Diapositive 1 - Labo International
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LES CRÉATEURS INTERNATIONAUX
Après avoir été nommé en 2005 Grand Couturier par le Ministère
de l’Industrie et Chevalier des Arts et des Lettres, le Ministre de la
Culture et de la Communication a labellisé Frank Sorbier Maître
d’Art en novembre 2010.
Franck Sorbier a l’art d’être novateur. Maniant tant l’aiguille que le
chalumeau, tant les étoffes que le métal, passant de la réalisation de
robes Haute Couture à la création de plateaux d’orfèvrerie, Franck
Sorbier est tout à la fois artisan et artiste. En redonnant tout son
sens au terme grec de poïen, qui désigne tout à la fois l’art de
l’artiste et de l’artisan, Franck Sorbier exprime sa poésie comme un
fil tendu qui trame toutes ses œuvres. Car c’est bel et bien dans
cette double injonction d’artiste et d’artisan que le Grand Couturier
trouve la concrétisation de son travail.
En recherche perpétuelle, Franck Sorbier définie les contours d’un
savoir faire français, d’une recherche éthique et esthétique, d’un
faire qui s’ancre tout autant dans la culture et le patrimoine que
dans une réalité économique.
Portrait: Julie Mangaud
Heather Jones annonce fièrement: Mon inspiration vient du
rythme, mouvement et de ma passion venant des îles. Ma
collection est désigné afin de révéler la nature romantique et
sensuelle des femmes d’aujourd’hui». L’art d’Heather Jones
n’est que quintessence, elle représente l’affirmation de soi et
l’individualité. Le but de ses créations est d’encourager les
femmes à se sentir mieux, à avoir confiance en elles.
Sa collection s’inspire des nuits chaudes tropicales, de la
douce tranquillité des jours, des délicates eaux apaisantes,
des riches odeurs enivrantes des l’orchidées et des l’hibiscus.
Pour sa collection de 2013, Heather Jones s’inspire de
L’Océan. Chaque pièce de sa collection est unique.
Heather Jones est devenu une icône de l’industrie de la
mode, en constante évolution, elle a récemment remporté le
National Awards of Trinidad and Tobago, Chaconia Gold
Medal (La médaille d’or Chaconia du prix national de Trinidad
et Tobago), en 2009 la félicitant de son parcours dans monde
de la mode.
Le marché américain l’a récemment accueilli à bras ouverts.
Ceci lui assurant un futur qui s’annonce encore plus
prometteur. Résultant de tout cela, elle crée une nouvelle
marque de cosmétiques-The House of Heather Jones.
Ivoirien par son père, français par sa mère.
Mickaél Kra a l’âme métis. Ouverte sur le monde.
Au début des années 80, Mickaêl Kra rencontre
Chris Seydou, le grand couturier africain, issu
d’une famille de Bamako au Mali, Chris fait partie
d’un groupe d’artistes qui ont réalisé l’importance
de la tradition textile malienne. Il est inspiré par
les bogolan, ces cotons épais aux motifs rares
teints à la terre par des expertes dans les villages
reculés du Mali et rassemblés par Kandiura
Coulibaly. Chris Seydou y taille des tailleurs ultra
sophistiqués avant de se passionner pour les
broderies Dogon et les indigo. Il a compris les
potentiels des textiles pour la naissance d’une
mode africaine sur la scène internationale. Aussi,
de passage à New York, il invite Mickaèl Kra au
SITHA, le premier Salon International du Textile
Africain en 1984. Il détecte son talent pour les
bijoux, l’incite à concentrer sa création. Il lui en
commandera pour accessoiriser ses défilés. Ainsi
Mickaèl Kra commence une collaboration avec la
couture africaine, Abidjan - New York, allersretours inspirants, stimulants.
Bijoutier de renom Mickael Kra a fait évoluer le
monde dans lequel il excelle en apportant
toujours une touche spécial à un travail qui mérite
plus que des simples ovations mais un standing
ovation international pour le maitre de la
bijouterie AFRICAINE
Franco-ivoirienne, Laurence Chauvin-Buthaud de
son vrai nom, nous offre un prêt-à-porter masculin
qui allie finesse et originalité.
C'est dans son atelier basé à Abidjan que Laurence
Airline travaille des matières mixtes comme le
basin ou le coton solide et damassé. On retrouve
également dans ses créations du wax aux couleurs
vibrantes qu'elle déploie par exemple sur les
épaules de ses chemises. Pourtant la créatrice n'en
fait pas sa matière de prédilection.
« J’ai commencé à travailler avec le wax plus par
dépit que par passion. Il faut sortir ces tissus de
leur contexte, en les alliant au tailoring et à un
stylisme urbain. » déclare la créatrice.
Avec seulement trois saisons à son effectif,
Laurence s'est déjà fait remarquer par la presse
mode, avec des publications dans des magazines
comme Vogue Italia, The Guardian ou Elle. A 26
seulement, l'avenir semble prometeur pour cette
créatrice de talent qui a grandi entre la France et la
Côte d'Ivoire.
Couture...
Initialement autodidacte, Jeremy rejoint Londres á 18 ans pour nourrir sa
passion dans le domaine pointu de la mode. Il poursuit des études de
Stylisme Modélisme au London Collège of Fashion et découvre l'univers
de la mode chez Thierry Mugler en Prêt à Porter puis en Haute
Couture. En respectant les codes et traditions du luxe français, les
créations de Jeremy Bueno s’intègrent parfaitement dans l’esprit
artistique de la Haute Couture. Des tissus «faits main», des matières
innovantes, des broderies en or 24 ct, l’habit se fait parure et les
collections du couturier originaire de l’Ile de Beauté n’ont rien à envier
aux grands noms du métier!
Faire rêver ...
Faire rêver est une constante chez ce jeune créateur. Sa passion pour le
Glamour et ses lignes et découpes ultras féminines «Morphologiques»
s’ajoutent á son obsession pour la Couleur et l’Artisanat de Luxe. La
création de matières uniques est un travail que Jeremy Bueno
affectionne tout particulièrement. Ainsi il crée pour chaque collection
des gammes de tissus faits main, les «Twisted», á base de rubans de
satins, velours et autres gros-grains, qui sont ensuite redécoupés pour
créer de lignes Authentiques. Ces créations d’exceptions ont d’ailleurs
rapportés plusieurs prix au jeune créateur.
A présent ...
Installé à Paris depuis 2008, Jérémy présente ses collections lors des
semaines Haute Couture Parisiennes et propose ses créations de
modèles uniques et sur mesure à une clientèle en quète de différence...
Fakhriya Khalafova – artist, couturier, presents Azerbaijan
Professional education – graduate of High Special School of Art Design (Turkey).
Also graduated the Azerbaijan State University – faculty of biology, specialty –
cerebrum neurophysiology.
Doctor of science of the Academy of Science of Azerbaijan – Doctor of psychology.
Fakhriya Khalafova in 1998 began to work as a professional modeller.
Since 2005 began teaching of the University of the Arts and Culture. At this time, is
an assistant professor of fine arts faculty.
Currently Fakhriya is head of Centre of Fashion and Design. She is an author of
collections, which were winners of various International awards (“LIDER IN
PRESTIGE & QUALITY” – EUROPE 2006, Academician Yusif Mammadaliyev prize
2004, Meritorious Science Art 2006, Professional prize “Golden scissors-2007”)
and focus of attention of mass media. She is also involved in such businesses as
television (author’s fashion programme), artistic photography, and advertising and
creative brand development.
LES CREATEURS DU LABO 2014
Taïbo Bacar est né au Mozambique en 1985. Sa marque épon
yme est une fusion entre haute-couture et du prêt-àporter et fut créé en 2008. Aujourd’hui Taïbo Bacar est consi
déré comme l’une marque les plus importantes d’Afrique.
Une marque classique, délicate et qui donne un coup d’énerg
ie instantané à toutes les femmes qui s’identifient grâce à un
style éclectique ou la silhouette joue un rôle essentiel. C’est
une marque qui épouse et met en valeur les silhouettes fémi
nines en utilisant des techniques de coupe et des matériaux
de choix faisant de la femme Taïbo Bacar un être unique, que
l’on envi et adore !
Dans l’industrie de la mode Africaine Taïbo Bacar est considé
ré comme un pillier solide depuis plusieurs années. La marqu
e à remporter nombres de prix internationaux et fut la premi
ère marque Africaine à concourir à la fashion week de Milan.
Cette marque conquiert peu à peu le monde de la mode tout
en restant fidèle à ses origines et en mettant en valeur le vêt
ement Made in Africa et Made in Mozambique.
Ne suivant aucunes méthodes particulières pour la fabricatio
n de ses pièces, Bacar a toujours fabriqué et imaginé le corps
féminin comme élément essentiel de la collection.
Je crée mes vêtements avec liberté. Le but
étant d’être respectueux du passé, de la
culture et d’apporter quelque chose de plus
confortable. Dans mes pièces, je veux créer un
souvenir qui m’émeut. Je veux prouver que des
pièces de fabrique vintage peuvent s’accorder
avec le passé. Les couleurs et imprimés sont
mon univers.
Je crois que notre point fort est notre
individualité. C’est ce que j’essaie de faire
apparaître dans ma collection «One-Of-A-Kind
». J’imagine un look afin de créer une attitude.
Walt Disney disait « Tous nos rêves peuvent
devenir réalité si l’on y croit ». La bonne
nouvelle est que j’ai du courage afin de réaliser
mes rêves.
Mon nom est ARTSI.
La dernière collection d’Esther Dreier joue avec
l’image de la femme affirmée et audacieuse.
Mélangeant force et charme, alliant les tissus riches
à des silhouettes épurées, Esther a exploré cette
facette de la femme moderne active qui ne cesse
de la fasciner et de l’inspirer.
Toujours en partant de son univers de douceur et
de féminité, Esther Dreier redécouvre les aspects
de la femme active et les sublime. Alternant entre
force et douceur elle nous plonge dans un monde
surréaliste ou les créatures divines se veulent
charmeuses et piquantes, fortes et déterminées.
Née au cœur de la Caraïbe, d’un père indo-caribéen et d’une mère afrocaribéenne, elle étudie d’abord le cinéma en Suisse, puis poursuit des
études plus sérieuses à Paris. Maîtrise de gestion et DESS marketing
direct et, d’ingénierie de la formation.
Après des années en tant que cadre dirigeant au sein des grand groupe,
elle choisit d’embrasser une activité de consultante internationale en
CRM MULTICANAL durant 14 ans, activité que l’emmène à travers le
monde .
C’est en 2008 que, riches de tous ses apports, MICKY MAXIMUM décide
de laisser plus de champ à sa créativité et lance sa propre marque Micky
maximum. Elle dessine de magnifiques bijoux dont la forte symbolique
exprime son principe essentiel : «Tout est rencontre ! »
Prenant le parti d’utiliser des matières nobles : fer, cuivre, laiton, or - de
créer en France, où elle réside depuis 27 ans, MICKY MAXIMUM délègue
à des maîtres-d’art Français, l’exécution de ses créations haut de gamme,
100 % made in France.
Parisienne depuis 25 ans c’est au cœur de Saint-Germain des Près, elle
exprime aujourd’hui, sa passion vers l’international.
Rompue à assurer une production en qualité initiale, ou, à développer
des gammes grand public, de la création à la livraison dans des conditions
mutuellement fructueuses.
ML Colrat, artiste plasticienne a obtenu le DNSEP à
l’école d’art d’Avignon en 1993 et un Master II en art
thérapie en 2009 à l’université de Paris 5.
Passionnée par la peau et l’ossature, elle développe
toujours un travail poétique et onirique en relation
avec l’image et les sensations corporelles.
Ses créations de bijoux, tels des fétiches personnels,
s’inspirent directement de son expérience artistique.
Ainsi l’œuvre est à portée directement sur la peau.
« De tout petits mondes à observer de près, dessinés
à l’encre, au trait extrafin sur cette matière veloutée,
l’os, précieuse comme une chinoiserie dans un
cabinet de curiosités. L’oeil exercé y repère une
microscopique ménagerie un peu fofolle qu’elle
appelle ses «bêtes d’amour».» Valérie Appert pour la
revue « Atelier d’Art» 2008.