laïcité.
Et :
et par le Ministère de M" POULIQUEN rant à Kérizur, cil l.octudy ;
Servie* de la rlvlir* par la « Iteina
Art. 3. — Dans la j o u r n é e du 10, les va
Puis c'est le tour de M. Coïe, maire, d e
M. Yves-Pierre-Mario Guillou, époux
notaire à Pont-l'Abbé
Mlle Corciline Cariou, célibataire
de l'Odet ». — H o r a i r e d e la semaine :
p a r l e r . Il le fait avec b e a u c o u p de simpli- et vient, e n t r e le terrain d e s p o r t s et la
de
Mme Marie-^Yvonne-Françoise Selville, se feront exclusivement suivant les Le V e n d r e d i 5 S e p t e m b r e 1 9 3 0 majeure, cultivatrice, demeurant à
Départ Départ
Départ
cité, de j u s t e s s e et de force.
lin,
cultivateur, demeurant à Kéranà
1
1
heures
Q u i m p e r Loctudy Bénodet
Kcrniviel, en Plobannalec :
C'est bref et c'est cela qu'il faut d i r e et itinéraires précités, chacun choisissant l'un
gal,
en
Lanriec, défendeur,
V e n d r e d i S a o ï U . 14 h. 30 17 h.
17 h. 30 il le dit en d e s ternies q u i sont t r è s g o û t é s ou l'autre lie ces t r a j e t s selon son lieu de
M. .Joseph t.ariou, époux de Mme
DKSKiKATION DKS IMMKLBI.ES A VENDRE:
M® Quéinnec, avoué,
Samedi 9
14 h. 30 17 h.
17 h. 30
c
a
n
t
o
n
n
e
m
e
n
t
.
de l'assistance.
Marie-Jeanne Bernard, cultivateur, deIl appert que la séparation de corps
Dimanche 1 0 . . . 8 h . 3 0 16h.30
17h. 15
P o u r le d é p a r t le soir, les intéressés Département du Finistère — Arront 'n a p p l a u d i s s e m e n t g é n é r a l salue le dis- feront l'inverse de l'itinéraire suivi le matin.
Lundi 11
, 9h< 16 lt»h.30
17h.lj
dissement de Quimper — Canton de meurant à Pénanros, en IMobannalec ; a été prononcée entre les époux SellinMardi 12
8h.30
lGh.45
17h.30 c o u r s de M. Coïe;qui m o n t r e q u e son esprit
M. Marc Cariou, époux de Mme Guillou au profit de la femme et aux
D'une façon g é n é r a l e chacun veillera
Plogastel-Saint-Gcrmain
- ComMercredi 13 . . . . 9 h. 30 10 h. 30 17 h. 15 el son c œ u r ont battu ù l'unisson d e s n ô t r e s . s t r i c t e m e n t à l'observation d e s p r e s c r i p Marie-Jeanne
Plantée, cultivateur, au torts et griefs du mari, avec toutes ses
mune de PI.ONÉOUR-LANVERN —
J e u d i 14
8 h. 30 lGh.30 17 h. 15
Puis, c'est M. G e o r g e s Le Bail q u i se lève tions du Code de la r o u t e et particulièreVinv,
en
Plogastel-Saint-Germain
;
conséquences de droit.
Au village de KEHVliOUYEN
:
Dimanche 10 aoilt, excursion a u x Iles à son t o u r au milieu ;les a p p l a u d i s s e m e n t s . ment à conserver t o u j o u r s su droite d e
Mme
Marie-Jeanne
Cariou,
en
reliPour extrait :
façon
à
laisser
libre
la
moitié
de
la
voie
Glénans.
Il dit sa joie d'assister ii cette belle l'ête
gion Sœur Marie Gonzague, à l'AdoA. B0UBDA1S, avoué.
Mardi 12 aoilt, excursion à C o n c a r n e a u . populaire, et d ' ê t r e l'un d e s p r é s i d e n t s p u b l i q u e p o u r c h a q u e sens de la circulalion.
do la Tenvo dite « Ijôach-an-Ty-Toul » ration, à Brest ;
J e u d i 14aoi1t, excursion aux lies Glénans. d ' h o n n e u r de VAmicale
scolaire.
Arl.4.— L u s i m p l a n l a t i o u s d c n i à l s e l s u p Pour tous renseignements, s'adresser ù
Ladite tenue contenant sous fonds
Mme Yvonne Cariou, en religion Etude de M' POULIQUEN, notaire
Il salue la « Quiuipéroise ». S e s succès
la cabine v e r t e , face aux magasins Alavoine, l'intéressent. .N'est-il p a s n é à Q u i m p e r , ports, les installations de guirlandes, arcs d'après déclaration reçue par .Me Ver- Sœur Stanislas-Marie, Communauté du
à Pont-l'Abbé.
de t r i o m p h e ou a u t r e s d é c o r s de ce g e n r e
qrfai de l'Odet.
r u e d u Rossignol ?
a u - d e s s u s d e s voies el places publiques, rye, notaire à Pont-l'Abbé, le 31 jan- Saint-Esprit, à Saint-Brieuc.
Il salue VAmicale scolaire de P o n t - l ' A b b é , sont également interdites.
vier -1822, environ \ hectares 03 ares,
Mme Catherine Cariou et M. Pierre
D o o t e u r E . Hardottin
qui h o n o r e le clan b i g o u d e n . Dès sa pliis
Art. 5. — Notification du présent a r r ê t é , 23 centiares, non compris le fonds Guirriec, cultivateur, «on mari qui
(yeux, nez, g o r g e , oreilles)
t e n d r e enfance, il a vécu d a n s ce coin de qui sera publié el affiché, sera faite à M.
sous les communaux.
l'assiste et l'autorise, demeurant au PAR ADJUDICATION V0L0NTAIBE
y. rue de Keryariou,
absent
jusyu'au
terre où d o m i n e , s u r la côte s a u v a g e , non II. R e n a u d , en sa qualité de p r é s i d e n t du
En l'Etude
'
1" septembre
plus lu voix d u rossignol, mais le cri vain- comité d ' o r g a n i s a t i o n .
h n r ï r lixée p a r le Tribunal : Guib, en Plonéour-Lanvern.
Lie
J
e
u
d
i
1 4 Août 1 9 3 0
Mlle Anna Cariou, célibataire maLe Commissaire de police et les a g e n t s
q u e u r de l'oiseau d e s t e m p ê t e s .
quarante / r nfljl f r
«
5 heures
de
lu
force
p
u
b
l
i
q
u
e
placés
sous
ses
o
r
d
r
e
s
jeure, cultivatrice, demeurant à IverIl dit sa tristesse d e ne p a s voir M. Le
Les p h o t o g r a p h e s de Quimper
cinq mille francs, ci . . TU'UUU I I .
sont
c
h
a
r
g
é
s
d
e
l'exécution
d
u
p
r
é
s
e
n
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Des
B
I
E
N S ci-après
niviel, en Plobannalec.
informent leur clientèle que leurs ate- Séac'h, r é m i n e n t d i r e c t e u r de l'E. P. S., si arrêté.
Cette vente est poursuivie en exédévoué
aux
intérêts
de
la
société.
situés
à
St-Guénolé,
en PENMARCH
Mme Catherine Cariou, épouse de
liers s e r o n t f e r m é s le dimanche à
P o n t - l ' A b b é , le 4 Août 1930.
cution d'un jugement rendu par la M. Jean Calvez, cultivateur, demeuor
Il
l'ait
un
brillant
éloge
d
e
s
d
e
u
x
belles
m i d i , <i partir du / septembre proLe Maire, A. COIC.
première Chambre du Tribunal Civil rant à Kerniathéano, en la commune
l01' lot. — Une maison
d'habitation
p h a l a n g e s d e j e u n e s et de t r è s - j e u n e s aux
chain.
du Finistère (section de Quimper) le de Saint-Jean-Trolimon.
c o r p s souples et h a r m o n i e u x , puis d e MM.
et de commerce comprenant au rezBernard el Pradal, puis d e s p r o t e c t e u r s
21 juillet 1930, enregistré,
Mme Marie-Jeanne Cariou, et M. de-chaussée cuisine et magasin avec
d é v o u é s d e s deux sociétés.
Fouesnant
A la requête de :
Jean Pérès, cultivateur, son mari, qui devanture ; an premier étage i chamIl salue le maire el ses conseillers muniZ«a fête des Pommiers.
La l'été d e s
Mme Marie-Perrine Toulemont, et, l'assiste et l'autorise, demeurant à bres ; grenier avec 3 pièces mansar/'ar arrêté de M. le Préfet du Finistère
P o m m i e r s q u i devait avoir lieu le 3 aoill cipaux de g a u c h e p u r e si d é v o u é s a u x inM. Jacques Stéphan, cultivateur, son Prat-ar-Bhun, en la commune de Plo- dées. Cour derrière la maison et à
en dale du 2 août 1930 :
térêts de la cité.
a é t é r e p o r t é e a u d i m a n c h e 31 a o û t .
étendue sur 10 mètres de profondeur.
MM. Gibrat, d i r . à P o u l d e r g a t , est nom- mari qui l'assiste et l'autorise, de- ljannalec ;
Cela dit M. Le Bail l'ait u n e c o m p a r a i s o n
meurant ensemble à Lestouarn, en
Douarnenez
Mme Corentinc Cariou, et M. Fran- Entrée pour fréquenter ce lot par la
e n t r e la j o u r n é e d u 3 Août et celle q u e les mé à Plobaunalec-Lesconil.
L'Hours,
c
h
.
d'éc.
à
Pleyben
(Pont-CoPlobannalec
;
Gertifioat d'Aptitude professionnelle. c u r é s o r g a n i s e n t avec p o m p e et f r a c a s
çois Toulemont, cultivateur, son mari grande porte commune.
blanl)
est
n
o
m
m
é
dir.
à
T
e
l
g
r
u
c
.
Contenant environ 170 mq.
Mme Marie-Louise Toulemont, veu- qui l'assiste et l'autorise, demeurant
— L'école p r i m a i r e s u p é r i e u r e de Douar- p o u r le 10.
Autrel, d i r . à L e n n o n , e s t n o m m é à
nenez a p r é s e n t é s e p t élèves au certificat
MISE
A PRIX : iO.OOO francs.
La c é r é m o n i e du 3 s'est d é r o u l é e s i m ve
de
Jean-Marie
Guiziou,
demeurant
à Kérescant, en Plobannalec ;
rilôpilal-Cnmfrout.
d ' a p t i t u d e professionnelle.
p l e m e n t . ainsi qu'il convient q u a n d il s ' a à
Peiimarc'h
;
—
1° Le surplus de la cour
2'
lot.
M. Michel Le Berre, époux d'AnneMesmeur, inst. ù Landivisiau, est n o m m é
T o u s les sept o n t été reçus, dont un avec git d ' u n e fêle laïque et républicaine. Chez
dir.
it
Landivisiau.
M.
Pierre-Jean
Toulemont,
veuf
de
comprise
au
l o r lot, donnant du nord
Marie Berrou. cultivateur, demeurant
le n° 1. En voici la liste :
n o u s il n'y a q u e la libre adhésion d e s
Le Golfe, d i r . à Locniaria-Berrien, est Mme Marie-l.ouise Carrée, cultivateur, à Kervrouyen, en Plonéour-Lanvern, partie levant sur le chemin de KéAllain G o u r i t e n , a j u s t e u r ; Corentin Quicitoyens q u i c o m p t e . Tout l'attrait r e p o s e n o m m é à P l o u g o u l n i .
niou, t o u r n e u r ; P i e r r e Lindivut, E r n e s t
demeurant à Trêves, en la commune demandeurs,
rouiUe et du nord partie couchant sur
J é g o u , c h . d'éc. à Camarel-Kerloch, est
K e r d r a n v a t , J e a n Salailn, a j u s t e u r s ; Mi- s u r la valeur d e s c h a m p i o n s , j e u n e s e t
de
Trèves-Cunault
(Maine-et-Loire).
cour
du 1er lot.
Ayant
M»
B0URDA1S
pour
avoué.
n o m m é dir. au Cloltre-Pleyben.
chel C u d e n n e c , m e n u i s i e r ; P i e r r e Lons, moyens, q u i font éclater leur valeur d a n s
Mme Marie-Louise Toulemont, en
2° Un grand immeuble ou atelier de
Mme Marie J.e Pape, veuve de M.
S t é p h a n , ch. d'éc. à L o c - E g u i n e r - S a i n t le d é c o r habituel d e lu vie c o u r a n t e . La
ajusteur.
T
h
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,
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t
J
e
a
n
religion
Sœur
Marie
Saint-Corentin,
Noël
Toulemont,
cultivatrice,
demeu17
mètres de long sur 10 mètres de
Oirque Bureau. — Nous avons le plai- b e a u t é d u ciel et la v e r d u r e d e s a r b r e s T r o l i m o n , Kerbaseol.
demeurant
à
Ergué-Armcl
;
rant
à
Plomelin
;
large
environ, au midi de la cour.
sont
un
d
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c
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s
d
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l
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sir d ' a p p r e n d r e q u e le beau Cirque Bureau
Le liagousse, inst. ù Moëlan, est n o m m é
Agissant tant en son nom personMme
Marie-Jeanne
Toulemont,
en
Puits
et citerne.
sera ù D o u a r n e n e z j e u d i 14 aoill. Il d o n - et les h o m m e s de la n a t u r e .
dir. ù P l o u é n u n - P e n z è s .
nel que comme tutrice naturelle et
n e r a u n e seule séance il 8 h. 30 d u soir.
Les cléricaux opèrent a u t r e m e n t .
Contenance de ce lot environ 570 mq.
Bothorel, d i r . ù P e n m a r c h - K é r i l y , e s t religion Sœur Benoit Marie, demeuNe m a n q u e z pas d'aller voir les 25 n u m é r o s
Ils ont f r a p p é à t o u t e s les portes, ils o n t n o m m é à Lothey.
rant à Saint-Jovite, province de Qué- légale de : 1° Victorine Toulemont,
MISE A PRIX : 30.000 francs.
nouveaux.
2° Sébastien Toulemont ; 3° Daniel
poussé d e s s u s p o u r r é c l a m e r des g u i r l a n Le Bourhis, c h . d'éc. à P l o u g o n v e n , est bec (Canada).
Clause
de réunion après adjudicaToulemont, ses trois enfants encore
Plozévet
des, d e s festons, d e s d r a p e a u x , u n e place n o m m é d i r . à Briec-de-l'Odet.
Mme Catherine Toulemont, en relition
partielle.
mineurs nés de son mariage avec feu
Corn, inst. à Crozon (Sl-Iïernot) e s t
S e u x brillants mariages. — M. G. I.e s u r les m u r s p o u r e n f o n c e r d e s clous.
gion Sœur Bercknians du Sacré-Cœur, Noël Toulemont.
Faculté de traiter avant l'adjudiBail a p r o c é d é le lundi 4 août, ù dix h e u r e s
Ils o n t pu faire ù ce s u j e t le r e c e n s e m e n t n o m m é ù C a m a r c l .
G a r g a m , inst. à Plounévézel, est n o m m é demeurant à la Sainte-Famille, SaintMme Marie Toulemont, et Pierre cation.
du matin, a u m a r i a g e d e M. E d o u a r d d e s consciences q u i sont de Irois s o r t e s :
ù Carhaix.
Brieuc (Côtes-du-Nord) ,
Blaize, c o m m i s d e s Postes à D o u a r n e n e z ,
Draoullec, son mari qui l'assiste et
Pour tous renseignements s'adresavec Mlle Renée Kerloch, institutrice p u - les b o n n e s , dites extra-fines ; les m é d i o c r e s
Guillemot, inst. à Saint-Goazec, est nomM.
Mathieu
Toulemont,
époux
de
l'autorise,
commerçants, à Lesconil, ser à M° Pouliquen, notaire.
q u i , a p r è s avoir dit n o n , o n t Uni p a r capi- mé ù Clohars-Carnoöl.
blique à Plozévet.
Philoniène Guro, employé de chemins en Plobannalec,
M. Kerloch, p è r e , a é t é p e n d a n t p l u - t u l e r ; les mauvaises q u i o n t résisté. Paca!
Gaonach, inst. à Querrien, est n o m m é à
M. Draoullec, agissant en outre
s i e u r s a n n é e s i n s t i t u t e u r ù Plozévet, où
de
fer, demeurant à Fougères ;
C
l
o
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a
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s
C
a
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n
o
ê
t
.
La r u e est aux cléricaux. Ils o n t d é j à , à
Mine Kerloch dirigeait e l l e - m ê m e avec
connue subrogé-tuteur des mineurs
Moalic, inst. ii Q u i m p e r (prov.) cr,t nomM.
Louis
Toulemont,
demeurant
la
b
a
r
b
e
de
la
municipalité,
d
é
s
i
g
n
é
r
e
m
b e a u c o u p d e succès l'école publique" île
mé à Kérity-Penmarcli.
précédemment Etablissement Central Toulemont, sus-nommés ;
p l a c e m e n t de l'Arc de T r i o m p h e .
tilles.
La société générale de Négociations
Le Thiec, d i r . à Bannalec (St-Jacques),
M. Laurent Toulemont, cultivateur,
Le m o n t a n t de la q u ê t e faite a u profit
A Rome on les construisait a p r è s lu vicdu Matériel de la Radiotélégraphie
est
n
o
m
.
inst.
à
R
o
s
p
o
r
d
e
n
.
S
i
,
rua Auber, P A R I S (XXe)
d e la caisse d u Bureau île bienfaisance a toire, p o u r recevoir le v a i n q u e u r .
époux de Mme Catherine Cosquer,
Militaire,
51
bis.
Boulevard
LatourUrvoas, inst. il La Fouillée, e s l n o m m é
p r o d u i t la s o m m e d e 38 fr.'50.
F o n d é » en 1873
Les cléricaux sont victorieux q u a n d à Scaër (c. c. Lettres).
Maubeugc, Paris (7"), et actuellement demeurant à Dialae, en la commune
Le c o r t è g e était t r è s brillant. Le r e p a s
offre à chacun un placement
intéressant
de
Combrit,
de noces a e u lieu chez Mme K é r o u é d a n , môme et t o u j o u r s .
Le Nivez, inst. il Névez, e s l n o m m é à l'ercepteur, demeurant à Mur de Brelions de DépOl de 1.000 francs el au-dessus
M. Toulemont agissant tant en son nom
Hôtel de la Gare. Un bal plein d'entrain a
C o n s o l o n s - n o u s m e s amis, dit M. Le T r é g u e n n e e .
tagne (Côtes-du-Nord) ;
C> mois : ô 0 . l'an ; 1 an : 7 °/ 0
succédé a u r e p a s et a mis en liesse toute Bail. Je ne serai p a s là d i m a n c h e . Mais ce
personnel que comme subrogé-tuteur 2 ans : <V % l'an. — A'et d'impôt
Coonl, inst. à Plogonnec, est n o m m é à
cédulaire
u n e belle j e u n e s s e .
Mme Marie Le Pape, veuve de M. des mineurs : Pierre-Jean Toulemont,
q u e j e crois p o u v o i r dire c'est q u e , m a l g r é Tréinéoc.
intérêt payé d'avance lors du versement.
A q u a t r e heures, le môme j o u r , M. la publicité qu'ils font p o u r f r a p p e r les
Mines T h o m a s , inst. il P l o u é n a n - P e n z è s François Stéphan, demeurant à Ker- Corentin Toulemont et Marie TouleCes b o n s c o m p o r t e n t u n e d o u b l e g a G. Le Bail, s é n a t e u r - m a i r e , procédait a u
(prov.) est n o m m é e nu F a o u .
nivicl, on Plobannalec ;
mont, nés du mariage de feu Pierre- rantie : 1. E n g a g e m e n t p e r s o n n e l d e la
imaginations,
lu
q
u
a
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t
i
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é
n
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l
'
e
m
p
o
r
t
e
r
a
m a r i a g e M. Marcel-Guillaume L o u a r n ,
A u t r e t , inst. à Lennon, est n o m m é e à
M. Pierre-Jean Daniel, cultivateur, Jean Toulemont avec feue Corentinc Société ; 2. Affectation exclusive d e l e u r
c o m m i s d e s Postes e t T é l é g r a p h e s , à pus s u r la qualité.
L'Hôpital-Canifrout.
Paris, e t d e Mlle B e r n a d e t t e - J o s é p h i n e p r o d u i t à d e s P r ê t s g a r a n t i s p a r Nantisseépoux
de Marie Guichaoua, demeurant Calvez :
Nos deux sociétés pèseront aillant d a n s lu
S l é p h a n , ch. d'éc. à L o c - E g u i n e r - S a i n l Calheririe Le Moal, institutrice p u b l i q u e à
m e n t s et g a g e s indiscutables.
à
Pénanguer,
en
la
commune
de
LocMme
Marie
Le
Loch,
veuve
de
Tliégonnec,
est.
n
o
m
m
é
e
inst.
ù
S
t
J
e
a
n
balance
du
succès
légitime
q
u
e
les
35
dont
Plozévet, d o n t les p a r e n t s sont c o m m e r 3 S millions de Prêts
Pierre Calvez* cultivatrice, demeurant
ç a n t s à Plozévet.
on n o u s v u n l e d é m e s u r é m e n l les p r o u e s s e s . Troliinou, Kerbaseol.
tudy ;
réalisés
e t déclarés d e p u i s 1927.
1
Bolhorel,
inst.
à
P
e
n
m
a
r
c
h
K
é
r
i
l
y
,
e
s
t
Le c o r t è g e était très n o m b r e u x et t r è s
La m o r a l e qu'il faut tirer de la c o m p a Mme. Catherine Toulemont et M. à Kerbleust, en Saint-Jean-Trolimon,
n o m m é e à Lothey.
beau.
agissant
en
sa
qualité
de
tutrice
des
raison anticipée d e c e s d e u x j o u r n é e s ,
Gibrat, inst. à Bannalec (Eglise Blanche) Pierre ' Lucas, cultivateur, son mari mineurs Toulemont sus-nommés, isLe r e p a s a été servi p a r M. K é r o u é d a n
O N D E M A N D E jeunes filles
qui l'assiste et l'autorise, demeurant
et les mardi et m e r c r e d i un bal très bril- c'est q u e le parti clérical est u n e f o u r m i - est n o m m é e à Plobannalec-Lesconil.
sus du mariage de Pierre-Jean Tou- pour bureau.
lant e t t r è s a n i m é a mis en joie lu j e u - lière t o u j o u r s en m o u v e m e n t .
Flocli, d i r . à P l o u g a s n o u , est n o m m é e à Tréordo, en Plonéour-Lanvern ;
nesse du pays q u i , c o m m e chacun le suit,
Il c o m p t e d a n s son sein d e s d é v o u e m e n t s inst. il Plouénun-Penzès.
Mme Marie-Josèphe Toulemont, et lemont avec Corentinc Calvez, décédés.
S'adresser au journal.
Se distingue p a r sou élégance et p a r su q u e n o u s s o m m e s affligés de n e pus renMme
Catherine
Le
Bec,
veuve
de
Clech,
inst.
ù
S
u
i
n
l
P
o
l
d
e
L
é
o
n
(prov.)
M.
Pierre
Kerviel,
son
mari
qui
l'astenue.
c o n t r e r diHis plusieurs d e n o s m u n i c i p a - est n o m m é e it P l o u é n a n - P e n z è s .
siste et l'autorise, cultivateurs, demeu- M. Noël Cariou, cultivatrice, demeuC h a r b o n s d e T e r r e - CharPont-l'Abbé
L'Hours, d i r . à Pleyben (Pont-Coblant),
lités r é p u b l i c a i n e s i m p o r t a n t e s .
rant à Pendrelï, en Treffiagat,
rant
ensemble
à
Ty-Névez-Kerlcz,
b
o
ns d e B o i s - B o i s d e chaufL'exemple d e Q u i m p e r , Brest, P o n t - est n o m m é e inst. à Telgruc,
Agissant tant en son nom personU n e belle fête de gymnastique
en Plomplin ;
.
f
a
g
e - P o m m e s d e Terre.
Bourhis,
ch.
d'éc.
ù
Plougonven
(Suintl'Abbé, Saint-Pol-de-Lii'on, mérite d'ôlrfc
nel que comme tutrice naturelle et
L'AalUaU scolaire de Pont-l'Abbé
Eutrope), e s l n o m m é e inst. à Brie'c (g.).
M.
Noël
Toulemont,
cultivateur,
Livraison
à domicile.
légale de : 1° Germaine Cariou ; 2°
suivi.
et la « Qulmpéroiso » à l'honneur
Martin, inst. à S t - S a u v e u r , est n o m m é e époux de Mme Marie-Jeanne GuiMichel
LE
PAPE, 46, route de RosJeanne
Cariou
;
3°
Marie
Cariou,
ses
A l'ouivre, mes amis I
dir. à P l o u n é o u r - M é n e z ; '
J ' I g n o r e si d e p u i s 144 a n s , c o m m e on le
chaoua, .^lenieurant à Ty-Névcz-Ker- enfants mineures nées de son mariage porden. Téléph. 2-33.
A nous de f o r m e r u n e j e u n e s s e résolue,
Blanchard, d i r . à Berrien, est n o m m é e b
p r é t e n d i n o u s n'avions t r a v e r s é une période éprise de» exercices d u c o r p s e t d a n s lu
gorcntln, en Plomelin ;
avec feu Noël Cariou ;
Locmuriu-Berrlciii
lie t e m p s aussi mauvais, inals ce q u e j e laquelle subsistera le vivant esprit d e
Count, ch. d'éc. à P l o g o n n e c , e s t n o m M, Jeau-Louis Toulemont, cultivaM. Sébastien Cariou, époux de Mme
O N D E M A N D E "2 manœubais c'est que» de 2 h e u r e s ii « h. 1 2 du soir, laïcité q u i a a n i m é ses p a r e n t s . Dévelop- mée d i r . ii Tréinéoc.
teur, époux de Mme Marie-Jeanne Letty, Marie Bernard, cultivateur, demeu- vres et $ raccommodeuses de sacs.
le b o n Dieu a s u s p e n d u son a r r o s a g e p o u r per le c o r p s est bien, Muisl'esprit a besoin
JalTrézic, inst. à Melgven, est n o m m é e demeurant l\ Bérévin, cli la commune rant à Pénanros, en Plobannalec,
S'adresser iG, route de Rosporden.
p e r m e t t r e b la belle j e u n e s s e île Q u i m p e r uussi de s'alimenter sans cesse. 11 a aussi ch. d'éci à Kernével-Lc Moustoir<
de
Coin
b
rit
;
Agissant
tant
eu
son
nom
personnel
Le
Gull,
inst,
ù
Beuzec-Conq-Le
Lin,
est
61 d e P o n t - l ' A b b é de se m a n i f e s t e r en force, l'obligation d ' a s s u r e r sa culture et de l'aire
Mme Marie-Louise Toulemont, et que comme subrogé-tuteur des m i - V N C A M I O N devant transëti Agilité, en s o u p l e s s e et en beuulé h a r - du trapèze. Il doit s ' a v e n t u r e r d a n s la vie n o m m é e ch. d'éc. ù Beuzec-Conq,
M,
Ambroise Bargain, cultivateur, son neures Cariou, issues du mariage de porter mobilier à BÉNODET prendrait,
Chffpalnin,
inst.
à
Tréfiez,
e
s
t
n
o
m
m
é
e
monieuse) au son d ' u n e m u s i q u e i m p r o - politique et à la l u e u r de la fiamme à lu
ch.
d'éc.
à
LandunvcZi
mari
qui l'assiste et l'autorise, à L a Catherine Le Bec avec feu Noël Ca e n retour, d é m é n a g e m e n t pour
visée q u i a a d m i r a b l e m e n t secondé le j e u fois laïque et citoyenne.
riou, sus-nommés,
Monnier, inst. à Brest (Port d e C o m - zurudic, en Pluguffan :
des acteurs.
BREST ou environs.
Puis M. G. Le Bail luit un vibrant éloge merce), est n o m m é e il Brest {Lycée g.).
Ayant M" LUCAS, pour avoué
Que c e soit d a n s les é p r e u v e s indivi- de lu laïcité.
Mme Marie-Jeanne Toulemont, veuS'adresser à M. LOZACHMEUR,
Le Roux, inst. Melgven, e s t n o m m é e à
En conséquence, l'adjudication de
duelles ou d a n s les exercices d ' e n s e m b l e ,
ve de M. Charles Lclgouarch, cultiC o m m e le J u i f - E r r a n t , dil-il, n o u s les C a m a r e t .
école
du Pilier-Rouge, Lambézellec.
G'ouvec, ch. d'éc. à Lu Martyre, est nom- vatrice, demeurant au Gucrdy, en l'immeuble sus-désigné aura lieu, en
Ces d e u x sociétés a m i e s ont goilté les j o i e s ho
les d e g u u c h e d e toutes nuunceS)
un
seul
lot,
en
l'étude
et
par
le
minisd u t r i o m p h e saluées p a r les a p p l a u d i s s e - n o u s d e v o n s être t o u j o u r s en marche) mée inst. à Clohars-Carnoêt (cl. enfant.)'.
Pont-l'Abbé ;
J E U N E H O M M E de 13 à
tère de M" POULIQUEN, notaire à
Riou, inst. it T r é b o u l , e s t n o m m é e h
m e n t s du peuple, d u vrai p e u p l e de P o n t - sans j a m a i s nous r e p o s e r , p o u r a s s u r e r la
Mme
Catherine
Toulemont,
et
M.
14
ans e s t d e m a n d é pour écriture»
Pont-l'Abbé,
le
5
Sentembre
1930,
à
l'Abbé a c c o u r u là en niasse, plus n o m b r e u x c o n q u ê t e d ' u n avenir social t o u j o u r s D o u a r n e n e z (ruo d u Pont).
Sébastien Cosqucr, son mari, qui l'as- l-i Heures, à éteinte de feux, au plus et courses.
Lucas,
diri
à
T
o
u
r
c
h
,
e
s
t
n
o
m
m
é
e
a
d
j
.
&
q u e j a m a i s p o u r a c c l a m e r la gentille g r e - meilleur,
Landudnl.
sisto et l'autorise, cultivateurs, demeu- •offrant e t d e r n i e r p n e h ^ r i c s n i i f , rm^
S'adresser nu îniirrwl.
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6 2i
6 54
7 32
7 58
5
5
5
6
6
10
87
58
14
33
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Jeudi 14 Août 1930
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Le» abonnement» partent du 1" ou du 15 de chaque moi»
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D ' H O R I Z O N
Un Maire qui a du cran
Le libéralisme en pareil cas est
soeur d e l'irrésolution cl équivaut à
de la couardise.
*
ofes d un voyage en Algérie
*
1 0 M a r s - 1 0 Avril 1 9 2 3
Ils sont rares les h o m m e s qui, dans
les flottements et le trouble de l'opiNous le saluons ! Le maire d e Pont- bien m e remettre, pour mercredi 30 C/'t,
nion, voient clair et se décident.
l'Abbé, M. Coïc, a du cran. Ou le avant niitli, à la mairie, v o s p r é v i s i o n s d u
Constantine.
S'il est naturel q u e sous le poids de
. traitera d e sectaire. Cela n ' a pas d'im- n o m b r e d e participants au c o n c o u r s - f e s t i On a n n o n c e q u e l'honorable ministre
val d e g y m n a s t i q u e du 10 août prochain, l'orage les moissons se courbent et
Constantine, l'ancienne Cirta r e b â portance. C'est l'histoire de la paille l'itinéraire et l e s h e u r e s p r é v u s pour le g e r m e n t , plaquées à terre, il n'est de la marine, M. Dumesuil, s'esl e m p r e s s é
tie p a r Constantin, se divise en deux
de
m
e
l
l
r
c
à
la
disposition
du
d
o
u
b
l
e
et d e la p o u t r e .
délilé, les d i s p o s i t i o n s q u e v o u s v o u s p r o - pas admissible q u e dans le domaine
é v è q u e d e Léon et d e Quimper, M. Ilupare, parties, la ville arabe et la ville moTous ceux qui font leur devoir de p o s e / d'adopter pour pavoiser en ville et t.ran^jeiidant des idées morales et le ll.e.niirenwnl, aviso a n n e x e de l'école d e s
derne. Les deux versants des h a u laïques et ne capitulent p a s devant ce q u e v o u s e n t e n d e z par la l'été d e nuit politiques, les opinions oî les caractè- ^pJri'CTilis marins, p o u r effectuer en c a b o teurs où la ville est édifiée sont redu !) et l'endroit où elle doit se tenir.
tage un v o y a g e d e sa Grandissime Granl'arrogance cléricale sont traités de
Veuillez a g r é e r . Monsieur, l'assurance de res inclinent la tète devant l'absoluliés p a r le pont d'El Kantara et, au
d e u r a u x Iles d'Ouessant et d e Molène,
la sorte.
ma considération d i s t i n g u é e .
tisme, comme les lourds épis, à la vie en vue d e la Confirmation. A c c o m p a g n é loin, p a r le Pont de Sidi-M'Cid.
Il sied m a l aux cléricaux, persécuLe Maire, A. COIG.
inconscient^, soumis à la verse.
d'un n o m b r e u x c l e r g é , l'évéque, mitre en
Il semble q u e l'épée d e Rolland a
teurs d e tous les temps, de crier à la
Le citoyen Coïc, maire de Pont- tète et c r o s s e en main, s o u s le dais, fil passé p a r là, pour ouvrir u n e brèche
Mais, dans l'intervalle, le
juillet,
persécution.
dans l'Ile d'Ouessant u n e e n t r é e p r o c e s le président de la « leanne d'Arc », l'Abbé, p a r sa clairvoyance et son s i o n n e l l e el s e rendit à l'église p o u r c o n - sauvage et pleine d ' h o r r e u r dans cette
*
*
forteresse taillée dans la pierre.
passant p a r dessus la tète du inaire, énergie, a bien mérité d e la Républi- firmer l e s petits Ouessanlins.
Nous vivons u n e triste époque. La a saisi l'autorité supérieure, et, de son que. Il a m o n t r é du courage à une
Un s u c c u l e n t d é j e u n e r — c'est la Croix
Dans le précipice aux gorges proloi d e Séparation, de t'ait, est abrogée. côté, M . Quéinnec, qui se vante époque où il ne court p a s les rues.
qui l'aUìnna lei — l'ut e n s u i t e servi au fondes, semées d'effroi, surgissent des
Le chacun chez soi, l'Eglise libre dans d'avoir le bras long, l'a étiré j u s Tous les républicains l'approuve- presbytère et a u q u e l assista e n g r a n d e vols d'oiseaux de proie échappés d e
l'Etat libre, est devenu un mot vide qu'à Paris pour d e m a n d e r aide et ront. S.'il en était autrement, notre parti t e n u e n a t u r e l l e m e n t l'état-major du Hemi- leurs repaires tandis qu'au bas l'oued
renwnl. Lnsuite, on mit le cap sur Molène
d e sens. A aucune époque on ne s'est assistance à M. Tardicu (¡ni n'a rien à donnerait l ' i m p r e s s i o n d ' u n e
paisible poursuit d'abord tranquilleoù se reproduisit, la m ê m e c o m é d i e .
aplati avec plus d e servilité devant refuser à son muet du sérail.
troupe qui a rompu ses rangs.
M. Dumesuil n'ignore c e r t e s pas la loi ment son cours, p o u r se transformer
les évèques. Quand un préfet nouveau
de Séparation. Mais peut-être ne sait-il soudain en cascade, puis disparaître
Durant le même temps, la cléria touché les m u r s du chef-lieu d e son
pas qu'elle d i s p o s e en s o n article 2 : « (¡ne sous terre p o u r reparaître plus loin
caille s'agite comme u n e tribu de
toutes dépenses relatives à l'exercice des
d é p a r t e m e n t , sa première visite est
et se r é p a n d r e dans la plaine.
fourmis noires, les pires de toutes.
cultes seront supprimées des bmhjels de l'Elut
p o u r l'Evèque.
Chaque ménage est l'objet d'une
Le gouffre qui étale son h o r r e u r
à partir de lu promulyalion de lu loi ».
Un ministre d e la marine met à visite domiciliaire. On l'invite à p a Or le v o y a g e d'un aviso pour transpor- sous les yeux est franchi p a r trois
la disposition d e s prélats un bâtiment voiser et à décorer. On prie, on
ter un é v è q u e aux fuis de Confirmationponts. Celui de Sidi M'Cid, suspendu
c o n s t i t u e bel et bien u n e d é p e n s e relative
de g u e r r e p o u r aller donner la confir- insiste, on somme et on menace.
à 175 mètres au-dessus d e s cascades,
à l'exercice d'un culte.
mation dans les lies. En revanche, il
est un p u r chef-d'œuvre. Il semble
C'est comme dans la fable ou la
m
a
n
q
u
e
r
M. Dumesuil a fait m i e u x (pie
n'y a pas d e bateaux p o u r donner la chanson classique où le chat se fait
à la doctrine laïque, il a violé ou laissé fait d ' u n fil ténu et léger comparable
chasse aux bélugas, ce qui va obliger bien venir du j e u n e r a t , de la belette,
violer u n e loi f o n d a m e n t a l e d e
la R e p u - à celui (pie la laborieuse araignée
les marins, leurs f e m m e s et leur p r o - du lapin, de la souris, de tous ceux
blique.
tisse p a t i e m m e n t dans la rosée du
La F é d é r a t i o n française d e la Libre
géniture à se s e r r e r le ventre, quand dont il veut souper.
matin
p o u r relier les b r a n c h e s d'or de
— Un violent incendie a détruit P e n s é e a saisi d e la q u e s t i o n e n le priant
viendra le d u r hiver.
nos
ajoncs
bretons.
Malheur à qui résiste aux mission- une usine de tissage à Roubaix. Les de la porter d è s la rentrée à la tribune de
A Douarnenez. le j o u r d u f i juillet, naires tour à tour doux et menaçants. dégâts s'élèvent à plusieurs piillions. la Chambre, le g r o u p e p a r l e m e n t a i r e d e
Et, de fait, les deux versants a p p o un lundi, le clergé, en guise de p r o - Ignace finira p a r avoir raison de tout
la Libre P e n s é e . N o u s a t t e n d o n s avec sés d e la m o n t a g n e , illuminés p a r
—
Le
choléra
fait
des
ravages
dans
curiosité les e x p l i c a t i o n s d e l'ex-laïque
testation et pour faire la nique à .Ma- le monde, car Ignace :
l'éclat multiplié d u soleil, e m p r u n t e n t
l'Afghanistan. On signale j u s q u ' à 200 J. L. D u m c s n i l .
rianne, prend possession de la ville et
les ruissellements d'or de nos landes
Ksi craint partout à la ronde
cas mortels p a r j o u r .
Charles VAUDIÎT
"y fait défiler le g r a n d serpent d ' u n e
Kt l'ait trembler tout le m o n d e .
en
Heur.
(Ere Xouvelle).
— Le mauvais t e m p s persiste en
interminable procession. C'est la revanle renonce à décrire la beauté souLes commerçants surtout sont dans
".'AJllLmiM~J).l.l).'[l.'.l'f""•""• "IIT^ "1
che de 89. Le clergé ne laisse plus leurs petits souliers, c a r le pain de France et cause de sérieux dégâts aux
veraine de cette ville éclatante, reine
récoltes.
passer une occasion de renverser, au la famille est au bout d ' u n refus.
incontestée du tourisme, q u e m o n
Mais si, en France, on se plaint de
passage, les bastilles laïques.
Il en est pourtant qui ont le coucollègue Morineau agrandit et polit
Le maire communiste Le Elanchcc rage de dire non. Qu'on leur tire le la pluie, aux Etats-Unis, p a r contre,
Il faut qu'un enfant sache qu'on lui encore pour la rendre digne de son
on souffre terriblement de la séchetrouve cette espièglerie à son goût, chapeau, c a r ce sont des héros.
pardonnera
plu'ôt vingt fautes
qu'un passé, en y multipliant les belles
resse. La vague d e chaleur, qui y déguisement de la vérité.
*
et, va, du coup, satisfait, siffler un
créations et les œ u v r e s sociales qui
*
*
sévit depuis q u e l q u e temps, a causé
v e r r e d e grenadine à Locronan où il
constituent
le c h a r m e matériel et la
En voilà assez.
» *
de nombreuses morts et on parle d e
déblatère contre le clergé... croyezbeauté
de
la
vie morale de la cité.
C'est alors q u e le maire prend son
Les chiens qui aboient le
plus'sont
plusieurs milliards "de dégâts.
vous '?... contre Daniélou. On l'invite arrêté du / août.
ceux qui mordent le moins.
Le matin, de bonne heure, j e suis
à d é c a m p e r , ce qu'il fait, p o u r venir
— L'agitation continue à g r o n d e r
Ainsi des fanfarons.
éveillé p a r la rare animation qui r è Dans cet arrêté, p a r mesure d'ordre,
respirer dans les rues de son patelin
gne s u r une place de la ville arabe
il trace aux sociétés deux itinéraires, aux Indes anglaises qui sont, au surles derniers a r ô m e s des fleurs de la
bâtie sous les fenêtres de l'hôtel où
subordonnés à la direction d'où elles plus, dans certaines régions, ravagées
procession qui jonchent encore le sol.
j e suis descendu.
viennent : l'un, qui longe . le presby- p a r des inondations.
Les communistes sont les fourriers tère, l ' é g l i s e , l ' é c o l e l i b r e de gareons,
Vêtus de blanc, et prosternés vers
— Le'volcan j a p o n a i s Asomio Varna,
dès la fin de 1 9 3 0
«le la réaction cléricale qui loge a u - le patronage J e a n n e d'Arc ; l'autre, qui se trouve à environ ISO k m . au
le sol, les arabes, très nombreux, réj o u r d ' h u i dans les cantonnements gou- qui suit les rues J u l e s Simon, Lamar- nord-ouest de Tokio, est entré brusOn sait q u e l'allocation annuelle d e s a n - citent avec la ferveur pratiquante d'un
vernementaux p r é p a r é s p a r eux.
tine et la route de Plobannalec.
quement en éruption. Cette éruption c i e n s c o m b a t t a n t s (1.200 francs pour c e u x fanatisme rare l'addcn m u s u l m a n qui
qui ont d é p a s s é 55 a n s el 500 IV. p o u r c e u x
Ces itinéraires, qui sont normaux, était accompagnée de fortes explosions qui sont Agés d e 50 à 55 ans),'votée par If est répété plusieurs l'ois.
sont tracés p o u r diviser la foule et el d e g r o n d e m e n t s souterrains.
Nos foules catholiques, à Lourdes,
P a r l e m e n t , n'attend plus p o u r être appliEh bien oui, nous saluons le citoyen
éviter des conflits dans l'artère princable q u e la parution du décret prévu par aiguillonnés p a r les. excitations tradi— Dans le Nord la grève du textile
Coïc, c a r il a tenu bon, malgré les
l'art. 200 d e la loi du lli avril dernier, q u i
cipale, car les laïques sont outres des
continue. La semaine dernière quel- doit è l r e pris en la f o r m e d e s r è g l e m e n t s tionnelles d e s moines ligueurs, n'incris d e paon poussés p a r la droite,
procédés d'inquisition d e s cléricaux, ques accidents ont eu lieu à la fronvoquent pas le nom de Dieu avec u n e
(l'administration publique el q u i lixera les
m a l g r é les b r a v a d e s d e s m a t a m o r e s
et, déjà, antérieurement, d e s colli- tière franco-belge, mais actuellement c o n d i t i o n s dans l e s q u e l l e s s'effectueront j flamme plus dévorante.
cléricaux, m a l g r é la complicité du l ¡ousions se sont produites, à cet endroit, tout est calme et le conflit tend d'ail- les allocations.
Alger.
v e r n e m e n t de Paris qui s'est tenu
Ce décret, s o u m i s au Conseil d'Ëlal, est
lors de manifeslations analogues.
leurs à s'apaiser. On eslimc q u e le
Le
banquet
d'adieu.
comme un domestique en livrée au
L'arrêté interdit les défi lés tapageurs n o m b r e de c h ô m e u r s atteindrait envi- sur le point d e paraître. Il n e sera a p p l i cable qu'après sa p r o m u l g a t i o n au ./uiirservice du député Quéinnec, f u m a n t
Un banquet d'adieu est offert le
pour bien montrer aux cléricaux qu'ils ron 120.000, tant dans le textile q u e nul Officiel qui doit avoir lieu avant le
de colère comme un J u p i t e r tonnant.
lundi !) avril p a r la Confédération d e s
ne sont pas à Pont-l'Abbé en pays dans la métallurgie à laquelle le lli o c t o b r e .
Voici les faits :
c o n q u i s ; il s'oppose aux implantations mouvement gréviste s'est également
N o m b r e d'ayants droit s e d e m a n d e n t , vignerons des trois d é p a r t e m e n t s algéLe .9 juillet 1930, le président de des mâts cl aux installations d'arcs de
dans c e s c o n d i t i o n s , à q u e l l e é p o q u e les riens, sous la présidence du Gouverétendu.
la société la « (canne d'Arc » d e m a n d e triomphe et de guirlandes à travers
p a i e m e n t s pourront è l r e effectués.
neur général, aux m e m b r e s d e la misSi n o s r e n s e i g n e m e n t s sont exacts, ils sion p a r l e m e n t a i r e .
au maire de Pont-l'Abbé l'autorisa- les rues, et, enlln, il rappelle l'obserne seraient p a s l o n g t e m p s différés. Les
tion d e décorer la ville. Il n'est vation des prescriptions du Code de
Ou se retrouve à la table commune
d o s s i e r s s o n t en préparation au ministère
question à ce m o m e n t ni de sociétés la route.
a
p
r
è s l'ardente chevauchée et les
d e s p e n s i o n s , à q u i l'Ollice national ilu
«
étrangères, ni de défilé dans les rues.
c o m b a t t a n t a p p o r t e s o u aide. Kl d è s le étapes de la route à travers l'Algérie
« •
A Sainl-Elienne, la lisle radicale s o c i a - m o i s de n o v e m b r e ou d e d é c e m b r e la m a - agricole une et diverse où tant d'amis
Le
juillet le maire accorde l'auL'arrêté du maire est annulé p a r liste Dural'our passe a u x é l e c t i o n s m u n i - jorité d e s intéressés r e c e v r o n t l'invitai ion
torisation de pavoiser, mais refuse le
inconnus nous onto u v e r t d e s bras f r a l'Autorité préfectorale. Loin d e capitu- cipales à u n e belle majorité.
de se p r é s e n t e r aux g u i c h e t s d e s c a i s s e s
matériel d e fête de la ville et fixe à ler, le maire maintient les termes de
Dans le Piuj de Dôme, M. Monghcl, ra- d e l'Ltal pour recevoir les s o m m e s q u i ternels.
7 h e u r e s la sonnerie du réveil en son arrêté, cl, le j o u r de la démons- dical s o c i a l i s l c , esl élu au conseil g é n é r a l leur reviennent.
Une g r a n d e camaraderie règne entre
par 1038 voix c o n t r e 889 à M. B u r i n - D e s fanfare.
les convives qui se connaissent déjà
tration, ses agents verbalisent.
i n n n n n i i i m i y » m n m m r T
roziers, union nationale.
L'envoi d e cette lettre est suivi d'exet ont noué d e s amitiés q u i dureront.
Dans l'Isère, M. Jean S a u t e r e a u , radi*
plications verbales entre le président
Les meilleurs vins d e l'Algérie ont
cal socialiste, e s t élu c o n s e i l l e r g é n é r a l
lit qui donc osera blâmer le maire
et le maire et ce d e r n i e r déclare qu'il
contribué à maintenir le diapason et
par 1228 voix c o n t r e 1213 à M. Louis Norautorise la pose d e s drapeaux aux d'avoir fait courber la tète aux fiers si- m a n d , candida! d'union nationale.
la saine gatté qui r è g n e dans la salle ;
Dans la Munie, M. A p p e r l - H a u l i n , radif e n ê t r e s mais qu'il s'oppose à l'éta- c a m b r c s de la Droite dont l'arrogance
les crus défilent. Saluons-les, c a r nous
cal-socialiste, esl élu c o n s e i l l e r général du
blissement d e s arcs de triomphe dans était sans frein.
Une s o u s - c o m m i s s i o n parlementaire d e ne les r e v e r r o n s p l u s ¡jour la p l u p a r t :
Et qui donc, parmi les sages, songe- caillou d'Avize.
la Marine Marchande doit visiter les ports le royal et impérial Kébir 1911), le
les r u e s et à la décoration transverde p è c h e l l n i s l é r i e n s du 29 aoiU a u 2 s e p ra à j e t e r la pierre à u n e municipalité
sale de la voicrie urbaine.
Sidi Elef rosé 1920, le Médéa blanc
t e m b r e Inclus :
qui, mieux placée q u e quiconque p o u r
Election
Sénatoriale
et
le Miliana rouge de 1918, l ' H a r Nti voyant rien venir, le maire
X*e 8 9 a o û t i Primel et port d e Morlaix.
tfttcr le pouls de la cité, a pris les
racli
Mousseux, le mousseux Roger,
adresse la lettre de l'appel suivante
Xio 3 0 : P e n p o u l , B o s c o f f , Ile Sieck,
Aisne
seules mesures préventives capables
Locquirec,
Brest,
Le
Fret,
Caniaret,
Morla
mousse
d'Islam.
nu président de la « J e a n n e d'arc »,
d'assurer l ' o r d r e ? Elle a raisonné droit
U n e élection sénatoriale a e u lieu d i - gat, D o u a r n e n e z .
à la date du 29 juillet :
Notre président, M. Uarthe, p r o Z<e 3 1 : Sein, Molène, O u e s s a n t , C o n q u e l .
et f e r m e . On a coutume de d i r e : m a n c h e à Laon, pour pourvoir au r e m p l a nonce
au dessert u n discours très apc
e
m
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M.
C
l
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b
c
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l
,
u.
r.
d.,
Le 29 Juillet 1030.
Xjo 1°'' s e p t e m b r e s i liresl , Quimper,
administrer,
c'est prévoir.
Que les
plaudi où il célèbre tour à tour le
décédé.
S
a
i
n
l
G
u
é
n
o
t
é
,
Saint
Pierre
Kérily,
L
é
Monsieur le Maire d e Pont-l'Abbé,
gens coutuiniers d'aphorisines puisés
Au s e c o n d l o u r d e scrutin, M. Villanuuit, chiagat, Lesconil, L o c l u d y .
miracle d'énergie d e nos colons d e
à Monsieur II. B c n a u d ,
aux sources du bon sens éternel, res- ancien d é p u t é , u. r. d . , a é t é élu par 070 L o S : B é n o d e t , Beg-Moil, Concarneau,
p r é s i d e n t d e la S o c i é t é " J e a n n e d'Arc »,
France et l'esprit d'association qui a
tent en l'occurrence logiques avec eux- voix c o u l r e ti.'iO à M. UauCt, d é p u t é , rad.- Lanriec, T r é v i g n o n , B r i g n e a n , D o u é l a n ,
K. V.
présidé
à l'organisation d e s syndicats
s o c . , et 32 à divers.
Quimper.
J'ai l'honneur de vous prier de vouloir m ê m e s .
et d e s coopératives agricoles.
m frais ne l'Etat
8 1 1 1 SEMAINE;
m
La RetraitetiuCombattant serait payée
Victoires Radicales
.
'
Une
visite
(tans DOS ports de pêche fioistériens
(14° et dernier
article).
Dans u n r é s u m é saisissant il nous
r e p r é s e n t e , d e l'Ouest à l'Est, l e s
régions les plus riches et l e s p l u s
variées d e l'Hégire et dresse l'inventaire réconfortant d e s produits q u e ce
p a y s offre à la métropole, non p o u r la
concurrencer, mais p o u r la compléter,
puisque les étapes d e la production se
placent à d e s époques différentes d e
l'année et assurent ainsi le ravitaillement de la F r a n c e .
« La production algérienne, dit-il,
doit c o m p l é t e r celle d e la métropole
et tendre, dans ce but, à se substituer,
sur notre m a r c h é , à l a production
espagnole, grecque, portugaise et italienne. »
Il évoque tour à tour, les vins alcoolisés et riches en couleur d e Médéa,
de Miliana, d e Mostaganem.
Les monts, les mistelles, l e s vins de
liqueur de Rio-Salado, d e Tlemcen,
de Mascaro.
Les hlés durs, les orges, les avoines
de la région de Sidi-Bel-Abbès, d u
Sersou, d e s riches plateaux de Setif
et d e Datna.
Les raisins hâtifs, l e s potrones de
terre précoces,
les primeurs
de la
belle c ô t e d'Alger, d'Oran, d e Bône.
Les légumes secs d'Aïn-Témouchent.
Les fruits et les pulpes de fruits d e
Relizane.
Les agrumes
de P e r r è g n a n , de
Blida et de Philippe ville.
Les tabacs de Boufarick, d u Camp
de Maréchal, de Bône.
Les cotons d'Orléansville.
Les plantes à parfum d e Blida.
Le troupeau ovin de Saïda, de Tiaret ; les bovins d e Téniet ; l e s races
chevalines du d é p a r t e m e n t d e Constantine.
Ce sont les authentiques paysans de
France, venus d e toutes l e s provinces,
« qui ont fait, d e leurs mains et avec
tout leur cœur, ce inagnitique j o y a u
qu'est l'Algérie. »
Il vante enfin l'Algérie, pays d e
féeries... « incomparables féeries que
vos monts de Kabylie et de Tlemcen,
vos gorges d e la Chiffra et d u Chabet,
vos régions de l'Aurès et d e s Hauts
plateaux, q u e le désert avec son saisissant infini d e désolation, et, dans
tout cela, enchâssées comme dans d e s
reliques, vos splendides ruines r o maines, q u i attestent q u e la fertilité
de votre sol avait, il y a 2.000 a n s ,
fait fleurir u n e civilisation puissante,
et, semble-t-il, encore inégalée ».
M. Steeg, g o u v e r n e u r général d e
l'Algérie lui répond et vante l'illustre
vignoble français q u e , p a r u n a d m i rable et constant effort, l'Algérie tente
d ' é g a l e r p a r u n e amélioration sans
cesse poursuivie d e sa. production.
Dans quels termes le brillant orateur, nourri d u \>uc le meilleur d e
l'université d e France, p a r l e d e s vins
spirituels et m a g i q u e s de France, ceux
de Gironde, d e C h a m p a g n e , d e Bourgogne, de Touraine et d'Anjou, d u
Rhône et du Languedoc.
« Oui, c'est l'Ame d e notre nation,
la p l u s u n e et la plus diverse qui se
reflète et palpite dans la pittoresque
opulence, dans la variété de ses crus ;
ici pétillante et enthousiaste, là g r a vement joyeuse, sérieuse sans r a i d e u r ,
à la fois a r d e n t e et réfléchie, ailleurs
c h a l e u r e u s e m e n t éloquente, malicieuse
et m ê m e irrévérente, plus loin démocratique et simple, honnête et saine,
n'ayant d ' a u t r e prétention q u e celle
de sa loyaïe probité. N'est-ce p a s le
vin de ses terroirs qui l'a formée telle
que nous la sentons, telle q u e le
m o n d e l ' a d m i r e dans l ' h a r m o n i e vivante de sa rayonnante distinction ? ».
Avec quelle élévation d e pensée il
adresse cet éloge mérité aux p r e m i e r s
colons d é f r i c h e u r s d e la t e r r e ingrate
et m e u r t r i è r e .
« La terre africaine inculte et i n -
le Çifoycn
domptée, se hérissait de cailloux,
de ronces, de révoltes ; son hostilité s'enveloppait de pestilences
meurtrières. Les premières générations d e colons ont nourri de leur
propre chair le bled stérile et inhospitalier. Si les pierres de gloire ne
gardent pas leurs noms, si leur sacrifice est demeuré anonyme, nous
n'en devons q u e davantage apporter
l'hommage d e notre piété reconnaissante à ces rudes artisans de la plus
splendide entreprise de création française qui ait jamais été tentée. »
Et, plus loin :
« L'Algérie a élaboré u n peuple,
elle s'est donnée une Ame, elle a créé
de l a France.... »
De fait, l'Algérie et la France se
complètent, leurs cœurs battent à
l'unisson et leurs deux Ames s'harmonisent.
On peut leur appliquer les vers de
Beaudelaire....
Nos deux cœurs seront deux vastes
[/lambeaux,
Qui réfléchiront leur double lumière
Dans nos deux esprits, ces miroirs
[ jumeaux.
(Fin.)
Georges LE BAIL.
au cours de la fabrication est de nature
W WJ1MJ1UWMJ « K
à compromettre le résultat de l'opération et à donner du durcissement et
DE L A MARINE
de l'acidité à votre cidre.
Il m'est parfois arrivé de dire aux
M. I.e Huil, sénateur, a rei;u lu lettre cijeunes ruraux qu'avec une faute ou dessous da Ministre de la Marine :
deux on est reçu pour sa dictée à l'exaParis, le 25 juillet 1930.
m e n du certificat d'études, mais qu'aMonsieur le S é n a t e u r ,
vec un quart de faute on est facileVous m'avez d e m a n d é d ' e x a m i n e r si,
ment éliminé aux expositions et aux par analogie avec les dispositions prises
r é c e m m e n t p a r M. le Ministre de la G u e r r e ,
concours de la pomologie.
L'ouverture de la chasse
dans le Finistère
lin raison d e s élections sénatoriales q u i
doivent avoir lieu le 21 s e p t e m b r e p r o chain, l ' o u v e r t u r e d e la chasse d a n s le
Finistère est r e p o r t é e au d i m a n c h e 28
septembre.
Conseil d'Arrondissement
de Quimper
L e s Foires de la Semaine
Lundi 18 août. — P l o u d a l m é z c a u , G u i miliau.
Mardi 19. — Lambézellec, . Pleybcn,
Plounéour-Ménez.
Mercredi 20. — C h ù l e a u n c u f - d u - F u o u .
Jeudi 21. — P l o u g u e r n e a u , I i u e l g o a t ,
Sizun, Pont-Croix, Hosporden.
Instituteurs
Pour
toutes
Le P a g e , e m p l o y é e d e s postes, 31 a n s ,
é p o u s e Le Moign, r u e d e l'hospice ; Amélie
Le T a r o , 41 a n s , r u e de la Providence, 37 ;
Jean Féal, d o m e s t i q u e , 34 a n s , é p o u x Le
Bec, r u e d e l'hospice ; J e a n n e Bosser, 78
ans, veuve Simon, r u e d e l'hospice ; Phil o m è n e Divanacli, 33 ans, é p o u s e Béannic,
r u e d u P o n t - F i r m i n , 23 ; J o s e p h Gnillou,
j o u r n a l i e r , 57 ans, époux Duigou, r u e d e
l'hospice ; F r a n ç o i s M oal, 72 ans, o u v r i e r
agricole, r u e d e l'hospice ; F r a n ç o i s Kér a u d y , 30 ans, célibataire, r u e de l'hospice.
Le conseil d ' a r r o n d i s s e m e n t d e Quim- Publics
vos Fournitures
Publications de mariages. — Gaston T o u per s'est réuni le 4 ooiU, A la P r é f e c t u r e ,
ssir/ues
il n'y a u r a i t p a s lieu, p o u r mon D é p a r t e - p o u r la tenue de la p r e m i è r e partie d e sa
rolle, cimentier, d o m . A S e v r a n , e t A n n e
adressez-vous ù la
*
ment, de p r o c é d e r , d è s m a i n t e n a n t , d a n s session de 1930.
• *
d o m . A Q u i m p e r ; Guillaume Le
Librairie laïque du Citoyen Nédélec,
les p o r t s e t établissements, à u n e e n q u ê t e
Floch, mécanicien, d o m . à Q u i m p e r , e t
L'expérience a confirmé ce que. j e sur les salaires d e s o u v r i e r s de la Marine.
T o u s les conseillers étaient, présents,
Bernadette Le T o r r e c , c o u t u r i è r e , d o m . à
A l'exception de M. Le Gall, excusé, et M.
viens d'énoncer.
J'ai l ' h o n n e u r de vous fnire savoir q u e le Secrétaire Général d e la P r é f e c t u r e
Beuzec-Conq ; Jean Baoul, p h a r m a c i e n ,
le connais un agriculteur de Plo- la question n'a pus m a n q u é de r e t e n i r mon
doin. à Q u i m p e r . e l Marie P e n a n h o a t ,
assistait A celte séance.
van qui, chaque année, depuis 25 ans, a t t e n t i o n , et q u e , d è s le 15 de. ce mois, j ' a i
d o m . A Bégard (Côtes-du-Nord) ; GuillauLe b u r e a u a été constitué d e la façon
Vient de p a r a î t r e
fabrique un vrai cidre de conserve invité les a u t o r i t é s maritimes locales h s u i v a n t e :
me Bospars, électricien, d o m . à Q u i m p e r ,
p r o c é d e r A u n e e n q u ê t e g é n é r a l e s u r les
r o m a n et Marie Le Pape, c o u t u r i è r e , d o m . à
p u r j u s pouvant rivaliser avec 1 les salaires d e s ouvriers et ouvrières d e s
Président : M. Sellin, maire d e Lanriec, Maître Pou, notaire île Province,
T
p a r Béginald Groulich. L n volume d e Sa i 111-Jea 11 -Troli mon.
meilleurs et qu'il obtient en poursui- a r s e n a u x et établissements île lu Marine, p r é s i d e n t s o r t a n t ;
190 pages, 12 f r . chez Iiug. F i g u i è r e , édiVice-Président
:
M.
T
a
n
g
u
y
,
de
Cloharsvant une fabrication impeccable con- par analogie avec les dispositions a d o p t é e s
teur. 17, r u e C a m p a g n e - P r e m i è r e , Paris
CarnoCt,
v
i
c
e
p
r
é
s
i
d
e
n
t
s
o
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a
n
t
;
ON DEMANDE
forme à toutes les règles énoncées plus par le D é p a r t e m e n t de la G u e r r e .
Secrétaire : M. Croissant, d e Scaër, s e - . (XIV").
J'aurai soin d e vous tenir informé d e s crétaire s o r t a n t .
haut. Parfois il fait un mélange de bonUne figure toute d'égoïsme, d e d u r e t é ,
nes variétés douces et amères, parfois, suites de celle e n q u ê t e d o n t les résultats
lin prenant possession de la présidence, de couardise el de brutalité, telle est c a m - M
d e v r o n t m ' ê t r e transmis p a r les a u t o r i t é s
M.
Sellin a remercié le Conseil d e la pée de main e x p e r t e la figure d e Maître
aussi, en 11)21 et en li>28, il a fabriqué locales p o u r le 18 août prochain au plus
à l'Imprimerie Bretonne
nouvelle m a r q u e de confiance qu'il venait P o u . Triste p e r s o n n a g e q u i motiva un
un cidre de conservation avec la seule tard.
du « Citoyen »
livre
a
d
r
o
i
t
e
l
plaisant.
de lui t é m o i g n e r , ainsi qu'A MM. T a n g u y
Veuillez a g r é e r , etc...
pomme hélé¡/en. Ce cidre est limpide,
<¿1, rue du Sallé,
QUIMPER
et Croissant.
richement coloré, bouqueté, avec une
A p r è s avoir pris connaissance d e s c o m m u n i c a t i o n s indiquant la suile d o n n é e a u x
pointe d'amertume qui le rend plaiDocteur Penther
vieux f o r m u l é s a u c o u r s d e la session
sant servi en bock et « gouleyant »
absent du 15 août au 7 septembre.
de 1929 et de divers r a p p o r t s d e chefs d e
au repas.
service, le conseil d ' a r r o n d i s s e m e n t a émis
Docteur E. Hardoiiin
C o n t r ô l e u r d e s services de main d'oeu- un avis favorable au r a p p o r t d e la foire
l'ai dégusté après la guerre chez
MAISON FOURNIËM
dite <• foire
(yeux, nez, g o r g e , oreilles)
r
.
*;
V
.
v
V
r
M. Quinquis, fabricant de cidre à vre. — Dateer: 13 o c t o b r e 1930 ; délai d'ins- annuelle d e Riec-sur-Bélon,
uuofHonuT
Biuvr
e
'.), rue île Kerijariou,
absent
jusqu'au
Penhars, des cidres d'amateur fabri- cription : 1 s e p t e m b r e ; Age : "23 à 30 a n s , aux g a g e s », e t fixée au 4 lundi d u mois
plus services a n t é r i e u r s . T r a i t e m e n t d e de d é c e m b r e .
1"
septembre
et qui début : 9.500 francs, plus indemnités. BacDéranger
disait
à un ministre
de qués avec la seule féro-bris
Il a ensuite a d o p t é u n certain n o m b r e
Louis-Philippe
qui voulait
le décorer : constituaient une boisson de tout pre- calauréat, Ii. S. ou diplôme équivalent de vœux intéressant particulièrement les
Assurances :
— Poucts-vous
m envoyer
une rose mier ordre.
exigé.
chemins, la navigation maritime, les t r a des haies tons les
matins.
Employé
c
o
m
p
t
a
b
l
e
a
u
Crédit
Foncic
vaux
d
e
s
ponts,
l'Agriculture
et
les
t
r
a
n
s
AUTOMOBILISTES !
Il m'est arrivé récemment de goûter
de F r a n c e . — C o n c o u r s ouvert octobre ports.
Rappelez-vous que
chez M. Dideau, maire de Saint-Nic, 1930; Age : 18 à 30 a n s ; t r a i t e m e n t d e di1
un
cidre
merveilleux
pouvant
rivaliser
fuit
:
11.800
francs,
plus
indemnités.
Aucun
L A FONCIÈRE
Tableau d'honneur
Notariat
avec les meilleurs.
diplôme exigé.
vous concède des A v a n t a g e s S p é c i a u x
L'examen d e s c a n d i d a t s au g r a d e d e
Commis d e T r é s o r e r i e en A. E. F .
Et que dire des cidres de Fouesen adhérant à
Date : G o c t o b r e 1920 ; Age : 22 à 30 a n s p r e m i e r clerc a u r a lieu A Q u i m p e r , a u
nant, de Quiniperlé, de Plonielin, de
siège de la C h a m b r e d e s notaires de Quiml'Automobile-Club du Finistère
plus services militaires; t r a i t e m e n t de i(é
Dinéault et autres lieux ?
but : 20.900 francs, plus indemnités. Aucun *per, r u e T o u l - a l - L a é r , n" G, le j e u d i 1 s e p S ' a d r e s s e r A M. JOL'VIN, A g e n t g é n é r a l ,
Un grave incendia. — t ' n violent incenIl me souvient d'avoir, au lil desdiplôme exigé. C o n c o u r s ouvert en France t e m b r e 1930, A neuf h e u r e s du matin.
1 bis, r u e Toul-al-Laèr, Q U I M P E B (Télédie
s'est
déclaré
mardi
malin,
vers
q
u
a
t
r
e
Les c a n d i d a t s devront faire p a r v e n i r
p h o n e 3.37).
C o n t r ô l e u r stagiaire d e s Douanes. années, b u des cidres de Fouesnant
leur dossier A M. h; Président de la C h a m - heures, r u e de Douarnenez, d a n s le g a r a g e
qui joignaient à la couleur du l'eu, Date : 5 j a n v i e r 1931 ; délai d'inscription
llusson, p r o p r i é t é de M. Fertil. négociant,
•F
5 n o v e m b r e ; Age : 18 à 25 a n s ; traitement bre d e s notaires de Q u i m p e r , le d i m a n c h e place de L o c r o n a n .
Le mardi Iti septembre une expo- une saveur, un bouquet et un moel- de début ; 10.500 francs, plus indemnités 31 aoilt 1930, au plus
Fouesnant
Ce g a r a g e , q u i couvre u n e i m p o r t a n t e
sition des meilleurs cidres du dépar- leux incomparables.
Baccalauréat ou diplôme équivalent exigé
superficie, est situé e n t r e la r u e d e DouSyndicat d'élevage. — L e c o n c o u r s
Les cidres de Quiniperlé ont moins C o n c o u r s o'uverl p o u r 120 places.
tement aura lieu à Plogastel-St-GerEcole d'ikgrioulture
a r n e n e z , où il d o n n e s u r le dépôt régional a n n u e l d ' a n i m a u x r e p r o d u c t e u r s (maies et
d'alcool
et d'énergie, mais ils sont
S u r n u m é r a i r e des C o n t r i b u t i o n s directes
m a i n e t une Commission de déyustation
des allumettes, et la r u e J u l e s Noël dont femelles) de la race bovine Pie-Noire a u r a
de Bréhoulou
fonctionnera pour donner l'investiture vifs et solides néanmoins et se distin- en Algérie. — Date ; 27 o c t o b r e 1931»; délai
Les examens de sortie d e l'école d ' a g r i - il est s é p a r é p a r les aleliers de M. Douguet, lieu A Gouesnach, le lundi 15 s e p t e m b r e , A
d'inscription : 27 s e p t e m b r e ; Age : 18 ii
aux lots qui mériteront vraiment d'être guent p a r une sève aromatique et 23 a n s , plus services a n t é r i e u r s . Au culture d e Bréhoulou ont eu lieu le 2 août e n t r e p r e n e u r ; il e s t limité au sud p a r la 10 h e u r e s d u malin, sous la p r é s i d e n c e
salle J e a n n e d'Arc, il se c o m p o s e d e deux d ' h o n n e u r d e : MM. Bouilloux-Lafont, d é classés et inscrits au tableau d'hon- cordiale, riche d'esprit et de lincsse.
cun diplôme exigé. C o n c o u r s ouvert en en présence d e .MM. F e u n l é u n Louis, c o n i s , c o m p r e n a n t deux b â t i m e n t s f r a c - puté d u Finistère, maire d e Bénodet ;
conseiller
général
;
P
e
r
r
a
u
l
t
,
d
i
r
e
c
t
e
u
r
d
e
s
Vers l'année 11)03, M. Croclietelle France.
neur.
Bé nac, conseiller g é n é r a l d u canlon d e
services agricoles d u Finistère ; Héloret, tionnés e n 38 c o m p a r t i m e n t s destinés A
Commis (sexe masculin) d e s Contribu
F o u e s n a n t ; e l sous la présidence effeca
b
r
i
t
e
r
chacun
u
n
e
voiture.
P
a
r
dessus
La Commission sera composée d'a- m'a fait déguster dos cidres d'expéfaisant fonction de maire A F o u e s n a n t et
Date : 1 d é c e m b r e
tout le g a r a g e , construit en bois, se t r o u - tive d e M. Tollec, maire d e La F o r ê t mateurs impartiaux et éprouvés, con- rience fabriqués avec une variété uni- lions indirectes.
de tout le personnel de l'école.
1930;
délai
d'inscription
:
I
o
c
t
o
b
r
e
;
Agi
ve
u n e g r a n g e r e n f e i m a n t d e g r a n d e s F o u e s n a n t , président d u Syndicat d'éleque
d
e
pommes
du
crû
quimperlois,
La proclamation d e s résultats, a g r é naissant la pomologie linistérienne et
vage..
moins d e 30 a n s . Aucun diplôme exige
q
u
a
n
t i t é s de blé.
d'émi»ents praticiens méritant leur la kennerrien, la douce-évêque-briz, la Traitement de d é b u t , 10.500 1rs. C o n c o u r s mentée p a r le c o n c o u r s d e la f a n f a r e d e
Le
l'eu
q
u
i
a
pris
naissance
d
a
n
s
la
Des p r i m e s d ' e n c o u r a g e m e n t seront a t l'Kcole, eut lieu ensuite sous la présidence
p o u r 300 places. — P o u r tous r e n s e i g n e réputation de dégustateurs à principe. stany-rhu.
c o u r du fond, la plus éloignée d e la r u e tribuées en 1930 aux meilleurs r e p r o d u c de M. Le F e u n t e u n .
C'était à se mettre à genoux devant. ments s ' a d r e s s e r a u Directeur d e s C. I
La séance de dégustation aura lieu
Le comité de surveillance a d e m a n d é A de D o u a r n e n e z , a vile pris de vastes p r o - t e u r s (mâles et femelles) de la race Pie-Noire
des d é p a r t e m e n t s .
le
connais
en
revanche
des
conaprès une conférence faite p a r un
M. le Ministre de l'Agriculture de vouloir portions. T a n d i s qu'on prévenait les p o m - a p p a r t e n a n t A d e s éleveurs habitant la
R e n s e i g n e m e n t s f o u r n i s par 1"« Orienta
piers. d e s p e r s o n n e s d e b o n n e volonté circonscription d u syndicat.
bien
attribuer :
cours
organisés
récemment
dans
des
professeur d'agriculture et elle se
lion Professionnelle », revue mensuelle
M. llusson A l'aire s o r t i r les voiaidaient
I ue médaille d e vermeil à chacun d e s
poursuivra dans des conditions expé- régions linistéricnnes réputées pour a b o n n e m e n t : 15 f r a n c s p a r a n .
lures. A l'arrivée de la p o m p e a u t o m o b i l e ,
élèves
l.dllichon,
d
e
M
o
é
l
a
n
,
.
e
t
Rannou,
P o u r o b t e n i r l'inscription d e s a n i m a u x
rimentales de confort matériel et d e la valeur pomologique de leur sol et
Les p e r s o n n e s qui désirent d e s rensei
(le LoqucITret ; u n e médaille d ' a r g e n t A les b â t i m e n t s e n feu f o r m a i e n t déjà u n au h e r d - b o o k et p o u r p r e n d r e part a u
durée qui permettront un jugement qui aboutissaient à une lamentable g n e n i c n l s s u r l'un d e s emplois ou c o n c o u r s J'élève S a n q u e r , d e P l o u g o n v e n , et u n e é n o r m e brasier. Nos s a p e u r s se mirent c o n c o u r s les éleveurs doivent a d r e s s e r
réfléchi s u r chaque variété de cidre faillite. Sur 1.") échantillons présentés, ci-dessus ou s u r un examen q u e l c o n q u e médaille de bronze, A l'élève Le Corre, d e c o u r a g e u s e m e n t à l'ouvrage cl réussirent u n e déclaration écrite, avant le j o u r d u
r a p i d e m e n t A localiser le sinistre.
peuvent s'adresser d e n o t r e part à M. Ilou- P l o g a s l e l - S a i n l - G e r m a i n .
dont l e s qualités seront notées et il on était à peine 2 ou 3 dignes d'être
Une bonne parlie d u g a r a g e , les bâti- concours, A M. P r i a n t , secrétaire d u S y n deville, d i r e c t e u r - g é r a n t d e l'Orienlalion
lin
o
u
t
r
e
,
a
u
nom
d
e
l'association
d
e
s
dicat d'élevage d e F o u e s n a n t . Cette d é retenus
et
classés
on
bon
rang.
Le
signalées.
m
e
n t s avoisinants. d o n t le d é p ô t d e s alluProfessionnelle, 108, r u e E r l a n g e r , P a r i s anciens élèves, M. Le F e u n t e u n , président
claration i n d i q u e r a le nom el l'adresse de
e
reste
ne
valait
rien.
(10 ), q u i leur r é p o n d r a à litre a b s o l u m e n t de cette association, d é c e r n e u n e p l a q u e t t e mettes et l'habitation de M. l l u s s o n , f u r e n t
Nous invitons nos amis à ne présenl'éleveur, le sexe, l'âge 61 la r o b e d e s
La cause de cet échec est facile à gracieux.
ter à l'examen de l a Commission «pie
d'argent A l'élève S a n q u e r et u n e médaille ainsi p r é s e r v é s . Mais les d é g â t s étaient a n i m a u x p r é s e n t é s .
déjà considérables. Six voitures a u t o des cidres de propriétaires ayant déjà découvrir, le manque d'hygiène et de J o i n d r e un t i m b r e de 0 f r . 50 et ne p a s d ' a r g e n t A l'élève Le N a o u r classés respecmobiles et u n e i m p o r t a n t e réserve de blé
oublier de m e n t i o n n e r : en qualité de lec
tivement
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et
second
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l'ensemble
d
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Pleuven
soins.
fait leurs preuves et conquis une juste
avaient été la proie d e s flammes. Les a t e teur d u « Citoyen », 21, r u e d u Sallé, à notes de p r a t i q u e agricole.
Fête patronale. — La fête p a t r o n a l e d e
renommée.
Quimper.
Enfin M. Le Président adresse d e s félici- liers de r é p a r a t i o n s d e M. l l u s s o n étaient
Pleuven a u r a lieu d i m a n c h e p r o c h a i n
• •
tations particulières A l'élève sortant I.olli- é g a l e m e n t d é t r u i t s ainsi q u ' u n h a n g a r
Puissent les séances de dégustation
17 aoill.
chou q u i vient d e s u b i r avec succès les a p p a r t e n a n t A M. D o u g u e t .
Une expérience déjà longue m ' a qu'on va inaugurer constituer poulAu p r o g r a m m e : c o u r s e s d e bicyclettes,
Dans
leur
totalité
on
estime
q
u
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les
é p r e u v e s d'admission aux écoles nationales
courses à pied, c o u r s e de chevaux, luttes
appris qu'il est possible d'obtenir ies populations une utile leçon d e
perles d é p a s s e n t 1111 million de francs.
d'agriculture.
MM. Fertil, p r o p r i é t a i r e , e l llusson, l o - el d a n s e s b r e t o n n e s .
d'excellent cidre avec les moyens choses et une invitation à bien faire.
II a é t é ensuite d o n n é lecture d u
cataire,
étaient a s s u r é s ; mais il n'en est
Des séances de dégustation bien
sommaires de fabrication dont on disclassement d e s élèves d e 1" a n n é e a d m i s
La Forêt-Fouesnant
m
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u s e m e n t p a s de m ê m e p o u r tous
d a n s la division r u p é r i e u r e , puis M. I.e
conduites contribueront à brouiller
pose à la ferme.
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détruites.
Mariage. — Le m e r c r e d i 20 août s e r a
F e u n t e u n , a p r è s avoir félicité personnel el
Les moyens d'action pour y parve- l'élite rurale avec la routine et à lui
célébré A Là F o r ê t - F o u e s n a n t le m a r i a g e
élèves d e s excellents résultats o b t e n u s , a
Les
Courses.
—
C'est
demain
vendredi
donner une bonne orientation vers les
nir sont à la disposition de tous.
exprimé la satisfaction du comité d e s u r - 15 et d i m a n c h e 17 a o û t , q u ' a u r o n t lieu s u r de M. Yves Le Bosser, avec Mlle Annik
Il est bon d'abord d e choisir et de sages disciplines d'une pratique nouveillance et su confiance d a n s la p r o s p é r i t é l ' h i p p o d r o m e de Cuzon les c o u r s e s de c h e - J o n c o u r .
m
m v m T s m m y
M. Yves Le Bosser est le fils de Mme Le
de l'établissement. Après d e judicieux vaux q u i p r o m e t t e n t , celle année, d'être
limiter les variétés à introduire dans velle pour le grand profit de la clienBosser,
institutrice a u Lin, en Beuzecconseils
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en
raison
du
les vergers de la ferme pour parvenir tèle et pour la gloire de l'industrie
q u i t t e r l'école il a a n n o n c é q u e la r e n t r é e n o m b r e d e s chevaux e n g a g é s e t de l'im- Conq, e t Mlle Annik J o n c o u r la lille d e
Nomination
des
Délégués
à la création d'un crû dont les produits cidricole de notre grand et beau
Mme et M. J o n c o u r , d i r e c t e u r d'école h o p r o c h a i n e était fixée au lundi G o c t o b r e e t p o r t a n c e d e s prix.
Ainsi q u e n o u s l'avons a n n o n c é , les q u e . la seconde session d ' e x a m e n s p o u r
se ressembleront d'une année à l'autre. département.
n o r a i r e A La F o r ê t - F o u e s n a n t .
Le
contrôle,
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les
piétons,
se
fera
A
Conseils municipaux de n o t r e d é p a r t e m e n t l'admission de nouveaux élèves aurait lieu
Il y a des mélanges de variétés
Nous p r é s e n t o n s n o s meilleurs vœux d e
Georges LE BAIL,
sont c o n v o q u é s d i m a n c h e prochain 17 août, c o m m e A l'ordinaire le 25 s e p t e m b r e A la l'entrée d e s t r i b u n e s , A l'entrée de la piste b o n h e u r a u x j e u n e s f u t u r e é p o u x et n o s
dites fondamentales de pommes clou
p o u r les voitures a u t o m o b i l e s el cavaliers.
Président
du Nouveau
Comice à 9 h e u r e s du malin, à l'effet de n o m m e i
p r é f e c t u r e de Q u i m p e r .
Les chevaux e n g a g é s devront être p r é - bien sincères félicitations A leurs familles.
ces et amères qui ont reçu l'adhésion
Agricole de
Plogastcl-St-Germain. leurs d é l é g u é s titulaires cl s u p p l é a n t s en
seuls
s u r l ' h i p p o d r o m e , avec leurs jockeys,
vue île l'élection d'un s é n a t e u r .
des connaisseurs et qui sont consacrés
Rosporden
à 13 h. 30 au plus lard.
Conseils
municipaux
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10
La
direction
de
l'Ecole
se
tient
A
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p a r l'usage, comme il y a aussi des Hépublicains ! A b o n n e s - v o u s a u
Les voitures q u i se r e n d r o n t d e QuimFête patronale. — Voici le p r o g r a m m e
m e m b r e s : I délégué titulaire, I s u p p l é a n t . position des" familles et d e s cultivateurs
variétés qui, brassées seules, donnent
per A l ' h i p p o d r o m e suivront la r u e e t la de la fête p a t r o n a l e d e lundi p r o c h a i n
Conseils inlinicipaux c o m p o s é s d e 12 p e n d a n t toute la d u r é e d e s vacances p o u r
r o u t e d e Brest p o u r p r e n d r e le nouveau 18 aoôl :
un cidre remarquable d ' u n bouquet
m e m b r e s ; 2 d é l é g u é s titulaires, I s u p - leur l'aire visiter r é t a b l i s s e m e n t ainsi q u e
l'exploitation agricole el leur f o u r n i r tous chemin au moulin d e Tréquell'élec. tilles
A 11 heures, r o u l e d e Coray, c o u r s e d e
exquis, telles notamment les pommes
r e n s e i g n e m e n t s utiles.
et faites abonner v o s amis. pléant.
devront alors a v a n c e r A la lile, s a n s cher- chevaux, au trot m o n t é ; à 14 h e u r e s , r o u t e
des variétés Fero-bris, Kcrmerrini et
Conseil» municipaux c o m p o s é s d e 1G
cher A se d é p a s s e r .
de Quiniperlé, c o u r s e i n t e r n a t i o n a l e d e
m e m b r e s : 3 d é l é g u é s titulaires, 1 s u p Béléyen.
Les c h e m i n s d e l ' h i p p o d r o m e e l d e s bicyclettes; à 15 h e u r e s , r o u l e de Q u i m p e r ,
»
pléant.
Protégez-vous contre
Aliénés sont réservés aux piétons.
c o u r s e d e chevaux, a u trot attelé ; A
Conseils municipaux c o m p o s é s d e 21 les Maladies vénériennes
P o u r a s s u r e r l'observation de ces d i s p o - 1G heures, A St-Floi, c o u r s e c o m m u n a l e
Le lavage s'impose quand les fruits
m e m b r e s : G d é l é g u é s titulaires, 2 s u p Les maladies vénériennes sont essentiel- sitions, d e s g e n d a r m e s A cheval seront de bicyclettes; A 1Gb. 30, r o u t e d e C o n pléants.
ont été souillés p a r l a terre ou la boue.
lement
conlogieuscs el g r a v e s mais tout à placés s u r les r o u l e s el aux a b o r d s d e c a r n c a u , course d ' h o m m e s ; A 17 h e u r e s ,
Le Vin
Conseils municipaux c o m p o s é s d e 23
• En y procédant, on doit confier rapil ' h i p p o d r o m e . La police d e l ' h i p p o d r o m e place de la Victoire, c o u r s e d ' e n f a n t s j u s fait curables.
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:
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titulaires,
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dement à une eau courante les pom- M. Flandin, ministre d u C o m m e r c e , a pléants.
sera confiée A M. Cbarov, l'actif c o m m i s - qu'à 1G a n s ; A 18 h e u r e s , place d u B o u Ce
ne
sont
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maladies
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saire de police d e Q u i m p e r .
lounrd, g a v o t t e d ' h o n n e u r , c o n c e r t s u r la
mes versées préalablement dans des pris l'initiative d ' o r g a n i s e r dans l'ensemble
Conseils municipaux c o m p o s é s d e 27 elles s o n t évilablcs. Vous pouvez vous en
du territoire u n e e n q u ê t e s u r le prix d e s
P o u r éviter i'encombrenienl des guichets, place d e la Mairie a p r è s la g a v o t t e d ' h o n paniers d'osier. On les l'ait sécher d e n r é e s alimentaires, des o b j e t s de g r a n d e m e m b r e s : 12 d é l é g u é s titulaires, 3 s u p - préserver, en fuyant les contacts, suspects.
r a p p e l o n s (pie d e s c a r t e s seront mises en n e u r ; A 21 h e u r e s , r e t r a i t e a u x flambeaux
après le lavage.
c o n s o m m a t i o n e t s u r les c h a r g e s qui en pléants.
Si vous êtes atteint d ' u n e maladie véné- vente au Grand Cale de B r e t a g n e .
en m u s i q u e .
Conseils
municipaux
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30
On ne doit brasse.r ensemble que g r è v e n t la distribution. M. Barthe a d e rienne, votre devoir c o m m e votre intérêt
T o u t e la j o u r n é e , m u s i q u e et binious.
m e m b r e s : 15 d é l é g u é s titulaires, 3 s u p O a l de l a Croix Rouge. — Q u e l q u e s
vous c o m m a n d e n t de vous faire traiter.
des fruits parvenus à complète matu- m a n d é a u ministre d e c o m p r e n d r e d a n s pléants.
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Croixson e n q u ê t e l'étude d e s prix d e vente du
Concarneau
rité avec élimination absolue des pom- vin d a n s les a u b e r g e s , r e s t a u r a n t s et hôtels.
Conseils municipaux c o m p o s é s d e 32 Faites-vous s o i g n e r p a r votre médecin, Bouge, o r g a n i s é p a r la S.B.M. et l'Assoce q u i vous sera facilité, si vous êtes peu ciation îles D a m e s Françaises, lequel a
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titulaires,
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mes pourries et gAtées.
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P.
S.
— Résultats des Examens de
La m a r g e de bénéfice, dit-il, d a n s certains
aisé, p a r u n a r r a n g e m e n t olliciel d ' a p r è s lieu, e n effet, le lundi 18 août, A l'Odet- l'année scolaire 1929-30 : Admission a u
La propreté va jouer un rôle de cas, t o u r n e au scandale. On a vu a j o u t e - t - pléants.
Conseils municipaux c o m p o s é s d e 34 lequel votre médecin peut d e m a n d e r en Palace.
c o n c o u r s d e s P.T.T.. 5 élèves r e ç u s ; a d premier ordre dans les opérations de il, q u a n d le vin se vendait 0 fr. G0 A 0 f r . 70
Le succès en est déjà assuré, el l'activité mission à l'école n o r m a l e d e Q u i m p e r ,
ii la p r o d u c t i o n , le prix d e vente à la con- m e m b r e s : 21 d é l é g u é s titulaires, 4 s u p - votre f a v e u r A la P r é f e c t u r e la g r a t u i t é
la fabrication, d e la fermentation et
s o m m a t i o n m o n t e r à 2 et 3 f r a n c s le litre pléants.
des m é d i c a m e n t s spécifiques, des e x a m e n s du Comité se manifeste d a n s lous les dé- 4 élèves a d m i s ; liste s u p p l é m e n t a i r e ,
du soutirage. D'abord, celle des locaux A Paris.
Conseils municipaux c o m p o s é s d e 3G de l a b o r a t o i r e el îles soins, lout e n r e s - tails de la p r é p a r a t i o n .
5 élè\ 'es ; admissibles, 2 élèves ; b r e m e m b r e s : 24 d é l é g u é s titulaires, 5 s u p destinés à la fabrication. Tous les
Son
désir
de
satisfaire
chacun
l'a
a
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e
n
é
vet élémentaire, session d ' o c t o b r e , 3 élèves
pectant r i g o u r e u s e m e n t le secret p r o f e s pléants.
instruments, broyeurs, presses, cuves,
X«e P a i n
sionnel médical et sans qu'il y ait de votre A a p p o r t e r lu plus g r a n d e facilité p o u r la r e ç u s ; session de juillet, 14 élèves r e ç u s ;
venue de tous. C'est ainsi q u e la tenue d e brevet d ' e n s e i g n e m e n t
primaire supébrocs, pelles, barriques, futailles doipari de f o r m a l i t é s A remplir,
Nous p e r s i s t o n s A p e n s e r q u e le prix du
soirée sera seule d e m a n d é e p o u r ceux q u i rieur, 12 élèves reçus ; Examen d e s
L
a
Médaille
vent être désinfectés avec soin, tantôt pain est excessif, l o r s q u e le pain est c o m Vous pouvez é g a l e m e n t \ o u s a d r e s s e r t r o u v e r a i e n t u n e complication d a n s la réa- bourses, G élèves r e ç u s ; admission à
des Chemins de fer
aux dispensaires suivants p o u r n o t r e d é - lisation d ' u n « c o s t u m e ou tête », Il n'est l'examen A la C lc d u P.-O., 2 élèves a d m i s .
avec une solution de bisulfite de chaux me m a i n t e n a n t A 2 f r . 35 le kilo et le blé ù
172 f r a n c s le quintal, q u ' i n t e r m é d i a i r e s ,
La médaille d ' h o n n e u r d e s Chemins de p a r t e m e n t :
pas besoin d ' a j o u t e r q u e toute e n t r é e e n
à 5 •/
boulanger» et m e u n i e r s se partagent 1 f r . fer u été accordée a u x employés, île notre
A u d i e r n e : Mairie, tous les m e r c r e d i s A « loup ou m a s q u e > n e saurait être admise.
Beuzec-Conq
o, puis rincés à l'eau bouillante 15 centimes p o u r t r a n s f o r m e r en farine,
d é p a r t e m e n t , dont lus n o m s suivent :
Un cotillon viendra brillamment t e r m i 9 Ii. 30.
et bien essuyés.
Btat-civil.
— Naissances : José Jaftrézic,
puis en puin, 700 g r a m m e s de blé valant
MM. Bellanger Goorges, sous-chef d e
ner celle soirée q u i ne le cédera en rien A
Brest. : Hôpital.
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m
o n ; Bené B r u n o , à Kerhun ;
On peut encore procéder au lavage 1 f r . 20,
b r i g a d e d ' o u v r i e r s A Brest ; Dcrolï Pierre,
C o n c a r n c a u : Poste de S e c o u r s (Hôpital), celle d e s a n n é e s passées, et dont le souve- R o g e r Bruno ( A Kerhun : Jean K c r g u é l e n ,
c a n t o n n i e r P . N. 10 A Taulé-Ilenvic ; H a des fûts à l'eau salée chaude ou à
nir est e n c o r e bien p r é s e n t A la m é m o i r e
r u e Vulcain : Marie Lancien, A Ménezmeury Louis, c a n t o n n i e r P . N. 303 d e tous les m a r d i s A 9 h. 30.
de chacun.
Le Comité.
l'eau de chaux ou avec des cristaux.
Bihan ; Gaston D é r o u t , r u e de l'Abattoir i
D
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:
Dispensaire
d'Hygiène
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Kcrgluze, en Guipavas ; J o u r a n d J o s e p h ,
Avant tout remplissage ils devront
C t a t - a i v i l d u 6 a u 1 8 août 1 9 3 0 . — Monique Bertholom, à I i e r e m p e n n o u .
mécanicien de r o u t e A Brest ; Leran Olivier, ciale (Hôpital), tous les lundis A 9 h. 30,
en outre être soutirés.
Xaissances.
— Yvonne Moisan, Moulin d e s
Publication
de mariage : Christophe Le
c a n t o n n i e r A Sle-Séve ; Le Taillanter J e a n ,
Lambézellec : Dispensaire d'Hygiène soCouleurs ; André Alour, r u e de Pont-TAb* Bris, cultivateur« e l Marie Le Gall, cultiLes toiles spéciales et très solides
l i e s p o r a o n n o s q u i d é s i r e n t f a i r e pa- c a n t o n n i e r A Londivisiuu ; P o g a m François, ciale.
vatrice, d o m . A Beuzec-Conq.
qui se combinent avec les claies doi- raîtra d o a A n n o n o o a o u d a a C o m m u n i - c h a u f f e u r d e r o u l e A Brest ; T e u r r o c Puul,
P o n t - l ' A b b é : Dispensaire d'Hygiène s o - hé; 21 ; limile J a n , r u e S a i n t e - T h é r è s e , 19;
Jean
LouOI,
impasse
d
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l'Odet,
4G
;
Guy
sous-chef
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A
Brest
;
Mme
Décès : Marie Priol, G2 a n s , m é n a g è r e ,
vent être ébouillantées, frottées à la q u é » d o n s l a journal M L e C i t o y e n » s o n t
ciale, tous les j e u d i s A 9 h. 30.
P e r r e t , r u e de lu Providence, 4 7 ; Annik veuve de Bené Biou, A S i - J a c q u e s ; C a t h e Uzenol Anne, g a r d e - b a r r i è r e A P l e y b e r i
n
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Isa
a
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Q u i m p e r : Dispensaire d'Hygiène sociale Bourhis, r u e d u Sallé, 10; P i e r r e Bolzer,
brosse, rincées et bien séchées avant
Christ ; M. Yvinec J e a n , chef d e train A
rine Nervet, 73 ans, cultivatrice, veuve Le
b u r e a u d u Journal, 8 1 , r u e d u S a l l é , à Brest ; BoudcL Donatien, chef d e train
Asile Saint-Alhanase), lous les vendredis r u e de Brest, 1G.
tout emploi nouveau.
G r a n d . A Méncz-Boz-Bihan ; M a r g u e r i t e
Décès. —- Benoit Kernévez, j a r d i n i e r , F r a n c è s , 35 ans, m é n a g è r e , a v e n u e d e la
Il ne faut pas que votre vigilance Quimper, U mardi s o i r d e o h a q u e A E r g u é - A r m e l ; Huibun René, c o m m i s A de 17 A 19 h e u r e s .
s e m a i n e , a u p l u s tard.
Pont-l'Abbé,
Quiniperlé, Hôpital, lous les s a m e d i s A G8 ans, r u e de l'hospice ; Yves Floch, m a - Gare ; Yves Canévet, 29 ans, e m p l o y é d e
soit on défaut un moment. Uno seule
9 h, 30,
rin-pCclicur, 34 a n s , r u e Brizeux : J e a n n e c o m m e r c e , é p o u x Burel, r u e d e s Lavoirs
BïBfcïeGR&pglB
Concours m Fondions Publiques
ANECDOTES
QUIMPER
journal le Citoyen
LA V I E C H È R E
Avis important
défaillance, u n e faute unique commise
It
Léon Denis, 48ans, ouvrier b o u l a n g e r , veuf
de A n n e - M a r i e HascoOt, r u e D u p e t i t Tliouars.
Pont-l'Abbé
lia manifestation cléricale
La manifestation d e s p a t r o n a g e s c a t h o liques n'a p a s eu d i m a n c h e à P o n t - l ' A b b é
le t r i o m p h a l succ( s s e s c o m p t é p a r ses
b r o u i l l a n t s o r g a n i s a t e u r s q u i présumaient
p e u t - ê t r e t r o p de leur intluence, en voulant
en i m p o s e r à la fois h la municipalité et il
la population d e P o n t - l ' A b b é .
Le p r e m i e r a r r ê t e du maire ayant é t é
annulé, M. Coïc en prit un second samedi.
Et il faut r e c o n n a î t r e qu'il f u t bien inspiré,
en la circonstance. 11 ne réussit en effet
p a s s e u l e m e n t ainsi à faire canaliser le
cortège des patronages qui entendaient
être les m a î t r e s a b s o l u s de la r u e , mais il
parvint aussi à p r é v e n i r tout incident
grave et p e u t - ê t r e i\ e m p ê c h e r l'effusion
du s a n g d a n s la r u e .
Le p r e m i e r g r o u p e de g y m n a s t e s arrive
t\ P o n t - l ' A b b é , s a m e d i , vers 19 h. 30.11 veut
e m p r u n t e r u n e voie q u e lui interdisait
l'arrêté du maire et un p r e m i e r incident a
lieu. Commissaire de police et g e n d a r m e s
interviennent et tout r e n t r e d a n s l'ordre.
Le d i m a n c h e matin, réveil en f a n f a r e , à
7 h e u r e s , p a r les clairons et t a m b o u r s .des
sociétés.
Le g r a n d dédié esl llxé i» 13 h. 30. E n t r e
temps, q u e l q u e s incidents sont signalés en
ville. Le c o r t è g e suit il peu p r è s l'itinéraire
qui lui est tracé. D ' i m p o r t a n t e s forces de
g e n d a r m e r i e a s s u r e n t l'ordre. P r è s du
d o n j o n un i m p o r t a n t b a r r a g e est établi.
Du côté d e s p a t r o n a g e s c o m m e d e l'autre
d e s cris sont poussés ; mais tout se b o r n e
n d e s manifestations verbales.
Les contre-manifestants tiennent u n e
r é u n i o n sous les halles à 15 h e u r e s . Les
o r a t e u r s incitent l a . p o p u l a t i o n au calme.
C'est p a r le calme, en effet, qu'il sied bien
aux laïques de r é p o n d r e a u x provocations
et aux m e n a c e s d e s cléricaux.
L'animation r e p r e n d en ville vers 17 h.30,
et le c h a h u t aussi. Les sociétés traversent
la ville qu'elles vont q u i t t e r . Au b a s de la
Mairie et d u côté d u quai, d e s cris et d e s
m e n a c e s sont e n c o r e é c h a n g é s , mais il n'y
a h e u r e u s e m e n t pas d'incidents sérieux.
Dimanche soir et lundi matin q u e l q u e s
incidents se p r o d u i s e n t e n c o r e .
Grâce à la g e n d a r m e r i e , q u i s'est m o n t r é e i n d u l g e n t e p o u r les u n s et p o u r les
a u t r e s , d e s incidents plus g r a v e s o n t c e r t a i n e m e n t élé évités.
Il n o u s est a g r é a b l e , à celle occasion,
de p r é s e n t e r n o s s y m p a t h i q u e s félicitations aux deux h o n o r a b l e s familles d'instit u t e u r s q u e va unir ce beau m a r i a g e et
d ' a d r e s s e r n o s plus vifs c o m p l i m e n t s aux
d e u x j e u n e s f u t u r s époux.
Plogastel-St-Germain
F è t o d o s E o o l o s . — Dans l'après-midi
du 29 juillet a eu lieu, d a n s la salle Le
P a p e - Q u i n i o u , la l'été d e s écoles p u b l i q u e s
de Plogaslel-St-Germain, sous la présidence de M. Kerlouégan, maire, assisté de
MM. G u é g u e n , a d j o i n t au maire, Uernig o u el Sans, d é l é g u é s c a n t o n a u x .
Mme G. Le Mail, M. Le Bail, s é n a t e u r ,
et M. Albert Le Bail, tinrent à r e h a u s s e r
de leur présence celle fête q u i se déroula
devant u n e assistance relativement n o m b r e u s e , étant d o n n é les ditlicullés de déplacement d e s p a r e n t s d e s élèves à celle
é p o q u e d e travaux c h a m p ê t r e s .
Les petits h i g o u d e n s rivalisèrent d ' e n train et le p r o g r a m m e lui bien exécuté,
l.n fête c o m m e n ç a p a r un c l u e u r : La
g o d e t t e . Les petites tilles, ensuite, é v o luèrent g r a c i e u s e m e n t s u r la scène d a n s un
chant mimé « Les moulins •>; el la p r e m i è r e
partie se termina p u r u n e saynète' interprétée Intelligemment' p a r les Mlles d u
c o u r s moyen, « En visite ».
M. Le Bail, s é n a t e u r , étant d a n s l'obligation de p r e n d r e congé, salua en q u e l q u e s
mots bien choisis les n o m b r e u s e s m è r e s
de famille q u i assistaient à la l'été et se
lit l'interprète de toute la population en
adressant à Mlle Ménardeau, Directrice de
l'école d e s tilles, n o m m é e à Q u i m p c r , ses
r e g r e t s de la voir q u i t t e r Plogaslel où
elle dirigea avec succès pendant onze
a n n é e s l'école publique el où elle c o m p i e
d ' u n a n i m e s sympathies.
La seconde partie de la l'été scolaire
comprenait un chant mimé « Les Saints »
exécuté avec b e a u c o u p ile finesse p a r les
pot ils élèves du c o u r s p r é p a r a t o i r e .
Ce fut ensuite u n e vingtaine de minutes
de fou rire lorsque fut j o u é e la <• Farce de
Maître Pathelin ».
I l la l'été se termina p a r un clueur « les
vacances », suivi d ' u n e distribution de
prix aux lauréats d u certificat d ' é t u d e s et
de friandises à tous les élèves d e s d e u x
écoles.
Avant de q u i t t e r la salle M. Kerlouégan,
maire, d a n s un discours improvisé, assura
la population de la sollicitude du conseil
municipal envers les écoles laïques de la
commune.
Cifoy«n
Bannalec
Grand Meeting d'Aviation. — Une
g r a n d e fête a é r i e n n e , avec un merveilleux
p r o g r a m m e , se d é r o u l e r a le d i m a n c h e
31 août c o u r a n t , s u r le terrain de Keranquelven, en Bannalec.
Les meilleurs pilotes d e la « Société
p o u r le développement de l'Aviation » tels
q u e d e s Final, R o u y e r , Froissart, etc....
f e r o n t p a r leurs p r o d i g i e u s e s p r o u e s s e s
a é r i e n n e s l'admiration de tous les s p e c t a teurs.
Le comité p o u r s u i t activement les pourp a r l e r s atin d ' a s s u r e r tout l'éclat mérité à
cette belle manifcstnlion, a l i n d e la r e n d r e
digne de Bannalec et du r e g r e t t é c o m p a triote et h é r o s Le Bourliis, p r é c u r s e u r du
p a r a c h u t e et de l'aviation, mort h é r o ï q u e m e n t en l'JlG, d a n s un c o m b a t aérien.
CHATEAULIN
E t a t - c i v i l d u m o i s d e juillet. —Naissances : Annik Favennec, à Toul-ar-C'lioat;
Denise Férec, rue Graverait ; Marie L e F l o c h ,
q u a r t i e r du Pont-Neuf ; Anne G u é g u e n , à
P e n n a r u n ; Daniel Jafl'rel, à Pral-Guivarch ;
J e a n n e Cévai'r, jardin de Coalitlel.
Mariage. : F r a n ç o i s Le Corre, 2'' maître
mécanicien, et Marie Mérour, Inilleuse.
Décès : Marie Magne, 17 ans, célibataire,
G r a n d ' Ihie ; Marie Ouel'l'éléan, cuisinière,
7;") ans, célibataire, r u e de la Gare d'Orléans.
Pleyben
E t a t - o i v i l d o juillet. — Naissances :
Yvonne Altain, à C r o i s s a n t - K c r h o m a n ;
Jean Quévaree, à Balance; Yvonne Brenaut,
à Lanvézellec ; Marie B o u d o l , il CroissantGuellan ; Anne (¡uern, G r a n d ' Place ;
J e a n n e Le Goll', Grand' Place ; Yvonne
Calvez, à Saint-Atgon ; lioger Cévaer, à
Croix-Nu.
Mariages ; Jean Mazéas, c h a r p e n t i e r , à
Créacliqucllic.et Marie Aullïet, cultivai lice,
à Créuchquellic ; Gabriel Saoul, cultivateur, à Coalilitel, en Châleaulin, el Marie
Galaud, cultivatrice, à Guénily ; Jean Le
Bihan, m é c a n i c i e n - c h a u f f e u r à l.nndnul
(Morbihan), et J e a n n e Briand, s. p., ;'i
Croissant-I.ilisven.
Décès : Jean Léoslic, cultivateur, â
Buuandol : Marguerite Féon, Grand' Place;
Jean T o u l o u s , maçon, à Guénily ; Marie
Quint in, s. p., à Sléréon.
Brasparts
L o s F â t o s . — Les l'êtes de B r a s p a r t s
a u r o n t lieu les 15, Hi et 17 a o û t .
l'n comité d e s fêtes a é l a b o r é d e s r é j o u i s s a n c e s p o u r ces trois j o u r n é e s .
Morgat
nir inaclif. Si d a n s la couche arable le
calcaire existe, il réagit aussitôt et transf o r m e s u r place le s u p e r p h o s p h a t e en
p h o s p h a t e t r i b a s i q u e q u i , insoluble el
c e p e n d a n t , f a c i l e m e n t a t t a q u a b l e , devient
la réserve idéale de n o u r r i t u r e p h o s p h a t é e ,
insensible â l'aotion dissolvante e l eut r a i nante de l'eau et t o u j o u r s prèle p o u r
l'alimentation. C'est p o u r q u o i le s u p e r p h o s p h a t e d o n n e de si bons résultats d a n s
les t e r r e s n a t u r e l l e m e n t calcaires.
Le sulfate d'ammoniaque, sel t r è s soluble
d a n s l'eau, n'est, sous cette f o r m e , ni
alimentaire, ni retenu p a r le pouvoir
a b s o r b a n t de la lerre. Le calcaire du sol
réagit i m m é d i a t e m e n t s u r lui, le t r a n s f o r m e en c a r b o n a t e d ' a m m o n i a q u e , q u i
est forlcmei)l llxé p a r les particules t e r reuses tout en d e m e u r a n t prêt à nitrifier,
c'esjl-i'i-dire à n o u r r i r la plante. Sans calcaire, la t r a n s f o r m a t i o n ne se fait pas, le
sel soluble reste exposé aux r i s q u e s d ' e n traînement et de d é p e r d i t i o n .
Les e n g r a i s p o t a s s i q u e s a u t r e s q u e le
c a r b o n a t e se c o m p o r t e n t de m ê m e d a n s le
sol ; sous u n e f o r m e très soluble c e p e n d a n t , ils ne sont ni alimentaires, ni r e t e n u s
par la terre. Que le calcaire intervienne,
ils s o n t aussitôt t r a n s f o r m é s en c a r b o n a t e
de potasse et voilà un aliment f o r m é , fixé
par le grain de terre, résistant au lessivage
des eaux pluviales el c e p e n d a n t prêt e n c o r e
à se laisser a b s o r b e r p a r les racines.
l.e nitrate de soude l u i - m ê m e , si rapide
dans l'action, n'esl p a s alimentaire sous
cette l'orme, il subit la réaction calciqtie
p o u r devenir nitrate de chaux, q u i est
l'aliment d e s plantes. Mais ici, r a p p e l o n s
((ùc, malgré le calcaire, les nitrates ne
s o n t j a m a i s r e t e n u s p a r la t e r r e el sont
t o u j o u r s exposés à l'entraînement, c'est
p o u r q u o i il ne faut les e m p l o y e r q u ' a u
m o m e n t de leur utilisation p a r l e s plantes.
Ainsi, sans chaux, les e n g r a i s ne "passent
pas à la l'orme alimentaire, les sels soluliles ne sont p a s fixes p a r la t e r r e et soustraits à l'entraînement, s a n s chaux, les
e n g r a i s o r g a n i q u e s nitrifient mal ou t r o p
lentement ; >ans chaux enfin, les s u p e r p h o s p h a t e s r i s q t i c n j d e s ' e n f o n c e r et de
devenir innclil's. En un m o t , sans la
présence du précieux réactif, les e n g r a i s
ne d o n n e n t p a s leurs pleins effets.
Action sur les plantes. — La chaux esl un
aliment d e s plantes au même titre' q u e
azote, la potasse ou l'acide p h o s p h o r i q u e .
Dans le végétal, on la louve s u r t o u t d a n s
les cellules d e s feuilles el d e s tiges, c o m binée aux acides o r g a n i q u e s , mais on en
trouve aussi d a n s les g r a i n e s el les fruits.
Son rôle consiste à d o n n e r de la résistance aux o r g a n e s el u n e plus g r a n d e apiitude à remplir-leurs fonctions physiologiques. Elle agit m o i n s s u r l e d é v e l o p p e m e n t
du végétal (pie s u r sa b o n n e organisation
intérieure ; son action, sauf p o u r les
piaules très avides de chaux, c o m m e les
légumineuses, ne « m a r q u e » p a s à la v u e ,
la bascule décèle mieux son influence q u e
l'ieil. Les fonctions de la plante, é t a n t
favorisées p a r sa présence, s'accomplissent
mieux el plus c o m p l è t e m e n t , le grain esl
plus nourri et plus lourd, les racines el
t u b e r c u l e s sont plus riches en s u c r e ou en
amidon, l'es liges el les feuilles d e s plantes
f o u r r a g è r e s , les pailles d e s céréales, l'herbe d e s prairies, elc... sont plus n o u r r i s santes pou r le bêlait.
La prévoyance de l'Ouest
Société Mutuelle de Capitalisation
E n t r e p r i s e privée, assujettie au c o n t r ô l e d e l'Etat
NANTES
S I É O E S O C I A L i 3 , R u e Racine,
3
Thros lîmia
TABI F A.
2.500-fr.
5 000
10 000
TABI F C.
1.500
3.000
fi. 000
15.000
30.000
Cotisation mensuelle 5 f r .
—
10 f r .
20 f r .
5 fr.
10 f r .
20 f r .
50 f r .
100 f r .
Durre
du comtrat
33 a n s
Durée
du paiement
33 a n s
•20 ans
10 a. 9 m.
14 a n s
16 a n s
5 fr.
1.000
25 f r .
5 000
50 f r .
10 000
12 a n s
15 a n s
10 f r .
TABIF E.
1.500
T i r a g e s publics effectués le 25 de c h a q u e mois, a u Siège social, à l'aide de 3 r o a « s ,
p o r t a n t c h a c u n e s u r son p o u r t o u r toutes les lettres de l'Alphabet.
Il est r e m b o u r s é à c h a q u e tirage et p o u r c h a q u e tarif un titre s u r 4.394 émis, ce q u i
correspond à u n e p r o p o r t i o n annuelle de r e m b o u r s e m e n t compris» e n t r e 1 366 e t
1/367 (Art. 10 des statuts.)
Seuls, sont r e m b o u r s a b l e s les litres à j o u r d e s cotisations é c h u e s .
T A R I F D.
Au
Tirage du 8 5
Juillet
1930
ont é t é r e m b o u r s é s l e s T i t r e s e i - a p r à s :
XPI
BW AX-
ll'S
uwo
TARIF A
Société F o n c i è r e de l'Est et du Littoral, 16, Place
Vendôme, à P a r i s (versé u n e p r i m e u n i q u e de
175 f r a n c s . B e m b o u r s é 669 Francs)
BltON René, 7, r u e Oclave-Japy, Fesches-le-Chatel
(Doubs)
PLATABGIN1 René, 12, r u e Michel de B o u r g e s , P o n t d u - L a s , Toulon (Var)
COLLET-MATBAT Gabriel, 33, r u e S e r m o r e n s , Yoiron (Isère)
Mme MONTAUBAN Madeleine, r o u t e de Flodeins,
La Béole (Gde)
CIIABLOT-MORVAN Pierre, Léchiagat, Trefïiagat,
par Guilvinec (Finistère)
TARIF B
Mme BBOCII 1ER J o s é p h i n e , r. d u Bas Bives, Rives
(Isère)
T r o i s combinaisons sans affectation.
Ol-
PUF
DAC
TARIF C
Mlle TOUZE Solange, r u e d e l'Eglise, Verneusses, p a r
Montreuil-l'Argille (Eure)
Mlle DAUDY Marthe, Les Eysies-de-Tavac ( D o r d . ï . . .
PONCEAU Roland, chez M. J u l e s Fritef, La Futelaie,
Verneusses, p a r Montreuil-l'Argille (Eure)
Mme veuve BROUSTEB.V, Fargiies-Saint-IIilaire, p a r
l.ignan (Gironde)
MESTRALLET René, r u e d u Mollard, Modane-Ville
(Savoiei
CO S.SEC P i e r r e - J e a n , Brézerhwi, Plobanualec, p a r
P o n t - l ' A b b é iFinistère)
T A R I F I)
PO UT EAU A r t h u r , Mellian, S l - G é n é r é , p a r M o n t s u r s
(Mayenne)
Cnpit.l
rembouraé
669 f r .
Somme
versée
175 f r .
2.500
-
615
-
5.000
-
20
-
.1.000 —
1.000
262 —
-
228
-
2.500 —
70
-
1.500
58» —
1.500 1 500 -
465 425 —
1.500 -
210
-
1.500
-
170
-
3.000
-
140
-
3 000 -
50
-
1.000 —
275 —
TARIF E
( Mme GAUTIER Alexandrine, 41, r u e Kéravel, Breill
1
(Finistère)
J Mme ANDRAUD Julia, Tivoli, à Aurillac (Cantal . .
f CIIAMPIÏS Maurice, Ile-du-Nord, p a r Macau G d e ) . . .
1 500 — 990 —
R é g a t e s . — Les r é g a t e s de Morgal anXAQ
1 500 480 l'ont lieu le d i m a n c h e 21 a o û t .
1.500
270 —
Nous ne faisons p a s étal, p o u r le m o Celte fête traditionnelle est d e s plus inEtat-civil.
Naissances : Anna Le lierre,
m e n t , d e s m e n a c e s q u i o n t é t é fuites à au b o u r g ; Alexis Destouches, à Ponl-Biun : t é r e s s a n t e s el a la faveur de notre p o p u l a P o u r r e n s e i g n e m e n t s et souscriptions, s ' a d r e s s e r p o u r le N o r d - F i n i s t è r e , à M .
Pont-l'Abbé et q u i m o n t r e n t q u e les clérition maritime.
BOUVET d o la M A I S O N M B I I V E , Assureur-Conseil, Directeur Régional à S»intcaux ne se possédaient, p l u s . Nous y Yvon l'achus, au b o u r g ; Albert Le Coz,
Benan. P o u r le reste du Finistère et les C ô t e s - d u - N o r d , à M . A r m a n d O O X L L i i t M ,
au
Clos.
r e v i e n d r o n s q u a n d le m o m e n t sera venu
Directeur Régional ¿i Pont-l'Abbé.
Landerneau
Mariages : J e a n - M a r i e Bigcr, menuisier
et n o u s f e r o n s à chacun sa pari. Ce n'esl
q u e partie remise.
à I.anvern, et Clémentine Goascoz, c o u P r o m e n a d e do l'Amicale L a ï q u e . —
t u r i è r e au b o u r g .
L'Association amicale d e s anciens élèves
Décès : Marie (¡ucmiec, 75 ans, cultiva- et amis de l'école laïque organise, p o u r le
Grains de bon sens
trice, veuve de Michel . l a c q . d e Lunguivoa. d i m a n c h e 24 Août, u n e p r o m e n a d e p i q u e nique à Kerlouau. Les p e r s o n n e s q u i
La manifestation
Plozévet
désirent p r e n d r e pari à celle joyèii"C p a r r» — R — S Offerts G R A T U I T E M E N T à titre de propade Pont-l'Abbé
l i a s F ê t a s . — Les fêles de Plozévet tie d e v r o n t se faire inscrire chez M. J e a n ,
gande aux premiers lecteurs ayant trouvé la solution
Ha — 1M — E exacte du Concours ci-contre et se conformant à nos
a u r o n t lieu les d i m a n c h e 24 et lundi 25 tailleur, quai de Cornouaille, ou chez M.
Un de nos anus nous écrit une lettre dont
août.
P r o g r a m m e : Dimanche 21 août.— Cfiarhonnct, libraire, place du Marché,
nous détachons le passage suif uni :
B — E — T conditions.
9 h e u r e s ii 12 heures, C h a m p i o n n a t d e j u s q u ' a u 21 août, d e r n i e r délai.
Remplacez les tirets par des lettres afin de trouver 4
. . . T o u s les c o m p t e s r e n d u s publiés p a r
Alln d ' a i d e r le comité d a n s la bonne
quilles b r e t o n n e s , é p r e u v e individuelle,
les q u o t i d i e n s : Le Figaro, l.e Nouvelliste,
R
—
U
—
N
grandes
villes. L e s q u e l l e s ?
o
r
g
a
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i
s
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de
celle
p
r
o
m
e
n
a
d
e
p
i
q
u
e
é p r e u v e p a r é q u i p e , Eliminatoires engaL'Ouesl-Eclair,
et m ê m e La Dépêche de
nique, où q u a t r e à cinq cents sociétaires
g e m e n t : 3 francs).
Adressez votre réponse directement au RKN0P110NF,
rue de
Brest, sont t e n d a n c i e u x ou e r r o n é s .
9 h. 30, Mâl de.cocagne, c o u r s e s d ' e n f a n t s , vont participer, prière à toutes les p e r
Pales/ro, PARIS (2°).
(A suivre)
Si le comité de la fête d e s p a t r o n a g e s c o u r s e en sac, c o u r s e à la b r o u e t t e , jeux s o n n e s qui c o m p t e n t se r e n d r e à Kerlouau
avait d a n s u n e alllche fait appel à la b o n n e divers n o m b r e u x prix).
J o i n d r e p o u r la r é p o n s e u n e e n v e l o p p e t i m b r é e à 0 f r . 50 p o r t a n t rolre adresse)
le 24 c o u r a n t do bien vouloir sfc conforv o l o n t é de la population p o u r d é c o r e r les
13 h e u r e s , Course à pied. P r i x : 10,25, m e r a u x directives d e s commissaires.
Recettes agricoles
maisons, m e t t r e d e s d r a p e a u x , sans exer- 15 francs.
cer a u c u n e pression s u r les particuliers et
L
e
s
n
e
v
e
n
13 h. 30, Course de bicyclettes ( c o m m u CE QUE PÈSE UN S T È B E DE BOIS
s u r les c o m m e r ç a n t s , le résultat eut é t é nale 1 , circuit de la côte. Prix : 70, 15, 25,
REPUBLICAINS !
A c c i d e n t mortel. — Un pénible accident
tout autre.
A l'étal frais, voici le poids d ' u n s l è r e
HABILLEZ-VOUS A
15 francs.
s'est p r o d u i t mardi, vers II heures, à la
Vous
ne trouverez pas le Citoyen
Les c o m m e r ç a n t s n o t a m m e n t tiennent à
des principales essences de b o i s ;
Il h. 30, r o u l e de Pont-l'Abbé, Course g a r e de Lesneven.
chez
tous
les dépositaires de journaux
ne p a s laisser passer u n e b o n n e occasion de chevaux, au galop, régionale. Prix :
Au cours d ' u n e m a n œ u v r e , un employé,
Bois de q u a r t i e r Rondins
24, rue du Paro, QUIMPER
d e faire leurs affaires, mais ils t i e n n e n t 200, 100, 50 f r a n c s (un 1" prix sera créé s'il
du
déparlement,
mais vous le trouverez
e m b a u c h é d e p u i s q u e l q u e s j o u r s , a élé Ilèlre
..
710 kgr.
030 k g r .
a u t a n t et plus à ne p a s s u b i r u n e pression y a 5 parlants). E n g a g e m e n t : 3 francs.
sûrement
chez
vous
en vous abonnant.
m o r t e l l e m e n t blessé. C e s i un n o m m é S é - Chêne
740 800 —
qui les m e t d a n s l'alternative ou de d o n 15 h. 30, Course de bicyclettes (inlercan- bastien Péden, â g é «l'une c i n q u a n t a i n e Bouleau
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650
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n e r u n c o n s e n t e m e n t forcé q u i les brouille t o n a l e ) , c a n l o n s d e Plogaslel el limitrophes.
d ' a n n é e s et père de deux e n f a n t s .
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Malgré les soins d'un médecin, le malhcii- Epicéa
550 580 qui é q u i v a u t p o u r eux à u n e mise à l'in- 20 f r a n c s ( E n g a g e m e n t : 2 francs).
lieux expira q u e l q u e t e m p s a p r è s l'acci- Sapin
620 On Achèterait Petit Manoir
620 dex d é s a s t r e u s e p o u r leur c o m m e r c e , c a r
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440 410 2 ans : <V0 . l'an. — A'el d'impôt
ccdulaire
liste, a été justement i n lté de ce qu'on *'a- 50 f l a n c s el les e n g a g e m e n t s .
Epicéa
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avait la prétention de le faire m a r c h e r
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350 310 rantie : 1. E n g a g e m e n t p e r s o n n e l de la
vétérans de plus île 10 ans). Prix : 20, 15,
c o m m e un petit g a r ç o n .
Ceci p e r m e t t r a de se r e n d r e c o m p t e de Société ; 2. Affectation exclusive de leur
Projet d'Agrandissement
10 francs. - Poclied b u l u n .
Les j o u r n a u x r é a c t i o n n a i r e s p r é t e n d e n t
l'équité d e s prix p r o p o s é s p o u r le bois, produit à d e s P r ê t s g a r a n t i s p a r Nantisse13 h. 30, roule de Pont-Croix, Course
à l'Ecole des Filles de Léchiagat
q u e le Maire a subi l'influence d ' u n e vo- de bicyclettes (communale), réservée aux
selon qu'il esl nouvellement c o u p é , ou m e n t s e l g a g e s indiscutables.
Xie
V e n d r o d i B S a p t a œ b r e , à 15 heures
lonté é t r a n g è r e .
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sec.
3 S millions da Prêt«
j e u n e s g e n s d e moins de 17 a n s . P r i x : Les amendements calcaires
Le Maire n'a pris conseil q u e d e lui- 30, 20, 10. 5 francs.
réalisés et déclarés d e p u i s 1927.
'Montant des Travaux. 128.18t fr. 10
Action sur les engrais. — Les e n g r a i s
m ê m e , de s e s a d j o i n t s e t d e s conseillers
H h. 30, r o u l e d e Pont-l'Abbé. Course
Cautionnement
.000
Recettes de cuisine
de g a u c h e de l'assemblée municipale q u a n d de chevaux (trot m o n t é ou attelé) r é g i o - c o m p l é m e n t a i r e s du f u m i e r , q u e le culO N D E M A N D E jeunes /¡lies
il a pris el m a i n t e n u son a r r ê t é . Le Maire nale. Prix : 150, 100, 50 f r a n c s . E n g a g e - tivateur a p p o r t e a u j o u r d ' h u i à d o s e s été
Renseignements à la Mairie de Trefest un h o m m e é n e r g i q u e , capable de p r e n - ment : 3 francs.
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d r e d e s décisions « t d c ne pas lâcher pied,
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15 h. 30, Course de bicyclettes (régio- possible, doivent d ' a b o r d être e m m a g a s i S'adresser au journal.
et voilà p o u r q u o i n o u s l'estimons.
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nale;, sous le règlement de l'U. V. F. nés p a r le sol, soustraits aux causes de g r a m m e s d e j a m b o n maigre, 2(H) g r a m m e s
Si les cléricaux t r o u v a i e n t partout à q u i Prix : 150, 100, 50, 30 francs. E n g a g e m e n t :
d é p e r d i t i o n , mis en réserve et m a l g r é ce- de porc frais, 2 g r o s s e s tartines de pain
Charbons de Terre - Char»
p a r l e r , ils ne relèveraient p a s lu tête c o m - 3 f r a n c s .
rassis, 1 o i g n o n , 2 g o u s s e s d'ail, uu peu de
la d e m e u r e r prêts poui la nutrition vé
bons
de Bois - Bois de chaufm e ils le font.
persil el d ' e s t r a g o n , 5 0 0 g r a m m e s de b a r d e
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gélole au f u r el à m e s u r e (h? ses exigenfage
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de lard, 1 botte de cresson et I citron.
Bals à g r a n d o r c h e s t r e .
T o u t e s les c o u r s e s sont i n d i q u é e s i'i ces. 11 y a donc il c o n s i d é r e r deux choses
souci de leur dignité républicaine et laïque
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Michel LE PAPE, iG, route de Rosd e s accidents q u i p o u r r a i e n t se p r o d u i r e . l'orme d'assimilabililé de l'engrais.
l'oignon, les gousses d'ail, le persil et l'eset l ' a p p r o u v e n t . . .
porden,
Quimpcr. Tólóph. 2-33.
A ce d o u b l e point de vue, les e n g r a i s t r a g o n . Salez et poivrez.
R a i d h l p p l q o a . - Un g r a n d raid hippiD'autre part, s u p p r i m e z la tête de l'ase c o m p o r t e n t d i f f é r e m m e n t suivant leur
q u e a u r a lieu h P o n t - l ' A b b é le d i m a n c h e
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ON D E M A N D E
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et
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la
présence
ou
non
de
cal31 aoiit c o u r a n t .
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S'adresser U), roule de Rosporden,
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Suioide.
Mme Le Houx, née Marie- çois Derrien. Kerliat ; Bené J é g o u , Noaou ; stabilisés, d è s leur arrivée d a n s la couche de l'agneau avec la farce p r é p a r é e ciLouise Larnicol, â g é e d e '28 ans, d e m e u r a n t J a c q u e l i n e Barra, b o u r g ; Marie Christien, arable, p o u r e m p ê c h e r leur e n f o n c e m e n t dessus el cousez l'ouverture.
h Kérénès, s'est suicidée, la s e m a i n e d e r - Viizit ; Guillaume Lagadec, Condigou ; d a n s les couches i n f é r i e u r e s e l même leur
H u n l m r fout d » suit* à
J E U N E HOMME de 13 à
Maintenez les pattes é c a r t é e s avec deux
nière, avec un révolver de g r o s calibre, Hervé Le Flao, Kerhuon ; H e n r i e t t e Fiche, e n t r a î n e m e n t p a r les eaux pluviales. La I1ag11elles.de bois. Arrosez le c o r p s d e l'a- l i ans e s t demandó pour écritures
d o n t elle avait la g a r d e . Ce, suicide esl P r a t c o l e r ; Marie Autrui el Alain Autre!, p l u p a r t d'ailleurs, q u o i q u e solubles, ne gneau plusieurs fois avec de l'eau vinai- et courses.
a t t r i b u é h d e s c h a g r i n s intimes,
Qtierrou ; Hoger Le Mas, Bec-an-alé ; sont p a s assimilables dircctcnicnl, ils ont grée. Salez et poivrez puis e n t o u r e z - l e
S'adresser au Journal.
Jean Janiet, b o u r g ; Christiane Toulgout, besoin rie subir u n e t r a n s f o r m a t i o n q u i les e n t i è r e m e n t avec u n e b a r d e de lard q u e
28, ruo l e Dé an, QUIMPER
Guilvinec
Crec'hcourunt ; Marie Gruziuuo, b o u r g : a m è n e à lu l'orme alimentaire,
vous ficelez bien. Entourez-le aussi d ' u n
Ouvriers et ouvrières,
papier blanc huilé et e m b r o c h e z - l e devant
V a m a t e l o t »'emi noyA a n l a r g e d u Marcel Uloa, b o u r g ; Anne P e n d u , Si-Jean ;
Petits bois et Allome-fea
Or, il se trouve j u s t e m e n t q u e celle
Corenlin Bolland, K e r a n g u e n ; Christophe
manœuvres,
apprentis des deux
l'eu
ardent
p
o
u
r
q
u
e
la
viande
soit
bien
un
Grolzio. — La semaine d e r n i è r e , à la suite
d
o
u
b
l
e
fonction
c'est
e
n
c
o
r
e
le
calcaire
Sala(1 n, K e r g o a l e r - o n - D o u r .
saisie e t lu peau de l'agneau croustillante sexes payés tout de suite, demandés
de la t e m p ê t e , u n e b a r q u e de pêche d u
Sciare de bois et Copeaux
qui l'exerce, c o m m e il exerce d'ailleurs son c o m m e il convient,
Mariages
:
Yves
G
u
e
r
n
,
d
e
Coatscai'T*
Faïencerie de la Grande Maison-,
Guilvinec a chaviré au large d u Croisic.
action s u r les e n g r a i s non solubles c o m m e
bihan,
et
Marie
Boiigucnnec,
de
K
e
r
d
i
o
u
Arrosez
souvent
pendant
la
cuisson
(qui
VENTE I D DETAIL
Le matelot Le Golï, 30 ans, a coulé (i pic.
les f u m i e r s , les t e r r e a u x , les e n g r a i s azotés sera d ' u n bon q u a r t d ' h e u r e p a r livre
zet
;
J
é
r
ô
m
e
Sinquin,
de
Moulin
Llviiiot,
L ' i n f o r t u n é p é c h e u r éluit marié et p è r e de
M A R I É , ayant bonne instruc- P A R S A C S , C H A R R E T T E S A B R A S
o r g a n i q u e s , etc.., p o u r les a m e n e r peu ii d'agneau),
el Mélanie J é g o u , de K e r g a o u e n .
famille.
F.TCA«IO\S
tion,
demande p l a c e comme aideDécès : Anne Lamundé t 27 a n s , é p o u s e peu à nitrifier. Lu question e s t d'imporPenmarch
P r i x d o t a « . O tr. S 5
de F r a n ç o i s Solliec, Leignroux ; Pierre tance, aussi couvient'il de passer en revue
comptable ou aux écritures.
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s y m p a t h i q u e d i r e c t e u r d'école du Jucli, et Marie Coïe, 70 ans, veuve de Pierre Bouren joignant timbre ponr réponse à
liis, L o g e g a o r ; Henri Troalen, deux mois, il risque de d e s c e n d r e d a n s les couches c a r a f e remplie d'eau f o r t e m e n t vinaigrée
de Mme Btocli, institutrice.
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15
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s
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d
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à
la
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ou
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bien,
laissez
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s
i
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gerie, rue Keréon.
(H*.-Rh!.2).
Lamanda, bourg.
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Plonéour-Lanvern
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PLACEMENTS
joumai le Citoyen
APJÜPICATION
Questions Agricoles
L'EMBALLAGE ¡MODERNE
!•
Horaire des Trains
Service d'Eté
BREST (d)
Landerneau....
Châteanlin
QUIMPER {d).
Rospordon
Qnimperló
Lorient
NANTES ( a ) . . .
PARIS 0 . (a)..
C
6
7
7
21
54
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BREST ( d ) . . . .
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St-Thégonnse..
Morlaix (d)....
Guingamp
St-Brieu«
Reunea
PARIS (Montp)
» 13
30 14
2 15
3 16
40 17
23 17
10 17
13 21
6
LIGNE DE BREST A PARIS PAR QUIMPER
20 11
PARIS O. (d)..
40
16 54
2 43
NANTES ( i ) . .
31
17 85
6 7
Lorient
52
18 5'6
0 29
Quimpirló...
43 17 54 20 » 21 28
6 50
RogpoHen ..
9 18 S2 20 26 22 3')
7 5S
QUIMPER ..
34 19 15 20 51 23 82
8 43
Chàteaulin...
59 20 10 21 16 0 35
Landerneau (a)
10 4
42
0 37 8 2
* BREST ( a ) . . . .
10 89
51
7 lOi^- I
6 » 8
8
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6 50 9
7 35 10
8 5 10
9 27 12
14 16 18
»110
18 11
34Î11
48 11
8 12
4 13
43 15
57 16
3!) 22
LIGNE DE BREST A PARIS PAR MORLA1X
0 20
9 30|13 15il5
40 14 » 15 45 17 40120 35
PARIS (Montp)
14 14 25
Rennes (d)...»
8 20 11 28 14 53 17 52'20
18 14l20 53
40 14 43
St-Brieuc (d).. 10 35 14 5 16 34'1 19 18 21
18 37 21 9
Gaingamp (d).. 11 22 14 51 17 3 » 121
57 »
18 56 21 24
Morlaix (d).... 12 58 16 22 18 2 20 31 22
25 15 26 16 34 19 40 .21 45
St-Thégoanec.. 13 15 16 42
51 16 54|
21 24 22 48
Landiviaiaa.... 13 31 16 58 18 28
1 17 26 17 48 22 7 23 33
Landorneao(d). 13 54 17 31 18 42
53
1 15
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BREST ( a ) . . . . 14 18 18 4 18 59 21 20 23
47
7 15
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»
20
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7
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Service d'Eté
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Les» a f l c h f s : Loi sur la répression
ie 1'¿presse publique et sur la police det
iib ts dt
boissons.
— L'Arrêté
D'^ftcto-il
du -i septrm.
h'e
19.6.
— Tari/ des Consommations
pour les
débits.
L e s t f l e h c i : Horaire, lois et règlements sur le travail.
20 21 30
L e s a f f i c h e » : Extrait
du code de
17 4 16
entrepre59 6 48 la route, et tarif, pour les
autobus.
32 7 25 neurs de transports,
33 8 50
56 9 10
aub«rg:stes.
8 9 26 R e g i s t r e » pour logews et
23 9 44
42 10 7
MM. les Secrétaires de Mairie sont
12 45
18 30
21 55
22 20
22 52
23 11
-=»
21 22 22 58 9 6
13 7 9 9 59 15 3!)
39 10 40 15 51 19 13
13 I l 1 16 2» 19 3>
59 11 27 17 21 20 2
21 12 10 18 9 20 38
12 54 19 » 21 14
14 14 20 22 22 15
14 51|21 2 .22 38
20
30
2
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30 19 27 3
55 20 11 4
40 21 44 5
22 4 '5
22 21 6
22 44 6
29 23 11 6
i l ' I m p r i m e r i e et Librairie du Citoyen
21, rue du Sallé, à Quimper
tssurés de trouver k l ' I m p r i m e r i e do
Citoyen,
21, rue du Sallé, Q u i m p e r ,
t o n e l e e I s n p r l a a é e qui leur sont
nécessaires.
LIGNE DE QUIMPER A PONT-L'ABBÉ
Quimper
| 8 11112 6 15 2| 18 21, 20 45 a
« Pont-l'Abbô.... 1
la 6 10, 9 32113 26 1 6 11 18 41, 19 41
Pont-I'Ahbó
! 8 49, 12 441 15 50! 19 l! 21 23
( Quimper
I
| 6 47 10 15114 33 16 381 19 20! 20 18
b
(a) A Iian du dimanche dea Rameaux an 2 octobre. — (b) Dimanches et fête», du 1" juillet au 2 octobre.
LIGNE DE PONT-L'ABBÉ A SAINT-GUÉNOLÉ
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(a) N'a lieu qno les Jeudis,' Dimanches et fûtes. — (b) N'a lieu que le 13 de chaque mois, jour de foire à Plonôour.
LIGNE DE QUIMPER A DOUARNENEZ
Quimper
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(b) A lieu du dimanche des R*moaux au 2 octobre inclus. — (b) Dimanches et fôtes, du l , r juillet au 2 octobre.
LIGNE DE DOUARNENEZ A AUDIERNE
Douarnenez
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Pont-Croix
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7 15' 10 49I 16 44
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(s) Mardi, vendredi, dimanche et fôios et jours do foire à Quimperlô et à Pont-Aven. — (b) Tons les jours sauf les mardi, vendredi, dimancho ot fôtes et jours do foire à Quimperlô et à Pont-A^en. — ( •) Mardi, v*ndreli, dimanche et fôtes.
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9 55' 15 351 19 10 82 18 | Rosporden
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(b) Les jours de foire à Pleybea 09 à Ch&'eaunenf. —
(a) N'a pas lieu les jours de foire à Pleyben et à rhàteauneuf-du-Faou.
(c) N'a lieu qu'en jaillet et août, les dimanches et jours de fè\et légales.
LIGNE DE CHATEAULIN A CAMARET
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dép. 6 05 9 45, 16 25 18 13,
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dép.
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119 57 8 :7
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11 54 18 9 20 46 8 52
Chàteaulin
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12 161 18 32i 21 8 9 13
[ (1) N'a lieu qu'en Juillet r t Août les dimanches et jours de fêtes légales.
Chàteaulin (P. O.J.iép
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Vers l'Election Sénatoriale
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La Liberté de Conscience violée par les Sbires de la Réaction.
M. Coïc suspendu par Tardieu le Seize-Mayeux.
Les délégués sénatoriaux sont élus
De meilleur au momie !
et l'on peut dire q u e le résultat
Tel le congrès de Chilteaulin en
est acquis, car les hommes de gauche IS)2(.) où l'on vit deux choses : l'union
ont montré p a r trois élections relative- admirable des gauches et un rare
ment récentes qu'ils ne sont p a s dis- exemple d'abnégation
républicaine
posés à changer d'opinion comme de donné p a r un républicain qui est digne
T O U R D'HORIZON
des temps, livrer M. Coïc aux flam- dieu, lors de la prochaine élection
chemise.
Est-il vrai que des partisans trop
demain de solliciter et d'obtenir nos
mes, on avait inédité de le briser sénatoriale.
zélés ont fait pression s u r les habilamais, à aucune époque, depuis sull'rages.
comme verre. M. Tardieu a manqué
l'avènement de la République, le péril
Pas un républicain ne votera pour tants de l a rue du Château à PontI)e />ire au tu o/i île !
de
cran. Il n'a pas osé révoquer M. lui.
l'Abbé pour les obliger à manifester?
n'a été si grand. La République est
Rappelons-nous l'élection de ChaCoïc et voilà pourquoi les cléricaux de
Est-il vrai que le 10 août, dans l a
menacée dans ses institutions et dans niaillard où. après un congrès qui
Il y a un précédent illustre, celui
Ponl-l'Abbé trouveront demain (pie du ministre Ricard, inventé p a r lesrue, un néophyte trop zélé s'est élancé
ses œuvres vives tandis que l'esprit de trouva les républicains désunis, nos
M. Tardieu est bien pille.
laïcité est battu en brèche. Il l'est troupes républicaines lurent battues à
Démocrates populaires cl qui. rossé vers un journaliste républicain pour
Vive la République
par une Chambre nettement à droite dix heures du soir.
Les
républicains
et
les
laïques
troud'importance,
dut prendre la fuite, tenter de le zigouiller, le couteau à
et vive Coïc !
et p a r un (ïouvernement composé de
veront au contraire que le drapeau sous une bordée de sifflets et sous les la main ?
Rappelons-nous encore ce fameux
réacteurs cléricaux et de républicains
le gage que la feuille hargneuse ne
Les événements de Pont-l'Abbé ont est engagé par l'acte arbitraire gou- huées.
congrès de OluUeaulin où les républitransfuges.
vernemental.
répondra
paj>. Le Nouvelliste n'essaie
A...
cains Le Itorgne, de Pleyben, et 11er- fait couler beaucoup d'encre violette.
Nous
espérons
qu'il
n'y
aura
qu'une
de
chercher
en toute chose l a
pas
Et voici ce qui fait la grandeur du land, de Rosporden reeurent l'invesJe dis violette parce que le Nouvelvoix
pour
protester
dans
le
camp
des
vérité,
niais,
comme
tous les éducapéril. A toutes les ¿poques, quand la titure.
le
Si
liste, qui est le journal des évoques et
gauches.
teurs
cléricaux
de
la
presse et de
Réaction se dressait menaçante avec
archevêque
de
Bretagne,
ne
décolère
Ces purs républicains furent écrasés
l'école, il essaie de la faire avaler.
L'abstention équivaudrait à d e la
ses forces d'Eglise, avec ses calomnies j W deux dissidents, M. l'ichon, de pas depuis les événements de Pontcomplicité.
et son or corrupteur, un (ïouverne- ï r é f i e z et le général Lambert.
Nous faisons observer à l a feuille
l'Abbé.
vous plaît, vous avez le devoir de le
Tous debout pour la liberté de répandre autour d e vous, et, surtout ¡des évèques que l a voix d e Dieu ne
ment républicain tenait la barre et
Il était si facile de les éviter, ces
A dater de ce j o u r ce l'ut la débanles leviers de commande.
'parle pas dans l'exaltation.
dade dans nos rangs.
événements ! Mais jamais l'Eglise po- conscience contre la tyrannie des prê- de lui faire des abonnés.
tres et contre l'arbitraire g o u C'horn Boud.
C'est l'inverse aujourd'hui, et, dans
litique
et
militante
ne
pourra
se
L'imprudence d'un jour fut suivie
{¿¿f
ce recul formidable des hommes et d ' u n e longue expiation qui dura résoudre à respecter la liberté du vernemental.
des choses, c'est dans les cœurs répu- vingt ans.
prochain. Le parti catholique,
lisez
M. ( j u é i i M l ' a v a i t p r i t
!
blicains qu'il faut chercher la foi agisclérical, est, comme l'avait si bien dé¿près la suspension du Maire
Lisez
et
Faites
lire
le
«
sante et presque surhumaine qui donne
fini Sainte-Beuve, un parti insatiable,
A tout prix demeurons unis.
M. Coïc est suspendu.
la victoire.
de Pont-MDIië
ingrat de sa nature parce qu'il croit
Quand j e dis demeurons unis, j e </ue tout lui est dû.
M. Quéinnec l'avait prédit. M. Tarveux dire unis à trois.
dieu n ' a été qu'un instrument passif
Les seize conseillers de la majorité du
Un défilé de jeunes gymnastes dans
L'élection sénatoriale prochaine reentre ses mains.
Les radicaux-socialistes dont j e suis
Conseil municipal d e Pout-l'Abbé, réunis
Comme a u £ 6 Sflai
les
rues,
rien
de
mieux
!
Il
est
bien
vêt une signification très-haute comme ont à leur droite des républicains qui,
Ce notaire est obéi sur minuta et il le dimanche 17 aoiït. ont pris la délibéraentendu que leur éducation physique
résultat positif et comme symbole.
malgré une dill'érence de doctrines et
donne la formule exécutoire aux actes tion suivante :
n
»
n'a qu'un but : assouplir les muscles,
<• Le Conseil municipal de Pont-l'Abbé
Que mes amis m'écoutent. Mon avis de climat politique, ont toujours fait
gouvernementaux comme aux conven- élève la plus vive protestation contre la
fîlK
assurer la santé du corps et la beauté
est désintéressé. J'ai vécu une longue taire leurs préférences pour assurer la
tions passées entre les particuliers.
décision de M. Vatrin, préfet du Finistère,
des formes, donner à la jeunesse le
vie — trop longue au g r é de m e svictoire commune. Parmi eux, à côté
(|ui. par un acte arbitraire de légalité d o u Notre
époque
est
le
gouvernement
pour un mois
sens amical de la solidarité, lit tout
teuse, a suspendu M. Coïc, maire de Pontadversaires — et j'ai assisté à toutes de républicains de vieille écorce, j ' e n
occulte
des
muets
du
sérail.
Voyez
cela en vue de mieux servir la patrie
l'Abbé.
les luttes électorales depuis l'avène- vois de plus timides, sans cesse aux
Bourgot. Il a fait partir ce sous-prélet |
si elle est un jour menacée !
» Ce geste porte u n e atteinte d e s plus
Notre ami Coïc, maire de Ponlment de la troisième République.
prises avec des difficultés de toutes
idéal qui a nom Gervais.
graves à la liberté el à l'indépendance d e s
l'Abbé, est suspendu pour un mois de
Ludus
pro
patria.
L'expérience m'a appris qu'il ne faut sortes qui viennent de leur entourage,
Voyez Quéinnec. Il a l'ait suspendre maires dans l'exercice de leurs fonctions ».
S'il en est ainsi, j e comprends la ses fonctions p a r le gouvernement de
pas diviser ses forces devant l'ennemi. «le nécessites professionnelles vitales et
M. Coïc parce que tel était son bon
présence des généraux à ces cérémo- M. Tardieu.
Il faut aller à la bataille tous unis, de l'atmosphère de contrainte qu'on
plaisir.
Les conseillers municipaux de Plozévet,
nies qui n'ont en vue que la préparaCette petite aventure arrivée à ce
fait peser sur eux.
comme une fraternité républicaine.
Quelle estime peut-on avoir pour un réunis hors séance le 17 aoiït, « adressent
tion militaire. Lu s'engageant clans laïque intrépide nie rajeunit de près
ministre qui se fait l'exécuteur des à M. Coïc, Maire de Pont-l'Abbé, s u s p e n Le radical-socialiste (pie j e suis a cette voie, ils ne risquent pas dede 00 ans.
L'expérience m'a encore enseigné
basses vengeances des Quéinnec et du de ses fonctions p a r l'autorité supéqu'on doit en politique envisager à la toujours réuni les voix de ces hommes compromettre le loyalisme auquel ils
Mon père fut révoqué deux Ibis, au
rieure, l'assurance de leur vive sympathie
dans les élections et dans les congrès. sont tenus quand ils sont en activité I(> mai el au 2 i mai p a r les pères des Bourgot... car nous avons le bon- et de leur complète solidarité laïque et
fois le présent et l'avenir.
heur d'avoir dans notre département républicaine ».
C'est pour ne pas l'avoir fait autrefois
A ma gauche, j e vois les socialistes. de service.
spirituels de M. Tardieu, j'entends
deux
hommes politiques qui personnique pendant près d e vingt ans le parti
Ils ont toujours marché au canon,
*
M. de lîroglie et M. de Fortou qui
» »
fient assez bien el dans le lointain
républicain finistérien a été constam- après les divisions naturelles d u preLes municipalités de Guilvinec, Loeludy,
avaient entrepris comme leur succesvaporeux des brumes de la politique, Peiimarc'h, Plobannalec,Tréguennec,Trel'Vous n'y êtes pas.
ment battu à chaque élection sénato- mier tour où l'on se compte.
seur de faire marcher la France.
Don Quichotte et Sancho, sans avoir liagal, l'Ile-Tudy, ont également voté d e s
Connue le dit le Nouvelliste du Bretariale.
Il en sera de même demain.
Le coup vient de Paris, l'eslime que l'aventureuse audace de l'un .et le ordres du j o u r prolestant vivement contre
En allant au combat désunis, on
I n philosophe a dit qu'il était plus gne, dans un sous-titre sensationnel :
la suspension (te .M. Auguste Coïc, Maire
le Préfet du Finistère, qui ne ferait robuste bon sens de l'autre.
échoue et on crée de l'irréparable.
difficile de connaître son devoir (pie « Malgré l'interdiction du maire sociade Pont-l'Abbé.
pas de m a l à une mouche, doit être
liste, malgré les provocations et les
Ne trouvez-vous pas, citoyens, qu'il
de le faire.
*
A qui le lour '.'
navré du tort passager qu'il fait p a r
« «
1
faudra bientôt donner du balai à ces
Mon devoir est tout tracé et j e l'ac- attaques de ses a mis anti-elèricaux, les
-wmmwm
ordre gouvernemental à l'épidernie
gymnastes
catholiques
défilent
gens
là,
après
avoir
promené
la
tète
complis.
Un journal socialiste a insinué que
Comité de Dciense Laïque
administratif de M. Coïc.
dans les rues. »
de loup et brûlé du sucre dans tous
certains républicains réclamaient un
Georges LE RAIL.
du finistére
C'est un ukase gouvernemental qui les coins et recoins de leur circonscongrès. Sans doute un congrès répu- m n r n n H T T T i n n i i m u r t r / n
Ainsi donc il y a des gymnastes
a
atteint
M.
Coïc
pour
avoir
manqué
cription ?
blicain est dans l'ordre naturel d e s
catholiques et d'autres qui ne le sont
L a Révolta de Pont-l'Abbé (10 QOlït
!
tUSJPUULslOAXNS
choses, et, dans certains cas, une
pas. Toujours la prétention sans cesse de respect a 1 Autorité supérieure.
Quéinnec aura beau payer la goutte, 1930). — L u e révolte ! Avec d e s révoluVous ne trouverez pas le Citoyen
Par autorité supérieure il faut en- il ne s'en tirera p a s cette fois et dans tionnaires, bien entendu.
nécessité.
affichée de couper la France en deux
chez tous les dépositaires de journaux
tendre
l'Evêque et les abbés qui diri- moins de deux ans Bourgot luiC'est sous ce j o u r q u e toutes les feuilles
camps !
Honni soit qui en contesterait la
du département, mais vous le trouverez
réactionnaires do France e l de Navarre
geaient
le
10
août
les
sociétés
sporvaleur.
même ne sera plus qu'une- activité oui présenté les événements survenus à
I.'Eglise fourre la politique partout.
sûrement chez vous eu vous abonnant.
tives et qui mènent en ce moment retraitée.
Mais il olfre souvent aussi d e s
Il y a les é c o l e s dites chrétiennes et
Pont-l'Abbé.
(\ oir bulletin d'abonnement en 4" page)
M. Tardieu p a r le bout du nez.
I ' 110 révolte ? Oui. Quant aux révoludangers.
catholiques ; il y a une presse
Hat a plan.
*
******
On prétend que le recrutement sationnaires, ils étaient de même souche e t
catholique,
des
é
l
e
c
t
e
u
r
s
catholi* »
mémo trompe q u e ceu.x q u e les o r d o n ques, des agriculteurs et unecerdotal ne se fait plus. Or, jamais Républicains ! Abonnez-vous au de
nances de juillet liront jaillir d e s pavés de
J'invoque des précédents. Quand il Le Congrès M i d - S o c M i s l c
nous
n'avons
vu
tant
de
curés.
agriculture catholiques, des gymParis ii y a cent a n s : dos h o m m e s do tous
s'est agi d e l'élection de mon pauvre
On en a mis partout, dans les cures
n a s t e s catholiques....
les g r o u p e m e n t s de gaucho, radicaux comami Le llars, on s'en est passé.
Le Congrès radical-socialiste aura
de chaque paroisse, dans les patroq u e révoltèrent les prétentions et
et faites abonner vos amis. pris,
lit, quand j'ai moi-même eu à lutter lieu, à Grenoble, les 8, il et 10 octobre
l'insolence des cléricaux ; d e s hommes
nages, les écoles pri vées, les orphéons,
- I . u p j g w n «
M U M
qui se dressèrent contre le député (Juéincontre un adversaire estimé et cour- prochain.
En résumé, l'Fglise politique n ' a les sociétés sportives, les journaux
p
Ces
importantes
assises,
au
cours
nec parti du Léon à la lélo de ses p a t r o tois, le D Chauvel, les républicains
cléricaux... elc. elc... Il y en a même
nages do curés à la conquête du pays
desquelles sera définie l'attitude d u pas changé depuis le Moyen-Age, où
m'ont fait crédit.
qui sont chargés de la direction des
elle
se
signalait
p
a
r
l'esprit
d'inquisibigouden.
parti, présenteront, à la veille de la
On pourra m e répondre que j'avais
da',-idées, ces futures cantinières de
Le Maire do Ponl-l'Abbé esl cordonnier
rentrée d e s Chambres, un intérêt tion et par l'esprit de torture.
Le Nouvelliste de Bretagne, dirigé — « Maire-savetier » écrit le doux Progrès
acquis des titres à la reconnaissance
l'année
noire.
La cause du chahut du 10 août a
considérable.
par l'abbé )allier (on en a mis p a r - du Finis/ère ; mais un cordonnier peut être
de mes amis, à cause de mes longs » I H H I t
h
été l'esprit inquisitorial des organisa» .
axxxxxxxxxjxxxxaxxxun
tout) est, comme chacun le sait, le aussi honnête qu'un curé et même q u ' u n
états d e service. Soit, mais aujourteurs qui ont voulu obliger tous l e s
M.
Tardieu
se
dit
républicain
et
il
journal
de l'archevêque de Rennes et notaire. Notre Maire-savetier vient do mond'hui nous sommes dominés non p a r
habitants de la rue du Château à
trer comment un petit artisan sait adminisessaye
de
le
prouver
en
rappelant
des
évèques
de Bretagne.
la popularité relative d'un homme,
trer une ville el la défendre contre les r a z manifester, ce qui élait une entrave à
qu'il a collaboré avec Waldeck-RousCe
sacré
journal
ne
décolère
p
a
s
mais p a r la grandeur du péril répude-marée
léonards.
On décore... on décore... la liberté.
seau. Soil, mais il a mal tourné depuis. depuis le 10 août et ne rêve q u e
blicain.
Quand la loi esl faite par les cléricaux,
Bien mieux, les cléricaux ont voulu
.. .Jusqu'aux mères de famille, du moins
elle a une vertu magique ; mais lorsque,
VValdeck-Rousseau nous a donné le plaies el bosses.
l'entends une voix secrète qui, nuit
catholiques,
celles qui ont beaucoup d'enfants. Toutes réserver aux gymnastes
sous t o n n e d'arrêté, elle sorl d'une mairie
et jour, m e parle, et la sentinelle in- n'auront peut-être pas, pour remercier, les c'est-à-dire cléricaux, les honneurs spectacle d'un modéré devenu le di- Son bras lance la foudre et son regard laïque, 011 peut hardiment en faire litière.
visible me répète ces mots : « L'enne- fortes paroles de cette paysanne que son qui sont d'habitude prodigués à la recteur du Cartel des gauches pour
M. Quéinnec (une peau de renard s u r le
[l'éclair......
sauver la République.
mi est là qui guette vos divisions et maire complimentait l'autre jour en lui Divinité, un j o u r de Fête-Dieu,
corps d'un loup blanc) flanqué d e ses
Dans
sa
ferveur
chrétienne,
il
ne
escouades de boys-scouts veut conquérir
Son triste disciple a fait le chemin
*
vos faiblesses. Demeurez fermes et attachant lu croix :
parle que de représailles. Sifflements, le pavé, puis la Mairie de Pont-l'Abbé.
Vous êtes bien aimable, Monsieur
inverse.
Il
a
'réalisé
le
Cartel
d
e
s
restez unis. »
* 4
hurlements, rugissements.... On se Prêtres, évoque, généraux en uniforme
le Maire, muis voyez-vous, ce n'est pas
«
ma
poitrine
qu'il
faudrait
fleurir-d'un
r
u
M.
Coïc
n'a
pas
voulu donner dans droites pour couler la République croirait en le lisant dans une ména- sont là pour lo soutenir.
• *
à treille mètres p a r le fond, comme
ban. C'est mou ventre. I.ni seul a été ¡'i la le panneau,
Le Maire réserve une rue à la circulation
gerie où l'on paie un droit d'entrée
On peut dire des congrès ce qu'Eso- peine. Car et? n'est pus t o u j o u r s un jeu de
les cuirassés allemands de Scapa-Flow.
générale
et t'interdit à la manifestation
Et
voilà
pourquoi,
eoinmc
au
Moyende cinq sous.
*
pe disait d e l à langue humaine. C'est l'aire un enl'unl.
cléricale. Les cléricaux hurlent à la persé*
Vge,
l'Eglise
pour
atteindre
ce
maire
* «
ce qu'il y a de meilleur ou de pire au
Le mari, l'air innocent et lointain, ne
cution. Le Préfet suspend le Maire. C'est
* *
savait trop quelle tète faire ; les« autori- indépendant a eu recours au bras sémonde.
Nous ne le laisserons p a s faire.
Le Nouvelliste qui cherche la vé- dans l'ordre, niais toutes les personnalités
tés » non plus...
culier, représenté p a r M. Tardieu.
Nous vengerons Coïc et nous battrons rité... ? ferait bien d'enquêter sur les laïques du canlon soutiennent leur camale le prouve.
rade d e Ponl-l'Abbé qui 11e j o u e r a pas lo
( Cyrano).
Ne pouvant, à cause de la différence il plate couture le candidat de M. Tardeux points suivants :
rôle de l'une de la fable.
contre l'arbitraire gouvernemental
jouma/le C i t o y e n
Journal 1
Citoyen
Journal l e
Citoyen
A u < S o u v e l l i s k de B r e t a g n e ^
Glanes « Perles
I* Citoyen
Restent deux instituteurs, Drapier et
Rlayau, q u i ont osé se miMer a u x c o n t r e m a n i f e s t a n t s et q u i o n t l'audace de ne
r e g r e t t e r ni leur geste ni leurs paroles.
Ils o n t c o m m i s le crime de s ' o p p o s e r aux
desseins de M. Quéinnec, « le l i b é r a t e u r
de la Cornouaillo » et d ' e x h o r t e r les o u vriers a u calme et il la f e r m e t é . Grâce il
eux et à leurs amis, il n'y e u t a u c u n e
violence.
On veut leur peau et on leur c h e r c h e
chicane.
I.e mauvais c o u p m o n t é c o n t r e le Maire
et n o s deux c a m a r a d e s a fait long f e u .
P o n t - l ' A b b é laïque est t o u j o u r s d e b o u t cl
justice y sera faite ainsi qu'il Q u i m p e r . . .
I.e Comité.
u i i m i i i m i i T *
Concours aux Fondions Publiques
C o n t r ô l e u r d e s services de main d'oeuvre. — Date : 13 o c t o b r e 1930 ; délai d'inscription :
s e p t e m b r e ; t\ge : 23 il 30 a n s ,
plus services a n t é r i e u r s . T r a i t e m e n t d e
début : 9.500 francs, plus indemnités. B a c c a l a u r é a t , H. S. ou diplôme équivalent
exigé.
Employé c o m p t a b l e au Crédit Foncier
de F r a n c e . — C o n c o u r s ouvert o c t o b r e
1930 ; fige : 18 il 30 a n s ; t r a i t e m e n t de d é but : 11.800 francs, plus indemnités. Aucun
diplôme exigé.
C o m m i s de T r é s o r e r i e en A. E. F . —
Date : 6 o c t o b r e 1920 ; ù g e : 22 il 30 a n s ,
plus services militaires ; t r a i t e m e n t de d é but : 20.900 f r a n c s , plus indemnités. Aucun
diplôme exigé. C o n c o u r s o u v e r t en F r a n c e .
C o n t r ô l e u r stagiaire d e s Douanes. —
Date : 5 j a n v i e r 1931 ; délai d'inscription :
5 n o v e m b r e ; Age : 18 à 25 a n s ; traitement
de d é b u t : 10.500 francs, plus indemnités.
Raccalauréat ou diplôme équivalent exigé.
C o n c o u r s ouvert p o u r 120 places.
S u r n u m é r a i r e d e s C o n t r i b u t i o n s directes
en Algérie. — Date : 27 o c t o b r e 1930 ; délai
d'inscription : 27 s e p t e m b r e ; ftge : 18 à
23 a n s , plus services a n t é r i e u r s . A u cun diplôme e x i g é . C o n c o u r s ouvert en
France.
Commis (sexe masculin) d e s C o n t r i b u tions indirectes. — Date : 4 d é c e m b r e
1930: délai d'inscription : 1 o c t o b r e ; Age :
m o i n s de 30 a n s . Aucun d i p l ô m e exigé.
T r a i t e m e n t d e d é b u t , 10.500 1rs. C o n c o u r s
p o u r 300 places. — P o u r tous r e n s e i g n e m e n t s s ' a d r e s s e r a u Directeur d e s C. I.
des départements.
R e n s e i g n e m e n t s f o u r n i s p a r 1'« Orientation Professionnelle », revue mensuelle,
a b o n n e m e n t : 15 f r a n c s p a r a n .
Les p e r s o n n e s q u i d é s i r e n t d e s renseig n e m e n t s s u r l'un des emplois ou c o n c o u r s
ci-dessus ou s u r un examen q u e l c o n q u e ,
peuvent s ' a d r e s s e r de n o t r e part il M. Iloudeville, d i r e c t e u r - g é r a n t de l'Orientation
Professionnelle, 108, r u e E r l a n g e r , Paris
(16e), q u i leur r é p o n d r a à titre a b s o l u m e n t
gracieux.
J o i n d r e u n t i m b r e d e 0 fr. 50 et ne p a s
oublier de m e n t i o n n e r : en qualité de lect e u r d u « Citoyen », 21, r u e d u Sallé, il
Quimper.
M. J . D E S M A R S
Préfet de 1« Seine-Inférieure
M. J . Desmars, ancien préfet d u Finistère, préfet de l'Isère, a été n o m m é préfet
de la Seine-Inférieure. Il a pris possession
de son nouveau poste ces j o u r s d e r n i e r s .
Au s u j e t d e cette nomination n o u s e x t r a y o n s de la « Dépêche Dauphinoise » les
lignes suivantes :
M. le P r é f e t D e s m a r s est n o m m é préfet
de la Seine-Inférieure.
Nous applaudissons de grand cœur à
cette n o m i n a t i o n et à cet a v a n c e m e n t aussi
llatteur q u e m é r i t é , q u i place M. D e s m a r s
à la tête d ' u n e p r é f e c t u r e h o r s classe,
d a n s l'un d e s plus i m p o r t a n t s d é p a r t e m e n t s
de F r a n c e .
Son action d e p u i s son arrivée d a n s l'Isère
en j a n v i e r 1925 serait t r o p l o n g u e à r e t r a cer.
Qu'il n o u s suffise d e s i g n a l e r qu'elle f u t
p a r t i c u l i è r e m e n t profitable a u x intérêts d u
d é p a r t e m e n t et d e s collectivités, c o m m e
il celui du parti républicain.
D'une activité infatigable, d o u é d ' u n e
m é m o i r e fidèle, et servi p a r u n e force de
travail et u n e résistance p h y s i q u e exceptionnelle, M. D e s m a r s suivait personnellem e n t toutes les affaires s o u m i s e s à son administration. Il savait aussi t r o u v e r le t e m p s
de recevoir t r è s l a r g e m e n t tous ceux q u i
lui d e m a n d a i e n t audience et à qui il r é s e r vait t o u j o u r s l'accueil le plus c o r d i a l e m e n t
e m p r e s s é et l'appui le plus efficace.
Ceux q u i l'ont a p p r o c h é c o n s e r v e r o n t
de lui u n souvenir p a r t i c u l i è r e m e n t s y m p a t h i q u e et d u r a b l e ; les m a i r e s à q u i ,
avec u n e t r è s g r a n d e amabilité, il p r o d i g u a i t les conseils les plus
prócieux,
n ' o u b l i e r o n t p a s l'aide qu'il leur a a p p o r t é e p o u r l e u r s réalisations municipales.
En r e n d a n t à cet excellent p r é f e t ce
légitime hommage," n o u s n o u s faisons un
devoir d'y associer Mme Desmars d o n t la
p a r f a i t e distinction, la d o u c e u r et la b o n t é
n a t u r e l l e s lui o n t valu d a n s n o t r e ville de
si vives et d é f é r e n t e s s y m p a t h i e s .
ELI
t
IJ
l
t»
Carmen de Mérimée
In cultivateur de In région de Pontpar Auguste Dupouy (I)
l'Abbé nous écrit :
Qui dit Carmen dit un peu Mérimée et
Ou ne saurait nier que le plus grain!
mécontentement règne parmi les cul- b e a u c o u p Rizel.
C'est p e u t - è l r e le chel'-d'o'uvre d e ce
tivateurs île la région.
g
r
a n d musicien, m o r t j e u n e parce q u e
M. Tardiou nous avait promis la
prospérité en arrivant au Pouvoir; or, sans d o u t e aimé d e s dieux.
M. A u g u s t e Dupouy, d o n t l'œuvre littéles clioses n'ont jamais aussi mal marraire déjà si considérable l'ait h o n n e u r il
ché que depuis qu'il est à la tète du la R r e t a g n e et ii son pays, a eu toutes les
Pays.
tentations el t o u t e s les curiosités de
Nous avons vendu notre blé à des l'esprit.
prix dérisoires. Nous payons aujourA p r è s avoir, d a n s Partances,
tenu le
d'hui notre pain très cher. Poul-ôtre liilli de la poésie el sacrilié s u r l'autel
les spéculateurs et les grosses sociétés des muses, il a suivi les conseils des « Vierde meunerie ont-ils profilé de la ges a u s t è r e s » q u i l'ont conduit, p a r la
hausse du blé. Pour nous autres, main vers d ' a u t r e s s u j e t s .
('.'est ainsi qu'il a célébré Home et les
moyens et petits cultivateurs, pères
lettres lutines el l'ait d'Horace el de son
de familles presque toujours nom- œ u v r e un séduisant portrail qui le classe
breuses, cette hausse a été ruineuse d a n s l'aristocratie d e s g r a n d s s e i g n e u r s
et nous sommes furieux, lorsque nous des lettres anciennes.
voyons Tardieu-Paiu-Cher en revenA le lire, on a l'impression de vivre dans
diquer la responsabilité et dire qu'il la familiarité du poète c o m m e si l'on venait
de vider en sa compagnie, d a n s sa villa
l'a provoquée dans notre intérêt.
Ceux qui en ont profité lie sont favorite, u n e c o u p e d u vin Apre de la
certes pas des cultivateurs et M. Tar- Sabine.
diou ferait mieux de s'occuper de leurs
M. Dupouy s'est attaché à n o u s brosser
bénéfices scandaleux que de prendre
des sanctions contre des maires, cou- le tableau d e la vie d e s Pécheur.s- bretons
d a n s un volume q u i esl le s t é r é o s c o p e de
pables seulement d'avoir voulu faire
leur vie incertaine, d u r e et agitée. C'est
régner l'ordre dans la rue.
avec tendresse, en y mêlant d e s conseils
Mais M. Tardieu trouve la politique d ' u n e morale parfois a t t e n d r i e , qu'il n o u s
plus utile au Pays que l'Agriculture ! parle d e s d a m n é s d e la m e r dont ¡1 a été
Cette année, le blé sera vendu sans le c o m p a g n o n de jeux a u x h e u r e s vagues
doute à de hauts prix. Nous autres, de sa j e u n e s s e d a n s le vent de lu l'alaise.
Les a m a t e u r s d e line l i t t é r a t u r e c l d ' a r t
cultivateurs, nous n'en profiteront pas,
étant donné le lailile rendement de la se sont oITerl un vrai régal en feuillelanl
récolte et le prix qu'il faudra payer les p a g e s d e ses Peintres de llretuijne qui
le pain pour notre consommation ont, avec u n e touche différente el des g e n res parfois si opposés, symbolisé les traits
familiale.
essentiels ou les mille a s p e c t s de n o t r e
Or, nous apprenons que, pour pro- R r e t a g n e à facultés, à la fois u n e et si
voquer la hausse factice du prix du blé, diverse dans son enctmnlcmcnl.
le Couverncinent a alloué des primes à
Hier, il plaçait s u r un piédestal, bien
l'exportation et que de grosses quan- eii évidence, le breton Yres tle Kerguélen
tités de blé ont été réexportées dans el voici qu'il nous offre un nouveau volume s u r la Carmen île Mérimée q u i f u i , à
ces derniers mois.
iM. Qucuillc et le parti radical- une é p o q u e déjà lointaine, un g r a n d évésocialiste avaient au contraire décidé, nement littéraire.
pendant leur court passage au pouIl l'aul lire cette œ u v r e q u e Rizet a plus
voir, de stocker ce blé pour les betard
a d a p t é e à la scène el immortalisée.
soins de l'année, de la marine, elc....
C
a
r m e n ! Qu'est-ce ? Une parisienne Irop
Ce blé, vendu très bon marché à
l'étranger, avec des primes qui ont aimée de Mérimée à l'aube de sa p r i m e
j e u n e s s e el d o n t il se serait vengé p a r
grevé le contribuable, va nous faire
dépit a m o u r e u x en la r e p r é s e n t a n t p a r la
défaut et nous allons devoir le rache- suite sous les traits d ' u n e gitane... ?
ter très cher.
Carmen est-elle la r e p r é s e n t a t i o n d ' u n
On voit la stupidité de la politique type général ou la révélation d ' u n cas
agraire du Gouvernement, qui lèse à particulier ? D'après M. Dupouy « Mérimée
la fois le producteur et le consom- ne peint pas la c o q u e t t e r i e , mais la coquetmateur.
terie d ' u n e b o h é m i e n n e espagnole... « CarQue l'on» donc nos syndicats? En men, qui a u n e personnalité si nette, est
temps d'élection, ils savent bien dé- c e p e n d a n t un type. »
Cette s u r - f e m m e serait-elle <> la f e m m e
ployer de l'activité, mais quand il
s'agit de nou» défendre, il n'y a plus la plus r i g o u r e u s e m e n t f e m m e , la f e m m e
par delà le bien el le mal, d é b a r r a s s é e de
personne.
t o u t e s c o n v e n a n c e s sociales, de toute
Les yeux des cultivateurs s'ouvrent hérédité civilisée, de Ion! code, de lout ce
aujourd'hui. Eu H>32, ils sauront où qui c o n t r a i n t , réduit, m a s q u e . Bref, u n e
sont leurs vrais amis.
espèce de joli fauve, p u r e m e n t instinctif,
»y
LWeasive contre les
»
ili t '
en mi r
Voici ce (¡ne la Croix des C ô t e s - d u - N o r d
publie à la gloire de la petite sainte Thérèse,
de
l'Enfant-Jésus.
UNE C E L E S T E RESTITUTION
Un Carnicl f r a n ç a i s c o m m u n i q u e a u
Curinel de Lisieux ce nouveau trait de d é licalesse de la s e m e u s e de roses célestes :
« En lin novembre, écril-on, lorsqu'on fit
les c o m p t e s du mois, il fallut c o n s t a t e r q u e
1.000 f r a n c s m a n q u a i e n t à la caisse !...
T o u s les calculs f u r e n t refaits, les tiroirs
et les cassettes d u dépôt visilés, impossible de r e t r o u v e r la s o m m e . Notre r é v é r e n d e
Mère, a p r è s avoir c h e r c h é en vain le billet
égaré, se rappela qu'elle l'avait eu en main
à certain j o u r e l q u e , ne pouvant le r a n g e r
tout d e suite d a n s le coffre, elle l'avait mis
d a n s u n e enveloppe. Celle-ci m a l h e u r e u s e m e n t , e t par distraction, f u t j e t é e ensuite
à briller avec d ' a u t r e s papiers et n o t r e
mère se souvint très bien, hélas ! qu'elle
s'était servie elle-même de ce paquet de
papiers p o u r a l l u m e r le feux, un malin où
elle r e m p l a ç a i t à la cuisine u n e s œ u r c o n verse malade. Désolée, n o t r e chère Mère
eut r e c o u r s à notre sainte petite T h é r è s e ,
lui p r o m e t t a n t 100 f r a n c s p o u r sa basilique
si elle lui rendait les 1.000 f r a n c s p e r d u s .
« Or, le 15 d é c e m b r e , ayant fait à n o u veau le relevé d e s c o m p t e s , quelle ne f u t
pas sa s u r p r i s e de t r o u v e r j u s t e 1.000 f r a n c s
de plus q u e la s o m m e d e v a n t r e s t e r en
l aisse. Elle ne put s'expliquer la chose q u e
par l'intervention l o u l e délicate el m e r veilleuse de n o t r e bien-aimée Sainte, c a r
a s s u r é e sans le m o i n d r e d o u t e possible de
la destruction du p r e m i e r billet, il ne p o u vait lui être r e n d u d ' a u t r e m a n i è r e q u e
celle-là. Voici p o u r q u o i n o u s j o i g n o n s à
ces lignes les 100 f r a n c s p r o m i s p o u r la
basilique de Lisieux. »
Certains m é c r é a n t s vont e n c o r e ricaner
et d é p r é c i e r le « nouveau Irait de délicatesse de la s e m e u s e de roses célestes » en
insinuant q u e de sa part il n'est p a s très
délicat de faire c o n c u r r e n c e à Sainl
PLACEMENTS
G e o r g e s LE BAIL,
Sénateur du Finistère.
Antoine d e Putloue.
C h a q u e saint au Paradis, d ' a p r è s les
naïves croyances du XX'- siècle, a son
rayon spécial : Saint Christophe, q u i n'a
jamais eu la moindre idée de ce q u e peut
être un c a r b u r a t e u r , est c h a r g é d e s a u t o mobiles. Sainte Barbe, q u i n o n seulement
n'a p a s inventé la p o u d r e mais n'a j a m a i s
eu connaissance d e cette diabolique invention, s'occupe de l'artillerie. Saint Médard
el Sainl Barnabe qui de leur vivant n'ont
j a m a i s rédigé le m o i n d r e bulletin m é t é o r o logique ni i n t e r r o g e r ce fallacieux a u g u r e
qu'on appelle un b a r o m è t r e , s ' o c c u p e n t de
la pluie et du beau temps, de façon à m é c o n t e n t e r tous leurs administrés.
Les m é c r é a n t s font m ê m e o b s e r v e r
malicieusement q u e Saint Antoine, c h a r g é
de r e t r o u v e r les o b j e t s p e r d u s par les g e n s
é t o u r d i s , a p e r d u un jour son cochon el
n'a j a m a i s é t é capable de le r e t r o u v e r . En
quoi les m é c r é a n t s mollirent leur i g n o r a n ce : car ils c o n f o n d e n t Saint Antoine de
P a d o u c avec Saint Antoine l'Anachorète,
qui devrait ê t r e patron d e s c h a r c u t i e r s s'il
y avait q u e l q u e logique d a n s les a t t r i b u tions célestes.
Quant à Saint Antoine de P a d o u e , c'est
lui q u i , les j o u r s où ¡1 est gentil, vous fait
r e t r o u v e r d a n s une boite d e s q u a i s le livre
q u e vous avez p r ê t é à un ami, ou s u r voire
nez les l u n e t t e s q u e vous cherchez en vain
ou n'exerçant sa réflexion q u ' a u service d a n s toutes vos poches.
Alors d i r o n t les mécréants, de q u o i se
de ses instincts, égoïste j u s q u ' e n sa bienmêle Sainle T h é r è s e de Lisieux. A peine
faisance, a l t i r a n l , c h a r m a n t , féroce. «
arrivée au Paradis, va-t-elle d é p o s s é d e r de
ses f o n d i o n s el de son preslige un vieux
Que serait devenue la Carmen de Méri- sainl d o n t les élals de service sont d e p u i s
l o n g t e m p s établis e t q u i ne saurait être
mée si Bizel, s o n t r a d u c t e u r lyrique et son
mis à la retraite puisqu'il n'y a p a s de liembellissent- ne l'avait popularisée et exal- mite d'âge d a n s le r o y a u m e d e s cieux ?
tée en incarnant son type d a n s le r y t h m e
Les mécréants, avec la mauvaise foi qui
f r i n g a n t et h a r m o n i q u e d'un style musical leur est habituelle, d é f o r m e n t « l'intervenun p e u n u a g e u x d'où é m e r g e n t c e p e n d a n t tion loule délicate et merveilleuse de
0)1 LA SEMAINE
en relief d e s b e a u t é s de p r e m i e r o r d r e , notre b i e n - a i m é e Sainte... »
c o m m e l'air du Toréador... el l'Amour esl
Sainte T h é r è s e de Lisieux n'a p a s fait
— lin cyclone a dévasté l'Italie du enfant de Bohême ?
r e t r o u v e r un o b j e t é g a r é . Elle a remplacé
sud. Quatre personnes ont été tuées
Mérimée avait traité son s u j e t d a n s un un objet d é t r u i t .
et 80 blessées. A Naplesmème, certains style bien fiançais, licitement classique,
Avec u n e indifférence sereine p o u r les
édifices ont subi des dégrtts considé- f e r m e el concis, vif et nerveux c o m m e richesses q u i convient bien à u n e sainte
f e m m e ayant l'ait v œ u de p a u v r e t é , la
rables.
d'habitude.
Mérimée r e p r é s e n t e d a n s l'ensemble d u Révérende Mère d u Carnicl avait allumé le
— Le dirigeable anglais " H. 1 0 0 " lableau l'élément masculin de l'art, le des- feu de la cuisine avec un billet d e mille
a rejoint sa base à Cardington. 11 a sin, tandis q u e Bizet y a j o u t e la c o u l e u r f r a n c s ... (Seul Mgr D u p a n l o u p , s'il faut
en croire le folklore épiscopal, m o n t r a u n e
accompli le raid Amérique-Angleterre locale et r y t h m é e qui en est l'apport f é m i - telle puissance de détachement îles choses
en »7 heures 15, battant de plus de 14 nin, et, il y a d e s deux d a n s le c h a r m a n t d'ici-bas, alors q u e certain j o u r , d a n s sa
heures le record du " Graf Zeppelin ". v o l u m e d ' u n e lecture si a t t a c h a n t e q u e M. cuisine, il faisait cuire d e s œufs).
Dupouy consacre à la m é m o i r e de son
Le billet de mille f r a n c s a é t é brûlé,
— La province chinoise de Pe-Tchianéanti p a r les soins d e la Révérende
héroïne.
Li vient d'être ravagée par les inonAu s u r p l u s , si vous aimez la line littéra- Mère. Sainle T h é r è s e de Lisieux, quinze
dations. Vingt-trois villes ou bourgades t u r e et si vous poussez loin toutes les j o u r s plus lard ( un pli c h a r g é met bien
ont été envahies par les eaux. On curiosités de l'esprit, j e vous invite à faire d o u z e j o u r s p o u r venir de New-York ;
l'autre inonde est plus loin q u e le nouveau
estime que le nombre des personnes l'acquisition de l'ouvrage de M. Dupouy.
m o n d e ) a fait t o m b e r d a n s la caisse de la
noyées dépasse ¡1000.
Après avoir lu et f e r m é le volume à la Révérende Mère un nouveau b i l l e t . . .
d e r n i è r e page, on se trouve avoir passé
Diable I vont dire les m é c r é a n t s ...
— L'émir Fayçal, roi de l'Irak, a deux h e u r e s en tète à lèle avec uu écrivain
passé quelques jours à Paris. Il reve- île race qui a p r o d u i t , u n e fois de plus, Ksl-ce q u e Sainte T h é r è s e de Lisieux,
là-haut, a u r a i t r e n c o n t r é Philippe Le Bel
nait de Berlin et doit se rendre en une œ u v r e é m i n e n l e de sincérité e l de qui lui aurait a p p r i s à f a b r i q u e r de la faussa
Suisse,
m o n n a i e ?... Qu'elle m a r c h e d a n s les
critique délicate et avertie.
plal e s - b a n d e s ils Saint Antoine, passe
Georges
LE
RAIL.
— Le vapeur britannique " Tahiti "
e n c o r e ! Mais la pelile Sainle va un peu
a sombré dans l'Atlantique. Tous les
(I) Société française d'Editions littérai- f o r t lorsqu'elle empiète s u r le privilège
passagers et les membres de l'équipage r e s et techniques, 12, r u e Hautefeuille, de la b a n q u e de F r a n c e .
y
Paris. — 9 f r a n c s .
sont sauvés.
Les m é c r é a n t s i g n o r e n t q u e Sainte
T h é r è s e de Lisieux est riche de richesses
— 11 se confirme que le lapon est
t e r r e s t r e s . Elle a un c o m p t e en b a n q u e
J E SUIS GUÉRI. - C'est l'affirmation de
toutes les personnes atteintes de hernies qui
décidé à ratifier l'accord naval de
i m p o r t a n t . De n o m b r e u x billets de b a n q u e
ont porté le nouvel1 0 appareil sans ressort do
a u t h e n t i q u e s lui sont d o n n é s c h a q u e j o u r
Londres ; cependant le Conseil supé|||
QI夤;[}
Grand S p é c i a l i s t e du
PARIS. 4 4 . Bd SÉHAST0P0L
p
a r ses lidèlcs. Elle possède dans Lisieux
rieur militaire déclare que le pacte
_ n adoptant ces nouveaux npparelis, dont
d ' i m p o r t a n t s établissements c o m m e r c i a u x
81,
ruo
Aubes-,
P
A
H
I
S
(XX)
l'action b l e n t a U a n t e se réalise « a n s gSne,
n'engage l'Empire que jusqu'en 1935.
• a n s s o u f f r a n c e « ni Interruption de travail,
et industriels. Il est j u s t e qu'elle consacre
F o n d é e en 1873
les h e r n i e « les plus v o l u m i n e u s e » et les
à d e s œ u v r e s de bienfaisance une parlie de
plus r a b e l l e a diminuent Instantanément do
offre à chacun un placement
intéressant
volume et disparaissent pou & peu c o m p l è ses bénéfices. Et c'est très gentil à elle de
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Chûleaulin, 4 sept., Ilôt. Grand'Maison.
Mme Marthe I l a n a u , dont le coffre se
rantie : 1. E n g a g e m e n t personnel de la
Quimperlé, 5 sept. H ô t . d u Lion-d'Or et
Société ; 2. Affeclalion exclusive de leur r e m p l i t à vue d'œil, n ' a u r a q u u a d r e s s e r
Voyageurs.
p r o d u i t h d e s P r ê t s g a r a n t i s p a r Nantisse- une invocation à la « s e m e u s e de roses
Quimper, 6 sept., Hôt. d e l'Epée.
célestes » si à n o u v e a u elle se trouve un
m e n t s et g a g e s indiscutables.
j o u r d a n s l ' e m b a r r a s p o u r avoir allumé
Bresl, 7 s e p t e m b r e , Hôt. Continental.
3 8 millions da P d t a
son f e u sans prévoyance.
Pont-l'Abbé, j e u d i 11 sept., H ô t . d e s Voyaréalisés et déclarés d e p u i s 1927.
geurs.
Et notre ministre des Finances, lorsqu'il
Los porsonnos qui désirent fairo paDonamenez,
12 sept., do 9 h . à 15 h., Ilôt,
a u r a e n c o r e é g a r é q u e l q u e s unités, en sera
de F r a n c e .
raitro dos Annonça« ou des Communiq u i l l e p o u r i m p l o r e r la Sainle n o r m a n d e .
Concarneau, m a r d i lGsept., Ilôt, de F r a n c e . qués dans lo journal « Zie Citoyen » «ont
C e p e n d a n t q u e son p r é d é c e s s e u r , le
instamment prióos de les adresser au
b i e n h e u r e u x Chéron, a c c o m p a g n e r a i r o N»« CEINTURE P E R F E C T I O N N É E
n i q u e m e n t su prière d ' u n petit a i r d ' a c bureau du Journal, 81, rue du Sallé, &
p o u r d é p l a c e m e n t d e tous o r g a n e s
cordéon.
T R A I T É DE LA HERNIE f e o s u r d e m a n d e Quimper, !• mardi soir da ohaque
il M» GLASER, 44, Rd S é b a s t o p o l , PARIS. ••main«, an plus tard.
l'Œuvre, - G. d e l à FOUCHARDIÉRE.
HERNIE
w y
M. ('.eorges I.e liait a adressé la lettre
suivante à M. le Ministre de la Marine
marchande :
14 Août 1930.
Monsieur le Ministre d e la Marine
Marchande, à Paris.
J'ai l ' h o n n e u r d e vous accuser réception
de la dépéclie oljicielle p a r laquelle vous
m'avisez au jourd'hui « q u e s u r vos instances
m a r i n e militaire affecte à chasse aux bélugas chasseur 1 0 7 s u r côtes B r e t a g n e et
c a n o n n i è r e Diligente sur côte L a n g u e d o c .
Ils d o n n e n t i n s t r u c t i o n s aux escadres p o u r
q u e unités en d é p l a c e m e n t d a n s r é g i o n s
intéressées d é t r u i s e n t les bélugas ».
J e crains f o r t q u e l'offensive p r o j e t é e
n'aboutisse à a u c u n résultat.
Le b u t à a t t e i n d r e n'est p a s d e d é t r u i r e
accidentellement u n célacé s u r les milliers
qui infestent les mers, niais bien de les
é c a r l e r m o m e n t a n é m e n t d e s p a r a g e s où
les Ilollilles d e s bateaux de pèche t e n d e n t
leurs (Mets,
Ce qu'il y a lieu d ' a s s u r e r c'est la sécurilé de l'heure où l'on pêche e l l'on ne
s a u r a i t y p a r v e n i r q u e p a r la p o u r s u i t e
q u o t i d i e n n e , active et a c h a r n é e de ces b é lugas p a r d e s vedettes a r m é e s de fusil.
L'imminence du d a n g e r les ferait f u i r
provisoirement et a s s u r e r a i t ainsi le s u c cès d e la pêche de la j o u r n é e .
Seules, à m o n h u m b l e avis, d e s vedettes
c o n s t r u i t e s en n o m b r e e t r é p a r t i e s logiq u e m e n t e n t r e les différents p o r t s d u littoral b r e t o n p o u r r a i e n t a s s u r e r la s é c u rité de la pêche.
Depuis trois a n s la construction de ces
vedettes est décidée p a r les services techn i q u e s du Déparlement, q u e vous dirigez.
Nous ne c o m p r e n o n s pas q u e la mise en
œ u v r e de ces m o y e n s de défense ne soit
pas assurée.
Veuillez a g r é e r . Monsieur le Ministre
m
aiMawEEEEf
'Jury d'Assises
Voici la liste du J u r y p o u r la 4'' session
des Assises du Finistère q u i doit s'ouvrir
à Q u i m p e r , le lundi 20 o c t o b r e 1930 :
Jurés titulaires. — MM. Toullec, Henri,
maire, à Brennilis ; Rivière, Louis, i n d u s triel. à Quimperlé ; Breton, Alexandre,
cullivaleur à E r g u é - A r m e l ; Kervarec,
Charles, c a b a r e l i e r à P o u l d e r g a t ; Le
Coanl, J e a n , cullivaleur à P e u m e r i t ; Draouglazel, Louis, c o m m e r ç a n t , à T r é g u n c ;
Leilner, Guillaume, mécanicien, à G u e r lesquin ; Collobert, P i e r r e , sellier à S p é zet ; T h é p a u l , J e a n , retraité à Le D r e n n e c ;
Le Bourhis, Corentin, cullivaleur, à Moëlan ; A u d r e n , Julien, cultivateur, à C l o h a r s Carnoët ; K e r r a n g u y a d e r , J o s e p h , cullivaleur, à C l é d e n - P o h e r ; Morvan, E u g è n e ,
Secrétaire de Mairie, à Camaret ; îliou,
J e a n , retraité à Saint-Renan ; Lavalou,
Jean, p h a r m a c i e n , à Guilvinec ; Kerdelant,
Charles, m a î t r e mécanicien en r e t r a i t e , à
Brest ; G u é g u e n , Pierre, cultivateur, à
Moèlan ; Sapin, Ernest, capitaine en r e traite, à Brest ; Miorcec, Gabriel, r e p r é sentant de c o m m e r c e , à P l o u r i n ; Kervclla,
Jean, boulanger, à Plougaslel-Daoulas ;
Prigent, J e a n , cullivaleur à Ste-Sève ;
Salatln, Christophe, secrétaire à la P r é f e c ture de Brest ; B e r n a r d , J e a n , cultivateur
à K e r f e u n l e u n ; J a c o b , Guillaume, cullivaleur, à Ploudiry ; Jacq, Hervé, cullivaleur, à Ilenvic ; Baull, J e a n , agent technique, à Brest ; de Cadenct, Victor, g é rant d'usine, à P e n m a r c ' h ; Kerloc'li, J e a n ,
i n s t i t u t e u r en r e t r a i t e , à l'Ile-Tudy ; Le
Gall, J e a n , i n s t i t u t e u r en r e t r a i t e , à B r e s t ;
B a r d o n , René, c o n t r ô l e u r d e s C o n t r i b u tions directes, à Brest ; Le Chat, Louis,
p h a r m a c i e n , à Brest ; Le Clecli, Nicolas,
cullivaleur, à Laz ; Ascoët, Yves, cullivaleur, à Irvillac ; Raoul, Charles, hôtelier à
P l o u g a s t e l - D a o u l a s ; B e g a n t o n , Paul, c u l tivateur, à Santec : Dornic. P i e r r e , f r o m a ger, Le J u c h .
L e Pardon de £ioc-Maria
Les traditionnelles fêtes d ' a o û t n'ont
g u è r e é t é favorisées cette a n n é e p a r le
temps. Elles o n t o b t e n u n é a n m o i n s un
joli succès.
Vendredi, j o u r du p a r d o n , u n e foule
considérable s'était d o n n é r e n d e z - v o u s à
Q u i m p e r qui c o n n u t toute la j o u r n é e la
plus vive a n i m a t i o n . S u r le C h a m p d e
Bataille, ce f u t l'adluence habituelle et les
forains firent les c o q u e t t e s r e c e t t e s e s comptées. A p a r t i r de 15 h e u r e s , suivant
u n e c o u t u m e déjà vieille, d e s j e u x publics
avaient lieu au fond des allées et divertissaient j e u n e s et vieux, c e p e n d a n t q u ' à
Odet-Palace u n o r c h e s t r e de choix faisait
t o u r n o y e r u n e j o y e u s e et a r d e n t e j e u n e s s e .
P e n d a n t ce t e m p s à l ' h i p p o d r o m e d e
Cuzori, q u i avait vu a c c o u r i r la foule d e s
g r a n d s j o u r s , les c o u r s e s se d i s p u t a i e n t
â p r e m e n t . Belle réunion sportive q u e la
d e r n i è r e é p r e u v e , avec un seul p a r t a n t ,
vint t e r n i r un p e u ! Le lemps, q u i était à
la pluie, ne c o n t r i b u a p a s non plus, il e s t
vrai, à r e h a u s s e r le succès d e la r é u n i o n .
Le bal d e s h a l l e s obtint s a m e d i , un s u c cès aussi complet q u e mérité. La salle
était bien éclairée et d é c o r é e avec un goilt
parfait. L'orchestre se m o n t r a bien à la
h a u t e u r de sa tâche. Bref la soirée f u t
animée, pleine d ' e n t r a i n , brillante.
La d e u x i è m e j o u r n é e d e s courses, q u i
bénéficiait d ' u n p r o g r a m m e exceptionnel,
fut, d i m a n c h e , c o u r o n n é e d'un beau succès!
S p e c t a t e u r s n o m b r e u x , joli s p o r l , t e m p s
idéal, tout c o n c o u r u t d'ailleurs à lui a s s u r e r celte belle réussite.
Un beau f e u d'artifice clôtura a g r é a b l e ment les fêtes q u i d é b u t è r e n t j e u d i soir
par un brillant concert d o n n é p a r la
" Lyre " place Saint-Corentin.
Régates de l'Odet. La p r o c h a i n e
réunion n a u t i q u e de la saison o r g a n i s é e
par la Société d e s Régates de l'Odet a u r a
lieu, à la cale neuve, d i m a n c h e prochain
•24 aoiït. Il est à d é s i r e r q u e le temps, q u i
n'a v r a i m e n t p a s favorisé celle a n n é e le
s p o r t à voile, soit ce j o u r là u n p e u plus
clément, et p e r m e t t e a u x n o m b r e u x a m a t e u r s de y a c h t i n g de satisfaire a u moins
une fois e n c o r e à leur saine passion. Un
g r o s effort a été accompli cette a n n é e p a r
la Société p o u r d é v e l o p p e r le g o û t d e la
navigation et d e la natalion chez les jeunes
gens. 11 laut q u e la réalisation de Îa p r e mière parlie d u p r o g r a m m e d a n s lequel
f i g u r e la question très i m p o r t a n t e d u
" Brevet d u n a g e u r scolaire " soit un fait
e n t i è r e m e n t acquis la saison p r o c h a i n e .
Le p r o g r a m m e d e s r é g a l e s c o m p r e n d
des c o u r s e s à la voile, m o n o t y p e s , à
l'aviron, plates et c o n c o u r s d e n a t a t i o n .
Exposition d'une horloge merveilleuse. — M. Brigaland, h o r l o g e r et p r e m i e r
artisan de F r a n c e , à S t - A n d r é - d e - l ' E u r e ,
e x p o s e r a au Gymnase municipal, à Q u i m per, d u s a m e d i 23 a o ù l , a u d i m a n c h e 31
aoill inclus, sa f a m e u s e horloge, r é d u c t i o n
de celle d e S t r a s b o u r g , q u i e s l de son
entière fabrication.
Nous ne s a u r i o n s t r o p e n g a g e r n o s
lecteurs à l'aller voir ; ils a u r o n t ainsi, et
à bon c o m p t e , l'occasion de s ' i n t é r e s s e r à
un h o m m e d ' u n e patience r a r e et à u n
travail de précision r e m a r q u a b l e .
O u v e r t u r e p e r m a n e n t e de la salle :
11 h e u r e s d u malin à 7 h e u r e s d u soir.
Entrée : 1 franc.
Etude d'avoué supprimée. — L'élude
de M. Sénié, avoué-licencié à Q u i m p e r ,
est s u p p r i m é e .
Au m o m e n t où M. Sénié quitte le Palais,
ce serait i n j u s t e d e ne p a s r e n d r e un homm a g e mérité à cet ollicier ministériel
de r a p p o r t s si a g r é a b l e s et q u i a incarné
le type de la dignité professionnelle unie
à une rare compétence.
Etat-civil du 1 3 au 1 9 août 1 9 3 0 . —
Xaissances : J e a n Rolland, r u e d u P o n t Firmin, 24 ; A n d r é G u é g u e n , r u e J e a n J a u r è s , 41 ; Alexandre Créis, r u e de l'hospice : P i e r r e Le P a g e , Coleau d u F r u g y .
Décès : M a r i e - J e a n n e Piriou, G9 a n s ,
veuve de Louis Nédélec, r u e D o u a r n e n e z ,
27 ; Henri Levavasseur, 52 a n s , r u e d e
l'hospice ; Lucien Le Moil, s e c o n d - m a î t r e
en retraite, 48 a n s , époux de Guynou. r u e
Jurés suppléants. — Le Louët, J e a n , p à - de l ' h o s p i c e ; J e a n n e - M a r i e Moan, 68 a n s ,
lissier ; Cieutat, F r a n ç o i s , r e t r a i t é ; G u é - veuve de Follic, r u e d e l'Hospice ; Marie
g u e n , Pierre, d i r e c l e u r d ' i n i p r i m e r i e ; Ker- Autret, d o m e s t i q u e , 70 a n s , célibataire,
bourcli, J e a n , m a r c h a n d de vins, à Quini- r u e de l'hospice; Louis Barré, f e r b l a n t i e r !
25 ans, r u e J e a n - J a u r è s , II ; Louis Tallec]
l>er.
= = = = =
sellier, 21 a n s , célibataire, r u e de l'Hospice.
Brevet élémentaire et brevet
d'enseignement primaire supérieur (section générale).
Les e x a m e n s d u brevel é l é m e n t a i r e et
du brevet d ' e n s e i g n e m e n t p r i m a i r e s u p é rieur (section générale) p o u r la seconde
session sont lixés au G o c t o b r e .
Le registre d'inscription sera clos le
5 septembre.
Les c a n d i d a t s et c a n d i d a t e s sont p r i é s
de ne p a s a t t e n d r e la clôture d u r e g i s t r e
p o u r p r o d u i r e leur d e m a n d e d'inscription.
l i e s foires de la semaine
Librairie laïque du Citoyen
Lundi 25 août. — Lesneven, L a n n é a n o u ,
Pleybcr-Christ, P l o g n s t e l - S a i n t - G e r m a i n ,
ScaOr.
Mardi 20. — S a i n t - P i e r r e - Q u i l b i g n o n ,
Couimana.
Mercredi 27. — Néant.
Jeudi 28. — Gouesnou, Plougastel-Daoulas, Plouzévédé.
Vendredi 29. — Le Folgoët, K e r g o a l (en
Quéinénéven), Pleyben.
Samedi 30. — Carhaix, Le F a o u , P l o u vorn.
Avis important
Assurances :
AUTOMOBILISTES !
La Faclelé générale de NfQoclailons
QUIMPER
Rappelez-vous
LA
que
FONCIÈRE
vous concède
îles Avantages Spéciaux
en adhérant à
l'Automobile-Club du Finistère
S ' a d r e s s e r à M. JOUVIN, A g e n t général,
1 bis, r u e Toul-al-Laér, QUIMPER (Télép h o n e 3.37).
Publications de mariages: Louis T a n g u y ,
mécanicien-dentiste, et Marie Gentric, i n s titutrice, doin. à Q u i m p e r ; Jean Prével,
mécanicien, dont, à Criquelot-l'Esneval
(S.-L), et Henriette Le Compez, s. p., d o m .
à Q u i m p e r ; Yves Richard, hôtelier, doùi.
à Brest, el Madeleine Le Bastard, s. p . ,
d o m . à Q u i m p e r ; René Le Saux, p e i n t r e
s u r faïence, et A n d r é e R e r n a r d , lingère,
d o m . à Q u i m p e r ; Louis Corrav, m o u l e u r
s u r faïence, el Marie T a n n e a u , s. p., d o m .
à Q u i m p e r ; Louis Cautin, c o u p e u r , d o m .
à Q u i m p e r , et R e n é e Colin, s. p., d o m . à
Inzinzac ; J e a n Goubin, p e i n t r e en b â t i m e n t . d o m . ù Q u i m p e r , et J e a n n e Signor,
couturière, dom. à Penhars. -
A V I S
d e
Q u i m p e r
resteront ouvertes le Dimanche
malin seulement et fermeront à
MIDI précis
à partir du 1er Septembre
Docteur E. Hardoiiin
(yeux, nez, g o r g e , oreilles)
0, rue de Kergariou,
absent
jusqu'au
1"
septembre
le ( í f o v c n
Docteur Fenther
travaux ù e f f e c t u e r a u p o r t d e L o c t u d y :
J e v o u s p r o p o s e d e lever la s é a n c e on
d r a g a g e s , p r o l o n g e m e n t d e s q u a i s e t d u s i g n e d e deuil p e n d a n t q u e l q u e s m i n u t e s ,
Terre-plein.
car n o u s d e v o n s élire a u j o u r d ' h u i les délég u é s s é n a t o r i a u x d e la c o m m u n e d e F o u e s nant.
liseront m a l , l ' e x p o s a n l à c o n t r a c t e r d e s
m a l a d i e s telles q u e le r a c h i t i s m e , la c a chexie o s s e u s e , la carie d e s o s , etc...
L'élève r e s t e r a de petite taille, il m a n q u e r a
Société Mutuelle de Capitalisation
de p r é c o c i t é el d e poids, c a r le calcaire est
M. Bénac
E n t r e p r i s e privée, a s s u j e t t i e a u c o n t r ô l e d e l'Etat
a u s s i utile nu d é v e l o p p e m e n t d u muscle.
rend hommage à la mémoire
SIÈGE
SOCIAL 1 3, R i e
Raoine, 3
— NANTES
D a n s u n milieu p a u v r e e n calcaire, a u Accident mortel aux régates. — A u
de M. Keroulin
à l'Imprimerie Bretonne
Türe» iSiuîh
Durée
Durée
c o u r s d e s r é g a t e s q u i ont eu lieu d i m a n c h e c u n e a m é l i o r a t i o n d e l'élevage n e peut
du paiement
du contrat
du « Citoyen »
Le conseil municipnl de F o u e s n a n t s'est à C o n c a r n e a u , le petit canot de plaisance ê t r e s é r i e u s e m e n t e n v i s a g é e t a n t q u e l'on
T A R I F A.
•2.500 f r .
33. a n s
Cotisation m e n s u e l l e 5 f r .
33 a n s
r é u n i d i m a n c h e à l'effet d'élire les d é l é - « L ' O n d i n e » a c h a v i r é d a n s la baie.
n ' a u r a p a s a m é l i o r é la q u a l i t é d e s f o u r r a 21, rue du Sallé,
QUIMPER
—
—
—
5 000
10 f r .
S u r l e s trois o c c u p a n t s d e u x o n l é l é ges, d e s racines, d e s g r a i n s e l m ê m e d e
gués sénatoriaux.
—
—
—
10 000
20 f r .
s
a
u
v
é
s
;
q
u
a
n
t
au
t
r
o
i
s
i
è
m
e
,
il
coulu
à
p
i
c
;
p r o c é d e r à leur d é s i g n a t i o n ,
l ' h e r b e d e s p â t u r e s , p a r les a m e n d e m e n t s T A R I F C.
19 a . 9 m
1.500
20 a n s
5 fr.
L e Dimanche 3 1 Août, à M.A vAa nn dt r éd eBénac
d e m u n d a la p a r o l e et son c o r p s n'a p a s é t é e n c o r e r e t r o u v é ; calcaires.
—
—
—
3.000
10 f r .
il s'agii d e M. Cadic, 28 uns, s e r g e n t
l'occasion du Grniul Pardon, M M . s ' a d r e s s a e n c e s t e r m e s il l'assemblée :
—
—
—
6.000
20 f r .
La décalcification.
— Les t e r r e s d a n s la
d
'
i
n
f
a
n
t
e
r
i
e
coloniale,
q
u
i
s
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t
r
o
u
v
a
i
t
en
Boissel ét L e Coz assureront,
—
—
Messieurs,
15.000
50 f r .
c
o
n
s
t
i
t
u
t
i
o
n
d
e
s
q
u
e
l
l
e
s
le
calcaire
e
s
t
r
a
r
e
—
—
—
—
30.000
100 f r .
De puis n o t r e d e r n i è r e r é u n i o n , u n g f a n d c o n g é d e convalescence à C o n c a r n e a u ,
comme les années précédentes, un
s ' a p p a u v r i s s e n t assez r a p i d e m e n t en c h a u x ;
a p r è s u n l o n g s é j o u r a u x colonies.
m
a
l
h
e
u
r
n
f
r
a
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lu
c
o
m
m
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n
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d
e
F
o
u
e
s
D.
T
A
R
I
F
1.000
14
ans
5
f
r
.
16
a
n
s
Service Régulier entre Quimper et
elles s e décalcifient, c o m m e o n d i t . Les
—
—
—
5.000
25 f r .
n a n t . N o t r e mnire, Keroulin, esl m o r t le
Saint-Anne-la-Palue.
c a u s e s d e c e l l e d é p e r d i t i o n s o n t assez
10 000
—
—
—
—
50 f r .
16 j u i l l e t , et j ' a i e u le r e g r e t d e n e p o u Retenir ses places, 30 bis, rue voir a s s i s t e r à s e s o b s è q u e s .
n o m b r e u s e s ; elles se r é f è r e n t aux d i f f é r e n t s T A R I F E .
1.500
10 f r .
15 a n s
12 a n s
rôles du calcaire q u e n o u s a v o n s définis
Le Déan, Quimper.
J'avais chargé mon umi Héloret do p r é T i r a g e s p u b l i c s e f f e c t u é s le 25 d e c h a q u e mois, au S i è g e social, à l'aide d e 3 r o u o s ,
s e n t e r m e s excuses a lu famille Keroulin et
plus
haut. Les principales sont :
p o r t a n t c h a c u n e s u r s o n p o u r t o u r t o u t e s les l e t t r e s d e l ' A l p h a b e t .
Sucoès
universitaires.
—
Mlles
Yvette
d e lire ù m a pince le texte d e l'ullocution
Il e s t r e m b o u r s é à c h a q u e t i r a g e e t p o u r c h a q u e tarif u n titre s u r 4.394 émis, ce q u i
1" Les besoins des récoltes. — La e o n s o m et Y v o n n e G o u r i o n , tilles d e n o t r e s y m p a q u e j ' a u r a i s p r o n o n c é e si j ' a v a i s é t é p r é
c o r r e s p o n d à u n e p r o p o r t i o n a n n u e l l e d e r e m b o u r s e m e n t c o m p r i s e e n t r e 1 '366 e t
mntion
de
chaux
p
u
r
les
c
u
l
t
u
r
e
s
e
s
l
r
e
l
a
sent.
t h i q u e d o c t e u r , viennent d ' o b t e n i r : la p r e 1/367 (Art. 10 d e s s t a t u t s . )
Aooidoat mortel. — S a m e d i soir, v e r s
Seuls, s o n t r e m b o u r s a b l e s les t i t r e s à j o u r d e s c o t i s a t i o n s é c h u e s .
On lui a d é c l a r é q u e Keroulin avait
mière, sa licence en d r o i t , et. l ' a u t r e son t i v e m e n t p e u i m p o r t a n t e , elle oscille e n t r e
6 h e u r e s , le j e u n e C o r e n t i n K é r i b i n , I l uns, avant d e m o u r i r , e x p r i m é le v œ u qu'il n'y
certificat d ' u p l i t u d c à l ' e n s e i g n e m e n t s e - 20 à G0 kilos p a r h e c t a r e e l p a r a n p o u r
Au Tirage
Tir acre du 8 5 Juillet 1 9 3 0
d e m e u r a n t chez s e s p a r e n t s , 9, r u e d e s eut pus de d i s c o u r s il s e s o b s è q u e s .
les céréales, mais elle p e u t a t t e i n d r e aussi
c o n d a i r c ( l r r partie).
ont ótó remboursés les T i t r a s ci-après
R e g u a i r e s , à Q u i m p e r , revenait avec d ' a u N o t r e a m i Le lluil a c r u c e p e n d a n t qu'il
et d é p a s s e r m ê m e 200 kilos p o u r l e s p r a i Nos p l u s s i n c è r e s félicitations à c e s
Capit il
Somme
t r e s c a m a r a d e s de D o u a r n e n e z p o u r r e n t r e r était de s o n d e v o i r — et j e l'en r e m e r c i e
ries artificielles ;
TARIF A
remboursé
versée
chez lui, lorsqu'il l ' e m b r a n c h e m e n t d e s d ' a d r e s s e r u n d e r n i e r ndieu ù s o n vieux g r a c i e u s e s l a u r é a t e s e t n o s c o m p l i m e n t s à
2° L'entraînement
pur les eaux de petites XPI
d
e
Société
F
o
n
c
i
è
r
e
'Est c l d u L i t t o r a l , 16, Place
l
e
u
r
p
a
p
a
.
r o u t e s , à P r a t - a r - R a z , il f u t h e u r t é p a r u n c o m p a g n o n de luttes, et il l'a t'ait e n d e s
V e n d ô m e , à P a r i s versé u n e p r i m e u n i q u e d e
quantités de calcaire dissous. — C'est u n e
c a m i o n a u t o m o b i l e q u i se r e n d a i t i» P l o - t e r m e s q u i o n t p r o f o n d é m e n t é m u t o u s les
175 f r a n c s . R e m b o u r s é 669 F r a n c s
669 f r .
175 f r .
s o u r c e d e d é p e r d i t i o n e n c o r e peu i m p o r gastel-Saint-Germain.
BRON René, 7, r u e O c t a v e - J a p y , P e s c h e s - l e - C h a t e l
assistants.
Distinotion honorifique. — C'est avec t a n t e p o u r la p l u p a r t d e s t e r r e s , mais elle
lions s a c h u t e le m a l h e u r e u x j e u n e
(Doubs)
Je n ' a u r a i s rien il a j o u t e r à ce qu'il a d i t
2.500 615 BWW 1
plaisir q u e n o u s a p p r e n o n s la n o m i n a t i o n n'en e s l p a s m o i n s réelle ;
PLATARGIN1 René, 12, r u e Michel d e B o u r g e s , Pon'th o m m e a é t é t u é s u r le c o u p .
avec tant d ' é l o q u e n c e . Mais c o m m e n o u s
d u - L a s , T o u l o n (Var)
3" Les besoins de. la nitri/ication des fumu5.000 20 —
ne p o u v o n s pus r e p r e n d r e n o s d é l i b é r a - au g r a d e d e chevalier d u Mérite agricole
C O L L E T - M A T R A T Gabriel, 33, r u e S e r m o r e n s , V o i de
n
o
t
r
e
s
y
m
p
a
t
h
i
q
u
e
e
t
l
a
ï
q
u
e
M.
R
o
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ron
(Isère)
1.000 262 —
c u l t i v a t e u r à Kergallec.
gressive d e lu m a t i è r e o r g a n i q u e , d o n t le I P S
Mme MONTAUBAN Madeleine, r o u t e d e F l o d e i n s ,
Cheval emballé. — L u n d i , d a n s la ma- m é m o i r e d u m a i r e q u e n o u s a v o n s p e r d u
Nos
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La Réole (Gde)
tinée, le cheval d e M. Gouil, c h a r c u t i e r ,
1.000 228 —
CIIARLOT-MORVAN P i e r r e , L é c h i a g a t , Trefllagat',
c h a u x , nécessite f o r c é m e n t l ' u s a g e d e cette u w o
r u e d u C o u é d i c , à D o u a r n e n e z , e s t parti q u e j'avuis écrit, p o u r s e s o b s è q u e s :
p a r Guilvinec (Finistère)
Messieurs,
2.500 —
70 base. S a n s d o u t e , le n i t r a t e d e c h a u x e s t
au g a l o p , d e T r é b o u l , e t est r e n t r é à son
L'ami q u e n o u s p l e u r o n s avait h o r r e u r
écurie.
a b s o r b é en g r a n d e p a r t i e p a r lu p l a n t e e t
TARIF B
Xie Banquet républicain. — A i n s i q u e sa c o n s o m m a t i o n se c o n f o n d avec celle d u
L'animal n ' a p a s o c c a s i o n n é d'accident de t o u t ce q u i pouvait le m e t t r e en v u e
OFT
Mme BROCHIER J o s é p h i n e , r . d u Bas Rives, Rives
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n o u s Pavons d é j à a n n o n c é , le couiilé
d e p e r s o n n e . Deux a u t o m o b i l e s , e n s t a n u m é r o 1. N é a n m o i n s , u n e p o r t i o n n'est
(Isère)
1.500 —
585 —
t i o n n e m e n t , o n t é t é p a r c o n t r e l é g è r e m e n t l'idée d e r a p p e l e r devant s o n cercueil sa r é p u b l i c a i n d e l ' a r r o n d i s s e m e n t d e Morlaix pas utilisée e t s e laisse e n t r a î n e r p a r les
Trois combinaisons sans affectation.
vie
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citoyen
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détériorées.
C'est c e p e n d a n t u n d e v o i r p o u r m o i , e n d e l ê l e r le succès r é p u b l i c a i n aux élections e a u x d e filtrai ton ;
TARIF C
a d r e s s a n t u n d e r n i e r ndieu il m o n a m i d e r n i è r e s et, en p a r t i c u l i e r , celui di» son
4" Le calcaire nécessaire à la décompoMlle TOUZE S o l a n g e , r u e de l'Eglise, V e r n e u s s e s , p a r
sition îles engrais chimiques. — Cette c a u s e
Montreuil-l'Argille (Eure)
Concours. — Le c o n c o u r s a n n u e l d ' a n i - K e r o u l i n , d e r e n d r e h o m m a g e a u x s e r - p r é s i d e n t , M. le d o c t e u r Guillemot.
465 1.500 —
Mlle DAUDY M a r t h e , Les E y s i e s - d e - T a v a c ( D o r d . ) . . .
425 —
1 500 Cette m a n i f e s t a t i o n avait diï ê t r e r e m i s e de décalcification est d ' a u t a n t plus i m p o r m a u x r e p r o d u c t e u r s nn\les e t f e m e l l e s de la vices r e n d u s p a r lui à n o t r e c o m m u n e et il
PONCEAU Roland, chez M. J u l e s Fritol, La F u t e l a i e ,
lu R é p u b l i q u e .
p o u r d i v e r s motifs. Elle vient d ' ê t r e défi- t a n t e q u e l'on fait u s a g e d ' u n e p l u s g r a n d e
r a c e p i e - n o i r e a u r a lieu il A u d i e r n e . c o u r
V e r n e u s s e s , p a r Montreuil-l'Argille (Eure)
1.500 2-10 Il avait é t é d e s p r e m i e r s p a r m i les n i t i v e m e n t fixée au d i m a n c h e 14 s e p t e m b r e masse d ' e n g r n i s c h i m i q u e s s u r t o u t si ceux- P U F
d e s écoles, le lundi l , r s e p t e m b r e , à 10 h. .'i0,
Mme v e u v e R R O U S T E R A , F a r g u e s - S a i n t - H i l a i r e , p a r
p r o c h a i n e t sera p r é c é d é e , d a n s la m a t i - ci sont mal choisis e l s o n t d u g r o u p e îles
lidèles
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Louis
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Lignan
(Gironde)
s o u s la p r é s i d e n c e d e M. P e r r o t , p r é s i d e n t
1.500 170 m o n , q u i , d è s l ' a v è n e m e n t d e lu R é p u - née, d ' u n e r é u n i o n d u c o m i t é r é p u b l i c a i n . e n g r a i s dits « décalcifiants ». C'*sl uinsi
M E S T R A L L E T R e n é , r u e d u Mollurd, Modane-Ville
du syndicat.
(Savoie!
blique, s'étaient a t t a c h é s à faire c o n n a î t r e
3.000 —
140 —
q u e 100 kilos d e s u l f a t e d ' a m m o n i a q u e
Des p r i m e s d ' e n c o u r a g e m e n t s e r o n t a t COSSEC P i e r r e - J e a n , B r é z e r h e n , P l o b a n n a l e c , p a r
et n f a i r e a i m e r le n o u v e a u r é g i m e . La
utilisent
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tribuées aux meilleurs animaux d e s éle- mort impitoyable réduit chaque jour
P o n t - l ' A b b é (Finistère)
...
3 000 —
50 L o s F ô t o s — Les ftUes s p o r t i v e s e t kilos de calcaire, 100 kilos d e c h l o r u r e d e
v e u r s d e la c i r c o n s c r i p t i o n d u s y n d i c a t .
hélas ! le n o m b r e îles t é m o i n s d e s l u t t e s
TARIF D
t o u r i s t i q u e s o r g a n i s é e s d i m a n c h e s u r la p o l a s s i u m en c o n s o m m e n t 05 à 70 kilos,
Mariage. — N o u s a p p r e n o n s le p r o - h é r o ï q u e s q u ' i l fallut s o u t e n i r il c e t t e plage d e S i e c k - S a n t e c o n t o b t e n u u n
DAC
P O U T E A U A r t h u r , Mellian, S l - G é n é r é , p a r M o n t s u r s
100
kilos
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sylvimte
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80
à
85
kilos
c h a i n m a r i a g e d e M ' " ' M a r g u e r i t e R e n a u d , é p o q i u c o n t r e lu réaction t o u t e p u i s s a n t
(Mayenne)
m a g n i f i q u e et vif succès.
1.000 —
275 de calcaire, etc...
a v e c M. F r a n ç o i s .Moign, p r e m i e r m a î t r e d a n s n o i r e B r e t a g n e .
Les d i f f é r e n t e s é p r e u v e s se d é r o u l è r e n t
Vu prix d e q u e l s sneriliees, d e q u e l s
TARIF E
Aussi a - l - o u pu d i r e q u e la décalcificad e la m a r i n e .
snns le m o i n d r e accident ni incident.
efforts, d e q u e l l e s luttes, on a r r i v a il l'air
tion
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GAUTIER
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, 41, r u e Kéravel, Brest
M*"* R e n a u d est la lilie d u s y m p a t h i q u e e n t r e r au P a r l e m e n t d e s h o m m e s c o m m e
(Finistère)
p r o g r è s . Plus la c u l t u r e est intensive, plus XAQ
1.500
990
M. R e n a u d , et M. Moign le lils d e M. Louis l l é m o n , c o m m e Le Bail, F e n o u x ,
Mme ANDRAUD Julia, Tivoli, à Aurillac (Caillai). . . .
1.500
480
on
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Moign, d e L a n d u g u e n t e l , en K s q u i b i e u , et R o u s s e a u , et q u e l q u e s a u t r e s ; ceux-là,
Uno croix. — M. t ' o r l i n , m a i r e d e PlouC R A M P E S Maurice, l l e - d u - N o r d , p a r Macau ( G d e ) . . .
1.500
270
le f r è r e île n o t r e ami, M. Moign, d i r e c t e u r seuls, peuvent le d i r e q u i o n t é t é mêlés d a l m é z e a u , ancien s é n a t e u r , e s t fait c h e - c h i m i q u e s , et p l u s la d é p e r d i t i o n en chaux
P o u r r e n s e i g n e m e n t s et s o u s c r i p t i o n s , s ' a d r e s s e r p o u r le N o r d - F i n i s t è r e , à M. p .
est
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faire
a u x c a m p a g n e s d u 24 m a i , d u 10 m a i e t d u valier d e la Légion d ' h o n n e u r .
d'école à P l o u h i n e c .
u s a g e d ' e n g r a i s dits « calciques ». Celte BOUVET do la MAXSONHEDVE, Assureur-Conseil, D i r e c t e u r R é g i o n a l à S a i n t N o u s f o r m o n s les m e i l l e u r s v œ u x poul- Boulnrtgismc. K é r o u l i n , t o u j o u r s s u r la
R e n a n . P o u r le r e s t e d u F i n i s t è r e e t les Côtes-du-Nord, à M. Armand GDILLEBM,
s o u r c e de décalcification p e u t se c h i f f r e r D i r e c t e u r Régional à P o n t - l ' A b b é .
i e s f u t u r s é p o u x e t a d r e s s o n s t o u s n o s b r è c h e , avait c o n t r i b u é , p l u s q u e t o u s les
e n t r e 100 et 400 ou 500 kilos p a r h e c t a r e et
a u t r e s , ù f a i r e d e F o u e s n a n t la citadelle
A l'Imprimerie du
c o m p l i m e n t s a u x d e u x familles.
du p a r t i r é p u b l i c a i n r e p r é s e n t é p a r Louis
p a r an ;
I l é u i o n , et bien vite s e s c o n c i t o y e n s l ' a 5° Le traitement des mauvaites herbes dant
vaient fait e n t r e r a u Conseil municipal, où
les céréales par l'acide sulfurique, le s u l f a t e
l i a s R é g a t e s du Xioo'h. — L u s r é g a l e s
a siégé p e n d a n t p l u s d e 40 a n s s a n s
on exécute tous les Imprimés. de f e r , la sylvinite, etc..., e n t r a î n e anissi
d u Loc'li a u r o n t lieu d i m a n c h e p r o c h a i n i n t e r r u p t i o n .
u n e c e r t a i n e d é p e r d i t i o n de calcaire.
Il a c o n n u t o u t e s les m i s è r e s q u e la vie
24 Aortt, ¿i M h e u r e s .
Offerts G R A T U I T E M E N T à titre de propaR
Bref, t o u t e s c e s s o u r c e s d e décalcificap
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inflige
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gande aux premiers lecteurs ayant trouvé la solution
Au p r o g r a m m e : c o u r s e s ù lu voile, à la
tion totalisées, on p e u t d i r e q u e , d a n s u n e
de se m e t t r e au service d e l e u r s c o n c i t o y e n s .
1M
E
exacte du Concours ci-contre et se conformant à nos
r a m e , nidation, réjouissances diverses.
exploitation r a t i o n n e l l e m e n t c o n d u i t e , où
J n m a i s o n a p u r e l e v e r d a n s sa g e s t i o n
conditions.
E
T
un a c t e q u e l c o n q u e q u i ait é t é inspiré p u r
les t e r r e s son! s o u m i s e s à u n a s s o l e m e n t
Remplacez les tirets p a r des lettres afin de trouver 4
la r a n c u n e o u lu passion p o l i t i q u e . Attentif L e s amendements calcaires r é g u l i e r et où l'on ne m a r c h a n d e p a s l e s
U
N grandes villes. L e s q u e l l e s ?
Lai Fûtes. — Les f ê t e s d e Plozévet aux b e s o i n s d e lu c o m m u n e , il r e c h e r c h a i t
(Suite et /in)
e n g r a i s c h i m i q u e s , la c o n s o m m a t i o n m o a u r o n t lieu les d i m a n c h e 24 e t lundi 25 avec 1111 soin j a l o u x tout ce q u i pouvait as
P o u r r e m p l i r ce rôle p h y s i o l o g i q u e , la y e n n e d e calcaire, p a r h e c t a r e et p a r a n .
Adressez votre réponse directement au RÉNOPHONE, 33, rue de
aoilt. — P r o g r a m m e : Dimanche 24 août.— s u r e r , au m e i l l e u r c o m p t e , l'exécution d e s p l a n t e r é c l a m e r e l a t i v e m e n t p e u d e chaux,
Palestro, PARIS (2e).
s ' é l a g e e n t r e 700 et 1.000 kilos.
•J h e u r e s ù 12 h e u r e s , C h a m p i o n n a t d e t r a v a u x qu'il surveillait e n p e r s o n n e , c l
à peine a u t a n t q u e d ' a c i d e p h o s p h o r i q u e
La c o n n a i s s a n c e d e c e s chiffres a u n e
( J o i n d r e p o u r la r é p o n s e u n e e n v e l o p p e t i m b r é e à 0 f r . 50 p o r t a n t v o t r e a d r e s s e )
q u i l l e s b r e t o n n e s , é p r e u v e individuelle, c e t t e g e s t i o n p r u d e n t e et p a r c i m o n i e u s e a
p o u r les c é r é a l e s , u n p e u plus, chez l e s g r a n d e i m p o r t a n c e , c a r ce sont e u x q u i
é p r e u v e p a r é q u i p e , E l i m i n a t o i r e s ( e n g a - valu il F o u e s n a n t d ' ê t r e p a r m i l e s c o m p l a n t e s sarclées, niais b e a u c o u p p l u s chez vont n o u s s e r v i r d e base p o u r é v a l u e r l e s
g e m e n t : 3 francs).
m u n e s q u i o n t le m o i n s g r a n d n o m b r e d e
9 h. 30, Mût d e c o c a g n e , c o u r s e s d ' e n f a n t s , c e n t i m e s a d d i t i o n n e l s
inscrits à leur les l é g u m i n e u s e s . C'est ainsi q u e le b l é q u u u l i l é s d ' a m e n d e m e n t s qu'il convient
utilisera p o u r sa n o u r r i t u r e à p e i n e G0 d ' e m p l o y e r afin d e s a t i s f a i r e a u p r i n c i p e
c o u r s e e n s a c , c o u r s e ii lu b r o u e t t e , j e u x b u d g e t .
d i v e r s ( n o m b r e u x prix).
Déjà atteint p a r la m a l a d i e q u i devait kilos d e c h a u x p a r h e c t a r e ; la b e t t e r a v e de la r e s t i t u t i o n .
13 h e u r e s , C o u r s e ù pied. P r i x : 10,25, l ' e m p o r t e r , il avait c o n s e n t i à r e s t e r à n o i r
une c e n t a i n e de kilos, t a n d i s qu'il e n f a u L. BERNARD,
15 f r a n c s .
tête a u x d e r n i è r e s é l e c t i o n s m u n i c i p a l e s et d r a p l u s d e 200 kilos au trèfle e t à la l u Agricoles
Directeur des Services
13 h . 30, C o u r s e d e bicyclettes ( c o m m u - tout en se d é c h a r g e a n t d ' u n e p a r t i e d e su z e r n e . Mais cette c o n s o m m a t i o n d e la
du Loiret.
nale), c i r c u i t de la c é t e . Prix : 70. 45, 25, b e s o g n e s u r l'ami fidèle qu'il d é s i g n a i t ainsi
c h a u x p a r les v é g é t a u x n'est p e u t - ê t r e p a s
15 f r a n c s .
p o u r lui s u c c é d e r , il c o n t i n u a i t à r e m p l i r sa
aussi r i g o u r e u s e q u e p o u r les a u t r e s é l é 14 h. 30, r o u t e d e P o n t - l ' A b b é , C o u r s e fonction d e m a i r e , et j ' a i é t é h e u r e u x d e le
de c h e v a u x , a u g a l o p , r é g i o n a l e . Prix : voir p r é s i d e r , le d i m a n c h e q u i p r é c é d a sa m e n t s ; e n milieu p a u v r e e n calcaire, la
p l a n t e sait s ' a c c o m m o d e r d ' a u t r e m a n i è r e ;
200, 100, 50 f r a n c s (un 4 e prix s e r a c r é é s'il m o r t , la g r a n d e l'été d e s luttes b r e t o n n e s
FOURMIS ET PUCERONS
y a 5 partants). Engagement : 3 francs.
où il avait é t é si h e u r e u x e t si lier d e s elle p e u t lui s u b s t i t u e r n n e a u t r e base,
Les f o u r m i s c r a i g n e n t é n o r m é m e n t le
15 h. 30, C o u r s e d e bicyclettes ( i n t e r c a n - s u c c è s de n o s g a r s d e F o u e s n a n t .
aussi les a n a l y s e s d e c e n d r e s d o n n e n t - e l l e s
t o n a l e ) , c a n l o n s d e Plogustel et l i m i t r o p h e s .
Sa m o r t est p o u r n o u s t o u s u n v é r i t a b l e d e s é c a r t s assez c o n s i d é r a b l e s s a n s q u e s u l f a t e d e c h a u x t r è s fin. Les f o u r m i l i è r e s
Circuit d e la c o m m u n e . P r i x : 100, 60, 40, deuil de famille, c a r il était l'ami le p l u s le r e n d e m e n t en soit b e a u c o u p aflecté.
e n t o u r é e s o u r e c o u v e r t e s p a r d u p l â t r e Kungs — Putois — Murmel — Oppossum — Petit Gris — Astrakan
20 f r a n c s ( E n g a g e m e n t : 2 f r a n c s ) .
c h a r m a n t , le p l u s s e r v i a b l e , le p l u s a i m a n t .
La p r é s e n c e o u l'absence d u calcaire (sulfate d e chaux) finissent p a r ê t r e c o m - Péchanick — Wallaby — Mouflon — Zorinos — Renards — Ecureuil»
17 h e u r e s , g a v o t t e d ' h o n n e u r , Ilots d e P o u r ma p a r t , j e n ' o u b l i e r a i j a m a i s avec
d a n s le sol e x e r c e u n e v é r i t a b l e sélection p l è t e m e n t a b a n d o n n é e s , les f o u r m i s d i s Taupes et Lapins
q u e l l e c o r d i a l i t é - e t q u e l d é v o u e m e n t il
r u b a n s , n o m b r e u x prix.
des
e s p è c e s v é g é t a l e s . Il y a ce q u e l'on p a r a i s s e n t .
s'était
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Bals il g r a n d o r c h e s t r e .
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de Marseille c o u p é e n lunielles. L o r s q u e cadastral de Tréguenncc sous le n° 728
nale), s o u s le r è g l e m e n t d e PU. V. F . e n v e r s lu société, e n v e r s lu famille.
t e r r a i n est h u m i d e , l ' a b o n d a n c e d e s carcx, ce m é l u n g e e s l froid a j o u t e r 20 g r a m m e s (partie), section 13 et portant le n° 9
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voulu r e c o n n a î t r e e t r é c o m p e n s e r les s e r 4.000 - »
vices r e n d u s p a r lui à l ' i n s t r u c t i o n p u b l i q u e taine et p l u s i n d i r e c t e e n c o r e n ' e n e s t pus c o u t u m e d ' a r r a n g e r celles d e v e a u , e n Bourg, à Tréguenncc, pour une somme
laissant
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Les n e u f d é l é g u é s s é n a t o r i a u x r é p u b l i - en lui a c c o r d a n t les p a l m e s a c a d é m i q u e s . m o i n s c o n s i d é r a b l e ; elle e s l p l u s i m p é Renseignements à la Mairie de TrefUne plus h a u t e r é c o m p e n s e était d u e au rieuse. I.a p l a n t e , n o u s l'avons vu, p e u t s e s a u p o u d r e d e sel, on les p a n e , on l e s fait huit franco.
cains, d o n t A l b e r t Le Rail, o n t é t é élus en
iiagat et chez M. Mony, architecte à
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s'était voué p e n d a n t t o u l e sa vie ù s e s caire, mais, d a n s ce cas, les p r o d u i t s qu'elle
11 o b t e n u e s p a r la liste d e d r o i t e .
vue de la purge des hypothèques et
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f o n c t i o n s m u n i c i p a l e s e t j ' a i e u lu j o i e livre au c u l t i v a t e u r v o n t ê t r e t r è s p a u v r e s
Bravo, Plonéour I
s a u c e s u i v a n t e : D a n s u n bol d e bouillon, en exécution de la loi du 3 mai 1841.
d ' a t t a c h e r s u r sa p o i t r i n e la croix d e c h e M A R I É , ayant bonne instrucen sels d e c h a u x e t , s'ils d o i v e n t servir o j o u l e r d e u x cuillerées à b o u c h e d e vinaiA Tréguenncc. le i o août 1930.
valier de la Légion d ' h o n n e u r , en p r é s e n c e
d ' a l i m e n t s au bétail, celui-ci n ' y t r o u v e r a g r e , u n e c a r o t t e , é c h a l o t e s , ail e t u n
tion,
d e m a n d e p l a c e comme aidedes conseillers municipaux de Fouesnant
Le Maire,
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Commencement d'Incendie. — U n i n - qu'il avait voulu p o u r seuls t é m o i n s d e
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L e s a f l t h e a : Horaire, lois et régie
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L e s a f f l e h e s : Extrait du code de
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Dans son discours d e Nancy, M. le périté économique une telle situation.
Président d u Conseil a renouvelé ses
Mais p o u r endiguer le tlot de ces
attaques contre le P a r l e m e n t français. dépenses il faut un g o u v e r n e m e n t qui
A Pai'is, devant u n e Association donne l'exemple et qui pose la question
d'anciens combattants, il avait accusé de confiance.
les Commissions p a r l e m e n t a i r e s et
Car c'est le g o u v e r n e m e n t seul qui
n o t a m m e n t la Commission des finances
p e u t mettre un terme au d a n g e r actuel
de saboter l'action g o u v e r n e m e n t a l e
et p o u r y parvenir il n'est nul besoin
p a r le retard q u ' e l l e s ' a p p o r t a i e n t à
d ' a m e u t e r injustement l'opinion contre
l'étude d e s projets dont elles étaient
le P a r l e m e n t . L'exemple de M. Poincaré
saisies. Fit il avait ajouté, ceci justisuffit à le d é m o n t r e r .
fiant cela, q u e le g o u v e r n e m e n t aurait
Il faut d'abord q u e le g o u v e r n e m e n t
le d e r n i e r mot et q u e p o u r l'avoir il
donne l'exemple d e l'économie.
ne mettrait le Parleiuont en vacances
Or, le g o u v e r n e m e n t actuel a donné
(¡ne lorsque tous les projets dont il
; dans un but de popularité l'exemple
donnait r é m u n é r a t i o n auraient été
p e r m a n e n t de la prodigalité, sinon
votés.
du gaspillage.
On sait ce qu'il est advenu d e ces
Voici des faits cl des chitfrcs. le les
m e n a c e s p o u r le moins inutiles.
cite de mémoire. Si les chitfrcs n'ont
C'est le président d u Conseil l u i - pas la rigueur m a t h é m a t i q u e , ils ont
m ê m e qui a entravé l'action p a r l e m e n - une approximation suffisante.
taire p a r la lecture hâtive et b r u s q u é e
Prenons le projet de budget de 1930
du décret de clôture.
déposé p a r M. Chéron. Il était, lorsA Montbrison, devant u n e a u t r e qu'il fut remis aux c h a m b r e s en m a i
assemblée d'anciens combattants, M. le 1929, en accroissement de 3 milliards
Président d u Conseil s'efforça de cou- sur le précédent et s u r ces 3 milliards
vrir son geste impulsif p a r de nouvelles il y avait environ 1.300 millions de
attaques contre le P a r l e m e n t . Il p r é - dépenses nouvelles.
tendit q u e l'opposition avait voulu
Ce n'était d é j à p a s m a l .
l'avoir p a r la fatigue, en prolongeant
Mais en cours d'examen du b u d g e t
inutilement les d é b a t s p a r l e m e n t a i r e s .
p a r la commission, M. Chéron, p e n d a n t
Et c'est p o u r é c h a p p e r à d'aussi noirs
la d u r é e du p r e m i e r cabinet Tardieu,
desseins qu'il avait usé d e s ressources
déposa divers projets rectificatifs.
de la Constitution pour é c h a p p e r à la
Chacun de ces projets comporta d e s
menace d e s deux Chambres.
centaines d e millions de dépenses
L'autre d i m a n c h e , à Nancy, il a mis en nouvelles.
g a r d e l'opinion contre l'activité d é p e n Plusieurs milliards de dépenses supsière d u P a r l e m e n t . Il cherche à plémentaires en cours de discussion
opposer les contribuables contre les budgétaire f u r e n t ainsi proposés p a r le
d é p u t é s en l e u r demandant de secon- g o u v e r n e m e n t avant môme q u e le
d e r p a r u n e pression s u r les r e p r é - b u d g e t vint devant les Chambres. E t
sentants du p e u p l e l'effort q u e le c'est ainsi q u e le projet initial de M.
g o u v e r n e m e n t faisait p o u r freiner les Chéron, qui comportait trois milliards
d é p e n s e s publiques.
d ' a u g m e n t a t i o n s u r 1929, en comporJadis, l e s présidents du Conseii, tait p a r la seule initiative d u g o u v e r n e soucieux avant tout d e d é f e n d r e le m e n t p r è s de sept lorsque commença
régime contre les attaques ou les la discussion devant les Chambres.
menaces d e ses adversaires, mettaient
Et ce n'est p a s tout.
leur coquetterie et leur autorité à
M. Chéron, au n o m d u p r e m i e r
diriger le Parlement, à collaborer avec g o u v e r n e m e n t de M. Tardieu, déposa
lui et le cas échéant à le p r o t é g e r .
en novembre 1929 le projet d'outilM. le Président du Conseil com- lage national dont M. Tardieu ne
p r e n d a u t r e m e n t son rôle. Se heurtant m a n q u a pas, dans chacun de ses 'isà une opposition résolue mais qui cours, de célébrer les mérites.
reste d'ailleurs strictement dans son
Or, ce projet comportera en cinq
rôle, tel qu'il f u t toujours pratiqué ans près de 13 milliards de dépenses,
dans tous les p a y s à régime parle- dont cinq sont prélevés s u r la Trésomentaire, il en appelle du Parlement rerie et les autres à diverses sources,
au Pays. Il cherche à opposer le pays
notamment au b u d g e t .
au P a r l e m e n t , secondant ainsi l'action
Parlerai-je enfin d u milliard voté
a n t i p a r l e m e n t a i r e des adversaires p e r p o u r les inondés du midi s u r la propom a n e n t s du régime.
sition du g o u v e r n e m e n t alors q u e les
C'est p a r d e tels moyens et p a r un p a r l e m e n t a i r e s méridionaux ne se catel processus que sont nés à l ' é t r a n g e r chaient p a s pour dire que 300 millions
les régimes d e dictature.
suffiraient.
M. le Président du Conseil a fort
Mais ce n'est pas encore tout.
mal choisi son terrain à Nancy. Nul
Le budget d e 1930 est en cours
n'était moins qualifié q u e lui pour d'exécution. Or, depuis qu'il est voté,
r e p r o c h e r aux Chambres l'accrois- les c h a m b r e s ont été saisies d u collecsement continu d e s dépenses publi- tif de d é c e m b r e voté en juin dernier.
ques.
Ce collectif comportait 90 millions de
Sans doute cet accroissement est dépenses nouvelles dans l'intérêt de la
inquiétant.
défense nationale (achat d'explosifs).
D'année en année le flot d e s dépen- On épuisait ainsi le reliquat des excéses monte r é g u l i è r e m e n t . Le dernier dents du budget d e 1929.
b u d g e t q u e j ' a i défendu comme r a p Le g o u v e r n e m e n t nous a, en outre,
p o r t e u r général il y a q u a t r e a n s informés avant la séparation des Chams'élevait à 3 3 milliards.
bres qu'il demanderait aux Chambres
Si j ' a i bonne mémoire, l e s budgets le vote de 600 millions de crédits
dos dépenses se développèrent suivant s u p p l é m e n t a i r e s à i m p u t e r s u r le b u d la progression suivante : 3(i milliards get de 1930 p o u r les besôins de la
en 1927, 39 milliards eu 1928, i 3 défense nationale.
milliards en 1929 et oO milliards en
Le gouvernement a môme profité
1930, compte non tenu d e s impôts de la séparation d e s Chambres p o u r
d é p a r t e m e n t a u x et c o m m u n a u x et d e e n g a g e r ces dépenses p a r la simple
certains b u d g e t s spéciaux, tels q u e le voie d ' u n décret sans les faire préalab u d g e t annexe d e s P.T.T. et celui blement a p p r o u v e r p a r le P a r l e m e n t .
de la caisse autonome d'amortissement.
De sorte q u ' à la rentrée d e s ChamEn fait, en 1930, c'est environ 70 bres, nous nous trouverons eu présence
milliards qu'au total les contribuables du fait accompli.
français auront à payer.
Ceci ne forme d'ailleurs, si j'ose dire,
Depuis longtemps et à plusieurs qu'un acompte s u r un p r o g r a m m e d e
reprises j ' a i dénoncé à la tribune de dépenses militaires extraordinaires de
la Chambre le d a n g e r q u e présentait 8 milliards, dont le g o u v e r n e m e n t a
p o u r nos finances et p o u r notre pros- eu la bonté de nous faire savoir qu'elles
Journal le Citoyen
M.
Préfet
SASSIER
des
Deux-Sèvres
révoqué par M. Tardieu
Les meilleurs préfets y passeront
tous.
Nos amis républicains se souviennent de M. Sassier qui f u t , il y a
q u e l q u e s années, Secrétaire général
de l a Préfecture d u Finistère.C'était un fonctionnaire très dévoué
à ses fonctions, versé dans les questions administratives, d ' u n e grand«
culture, courtois, aimable, distingué,
et, ce qui ne gâte rien, quand on a
l'honneur de servir la République,
républicain, radical et d'esprit social.
M. Sassier f u t , il y a doux ans,
nommé préfet des Deux-Sèvres. Il
était l'ami de M. François-Albert et il
est d e m e u r é son a m i , en dépit de ,
— Une locomotive a heurté violemment, en gare de Saint-Nazaire, le
rapide qu'elle devait r e m o r q u e r . Trente
voyageurs ont été blessés.
— Deux nouveaux navires de g u e r r e ,
construits p o u r la marine nationale :
le contre-torpilleur « Vautour » et le
sous-marin « Méduse », ont été lancés
au Havre au d é b u t d e la semaine.
— Un m o u v e m e n t révolutionnaire a
éclaté au Pérou. Après-s'être rendus
maîtres de la ville d'Aréquipa, l e s insurgés ont encerclé Mollendo. Un
directoire militaire a été constitué à
Lima. Il y a des morts et des blessés.
Si le
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Annonce» payable»
d'avance.
Lo» Annonce« doivent être adressée«, an plus tard, le Mardi soir.
Vers l'Election Sénatoriale
La candidature LE GORGEU
Toutes
voiles
dehors I
kit
et i. Mai
Les journaux d e droite nous a p p r e n n e n t la g r a n d e nouvelle de la
candidature de M. Inizan, qui s'oppose
à celle du D r Le Gorgeu.
Selon les feuilles des Evêques, I'Oj««/Eclair et le NouveHiste (qui sont attelés au brancard d e la m ê m e politique)
M. le D1' Le Gorgeu a t r o m p é en politique les espérances d e s m o d é r é s et
il a le tort d'être soutenu à la fois p a r
M. Bénac et p a r M. Le Bail.
Il est facile d e r é f u t e r l e s prétextes
invoqués p a r les pieuses feuilles.
M. Le Gorgeu est d e m e u r é ce qu'il
était avant d'être candidat à la mairie
de Brest. Ses votes a u Conseil g é n é r a l
Maire de Brest
ont toujours été ceux d ' u n républicain
Candidat de Concentration social et d ' u n laïque. Lors d e s élections municipales dernières d e s amis
Républicaine
de Y Ouest-Eclair
ont voté, n o n p o u r
La candidature du docteur Le Gor- lui, mais contre l e s socialistes, comme
gcu est née de la nécessité primor- ils ont voté ailleurs p o u r d e s socia* ')
diale de l'union et de la logique listes contre d e s radicaux.
Le
tactique
cléricale
vise
toujours
m ê m e des circonstances.
Un républicain sincère, vraiment et p a r t o u t à diviser les républicains
épris de l'idéal démocratique et jaloux p o u r les battre plus aisément ensuite
seulement d e le voir triompher, n e et r é g n e r sans cortteste.
*
peut, a p r è s le congrès d e Chàteaulin,
•
et le succès républicain qui a suivi,
M. Le Gorgeu est le candidat d e
envisager u n e autre candidature q u e
r
M.
Bénac et de M. Le Bail !
celle d u D Le Gorgeu.
r
S'il
en était a u t r e m e n t et si m o d é Le D Le Gorgeu avait réuni au
et
radicaux ne m a r c h a i e n t p a s e n
rés
congrès d e Châteaulin u n n o m b r e
parfait
accord, l a Droite serait vite
très imposant de suffrages. Il n'était
maîtresse
des positions.
en minorité q u e d'une voix s u r son
Cette
union
est u n e condition indisconcurrent radical-socialiste M. Le
Louédcc. Pas une seconde il n ' a hésité p e n s a b l e d u s u c c è*s .
*
*
à faire son devoir. Les électeurs sénatoriaux se souviennent de la déclaraM. Inizan a accepté l a candidature
tion loyale et enflammée qu'il a p p o r t a qu'on lui offrait.
à la tribune en affirmant q u e son
Pour m a r c h e r au sacrifice, l e s cléconcurrent n'aurait p a s de meilleur ricaux ont trouvé l ' h o m m e qui consoutien q u e lui.
vient. M. Inizan est u n ê t r e doux et
Il est j u s t e d ' a j o u t e r q u e le D1' Le résigné. Sa parole est d ' u n miel b r e Gorgeu en exposant son p r o g r a m m e ton cueilli s u r la fleur d u sarrazin.
p a r l a en d e s termes q u i , p a r la hau- Un échec d e plus n ' a r r ê t e r a p a s sa
teur des idées et le brillant d e la bonne h u m e u r ni le flot chantant d »
p a r o l e , impressionnèrent
vivement son verbe qui gazouille sans cesse
comme le flot ' intarissable d e nos
l'assemblée en sa faveur.
Les actes ont suivi les paroles. Le ruisselets bretons dans les p r é s fleuI)' Le Gorgeu et les délégués de Brest ris. Et puis, M. Inizan sait bien qu'il
ont, tous sans exception, fait leur de- est député à vie et qu'il ne risque rien
voir, tout leur devoir, le j o u r de en endossant u n e veste qui restera a u
l'élection, en contribuant à assurer compte d e ses p a t r o n s .
•
p a r un vote clair et non équivoque
» •
le triomphe de la liste républicaine.
La Réaction représente M. Inizan
Le passé républicain d e Le Gorgeu
comme
le partisan d e M. Tardieu et
répond d ç son attitude politique f u comme
le
candidat officiel p r o b a b l e
ture. Ses votes a u Conseil général ont
du
Gouvernement.
E t voilà q u i n e
été ceux d ' u n excellent républicain et
serait
p
a
s
p
o
u
r
g
ê
n
e
r les électeurs
d'un laïque.
finistériens.
(Juand, a p p e l é p a r le Comité de
Ces électeurs sont les descendants
défense laïque du Finistère, Painlevé
d
e
s torr lie benn d'autrefois.
vint à Brest, Le Gorgeu parla à son
Eh oui ! Leurs pèi'es o n t fait u n
tour et affirma a p r è s Goude et Le
vrai
c a r n a g e électoral, avant et a p r è s
Bail des sentiments qui n'étaient p a s
seulement s u r ses lèvres, mais encore le 16 mai, d e s candidats d u m a r é c h a l
de Mac-Mahon !
au plus profond de son cœur.
Ils ont, plus tard, en élisant Hémon,
Voter pour le Gorgeu est un acte d e
conspué GriUeau dont on n ' a j a m a i s
justice et un gage d'union.
eu de nouvelles depuis son échec.
Le Citoyen est partisan des votes
Ils ont fait a u ministre Ricard, battu
clairs et ensoleillés surtout dans / X
et
mécontent, u n e conduite comm» o n
ces temps d'équivo pic et d e { ¿ i §
n'en vit j a m a i s à Grenoble.
b r u m e politique.
Inizan et Tardieu !
i m » m r n n i » » m » i m H » i i i n i
Tardieu et Inizan !
Dictionnaire
charivarique
Taïaut, les chiens !
Taïaut, les h o m m e s !
C é l i b a t a i r e : Braconnier
léifrl.
La chasse serait ouverte le 21 sepC h a n t r e : Faut-il.
pour
beugler t e m b r e . Quel beau doublé e n persainsi, qu'il soit convaincu que Dieu est
pective !
sourd à ses prières Y
Torr-he-benn.
C o n f i d e n c e : À'... quand il se ser-
Docteur LE GORGED
.
vait de l'irrigaleur. disait :
— Je vais m'administrer
une confi
dence
— Pourquoi'.''
— Parce que c'est difficile à garder,
parbleu t
Jounmi le Citoyen
vous plaît, vous avez l e devoir d e le
r é p a n d r e autour de vous, et., surtout
de lui faire des abonnés.
I
PHx A forfait pour le» Annonce» répétée» et traité» de publicité
à A ) . Pforrt C U É C U E H , Administrateur-Gérant.
étaient j u g é e s indispensables p a r l'opposition que faisait ce député à son
l'Etat-Major.
ministre.
Voilà p o u r le b u d g e t de 1930, dont
Ah ! M. Tardieu ne l'a p a s pardonl'exercice n'est en cours q u e depuis né à M. Sassier. Il pouvait le déplacer.
quatre mois, grâce à quoi nous aurons V pensez-vous ?
sans doute quelques nouvelles surpri11 a rayé ce j e u n e préfet d e s cadres
ses.
de l'administration préfectorale, il l'a
Ueste le b u d g e t de 1931.
mis à pied et rétrogradé en le n o m Car le gouvernement est obligé d ' y mant, dans une situation très dimipenser.
nuée, conseiller de préfecture de la
11 doit en saisir la commission d e s Seine.
finances de la Chambre le 15 Octobre
Rien ne compte pour M. Tardieu,
prochain.
ni la valeur administrative et morale
Et voici q u e sans doute, comme 4 g ,
iA^ents, ni leur si t.galion de
préface au discours de Nancy, l e s nuiiifle et d e fortune. L'absence d e
j o u r n a u x nous ont informés q u e les M sensibilité double la force d e M.
ministres et sous-secrétaires d'État, Tardieu et le mel à l'abri des regrets
dont M. Tardieu s'est entouré p a r et du remords. Heureux h o m m e !
esprit de pure économie, ont réclamé
Espérons qu'un avenir prochain
cinq milliards d'accroissement de d é - p e r m e t t r a aux républicains de remapenses p a r rapport au budget de 1930. nier et d ' é p u r e r le personnel d e s préNous n'en sommes bien entendu lectures en donnant à chacun la place
qu'à l'état de projet.
qui lui convient, selon son mérite et
I ai dit en second lieu q u e p o u r la t r e m p e de son caractère.
freiner les dépenses, un gouverneEl tant pis pour ceux qui tournent
ment ne doit pas hésiter à poser la leur aile au veut, comme les derniers
question d e confiance contre les dé- de nos moulins, ou dont le principal
bordements possibles du' Parlement.
souci consiste à r e c h e r c h e r de quel
M. Poincaré n'hésitait pas à le faire. côté la miche est beurrée.
La question de confiance était presHat aplitn.
que toujours posée p a r lui. 11 est vrai
qu'il donnait lui-même l'exemple de la
prudence et de l'économie et q u e cela
lui conférait quelque autorité.
Or, M. Tardieu, p e n d a n t la discussion d u budget, après qu'il eût
constitué sou deuxième gouvernement,
n'a presque j a m a i s posé la question
de confiance.
II posait la question de confiance
sur les problèmes politiques où il
— Une explosion s'est produite,
était assuré d'avoir u n e majorité.
dans
l'arsenal de Toulon, à bord du
11 ne la posait presque j a m a i s s u r
croiseur
« Lamotte-Picquet ». Il v a
les a m e n d e m e n t s g é n é r a t e u r s de déeu
\
blessés.
L'une des victimes, le
penses, p a r crainte sans doute d ' ê t r e
matelot
cuisinier
Britzen, natif de Tourenversé.
louse,
a
succombé
à ses blessures.
Il convient de proclamer d'ailleurs
que le P a r l e m e n t sut se m o n t r e r rai— M. Dron, s é n a t e u r - m a i r e de
sonnable. Les b u d g e t s ' de d é p e n s e s Tourcoing, est décédé.
pendant la discussion du budget n'ont
— Un yacht anglais s'est perdu
été au total accrus, du fait de l'initia- corps et biens. Ail n o m b r e d e s victive p a r l e m e n t a i r e , q u e d ' u n cliill're times se trouve le commodore Henry
très modeste, leur
accroissement Douglas King, député conservateur et
résultant des initiatives p r é a l a b l e s du ancien secrétaire au d é p a r t e m e n t des
gouvernement.
Mines.
Qu'après cela, M, Tardieu vienne
— La 60'' session du Conseil de
se plaindre du d a n g e r que présente le la Société d e s Nations s'ouvrira à Ged é v e l o p p e m e n t d e s budgets des dé- nève le lundi 8 septembre.
penses; qu'il vienne accuser le Parle— Les grèves du Nord sont virtuelment de gaspiller les deniers publics
lement
terminées. Cet heureux résulsous la pression menaçante des syntat
a
été
obtenu .grâce à la médiation
dicats de toute n a t u r e ; qu'il vienne
personnelle
de M. Pierre Laval, mienfin en a p p e l e r au pays contre le
nistre
d
u
Travail.
Parlement, c'est là, nos lecteurs en
— Le corps de l'explorateur suédois
conviendront, un fait si déconcertant
et d'un paradoxe si éclatant qu'il n'y a Andrée, qui avait disparu en 18!>7,
a p r è s son départ du S p i t z b e r g e n balrien à répondre.
Il n'y a qu'à donner la parole aux lon, a été retrouvé p a r une expédition
scientifique norvégienne, dans l'Ile
faits.
Blanche (Terre François-Joseph).
Lucien LAMOUREUX,
— La c a m p a g n e électorale, qui bat
Député, ancien
Ministro.
son plein en Allemagne, a été m a r quée p a r de sanglantes b a g a r r e s en
Lisez et Faites lire le
Silésie. A Runzlau, la police a dûintervenir, p o u r rétablir l'ordre, à
l'issue d'une réunion, et, a fait feu
sur la foule. Trois manifestants ont
Coulisses de la politique été tués et 10 autres grièvement
blessés.
C
Ai » » o » c e s j u d i c i a i r e s e t d i v e r s e s (4* p a g e ) • S • • l S
—
—
r. é c l a m e s (3 e pc a-gse ^
) .
I
4drer«er toute« communication« concernant la Rédaction. l'Administration at rimirimene
L'accroissement
des Pépenses publiques
BBMcaafc«*'
Mots
d e
Combat
Plus que jamais
il faut de l'union
entre les Gauches
pour sauver
la
République.
le Citoyen
ANECDOTES
Le dialogue
a lieu dans le Midi :
•— A vfi.lre «i'/>;, monsieur
le
curé,
furi
est le'crai
nthoile de lu
charité,
¡'entendu la charité chrétienne
?
Est-ce
l'amour de Dieu ?
_ heu.
L'anjLour du prochain
alors ?
— Heu,
heu.
—. Quoi enfin ?
— Suivez-moi,
me dit le bon abbé.
. lit il nu• ¿dhduisit
devant un tronc à
moitié caché dans un recoin obscur
de
l'ég-line:
— Ouvrez, me
diLil.
— Jiien 1
— Comprenez-vous
?
— Oui, je crois
comprendre
: ici,
comme parto , t. le vrai mobile
de lu
charité, c'est
l'abstention.
La Culture du Blé
•i
S o n prix
il ii est q u e I r o p v r a i q u e l e s p r o d u c t e u r s île M é é p r o u v e n t l e s p l u s
g r a m i es difficultés à olitenir de cette
euihirc mi hénétice suffisant, l'n culti.vatcur d e M a i n e - e t - L o i r e , M . Dosbois, de liraiii-sur-l.'Aulhiou, justifie
cette appréciation, d a n s un exposé de
c o m p t e de c u l t u r e qu'il vient d ' a d r e s s e r ;iu « B u l l e t i n d e s l l a l l e s » . I.es
f r a i s d e c u l t u r e , d ' a p r è s lui, p e u v e n t
se chiffrer, p o u r l ' h e c t a r e de blé,
d a n s sa r é g i o n , à u n t o t a l d e 8 . 3 1 0
f r a n c s , se d é c o m p o s a n t c o m m e suit :
S e m e n c e 3 0 0 IV. ; p r i x d u f e r m a g e ,
m i n i m u m , i 5 0 f r . : p e r s o n n e l I..">00
fr. ; chevaux (amortissement du prix
d'achat, nourriture, harnais, etc.) 075
IV. : e n t r e t i e n d u m a t é r i e l , a s s u r a n c e s , 100IV. ; f r a i s d e b a t t a g e , 130 f r :
i n t é r ê t s d u c a p i t a l a v a n c é , 165 IV.
Le r e n d e m e n t est d e
lo quintaux
d e g r a i n ( s u p p o s é s à 170 f r . ) , s o i t
2 . 2 ^ 0 l'r. : .et p a i l l e 0 0 0 l r . Soit u n
t o t a l d e .'{. i.iO IV., ce q u i fait r e s s o r t i r à 110 iV. le b é n é f i c e à l ' h e c l a r e .
Il est é v i d e n t q u o . ce n ' e s t ' p a s a v e c
u n pareil résultat q u e le cultivateur
peut trouver intérêt à p r o d u i r e du
blé.
rs aux
' Coiltrrtlenc d e s services d e m a i n d ' œ u vre. - t Date : 13 o c t o b r e 1930 ; délai d'inscription : 1 " s e p t e m b r e ; i\go : 23 à 30 ans,
plus, services a n t é r i e u r s . T r a i t e m e n t de
d é b u t : O.eOO'fi•anés, plus indemnités. Raccalauréat, B. S. ou diplôme équivalent
exigé.
E m p l o y é c o m p t a b l e nu Crédit Foncier
de F r a n c e , — C o n c o u r s ouvert o c t o b r e
1930 ; iVge : 18 à 3 0 n n s ; t r a i t e m e n t de début : 11.800 francs, plus indemnités. Aucun
diplôme exigé.
C o m m i s de T r é s o r e r i e en A. E. F. —
Date : 0 o c t o b r e l!)20 ; l\ge : 22 à 30 ans,
plus sei;\icés m i l i t a i r e s ; t r a i t e m e n t de d é but : 20.!iol> francs, plus indemnités. Aucun
diplôme exigé. C o n c o u r s ouvert en France.
C o n t r ô l e u r stagiaire dos Douanes. —
Date : âi j a n v i e r 1931: délai d'inscription :
5 rlovérnbre : Age'; 18 à 25 ans ; traitement
de d é b u t : 10..VIO francs, plus indemnilés.
Baccalauréat ou diplôme équivalent exigé.
C o n c o u r s o u v e r t p o u r ISO places.
S u r n u m é r a i r e des C o n t r i b u t i o n s directes
en Algérie. — Date : 27 o c t o b r e 1930 ; délai
d'inscription : 27 s e p t e m b r e ; Age : 18 à
23 a n s , 'plus services a n t é r i e u r s . Aucun diplôme exigé. C o n c o u r s o u v e r t en
France.
Commis (sexe masculin} des C o n t r i b u t i o n s indirectes. — Date : -1 d é c e m b r e
1930 ; délai d'inscription : 4 o c t o b r e ; Age :
m o i n s de 30 ans. Aucun d i p l ô m e exigé.
T r a i t e m e n t de d é b u t , 10.500 fis. C o n c o u r s
p o u r 300 places*. — P o u r tous r e n s e i g n e m e n t s s ' a d r e s s e r au Directeur des C. 1.
des départements.
R e n s e i g n e m e n t s f o u r n i s p a r 1'« Orientation Professionnelle », revue mensuelle,
a b o n n e m e n t : 15 f r a n c s p a r an.
Les p e r s o n n e s qui d é s i r e n t d e s renseig n e m e n t s sur l'un dos emplois ou c o n c o u r s
ci-dessus ou s u r un exntnen q u e l c o n q u e ,
p e u v e n t s ' a d r e s s e r d e n o t r e part à Al, lloudevilie, d i r e c t e u r - g é r a n t de l'Orientation
Professionnelle, 108, r u e E r l a n g e r , P a r i s
(16"), qui leur r é p o n d r a à titre a b s o l u m e n t
gracieux.
J o i n d r e un t i m b r e de 0 f r . 50 et ne pas
oublier de m e n t i o n n e r : en qualité de lect e u r du « Citoyen », 21, r u e du Sallé, à
Quimper.
H ERNIE
yy
J E SUIS GUÉRI. — C'est l'affirmation (le
toutes les personnes atteintes de hernie» qui
ont uorié le nouvel appareil sans ressort de
U
A l A C C D le Grand S p é c i a l i s t e do
N I . U L A o C n PARIS. 4 4 . Bd SÊBASTOrOL
Après les événements Sons de Cloche
de Pont-l'Abbé
A propos du scoutisme
R é f l e x i o n s d'unPoni-l'ikbbiste
Nous avons reçu d'un ami une lettre
qui continue à m e t t r e les choses au
p o i n t d a n s l ' a l l a i r e C.o'ic. N o u s r e g r e l t o n s d e n e p o u v o i r la p u b l i e r p a r c e
q u ' e l l e met en c a u s e d e s tiers qu'il est
p r é f é r a b l e de no p a s m ê l e r au d é b a t ,
à c a u s e d e l e u r p e r s o n n a l i t é ou d e
l e u r situation commerciale.
T r o i s c h o s e s eu r é s u l t e n t :
1° D e s a c t e s d ' i n t i m i d a t i o n et d e
p r e s s i o n ont é t é c o m m i s s u r d e s c o m m e r ç a n t s qui ont été m e n a c é s d a n s
leurs intérêts,
2" U n e g r a n d e s u r e x c i t a t i o n e u e s t
r é s u l t é e qui m e n a ç a i t d e d é g é n é r e r e n
b a g a r r e s le j o u r d u d é f i l é d a n s la r u e
principale.
Il" L o r s d e p r é c é d e n t e s m a n i f e s t a t i o n s c l é r i c a l e s t r a v e r s a n t la v i l l e d e s
b a g a r r e s avaient d é j à eu lieu, n o t a m m e n t le 2 8 f é v r i e r 1920, a p r è s la
manifestation cléricale de Laiidcrneau.
C'est d a n s c e s c o n d i t i o n s q u e l e
m a i r e , M. Loïc, f u t a m e n é à p r e n d r e
et à m a i n t e n i r l ' a r r ê t é q u i lui a v a l u
une suspension injuste, annoncée par
l e s j o u r n a u x d e d r o i t e et v o u l u e p a r
c e s d e r n i e r s qui d i c t e n t la c o n d u i t e
du Gouvernement.
Notre correspondant regrette que
le drapeau
rouge si/ndicul
ait é t é a r b o r é et (pie Y Internationale
ail é t é
chantée.
Le Citoyen
partage ses regrets,
m a i s n o t r e a m i a j o u t e (pie c e t t e b a n nière syndicale porte des e m b l è m e s
qui ôtent à son exhibition sa signification p o l i t i q u e .
Le Citoyen
ajoute q u e les réactionn a i r e s e n v o l a n t avxhleus
e t a u x roui/es
l e u r Marseillaise
mettent parfois dans
un c r u e l e m b a r r a s l e s m i l i t a n t s q u a n d
ils o n t , p o u r r é p o n d r e a u x p r o v o c a t i o n s d e la d r o i t e , à m a n i f e s t e r p u b l i q u e m e n t les s e n t i m e n t s qui font explosion en eux.
N o t r e c o r r e s p o n d a n t a j o u t e q u e MM.
D r a p i e r e t B l a y a u , i n s t i t u t e u r s , ne sont
i n t e r v e n u s (pie p o u r p a r l e r à la f o u l e
le l a n g a g e d u c a l m e e t d e la r a i s o n .
Tous les r e n s e i g n e m e n t s q u e nous
possédons viennent
conlirmer cette
affirmation.
A u s u r p l u s , le D' P i c q u e n a r d q u e
la n a t u r e a d o t é à l ' o r d i n a i r e d ' u n e
Ame d e f a u v e t t e d e v e n a n t m a l h e u r e u s e m e n t e n r a g é e sous l'excitation endiab l é e d e la p o l i t i q u e , a d ù r e c o n n a î t r e
s e s t o r t s d a n s la l e t t r e s u i v a n t e :
Q u i m p e r , I l aoiïl 1930.
Monsieur le Préfet,
J'ai l ' h o n n e u r de vous r e n d r e c o m p t e
q u e j'ai reçu à l'instant la visite de MM.
Drapier et Rlayau, v e n u s p o u r m ' e n t r e t e nir des incidents qui ont m a r q u é la j o u r née du lOaoïïl, à Pont-l'Abbé. Il ressort
des explications calmes et loyales qui ont
eu lieu e n t r e nous et de la lecture d ' u n e
déclaration écrite, de .M. Charles Le Roi.
15, i iio E r n e s t - R e n a n , à P o n t - l ' A b b é , (pie
celui-ci n'a pas été invectivé p a r ces .Messieurs d a n s sa qualité de chef des Scouts,
ainsi q u e cela m'avait été r a p p o r t é .
Dans ces conditions, étant d o n n é e la
déclaration ci-dessus de M. Ch. Le Bot, j e
vous d e m a n d e de considérer ce passage
de ma lettre comme- non avenu.
J'ai l ' h o n n e u r de vous prier, M. le P r é f e t ,
de vouloir bien a g r é e r l'assurance de ma
h a u t e considération.
D r Ch. A. PICQUENARD.
On sait q u e le d o c t e u r e n
a v a i t dit q u e M. L e B o t ,
Scouts d e P o n t - l ' A b b é , avait
rié p a r d e u x é n e r g u m è n e s ,
m é s D r a p i e r et B l a v a u ! !
question
chef des
été injules n o m -
plu* r e b e l l e s diminuent instantanRment de
volante ot disparaissent peu à peu c o m p l è -
tement.
Devant de tels résultats garantis toujours par
écrit, tous ceur. atteints de hernie dol vont s'a' dresser sans retard h M GLA9ËK qui leurrera
gratuitement resrui de ses appareil» dt u a \ h, k
Châleauneaf-du-£çiyu.
3 sept., Ilôt, du Midi.
CliiUeaUlin, 4 sept., Ilôt. Grand'Maison.
Quimpcrlé, 5 sept. Ilôt, du Lion-d'Or et
Voyageurs,
Quimper, 0 sept,, Ilôt, de l'Epée.
Brest, 7 s e p t e m b r e , Ilôt. Continental,
Pont-l'Abbé, j e u d i 11 sept., Ilôt, des Voyageurs.' '
Doùarhenè:,
12 sept., de 9 h. à 15 h., Ilôt,
de F r a n c e .
Concarneau, mardi 16s0pL, Ilôt, de F r a n c e ,
, m â W ? V H K V»¿»FKCT1 ONN ÊE
p o u r d é p l a c e m e n t de tous o r g a n e s
T R A I T É DE LA HERNIE Ico s u t - d e m a n d e
h M. GLASKR, .H, Bd Sébustopol, PARIS.
l'n de nos lecteurs du Cliesnay, M.
Candrelior, a élé vivement intéressé par
les opinions exprimées d a n s l Œuvre,
r é c e m m e n t , sur le scoutisme laïque et celui
des catholiques :
Lu 11)11, nous écrit-il, j'ai fondé, 011 collaboration avec 1111 do mes amis, une t r o u p e
d'éclaircurs unionistes d a n s le q u a r t i e r dos
Ratignolles.
Nous avions réuni u n e c e n l a i n e d ' e n f a n t s ;
inutile de vous dire q u e l'élément p r o testant n'était pns p r é d o m i n a n t parmi eux.
Notre t r o u p e était de plus en plus florissante, q u a n d , . s u b i t e m e n t , nous recevons
la démission d ' u n e trentaine do nos m e m bres.
j
Alarmés, n o u s faisons une e m p i è t e et
a p p r e n o n s (pie, le d i m a n c h e p r é c é d e n t , M.
le curé de Saint-Michel (avenue de SaiulOuen) avait, d a n s son s e r m o n , menacé
d'excommunication los p a r e n t s qui laisseraient
l e u r s e n f a n t s f r é q u e n t e r les
t r o u p e s d'éclaircurs ; q u e ces g r o u p e m e n t s
avaient été constitués par dos h é r é t i q u e s
et q u e , par c o n s é q u e n t , los b o n s catholiq u e s no pouvaient pactiser avec eux.
Nous finies une d é m a r c h e a u p r è s du
curé, « 111 i nous avoua que' ce qui, s u r t o u t ,
lui faisait p e u r c'était la désertion d e s
p a t r o n a g e s par les e n f a n t s .
.le n'ai pas besoin de vous dire q u e
l'Eglise c a t h o l i q u e s'esl vile a p e r ç u e
do l'erreur qu'elle coinmetlait et q u e le
m o u v e m e n t qu'elle condamnait en 1911,
elle a su l'utiliser a p r è s la g u e r r e , ¡1
ses lins qui 11e sont p e u t - ê t r e pas t o u j o u r s
celle de la Providence...
Des exemples c o m m e celui-là, c'est p a r
douzaines qu'ils nous oui élé fournis. Kclair e u r s de F r a n c e , laïques, et Eclaircurs
unionistes, p r o t e s t a n t s , j e t t e n t , dans un
esprit de solidarité p e u t - ê t r e dupe, un
voile p u d i q u e s u r les m a m e u v r e s a u x q u e l les se livrent, m a i n t e n a n t encore, curés et
a u m ô n i e r s p o u r r e c r u t e r 011 raccoler des
adhérents.
Au fait, on serait h e u r e u x de connaître
quelle était, avant la g u e r r e , vis-à-vis du
scoutisme français, l'attitude do ce c h a n o i ne a u m ô n i e r général q u e M. Tardieu vient
de d é c o r e r .
Qu'il a d m i r e et p r ô n e , m a i n t e n a n t , ce
qu'il vouait au t'en, c'est t r o p d a n s los traditions de l'église catholique p o u r é t o n n e r
personne.
catholiques et la fête
de 1' enseignement laïque
Zjqs
M. Jean Guiraud écrit dans la Croix :
Donc, en 19,31, on fêtera officiellement le
c i n q u a n t e n a i r e de la laïcité de r e n s e i g n e m e n t public et le c e n t e n a i r e de celui qui,
se faisant l ' i n s t r u m e n t docile dos Loges, l'a
établie, Jules F e r r y . Ainsi l'ont voulu M.
Ilerriot et, à sa suite, la C h a m b r e .
Nous savons d'avance c o m m e n t se fera
celle double c o m m é m o r a i s o n ; q u e l q u e s
l'êtes locales, d e v a n ç a n t lu l'été g é n é r a l e ,
nous en ont d o n n é un avant-goiïl. Ce sera
s u r t o u t une vaste mission, prêchéc d a n s la
Franco entière à lous les e n f a n t s des écoles
c o m m u n a l e s , qui seront t e n u s d'y assister,
puisque ce sera ¡ni nom do la loi qu'ils y
seront c o n v o q u é s p a r les g e n d a r m e s de la
laïcité.
F i c e l a à la veille des élections g é n é r a l e s
de 1932 !.. Ce r a p p r o c h e m e n t n'est pas
fortuit. Les a u t e u r s du projet ont voulu
q u ' u n e g r a n d e mission laïque el anli-cléricalc, prèchée officiellement d a n s tout le
pays, servit (h* p r é l u d e à la p r o c h a i n e
consultation nationale, aliu q u e les élections se fussent, non pas sous le signe de
l'Union nationale, mais sous celui do l'anticléricalisme scolaire, le seul qui puisse
unir e n c o r e socialistes el radicaux.
On le voit, le plan de nos a d v e r s a i r e s est
simple, à nous de le tenir 011 échec. Une forte
offensive se p r é p a r e contre nous, quelle
contre-offensive a l l o n s - n o u s lui o p p o s e r ?
Récriminer contre les d é p u t é s catholiques
qui, en leur Aine et conscience, ont voté
différemment sur l'amendement Thomson
- contre, los uns, parce qu'il afllrmait la
laïcité formellement c o n d a m n é e p a r l'Encyclique ! ; /mur, les a u t r e s , parce q u e
celle laïcité a t t é n u é e était elle-même r e j e t é e par la gaucho — est chose inutile.
Mieux vaut r é u n i r t o n t e s les forces catholiques vers une action positive précise, et,
à l'offensive qui se p r é p a r e , o p p o s e r u n e
v i g o u r e u s e contre-offensive.
Laquelle Y
4
En adoptant ces nouveaux appareils, dont
l'action bienfaisante se réiillse «an» gêne,
«ans «ouifranc«» ni Interruption de travail,
les htrnlea loa plus volnmlncuaca et los
be Congrès da Personnel
des Phares et Balises
Le C o n g r è s d u s y n d i c a t n a t i o n a l d u
p e r s o n n e l d e s p h a r e s et balises ainsi
q u e l ' a s s e m b l é e g é n é r a l e d e la Société
d e S e c o u r s m u t u e l s d e ce p e r s o n n e l
a u r o n t lieu l e s 15, 1« et 17 o c t o b r e
prochain, à Quimper,
Viennent de paraître :
L a Lutto Antituberculeuse dans le Finistère. S o s résultats. S e s
enseig n e m e n t s . (1)
Tel est le titre d ' u n e thèse de 220 p a g e s
((uo le D r J e a n n e Iléinou, de Q u i m p e r , vient
de passer devant la Faculté do Médecine
de Paris.
T o u s les aspects de ce grave p r o b l è m e
sont traités à fond d a n s 1111 o u v r a g e c o m plet et savant qui fait h o n n e u r à son
a u t o u r p a r sa r a r e d o c u m e n t a t i o n , sa
tenue, sos a p e r ç u s et su c r i t i q u e d ' o r d r e
élevé et les e n s e i g n e m e n t s profitables qui
s'en d é g a g e n t .
Cet o u v r a g e , qui fait h o n n e u r à son a u t e u r ,
est mieux q u ' u n traité excellent d ' u n e
question grave e n t r e toutes, c'est une
b o n n e action.
(1) La Lutte Antituberculeuse
dans le• Finislire.Ses résultais. Ses enseignements, par le
D r J e a n n e I l é m o n , Marcel Vigne, é d i t e u r ,
11, 13, r u e de l'Ecole de Médecine, Paris,
« «
lui» M y s t é r i e u s e , r o m a n , p a r P i c d ' O s s a u ,
un vol. iii-8 0 cour,, 12 fr., chez E u g è n e
F i g u i è r e , é d i t e u r , 17, r u e CtimpagnePremièxc, P a r i s (14"),
Ce livre est un r o m a n de haute tenue,
dí U . . .
s= K OOY
MAI SON
taon p o r s o n n o t qui d é s i r a n t faire paraitre d o s A n n o n ç a » o u d o s C o m m u n i q u é * d a n s lo journal « L e O i t o y o n » «ont
I n s t a m m e n t p r i é e s d o la> a d r e s s e r a u
b u r e a u du journal, 3 1 , r u e du S a l l é , à
Quimper, l e mardi s o i r da c h a q u e
s e m a i n e , a u p l u s lard.
Aristide Rriand, dit << Cyrano », ne voulait pas e n t e n d r e p a r l e r de l'Elysée.
— C o m m e n t l'erais-je, disait-il,'si j'élais
à l'Elysée, p o u r é c h a p p e r de t e m p s en
t e m p s aux p o m p e s officielles'? J'aime à me
r e n d r e certain d i m a n c h e à Cocherel. Il me
plaît do pêcher parfois à la ligue. Or,
voyez D o u m e r g u e : il ne p e u t mémo pus
aller à Aiguës-Vives ?...
Il lui fut r é p o n d u q u e M. D o u m e r g u e ,
s'il l'avait désiré, n'aurait j a m a i s été e m pêché d'aller d a n s le Gard. M. Grévy, en
effet, 110 se priva pas d'aller à Mont-sousVaudrey ; M. Lotibet savait fort bien se
r e p o s e r à La Régude de M a zen c ; M. Fallières allait au Loupillon. Qui d o u e e m p ê cherai! lo f u t u r président do la R é p u b l i q u e
do se r e n d r e de t e m p s en t e m p s à Cocherel •>
M. Aristide Rriand, instruit p a r r é n u mération de ces p r é c é d e n t s , ne se r e f u s e
pas, m a i n t e n a n t , à poser sa c a n d i d a t u r e à
la succession de M. Gaston D o u m e r g u e .
Il 110 dit plus non aux t e n t a t e u r s . 11 leur
dit : « Qui sait ? » Et il a j o u t e : « On verra
cela l'an prochain
Su c a n d i d a t u r e pe dessine...
f'O'i (mowit n|if •.r
Républicains
*
FOURNIE?
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journal l e C i t o y e n
•t faites «bonner vom amis.
M
<M. W i l l i a m
(portrait
par
Louis
LOTH
l'ostic.)
Un visage f r a n c d a n s tout ce q u e l'éthymologie du m o t implique de loyauté,
do sincérité, de fierté rnàlc, d e s yeux bleus
d o n t le r e g a r d clair fixe un peu a u - d e s s u s
d e s h o m m e s u n rêve d e p u i s q u i n z e a n s
j a l o u s e m e n t chéri, a u j o u r d ' h u i t r a n s f o r m é
en réalité é t o n n a n t e , u n e b o n t é simple
une modestie qui r é p u g n e aux effets faciles,
une c h a l e u r é m o u v a n t e d a n s la voix pour
parler de ses d é c o u v e r t e s si a m o u r e u s e
nient étudiées, si c h è r e m e n t payées, voilà
l'homme, le g r a n d f r a n ç a i s William Loi h.
« A ce savant, lils de savant, n o u s é t i o n s
redevables d'inventions c é l è b r e s : r e p é r a g e
par lo son do batterie d'artillerie, micro
p h o n e de fond p o u r déceler la p r é s e n c e
de s o u s - m a r i n s , résolution du p r o b l è m e
de l'écoute s u r d r a g u e . Chacune de sos
d é c o u v e r t e s suffirait à la gloire d'un seul.
« Mais 1111 h o m m e c o m m e William Loth
est i n n o m b r a b l e
C'est ainsi q u e G e o r g e s Mouly, le disting u é c o l l a b o r a t e u r du j o u r n a l littéraire
parisien Comédia,
s'expritnail s u r M.
William Lolli, le 27 n o v e m b r e 1929, dans
Xie P a p e o n auto.
un r e m a r q u a b l e article paru sous le litre :
De I' « E u r o p e Nouvelle ».
« Les merveilleuses inventions d'un grand
Le Pape devient 1111 souverain très mo- savant français, M. William Loth » et qu'il
d e r n e . Il est. monté l'autre j o u r en auto, linissail sur ces mots f r a p p a n t s : « La posa l'ait un lotir d a n s les j a r d i n s du Vatican térité, j'en suis sûr, placera le g r a n d
et du fond de celle « sedia » nouveau f r a n ç a i s William Loth, à côté des a u t r e s
slyle a béni ses fidèles... La limousine du b i e n f a i t e u r s de l'humanité, de ceux qui
ponlil'e est un don de la " Citroen llaliaiia » ; s'appellent P a s t e u r , Rranly, Curie....»
son intérieur est d é c o r é en p u r slyle véniAux yeux de ceux qui savent combien
tien du XVI11° siècle, les sièges sont en d ' e f f o r t s — quinze a n s de travail
d'inteld a m a s a m a r a n t e . Grèce à un ingénieux ligence c r é a t r i c e el aussi d ' a b n é g a t i o n il a
a p p a r e i l électrique, les o r d r e s q u e Pie XI a fallu d é p l o y e r à M. William Lolh, pour
d o n n e r a à son c h a u f f e u r s'inscriront d'eux- a b o u t i r à cet é q u i p e m e n t de Vaux s/' Seine,
m ê m e s s u r un cadre lumineux. Le chef du l a b o r a t o i r e do navigation physique abso
plus petit Etat u la plus magnifique voilure luinenl u n i q u e au m o n d e où le célèbre
qui soit au m o n d e . Quand va-l-il s'en i n g é n i e u r p o u r s u i t et met au point ses
s e r v i r ? Il est p r o b a b l e qu'il l ' i n a u g u r e r a travaux relatifs au g u i d a g e d e s navires et
p o u r aller cet élé se r e p o s e r d a n s la villa des avions avec ou s a n s cable, la visite de
du lac Albano. Mais p e u t - ê t r e le verra-t-on M. D o u m e r g u e , p r é s i d e n t d e la République,
un j o u r f r a n c h i r les Alpes...
do M. Laureiit-Eynac, ministre de l'air el
des r e p r é s e n t a n t s les plus é m i n e n t s de
Î S j o u r s sur un arbre.
l'aviation é t r a n g è r e , a pris la valeur d ' u n e
Alvin Kelly, j e u n e h o m m e d'Atlanlic consécration officielle.
City, vient do rosier p e r c h é d a n s un a r b r e
L'unité de l'œuvre de M. William Loth
p e n d a n t q u a r a n t e - n e u f j o u r s et nuils.
Ce n'est pas là le record de la méditation est a d m i r a b l e . Il est l ' h o m m e non point
à g r a n d e h a u t e u r qui a p p a r t i e n t à saint d ' u n e d é c o u v e r t e qu'il aurait successiveSiméon Stylito, solitaire f a m e u x par ses ment étudiée sous ses a s p e c t s divers et
a u s t é r i t é s qui, a p r è s avoir passé vingt-six p r é s e n t é e sous ses faces différentes, mais
a n s s u r le haut d ' u n e colonne, m o u r u t d'un cycle d'idées, de d é c o u v e r t e s , d'intuitions r a y o n n a n t a u t o u r d'un c e n t r e
en -159.
Kelly avait été navigateur. Au c o u r s c o m m u n .
S e u l e m e n t les r a y o n s d i f f é r e n t s qui ont
d'un voyage 011 m e r , il d u t se c r a m p o n n e r
tant bien q u e mal en a t t e n d a n t du secours. dirigé sa pensée vers des d é c o u v e r t e s g é Cette expérience l'a incité à t e n t e r son niales, s'élèvent et p r o g r e s s e n t sans cesse.
Parlant un j o u r , devant un public nom
récent exploit.
Kelly n'était pas a t t a c h é en haut de son breux et choisi d a n s ce vaste a m p h i t h é â t r e
a r b r e : il se balançait à califourchon c o m m e de la S o r b o n n e , de sa d e r n i è r e g r a n d e
s u r une bicyclette, avec u n e planchette à d é c o u v e r t e , le g u i d a g e d e s navires et d e s
h a u t e u r de la poitrine p o u r se r e p o s e r avions p a r o n d e s h e r t z i e n n e s dirigées, son
succès f u t considérable, il se révéla d a n s
q u a n d il essayait de d o r m i r , ot des s u p
p o r t s p o u r poser les pieds q u a n d il c h a n - son brillant exposé non seulement un p r o
un
geait de position. Enveloppé d'un vieux digioux v u l g a r i s a t e u r , mais aussi
v ê l e m e n t qui lui laissait los b r a s libres, sa s a u v e u r , un h o m m e p r o f o n d é m e n t h u m a i n
La p r e m i è r e en d a t e des inventions de
face était t a n n é e c o m m e un vieux cuir e l
ses cheveux, gris do poussière. Derrière William Lolli est celle du cable g u i d e q u i
lui. était clouée une ombrelle qu'il ouvrait porte son n o m . Les p r e m i è r e s e x p é r i e n c e s
et formait ¡'1 volonté. On lui passait la nour- f u r e n t effectuées d a n s les p a r a g e s de Rrest
à bord de la c a n o n n i è r e " Belliqueuse
r i t u r e d a n s un p a n i e r .
en 1919. Dix a n n é e s d'elTorts s o u t e n u s ont
p e r f e c t i o n n é les résultats. « Le principe
I
reste e n t i e r
P o u r ceux qui le connaissent, William
Loth est une n a t u r e délicate et p r o f o n d e , un
c a r a c t è r e droit et ouvert, un esprit r a r e ,
On irait loin si on e n t a m a i t le chapitre distingué, é n e r g i q u e et p é n é t r a n t . C'est
des oraisons f u n è b r e s . P o u r ne pas a t t r i s - un h o m m e c o m p l e t .
ter nos c o n t e m p o r a i n s , n o u s nous contenSi vous l'interrogiez s u r ce qui i m p o r t e
t e r o n s de r a p p o r t e r cette seule conversa- le plus à l ' h o m m e il dirait d'un ton énertion q u e nous avons e n t e n d u e d e r n i è r e - g i q u e : » La volonté ». Conscience et Vom e n t d a n s un cale.
lonté telles sont en effet les a r m e s c o n q u é
— Tu sais ce brave T... ?
railles de William Loth. Au geste de sa
— Eh bien ?
volonté, il a j o u t e la b o n t é , la p r o f o n d e
— Eh bien, il est m o r t la nuit d e r n i è r e . s y m p a t h i e p o u r t o u s ceux q u i peinent. Il
— Oli ! c'est impossible. Un h o m m e si aime le peuple.
fort... aux d o m i n o s !
T o u s ceux qui l'ont a p p r o c h é ont été
e x t r ê m e m e n t t o u c h é s de tout ce qu'ils ont
trouvé en lui de b o n n e grâce, de l a r g e u r
Un vagabond incorrigible, c o n d a m n é d'esprit naturelle et d'élévation.
plusieurs fois par défaut p o u r vol, est d e Il est accueillant, accessible à tous, il a
vant lo tribunal.
la bonté des forts. P o u r p é n é t r e r les homM. le ¡'résident. — Do quoi vivez-vous
mes il a celte s y m p a t h i e , cette intuition
donc ?
lucide qui fait « q u e l'esprit parle d i r e c t e Le Prévenu. — Mon dieu... j e p a r c o u r s
ment à l'esprit » selon la parole de Faust
les villages p o u r p u r g e r les bestiaux avec
à Goethe.
u n e médecine q u e j'ai inventée.
11 croit à l'intelligence, à la volonté
M. le Président. — Vous p u r g e z les bes- patiente et p e r s é v é r a n t e . S e u l e m e n t c'est
tiaux ? Vous auriez bien d û d ' a b o r d p u r - aussi un passionné, un p a s s i o n n é au c œ u r
g e r vos c o n d a m n a t i o n s .
haut.
Une pareille richesse morale, intellectuelle el s e n t i m e n t a l e devait un jour le
pousser à s ' i n t é r e s s e r à la politique, à la
g r a n d e , à celle q u i est « l'art do r e n d r e les
peuples h e u r e u x ». A cette politique aux
h a u t e s c o n c e p t i o n s morales, intellectuelles
S I , rue Auber, P A R I S
(XX)
et, scientifiques q u e L a m a r t i n e avec son
F o n d é e en 1873
libre et fier génie a m a g n i f i q u e m e n t définie
offre 11 chacun un placement
intéressant
d a n s son célèbre d i s c o u r s de Maçon (1840),
Bons île lJé/i<)t de 1.000 francs el au-dessus
qui n'a pas vieilli en dépit dos années.
6 mois : ô "/„ l'an ; 1 an : 7 %>
Les h a u t e s spéculations scientifiques
ans : <V % l'an. — Xel d'impôt
cédulairc
n'ont pas r e t e n u William Lolh d a n s le
intérêt pàijé d'avance lors du versement.
d o m a i n e de l'expression a b s t r a i t e . La
Ces b o n s c o m p o r t e n t u n e d o u b l e g a - science n'est pas p o u r lui un but, elle est
rantie : t. E n g a g e m e n t personnel de la un moyen.
Société ; 2. Affectation exclusive de leur
H o m m e do g r a n d e science, g r a n d citoyen,
p r o d u i t à dos P r ê t s g a r a n t i s par Nantisse- il a frémi du désir ardent d ' e x p r i m e r sa
m e n t s et g a g e s indiscutables.
vision i n t é r i e u r e sous u n e f o r m e vivante
3 B millions do P r ê t a
en prenant part aux discussions du f o r u m ,
réalisés et déclarés d e p u i s 1927.
à la vie politique du Pays, ce q u i exige
des idées et une foi. Esprit critique et
p h i l o s o p h i q u e , il est attiré p a r lous les
E c o l e de laiterie de Kerliver p r o b l è m e s p e n d a n t s d e la politique actuelle.
T o u r n é r é s o l u m e n t vers l'avenir. William
Nous a p p r e n o n s q u e l'école de laiterie Lotli, h o m m e de gaucho, f o n c i è r e m e n t
de Kerliver, à Ilanvec, ouvrira p r o c h a i n c - laïc, breton par surcroît, s'est p r é s e n t é
n e m e n t u n e nouvelle session. Nous r a p - voici q u e l q u e s mois d e v a n t le s u f f r a g e
pelons à celte occasion q u e l'école de universel d a n s la deuxième circonscription
Kerliver, destinée à d o n n e r une b o n n e de Guinganip, appelé à élire un d é p u t é en
Instruction professionnelle aux j e u n e s filles r e m p l a c e m e n t de M. Le T r o q u e r , ancien
de cultivateurs, p r o p r i é t a i r e s ou f e r m i e r s , ministre, élu s é n a t e u r , Mais l'envie et la
haine veillaient d a n s l'ombre, b r u t a l e m e n t
reçoit des élèves à p a r t i r do 14 ans,
P o u r les conditions d'admission et les elles se dressèrent c o n t r e lui, c o n n u e elles
r e n s e i g n e m e n t s sur le f o n c t i o n n e m e n t de se sont d r e s s é e s a u t r e f o i s sous les pas de
l'école, s ' a d r e s s e r dès m a i n t e n a n t à Mme la Renan et de b e a u c o u p d ' a u t r e s esprits
Directrice de l'Ecole de Laiterie de Kerli- é m i n e n t s . Il eut à lutter contre des e n n e m i s
implacables e m b u s q u é s h t o u s les c a r r e ver, par Ilanvec (Finistère).
f o u r s de la circonscription. « On ne p e u t
n o m m e r un p e r s o n n a g e illustre en a u c u n
l i e Dimanche 3 1 Août 4 à g e n r e q u e la critique n'ait a t t a q u é « é c i v
l'occasion du Grand Pardon,
M M . vait Vituventirgues il y a 183 ans. ( Sur
l'Injustice e n v e r s les g r a n d s hommes*
B o i s s e l 6c ¡Lie Coz a s s u r e r o n t , éditions
Gilbert,) Ce q u e l'envie la plus
c o m m e les années précédentes,
un basse n'aurait osé dire, le désir d'être
Service
Régulier
entre
Quimper
et r e m a r q u é le leur fait h a s a r d e r avec conli*
ance, mais ils se t r o m p e n t d a n s l'espérance
Saint-A nne-Ui' l'ai un,
qu'ils ont de se d i s t i n g u e r par ces bizarres
Retenir ses p l a c e s ,
.'10 bis,
r u e sentiments.
Le Déan, Q u i m p e r .
La victoire de William Loth était a c quise, Mais les calomnies des Basile de
Glanes
ei
Perles
BïB£ î e S B A P g ï g PLACEMENTS
' b u v e z
A v i s important
V e r s l'Elysée ?
catholique
Autre lettre
N o u s a v o n s a u s s i r e ç u d e M. L o u i s
La C o r r e , a n c i e n c o m b a t t a n t e t a n c i e n
commerçant, une lettre dans laquelle
il m e t c e r t a i n e s p r o v o c a t i o n s à p o i n t
et où il dit n o t a m m e n t q u e c e n ' e s t p a s
c o n t r e l e s g y m n a s t e s ni c o n t r e l a Bcligion qu'on a manifesté, mais contre
l ' i n t o l é r a n c e e t les m a n i g a n c e s d u
parti cléiical.
M. L e C o r r e f a i t e n o u t r e c e t t e r é flexion à p r o p o s d u d é p l o i e m e n t d u
drapeau syndical : « l'n drapeau quel
q u ' i l soit n e v a u t q u e p a r l e s y m b o l e
q u ' i l r e p r é s e n t e et il f u t u n t e m p s p a s
si l o i n t a i n q u e c e l a o ù j e m e f a i s a i s
t r a i t e r d e r é v o l u t i o n n a i r e p a r la R é a c tion d ' a l o r s p a r c e q u e j ' a r b o r a i s le
d r a p e a u tricolore le j o u r d u
/nv
U j u i l l e t . ».
^
ñ
La Société générale de Négociations
t o u t e s c a t é g o r i e s e u r e n t raison c o n t r e
l ' h o m m e j e u n e , i n t è g r e et de g r a n d talent
qui, d a n s cette bataille électorale, p e r s o n nifiait avec u n e distinction s u p r ê m e l'idée
laïque et le parti qui f o n d a la R é p u b l i q u e .
S e s adversaires impuissants à le c o m b a t t r e
le c a l o m n i è r e n t d ' u n e m a n i è r e o u l r a g e u s e .
Arrivé en tête au p r e m i e r t o u r des s e p t
c a n d i d a t s en présence, William Lolh s u c comba au deuxième t o u r avec moins de
soixante voix. Dos personnalités é m i n e n t e s
du parti radical et radical-socialiste, c o m me MM. Daladier, Dalimier, J a m n y Smidt,
Oueuillc, Nogaro, A n d r é Marie, P i e r r e Cot,
Millet, C o u r l e h o u x , d é p u t é s , anciens et f u t u r s ministres, vinrent a p p o r t e r à Lolh
l'appui de leur amitié.
« William Loth fera un j o u r son e n t r é e
à la C h a m b r e d e s d é p u t é s , la justice imm a n e n t e el les intérêts s u p é r i e u r s du pays
l'exigent » disait 1111 électeur, le soir d e
l'élection, s u r la place de Callac.
Au c o u r s de sa c a m p a g n e électorale
qu'il mena t r è s b r i l l a m m e n t , a d m i r a b l e ment soutenu p a r u n e ptéïade d'amis
fidèles, William Loth n'a j a m a i s blessé
p e r s o n n e , il a agi sans d é t o u r s avec la
correction la plus p a r f a i t e e n v e r s ses
adversaires, avec cette simplicité c h a r m a n t e et savante qui est sa séduction. « Il
parla, s'expliqua avec u n e simplicité facilement é l o q u e n t e tant elle a p p a r a i s s a i t
sincère » écrivait de lui E t i e n n e Nicol, lo
d i r e c t e u r de la Démocratie Bretonne,
qui
f u t un a u d i t e u r fidèle do ses c o n f é r e n c e s
électorales.
M. William Lolh est officier de la légion
d ' h o n n e u r . II g a g n a sa rosette p e n d a n t la
g u e r r e p o u r services é m i n e n t s r e n d u s à la
défense nationale.
Il est lo fils de M. J o s e p h Loth, de
l'Institut, le savant et dislingué p r o f e s s e u r
au Collège de F r a n c e , ancien doyen do la
F a c u l t é dos L e t t r e s do Rennes, le b e a u f r è r e de M. Le F u r , a d m i n i s t r a t e u r de la
zone internationale de T a n g e r et le cousin
de M. Camille C h a u t e m p s , ancien p r é s i d e n t
du conseil des ministres.
Louis POSTIC.
m BiyStEHSHf
S o c i é t é hippique d'élevage
du Sud-Finistère
Avis important. — Changement des dates
des concours de poulinières
P a r décision de M. l'Inspecteur g é n é r a l
des Haras, les d a t e s d e s c o n c o u r s de p o u linières ont été interverties el sont définitivement fixées c o m m e suit :
Q u i m p e r . le m a r d i 1G s e p t e m b r e , à
13 h. 3 0 :
Chàleaulin, le mercredi 17 s e p t e m b r e ,
à 8 heures ;
Bannalec, le j e u d i 18 s e p t e m b r e , à 8 h. ;
Carbaix, le v e n d r e d i 19 s e p t e m b r e , à
9 heures.
Allocation du Combattant
Le P r é f e t d u Finistère, président d u
comité d é p a r t e m e n t a l d e s Mutiléset Anciens
C o m b a t t a n t s , p o r t e à la connaissance d e s
intéressés, q u ' u n décret en d a t e du 8 aoiU
1930 précise les modalités d'application
des articles 197 à 199 de la loi du 16 a o ô t
1930 créant l'allocation du C o m b a t t a n t
(retraite du C o m b a t t a n t ) .
Afin d'éviter, d è s le d é b u t , l'atflux d e s
d e m a n d e s e t de p e r m e t t r e leur examen d a n s
les meilleures conditions de m é t h o d e et de
rapidité, les f u t u r s bénéficiaires de ladite
allocation s o n t i n s t a m m e n t
priés
de
n'adresser
leur d e m a n d e
au
comité
d é p a r t e m e n t a l d e s Mutilés et Anciens
Combattants que dans l'ordre ci-après :
A p a r t i r du 1 " o c t o b r e 1930, s'ils s o n t
n é s en 1870 ou a n t é r i e u r e m e n t ; à p a r t i r d u
l r r n o v e m b r e 1930, s'ils sont nés e n t r e 1871
et 1875 inclus ; à p a r t i r du 1 er d é c e m b r e
1930. s'ils sont nés de 1876 à 1880 inclus ;
à p a r t i r du 1 e j a n v i e r 1931, s'ils s o n t nés
p o s t é r i e u r e m e n t aux d a t e s ci-dessus, s o u s
réserve qu'ils remplissent les conditions.
Des instructions spéciales seront a d r e s sées i n c e s s a m m e n t aux associations d e
c o m b a t t a n t s et aux m a i r i e s où les i n t é r e s r é s p o u r r o n t obtenir tou? r e n s e i g n e m e n t s
utiles, ainsi q u e l e s f o r m u l e s r é g l e m e n t a i r e s
p o u r établir les d e m a n d e s .
l i e mérite maritime
Lu p r e m i è r e p r o m o t i o n du mérite mari-,
lime a p a r u ces j o u r s d e r n i e r s . Elle c o m prend 16 c o m m a n d e u r s , 180 officiers et
environ 500 chevaliers.
Nous relevons, p o u r n o t r e région, les
n o m s suivants :
OlJlciers. — MM. F r a n ç o i s Bargaiu, a n cien pilote, maire de Loctudy : Yves Kerlocli, marin au Guilvinec ; J e a n Lozivit,
marin à C o n c a r n e a u ; A u g u s t e Soulïès,
marin à C o n c a r n e a u .
Chevaliers : E d m o n d Derrion, capitaine
de f r é g a t e à Brest ; A n d r é Derrien, y a c h t man à Q u i m p e r ; René Levainvillë, d e s
Sociétés n a u t i q u e s ; J a c q u e s B e r n a r d , c a p i taine au long c o u r s à D o u a r n e n e z ; F r a n ois Lojou, capitaine au long c o u r s à
A u d i e r n e ; Pascal Lozivit, pilote à C o n c a r neau ; A u g u s t e Savina, p a t r o n au b o r n a g e
à Douarnenez ; F r a n ç o i s A u t r e t , matelot à
\ u d i e r n e ; J e a n Courtès, p a t r o n du b a t e a u
de s a u v e t a g e à Guilvinec; J e a n - L o u i s G a r o ,
p a t r o n - p é c h e u r à Guilvinec ; J o s e p h L a n durein, p a t r o n - p é c h e u r à C o n c a r n e a u ;
E u g è n e Le Signe, matelot à C o n c a r n e a u ;
Jules Pilon, matelot à A u d i e r n e ; L o u i s
Poulou, p a t r o n - p ê c h e u r à C o n c a r n e a u ;
Jean Vigouroux. p a t r o n - p ê c h e u r à D o u a r nenez.
Emplois de Lieutenant
et de Sous-Zaieutenant de pôrt
Des c o n c o u r s d'admission aux emplois
de L i e u t e n a n t et de Sous-Lleutefiânt de
port a u r o n t lieu, à Quimper f respectivement les 8 el 15 d é c e m b r e prochain,
Les d e m a n d e s des c a n d i d a t s se proposant d'y p r e n d r e part d e v r o n t être a d r e s sées à M. l'Ingénieur en Chef des P o n t s et
Chaussées, 6, r u e de Rrest, H Qutmpefy
deux mois au moins avant les d a t e s ci-*
dessus.
Les c a n d i d a t s p o u r r o n t recevoir, sur'
d e m a n d e adressée au Ministère d e s Tra-'
vaux Publics ( P e r s o n n e l - l " Rureau), urt
exemplaire d e s d é c r e t s et arrêtés r é g i e *
m e n t a n t chacun de ces concours,
1« Çlfovtn
Les foires de la semaine
t.imdi /" septembre.
— B r e s t , Brioc,
Brnsparls, Plozévet, Tnulé.
Manli 2. — L o c r o n a n , Sninl-Thégonncc,
Pont-Aven.
Mercredi S. — Daoulas, Lannilis, Clu\teauneuf, Trégunc.
Jeudi 4. — Bocliiî-Mnurice, CliiUeaulin,
Huelgoat, Pont-Croix, Pont-I'Abbé, MoPlun.
La Joye, s o u s - é c o n o m e du Lycée, d o m . à
Q u i m p e r , et Bené Marlier, s. p., d o m . à
Morlaix.
Le G o u v e r n e m e n t polonais, reconnaissant, a décidé de d é c o r e r les p a t r o n s el de
r é c o m p e n s e r les é q u i p a g e s de ces bateaux
de sauvetage. La cérémonie aura lieu
d i m a n c h e prochain au Guilvinec. La musiXjo P a r d o n d e S a i n t o - A n n o - l a - P a l u e .
q u e du 137'' lui prêtera son c o n c o u r s . Le
— Le g r a n d pai;don de S a i n t e - A n n e - l a Consul de Pologne au Havre, arrivé ces
Palue, en Plonévez-Porzay, qui attire
j o u r s - c i on Guilvinec, remolini, personnelc h a q u e a n n é e un g r a n d n o m b r e de pèlelement, aux c o u r a g e u x sauveteurs, les
rins e l de touristes, a u r a lieu d i m a n c h e
r é c o m p e n s e s d é c e r n é e s p a r sou G o u v e r prochain 31 aoill.
nement.
On sait (pie ce pardon est un d e s plus
Au c o u r s de la m ê m e cérémonie, M. i m p o r t a n t s de Bretagne.
l'Administrateur de l'I. M. remettra également d e s décorai ions du Mérite Maritime
el d e s médailles île sauvetage.
O b s à q u e s . — Mardi matin ont eu lieu
Des réjouissances sont organisées à celle
à
Locronan les o b s è q u e s de M. Alain B r é occasion p a r la Municipalité el la fêle, rpii
livel, ancien maire, décédé dans sa 74"
p r o m e t d'être fort belle, ne m a n q u e r a p a s
année.
d'attirer dimanche au Guilvinec u n e foule
Nous sincères condoléances il la famille.
particulièreiiienl n o m b r e u s e .
CHATEACLIN
Lie problème du poro
La baisse rapide d u porc, d e p u i s q u e l q u e s semaines, a inquiété à j u s t e titre les
producteurs.
Docteur El. Hardoiiin
Le porc g r a s e s t t o m b é en deux mois, à
(yeux, nez, g o r g e , oreilles)
la Villetle, (h; 9 ii 7 f r a n c s le kilo vif et il y
Par acte administratif de vente en
'.), rue île Kerr/ariou, absent jtisijii'uu
u loul lieu «le croire q u e rions ne s o m m e s d a t e d u 2 0 juin 1 9 3 0 il a é t é fait cesJ" septembre
pas au plus bas.
sion à la commune de Clohars-CarVoici les raisons d ' o r d r e e x t é r i e u r ¿1 un
Vendredi 5.
Pouldnvid-sur-Mer.
Secteur Penther
lel état de choses : a r r i v a g e s allemands, noët, pour l'élargissement du chemin
Samedi fi.
Saint-Benan.
a bseni jusqu'au 7 septembre.
hollandais, italiens, mais aussi de saucis- de grande communication n° '24, entre
sons, saindoux, j a m b o n s en boite, etc., Kerharo et Poulchasse, de deux porvenant d e s F t a l s - U n i s , d ' I t a l i e , d ' A l l e m a g n e tions des parcelles de terrain inscrites
Charbons d e Terre - Charou
d ' a u t r e s provenances.
bons de Bois - Bois de chaufau plan cadastral de la dite commune
A la base de ces divers é l é m e n t s de confage - Pommes de Terre.
c u r r e n c e , il y a d e s q u e s t i o n s d ' o r d r e sous les numéros 309 et 311 de la
Livraison <) domicile.
d o u a n i e r q u e l'Association des P r o d u c t e u r s section D.
de viande suit de très près. Nous e s p é r o n s
M i c h e l I.K l ' A I ' K , 4(>, r o u t e . l e I î o s Le terrain cédé dépendant du lieu
faire a d m e t t r e le b i e n - f o n d é de n o s reven- dit Kerharo a une contenance totale
p o r d e u , Q u i m p e r . T é l é p h . 2-5W.
dications de ce colé et obtenir ainsi l'abode 5 a. 72 c. et a été acquis de M.
lition de certaines inégalités q u e n o u s
Jolivet Joseph, propriétaire à Kerharo,
. P a n d u . — M. Vincent Le Borgne, 4 9 a n s , avons signalées.
P é t o . — La fêle c o m m u n a l e a u r a lieu,
en Glohars-Carnoët, pour une somme
Les
rectifications
d
e
droits
de
d
o
u
a
n
e
aus o u s la présidence d ' h o n n e u r de M. C.aou- cultivateur à Kernévez, s'est pendu d a n s
R a v i a l o n d e s listo» éloctornlos conr o n t c e r t a i n e m e n t un h e u r e u x effet s u r la totale de mille sept cent seize francs.
un
c
h
a
m
p
près
de
son
domicile.
dal, maire, le d i m a n c h e 31 aoiil.
s u l a i r e s . — l.e inaire tle (^uiniper rappelle
M. Le B o r g n e laisse une veuve et cinq situation actuelle, mais il serait puéril d'en
La présente publication est faite en
Au p r o g r a m m e : c o u r s e de chevaux,
aux intéressés q u e , eont'oriuémenl à l ' a r a t t e n d r e la solution de la crise q u i s'est
enfants.
r
voe
de la purge des hypothèques et
c o u r s e s d e bicyclettes, course en sac,
ticle l" île la loi d u 8 d é c e m b r e 1«<3, les
o u v e r t e il y a q u e l q u e s semaines.
c o u r s e d ' h o m m e s , c o n c o u r s de f u m e u r s .
m e m b r e s d e s t r i b u n a u x de c o m m e r c e et
Nous avons u n e p l é t h o r e d e porcs, c'est en exécution de l'article 19 de la loi
Grand bal à l'école d e s g a r ç o n s au proli!
des c h a m b r e s d e c o m m e r c e sont élus p a r
certain. Mais cela ne serait p a s très g r a v e du 3 mai 1841.
de la caisse scolaire.
les c o m m e r ç a n t s p a t e n t é s ou associés en
d e
Q u i m p e r
s'il s'agissait de porcs maigres, d e porcs à
Quimper, le 13 août 1930.
n o m collectif d e p u i s cinq a n s au moins.
l a a p r o m o n a d e d o l ' a m i c a l e l a ï q u e . — viande, q u i t r o u v e n t un d é b o u c h é avec
Pour le Préfet :
ouvertes
le "Dimanche
lin vertu do la loi d u '23 janvier ls!)t>, les resteront
La p r o m e n a d e p i q u e - n i q u e de l'amicale assez de facilité. Celte q u a n t i t é d ' a n i m a u x
f e m m e s q u i remplissent les condiliohs
Le
Secrétaire
Général délégué,
P
o
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.
La
l'été
locale
de
Gourlizon
est
qui
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et
vont
matin seulement
et fermeront
d
laïque de Laiiderneau a o b t e n u d i m a n c h e
é n o n c é e s ci-dessus sont é g a l e m e n t insD. DAUTIŒSME.
lixée au d i m a n c h e 7 s e p t e m b r e .
l ' e n c o m b r e r e n c o r e p e n d a n t des mois verra
un g r o s succès.
crites s u r les listes électorales.
Au p r o g r a m m e d e s réjouissances figuDix-sept cars t r a n s p o r t è r e n t la caravane s ' a g g r a v e r ces difficultés d e placement d u
Le maire invite en c o n s é q u e n c e les
rent îles courses, d e s j e u x , d e s d a n s e s et s u r la belle plage de Kcrlouan où de n o m - l'ait qu'il s'agit en m a j o r i t é d ' a n i m a u x gras,
Etude de iM° BELLEC, notaire
n o u v e a u x c o m m e r ç a n t s q u i a u r o n t au prea u t r e s attractions.
f o u r n i s s a n t u n e masse de déchets a b s o l u er
breuses réjouissances l u r e n t organisées.
à Commana
mier s e p t e m b r e 1930 cinq a n n é e s révolues
Au r e t o u r à L a n d e r n e a u u n e r o n d e fi- ment incasables, et d o n t nul a c h e t e u r ne
d'exercice et domiciliés d e p u i s cinq a n s
nale termina g a i e m e n t celle b o n n e j o u r - veut plus s ' e n c o m b r e r .
nu m o i n s d a n s le ressort du tribunal d e
Cela esl tellement vrai q u ' a u x Halles d e
née,
et l'on se. d o n n a rcridez-vous p o u r
E
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—
Naissances:
Corenlin
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c o m m e r c e de Q u i m p e r , à se p r é s e n t e r i'i
Paris, actuellement, les m a r c h a n d s d e porcs
l'année
prochaine.
lias, 45, r u e Dugiiny-Trouin ; Louis (.anla mairie, b u r e a u d u Secrétariat, eu vue
a u B o u r g d e Sïzub
en g r o s obligent leurs a c h e t e u r s à p r e n d r e
Quoto.
l ' n e q u ê t e l'aile ¿1 l'occasion cien, 3 r u e Berllielol; Laurence Le Guelde se faire inscrire s u r la liste d e s élecun
certain
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s
lorsqu'ils
se
Le
lundi
1er septembre 1 9 3 0
du m a r i a g e d e Mlle Anne .loneour. lille d u lec, I, r u e de la Mairie ; Denise J a d é , 1, r u e
t e u r s consulaires.
f o u r n i s s e n t en m a i g r e s : sinon, l'écouleà 9 heures île l'après-midi
L e s fôtos- — Les l'êtes (le L o g o n n a - ment d e s p r e m i e r s serait impossible. Leur
Les d é c l a r a t i o n s à lin d'inscription s e - s y m p a t h i q u e d i r e c t e u r de l'école d e s g a r - du C e n t r e ; Pierre Sléphan G r a n d ' r u e ;
çons,
avec
M.
Yves
Le
Bosser,
instituteur,
Jean
Cornee,
venelle
Blondel
;
Joseph
CarDaoulas auront lieu d i m a n c h e a p r è s - m i d i prix esl d'ailleurs i n f é r i e u r à celui de 1914.
ront r e ç u e s de 9 h e u r e s à midi cl de 14 à
A VENDRE ;
17 h e u r e s , les d i m a n c h e s exceptés, j u s - a produit la s o m m e d e 50 francs, dont rée, 18, r u e Plomarch ; Hélène Diler, 11, 31 aoùl. Au p r o g r a m m e : c o u r s e d ' e n f a n t s ,
Très
beaux
Meubles anciens
Nous
savons
(pie
les
circonstances
ont
25 f r a n c s ont é l é versés au Bureau de r u e d e s G u e t t e u r s ; Denise Unira, 12, r u e mât de cocagne, c o u r s e en sac, c o u r s e
q u ' a u G s e p t e m b r e inclusivement.
Bienfaisance el 25 f r a n c s à la Caisse d e s du S é m a p h o r e : Françoise J a u m é , à P o r l - cyclo-pédestre, c o n c o u r s de danses, etc... e n c o u r a g é d e r n i è r e m e n t cette p r o d u c t i o n ; en chêne sculpté.
q u e les agriculteurs, ayant d e s g r a i n s et
A o c i d a n t s d ' a u t o s , — Pendant les l'êtes écoles.
l i h u ; Gabriel l.agadec, 28, r u e Observa- l.e soir, illuminations, feu d'arlifico et
des p o m m e s de t e r r e à utiliser, o n t cru
de la Mi-Aoflt n o u s a p p r e n i o n s avec peine
Merci aux g é n é r e u x d o n a t e u r s .
t o i r e ; Marie-Thérèse l.e (¡ail, 19. r u e d u g r a n d bal.
Je cherche à QUIMPER,
t r o u v e r 1111 d é b o u c h é a v a n t a g e u x d a n s
l'accident' survenu il Mme et M. F r é d é r i c
l'ont ; Bernadette o c l t o n . 19, r u e du Pont.;
Les g r a n d e s r é g a l e s de Moulin-Mer l'engraissement des porcs. Mais il y a p o r c dans rue passagère, M a i s o n conveLe Blanc, fabricant de meubles, avenue de
Claude Guilloux, 10, r u e Saint-Michel ; An- auront lieu le d i m a n c h e 14 s e p t e m b r e
et porc. Si les c o c h o n s hollandais, alle- nable de 6 p i è c e s et comprenant
la Gare, a l o r s qu'ils"* se r e n d a i e n t , en c a nik Le Loup, 00, r u e D u g u a y - T r o u i n ; prochain.
L
o
P
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.
—
Le
pardon
de
Bénodet
m a n d s ou italiens se v e n d e n t en F r a n c e , bui'eau au rez-de-chaussée. Rail à
mionnette, taire u n e livraison à Bennes.
Marie T h é r è s e Perchec, 3, r u e d e s Mara u r a lieu les 7 el 8 s e p t e m b r e .
c'est qu'ils ont p o u r la p l u p a r t le poids
L'accident s'est produit p r è s de Locminé
souins
;
Marie-Thérèse
Yigouroux,
53,
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u
e
volonté. Jouissance lin 1930. — Ecrire
Dimanche 7 s e p t e m b r e , à I I h. 30, g r a n voulu, 00 à 80 kilos de viande.
(Morbihan) : Mme Le Blanc a été irriéveN a u f r a g o d'un b a t e a u d o p ê c h e . —
du Môle ; Marie Dcfonlainc, 50, r u e du
des r é g a t e s .
Depuis deux a n s , à l'A. G. P . V., n o u s LARiMCOL, Expert, rue Pasteur, à
ment blessée a u x bras et M. Le Blanc,
D o u x m a t e l o t » ont pari. — La semaine
Lundi S : continuation du c o n c o u r s de Mòle.
a
t
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i r o n s r é g u l i è r e m e n t l'attention d e s p r o - LAON.
l é g è r e m e n t atteint à la ligure.
Décès: Marie Le Moan, (¡Sans, r u e P l o - d e r n i è r e , le bateau de pèche « Sainl-Pol »
tir o u v e r t le 31 aoilt ; à 10 heures, c o u r s e s
d
u
c
t e u r s s u r cette faillite du p o r c g r a s qui
M. et Mine l.e Blanc, a p r è s avoir reçu
régionale et c o m m u n a l e de bicyclettes ; à nmrch ; Marie Le Du, 04 ans, r u e Observa- a y a n t c o m m e é q u i p a g e le patron F. Guéna n'est plus g u è r e en faveur q u e d a n s le S u d les soins d ' u n d o c t e u r de Locminé. ont
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les
matelots
It.
Canic
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F.
Pellen,
On demande un MÉNAGE,
toire
;
A
n
n
e
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Kerloch,
59
ans,
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Obser13 h. 30, c o u r s e de chevaux a u trot : à
Ouest, ou encore, d a n s d ' a u t r e s régions, à
r e j o i n t , le l e n d e m a i n , leur domicile à
15 heures, route du cimetière, g r a n d e s vatoire ; Hyacinthe Le Gali, 71 a n s , r u e rentrait de la pêche lorsqu'on face de la saison d e s chasses. La mévente actuelle le mari pouvant être employé aux
Quimper.
luttes b r e t o n n e s : à 17 h. 30, jeux divers Docteur Paugain : Léonie-Marie Beau- l'Aber-lldut, u n e lame s o u r d e envahit le vient c o n f i r m e r n o t r e thèse ; le porc à travaux de jardinage, la femme libre
Nous s o m m e s h e u r e u x d ' a p p r e n d r e qu'ils s u r le (piai ; ù 18 h. 30, c o n c o u r s de d a n s e s mond, 80 ans, r u e Cherche-Midi ; Marie- bateau qui coula aussitôt.
viande est celui q u i r é p o n d à la d e m a n d e , ou employée quelques heures par jour
sont en b o n n e voie de g u é r i s o n .
Le p a t r o n du « Sainl-Pol » lut sauvé
b r e t o n n e s ; il 21 heures, g r a n d fou d ' a r - Yvonne J a c q , 04 ans, r u e de Hosmcur ;
aussi bien p o u r la c h a r c u t e r i e q u e p o u r à travaux ménagers ou de ferme, loge— D'autre part, la s e m a i n e d e r n i è r e , tillee.
Charles T o n n e r r e , 1 mois, r u e P l o m a r c h ; par le bateau >< Bené » q u i rentrait aussi
l'industrie d e s salaisons : un m i n i m u m d e
ment assuré, conditions à débattre.
deux j e u n e s g e n s de n o t r e ville, MM. .IonYvonne Le Gali, 10 a n s , r u e P l o m a r c h ; de la pêche.
déchets, un plus g r a n d n o m b r e de j a m c o u r , (ils du m a r b r i e r , et André Gui/.ien,
Q u a n t aux deux matelots ils coulèrent.
Mené K é r a u d r e n , 82 a n s , r u e IMoiuarch.
bons p o u r un môme poids de viande, u n e S'adresser à Y Orphelinat de Kerbernes,
Le matelot Canic, était â g é de 05 a n s ,
'21 a n s , o n t é t é victimes é g a l e m e n t d ' u n
C a d a v r e d ' u n n o u v e a u - n ó . — La s e plus g r a n d e facilité de travail d a n s la f a - en Plomelin, près QUIMPER. Bonnes
marié et père de deux e n f a n t s ; le matelot
accident d ' a u t o a u passage i\ niveau de maine d e r n i è r e d e s b a i g n e u r s oui trouvé,
brication
d e s charcuteries, telles sont les références.
Pellen, élail â g é de 44 a n s , célibataire,
y u é m é n é v e n , à '20 k m . de Q u i m p e r .
s u r la plage d e s Sables-Blancs, le cadavre
raisons principales p o u r lesquelles le m a i P
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patronale.
—
La
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lils
de
l'ancien
pilote
de
la
Station
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Les deux j e u n e s g e n s ont é l é assez d'un n o u v e a u - n é du sexe masculin, et
g r e fait p r i m e aux d é p e n s d u gras.
g r i è v e m e n t blessés. Nous leur s o u h a i t o n s d o n t la m o r i r e m o n t a i t il q u e l q u e s j o u r s . d'LIliant a u r a lieu les lundi <s et mardi 9 Porlsall.
Nous 11e s o m m e s plus à l ' é p o q u e où
s
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b
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une p r o m p t e g u é r i s o n .
Le p a r q u e t de Qu'imper s'est r e n d u s u r
l'agriculteur pouvait p r o d u i r e sans s ' i n Au p r o g r a m m e : Lundi 8 s e p t e m b r e :
les lieux et l'enquête se p o u r s u i t .
X«o s a l o n i « i A u t o * « P o u g e o t ».
IXn dictataur. — A l'occasion du [lar- q u i é t e r de la d e m a n d e . La c o n c u r r e n c e
c o u r s e s pédestres, c o u r s e de bicyclettes,
Samedi a p r è s midi a e u lieu l ' i n a u g u r a t i o n
c o u r s e d e chiens, c o n c o u r s d e luttes b r e - don de Molène, h; 15 aoOt d e r n i e r , l'actif est devenue plus i\pre et celui q u i 11e s ' a et ingénieux comité d e s fêles n o u s p e r m i t d a p t e p a s en subit les c o n s é q u e n c e s .
d e s nouveaux m a g a s i n s d'exposition d e s
tonnes.
à l'Ecole des Filles de Léchiagat
Notre rôle, à l'A. G. P . V., consiste en
a u t o s « Peugeot >. q u i s'érigent s u r le
R a i d hippique. — Voici le p r o g r a m m e
Mardi 9 s e p t e m b r e : AU raclions di verses. de vivre d ' a g r é a b l e s h e u r e s . Le p r o g r a m Zjs
V e n d r e d i S S e p t e m b r e , à 15 heures
Boulevard d e K e r g u é l e n , face à la Posle. d u raid hippique q u i a u r a lieu d i m a n c h e
P e n d a n t les deux j o u r s d a n s e s a u x me d e s fêtes, tracé de main de maître, partie ¿1 servir de trait d'union avec les d i vers
utilisateurs
d
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production
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comportait
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lîn g r a n d n o m b r e d e p e r s o n n e s avaient prochain 31 aoOt :
binious.
Montant des Travaux. 128.481 fr. 10
voquèrent l'hilarité g é n é r a l e . Un grand aiguiller l'élevage en c o n s é q u e n c e .
r é p o n d u A l'invitation d u s y m p a t h i q u e diA 10 h. 30, p r e m i è r e m a n c h e , 8 kilo4.000 - »
Le syndicat de la Charcuterie de T o u - Cautionnement
bal, d ' u n e t e n u e parfaite, e u t lieu le soir
r e c t e u r r é g i o n a l d e celte m a r q u e , M. G a s - mètres, allure libre.
louse
a
pris
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initiative
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en
et
obtint
nu
succès
inespéré.
Tout
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ton Nédélcc.
Prix : 500, I0!l. 300 el 200 IV.
Xioa g r a n d e s l u t t e s b r e t o n n e s . — Le p o u r le mieux e l . de l'avis général, d e p u i s s ' a d r e s s a n t a u x o r g a n i s m e s agricoles r é Renseignements à la Mairie de TrefAprès n n e visite d e s i m p o r t a n t s ln\liA 15 heures, deuxième m a n c h e , 8 kilog r a n d t o u r n o i de luttes b r e t o n n e s a o b - une date i m m é m o r i a l e , on ne s'était tant g i o n a u x p o u r leur signaler cette situation. fiagat et chez M. Mony, architecte à
m e n t s (salon d'exposition et îles f u t u r s g a - mètres, allure libre.
De n o i r e cAté, nous étions déjà e n t r é s en Douarnenez.
r a g e s et ateliers), M. et Mme Nédulec,
A 10 heures, c o u r s e a u trot attelé, 6 k i - tenu, d i m a n c h e , à Quiniperlé, un très vif a m u s é d a n s l'Ile.
Ce bal e u t cependant le don d ' e x a s p é r e r relations avec les r e p r é s e n t a n t s qualiliés
r é u n i r e n t leurs invités en un vin d ' h o n n e u r lomètres. p o u r d i e vaux de l'arrondissement succès, el c'est devant d e s milliers de p e r au c o u r s d u q u e l d e s d i s c o u r s f u r e n t p r o - de Q u i m p e r ne devant p a s p r e n d r e part s o n n e s q u e se d é r o u l è r e n t les différentes le c u r é d u village. .Yavait-il pas p r é c é d e m - de la Charcuterie el de l'industrie d e s s a On Achèterait Petit Manoir
p h a s e s de luttes, dont voici les résultais : ment interdit le bal d u h a u t de la chaire ! laisons. Nous s o m m e s s û r s de servir les
n o n c é s p a r MM. J o r d a n , de la maison au raid.
Lalles
préliminaires.
—
Mil
Ire
les
meilintérêts
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ce
ancien,
avec parc ou dépendances,
Les
Molènais
q
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savent
à
quel
tyran
ils
« P u n g e o t •>, ot Prat, r e p r é s e n t a n t d e la
Prix : 300. 250, 150, et 50 l'r.
m a r q u e à Morlaix.
A 17 h e u r e s , troisième m a n c h e et finale leurs l u t t e u r s b r e t o n s . Poids 59 kilos, 19 ont a lia ire attendaient fébrilement le s e r - cri d ' a l a r m e et n o u s voulons croire qu'ils région Loctudy ou Combrit, un peu
ans, Inziuznc, contre Guillemot, 03 kg.500, mon du d i m a n c h e suivant. D'un a i r cour- l ' e n t e n d r o n t .
10 tours).
éloigné de la mer.
C o m m e n o o m o n t d'inoomdio. — l»an- la
19 ans, Meslan : Meschard, 71 kilos, 24 ans, roucé, les yeux écarquillés, la voix t r e m Nous a j o u t o n s q u e , o u t r e cette o r i e n t a :
3.000,
>2.000,
1.000.
800,
000,
400
et
Prix
nuit de mardi h mercredi u n c o m m e n c e Eaire oil'res à ROUSSEL, à Loctudy.
Locmiquélic, c o n t r e P r i m a , 71 kilos. Guil- b l o t a n t e , n o i r e a b b é lâcha son venin. Ali ! tion, le plus g r a n d soin doit être a p p o r t é
ment d'incendie s'est d é c l a r é vers 1 h. 30, 300 l'r.
lemot
el
Prima
sont
déclarés
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s
prix
de
revient,
c
a
r
celle
maudite
danse
!
Des
sanctions
imméAu total : 10.500 f r a n c s de prix.
d a n s la maison Cornic, c o r d o n n i e r , r u e
diates s ' i m p o s a i e n t p o u r chàlier les délin- nos frais de production élevés sont un
instruite
Les c o n c u r r e n t s non classés ayant Dans la liliale Guillemot liai P r i m a .
N e u v e , 43.
t.ailes inlercelliques. — 1" Poids légers : q u a n t s . Aussi n o u s a p p r e n d - i l qu'il n'y élément d'infériorité vis-à-vis d e s pays demande place pour écritures.
le
p
a
r
c
o
u
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s
du
raid
el
justifiant
accompli
Le f e u a pris d a n s u n tuyau de g a z sous
d'un déplacement d'au moins 80 kilomètres Pétillou F r a n ç o i s b a l Brewer (Anglais) en a u r a p a s d ' a b s o l u t i o n possible avant 1111 c o n c u r r e n t s . Il est u r g e n t de s ' a t t a c h e r à Mois de septembre.
les escaliers.
deux prises chemise b r e t o n n e et chemise an p o u r les d a n s e u r s , et même p o u r l i s les r é d u i r e : c'est là, p o u r évincer d e s riGrâce à la p r o m p t i t u d e d e s s e c o u r s , et recevront u n e indemnité de 250 francs.
S'adresser au journal.
comique.
s p e c t a t e u r s et q u e les h o n n e u r s de l'Eglise vaux g ê n a n t s , u n e solution s u p é r i e u r e à
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E t a t - c i v i ) . — A"aissanres : Marcelle Si3" A u - d e s s o u s de 18 a n s : Cadic e s l vain- vaises pensées. Ceci d é n o t e le mauvais
des
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ser p o u r ê t r e e n f l a m m é et désirer la lune!
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sont rentrées h Q u i m p e r les tïO fillettes de
Durand, r u e de Locludy ; Alain Guénec, v a i n q u e u r de H. Grégory, a p r è s u n e lutte me fait savoir q u e la j e u n e s s e se p e r v e r gerie,
rue
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r o u l e de Q u i i i p e r ; Aline J o n c o u r , Kenila- passionnante. 1e" prix, ex-.Tquo ; 2 e prix, l i r a ' b i e n plus vile au cinéma d u c u r é à la
trois semaines au Cap-Coz, en l'ouesmiul.
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Merrien, v a i n q u e u r ; 3° prix, Grégory, f a v e u r de l'obscurité q u e d a n s u n e salle
On avait plaisir h a d m i r e r les mines s u OU FOIE DE VEAU
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5" Poids l o u r d s : T y r a n l c o n t r e F. G r é Fl puis, s u p r ê m e menace, Monsieur
plein a i r leur avaient rempli les j o u e s el
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g r a m m e s de panne, 4 oignons, 4 échalotes,
Les g a r ç o n s p a r t i r o n t à leur tour lundi taire, 21 a n s , f e m m e de c h a m b r e , Kéren- q u e u r p a r I points àO. A la d e u x i è m e prise, fêles d e v r o n t p r o m e t t r e , p a r écrit, qu'ils
'2 g o u s s e s d'ail, persil, sel, poivre, p o u d r e
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14 ans, m a r i n - p é c h e u r , II(Mel-l)ieu, i n h u ¡•'inule des champions. — Cadic bat Pélil-peine de voir s u p p r i m e r la l'été religieuse des q u a t r e épices.
L e s t o u r n é e s Lyne ('.le- mé ii Trelllagat ; Marie-Louise Struillou, lon ; G r é g o r y bal Merrien ; Cadic bat GreA u Yhé&tre.
Hachez e n s e m b l e le foie, la panne, les
du 15 a o ô l à Molène. P o u r le p r e m i e r
vers d o n n e r o n t p r o c h a i n e m e n t , avec lllve- é p o u s e Plouliinec, 0 8 a n s , m é n a g è r e , Boz- gory a p r è s a b a n d o n .
oignons,
échalotes, ail, el a u t r e s assaisonà l'Imprimerie Bretonne
magistrat de l'Ile il y a ici u n e question de
dultes, s u r n o t r e scène municipale, In a r - I l a s t e l ; Hervé Le Pape, époux L'HclCadic esl déclaré c h a m p i o n inlercellique. dignité. Se laissera-t-il passer u n e belle n e m e n t s . Ajoutez-y un pelit v e r r e de vieille
du « Citoyen »
g r a n d e revue « Zig et Puce, Marins et g o u a r c h , 44 ans, j o u r n a l i e r , L e u q u e r - L a m muselière p a r la c u r e ? Nous le savons assez e a u - d e - v i e et un u-uf entier, travaillez
O ».
2/,
me du Sallé, QUIMPER
b o u r g ; Marie-Louise Barré, veuve Lévénès,
é n e r g i q u e p o u r ne p a s se s o u m e t t r e e l bien le tout ensemble.
Foncez
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S e r v i c e d o 1» r i v i è r e p a r l a « R a i n e 78 ans, s. p., Hôtel-Dieu ; Pierre Le Gali,
L a P a r d o n . --- Voici les r é j o u i s s a n c e s p o u r faire c o m p r e n d r e à Monsieur le Curé b a r d e s de lard, mettez-y v o t r e hachis, tasé p o u x Le Compès, 70 u n s , j o u r n a l i e r ,
d o l'Odot ». — H o r a i r e d e la s e m a i n e :
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g a n i s é e s à Scaër, à l'occasion du p a r d o n : du village (pie le maire d ' u n e c o m m u n e sez bien et couvrez le tout d ' u n e toilette Instituteurs
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Départ
Lundi 1 " s e p t e m b r e . — A neuf heures, n'esl p a s le boij du p r e s b y t è r e .
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Q u i m p e r Loctudy Bénodet
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CONTRE LE PUCERON LANIGÈRE
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Kerguélen," 2 ; M a r i e - J e a n n e Le Boy, g é a n t e ne m e s u r a n t p a s moins ile 1 m, 80
O11 p e u t , si l'on dispose de loisirs suffide l'Ardèche, M. Bichard, d i r e c t e u r des serm é n a g è r e , 69 ans, veuve Le Du, r u e J e n n - de long el pesant environ 300 kilos,
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G r a n d M e e t i n g d ' A v i a t i o n . — C'est vices agricoles e t son a d j o i n t , M. Fauro, sants, e m p l o y e r l'une d e s f o r m u l e s suivanJ a u r è s , 27 ; J o s e p h J é z é q u e l , r e t r a i t é de
Le célacé élail a c c o m p a g n é d ' u n e nuée
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la Marine, 73 ans, veuf de Urcun, r u e de de pelils poissons dont on réussit il c a p 24. r u a du Paro, O U I l i P g R . . 0 „ , 0 0 t
le g r a n d m e e t i n g d'aviation, avec le c o n Dans les t e r r e s n o r m a l e m e n t constituées, un centième ;
l'Hospice ; Marie-Yvonne Narzul, 83 a n s , t u r e r é g a l e m e n t un certain n o m b r e .
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Veuve Le Quinquis, impasse de l'Odet ;
T o r t u e et pelils poissons o u i é l é remis
F r o i s s a r d , Lefebvre, Mouler.,.el d e s p u r a - l'ois qu'on veul avoir un ell'et rapide s u r la ler à «0U a d d i t i o n n é de 40 à 50 g r a m m e s de
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tion h o n o r e r a é g a l e m e n t la m é m o i r e de q u e la chaux m a n q u e d a n s la couche végé- b r û l u r e s .
Hévre, et Mathilde C o a t m c n , s. p., d o m . fi
P o u r nos vaillants sauveteurs.
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Q u i m p e r ; Alain Lnnduren, t é l é g r a p h i s t e , Nous avons relaté en son t e m p s le n a u f r a g e
del'aviation, h é r o s de la g r a n d e g u e r r e , s'udii de prairies ou de ciillurus arbuslives. à b r û l e r 15 g r a m m e s p a r litre, cristaux d e
d o m . il Penliais, et Mûrie Le S i g n o r , s. p., du luiI en il polonais « P o m o r z c », échoué
Fnlin, on a u r a p a r f o i s i u l é r ê l à r e c o u r i r s o u d e 5 g r a m m e s , savon noir 5 g r a m m e s ,
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d o m . il Q u i m p e r ; Pierre 'l'allée, manueii- sui les Ktocs et q u e les vaillants sauveteur»
T o u t e la Cornouaille sera d i m a n c h e à aux p h o s p h u l e s naturels, à haute dose, s u r a u x q u e l s on a j o u t e 2 g r a m m e s de nicotine
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les r é c e n t s d é f r i c h e m e n t s de Landes, d e s titrée à 500 g r a m m e s p a r litre. Brasser le
Baminlcc.
e m p l o y é e d'usine, d o m . à Q u i m p e r ; Jean périlleuse position. Les b a t e a u x d e sauveparties boisées, de b a s - f o n d s rnouilleux, tout é n e r g i q u e m e n t , puis se servir d ' u n
Binos, empl. de c h . de fer, d o m . à Drancy, tage de Sl-Guénolé, S t - P i e r r e el Ivérily
VENTE 1 1 DETAIL
t o u r b e u x , acides — où ils sont assez vite pulvérisateur à air c o m p r i m é à f o r t e presXjisez et Faites lire le
et Eugénie latin, cuisinière, d o m . il Quim- avaient é g a l e m e n t , ou se le rappelle, e s a t t a q u é s et r e n d u s solubles
en raison d u sion d o n t on dirige le j e t s u r les colonies P I B S A C S , C H A R R E T T E S A B l â f
per ; Lucien Bodet, industriel, et M a r g u e - sayé d e p o r t e r s e c o u r s a u biUiinent en
prix relativement faible de ces matières fer- et p a r t i c u l i è r e m e n t e n - d e s s o u s d e s P o m ET C t H I t M
rite Vince, s. p., d o m . ù Q u i m p e r ; A n d r é péril.
tilisantes.
miers en cordons.
P r i x An a s « . 0 f r . M
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(a) A lieu du dimanche des Rameaux au i octobre inclus. — (b) D.manohes et fôte», du l " juillet au 2 octobre'
Pont-l'Abbô
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