1 - Kiosque Lorrain

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Transcript 1 - Kiosque Lorrain

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Direction et Administration
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semaine anglaise, je le crains fort,
nour l'ouvrier comme pour le paser
n français féconde en surprises désatron i*
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Drincipe est bon à tous les points
e Encore faut-il qu'il s'adapte aux
hhitudes nationales.
,.Anglais travaille d'arrache-pied du
«tin jusqu'au soir, prenant pour son.
as de midi une demi-heure à peine.
rf
Fn accomplissant d'une traite sa
hptoïne de la journée, il peut sortir plus
de l'atelier ou du bureau.
Cela est une chose excellente puisque Ij
1
la mise en train du milieu de la journée
:
est supprimée, et qu'ainsi l'ouvrage n'a '
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Directeur
: René MERCIER
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Bureaux de Parla
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Richelieu,
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PUBLICITÉ
dans foutes les Agence», et a VEil 'Républicain, à N'ascy.
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LA SEMAINE ANGLAISE Aisne. = Champagne. = Meuse.
gr éab
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JOURNAL RÉGIONAL QUOTIDIEN
ABONNEMEwia
^ Qtr « dép*
Dimanche 5 Juin 1917.
Une série d'attaques dispersées de l'ennemi, qui ne
lui rapportent aucun avantage.
Rux côtés flesEtats-Unis
Plus de neutralité brésilienne
Paris, 2 juin, 0 h. 15.
31 mai. — Le Sénat a
approuvé, par 41 voix contre une, en pre1" COMMUNIQUÉ OFFICIEL
mière et en seconde lecture, le projet de
2' COMMUNIQUÉ OFFICIEL
loi adopté déjà par la Chambre, autorisant
Paris, 1M juin, 14 h. 45Paris, 2 juin, 0 h. 37.
la révocation de la neutralité du: Brésil.
Au cours de la nuit, l'artillerie
Communiqué officiel du 1er juin, 23 heu- SAM-SALVADOR OFFRE SON CONCOURS
res :
ennemie, contre-battue par la nôOn communique la dépèche suivante de
Au nord du Moulin de Laffaux, San-Salvador.
tre, a bombardé assez violemment
« On sait que la République du Salvanos premières lignes danB la ré- une attaque allemande, déclen- dor
a déclaré officiellement que dans les
gicn du Moulin de Lai: au::, sur le chés ce matin après un vif bom- conflit germano-américain ses sympathies
vont aux Etats-Unis de l'Amérique du
plateau de Californie et dans le bardement, a pu prendre pied en Nord.
ras d'à-coups.
l quelques points de notre tranchée
« Le gouvernement du Salvador vient
If bois de Chevreux.
Le samedi à midi le travailleur bri- i
déclarer 'au ministre des Etats-Unis ré| avancée, mais nos contre-attaques de
Divers
coups
de
main
exécutés
sidant au Salvador que si une aide militannique va vers la campagne où il a sa j
ont réussi dans l'après-midi, à re- taire était nécessaire pour la protection
famille. Des trains en très grand nom- ; par les Allemands, à l'ouest de
des intérêts américains en territoire salvabre, à des prix extrêmement réduits, l'a- Cerny et au sud de Loivre, ont jeter l'ennemi de la majeure par- dorien, il était disposé à lui prêter son
mènent chez lui.
tie des éléments qu'il avait occu- concours. »
échoué sous nos feux.
C'est pour cela que les voyageurs
pés.
LA COOPÉRATION OE LA FLOTTE
Une tentative d'attaque sur nos
trouvent que le dimanche dans les granAMÉRICAINE
La lutte d'artillerie se poursuit
des villes anglaises est d'un ennui mor-1 positions du Casque a également
NEW-YORK. — La présence de la flotte
tel. Les cités sont désertes. Tout est | valu des pertes aux assaillants, assez violente dans toute cette ré» américaine dans les eaux britanniques
aide puissamment au travail de patrouille.
fermé.
saus leur donner aucun résultat. gion.
Un officier de marine de haut rang a dit
L'Anglais, en effet, qu'il soit ouvrier
L'ennemi a laissé entre nos mains
Plusieurs tentatives contre nos hier à ce sujet au correspondant du « Newou patron, est parti aux champs. Il y
York Herald », à Londres :
« Les gars américains sont pleins d'acfait du tennis, du canotage, du footrball, une vingtaine de prisonniers. De positions de la cote 304 ont été reet se repose par les jeux de plein air du notre côté, nous avons enlevé un poussées par nos feux et ont valu tivité et d'allant, toujours dispos à la
besogne. Il n'y a pas de tour de sortie.
rude labeur qui l'a courbé toute la se- poste ennemi, au sud de Chevreux des pertes sensibles à l'ennemi, Quand on reçoit l'ordre de partir en pamaine sur l'outil ou sur la table de son et fait des prisonniers.
trouille, le premier bateau prêt se met en
sans aucun résultat pour lui.
route, et les Américains veulent toujours
office.
Rien à signaler sur le reste du
;
Canonnade intermittente sur le être en avant.
Après cette cure de santé où le corps
- Le résultat de cet état de choses est
front.
reste du front,
s'est détendu, où l'esprit s'est égayé, il
que le chiffre des torpillages a beaucoup
1
revient à l'œuvre avec une vigueur, une
diminué et continuera à diminuer. » —
Havas.
ardeur nouvelles.
—
vu
^Éi n ni ——
A
RIO-DE-JANEIRO,
L'INTERPELLATION SUR LES PASSEPORTS POUR STOCKHOLM
Le gouvernement refuse d'en délivrer
Admirables déclarations de M. Ribot
La séance de vendredi après-midi à la
Je disais, continue M. Ribot, que le gouChambre est présidée par M. Paul Descha- vernement donnerait des passeports pour
nel. Elle a été consacrée à la 'discussion Pétrograd lorsque, en passant à Stocde l'interpellation de M. Lebail-Maignan kholm, des Français ne risqueraient pas de
sur la question des passeports pour les | se rencontrer, malgré eux, avec les agents
socialistes qui vont à la conférence de de l'ennemi (Applaudissements). Nous ne
Stockholm.
pouvons pas laisser troubler l'opinion pal
Les tribunes sont combles. Les députés ces bruits prématurés de paix. Nous savons,
sont presque tous présents et causent avec d où ils viennent... Une campagne est comanimation. Les membres du corps diplo- mencée, avec l'audace impudente (Vifs apmatiques assistent à la séance, notamment plaudissements, sauf à l'extrême gauche).
MM. Iswilcky et Vestiich.
M. Ribot. — Ne dit-on pas qu'il existe
une convention secrète avec la Russie, ofDiscours du Président du Conseil
fensive et non défensive, que le président
Dès le début, M- Ribot fait la déclara- de la République lui-même aurait passée ?
tion suivante au nom du gouvernement :
Messieurs, cela est une infamie (Longs
Après avoir rappelé que, depuis quelque applaudissements.)
temps il est question d'un projet de conféLe gouvernement russe, d'accord avec le
rence internationale qui réunirait les so- gouvernement français, publiera prochaicialistes de tous les pays, y compris les j nement tous les documents (Vifs applaudisAllemands et les Autrichiens, le président sements).
du Conseil ajoute :
M. Ribot montre que cette abominable
« Ce projet n'est pas né en France. Il y campagne cherche à exploiter les grèves,
a eu déjà, pour résultat de troubler l'opi- cependant moins nombreuses qu'en Anglenion et de diviser le parti socialiste lui- terre, par exmple, et qui ce sont dues
même.
qu'aux difficultés de la vie.
Quand M. Vandervelde, lui-même, fils de
Nous nous appliquons à résoudre ces difla Belgique mutilée, s'est prononcé contre ficultés,
mais, dans ces grèves, il y a des
cette conférence, on a le devoir dé réfléhommes qui se cachent (Vifs applaudissechir.
Nous veillerons à ce que ies étranLe premier inconvénient d'une telle con- ments).
gers
en
France ne puissent pas troubler la
férence, c'est de laisser supposer qu'un
parti pourrait avoir la prétention de se tranquillité publique (Applaudissements).
substituer au gouvernement (applaudisse- D'autre part, un projet de loi permettra
d'éloigner les indésirables, repris de jusments sur de nombreux bancs).
tice.
La paix de demain ne peut pas être
Le gouvernement est convaincu que l'ol'œuvre d'un parti quelconque (longs ap——————
^^
—i
•
pinion publique ne se laissera pas troubler.
L'image de la semaine anglaise appaplaudissements).
Si les socialistes se réunissaient pour La Chambre et le pays ne faibliront pas à
raît plutôt aux Français sous les espèces
examiner les buts de la guerre, demain, ieurs devoirs (Longs applaudissements sur
d'une image de vacances. On ne voit de
—
■ i»i ■
.—
les catholiques auraient le même droit tous ies bancs, sauf sur une partie de l'excette semaine que la soirée du samedi
M. Lefas, interrompant, dit que les catho- trême gauche. Cris au centre et à gauche.
— L'affichage 1)
et la journée du dimanche.
liques n'y songent pas.'
LA
43"
VICTOIRE
DE
GUYNEMER
M. Ribot, acclamé par la très grande maLa
flotte
russe
de
la
Baltique
M.
Ribot,
continuant
:
La
paix
de
deJe ne crois pas être trop hardi en afjorité d© la Chambre, regagne sa place,
main
ne
peut
être
la
paix
d'aucun
parti,
er
Paris, 1 juin, 20 h. 30.
firmant que dans celte semaine il y a
ni celle du parti socialiste, ni celle du mais l'extrême gauche manifeste une vive
COPENHAGUE. — On annonce de. Pétrograd
aussi les jours de travail.
Il semble
indignation au sujet do la demande de l'afque des navires de guerre russes ont paru parti catholique.
Il
tombe
quatre
boches
en
un
jour
dont
deux
en
2
minutes.
qu'on l'oublie volontiers.
M. Grousseau. — Ce rapprochement est fichage. M. Ribot, d'un geste, calme Ténia»
j 6ur divers points de la Baltique et qu'en injustifié
(applaudissements. Quelques so- tion :
Peut-être à la. longue les ouvriers et !
! présence de cette menace, les Allemands
En patriotes, dit M. Ribot, en honnête»
cialistes
décoehent
déjà quelques traits à
! out dû faire convover tous les navires quitles patrons français s'accoutumeront-ils
gens
que nous sommes, ceja'est pas le jour
l'adresse
des
députés
de
la
droite,
qur
proCommuniqué officiel du 1" juin, 14 h. 45,
tenant Pinsard a mis hors de com- j tant leurs perts pour la Suède.
à ne prendre qu'une demi-heure pour le '< sur l'aviation :
testent. M. Deschanel exhorte l'assem- où nous sommes divisés que nous voterions
|
LE
FRONT
DU
CAUCASE
l'affichage d'un discours. (Vifs applaudisseblée au calme et au sang-froid).
repas de midi, et à dépêcher ce repas
Dans la période du 17 au 31 bat 3 appareils ennemis et triomEST FORT ANIMÉ
M. Ribot. — Je ne doute pas de l'atti- ments).
debout devant un comptoir. Mais cette
phé ainsi de son 15 adversaire.
tude des catholiques. Vous n'avez qu'à lire
|
PÉTROGRAD, 31 mai. — Communiqué russe
habitude, nous ne l'avons pas encore. mai, 32 avions allemands ont été
i du 31 mai :
l'admirable lettre du cardinal Mercier (vifs M. Cachin demande le Comité secret
Voici
les
noms
des
autres
piloEt avant de songer à l'organisation du complètement détruits, sur notre
Sur le front ouest et sur le front rou- applaudissements à droite et sur divers
Le député socialiste Cachin monte à la
a,utres bancs).
repos, il conviendrait sans doute de front, au cours de combats aériens. tes qui ont accru le chiffre de leurs j main, fusillades.
tribune. Il rappelle que son collègue MouLa paix, affirme M. Ribot dans un geste tet et lui viennent de passer trente joui»
i
Sur le front du Caucase, les tentatives
penser à l'organisation du travail.
En outre, 57 autres appareils en- exploits : adjudant Madon, 12 ap- | des Turcs, forts d'environ deux compa- énergique, ne peut être qu'une paix fran- en Russie, au milieu des événements les
En France, les moyens de transport
pareils, sous-lieutenant Tcraccon, I gnies, pour prendre l'offensive au nord- çaise (vifs applaudissements sur tous les plus formidables. Nous craignons, dit l'opour la campagne sont aussi réduits nemis ont été sérieusement tououest de Kalkit ont été repoussées par bancs, sauf à l'extrême gauche où cepen- rateur, que le pays et le Parlement lui11 ; adjudant J ailler, 10 ; capitai- ;j notre
feu.
dant plusieurs socialistes applaudissent). même ne1 soient pas renseignés, mais il y a
quen sont élevés les prix.
Certaines chés et se sont probablement écraM. Ribot. — Elle devra résumer les aspi- certaines impressions qu'il ne serait pae
ne
Maiton,
6
;
maréchal-des-logis
Au
nord
de
Bitlis,
une
bande
de
Kurdes
compagnies même, — sous prétexte d'é- sés sur le solf dam leurs lignes,
armés a tenté de nous enlever du bétail, rations du pays tout entier.
Souiller,
S.
possible de confier actuellement à l'ensemviter les accidents dûs ù l'encombremais elle a été dispersée.
Qui peut représenter le pays ? C'est le ble du pays, que nous renseignerons plus
Le capitaine Guynemer a abatment, — au lieu de multiplier les voituLes Turcs, qui tentaient de s'approcher gouvernement qui collabore avec les Cham- tard complètement.
tu, pour sa pari, S avions dont 4
j de nos éléments au sud de Van, furent bres, qui leur demandera, quand le mores et les bateaux, se contentent tout
L'orateur «demande alors la réunion de
re jetés.
ment sera venu, de l'aider de leurs con- la Chambre en comité secret, ce qui est
Mnnement de doubler les tarifs. Qui ne dans la même journée. Deux déSur la Diala, chaleurs tropicales accom- seils par l'intermédiaire de leurs commis- voté à mains levées.'
connaît les bousculades dominicales au- cès appareils ont été descendus à
sions: 'auxquelles il communiquera tout
pagnées de vents chauds.
La séance est suspendue et reprise en
(vifs applaudissements). C'est ainsi que comité
tour des rares cars dans lesquels on une minute d'intervalle, pour la
AVIATION
secret.
Communiqué français dui 1" juin, 23 heunous devons agir et je suis sûr que cela
-entasse au risque de la rupture des es- première fois peut-être dans cette res, sur l'aviation :
La
séance
en comité secret est suspendue
Nos
avionsont
lancé
chacun
quatre
bomest l'opinion du pays tout entier.
sieux ?
à 19 h. 10. Elle reprendra demain samedi,
bes sur les voies d'évitement près du bourg
Peut-en
en
converser,
à
cette
heure,
avec
guerre. Ces cinq nouvelles victoiAujourd'hui, deux avions alle- de Sola, sur la voie ferrée de Liban-Rorn- ceux qui sont nos ennemis ? (vifs applau- à 14 heures. — Havas.
_ Ce serait donc pour le Français l'obiires
portent
à
43
le
chiffre
des
mands
ont été descendus par le ; ny ,sur ia gare de Vojgyany et sur la voie dissements), avec ceux qui n'ont pas eu
èu oire séjour dans les villes d'où, — à
j ferrée de Bologtchf-Sëdïet, où nous avons un mot pour désavouer leurs crimes ?
la semai
avions
allemands
détruits
jusqu'à
tir
de
nos
canons spéciaux, ils sont ' constaté des explosions réussies.
82 f
nc anglaise, - se(longs applaudissements).
, bannies toutes distractions puis- ce jour par ce vaillant officier,
M. Ribot ajoute : — Leur silence critombés dans leurs lignes. — Ha- | LES ATTAQUES KURDES AU CAUCASE
Ne tout , monde serait en congé.
minel... (une nouvelle manifestation d'apDans
la
même
période,
le
lieu!
PÉTROGRAD.
—
Communiqué
rus^a
du
va3.
e
probations ' enthousiastes couvre de son
lor juin :
D6SASLRE Inoral £1 les falnille
tilvaie i K
s
tumulte
la fin de cette phrase).
Les interpellations sur ie ravitailFronts occidental et roumain, sans chanir
dessus bras dessous, IraîM. Ribot continue. — ...Alors qu'une
gement.
lement
1 lassitucie toute
dimanoi '
'a journée du
Caucase. — Les Kurdes continuent à partie du territoire est encore occupée par
l'ennemi,
peut-on
converser
avec
celui-ci
?
l6S nies mornes
La
séance
de
vendredi
au Sénat est préattaquer nos tranchées, a unord-est de
' ks r i
> devant
Cela est tellement ressenti de ce côté (M. sidée par M. A. Dubost. Au banc du gouX baissés lles
KerrnanchahUn
millier
de
cavaliers
attastores r /
magasins, les
désigne les socialistes, qui interrom- vernement sont présents MM. Viollette et
quent nos troupes. Le combat continue. Ribot
S d0S caf 3s lcs
rles cl
pent)..
Roden.
— Havas.
se avr
' '
P°
°N
s
C némas et des lh(îutrcs !
ui
M.
Ribot
continue.
—
Le
gouvernëment,
M. Dubost annonce qu'il a reçu de M.
LES
USINES
QUITTENT
PETROGRAD
voudrait VWre
Q
Raids,
escarmouchQB
et
disais
d'artillerie
L'ennemi
con!re-ati«qus
sur
îo
Yodica
eî
qui a conscience de ses responsabilités, Chastenet une demande d'interpellation
dans ranné(i
deux foi
cinquantePÉTROGRAD. — Une conférence d'usiniers
sait que si un pareil projet se réalisait, il sur le fonctionnement des téléphones, puis
sur
toiis
ia
front
britannique
GS lamcnlab!cs
essuie
des
pertes
très
lourdas
de
la
région
de
Pétrograd-s'est
prononcée
heures ? °
vingt-quatre
créerait des troubles dans l'opinion publi- M. Perchot développe son interpellation
pour l'évacuation des usines de la partie que.
Paris, 1er juin, 17 h. 15.
Paris, 1er juin, 23 h. 15.
sur la politique économique du gouvernede
la
population
non
obligatoirement
reteer
lllté la semaine
Communicrué officiel britannique du 1
A cette heure, le pays a besoin de ras- ment et sur le ravitaillement général du
ROME (officiel). — intense activité de l'arnau?ure
anglaise ne s'inue
à
Pétrograd
par
ses
occupations.
Afin
tillerie dans le secteur nord du Carso, de- d'éviter le séjour prolongé des personnes sembler toutes ses énergies dans la pé- pays. L'orateur reproche au gouvernement
nal S pas conillle «ne école commu- juin, après midi, 1 h. 6 :
riode finale de la guerre. Si on faisait de n'avoir pas de plan bien établi et d'agir
Pendant la nuii, nos ttoupss ont legera- puis Gorizia jusqu'à Pava.
n e 0ll
P nt sus cnd
ne se trouvant pas dans ce cas, les cartes
°n Bill?? °
P
u- Ce n'est pas ment progressé à ('ouest de Chérizy, vers
Dans ia zone du Vodice, nous avons re- de pain et de sucre seraient délivrés aux croire au pays qu'une paix prochaine peut au hasard en dépensant sans compter au
mode dont 11 est
poussé une violente attaque contre les hau- nouvaux arrivants seulement pour une du- sortir de pareilles réunions, quels seraient, lieu de vivre sur ses propres ressources
de sWn
Possible Gouzeaucourî.
•
.
pour les matières que nous produisons.
dont 11 csl facilc
dc
se
La nuit dernière, rencontre de patrouil- teurs 592 eî 652. L'ennemi a essuyé de3 rée de sept jours. Les familles des mobi- messieurs, les résultats ?
défaire
11 est temps, ajoute M. Perchot, de reveNon, messieurs, la paix ne peut sortir
u
eSl loute llne
le* qui se sont terminées à notre avantage. Derte3 très lourdes. Les batteries italien- lisés seraient transférées en province, sauf
« mé'^n
institution, tout
Noua avons exécuté avec succès des coups nes ont dispersé d épaisses colonnes de celles travaillant à Pétrograd. Les étran- que de la victoire (cette affirmation sou- nir à une politique plus saine.
mtEll
me com lexe
Sur la main-d'œuvre, l'orateur invite le
i's anSlaise
P
> adapté aux de main au'nord-est d9 Loos et aux abords renforts.
gers sans travail, j comme les ambulants, lève sur tous les bancs, à l'exception d'une
très.
°
s, et non point aux nô- du bois de Plosgsteeré. — Bavas»
Nos batteries antiaériennes ont forcé des les forains, les Chinois, seraient expulsés. partie de l'extrême-gauche, un enthousias- gouvernement à demander à nos alliés les
avions ennemis, qui bombardaient Udine Les malades et les soldats convalescents me extraordinaire. Les députés se lèvent ressources nécessaires. Il regrette que l'on
Paris, 2 juin, 0 h. 40.
et font une ovation à l'orateur, qui pour- n'ait pas fait plus largement appel à la
arrivions un
et Ccrvignano, à se retirer. Nous avons
transférés dans: les environs de j suit
^oheÏÏn
Jour à organimain-d'œuvre coloniale.
Communiqué officiel britannique du 1er bombardé IC3 installations militaires de seraient
son discours en ces termes) :
Pétrograd
ou
en
province.
se r
Un
M. Viollette, ministre du ravitaillement,
apDrnr>h
de travail qui juin, 21 h. 30 :
Que
penserait-on
de
l'autre
,côté
de
Barcola,
près
de
Trieste.
—
Havas.
Ces mesures paraissent nécessaires à la
dc c
1 ■^^■H^. ,
,
-,
.
répond
aux différentes questions posées
l'Océan
dans
cette
République
des
Etatsc'est
elui-là, c'est possible,
Pendant !e mois do mai 1917, nous avons
conférence des usiniers pour que la capipar M. Perchot et dit notamment :
fait tant au cours des opérations dans la
Mais lGS fonclions éc
tale, ainsi dégagée, puisse se suffire avec Unis ou l'on se prépare à nous apporter
^iniques n
°- zone do bataille que dans des actions se« La période qui vient sera dt <4cate,mai»
aide si précieuse ? (applaudissements).
bles
SUp ortent
a
les approvisionnements qu'elle reçoit en une
Proton f
P
P s sans trou- condaires qui ont eu lieu sur 41 autres
Non, messieurs, le gouvernement ne peut nous franchirons sans trop de peine juin
vivres, matière première et combustible. —
s
des boulev
pas laisser se créer un tel précédent. 11 ne et juillet, à la condition qu'il n'y ait dans
'brusque?
ersements aus- pointe du front, 3412 pr.sonmers, dont 6$
Havas.
r
Communiqué d'Orient du 31 mai :
se
faut pas prendre la responsabilité de l'au- le pays ni panique ni négation du péril. »
Procèdeni
modifient, elles ne officiers Un canon de campagne, quatre■■ ■■■ —■
■ ^£>-0-4&»■■La suite de la discussion est renvoyée à
Raid anglais dans la région de Karactoriser à faciliter le voyage de'Stockholm.
mitrailleuses, vingt-un mortiers de
î,ÏCcommniîas.p1ar soubi'esauts, elles vingts
toli. Combats d'avant-postes vers LjumIl ne peut y avoir aucun doute sur le mardi prochain et la séance est levée. —
campagne
sont
en
outre
tombés
entre
nos
r r
nion. Grande activité do 1 aviation do part
patriotisme dc nos collègues (M. Ribot Havas.
° me aveîïî1 a la vie' <îui se tra"S11 esl a
désigne ici les socialistes, aux applaudis""ÏÏnraid allemand a été repoussé, au dé- et d'autre. Des avions ennemis ont jeté des
bombes sur Florina et sur Bukovo. Des
sements de la gauche). Le gouvernement
Iaift
u ne raison
«uè«5!. .
P°»r ne point but de la maîinée, au nord-ouest de Bour- avions britanniques ont bombardé avec sucPlusieurs officiers arrêtés
dipprécre comme fl convient le précieux
sies (route de Bapaume a Cambrai).
Sutf
p Cr ence sur une
isa
,
i
matière in- " un de no3 détachements a pénétre dans cès le camp ennemi de Rogdanci, — Haconcours que ce parti n'a pas cessé d'apParis. 1" juin, 18 h. 35.
qucn mrnp (
U:di6e Cetl8 ra
_ .
LONDRES. — Le bruit a couru à Madrid
porter au gouvernement, soit à la Cham°us2
ison est les positions ennemies au sud d Yps es et
dus des désoidres avaient éclaté à Barce- bre, spit au dehors (applaudissements).
a bombardé avec succès un certain nomlone.
M. Ribot rend également hommage aux Des officiers anglais frappés à coups
d
mes ob,i és de
bra d'abris souterrains ramptis de troupes.
« Proaliirn
=
Produire et
Le ministre de la guerre a confirmé !a sentiments qui animent nos alliés russes,
Grande activité des deux artilleries au
de couteau
lam
nC re Pl
?
Ps, nrn f ° '
'°d"ire dans les cours do" ia fournée, dans la région au
nouvelle et a ajouté uua plusieurs officiers qui comprendront certainement les raisons
r lre dans les
d Uire
Paris, 1« juin, 20 h. 30.
,
dans i '
»£ines, pro- sud-est d Epchy, de part et d'autre de la Ils survolent la Suède, et mitraillent 1 auraient été emprisonnes dans la forte- qui ne permettnt pas, à l'heure actuelle,
clier
resse de Monjiiich. — Havas.
certaines conversations.
ATHÈNES — La légation britannique coms, Lf .manufactures, dans les Scarpe, et dans le secteur d Ypres.
un avion suédois
D d Ulre
0me
Le gouvernement français a eu déjà l'oc- munique la note suivante : i
?
nt -° ,
Partout et de tout. Le
AVIATION
Paris, 2 jvin,' 0 h. 15.
casion d'exprimer sa sympathie et son adn
« Les lieutenants Burns et Campbell
ari
paS VCnu de S01,
Malmoé (Suéde). — Deux avions aileNas aviateurs ont exécuté avec de bons
miration pour les hommes courageuK qui quittaient
?: ches.
Ser aux
LE MARTYR DU NORD
;
en uniforme l'hôtel Aktaion, à
r
>■
3Î
sic
le
'
suédois,
ont
pris
en
main
le
gouvernement
russe.
résultats,
dans
la
nuit
du
30
au
31
mai,
s soldai
Phalôre, où ils avaient dîné, lorsqu'un
l0Urs
S lienn
ils ont attaqué avec leurs mitrailleuses un
des
expéditions
de
bombardement
a
longue
Le
gouvernement
français
n'a
rien
négligé
de w,!
'ent la tranchée les
qui les attendait, embusqué, s'apDortée contre des dépôts de munitions et aviateur suédois parti pour les reconnaître. ILS DEMONTENT LES HAUTSpour apporter une aide efficace au gou- homme
C
e les autr
procha soudain et les frappa à coups de
—
T SePt ÙnL
T
es
jours.
Ils
vernement
ru3se,
auprès
duquel
11
a
délédes «ares ennemies.
urs
FOURNEAUX DE D EN AIN
poignard. Le lieutenant Burns fut blessé
mois.
de repos tous les quatre
Hier deux apoareils allemands ont eta
gué un ministre français. Nous continne- i grièvement et le lieutenant Campbell séHAZEBRODCK. — Les otages du Nord qui
Raid
aérien
sur
la
côte
beige
abattus en comiats aériens. Un autre a
I I rons à avoir les rapports les plus étroits rieusement. D'autres officiers britanniques
I avaient été envoyés en octobre dernier en
llï
à Cela
«lai^
Plutôt qu'à la semaine été contraint d'atterrir, désemparé. Tous . LONDRES. — L'Amirauté communiqué çjvtc : Allemagne et qui, depuis cette date, étaienti | avec le gouvernement russe (applaudisse- maîtrisèrent l'agresseur, qui tut remis à
plusieurs raids ont été effectués, dans la
les
nôtres
sont
rentrés
indemnes.
—
Havas.
; I ments). Nous avons déjà envoyé à Petro- la police grecque. Sir Elliott, ambassadeur
^ricl j
nuit du 31 mai, par nos escadrilles th ; internés au camp de Holzminden, sont ren-■ i grad trois de nos membres, dont .deux sont d'Angleterre à Athènes, a conféré aujoura p
1 1 11 06 sera dé!iv
.
très
en
France.
Dunkerquc, sur Ostende, Zeebrugges et
• revenus. Nous donnerons encore des p.as^rons ) * "
rée, quand
SUR LE FRONT BELGE
On apprend que les Allemands emploientt seports pour aller à Pétrograd, lorsque la ■ d'hui avec M. Zaïmis au sujet de eete atBruges. De nombreuses tonnes de projecI' ,rGloire, alors on pourra
! tentât, qui fera l'objet d'un rapport écrit
tiles ont été lancées, avec de bons résul ; actuellement des prisonniers russes à dé-- i conférence de Stockholm aura été écartée (lès que les ( ffleiers blessés, pourront *t*B
monter les hauts-fourneaux de Denain-An-. ! (vives protestations et exclamations ironiLégère
activité
des
deux
artillerie»,
—
tats.
Tous
nos
avions
sont
rentrés
indem
| interrogés. Les mobiles de cet acto Mal
I
REHâ MERCIER.
■es. — Havas.
Havas.
ques à l'extrême-gauche).
( înconrus. » — Havas.
5ft
TAELEAU
%Wmm il CHASSE AÉRIENNE
Est-ce le réveil?
Nos artilleurs en dsssenilent
deux
AU _SÉNAT
Lfl LUTTEJD
il CM
prS
Sur le front d'Orient
TROyOLESJ OiRCriaSE
NOUVEL IRCIMNT EN GRÈCE
Leur mepriste neutres
, IJ
i
.onglemps et le pore et l'ami tenaient à )rent après avoir pns la sage précaw-^
se déclarent enchantés. Heureux d'avoir
Matinée de gala de demain,
:è»/er joyeusement wur D©<*ur au j»ays. Ce» <de déposer leurs m;ich»nes dans uT,
AVIS MORTUAIRE
01
échappé au danger dont le souvenir est
jcaidoUii., le u>u ue ia convisalioii s devait idu dit café. Une demi-heure après env^ *
dimanche
encore vif, ils écrivent en général des carjiiraJ.éicnuii aux piw;s de soucoupes, et la iquand ils sortirent, ils s'aperçurent?1*
Madame
LOY
;
Madame
veuve
LAMET
;
j.
tes pleines de satisfaction C'est un fait
Cest dimanche, à 3 heures, Salle Poirel, ,
bicyclette de marque parrsi«n\,nUi
n
jairomio crut pincent a y uibtwrw un ter- qu'une
t
constant, après les combats d'avril et de (que la belle manifestation en l'honneur ;Monsieur et Madame ROBINET ; M° " i
1
a'une
valeur
de 250 francs avait Ti^f^
-ue.
£>ur
refus
ue
servir
toute
nouvelle
couet Madame PEUT et leur fils ; Mon- I r
mai, en Champagne.
. la Lorraine, donnée par la société Erck- sieur
de
;
iuindiiaUun, la uetuiaiitie s a*ora turce in- !
sieur
et
Madame
GREGY
et
leurs
enfants
;
a
Un soldat semble envier la vie de nos mann-Chatrian,
j
sous le haut patronage du Malgré les recherches opérées de «n^*.
et Madame BENARD et leurs \voelives et menaces ; ia. go*marMiei!ie uut
soldats : « Le soldat français a une vie jPrésident de la République, aura lieu avec Monsieur
'
Lijterveuir. L.a vtie ue i'iàaM,K>«ne ne calma
!on n> niiu mettre la main au colle^
enfants
:
Monsieur
et
Madame
SAUVEZ
et
i
très belle et très libre. »
le concours des hautes personnalités de ' leurs
!
enfants ; Monsieur BERTRAND,
I j[Kiiut ies esprik} s>urcliau»*6s. i>es rupresea- H
On retrouve la même note â peine atté- ]la Lorraine intégrale.
Vol. — Mme Marguerite Pierson 36 .„
Ont la douleur de vous faire part de la i ttanis do ta roroo puokqaLie fuient îaai .ac- i
nuée dans la correspondance des officiers
A
la
première
partie,
présidée
par
le
.
ménagère possède un poulailler W uZ*'
Paris, 2 juin, 1 h. 40.
(Maison d'arrêt de chalons), souvent éton- I ]Préfet de Meurthe-et-Moselle, on enten- perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en ccueillis ; l'un deux, le uwgainer Chanaa- vaut à 100 mètres de son domicile et Rit I
la personne de
çjne, fut même sitH-du assez lonemeitl au
ROME. — Le sous-marin Circé a torpillé i nés que les racontars qui ont cours en Al- |I dra pour la première fois à Nancy le cha(
bras par* Hector liccht. H ce seriner, le au fond 'une cour commune. S'v runa
et coulé, le «96 niai, devant Cattaro, un lomagne soient ocmplètement faux :
j
! noino Collin, directeur du « Lorrain », à
Monsieur Henri LOY
tribunal inflige la jours de p*isou et 5 fr, le matin elle trouva à terre le clj^
grand sous-marin ennemi, qui sortait de j
" Le traitement est très bon ; la nourri- Metz,
;
dont tous nos concitoyens se rape
Cafetier
c
d
amende pour >e ouiil d'ivresse, dix jouis le piton fermant la porte du peut irn-^J
ce port, escorté par un torpilleur.
ture aussi » (sous-lieutenant B..., 363 régi- jpellent les luttes avec les Allemands ; A.
de
la même peine et semblable amende aux j
er
Bien qu'attaqué par des avions ennemis, ment, 5° compagnie, 20 avril).
I| Aderer,
l'homme de lettres bien connu., idécédé à Nancy, le 1 juin 1917, dans sa '
Y pénétrant, elle eut la douloureuse RI
t
le sous-marin français est rentré indemne
:
<( On nous traite vraiment très bien, I rédacteur
]
au « Temps », promoteur de la ; 31e année, muni des sacrements de l'Eglise. 1EUTtres uelinquaiit-s.
1 prise de constater que les dix poules m
—
AviiiH
ue
prononcer
son
jugement
beaucoup mieux que je n'aurais cru » jjournée « Pour Metz », à la Comédie Fran- | Et vous prient d'assister aux convoi tuà sa base. — Havas.
s'y
trouvaient
la
veille
avaient
été
PM
(sous-lieutenant Kmmenwerfer komp. 58, I çaise.
service et enterrement, qui auront i <■dans une aliairc de mouillage de vin, le vées nuitamment. Les cambrioleurs niT
M. Albert Lebrun, député de Briey, < nèbre,
i
(
20 avril).
i
le dimanche 3 courant, à trois heures t
| ancien
ministre, prendra également la pa- lieu
'.
tu mes avaient lntesé sur place deux têt«
« Si ce qu'on dit chez nous sur le sort I, rôle
j
ainsi que M. J.-P. Jean, président du [idu soir, en l'église Saint-Joseph, sa parois- |
des volailles qu ils avaient dérobées
les
échantillons.
Ce
fonctionnaire
lait
une
,
et
de
là
au
cimetière
du
Sud,
où
se
|
1
des prisonniers est vrai, en tout cas, pour |' |Souvenir Français en Alsace-Lorraine, et . se,
:
Le préjudice causé est évalué à 100 f
tr
déposition
très
nette
qui
vient
en
partie
<
ce qui me concerne, je n'en ai pas fait ji inotre éminent compatriote Maurice Bar- ; :lera l'inhumation.
Enquête ouverte.
<
détruire
ies
allégations
de
la
commerçante
i
ROME. — La nuit passée, à la suite d'un j l'expérience, notre sort est beaucoup meil- i rès,
j
qui prononcera un discours. '
Maison mortuaire : 17, rue Erckmann- *
COUSANCES-AUX-FORcri
raid effectué par des avions ennemis sur i leur que tu ne le penses » (sous-lieutenant !
1Incriminés.
Le concert qui suivra sera magnifique nChatrian.
Vol. — Une ceuturière, Mme Marie Lu-?
— Jeanne Poucheuz, 35 ans, fille-mère de !
l'arrière des lignes de nos armées, nos es- John F. 12 rgt, 10e compagnie, 8 mai).
j 1tant par le choix des artistes que par la ' Il ne sera pas envoyé de lettres de faire
bô,
après
avoir
lavé son linge, l'avait m£
deux
enfants, était en dernier ideu bonne
cadrilles d'hydraviolis de la Haute-Adria- i
c
<i Le caporal français qui m'a fait priicomposition du programme.
part, le présent avis en tenant lieu.
à sécher sur des fils de fer dans son ia,
(dans une famille à Foug.D'un caractère peu
tique se sont élevés immédiatement pour sonnier a été très gentil, de même tous les
Citons entre autres plusieurs duos chanstable, elle fit un beau matin sua baluciion I din. Le lendemain, une grande partie d««
effectuer,' de 21 h. à 23 h., le bombarde- i soldats. Partout, on m'a offert de l'eau et ités par Mme Le Senne, de l'Opéra, avec
objets étendus manquaient
^
ment des chantiers du Lloyd et d'Opoina. j du café. La nourriture est bonne, le trai- M.
i
E. Size, de l'Opéra, professeur au ConREMERCIEMENTS
jet partit pour Dijon. Elle avait eu soin, |
Mais les délinquants, dans leur hât»
la veille, d'aller indûment, pour le compte |
Nos avions ont attaqué aussi une esca- j tement amical » (sous-lieutenant F., bat. | !servatoire de Paris, comme protagoniste.
sa patronne, s approvisionner de deux avaient laissé deux objets qui ne tardèrent
drille de contre-torpilleurs ennemis, qui ; 39,
batterie, 8 mai8.
Un chant de guerre déclamé par Mme
Le Comte et la Comtesse DE LANDRIAN I de
J
1
se sont sauvés en se dirigeant à toute vi- J
« Après un long et terrible combat, j'ai ! :Madeleine Roch, de la Comédie Française. et leur famille prient les personnes qui ont | belles
paires de chaussures chez un négo- pas à les faire découvrir. Ce sont les n™
mées Mathilde Mathieu, 20 ans, sans DÏÏ!
tesse le long des côtes vers Trieste.
été fait prisonnier. .Les deux fiers de notre !
« Les danses de chez nous », danses de 1 bien voulu leur témoigner leur sympathie, <ciant du bourg. — Un mois de prison.
et sa sœur Marguerite MathiPii
Tous nos appareils sont rentrés réguliè- régiment sont morts ou prisonniers. Ver- i Bretagne,
'.
du Languedoc, de Lorraine, I à l'occasion do la mort du
— Aristide Hléan, cantmier, et Mke Ma- fession,
1» ans.
"»
dun n'était rien en comparaison. Dieu soit ! id'Alsace, etc., exécutées en costumes par j
rie Lenoir, sage-iemme, exploitent, en as- j
rement à leurs bases. — Havas.
Après leur aveu, elles ont été arrêtées.
loué ; je suis admirablement traité. La ]j Mlles A. Meunier et Léa Piron, les exquisociatiem, un commerce de ravitaillement
-—■
-*-•->>
_
nourriture est fantastiquement bonne (mar- | ises premières danseuses de l'Opéra.
hmilitaire à Ménil-la-Tour. L'inspecteur
Mme Marguerite Carré, de l'Opéra, la de trouver ici l'expression de leur sincère (chargé de la répression des fraudes trouva
chenhaft gut), en toute sincérité » (sous,dans le magasin des paquets de margarine
lieutenant S..., Rgt, 11° compagnie, 25 ! belle créatrice de tant d'admirables pièces eratitude.
avril).
à l'Opéra Comique, fera entendre une
sans étiquette apparente, pouvant être
« Les Français sont extrêmement cheva- j œuvre poignante d'un de nos jeunes et
confondus ou vendus comme pains de beurleresques ; ils estiment leurs adversaires et I remarquables compositeurs, et plusieurs
re. — A chacun 50 fr. d'amende.
BOCHES DU DÉBUT
LE THH.L0T
les plaintes au sujet des mauvais traite- j mélodies aimées du public.
Nos compat<iote3 au feu. — Notre comArrestation. — La gendarmerie a arrêté
De la « Liberté » :
Mme Le Senne et M. E. Size, les artistes
ments sont injustifiées. Tout est bien réglé, j
patriote Jean Dalsace, médecin auxiliaire le soldatEmile Prétot, du ..» régiment d'in« Une réfugiée de Lille, évacuée récem- La nourriture est bonne et abondante » î bien connus de l'Opéra, ont composé un
au ...e régiment d'infanterie, blessé d'un fanterie territorial d'infanterie, qui était
(sent, rapporte que, lors de l'entrée des j (sous-lieutenant M..., 105° Rgt, IIe compa- | programme très varié et chanteront la
éclat d'obus à la tète; déjà cité à l'ordre
Semeurs de fausses nouvelles. — Un du régiment et de l'urinée, vient d'être porteur d'une permission de sept jours pé.
Allemands dans la ville, elle eut à loger grue, 25 avril).
« Marseillaise » avec la musique militaire.
rimée. Prétot, qui est âgé de 44 ans et ha.
lia officier prussien, et qu'une des premiè- \
■
>
nommé
Forvain,
58
ans,
jardinier
à
Saint|
Le talentueux sociétaire de la Comédie
Les prisonniers sont satisfaits du tral'objet de la nouvelle citation qui suit :
bite Franchevelle (Haute-Saône), a déclaré
res paroles que lui adressa cet individu j vail auquel ils sont assujettis. « Le tra- Française, André Brunot, a été autorisé | Nicoias-du-Port, ayant rencontré un ami
« Médecin auxiliaire d'un grand coufut celle-ci : « Indiquez-moi la place de la | vail me plaît tout à fait, écrit, le 10 avril, à venir.
sur ia route de Kosières, lui fit part de rage et d'un dévouement extrême ; le 16 que, voulant rejoindre son corps par la
voie du Bailon d Alsace, il s'est perdu dans
Concorde ». Le naïf Teuton se croyait à j du parc d'Allebaudières. le soldat L. K. ;
secrets
militaires
si
pessimistes
que
son
Georges Chepfer, que*Nancy entend trop
avril 1917, est crânement parti à l'assaut
Paris.
! lorsque nous allons au travail, il nous rarement, donnera à cette matinée une couliuent ne put les garder pour lui tout j aux côtés .de son chef de bataillon et a été la montagne. D'où son retard 1
Ce même officier se laissa aller à quel- I
grièvement blessé en organisant un refu- I
semble nous en aller en promenade. Seule, création qui sera un succès de plus à l'ac- seul, et ies répéta à tout venant.
REMIREM0NT
ques confidences ; il raconta entre autres : la liberté manque. » Et le soldat S..., du tif de notre concitoyen-,
Ces nouvelles hornfiques parvinrent aux i ge de blessés sur les positions conquises. ;
Au conseil municipal. — A propos de la
choses que son régiment avait été mobi- |
oreilles
de
M.
Paoii,
ocmmissaire
de
pouce,
j
La
partie
instrumentale
sera
tenue
par
A fait preuve d'abnégation en refusant de circtulation des habitants dans les zones
même parc, le 25 avril : « Nous demeurons
lises le 6 juillet.
dans de jolies baraques et aérées, et nous l'excellente harpiste Mlle Poulain et Geor- qui ouvrit une inlorniation contre l'orvain, | se faire soigner pour permettre aux in- militaires, le conseil municipal a pris, 4
Et c'est à des gens qui ont vu cette prépaqui fut entendu et confronté avec divers j firmiers de s'occuper d'autres blessés. »
ges
Sadler,
l'artiste
bien
connu.
l'unanimité, une délibération protestant
ration à la guerre, avant qu'il fût question avons un travail agréable à l'air libre. »
Le programme-souvenir, que de char- témoins. 11 avoua.
Le médecin Jean Dalsace est le fils de contre les nouvelles règles imposées aux
Les bains sont très appréciés par les pride guerre, que le kaiser ose dire : « Je
Le soir même, Forvain pénétrait dans le ; M. Dalsace, receveur des finances de Toul, citoyens par la nouvelle délimitation de la
sonniers d'Arcis-sur-Aube. « Surtout il rè- mantes quêteuses vendront au profit de
jure que je n'ai pas voulu cela »
gne ici une grande propreté ; nous pou- l'œuvre, sera une véritable surprise avec bureau de police en coupant les lames des j qui s'est acquis dans notre ville de nom- zone réservée. Le conseil estime, en effet
GUILLAUME
• 1 que les citoyens auxquels ont été délivrés
vons nous baigner tous les dimanches » ses deux dessins de nos maîtres Friant et persiennes et U y provoquait un commen- breuses sympathies.
Prouvé.
cement d'Incendie, dans ic but de détruire [
Avec nos souhaits de prompt et complet des cartes d'identité alors' que RemiroDe M. Alfred Capus, dans les « Anna- (soldat N...).
C'est dire que les personnes qui assis- son dossier, il se retirait ensuite après rétablissement, nous adressons à M. Jean mont était classée dans la zone réservée ne
Un prisonnier du détachement de Vitryles » :
teront à cette matinée unique en garde- avoir dérobé le sceau du commissaire.
sont pas plus suspects maintenant qu'auDalsace nos sincères félicitations.
« Le kaiser donne l'impression d'un Le-François décrit le plaisir que lui procure
' ront un souvenir inoubliable et contribueFort heureusement les voisins pfllrent
— Voici la flatteuse mention qui accom- Daravant. où leur honorabilité et leur pahomme qui n'est plus de taille avec les : le repos du dimanche, « Pendant toute la
ront en même temps à l'œuvre de « L'as- éteindre rapidement ies nammes.
pagne la citation à l'ordre du régiment du triotisme furent alors reconnus ; que ce
événements qu'il a déchaînés et qui le | semaine, je me réjouis du dimanche. C'est' sistance immédiate 'en Lorraine délivrée »,
Forvain est poursuivi p'jur avoir tenu lieutenant Royer ' (Maurice-Marius^, cité svstème entrave la vie économique sans
un
vrai
jour
de
repos.
A
6
heures,
on
boit
submergent. Depuis quelque temps déjà, il |
' présidée par M. Mirman, préfet de Meur- des propos alarmistes et pour destruction ! déjà deux fois à l'ordre de l.'armée et fait résultat vraiment efficace pour la défense
fait dans son propre empire une figure le café, puis on peut faire ce qu'on veut, the-et-Moselle.
de documents judiciaires. — Le Tribunal ; chevalier de la Légion d'honneur sur ie nationale. Et c'est pour ces raisons que
médiocre et dont les traits, si saillants même dormir. D'ordinaire, nous profitons
correctionnel de Nancy le condamne à six i champ de bataille :
le conseil a cru devoir prendre la délibéautrefois, s'effacent de jour en jour. D'au- de la matinée pour faire la lessive. On peut
mois ae prison et 100 fiancs d aui/enue.
1
CVA!Ï!?!_AS
« Le lieutenant Royer, dans toutes les ration ci-dessus, qu'il a adressée aux retres hommes que lui ont pris la direction aussi lire. Nous soignons notre repas, car
— Michel V..., 43 ans, a Saint-Nicolas, se |
présentants du~ département pour que le
profonde des affaires, dont il n'a plus que on peut s'acheter des vivres supplémentaiPoitrine de bœuf, 1 fr. 20 le i kilo ; veau, trouvant dans un café, a tenu des propos attaques préparées jusqu'à présent par le gouvernement en soit saisi.
régiment, a contribué pour une large part
le maniement extérieur. Il fait encore par- res : graisse, lard, fromage, sardines. Au-* de 1 fr. 80 à 2 fr. 20 le i kilo.
alarmistes à plusieurs consommateurs. — ; aux succès remportés, en organisant d'une
A cette mêm6 séance, le conseil a exa; tie d'un décor impérial : il ne l'emplit plue jourd'hui, nous avens eu du macaroni et
50 francs d amende.
façon parfaite ,les réseaux téléphoniques, miné et approuvé les divers comptes ad: a. lui tout seul, comme jadis. Avec qui sera- du bœuf. L'après-midi, nous avons eu noOutrages. — Charles Zuberbuhler, 24 ans, î en facilitant de toute manière aux officiers ministratifs de 1916 et les budgets addiRenversé par un tramway
: t-il obligé demain, de partager son rôle et tre première séance de chant. » (Gefreiter
charretier à Nancy, a injurie un agent de téléphonistes de grouper l'établissement tionnels pour 1917 de l'hospice, du bureau
T..., 236» Rgt. 12° compagnie, lettre du
; le pouvoir.
Vers midi, un convalescent qui traver- service au Point-Central. —■ 16 francs d'à- de leurs communications, et en infusant à de bienfaisance, des collèges de jeunes fil28 avril). — Havas.
TOUJOURS LES ATROCITÉS
sait la chaussée rue de Strasbourg, en mende
tout son personnel l'activité ingénieuse, les et de garçons. Tous ces budgets se soli face de l'hôpital, a été renversé par un
FRANÇAISES
" — Eugène Rouille, cordonnier à Nancy, j joyeuse et brave qui fait vaincre rapide- dent car des excédents de recettes apprétramway se dirigeant vers la porte Saint- a outragé un agent. — Six jours de pri- ment difficultés et dangers. »
ciables.
De 1' « Intransigeant » :
' Nicolas. Il tomba dans le filet et fut traîné son.
Nos chaleureuses félicitations à ce vail- ! En ce oui concerne le budget de la ville
« Dans un poste de secours du front, à
sur une longueur de quelques mètres.
1
— Louise Thomas, femme Bodoin, 45 lant officier qui honore 1 armée et son (exercice 1916), l'excédent des recettes s'él'arrière de la tranchée de C... des blessés j
La victime de cet accident, qui en était ans, ménagère à Chavigny, a proféré des pays ; il est le fils de M.- Jules Royer, lève à la somme coquette de 270. 313 fr. 37.
sont étendus. Us ont demandé à boire, et i
quitte pour une légère blessure, put se outrages eUStas un garde forestier qui lui propriétaire vigneron, conseiller munici- Aussi le ci nsei": municipal, qui délibérait
l'eau qu'on vient d'aller chercher sous les
relever elle-même et regagner l'hôpital.
apportait une citaUon à comparaître en pal, qui jouit de la sympathie générale. — en l'absence de son maire, M. Mougin, qui
| obus, a une source située à deux kilo- ;
s'était retiré, adressa-t-il à ce dernier ses
justice.
— Six jours de prison.
G. L.
i mètres, arrive enfin.
félicitations les plus vives, ainsi qu'à la
Secours
municipaux
de
guerre
—
Marie
Vaubourg,
veuve
Masson,
54
j
Etat
civil
du
24
au
31
mai.
—
NaissanUn blessé élève la voix :
ans, confectionneuse à Laxou, a tenu des ces. — Gongloff Jean.René, Maternité. — j municipalité pour leur si excellente gestion,
— Les deux du coin, c'est des Boches. !
Le maire de la ville de Nancy a l'honpropos outrageants à un garde forestier. Kletzel Andrée-Lucie, rue du Pont-d.e-Bois, I des deniers communaux. Solder un budget"
NVn faut pas pour les salauds !
neur d'informer les bénéficiaires des se— Six semaines de prison par défaut.
8. — Buisson Gérard-Pierre, rue Gambetta, si élevé avec de si notables économies et
Pourtant quand il a fini de boire, il re- ! cours de guerre qu'en cas de changement
Marché aux bestiaux
Opposition. — Louis Marchai, 43 ans, 22. — Sanze'e Hélène, Maternité. — Phih- : après avoir dû faire face à combien de détrempe son quart dans le seau et le tend 1 de domicile ils doivent en faire la déclarapenses nécessitées par les circonstances accharpentier à Jarviile, fait opposition au bert Charles-Jean, Maternité.
du 31 mai 1917.
au Boche voisin :
tion, non seulement au bureau de la popu-[
tuelles, est en effet très méritoire. Et la
jugement
par
défaut
qui
l'a
condamné
à
I
.
Publications
de
mariage
—
Jules-Elie
■
Bœufs,
2
:
de
170
à
190
fr.
;
vaches,
6
:
— Tiens, Bonnot !
lation (n° 6), mais aussi au bureau d'aspopulation s'associera certainement aux
Le Boche ne bronche pas. On se penche sistance et des secours, rue des Domi- de 150 à 180 fr.; taureaux, 4 ; de 155 à trois mois de prison par défaut pour vol de Betschen. .mécanicien, actuellement mobi- , félicitations bien méritées du Conseil à son
{
162 fr.; veaux, 144 : de 115 à 140 fr.; mou- chemise. — La peine est réduite à un mois. lisé. demeurant à Toul, et Yvonne-Juliettevers lui : il est évanoui. Alors le major lui i nicains, n° 1, à l'entresol.
Abus de confiance. — Victor Pierson, Albertine Schmitt, journalière, demeurant' j maire et à ses dignes collaborateurs,
verse à boire doucement ; l'homme revient !:
Les bénéficiaires qui ne tiendraient pas. i tons, 46 : de 240 à 265 fr.; porcs, 90 : de
i
Aioutons
que
le
budget
additionnel
de
I
54 ans, retraité à Nancy, était gérant d'une à Besancon.
à lui ; on l'emporte. Le major frappe du |! compte de cet avis seront radiés des listes5 210 à 215 fr.
e
Décès. — I.ucienne-Albertine Martin, 26 1917 prévoit un excédént de recettes da
maison de Paris, à Nancy, à laquelle il a
pied :
des personnes secourues.
fr.
i
détourné une somme de 6.188 francs. — i ans. repasseuse, épouse de Gilbert Tuelin, ^0.201
— Bon Dieu ! s'écrie-t-il. Je m'étais
Nancy, le 30 mai 1917.
Il a été décidé d'incorporer au tarif de
faubourg Saint-Mansuy, 49
Un mois de prison par défaut.
pourtant juré de ne pas toucher de toute
Vaccination et revaecination obligatoi- i l'octroi une taxe de 1 fr. lu par cent huîtres
Les fraudeurs. — Camille Amen, épicier
la campagne à une de ces brutes de Gerbé& Nancy, a vendu du vin mouillé. — Trois res. — Le maire de la ville de Toul porte j entrant en ville et un droit de 0,05 par kiviller et de Louvain 1 Mais c'est plus fort
institut Chimique
à la connaissance des habitants que des I; logramme de moules.
que soi : on ne peut pas se décider à deveAl P&7AD Samedi, soirée à 7 heures un amendes, au total 250 fr.
Le conseil a renouvelé S la Société^ des
séances de vaccination et de revaecination !
—
Octavien
Zimmerrnann,
débitant
à
'
nir un sauvage ! »
Chants,
actualités :
Les examens d'entrée à l'Institut Chimi-. HLUH&MIÎ quart.
| pêeheurs à la ligne sa réduction de 75 fr.
Gratuites
auront
lieu
à
la
mairie
aux
daHeillecourt,
fait
opposition
à
un
jugement
que, pour les élèves non pourvus du bacca-- « Verdun, terrain reconquis », « Pantalon
tes suivantes ■ vaccination le lundi 4 juin, ! pour la location du lac de la DemoiselleLA VIE DANS LES USINES
lauréat de mathématiques, ou d'un diplô-- de « Barnabé », « L'Hallali », grand drame par défaut le condamnant à deux amendes à deux heures du soir, dans la salle des j
Il a refusé l'acceptation du legs de 700 fr.
de 1*0 francs, pour vente de vin mouillé.
ALLEMANDES
me équivalent, auront lieu à l'Institut Chi-- en 3 parties.
— Maria Colin, laitière à Heillecourt, a i adiudications ;. revaccination le lunui 11 |j fait par Mme Leru'th, pour l'entretien, penDimanche,
matinée
et
soirée.
mique,
rue
GrandviUe,
n°
1,
le
9
juillet
prol dant près d'un siècle, de sa concession au
Un rédacteur du « Matin » a eu une condéjà été condamnée deux fois pour frau- |I iuin.
*—
j cimetière, le conseil estimant insignifiant
versation avec un jeune Suisse du nom chain. L'examen pour l'obtention des bourde.
Au
cours
d'un
prélèvement,
on
trouva
j
LUNÊVILLE
u'Oscar B..., qui vient de travailler plu- ses de l'Etat se fera en même temps ; il1 j! CINEMA-RENAISSANCE-PATHE, rue du un bidon contenant un mélange d'un tiers ij
! pour cela le revenu de ladite somme.
Football.
— Lundi
dernier,
28
courant,
sieurs jours en Allemagne, et dont les ré- est obligatoire même pour les bachelière,. |j Ruisseau, 79. — Les Mains dans l'ombre, de lait et de deux tiers d'eau. Un autre biLe conseil a enfin nommé une commisj
la
première
équipe
de
l'Union
Sportive
de
cits jettent un jour intéressant sur la si- Les candidats devront se présenter à septt i grand drame ; Ambition, drame comique.
! sinn de ravitaillement en denr-Ses. commisdon
contenait
du
lait
additionné
de
25
%
j
|
Lunéville
a
rencontré,
à
Nancy,
au
HautSamedi, soirée ; dimanche, matinée et
tuation des ouvriers dans les usines de heures et demie du matin, munis d'une3 i
d'eau. Enfin un autre récipient ne contenait i du-Lièvre, l'équipe correspondante du Clùb ! sion qui se composera de huit membres,
table de logarithmes. Ils sont priés d'en-- i! soirée.
truerre :
i M. le maire a tenu à remercier son coljeque de l'eau, qui servait â remplir les bi- ;| Sportif du Nouveau-Nancy.
voyer
leur
demande
le
plus
tôt
possible
au
j
« Notre travail, a raconté M. Oscar B...,
| gne, M. Georges Lnng, dont la générosité
1
t—'
dons de lait au fur et à mesure qu'ils se
Après
une
partie
très
disputée,
le
C.
S.
Directeur
de
l'Etablissement,
conformément
I
t
GRANDE TAVERNE.— Dimanche 3 juin,
était effectué par cent cinquante ouvriers,
; bien connue a permis de vendre à de bon.vidaient.
—
Un
mois
de
prison,
1.000
fr.
|
N.,
malgré
ses
efforts,
ne
put
avoir
raison
dont vingt-cinq indigènes. Les autres sont au prospectus qui leur sera adressé s'ilss i! matinées de 2 h. à 7 h. — Au programme
1 nés conditions certaines denrées aux fa*
d'amende,
l'affichage
du
jugement
et
son
;
de
l'équipe
incomplète
(neuf
joueurs)
de
des prisonniers français et russes. Les ef- le désirent.
] figurera encore un film qui viendra s ajou! milles ouvrières et nécessiteuses.
insertion dans les cinq journaux de j l'U. S.L., qui triompha par 3 buts à 1.
fets de cet acide sent terrifiants. Journelter à la collection des vues incomparables Nancy.
SAINT-MAURIGE-SUR-MOSELLI
i
Le match revanche aura lieu à LunéV
lement, des blessés pour brûlures étaient
que donne à son public La Grande Taver— Augustine Thil, laitière à Maizières- |I ville, le dimanche 10 juin.
Nos Braves
Vols. — Mme veuve Lévèque, industrieltransportés à l'hôpital dans un état lamenne : « Le Héros du sous-marin D-2 », d'une
Tribunal correctionnel. — Fraude ali- ! le, possède, au Rouge-Gazon, une ferme
les-Toul, a vendu du lait mouillé et écrémé
ta-ble. Les ouvriers indigènes sont payés à
,• actualité saisissante, Interprété par les
Le lieutenant colonel commandant le ..."
; raison de huit mark par jour, qui ne Suffi- régiment d'infanterie coloniale cite à l'or-•- principaux artistes de l'invasion des Etats- — 200 francs d'amande et à l'insertion du | mentaire. — H... Justine-Ursule, 53 ans, habitée par Mme Ringenbach, et dans »
jugement dans un journal de Nancy.
fermière à X..., a verîdu du lait écrémé. — I quelle la propriétaire a aménagé le pr**
sant même pas à leur entretien. La nour- dre du régiment (n° 500) :
I Unis, absolument sensationnel !
Vol. — Pierre Courcelles, 55 ans, ma- i 50 fr d'amende
I mier étage peur y résider quelque temps
riture était abominable. Pendant les dix
« Voirin (René), caporal à la 2" compa- j
nœuvre à Nancy, a soustrait une certaine
Vol de bois — George Joseph-Julien, 70 pendant la belle saison. Le 29 avril. M'1}6
jours où j'ai travaillé à Nievenheib, je ! gnie du 26° B. T. S., numéro matriculee j,
CINE-PALACE. — Dimanche, matinées
1
n'ai absorbé que d'immondes s&upes où j 7758 : le 20 juillet 1916, à l'attaque dee | de 2 h. à 7 h. — Au programme : « Ravcn- quantité au préjudice de son patron. — ans, journalier à LunévKIe, a été surpris Lévêque a trouvé la serrure de la port?
volant du bois en forêt. — Par défaut, trois fracturée et a constaté qu'on lui avait déabondaient des épluchures de légumes et BarleaUK, le lieutenant et tous le3 sous-(- j| gar » (3e épisode), L'incendie du Magic-Pa- Un mois de prison.
— Joséphine Denet, femme Paysan, 37 !' mois de prison.
robé un matelas de crin animal, une cousurtout de betteraves à sucre (gelbe riiben). officiers de la section ayant été mis hors
■
s [lace,
Chariot et la somnambule, Echec au
Outrages. — Thomassin Marie, veuve verture de laine piquée, une couverture en
Le soir, en supplément, nous recevions de combat, a pris le commandement dess ] roi, une nouveauté ; comme mise en scène, ans, vannière à Vandicuvre, a été trouvée
porteuse d'une certaine quantité de zinc, , Milanus, 24 ans, cultivatrice à Moyen, a i laine blanche, un orei.ler de plumes, quaun petit morceau de viande de cinquante hommes qui restaient et a su les entraît- un chef-d'œuvre cinématographique.
qu'elle prétend avoir trouvé à Pompey. — outragé les gendarmes qui étaient chez j tre draps de lit, un écrin renfermant six
grammes tous les deux jours ; lorsqu'il n'y ner dans un nouveau bond en avant, au
U
___K>~—
Quinze jours de prison par défaut.
elle en service commandé.— 100 francs d'a- i couteaux, six coeverts en métal et six boite
avait point de viande, on distribuait cin- cours duquel il a été lui-môme blessé. »
CINEMA THEATRE. — Salle Déglin. —
Coups. de couteau. — Hamed ben Ba- mende avec sursis.
quante grammes de lard, jamais de pomde conserves. Le tout d'une valeur appiw1'
Dimanche 3 juin, matinées de 2 h. à 7 h. reck. ben Redami, ouvrier marocain, tra— Holztmann Alphonse-Augustin, 57 ans, j mative de 300 fr. Au moment où le vol a
mes de terre. Au dire des autres ouvriers,
Programme extraordinaire. « L'Imprévu », vaillant à Pompey, avait été victime d'un
il v avait environ trois mois qu'on n'en
est condamné i été commis, Mme Ringenbach était absei£
XXIV Section des Vétérans
célèbre drame de M. Victor Margueritte. vol. Il accusa un .de ses compatriotes, qui cultivateur à Glonville,
avait pas vu dans la région. Le pain était
; pour outrage à 16 fr. d'amende.
te. Les soupçons se portent sur un -"^T"
.
« La Nouvelle Antigone », grand drame. nia le fait. Une discussion s'ensuivit. RaDimanche prochain, 3 juin, à cinq heuimmangeable, à tel point que, malgré leur
Détournement. — B... Hippolyte, 63 ans, j ron, originaire de Storkensohn (AlsaC*£
Toutes
les
actualités
au
jour
le
jour.
res
après-midi,
au
café
Foy
(salle
réserreck,
furieux,
lui
porta
un
coup
tle
couteau,
fringale, beaucoup d'ouvriers indigènes le
! bûcheron à X..., a chargé sur une voiture que Mme Ringenbach eut quelque terni"
lui faisant une blessure assez grave à la j de bois quelques hûches appartenant à la
donnaient aux prisonniers. On y trouvait vée-, place Stanislas, 1, réunion intime des
8
poitrine. — Trois mois de prison.
fréquemment de petits morceaux de bois, Vétérans. — Communications diverses.
S coupe de la commune. — Tl a eu cinq fi!s | comme domestique.
-<>-»^>
"*
Violences. — François Husson, 30 ans, j mobilisés dont trr>;s sont morts à l'ennemi,
et il avait un goût très accentué de sciure
photographe à Nancy, a commis des vio- i — Un mois de prison avec sursis.
de bois.
Allocations aux réfugiés
Les
chargements
d'acide
prussique
lences d'une nature spéciale sur deux filCHEMINS DE F£R DE L'EST
Piste de plein air : 1,500 m2 de surface lettes. — Six mois de prison.
GERBÊVILLER
(étaient toujours dirigés sur Dusseldorf.
Le
maire
de
la
ville
de
Nancy
a
l'honneur
Obsèques.
— Le 29 mai ont eu lieu, au
La durée de mon contrat était de trois
j CINÉMA LE DIMANCHE et JOURS de FÊTE
milieu d'une affh»ence de fonctionnaires
mois et l'argent pour le retour ne devait I d'informer les bénéficiaires de l'allocation
—iwu
0^
et de notables, les obsèques du brigadier
m'être versé que si je m'y conformais jus- | aux réfugiés qu'en cas de changement deS
André, commandant la brigade de gendarqu'au bout. Mais cette alimentation déplo- ] domicile, ils doivent en faire la déclaramerie de Gerbéviller, mort accidenteilerable me décida à en demander la résilia- i tien au bureau municipal d'assistance et
à
Du 20 juin au 31 août, des services <po! ment, le 27 mai, au cours d'une tournée
tion au bout de dix jours. On voulut d'a- j des secours, rue des Dominicains, n°
l'entresol.
du
31
mai
1917.
tidiens de 1", * et 3» clas.es seront e»
bord s'y opposer, mais comme je menal à Mattexey.
»
11
•
Ceux d'entre eux qui ne tiendraient pas
Sur la tombe, le mnréchnl des logis chef ; blis entre Paris et les principales s» "
çais de demander le secours des représenPetits vauriens. — Procès-verbal a été
i thermales- de la région de l'Est.
Leblanc,
commandant
provisoirement
1
artants de la Suisse, on n'osa me le refuser.» compte de 'cet avis s'exposeraient à être
*
Naissances.
dressé contre cinq enfants qui ont enlevé
radiés des listes des personnes secourues.
A 1 aller, départ de Paris à 8 heures .
3Marcelle-Yvonne Schmith, rue Victor, 33.• plusieurs poulies à la ligne de transmis- j rondissement, a prononcé quelques paroles
û
•
^ Q- e*
i i.
arrivée à MarUgny-les-Bains, à 14
d'adieu.
Déoès.
; sion d'un disque sur la voie ferrée
à
;
à
Contrexéville,
à
15
h.
02
;
à
Vittel,
»
M
AIXÇJ
Charles Matton, 74 ans, journalier, rue»
FROUARD
Cérémonie du Souvenir Français* Foller,
15
h.
22
;
à
Bourbonne-les-Bains,
à
J"
"'«g
•
Infanticide.
—
Lundi,
28
mai,
vers
une
1. — Henri-Arsène Prévôt, 55 ans,
Imprudence mortelle. — Le jeune René
;
i- tourneur sur cuivre, rué du Crosne, 73. —- ! Halvick, âgé de 14 ans, travaillant à l'u- I heure de l'apr^-midi, des personnes qui à Luxeuàl-les-Bains (viâ Lure), à lo n- a"
On nous prie de rappeler que c'est auu
a I Adolphe Varion, 46 ans, employé de com-■ I sine des laminoirs, commit l'imprudence passaient le long du Sânon aperçurent à Plombières-les-Bains (via Lure-AiU« '
jourd'hui, dimanche 3 juin.^qu'a lieu, à la
:e
Gathédrale-Primatiale de Nancy, à onze ] merce, rue Vayringe, 49. — Marie Duhaut,, de se baigner dans la sablière, située der- des petits pieds d'enfants qui émergeaient
mM re
Au retour, départ de W°
? ^S
§- 3 ans, 8 jours, Badonviller (M.-et-M.). —- rière l'usine. Il était depuis quelques mi- ; de l'eau. On retira le cadavre d'un nou- |
heures précises du matin, la grande céré1 veau-né retenu au fond par une corde
1
Bains
(viâ
Lure),
a
12
h.
46
;
de Luxe"
s,
Eugène
Streiff,
68
ans,
sans
profession,
. nutes dans l'eau qu'il fut pris d'une conLa propagande germanique reprend de monie organisée par le Souvenir Français,
les Bains, à 13 h. 3o ; de Bourbonne-";
â Void (Meuse). — Marguerite-Lucie Mar-- gestion et coula à fond. Le corps ne put . attachée' à une brique.
temps à autre sa campagne mensongère au à la mémoire de nos soldats morts pour la
La rumeur publique avait accusé dans ' Bains, à 14 h. 28 ; de Vittel, à 13 h '
chai, 78 ans, sans profession, veuve Ma-- être retiré qu'après une heure de recherBujet du traitement de» prisonniers alle- Patrie.
! le courant du mois de janvier, la veuve de Contrexéville, à 13 h. 34 ; de
»
te ! riotte, rue de Strasbourg, 119. — Claude
On entendra la parole éloquente de M. le
mands en Franc». On ne saurait mieux
le ! Charton, 62 ans, employé de bureau, che-'.
FORfiEL'. ES-SAINT-GORGON G..., dont l'état de grossesse n'était nulle- les-Bains, à 14 h. 04 ; arrivée à Far».
faire pour y répondre que de donner la I chanoine Collin, le grand Français de
Pour les blessés. — Nous avons reçu de ; ment caché, de s'être fait avorter.
14 | min de la Côte, 36.
parole à ces prisonniers eux-mêmes. Leurs j Metz, qui sut entretenir là-bas, durant 44
A la découverte du petit cadavre, les " Voitures directes de 1" et 2" classes. P»
j
M.
le maire de Formelles une somme de
lettres sont significatives. Tous officiers et ' ans, la flamme sacrée du patriotisme.
sawpçons se portèrent sur la veuve G... ris, Martignv-les-Bains, Contrexéville20
fr..
destinée
aux
blessés
militaires.
Cette
eoldats, n'ont que des éloges pour les hô- I, Une quête pour l'entretien des tombes de
te!
, somme provient d'un tronc déposé à la ■ qui, pressée de questions par les gendar- tel et Pa''is' Luxeui1' P'ompièl"e3- vii
^
pitaux et ambulances dans lesquels ils sont nos soldats dans le département sera faite
I mes, finit par avouer son crime.
mairie. — Au nom des blessés, merci.
par MMmes Castaing et Dorez et MMlles
58
soignés.
La veuve G a été mise à la disposition
I
Madame veuve COUTURIER, les familles5
TOUL
« Le traitement est aussi bon que la ; de Dartein et de Lardemelle.
du parquet.
.t POTHÏON, ESCASERIO, PIOT, VANELLEi
Tribunal correctionnel, — Hecht Joseph
Le» membres du Souvenir Français sont
nourriture, écrit le soldat S..., du 105« réChangement» d'adresse»
II et COUTURIER remercient bien smcère-- vannier ambulant domicilié à Lay-Saint^
■s »
giment, 11* compagnie. Baux fois par jour• > priés de se munir de leurs insignes et de
ia ment toutes les personnes qui ont bien vou-- Remy. ses deux fils Hector et Jnles, réfor-„
1
ae
gvouper
autour
du
comité,
en
haut
de
la
de la viande et puis, le bon pain blanc (21
£3 lu leur témoigner leur sympathie à l'occa-•- mes tempérai rement pour blessures de
THous rappelons n vos <\nowr«! ""'y itr»
! grande nef, à droite, derrière les autorités
avril) n.
sion du décès de
guerre, et un voisin, ami de la famille, MiI demande de CHANGEMENT D'ADRESSE afmpfp
« Je suis heureux chez les f rançais ; 1*i i civiles et militaires.
: chel Batiër, étaient attablés, le 25 mars
accompagnée de la dernier' oawepriLes membres des familles des soldats
médecin surtout me traite avec une gran£
ions cur Luc sn COUTURIER
I dernier, à l'auberge Mathelin, à Foug. Les
mée et dp CINQUANTE CENTIMES
*
de bonté, écrit, le 29 avril, le soldat Chris,. | morts et les sociétés patriotiques sont parverres de 1 amitié se succédaient nomVol. — Trois amis montés à bécane se
-te ou en mandat-poste), tM1 n
j tic'alièreaaeni. invités a cette cérémonie fuUPrisonnior ac
I
ttan B..., d'U 303* régiment. »
. I breux ; les deux frères ne s'étaient vus de- rencontrant à proximité d'un café y entrè- i réimpression de bandes.
*
Tous les prisonniers de capture récentei j nèbra.
I .
DERNIÈRE MINUTE !
Notre sous-marin " Circé "
!
coule un sous-marin ennemi
Un raid d'hydravions italiens
Lieutenant Aviateur Jean DE LANDRIAN
1
VOSGES
:
Trikaal Correetanel
j
j
j
J^^i C&^", !!î^"'
t
Spectacles et Concerte
,
!
NANCY-THERMAL-Jeux sportifs
:
TOUS lï;S JQu-
I
ï,
I des prisonniers
LE TRAITEMENT
allemands en France
Saison des Eaux 191?
Meurthe-et-Moselle
j
j
MEUSE
1
7
.
..
.
Les Pages tragiques
lorrain
la Foire_de Paris <Comment" un prisonnier français
\J/Kît
j
s'est évadé des lignes allemandes
laborateur Néhac a dit ce qui
nl
^ l'effort commercial organisé en
1
M
oar les industriels de Lorraine,
uerrê
V 8
L fièrement satisfait des résula
Jj'est P *
effort, mais il n'en
de
cet
imaiériels
^
portera
(d'après sou carnet de route)
î
VP
principe;
14
qui
plus tard, peut-être aussi-
J
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Bruits
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cuerreïapres 'a f dans
le
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L voici-
catalogue les noms
Lnr l'industrie, et n'ai pas su
P°UI es ,
Jtrcuver d a" ^ Xeinturerie de Thaon-lespnch,SS i us ,
.
T ss
b anchis>
teintS)
impri
,
l
« Aurai-je enfin le courage -- oti la folie
—
- d'essayer du passer ies ngnes ? » se de1uialiùe ce prisonnier, il he-MOe, puis se décide. Apres s etie procuré un uuuorme de
f
soldat
prussien, un peu de nourriture et
d
olecrr'que, une
( eau-ue-vie, une lampe
carte, il attend l'ooc€LSion.,. Un jeudi soir
«au nez de la sentinelle, il son, musette
sous le bras et pipe aux lèvre.», du chantier où il travaillait. L'étoile polaire ol la
(
nuit
noire tout a wup complices, il u'.ieint
1lo samed1 la voie ferrée. Le terrain ou il
| r
f
réseaux do nls de 1er, une autre route à i
travers d'autres réseaux. La canonnade est !
.,
,, ,• n
<i- e
ue
Bonsecours. intense.
i
Il va à droite, aperçoit des AlleI•Les» ' \fuhouse
usi.-e
uc
se cache, fait le mort, parcourt enI"
de YVddighofen (Haute-Alsace). | mands,
i
05
des tranchées vides, s'arrête enfin et
«,t
écrus, teints et imprimés, j suite
J
cuu
I Tissus
,
1perd la notion du temps parmi le tonnerne !
f ,t tissés couleurs.
,du bombardement : « Combien d'heures
«t Aciéries de la Marine et d'Ho- suis-je
,
resté là avant ce que je vais écrire
rgeS C
/°
Pièces de forges, bandages, res- imaintenant, je ne puis l'évaluer ». Et il
ainsi :
1 court.-automobiles, artillerie continue
<
« Des voix, des cris, une débandade dans
«*«. p ^
-1la tranchée en face de moi. Je me blottis
J
rïers
*davantage. Des hommes passent à droite,
Y
!■ ît à l'inïtsnt même où je par- à
i gauche, en courant, et hurlant ces cris
:e C
j entends encore raisonner : « Hand' ? '^"coquettes constructions de bois, | que
<
imlS
granaten 1 Leuchtkugeln ! (des grenades à ]
<
,l< fies jours montées, sur la merveil- j j
main, des balles éclairantes !) Je ne saisis
Iliade des Invalides, je me promet- ,
pas sur le moment ; je ne saisis pas que
A? rechercher avec soin tout ce qui • 1les Anglais sont là, à 50 mètres peut-être
r
ier une manifestation de l'art <et qu'il s'agit d'une attaque à la grenade. I
jjvait sign a
Je lève la tète et quelque chose éclate aussitôt dans mon trou, qui est envahi par
lrk.i«<l mieux que l'ordre des recher- une
;
fumée épaisse. La joue droite me-brûle
tenait dans le hall où Jules I <et le bras droit me cuit. Je me recouche au
du trou, le plus au fond possible, i
i
exoesé des ferrures d un gout , fond
I
Jêrt.e d'exquis objets de cuivre, des lam- jet je passe ma muin gauche le long de mon I
bras, sous la chemise. C'est gluant, je la
l d'un arrangement précieux et noble.
retire et. à la lueur des fusée- , je reconIl, ie songeais qu'il m'eût ete infiniment nais
,
du sang'. Je suis blessé. Le bras mar- 1
Ide recarder dans une même expo- che
,
encore cependant. Le combat continue 1
la gauche.
F
, meuu
J.iL
de Majorelle
et de Gau- , sur
'
, ion des
>cb u<.
j
Un Allemand, deux descendent affolés |
n • in»
des
œuvres
de
Prouve,
des
1
i ipr-rOinslKllu"'
,
j
dans
mon trou. Le deuxième me marche I
J r«lié et de Uaum, des vitraux de
,
sur
l'épaule droite. Je geins et articule :J
i»r ,1M erès de Mougin, des ornements ,« werwundett ! » (blessé ! » ce qui les dé- '
K
tous deux à s'en aller. D'autres pas !
<
Cavette, Ttant
et tant d'autres
o «un « choses délicieu- i cide
se rapprochent, des hommes courent. Des
i
,r-kte«
brrains,
volontairement
j nue les artistes
>
.
, :mitrailleuses, des lance-mines sont juste
acés ont l'air de dissimuler a 1 admira- ,derrière mon trou et chaque détonation me :
„ publique, laquelle est obligée d'aller ■, ,soulève du fond. « Die Gehen zuruck - Vor- ■
warts 1 Die Hune ! (ils reculent. En 1
i chercher chez eux.
l'imaginais que la muuicipahte de Nancy. avant. Les chiens !) Ces exclamations lan- j
cées derrière moi, d'où partent maintenant |
puisque les artistes dédaignent ou fuient
les fusées, me ramènent à la réalité de la I
publicité, - aurait grand intérêt à créer situation. Je comprends maintenant. Sans
ms toutes les Foires, à Lyon, à Pans, à m'en douter, j'étais arrivé à 50 mètres do
idéaux, au Maroc même, une Maison de la première ligne allemande. Les Anglais
i ont attaqué, délogé les Allemands, et se
Art lorrain, où eile grouperait les œuvres !
retirent maintenant. Pas de temps à pers plus savoureuses, les plus originales, les ! dre. C'est 1 instant. Je me lève et, courbé,
«s nouvelles aussi, des maitres incontestés gémissant à faire fuir ceux qui m'approchent, je passe la tranchée ou plutôt une
t possède notre province.
Ainsi les visiteurs du monde entier, — sorto de vaste excavation. Je marche plus
vite, en rampant, trente mètres, qui durent
plus tard les abominables Boches eux- des siècles. Le combat est fini. Devant |
èmes, — constateraient que la cité déli- moi, un réseau. Je suis dérouté égaré. J'o- I
;use que traça fïéré, que décora Jean . blique à gauche où j'entends des voix. Je
immir, et que les' Allemands tentent de me-cache au voisinage d'un groupe, dans
un trou. Non loin, des râles, (ies cris. A 3 '
itruire par le fer et par le feu, n'a rien mètres derrière moi, une ombre accrou- i
ïdu de son activité intellectuelle et phy- pie.
que, qu'elle travaille toujours, qu'elle est
« Herr Leutnant ! Herr Leutnant 1)
ine de rester à l'avant-garde du mouve- (Mon lieutenant ! Mon lieutenant 1)
« Ja ! Bin ! da ! (Me voici.)
ent artistique contemporain.
Mon ombre est un lieutenant.
Mais j'ai dû encore consulter le catalogue
» Ha ! Ha ! Herr Leutnant, bin werwuniand je suis rentré chez moi, et j'ai mélan- det ! Ha ! bin... » (Ah ! mon lieutenant, je
>iiquement inscrit les noms et les indica- suis blessé ! je suis..) ; la voix s'éteint.
« Sei ruhig, sci ruhig » (Tiens-toi tranons qu'il donnait. Les voici :
quille.)
Veuve Laurent.
Ateliers à Nancy, 6.
Je suis toujours au fond du trou sans
ne de l'Oratoire.
Rideaux artistiques, bouger.
broderies et dentelles.
Un autre dialogue reprend :
« Keine handgran-nten rnehr ». (Il n'y a
Berger-Levrault, imprimerie et librairie,
plus de grenades à main). Ce à quoi répond |
'5, rue des Beaux-Arts, Paris et Nancy- —
mon ombre, derrière :
unes, impressions diverses, catalogues de
« W'ir sind zu weit vern. Zuruck. » Nous
;
Me pour industriels, imprimés fiduciaires
sommes trop en avant. En arrière !)
Iules Cayette, 24, rue de la Salle, Nancy, <c Herr Leutnant, dert liegen Paai werwun- 1
--Umpes, plaques de propreté, marteaux dete » (Mon lieutenant, il y a ici des blessés). <( Ja, grade hier auch im Loch (Oui,
de
Porte et objets d'art divers en bronze.
je sais, dans le trou). (C'est moi). « Aber,
-«ajorelle Louis, 6, rue du Vieil-Aître. die Lassen wir liegen. Fort ! » (Eh ! bien,
qu'ils y restent ! En route !)
&«y. - Meubles et objets d'art.
« Et je reste seul. La canonnade a cessé.
Victor Prouvé, 8, avenue de ia Garenne,
Je lève la tête ; à ma gauche, une tranchée
- Papiers de garde.
vide. Je m y risque et la suis du côté oppoCristalleries de Baccarat.
Cristaux sé où sont partis le herr Leutnant et ses
P«"a table, la toilette et la* décoration acolytes. Je débouche dans une excavation
d
plus large, presse le bouton de ma lampe
^élément.
et recule d'horreur. Des bras, des corps,
Tort au long du livre qui s'intitule :
debout, assis, couchés. Des ALemands parre de Paris
J . p'
» on ne lit en effet tout. L'un surpris sans doute au moment
PanS Paris r ur trou
« Na
'
'
°
ver un où il quittait son abri, est encore là, debout, appuyé contre la tôle ondulée qui en
de
U faUt feuilleter des vin
Pages '
gtaines formait le toit. Je renonce à pousser plus
avant et reviens dans mon trou.
! Va pas de la faute de nos
Un certain temps se passe. Puis la caqui e
artistes,
R
ment «
^ t0US or8anisés commerciale- nonnade reprend, et rapidement devient
feu roulant. Cette fois, c est à devenir fou. |
6 COntentent de créer des
admi'ij
œuvres Elle dure un temps qui me semble un siècle. Le jour commence à poindre. Un rea PP tlent
tués
"
donc aux pouvoirs consti- gard à ma montre : 7 heures 30. Déjà 1 Altt
S
de N ;
Salement à la municipalité lons, je ne passerai pas aujourd'hui, ni
anc
tou
6 révé,er
ar
jamais, c'esrt fini. Je bois ma dernière jI
s les F
P
tous les moyens à
goutte de mon bidon. Des mitrailleuses se |i
et a tous les
viennent
étrangers qui mettent en branle ; un combat doit s'enga- 1
rév
nce la
élant la ,
valeur de Nancy en ger légèrement en avant de moi, parallèle- Ii
Ur des artistes
ment à la tranchée que j'ai à ma gauche. !
Les fr i
lorrains.
a
C U1
entr
1 iraient avancés dans une Il fait jour maintenant. Un peu de brouil- jj
eprise
lard. Tout à coup des voix, des pas. Je lève !
06 genre ne
^rdus.
seraient certes pas la tête. Des hommes que je ne reconnais ;
pas tout d'abord marchent.courent dans la I1
après la vict
e
"'"'^Tdes^-ir
°ir » des ! tranchée. Ils viennent de l'avant. P-uis, je i:
ontei
»pler 1
.ns de visiteurs viendront reconnais les casques. Engiishem 1 Englis- I;
hem 1 Yes ! Français. Frenchmann! French j
'révi<:. de M ■mnes de Gerbéviller, de prisoner, etc. Je débite tout mon répertoiaixe
^oman d
' de Vitrimont, d'Audun- re anglais qui, hélas 1 ne va guère loin.
Uront
3 aUtreS villa es
Deux grands diables arrivent sur moi
grande S
dévastés, ils
!Uvres
rnagnK,30'6 k trouver chez nous des baïonnette baissée, un troisième me met
en joue. Je sors rapidement, fébrilement,
Et
Nanrv qUCS et fortesmon képi de ma musette et crie à tue-tête
leur d
- PeST"*
ire :
toutes mes locutions de tout à l'heure.
1Inme
leS
Boches
Puis je déboucle en même temps mon panvous v ^
essayaient,
; ,!Ci ce
'
que 1, Z' de détruire la Lorraine talon allemand et exhibe mon pantalon
rouge. Une centaine hésitation chez les
ttlStes de chez nous sous
^bar !n!
>
1 grands diables.
!
Les fusils se relèvent, l'un 1
dem
!
,? eu raison H ' Créaient
L'œuvre de 9w Anglais m'empoigne sous le bras et me 1
J âi
6 1 Wre de
fait filer à sa suite dans la tranchée. Je i
mort.
^for
réfléchi à cela, qui est passe à I endroit où tout à l'heure j'avais
me
I
1
én,e
de i
'orrain, et je me suis ' reculé et, cette fois, pas d'impression d'horlnd
in
1 reur.
Sauvé
1
C'est
tout
ce
qui
me
vient
à
'fait.
«iuer dans l'Est. Voilà qui
la pensée. Sauvé !— Havas.
;»
liSati0n
li ti,,tive 631
réservée la
c cette idée.
I"' ''
I
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ia ,es de biin
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^«•nJu GOICHON.
PAULB!
l
i
J
BANQUE
j;
K»
F*
Jura-Doubs, et augmentation du capitalépluchent les correspondances, ne sau- livre
1
s'en éclaire, s'en échauffe pour pren- < '
actions.
ri'ient se montrer quê guêtres de cuir et dre
d
enfin figure d'une fresque frissonnante.
Compagnie tiéncrale d'Extrême-Orient—
couverts de buffleteriws du plus bel effet,
Un de mes amis me disait qu'une littéraJ
Une société vient de se former sous cette
mais d'une incontestable inutilité.
t
ture
très belle s'élabore qui est chaque jour
raison sociale, au capital initial de un miiIl en résulte qut: le cuir atteint des prix transportée
t
dans la boîte du facteur. II est
Société auonyme. Capital : 40 million*
(
lion de lrancs.
fantastiques,
que lo civil paie 55 francs la certain
c
que les chapitres les plus saisisCette société se propose de mettre à propaire
1
de bottines qui en coûtaient trente sants
s
du livre de la guerre sont peut-être
fit les événements actuels qui ont amené
avant la guerre et que les officiers du vrai cceux qui resteront toujours manuscrits,
A
la
suite
d'une
entente
entre
les
B»n\
s
cette forme. Mais les écrivains mobi- qQues de la place, nos Bureaux et Caisses : la Chine dans l'orbite dos puissances de
jfront sont obligés de gaspiller une bonne sous
partir.; de leur solde en achat de bottes ou lises
1
se doivent et doivent à la patrie de j seront
s
fermes les samedis et veilles de fê- j IJEntente pour enlever à l'Allemagne la
molletières
1
dont le prix atteint et dépasse | rnoter, comme l'a fait Henri Aimé, des im- ttes, à partir de midi, du samedi 7 avril au prépondérance industrielle et commerciale
ou'eile occupait en Extrême-Orient.
100
1
francs.
1 pressions directes, vécues, dont ils nous : 3
30 septembre inclus.
La Compagnie Générale d'Extrême-Orient
Or,< voyez les Anglais. Ils avaient adop- donneront
c
une relation sincère, sans tra- I
n'est donc, pour le moment, qu'une société
té
\
t la '■ulotte pou,r le sport bien avant nous. vestissement,
mais seulement méditées et
c
-Ils avaient doté leur armée de culottes qui
soient, en demeurant véridiques, un | Le Ministre des Finances vient de dépo- d'études, ou plus exactement encore d'exsur ie bureau de la Chambre le projet ; plorations et de recherches d'affaires dan»
*et de jambières q-mnd nos hommes étaient iétat de leur âme. Ainsi s'éternisera dans ser
■
encore
condamnés à l'incommode et voyant j les
1
*
hautes régions de l'art le drame que de loi relatii aux crédits provisoires pour, j tous les domaines. C'est une affaire d'utilité nationale dont il convient de féliciter
pantalons
rouge.
rnous vivons et qui perdra son aspect de j *'le troisième semestre de 1917.
1
.MnU depuis qu'ils font la guerre, ils ont ccauchemar quand l'avenir qu'il renferme
Cette nouvelle demande de crédits dé-1 le fondateur, M. Camille Cavalier, rémi1
repris
le pantalon dans toutes les circons- (en puissance aura éclos, aube triomphale, nasse
neuf milliards, ce qui porte le mon- nent administrateur-directeur de la SoF
c
tant
total des crédits ouverts depuis le dé- j ciété des Hauts-Fourneaux et Fonderie»
si tragique nuit,
J
'tances où rien ne justifie un accoutrement d'une
JEAN ROYERE.
*but des hostilités à 91 milliards environ. de Pont-à Mousson.
:sportif. Puisque nous avons toujowrs eu
— A la guerre comme à la guerre, dira-1 Parmi les principaux actionnaires, nous
le goût des modes anglaises, qui n'imitonst-on : nécessité oblige 1 Les hostilités finies I citerons : les Aciéries de la Marinenous celles-ci ?
et la paix revenue, on étudiera les combi- Hornécourt, Aciéries de Micheville, Aciéries
Le ministre de la Guerre qui prescrirait
naisons possibles pour assurer le service 1 de France, Fonderies de Pont-à-Mousson ;
de porter le pantalon dans les formations
Commerce. ComntablUté. Sténa<taty;o. lUnauas^tt,
Compagnie de Saint-Gobain, Société' dea
et l'amortissement des emprunts.
de l'arriéra se ferait maudire dans les dé~"
^P
De très gros sacrifices s'imposent encore j Batignolles, Penarroya, riiomson-Houston,
pôts, mais il rendrait un grand service a
en présence de la formidable augmenta-] Société Alsacienne de Constructions Mécaquiconque a besoin de souliers.
1
niques, Etablissements Kullmann (Produit»
tion des dépenses militaires.
Il est vrai qu'il en reçoit un plus grand J
La France est capable de ces sacrifices. Chimiques), Société Nancéienne de Crédit
encore s'il obtenait que les innombrables
.peaux des animaux abattus pour la nour—«~—
5
Mais elle a le devoir de limiter les dépen- Industriel, Banque Renauld, etc..
riture de l'armée ne fussent jamais perLe
19
avril,
à
quinze
heures,
parvenait
jîses à l'utile et à l'indispensable, c'est-àMontbard-Aulnois
(Société Métallurgi,
dues,
aau général commandant la division ie 1 edire le devoir de supprimer toutes les ocque). — Assemblée ordinaire le 19 juin
e
casions
de
gaspillage,
et
de
renoncer
défiK^-^f <^
r
renseignement
qu'Auberive et lo fameux
1917, dans une des salles du Comité des
saillant de la ligne ennemie contre lequel 1nitivement aux utopies sociales.
Il faut aue l'Etat rentre exclusivement Forges de France, 7, rue de Madrid, à PaLA POUDRE DE RÏZ
t
tant
d'attaques antérieures s'étaient briris. Dépôt des titres jusqu'au 12 juin.
sées, venaient de tomber entre nos mains, ydans les fonctions qui n'incombent qu'à
1
A
et oui consistent notamment dans la
C'est au régiment do marche do la légion lui.
s
de l'ordre et dans la défense
étrangère qu'appartient l'honneur de cette j sauvegarde
; nationale.
honneur acquis par quatre jour- jr
Extrêmement fine, adhérente, donne à conuuète,
Il faut également que l'Etat n'ajourne
r
ACTIONS
nées
de combats, menés presque uniquela peau une agréable fraîcheur ; saine,
r
ment
à la grenade et à la baïonnette avec j xpas davantage la solution des grandes Banque Renauld.
1
hygiénique et parfumée. En vente l'entrain
et la ténacité traditionnels dans Iecruestions éiconomiques et financières, telles Constructions Electriques (Nancy).
e
ce
c
corps
d'élite.
^crue : le renouvellement du privilège de la Manufacture Française d'Outils de Tron-,..
partout : P' M' : 2 fr. G" M" : 3 fr.
Le 17 avril, 4 h. 45, le 1er bataillon qui, ]I]Banaue de France, le nouvel emprunt naville.
1
♦ Q-g*
cd'après le plan d'attaque, devait pénétrer tional,
le relèvement des tarifs et la proroMécanique Moderne.
dans la tranchée allemande entre le bois £gation de la durée des concessions de Che- C'« Générale Electrique (rue Oberlin).
en T ot la Sapinière, puis faire face à I 1mins de Fer, etc..
Salines de Sommerviller.
l'Est pour progresser dans le golfe, part à I Oue l'on demande aux contribuables de Etablissements J. Gantois.
1
nouveaux
sacrifices,
ils
s'y
résigneront,
1l'assaut,
1
suivi du 2« bataillon. L'élan est
OBLIGATIONS
1
au'ils en constatent l'efficacité, car
: malgré lo vent qui souffle en jpourvu
C'est le titre d'un ouvrage sobre, émou- 1 manMfique
{
ce emi est pénible dans la vie ce n'est ni Filatures de Laval 4 J.
tempête
et
la
pluie
qui
cingle
les
visages,
;
î
vant et discret que vient de publier, dans t
les blocs de boue dont ils sont bot- 1l'effort, ni le sacrifice, mais la stérilité Mines de la Mourière 4 %.
la petite collection « Hélium », chez Geor- malgré
^
Filature de la Vologne 4 et 4 4.
(
le sacrifice et dans l'effort.
tés,
les
légionnaires franchissent le para^ dans
ges d ès, à Paris, le poète Henri Aimé, de- r
Filature de Demangevelle 4 i %.
Det
et,
par
les
brèches
pratiquées
dans
nos
puis le début de la guerre, médecin-ma- j 1
Brasseries de Charmes 4 J %.
fils
de
fer,
atteignen
tle
réseau
ennemi
;
la
jor à Toul.
i f
Brasseries de Saint-Nicolas 4 $ %.
achève le travail de démolition efDépréciation Dépréciation j Brasserie de Vézelise 4 J.
Henri Aimé, poète et Lorrain, que je ■ cisaille
<
fectué par notre artillerie. La légion passe
Change
du franc
du mark
placerais volontiers à côté de Charles Gué- j f
Eaux de Vittel 5 %.
rin, est — on ne l'ignore pas à Nancy — j et
j s'ensroufîre dans la tranchée des BouÈ* C» de clrern. de fer 4 %.
leaux, marée jaune à laquelle l'ennemi, qui
Suisse
11,60
38,63
un de ces hommes pour qui l'action, con- 11
Aluminium du Sud-Ouest 4 J %.
reconnaît le drap kaki des Africains, ne
Hollande
10,79
3?,81
truirement au vers célèbre de Baudelaire, ï
Annuités de l'Arve 4 J.
pourra résister. Les grenades, lancées à
doit être aussi la sœur du rêve. 11 partage j
Le change sur l'Espagne est en vive Produits Electro-Chimiques des PyrénéeSL,
bout partant, déblayent le terrain ; les 1
sa vie entre la méditation et l'action, en- ; (
hausse à bad, ce qui lait ressortir une pri5 %.
corps ploient sous l'étreinte ; dans cette
tre la science, la poésie et la pratique tou- : j
Lorraine Dietrich 4 à %•
fin de nuit que prolonge la tourmente on me de plus de 30 %.
jours agissante- uu devoir, fut-ce parfois, jne se voit guère, nos braves se reconnaisQuant au rounle, il a reculé de 158 à 154 Eclairage Electrique 5 %..
au prix de la lutte. 11 y a dans cette fa- £sent à la voix et poursuivent malgré les j à la suite de diverses combinaisons finançon complexe de comprendre la vie une mitrailleuses, dans los boyaux et les abris, ! cières envisagées par le gouvernement
russe.
unité vraiment architectonique et profon- 1 leur
j
œuvre impitoyable.
ACTIONS
dément humaine.
La couronne aurichietnne tombe, à Ge- Aluminium du Sud-Ouest.
Les Allemands ne pouveant tenir leur
Depi iis quelque temps, à Paris, quand , première
j
Cetonnière de Mireceurt.
ligne s© retirent dans la deuxiè- nève, au-dessous de 49.
la guerre éclata, le poète qui nous donna , me
j
***
Eschenlohr et C°.
; les logionnaires ne leur laissent aujadis « Les Fragments de la Vie radieuse » cun
,
Electricité.
Les difficultés rencontrées
répit ; les tranchées du Golfe sont enOBLIGATIONS
,
et nous donnera demain « Les Riveraines » jlevées. A mesure qu'on approche d'Aubé- actuellement pour s'approvisionner en
Blanchisserie et Teinturerie dc Thaon 4 }.
charbons
viennent
d'amener
une
heureuse
y dirigeait avec moi, « La Phalange
rive. la résistance devient plus acharnée ; ,
cette revue de haute littérature que Nancy on
(
sent tout le prix qu'attache l'ennemi à j jinitiative en Suisse, où la disette de com- Impression des Vosges et de Normandie
O /o*
connaît bien et qu'elle a fêtée, où collabo- ■ jla conservation de cette position capitale. | bustible se fait particulièrement sentir.
L'Union des Centrais Suisses et l'Asso- Kullmann et Cie 4 \.
rèrent et collaboreront la plupart des écri- jDans les tranchées de Byzance, dos Dardavains de cette noble et féconde Lorraine. nelles.
]
du Prince-Eitel, les mitrailleuses,les |I !dation des Electriciens ont préconisé l'ex- Compagnie Lorraine d'Electricité 4
« La Phalange » est en sommeil depuis ;lanoe-flammes, les grenades opposent à !; tension des applications de l'électricité : Etablissements Prudhon 4 i %.
la mobilisation, n Quand retentit le fra- ; nos
]
troupes des barrages de mort. Ea lé- 'produite par les chutes hydrauliques au ' Tanneries et Corroieries Réunies 5 %.
Tonnellerie Ad. Frunhinsholz 1J %, '
et à la cuisine.
cas des trompettes, dit Cicéron dans le fgion passe quand même à force d'hé- chauffage
'
D'étude préliminaire de cotte intéres- Mines de Kali Sainte-Thérèse, 5 %.
<( Pro Murena », les arts de la paix se roïsme.
1
taisent. » Mais nous ne disons pas : HéA
Dans cet enfer, des hommes de cinquan- 1sante question a en effet montré que la
las ! bien que nombre de nos collabora- 1te et une nationalités différentes se battent 'cuisson des aliments se fait généralement
N.-B. — Les offres et demandes cent'
à
des
heures
où
la
puissance
installée
des
teurs, parmi les plus éminents, soient | contre
(
nuts dans se tableau ne doivent pas itt
l'Allemand. Le plus grand nombre [
morts pour la France. Nous savons qu'un ; ne
j
lutte pas pour la. sauvegarde d'un fover usines n'est pas complètement absorbée ; eensielérées somme des offres fermes, ma
d'où
pour
les
Centrais
une
amélioration
avenir de paix et de liberté est en germe , <ou la conservation d'un patrimoine natio- '
ttmme des iniicatiens sans engagement 1
dans la tourmente actuelle et que la Fran- : 1nal. ce ne sont pas non plus des merce- 1d'utilisation et la possibilité de fournir à notre part.
prix donnant toute satisfaction aux
ce donne au monde le plus grand exemple : 1naires cru'attirent de hautes payes ou l'es- des
'
Coupons payables en Juin 1917.
d'héroïsme de l'histoire. Au demeurant, 1poir de riches butins ; ils sont là, vétérans consommateurs.
'
Obligations
Tissage de Roville, 4 i %'.
l'air n'était plus respirable dans une Eu- ! de
1
la vieille légion d'Afrique ou volontaiValeurs des pays neutres.
L'Allemagne
—
Brasserie Hanus, 4 J %.
repe que la force tâchait d'asservir et i res
:
pour la durée de la guerre, de toutes va
.
réauisitioriner officiellement les valeurs
—
Automobiles et Cycles Peugeot»
qu'elle tenait comme haletante sous son ; 1dualités sociales, des plus humbles comme ,suisses, danoises et suédoises se trouvant
genou. Non vraiment I nous avions en 1914 j des
1
plus élevées, de toutes les cultures, des dans
,
les portefeuilles de ses nationaux.
ce gantelet de fer trop prés de la joue. La : plus simples comme des plus ralfinées, conBANQUE RENAULD,
Une amer:de de dix mille mark et un
patrie de Bayard, de Pascal et de Robes- 1duits par l'instinct qui les domine, la haine ,emprisonnement maximum do six mois
l'Allemand et l'amour de la liberté.
pierre ne voulait pas mourir d'une mort de
1
sont prévus en cas de non déclaration !
La légion continue sa route... Le 19, au
lente... Nos ancêtres ont ressuscité dans
petit
jour,
le
fortin
d'Aubérive
est
entre
leurs fils plus glorieux qu'eux-mêmes, et
Obligations 5 1/2 % Ville de Paria 1917.
La jeunesse est un printemps, mais un
maintenant c'est l'aube de la victoire ; ce nos mains ; notre artillerie a fait urne mer- •■— L'émission a eu le plus grand succès. printemps qui n'a point de recommencesera demain, dans le monde, la complète veilleuse besogne, rendant à l'ennemi, par 434 millions de Bons municipaux ont été ment. Heureuse ou malheureuse, nous la
un tir d'une admirable précision, la posi- présentés à l'échange Les 2Ô0 millions à
libération.
voyons passer sans espoir de retour, eé
Mais à « La Phalange » nous rêvions tion intenable ; des armes, des munitions, émettre ont été souscrits six fois et demie. telle elle aura été, telle, le plus souvent,
d'une Europe hautaine que nous avions de* équipements, du linge jonchent le sol ; L'avis de répartition sera publié incessam- sera toute notre vie.
même, sur le plan de l'idéal, réalisée. Des dans un réduit attenant au fortin, un ré- ment.
Faites donc en sorte, jeunes gens et vous
9.500 pages qui représentent le total de nos cipient rempli de café chaud est vidé goujeunes filles — car vous le pouvez, n'en
Châtillon-Commentry.
Les
produits
de
lûment
par
nos
hommes
qui,
depuis
le
10,
huit années, plus de 1.800 à coup
doutez pas — que votre printemps soit
sûr, sont consacrées aux poètes et aux pro- n'avaient eu pour toute boisson que l'eau l'exercice 1916 laisseront un bénéfice de beau, que votre printemps soit gai, de
3.651.193
francs,
auquel
vient
s'ajouter
le
sateurs étrangers, sans en excepter l'Alle- dont on ne les ravitaillait qu'avec une exrelixruat de 1915, soit en tout 3.80G.721 fr. toute la beauté et de toute la gaieté qui
magne et l'Autriche. Patiemment, nous 1 trême difficulté.
Le Conseil proposera, paraît-il, à l'as- viennent avant tout d'une santé robuste.
Tandis qu'une section, sous les ordres
cherchions à découvrir tous les fils qui
Ne vous abandonnez pas aux décevantes
semblée du 8 juin prochain, un dividende
composent la trame vivante d'une époqfue d'un sous-officier, occupe le fortin, le lieu- de 100 fr. par action, contre 85 fr. l'an ambitions, aux rêves de fortune et de grane compagnie part
tenant
««mmandant
la
10
dans l'ordre de l'Art et de la Pensée.
deur.
dernier.
' Cette Europe fraternelle, comment n'y : avec deux grenadiers pour explorer le vilLa seule ambition qui vaille pour vous,
aurions-nous pas cru quand nous voyions Mj« dAuberive ; à 14 h 30, il y pénètre
Paris-Outrcau (Aciéries). — Les béné- c'est d'avoir la force qui donne la confiance
les mêmes courants intellectuels, les mêmes I| par l'ouest et le trouve vide d'Allemands. ficies nets de 1916 se soldent par 3.708.416 en soi, qui fait naître les audaces heutendances esthétiques traverser toutes les I *.'ennemi, craignant d'être cerné, avait francs, en augmentation de 1.400.000 fr. reuses. Ne croyez pas, au surplus, que
nations, sans tenir compte des frontières, | évacué le formidable réduit qu'était deve- sur le précédent.
cette ambition soit si facilement réalisable.
et quand avec la fourberie, qui est le fond | nu le villa are avec ses tranchées, ses couLe dividende a été fixé à 75 fr. par ac- Votre âge est critique et met votre santé à
I
pôles,
«es
plates-formes,
ses
abris
pour
mide son caractère ethnique, l'Allemagne, j
tion, payable à partir du 1" juillet pro- de rudes épreuves par suite du profond
représentée par ses poètes, nous prodiguait trailleuses, le tout en ciment armé. Il avait chain.
borde versement qu'il apporte dans tout
résolu
de
porter
ses
efforts
sur
la
défense
ses sourires et venait nous demander,
L'assemblée extraordinaire, qui devait ae ; votre être. Combien nombreux, hélas !
chez nous, de leur préciser nos richesses f, du fortin sud de Vaudesincourt qui com- tenir le 25 courant pour délibérer sur l'aug- sont ceux d'entre vous que ce bouleverseMais, tandis que nous cédions à cet en- mandait le saillant dont la légion devait mentation de capital, a été
faute de I ment a épuisés, anémiés, dont le sang
thousiasme
collectif, comme si nous *pérer l'encerclement. Notre progression cpiorum — reportée au 29 juin.
appauvri ne peut plus donner à l'organisvoyions déjà poindre un nouvel humanis- ne peut se faire qu'à la grenade et au fusilme la résistance dont il a tant besoin à
Eclairage Électrique.
Le Conseil d'ad- votre âge.
me et une prochaine cité de l'univers, cette mitrailleur.
Successivement, les ouvrages de Posna- ministration a décidé d'augmenter le caAllemagne tout entière, poètes et artistes
Vous devez maintenant plus que jamaif
en tête, ainsi que des gens brusquement de- nie et de Bayreuth, le Labvrmtho sont en- Dital actions de 15 à 25 millions. Les an- veiller à ce que cet épuisement, cet up
ciennes
actions
auraient
un
droit
de
préfévenus ivres, se jeta sur nous et, certaine levés malgré la résistance désespérée des
paCivrissement du sang ne vous gagnent
de nous anéantir, en proclama solennelle- grenadiers allemands qui ont recours à la rence.
pas.
La
Société,
dans
le
but
de
consolider
sa
ment la volonté unanime ! Àh I nous nous ruse ; sans arme et le bonnet à la place du
Evitez donc ce qui peut vous surmener.
souviendrons et toute notre postérité gar- casque, ils s'avancent les bras levés vers trésorerie et d'assurer l'après-guerre, émet- ' Préférez aux plaisirs faciles la saine vie
trait
également
pour
dix
millions
de
Bons
I
nos légionnaires, comme pour se rendre,
dera ce souvenir.
I active au grand air et ne négligez pas sur6 %. très probablement.
Dans la résurrection de la grande Fran- oiais, arrivés sur eux, ils baissent les bras
, tout de donner à votre sang la richesse et
Nous
reviendrons
en
temps
opportun
sui
et
les
grenades
qu'ils
tiennent
cachées
dans
ce nos revues renaîtront, mais tout ce qui
la pureté qui lui sont indispensables, en
ces opératiens.
est Allemand en sera à jamais exclu. Nous leurs mains, lancées à bout portant, font
ayant la sagesse-iie faire à intervalles rénions la culture allemande, persuadés un instant reculer nos braves. Le désarguliers, principalement lors des changeRaffinerie
da
Sermaize.
Les
action
qu'une nation de proie ne peut être qu'une roi n'est que de courte durée ; la rage au
' ments de saisons, la cure des Pilules Pink
naires
se
réuniront
le
lundi
18
juin
1917,
I qm est, par excellence, la cure reconstination de voleurs et que la culture alle- cœur, les légionnaires sautent à la gorge
au siège social à Sermaize.
mande elle-même n'est qu'une contrefaçon ■de leurs adversaires, le corps à corps est
tuante et tonique qui convient le mieux à
Dépôt des titres avant le i3 juin. Nom II l'époque de la formation. Les Tilules Pink,
et un vol. Du reste, la démonstration en impitovable ; il n'est pas fait un prisonnier.
rappelons
que
les
titres,
dont
le
coupor
I
Dès lors, la défense du fortin ne pouvait1
j régénératrices du sang et des forces nerpourrait être faite a posteriori.
n° 20 a été détaché, doivent être estampil ; veuses sont d'une efficacité depuis longNotre culture, accueillante à celles des longtemps tenir, ie nettoyage du grand
lés de la mention : « Capital entièremen
boyau
nous
permet
d'en
hâter
la
chute.
-.temps reconnue dans tous les cas d'appaugrandes démocraties qui font maintenant'
fous les objectifs étaient atteints ; en remboursé ».
vrissement du sang ou, d'affaiblissement
corps avec la France gagnera à se purifier
du contact de pseudo-cultures qui sont en quatre jours de combats incessants, malSaint-Gcbain (Glaces et. Produits Chimi . du système nerveux. Elles reconstituenl
gré la fatigue, le manque èTeau, les diffi-• crues). — L'Assemblée générale a approuva II très rapidement les organismes épuisés «
opposition avec notre g^nie national.
cultés énormes du ravitaillement, le régi- les comptes de 1916, qui se soldent par ur
J'en atteste le petit livre d'Henri Aimé,
ment de la lésion avait, à la grenade, ga-• bénéfice de 32.067.205 fr. contre 10.992.9K )
Les Pilules Pink sont en vente dans touharmonieux et si mesuré, où l'émotion
tes les pharmacies et au dépôt, Pharmack
semble vouloir comme se voiler de tact. gné plus de 7 kilomètres de boyaux. Ses francs.
C'est un livre tout en nuances, mais qui trois bataillons avaient eu raison de deux
Le dividende a été fixé à 180 fr. net d'im . Gnblih, 23, rue Bnllu, Pans : 3 fr. 50 la
n'en est pas moins saisissant. Son titre le régiments saxons.
pôt contre 170 fr. pour 1915. Le solde de c, » boîte, 17 fr. 50 les 6 boîtes, franco.
_
_
dividende sera payable à partir du 1er juir 1 —
symbolise. « Le Bandeau sur le Front »,
prochain par 130 ir. pour les actions nomi
c'est l'action bienfaisante qu'exerce, innatives et 120 fr. 50 pour les actions at i
lassable, le médecin militaire, qui soigne et
98:100
guérit, sur le Front héroïque, le Front qui
Los Bons de la Défense Nationale offrent porteur.
sur wagon Gouhenans (Haute-Saône)
cornet. Henri Aimé poursuit, à Toul. cette toutes les facilités pour effectuer un placeVan Cabeke, 3, rue Richopanse, Parts
Mines do Sol de Jarvilis.
Une assem
« humble et apaisante action » auprès des ment de pleine sécurité, qui n'immobilise'
blessés de l'Est, depuis le début des hos- les capitaux engagés que pour peu de bléa générale ordinaire se tiendra le sa
tilités. Il synthétise ses notations, ses ob- temps et qui donne au Trésor public les medi 23 juin 1917, à dix heurts et demii î I Onnw<«f MONTRfcé, BIJOUX <-y
PENDULilS, ORFÈVRERIE, a
Hf
servations, ses méditations en quelques cha- ressources indispensables au salut du pays.■ du matin, au siège social, 40, rue Gam
betta, à Nancy.
pitres qui sont Les uns mélancoliques et atVoici à quel prix on peut les obtenir :
GiTiilSAOQEÂO
W trliel^al à SES A NÇOM
Dépôt
des
titres
cinq
jours
avant
l
'assem
tendris, d'auters lyriques, comme « L'Ofblée.
Six VPrhJS Méieillei d'Or Coneoun êt VObumtalr» \Bi»N
frande ail^e ». d'autres trafique- comme
PeUX KST ces
Pillas à lest ïclist. FRANCO TARIF ILLUSTRÉ.
« Les Visionnaires de l'Epouvante », chaElectro-Chimie de Bozel.
Les bénéfice
h
h
pitre où se trouvent des pages vraiment
de 1916 atteignent 1.080.770 fr., en augmen
admirables par le pouvoir évocateur et le
tation de 257.258 fr. sur l'exercice précé
MONTANT SOMME A PAVER POUR AVOIR
don des puissants raccourcis. Le livre
dent. Un dividende de 20 fr., contre 18 fr
DOCKS S!-GEORGES
s'achève sur une sorte d'hymne que le
l'an dernier, sera proposé à la prochain
DES
UN BON REMBOURSABLE DANS
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or- .
i.
[iieuient
assemblée.
poète intitule « Transfiguration » et dont
Arrivages continuels de '/ms de toutes
BONS
3 MOIS "*6 "MOIS
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le symbole s'entend sans peine.
Charbor.raxss Frédérjc-Honrï.
Cett (provenances : 8, 9, 10, 11 degré3.
Je dis, le poète, encore qu'Henri Aimé,
100
99 »
97 60
93 »
1 M. CHAMBAY, rue des Jardiniers, 63,
entreprise,
qui
est
actuellement
sécrues
acteur dans le drnmp dont u nous donne un
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495 »
487 so
475 »
Nancy, reçoit les commandes et remet le!
trée.
en
raison
d'une
participation
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aperçu, v }ou*> un rôle de praticien. Mais
. échantillons.
çaise
assez
importante,
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réalisé
en
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I 10.000 9,900 » 9.750 n 9.50Q *
en ce livre, composé, et d'un art très sûr,
GROS ET DETAIL
I 50.000 49.500 » 48.750 » 47.500 » un bénéfice de 1.050.000 mk.
c'est l'émotion qui pst tout, qui est la trame et crée l'atmosphère. Henri Aimé, nvec [ îoo.ooojog ono »j97.»oo « 95.000 »
Forces Motiices de la Loue.
Assem Les manuscrits non insérés ne
une sobriété, utne discrétion très art'stes,
On trouve les Bons de la ffêrense Natio- i blées ordinaire et extraordinaire convo«ie domine tou'ours comme s'il avait 1? sen- nale partout, : agents du Trésor, percep- quées pour le 20 juin prochain, au sièg > |sont pas rendus.
timent cV' n'être qu'un témoin modeste et
teurs, bureaux de poste, agents de change, social, à Paris.
mil se relègue an coin du tableau : tenteA l'ordre du jour de l'assemblée extra
j Banque de France et ses succursales, So-[
' i impr. de l'Es' stépubiieaiit.
**&É0.
fois cette ém^+ion; contenue, ge dégage '
■ ciétés de crédit et leurs succursales,' dans| ordinaire : irojet d'absorption, par voi
peu à peu, Jaillit, et, de page en page, le
{de
fusion,
de
la
Compagnie
Electrique
di
toutes les banques et chez les notaires.
i
(
MODES DEGUERRE
Du « Cri de Paris » :
Le cuir étant cher et rare, les dames en
profitent pour porter des bottines plus
hautes qu'elles n'en ont jamais portées. Certaines y ajoutent même des revers, oubliant que le revers est le contraire de la
victoire.
Mais les hommes n'ont rien à envier aux
dames en fait de gaspillage de cuir.
'
Sous prétexte qu'il y a de la boue dans
la tranchée, auiconque porte l'unforme à
l'arrière a définitivement renoncé au, pantalon pour adopter la culotte, laquelle ne
va pas sans molletières en magnifique
cuir fauve. Des combattants de l'administration qui n'ont jamais quitté les bureaux
des auxiliaires employés aux services les
plus civils, les officiers de chemins de fer, i!
ceux qui ne circulent qu.'en auto, ceux qui i
ne combattent qu'avec la plume, ceux qui 1
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DÉFENSE NATIONALE
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BIBLIOGRAPHIE
Petites GûiTssjioniiances
I
Jacqv* Plrênne. — tes Vainqueurs de
a
l'Yser. Dessins de James Thhiar. Pré-,
face de Emile. Verhaeren et Emile Vanderveide. — Un volume in-16, 3 fr. 50.
Librairie Pavot et Cie, Paris, 100, boulej
vard Saint-Germain, 106.
Ce volume illustré d'une trentaine de
dessins de James Thiriar, attirera certain
nement l'attention du public tant par le
eujet qu'il traito que par la façon donf
les* auteurs l'ont envisagé.
TJ convn.pit au moment où le front occidental se réveille
l'existence
du soldat belge qui s'imposa dès le déburt
des hostilités çommfe un type nouveau
dans les annales militaires. Depuis la
grande bataille de l'Yser le front belge
de rappeler
fcjjj^jja^i!,!.—i.i.-.-...-.-^-—T——nimjii mil Tvi""
étude, menaçait de tomber dans l'oubli.
La guerre, on la connaît par les livres
qui se sont- attachés à la décrire, par les
récits de ceux qui la vivent, par les rapports officiels qu'en publient les journaux,
mais l'état d'âme du soldat, le « traintrain », journalier de sa vie, ses joies et
ses misères, et le milieu dans lequel s'écouie son existence restent al connue du
public. C'est ce que » Les Vainqueurs de
l'Yser » évoquent à chaque page, bâtissant
avèc sincérité et pittoresque le « type »
de ce soldat belge si patient, si simplement héroïque, si profondément humain,
qui brisa la ruée allemande à Liège et opposa son irrésistible ténacité à la vague
qui s'étendait vers Calais.
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a'une .«rsuiiio lU:ai»8isi ie de Paris ne faisant pas partie de
l'entente dos Brasseries de l'F.st. - Pour tous renseignements,
s'adresser à^L
»^NAC repentant.
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reserve n° 7, canton du Juré,
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Luneville. Irav. b. rétribue, correinandance. - S'adress. Fabriques, 32, a fîancy.
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Si vous avez un tempérament sanguin,
bilieux, nerveux. Si vous êtes Arthritiques,
sujets aux Rhumatismes, à la Goutte, aux
Eructions aux maladies de i a Peau • cion«i
x-i upnuns, aux maïaaies ae a f eau . uious,
Démangeaisons, Rougeurs, Boutons, Abcès.
Furoncles, Dartres, Eczéma, Herpès, etc.
Réintégration des Bureaux à
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Fendant
la guerre, le prix des opeciahtes Foster n est pas augmenté,
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étant supporté par leur préparateur. En vente dans toutes les bonnes Pharmacies
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sur réception du montant.
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sonnent votre sang. Des que vous remarques des symptômes tels que : douleurs dans le nas
du dos ou sur la vessie, enflure des jamfces ou des articulations, sentiment de lassitude,
appelés, aussitôt à votre aide les Pilules Foster qui, à tout âge, opèrent des guérisons
durables - ches
ceux
qui■ sontJ. atteints ou seulement menacés d'une maladie provenant d'une
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MACHINES AGRICOLES
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D. par veuve S. Ch. Toul,
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D. par C. J.. 75
R. — Vous n'avez pas droit à la haute i D. par A. L.
paye ordinaire. Mais vous avez droit à la
nouvelle haute paye de guerre.
mettra la swcewlon ^uVhérhÏÏ?
et frère..
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D. par.M*. K., n" 40.
R. — Oui, à notre avis.
D. par A G.
R. — Vous avez une façon bip
D. par J. A.
D. — 1° et 2» Non ;
de prouver nue vous êtes réellen ? silïlPl»
3° A notre avis, non.
valeur : c est de produire un cenm ('%
maire de votre commune et un . , ' d»
D. par L D.
président de la commission agricole
R, — Vous avez le droit de faire une deD. par E. Petitdidicr.
mande adressée à votre chef hiérarchique
et accompagnée de vos références. Votre
R. — A notre avis non, puis™,
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chef de corps devra la transmettre.
i marchez a\ec la classe 15.
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ô. par A. N., 8.
R. — Si votre femme gagne 2 fr. 50 parjour, est logée et si votre fille gagne 6 fr._50
par jour, votre femme ne peut prétendre
être nécessiteuse et avoir encore droit a
l'allocation:
D. par Arrcty.
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— Si vos explications sont exactes vous]
n'êtes pas en faute. U faut les donner à
votre capitaine.
D. par B. M.
R,
Juridiquement les mile? sont à 1$?:
succession de votre père, mais d'autre part'
le prix vous en est, dû par vos frères jus-'
qu'à concurrence des deux tiers.
le ;; drbti Mais ^no3« »é vôyons%a? le
moyen pratique pour vous de l'en empêcher, étant donné la difficulté d'agir contre
un mobilisé.
D. par A. V., 27.
D. par vu conscrit de la classe 15.
R. — 1» Trois mois après la première
IL — Vous suivez le sort de votre classe.
visite.
D. par Pierre Bédel.
2" Votre femme peut continuer à touP.. — Vous ave?, certainement droit à la cher.
haute paye de guerre.
3° Si vos ressources vous le permettent,
oui.
D. par A. D. Pompey,
4° L'engagement est valable.
R. — Nous ne voyons pas ce qui peut
vous en empêcher.
D. par Mme Thiéry.
R. — Non. Il n'y a qu'un moyen, c'est]
D. par Saccun.
R. — U n'y a pas, à notre connaissance, la réforme, si votre mari présente un Cù&i
de règlement le" permettant.
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rétribution, — S'adresser au
bureau du journal — 4845
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du tramway, à Maxévtlle, I n. UrtSLUCL,
près de Nancy. — 4915. I «. rue Gambetta, NANCV
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