Marseille accueille le siège du CVT "Valorisation Sud"

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Transcript Marseille accueille le siège du CVT "Valorisation Sud"

SCIENCES DE
L’INGÉNIEUR
AGRONOMIE
SANTÉ
COSMÉTOLOGIE
ENVIRONNEMENT
© IRD/DIC - Mars 2014 - © Photo IRD/INDIGO : Tahirou Amadou, Maxime Jacquet, Alain Rival - IRD-Noi Pictures-Francois Carlet Soulages - Conception et réalisation graphique : L. CORSINI
TECHNOLOGIES
& INFORMATIONS
(TIC)
CVT « Valorisation Sud »
Contribuer à l’émergence
d’un marché technologique au Sud
ALIMENTATION
NUTRITION
Dossier de presse
9 avril 2014
SCIENCES
HUMAINES ET
SOCIALES
Sommaire
Marseille accueille le siège du CVT « Valorisation Sud »………………………………………………………….………….2
Présentation générale du CVT « Valorisation Sud » ………………………..………………………………………..........3
Membres fondateurs……………………………………………………………………………………………………………..3
Objectifs…………………………………………………………………………………………………………………………………4
Activités…………………………………………………………………………………………………………………………………4
Le CVT aujourd’hui……………………………………………………………………………………………………………………………..5
Organisation………………………………………………………………………………………………………………………….5
Fonctionnement……………………………………………………………………………………………………………………5
Communication…………………………………………………………………………………………………………………….6
Missions préparatoires au transfert de technologies…………………………………………………………….7
Plan d’action et perspectives 2014…………………………………………………………………………………………………….8
Annexe : présentation des membres fondateurs……………………………………………………………………………….9
Pour en savoir plus……………………………………………………………………………………………………………………………12
1
Communiqué de presse
Marseille accueille le siège du CVT « Valorisation Sud »
-
Inauguration le 9 avril 2014 -
Le Cirad, l’Institut Pasteur et l’IRD inaugurent, le 9 avril 2014, le siège du Consortium de
valorisation thématique (CVT) « Valorisation Sud » à Marseille, en présence de Louis Gallois,
Commissaire général à l’Investissement et responsable du programme Investissements d’avenir.
Structure inter-établissements labellisée en 2012 dans le cadre
des Investissements d’avenir, « Valorisation Sud » est
coordonné par ces trois organismes de recherche, en
partenariat avec les universités d’Outre-mer (La Réunion,
Antilles-Guyane, Nouvelle-Calédonie et Polynésie française).
Doté de 9 millions d’euros sur 10 ans, le CVT est l’organisme
référent au niveau national, pour le transfert de technologies
et savoir-faire adaptés aux régions tropicales, équatoriales,
désertiques et aux pays en développement. Il assure la
valorisation des technologies issues des laboratoires de
recherche publics français, présentant un intérêt socioéconomique sur les marchés des pays du Sud.
Inauguration du siège du CVT à Marseille
Marseille accueille, depuis quelques semaines, le siège du CVT « Valorisation Sud ». L’inauguration se
tiendra le 9 avril 2014, en présence de Louis Gallois, Commissaire général à l’investissement, de
Michel Laurent, président de l’IRD, de Patrick Caron, directeur général délégué à la recherche et à la
stratégie du Cirad et de Jean Deregnaucourt, directeur des applications de la recherche et des
relations industrielles de l’Institut Pasteur.
2
Présentation générale du CVT « Valorisation Sud »
Forts de leurs solides expériences en matière de transfert de technologies, de partenariats industriels
et de leur maîtrise des réseaux socio-économiques des pays du Sud, le Cirad, l’Institut Pasteur, l’IRD
et les universités d’Outre-mer s’associent pour proposer un nouveau service à la communauté
académique française et à ses partenaires du Sud, dans le cadre du programme « Valorisation de la
recherche » des Investissements d’avenir.
→ Membres fondateurs
Présence des membres fondateurs dans le monde
•
•
•
•
•
•
•
IRD
Cirad
Institut Pasteur
Université Antilles-Guyane
Université de La Réunion
Université de la Nouvelle-Calédonie
Université de la Polynésie française
Une présentation détaillée des membres fondateurs est proposée en annexe.
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→ Objectifs
Le CVT « Valorisation Sud » a pour mission principale d’assurer la valorisation et le transfert des
technologies issues de l’ensemble des laboratoires de recherche publique français, présentant un
intérêt socio-économique sur les marchés des pays en développement, des régions tropicales,
équatoriales ou désertiques. Son offre :
•
•
•
•
Mieux structurer l’offre technologique ;
Mutualiser les compétences, pour centraliser et coordonner la promotion des technologies
(avec l’appui des spécialistes français de l’export) ;
Améliorer l’analyse des marchés du Sud et leurs attentes ;
Mobiliser des fonds pour la maturation des innovations.
→ Les activités
Le CVT valorise le fruit de recherches de très haut niveau dans un large champ de thématiques :
•
•
•
•
•
•
•
santé humaine et animale, cosmétologie ;
alimentation, sécurité alimentaire ;
agronomie ;
environnement ;
sciences de l’ingénieur ;
technologies de l’information et de la communication ;
sciences humaines et sociales.
« Valorisation Sud » propose un accompagnement sous plusieurs formes :
•
•
•
•
•
•
constitution et mise à disposition d’un portefeuille de technologies avec mandat de
valorisation ;
conseils techniques, juridiques et réglementaires ;
maturation préindustrielle ;
marketing et promotion des technologies ;
contrats de licence ;
création d’entreprises innovantes ;
4
Le CVT aujourd’hui
→ Organisation
Yves Bordet a été nommé directeur du CVT le 18 mars 2013. Il a pour mission de mettre en place et
de diriger la structure selon les directives du comité de pilotage (COPIL), organe de gouvernance du
Consortium.
Le COPIL du CVT est présidé par Stephane Raud, directeur de la valorisation au Sud de l’IRD.
Mohamed Rochdi, président de l’Université de La Réunion est vice-président du COPIL, représentant
les universités d’Outre-mer.
L’équipe du CVT s’est structurée avec les mises à disposition de personnels des membres fondateurs
et des recrutements extérieurs. Les premiers agents ont pris leurs fonctions en octobre 2013.
Actuellement, l’équipe est constituée du directeur, d’une assistante de direction, de deux
responsables développement d’affaires et de cinq chargés d’affaires ou de valorisation (dont une
personne en Polynésie française). Totalement orientée « terrain », l’équipe se renforcera en 2014.
→
Fonctionnement
•
Transmission en mandat des premiers dossiers
129 dossiers (brevets, savoir-faire, technologies), confiés au CVT en 2013, constituent le portefeuille
actuel du Consortium :
5
Différents outils de gestion et de suivi de dossiers ont été mis au point afin de favoriser le transfert
de technologies :
- tableaux de bord gérés par les chargés d’affaires et responsables développement d’affaires ;
- bases de données des prospects industriels ;
- bases de données des suivis de contacts industriels.
•
En Outre-mer
Le Consortium est amené à jouer un rôle essentiel dans les territoires d’Outre-mer. Ses actions
permettront de détecter des technologies sur place, de valoriser les brevets existants ou sur le point
d’être déposés et, plus généralement, d’exploiter localement des technologies appartenant au
portefeuille du CVT.
Localement, l’interaction des équipes des membres fondateurs avec les chercheurs des universités
et le monde économique constitue une clé de réussite du CVT. Les contacts ont été pris très tôt avec
les universités et les cellules de valorisation existantes sur place.
Les premières conventions de fonctionnement ont été rédigées et le recrutement sur place a débuté.
(une personne en place en Polynésie). Le CVT s’est déjà vu confier six brevets par l’Université de La
Réunion pour leur valorisation. Une mission de travail a été organisée sur place en novembre 2013.
•
Interactions avec les Sociétés d’accélération du transfert de technologies (SATT) et les CVT
Les équipes de « Valorisation Sud » ont rencontré les autres CVT et initié des contacts avec les SATT,
pour leur présenter leurs spécificités et travailler conjointement sur certains dossiers, en apportant
leur expertise des pays du Sud.
•
Intégration de la Conférence des présidents d’université (CPU)
La CPU a intégré le CVT en tant que membre du 2ème collège du consortium. Elle est représentée par
Mohamed Rochdi, président de l’Université de La Réunion et vice-président
du COPIL.
→ Communication
Depuis 2013, de nombreuses actions de communication sur le CVT sont engagées :
-
Réunions d’information auprès des équipes de recherche et de valorisation des membres
fondateurs et auprès du réseau international de l’Institut Pasteur.
Une conférence de presse d’annonce du Consortium en juin 2013 à Paris et présentation au
réseau des instituts Curie (Ajaccio en juin 2013).
Lancement du site Internet dédié au CVT en décembre 2013, qui a vocation à devenir une
plateforme d’échanges : www.cvt-sud.fr
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Page d’accueil du site internet du CVT
→ Missions préparatoires au transfert de technologies
• Participation à l’India-France Technology Summit (22-24 octobre 2013 à New Delhi)
Avec l’appui de la Confederation of Indian Industry, de l’Ambassade de France en Inde, du Centre
franco-indien pour la promotion de la recherche avancée (CEFIPRA) et du Biotechnology Industry
Research Assistance Council (BIRAC), le Consortium a présenté certaines de ses technologies. Les
contacts industriels pris lors de ce sommet devraient déboucher sur des applications futures en Inde.
• Mission à l’île de La Réunion (novembre 2013)
Dans le domaine de la santé, le Consortium a pris en charge la partie économico-industrielle du
projet « Technique de l’insecte stérile » (TIS) conduit par l’IRD à La Réunion et qui vise à lutter contre
les maladies à transmission vectorielle. Des rencontres ont été organisées avec des membres
fondateurs, chercheurs, acteurs publics et privés locaux.
• Et de multiples interventions
L’équipe du CVT a participé à plusieurs événements dédiés à la valorisation en 2013, comme :
– Les rencontres Qualiméditérannée (Montpellier, novembre 2013) sur le thème de la sûreté
alimentaire.
– MEDICA® 2013 : Salon international de l'équipement des hôpitaux et Congrès mondial de la
chirurgie (Düsseldorf, novembre 2013).
– Atelier France-Kenya d’information sur UBIFRANCE, (Paris, décembre 2013).
– Rencontres internationales de la santé et du bien-être, organisées par UBIFRANCE (Paris,
décembre 2013).
– Pollutec 2013 : Salon des écotechnologies, de l’énergie et du développement durable, (Paris,
décembre 2013).
– Salon international des industries et techniques agroalimentaires (SIAGRO 2014, Dakar, mars
2014).
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Plan d’action et perspectives 2014
2013 a été consacrée à la création et à la mise en place du Consortium. 2014 sera l’année du
développement des activités et des premiers résultats.
→ Poursuite du recrutement : cinq ou six personnes vont rejoindre le CVT (trois ou quatre en
Outre-mer et deux en métropole) pour constituer une équipe d’une quinzaine de personnes
fin 2014.
→ Relation avec les SATT : un effort important sera fourni pour renforcer les relations avec les
SATT et construire une collaboration forte avec ces structures. Ces partenariats permettront
une transmission plus efficace de technologies pour les pays du Sud.
→ Renforcement du réseau et des bases de données « Sud » : en renforçant les réseaux de
partenaires, le Consortium ambitionne de faire du CVT une porte d’entrée incontournable,
crédible et efficace vers les marchés des pays du Sud.
→ Communication : des actions de communication fortes seront réalisées en 2014 : création de
nouveaux outils (flyers, offres de prestations de services en marketing et licensing), montée
en puissance du site internet (développement d’une plateforme de transfert vers les Sud),
organisation, sur les marchés du Sud, d’évènements orientés « business », comme le salon
Africa-Techno, en collaboration avec UBIFRANCE.
→ Développement d’un fonds de maturation : le CVT s’attachera à développer un fonds de
maturation dédié au transfert de technologies vers les pays du Sud, en collaboration avec des
acteurs majeurs du domaine (Agence française de développement, Banque européenne
d’investissement, Banque Mondiale, Fondation Bill Gates). Ce fonds permettra au CVT
d’augmenter considérablement son impact sur le marché.
Un appel à projets de maturation a été lancé par le Consortium début 2014 afin d’accélérer le
transfert de certaines technologies. Il s’adresse aux chercheurs français ayant besoin de
réaliser des développements et/ou des études complémentaires pour valider la preuve d'un
concept ou d'une technologie à caractère innovant.
•
-
Objectifs 2014
Accélération de la valorisation et du transfert de technologies en Outre-mer
Signature des premières prestations de services auprès d’industriels des pays du Sud (ou pour le
Sud)
Transfert de technologies : signatures des premières licences
Implication dans la partie économico-industrielle de la lutte anti-vectorielle dans le monde
(Projet TIS conduit à l’île de La Réunion)
Renforcement du positionnement du CVT à l’international, grâce aux contacts noués en Inde et
au Brésil.
Les actions engagées par le Consortium lui permettront de devenir l’acteur majeur du transfert
technologique vers les pays du Sud. Cette structure a vocation à renforcer sur les marchés du Sud la
visibilité de la France, qui dispose dés à présent d’une force d’impact et d’action totalement inédite
sur ces marchés.
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Annexe : présentation des membres fondateurs
• IRD
L’IRD est un organisme de recherche original et unique dans le paysage
européen de la recherche pour le développement. Etablissement public
français à caractère scientifique et technologique, il est placé sous la double
tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et du
ministère des Affaires étrangères. Il s’attache à répondre aux grands défis du développement en
menant des activités de recherche, de formation et d’innovation au Sud, pour le Sud et avec le Sud,
dans un souci constant de partage des connaissances et de mutualisation des moyens et des
compétences. Depuis son siège, à Marseille, et ses deux centres métropolitains de Bondy et de
Montpellier, il déploie ses actions dans près de 90 pays, en Afrique, sur le pourtour méditerranéen,
en Amérique latine, en Asie et dans l’Outre-mer tropical français. Fondés sur l’interdisciplinarité, les
projets menés en partenariat traitent de questions cruciales pour les Suds : maladies tropicales et de
civilisation, sécurité alimentaire, changements climatiques, ressources en eau, biodiversité,
développement des sociétés, vulnérabilités et inégalités sociales, migrations… www.ird.fr
•
Cirad
Le Cirad est l’établissement français de recherche agronomique qui répond,
dans les zones intertropicales, aux enjeux internationaux de l’agriculture et
du développement. En partenariat avec les pays du Sud dans leur diversité, le
Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le
développement (Cirad) produit et transmet de nouvelles connaissances, pour
accompagner le développement agricole. Il s’engage au plus près des populations sur des défis
planétaires, complexes et évolutifs : sécurité alimentaire, intensification écologique, maladies
émergentes, devenir des agricultures et des sociétés rurales des pays du Sud.
Organisme de recherche finalisée, le Cirad établit sa programmation scientifique multidisciplinaire à
partir des besoins du développement, du terrain au laboratoire, du local au global. Il contribue ainsi
aux débats sur les grands enjeux mondiaux de l’agronomie. Le Cirad concentre ses recherches
autour de 6 axes scientifiques prioritaires, partagés et développés dans de nombreux dispositifs de
recherche en partenariat à travers le monde, qui s’adossent à 12 directions régionales. Dans l’outremer français, il dispose de centres de recherche, de terrains d’expérimentations et de plates-formes
techniques performantes où près de 400 agents assurent un appui aux collectivités locales et aux
professionnels des filières agricoles et agroalimentaires locales. Le Cirad emploie 1 800 agents, dont
800 cadres scientifiques. Son budget s’élève à 214 millions d’euros dont les deux tiers proviennent de
l’Etat français. www.cirad.fr. Le Cirad est membre fondateur d’Agreenium, le Consortium national
pour l’agriculture, l’alimentation, la santé animale et l’environnement.
• Institut Pasteur
Centre de recherche biomédicale de renommée internationale,
l’Institut Pasteur créé en 1887 par Louis Pasteur, est une fondation
privée reconnue d’utilité publique. Il a pour mission de contribuer à la
prévention et à la lutte contre les maladies, en France et dans le
monde, par la recherche scientifique et médicale, l’enseignement et des actions de santé publique.
Près de 2400 personnes travaillent sur son campus à Paris. Parallèlement à des recherches sur le
fonctionnement du vivant, une grande partie de ses travaux sont consacrés à l’étude des maladies
infectieuses, de maladies génétiques, neuro-dégénératives ou de certains cancers. L’Institut Pasteur
9
est au cœur d’un Réseau international qui regroupe 32 instituts sur les 5 continents. Depuis sa
création, 10 chercheurs ont reçu le Prix Nobel de Médecine. www.pasteur.fr
• Université Antilles-Guyane
L’Université des Antilles et de la Guyane, seule université
française de la zone Caraïbe/Ameriques, est un
établissement pluridisciplinaire avec santé qui accueille
chaque année environ 13 000 étudiants. A la rentrée 2010-2011, l’UAG comptait 13 173 étudiants
répartis sur les trois departements français d’Amerique : la Guadeloupe (6 145 etudiants), la Guyane
française (2 033 etudiants) et la Martinique (4 995 etudiants). En plus des formations qu’elle
dispense sur les trois pôles universitaires, une des priorités de l’UAG a toujours été de participer au
developpement, à la croissance, à l’essor régional par le biais de programmes d’échanges et de
coopération culturelle avec les universités, organismes de recherche et divers réseaux de l’Europe,
de la Caraïbe et des Amériques.
Actuellement, l’UAG joue un role actif au sein d’organismes régionaux tels que l’Agence universitaire
de la francophonie (AUF), l’Association des universités et centres de recherche de la Caraïbe (UNICA),
la Conférence des recteurs et présidents d’université de la Caraïbe (CORPUCA), le Consortium
universitaire franco-caribéen (CUFRAC), l’Association des universités de l’Amazonie (UNAMAZ) et
assure la formation des étudiants et d’enseignants dans le cadre de conventions avec ces
organismes. L’UAG est également tournée vers le reste du monde et surtout de l’Europe. A ce jour,
l’établissement a signé une trentaine de conventions avec des universités européennes.
www.univ-ag.fr/fr/index.html
• Université de La Réunion
L’Université de La Réunion est un établissement français d’enseignement
supérieur et de recherche, situé au cœur de l’océan Indien, dans l’une des régions
ultra-périphériques de l’Europe. De par sa position géostratégique originale, elle
est la seule université européenne dans cette région du monde. Elle accueille
chaque année près de 12.000 étudiants dans plus de 80.000 m² de bâtiments
répartis sur les sites de Saint-Denis (au Moufia, à la Victoire, au Parc Technologique Universitaire et à
Bellepierre), ainsi que sur ceux du Tampon et de Saint-Pierre.
Par son offre de formation, ses activités de recherche, son rayonnement international
et ses conditions de vie étudiante, l’Université de La Réunion possède de nombreux atouts pour
jouer pleinement son rôle d’interface entre l’Europe et l’océan Indien.
L’université offre un panel pluridisciplinaire et diversifié de formations d’excellence tant en
formation initiale qu’en formation continue. Garante de la qualité des enseignements, la recherche
développée dans les 16 laboratoires de l’université est structurée autour de trois fédérations qui
tiennent compte de la richesse du terrain d’études qu’est l’île de La Réunion et qui regroupent
chacune plusieurs laboratoires. www.univ-reunion.fr
• Université de la Nouvelle-Calédonie
L’Université de la Nouvelle-Calédonie (UNC) est un établissement public placé
sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Jeune et en plein essor, elle bénéficie d’un cadre unique pour l’apprentissage
des langues régionales, les expressions littéraires, orales et écrites, ainsi que
pour la recherche scientifique dans les domaines de la biologie terrestre et
marine, la géologie, l’environnement, le droit comparé, l’économie des systèmes insulaires, ou
encore les civilisations océaniennes.
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A l’UNC, comme dans toutes les universités françaises, l’enseignement s’inscrit dans le cadre du
Processus de Bologne qui garantit la qualité de la formation dispensée selon des standards communs
à l’ensemble des universités de l’Espace européen. Le système LMD (Licence-Master-Doctorat) qui
facilite la reconnaissance des cursus et diplômes à l’international y est mis en place. L’UNC accueille
chaque année près de 3 000 étudiants dont 2 400 sont inscrits en formation initiale. www.univ-nc.nc
• Université de la Polynésie française
L’université de la Polynésie française est un établissement public à caractère
scientifique, culturel et professionnel (EPSCP). En tant qu’établissement public de
l’enseignement supérieur, l’université de la Polynésie française assure, de façon
autonome, de multiples missions dont bénéficient les jeunes de la Polynésie
française et concourt ainsi au développement social, économique et culturel de la
société polynésienne. En vertu des dispositions du code de l’éducation, elle contribue à ce titre :
- Au développement de la recherche, support nécessaire des formations dispensées, et à l’élévation
du niveau scientifique, culturel et professionnel de la collectivité et des individus qui la composent.
- A la croissance locale, régionale et nationale, à l’essor économique et à la réalisation d’une politique
de l’emploi prenant en compte les besoins actuels et leur évolution prévisible.
- A la réduction des inégalités sociales ou culturelles et à la réalisation de l’égalité entre les hommes
et les femmes en assurant à toutes celles et à tous ceux qui en ont la volonté et la capacité l’accès
aux formes les plus élevées de la culture et de la recherche. www.upf.pf
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Pour en savoir plus
→ Toutes les actualités sur le CVT : www.cvt-sud.fr
Contacts presse
CVT Valorisation Sud
Yves Bordet / Serge Duc
04 91 99 94 56
[email protected]
[email protected]
IRD
Cristelle Duos
04 91 99 94 87
[email protected]
Cirad
Anne Hébert
01 53 70 20 57
[email protected]
Institut Pasteur
Nadine Peyrolo
01 45 68 81 47
[email protected]
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