1 - Archives municipales

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54"'unni*— ff*11,981
(Q Pages)
Administrateur
-Déléffné
-Gérant
O.
RAN
DO LET
idsniiiistratioii.
Impressions
etAnnonees.
TEL.
10.47
85, Rue Fontenelle,
Ait'esse Télêgraphique
35
: EA1ID0LET Havre
ANNONCES
Le Petit
A PARIS .
Le
le PETITHAVREest dèslgnépour les AnnoncesJurliciutres ei légalas
plus
Questionslegislatives
Eu comprenant les 232 millions du Maroc, on arrive a un chiffre total de dépenses
hors budget de prés de 830 millions.
LaRentréedssChambres
eileBudget
A la veille de la rentree, un certain nombre de döputés et de sénateurs diligents se
sont préoccupés du travail parlementaire de
la procliaine législature, Dans les journaux
et dans les revues poiitiques, ils expriment
leur sentiment a eet égard et tous sont d'accord pour reconnaftre qu'il u'est pas ques¬
tion plus essentielle que celle de la rélórnie du Parlement iui-même. C'est une ques¬
tion vitale pour lui, disent ils, et s'il ne
vent pas tomber dans I'impuissance, il est
urgent qu'il a visé aux moyens les plus propres a meltre un terme a certaines métho¬
des défectueuses de travail, 4 certaines ha¬
bitudes fücheuses de discussion.
Et toutd'abord, une politique financière
nette et précise s'impose comme première
préoccupation a la Ghambre et au Sénat.
11leur faut, de toute néeessilé, rétablir l'équilibre budgétaire.
Dans un article qu'il publait récemment,
et qui fut trés commenté, M. Aimond, rap¬
porteur générai du budget au Sénat, faisait
connaitre son avis sur la question. En ce
qui concerne le budget 1911, non encore
voté, il fallait, disait-il, le boucler le 30
juin, par l'emprunt, afin d'éviter de nouveaux douzièmes provisoires. Quant au prolet de budget de 1913, il estimait que le
dépót en devrait être effeclué avont le 14
juillet, pour que le Parlement put ie voter a
la session d'octobre, pendant que le Sénat,
de soit cólé, voterait l'impót sur le revenu.
Or, le rapport générai de M. Aimond sur
le budget de 1914 vient d'etre distribué aux
sénateurs, et ce document met en pleine
lumière l'ëtat de nos finances qui n'est pas
trés brillant. Les diffieultés de la situation
sedraduisent en effet par un déficit de 800
millions environ, sans compter les dépenses extraordinaires déja engagées ou a en¬
gager pour la Guerre ou la Marine, qui ont
étéévaluées a plus de 1 .400.000 millions et
dont l'annuité viendra encore s'ajouter aux
dépenses de l'exercice 1914, lorsqu'elies
aurout été couvertes par 1'empriM.
Pour l'exercice 1914, s'il se présente en
équilibre, c'est grace aux procédés que
volei : 1° un emprunt de 112 millions 1/2
au comple provisionnel qui se trouve ainsi
complètement épuisé ; 2° un emprunt de
J96 millions en obligations a court terme
du Trésor ; 3" l'irnputation,
a un compte
d'emprunt, des dépenses pour leMaroc, évaluées a 232 millions. Sans le recours au
compte spécial, le déficit initial eüt été de
340 millions. On ne prévoit d'ailleurs aucune somme pour le remboursement des
48.330.000 fr. d'obligations a court terme
qui viennent a échéance dans le courant de
cetteannée même. De plus il faudrait ajouler au déficit initial de 1914 : 20 millions,
pour l'iniérêt et i'amortissement de la pre¬
mière tranche de l'emprunt ; 17 millions
pour nouvelles dépenses votées par la
Chambre. En outre, il conviendrait aussi de
prévoir : 277 millions votés par le Sénat,
non encore votés par la Chambre, et desti¬
nes a assurer le payemeiit des dépenses a
engager ceite année en execution de la loi
de trois ans ; 211 millions pour travaux in¬
téressant la délénse nationale; 128 millions
pour Ia marine en sus des crédits inscrits
au budget.
I—
—
«mi
Et la perspective ne serait pas meilleure
pour le budget de 1913. Le compte provi¬
sionnel ayant dispara, l'accroissement normal des dépenses continuant et le dégrèvcment foncier faisant sentir ses cfïets, ce se¬
rait une aggravation de plus de 200 millions
dans le déficit, — atténué, il est vrai,
dans une certaine proportion par la réforme sur les valeurs mobilières et par
les plus-values de recettes. Le déficit mi¬
nimum de 1915 atteindrait 610 millions.
Même en dégageant momentanémcnl le
budget du poids des dépenses marocaines,
c'est 410 millions d'impóts nouveaux qu'il
faudra trouver, et M. Aimond conclut que
les classes aisées doivent tenir la promesse
de payer largemeut leur part.
Les commentaires de M. Aimond, en ce
qui concerne Ja situation financière aetuelle
et l'insfilfisanee du controle parlementaire,
vient a l'appui de l'opinion de ceux qui es
timent que le Parlement a le plus grand
besoin de réformer scs méthodes de tra¬
vail :
Peut -être, dit-it, en ne présentsni plas des
budgets siucères, paree qua les dépenses
normaies et inéluetrbies étaient volontairement diniinuées dans ieurs previsions, les
différents gouvernam enis ont-iis eu ie 'grand
tort de masquer aux yenx du plus grand
nombre la situation exacie de nos finances
et de iaisser sans defense ie budget coritre
les assauts annuels dont il est l'objet ; mais
il n'en est pas moins vrai que la droite com¬
me lag niche da nos assemblees ont une
part égale de responsabilité dans tont ce!a,
comme dans le déficit qn'i! nous faut cotnbler aujoard'hui et que si nous sommes acculés a l'emprunt et 4 l'impót, c'est la faute
de tons les partis.
Anjourd'hai l'henre n'e<t plus eux rëcrim inations ; i! faut procéder au règlement
du passé : l'emprunt et l'impót sout done
inévitables.
Mais quels seront ces impóts nouveaux ?
Nous l'ignorons encore, et la Commission
des finances du Sénat ne s'est guère montrée favorable jusqu'ici aux décisions de la
Chambre puisqu'ellc a successivement
repoussé l'incorporation de l'impót sur le re¬
venu dans la loi de finances et les modifi¬
cations au droit successoral.
Or la lache délicate et difficile qui ineombe aux deux Ghambres exige leur en¬
tente compléte et rapide pour fixer et voter
les nouveaux impöls el pour voter l'inévitable emprunt.
Tii. Vallée.
Gonseil des Ministres
Tes min'sfes se s«nt réunis,. hier matin,
en Conseil, a t'Elysée, sous ia présidence de
M. Poincaré.
Voici la note qui a été communiqués 4
l'issue du Conseil :
Le président da Conseil, mïnistre des affai¬
res étrangères, a fait au Conseil un exposé
des événements extérieurs et des diverses
questions de politique étraagère.
Le ministre des finances a enlrelena !e
Couseil de la situation financière et de ia
discussion du budget de 1914 qui va eomrneiicar devaai le Sénat dés ia rentree nes
Ghambres.
Le ministre la gaerre a renseignéses collègues sur la situation au Maroo et sur les conlius algéro-marocains.
II a égaiement annoncé ('organisation sans
aucune nouvelle dep, use d'une inspection
du couchuge et ds ('habillement a ia fois
pour assurer la liaison enire les services locaux et ie service centra! et pour faciiiter le
controle permament
des appro visionnensents de la réserve de gaerre.
Tiragefort des
Xéléjihooe
Secretaire
Nos coneitoyens
sont Irop réalistes
et trop habitués a la collaboration
cntre gens de toutes opinions dans le domaine des affaires et sur le terrain des
ocavres pour admettre
un cloisonnement politique absolu et défmitif basé
sur les divergences
religieuses...
Résumons-nous.
Nous tendons
la
main a tons ceux, quelles
que soient
leurs opinions religieuses,
qui veulent
la Patrie forte, la République
respectée, l'ordre social maintenu
moins par
la poigne du gendarme
que par des réformes jndiciéuses.
Le Petit Havre declare
vouloir
les
mêmes eboses, mais il aime mieux
donner la main aux ennemis de, la patrie et de l'ordre social, que de la don¬
ner aux calholiques.
Aux Havrais de dire de quel cöté est
la lolérance, de quel cölé la saine con¬
ception des intéréts du pays et du ré¬
gime démocratique
lui-même.
Qu'il est difficile de se Jaire comprendre,
même et surlout par un adversaire intelligent
! Nous avians écrit
noire article, précisément
pour
marquer que ce n' étaient pas les divergen¬
ces religieuses
qui nous j ais aient peur,
que nous respections les croyances qui
ne sont pas les nötres, que c'élait- settle¬
ment avec le parti politique catholique
que nous ne voulions
avoir tien de
commun.
II est vrai que Af. Urbain
Falaize
nous a rèpondu Jroidement
qu'il n'y
avait pas de parti
catholique
; nous
sommes si sujjoqué
de cette affirma¬
tion que nous exigeons de noire contradicteur,
pour le croire,
qu'il nous
cn donne une confirmation
éclatante
:
par exemple, si FAction libérale n'est
pas catholique
elle dolt certainement,
comme tous les partis, être ouverte aux
Isréalites
; quon
nous donne, parmi
cux, les nomè de ceux qui en Jont partie, et nous avouerons noire conjusion !
Alais trève de plaisanterie
; nous
aussi nous sommes des réalistes ; nous
aussi nous sommes prêts a collaborer
dans tel cas determine,
pour les affai¬
res municipales
ou sur le terrain économique et social, avec des adversaires
poiitiques,
ceux de ganche, d'ailleurs,
comme ceux de droite ; dans les grandes questions d'intérêt générai,
comme
celle de la defense
nationale,
nous
trouvons tout naturel que les voix de
la Droite se mêlent aux nötres si cela
lui convient. Alais la n'est pas la ques¬
tion ; se rencontrer
occasionnellement
dans certains votes, ce n'est pas s'irhif tér, Jaire bloc cn cue d' une politique
de gouvernement.
Nous remercións
Z'Action Libérale
de nous tendre la main en vue d'une
« llépublique
respectée » ; mais nous
prétendons
avoir bien plus d' autorité
quelle pour Jaire
respecter
la lièpu-
de
26
MAI
C. Oü 10UR
Blé »nr
—
Maïs sar
—
.....
$fldfi'üoaxsar.
Juillet....
Septembre
Juillet....
Seplembre
Juillet
ABON A'EIVIENTG
Le Havre, la Seine-Inférieure,
l'Oise et la Somme
Autres Département3
Union Postals
Trois Mois Six Mois
l'Eure,
Un Am
GO
& Fr. a a Ff.
G Fr. 1 I so
ID
1»
»» jjo
Fr.
so
Fr. -AO
Ons'abonneegntement,SANSFRAIS, dartstous les Bureauxde Pastede France
!a
tant mieux ; nous les féliciterons
de
ceite conversion, ou de cette abnega¬
tion, mais ce n'est pas a nous a aller
vers cux et nous ne Jerons aucune con¬
cession pour rallier leurs suffrages.
Le Havre-Eclair
pr étend nous enjermer dans un dilemme : si nous ne
nous unissons pas aux libéraux catholiques, « nous donnons
la main aux
ennemis de la patrie et de l'ordre
so¬
cial ». Alais nous n avons pas de pensées si noircs el nous prétendons
simplement
et modestement
rosier noasmêmes. Nous avons assez prouvê notre
indépendance
vis-a-vis de l'exlrêmegauqhe pour juger inutile de nous déj entire de*pacliser
avec elle.
Nous
sommes les premiers
it réprouver
ses
visées démagogiqües
et son absence
do sens des nécessités
nalionales
et
des responsabilités
gouvernementales
;
mais nous n'en avons pas une terreur
telle que nous soyons prêts a tomber
darts les bras providenliels
da « parti
de l'ordre ».
Nous avons encore confiance
dans
noire parti qui est, cn dépit des statistiqnes, leplus nombreux puisque, sans
étiquette,
il groupe, a la gauche de la
Chambre, tous les républicains
de gou¬
vernement ; nous savons bien que la
Droite
tient a pousser
les choses au
pire, mais nous nous en remettons
au
bo/t sens francais
et nous sommes convaincu qu'il suffira de faire crédit au
Parlement
pour qu'il s'y dégage
la
majorité nécessaire.
Dans son Jameux
discours de SaintÈtienne,
Ai. Aristide
Briand
disail
exécllemmenl
: « La République
au
'pouvoir est le gouvernement
au service
de tous les citoyens et s'appuyant
sar
un parti.
» Nous désirons
aussi la
République
« libérale », dans le bon
sens du mot, respeclueuse
de toutes
les opinions el de toutes les croyances,
juste et aimable pour tous ; mai.s il n'y
a pas de gouvernement
républicain
possible s'il ne s'appuie sur un parti ;
ce parti ne peut être que le parti ré¬
publicain,
a l'exclusion
de tout autre.
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LA RUE LE CHIBLIER
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Pödto et ciichöl'clil Uivre
SoanouvslAspoctd&aaIa partiesupsrfeure
Après avoir été interdfle 4 la circulation
pendant plnsLnrs semuiaes, la rue Leciiibner, vient d'être 4 nouveau livrée a la cir¬
culation, 4 la grande satisfaction des riombreuses personnes qui ont coutume d'empn.n er cette vuie pour communiquer avec
le puit au de Sanvic et la partie basse de la
vibe du Havre.
Cette rue qui devrait être appeiée Le Cliiblier, do rsom de i'ancienne famide bavraise,
dont le conseii municipal tint ainsi 4 perpótuer le souvi niren raison d'un don qu'eüe
fit aux hospices, est certjinernent l'une des
voies les pms anciennes da notre cité.
Dans les tem[>s les plus reculés, elle constituait l'un de ces chemins d'usage sarpentant entre tes h ies et les talos des feimes
Caspar Jordan.
qui occupaient les cóteaux d'Ingouvdle et
son origine ne peut être retrouvée.
Ede figure deja sur un plan du XVII»
siècle et remonte fort probablement haaucoup pins loin dans Ie temps.
Avec queiques autres, d'un accès aussi fa¬
cile et d'une commodité non moins grande,
elle faisait partie de ce réseau, assez rudi¬
La note d'hier sur Ie Conseil des minisfres
mentaire, de route-s plus ou moins l.rges,
ne fait aucune allusion 4 ia si uition mi- plus ou moins entretenues, qui reliaieDt la
nisiérielle, c'est-é-dire au point de savoir si piaine 4 la cöie. Ella conserva toute son im¬
la Gabiuei Doumergue se presentera devant portance jusque vers 1780, époque oü l'oula nouvelle Ghambre ou se retirera. comme
verture de la me de Montiviliiers permit
son chef a para un instant en manifester
d'accéder plus commodément sur ie pla¬
l'mteniion.
teau.
La question, en effet, n'a pas été agitée en
Cette « sente 4 paniers », aiasi nommée
Conseil hier matin, et eu tous cas, lorsqu'elle
paree que, outie les pii-tons, les chevaux
sera examinée.sera traitée au préaiable dans ou lesanes haiés, chargés de corbeilles, voire
un Coisei! de Cabinet, e'est-a-dire par les même de petitos charreites purtant des pa¬
ministres entre eux et hors la présence du niers, pouvaient y circuler, perdit alors une
prési ent da la République, auquel M. Dou- partie de sa clientèle.
mergue commuuiquera easuite la résolutioa
Les riverains empiélèrerit sur Ia voïe, des
arrêiée.
éboulements se prodnisir<jnt, les ronces et
M. Doumergue se livra acteel'ement 4 les hroussailles l'énvahirent. Pe i& peu elle
nne consultation auprè3 des sénateurs et ne devint plus pratiqnable qn'aux pietons.
des députés nouvellement réelus, et il ne
M. Burey, I'aimabie archiviste de notre
semble pas que cette consultation puisse re- vil e, voulait bien nous signaler récemment
cevoir sa conclusion avaut ie debut de ia se- qu'elle était tellement degradée en 1845.
maine prochaine.
qii'on songea 4 supprimer sa partie haute,
L ; Conseii des ministres a fixé sa pro¬ qui aurait été cédée a un propri -taire, M. de
chaine reunion au mardi 2 juin, c'est-è-dire Bléville, a charge pir lui de co isirnire on
au ie.odemain de l'entrée en function de ia escalier en remn'acement. Une enquête tut
nou velle Chambre. Dans l'mtervalle. M. Poin¬ ouverte 4 eet tffe . mais, devaot l'opposition
caré doit se rer.dre en Bretagne oü il sera des intéressés, qui entraioa i'avis défavoraaCvOrupagné de M. Dounuirgoe et par plubledu cotnrnissaire enquêteur, l'affaire fut
sieurs membres dn Cabinet. Le voyage pré- ciassée.
si ienfiel dnrera du vendredi matin au lundi
Par Ia suite, l'iniérêt que pré sm tait cette
soir Ier juin. Ce n'r-st done, semn toutes pro- voie de communication s'étant aifirmée, les
b ibilités qu'après ie retour de M.»Poincaré possessed) s des grand 's propriétés voisines,
a Paris que ia siUiaiion mtnistériebe sera désireuses de se proteger contre dos curiosireglee.
tés trop nombreuses, édifièrent des hautes
La SituationMinistêrielle
miiraüiös, faites de silex noir et öb briques
blanches, qui rendirent la fréquentation ds
ce passage sinueux fort peu attrayante.
Neanmoins, et bien quon eut coustrnit
successivement les escaliers Boisgérard et de
Tourneville, la rue Lecliiblier répondait 4
une telle nécessité, en raison sortout dn développement que prit Skuic comme liea
d'habiiation des frmilles desireuses de s'assurer un logis convenable a un pris raisonnabie, que la circulation y 1at toujours des
plus actives.
D'un pointage cff -clué pir Ie service mu¬
nicipal, il résulte ca clïet que le 7 mars 1913,
dr>o heures a lOheures du soir, i! est passé
t 683 personnes, et que ie ii du même mois
2,110 l'oat parcourue.
«4 %
Mais i! ne suffisait pas de cönserver la
voie, il fallait la rendre pratieab'e aux piétons et même'. au x voilures d'enfants.
Pour èviter la degradation constante cansée par les eaux piuviaies on supprima le
caniveau central qui fut remplacé par deux
caniveaux latéranx. Ces canalisations établies en rnac mnerie ds brique étaient relativenrent larges et prófondes ; de plus, pour
eviter que I'eau ne débordat dans les coudes
nombreux que forment la rue, on avail pris
soin de recouvrir d'un döme de maqonuerie, les parties de ces caniveaux situées dans
les changemmts de direciion.
La cliausiée praiicalile fat bitumée, de?
becs de gaz éclairèreut ia voie, et des banes
threat placós de distance en distance pour
la commodité des passants.
Mais une servitude, qui faisnit déverser 'es
eaux de la rne de l'Abbaye dans la proprieté
Uo ker, ay iot pris fin eh 1909, ces eaux, en
lomps d'orage, vinrent dévaier en torrents
dano, la rue Lechiblier. Celle-ci se irouva
ainsi complètement ravinée ; pa?' s sreroit,
des murs de cloture lurent aéchaussés et
s'ecroulèrent.
Pour remédier 4 cette situation, le Conseil
municipal décida, da >ssa séance du 28 .out
I9i2, de construire dans la ruo Lecli blier
uue canalisition en potdrie de 0,30 d?i diamètre et de 52a mètres de longueur. Le coül
de ce travail fut evalué 4 30,000 francs.
Par la suite on resoint de faire mieux en¬
core, et, Ie 14 raars 1913, une nouvelle deli¬
beration approuvait un proiet de la Gommis¬
sion de la voirie, qui coasistait a créer dans
cette rue 28 paiiers reliés eutre eux par des
escaliers da queiques marches.
Ce travail a été récemment achevé. Le sol
BSBBj
0ÜI
DÉPÊCHES
CQMMERC8ALES
CHICAGO.
Qénéral : TH. VALLÉS
—TT
Dernière
—
•
t
RédacSion, 35, rue Fonteneile
; si les lib cr aux ju gent a propos
HORSDUDILEMMEdebliqueseconder
nos eff orts républicains,
Les polémiques
les plas courics sont
les rneilleures ; encore qaelqu.es preci¬
sions et nous considèrerons
le débat
comme clos ... en attendant
une proehaine occasion de le rajeunir
!
Nous ne discuterons
pas les raisonnements « cculés » que AL. Urbain Falaize nous prête , avec une générosité
qui égale son elegance, pour
la commodité de son argumentation
; nous ne
retiendrons
que la conclusion
de son
article d'hier :
EN CHEF
Ï.-J. CASPAR - JORDAN
GRAVEACCIDENT
D'AUTÜMBBILE LTNGÉNIEUR
PIERRE
A LTflSTRUCHONLIS
Melün.— Une automobilo dan-, Jaquelle se
trouvaient MM. Gibaux, ingénieur, et Bu¬
reau eommissaire-piiseur è.-Meiun, a versé
dans un tossé par suite de Ia rapture d'un
essieu.
,
L'accident s'eff pro aait a cinq kilometres
de Lieusaint.
Les deux voyagenrs qui ont été grièvement
blesses, ont cté transposes
a i'höpuai de
Melun.
L'état de M. Bureau inspire de vives inquié
tudes.
Brest. — L'iagenieur Pierre a sebi hier,
d» trois 4 snpt heurcs, ua nouval interrogatoii*e>
M. B'dirt de Ia Noë, juge d'instruciion, a
PARIS, TROIS HEURES MATIN
développé la thèsa tie I'accusation suivant
laquel e M. Ca iioo, que peisoune re revit
ap ès ie 30 décembre, ourait été tué dms le
LESMANOEUVRES
NAVALES
bois de ia Grand'! alud d'un coup de revol¬
Bizerte — Le ministre de la marine
ver. II anraii eu ensoite la gorge coupée par
n'ay.rn pas terminé hier soir la visite des
TVIST.ATJX;
M. Pierre, au cours d'une discussion relative
installations
do
la
baie
de
Ponty
et
exammé
Ï.OMlItr.S, 26 Mai. Dépêchede 4 h. 30
au contrat qui ie duit a i'usine et l'empêehait
le détail des transformations et des nou¬
d'entrer 4 I'usine voisine de Daoulas.
veaux
travaux
projetés,
a
fait
changer,
cette
BAISSR
TON
COURS
HAUSSE
L'ingénieura protesté énergiquement con¬
nuit, Ie programme de la continuation des
cm vue
tra l'accusation poitécontre
lui. « C'est une
C0NFLIT
KINIER
manoeuvres navaies.
abomiiiution I s'est-i! ècrié. Je suis allé une
Comptant . .
t 63 8/2/6
-/Le
programme
nonvean
est
Ie
snivant
:
Alm. — Les mineurs ont tenu hier soir
Cülme
3 mois
L'armée na vaIe ayant pris quatre jours de une féunion 4 Caguac pour examiner la si¬ seuie fois dans le bois avec M. Cadiou, en
£ 63 17/6
2/6
-h
vivras, Ie premier parli app.ireille ca soir, tuation créée pur la réponse négauve de ia ociobre. Ja n'ai j tinais levé la main sur perETAIft
senne ; j'ai le roe r irop sensible pour comentro troi3 et quatro Jteures, pour aller au compagnie.
metire un tel forfait I »
Comptant .
£ IÖ0 -/large préparer le blocus da la place de Bi¬
6/-/Après discussion, les assistants ont décidé
M Bidart da la N- c a terminé son interrocalme
zerte
et
le
deuxième
parti
sppareillera
de3 mois
£ 432 -/7,6
do continuer ie travail jusqu 'a nouvel ordre. gatoire en voulant faire avouer 4 M. Pierre,
-/main matin, a l'aube, roar forcer le blocus.
que lui qui avail dénoncé son directeur, UoIER
Après 1'exécuiion de ce theme, l'armée navait lui cönserver une grande animosité.
Comptant . calne
et/t y,
vaie réunia prendra la direction des cöies de
LE MAUVAIS
TEMPS
-/-/L'ingénie ir a prouvé ie contraire au jnge
France.
B mois
Si/6
Nice. — Uu fort coup de rner a occasionné
' Fa d
par ce fait q ie le 30 döcernbre, croyam M.
hier d'inaportauts degats a la Promonade des Cadiou parti pourPaiii, il lui avait adressé
Prix compares avec ceux de ia deuxiemoBourse
du 24'mui 1ai4.
Anglais et aux travaux du port.
ses vceux tie i o ivel an et lui avait dit q ,'il
L'ÉTATDESANTÉBE
Ge coup de uier est survena vers deux n'oubnait pas ses enfants auxquels ii faisait
NEW-YORK,
23 MAI
henres da matin.
L'EiÜTOBÖLOGISTE
FABRE
Feixvoi de bonsons.
Ctffiinna i mai, hausse 4 points ; juillet,
Uae douzaiue da bateaux de pêche ont été
Avignon. — Les nouvelles de l'entomoloïncli ngé; oetobre, hausse 4 points ; janvier,
emportés
au
large
et
da
nembreux
auties
gisie Fubre, de Seiiguan, ne sont pus rassu" hausse 6 points. — A peine soutenu.
ont été eodomruagi's sarieussinent.
santes.
C0ND
AÜINÉ
AÜXTRAVAUX
FORCES
C/alen ï hausse 14 4 points.
On estime les dég&ts 4 plus de deux cent
Le docteur qui se iient au clievet du maPau. — La Cour d'assises d ts B<isses-Pyrémilie
francs.
lade a signé lner sot a 6 hetires le bulletin
nées viant de eondamner a vingt ans de "tra¬
NEW-YORK,
26 MAI
■
<Ui .
suivant : « Pas de mieux ;état stalionnaire».
vaux forces le nommé Brat, 39 ans, qui, ie
t. ie ion
t. mcum
18 novembre dernier, 4 Lalongue, tua d'un
Orange. — Les dernières nouvelles relati¬
CQSDAMNATION
D'UNSATYRE coup
de fourche une jeune fille, dans Ia
Clitlvre
Standard
disp.
13 91
13 91
ves a I., santé de l'entomologiste Fabre reMllun. — La Cour d'assises da Seine-et- ch iinbre do laqueile il stétuit introduit pen¬
—
juin
13 91
13 91
présentent toujours êoq élat cornme trés Marne vient da conlannier 4 cin j ans de ré- dant la nuit et qui repoussa ses assiduités.
Anmlgttinat,
Can...
72 t 2
72 1 2
grave et laisseut craindre une issue latale.
cmsioa un satyre commé Gateiier, agé de SO
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ans, mareciial-ferrant.
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RÉDACTEUR
ORGANE RÉPUBLICAIN DÉMOGRATIQUE
Bureau dtj Journal, 112,bouD de Strasoourg.
SL'AGENOE HAVAS,8, place de la Bourse, est
seule eliargée de recevolr les Annonces pour
le Journal.
AU HAVRE.
§ Cenlimes
— EDITION
ÖUMATIN
— 5 Centimes (O Pages)
Septembre
83
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LESRESTES
DUCAPITAINE
HERRY
LEC0NFLIT
KEXIC0-AKÉRICAIN
Brest. — Après trois jours de recherches,
on vient de découvrir les restes carbonisés
Londres. — La nouvelle d'après laqnslle
do capitaine Herry, commandant ia goélette les con.siitotionnaiistes se seraient em pares
Bertlie-Marie,chargée de füts de pétrole, qui de propriétés appartenant 4 une compagnie
fit explosion dans la nuit de dimancbe der¬ anglaise de pétroles 4 Tampico, est alijQlunier.
ment dénuée de I'ondemeaL
AFFAIRES B'QRIÜIÏ
L' Attitude de l'Italie
Rome — A Ia Chambre. le marqnis di San
Giuliino, ministre ciei affaires etrangères, a
répondn longuement 4 des questions qui lui
avaiont été posèes au suj t de ia politique de
l'Italie dans ics Balkans. Au sujet de l'AIbania, Ie marquis di S.m Ciuliano a déciaré
que la politique de l'Italie était exempie de
toute ambition terri oriuie et qu'elle avait
pour but de corisonoer 1'indépendance de
l'Albauie, d'en déveioppar la pmspérité économique et ae pariiciper toujours davantage
par son commerce et ses oeuvre* fécondes, a
la civilisation des albanais et au progrès de
la paix.
« Nous voulons, a ajonté l'oratenr, faire
tace aux évenements possibles par le ca'me
serein qui rtous a permis, dans les dernières
années, de surmónter des difficuilés trés
graves et dangereuses. »
Le marqwis di San Ginlianoa confirms que
de son cöté, l'Autriche n'a aucune intention
de s'immiscer daus les affaires interieuies de
l'Altianie, conformément aux accords pris
avec le gouvernement itaiion.
Information dëme-ntie
Vienne. — Les journaux démentent de
souroe bien informed ie bruit d'une inter¬
vention int#i nationale en Albanië.
U
MAMOC
L'agita'ion chez les Zaïacs
Tangeh. — La situation chez ics Zalani est
toujours aussi troubiée. L'agitateur Amhaouch esf actnellement instalié eutre Kenifra et la kasba T .dia sur l'Oura er Rbia. II
disposerait de partisans bien armés avec lesqueis il soutieiodrait ics Zaïins contre la
pênétration dos colonnes franpaises.
Da son có é, ie caï-i Zatani essaye de grou¬
per des contingents au Nord-Ouest de Kenifra, en face de Oulmès.
ILe Retour da M. Monier
Tanger.— Le chef de Ia harka-des Otiedras
menace de voir le marchê de Tanger term#
aux gens de sa tribu, a envoyé cent hommes
qui ont délivré M. Monier. Ce'ni-ci a écrit
dar.s la matinee pour annoncer le fait. II dit
qu'il revient avec dn guide, mais lentement,
paree qu'il est fatigrié.
M. Moniër, arrivera vraisemblablemeat cs
matin.
ACCIDENT
A BORDD'UNTORPiLUUB
Iibau. — Le torpilleur Pogromtchink qui
se trouve actuellement dans ie port Aiexandre-lll, vient d'être le theatre d'un accident.
Un tube 4 vapeur a éclaté ; nn lieutenant
et quatre matelots ont été grièvement
brü lés.
Les blessés ont été transportés a I'höpUal .
UNFILSDEGUiLLAUME
II ESTFIAHCÉ
Berlin. — Hier soir ont en lieu Ics fiancaities du praice Oscar de Prusse, ie o" ffIs
ae l'emp ircnr Gutllaume, avec la comtesse
Ina-Marie voa Bassewitz, dame d'hoanear
de fimperatrice.
LA DiSPARITION
DE
L'empce'jr a donné son consentement a
L'AVIATEUR
HAMELcette union morgauatique. La date du maDunkerque. — Les contre-toroilieurs de la riage n'est pas encore nxée,
La flancée est la deuxième fille dn comte
flotulle out expioré les cótes afin de décou¬
vrir des vestiges de I'aviateur Hamel, mais von Bissewilz-Levetzow . président dn Gon¬
seil des ministres de Mecklcmbourg-Schweles recherchesjïfectaées
SQöttes téssjöttRCriu.
taenMi»
ON
TROUVE
LEPETITHATOE
a Paris
a ia LIEHSiiE
IHTEHHATiQislLE
JtOS,
rue
SSt-LaZure,
108
(Immeublede l'HOTEL TERMINUS)
et dans les PEINCIPAUX
Le Petit Havre — Mercredi 27 Mai 191§|
a été fait d'un lit de béton reconvert do maconnerie de briques de schiste comprimé,
provenant de Marles, et offrant nne trés
grande resistance a 1'nsure.
Les arêtes de briques des inarches sont
protegees par des bandes de fer plat scellées
i mèiiie les marches et ans extrémités.
La largeur de chaque degró est de 33 cen¬
timetres, la hauteur da 16cenlirnètres et leur
fengucur varie de 2 inètres a 4 naètras seioa
les dispositions des aliguements.
La suppression das deux caniveaux latéranx, des emprises feites dans fes terrains
Voisiüsontea
effet permis d'élargir sensiélement ia partie jusqu'alors affectée a ia
Sireulalion.
De plus des percées récemment faites dans
(a cloture de i'ancicnne propnété des Ursulincs, sont vejiues rendre plu3 agréable la
fréquentülion do cetto voie en lournissant
sux intéressés ('occasion do praliquer quei¬
ques variaotes dans les itinera ires des piéton3.
Le rnontant de la déperise c-ng'gee dans
ec-snouveaux travaux a étó de 21,300 francs.
lis rèaiisent nne amélioration considerable
qui a été vivement appréciée,
On était arrivé au 20 mai et, jusque-lè,
le Congrès n'ctait point sorti de son programme d'oü était exclue toute question de
politique pure. Mais, insensiblement, deux
courants s'étaient formés dans la nombreuse assemblée et la droitc s'est tout a coup
trouvée en presence d'une gauche socialiste et suffragiste. Mme Boos-Jayer, délégué
suisse, ayant réclamé le droit de suffrage
aux applaudissemenls de la gauche, toute
la droite demeura silencieuse.
Mais ceite
hoslilitë latente entre ics deux partis, de¬
vait bientót se manifester d'une fatjou particulièrement vive dans une séance des
plus mouvementée. Notre distingue confrè¬
re M. Fernand Ilauser, a raconté cette scène
pittoresque ct tumuliueuse :
La eomtesse Daisy de Robilant ayant,
dans un rapport sur le travail des femmes
dans la familie, déelaré que les femmes
feraient mieux de demeurer chcz elles et de
travailler a leur ménage, ce fut uu tapage
intense et les socialistes, Mmes Labriola,
Dobelli, Lollini, Yigano, menant Pattaque,
*3!«
protestèrent avec véhémence.
Saif-on cependant qn'il y a nne trentaine
— Nous ne voulons pas qn'on nous end'années, i! fat un moment question de snp- voie raccomrnoder les chausseltes 1 criait
pvimer cetto rue et de la remplacer par un l'une.
tunicufeire.
— Votts ne connaissez rien aux questions
ira 1879, M. Cb. L©Cesne avail, proposé 5 du travail; Aliez danser le Tango 1 clamait
l'admioistration
municipale
d'étabür nn
une auire.
tramway allant de la rue diiGhamp-de-Foire
— Les onvrières laissent leurs enfants
a la töté, avec prolongement éveatueis sar
seuls le jour ! criait une troisième.
Saa vie et vers (a Bourse.
Tóuiefois comme ii domandait avec ces
— Mais Yous qui ailez au bal, vous les
concessions, que la ville garantit nn cbilfro laissez seuls la nuit !
minimum de voyage tics, Ie projet fut reLa eomtesse de RnM'ant, qui est une
poussé par le cöbseil mnnieipai dans sa dame ögéc et respectable, répondit fort
séance du 31 mars 1880".
Six ans pins tard.appayé par une pétition doucement qu'elle n'avait jamais dansé le
qui rébuit tin ncmbre considerable de si¬ tango. Mais ses advorsaiies ne furent point
gnatures, un projet analogue, éludié par caimées pour eela. Les bravos se mélaient
l'ingénimr Lévêque en vue de désservir le aux protestations. Mme Dobelli déclarait
que la femme doit travailler pour consércirrtetièfe, fut présenté.
Certains m-mbres de ['Administration mu¬ ver sa dignite ; Mme Gollini revendiqaait
nicipale objeetaient eépeiidant que ce projet pour la femme le droit d exerccr son intel¬
paraissait beancoup plüs con?u pour les ha- ligence dans tons les champs de Taetivité
Bitaiits tie Sanvic quo pour donner des rela¬ humaine, — ét le débat demeura, ce jourtions npides vers Te eims-tière.
A leur instigation M. Geav, icE
— lè, sans conclusion, car, dans le tamulte
Ebantlers et Ateliers de la Loire, éIndia nne de la réunion et vu l'heufe tardive, aucun
variants qui faisait partir ia nouvelle voie ordre du jour ne fut proposé.
fei réo du bas de la rae Mazé, prés de la roe
Dans les séances qui suivirent, et bien
Thiers. La ligne devait traverser en viaduc
ia rue Siint-Tlnbault (anjosird'hui rue Gus- que la scission fut désormais irrémédiabie
tave Flaubert), passer obliqaement en rem- entre la drOite et la gauehe, un certain
biai sar ia propriétê Duduc et con tinner nombre de voeux ayant une portee écono¬
dans une direction sensi bfement paraüèle k mique et sociale furent votés, nolarnment
ia rue Léchibüer pour abontir en pafier snr eeux qui avaieltt été soutenus par Mme Du¬
ia terrasse que la ville è réeemtnöat étabiie ehêne. Une autre motion, des plus intéresau bant de la rae Monlivi'iiers.
santes, fut également aooptée, par laquelle
Certains de nos eoncitoyens se rappellent
pent être avoir va ce projet exposé ch-z un les congressistes ont pris Pengagement de
COn, mer cant de la place de l'Hötel-de-Ville. demander a leurs gouvernements respectifs
le vote de lois accordant la réciprocité aux
On avail même tracé a plnsieurs endroits,
gur les murs de la rue Lecliiblier des iraits étrangers travaillant dans leur pays, en ce
ft la peinture rouge afin d'indiquer les en- qui concerne les secours de maternité et de
droits oü le funiculaire couperait les méan- protection è i'enfance. Et eerles, en prin¬
dres de eet te voie.
cipe, cette réciprocité est des plus souCe projet, qui portait le qualifieatif d'aépieu, fut fortoment appuyé par M. Risoai, haitables. Mais peut-être,dans l'application,
Viais ie Conseil municipal avait posé comma conviendrait-il de tenir compte de certaines stalistiques. II existe certains pays oü
j' Rdition sine qua non A son approbation
l'immigration est insignifiante, mais dont
qu'une soefeté devrait être prealabiemcat
ttonstituée. Les pointages des passants era- les populations émigrent en grand nombre.
irontant la rue Leclnbüer et l'escalier Bois- Et pour ces nations, cette réciprocité deérard ayant démomré que cette dernière
viendrait un trés gros avantage.
voia était la plus frêqnentée, la combinaison
En séance de Commission, la marquise
de M. Lévêque put seute rénnir le nombre
Pellicano avait fait adopter, a Tunanimilé,
d'aciionnaires suffisant.
Etla rue Lechibfier fat ainsi consarvée un vosu en faveur du suffrage, et la eom¬
dans 1'aspect auquel nos eoncitoyens étaient tesse Lucifero un vceu préconisant la cons¬
accoutumés a la voir jusqu'è ces dernier^
cription militaire des femmes. Celles-ei,
temps.
aux termes de la proposition soumise au
A. Petit.
Congrès, accompliraient leur service dans
les hópitaux et ambulances, — et c'est l'idée
qn'avatt développée en France, l'an der¬
nier, Mme Dieulafoy.
Dans la séance de clóture, ces proposi¬
tions furent soumises a l'assemblée. Mais,
LE
par suite, d'une organisation défeetueuse,
d'autres questions furent discutées égale¬
ment au milieu d'une certaine confusion.
Finalement, un vceu en faveur du suffrage
des femmes, présenté par Mmes Maria
Vérone, Labriola, Dovelli, fut acclamé par
Le Congrès international
des femmes, l'assistance, — et pour ce qui concerne
ibisant suite an Gonseii international
et la proposition de la marquise Lucifero en
organisé par les femmes italiennes, s'est faveur du service obligatoire des femmes,
ouvert 0 Rome le samedi 10 mai avec solen- elle fut renvoyée a l'étude d'une Gommis¬
nité. Dans la magnifique salie des Horaces sion spéciale pour conëilier, nous dit M.
et des Guriaces, au Capitole, le commis- Fernand Ilauser, l'hostilité de l'Assemblée
saire royal, entoufé de liauts fonctionnaires
et l'insistanee de l'auieur de Ia proposition,
et do nombreux députés, recu t les congresqui a pour elle les sympathies particulières
sistes, et le ministre de I'instrueiioft publides Romaines.
que, M. Daneo, leur adressa un discours
{•our leur souhaiter la bienvenue. II fit
Tel fut, dans son ensemble, ce Congrè9
'éloge de l'esprit d'initiative des femmes international, succédant au Gonseii inter¬
dans toutes les oeuvres d'éducation et de national des femmes. Beauconp de ehoses
philanthropic,
il souhaita « la victoire de excellentes y ont élé dites en ce qui con¬
leurs idéés», espérant que cette victoire ne cerne un grand nombre de questions d'asles éloignerait pas de leur maison.
sistance, d'bygiène et d'éducation. Mais il
Lady Aberdeen qui avait présidé I'ouvcrs'est terminé d'une manière un peu bruyanture du Gonseii international, répondit en te, un peu confuse, sur les questions poli¬
franqais aux représentants de Rome et du tiques, encore bien que le principe du
gouvernement, et la eomtesse Spaletti Ras- suffrage des femmes se soit imposé a la
poni, en saluant les congressistes au nom majörilé, — et somme toute, et sauf erreur,
du Gonseii italien des femmes, fit nne de¬ ce Congrès paralt n'avoir ajouté que peu
claration qui devait suseiter d'assez vives de chose aux travaux pratiqöement effeepolémiques : elle assura qu'en Italie le mo¬ tués par le Gonseii international qui l'avait
ment n'était pas encore venu de réclamer
précédc'
le droit de vote.
Th. V.
Puis le Congrès commenqa ses travaux.
La eoniiesse Spaletti futnommé présidente;
Mme Jules Siegfried fut l'une des viceprésidentes • lady Aberdeen fut acclamée
présidente d'honneur.
Dans i'entrefaite, on apprenait que, sur
l'initiative de M. Barzilai, un groupe parle¬
mentaire venait de se constituer pour appuyer, a la Ghambre italienne, les revenL'affranchisseroent Bpslettres pour l'étrandieations de femmes en ce qui concerne les ger va être bientót réduit de 25 5 iö centi¬
droits civils et politiques, — et l'on souli- mes.
Cette nouvelle n'est pas encore offieielle,
gnait ce fait assez singulier que les députés
italiens étaient acquis au droit de vote des mais elle est donuée comma certaine. Elle a
été, en effet, annoncée a Londres, an ctours
femmes alors que les féministes italiennes
do ia séance de la Chambre des communes,
s'étaient réfusées a inserire la question du rtr sir Hénniker Beaton, l'apötre du timbre
droit de suffrage au programme de leur
10 cent. — qui ö'ailleurs en protite pour
Congres.
cnti(|uer le nouveau taril k 15 cent., absur¬
de, dit il. Si t'on se place aa point de vue
Dans les séances qui suivïrent,
oft anglui-, on peut envoyer nne lettre de Lon¬
aborda successivement la question de la dres en Australië, dans l'Afrique du Sud,
protection des mères, avant et après la aux Etats-Utiis, au Canada pour dix centi¬
naissance de l'enfant, la protection
de mes, alors qu'oa devra en payer quinize pour
celui-ci, — et ensuite, d'une fagon plus expédier une lettre de Londi es a Calais ou a
générale, la question de la mortalité infan¬ Ostende.
Le gouvernement francais est tout dispösé
tile. On s'occupa de la condition du travail
è accepter l'abaisseméut du tarif postal in¬
des femmes et de celui des enfants, de la ternational k dix centimes. Ce sont les auto¬
question du travail des femmes è domicile,
rités britanniques et cedes de plusieurs auet Mme Duehêne réclama une loi de pro¬ trés pays qui s'y sont opposóes.
tection et d'organisation
professionnelle
Le nouveau tarif serait ratifié en décetnparee que si les femmes travaillant chez bre prochain au eonrs d'rfn congrès auquel
prendront part tous les pays de TUniou pos¬
elles consolident leurs forces, en revanche,
tale.
elles gagnent móins qne dans un atelier.
11est probable qn'il sera mis en viguenr
II faut noter ia trés originale communi¬ e 1«'
janvier 1915.
cation faite par Mme Pichon-Landry pour
demander que la loi reconnaisse a la fem¬
me la valeur économique de son travail doLe Conrrler
de la Presse
mestique. Ge travail n'est pas rémunéré,
Pouvoir recueillir dans les journaux du
dit-elle ; la femme, cependant, accomplit
monde entier tout ce qui parait sur un sujet
dans son ménage un labeur qui, souvent,
est plus fatigant que celui de son mari. La quelconque, snr une question dont on aime
loi devrait lui reconnaitre une valeur éco¬ k s'occuper, sur son commerce, son indnstrie,
ses entreprises : — surtout savoir ce que 1'oa
nomique qui donnerait è la femme, dans la dit de vous et de vos oeuvres dans la presse,
familie, une indépendance qui lui permet- qui ne le souhaite parmi les hommes politi¬
trait de mieux remplir ses devoirs. Cette ques, les écrivaifis, les artistes, le monde des
communication, nous dit M. Fernand Hau- affaires t
ser, qui a suivi pour le Jout nat tofts les tra¬
Le Conrrler de la Presse (bureau de öonvaux da Congrès, f«t accueillie par d uuapnres de journaux), 21, bontevard Moiïtnimes aonlaudissemcuts.
marlre, Pai-is, lit 8,000jouruaax par jour.
LeBoaveeienl
Férainisle
Gongfès
International
deRome
LEPETIT
HAVRE
ILLUSTRl
LESNATIONALITÉS
Eïrange
lYgntare
enAllemagne
recevenr municipal de Caen, et de M. Hin-i
poiyte Fenoux décédé.
Elle a ratifié ia nomination de M. Besnard
lïS Pages
S Ceiitimes
SS Pages
comme tresorier et éiu M. Alp. Petit comme
secretaire général et M. Ilenry Hollaëuder
Tous les lVlercredis
Sous ceite rubrique, nous donnerons déM.Gfêmsa!-Ba?ard
e!unHavrais,
M.L.SaMier,
comme secrétaire adjoint, en adressant des
sormais, au fur et a mesure des évériements,
sant
arrötés
comsiie
espions
Notre supplément illuslré demenre véri- remerciements k M. Chopart, qui s'est acdes informations sur les diverses nationatebleincnt le moins cher en même temps quitté avec nn dévouemeot souvent épreuvó
lités qui ont a défendre ou a faire reeonses fonctions de secrétaire général et do
que le plus complet des journaux comiqu s. de
naitre leurs droits, en taut que peujtles.
Uae Plaiate a 3a Chancsllerfe
trésorier interimaire. M. Grelé a ete nommé
Paraissant chaque mercredi Ae B'etit
L'intérêt qu'ont éveillé les articles de
M. Clément Biyard, industriel francais, SBnvfe XUitat ré. offi'e pour la modique vice-président honoraire et M. Chopart tenolre rédateur en chef sur les Finlandais,
crétnire géneral honoraire.
s'est
rendu hier après-midi au minis(ère
les Danois du Sleswig, les Epirotcs d'AlL'n déjeuner rêunissait, 5 une heure, les
des affaires étrangères, pour se plaindre do soiuuie do clsitj ceEïHisnes douze pages en
banie, sans parler des Alsaciens-Lorrains,
l'arrestation arbitraire dont il a été l'objat en couleurs et en uoir, bourrées de dessins membres de i'Associaaon dans les luxueux
drölatiquts avec légendes et des composi¬ salons du restaurant Chandivert.
nousestun gage que nos lecteurs agréeront
Alléutagae.
De nombreuses dames niettaient en cette
cette rubrique oü nous aurons souvent a
M. Clément Biyard doit rédiger, sur les tions ou eontes humorisiiqnes.
ciiconstancos de sou arre^ alioa, un rapport
C'eat d'abord un grand roman inédit : Ma¬ réunion le charme de leur gi ace et soutipublier des nouvelles de toute première
gnaient le caractère familial d'une lê'e oü
écrit qu'il remëura au quai d'Orsay.
rie Rose, le Mignon du Nord, écrit spéciaiemain.
seresserrent
les liens de la plus cordial©
Ce
rapport
seta
communiqué
au
gouverne¬
ment
par
le
maitre
du
roman
moderne
Mi¬
Nous laisseronsd'ailleurs
sousl'ancienne
confrateraité.
ment
ailetuand.
chel Zevacco ; puisce seiorit deux romans
rubrique « Alsace-Lorraine », les informa¬
L© journaliste, par profession, n'aims
Le grand constructeur de dirieeables s'étions nous venant de ce pays. Si la question
les longues allocutions qui marquent
tait rendu en Allemagne en compagnie d'un dus A la plumo d'auteurs gais, par Janker guère
alsaetenne nous rend particulièremetit sen- de ses ingénieurs bien connu M. L. Saba- et Jean Linot, dont Pivoine avec sa ctnm- le dessert des banquet3 ofliciels. C'est dire
queiques mots seulement furent prosibles a toute violation du droit des peuihier, chevalier de la Légion-d'bouneur, frère brée, grand roman militaire amusant ; deux que
nonces.
pies, cependant elle nous louche de trop de M. Sibsihier, ingénieur de la maison réc t-i en images, Anatole BiMtlard sculpteur
ils le furent avec tin savonreux es¬
de génie ; Miss Penny, miiliardaire ; Tom le pritMais
prés pour que rious puissions la confondre Caiiiard, du Havre.
qui soffit pour réhabiliter te toast tradi¬
Ii
voyageait
en
tourist»,
muni
de
toutes
avec ia cause d'autres nations.
Dompteur ; Rita la Tzigane, récits d'avention nol, et l'on applaudit cbaleureasement
les autorisatioas nécessaires, ainsi que deux tures.
ies piquantes, éloquentes et délicales impro¬
de
ses
collaborateurs
et
leur
interprète.
lis
JPii$!a.ïMl©
Welti
f far rei lltwsfré
peblié
visations de M.J, Lafond; M. Deveaox, mem¬
ontétéar.-ótés et gardés treute-quatre heures
bra de la Chambre de commerce de Rouen,
également un fesHA.* I» «-©au ©tJRst auen
prison
oü
ils
subirent
uu
dor
traitemeat.
PÉTITIONBEIA BSÊTE
DE3SSDAST
président du Syodicat d'Initiative du Calva¬
«l« va
M. Clémeni-Baya'rd et ses compagnons ve- qnpt sont attnbuês a.S ©«
LERÊTABÜSSES1EST
BÊL'OfiDflELÊGftL itaient d'assister 5 ia retitrée sous un hangar leur. Les qnatre premiers pnx consiste- dos ; M. Chedot, conseiiler municipal, repré¬
sentant le maire de Caen ; MM. Grelé et L.
édifié a Bickcndorf, prés de Cologne, d'un rout en tJTATBE
IB8 V'ï VLETT 1ES de Muller.
On nons écrit d lleisiogfors :
ballon
dirigeab
e,
quand
se
proeuisit
uns
luxe
pour
hommes
et
dames.
Cliaaue annëo, depuis lo commencement
L'heure presssit. Nos amis de Caen avaient,
scène que le graad industrie! francais ra¬
Ce numéro centient en outre des fantaisiess en effet, préparé pour leurs hötes une im¬
do réghno actoei d'ittégaiité, la Dièto de Fin- conté ainsi :
diverses,
des
jeux
d'esprit,
des
couseils
pra¬
lande se voit cbiig'-e de recom meneer son
portante et pittoresque excursion : le voyage
avions assisté de loin a la manoeuvre
tiques et des curiosités intêressantes.
travail de Tantale consistant a protes'er con¬ deNous
k Ilareourt, en pleiue Suisse normaude,
l'aérostat,
rentré
maintenant
dans
son
tra ce régime. L'une après l'autre les dièies hangar, et nous nous préparions k déjeuner
avec la visite du cbSteau historiqu© du comont rèpéié hs plaiotes, «xp03é les iilégaütès
te d'llarronrt. Dix-hait automobiles vinreat
dans
one
petite
auberge
voisine,
quand
quacorn inises dans 1'admiRisiration et réclamé
les prendre et sur le signal du starter, le
individus s'adressèrent k nioi, 3ana autre
la retour a i'ordre' iégal, mais tons ess efforts tre
trés aetif et habile organisateur de la ranpresentation.
sont restés reins. Les autorités russes font
donée, M. Deveaux, la longue file d'aulos
— Parlez-vous francais ? questionnèrentia sourde oreille 5 toutes les recl-iniaiions de
prit sou élan, eiriportant vers fbucourt des
la Diète, qu'ellas aiant la forme d'adresse ou i is.
.lOarnalistes si délicieusement charmés qu'ila
— Oui. Js ne parle même que la francais.
de petition.
en oublièrent de prendre des notes.
0»»ËItVAT0IitË
15E PARIS
— Ah I Et que faites-vous ?
Ce fut un ravissecnent.
La Diète actuelle a déjS votó nne adresse
— Eh bien ! je vais déjeuner avec mes
dans io sens. Le gouverneur général et le
Nous n'atirons pas ia simpücité de déoonParis, 56 mai, ii b. 13.
Conseil des ministrss russa ont proposé an amis, en attendant le train de 3 heures qui
vrir ia vallée de l'Orae, ni Harcourt, ni la
sotivrrain de n'y donner aüeuae suite. On nous raimaera a Paris 11 n'est que 10 heu¬
HztrSmes
767 öiiasia, 5 Brest, resplendissante majestó d'un pays dont les
717mllHs è Mirseille.
sail d'avance que le sou vera in snivra leur res. Nous avons tout le temps I
• Guides » ont chanté la gloire toujonrs
Forte pression lies Britanaiqaes.
— Mais qu êtes-vous vonus taire ioi 1 Réconsèii. La Diète a encore rèdigé une péti¬
jeune.
Depression Mediterraoée.
tion exposant en détail lè3 iilégaliiés commi- ponciez, nous sommes ins peete urs de policej
Mais i! faat ponrtant redire la pure beauté
TVngpsprohahte : Vent des regions Nord, temps de ce décor naturel, la vai iété des sites, leur
— Nous sommes venns voir l'atterrïssage
ses. Celle d constitoe, corame les pétiiious
nusgeux et frais.
précédentes concernant la mème matière, de ce ballon, ainsi qoe les cinquante óu
aspect changeant a mesure qne la voiture
A.CJ UAVItCI
un döcament trés intéressant. Ede expose soixanto parsonnes qui sent id.
dévale les pontes, escalade les cö'eaux, livre
(Csrarcai la VWs)
—
Vous
ignorez
done
que
ce
haugar
est
lout d'abord la politique fiatandaise d' Alexan¬
aux yeux émerveillés des échappées de bois,
aanuru fiussm
militaire
?
dre 1«, qui vonlait l ósser la Finiandé vivre
d'eau et de verdure, le spectacle d'uae mer
A midi
763 + il
— Tout A fait I
immense dont les vagues figses seraient Ie3
sous la protection de ses propres lois, libra
A minui'
763 + 13
— C'est bon 1 Suivez-nous a la préfecture
vallonnements tapissés d'herbo, agrémentés
dans l'intérieur. Cette politique qui fut cell e
de bouquets d'arbres. Les espoirs de la saide ses premiers suceesseurs, eut comme ré- de police de 'Cologne.
son nouvelle déployaient lè la gamme iofisuitat pour le pays de grands progrès datss
M. Clémsnt-Bayard
et ses compagnons
nie des verts.
sa culture intellectuelle et matérielle. Eüe obéirent docilement. En vain essayèreut-iis
C'est M. le comte d'Harcoart lai-même qdi
arriva aussi psu a peu è écarter la mefimc- de démontrer que l'accasaiiön d'esoiounage
a tena k recevoir la presse normande au
du people finlandais contra la Russie, noure •qni pesait sur eux était pnérile. Ea vain
Question
d'appréciation
seuil do sa princière demeure.
rïe par ks iradiiions dessiècles passés.
essayèrent-ils de verser una caution de cent
Dans l'an nonce d'un music hall parisien ,
Avec nne parfaite bonne grace, des délicaLa pétition montre ensuite com ment le niiile mareks pour cb onir la mise en li¬
régime rasse de violence a été dirigé par berie provisoire Riéti n'y fit. L'industr:él et publiée par un journal monda/n* je découpe ces tesses attenuves de geste et de pensée, avec
one simplicité qui donna plas de cordiaiité
ie gouverneur géoéral actuel. C'est sur sës eompagnons furent mis eii celluie, après ligne s :
encore a soa accueil, M. le comte d'IIarcourt
son initiative qu'nn grand nombre de sti¬ avoir été dépouiilés de toas leurs papiers,
« A la fin du premier acte, une série de a fait les honneurs de ia vieiile et somppulations violant i'aoionomie de la Fin- bijoox, argent, etc.
tableaux caractérisant cetie note particulière de lopuse maison.
laride ont été édictées. Tous les projets dans
Cette incarcération dora 34 heures. Pen¬
Toutes grardes il a onvert devsnt ses visi¬
ce sens ont été éöergiquement appoyés par dant C8 temps, M. Clêment-B <yard refusa grivoiserie charmante qui fait la renommee
mondiale de I' établissement ...
teurs les poftcs du chétean ; les a conduits
lui, de mème qua toutes les violations d. s loate nourriture et but settlement quatre
überté3 et privileges que les lóis fondamen» ... Puis k la fin du second acte, une consé- lui -même k travers les iftnombrables salles
Verres d'eau.
tales garamissenl aux citoyens finlandais Öa
Les prisonniefs furent conduits dsvant le cration éclatante de la renaissance du sentiment aux précieax lambris de bois sculptó, aux
ricbesses mrrveil leases par tout l'art qu'elles
respecte iuSsi peu le droit du people finlan¬ procureur impérial qui se rendit imroédia- patriotique en France. »
abritent, par tons les souvenirs qa'elles
dais qu'on sauvegarde ses in'érêts. Dans son tement compte de la gaffe de res sn bardon¬
Le
peupie
le
plus
spirituel
de
la
terre
s'accomévoqiaent.
acti vité néfaste le gouverneur général a eu nés. II ordonna done la inise en liherté irnmodë,
en
effet,
fort
bien
de
cetto
association
ün lointain et glorienx passé repose iel,
un insiroment doéile dans lè département
médiate de l'industriel et de ses compa¬
reeueiüi, entretenu par les soins pieux des
aditiinistratif du Sénat. Compose do russos gnons qui parürent le soir mêoie pour Pa¬ inattendue de la grivoiserie et du patriotisme.
celui ei ne possèdé d'auèune mar ière ia ris.
La revue de music hall s'est fait une spécia¬ mains famhiales M. le comte d'Harconrt ies
competence qu'on a le droit d'exiger du
lité de eet extraordinaire mélange. On y peut a présentés avec un tact discret et charmant.
L'inipressioii en Allsmagae
gouvernement d'un pays. Le Sénat dé Finvoir parfois la même petite femme trés désha- II est conseiüer général du pays, il s'exprilande n'est maintenant qu'un instrument de
billee qui tout k i'heure débita des couplets me avec aisance, en esprit affioé et de haute
Berlin
mai;
culture. C'est nn plaisir que de l'entendre
russilieatiOT). Aux postes dé gouverneurs ont
Un télégramme do Cologne annonce que d'un scabreux téméraire venir en un uniforme corner l'hisloire de ces reiiques, de cette
été nom més des hommes qui ouveftem nt
de
fantaisie
déclamer
les
oonfi&nts
espoirs
de
statue du Roi Soleil qui orne le véstibule
ont manila té leur mépris pour les lois du la police déelaré quë l'arrèsiatiÓu dé B. Ctéd'entrée, de ces tableaux d'ancëtrrs qoi marpaysétqni sont tónjours préts 5 obéir aux ment-B3yard eut lieu après one la police d'au- t'armée nationale.
Comment le geüt et la délicatesse, qui pas- quent autant de chapitres de l'hiatoire de
instructions des ding ants. Le titulaire du tèes villes cüt attiré l'attention des autorités
poste de procureur général du Sén3t, char¬ sar I'attitude de l'ingénieur francais. Celui- saient naguère pour êlre des q jaliiés essentiel- France.
Le chateau, ancienne résider.ce des gou¬
gé de veiller è l'application des lois, négligé ci se serait no tam ment fait remarqnér k lement franchises, n'ont-ils point protesté avec
ses devoirs chaque fois que les lois sont vio- Ilambonrg Son attitude parut susp-cte 5 la véhémence contre cette exploitation d'une idéé verneurs de..'NOrmandie, est du plus pur
JtVIie siècle. Les visiteurs en ont aamiré nolées par les dirigeants. Les emp'ois adminis- police qui fie p.-euve a son égard d'urie gran¬ aussi respectable que le sentiment patriotique
tamment le cóme, la salie des marechnux,
tratilssoritremplis
par des russes oa par de indulgence ét non de séverité.
par l'industrie des tréteaux de second ordre ? les salons, Ta bibliothèqüè öü se iroüVe sous
des arrivistes finlandais, tandis que le3 fonc¬
Berlin, 58 mal.
Que la frivolité et la gaillard'Se s'installent
vitrine un curieux modèle de fréga e, Ia chationnaires qui obriseent aux lois, sont ptmis
La Gazette de Berlin d. Midi attaque Vive¬ en ces bbttes k musique, c'est devenu normal, Ïiell-r, ainsi que le joli pareet ses j;irdi,-is Ü
de Suspension, d'ameades ou de destitution.
ment la police de Cologne pour sa ma la- et c'est d'ailleurs leur raison d'être. Mais a Francaise qu'ane averse d'orage cnvelopLa pétition condamna sévèremeat les
a l'égard de M. Clément- Bayard. Elle
pait malheureusement alors de son voile dé
poors cites dirigées eóntre les membres de la drasse
lui reproche de voulosr attrïbner k Cologne qu'une pensêe aussi haute, aussi noble, aussi
Cour de Viborg et contre les membres des « la reputation d'uha police A la main mal- pure, soit trainée parmi les fionflons et les gazé.
Avant de prendre congé, H. J. Lafond a
Chambres municipales de nos villes. Les su- heureuse ».
gauloiseries, c'est une liberté excessive qui
jrts rnsses qui ont l'intentioa dVxerctr un
porte plutót atteinte k la Causequ'elle ne la sert remercié an nom de tous M. Ie comte d'Harcourt de son extréme courtoisie.
commerce én notre pays, n'ont Vré aucun
ii
li'
. mm.muLtn* ■.
rèéllemiht.
Il i'a fait avec tont l'è-propos et ia d l cap olit des droits qu'on a voulu leur accorII
y
a
des
chosss
qui
dolvent
imposer
le
res¬
tesse coutunnère de son esprit et avec nne
der. Au point de vue pratique, le procédé
pect en toutes circonstances et que nous debonne grace qui épi ogna è souhait cette vi¬
applique centre nos foncuoonaires est abiovrions tenir k l'écart de certains milieux. C'est site oü le sentiment s'exprima, de part et
lument insensé. Mais e'estle soi-disant iutérêt d'empire poor lequol on a saerifié plu¬
une question de principe, de conscience, de d'antre, avec les subtilités traditionnelles de
PUSSIE
la race et le3 finesses d'une êlégance bien
sieurs dizaines de fonctionnaires finlandais
dignité morale.
Pour
Ia
F
lotte
aóilaime
coupables d'avoir obéi aux lois de leur pays,
Prendre le patriotisme pour un prétexte de fraiicaise.
Comme i'usage en est établi depuis qne!
Après un innch 5 l'Höte! de Ia Poste, oü
et qu'on a profondémeat violó I'ordre iégal
ques artnées, une quête pubiique a en lieu revue, j'entend s la révue de café-concert , s'en nn toast a été porté par M.Gamier, prési¬
de la FinlVnde,
Les abus du commandant de Viborg sont 5 Saint Pétersboarg, sous les auspices des servir comme estrade et en tirer monnaie, dent da Comité de la Vallée de l'Qrne, la
c'est Taviiir outrageusement et causer prejudice Presse normande était ramenée en anto è
anssi exposées dans cette péLtion. Le com¬ autorités, en faveur de la Botte «erienne.
k tons.
Dès le matin, dans tous les etabiissements
Caen, retour extra-rapid©, coname si nos
mandant en question s'est feit le diciateur
A Londres, un soir, II nous souvient avoir chauffeurs avaient voulu fairè connaitre aux
tont-puissant aa cette ville. II a, selon son publics, dans Ier rues, dans les tramways,
fes passants se sont vets ae cester par des vu sur la scène d'un music-hall une de nos proiessionnels de Ia « Dernière Heure » les
boa plaisir, expulsé des citoyeus particuiiers, des journalistes et des pilotes qui tui groupes de jeuaes fiHes et de jennes gens compatriotes, alors notoire par les relations angoisses de la dernière minute.
Deux des nötres, qu'accompagnaient leurs
ont deplu. Eo ce laisant, ii s'appéie snr ur. lsur offrant, contre t'obols qn'ils voulaient qu'on lui prêiait, dans la vie privée, avec un
bien verser, de petits embièrnes représen¬ jeune roi dótrónê, danser,, mimer, chanter une éponses, MM.Louis Muller et BiaM, ont bien
décret russe concernant l administratianfif-s
forteresses, qui n'est pas iégalement valable tant des dirigeables öa des aeroplanes, que pièce platement insignifiante. Elle reparut de- faiiti voir de prés ie plas déplorable des arti¬
les mains des qtiêtauses ou des quêteurS atcles k faire « Partiele de la mort ». Un virsge
en Finlande, et qui, loyatément ïnterprété,
même an point de vue russe, ne lui donne¬ tsehaient e'&satte aux boutonnières des do¬ vatit la ramos, au rappel, en brandissant un trop brusque provoqua le versement du
drapeku
de
son
pays.
véhicule qui alia labourer ie talus.
rait pas ce droit. Mais toutes les plaintes nateurs.
Vous ne sauriéz vous Imaginer le malaise
Par miracle, tout se borna 5 de graves déVers midi, un cortège original d'animarsx
contrales
abus du commandant soatinudu jardlfi zoblögjque a parcouru lés roes causé k l'éme franchise, sur le sol étranger, par gêts matérieis. Les voyageurs et ie chauffeur
tiles tant qu'il est appuye p^r le gouverneur
principale'! «e la ville, nota m ment la pers¬ cetie exhibition ridicule et vilaine de nos cou¬ furent soriis sains et saufs des débris de la
général.
voiture et si nous enregistroas eet incident,
La pétition parle an«si des nouvelles me- pective Newsky, tandis qu'une fóuie dé da¬ leurs ,.
ce n'est point paree qu'ils n'ontpas fait « des
sures que .préparen! les ministères russes et mes et de jeunes fiües quêteuses distri—
N'y a-t-ilpas un peu de cela dans l'entreprise
démarches dans les journaux pour qu'on
qui visent 5 de nouvelles vtoiati ons de l'aa- buaient les 'insignes de la souscripüon.
Ap'ès les réeöats exploits des aviatenrs, la do /'impresario qui reclame le succes au nom n'en parle pas » mais bien pour dire Ia joie
tonomie de la Finlande. Le plus impoftaot
da
la
«
gau'oiserie
charmante
»
et
da
la
«
re¬
confraternelle que nous avons tons éproude ces projets concerne l'introdnctión de la quête pabiique a rencontré partout on acnaissance du sentiment patriotique » ?
vée i les felicifer et k ies retrouver parmi
laogue russe dans l'admiaistration
fiuian- cueil ernpressé qui fait prévcir uae reeette
nous, souriants et remis de leur terrible
daise. Déja mainlertaat on a accordé a cette importante.
auanT-llERRGNSCHlliDT.
Les journaux avaient d'aiHeure adressé ü
émotion.
langue une situation au Sénat, qui n'est pas
Un banquet a terminé fa fête. La table
Ia population uu appel chalenreux, insistant
compatible avec la legislation du pays.L'emavait été a nouveau dressée dans le3 salons
sar la necessité, pour la Russie, de dêvetopploi de Ia langue russe anssi dans d'autres
Chandivert. Clière superieure et service
administrations
entraiaerait
torcément la per sa llotte aérienne.
somptueux.
démissiön des meilieurs fonctionnaires ncQueiques allocutions ponr compléter celles
ineis et leur remplacement par des russes
L'Assocïaüoa syndicale des journalistes
du dejeuner et surtout rendre nn reconnaiset des firtlaridais saus aueuna compétencj.
protèsstonnels de Nar mandie a tenu soa as¬ sant hommage a nos excellents camarades
Toute noire administration serait désorganisemblée générale aonuelle dimanche der¬ de Caen, a nos confreres Grelé, Aliiot, le di¬
sée et ia corruption y pénétrerait exacterecteur du BoiihommeNormand, que ses qtianier a Caen,
ment comme en Ros'sie. Parmi les uutres
Ses membres ont re?n de leurs confrères tre-vingt-qüatre années, toüjours aiertes,
mesures en preparation la petition cite te
Le Mauvais
Temps
caénuais et des amis nombreux doet ils font nolre doj'en et probablement Ie doyen
projet d'anrtexer deux communes de ia pro¬
de la presse franchise, Haulard-La-Brière ; a
êtAient entoui éi i'hospitalité la plus sécévince de Viborg. Cette meSure constituerais
La
neigo
est
tombêe
en
abondance
liier
re uso. li plus délicate, la plus cordiale. Tous M. Deveaux, président du Syndicat d'initiaia vioiation ia plus grave de la constitution
de la Fmlande et en même temps une of- matin aa Beésat et sar ie massif du mout les journalistes nórmarids qui prirent part tive ; k son Syndicat. . . 5 l'initiative si avifenso nationale qu'on no pourrait jamais oa- Pilat. Une ep-hse concha recoavre le sol. a cotie fêie en ont remportó an charmant et sée, k louses les sympathies et concours qui
se sont lémoignés k l'adresse de ia presse
b'ier dans ce pays. A la Domna u'Empire a Las aüüó'S haltes sommets de ia rógion soat durabro souvenir.
lis étaient prés d'nne centaine réitnis sous norminde.
encore été présenté un projet da loi con¬ également couverts do neige.
Usie
violente
bonrrasqu'O
de
vent
et
de
ia prósidcnce ae leur distingue et trés e fiOa a appiandi anssi, non moins vivement,
cernant l'application du Code pótiai rosse
pluie sévit dep nis ta nuit dernière sur ie lit¬ nié president, M. J, Laload, directeur du Jour¬ le toast humorislique du « rescapé » Muller
aux crimes politiques cómmisenFiniande.Eo
nal de Rouen quand celui-ci a onvert Ia séan¬ et line jolie improvisation de notre confrère
vioiation de ta constitution fiolanditse la ioi toral mediterranean.
De nombreuses embarcaüons de phlsance, il avail k ses cötés MM. Louis Mulier, Kmile Desvanx, le conseil Ier municipal de
ainsi projetée porblrait des modilicuioos trés
Grelé, vice-présidents ; Alp. Petit, secrétaire Puris, qui a tracé dn journaliste profession¬
importautes au Code pénal finlandais. La loi ce, ronipant leurs amarres, sont k la cöte.
A Carqaeiranne, une dizaine de bateaux
adjoint, Besnard, trésorier, Anriré flofgaard, eel une silhouette vivante et expressive.
russe s'appliqneratt non seuiement aux actes
Albert Eerreaschniidt,
Pretnpaia, S&Ifray,
L'heure de la separation est hienlót ve¬
présentant le caractère d'un crime politique, de pêèbe ont été détrurts.
Le bruit court qu'on navire aurait fait Careère, Montauzé, Morière, Langlois, Biard, nue. Chacun a repris Ia route du journal,
mais anssi k une grande quaatité d'autres
ceux-ci vers Cherbourg et la ligne, ceux-la
actes s'ils sont commis ponr des motifs poli¬ nau frage darts fes par ges de la presqo'rle syndics.
de Giens et qu'il y aurad plusieurs Vfetune-i.
La presse havrais© était eu outre repre¬ vers Rouen, Le Havre et emuraochements.
tiques. Mais ceei n'est pas tout. Ou punirait
sentee par MM. A. Lanehard, Gh. Daboc, P. Et comme i'habitude professionnelle est trés
comme crimes poiitiqoes anssi des actes qui A ia préfecture maritime, on déciare n'avoir
torts chez ces gaillards, machinalement, è
Danau, G. Gosseiin.
du point de vue du Code pénal finlandais ne tet?u aucune noaveüe k e© sujet.
Après 1'é.xamen de différentes questions ieur rentree, ils se sont mis k comer aux
peuvefit pas être cö isidér'és comma étant
d'imérêt proli'ssionnol, après que M J. La- autres le plaisir qu'ils s'étaient offerts euxeriminèls. Le people finlandais ne peut pas
fond, dans une allocution d'un sentiment
mèuaes.
ne pas voir dans ce projet un nouvel essai
L'Affaire
Calmstte
profondémeat ému, ent fait l'éioge de3 con¬
de supprimer Tedroit 5 l'activité po itique et
frères
disparus
ét
rendu
un
torn
-haat
hom¬
La chambre des mises en accusation* prêsociale qne la constttntiof; finlandaise garan¬
sidée par M. Milliard, a examiné hier après- mage de regrets a la mémoire de lbppoiyte
tit k chaque citoyen finiandars.
La collabcraiion erttre le gouvernement et midi ie dossier iuculpant Mine Caiiiaux d'as- Fenoax, rédactenr eu chef du Petit Harre; et
de Marcel Hue, rédacteur en ehet de Vlndile people, dit ea términant la péotion, est süssiaat
Le greffier a tont d'abord dnnné lecture cat ar de Bayeux, après que M. Besnard, tré¬
une condition essentielle ponr i'existonce de
l'Etat. Mais il y a une condnionabsolue pour des pieces pricci pales, pais il. Mornet, subs- sorier, ent présente l'étai financier de ('As¬
que cette collaboration soit possible, c'est titut du procureur général, a dep03ó son ré- sociation et souligné, au nrilieu des applandisseménts, nne nouvelle libéralité dé M. J.
.^ .
que ia Constitution soit respectèe et i'ordre quisitoire écrit.
Le substitut et le greffier S'étant retirés, la Lafopd en faveur de Pceuvre cörïimune, l'asiégal rétabli. L'abirae qui existe entre le
gouvernement et te peupie finlandais ne chambre des mises en accusation a délibéré sénrblêe a procédé au reöouvellemeöt de
snr la designation da rapporteur qa'èTfè én- ebn büfohü. Elté a tromfii© MM.Mbriére et
pottrra être rempfi1 que par le rétabiissetendra a huitaine.
m eat de ia Constitution colenarilément reit'arró» sera saae douta raaüa le 6 juin.
con&ae du payfc
PAR-CI^JPAR-LA
LaTimbre
&15centimes
poor
la
Correspondanee
Internationale
LAPRESSE
NORHANDE
INFORMATIONS
CHRISTS,MÉDAILLES
VIERDES,CR0IX
LE MIEUXASS0RTI
GAU8ERT,
16,PtWft l'Hötsl-Se-VHa
Lm*tow**&*mËms fi««SË«5
frise
-ummmbe
Le fVtit Havre — Mercredi $7 Mai 1914
do Mandoliniste de Neuilly-sur-Seino, la Flo¬
rentine de Versailles, la Mandolinette dé Mont¬
morency (Seine-et-Oise).
TAMBOURS ET CLAIRONS
Voiren5sFagsdétaildsnotre
Importante Mise en Vente
de DEMAIM JEUDI 28 MAI
Consfil
Attucsfeijp.»!
öia Havre
Seance pnttKquc du mercredi
27
Mai 1914
OIII)UKDUJOURSUPPLEMENTAIRE
Société « La protection muluelle
des em¬
ployes et ouvriers de3 chamins de fer fran¬
cais », subvention.
Grand Concours
de Musique
Kos eoncltoyens savent qn'A l'oceasion do
cinquanten-aive
de !a Société chorale La Lyre
Havraise, fondée en 1864, cette Société orga¬
nise, sons lea auspices de la Municipilité,
avec le concours
des Sociétés de la vnle da
Havre, sous le patronage de la Fédération
régionale de l'Eore et de Normandie et de la
Fédération
Musicals ds France, un grand
concours international
de musique.
Gette fête aura lien au Havre, lesdimanche
31 mai et lundi ie' juin 1914.
De norobreuses
Sociétés prendront
part A
se concours. Voici la lists de celles qui ont
envové leur adhésion :
ORPIiÉONS
Ccccle Choral Parisien, Sairile Cécile d'Angers,
Les Eufanls e Paris, Orphéon d'Evreux, Les Méloman-s Donaisiens, La Cigale do Pa is, La Lyre
Tarbienne, Le Choral de la Villette, L'lndépendanto de Vt rdun, La Garonnaiso de Langon (Gicondej, l'Huion Orphéonique de Boutogne-surSeiDe, Les Enfaats du Sornin Biilsnet de Charlien
(Loire), l'Doion Cnorale de Coye (Oise), i'Avenir de
Chateaubriant (Loire Inférieure), Ia Société Cho¬
rale de Gunnat (Alitor/, La Cécilia de Marles-lesMines (Pas-de-CLlais), l'Union Musical®de Vaux-lePesni (Selne-et-Marne), la Chorale do la Maison
fiusson do CLétesuroux, l'Orphéon Contangais,
i'Orphéon de Fourgueux (Seine-et-Oise), ITFpbéoa
et Chorale réunis de Troyes, la Li ue Protectrice
des Eotants Abandonnés et Orptielins du Havre
de Sanvio.
HARMONIES
Les Eafenlsde Saint-Nicolas de Paris, la Musi¬
que Municipale do Rouen, la Musique Municipale
de Bernay, Pllarmonio Municipale de Clicby, la
Sociéié des Forges et Scieries de Denain Anzin,
rilaruiunie des Ateliers de Chemins do l'Etat de
Mohon Ardennes), i'tlarmonie Municipale de Cormiey iMarnei, la Sainle-Cécile de Moniouis (Indreet-Loire), la Société des Sapeurs-Poinpiers de la
Manufacture de Charmes (Aisne), la Lyre de Cher¬
bourg, la Société de t'üsinede TourmigniestNord),
la Concorde de Pouiilon Marnc), la Pbilharmonique de Biliom (Puy-do Dome), l'llarmonie de la
Fosse n» 13 ces Mines do Lens de Halluck (Pas-deCslais), la Sainie Cécile de Vernon, l'llarmonie
Secialiste doISb arrondissement de Paris.
FANFARES
La Société Musieale dos Fondeurs de Pori-Briilet
iMayenne), la Lyre Amicale da Poissy (Seine-etOise), la Société Masicaledes Fondeurs d'Anioigné
de Sainte-Jamme-sur-Surtho, la Fanfare Libre de
Vernon, la Fanfare Libre de Mayenne, l'Union
Musieale de Hoi (Orno), la Fanfare de Saint-Nico;as-d'Atiermont, la Société Musieale de Chaumonten-Yexin La Vigneronne d'Origny (Marne), la Fan¬
fare de l'Ecole Normale de Caen, la Musique de
Gamaches iSonime),la Fanfare des Ateliers d'Abel
Pifre d'Alberl (Somme), les Amis du Progrès de
öourges, la Fanfare de Crugny iMarne), la Fanfare
Municipale du Chesnay (Seine-et Oise), la Fanfare
d'Illiers (Eure-'t-Lolr), la Renaissance de Chavanges (Aubei, la Fanfare Municipale d'Athis de l'Orne, la Fanfare Saint-Briee de Togny-aux-Baufs
iMarne), la Lyre Ouvriéro de Benvardes (Aisnei,
i'Un on des Communes, Fanfare des Ilorlogers de
ssint-Nicoias-frAbermont, la Dómocratique de Viliedomer (Indre-eFLoiie), La Renaissance d'Orboisl'Abbaye (Marne), Saint® Panburge, Sainte-Golombe de-l'Orne, la Fanfare de Saint-J alien du-Sault
(Yvonne), la Lyre de Sadno de Cauville-la-Riviére,
La-Croix-ep-Brie (Seim-et-Marne), la Fanfare Muni¬
cipale de Songny 'lndre-et-Lohe). la Fanfare Muni¬
cipale de Villoroeaux Lolrel), la Fanfare Municipale
de Montagny (Loire), la Fanfare Municioale d'Aliemant (Marne), la Lyre de Moset-Saint-Père, la Con¬
corde Musieale d'liornoy (Somme;, la Fanfare de
ia Chapeile-Monlfr.don (Aisne), la Fanfare de Mortrée (Ome), la Fanfare de Criquebeuf-sur-Seine
(Eu e), 1Union Fraternelle de llampigny (A.ube),la
Fanfare des Sapeurs-Pompiers de Reuil tMarne), la
Fraternette de Daubeuf-la-Campsgne (Eurej, Ia
Fanfare de Baye (Marne) la Renaissanco de Villevenard iMarnei, 1Union Musieale du Ménil (Mayenjie). la Fraternelle de Maurupt-le-Montov (Marne),
ia Fanfare de Villobaron (Loir-et-Cher), l'Indépendante do Landreville (Aube), l'Union Musieale de
Saint-Lonp-sur-ï'honet (Deux--èvres), la Fanfare
Municipale de Piney (Aube), la Musique Munici¬
pale de Sil!é-!c-G'uillaumo(Sarlhe).
SYMPHONIC
L'Union Syruphonique de Noisy-Ie-Sec -Seine).
ACCOUDÉONISTES
La Syrophonie des Accordéonistes Ilenlnois de
Uénin-Liélard (Pas-de-Calais), la Lyre. Joyeuso de
Bmsy iPas-de-Calais), l'Orcheslriana Amiénoise
l'Aniit ns Somme).
ESTl'RI ANTINAS
L'EsIndianiina du iS» arrondissement de Paris,
l'Estudianttoa Ange vine d'Angers, l'Accord Parfait
de la Condamine iPrincipautó de Monaco), le Cer-
Feuilleton
du PETIT HAYRE
74
LA
PAR
Coastaiat
PREMIERE
G-UÉEOTJLT
PARTIE
La Comèdie du iVIariage
Ccpendant, l'intérèt de Cypriennercniportaut sur toute autre consideration, il
allait se résoudre a ailer faire celte propo¬
sition è sa ntère, lorsqu'il entenditle comle
de Glamareinss'écrier tout Acoup:
— Eh bien I non, Madame Tillard, je
partageentièrementl'avis de MmeDathis,
il y a IAdessousquelque méprise et e'est
Hioiqui me chargede l'éelaircir.
— Vous,MonsieurIe comte,dit I'horloger d'un ton pénélré,non, non,'je ne Ie
permettrai pas, j'irai moi-mêmem'assuier . , .
— Laisséü-moifaire, cher MonsieurTil¬
lard, je suis assuré de réussir la oü vous
pourriez tjcliouer; je connais les amis
d'Albert, OontranBixou entre autres, son
camaradede collége,son confidentintime ;
si jc ne irouvepas Albertcltezlui, ie cours
La Compagnie des sapcurs-pompiers de Meaux,
le Réveil (le Palaisoau (Seine-et-Oise), la Compa¬
gnie des sspeurs-pour.piers de Cherbourg, les T,ju¬
ristes de Brive (Corrcze), la Lyre de Cherbourg,
l'Avant-Garde de Levallois-Perret, la Rueilloise de
Rueil (Seine-et-Ohe), la Viroflaysienne de Virotlay
(Seine-et-Oise), l'Avant-Garde de Torcy (Seinc-etMarne), Ia Revanche queviliaise de Pi til-Quevilly,
la Saint-Maurice de Paris, l'Avant-Garde-de-1 Yvelte
de Longjumean (Seine-et Oise), I'Avenir de llouilIes, l'Union patriotique hartleuraise d'ltai fleur,
Tambours et clairons de l'tlarmonio de Mohon (Ar¬
dennes), l'Amicale des Pompiers de Lillebonne, la
Revanche de Viarmes (Seine-et-Oise), l'Union sanvicaise de Sanvic, les Enfanls de Saint-Nicolas de
Paris.
TROMPETTES
Pas
de Retraite
ee aoir
Par suite des fêtas organisées
a l'oceasion
dn Grand Concours de Musique, la retraite
militaire hebdomadaire
qui devait parconrir
ce soir l'itinêraire
dn 3" canton, est suporimfie, une aotre retraite devant avoir beu samedi avec itinéraire
spécial.
Concours
Agricole
Un concours régiona! agi-icole et concours
hippique
se tiendra
ii Yvetot (Chatnp de
courses), du 28 mai au l^r juin 1914.
En voici le programme
:
jEUDi 28 m<i. — A midi : Ouverlure de VExposition des Hachin.es et p. oduits. — Reception des
Animaux. — Mensurations des Bovi'tis. — A ï
beures : Operations du concours beurder (traite
d'épuisementj.
vcndrrm
39 mxi. — A 8 heures : Exposition
L'Etendard de Levaüois-Perret, la Nogentaise de des machines cl produits ; mensuration des R .vi¬
NogcLt-sur-Marne, la Bienvenuede Vilry (Seine), des . — A 9 heures : Opératioas du jury des pro¬
la Senlinelle d'Ons-tn-Bray (Oise), i'Avenir de duits. — A 11 heures : Operations du concours
Yillecresnes (Seine-et-Oise). Ia Fraternelie de l'U¬ beurrier. — A 3 beures : Traite ; écrémage et
nion de la Nbne (Marne), l'Etoile do Meru (Oise), analyse du lait (au siège de l'Ecole ménagóre, rue
I'Avenir do Vallaut Saint Georges (Aube', les Amis du Calvairei.
Réunis de Cuigy de Cuigy-en Bray (Oise), l'Espésamedi 3ö mai. — A 8 heures : Exposition
rance d'Arc-les-Cray (II .ute-Saöne), la Concorde générale.
— A 9 lieures : Operations du jury des
de Maiciily-le llayer (Aube).
animaux. — AH heures et a 8 heures : Opératlons du concours Beurrier. — A 2 heures : brCTROMPES
DE CHASSE
seutalion des chev«ux de trait primes.— A 3 heu¬
res
: Concows hippique, pnx d'essai. — A3 heu¬
La Saint-Hubert de Luxeuil-les-Bains (IlauleSaóne), la Haltye Belfort de Belfort, Ia Saint Hu- res : Concours hippique, prix des régiments.
diman'chis 31 51.M.— A 8 heures : Exposition
bert de Rouchamp (II mte-Saóne), les (rompettes
Brivadoises do Bnoude (Haut-Loire), Ie Rallye gêné' de ; tin dr s operations du concours B -unier ;
Cors de Sauvie, la Rallye Cbat«auroussin de Cba- operations du jury du concours de conformation
teauroux (Indrc), la Rallye Luroa de Lure (Ilauto
des vachos laiiières.— A 11 heures : Presentation
Scóac), l'Amicale de Saint-Hubert d'Eawy des des bovidés primós. — A 2 heures : Presentation
des chovaux prirnés. — A 3 heures : Concours
Grandes-Ventes.
hipoique, prix do la Ville d'Yvetot. — A 5 heures :
Concours hippique, prix couplés.
mvDi 1" .riuv. — A 8 heures : Exposition gé¬
Conaeil
de Kéviiien
nérale.
A li beures : Presentation des bovidés
Le Gonspil de revision a continué
hier,
primés. — A 2 heures : Presentation des clievaux
de trait primés. — A 3 heores : Concours' hippique,
ses operations aa Havre, pour examiner les
prix du championnat. — AS heures : Concours
jeunes gens appartenant
an
canton.
hippique, prix de la Société des courses d'Yvetot.
La séance a éió ouverte
è neuf henres dn
matin, sous la présiUence
de M. Liard, se¬
crétaire
général
de la prót'ectnre.
II était
©IisèqMes
«1« fffi. IPovax-T-avslIe,
assist 'de MM. GoH, conseiilerde
préfecttire;
1*< rïr(
el«t Deiret
colonel Berlin;
Ficlelin, conseiiler général ;
Lundi
ont
en
lien,
A
Orleans,
les obsèquos
Ronssel, conseiiler d'arrondissemeni
; Vil le¬
da M. Poux-Laviilé, préfet du Loiret, anci n
nt ttve, sous-intendant
militaire;
Berthonsous- préfet du Havre, décédé
après une
nière, command ant derecrutement
; Benoist,
maladio.
sons préfet du Havre ; serrurier, adjoint au courto et douloureuse
Les honaeurs
militaires
étaient rendus
maire du Havre;
Bourgeot,
capitaine
de
par les deux tiers de ia garnison et p'-ndant
gendarmerie;
Ponsot etGrenierdeCardenal,
la levée da corps, dms la cour rie l'nöte! de
médecins-majors.
la préfecture,
oü avait ótë dressé le catafal¬
Voici les résultats de cette opération :
que, la musique
du 131" d'infanterie,
les
AjOurnésde Ia classe 1912 : bons, 3; ajourttompettes
do 8» chasseurs et de I'artillerie
né, 1 ; exemptés, 5 ; total, 8.
ont execute des marches funèlres.
Ajournés de la classe 1913 : bons, 7 ; ajourLe deuil était conduit par M. Becays, dénés, 13 : exemctês, 3 ; total, 23.
pnté du Lot, et les cordons étaient leaus par
Classe 1914 : bons, 73 ; engagés et inscril?
MM. Brisac, préfet du Cher, représentant
le
mariiimes, 33 ; services anxiiiaires, 4 ; ajour¬ gouvernement
; Antrand, préfet de Seine-etnés, 31 ; exi-mptés. 9 ; décedó, 1 ; total, 133. Oise ; G iiral, premier president ; M tulmoad,
Total général : bons, 83 ; engagés et insprocureur
génér.d de la cour d'appei ; le
crits maritimes,
33 ; service aux'liairs,
4 ; général Penne |uia, commandant
par inté¬
ajournés, 43 ; exemptés, 16 ; décédé, 1 ; to¬ rim le 3e corps ; Georses Gochery, président
tal, 184.
du Gonseil général ; Viger, rénateur, et Fernand RiAier, député, maire ci'Orléans.
Dans 18 cortege se trouvaient
les autori¬
De rapiteiiie
axTatesap
Yoigin
tés, les corps constitués,
les notabilités
du
et so!» VïécasiicieM
iléeerés
Loiret et des départements
limitrophes.
Stir
Le général Bernard, directeur
de l'aérotout le parcours,
de la préfcciure
a la gare,
nautique militaire,
est parti pour Vichy anles b-mè-idaires éketriques
étaient aliumés
uouctr au capitaine Voisin sa nomina ion au et voiles de crêpe.
grade de chevalier de la Légion-d'Honnenr,
Dans la cour des messageries, des discours
et au sapenr Desclaux, son inscription
pour
ont é é prononcés par MM. Brisac, Georges
la médaille militaire,
avec nomination
im¬ Gochery, V ger, Fernand
Ra bier et par M.
mediate.
Maureilet, inspecteur
d'académie.
L'état du capitaine Yolsin est moins grave
qu'on i'avait annoncé.
Le blessé, qui est soiDans
Ia 3' T>égion «Se CrCxxdai'soterSe
gné avec dévouement,
a passé une bonne
Le chef d'escadron B lotte, qui commande
nuit et les médecins déclarent qu'il n'y a pas
de complication
é redouter, car, en dehors
actuellement
par intérim la 8° légion de gen¬
darmerie A Bourges, est promu
lieutenantde la fracture de la cuisse, le brave officier
colonel et designó pour commander
la 3e lé¬
ne souffre pas.
gion, A Rouen. 11 remplacera
le colonel Pin,
admis A faire valoir ses droits A Ia retraite.
Komlnalloim
<l<ma l'Etat-Hajor
Le colonel Pin était depuis 1910 a Ia tête
géuérnl
de la 3» légion oü il avait succédé an colonel
Ordioni. Soldat de haute valeur, le colonel
Parmi les mutations militaires du 23 mai,
il en est quelques-unes
qui concernent
des ihn, A Rouen, comme partout aiilenrs, avait
su s'acquérir de nomhreuses
sympaihies.
A
officiers sopérieurs
ayant appartenua
la garla c iserne, il savaii ailier l'énergie A labiennison de Rouen ou & l'état-major
du 3« corps
veiilance, oi tous reconnaissaient
les senti¬
d'armée :
ments de justice qui le guidaient
sans cesse
Le colonel Da may, ancien chef d'état-madan3 ses rapports
avea ses subordonnés,
jor k Rouen, est nommé
général comman¬
officiers et gendarmes.
dant i'artillerie du HD corps d'armée.
Le colonel l'onville, ancien sous-chel
d'état-major ii Rouen, est nommé
par interim
au com mandement
de ia 79" brigade d'infanterie it Gom mercy.
Le colonel Desvaus, ancien lientenant-colonel da 74c d'infanterie,
est nommé par intérim au commandement
de la 16" brigade
d'infanterie
an Mans.
Le colonel de Mitry, ancien Hentenant co¬ Le Steamer « Bmtang t) sauve l'Equipaga
d'un Steainer Greo
lonel du 6« dragons a Evreux.est
nommépar
Le steamer danois Bintang, qui est arrivé
intérim au commandement
de la 1»'°brigade
hier iratin venant de la Göie-Ferme, a ren¬
de cuirassiers it Paris.
contré dimancho
dernier,
A dix heures da
matin, par 48" ds latitude Nord o.t 6° de lon¬
Nomination
gitude Ouest, le steamer
grec Pericles, qui
faisait des signaux de détresse.
M. Emile Léopoid Gim, candidal
militaire,
Le Périctès, par suite, croit-on, d'un choc
est nommé ouvrter titulaire da cadre de la
sur une épavo sous-marine,
avait une énor¬
fabrication k la manufacture
des tabacs du
me voie d'eau.Il fallut l'abandonner.
II coula
Havre.
A trois heures de l'après-midi.
Ses 23 hommes
d'équipage
ont été recueiilis par le Bintang, qui les a débarqués
Becriitrnient
de l'Armée
au Havre.
Soutiens de Famiile
Le Pénclès se rendait de Swansea A AlexanLe Gonseil chargé, en vertn de l'art. 22 de drie.
la loi du 21 mars 1903. modilié par l'art. 12
de la loi du 7 aoüt 1913 do siatuer
sur les
Kon Transailaiillqnes
demandes d'allocations
journalières
iormées
l,a- I'rovcnüc
par les soutiens indispensab'es
de familie,
La Provence est attendue sur rade mercredi
se réunira pour l'examen des demandes formulées par les jeunes gens de la classe 1913, soir k 7 heures 1^2.
au chef-lieu de la justice de paix, aux jours
Go paquebot vient de New-York.
indiqués ci-après :
Le Montróal
Arrondissement
du Havre. — Fécamp, 16
juin;
Bolbec, 17; Lillebonne, 19 ; GoderLe f tramer Montreal, qui se tronvait dans
ville, 20 ; lev et 2» cantons dn Havre, 22 ; 3» le canal de Tancarviüe pour y subir diverses
et 6e cantons, 23 ; 3e et 4» cantons, 24 ; Saiattransformations
on vue de sa nouvelle affec¬
Romain-de-Colbosc,
26 ( Montivilliers, 27.
tation, a pris place dans une des graruks
^onvelles
Maritimes
UN RAPATRIEMENT
chezGontranet e'est par lui que je saurai
ce qu'il est devenu.
— Attendezun instant, lui dit MmeTil¬
lard, j'ai Avous parlcr, MonsieurIe comte.
Puis, s'adressant A sa iillc, qui frissonnait de fempsAautre dans ses bras :
— Tu as un peu de üèvre, il faut te mettre au lil, mortenfant,
— Je le veux bien, maman, répondit
Cypricnneen se blotlissantcomme un en¬
fant sur le sein de sa mère,mais. . .
— Eli bien, quoi, ma chérie? que veuxtu dire ?
— Eh bien, Aune condition.
— Parle, monenfant.
— C'est qu'aussitotle retour de M. le
comte,on viendrame rendre complede ce
qu'il aura appris.
— C'estentendu,ma chérie.
— Maissans rien me cacher ?
— Jctele promets; maintenant,viens,
je veux te meltre au lit moi-même.
Cyprienne donna son front a baiscr A
tous, puis clle suivit sa mère.
Celle-ci revenait au bout de dix mi¬
nutes.
— Eh bien, lui demondale comte,qu"avez-vousAme dire, MadameTillard ?
— Quelquechosede grave, dontj'avais
résolu de ne pas parler, paree qu'il s'agit
d'une personnedéjAtrop compromisepatsa conduite et qui. . ,
— Et qui, conséqucmment, ajouta le
comte,ne court pasgrand risque Ace qu'oif
la comprometteun peu plus.
— Malgrétout, reprit Mme Tillard, je
n'auraisrien dit s'il ne s'agissait du repos
de monenfant, et si je ne voyais dans ce
a.uiarrive aujourd'liui la conUrmutionde
la lettre anonymeque je vais vouscommuniquer.
— Unelettre anonyme! s'écria MmeDa¬
llus.
— Cette lettre, la voici,dit MmeTillard
en la tirant de sa poclie.
Elle lut ia lettre, déja connuedu lecleur,
par laqucllela baronne de Karrioldénoncait a la mèrede Cyprienne la liaison de
CamilleChaumel avec celui qui allait devenir lemari desa fllle.
— Quelle infamie ! s'écria Laurence,
avec l'explosion d'une violente indigna¬
tion, quellefemme est-ce done que cette
Camille?
— Unefemme... légère, plus que le¬
gére, répondit le comte, et son mari, un
patLvrehommebien a plaindre,car il est a
cent lieuesde soupconnerce dont personne
ne douteaujourd'hiti.
— Mais 'c'est un monslre que celte
femme!
— Centfoisplus bideux, plus horrible
que tu ne penses.Quant A cette aventure,
je ne sais ce qu'il en est, mais Gontranne
'peutl'ignorer, je vais done Taller trouver
avec cette lettre et avant une demi-heure
j'espère vousapporler la vérité sur celte
affaire.
— Qui sait si M. Bixou sera chez lui !'
dit Laurence.
— 11m'a assuré qu'il y était tous les
soirs dans le cas oü j'aurais Alui parlcr.
II sortit, alia prendre tine voiture a la
place Saint-Sulpiceet se fit conduire chez
GontranBixou.
II le trouvachezlui. en eftet, en train de
fumer un cigarc, tout en déssinant une
lêle de faalaisie.
3
formes de radon b oü l'on va procéder
au
remplacement
de son arbre porte-bélice et A
ia réfection des peintures de sa carène.
La ViUe-dO'Barcelono
Le steamer Ville-de-BarcHone, de 1,846 tx,
appartenant
A laCornpaguie Générale Transatlantique,
a été v^ndu a <nn armateur
italien pour environ 4,500 liv. Ce cargo mixte
avail étó construit A Greenock
en 1880 ; il
mesure 309 pieds de long sur 35 piecisö de
large el 24 pieds 3 de creux.
Wj'/isle
Les expériences
de ce sleamer ont été repri.es dans la matinée d'hier et sesont poursuivies durant toute l'après-midi.
Eae €SSi»sle rcstHmxaê
Le sleamer
norvegien
tLmk, du port de
Bergen, qm s'était échoué lundi matin A Pentree du bassin de üeauvillo
a pu être heureusemect
relevé.
Le soir, au retour du Hot l'Abeilk-4 a fait
une yigouto jse tentative
pour degager
ie
batiment, et grace A une plus grande ampli¬
tude de Ia marée, le résub.at espéré a été
réalisé.
Le Girale a pu alors frauchir
le seuil de
l'écluse et a pris place au bassin.
ïbs
fstelsts* «s?r
«sus ïméoSepIs» s5o!ts*a«
€?esssi3Ï4(aSls!»(rs jJiar 'L". S. SF,
Le paquebot Orduna, arrivé A Liverpool,
se trouvait A l'entrée du détroit de Magellan
quand il recut, du vapour anglais Brodstone,
un message sans fil demandant
una Consul¬
tation modicale
pour le capitain»,
tombé
malade a bord.
Le docteur Ayward, de VOrduna, avisé, répondit aussitöt et posa cinq questions auxqtieBes il fut répondu ; il redigca alors une
ordon nance pour la malade, qui se trouvait
a plus de 150 kilomèTes de IA.
Deux jours plus tard, les denx vaisseaux
arriyaient
ensemb'e
A Punta-Arenas,
et ie
capitaine du Brodstone remit au médecin de
1 Oidunn, avec ses remerciemeiiis,
26 francs
d'honoraires.
U« Pa?jsieSr»S( fi-dle u « Sc«-lvrrg
Le paiiuebot
Royai-Edward a envoyé un
message sans fil, parvenu
A Montréal, pour
annoncer qu'il avait touché un énorme ice¬
berg au large da Gap R >ce ; il a rasé la montagne de gkce sans è re endommagé
et vo¬
gue maintenant
vers Bristol.
ïjk' féati'rt'tifa
Le steamer Sautemcs, de la mei son Worms
qui avait quitté notre poet inndi soir, A six
heures, pour Dunkerque,
est revenu en relache hier acrèsrinili
dans notre port, un
biiiiChon de chaudièie ayant sauté en cours
de voyage.
Des reparations
ont été entreprises
et le
Sauternes doit reprendre
la mer ce matin.
Eje W^neSMote
Le navire peiralier
Luciline, venant
New-York est monté A Rouen hier.
de
ï.c y sieist SSet'lhn
Un équipage, commande
par lo capitaine
Le Prénot, va être dirigó du Havre sur Tolles
Bury, pour condnire
dans notre port oü il
sera frarcisé, le yacht anglais Bertha, acquis
par M. Deiahaye, do Paris.
Avis aiax Navlgatessrs
Le lougie de pêche Sucré-Cwar-dc-Je'sus,
no 3038, du port de Boulogne,
jaugearu
77
tonneaux, a etè coule dans la nuit du 17 au
18 mai par nn vapeur augiais A 4 milles dans
le S.S.E. d'Hasting.
L'öpave de ce hatiment a été vue par tin
pêchéur, llottant euire deux cuts; a 8 ou 10
mutes dans le Sud du Royal Sovereing, te 20
mai A une heure du soir.
LeS03SB etuitchavirésur le cóté.
Faits Divers
Britrerst
par
un
Cyrlisfe
So rendant
A l'école, vers huit henres et
demie, lundi matin, Ie jeune Joseph Dubois,
age de 8 ans, demeurant
chez ses parents,
rue Franpois-Mazeline,
51, fut renversé
par
un cycliste A l'angle. des rues Massilionet
Franpois-Mazoiine.
II fut blessé légèiemaut
A
Ia ièvre supérieure
et an nez.
Ces blessures iürent pansees A la pharmacie Dubuissoa, rue de Normand, e, et l'enfant
tut ensuite conduit A son domicile.
Flaitirs
do la TaMe
S'il es! vrat qu'un
verre de bon vin fait
souvent oubiier un mauvds iöti, il n'est pas
moins certain que celui qui bolt de mauvaises boissons est toujours mécontent.
II fant
s'approvisiouner
anx Caves Ganérales
pour
avoir d'excellents produits.
Arvldent
a la dare
Au cours d'une manoeuvre
de wagons
dan3 la gare de ia Pedte-Yitesse,
hier maiin,
vers quatre heures et demie, un garde-frein
des chem ns de fer, Ad dplie Perel,
de
39 ans, demeurant
rue Montesquieu,
34 bis,
a eu le bras droit pris entre deux tampons.
En outre d'une piaie profonde de l'uvautbras, on a constaté A t'llopital Pasteur que
le radius était fracture.
Perel est resté en traitcment
dans eet éta¬
blissement.
Le comteétait entré tout de suite après
avoir frappé.
A sa vue, Gontran,qui, on le devine, nó
restait chezlui tous les soirs que pour être
a momed'ètre prévenuau cas off Laurence
serail menacéede quelqueaccident,se leva
brusquementet courut a lui en lui disant
d'une voix émue :
— Vous,citer comte! vous serait-il ar¬
rivé quelque chose?
— A moi, rien, réponditle comte, mais
Aune jeune liHeA laquelle je m'intéresse
trés vivementet qui ne vous est pas inconnue.
— Sonnöm?
— Cyprienne.
— La iiancéed'Alberl?
— Qui, et c'est justement de lui que je
viens vous parler.
— Ditcsdonevile, cher ami !
Le comlelui raconta en deux mots ce
qui venait de se passer et lui montra la
lettre cn lui Gtsant:
— Qu'y a-t-ilde vrai dans tout cela ?
— 11y a que Camillea été la maitresse
d'Alberl',jc vous dis cela franchement ct
sans détoui', paree que sa répulation,
qü'elle croit intacte, est percce a jour et
que celte créature ne mérite aucun ménagement; la lettre est done vraie, quoique
anonyme. Mais, quant a croire qu'il ait
quitté Paris avec cette femmequ'il n'aime
plus, pour blesser au cöeurCypriennequ'il
adore, non, cela ne se peut pas, j'en mettrais ma mainau feu.
— Fort bien, mais cela ne suffitpas, la
pauvre Cypriennesait que je fais une enauête Ace sujet, et elle attend ma réponse
Xitü F«|iuliiire
Entreprise privé e assujettie au controle dc l'Etat
Nous sommes
heureux
cl'infonner
nos
lecteurs
que celte honorable
Compagnie
Frao^aise
d'Assurrances
sur ia vie, dont le
Sièga social est A Paris, 14, rue Chomel, con¬
tinue réguiièremerrt
Aprogresser.
La production obtenue en 1912 atteignsit
environ 3 millions ; le chtffVe d'affVres réa¬
lisé en 1913 a. dépassé 4 millions de francs.
Nous apprenons avec piaisir que son orga¬
nisation ou Havre
va prendre
encore un
plus grand devekippement,
grace aux trés
heureuses
modifications
qu'elle
vient d'y
uppcrter.
Nous lui sonhaiions bon succès.
ThVMve-Cïvque
Csnêwsa ommn
Omnia
pathE
H.a Jnlte
SSretonne.
— I a T«e!ie
II est mcontestabiement
difficile, même
pour uoe direction aussi habile que catle de
l'Omnia, de dormer chaque fois on spectacia
aussi beau que celui de fa semaine dernfère,
oü ie grand film LesMisérables, ob int comme
oo Ie sait nu t.»ès gros succes. Pöürtant,
le
programme
qui débutait
hier, eo sorée,
plus varié que lo précédent,,
renffirrmmt
plusieurs
numéros
viaiment
attrayauts,
promet d'attirer. dans la vaste et coquette
enceinte du Th atre-Girque Omnia, tous c<nx
de nos conoitoyens désireux
de passer une
agréable soirée.
Aitf-ljst
d«5 C?08Jge»S5»ai
On a surtout applaudi
hier La Jotte- B>eVers sept beores, lundi soir, le gardien de
tonne, une scène dramauque,
trés HOtidement
la puis Vauclui était prévenu
qn'un horarae
charpen ée, de MM. Zecca et R. Lepiinco.
était malade sur le cours de la Répubuque.
Miie Roi i me, de la Gomédie-Frar.caise,
II s'y rendit et reiava cet bom me qui était
I'artiste reruarquablement
belle, y dépeuse,
étendu A terre, pour le transporter
A la phardans ié röle d'Ariaik, ie meiileur de son ta¬
m aai ft Daussy.
lent. Elle est secor.déö par d'exceüeots
ar¬
Le pratieieii jugea que l'état du malade
tistes, qui mettent en relief c tie comèdie
était graye et con si ilia son transport A i'Hosparteis
émouvante
et souvent délicieuse.
pice Général.
La ruise en scène est trés soignae, et t'nn
L'interne
reconnut
qu'il était atteint ds remarquera
de plus, de ces fori joiies piiocongestion.
tographies
qui soiit la spécialité des ibms
Les papiers trouvés sur lui indiquèrent
Path®.
qu'il se nommait
Alfred Chenu
agé de 57
A la Jolde Bretome v ion neut s'ajanter
deus
ans, survti'lant,
demeurant
a Graviüe-Sainautres drames : La Tache et La Servante inde¬
te-Konorine,
roe Bplletontaine,
11.
licate, qui complément la série dramattque.
La familie fut preventie aussitöt.
La première,
La Tache, est particuiièrement émouvante et trouve en MM. Saiib rd,
Max Doriant, Man pré et Maurice de Pmie.et
C«JTï*£eg* ÏSIexgfe
Miles Dermoz, Gladys Smythsen
et Jeanae
En travaillant dans les chaiitiers
Anguslin
Frémoat de remarquabies
iuierprèies.
Normand et C®,hier matin, un ouvrier, Paul
La seconde scène égaiemeut.
La Servante
Duval, agé de 17 ans, demeurant
rue des indéheate, rvmpiira
les spectateurs
dVmoViviers, 37, a regu une pianeuse sur le pied
tion. Ene est jooée avec beaucoup de talent
gauche.
par des artistes de valeur.
Le lourd instrument
lui a écrasé le pkd
Dans ces deux fi ms, la mise-«i scène a
et Duval a dü être transporté a i'Hospice Gé¬ éto arranges avec la plus grande habileié
et
néral oü il a étó admis en traitement.
le nieilieur soin.
La serie instructive
ne comprend qn'un
puisCHFMISES
Communion,
CHEMISES céré¬ film ; mais ü est. des plus intéressants,
qu'il seri de préiexie A une exhibition
de
monie, CHEMISES fantaisies, dans touted
d'i n jardin zcoiogique des
les enoo lures — La plus beau choix de fauves superbes
plaioes russes d'O-kania-Nova.
Cravates et FausCois.
Pothé-Jourval, dunt les deux éditions sephn-j h OQISH cheraisier,
68, rue de Paris
ront vues avec ie même plaisir par les assis¬
UslSu M« OllUti
cn face le Printemps.
tants, prend une large part au suecès de
chaque repi ésentation. Les scènes humoristiques sont, celte semaine encore, trés nom?Tïs Woïirsas' tl«ï êtlcjirïirïïe
breuses et trés oiiginales.
Lundi 25 mai, vers midi, un jeune homme
L'orchestre a detaillé ses meillonres pages
d'une quinzjine ci'années, qui 'se promenait
musicaies,
que les amateurs
apprecieront
dans les mes da Saint- Romain-de-Goi bosc
sans nul doute cornme il coovient.
avec one hiCjCktto a la main, ayant accostó
le jaune Joseph Duclos, ag< do 14 ans, gar¬
Anjonrd'hui
mercredi,
A 9 heures, repréden boutanger
a Saint-Romain-de-Golbosc,
sentation de cioématographv,
avec ia scène
eut avec lui one conversation
banale et fluit
dr<m»t>qiie de MM Zecc-t et Leprince. 1»
par lui proposer d'achetersa
bicyclette pour
interprétee
par M e
le prix, defiant
touts concurrence,
de 5 «ïwêae Ili-s-IaniMt,
Rooi .ne et AS. Alexandre,
de la Comédia
irancs,
Franqaise.
iAclos A l'anrionce dn prix fut pris de
Le programme
est cornplétê d'une eoroésoupyons
sur i'honnêtetê
du possesseur
die dramaüque,
la Tache, de vues comiqi es
de la machine, ai» si fit-il part de sa rencon¬
et df-s dermères actualiié-i da Pathé-Journal.
tre aux gendarmes.
Bureau de location ouvert comme d'usjge.
Geux-ci se mixrnt en qnêie dn gamin et
Tous les soirs a la sortie, service spécial
l'ayant trouvé
dans Ie bourg Tinterrogède tramways.
rent.
L'enfaut fonrnit d'abord différents alibis,
puis fiiialement
avoua a®o:r loué la bicy¬
clette, se matia rtième, chez M. LebHc, marcband do cycles, 42, rue B.izan, au Havre, et
Ge soic me medi, a a udemiere
reprévoutoir la veudre afin d 'avoir d s l'argent
Siniation du Tiain de 8 h. 47.
pour lui permettre d'aller A Paris se prome ner.
«•«Kl'SS I>E
Les gendarmes
qnesüonnèrent
le jeune
voleur sur ses moyens dVxisience.
II déCcear de Frangaise, ia superbe pièce qui a
Clara être empioyó
chez M. Julien Tison,
triotnphó
a Paris au Theatre
dfrl'Ambigu,
bouianger, 20, rue Malherbe,
an Havre, et sera jouée trés prochaioement
aux Foliesavoir quitté lürtivement
son patrou la vedle
Bergère, par la ro ir riée O. DulTenne, A paren emportant
cno somme dt 16 francs qu'il
tii' de vendredi pruchain.
avait recne de différents clients.
Cceur de Frangaise est Ie plus grand soccèa
II adéciaréde
phis avoir dépensé presqne
parisien de l'aimée dernière.
Depuis la p eentièrement
la somme volée a la foire qui se mière, ce ne, sont qae des salles aichitient actuellement
au Havre et A payer la combks. Ajontons que la pièce sera jöuée
location do ia bicyclette.
II ne lui restait, eu
en touroée avec le même noinhre d'artisies
rlfet que 1 fr. 45 A SfiiH-Rimiaiu-do-Colqu'a l'Ambigu;
26 personnes et des décors
bosc.
spéciaux.
Ge précoce gamin a déclarö se nommer
Nous reviendrons
prochainemant
sur ces
Georges Con reau, né A Paris, X®arrondisse¬
belles soirées.
ment, le 10 octobre 1899.
II a été arrêté et conduit
devant M. le
procureur
de ia République du Havre.
il23, boulevard
de Strasbourg)
La « Cérès » est la bière de table particnlièrement recommandée
aux nourriccs
et A
Anjonrd'hui
mercredi
27 mai,
toute personne ayant besoin d'une alimenta¬
a 8 h. 3/4, representation
du plus
tion conforlable." Comme
la « Pallas », la
« Cérès » se trouve partout.
Son prix est de
gro3 succès de rire de la saison.
0 fr. 25 le litre. (Communication
tie Ia Grande
Brasserie
de 10 nest).
Les plus hautes recompenses
aux exposi¬
tions internalionales
et universeiles.
Interprets par M Lévesque du Palais Royal.
Turin 1911 : LE GRAND PRIX
Deux grands (irarnes artisliquos
Ganmont t
Folies -Bergère
GRAÏÏDCINÉMAGAUMQNT
LEGENDARME
ESTSANS
CULOTTE
!...
Gand 1913 : f?1MYSORE DU JURY
HORS CONCOURS
Vol dr Cacao
Tronvé portenr
de deux kilos de cacao
dont ii ne put j istifier Ia légiiiine propriété,
un nommé Alpüonse Taifei, agó de 37 ans,
journalier,
demeurant
A GravHle, rue de la
Vallée, 75, a été arrêté lundi soir, vers huit
"neures, au moment
oü il passait sur le pont
5. II ad'ailleurs
reconnu
qu'il venait de oérober cette marchandise
A bord du navire
OÜ il travaiüait.
Le parquet disposera do sen sort.
UNE AFFAIRE ÉNIG1VSATIQUE
et
LA
POUDRE
X...?
Ce programme
d'une importance
exceptionnede sera accompagné
par : De M 'seiue
aPoit-Siïd,
L' Hotel du Bankeur. La Muison de
discorde. Annonces matrimo males, Les Aetna liles a Gdumont », etc., etc.
Locatio
comme d'usage. Téléph. 15 31.
Service spécial de tramways A la sortie.
On peut fumer au pront enoir.
Concert
Wcellelt
R ppelons que c'est ce soir, A 8 li. 1/2,
qo a ben, rue Aug.-Doiifiis,
l'andition organ sée par Al. Wootlett, avec lo concours
da
Mme Hall, la saxephoniste
amértcaiue ; M.
l,ongy, chef d'orcbestre
de B- s oa ; la cuntalrice AlmeLacoste, la harpiste Mile Laskiue,
le quatuor Alesuier, et nombre
d'éminents
musiciens havrais. — On trouve encore des
liiiiets numéroiés
Chez M. Hoffmann, marchand de musique,
rue
de Parts. Prix ï
TflÊATRESCONCERTS
&
Cas in o Ma r ie- C li vist ine
ISaHon
d'étê
lOl-4
Lundi lor Juin, en matinee a trots
©inv-ex'Hii'e
«Se Sa Sassoii.
heitres,
avec une veritableangoisse.Commentfaire
pour connaitreIa vérité ?
— Avez-vousune voiture?
— Oui.
— AlIonschezAlbert qui demeuretout
prés d'ici,
lis parlirent tous deuxcl un instantaprès
ils arrivaient chezAlbert.
Le concierge leur répondit comme a
Lise, qu'il était parti sur les cinq heures
avec une dame.
Gontrandemnndades détails sur les fa(•ons,la tournure et la toilette de Ja dame,
et acquit tout de suite la convictionque
c'était bien CamilleChaumel.
Oü étaient-iisallés ¥
C'est ce qu'ils n'avaientpas dit.
Commentle savoir?
— Allonschezelle ! s'écria Gontran.J'ai
fait nombre de largesses a sa concierge,
elle me dira tout ce qu'elle sait.
On se rendit donerue de Rivoli,prés de
Ia rue desBourdonnais.
La concierge,préalablementstimuléepar
le don d'une pièced or, ne refusa pas de
causer, en effet.
Elle apprit a Gontran que MmeChaumel
était ailée passerhuil jours a Fontainebleau
cliezune amie.
— Et vousêtes sure qu'elle a dit vrai ?
demaadaGontran.
— J'en suis süre, son mari était avec
elle en ee moment.
— Que faire maintenant? demanda le
comletrés inquiet.
— Rentrer chez M. Tillard, dire qu'il
s'agit d'une disparition mystcrieuse dans
laquclleil n'.va pas trace de l'emme,et que
5 francs.
la police,prévenuepar vous, va se meltre
immëdiatementen campagne.
— Bon! voilarépondreet faire attendre,
mais après?
— Le reste ine regarde.
— Comment?
— En vous quittant, je cours cherclier
Pierre Lasseille.J'ai besoind'un médecin,
et, ce soir même,nous partons tous deux
pour Fontainebleau,d'ou je vous rarnènerai Albertavant vingt-quatre lieures,mort
ou vif.
— Dieuvousentende,car la pauvrepetite
Cyprienneest déja au lit, et je ne sais ce
qui arriverait si. . .
-- Gourez la rassurer et comptez sur
moi.
XLYI
PETIT DRAME INTIME
Retournonsde qnelqucs pas en arrière
pour renseignerle lecteur sur un fait qui
a dü lui paraitre inexplicable,c'est-A-dire
la disparitiond'AlbertDathisen compagnie
de CamilleChaumel, ie jour même oü il
devait passer prés de Cyprienneune soi¬
rée dont il s'était montré si heureux davance.
Albertétait chez lui, dans un petit ap¬
partement de gar?on qu'il occupait rue
Saint-Benoït; il était en train de faire sa top
lette,lorsqu'onsonnaviolemmenta sa portev
— Qui peut venir A celte heure ? se ditii, trés contraried'ètre dérangé: il est cinq
heures. j'ai tout juste le tempsde faire une
toilette convenablepour passer la soirée
chez MmeTillardet voilé que. . . ma loi
non, ie n'ouvrepas.
(A
lift Pfclit Havre — Mereredi27 Mai 1914
Cöss!«K4tIaSllustré
^ C'est on veritable album d'art que repréE~~etele dernier numéro de ComadiaIllustré
nsacró a la saison chorégraphique rasse,
s lecteurs y tronveront, sous la forme la
plus séduisante, les dessins, gravures, por¬
traits se rattachant aux ballets russe3 et notamment les curienses aquarelles de Léon
Batst, un teste important résumant chaqne
ballet, etc.
En outre, ce numéro exceptionnal consaCredes clironiques aux nouveautés de la
quinzaine théatrale écoulée, des fantaisies
sur le3 choses de la scène, des appréciations
docurnentées sar la mode, le tout édité avec
nn soin attentif, tirages en couleurs, d'un
Évidentcaractère d'óléganca et d'art.
Conférences
et <§qut$
Ecole supérieure de Commerce. — Une
Conférencesera faite demaiu jeudi par M.A. Her¬
tsier, ancien é!è*e de I'Ecoie Poiytecbnique, professeur d'hydrographie au Havre, sur le sujet suivant : la Navigationsous-marine.
Cette conférence, qui cominencera é 8 h. 1/2
frécises du soir, aura lieu dans Ta«nphithéatre de
Ecole supérieure de commerce.
M.Mercier,ancien officierde marine, a été com¬
mandant en second d'un submersible.
0 fr. 10dont l'effet était de réduire la quantité de marebandise livrée k l'acheteur.
II verbalisa anssitót, ce qui vaut aux
époux Lalande de comparaitre devant Ie
Tribunal correctionnel.
La cnlpabilité du mari n'est pas établie et
il est acquitté, mais Mme Lalande récoite
cinquante francs d'amende.
Détenseur des deux prévenus : MeJennequin,
LESVOLEURS
En premier lieu, F. X. . . qui, ayant apergu
sur ie quai uuo caisse de bouteilies de li¬
queur, eut i'idée do s'appropi'ier deux bou¬
teilies de cherry brandy pour aller les boire
avec ies camaraties.
I! fat snrpris par le brigadier des douanes
Lafferrière. Six bouteilies avaient été dérobées dans la caisse, mais ia cnlpabilité de
X. . . n'est établie que pour deux.
X. . . avait déja été condamné k dix jours
de prison, il y a queiqu.es années, pour un
déiit analogue.
Cette fois, ce sera quinze jours et cin¬
quante iraucs d'amende.
Defenseur : MePatrimonie.
— Enfin, deux bonnes, dont I'une, Ia fille
Letaintnrier, a largeraent fait danser l'aase
du panier ; l'autre, Alberdne Gaillebotte,a
puisó quelques subsides dans la caisse de la
débitarlte qui l'employait.
La première récolte dix jours, Ia deuxième
un ruois de prison.
o IPO'UlïïSSü '
Pour les Soins de la Peau
TRIBUNAUX
Tribunal
Correctisimol
dt Sa?ra
Audiencedu 26 mai
Présidence de M. Tassard, vice-president
DSNGEREUX
ÉP1LEPTÏQÜE
De nombreuses condamnations ornent Ie
easier judiciaire de André Biasser, 23 aas, a
tel point qo'il serait reiégable s'il était poursuivi aujourd'hui pour un autre délit que
des coups et blessures.
Dans one même soirée il frappe trois personnes a coup3 de couteau 1
— Qa'est-ce que voulez que j'y fasse 1 Je
suis épileptique i Teile est son excuse.
Tout récemment il se trouvait dans un débit de la rue Gustave-Fiaubert-,lorsqu'ii ent
I'idée de mettre a profit i'absence de la propriétaire pour dérober un paté.
Un consommaleur, M. Leblanc, ayant
averti cette dernière, Biasser le solvit lors¬
qu'ii sortit et lui porta on coup de couteau
dans le dos, ne lui causani henreusemem
qu'une blessure saus gravité.
Le même soir, Biasser renconira les époux
M... qu'il connaissait déjè. li leur demancli
dó l'accompagner jusqu'au Val-Soieil, oü,
disait-il, il aliast voir un parent.
A peine les trois personnes forent-elies
arrivées derrière le lorLde Tourneville que
Biasser manifesta des intentions plus ou
moins avonabks vis-i-vis do Mme M...
M. M... ayant voulu protester, Biasser frappa successivementles deux époux d'un coup
üe couteau et s'enfait.
, La encore les blessures foreut pen graves.
Le médecin légisie qui a examine Biasser
a concln-a sa responsabilité trés iégèrement
atténuée.
Le préveaa est en outre potirsuivi pour
infraction a arrêté d'interdiction de séjoar.
li est coadamnó a 6 muis de prison.
>Dcfenseur : McMasson,
ftlOUTÖHCUR1ULE
Quelqu'un qui sait rompre ia monotonie
du régime de la prison c'est René Josset, dit
Monton. Oq peut croiro qu'il s'arrange pour
être toujours a eheval sur deux condamna¬
tions.
On se rappelie Ie dernier exploit de ce
jeune apache dans !a uuit du 9 au 10 mat :
au cours d'une discussion suivie de rise,
d'un coup de coutc-au, il pertorait le reiu de
son rival en amour. Ii Tut ariêté quelques
jours après.
Le fait qui i'amenait a l'audience do iurtdi
remonte a on mois auparavant. II procèle
ógaiement du couteau.
Mouten accostait, le 12 avril, vers minnit,
dans la rue des Drapiers, na navigateur, ie
sieur Lautridon, a qui il ofïrit une con-onimation. Cclui-ci accepta, mais au moment
de soider la dépense, Josset dit a Lautridon :
« Biea, raon vieux, tu peux payer, niaintenant. » Cornme bien on pense, Lautridon se
fit an pea tirer l'oreille, mais enfin régia.
Cependant, son attitude dépiut è Josset, qui
pianta immédiatement son couteau dans
l'épauie gaurhe de sou invité. Ce geste rap¬
porto six mois de prison 0 son auteur.
Le Tribunal mflige k Josset une peine de
6 mois de prison qui lui permettra d'attendre avec certitude ['attribution du prix que
lui vaudra son affaire saivante.
Esa Cosss*«3'Aasïees
Les assists de Ia Seine out condamné
iuiuli : VictorCornec,de Qtiimperlé, coiffeur,
a dtx ans da travanx lorcés ; Georges-Maria
Légat,né au Havre,24 ans, chauffeur d'automobiie, a huit ans de tra»aux forces, et Au¬
gusts Debio.ode, né a Paris, imprimeur, k
cinq ans de traraux lorcés.
Tous trois effectuèrent nenf cambriolages,
doat deux dans dts dépots d'une Sociétókitière.
Lesassises de ia Cöte-d'Oront condamné è
sopt ans de réelusion le nommé Eugèns
Foissotte, 20 ans, forgeron, et a cinq ans de
la même peine Alfred Diètre, 31 ans, journalier. En mars dernier, tous deux ont assas¬
sins et dévaiisé un septuagénaire.
Salnt-Romain-de-Colbosc
Etai Clolt.—Naissance. — Du 21 mai : Geneviève Le Itoussel, rue Félix-Faure.
Décès.— Du 20 mai : Plccide Langlois, 63 ans,
joumalier, hameau d'Enfcr. — Du 2- : Emile Dubnc, 73 ans, de la Ceilangue, rue Félix-Faure. —
Du 22 : Alphonsine Simon,veuve Cailiieu,62 ans,
renlière, route Nationale.
Tancarvilie
Violences.— La gendarmerie a regu une plsinte
de M Gustave Renault, 40 ans, briqui 'ier a Tan¬
carvilie, centre lc nommé Joachim LidosaVidal,
sujet espagnol, travaiilant a Tancsrvtile, qui. dans
la soirée du )6 mai, iui a porté ua coup de clef
au front, ayant formó plaie.
Boibec
Collisiontl'automobile el de cci/ure. — Lusdi,
vers onze heures du matin, Mm- Hauchecornc,
demeurant ASaint-Antoinela-Forêt, sortait avec
sa voiture atielée d'une ponetto, de la cour de M.
Paul Fieury, louageur, rue Thiers, qusnd, au mê¬
me instant, M.Lenourgeois, de Lillebonne, mon
tail cetio rue dms son automobile, dans laquelie
se trouvait également sa femrae. Une colii.don
se produisit et la ponetto, atieintc a ia tö'.o par
l'auto, s'abaUitsur Ia chaussée. M. Lebourgeois
avait donnè un coup de volant pour éviter le
chec, mais sa machine monta sur lo trottoir de
gauche et la roue de derrière fut brisóe,
Les voyageurs s'en tirèrent avec ia peur, mais
Ia pjneüe éprotiva de légéres blessures.
Saint -Mico'as-de-la-Tail Ie
Blesséou traoail. — Mereredi soir, vers sept
heures et demie, M.Charles Letercq. 47 ans, corbtilier, s'est coupé I'indexdroit en travaiilant.
M. Ie docteur Léonard a donné ies soins au
blessé, mais on craint que i'amputation soit né¬
cessaire.
Fécamp
Sauoetaged'un Enfant.— Vendredi dernier, un
jeune enfant, Eugène Grieu,jouait avec un camarade sur ie gril de carènage, quand, en voulant
monter dans un doris, 'il tomba a l'cau dans
l'avant-port.
Ii a été sauvé par M.Pierre Marcotte,charpenlier.
UnnouoeauChalutler. — La mnison Prentout
et G' vient de faire t'acquisition du chaiutier a vapeur Véous,d'Arcachon, qui, après cire passé a
Nantes pour y être muni d'un gouvrrnail ai'avant,
raliiera Fécamp et fera la pecho au hareng et en
Islande.
. — Hier matin, a 6 h. 3/i, un matelot de
la gimlette Charlotte apergut enlre co navire et le
Samt-Mielielun corps qui flottait A la surface du
bassin üérigny. Aide de piusieurs personnes, il
patvint a I'amarrer a un pb u du quai Sadi-Garnol.
On reconnut alors qu'on était on presence du
corps de la maiheureuse fitlette, Henriette Lebas,
dont noas avons signató ta disparition sUrvenue
il y a une douzaine de jours.
Le corps l'ut recouvert de pailte, pour Ie soustraire a la curiosiló pufdique et ia police fut prévenue. Que'quos instants après, !e brigadier Coliiaux viat et ordoana le transport du corps a la
Morgue.
Cost la que les parents viarent recoanailre le
corps.
Grsos accident.—Hier matia, Ie r.oramé Charles
Ch-irboonier, 17ans, qui exerce habiiueiiement ia
profession de couvreur, mats qui est aclueüemeot
en chómage, s'était embauché a bord du s'eainer
alletuand Jokannès^Russ,pour faire la déchargem«nt des bois de ia maison Gom-tantin f.-éres.
A onze heur. s, ii était occupé sur le pont A
chsiner des madriers, lorsque la chaine se remnit ; Charboanter reent une énorme .poutre sur la
main gauche, qui fut êcrasée
Le docteur Klein qui iui a donaé des soins, croit
que ('amputation est inevitable.'II a fixé ie repos
que le blessé davra garder a quatre semaiaes.
Rouen
ConcoursUationn!e! Internationalde Tin. — liter
nidtin, au Stand des Bruyeres, s'est ouvert ie
41sConcours national et international de tir. Ii y
a i07 cibles et pour assurer ie service, 330 soldats oat été mis a la disposition des organisateurs Ce concours sera honoré do la visite de M.
le président de ia ftépublique el de'il. le ministro
de ia guerre.
couchó et MmeBoisgoutier avait conflrmé leurdire.
Convaincus de mensonge, les trois coupables
n'out pas tardé è enirer dans la voie des aveux:
Les deux seuls points a élucider sont les suivants.
Férandier et Noyon se rejettent tous deux la res
ponsabilité. En outre, lequel des deux êtait habiiló
en femme et qui a prêié les vêtt ments ? Co sont,
d'aiileurs, des points que Tixslruction éiucidera
rapidement.
La vetive Boisgoutier, Féraudier. Noyon ei Carci ont été écroués a la prison Bouse-Nouvefie.
lis seront, dans quelques jours, interrogés a nou¬
veau en préser.ce d'un avocat.
La rapidité avec laquelje ces arre»talions ont été
opérées fait le plus grand honneur a M. le juge
d'in-lruction Chalvon-Demeisay.
Quant a Ia vietime, qui est a THospiceGéoéral,
son état est trés grave et les médtcins redouleut
une fracture du erdne.
Tribune des Syndictti
Synd-cat tgéaéral du Personnel
gaziep
du filavce. — Reunion générale demain jeudi, a
6 h i/2 du soir, su siege social, 8, rue Jean-Bart.
Ordre du jour : Procés-verbal, corrcspondance,
rapport sur ia reunion des cclionnaires de ia clinique, situatioa fmancière, importantes questions
diverses.
§mnmumcaüom
$ivmes
Assistance aux Families nombrenses. —
M. le «laire da ia Vilie su Havre, officier de la
Légion d'Hoaneur, a l'honceur de préver,ir ses «dmiiii-strésque, par appiieation des dispositions de
Taiilteie4 de ia 'loi du ii juil et i«13, il a déposó
au Secretariat du Bureau de Bienf isance, 69, rue
ae lij.M.iiiier»ye,!a liste trimeslrielle d'assislance
aux families nombreuses, arrêteo par le Conseil
municipal, dans sa séance du 13mai.
A partir d'aujourd'hui et pendant un déisi de ïO
jours, ies postulants don'tla demanie a été rejatéa ou les assistés qui ont été radiés, pourront
présenter leur réclam-Miouaudit lieu ; tout habi¬
tant ou contribuable de la vilie peut aussi, dans
le même déiai, réclamer l'tnscnption ou ia radia¬
tion des personnes qu'il considéroraiteomme osnises ou portées a tort sur ia liste.
USE FöiS, PASSEENCORE,
RUIS DEUX-.
L'année dernière, ie vérificateur des poids
et mssures qui s'était présenté chez les
époux Laiaade, épiciers, rus de MontiviiJiers, avail constaté ia presence anormaie de
pièces de 0 fr. 10 dans l'un des plateaux
d'une balance. 1! n'avait pn verbaiiser, ce
GravilEe-Sainfe-Honorine
fait pouvant être aitribué au hasatd.
Pour-la familiePimont. —P. ft., 2 fr.
Ii revirrt a i'improviste le 2o mars dernier,
au moment oü l'epicière, Mme Lalande, ef¬ Piston ooyageur.— Un pigeon voyageur s'est
fectaait une pesée poar un achetear. Et, ahaitu
hier matin, vers 9 heures, boulevard
ayant souievé une ieuiile de papier qui se d'Harfieur. S«patte gauche était rnunie d'une batrouvait sur ie plateau opposó a celui qui gue en caoutchouc portant l'inscription H. 135.
II a été déposó au commissariat de police.
conlenait ies poids, ii apetgut deux pièces de
119 la vérité, Ia vcrité historique dc cetic
grande époque oü se créa la nouvelle
France, el qui me fait sourire de pitié quand
je vois tant de jeunes gens qui en descen¬
dent et qui font les aristocrates aujour¬
d'hui!...
Arislocrates, ces petits-fils de
simples soldats, qui venaient justement de
renverser l'arisiocratie !. . . J'étais done
Grand RomanContemporain
commc imprégné des pensees de mon aïeul,
PAR
lorsque je rédigeai cette composition, et ce
n'est pas a moi, c'est a lui qu'on aurait dtï
Pierre
S.A_XjIEIS»
donner le premier prix d'histoire !
— Tu ajoutes done une si charmante modestie a tout ce que j'aimais déja en toi,
TROISIÈME
PAR T IE
mon Francis ?
— Ce n'est pas être modeste que de constater un fait. Et dix fois, quand tu célé» Ainsi. . . pour en revenfr h ce petit dé¬ brais mon prix... mon unique prix...
tail, é propos duquel nous bavardons d bfi- avec une admiration, qui, je t'assure, a
ions rompus, j'ai toujours adoré l'histoire, biea queique chose dun peu ridicule,
comtne touies les études de la langue fran- j'avais envie de te dire : mais tais-toi done,
§aise ; ct si j'avais courageusement tra- maman. . . Seulement, tu ea étais si con¬
Vaillé comine rues eamarades, je t'aurais tente, de ce prix !. . . Ma parole, on aurait
donné cette satisfaction de t'apporter cha- dit que ceia valait une grande bataillo ga.que année quelques prix. . . et ce n'est pas gttée par le maréchal dePonte-Novo !
au hasard que j'aurais dti ce prix d'histoire
» Non, je ne suis pas modeste, puisque,
dont tu es si fiére.
malgré cette parfaite certitude que je ne
» Si l'on plapa ma composition au-dessus suis hou è rien, que je scrais prodigieusede celle des autres, et si vraiment f ile eut rnent embarrassé si ou me langait dans
queique chose de supérieur, e'est paice l'existence en me disant simplement • « Gaqtfun nous avail donné un sujet relatif aux gne ta vie ! » non, je ne suis pas modeste,
querres du premier Empire el que, par suite puisque je ne sais pas me défendre de I'ord'une simple coincidence, j'avais, quelques gueil que j'éprouvc a descendre de ce grand
jours auparavant, parcouru ces cahiers de homtne !. . . Muisje voudraisêtre vraiment
memoires que nous possédons de mon il- digtte de lui. . . je voudrais mieux conlikisire aïeul.
tiuer sa race. Je voudrais ne pas être. . . eu
» II n'y avait pas de faits spéciaux dans queique sorte. .. je ne sais pas, fit-il, Ia
ee hier. ii (tuit s'y trouver niêine quelques main crispée sur son front, par quel mot
eiaeuis; mais jl v rèsrne aussi 1accent dc traduire cela !. . . Quand je songc, maman,
que je suis Francais. . . que je le suis avec
une ardeur, une passion qui ne se comparent qu'a mon amour pour toi, ct que, pourtant, aucune dés carrières dont j'aurais en¬
vie ne m'est ouverte !. . .
» Gamin, je vouiais être soldat. Mon père
me tit comprendre que, quand on poi'te
mon nom, on ne peut pas ne pas être trés
mal vu dans l'armée de la République. . .
que mon avenir y serait trés lent, borné
même... Je me suis engagé alors, pour
avoir fait mon service le plus tót possible,
me débarrasser de cette sorte de « corvée » . . . car j'ai eu cette idéé stupide,
coinme la plupart des jeunes gens de uotre
époque, et j'eii rougis aujourd'hui !...
Passons. . .
» J'aurais désiré/ensuite, entrer dans la
diplomatie, puisque !e fils du maréchai de
Pontc-Novo fut ambassadeur è Vienne. . .
Ah !... c'est alors que papa m'éclata de
rire au nez ! La République accepter au¬
jourd'hui, dans la carrière diplomatique,
un jeune homme portant un nom aussi bonapartiste que le mien !. . . et j'y renongai
encore. . .
» Je dois avouer, dn reste, que je m'inelinais trés aisément... en paresseux . . .
devant les raisonnements de papa.
» La vie s'offrait si teniairice pour moi,
les stier,ès étaient si faciles devant mon
nom, devant ma frimousse, que tu ne m'as
pas faite trop laide, devant ma bourse tou¬
jours si généreuseinent rempiie par toi !. . .
Et voila bientót trois ans que, muni d'une
intelligence qui n'est certainement pas in¬
férieure è celle des autres, d'une santé de
fer, d'une volonté qui n'aurait peur de
rieu. . . je n'ai pas d'autre occupation que...
Feuilleton du PETIT HAVRE
PETITE
MM
GHROIiaUI
RÊüIGMALR
Sanvic
Unioneyeüsie Sanoioaiss.— Csiie Sociéié fera
une sortie officielie tic deux jours, dimaucheet
lundi de PentecötC',sur Trouviiie, Gabourg,Gourseulles, Gaenet Pont-l'Evèque.
Le dépirt du Havre aura lieu a 7 h. ?0 du ma¬
tin, dimanche, par Treuvide. Les sociétaires et
amis sont priés ae doanerleurs inscriptions avant
vendredi u9 tnai, ciiez M. A. LeboucRcr,rua du
Havre, 33,Sanvic.
Coups.—M. Théodore Panchou, 3:é de 61 ans,
jaurn/ilier, demeurxnt chez il. Parey, camionncur, 22,rue Gambettaa Sanvic, pnssait nn soir
de la semainc passée dans la rue Gambetta, vers
neuf heures.
Ii fit la rencontre de son beau-fiis Augusta Ca¬
pon, ag'é de 20ans, couvreur, deinturant rue Michcl-Lecrcq, 13,lequel, sans mot dire, vint lui
port, r un violent coup do poing. M. Panchou attribue cette agression a ia vengeance car ii est
ccmellement en instance do divorce.
Icterrogé par la gendarmerie. Capron a déclaré
que ('allegation de son besu-pèro était fsusso car
il n'etsit p is dehors a t'heure indiquèe.
Le Tribunal appréciera.
BIévi ile
Volds Lapins. — A son réveil, samedi msiin,
M.Philippe Kreff,agé de 39 an?, maraïciior a Biéville, au hameau du Bois, a constaté qu'on lui
avait vole, pendant la nuit, quinza lapins qui
étaient plaeés daus de petits clapicrs a proximitó
de sa rnaison.
Ce vol avait dü êire commis au moment oü l'orage faisait rage sur la region, ies voleurs ayant
profile de l'atmosphère tourmentée pour couvrir
ieur bruit. M. Kraft' estime son prejudice a 73
francs.
La gendarmerie de Sanvic a ouvert une en¬
quête.
ayeztoujoursoutreflacon
§ülleim dês § sciétés
je te demande pardon de {'expression, ma¬
man, car eile n'est pas jolie, mais il n'y
en a pas d'autre... Depuis trois ans, je
ne fats pas autre chose que cela... « la
fête ! ».
» Et, ma foi, je finis par en avoir bonte !
» Et demain, quand je lirai dans les
journaux mondains le compte rendu de ta
réception et que je boirai les éloges dont
on nous couvrira sur la facon dont le jeune
due de Foute Novo, ce jeune arbitre de
l'élégance parisienne, aura conduit, recréé
même, le cake-walk, avec ia déiicieuse
Mademoiselle de Rysdale et toute sa jolie
bande de jeunesses. . . il me semblera que
je bois de la lie, maman 1 Car, ccrtuiuement, tu m'avais créé pour devenir autre
chose que cela !
Comme il pronongait ces mots, il se'levait, instinctivement, dans un besoin d'action.
Et sa mère, un peu bouleversée, lui
prenait le bras et, d'un ton grave, murmurait :
— Quel fils je me découvre t . . .
Puis, hochatit lentement la tête ;
— Ne l'imagine pas, pourtant, que j'en
éprouve grande surprise ; car, si cette beure vient plus tót que je ne l'avais cspéré,
je .savais bien que mon Francis était un
homms dans la plus belle, dans la plus no¬
ble acception du mot 1
— Mais alors. . . mère, pourquoi ne nvavoir jamais rien dit de tout cela ?
— Paree que j'altendais, petit, avec confiance. . . paree que j'avais la certitude que
la vie de tous les gens qui t'eutourent ne te
suflirait plus un jour. . .
— Pourtant... pourtant, laissa écbapper
Patronage Luiqu de G aville. — Jeudi réunioa
chezM. Lucas, a 8 h. 1/2, pour tous les joueursde
Football.
Questions-diverses ; Paiement des coiis-'tons ;
Deptrcement sur Fécamp dima.,cüe prochaiaPrix du voyage l fr. 60.
«EAU
CARRIES
Trouvilte-sur-iVleP
Quartier Wotrc-Damo. — (Fête dv,quartier
et 14 JU'lt-i). — Les eommerjjanta et habitants
du quartier Notre Darae sont Ktstamment priés
d'assister a la reunion qui a-ira lieu mereredi 27
mai a 9 heures du soir au CaféMaiine, pltC ' do
TArsenat 17,a Teffet de eommer un bureau char¬
gé dq ('organisation de Ia Fêta Nationale et de Ia
foto foraine.
Neuvlile-Champ-d'O'sel
Les membres du Comiléde la fêie 1913su nom
Unoieiilardassommi. —Un drarno épouvantabie desquets eet appel est formulé espèrent que tous
s'est derotiiê dimanche soir a Neuvitie-Chausps- les comuieicams et habitants y répondront avec
d'Oisel,une petite lccatilé située sur la route de empressemont.
p„iis, a une quinzaine de kilometres de ftouen.
—
—
mrntm
Un vieiilar#, M.Férandicr, qui habile seul une
petite ruaison isoiée avec sa bonne, MileAiphoa'ine Piire, a été, vers onze h utcsdu soir, assommö nar deux individus, dont Tun. sembie bien
avoir revêtu des vêtoiuents de femme. Msis,grafsoc-ièté SSiatuoOeRe l'révoyauce des Em¬
co a la diligence de M.Chatvon-Deraersay, juge
ployés de Commerce, au siège social, 8, rus
d'iastfuction, les coupsbles sont crrêlés.
Caiigay.
— TClsphsnsu' 228.
Circonstance particutiér*ment attristante. L'un
des assassias est le peiit-iiis de la victime et II
Mereredi 27 Avril, Réuason da Conseil d'Adsembie bien quo la mere de ce dernier ne soit pas minisiratiou.
étrai gère nu crime.
Cours Techniques Commerciaux
Celta-ci, une veuvo Boi»gouiier,Sgée de 42 ans,
tenait un débit rue Lemire, a Rouen. Ella avait,
Cours du Mercrodl
comtne g-rc.pn de cafe, son tils, un enfant natu¬
Ai,i.kmand (Prof.II. Fritz).—2»année, de8 h, i/2
rel, Raoul Feraudier, agé de 20 ans, et C'.mme &9h.
i/2; 3»année, de 9 h. i/2 ü iOh. 1/2.
peasionnaires, Fer-nandNoyon, 23 ans, couvreur,
Commercial (Prot. M. Eude, Avocat),
et llippoly-ie Garel, un chauffeur d'automobila i" Droit
Année, de 8 h. t/2 a 9 h. i/2; 2* Annóo, de
sans emp-oi, Sgé de 20 ans.
t/2 a 10h. t/2 (tous les IS jourst.
Ce qui a mis le parquet sur Ia trace drs coupa- 9 h.
ConBESPONDANCE
Commehciale(Prof. M.Fcroand
blcs, c'vst la dècltretion spontanée d'un chauffeur LevilltuQ).—
Uüa ff. t/s a 9 h. 1/2.
d'auto, M.CsldelibvS, qui est venu declarer qu«,
dimanche soir, il avait conduit trois clients a ia
LaSociétóse charge de procurer AMM.les NêgoNe viile, qu'il s'était arrêté a l'entrée du village, giants, Banquterset Courtiers, les employésdivers
et qu'un de ses clients êtait res'é a ses cótés pen¬ dont ils auraient hesoin dans leurs bureaux.
dant que les deux autres s'éloignaient.a pied Une
Lo chef du service so tient tous les jours, Ala
heure après, tous étaient de retour et revenaient Bourse, de midi a midi et demi. a la disposition
a Rouen.
des sociétaires saus emploi.
M.Chalvon Demersay, qui, lundi matin, s'était
rendu sur place, apprit de ia bonne de ia vietime
Association des Anciens Elèvesdel'EcoIs
les circonstances du drame. Etle dormait torsqu'elle fut révetliée par dos cris de son patron. supérieure <!e Commerce. — Servicede Pla¬
cement.—
M Gustave Alexandre, secrétaire, et M.
Ella accoufut, vit un homine et une femmevoilce
qui Ie frappaient sur la tête avec une bague a GeorgesMundierFils, trésorier del'Association, se
fagot. Elle-méme fut frappée ct laissée inaoimée tiennent en Bourse a ia dispositiondes eamarades
sur le sol. Le juge d'inslruction constats qu'une qui sont a la recherche de forces Hs piendronl
somtne de 700 francs environ avait été vome et, nole de leurs demandes et leur fourniroat les indi¬
d'aulre part, il retjut de gravs dóciarations de la cations nécessaires.
d meslique affirmant que la femme qu'elie avait
vue et qui l'avait frappée était la fille de M.FöBédaraJioiis de Sociétés. — Parmi les de¬
raudier.
claration-.dissociations parues au Journal O/ftciel
L'affairaétait mystérleuse. M. Laurnol, chef de d'hier,
nous relevons los sutvanles :
la Sffretérouennai5C,fut mandé. Oa dêeida tout
1« mai 1914.—Comitéde propaganda des Fêtes
d'ahord de surveitler ta mai on de la title dc Ia
vietime. Mme V e Brisgoutier, et hier matin, au du quartier Thiers —Objet : Elaboration et exépetit jour, ses habitants étaient arrê'és. Amenés eutiob de fêt-s dans le quartier. Siege : ch, z la
au P rquet et confrontés avec M. Caldelibus, le président, 40, rue Thiers, ie Havre, (Seine-Iaféchauffeur, ce!ui-ci reconnut fort bien srs clients. rieure).
19mai 1914. — Etoile de Friieuse, A Graville
C'était Caret qui était resté avec lui pendant que
Féraudter ct Noyon allaient faire, disaient i!s, uae (Seine-Inférieure).Objet : Cycii-me et sports,
Siègesocial : 28, rue de l'Abbaye.
course. Or tous avaient prétendu n'avoir pas dé-
ENCORE
i. VQiSÏN!
II y avait queique temps que i'on n'avait
vu au banc des prévenus le sympathique M.
Voisin, eet honorable ex-agent voyer qui
s'est mis en têto de rcmplscer ia commune
da Montiviihers dans la poursuite des con¬
traventions qo'd chaque pas ii croit découvrir.
11passait, il y a queique temps, devant la
gare lorsque ses cheveux se hérissèrent sur
sa lête. Et, iébrilement, sa main tendne désignait deux voitores en stationnement. —
« Stationnement sur ia voie pubiiqne, con¬
travention ! » s'écm-t-ii, etaussitöt ilaccottrut vers le propriétaire des voitures, sön
adversaire d'liier, d'aujourd'hni, de demain,
M. Aubin père, icquel M. Aubin regut, pour
avoir voulu protester, une maüresse volée
de coups decanne. Cela suffisuitamplement
üjustiiier l'intervenlion de M. Aubin ills et
ia distribution de coups de poiag par laquéilo ii répocdit a l'irascibie agent voyer.
Ceite histoire, classique a Montiviliiersoü
elie se reproduit a époques régulières, a déja
vaiu quelques condamnations ü M.Voisin.
La dernière était avec sursis.
Cette fois il n'y a plus rien k faire, Le tri¬
bunal en a assez. M. Voisin récolte quinze
jours de prison. M. Aubin ills cinquante
francs d'amende avecsursis.
Détenseurs : MpJenneqoin pour Voisin ;
MeGotypoar Aubiu.
Enooyage,enexcursion
GA.L-V^lIDOS
Fêtedu Quartier Suint-Jean.— Le Comité de la
fête du qiianier S«int-Je<n a décidé que ia fête
Saint-Jean sernit fixée cette année au dimanche
21, sameili 27 et dimanche23juin. LeComité,p uir
être agrétthle au commerce local en général, a
résoiu de donner un peu d'exlension a ta fête et te
programme en a été définitiveuteat arrêté de la
fagon suivante :
Dmanche21 juin. — Grande fête foraine, cour¬
ses et jcux divers, concert par ia musique, illumi¬
nations. bal 8 grand orchestre.
~ Smedi 27 jwn. — Grande retraite aux flam¬
beaux avec pièces d'arlifice sur le parcours de la
retraite.
Dimanche28 juin. — Grand cortèerede groupes
et chars, tels aue char des flours, char dos marins,
cher d'enfants costnmés, char du chanteur des
rues, char de Ia chasse, oh»r «tela musique, char
normaud, char du docteur Moroboianpouf,etc.
Continuation do la fête foraine : iiluminalions
générales, grand feu d'arbfice, bal a grand or¬
chestre, etc.
Viilepvilie
Mort sur la Plage. — Lo sieur AlfredDésiró
Maitin,SS sas, douanier relraité, AVilterville.con*
duisait sur la plage une voiture de moules, lors¬
qu'ii s'afïaissa brusquement.
Le doeleur Roe-ser,appeté en hate, ne put aue
conslatf-rie décès, qu'il attriaue a la rupture d'un
anévrisme.
AssociationSportive H ivaise — A 9 heures co
soir cbez DOr, réumon du bureau.
Les sociétaires en retard de leurs cotisationa
sont priés d'y assister.
Indispensable
enÊiê:
DSSS3PE LES üflALAïSES
DÊSALTÈRE ENRÉCON FORTAMTf
FAC1LITE LA DSGESTSON
Cyciisnt»
Chib Tourhte Hav-ais. — Le CffibTouriste Ilavrais organise pour ies fêtes de la Penffcóie, une
excursion eycfisle sur ia Suisse Normande. Le
départ aura li u dimanche31courant par le bateau
de Trouviiie de 7 h. 20. D part de Trouviiie a
8 h. 3 , Viliers, Gibeurg, Pont-de-Ranville,Gaen
(déjeuner), Thury-Harcourt,Clêcy,Gocdé-sur-Noireau (coucher).
Le t«rjuin. départ de Condé-sur-NoireauA7 heu¬
res. Pont d Otiliy. Fa'aise, Crévecoeurtdéjeüaer).
Retour a Trouviiie par Poat-i'Evéque. Retour «u
Hsvre par le bateau do 6 h. 39.Le prix de I'excur¬
sion est fixóa io francs.
La Sociétéaiiouadt 8 francs psr membrp, les
sociétaires désirant partictper a c-fftesortie sont
priés de se faire inscrire avant vendredi soir (der¬
nier déiai), au siège social, en versant au tréso¬
rier la somme de lo francs.
Rendez-vousrfimarch matin a 6h, t/i au siège
social. Prière d'etre exact.
Union VèiocipédiqueSanvicaise,— Les sociétai¬
res prenant pan a ('excursion de Gisors t31mat et
1" juin) sont priés d'assister a la reunion de jeudi
Dans nn pen d'eau fraïcbs.
pr'oehain23courant, a 21 heures, au siège social,
cafe Guiiii,131.rue de la Gavós-Verte.
Les membres honoraires et smis désirant accompagner t« Sociétéa cette excursion, ou seulement
aller jusqu'a Rouen, sont priés de se faire
Société Havraise de Protection des Aitiluaux. — Extrait au procés-verbalde la reunion inscrire sans retard au magssin de Mmeveuvo
Lecordieret ses liis, 168,rue de la Gavee-Verte, a
niensuelie de mai 1914:
1»Fourrière municipale. —Remise des chions. Sanvic.
Cfoture des inscriptions a ia reunion ennoncéo
Tous ies jours : !e matin (dimanche excepté), de ci-dessus.
ii ht;ures it tl h. 30.
Le soir : du 1« février au 31 oclobre : dc S heu¬
La DénaissanceCycliste Hn.vraise. — Réunion
res tt o it. 30 ; du i" novcmbre au 31 janvier : mereredi
27 mai ch<z Le Louvier, 13, rue de Tourde 4 h. 30a 8 heures.
v.ille,a
8 heures précises du soir.
Les dimanches et fèies : le malin ; de 10 heure3
0<dre du jour : Course de demi-fondsur 70kil.
a it. h. 30.
Nota • En I'absence du cnpieur, s'adresser au du diinanchu31 mai.
bureau de M. Le Pollès, directeur de t'Usine d'icEtoilede Friieuse.—Demainjeudi, 28 mai 1914,
Cinération.
ï « On continued tirer sur les chats : Use en¬ réunioa a 8 h. 1/2, pour tous les membres da la
Sociéié.
quête est ouverle.
Rut de la réunion : Paiement des cotisalions ;
3° Decisionde la Lol Grarnmont.—Dans la séan¬
ce de la Chambre des députés du »6 février 191 Questions diverses utgentes.
Tous les jeunes gens désirant faire psrtie de fa
M.Lucien Millevoyea pris la parole pour rsppeier
que par voie d'un débat spécial, il avait introduit Société, sont priés dc s'adresser au siège social,
28,
rue de l'Aubaye,a Graviile.
s la tribune une question qui lui avait paru inté¬
ressante, c'était celie do Tadaptationde nos pro¬
grammes d'enseignement primaire a ce que nous
pourrions appeler Tcducation morale integrale, y
Tir l'Alerte. — Dimanche proehain,
compris lV-nseignementde Ia bonté a l'égard do 3iSociitède
courant, ds 8 h. alt h. 2u.aura lieu :yi Hoe,
tous les faibles sans distinction...
de tir aux gratides distances, qui
M. Bienvenu-Martin,garde ces sceaux, ministre la 1™séance
:
de la justice-, declare qu'il n'a pas perdu de vue comprend
te
Tir
sar
cibles
a 5 zones.
Ia question qui a fait.Tobjet du projet de loi dont
2»Tir populaire sur s ihouettes.
la Commissionde réforme judiciaire est actuelle3° Tirau revolver d'ordonnance.
roent saisie.II estime toujours qu'il est nécessaire
4° Concoursgratuit réservé aux sociétaires.
de compléter la Loi Grammont pour la rendre
o»Tv d'études gratuit, réservé a tous les cons¬
plus (fficace. « Aussi, sjoute-t-il, suis-je d'accord ents
e aux candtdatsdu B. A. M
avec i'honorabie M.Millevoyeet je m'associo a lui
6»Concours réservé auxjeunes gens.
pour demander que laChambresoit mise 1cplus lót
7° Concoursde déiégaüoas.
possible en mestire de staffier sur ies conclusions
du rapport de l'honorsbie M.Dreion ».
r.asvM-'t'i-nnin
Aurons-nous bientöt enfin cette revision-de la
Loi Grammontdepuis si iongtemps promise t
AnciensElèvesdé r Ecole Primaire Supérieure.
— Un grotiue do sociétaires, sur le point de fon¬
Anciens Elèves do I'Ecole ruc de i'SMt- der une section de lawu-tennis, dósirerait trouver
personnes
(dames, jeunes filles et messieurs) siy
servaïoire. — Les sociétaires désireux de pren¬
dre part a i'excursion de Rouen, qui aura lieu lo intéressant.
Pour les adhósions, prière d'écrire ou de
dimanche 7 juin, sont priés (ie se faire inscrire ie
vendredi 29 u;ai, de «0 a 21 heures, et le dimaa- s'adresser a M. G D. Quoist, 1!, rue du Chillou.
Unavis de convocation leur sera adressé ultécbe 31 mai, de fü a 12 heures, au siege social, rue
rieuremep.t.
da l'Observatoire.
Terrain po>trtennis dans le 3' ou 4" canton ost
Afinde fueititer Ia remise des billets a la gare,
les sociétaires sont priés de remettre leurs cartes demandê en location.
au permanent.
Dimanche31 mat, pour Ie concours de la So¬
Jtércnauiiqne
ciéié de tir 1'Alcrie, sont convaqués uu stand du
VJ Salon de TAnronautiqaa
Hoc : MM.Crochemore, Levasseur, Héranval, Duval, AndréCousin.
Dans sa dernière séance, ia CommUsion exe¬
Au stsnd de TAmicale,entrainemen! en vue du cutive vient d'arrêter ies dales d'ouveriure et de
concours de tir des Petites A. laïques, sont con- cloture de la 6° expositioninternationale de locov qués de tö a 12heures ;
motion aérienne.
Fusil Jouvet : M.\l.Euval, Héranval, Levasseur,
Gettoexpofftion aura lieu cette année a Paris,
Poisaant.
au Grand Paiais des Champs Eiysées, du samedl
Ctirabine(edulter) ; MMCrochemore, Lemercier, 21 novembre au dimanche 6 décembre 1914iaE. Loiseau, Fourichsrd.
clus.
Garabne (pupüies) ; MM.Bouchet, Bilioud,CaLa Commissionexecutive a, dsns cette memo
gmoux, R. Mariin.
séance, nommé eomjuissaire général M. André
Granet, arebiteefe, <t Ta chargé de l'organisatioa
« Modern-Style ».— La Sociétéa Ic plaisir compléte de ce proehain salon.
d'iiiformer se amis qu'eile orgsnise pour le
dimsDche7 juin une excursion a Touques:
Avjoard'hui Mereredi 27 Mai, Courses a
Départ par le bateau de 7 h. 2<),r. tour par celui
de i9 h. 30. Le malin, visite do Deauville et Tou- Le Trembloy
ques, a midi, déjeüaer au restaurant de la « Chaumiere Normande», et l'après-midi, visite trés intéressante des ruines do Sainl-Arnouit et du chdteau de Lass y iXVDsiècle), ou en cas de msude i'Estoiuac
vais ffraps, G and bal.
P,ix de i'excursion ; 1 francs, pourboire et
Le fait que les maladies de l'estomac occssiontous frais compris.
nent souvent des msux de lête est prouvè sans
Lo nontbre des places étnnt iircité a 110,les l'ombre d'un doute par !a lettre suivante qu'écriamis et socilairos sont priés de retirer dés a pré- V8il!e 17mai 1913M Jean Duqueroy, menuisier
si m leurs tickets aux endroits suivants : G. Lam¬ a Moniplaisir,commune de Vayr*-s(Haute-V^nne) :
bert, 24,rue Jules -LeCesne ; caré Guslave, 23,
« Je suis trés heureux, dit-it, de vous faire con
rue Thiers ; Biulcy, si, rue Saint Roch.
naitre que la Ti<ane Américaine des Shalu-rs a
guéri mon fi!s d'une maladicd'estomac, accompaCercle d'Etudcs Mirsicales. — Ce soir, a gnéc de msux de tötc. II ne pouvail digérer le
m indro aliment. Maisun seul ilrnon de la Tisano
20 h. 45 préetses, repetition générale.
Américainedes Shakers Ta remis sur pieds MainDiscussionpour projet de sortie.
tenant il marge et dort bien et a repris son tra¬
vail. Je vous suis trés reconnaissant de sa guériSociété de Tambours et Clairoas « Le son ».
Réveil des Acacias ». — L'assemblée gene¬
ra e de la Sociétóaura lieu le vendredi 29 mat, a
9 heures du soir, a Tissue de la répétilion. Tous
BULLETIN FINANCIER
lts memb es sont priés u'öffe présents.
Communicationimportante.
Paris. 26 mai.
Les dispositionsdu marché se sontsonsiblement
améliorées ; un mouveme.it de reprise a eu lieu
dans tous ies compartiments.
La Rente franchise est plus ferme et regsgne 17
centimes a 83 22.
Les fonds u'Etats étrangers sont également
AtllilHipinc
mieux tenus. L'Extérieureespagno'le se traite tl
n A.C. — Afin que les membres de Ia section 88 4 . THaiiena 90 62,le Portugais a 63 30,le Turc
d'fith'étisme du HAG puissent se pnérenter en a 8225 et le Serbe a Si 45. Les emprunts rusbonne forme au meeting du lundi de Pentwcöte,le ses s'inscrivent ; !e 3 0/0 1891a 73 63, lo 1865
Comitéa pris b s arrange nents nécessaire- pour a 7040,le 8 0/0 1900a «0140, lei t/2 1909 a 98.
Nos Sociélés de crédit so montrent mieux disp. r.iietlre aux coureurs de s'entraïner le jeudi 23
courant, a partir d8 7 heures du matin au terrain posèes. La Banque de Paris est « 1,828, leGomptoir d'Escomple a 1,036, le CréditFoncier a 892,
de Blévilie.
Sont spéeialement convoqués : MM. Arnaud, lo Crédit Lyoanais È 1,698et la Société Générale
Avril. Borthié, Beaufils,Bony. Borgnet, Brosciani, a 795.
Le Nurd, a 1,703,est Ie soul chemin coté a
Briiki, J.-L. Brtndeau,Carré. Gnamuoud,Deccopm m, Decotidas. En /ter, Favrei frères, Géroult, terme.
Le Rio-Tintoest assez soutenu a 1,787.
Girardet, Gruchy, Msvel,Nerbeuf,etc.
Migraines
provenant
§ulletin des (Sports
involontaircment Francis : mon pcre ?. . .
Mais il s'arrêtait aussilöt.
Aurait-il pu se permeltre la moindre cri¬
tique a l'égard de ce père si faible, si bon
garcon et si fier de son héritier !
La duchesse ne répondit d'abord qu'en
baissant son regard vers la terre : puis elle
prononga, sa voix dëpassant a peine ses
lèvres :
— II s'est produit de tels changements
en France, nton enfant, que eertaines gené,rations se sont trouvées soudain toutes désemparées. . . Etles appartenaient a un ordre d'idées si différent de celui qui surgissait tout a coup !. . . clles ne pouvaient y
trouver leur place. . . et elles sont demeurées. . . eu queique sorte. . . figées dans les
souvenirs de tradition si respectable, qu'on
tie peut pas les blatner de ne pas avoir pris
part a la nouvelle vie de leur pays — si ce
n'est pour faire opposition è des idéés
qu'eilcs croyaient mauvaises ; et comme
cette opposition ne menait a rien, comme
elle était certainement en contradiction avec
les goüts du pays, combien d'hommes in¬
telligents, actifs, capables de rendre des
services a leur pays... sont devenus des
inutiles... des mondains. .. n'ayant plus
queique influence que lorsqu'ii s'agit d'art,
de gout, de modes. . . et encore !. . . Tu en
éprouves de 1'bumiliation petit... est-ce bien
de notre fautc ?. . . Tu as l'esprit trop juste,
trop généreux, pour le croire. Ces géuérations ont été, en queique sorle, de transi¬
tion...
Mais voici certainement venue
l'époque oü de nouvelles généralions ne
sauraient accepter de vivrv eomme. . . com¬
me des émigres k l'intéri» or de ieur pays t
— G'est cela, rnarnaa. s'écris Fran«is, ,
c'est Fexpression que' je cherchais : nous
avons Pair d'ètre des émigrés dans notro
France !. . . Car elle est bien a nous enfin,
autant qu'aux autres. . .
— Mais elle est bien tout autant aux
autres qu'aux families dirigeantes de jadis. .. Bref, la jeune sagesse a bien jugé,
quand elle trouve qu'eile doive y prendre sa
place. . .
— N'est-ce pas, maman?. . . Alors*alors,
tu approuves cela, que je ne eonsente pas a
demeurer toute ma vie uu mondain, un inu¬
tile, un Monsieur qui crée des danses ou
qui pilote des autos ?. . . ou qui met sa plus
grande gloire a se promener dans les bou¬
doirs a la mode?
— Et tu ne veux pas que je t'admire !. . .
s'écria la duchesse se penchant si tendrement sur sou bras, qu'il se baissait et mettait un long baiser a son front.
— Toi, au moius, reprenait-il, tu as ac¬
compli une besogne admirable, toute tavie,
en faisant du bien 1. . . Les femmes, voüs
n'ètes jamais exclues du dévouement au
pays, puisque c'est vous qui accompiissez
cette noble têche de la charité !
— C'est un bien élémentaire devoir, va,
pour nous faire pardouner notre richesse,
notre bonheur. . . et cela donue, du reste,
de telles jouissances t
— Le devoir accompli pour son pays
doit en donner d'au moins aussi belles,
maman 1
(A
Le Petit Havre — Mercredi27 Mai 1914]
2 Ascenseurs desservent
jios cinq Etages de rente
Téléphone
,
Le Président et les Membresdu Syndicat du
Camionnage du Havre prient les adherents de
vouloir bien assister aux convoi, service et
inhumation dc :
Monsieur Charles STERNBERGER
Secrétaire du Syndicat du Camionnage
qui auront lieu Ie Mercredi s7 courant, a une
heure et demiö du soir.
On se réunira au domicile mortuaire, 38,rue
de Fleurus.
(8511)
ECOLE
PIGIER
7B - BOULEVARD
d&Jl£ft£-(%£££l
e J08SJ est aus ÊiÉtèAHT
ETHeIUEUB
HaüCHÉ
fiüEfttSïöüïAfUJSMW
- 75
LANGUES VIVANTES
Conversation - Cours Commerclaux
STÉSMOGRAPHIE A LA i¥ïACH!ftSE
M Arcade DELAUNAÏ ; B. et ld"' Itfarcel CE
LAUNAY et leur Oemolseilo : SI. e<F,!"" Fernand
DELAUNAÏ; les families DACHEUX, GOOAfiD,
THIÊRY, DELAUNAÏ et SAVALLE, prient les p>rsonnes qui, par erreur, n'auraient pas rrcu de
lettre d'invitaiion, de vouloir bien les excuscr
et assister aux convoi, service et inhumation de
MadameArcade DELAUNAY
NAVIGATION
A
VAPEUH
Monsieur Raoul VASSE
AncienBrasseur de Cidre
décédé le 23 mai 1914,a I'ftgede 28ans, muni
des sacrements de l'Eglise.
Qui auront lieu le 27 courant, 4 3 h. 1/2 du
soir, en l'église d'Harfleur, sa paroisse.
On se réunira au domicile mortuaire, route
de Montiviiliers,4-2,prés la route d'IIirBeur.
tm Dies
pa?it repsil süAisI
Dela part de :
Raoul VASSE, sa VfUVO ;
Adriaans et-Na ul VASSE,ses enfants ;
/il. et EB" Alli ed VASSE, ses pèro et mère;
BB. Frangols FERNANP, son bcan-pére ;
El. et M" Alfred VASSEet leurs Enfants ;
M. e'. ld"' Eugène VASSEet leurs Enfants ;
Fit, et tö"' Feor f es VASSE; BI. et Al" Seen
VASSE et leur • Enfants; til. et M" Fraugois
VASSE ; Ei. et M" Robert VASSE et leurs En¬
fants iW" • Jeanne et Albertlne ; MM. Albert et
Andró VASSE,i-e* fréres et soeurs ,
EB.ldanus QUÊQ0N,son beau-frère, et st
FUle;
M"" Jeanne et Marie FERRAND, ses belles-
seetirs;
Les Families VASSE, MALANDAIN, AUBRY
PHILIPART, FERRAND, CAILLEUX, TALBOT et
AUBIN, ses oncles et tantes, cousins et cousines ;
Farents et Amis.
line sera pas envoyé
de lettres d'invitation, le present
avis en tenant
lieu.
Comptoirsde LAYETTES
.
ComitédoDéfensedesIntérétsgénérai.xdn2" Canton
MM.les membres du Comitésont priös d'sssister.au x obsèqucs do leur regretté coilégue
ï'our
I on
Monsieur Raoul VASSE
Fiilettes
en lainette, eoipiècement et po*gnets broderie acglaise rose,
Corsages
Le632 25
pour PiHettes en lainette
rayée, garnis bandes rouges
Ce jour 2
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verre cötelé, bouchon porceQlllieres
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« Cérêbos9.
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Les Marchandises
vendues en réclame aux GALERIES du HAVRE
peuvent être retenues dans nos succursales
de fViontivilliers,
Etretat,
Cany, Saint-Valery,
Yvetot,
Dives-sur-fvler.
Membredu bureau
Ancien Entrepesitaire
Brasseur de cidre, rus Saint-Jacques
qui auront lieu eujourd'hui mercredi 27 cou¬
rant, a 3 h. 1/S du soir, a llaifleur.
Prière de se réunir au domicile mortuaire,
if, route de Montiviiliers(prés la voüte).
LePrés-dent, arsève LECONTfi.
df"« Leonttne OICHLENSEGER;
M. Emtio OICHLENSEGERet ses Enfants ;
BI et Bh" SENECAL, née OICHLENSEGER,et
leurs Enfants :
tl. et BI" Jules FIOELIN, née OICHLENSEGER
,
et leur Fille ;
Bh" Gi:brie He OICHLENSEGER;
Ft. et BI" Louis DICHLENSEGER;
II et tl" LEVASSEUH, née LEGER;
BB.Ferdinand LEGER ;
Les Faml les OICHLENSEGER, LEGER, NIEL et
les Amis,
Remcrcient les personnes qui ont bien voulu assister aux convoi, service et inhuma¬
tion de
Madameveuve Léon DI0SLEN3E5SE
Née Elóonore-Sophie
TÉLÉPHONE 1T.SO
8, Place Carnot, 8
- LE HAVRE -
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Vendredi..
LEGER
Mercredi . . 27
Un horame ivre menait graad tapage, la
unit dernière, dans une salie de bal de Monttnartre.
Les danseurs, 6mpêcliés par Ini de se livrer ft leurs ébats favoris, prièront Dientöt
te patron de l'expalser. Celui-ci chargea de
Ö©soin le gardien de la paix Foin, qui était
de service ft l'enlrée de l'etabiissemeut.
Au premier mot que lui dit l'agent, l'indiVidu aêcocha a cel ii-ci un formidable swing
et i'envoy a rouler a trois mètrés. Aussitöt, le
eerde qui s'etail t'ormé autour de lui s'élargil. Oa venait de ifconnaitre, ft sa fa^on de
« cogner », l'ancien champion de boxe Louis
Grojsi .
L'agent, pourtant, avait « encaissé » saus
trop de domtmge. II fut vite debout, et
eotnme Grossi regrettait déjft son geste irraisonné, il pul le conduire eans autre incident
au commissariat du passage Tourlaque. •
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enttèrement équipéesd
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Mercredi .. 27
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VIVIER,rue Henri IV, 38 ; Lucien LE BOL'
HG,
Impasse Baron, 4 ; Jean RIO, rue BèUot,20; JftC«ues DRASSE,rue Letuustro, 39,
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28 Arr.de 93»# ilt iin»
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30 Pas d'arrèt
31
0110
Pendant les heures d'arrët,
est assurê par nne barque.
otre
OU
Dn 37 Sla! 1»t4
—
Veaus
TELEPHONE »S
Una Vendetta
Le 28 mai 1913, uit inee cd e détrnisait une
tannerie appartenant aux frères Menant, ft
Avalion; on inculpa Camil'e Peréau, ancien
ouvrier de i'usine, mais celui-ci fauto de
preuves fut relaché après une longue détention.
Jeudi dernier, les trères Menant, accorapagnés de plu'iears ouvriers, ajant appris ia
présence de Perreau dans les environs, le
recherchèrent
en automobile, et, l'ayant
rencontré sur la route de Lyon, Paul Menant
lira sur lui deux coups de revolver qui le
blessèrent. Perreau ne se plaignit pas et put
se rendre ft pied 4 Brccy, oü il passa la nuitj
le lendemaiu, les gendarmes i'arrêtèrent ft
Saint-André pour v.igahond3ge, mais ils reroarquèrent ses blessures au maxitiaire su¬
périeur et au dos. Perreau refusa dTndlquer
ia provenance de ses blessures et a été con¬
duit ft rhospice d'Avallon.
Mulgré le rcfus du blessé de parler, l'enqtiête a permis d'arrèter quatre ouvriers qui
se trouvaient dans l'aiuomobile d'cü i'on
avait liré des coups de 1'eu ; ces ouvriers ont
lait des aveux et ils out déuoncé Paul .Y,ehant, leur patron, comme étant l'aulettr des
coups da revolver.
Menant a été arrclö.
NAISSANCE3
8 45 — —
9 30
Amenb Vendus briMir folds asoyen
Bf.st IH" Alexandre LE FBERRER,néeGERMAIN;
U. Jullen LE tlERRER :
Les Families C0CHEUN, HENRY, CENOROT.
LE tlERRER, CAOORET, LE BITOUX, CHAILLY,
GERMAIN remsreient Ses personnes qui ont
bien voulu ossister a.ux convoi, service et
inhumation de
voyage,
LAMBLARDTE
ANGOOLHMË
CITABELLE
Le st. fr. Caravelk, all de Pointe-4-Pitre au
Havre, est arr. a Bordeauxle 2b mai 8 18 beures.
Le st. fr. Sephora-Worms,all. du Havre a Bor¬
deaux, est parti de Kiest le 23 mat.
Le st. fr. st-Mare, ven. de Barcelone, est arr. a
Otie le 24 mai,
Le si. fr. Si-Louisest parti d'Oranle 24mai ponr
Rouen.
PAQiJEBOTS
A VAPEURDE LA BASSE-SEIPiE Lest. fr. Si-Michel,ven. d'Alger,est arr. 8Rouen
le 24mai.
Le st. fr. Listrac, ven. de Hambourg via Dunkerque, est arr. e Rouen le24mai
Le st. fr. Venezuela,ven. de Colon,etc., est arr.
a St-N-zairele 26 mai a 9 h. 30.
Escales a Qulllebouf, Vieux-Port, Vitlequter
Le st. ic.Amiral Chart,er, ail. de la Plata 8 Dunet Caadebeo
kerque, est arr. a Dakar (et non a Dunkerque) le
(L'embsrquemint
et e détarquémect
anx escales
2 >mai.
s^nt 4 la charge vies Voyagenrs)
Lest. fr. Saint-Thomas,ven. de Mostaganem,
est arr. 8 ftuelva !e 24mai.
Le st. fr. S int-Luc, ven. de Nantes, est arr. 8
Départs des Slots de Mai et .Tnia
Lisbonne le 23 mat.
Le st. fr Michel,all. de Bordeaux an Havre, est
de neuEi*
DW HAVRE
arr. 8 La Pallice le 23 mai.
Le st fr. lle-de-ia-fléunion, all. de la Róunion,
etc.. 8 Barry et Havre est passé &Barry Island le
Jeudl ..... 28 | 8 h 15
Vendredi.. 29 I 8 h. —
Sum di ... 30
9 h. 30
Dimanche .34 { J h. 24 mai.
Dimauche . 31 | 13 h 30
Luuul ....
1 | 7 b.—
Le St f". Amiral Rigault-de-GerioulUy,
all. de
RESTAURANT
ABORD
Bunos-Ayies 8 Hull. Havre et Dunkerque, est arr.
Londres le 2b mai.
Postes
des!ateaux
IQuai
Nulfe-D
mt,prés
laGrandea Le
st. fr llochambeau est parti de New-Yorkle
ioiMiie.
23
mai p. Havre.
Se: Vice c mbinê 4 prtx réduits (alter et retour par
Le
st. fr. La-Touraine,ven. du Havre, est arr. a
bateau et ciiemin de fer, 6oit a 1'.lier, soit au reiour
Québecle 25mai au matin.
Pour rensei n ments, s'adresser 4 l'Agence, id, Quai
Le st. fr. Mironi est pnrii de la Pointe-A-Fitrele
de I'll- (Telephone 4.18)
83mai p. Bordeauxet Havre.
Le st. fr. Haiti, «11.d>-Haïti, etc. i Bordeauxet
Havre, a élé signalé a Fayal ie 24 mai.
Le st. fr. Formosa, all. de Matadi8 Bordeauxet
Havre, est rep de Grand-B8ssamle 23 mai.
Entre QUILLEBgUF «t PORT-JEROBtg
Le st. fr. Af ique, all.du Havrea Matadi,est arr
8 Tabou le 25mai.
SMIoIs de Mal
Le
st. fr. Suzanne-et-htarie, ven. de Bordeaux,
Prent er départ de Ouiüebeuf 4 8 hen res do mat,Ia.
est arr. a Anvers ie 2b mai,
vlernter départ do Quiliebeuf è. 7 hsares du soir.
Le si. fr Bordeaux,ven. du Havre, etc, est arr.
>'refiler de Port-Jérome 8 8 h. 30 da matin;
dernier
ft Vera-Gruzle 24 mai.
départ do Port-Jóréma 4 7 b. 30 da soir.
1Afottei.
Heure
OUVSKTUKË
Ponr TROUvil.LE, les heures prêctdées d'iin astêris
que f) indiquent les départs ponr ou de ia Jetêe-Pre
menade
En ces de manvats temps les départs penvent étre
snpprimi!»
NavetS
to
EHTREtöETS-
8 45 — — — —
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S3ans, comptabie. rue Jean-Baptiste-Eyriès,71, Isidore MALZARD,38 ans, marin, rue des Viviers, 27; Fran¬
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Ëierre LACORNE,38 ans, domesiique, Hospice;
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Marctié aox Vestu du Mardi
45 Vesux ont étö amenéa, tl ont étê vendss
de 2 fr. 20 ft 2 fr. 60 le kiio.
8, Bd de Strasbourg
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— La dernière levèe des correspondences pour
les Etats-Unis, le Canada, le Mexique.le Guate¬
mala, Cuba. Gurapio, Cosln-Rica,Equateur, Haïti,
Saint-Pierre-Miquelon,Tahiti, les ïles Marquises,
Guyanes froocaise et holiandMso,Répubüque de
Panama et Japon, par paquebot La-Savuie, sera
faite au Havre, bureau principal, le 30 mai, a
ii h. 30.
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Mercredi . . 17
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Vous fites priè de bien vouloir assister aux
convoi, service et inhumation de
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entre
Née Maria - Ernestine GODAR D
Qui auront lieu Ie Jeudi 28 courant, ft ncuf
heures trois quarts du matin, en l'Eglise de
Dléviile,sa paroisse.
Le convoi se réunira au domicile mortuaire,
ChezM. Aiphonse Thiéry, impasse Dumont, a
Dléviile,
Sclonla volontède la dèfunte,seulesles fl'urs
naturelle) se>o»tacceptées.
I8'Ü0ZI
paille eonple,
imitation Panama
CortJisexir-GS-laeier'
Compagnie
Hermande
DH
ff/tgJeaafc-el
DE STRASBOURG
POSTES
— La dernière levée des correspoudasces pour
Ie Sónêgal,!o Brèsii et la Plata par paquebot fran¬
cais paftaat do Bordeaux, sera fsite au Havre,
fauresuprincipal, le 29 mai, ft i2 heuras 8.
— La dernière levèe des corresponöances ponr
le Brésil, la Plata el le Chill, via Magellan,par
paquebot anglais partant de La Pallioa,sara faite
au Havre, bureau principal, le 30mai, ft 12 h. 3.
li
Navlres En trés
ten, de
si. fr. Margaux, Kernen
Hambourg
st. fr. Saint-Paul, Ribière
Anverg
st. ang. Alacrity, Bie ...
Blyth
st. sued. Ed-enor,Niison
Newcastle
st. fr La-Heve,Vanypre
Hnnfieur
st ang. Scoti'in,Henry
MoatréaJ
st. dan. B-ntang
Cóte-Ferme,ete.
st. ang. Ardghss, Mscq arrie
Methil
at. ang. Normanma Kernaa
Southampton
St fr. Eirendslle, Saintlllon
St-Ma!o
st. fr
9.-F,
Cadortw
St-vaast
st. suéd. Gosta, Bohmann
si fr, Hrrvndelle..Viel
st. fr. Sautemes, LsDnde
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te Canal
Rouen
Caett
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st. fr. Ste-tsabeile,Vallin
Roueneh. fr. Racine,Jumel
Rouen
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Rouen
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Hambourg
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Michel
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— ch. fr. Dttclatr, Leguen
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une voie d'eau.
Rouen
Le nav. Glycine (de St-Servan), est reparü — ch. fr. Arcuany, Allain
— sloop fr. Père-Jean, Beaudouard..LaMailleraye
d'ici, aujourd'hui, pour les lieux de pêche.
Montdsft Rouen :
Le 25 : st. ang. Test, Thornley,Braesiie ; goé!.
Slarégraphe
du SST lHal
«11.Hohenoeg; St. fr. Pomerol; st. O.-II. -Wiens.
Le 26 : st. ang. Lucilinc, ven. de New-York.
.. «« «ra ( 10 h. 9 — Hauteur 7 » 20
Descendus de Rouen :
PIEISE■f.a J 2ï h. 28 —
> 7-29
Le 25 : st. nonv. Bretagne,Balzac; st, ang. Diets,
nneee
al3
j| 18h
8 ^ 454 ~
»,
1i '» S8
sftitËaia
_
es Craqside.
Le 26 : st. ang. Bromsgrove; si. fr. Benée-MarLever dn Soieil . . 4 h. 8
P.Q. 1 Join 4 li h 12 the ; st. ang. Harrington, Moto; st. Emerald.
tone, du Solell. . 19 h. 47
P.L. 8 ft 5 h. 28
En rade pour Rouen :
Lev.dela i.une..
3 h. t3
D.Q. 13 — ft 14 h (9
Le 28 : st all. Energie.
Cou.de la Lane.. 22 b 44
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au COMPTANT
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4
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Vous êti s prib de bien vouloir assister aux
convoi et inhumation de
Monsieur Charles STERNBERGER
Foui
nisi-etii'
dc
l'l'nion
Eeonomiqnc
Ps. 144, v. 4.
Dola pari de :
M" Charles STERNBERGER,son épouse;
Jean, Marguerite et Jacques STERNBERGER,
ses enl'«nts ;
M" oeuoe LEBENE, sa helte-mère ;
BI. et t!"" Nenci STLRNBERGEFIet leur Hls /
M" oeuoe G LEBENEet sa fllle ;
BB. et M" Eug LECEBF et tears enfants ;
M. et M" KILIFARSXY et leur fills ;
M. Mauriee LEBENE;
ses bère, beaux frères, belles-sceurs, bcveux el nièces ;
M" etuoe HEIM, sa t.mle :
FB. et EB" Her.rt MULLERpdre ;
Fd. et Bh Ch 0IEMERT ;
BI. et M" L . GATIN et leurs Blies ;
BI. et M" H. MULLER Bis et leurs Blies;
*»• Lirta HULLEN ;
ses c mains et eo»sines ;
Les families STERNBERGER, LEBENE, KAESTNER, HEIM, LINONEH, THOSCHNE, WEISS, WA
LINSXY, SCHALLEN.
M. OUMESNILet le Personnel de ta Malson Ch.
STERNBERGEN,et des Amis.
II ne sera pas envoyé de lettres d'invitation, le présent avis en tenant lieu.
■■■MM1.1.
IRonlivilliers
et
RoHevlIle
GARES
l.e Havre
dé
Graville-Ste-Honorlne.
Harfledr
itouelles (b)
Deuii-Lieue (é'
SsoKüvtUiers
Epoaville
Rulieviiic
0)
Entrepreneur de Transports
Secrétairedu Syndicat du Camionnage
décédé Ie 24 mai 1914.a l age de 34ans.
Qui auront iieu le mercredi 27 courant, ft
une heure et demie du soir.
On se réunira au domicilemortuaire, 38, rue
de,Fieurus.
L'Hommeest scmalableft un souf11•,sesjoar3sont commel'ombreqal
paste
A
ohsz les ifar^jsaés (» Joxrhs-x »• ftlMMkèRM des 6a»s ft
LE HAVRE
ELBEUF
CAEtM
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LE CAPITAL, JciirnalHebdetcadairepin issanl!»bimsudie;
donfclo «accés s'afflrmo tous les joa*3r
pnblic chaquo semaine des Etudes Finsncières
trés documentées
sur les Questions d' Actuality
Le No; 25 cent. — AbonnttlO fr. par an.
AtaiGistratieH
: 0.RUEKGKS1ÖHT,
PAÏlft.nireciear: JulesPTRQUEL
THEATÏiK-üiitU UB OMNIA
Boolevftfé 4*) Stïsihourg
ASM.
#/=», Satrêe
Mxtio6e > DIMAMCHBS et JBVDIS
GAUES
Oav Ouv Ouv 1.2.3 i.2.3 4.2.3 1.2.3 1.2.3 D F- i .2.3 !)F. t.lüBF.
1-2.3 4.3.3 D F Ouv. Ouv. Ouv.
RoileviUe
dép. 5 13 6 6 —
7 13 7 44 9 9
H 43 12 35 13 24 — — 14 3711» 58 13 16
17 58 18 30 19 12
KilOUVlIle
5 19 6 44
7 18 7 49 9 14
11 49 12 40 13 29
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18 3 18 35 19 17
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5 56 6 17 7 4 7 24 7 56 9 21 11 34 11 53 12 47 13 36 13 59 14 50145 12 15 28 16 41 17 12 18 9 18 40 49 23
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(Ouv ) Trains
eavrïers.
— Des cartes d'abonnement bebdomadairc sont dêlivrées aux Emplovês et Ouvriers des deux sexes, amsi que
ï" ctasse pour les Ouvriers et Ouvriéres (Voir t'afliche spéciale). — CU) 'Juvert au service des vovapeurs saus baKagea ui chieus earezistrés.
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bien être d'uue respiration
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b ■urq, "111 (successeur de M'
eivojtCE
en une heuve
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D'un jugemi-nt
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pzr döpoirn
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oultes
fmit par la première Ghamw» du
IHVORCE
Tribunal civil du Havre le deux
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mal n'iii' neuf' "feeiit trVizé.enregisdu dix-sept aoüt mil neuf cent
U'é, rxpédié et sign die.
douzc.
Entre : Mad tmo Biaccll - MIEUSEsïiiivT,
ópouse
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Eco
D'un
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lieorl Arismendy,
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Havre,
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bunal
civil
du
Havre,
le
sept
noDemsndtu'-'sse.
cette Municipale.
Ei Monsieur (leriri ahesvilmty,
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au Havre, Ufa, rue
verger. 20, et fa la Tente-Abri des regislró.
Entre
:
Madame
Berthe-Mano
Aiigustin-Normand.
Ouvriers,
quai d'Orléans,
soul
tfsn'èse,
èpouse
de
Monsieur
Défendeur
dêfailiant
faute par
ouverts
tous les jours, depuis
Joseph-Aipbonse
Pe/ronio, avec
lui d'avoir eonsülué avoué.
buit beures du malia .
lequel ebe
est domiciliée
de
II appert,
d'oit,
mais
résidant
de fait
Oue le divorce a élé prononcé
separémeut
.4 Fécamp, rue A r— (Ventre
les époux A: i-m- ndyquaise,
u°
55,
en
vertu
d'auioriMiousement,
au profi
de Mada¬
ö ï»AEïI.«
sation judiciaire.
me Arismetidy.aux
torts et griefs
Et Monsieur Joseph-Aiphonsc
de son mari.
i>E>»o.vio susDommó.ayant
dePour «xtrait conforme
déiivrö
LOS. rue Saint-L.azure
meuré fa Fecamp, puis a Grugny,
par
Boucbez, avoué. ayant ocet actuelleme
i saas domicile ui cupe dans cette
instance pour
Ma tame Arismendy.
residence connus.
Havre, le vm.^cinq
mai mil
11 appert :
neuf cent quatoize.
Qua lo divorce a élé prononcé
(8090)
P. BOUCBEZ.
d'erilre lesdis époux, au profit do
la femme et atix torts et griefs du
S LOUERDESUTE
mari avec tous efftls et suites de
HAVRE
droit.
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