24 juillet 1921 - Presse régionale

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$fiSÏH E 24 JUILLET 1921 -30 Année - N° 10.392
Téléphone : 8.12
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Chèque Postal : C. N' «.936
de,tonlQuaê
Organe de Défense Sociale et Religieuse
E3IH.ECTIOKT : 25,
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^ aux écoles commuaux école» uwf°
contiennent rien cjud ne soit déjà prévu
pour les institutions d'enseignement dans
beaucoup d'Etats modéra es bien organisés ».
M. Clemenceau et ses cosignataires disent encore : « Il n'est pas incompatible
avec la souveraineté de l'Etat de reconnaître et de subventionner des écoles où
les enfants subiront l'influence religieuse
à laquelle ils sont habitués chez eux. »
Voilà ce qu'on a exigé, en faveur des
minorités juives de l'Europe orientale,
de pays à la politique intérieure desquels on affirmait ne pas vouloir se mêler.
Et pour répondre à ceux qui voulaient
voir dans ces stipulations un traitement
de faveur pour les juifs de Varsovie, de
Vienne, de Sofia ou de Budapest, M. Clemenceau avait soin de rappeler qu'elles
j sont déjà prévues « pour les institutions
t d'enseignement, dans beaucoup d'Etats
j modernes bien organisés Oui, en Hollande, en Belgique, en Angleterre, au Canada.
Mais en France ?
Est-ce que les catholiques de France
n'auraient pas droit aux mêmes égards
que les juifs de Varsovie?
Non, parait-il, car cela chagrine
MM. Aulard, Herriot et quelques autres
sectaires.
Mais, malgré' les Aulard et les Herriot,
cette idée juste fait son chemin ; l'exemple belge ne peut que ta fortifier, à condition que nous ne nous lassions pas de
proclamer nos droits.
Je sais bien que, lors de la discussion
du .budget de l'instruction publique, en
février dernier, MM. Doumer et L. Bérard, parlant au nom du gouvernement
à propos des bourses dans les établissements secondaires, affirmèrent pôromp^
toirement : « L'Etait ne peut légalement
subventionner que les écoles publiques »,
oubliant ainsi l'article 69 de la loi Falloux, qui stipule : « Les établissements
libres peuvent obtenir des communes,
des départements et de l'Etat un local
et une subvention... »
"Aujourd'hui, le ministère au sein dum «\ les socialistes Destarées et Vandervelde siègent à côté de catholiques et de
libéraux, vient d'accorder l'égalisation
des subventions et dorénavant tous les
professeurs des écoles privées seront intégralement payés par l'Etat.
Cela n^t en fureur nos jacobins, qui
redoutent la contagion de l'exemple et
que le sinistre Aulard met en garde, dans
t Dépêche, contre l'influence qu'une
telle réforme, strictement conforme à la
justice, donnerait à l'Eglise en matière
d éducation populaire et contre le profit
qu'en retireraient « les partis de droite » I
L'intérêt électoral, voilà toujours la
plus grande des préoccupations de ces
messieurs. Gardons nos électeurs afin de
sauver nos sièges. Tel est leur suprême
argument.
Quant à la justice, c'est bon pour les
musulmans ot les 'fétichistes de nos possessions africaines ou pour les juifs de
Pologne, Roumanie et autres nations
considérées comme mineures.
Mon. distingué collaborateur Paul Tailliez signalait, ces jours-ci, les constatations faites au sujet de la R. P. scolaire
par Mme Marguerite Or y, professeur
agrégée du lycée de Metz ; celle-ci prend
acte, ainsi que le souligne l'Instituteur
français, de ce que le principe de la
R. P. scolaire, c'est-à-dire de l'inscription au budget national de subventions
aux diverses sortes d'écoles, comme en
Hollande, en Angleterre, en Belgique, au
Canada, etc., vient d'obtenir l'adhésion
formelle et publique du gouvernement
français, à l'occasion de la signature des
divers traités de paix. C'est une observaLa Chambre, retrouvant ce jour-là une
tion que nous avons faite nous-mêmes majorité de gauche, exclut les élèves des
i diverses reprises ; il nést pas inutile établissements secondaires privés du béd'y insister et de donner toute la publi- néfice des bourses nationales.
cité Qu'elle mérite à l'adhésion apportée
Mais trois jours après, la même Champar un membre de l'Université à l'une bre votait une subvention au laboratoire
de nos revendications les plus essen- de M. Branly, professeur à l'Institut Catielles.
tholique de Paris.
Donc, constate Mme Marguerite Ory,
Un mois plus tard, elle admettait les
les articles 9 et 10 du traité de Versailles élèves des écoles libres à bénéficier des
du 28 juin 1919, .outre les Etats-Unis,
« terrains nécessaires à l'éducation phyi'Smpire britannique, la France, l'Italie, sique mis à la disposition des établissela Japon, d'une part, et de l'autre la Po- ments d'enseignement ».
«ogne ;
A la même époque, un décret, contreL'article 68 du traité de Saint- Germain
signé
par M. Bérard, réglait, en vertu de
te 10 septembre 1919, entre les 27 puisl'article
36 de la loi Astier, la participatanoes alliées et l'Autriche ;
tion
de
l'Etat aux dépenses des écoles
L'article 55 du traité de Neuilly du
techniques privées, reconnues d'utilité
€7 mars 1919 avec la Bulgarie ;
L'article 65 du traité "de Tr'ianon du publique, « soit sous forme de bourses,
« juin 1920 entre 17 puissances et la Hon- soit sous forme de subventions ».
grie ;
Il n'est donc pas vrai de dire que
«
l'Etat ne peut subventionner que les
Contiennent des stipulations en faveur
des « minorités de religion ou de lan- écoles publiques ».
gue ». Celles-ci doivent « se voir assurer
Il peut subventionner les écoles priune part équitable des sommes attribuées vées, puisqu'il le fait quand il s'agit
sur les fonds publics, par le budget de d'établissements de l'enseignement supél Etat, par les budgets municipaux et sa- rieur ou des écoles techniques ; il le peut
lr es, dans un but d'éducation, de relipuisqu'il le fait quand il s'agit de l'éduewn ou de charité ». Elles ont droit à cation physique.
Ç-es « Comités scolaires qui veillent, sous
Il le pourra sans contestation quand
Je contrôle de l'Etat, à la répartition pro- un vote parlementaire lui en donnera
portionnelle des fonds publics assignés non seulement le droit, mais lui en fera
aux écoles privées ».
un devoir.
Un des signataires les plus marquants
Il est vrai que l'école primaire est le
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°- ces stipulations entrées, on peut le champ clos autour duquel veillent jalouuvre dans le droit public de l'Europe est sement tous les Homais de chefs-lieux
M. Clemenceau.
de canton.
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,
ttre d'envoi aux plénipotenMais le règne des Homais, des Aulard
tj „.
tiaires de Pologne, M. Clemenceau et les et des Ferdinand Buisson aura une fin si
es fon!t remarquer « que les nous le voulons.
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appositions relatives à l'enseignement ne
Gaston GUÊZE.
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Alliées
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La Mission da Général Mas^ia
Etats-Unis
23 juillet,
américain clés aff^ir^ '•'; ri0iri ^ ue le ministre
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K*8 du Sénat que dans
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Lima, 23 juillet.
Le Jules-Michelet est arrivé à Cuilao. Le
général Mangin et les membres de la mission
française ont été l'objet d'une réception enthousiaste.
Ils sont arrivés à il heures .i Lima Une
foule énorme attendait la mission française,
qui fut accueillie par des acclamations formidables. La ville est pavoisée aux couleurs péruviennes et françaises. Le gémirai Mangiu a
dû se rendre à pied à sou hôtel.
Sur tout le parcours, des fleurs avaient été
jetées h profusion par les darnes péruviennes
et la foule poussait les cris de : « Vive la
France I »
L'accueil fait à la mission française fut véritablement grandiose.
Arrivé à sa résidence. le général Manpin se
I montra au balcon et prononça quelques mots
de remerciement.
Londres, 23 juillet.
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Que M, Lloyd George aurait
* v«ur e*V^wVnt Harding une invitation
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M. DE VALERA A DUBLIN
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Problèmes du Pariflque
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Dublin, 23 juillet,
M. de \alera, a son arrivée à Dublin, a
été 1 objet dune réception enthousiaste Vu
réponse aux ilemamles de la foule M de Va
lera, du haut du perron, a prononcé une comte allocution.
« Nous avons, a-t.41 dit. appris une leçon
magnifique en Irlande, pendant les deux
dernières années, à savoir que c'est par des
actes et non par des paroles que la nation
obtiendra sa liberté. »
« Si, a conclu M. de Valcra, nous continuons d ogir dans l'avenir comme nous le
faisons depuis deux ans, il sera pour nous
supcrriu de parler de liberté, car nous la
posséderons.
DE
LA
FRANCE
encore
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• France et colonies
Etranger..,
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LA GUERRE GRÉCO-TURQUE
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Les Tores attaquent
Réponse
meurent de faim
Riga, 23 juillet.
Trente millions d'habitants de là zone de
lamine russe, ayant mangé chiens, chats et
rats, quittent leurs demeures dans un effort
désespéré pouir trouver quelque lieu où la famine ne sévit pa3. Cette émigration générale
prend trois directions : la première vers la
Sibérie, la deuxième vers la Russie du Sud et
le Caucase et la troisième, qui est la plus importante, vers Moscou.
Tout le bétail rencontré en route est abattu
et dévoré et les stocks de grains consommés.
Ces hordes faméliques prennent d'assaut les
trains et désorganisent complètement le trafic
ferroviaire.
On a fait appel à la troupe pour protéger les
villes contre l'afflux des paysans affamés. Des
combats entre la troupe et la foule rendue
désespérée par la faim, sont signalés en divers endroits.
UN APPEL DES SOVIETS AUX ETATS-UNIS
Vienne. 23 juillet.
Le gouvernement des soviets s'est adressé,
par voie confidentielle, aux Etats-Unis afin
d'obtenir de larges secours en faveur de la
population russe, décimée par la famine.
Les Etats-Unis auraient posé les quatre
conditions suivantes :
1* Démobilisation immédiate de l'armée
rouge, le maintien dè l'ordre étant assuré
par les milices locales.
2° Rétablissement immédiat de toutes les
libertés politiques et en premier lieu de la
liberté de la presse et de la liberté des personnes.
3° Election
immédiate
d'une
Assemblée
Constituante.
4° Liberté absolue du retour en Russie des
proscrits du gouvernement des soviets.
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Issâmbassadsurs
Paris, 23 juillet.
La Conférence des ambassadeurs s'est réurie ce matin", sous la présidence de M. Jules
Cannibon.
La Conférence a réglé les derniers détails
d a i mplication du traité de Trianon.
L'échange des ratifications aura lieu mardi
i>r .chàin, à 6 heures, au ministère des affaires étrangères.
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est critique
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LE GÉNÉRAL SYLVESTRE SE SERAIT
SUICIDÉ
Paris, 23 juillet,
On mande de Madrid au Journal qu'un
forïftiiâabîe contingent de Kabyles a attaque
les positions espagnoles >lo Méli'a. De >m:Bat a été «jjr.a- né et les Espagnol* auraient
subi un ptavje' Aohec.
Les ministres &e sont réunis d'urgence hier
soir pour examiner la situation.
Le roi, qui sa trouve à Smnt-Sébastien, est
parti précipitamment pour Madrid.
En même temps, le cuirassé Alphonse XHI
et des canonnières or.l étaient nouilfées dnn 3
les eaux de Saint-Sébestiou ont subitement
levé l'ancre m»ur une danti nation inconnue.
A la suite Je cet échec, le général SyPostre,
commandant des forets de la zone de Mélila,
se serait suicidé.
UN GRAVE 6CHH0
Paris, 23 juillet.
De graves nouvelles du Maroc espagnol sont
parvenues, hier soir, au ministère de la
guerre, par T. S. F On vient .l'apprendra
<;u'à l'auibe les Kabyles* des Béni-Uriaguel
Béni-Famen Béni.ilmqn et Guelayi. formai.'
un formidable eontifteSèsi; ont attaque les
positions avancée* de Mélila.
Le combat, qui continue encore, a été acha
né. allant jusqu'au corps à c.oips. Des secour s
réclamés drurgenco ont été expédiés de '".enta.
On parlait, Diler si ir, de plusieurs centaines
de tués et de blessés, et on comparaît 1
faire au désastre de Darengn de Lcton qui, en
19G0, fut !a cause de l.n ré.vclte de Barcelone
On dit aussi que le général Fernande.-? Sylvestre, cran mon 'a nt les forces de la zone de
Mo iila, aurISt été Messe.
Les ministiois sont îéunM en conseil pour
étudier la situation.
LES BRUITS D'ÉCHEC SERAIENT EXAGÉRÉS
Madrid, 23 juillet.
Les journaux ?e font, oi matin i'éch" de
bruits qui circulent depuis hier sur des incidents qui se seraient produits dans la zone
de Mélila. Plusieurs d'entre eus expriment
la crainte d'une fiCihisoin possibte d'une partie du corps indigène.
D'après les renseignements puisés >t bonne
source, les forces espagnoles ont bien évai-ué
la position qu'elle.: occupaient, mais cet événement ne présente pas un caractère de gravité particulière
A
L'AMBASSADE
D'ESPAGNE
Paris, 23 juillet.
A l'admlbasgode d'Espaorne on n'avait reçu,
ce matin, aucune confirmation de la nouvelle
d'après laquelle les troupes espagnoles ayant
subi un échec dans la n'pbm de Méililla (Mar "C estpagnol), le général Sylvestre, commandant de la zone de Sûreté se serait tué.
CE QU'ON DIT A MADRID
RÉCEPTION ENTHOUSIASTE AU PÉROU
MOQUERAIT-IL
millions de Eusses
Pas
.
SE
«rnou « mu
iPRIX DES ABONNEMENTS
I^.OQL'M.oXtiSJO.o, TOU£iOUSXQI
UN DOUX RÉGIME
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15
.Madrid, 23 juHlet.
Le roi, ainsi que plusieurs ministres qui se
trouvaient en villégiature, sont rentrée ce
matin a iVkiUrid. Aipuonse Xill s'est rendu au
ministère de la guerre; et le conseil des niiriis&rès scsi réuni queique temps après, sous
s.,i p'ivsiuence.
I3i« ministres ont d>.i:!aré qu'ils n'avaient
aucune nouvelle conlirni.uit le" bruit qui courait nier soir ; le fâtosidênt du Gùusaii, interr„,ié notamment sur le i,ruit persistant, sui«.nl lequel ie coriespoiiuaut de AlunLa, le
Luii'éral sylvestre serait nioit, a répondu qu'il
s'agissait d'un bruit doui ie gouvernement
n avait pas cûnïMroaUoJB.
Les jauriiouX Su maliii publient des nouvelles de sources patrtiuuiieu'es, selon lesquelles
le combat d'hier fut cxlrèmement rude. 11
gc-mâxle que les Kabiles de i!eni-Ouria D el aient
tt\tanu recennneut ie concoure de trums voisjijus et aient pu réunir ainsi un total dé
lu WX» nommes parfaitement équipés c-t possédant même des canons.
Un journal déielai-c que les rebelles sont
dirigés par des chefs habites, et les mouvements qu'ils lont exécuter à leurs troupes
démontrent que la.strabgie leur est connue.
1,'atàque d'hier fut d'une gronde violence;
elle lut menée par des groupes très nombreux d'infanterie et de cavalerie ennemies.
Les troupes espagnoles ont rpousao touts
les attaques, le succès
initial des rebelles
ayant été rapidement contenu par l'arrivée
du renforts.
Suivant les journaux, le feu continuait hier
soiri dans toute la zone d'i combat.
Selon des dépêches particulières reçues par
des ioui naiix, l'ennemi a continue ' a faire,
prouve pendant la journée d'hier d'une grande atgtttssivlié, par suite sans doute de romvée continue de renforts que l'ennemi reçoit
constamment.
Pendant toute la journée, les trompes esoaÇnoles, tant péninsulaires qu'indigènes ôint
fait constamment preuve d'une inébranlable
résistance : elles ont repoussé énergiquement
1ÇS rebelles dans toutes les attauucs
à
la
Note
UNE OFÏ-ENSIVE TURQUE
L'ALLEIWNE ATTEND LA FIN DU
LES DÉCLARATIONS DE LORD CURZON
Paris, 28 juillet.
Lord Curzon a fait hier à notre ambassadeur des déclarations permettant de penser
que ie Conseil suprême pourrait se réunir la
deuxième quinzaine d'août.
AU SUJET DE LA RÉPONSE ALLEMANDE
Paris, «3 juillet.
On télégraphie de Berlin au Matin :
« J'apprends de source autorisée ou» le gouvernement de Berlin attendrait l'issue du différend antglo-français pour achever la rédaction de sa réponse à la note de M. Rriarudl
sur la Haute-Silésie »
LES DÉMARCHES DE M. CHARLES LAURENT
Paris, 23 juillet.
M. Charles Laurent, ambassadeur de France
à Berlin, a été prié de faire une démarche
auprès du cabinet allemand afin que ce dernier prenne toutes mesures nécessaires pour
le passage à travers l'Allemagne des troupes de renfort, qui dès oue la Grande-Bretagne aura approuvé la procédure qui lui est
soumise, seront expédiées en Haute-Silésie.
L'ATTITUDE DE L'ITALIE
Rome, 23 juillet.
Le ministre des affaires étrangères a dharge
le représentant d'Italie à Varsovie d'appeler
l'attention du gouvernement
polonais sur
l'opportunité d'éviter de sa part toute intervention directe dans la question silésienne
pour la solution de laquelle le Conseil suprême est seul compétent.
LES CHEMINOTS SSLÉSIENS PROTESTENT
Beuthen, 23 juillet.
Les journaux allemands disent que les employés des- chemins de fer allemands en
Haute-Silésie .ont adressé un appel aux organisations ferroviaires du Reich pour qu'elles
s'opposent par tous les moyens au transport
des renforts français.
LES DÉCISIONS
DU CONSEIL DES MINISTRES FRANÇAIS
Paris,, 23 juillet.
Le Conseil des ministres d'hier a longuement discuté la question de Haute-Silésie et
hier soir de nouvelles instructions ont été
envoyées à notre arabasssadeur à Londres.
Ces instructions', qui ont l'approbation complète de tous les membres du cabinet, prient
notre ambassadeur d'informer à nouveau le
gouvernement de I^ondres que la France est
toute disposée à régler la question de Silésie,
mais qu'elle tient à s'entourer de toutes les garanties poMr que l'ordre ne soi', pas troiuhlé.
D'autre part, le gouvernement français insiste sur l'envoi immédiat de troupes supplémentaires.
Enfin, il insiste également sur la convocation préalable de conseillers techniques dont
les travaux permettront au Conseil suprême de
Statuer en toute connaissance de cause.
LE
DÉPART DU
GÉNÉRAL
LEROND
Berlin, 23 juillet.
Les journaux annoncent que le général Lerrnd a quitté Oppeln dans la nuit de jeudi
ii vendredi, par train spécial, se rendant à
Prague. De là, le général ira à Paris.
A QUAND
LA REPONSE ALLEMANDE ?
Berlin, 23 juillet.
La réponse allemande à la note française
n'a pas encore été remise d l'ambassadeur de
France à Berlin.
Le gouvernement allemand annonce qu'il a
dû faire un supplément d'enquête au sujet de
certains faits énoncés par M. Briand.
Cette défaite dissimule le véritable motif
du retard apporté par le gouvernement allemand à répondre. En fait, il attendait le
développement du différend franco-britannique pour mettre au point les termes définitifs
de sa réponse, mais tous les ministres sont
tombés d'accord sur les termes de la note.
Depuis longtemps, on connaît, en effet, la
thèse allemande, qui consiste h rejeter sur la
Pologne tous les incidents qui se déroulent en
Haute-Silésie, même l'assassinat du commandant Montalègre, et l'on peut prévoir à l'avance ce que va être le contenu de cette réponse.
VERS UN ACCORD FRANCO-ANGLAIS
Pairis, 23 juillet.
Si nous en croyons des échos Qui viennent de Londres, et nous aimons mieux quand
il s'agit de relations franco-britanniques, pécher par confiance que pécher par méfiance,
il y a de grandes chances qouir que te conflit
ne soit pas très sérieux et pour que les pessimistes aient tort.
iNon seulement la France et l'Angleterre
peuvent s'entendre sur la procédure relative à
la Haute-Silésie, mais elles ne sont peut-être
pas si lcnn de s'entendre sur le fond même
de l'affaire, sur le tracé de la future frontière entre la Pologne et le Reich.
A vrai dire, aucune ligne n'a encore été
discutée entre les gouvernements alliés et
l'espoir que nous exprimons ne repose que
sur des données bien vagues. Nous tenons
néanmoins à en faire état, car la France est
dôsireus'î avant tout de clore cette trop longue controverse et d'en venir le plus tôt possible à un juste règlement.
Si nos prévisions optimistes ne devaient
pas être confirmées par les événements, les
nouvelles qui nous démentiraient ne. pourraient arriver que de Londres, car il n'est personne à. Paris qui n'ait envie de faire crouler
ces espérances. Pas plus qu'à Pontenoy nous
ne tirerons les premiers et nous sommes persuadés que lord Curzon, infiniment plus sasge
que ne l'imaginent ses voltigeurs, ne songe,
Pas plus que M. Briand, à proclamer la faillite de la diplomatie franco-anglaise.
LE VOYAGE PRÉSIDENTIEL
Paris, 23 juillet.
Voici le programme du voyage que H prétùlent de la République fera lundi, mardi et
mcirureili de la semaine practoiaine au Havre,
à Rouan et a Dieppe :
Douait de Paris lundi 25 juillet, à 7 h. 50,
ïtnr la gène Saint-Lazare ; arrivée JIU Havre
a W heureij. Après la présentation des autorités sur le quai do la triaie, le président se renr
tira au Palais des Itegates, où il donnera lo
siotial du départ de la course disputée en son
honneur M. MiilleranJ se rendra ensuite à la
soue^prêiecture, puis au quai d'escale, où il
assistera n un déjeuner offert par la Ligue
Maritime. A l'issue ite ce déifeumer, le président s'embarquera pour .passer la levue na\ale. Le reste de la journée sera consacré
a différentes réceptions qui auront lieu tant
au Tl-é-tti-e-f'ài'que qu'à l'Hôtel-d.e-Ville et à la
Chambre de commerce.
Lemiar di 2f>, a.yirès une visite aux hospices,
pujs aux quais (À a.cx travaux du port, ie
1»résident de la République s'omba^quera. a
10 h. 46, au quai de Marie, sur l'/lmirni-Stnes
I-cnr se rendre à Boum où, après un arrêt a
Ouilleboeuf à 1 heure, il débarquera à 1S h. 30.
11 ira enf.uito au palais <tes ( onsuls ot à l'H oteNle-Ville, où auront 'nio les léiceptions dets
nuAoriit's. puis à la préfecture et au Palais
M JveÀVtto Peur assister au banquet qui lui
som. offert par la ville et la Chamlbro de commerce
De inftrcfjdi 27, le président de la Riépublikm qnlttona la ;pttSfyctiire à S h. 30 pour se
teartre i> l'Kxposition meritirne «nsanieee par
Ta cb-iimlb're de (on..;me.rce M. Mllkirand s'ennbarquiê.r.1 enouite pour la pfasepj'île L,lie, où
il visitera le dock flottant et les î.iouvea.ux
c'ua.is dm •part de Rouan A II ThéanU, après
avoir d/ba.rnué .au palais dos Consuls le cortèae g'.a:e.nera la place du V:ieiLX-Min.rohé et le
président déipcwern une nalme au Mcrnorrial
de Jeanne di'Arc, puis 60 rendra a l'IhMelPicu M. Millornnd présidcira ensuite, ft la
Crfiîleicture, un déieuner ou'il offi« aux notabiïltés. mus. à Pi lieur-:s ?(l, il visitera î'Fcoln
normale où il déposera une geirte 'êé'fuaPB
.lovant le mioirumnct &pv& aux éducatt .urs de
la Spin^-Iiiiif-ù-tenre morts pendant >a .fuorna.
H qrtititr*a Rtman /. 10 j mrr* P "•> v
So.int.-F.auvo'ir pour se rendre à. Dieppe, où 11
rrriwra h 17 h, tô. Le président se îendra à
la -traw nMKlwma pour» visiter le nouveau
•MMiûebot Versatile* et il prendra place sur le
Rouen, qui appareillera, pour une courte sortie,
devrmt le Pari. F.ufli.. M. MlUrnand d.i'ibi.rouera. ;'i tfl h. *5. à. la gare maritime et, aprfe
diverses réceptions a l'ITft trl-de-Vilie, assistf.ro au Casino, ii un dîner offert en son hnnni*ur par la ville et la Chii.m.brB de comm^i'Te
Le président rt> la TwTWilqïïio quittera
r-i&ppe à 21 rneuro3 pour rentrer a, Paris.
i
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La
!
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Comédie
PATZIG N'EST PAS ARRÊTÉ
Berlin, 23 juillet.
On dément de source danoise l'aiwestation
du cipitaino Pateig. Lo capitaine ne réside
pas ou D'aneniark.
L'individu!
arrêté s'nppoVe bien .P-itzig,
mais il n'a rien de commun avec le capitaine.
•~.
;
la Marecliale
Bruxelles, 23 juillet
La maréchale Lyautey, venue à Bruxelles
a l'occasion de la session du 2° Congrès inter.
urftionSil pour la protection de l'enfance, a été
reçue en audience par le cardinal Mercier.
' Hier soir, elle a dîné au palais de Laeken.
Dans la journée, 0M0 est allée déposai des
fleurs sur le tragique monument des fusilles.
au Tir National.
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
COMMUNIQUÉ TURC
Constantinople, 23 juillet.
Secteur de Brousse. — L'ennemi dont l'aile
droite s'était avancée jusqu'à la ligne Yenikeui-Bazardjik, est arrêté depuis hier. Un
violent duel d'artillerie est commencé. Plusieurs colonnes volantes turques ont dépasse
le front grec entre Keupru-Hissar et Venioheir.
Secteur d'Ouchak. — L'armée ennemie, qui
avait été arrêtée sur la ligne Hadjukeui-Viran. a commencé à se replier. Une colonne
volante turque, qui agissait à l'arrière des
troupes 'grecques, nous a ramené 12 prisonniers, dont 3 officiers.
Les forces ennemies, en essayant d'avancsr
au nord d'Altountach, ont été arrêtées par le
feu de notre artillerie.
Une bataille acharnée est engagée sur la
ligne Tataroglan-Keuroglou.
Secteur d'Afioam Kara-Hissar. — La bataille annoncée hier a fini par la victoire
des Turcs. L'ennemi est en retraite, laissant
entre nos mains de nombreux prisonniers,
des canons et des mitrailleuse*. Parmi les
prisonniers figure un colonel. Les pertes
qrecaues sont très élevées.
Secteur du Méandre. — L'ennemi a été oblige de reculer devant les attaques exécutées
par nos troupes entre las localités de Boudourlou et Kourtepe.- Nos troupes ont occupé
les positons de l'ennemi, qui est poursuivi.
DÉMENTIS INTÉRESSÉS
Athènes, 23 juillet.
Une note officieuse relève que des dépêches
de source turque prétendent que les Turcs
auraient, contre toute vraisemblance, réoccupé Yeni-Cheir au nord, Toulou-Bounar et
même Afloum-Kara-Hissar au sud.
Des tentatives insignifiantes et vaines de
bandes irrëgulières sur ces points ont été signalées en leur temps.
« De source autorisée hellénique, les affirmations turques, dit la note, sont totalement fausses et dômienties. »
APRÈS
LA D'.VSSIÔN FRANÇAISE DE RENFORT
Paris, 23 juillet.
La dhision de renfort qui doit, se irendre
en Haute-Sdéste aurait déjà été désignée par
le gouvernement français. Ce serait celle de
Nancy, la 11« division; commandée par le
glénjéiral Vidal on.
DÉMARCHES
DE L'AMBASSADEUR DE FRANCE
A BERLIN
Berlin, 23 Juillet
L'amba&sadcur de France s'esit rendu aujanrd'ihui à midi chez le ministre des affaires
fctMWiigeres pour lui demander : , d une part,
cn'ii fût fait à sa démarche antérieure une
réponse aussi rapprociuie que possible et.
d'autre pa/rt, que les .neùui'eis nécessaires fussent prises pour le transport de renforts français & destination de la Haute-Silésie.
LA PRiSE D'ESKI-CKEIR
Athènes, 23 juillet.
On annonce qu'après la prise d'Eski-Cbeir,
une bataiUe rangée contre les forces ennemies
a été livrée du nord-ouest au sud-est d'EskiCheir. L'ennemi a été culbute sur toute la
ligne et s'est retiré en débandade, en laissant'
sur le cliamnip de bataille un très grand nombre de prisonniers. L'armée hellénique triomphante le poursuit sans relâche. Les restes
des armées t iniques d'Eski-Cheir et de Kutahia
sont poursuivis sur la route d'Angora, où ils
cbei-cihent à se concentrer.
Les avions grecs bombardent les trains ; la
cavalerie grecque opère parallèlement à la
voie ferrée, lsinet pacha aurait été blessé et
son chef d'état-major aurait été tué.
Les Turcs seraient contraints d'évacuer la
presqu'île d'Ismidt.
DE LEUR C0 7É LES GRECS CHANTENT
VICTOIRE
Le Gouverneur ii irai do l'âipie
ûéiQissioona
La Grande Semaine Maritime
Constuntinople, 23 ]uill%
L'offensive turque semble se développer sur
les deux ailes. D'après un communique kema.
liste, Afloum. Karahissar et Doumlou-Pounaf
seraient pris.
L'armée grecque du Sud serait ainsi mis»
dans une situation difficile la plus .granda
partie du ravitaillement de' Smyrne passant
par là.
Paris, 23 juillet.
M. Abel, député du Var, a adressé hier à
M Briand, président du Conseil la lettré
suivante :
« Paris, 22 juillet.
« Monsieur le Président du Conseil,
« Après avoir attendu pendant vingt jours
l'audience que je vous avais demandée, dès
mon arrivée à Parts, j'apprends, ce soir, que
le Conseil des ministres a remis à jeudi sa
décision sur le renouvellement de ma mission.
« Il ne me convient pas d'attendre davantage. J'ai l'honneur de vous adresser ma
démission de gouy^rneeur général. L'Algérie par l'organe de ses assemblées et par la
majorité de ses rep-résentants au Parement
m'aura du moins au milieu des circxmstandes
difficiles témoigné à défaut de celle du gouvernement une 'confiance qui restera l'honneur
de ma vie. .le lui en prouverai ma reconnaissance en demeurant à la Chambre ries députés
le plus dévoué défenseur des intérêts algériens.
« Veuillez agréer, etc..
1 Signé : ABEL. »
Athènes, £3 juillet.
(Communiqué officiel.)
Le 21 juillet, l'ennemi a effectué une violente contre-attaque, avec quatorze divisions
d'infanterie et deux brigades de cavalerie,
contre notre centre et notre extrême aile gauche, cherchant à la tourner. Simultanément,
avec sept divisions, il tenta d'enfoncer notre
centre. Nos armées, repoussant dès le début
cette offensive, se lancèrent aussitôt à la contre-attaque, qui eut pour résultat de culbuter
l'ennemi sur toute l'étendue du front et de le
poursuivre dans sa fuite vers l'est.
Vo s brigades de cavalerie exécutèrent des
charges nul infligèrent des pertes importantes
à l'ennemi en retraite.
Nos troupes ont fait de nombreux prisonniefs et ont capturé des canons intacts et un
matériel fort important.
La poursuite continue.
DÉMENT!
TURC
Constantinople, 23 juillet.
Les Turcs démentent avoir eu 30.000 prisonniers. Le nombre total des troupes turques engagées devant Eski-Cheir n'aurait pas dépassé
30.000 hommes.
QUEL SERIA LE SUCCESSEUR DE M. ABEL ?
LES GRECS VEULENT CONSTANTINOPLE
Paris, 23 juillet.
La brusque démission do M Abel simplifiera
peut-être la tâche du gouvernement en ce qui
concerne le 'gouvernement général de l'Algérie.
Jusqu'à présent, en effet, tant en raison du
nombre des candidats sur .les rarags que des
démarches pressantes faites en faveur du gouverneur, dont la mission venait d'expirer, par
divers parlementaires, le maintien de M J.-B.
Abel semblait malgré tout possible. En s'éliniiinant lui-même, le député du Var ouvre la
succession.
Deux candidats se détachent du reste du lot :
M. Steeg, sénateur de la Seine, ancien ministre de l'inférieur, et M. Delanney. Les autres
dont op a parlé, MM. Robert David et Adrien
Dariao,
notamment, n'ont que des chances
d'out&iders. 11 faut toutefois faire exception
pour M. Tissier, dont les chances seraient sérieuses s'il se décidait, à poser sa candidature.
Par sa lettre do démission, qui témoigne de
la nervosité, M. Abel a montré qu'en effet, à
l'heure où la situation en Algérie est si critique et si délicate, il serait assez mal désigné
pour continuer A gouverner cette grande possession de l'Afrique du Nord.
On donne encore comme outsider M. Gaborit. député de Seine-et-Marne.
»
Athènes, 23 juillet.
Des manifestants grecs ont défilé devant la
légation britannique a.gitant des drapeaux et
criant : « Vive l'Angleterre I »
Les journaux de toutes les nuances demandent que les troupes marchent sur Constantinople.
Les
Troubles
en
Italie
FASCISTES ET COMMUNISTES
Rome, 23 juillet.
Dans les couloirs do la Chambre, après la
séance, un député fasciste a donné un coup
de poing à un député communiste Plusieurs
députés ont empoché l'incident d'avoir des
conséquences.
La Confédération générale du travail s'est
prononcée nettement contre mie grève des
services publics, édictant une procédure très
sévère à ce sujet et déclarant qu« les ouvriers de distribution du gaz, les infirmiers
et les boulangers ne pouvaient jamais se mettre en grève.
.
*e*
A
,
.
nos Correspondants
H PUS vrtnm Instamment nos rédacteurs-tor.
reepondanti :
1" D'envoyer sans relard lentes les tnfor*
mations >
3" De condenser leurs covrriers :
$' De résumer les ccKimuniealions fl 'o
'» officiels :
l" De ne vas envoyer (te lona* arttcl'a Oi
Veut dire beaucoup en au<*iQuct liants J
ILS ANNONCENT UNE NOUVELLE VICTOIRE
Athènes, 23 juillet.
Le président du conseil a reçu la dé'pêclvi
suivante de M. The.otokis :
« Je vous annonce une nouvelle grande vi
/U 1
ire et vous communique
<
toire
le rapport du g**
neral Papoulus
Aussitôt a.près l'occupation de Dorylée. no,j
trompes reçurent l'ordre de passer sur la crête
Tanisiuan, au nord de la voie ferrée de Tsii lanar-Dag, jusqu'à Dornop. et de continuer {l
poursuite vers Axakoli. D'autres éléments, pu['
le» déniés de Hdktn-âeidM-lazi, poursuivirent
l'ennemi vers l'Est ; d'autres sections, à iej trè me -gaucho, le poursuivirent sur lnunu, ai
l'année se trouve tout entière concentrée.
« L'adversaire qui, lui aussi, avait concer.f
tré presque toutes ses forces, composées de
li divisions d'infanterie et 2 de cavalerie et
comptant peut-être sur la fatigue d'une longue
marche et de notre situation désavantageuse
par suite de la poursuite à travers les dédiés*,
contre-attaqua, le 21 au matin, sur tout le
front. L'effort principal fut fait par seipt divisions pour faire une brèche dans notre centre, sur le haut plateau de Chil ; mais notr«
armée, qui était prête, repoussa l'attaque da
l'ennemi dès qu'elle, fut déclenchée et le con«
tre-attaqua. le bousculant sur toute la ligne
et le poursuivant, vers le Nord, jusqu'à la ligne
de la crête Bosdag, à l'est d'Ourcliach-Bogaz,
et ail sud-est de Maxhmoudi. La brigade de
cavalerie, dans sa charge, sabrait les fuyards-,
« L'ennemi a subi des pertes graves sur toiil
le champ do bataille, abandonnant de noim
breux blessés. Nous avens fait des prisonniers,
capturé des canons et du matériel de guerre.
_ PAl'OULAS. »
LES TURCS REPRENNENT LE DÉFILÉ
DE PAMOUDJOUK
Paris, 23 juillet.
Le colonel Sadik, commandant le secteur de
Kodja 1111, a envoyé. 011 date d'hier 22 juillet,
les informations suivantes au Bureau d'informations turc do Paris :
« Les troupes nationales, sous le commandement de Ned.jali boy, ont reipoussé l'ennemi,
qui atteignait dans les environs de Biledjlk.
Elles ont réoccupé le défilé de PamoudiouU ;
li automobiles chargées de munitions et d'armes et de nombreux prisonniers sont tombés
entre uos mains.
,
« L'ennemi est poursuivi par deux colonnes
turques. »
entraînera dans ses mouvements le panneau
mobile dû. devant auquel il est relié également par des charnières et qui, pour permettre lentrée. est percé d'une porte."
Au cas ou l'éleveur aurait & sa disposition
des fûts, il pourrait s'en servir Corinne de
niches. Pour cela, des madriers posés par
terre, ainsi que des chantiers dans une cave,
recevraient les tonneaux, dont on aurait eu
LE OIROUIT DU MANS
soin au préalable de faire sauter l'un des
fonds, en laissant seulement une petite planLe Mans, 23 juillet.
M. Le Tronquer, ministre des travaux pu- che pour retenir la litière. Le nettoyage en
blies, est arrivé vers midi au Mans II a été est également aisé, car un fût largement
reçu à Ja igare par les délégués de l'Automo- ouvert peut être lavé à grande eau additionbae-Club de l'Ouest, le préfet et le maire du née d'eau de Javel, puis séchée par une poiMans, le général Guillemot, commandant la gnée de paille. Les fûts à pétrole sont parti4 région, les sénateurs et députés du départe- culièrement désignés pour cet usage ; l'odeur
ment, les délégués de l'Autoimobile-Glub de qu'ils dégagent persiste très longtemps et
I-rance.
Le ministre s'est immédiatement éloigne les puces et autres gêneurs.
rendu en automobile sur le circuit, dont il
On voit donc qu'à peu de frais, celui qui
a visite une partie, puis aux tribunes offi- habite la campagne peut installer un petit
cielles, où il a présidé le déjeuner qui lui était élevage qui, bien conduit, lui assurera un
offert par l'Automobile-Club de l'Ouest
revenu qui n'est pas à dédaigner, surtout
Après le déjeuner, M Le Trocquer a 'assisté aujourd'hui où les chiens de race atteignent
aux opérations du pesage de l'équipe améri- des prix fabuleux et, en même temps, se
caine.
créera une occupation qui bientôt le passionministre est reparti à 16 beures pour nera.
Le printemps est le meilleur moment pour
faire naître des jeunes qui auront toute la
belle saison pour se développer. — S.
PÊGHS
SPORT
DES
LE BUREAU PERMANENT
FÉDÉRATIONS INTERNATIONALES
SPORTIVES
A la suito des Conférences de Inusanne des
il mai et l or Hiln derniers, qui ont été .réunies
(sous l'initiative do l'Union Cycliste Internationale, le Bureau Permanent des Fédérations
Internationales Sportives est maintenant définitivement constitué comme suit :
Président. M. Paul Rousseau : imemlhres :
MM J.-IÎ. Douglas, Plorn Gustnvos, A. Kiirby,
•Fraiitz ltaichel. Secrétaire honct&ire, M. A.-H.
COURSES
DE CHEVAUX
AU TREMBLAY
Paris, 23 Juillet.
Prix Flibustier, à réclamer. 4.000 francs, distance 000 mètres environ. — 1. l'ata, à M. A.
Eknayjan (G. Garner) ; 2. Verbeni (M. Mac
Le
71
travers
les Journaux
Ruban
Violet
Sont nommés :
Officiers de l'instruction Dublin,,»
.
, r!??, : Al l0rs ; Mto»
Jougla, àrrèbes (Aude)- M LtP
lc
(Tarn et-Ciaroom$ ) ; SfàWAL^ i * Mo l*
«te ; MM. A>W, ,
^àArmâ
Gareassoiinq .; Bayle
B-ayle, è TS V^Ude^
. un, a
Bayron
à -saintrAib
Saint-Antonin .(Taîn Pt {F ° r «ee .
Becq, à Montauban
d'Agen (Tam-et -'Ç-ai...
Ber-nii,
au lycée de Toulouse
yiri, à Agen ; 'Mlle Char «
LE FACTEUR RUSSE
De Ch. Maurras, dans l'Action Française :
« n ne faut plus se contenter de regarder
l'Europe centrale. D'aiprès certains juges, un
facteur russe pourrait jouer. Je reçois d'Angleterre une correspondance qu'U faut faire
circuler :
« Le colonel House télégraphie de LondTes
le 18 juillet au Public Ledaer, de Philadelphie,
un article concernant la oonférence pour la
réduction des armements proposée par le président Harding, dans lequel se trouvent les
lignes suivantes :
« Autant que les informations reçues de Rusi sie sont dignes de confiance, on peut estimer
n maintenant que, avec ses réserves, la Russie
« a l'armée la plus 'imiportante du monde. Elle
c n'a pas évidemnient un matériel et un état« maùor comparables à ceux da l'drmée fran« çaise ; néanmoins, elle est suffisamment
i puissante po.ur qu'on en tienne compte dans
« un plan de réduction des armements.
« Le» Allemands semblent être complètement
« désarmés et ne constituent pas une menace
« en ce moment. Si cependant ils liaient leur
« fortune é. celle de la Russie, ces deax puis« sauces deviendraient immédiatement une
« source d'iruquiétudes pour l'Europe. Avec des
« officiers allemands pour commander et un
» état-major allemand pour diriger, il y aurait
i de nouveau en Europe deux formidables for« ces opposées l'une à l'autre... »
« Cette opinion du conseiller intime du président Wilson est particulièrement intéressante »
<£es meilleures marques
« Le péril était grave il y a douze mois.
Tout montre qu'il s'est puissamment aggiravé
du côté de l'Allemagne. Va-t-il recevoir un
eux prix les plus avantageux multiplicateur mealculable du côté de la Russie? »
Jaurès le regardait curieusement dans les
grands meetings.
« — Il se forme ! disalt-U un jour au Pré6-aint-Gervais.
« Mais déjà Mi. Jouhaux avait son opposition, même du côté révolutionnaire. M'. Monatte et son groupe de la Vie ouvrière ne
l'aimaient pas ; ils le jugeaient trop opportuniste, trop « politicien »...
« On sait comment M. Jouhaux devint « défense nationale » et se rallia à l'union sacrée
devant lo cadavre de Jaurès. Il avait senti
passer le grand souffle de la patrie. Mais
voici que, plus tard, et notamment encore
au congrès de Lyon, en 19:19, il expliqua bassement son attitude. Ce n'était pas par patriotisme qu'il avait accepté la défense nationale, mais pour sauver les syndicats, pour
en maintenir les effectifs ; s'il avait parcouru
la France en qualité de « commissaire à la
nation », jetant dans tous les coins du pays
des paroles d'union sacrée. C'était pour avoir
le droit d'inspecter les organisations ouvrières... Bref, M. Jouhaux s'est, en somme, vanté
d'avoir joué la comédie en 1014.
« Cela serait fort grave, si M. Jouhaux
n'avait eu une excuse, assez piètre d'ailleurs :
il se défendait contre les extrémistes, qui
lui reprochaient précisément d'avoir été patriote. Mais, tout de même, le secrétaire de
la C. G. T. a montré à ce moment la vilain
côté de son caractère : le côté roublard du
politicien.
« Ses " excuses » ne lui ont du reste servi
de rien. Les extrémistes ont voulu l'abattre à
tout prix -, et malgré l'appui apporté par ses
adversaires de la guerre. -MM. Dumoulin et
Mterrbeiin, ils ont pu espérer qu'ils allaient
réussir.
Aujourd'hui, on peut le dire, M.
Jouhaux est, dans les réunions publiques savamment travaillées par les communistes,
l'un des orateurs ouvriers les plus impopulaires. Les dictateurs de Moscou ont jeté sur
lui l'anathème, en même temps que sur l'Internationale d'Amsterdam. Et par un curieux
retour des choses, le successeur de M. Niel
au secrétariat de la C. G. T. supporte les
mêmes haines, les mêmes clameurs, les mêmes violences
auxquelles
il applaudissait
quand elles s'adressaient, il y a douze ans, à
son prédécesseur. >
; &laT
quier, A Cuxac-d'Aude • Bocqùier
Mme Donnai, institutrice Saf;« Auri«a c
de jeunes fiHes d'Albi ; MAI Bnn
^U
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fesseuir au lycée de Rodez - fin,,
°u, pS*
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à l'Ecole normale de Rode;
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Coll 4ï
primaire au J>el (Aveyran)
titutriçe primaire à Rehnont
Ganideba
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instituteur nri^LL.
^ufeS
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maire public à Ger ts£ÏÏ,t??i> "^'tuteur 3
IniEzv
LE CARDON
Non placés : Estampée, Simplicité.
alsa3
Dne courte tête, une longueur et demie.
ne) • Ca,ntrrn^
?ce-(i,,,
Le gardon est un loli poisson de la famille
de musique au Ce «m de»
Mutuel : gagnant, bi.50; placés : Tata, 11.50; des cyprins (comme les brèmes, carpes, etc.)
;
(Verbeni, 17.50.
vit et gourmand ; on le rencontre un peu
Çlauzure. directrice d^ools nrim?^
'Mtt2
1
Prix Macaroni, 4.000 francs, 2.000 mètres en- partout ruisseaux et grands fleuves, eaux
deaux ; MM. (^lombeCi^lnu^nf ^ * BoK
Coussan (Lot-et-Garonne)
c Qn\f  mmaire j
•riron. — 1. Uruguay, à M. Pedro Ybarraz (L. vives et étangs.
|larie) ; 2. Cartdin (J. Maiden).
Le «rardon porte divers surnoms, suivant
Non placés : Ghantereine-II, Pei-Ho, Mordri- tes régions (Manc, roche, etc.) • en réalité, il
ta, Sanrette.
faut distinguer deux esuèces nettement disQuatre longueurs, une longueur et demie.
semblables, et parfois
cohabitant dans la
Mutuel : gagnant, 41.50; placés : Uruguay,
même rivière. Le gardon commun ou gardon
E0.50; Caridin, 16.50.
blanc, aux flancs brillants et nageoires rouB
mstlt "-teV|
Amdy (Basses-Pj-Ténées)
'
Prix Pasquinado à réclamer, 4.000 francs,
, affectionne surtout les eaux courantes.
M. Courriad.es, professeur ™ />«*M
1.400 mètres environ. — 1. PlaciUa, à M. P.
Le gardon rouge ou rotengle. au corps plus
«uurne
Court "^C??^»
man™**
X? m a e
bourne :; Mme CVL
Péiissler-Tanon (J. Maiden) ; 2. La-Faloterie aplaU et aux couleurs plus vives, affectionne
:(F. Garcia) ; 3 Sun-Slioke (J. Jennings).
surtout les eaux dormantes et berbeuses
Non placés . Faneur-II, INubierin, Bray-DuLe gardon de rivière est facile à prendre et
nes, Mizard, Soldanelle, Dodu, Germaine-III,
presque en toutes saisons ; c'est lui qui est
e
f
«lais au co^7^jenSS 9' flC M <««
Mme-Carysan.
te plus pécbé des hôtes de nos eaux douces,
dOUHAUX
Mutuel : gagnant, 86.50; placés : PlaciUa, %;
et il est 'heureux pour les pêcheurs que la
- primaire I fefs :
Ln-F.a.loterie, W.50; Sun-Shoke, 20.50.
nature l'ait fait prolifique. En avril, avant la
Ecole pratique de
De l'Eclair de Paris •
Prix Banter, 6.000 francs, 1,000 mètres en- fermeture, il mord gentiment aux vers de
20, Rue de Languedoc, Toulouse
VrniT
viron. — -. Evsonos, à M,. N.-E. Ambatielos yase qu'on lui offre au ras des souches, dans
« M. Joulhaux est jeune encore, il n'a pas
(G. Garner) ; 2. Le-Fanfaron (A. Steppe).
atteint la cinquantaine. De profil, il ressemles remous et anfractuosités des bords, pour
ble
étranglement à Napoléon III, blais sans
Non placés : Porte-Glaive,
Le-Bénédictin,
peu qu6 l'eau soit un peu trouble ou seuleAiitlnea.
en avoir le teint blafard. La moustache et la
ment que par eau claire le pêcheur ait pris
Mutuel ; gagnant, 19.50; placés : Evsonos.
barbiche noires tranchent sur 1s teint veroagrès des
Métaux
la précaution de se monter finement, par
16.50; Le-Fanfaron, 10.50
«Sgg Primaire à P ™
meil ; les yeux sont petits et comme enfoncés
exemple avec un hameçon 14 empilé sur un
1 ; De9
collège de Villefraiirh. rfc
Wanges
Prix Touchstone, 10.000 francs, 2.000 mètres seul crin de cheval bien transparent.
dans un amas de chair, de bonne chair fraîLille, 23 juillet
m î ; Douî<
lycée
de
Tarbea
î^n$
T
environ — 1. On-lès-A, à M. le baron Baeyens
Après la fraye, qui a lieu en mai et parLe Congrès des métaux a été appel*, hier che. La tête puissante est coiffée du large
(N. Kriegelstein) ; 2. Trinidad (A. Sbarpe).
fois ju-sju'à mi-juin, notre gardon aime assez après-midi, à se prononcer sur deux motions, chapeau noir qui était à la mode jadis chez
RÉFORME UNIVERSITAIRE
mlôn^Sncon^,^!
Non placés ; Britanic, Van, La-Palisse, Ca- la nourriture animale, vers de vase et asti- l'une
minoritaire
contre
l'Internationale les anarchistes. Pour le reste, le secrétaire de
aiautè
-Garonn^' ^^^
^^
1
rola, Dioscure.
la
C.
G.
T.
est
grand,
corpulent
et
vêtu
comcots ; mais il ne dédaigne pas 19 pain le d'Amsterdam, l'autre majoritaire et qui est
'
^aroi, collège de Saint
Voici les très justes conclusions d'un article Girons.
me un brave bourgeois retraité ; il ne manDistancé, une longueur, une demi-longueur
chénevis cuit, le blé cuit. Cependant il sem- celle du bureau fédéral.
de
M.
Maurice
Spronck,
dans
la
République
Mutuel : gagnant, 42 ; placés : On-les-A,
ble qu'en juin, mieux vaut le • êcher à l'astiLa motion mnoritaire a obtenu 113 voix, que même pas la chaîne de montre qui barre
Française :
19.50; Trinidad, 38.50.
cot, et no plus pêcher qu'au blé seulement à tandis que la majoritaire en obtenait 112. Il le ventre arrondi.
3
BoeuJté
lettres de M^ ,5- MM - &
Prix Camel, handicap, 6.000 francs, 2.C00
Avant 1009, M. Jouhaux avait les idées
partir d'août.
y a eu deux abstentions. Mais le délégué Vas« Du reste, quelques
controverses
qu'on ohe,
nier, directeur n/, ,„?
Montpellier ; Four.
mètres. — 1. Cyber, à M. Henry Count (J.
dont
son
chapeau
est
le
symbole.
Peut-être
Par exemple, en août et septembre, amor- seur, qui présidait le Congrès et qui, dans la
puisse enruager sur la .valeur Intrinsèque des
Mme Fruhn col,'^™^^ à
les a-t-il encore, et peut-être est-il un révo- programmes de 1008, leur aboutissement, en (Taru)
Jennings) ; 2. Bream f.V.: Sbarpe) ; 3. Moucez et eschez au blé cuit, vous réussirez tou- chaleur du débit, a\ait oublié son bulletin
de Tarbes W TZin i ? fl de Jeunes fille»
chette (A. Voodlnnd).
LYCÉE de
'ours.
de vote majoritaire, a déclaré porter aujour- lutionnaire méconnu... En tout cas, elles se tout cas, ne ipaJait (fuèf* controversable, et il
lté des
ÎI'P
'
Montpellier
Gay Faculté"
sont adoucies, peignées, et sont devenues est à la fois clair, simple et désastreux.
Non placés : Saint-Moritz, Avenue-dn-Bols,
Canne légère, ligne fine (sur racine anglaise d'hui une réclamation è. ce sujet devant le
Gieules.
biblio
Miott
'
^iïïTft,*»
Montpellier :
plus présentables.
Astérolyne. Ci-Devant, Tilsit,
Detto-du-Sang,
wio.ntc.aire a l'Université de Touou sur un seul crin de ohevaP Hameçon Congrès.
« Les ce-inins qui sortent des lycées et col« Comme tous ses camarades, M. Jouhaux lèges ne savent presque plus de latin et encore
Manoneourt, Avize.
P
e
14, de -référence long de Use, droit, et
-,
"'
^
est un self-mode man. Mais je gage qu'il matas de grec ; mais ils ne savent pas davan- Sns de*roufo^ "
Trois longueur?. Deux longueurs
toujours fin de fer. Ne traînez pas, ou traîn'est pas le plus « cultivé » — au sens bour- tage le français, ni les langues vivantes, ni
Mutuei : gagnant, VA ; placés : Cybar 3150; nez û. peine, et dans ce dernier cas, ne mangeois du mot — des syndicalistes. J'ai vu les acieisces : ils ignorent les guerres que se
£:eam, 42.50 ; Mouchette, 21.50.
Le retour de Carpenfier
quez jamais de faire un relâché en fin de
une fois son coadjuteur, M. Marcel Laurent, sont livré les peuples entre eux ; mais Us
coup.
porter sous son bras un volume des œuvres ignorent encore bien plus complètement les
Le relâché, vous connaissez ? Si vous n'avez
A MAISONS-LAFFITTE
L'AP.P..1VÊE AU HAVRE
d'Aristophane, traduites en français ; jamais institutions et les mœurs de ces peuples. En
pas eu de touche dans la coulée pendant que
je n'ai vu M. Jouhaux avec un livre de litté- définitive, ils ne savent rien, et n'ont reçu,
le flotteur passe lentement devant vous, cesLo Havre, 23 juillet.
Paris, 23 Juilet.
rature
sous lé bras. Mais peut-être les met-il pendant huit ou diix ans, que de vagues em- I^tang au lycée'de' Montât " M
La Savoie, qui ramène Curpentier d'AmériDemain, courses à Maisons-Laffitte.. — Partants sez d'accompagner de la pointe du scion quand
dans sa poche ; car il a dû travailler terrible- preintes incohérentes et fragiles ; c'est le dé- du collège des jeunes filles de Tarbes (Ha,t
la plume est près de la fin de sa course : cet que, 'est arrivé sur rade à 23 heures.
pt montes probables :
Mme Car.pentieir et quelques amis avaient ment pour devenir ce qu'il est..
sordre installé dans leurs tètes, avec une inPrix de Montlgny : Srysdale (G. Stem). Bad-or- arrêt tendra à faire faire à la ligne, poussée
« Sa jeunesse fut celle d'un ouvrier, et qui tense sensation d'ahurissement et dé fatigue.
l'nitim,,
ïL ,
r acuité des sciences de
|Good> (Mao Gee), Dancer (M. Henry), Trëvisse-iri par le courant, un angle suffisant nour qu'en pris plaoe sur le Titan et s'étaient portés auuuu
pis est, d'un ouvrier propagandiste. Il fallait
*P : 1Wmc Mondôn, du lycée de ioimsa
iki Solférlno-IV (J. Jonin), BrUle-Parlums fG. liel- aval le enain de blé s'élève an-dessus du devant du paquebot.
« L'ancien régime d'enseignement, qui pou- fl„
a
e
0
MM P
l'entendre
au
congrès
confédéral
de
Lyon,
h-ouss), Chatoyante (A. Sliarpe), Pequot (.r. 0''Neil), fond. AHors, rendez la main franchement,
Carpentier a déclaré que Dempsey était bien
vait d'ailleurs prêter le flanc à des critiques
r f
W à B«8
ec ^ normale
ajr.aifalge.ir (J. WlnkifieW), Guignol (J. Goyat), Keel et, avant même que le flotteur soit redevenu le plus fort boxeur qui existe actuellement aux en 1919, évoquer de sa voix puissante, mono- sérieuses, présenta it au moins l'avantagie de fe)
S„ '„',' c ' d. lpie°f
de Montait
|X...), Pfmnant (A. Vocdland) , Arm-ide (J. Lepinte).
tone à la longue — la voix de M. Jouhaux constituer une excellente gymnastique psy- ban . Nougue a loulouse ; Mlle Perruchetï
vertical,
ferrez
légèrement
du
poignet
C'est
Etats-Unis.
Prix du Lude : Al-mcra-fJ. Goyat), L*-Bél:eir (Mai
ml
n'a pas de nuances — cette jeunesse tragique. chique, de donner, à ses ressortissants de bonCarpentier partira ce matin pour Paris.
^°TiA^)JJ ^onse ; Pierre*
©60), Bateau (G. damier) iDlane-Malery (M. Henri), étonnant, ce qu'on prend ainsi de gardons
Traqué de chantier en chantier, ne man- nes méthodes de. travail et de les accoutumer Jean, a Lcdève (Hérault ; Mlles Pianchon à
fioselinde (J. Winldlekl), Btourdii-Ifl (J. Oockej, les jours où ils sont joueurs ou hésitants à
S
ai
a
aro
geant pas à sa faim, mais poussé par ce à une solide discipline intellectuelle. En leur eet
L'ENTRÉE TRIOMPHALE
Sir-Douglas (S. DonasKiue), IDerner (C. Bouillon), mordre.
r,,^ ?^^
«*rs) ; Mme Pou besoin d'idéal que tous les hommes non mé- apprenant le latin, il leur apprenait peut-être cet a Lunetl (Hérault; ; MM. Popls à Nchio
J)liver-UI (M. Pruatn.hiolU), La-Bel4cwne (C. Hobisj,
En temps normal, la touche du gardon est
Paris, 23 juillet.
Uarn-et-Garonne)
;
Pradailor
à
Verrièresprisables,
à
quelque
classe
qu'ils
appartienpartants douteux : B-apin (X...), Huranville £G. assez lôgi'.re et se compose de deux tressailleDès 11 heures, des centaines de personnes nent, ont connu, M. Jouhaux semait à tous une langue inutile ; mais U leur apprenait à oMMjg (ivjyro,,, ; Ratooul
à
Alzonna
lîaiiitin).
ments successifs du flotteur : mieux vaut se pressaient attendant l'arrivée du frain (lu
apprendre, et leur laissait ur£ souplesse céréPrix da Noœay : Awag (J. Wlnloîeld), Altmaviva ferrer dès le premier... mais il faut avoir
Aude ; Raison à Espalion ; Raynaud à Albjb
Havre. Bientôt, la feule déborda le service les vents les idées d'anarchie. Ah ! il devint, brale qui les adaptait par avance à. toute ipro- Rias à Lespmassière (Aude) ; docteur Ricard
«T. Goyat), Raffet fX...), Trévisse-III (J. Jenin)
à cette période de son discours, vraiment fession quelconque où ils voudraient porter
'esprit prompt et la main leste. —- PESCOFI.
d'ordre, qu'il fallut renforcer. A midi une miBwell (M. Henri) Orange-juteuse 6Q. Blehouse)
émouvant.
leurs efforts. Le régime de 1902 leur laisse unie a Agen.; Rognes à Belpech (Audei, ; docteuï
Fulgurant {a. Gàrner). Brusc.ain.bilo (A. Sbarpe)
nute, salué par uno clameur formidable, le
a En 1009, il était ouvrier allumetier et déjà ignorance encyclopédique, compliquée d'habi- Roques a Montauban ; Roumegous à Foix
Kuisse-de-l'Oise (J. Gbikis, Expérience (G. Stern),
train fait son apparition, et tout de suite l'on
Ariege) ; Mule Rouqueyrol à Toulouse ; SauCHASSE
secrétaire
d'un
syndicat
ou
d'une
fédération.
Tribord (Mac Gae), Nadeje (C. Hobbs), King-Xarol
tudes de désordre ; c'est le contrepied paraaperçoit Carpentier, sa femme et Deseamps
badie a Bagneres-de-Luchon (Haute-Garonne);
UT. O'Neil). Atour (Cil. Chylds). Partants douteux :
Comme les Pelloutier, les Griffuellies. les doxal d,a toute espèce d'éducation.
qui,
souriants,
serrent
des
mains
nombreuses.
L'ELEVAGE
DU
CHIEN
fcrafalgar {X...).
Yvetot, les Delesailo, Jouhaux anarchiste
« Si M. Léon Bérard parviont à réagir con- Mil-e Sens à Montauban ; M. Servel à Mont- S
Carpentier reste dix minutes sans pottvdr
Prix Le Destrier : Eriamye (M, Henry), Agir (X.),
peilier : Mme Soubeiran à Béziers ; Mlles avait vu dans le syndicalisme une arme forTout le monde connaît, pour l'avoir vue
CTassouiliatiJ. Coclce), Limey {G. Garner), Sonaereu maintes fois s'étaler en belle riace, l'annonce mettre pied à terre et subit des centaines de inaduible contre l'Etat et il s'était ainsi rallié tre ce paradoxe -et à rompre avec les erre- soulié à Damazan (Lot-et-Garonne) ; Symments d'une pédagogie démagogique, la place phorose à Capdenac (Aveyron).
!A. Sharpî), Aclry (J. winkfield), SaLnt-Hélior (-G.
questions sans broncher. Puis, entouré de la
suivante : « Moyen de s'assurer 3.000 irancs foule, il s'échappe par la sortie des bagages. à l'organisation ouvrière. Les luttes étaient qu'il conquerra dans les annales da notre
BartUoioiiiev,'), Saint-Marc (F. O'Neil) Gorovy (J
Mille Tirana à Montpellier ; M. Treillou h
Jenninss). Triplet fA. Voodland), L'Êscurlen (M. de rente par l'élevage du lapin... ». Si les La suite, une brute en folle qui démolit des violentes à cette époque,, aussi violentes Université do France est de celles qui suffisent
qu'aujourd'hui, au sein de la C. G. T. Grif- à la gloire la iplus enviable, que puisse sou- (Montauban ; M. l'abbe frinquier, aumônier
tTttliiusIiOiltz), Snovdrop (F. Garcia), Partants dou- bénéfices ne sont pas toujours d'une exacticarreaux
et
dès
balustrades,
presce
et
érrAw
teux : Lady-Phryxa (E. BouiUon), Montesanto-II tude rigoureuse, il n'en est pas moins certain
fuellies était, remplacé au secrétariat par le haiter un homme politique : il aura attaché à Lodeve : MM. Vieilles, à Castres ; Viroli K b>r
i le champion, et finelement, impasse d'AnV«îa Villemoustaussou (Aude) ; Ramond à Calque le petit propriétaire qui se livre à cette terdam, se décide à le porter en tri-imptie. réformiste Niel, qui ne pouvait « tenir » plus son nom à une réforme, — et nous prenons le mont (Haute-Garonne) ; Mme Raoul à Ville
Prix de Poissy : Mignon ou Nuée. .fN.Kriogelste.in.)
do quelques semaines devant les révolution- mot naturellement dans son sens noble, non
industrie
y
trouve
une
source
de
revenus
qui
gckmutil (J. Goyat), Loupy (J. Lepinte), Adare PC.)
C'est sur les épaules de sœ admiiratmrs que naires déchaînés. Et Griffuellies reprenait le point dans son acception trop fréquents de neuve-rle-Rivière (Haute-Garonne) ; Mme Sa®'oisy (C. Bouillon), Elf-King (J. Lamoure) La- ont augmenté dans des proportions considé- le vaincu de Jorsev-City desceritî la ruï d''»nvs_
pouvoir sous les apparences de son disciple grande manoeuvre élcrtorale destinée à amor- boulard à Toulouse : M. Rouges à Peyriacrables depuis la guerre. Cet élevage, lucratif
«fcarmerosse
Lepinte), Anglicèle (n. Mitotiel).
Jouhaux.
cer la crédulité des foules ; — car une réforme Knnèrvois (Aude) ; Mimes Roux à Toulouse;
quand il est conduit rationnellement, n'est terdam. Un gro'ttpe d'aigents fend la foule.
Prix Eugène-Adam : Balkanic (J. Ciiilds) Guer
Ils prient le boxeur d'entrer dans un des
« iM. Jouhaux était alors bien effacé. Mais véritable est chose rare II faut, pour l'obtenir, Rouziès à Decazeville Rumeau à Vielié-Ai
Kère-II (S. Donogbue), Ad-G'orlam-H (G. Bcihouso^
cependant pas le seul
auquel peuvent se
Rumeau à
taxis
libres
qui,
au
riidîSeu
de
la
rué
de
LonToulôi
Jeltoun (G. Garner>, CasiiUo-deParis (X...), Lepeu à peu, à force de discours, il acquit cette beaucoup d'énergie, et plus encore de téna- (Hautes-Pyrénées)
livrer avec succès ceux qui habitent la camMlles Rodât à Sain.t-Affrique ; Doussea
froaige (H. Alteman), Sereska {.G. Péior), Dormanis pagne et peuvent disposer de quelques loi- dres, attendent, que la foule se soit dbpersee éloquence qui en impose aux foules ouvrières. cité. »
Montauban ; Ricard à Rodez
MiM. Rica
pour reprendre leur marche. Le boxeur acJG. Bartholomew), Muscadin (P. O'Xeill), Bomarsund. sirs.
Pla (Pyrénées-Orientales) ; Ricun
*• Vvinkflcid), Nonchaloir (J. Cocke) Abri (Mac
cepte et. au milieu d'un triple « ITurrah ! »
Au petit rentier, au modeste retraité, à tous regagne son appartement de la rui MagelEee), Seloct (N. Kriegelstein), Durzeta (A. Sliarpe)
le-Fort (Hérault) ; Rachou ù Ifàaf
Komto (J. Jealn), Xantis (A. Toodland).
ceux qui, après une existence bien remplie, lan èn taxi, tandis que son auto particulière
Distin ctions hon critiques caud à Loucrup (Hautes-Pyrénées
sont venus demander à la campagne la vie i
RiCarcassonne ; îiives à Luhac (.-i-ve
l'attend dans la o -ur de la garé, entourée de
Pronostics :
facile et reposante et qui, du fait du coût '
aiiLa médaille d'honneur des travaux publics vière à Sauveterre (Aveyron) ; R<;1
quelques sportifs déçus.
actuel
de
la
vie,
sont
obligés,
pour
accroître
Parts-Sport : Dancer, DryscBâle; Batea-u,La-Beîc.ne
Saa été décernée aux cantonniers dont les noms lac (Tarn); ; Ralfin à i'aullian 'He
Pulgi.M'ant, Almaviva ; Abri Ad-Gloriam-11 ;A
leurs ressources devenues insuffisantes, de se
lette à Savignac (Ariège) ; Mime S
suivent :
Somsrôu ; Mignon, Ecurie Eknayan.
créer une occupation, nous avons pensé gu'iis
(Basses-Pyrénées) ; Mn
Tarmeit-Garonne. — MM. Berric, à Mas-Gre- Masparraute
Le Jockey : Dancer, Chatoyante
Bateau Le
trouveraient dans l'élevage du chien un ap^annier : Daynôs, à Albias ; Truiliie, à BeaU- van à Rodez ; MM. Salvayre à . Jbi
Naufrage
d'un Vapeur
Bélier ; Pulgairant, Bnrascani.bU.le ; Abri, Bornians
point qui n'est pas à dédaigner.
mont-de-Lomagne.
ges
à
Corneibarrieu
(Haute-Garonne) ; ians
fiemereu. Saint-Marc ; Mignon, Eckmul.
Po.ur être mené à bien, l'élevage du meilEcole Supérieure
Ariège.
M. Sourt, à Saint-Jean-d'Avgues- à Castelmaurou (Haute-Garonne' ; Sau
La Veine : Peciuot, Da.ncer ; Massis, Bateau
leur ami de l'homme demande seulement du
vives.
Ecurie Mantacli,
Fulg-urant
; Ad-Gloriam-II
à
Sauveterrem
à Arque. (Aude) ; Saure
Alger, 23 juillet.
de
Commerce
de
Toulouse
soin,
de
l'espace
et
quelques
connaissances
Gtieirriôre-II ; Grassouillet, Saint-Marc ; Loupy
Aveyron. — MM, Azémard, à Lignlsse ; De- Béarn (I sses-Pyrénées) ; Saussol à Grau iet
Le vapeur Chezine est arrivé h Alger, où il
Mignon.
spéciales, quelques petits tours de main facia Tomousé ; sem^e a Bagnèdu vapeur français RÉSULTAT DES EXAMENS DE JUILLET 1921 bar, à Sanvensa ; Gimolac à Grandri°u • (Tarn) ;
les à acquérir pour quiconque a un peu de a ramené l'équipage
( Hautes-Pyrénées)
.Mme Séna
Lagriffoul, à Bleupeyroûx ;' Pegu, à Saint» res-de-lii
Yilic-de-Casablanca, recueilli en mer, à six
A VIANNE (Lot-et-Garonne)
goût. Comme en toutes choses, les débuts sônt
Afi'rique.
MM.
Silhol - Lunel (Hérault) ;
à
Toulo
milles au nord-ouest du cap Djinel, près de
Cours normaux. — 2' année : Examens de
hésitants et les premiers essais ne tout pas
Mlle Sire à Viane (Tarn) ; MiM. Solier à SainHératdt. — MM. Faget. à Cette • Sauvage,
- ortie — Ont- obtenu le diplôme supérieur,
Première Journée, Dimancho 31 Juillet, à 3 heures
à Cers.
toujours couronnés d'un succès complet. Sou- Dellys.
te-Eulalie-de-Cernon (Aveyron) ; Mme SoloLa Ville-de-Casablanca, capitaine Filippi, par ordre de mérite : MM. Petiteville (TouEngagements :
vent le néophyte fait procréer et élève sans
Landes.—- MM. Oandau, à Mont-de-Marsan ; miac à Montauban ; Mlle Somps à Agen
Rocaché (Toulouse), Adrover (Touétait partie de Bougie avec un changement louse)
méthode
et
ne
recueille,
du
fait
de
son
inexVias (Hérault);
Daii'goumeau, à Villeneuve ; Dartwuelongue à (Basses-Pyrénées) ; Tairairc
Prix de la Société hippique de Vianne. — Le
complet
de phosphates,
à destination 'de louse)' Satgé (Toulouse!;, Pique-mal (Aiiège),
périence, que des insuccès.
Cbamaré, Georges Olaverie : Meliana, Haniel Gues
Bompàrt (Tarn), Léon Dugert (Bassës-Pyré- Grenade ; Pérès, à bosse ; Soubieon, à fei'ntt Tarbouriech, à Narbonne ; Mlle Tardos à SaVincent -de-Paul -, Lelîtté, à Mées
Pour épargner à ceux qui seraient tentés Huelva.
tier ; Snc-w Plake ; Favorite-11, H. de Lacaze
ramon
(Gers)
;
MM.
Terre
à
Toulouse
; 'lerA 5 heures du matin, une voie d'eau s'était r*es), Chanfreau (Haute-Garonne), Noëll (PyVisr», Mme de Monbel ; ArgenUDoubie, Albau de se livrer à cette occupation les déboires
Lot. — M. Bale-t, à la Tieclerv.
rolle à Montpellier ; Tible à Fournels (Lodéclarée dans la cale des machines, étei- rénées-Orientales), André Dugert (Basses-Py'Jamrne. 6 produits engagés.
qui ne nous ont pas été épargnés, les con- gnant les chaudières. Le navire s'enfonçant
Lot-et-Garonne — M. Ghandruc, à l'écluse zèreO • Tible àCastéru-Verduzan (Gers) ; 1 mirénées), Mlle Louise Picard (Gers), M. Sonra- d'Escoule.
Prix de la Société d Encouragement (hors série)
nai à Toftlouse ; Mile
Toulza à Caraman
— Mon-Ual'cn, Ma.t.hieu Lemaire ; Parka, Antoine seils nous ayant manqué au début de notre rapidement, les embarcations avaient été mi- quès (Aude),
Mlle Cazaneuve' (Gers),
MM.
carrière d'éleveur amateur, nous croyons deBasses-Pyrénées. — MM. Casa n ave, à La- (Haute-Garonne) ; Mme Tournier à Toulouse .
Fontan ; Myletta, Georges Eyinard; I^a-Pompolle-I.
ses à la mer et le vapeur, abandonné, avait Cros (Aude), Lézin (Tarn-et-Garonne), Catalo
runs
Barpoulet,
à
Accous
;
Pétrissan,
à
Anvoir
faire
profiter
de
notre
expérience,
parMM.
Tourrct
à
Toulouse
: Valut à Sai-nt-KoBon, de Curzay ; Fontanelle, comte de Lastours
(TanU, Galangau (Pyrénées-Orientales), Calt giet. ;
sombré quelques instants après.
me-de-Tarn (Aveyron) ; Valat à
Seuiidens
Gulil-Sue-aiii-U, Jactru^s Métier ; LaiBellote, Pierre fois chèrement acquise, les nouveaux venus.
L'équipage, au complet, avait été recueilli (Pyrénées-Orientales), Mlle Stabl (Toulouse;.
Verse: a ; Ebert; Argileuse, Auguste Duprat; Bonne
Nous nous efforcerons donc de résumer dans par le vapeur Chezine, commandant PoidePyrénées-Orientales.
— M. Sourc-oue, à (Tarn) • Mlle Verdier a Agen : MM. Vidal, au
MM
Rouziès
(Aveyron),
Bloch
(Tarn),
CotoMaury.
Bouteille, Henri Vilenave ; Briey ; Claquette-II
cette petite étude le fruit de nos observations
collège de Bagnères ; Vidal à Toulouse; \ ieunat (Ariège), Gélaxle (Aude), Vazelle (Cantal),
vin. 11 sera rapatrié sur Marseille.
Eric Cassaet ; Labourdin, J. Roux Nauton ; La
P'ersonneilles, heureux si elles peuvent rendre
iefond à Toulouse ; Maie Vigneau à Tculouse.
Tisseyre (Aude), Combes (Aveyron), Gouazé
Môre-itcnry,Amédée de Tauzia. 14 produits engagés.
e
quelques services à nos jeunes confrères.
Mlle Vignier à Cette ; Villa à Maugio (H*
-*»>(\ri4e), Gaubert (Hautes-Pyrénées), Mlle IV
Congrès de FInternat
Prix du Gouvernement (hors classe) , anglo-arabe
Pour peu qu'ils veuillent bien nous suivre,
rault) ; Vincent è Agen.
35 %. — PiLgry, Dick Kalley ; Enùr-lX, Bon Gas
îerttie Picard (Gers), Mlle Molles (Toulouse),
nous
les
conduirons
au
milieu
des
mille
petits
«ïuet; Lionceau-II ; Saint-SûbastieiHl, F. de Saint
des Hôpitaux
MiM!. Pascal (Aveyron), Auque (Tarn), Jauzac
Dans les Remontes
Jayme ; Sans-Ou!otte-1 1. Alphonse Laverdiuro
écueils qui hérissent la route de l'éliScur et
TOULOUSE (29 Juiliôt -1""- Août 1921)
Agriculteur, Jolmnnés Soudar ; Orphée- ni, comte qui pourtant peuvent être facilement évités.
(L
superieuCertificat
d'études
commerciales
LES ENGAGEP/1EMTS
François de Béarn. 7 produits engagés .
Omettre les détails qui à première vue paraisrcs • MM. Castex (Toulouse , Pons (Niè.re),
Prix do la Société Sportive d'Encouragement, sent superflus, c'est, risquer de transformer
Le IV CongTès ae l'Internat se tiendra cette
Du 23 juillet
Une
circulaire ministérielle
en date du
Deilhes
(Lot-et-Garoime)
dAlmeida
(Portuarabe, anglo-arbe, 2" gl'. — (Dèbrulcêria, F. do
année à Toulouse du 39 iuillet au 1" août 12 mai 1921 autorise les jeunes gens a con— tin service religieux sera célébré à l'é- aal) Germaneau Basses-Pyrenc^s).
Saint-Jaynio ; Azkanra ; Sacrée-Guerre ; Sarnarie, bientôt l'élevage le mieux installé en un cen1921.
glise
polonaise
de
l'
Assomption,
«3
bis,
rue
tracter
des
engagements
dans
les grouP*
A.Koudel; Saphlr-VUI, Henry Hepetou; Incon.nu-11, tre morbide.
l" année : Examens de passage. - Admis
Les trois premières sessions, qui ont eu
Dick Kalley ; Sa-Majesté, Pierre Gassedat ; Faro,
La première des conditions, c'est l'habita- Saint-Honoré, le mardi 26 juillet, à 10 h. J
par ordre de mérite : MM, Lonné (Basses- lieu à Bordeaux (1010), à Nancy (1012) et à de cavaliers dti remonte dans les condition»
Josopjt Berlé ; Estimée. Comte François do Béarn;
ion. Il faut que le logement des animaux précises, pour le repos de l'âme du comman- Pvrénées) Bataille (Haute-Garonne), Lepage
ci-après :
,„
Lyon (1014), ont toutes montré, par le nomKornUjff, Jclhannls Soudar. 10 iM-otluits engagés.
Engagements de 3, 4 ou 5 ans pour .essoit salubre et surtout chaud, car le froid et dant Montalèg»e, assassiné en Haute-Silésie.
(C\>rrèze) Mlle Roc (Toulouse). MM. Lapeyre bre aes congressistes et par l'intérêt des rapPrix de la Société d'Encouragement, 4' série. — lhumidité sont, avec les peux, les ennemis
— Le nonce apostolique, Mwr Ceretti, quitte\veyrcfn . Latore (Aude), Mlle Dasque (Tou- ports qui furent présentés, quel nlaisir les jeunes gens âgés d'au moins 19 ans.
Mon -tialon, Mathieu Leinaiire ; Prune-d'Ente, Dara Rome lo dimanche 1-1 juillet au soir et arEngagements de 4 ou 5 ans pour ceux us.
oiise) V)M. Pinel (Haute-Garonne), Léveilié internes et anciens internes avaient à resniel G'iiestier; Le-Supembe. Chartes de Sal verte ; les plus redoutables du jeune chiot. A la
rivera
mairdi
matin
2
août
à
l'axis.
.
,
.,
, „ c.
Jouteuse, Henri Garrot ; La-Ponipelle-II, Bon de campagne, en général, les communs ne man(Toulouso., Duffaut (Gers), Bayle (Ton ouse , serrer leurs relations amicales et de quelle moins de 19 ans.
Pour les engagements de 4 ans il est «s
Cursay ; Fontanelle, Comté de Lastouirs ; Argiteusc, quent pas. Il n'est pas rare de trouver, en
Mlle Canère (Gers), MM. Martin (Tou ouse)
•>-3*utilité pouvait être l'étude et la discussion cordé une prime de 400 francs et pon ^
'Auge Duprat ; Bonne-Bouteille, Henry Villenave ; .irolongement de la maison d'habitation, une
Vviœé (loulouse), Jalbaud {Tarif), Delpuectl de leurs intérêts communs.
Briey ; Marceati-VIL Victor Gaillard ; Vengeur-III
engagements de. 5 ans .une prime de w«
vieillie grange servant de débarras ou de
(Lot), Tayac (Tarn). Rives (Hautes-Pyrenees ,
Le Congrès comprend :
Folie, M. Al. Cushing ; La-Barre ; La-Gacha •
meher. Ces constructions, dont le sol est d'or11
Baroùsse (Ariege), Pontonnier (loulouse),
l/e-Coq, Mme R. do Monbel ; Lalbourdin, J Roux tlinaire en terre battue, répondent admira1' Des membres adhérents. Cotisation, 30
Pour contracter dès maintenant un engageLES râtBlDlOMUX AU FEU
Redon (Aveyron), de Vais (loulouse), Rouch francs (15 francs pour les internes en exer- ment ou un rengagement au titre du 8* grou
Nauton ; Mylitta. Georges Eymard. 17 produits
blement à cette destination. Leurs dimemions
engages.
(Toulouse), Sarda (Attèfi»),
Tajan (Gers), cice), qui ont droit à toutes les publications DO do cavaliers de remonte à Tarbes, il sum
Prix do la Société dos Steeple-Chase de France, sont habituellement très suffisantes pour y
Savin (Ger*.
MM. Ormières (Aude), du CongTès.
de s adresser au bureau du recrutement d»
A été promu chevalier de la Légion d'hon- Mlle
tcross-cou.ntry, 2* catégorie). — Prosnes-VI, G. Bêlas installer un lot respectable d'habitants, sans
Du/a(i (Haute-Garonne). Host«c!ie (Ton ou:.e ,
2* lies membres associés (famille des in- s» 'rouve à proximité du domicile dos iW£
tto Soulages ; RlvalcIH, Paul Diaguirard ; La- leur imposer une promiscuité nuisible a leur neur "le sous-lieutenant, du 11' d'infanterie ràvre (Pyrénécs-OrientaleSi. Viot îouluusej,
ternes et anciens internes, docteurs en méde- tmêi et, pour tous renseignemeiît5''*.')mp}»
Bordolaiso, Baron de Spens d'Estignols. 3 produits santé.
Teulô Vital, avec la mention suivante :
firlîurii (Arièse), Ducros (Pyrénées-Orietita- cine, étudiants). Cotisation, 15 francs.
mgagés.
mentaires, s'adresser au commandant du a»
Nous supposons donc que le bâtiment exis« Officier courageux et énergique, ayant tou- fest de Pôr^non (Tarn-et-Garonne). Chaila
Voici le programme du Congrès, dont nous pèt de remonte de Tarbes.
te, convenant parfaitement, après avoir été jours été d'un magnifique exemple pour ses (Toulouse), Dastian (Toulouse).
reparlerons ultérieurement :
AUTOMOBILISTE
débarrassé, à l'usage qu'on en attend. La homm.es. Plusieurs citations. »
Méd«iïl»s de la Chambre de commerce :
Vendredi 29 juillet. — 9 heures : Ouverture
Théâtre de plein air
première des conditions à assurer, c'est la
argent MM PetitevUle, Rocaché et Donne ; du Congrès à la Faculté de Médecine.
Toutes nos félicitations.
LE GRAND-PRIX AUTOMOBILE D'ITALIE
propreté du sol et des murs, et leur désinfec
bronze', MM. Adrover, Satge, Bataille et LeH heures : Visite de la Faculté de Médede Nar bonne
L'A'iiiternoibile-Club de Milan fait c.onnaitr; tion. Le sol devra donc être gratté, puis lar
cine.
.
' ~
, ,
P
ïoùrs élémenfaires. — Dix-neuf élèves ont
le programme définitif des manifestations or- gement inondé d'eau bouillante, dans laquelle
12 heures : Déjeuner offert par les internes
LA FILLE DE LA TERRE
obtenu le certificat
d'études coinmercia es en exercice à leurs camarades des autres
ganisées ù tooeasiom du Grand- Prix Automo- on aura versé do l'extrait d'eau de javel. Led
La Fille de la Terre ,1'admirable tri' g; iî
bile d'Italie.
murs seront lessivés, en employant le même
élémentaires, dont deux avec mention hono- Facultés.
" \M. Emile Sicard et Deodat u
Cette épreuve se disputera le 4 septembre procédé. Après ce premier lavage, on aérera
lyrique
de
MB-.
14 h. 30 : Séance de travail à la Faculté de
rable.
Séverac, sera représentée sur la scem.
Bur le oircuit do Brosci.i, en même temps crue la pièce et on la laissera conupiléteiment sé
diuwn Médecine.
le Grand-Prix italien d'Aviation, et sur le cher. Quelques jours après, on procédera à
17 h. 30 : Réception à l'Hôtel de Ville par Théâtre de plein air de Narbonne lé
Recettes
Buralistes
même parcours do 17 KM. 400. C 'cs>t la pre
une opération semblable et A nouveau coi
che 28 août prochain, à 1G h. 30.
„ nm m£
la municipalité.
Les organisateurs ont fait arnel. cor
cou
mlére fols qu'on verra se disputer simultané
assurera la dessication complète des locaux
Samedi 30 juillet. — 9 heures : Séance do
M Broué, reociveJT buraliste et débitant de
directeur
artistique,
à
M.
Joseph
Lignon,
v
ment uno course d'aéroplanes et d'automobi- Puis les murs seront badigeonnés à la chaux.
travail à l'Hôtel-Dieu.
lecteurs
peuvent
nous
adresser
leurs
tanaes
V
Sènlein
(Armge)
est.
nxnm
ô
on
la
Nos
Lorsque l'habitation aura reçu celte prépales.
11 heures : Réception par la Commission sident de la Fédération musicale. du Miu -j,
rtnm
ou
les
verser
dans
nos
Bureaux
M. Lignon, qui a créé les théâtres «~ A
De 8 sopteimbre se disputera le Grand-Prix ration, ou bien un banc placé à une certaine
des hospices et visite de l'hôpital.
nous nous ferons un plaisir (la les faire par.
nature d'Améiledes-Bains et de Cavail ou. ^
des VJitii .TOlùîs et le Grand-Prix d 'ae.r 'vnla .no s hauteur du sol pour éviter toute humidité
S4 h 30 : Séance de travail.
Prieura
G rôi de), est nommé, en la même
i/Piîîr ÊkU COfVîîÎB.
„.
.
qui a organisé de nombreuses renresonww flJ
de tourisme ; le 10 septembre, aura lieu le servira de couchette, comme cela se pratique
1G heures : Visite des Musées de Toulouse.
L "9 •OUSOrfpttons peuvent nous être adres- ni Ù / t Bo.-deaux-Pla.ge (Glande)
de plein air. a une grande expérience ue
Grand-Prix intamationa! des rnctoeyciettes
pour les chiens de mente, ou bien chaque
10 h. 30 : Banquet.
Bées uar chèefue postal : Compte n" 4.93G TouM Dneq de la Bavière Lllerault), passe
ftritfln, le lendemain se disputera une épreuve animal sera installé dans une niche, sysieim
Dimanche 31 juillet. — Excursion en che- genre de spectacles. Cette expérience, )0 ^
totw»
Avoir
soin
do
bien
indiquer
dans
ce
x
&4„0™«
mWn*
d'partoWient,
à un goût délicat et à des connaissances^
automobile pour gientlcimcn, une course ré- plus onéreux sans doute, mais que nous préCE", iur IS talon du chèque : « Souscription
^ ^(mod ,!e Linsalies- (Nord), passe à Mar- min de fer à Lucfton. — Visite des Thermes ; tisUques très averties, assurent au mt. a
servée aux dames et un Grand-Prix pour les férons pour l'élevatro ; car il permet l'isoleascension à Superbagnôres : banquet au Caieanne d'Aro ». Ceux do nos corresponiAants
pilotes rjviiateurs conducteurs d'autonnobilec.
de plein air do Narbonne une direewou
ment dos sujets et leur assure plus de conou lecteurs qui déslrenl recevoir des listts de SeM a MaSln? le Saint-Symphorien (C irondc). sino, etc.
I>e roi d'Italie vient de fane connaître qu'il fort pendant la mauvaise saison. Ces niebrs,
tout premier ordre.
~h n j«i l^*'
Lundi
1"
août.
—
Excursion
à
Carcassonne.
souscription
à
faire
remplir
sont
priés
de
nous
t\ni.itk \ iîai"-ière5-de-Luchon.
faisait don d'une coupe pour être attribuée disposées le long des murs, ne devront pas
D'autre part, M. Lignon a t té c no si ^
1 tl[ Tuv dy7de Paris-gare de la Rapée-Bercy,
— Visite de la Cité. Réception par la muni- Déodat de Séverac pour orchestrer tom»
les demander.
su vainqueur du Grand -Prix.
être du modèle habituelh'ment en usage poullie i
,
_.i
On écrit d'aniitre part, que l'on vient de re- ies chiens de garde, sortes de guérites diffinon installié, est maintenu à Bordeaux-Da- cipalité.
œuvres de plein air : Hélioqabale, Cam &
Pour tous renseignements et pour les adhécevoir l'annonce de la participation officielle ciles A nettoyer et dans lesquelles lo regard
Vallespir,
Munucto,
La
Fille
de
la
l
eri
mour
(Gironde)
}ei
Z
sions s'adresser au docteur J.-P. Tourneux,
au Grantl-Piix d'Italie, de la marque aile
"T Bauloc de Pont-Salomon (Haute-Loire),
la prière du regret» maître il a ." ié neOde l'éleveur ne pénètro qu'imparfaitement.
secrétaire général, 1. rue Bouquieres, Tou- sur
luand.-i Merrédés,
qui va ainsi se mesurer
pt.sse h N'avarrenx (nasses-Pyrénées).
trois dernières, des circonstances. »»
Cette niche a°sez semMable à un coffre à
avec les voitures françaises, italiennes et an
„
,
. ,, T ,
, dantes de sa volonté l'ayant empèon«
M Pouderoux, de Lamagutère (ram-et-Ga- louse.
(
avoine dont le panneau arrière est plus haut
Nul doute que ce IV Congrès de 1 Internat cepter la direction do la première, u étala
c-iWses, engagi'>es dans le Grand- Prix d'Italie. que celui de devant, assurant ainsi 1 inclivq.nne), passe à Valc-nce-d'Agen, même léparCette émeuve a dé]*, c-inme rnï?a,giées les
Nos lecteurs et abonnés, de passage à Paris,
français n'obtienne un véritable succès et ne donc tout indiqué pour monter LaJ""
naison du dessus, mesure 1 mètre de lon- neuvent consulter quotidiennement lédition
tnarquer. suivantes : Ballot Sunbeanm, Tal
^LWolX. de Begr.don (Gironde passe à soit fécond en résultats heureux pour; l'ave- Terre A 'Narbonne le 2g août prcciiai». êU«
bot-Dai-racci. Seat et ! tafia. L'engagement des gueur sur 0 m. 75 de largeur. I.e plancher, le Se Toulouse de VExprcss du Mf't, mise gra- Cadillac rur-Garonne môme département.
nir professionnel et scientifique do 1 élite du
Le choix des organisateurs ne pou^a
panneau
du
fond
et
les
deux
côtes
seront
cieusement à leur disposition dans les halls
.voitures Fiat n'est qu'util question de ]ours
M. Leroux, de Plomiofi (Aisne), passe à corps médical français. — D' Etienne LE- plus heureux.
^
inamovibles.
Le
dessus,
fixé
an
faite
du
pan*t il est preiliable q,ue deux voitures «umAn
de l'Agence Havas : G2. rue de Rlclielleu, et
VRAI.
Aire (Landes).
neau arrière par des charnières lui permet
Cfiincs Duesenlicrg fei'ont égaleinent le dépèboulevard des Italiens, Paris.
tant de se rabattre et de se relever à volonté. 1 11,
cement de Brescia
0ée).
CHASSE
PÊCHE
TOUS SPORTS
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d4
M
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PETITES NOUVELLES
L'« Express
du Midi» à Paris
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
DIMANCHE Z& ''JUILLET 192!
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du 23 juillet pf"
P ^Tidi d« la vrA u n\J£.
supérieure à la
^^ç^HS ^^ouse;
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^n&fi»- ; «aslma. 33Tenu m'i
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^ UN* FOHME. - CUE'.RJÎE
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INTÉMUN E
„
TROUBLES
TROU
RANGÊRÊ
GREZ LA
piEUBSLE
, , s'ouvrir la Semaine
quelques souvenirs
Kn moment
sociale, d materna ient
en peut-être d'actuafur Albert de Mun m oU^ appartient par
fit! N'oublions
et la fondation d'un
les origine, ses » cathbliques d'ouvriers.
l^emiers cercit
^ ^
..
cul ent en
Mun
des
Pendant des sic
.
d à quelques lieues^
«entil&bomines cam P|=
de g t Ans
ÏÏKA » c^féfimme. monté sur un rous
H" «SË^SSel
^rT" Pyrénées, comme son ancêtre, d'Arta
»T partit ii la connue*e de la gloire et de
g
^J°££w« la première sur le champ de
Si^Hrildem où il fut blessé ; d renc
rn u tre à la Co u r en épousant la plus ru
fiŒfar royaume, Charlotte de He v-eti
£?,1 dS fermier général, dont les sentinie
A * ^llires lui valurent celte èpitaphe :
TW sa ^es d 'Athènes et de- Rome
ii eut les mœurs et la candeur,
u neien.it l'Homme d'après 1 homme
Et la.."vertu d 'après son cœur!...
franchissons rapidement un demi-siècle et
Mun
«n 1837'nous voyons le père d'Albert de
les
.
ir à Eugénie de la Ferronnays. que
%Mh d'une Sœur ont nimbé d'une i
0
d
vmede Mun dont le charme extérieur avait
tant de
qui ignoraient son
frappertant
o* .personnes
i
sans
de la yi
^fvnfr se consacrer à l'éducation du jeune
AE L Panain de ce dernier, Albert de
£ Ferronnays, dont le mysticisme égalait celui cL ses sœùrs, frappé d'un mal, impitoyable offrit son existence ipour qu'Alexandrme
d ! Alopeus. schismatique, connût la vraae reh"lon • une parcelle de l'hostie qui allait
être son viatique fut la première communion
de son amie...
- .... —
Voilà quels furent les enseignements et les
exemples proposés au jeune Albert, « fruit
d'une tige précieuse et fragile dont une neui
charmante n'avait donné qu'un parfum d'un
jour
Albert de Mun entra à Saint-Cyr, en sortit
Officier de chasseurs et, sur sa demande, fut
envoyé en Algérie rejoindre son frère aine
Robert, Dans des pages intimes, peu connues,
nous avons le récit « du premier coup de
Jeu ».
S juin 1863, près de Tébessa, l'ordre est
'donné de monter immédiatement à cheval :
« Nous sautons sur nos pieds, transportés de
joie : une marche de nuit, une expédition
mystérieuse, une razzia sans doute, tous les
rêves de la vie d'Afrique ont saisi notre imagination : partir pour cette aventure, tous les
deux ensemble, également jeunes, moi sous
les ordres de Robert, quelle fête et quelle
joie! »
Quatre ans plus tard, les deux frères voient,
A Mustapha, un de leurs compagnons de jeunesse, le marquis de l'Aigle, attaché à l'administration des forêts domaniales ; là, ils rencontrent un lieutenant .prussien et un capitaine piémontais : ces officiers avaient reçu
l'ordre, le matin, de rejoindre leur corps. Naturellement, la guerre imminente avec l'Autriche fut l'unique objet des conversations.
Les Français discutaient contre le Prussien,
soutenu par l'Italien. A la fin, choquant les
coupes de cristal, on but avec lui,, joyeuse
ment, à une prochaine rencontre dans les
plaines du Rhin.
Pendant cette nuit de printemps africain,
par la fenêtre ouverte sur la terrasse enveloppée de roses et de jasmins, les guerriers
préludaient par des défis aux combats futurs
Albert de Mun avait épousé, le 4 novembre
lle
2i£o
Sophie-Mairie d'Andlau. Dès l'année
by -î
¥ A • ne quitta plus les garnisons voisines
de Paris II était à Châlons en 1869. Bourbaki
(Commandait le camp et la revue du 15 août
lut une parade étineelante. Cependant, la cavalerie s y trama en évolutions inutiles et, en
.18/0 au moment de la déclaration de guerre
le lieutenant d e Mun se plaignait de son inac
.toon sur- le plateau de Satorv
apr s nos
»«SrM'
!
Premiers revers, la
^* i e «« enfin utilisée. Albert de Mun
KmJ A, brusquement sur le champ de ba
où sa
^eernorlf
^cerner
la Croix d'honneur vaillance lui fit
chent à, roi-coups. On dirait «pu'il» saBii-ent le
visiteur, à moins qu'ils ne s'amusent de son
étl un
tant.
De
!Vme qu'une pieu te est d'autant plus
vivaoc «u'htl,,-. nloiife ses racines dans un sol
[ plus 1
m m
au capitouil, fit bà.tlr nu
mit dans 'ln lumière en
me supcnburgalerie d'un gothique llamboyant.i
Cniniirme à Bologne, la cité rouge, coimimc ai
San Gimilgnan 0, la ville aux treize I m ,
En venant dans notre ville, M. de Mun se
c'est ici le triiamrche de la brique rondau'ii
ouvenait des origines de sa famille. Jamais
ue d'ihiaibiiie.s maçons "u.rcnt asri'suplir à IVr-l
railleurs il n'avait cessé les relations les plus q_..
cordiales avec le chcl de la branche aînée, j gueilleuso volonté de nos ancêtres.
Après celui de la brique, voici, presque on
qui habitait l'ancienne demeure du juge-mawe
face; an numéro 16, le triomiphe du-boi§. Dondu Faur de Waint-Jory. plus tard- hôtel de
nant accès à un curieux ensemble de galeCastsllane, aujourd'hui aux Campaigno. 10, ries, c'est une de ces charpentes d'eecalieire,
rue Croix-Baragnon.
iiialestueuise et hardie, comntie on- sut en piro-_:
Ce personnage considérable était Jules-Cé :
je.stim de Mun, maripris de Sarlabous, qui -cl u i i-o sous le règne de Locia XIII.
Singulièrement audacieux dans la coinçieipavait épousé en ttM Aune de Montaut-Bras- tion et l'exvcutton de son ouva-age, 1 artiste,
pour en soutenir le poids vers la rauipe ex0& fut surtout après la mort do son mari,
n'a fait reposer sur le sot. aucun
: m .. nue eu 1882, que la marquise, de Mun tùri-eiaire,
pilastre. De sorti qu'on doit chercher dans
reçut avec toute la solennité désirable celui
l'équilibre d'un narfaU. issejnbla,i>e le seeret
qu'elle appelait « son cher neveu ».
• . •
d'une solidité qui a défié les siècles.
L'ancien capitaine de cavalerie avait monté
immédiatement sous le toit, ainsi que dans
en Girade ; nouveau Moitiitalemberi, devenu le
beaiircK.T) da nos vieux édifices toulousain^,
premier orateur catholique de la. Chambre,
É'ouVrd une série de ïnirandes aux oouahiets
dont je n'ai pas à apprécier ici les idées politi- CT-acleais-33. Il faut les voir à l'automne, lorsques, ses paroles étaient écoutées avec attenque - la viigne folle y rit comme une levu.
tion et respect par les députés de toute irouga », qu'elle en festonne te contours et
nuance
les interruptions étaient presque rotanif:? le lor s
murs en cfîwoeoes de sant,.
courtoises et jamais on n'usa à son égard du
N tuile vision ne saurait mieux nous préparai
bruit des pupitres ou des couteaux à papier
que celle-là à pénétrer au tttKCévf 20, oians W
Dans les dernières années de sa vie, on le mgiis de Piaiti'ô Delpech. Camme il conviera a
voyait apparaître encadré par notre compatriote Jacques Piou et M. de Mackau, condaiminé au silence par le mal impitoyable qui
la terrassait.
00""^
àè celle du logis de Isolé, son M^.
Obligé de me borner, je dois rappeler que ,gnon d'aïunes Déconnant sur le ciel leurs
« M. de Mun avait «aidé le goût du monde
V.lboiuottes de pftvSi pensives toutes, deux comdu théâtre et des Plaisirs de société. M. de me si elles se souvenaient, on croirait volonMun, dont l'esprit, naturellement vif et -gai,
tiers MWfta iihuolwten.t entre elles des chès'allumait et pétillait au feu de la conversares du pass*. On dirait que le vent po^leux
tion. M. de Mun si élégant en toutes choses et voix de l 'une à l 'autre. Elles causent de: leurs
si raffiné, eût-il été dépaysé dans tel de ces n-.iaîitinaî disparus, des chocs, des oonvulsMn.,
salons qui faisaient leurs délices des propos
des vicissitudes d'antan. Elles causent, le soir,
de ses aïeux?... M. de Mun, c'est le dix-huià. l 'heure -où
tième siècl-ii, catholique sans doute, mais c'est
tout, de même encore le dix-huitième siècle
...Sur la cité monstre aux écailles do t0 " s '
twCes quelques lignes, empruntées au discours Le- silence .descend, doux comme une paupière m
de réception, à l'Académie française, de
Sa dom,tuire, sa tour..., H^^M^iÈ^
Mlgr Baudrillart, peignent en traits ineffaç-a
bles la physionomie du comte de Mun, à da sède à notre reconnaissance, im tite» Wf*^'
plus grand. Rouergat d' origine
splendide réception donnée en Son honneur,
tàtô de la fortune dans là patrie ue «M
au printemps de 1893, par la marquise de
vers lui. du fo^ d« ^ WoMun, en son nouveau et somptueux logis de isauik il
viim d'abord Noël et Bernard, ensude P^ra
la rue Mage.
Assézat. Ce dernier. fl^u^U
^^g
Parmi les convives, je citerai les familles
ne tarda pas a acquérir,
de Suffren, de Bertier, de Pins, de Montant
immense
foirtun-e.
Brassac, de Bonald. do Sambucy et quelques .camiineroe du pastel, une .
C'est alors qu'il fit vonstouaire à toUl^fenlW
autres ; malgré l'exquiisité des mets, le vrai ici Tiïi nortf son nonii, te joyau de notre ivc
régal fut le toast du. comte Fernand de Resalais ûx
séguier, qu'eût certainement signé Rivarol.
msmi0WmSm^
XSiS
r« poites les plus délicatep..Armand
I™el,
La marquise de Mun, réfractalre aux tera pu éci-ine avec raison qu'il relevé de, conmes exotiques, appelait ce morceau d'éloû
quence : le compliment! Cette a;ppellation t &S d f'C'GS
Lorsque s'éteignit en France le souffle pasfaisait sourire. Peut-être la marquise avaitsionné des suerres civiles, nos architecte Bt
elle raison?
nos
décarateurs purent enfin, sans avon a
Dans la suite, la noble dame entr'ouvrit ses
salons à la société la plus élégante et la plus craindre les injures de la soldatesque brutale
hoisie : une de ses invitations équivalait à étaler en -plein jour, sur iœ façades en boiduire de la voie publique, les miuitipies proune promenade dans les carrosses du Roi.
Aussi que de demandes, d'intrigues même ductions die leur génie.
A cet .adoucissement de -mœurs, qu Henri TV
1y
pour les obtenir! Mais si l'on ne montrait
apporta par la paix des consciences, nous depatte très blanche, tout était inutile : on
vons de pouvoir aujouru'hui, devant ,e nu'entendait les violons que de la rue.
C'est ainsi que, tout doucement, la bonne méro 2? de la rue des Changes, ncigtaler no»
yeux dune élégante façade pcheee de loties
hôtesse arriva à l'âge de 80 ans et que la mort
icnêtr3« à croiadlons. Ce -fut, à 1 aurore du
vint la frapper en 1007.
XVII > siècle, l'œuvre de Géra ad Gomèire, enLa maladie, la cruelle artério-sclérose, n'acore .un de 03s m-archanis enrichis, çjui devint
vait pas épargné le Vaillant député du Finistère, son cousin, qui ne put assister aux ob- C&
lTi vSufle- voulez l ien, s'arrêtera notre
sèques.
«itonrte Mans vous conviendrez avec moi, je
Elles se déroulèrent solennelles, mais, profirepère; que ai laine avait fuanahi, comme
tant de l'absence de descendants directs habinous venons dei le faire, le seuil de ces. vieilles
ant Toulouse, beaucoup d'anciens invités demeures, un peu de leur nistoire présente a
s'épargnèrent un devoir cependant sacré.
l'esprit, il eût peut-être nnoms dédaigne le
11 y eut quand-même du monde de qualité ;
désuet qui s'en dégage et se fut atosc'étaient tous les exclus des réceptions an- diaimc
... .—,— sur r..,-.
d'éica-iTO
son ^qimAt
carhat tfi^
de loute ceii-e
ciennes qui se donnaient ainsi, sans protestairliîrase quirix%ume"'ibian les iniiprossions i m
tion possible, un air d'inlimité avec la déVOTWOT V**m de s'en aller :. Tou ouse est
funte... Ce fut * le salon des refusés »
« une triste ville aux rues oadlouteusob. et
Il est grand temps de conclure • à la veille
de cette Semaine sociale, ie le ferai en moraD'aÛléuirs.'qiue nous impotrUe cette note disliste, citant la profonde pensée, toujours vraie
cordante ti'un seul boHunte, noyée dans le
dans quelques sens que l'on l'entende, de
ïenoertod'So^s que iv>toe ville sut inspirer,
l'Ecriture : Tout n'est que vanité. — H. DE LA
depuis réuoèue lointaine où les troubadours
MARTINILRE.
Pont proclamée « la Fleur et la Rose de tous
LE VIEUX TOULOUSE
Les
Tours
de nos Vieilles Demeures
Ce fut une belle époque pour la renommée
artistique de Toulouse que celle où oajpitouls,
avoicats, banquiers et marahanids, épris de
confort et rivalisant de zole a.voc les parlementaires, édifièrent, avec l'aide des meilleurs arclhiieetes, -ces demeuras polvées qiui
font encore aujourd'hui l'admiration- des connaisseurs et donnent à notre ville son àime
charmante de la Renaissance.
Tantôt ils les faisaient aurgtf de terre tantôt ils aooomniodaient à leurs goûts nouveaux
des logis d'une rentre génération où, sous les
glaciaux décors du style à la mode disparaissaient les .formas « barbares » du gothique. Et
toujours ou presiTue toujours, .comme un témoignage de leur puissance et de leur noblesse fraîchement aftjuise, pointait vers le
ciel la tour de birique qui semble au'ourd'ih.ui,
sentin .ellc ouibiliée, veiller sur Toulouse endormie, à l'heure où s'accroche un dernier rayon
1
die soleil aux toits île la ... Ville Rase ».
Une de nos plus anoienmes ruas toulousaines, la rue des Changes, doit précisément
n
à
•dTÏ!n » Tu
il lut l'ouvrage l'appellation qu'elle porte encore aujourd'hui
eltel Aix-la-Chapelle,
s
,
à ce qiuc des banquiers ou peseui-s d'or vintraient m,
\
- F l'Encyclique pontificale,
aï nt en igirand nombre y installer leurs bouti£ St ta ^ 1:e
^ classes laborieuses, et,
Noël
ques de change Des îectres ipaliemties du
S™ ae
ri M^
,
- * côté de son comde la
Tour du p in. H ^ra de se
X\° siècle nous apprennent qu'elle devint
conS,™,
consaorer tout entier aux œuvres sociales,
apideracnt,. par le déveleipipcahent de son
coinmarieie, « la jilus notable rue d:e la ville ».
(mont -i "examiner comment il tint son serEt. cepondiant, que de rudes assauts n'eut
«Àii"' îf, ««t indisperisatole de connaître le
]0uia dans la ré ression B
pas a subir la tranquillité de nos ancêtres
mune
'
P
<1 la Com dans l'aicioomplissenient oie leur tà-che journaf C er
~
ir-n £ ii , d'ordonnance du général de Lad- lière 1
A
Dans cette jjue se livrèrent queiques-uns des
SVSTT' ,ll>ert de Mlm «ntra dans Paris par
T^ i
<} AuteuU, le 30 mai 1871.
comlbats les plus sanglants qui marquèrent
soîwhSJ* s . rues élaien* désertes, les mai- la crise relieleuse du XVI» siècle. Flanqué de
41
1
son liei'.Ptenant Bolé, Pieue Deipech, « prui^-rm 1s*
,pas™* " fermées. Pas une porte
rient, A-aiLlard et har.li, grand ennomy des
7* ; 6 moritr
"P* main ne se tendit, ipas un
visage n*
hérétiques », Pierre -Delpéch, dont nous ren,
a if>our les accueillir.
,Plaoe ttnuEylau, anrè<!
cointrea-onis un peu plus loin la demeure, fut
nuit à cheval.
l'àinic de. la résistance. A quatre siècles de disWufSf?^
Pain et de café,
ta 1 es pounparh
tance, il nous apparaît avec toute la fougue
minables
tlgnolles A^"î<T™'"'
Ponnpariers. Des Ba6
Un ma d'un chef vendéen. « Plutôt «mûrir, avait-il
mlestofon sv^tloue^f
' ^
,*
' déclaré devant les mastistrats de la ville asP arnique. mais au
contra
conimuniK? ^
semblés, qui le nommèrent capitaine de la
J^I fixe, lui jet couvert de sang, le bras nu,
rue dias Ghangies. plutôt inlourlir cluie de céder
a avant de mourir, ce dernier
-,ux menatoeis des Huguenots !... »
6S
sur!R és c est vous
Riche, il entretient à sos frais toute une
! »
* Trè- ém
' ' ' '
r 0Us C s
petite, armée, n'hésite .pas à se jetât- lui-môme
.-*bss"AlWtrti
f
^amatiques
incid rvr*
cens la mêlée. Habile (awtaine, nous dit un
f*aia4s i>ius t 1,Ml!d,ul se
rouvad, quelques seontam.por.xiin, il poste ses baronnes » les uns
% Ladmh^ut"
' l >s le cabinet du général
au
en pleine rue, les autres dans les boutiques et
L °uvre, lorsqu'entra un
norrone à n n'rV
ruelles
des côt5s ; desquelles les ennemis fuhumble frèl £
'et distinguée, on
rent vivement combattus d'une épaisse fumée
'rlce Mei^nen fils'^-Vincent de Paul, Mau
fl
-erait-ce une première a.pp-miition des gaz
n anci*n Sarde du corps
e aiarles x.'
sphyxiants ?...) et tonnerre d'arquobuisade ».
)
D'autres fois, au contraire, c'est bans un
aUon de oes
® m.îis n^%rtŒ
'
deux hom
simple
désir de parade que défilaient gai
^n^i ^tet^tte ^ le dernier mot. lardemont, le long des rues pavo.sées, de bra.T- Les coupables c'est1
t
ves bourgeois dont las circonstances et un
wls !
..Corruption d- la hn?
- "
cistume improvisé faisaient des soldats. 11 en
peuple, telle fut U con,°i S ' 8- et ignorance
fut ainsi quelques années plus tard, lorsque
*Men d'où n?irmi+ i
dusion de cet 1 enier cercle :;,«!='.;-Charles IX fit dans Toulouse son entrée so
«9% iitttl^
A nneile.
IJCS capitouls, nous raconte un témoin
dès l'automne
oculaire,
dressèrent, plusieurs compagnies
1
1
pour faire ur. bataillon de quatre vaille boni
èan^ ?^ ^-. à Toulouse. :
ces, dont Delpech, boiugeois, eston le colo«a«e nouv ^nsWii^l' ? ouvrit un pair.,nel. Ils firent sortir plusieurs canons, tendre
Ct 1<3
SIS Iravailleurf r n ,^r'
divertissement
11 - 1 ainsi
a grande -rue {dont la rue des Changes ac
^ant la ffnp.Ji*' ^ *
les locaux tuolle fr.isa.it parti'-) de tapisseries et couvrir
avaie,u sp
»
aux
blessé
L
'
rvi
d'ambu
Ie
le pavi.de sable. »
. dévo,f™^?'
,SO; SUPS par la générosité
0Uull,
IVehuc de son ancienne spkmideur, la nvi
^l'ince
ent des ami s de l'Echo
cho de la
Ai *
des Chani'-tes n'est plus inai.nfeni rut qu'un <le
c es quartiers très apprécié des flAmeurs et des
ennionreiux du liasse, parce qu'ils y dét ouvrent
encore, dans une série M vieilles denveures
l'image .assez fidèlement conservée du Toulouse d'autrefois.
"e ipersonDe la cour dm. numéro 25, on .aperçoit la
1
1B
1
%g*PL
Zfâ\^,?^™}t
.le
..ncien ym^r,,^"'"!'
^
vicomte
à
Q
Touloui" - V ? pontifical qui s'était tour des Ducros-Lanoefoc cette famille de
marchands enrichis, dont un membre, qui fut
plusieurs fois capltoul, blasonuait fièrement
« d or A un feu de gueules enfumé de sable,
travarsj.; dune lance d .s <tov>Ulieir jetée en
Wig,
la trentaine Deux
neux
bande ». .Plus basse que les autres cette tour
« sa v?e
't Jusqu'à ce jour di
conserve encore, à son extrémité nèulptA dans
' «1 lér^alem.
^artin^
la i»ieirre, un chou fris'. dMiue facture BôllJ
Sj t^ A^riand et de .Laca.te et qui, dominant de sa forme pWacWus*
Pè
^ i^ iAn ^n én'
^«?«"«n Terre. la vulgarité des toits, produit ià cette olacl
un tuai effet décoratif.
A peine avons-nous franchi l'étroit *-*mW>w
qui mène à la petite cour du numéro 19 r(,u'uu
d.'-l'.i'ie.nx spectacle s'oître à nos Hagarde LM
Un
] anime
ce .réduit obscur, aux mues crasseux et suin
à répondre à l'api>el
a
tants, en un jet «iupeifie, une tour e'élanci
1S
;m
Ccs
^or^
x n,
e. .que ^
' inot t «»Z nous,
v -rs le ciel. C'est une des plus gracieuses as
d« Politique, ,ii
? va son CTànd die"
01 rs
sûrement qu 'on puisse votr dans la cité de
'ornent uT
n £™^ r, -Programme, ' e ,
C '.émenee ISHUIP» Ded.istan.ce en distance, lia.
'DlteTiieinii sculptes dans îa pienre, sur las pa
aols se lareffeat îles iiersonnages qui se .peu.
rr-10^;
| Sî?^ ste
S"
S
fâL
^T
« Taisons des économie». Et pas de ces économies ridicules de bouts de chandelles, avais
de larges économies que Ton peut réaliser en
répondant définitivement A (lift expéditions
lointaines, comme -ceLL», do Cilicie, qui ne
nous a apporté -que des déceptions ; en donn :1ht à l'armée son nouveau statut qui lui procurera uuo oi'ts'utiisati.on moderne et supprimera lun'f dp rouagés inutiles et coûteux ; en
ù
uveant l'administration civile île tous les
employés inutiles venus depuis la guerre -, en
simplifiant enfin notre vieil appareil administralif, qui date de plus d'un siècle.
Votrr cela; il faut trn gouvernement qui
veuille agir, conclut -l'orateur, qui.se mOritre
ferme dans ses revendications vis-à-vis de
l'.Mlemeitrne et ferme '"aussi pour les réformes (\ opér-or à. l'int.'i ieur ».
M. de Lastryi'ie teru.ine ce très remarquable
om.isé t;ii1 avec beaucoup île chaleur et d-,
conviction,, en invitant son auditoire a avoir
fol dans les destinées de la Fiance.
i— Si le pays reste calme et s;ige. conclut-il
au miliau de «applaudissements, nous arriverons à nous tirer du mauvais pas actuel sans
être victimes des catastrophes dont nous menacent ceux qui, après avoir été les défaitistes
de la guerre, veulent rester les défaitistes de
la-paix. »
>
im
Rue Alsace-Lorraine — TOULOUSE
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Jean-d.c-i'Heirni. doyuiné de Mionfasta'UKva ote
nomimà curé de Montjoire, doyenné de Fronv -» •« w *~ J «'
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tous les modèles avec une forte baisse.
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défiant toute concurrence.
Les Usagers du
et de l'Electricité
INTERVENTION DE M. BELI.ET
SEMAINE SOCIALE DE TOULOUSE
Gaz
A M. de Lasteyrie succède M. M. ÎJïilet, le
du 25 au 31 juillet inclus
député si dévoilé de la v-Iaute-Gnr .mue, si
On nous annonce que les photographies der
attentif aux intérêts de ses populations.
On nous communique l'ordre du jour suiciiater.u-s ainsi que les vues des salles do
Il se défend de vouloir faire un discours
réunion de la Semaine Sociale, seront extpovant :
-f
...
mais veut, seulement, profiter, de la pïésence
sées au jour le joua- dans le hall de la Pho.
de l'un des membres de la coiumisdon des
"''« Cent soixante électeurs des cpiartiers de
togmaphie Bill's Photo C, 22, rue Lafayette
flnaiiicoi de la Chambre pour lui d-mianiler Fontalne-Bayoniue, réunis le 10 juillet 1C&1
de mettre son influence au service des desi- dans la salle du café Laffltte. sous la présidence de M. Messonnier, après avoir entendu
derata des électeurs du département.
Et M. Bellet. de signaler le scandale qu'il les exposés de M. Dupuy, (président de l'Union
fsut à tout pris faire cesser, au plus vile, de interrégionale des usagers du gaz et de l'électricité, et de
Joseph Duguet. avocat à la
rinutlhsatlon de la Poudrerie nationale ; de
demander une plus large exteusii ia de l'auto- Cour, sur les questions du gaz et de l'éh i In2
nomie «les municipal ilés ; de signaler ie dan- cité,- demandent aux élus municipaux du canger que ferait courir à l'industrie locale, et ton Ouest de se faire, au Capilôle, les défenVOYEZ NOS ETALAGES
nationale l'acceptation de paiements en na- seurs acharnés de la transformation en con-,
ture par l'AUen.agne sous la forme d objets (cession de la permission de -voierie donnée
75, Rue Alsace-Lorraine.
fabriqués, machines, wagons, dont l'invasion à la Société Pyrénéenne et à la Société Touruinerait les industriels français et mett'.ait lousaine du Bazacîe, et de réclamer la révision de l'avenant désastreux passé avec la
,'euns ouvriers sur le pavé.
M. Bellet signale encore las abus auxquels Compagnie du gaz, au mois de janvier 1921.
pour Mariages, Fêtes, etc..
« Ils lets avertissent que tout concours et
a donné lieu l'impôt sur le' dlïiiire d'affaires
S
LABERT Côte p
tout vote 'leur sera refusé désormais s'ils re- ^
'
- avée, 55. Téléphone, 4.58
qui revêt pour certains petits commer-ants
un caractère vexatoire. Il dit qu'il s'opposera iusent eux-mêmes de .prendre en mains les
intérêts
des
petits
usagers
toulousains
du
gaz
ù. toute augmentation de cet inipSt
et de l'électricité. »
El, -énonçant une fois de plus son programme : Liberté pour tous ; Egalité de l'impôt ;
sur les Cycles Gladiator, Humber, Panneton.
na
—i
etc., etc..
'
Impôt réel ; Pas d'Etatismc, M. Bellet termine
par cette affirmation
énergique
qui
est
Bicyclettes garanties à des vrix très modérés
applaudie par toute l'assistance :
ARQU1É, 36, boulevard Carnot - TOULOUSS
« L'heure est venue d'oser vouloir. J'espère
que nous oserons -vouloir et le pays tsi derC'est ce soir, à 15 'heures, qu'aura lieu au
lièro nous ». .
Ainsi s'est terminée cette importinte réu- Parc Toulousain le festival organisé par !a
nion que présidait "avec autorité le sympa- Société de gymnastique a Le Coquelicot ».
Au programme figure l'exécution des exercthique adjoint aux finances de la ville de
Toulouse M. Amiihau qui avait au d^imt pré- cices primés au concours de Lille.
La partie concert, avec nos meilleures vesenté en excellents termes et avec beaucoup
COUR D'ASSISES
d'esprit M. de Lasteyrie à ses auditeur? et qui dettes toulousaines, comprendra des parties
musicales et de nombreux airs, d'opéras.
trouva, également, des termes heureux pour
Audience du 23 juillet
Et
enfin,
une
brillante
sauterie
terminera
lui dire le plaisir qu'on avait eu à entendre
Président M. Lapelletlar ; assesse/urs
cette agréable après-midi, dont le prix d'enses réconfortantes déclarations .— L. de F.
MtM,
I.afon de S-entena et Mlquel
trée est fixé à 1 franc .
; greffier : M;
Roumieux.
M' Soulié est assis au banc de la défense.
©dépens importe, alors qu'un vaillant caTdtaine doubï; d'un- fin connaisseur des ChoJQO
Î M v ar t i e général de Costcilnau, sous les
voûtes mêmes de l'Hôtel d'Assézat, a pousse
en l'honneur de Toutous ce cri d-amour :
« Oh oui !... on reste à jamais épris de te»
sévères bealutés, ô Toulouse la sainte, dont la
piété et la sloire séculaires sont attestées par
tes jinmortelj monumients d'un inoubliable
nèas^ • on reste à lamais sous le Charme de
tes ".onAces ô Toulouse la riante, pays enchanté et fleuri, terre dugni savoir du bon
accueil et du sourire hospitalier... » — Mamice
BOYÉ
(l) Albert Samaln.
têtuatlo!) Fii) alf) clèrc
de la France
UNE CONFÉRENCE 'DE M.
GALERIES de L'ÉPARGNE
DE LASTEYRIE
Il y a un mérite réel, par ces temps de canicule, à abandonner les terrasses de, café, ou
l'on boit frais, nos beaux jarduns toulousains
où l'on respire — un peu l — .pour s enfermer
dans une Sidle et y entendre une conférence
— si intéressante soit-elle.
Ce mérite, nombreux, très nombreux, nous
l'avons eu hier soir, et c'est devant un auditoire imposant, parmi lequel on remarquait
même des dames — aucun problème ne leur
est plus étranger ! — que M. de Lasteyrie,
député de la Ccrrèze et rapporteur .général à la Chambre du budget des dépenses
recouvrables sur l'Allemaigne, a parlé, salle
du Sénéchal, de lo situation financière du
pays.
Ù l'a fait très clairement, de façon à intéresser tout le monde et sans assommer ses audieurs, comme font les spécialistes de l'économie politique ou des questions budgétaires,
>ar un déloge de chiffres impressionnants,
mais difficiles à contrôler.
L'opinion publique s'Inquiète, a dit tout
d'abord l'orateur, parce qu'elle volt que l'Allemagne ne nous a pas payé ce qu'elle nous
doit ; que, même si les accords de Londres
sont respectés, nous serons loin de toucher
les sommes qui nous sont dues, et que le pays
comprend que si l'Allemagne ne nous pale
lias, c'est lui qui devra subir les charges
issues de la guerre, lui cependant pays victorieux ! »
Tout le monde connaît notre situation budgétaire. Elle est préoccupante. Comment y
faire face ?
— On a envisaeré plusieurs moyens, poursuit
l'orateur. Certains veulent avoir recours à
l'inflation fiduciaire. C'est un moyen déplorable. U en résultera une hausse vertigineuse
de tous les prix, un nouvel effondrement de
notre change, une ascension du budget par
suite de demandes nouvelles d'augmentation
de salaires.
« Ce moyen n'est donc qu'un trompe l'œil.
Il a fait ses preuves — ses- preuves détestables ! — en Hongrie, en Autriche, en Russie.
Il produirait le déséquilibre, non seulement
financier, mais social.
« Nous le rejetons donc formellement »,
conclut. M. de Lasteyrie.
Un second moyen a été envisagé : c'est l'impôt sur le capital. L'idée en est séduisante,
et certainement il n'est pas de capitaliste
français qui ne consentirait à. sacrifier une
partie de sa fortune au rétablissement d'un
ordre économique normal. Mais ce iprojet présente des difficultés sérieuses. L'impôt sur le
capital sera-t-il personnel ? Dans ce cas, il
donnerait li'îu — comme l'Impôt sur le revenu — à de, si nombreux dégrèvements qu'il
resterait inefficace. Et si c'était un impôt réel,
comment l'appliquer avec le déséquilibre actuel de tous les prix ?
D'autres enfin voudraient avoir recours à
des im^vCits nouveaux.
-- Cela, dit. M. de toisteyrio, c'est la pire
des combinaisons ! Le pays traverse une crise
épouvantable. Le frapper de nouvelles charges, c'est le plonger au fond de l'abîme, d'où
il ne pourra plus se relever. »
Que» sont donc les solutions, les remèdes
une 'propose l'orateur? Il va les é'numérer'avec
beaucoup de précision.
— Notre premier souci, dit-il. doit être do
faire reprendre les affaires, de remettre en
marche le pays.
« Deux problèmes dominent la situation : lé
problème des prix et le problème des cîwunge
Ayons donc une politique ferme des iprix et
dés changes et laissons de côté tous les autres
expédiciils.
s
« Percerons d'abord les impôts existants.
Tout le monde est d'accord pour reconnaître
que cette perception est lamentablement défectueuse Pour cela, il faut remettre de l'ordre
dans l'organisme administratif.
BIJOUX-PARFUM^
[PARFUMS
iIJOUX-PARFUMS
Location de Voitures
Baisse de IPrix
Grand Festival * .
au Parc Toulousain
ïs^ifis Jûdicïa
Le Prix des Battages
La syndicat des battages de la Haute-Garonne
nous
envoie l'appel suivant qu'il
adresse aux entrepieneurs de S.uttages de la
Haute-ilar^nne .
A chaque instant, nous recevons des lettres
d'entrepreneurs disant qu'ils
ne
peuvent
accepter les prix indiqués récemment par les
associations agricoles et qu en 'présence l'exi.
g>inces qu'ils ne pourraient satisfaire sans
pertes, ils préfèrent ne pa< travailler.
Nous supplious les entrepreneurs (Je battages de ne prendre aucune décision qu'ils seraient les premiers à regretter parce qu'elle
serait préjudiciable -aux intérêts de tous, a
ceux de la collectivité et aux leurs.
Les associations agricoles ont exorimé le
désir ûè 'payer un prix réduit : c'était " leur
droit, autant que c'est le droit des entrepreneurs de battages die demander un prix rému.
nôrateur Mais lî faut bien que les uns et les
autres comprennent que os n'est pas le désir
seul des intéressés pris isolément qui peut
faire- loi, mais bien la base sur laquelle un
prix juste peut être établi.
D'après les rapports qui nous ont été communiqués, donnant les résultats de 2-347 chantiers
sur lesquels 56 matériels
ont battu
101.341 hectolitres, nous
avons
déterminé
qu'en 1020 ie battage d'un hectolitre de grain
coûtait à l'entrepreneur 2,22, le .charbon étant
fourni par le propriétaire. Par les achats en
commun que nous venons de réaliser, ce prix
s'aihaissera. semble-t-il, à doux francs
pour
1921. Les entrepreneurs pourr.-ient donc travailler à une moyenne de 2 fr. 25, blé ou
avoine.
Ce chiffre ne peut pas naturellement être
le même pour tout le département, ni pour
tous les entrepreneurs. Il y a en effet trop
d'éléments qui entrent en jeu. Les entrepreneurs qui avaient fait leurs apip.rovisi ninements en 1920 n'ont pu bénéficier de la baisse
de M21 ; ceux qui ont de (gros chantiers ont
moins de pertes que ceux qui ont des déplacements fréquents GeuLX qui travaillent dans
des réglons où la récolte a été beD'e ont un
autre rendement que ceux qui travaillent là
où il v a baaucup de paille et peu de grains.
Certains entrepreneurs seront donc obligés
de majorer -ce prix de 2 fr. 25, de même que
d'autres plus favorisés pourront l'abaisser.
Ce qui importe c'est que le travail des battages se i>.sse avec la bonne foi la. plus absolue
et aven le plus grand soin. Les entrepreneurs
de battaiges ne drivent pas
oublier qu'ils
accomplissent un véritalcfle service public.
D'autre part, ils ont le droit d'exiger un traitement convenable au point de vue moral
comme au point de vue matériel.
Voici ce que nous leur conseillons :
1» Déterminer leur prix par régions de manière a ce que, pour chaque région, cas prix
soient autant que passible uniformes ;
2° Indiquer le prix à leurs clients avant le
enjnencament du travail ;
'3° Envoyer au syndicat l'indication de ces
prix. Nous pourrons ainsi donner plus foclf?ment une solution convenable aux oon'lits, si
malheureusement il s'en produisait. Les entrepreneuns qui ne nous auraient pis encore
donné ces indications sont priés de les faiie
tenir sans retard à notre secrétaire général.
Par .mesure d'ordre^ aucune indication ou
inscription au syndicat ne seront plus reçues
après le 30 juillet — CLAUPE-MAIITV, président.
La Semaine Sociale
La Semaine Sociale s'ouvrira demain 23
juillet ,par la messe du -Saint-Esprit.
La
messe sera célébrée par Monseigneur l'Archevêque dans la chapelle de l' Archevêché, à
S heures. Après la messe. Sa Grandeur prononcera une allocution.
A 0 heures, à l'Institut Catholique, la leçon
d'ouverture sean faite çar M. Eugène Duthoit.
les cours auront lieu à 10 heures et à
D heures.
A mini ,table d'hôte.
Le soir, à 8 h. 4, à la Cathédrale, sous la
présidence
de
Monseigneur
l'Arohevêque,
discours du R. OP. Dulbruel et Salut solennel
d'ouverture »
Arènes des Amidonniers
La diraction ries Arènes nous fait part que
la corrida simulacre qui davait avoir lieu
aujoiard'hui ne pourra être donnée, le fournisseur des taureaux de Tarssvjn ayant -manqué
a sas euigagements en n'ayant .pas embarqué
ie bétail, .commue le dit un télégramme reçu
au dècinaar manient
•Malgré tous les efforts faits par la sympathique direction pour remédier à ce fâcheux
incident, indépendant de sa volonté et qui lui
occasionnie un très .grand préà-udiice, il n'a pas
été possible d'y paier.
Elle ad|!<esse ses plus vifs tremEiieiaments au
fidèle 'pulciic toulousain de-s précieux encouragements qu'il n'a cessé de lui prodiguer et
peut l'assurer qu'à l'avenir toutes les mesures
seront prisas pour que pareil fait ne se renouvelle plus.
Dimarjdhe prochain, une corrida tout à fait
tnemarquarolie sera la juste revanche de celle
"qui devait avoir lieu aujourd'hui.
Arrestation
Non* avons relaté
en son temps qu'un
nommé J. L., cultivateur à Luc (Hautes-Pyrénées), de passage à Toulouse, le 14 juillet,
avait été entôlé d'une somme de 1.400 francs,
dans un café du 1-ér-à-Cheval. à SaitnbCy
piien, par une femme de mœurs légères.
Cette dernière, une nommé Sainte-Romane,
âgée de 2.7 ans, a été arrêtée clans un café
de la route de Castres, « Au Mouton Chéri »,
et remise entre les -mains du commissaire
intérimaire du. 2» arrondissement, qui la pré^
sentera ce matin au parquet.
Incendie
Hier matin, vers 4 h. 15, un incendie s'est
fléclaré dans le fourmi de M. Ttqui, boulnngar, rue de Rémnsat ,n» 7, immeuble aip.partenant à M. Ségala, demeurant rue Alsace,
n° 52. Le feu a pris naissance à la toiture
du fournil qui a été complètement détruite,
malgré rinteirvantion des pompiers. Les dégâts n'ont pu encore être évalués ; ils ne
paraissent .pas dépasser 5 à 0.0D0 francs environ et son couverts par une assurance
Le service d'ordre était assuré par le commissaire de police du 1»/ arrondissement,
assisté d'une escouade d'agents.
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LUNDI 25 JUILLET
Réclame de FAiENGE et POTERIES
Réception des Corps de nos Héros
Un train spécial ramenant les corps de militaires morts pour la France arrivera en gare
3o Toulousc-Lalande aujourd'hui dimanche,
i Î3 h. 5.
Ce train comprend un wagon renfermant
cercueils de militaires du département do
la. Haute-Garonne : 13 pour la ville de Toulouse, 23 appartenant aux communes ci-anxès,
sur lesquelles ils seront dirigés pour y être
inhumés :
Lavernose recevra deux cercueils.
Aspet. Dapnères-de-Ludlion, Delberaud, Boudroc. Carbon ne, Cassaprue, Castanet, Cintegnbelle, Eup. Fenoulllet. Fontenilles, Grenade,
Labècre. Lanta, Lusean, M'ontréjenu., Salnt-Co£ért, Snint-Rusliro, Soucich, Valentlne et Villerfcuve-de-Rivière recevront chacune un cercueil
Ecole des Beaux-Arts
LE MONUMENT DES COMBATTANTS
DE LA HAUTE-GARONNE
DE L'ALLÉE SAINT-ETIENNE
Conformément aux instructions de M. Béiltiel adjoint délégué aux beaux-arts, faisant
suite aux décisions du Comité, les concuricnts non classés, qui ont laissé leurs projets
à l'Ecule des Arts, après le concours pour ce
monument, sont autorisés à le s retirer dès aujiuiid'hui, de 0 à 11 heures du matin, 5, quai
de la Daurade. Dans las mêmes conditions,
tous las lauiéats de l'Ecole des Arts, récompensés pour l'année scolaiiro 1019-1020 pourront retirer leurs diplômes..
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
SERVICE de table, 74 pièces —
ASSIETTES, l" choix, la douz.
139 .
8 95
MAIRIE DE TOULOUSE
Fourniture des effets d'habillement
aux agents des services municipaux
ADJUDICATION
Le Maire de Toulouse, chevalier de la Légion d'honneur, infoime le public qu'il sera
procédé le 3 août prochain, à seize heures,
dans la salle des séances du Conseil municipal, à l'adjudication :
De la fourniture des effets d'habillement
nécessaires aux agents des divers services
municipaux, pour une période qui conunence.na le l" mai 1031, .pour prendre fin le
30 avril 19%.
Cette entreprise pouvant s'élever à la somme de IÂ.O0O franc* environ, sera .adjugée sur
soumissions timthrées et cachetées.
Cautionnement à fournir : l.OUO francs.
Le dossier de l'entreprise est déposé à la
Mairie (Bureau de l'Economat), où les prétendants peuvent en prendre connaltesunce
huis les jours non fériés, de neuf heures du
matin à midi et de quinze a dix-huit heures.
Fait à Toulouse, au Capitule, le 1S juillet
10:11.
Le Maire.
Paul FEUGA
L'INCENDIE DE LÂRROQUE
• La dennik-e affaire de la session est un
VOl0ntair
mpm ,>t,,
? °,u P lutôt «t à proprélm
âî a 'un douloureux drâre V"'f nm
ilo ^°
ul anleno sur le 1>an
"iLo
1. u "
é'.'
c des asE
M Ja * a " M Elis* Suera, épouse Dine-re.
Nous devrions dire que c'est plutôt une
v ctune qiufune accusée qui comparai; à l'aï
dience de ce jour.
Les faits
1CS cil oonsta
l^auUs1e^aRf?
'
se son»
La dame Elise Subra, épouse Dhers, habitait seule a Larroque, commune de l'arrondissèment oe Saint-Gaudens, dans une maison
appartenant en nue-propriété à son mari cl
dont Mme i>hars, sa uefle-mère, avait la jouissance Aimmdonnôc par son mari après la démobilosation de ce dernier, dans un dénué,
meiuï a.pau près complet, sa belle-mère aviaii
introduit contre elle une demande en expulsion
Le président du tribunal de Saint -Gauden»
lui accorda, pour vider les lieux, jusqu'au
31 inaii-s mt. Elle resta ainsi au domicile conjug-al jusqu'à expiration presque totale dit
délai qui Lu avait été imparti, espérant qua
son mari reviendrait auprès d'elle".
Le * miars, à (i heuras du matin, elle ttjfc
tait les lieux sans avoir avisé personne de
son. départ. Peu après, des voisins aperçurent
une épaisse fumée qui sortait par les fenètreis de la maison. Immédiatement, des secours
furent organisés et, pirâce a cette rapide intervonfoon et malgré de nombreux foyers ils
purent facilement se rendre maîtres 'du 'feu
On eonstxtn alors que les portes et les fenêtres avaient été soigneusement fermées e<
que les jours avaient été boudinés à l'aide da
tau-tons. On s'aperçut iégialî«nent ouïe des
loyers avaient été al fumés dans toutes lej
piocœ de l'immeuble à l'aide de oniffons, da
I m Le et .de papiers bien disposés dans ie^
ondroitr, les plus propices à coiminiuniquei
1 incendie.
En présence de pareilles constatations on
ne (pouvait songer A un incendie part' imiprudenee et la dame Dhers fut immédiatement
considérée comme fautiur du sinistre.
Mrffe Dhiers, qui s'était (rendu* à Toulouse
chez sa mère, avoua dès con premier feiter-ro.
gatoire les fait; qui lui étaient «.prochc-s, di«
sant, pour atténuer sa faute, «d'elle avait agi
dans un moment de désespoir causé par l'abandon de son mari et les méchancetés de sa
belle-mère.
Los. dégâts peu importants causées à l'immem
Me fuient évalues à 1.200 francs environ. L'ac.
cusée a remis spontanément le seul bijoi?
qu'elle possédait à sa belle-mère pour i'indeimniseir, le cas échéant, des dommages
qu'elle lui avait causés.
T-es renseignements recueillis sur Mme
Dhers sont excellents : sa conduite a toujours
été exemplaire ; elle est liés estimée dans la'
commune (ù, par suite de ses malheurs immérités, elle jouit de l'estime générale.
En revanche, son mari est .reconnu comme
un homme peu sérieux ; sa conduite privée
est déplorable. Déroute la démobilisation, il a
abandonné le domicile conjnaal, vendu son
guelfe de justice de paix de Montréijeau pour
vivre en concubinage, à Viroflay (Seinè-eb
Oise), avec une écuyère de cirque, laissant
sa femme légitime clans lé dénuement le plu»
complet
Les déliais
M. le président procède à l'iiiteri'oigatoire
das témoins. Le premier, Mme Dhers' lielleanère dj l'accusée, témoigne contre sa bellefille.
Ensuite, nous entendons suceesslvemcnt la
gendarme qui a îprocédé à l'enquête, le forgeron du village, voisin de l'inculpée, qui très
charitablement, vint en aide à l'Inculpée,
qu'un mari indigne avait abandonnée et laissée dans le besoin , le maire de Lamvque, qui
fit le plus grand éloge de la dame Subra, cl
qui donna à entendre combien la conduite du
mari était blâmée par les habitante de la
commune de Larroquî.
D'autres témoins viennent encore faire té*
ii.gie de la vie de rincuip'-c.
M. l'avocat général Laporle, dans son réquisitoire d'une belle tenue morale, ne peut
que rendre hommage aux vertus privées de
l'accusée ; il blâme forto-.niont la conduite du
mari indigne et qui a violé tous ses sciuients
d'époux.
Malgré tout, l'acte malheureux de MUM
Dhers est Ibilâmabie et mérite une sanction,
mais il ne s'oppos-i pas à la .plus igirande indulgence des juges.
Après lie réquisitoire très humain de 'M. l'avocat .général Laporto. la tâche du défenseur
de Mme Dhers, M' Soulié, était des plus ala»a.
L'éloquent défenseur s'en est acquitté avec
son talent habituel. Sa plaidoirie, émouvante
et venpwesse, a fait ressortii- pletn*i)itiit la
dignité' de l'épMUbjj Indignement outragée
par un mari plus qu'indigne pour ne pas
étire criminel. 11 a fW*rt cet époux traître
à tous ses sorments vis-à-vis d'une compacta
«ans .reproches et qu'un abandon a conduit
à comiaMcttue un acte rtipréhonslble, fi est
vrai, mais dont elle n'a jpu megurter la
i.<*Hée, car, à ce momc-ii-lé, elle se trouvait
(Suis un état de dépression -jfliyslqiue et m>
raie «.ut annihilait ta conscience. Et dans tmo
émouvante péroraison rpui a ému bien des
auditeurs, -M» Soulié adjure les jurés d'émettre un verdict de justice ot de lémabililatlon.
un verdict d'acquiitenient.
La verdict
Le président déclare les débats clos. Las
memibres du jury, 8>pr^a queslques mmutee
i'o MJMBiitlon, rendent un verdict négatif.
La Cour, immédiatement, prononce l'n.c
quittoimont de Mine F.IUo Siubra. épousa Dlutn-s.
Malgré la sévérité du lieu, ce ver. Il cl
.oiceueulli par les npplau -'lis,wnents d« l 'auditoire
La session est close. — H. D.
' DIMANCHE 24 JUILLET 1921
TRIBUNAL CORRECTIONNEL
i
Audience du 22 juillet.
Président : M. Barthélémy ; ministère public :
M. Cros ; greffier : M. Crabère.
Vol. —- La femme Célestine Queffeulou,
39 ans, chiffonnière, sans domicile fixe, a frauduleusement soustrait un billet de banque de
50 francs A un aini de ipassage, qui se trouvait
en état d'ivresse. Le tribunal la condamne à
vingt jours de prison.
Défaut de visa. — Les nommés Camillo
liiez, il ans, mineur ;
Oristina Machado,
éjKnise Sanéhez, sa ans, sans profession ; Marceline l'osson, cipouse Diez, 24 ans, sans pro
fa-isiion, et Garcia Saivihvîz, 30 ans, nienccuvrî,
tous lès quatre de nationalité espagnole, non
admis à domicile, demeurant à Ganjfes, poursuivis pour défaut de visa de certificat d'immatriculation et de déclaration de résidence,
sont condamnés respectivement à des amendes de 25 a 30 francs.
Police des chemins de fer. — Le nommé
Constant Porte. 20 ans, boulanger à Lafourgv.ette, a voyagé sans billet dans un wagon
de la Compagnie du Midi de M«rseille à Toulouse ; U est condamné par défaut à 50 francs
d'amende.
AVIS ET CONVOCATIONS
LA .BOURSE NATIONALE 0>U TRAVAIL (27, rue
aies Changes), dispos* d'emplois de • bonnes a tout
faire, cuisinières, lamines de chambre, ouvriers
agricoles, d&mi-ouivrler forgeron, soudeurs autogène, planeurs pour tôles Unes, chaudronniers en
1er, modeleurs, tourneurs sur bols, couvreurs, zjnfrueurs. nienuisicrs, dactylo connaissant allemand,
et hollandais si possible, agent général pour grains
sélectionnés. Les Intéressés sont priés de se présenter, bureau de placement gratuit, 27, rue des
Oianges.
TROUVAILLES. — Réclamer : A Mlle Sou.rdet,
rue Saint-Georges, 16, un paquet abat-jour • ; au
bureau des épaves, un. trousseau do clé« ; à M.
-Michelet,
ruo
Puymauirin, 32, une
Croix de
guerre ; à M. Fotssac, rue des Tourneurs, 46, un
sac à main ; à M. Garrigues, place de la Colombette, 52, un sac ft main ; à M. Rey, rue SaintEtionne, 6, une ombrelle et une broche ; à l'administration, des omnibus et tramways, deux parapluies.
U
Dai)§ le DépaFtenjei)
LE FOUSSERET
AU PRINTEMPS. — SOLDES
Mise en vente, mercredi 27 juillet et jours
suivants, de toutes nos -marchandises (toiles,
robes, draperies, cotons), avec des rabais considérables.
LES AFFAIRES SILÉSIENNES
Le Ruban violet
Gïaaie
Semalsa
lan^
Le Havre, 2/* juiiic
Les déléguiis du Comité central des am
tours de la Oharnbre dé ccanmerce et d.ee A,
sociations marlitimeé sont arrivés hier.
Ija Chambre de commerce du Havr
e aval6
organisé au Palais des Régates un déjeuné
en leur honneur. Hier après-midi
éù u "S
a
une séance solennelle a la Bourse du cériS
e
merce.
c
«4
17 heures le maire, entouré ri»
on d.-ins îoa k*rZ3à
,,rvrï ou
Paris, ?i juillet.
a reçu dans lès salons de l'hôtrl de vilic ufi
SAINT-CAUOEWS. — Foire aux chc-vaux. —
Sont nommés officiers d'académie :
membres de là Ligue maritime et les r,*?Cette foire, une des plus importantes de toute
M. AldhuL à Valprionde (Lot): Mme Amitl, ciers des escadres îrançaises et-étrungères™'!
la région, s'ouvrira le 28, dernier jeudi de
à Villemur (Haute-Garonne); M. Abisiou, à
juillet.
Mii&lau • Mlle Allemand, à Mirande (Geis^ ;
Grand choix de chevaux de toutes races,
MM- Ader à Lagruère (Lot-et-Ga -onne); Arpour tout service (selle, traits légers, gros
naud,
à Portet (Haute-Garonne); Arnaud, à
traits, luxe), mules, mulets et ânes.
Béziers (Hérault); Artiguemil, à Toulouse :
Un bruit. — U y a quelques jours, le bruit
LA CONFIANCE AU GOUVERNEMENT
Berlin, 24 juillet.
Ara'gon. à Sainte-Marie (Gers); Anlu an, à
se répandait que l'immeuble où est installée
La réponse du gouvernement allemand à Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne); Antoine, à
(Rome, 24 juiiw i
depuis de nombreuses années la poste allait la démarche de l'ambassadeur de Irance a
La Chambre, après une intervention 'di
Montauban ; Azafs, à Viane (Tarn); .V.cret, à
être repris ,'par son propriétaire et que les buLté remise hier soir, à 9 iieures.
M.
Bonomi,
a
clôturé
Sadtscusslon
sur les ru
Castres (Tarn); Aversenq, à Toulouse • BarTOUS STYLES reaux et services, faute de locaux disponibles,
Le gouvernement alleimand déclare avoir
du gouvernement par le vote d'uiî
es, & Montagnac (Hérault); Barrère, à Lé^ie- olarations
40 p, IOO
ordre
u
seraient
transférés
dans
la
caserne...
our
r,r
^Y.o
d
j
approuvant
ces
déclarations
té surpris par cette u^-marche.
MEUBLES
Meilleur marché qu'ailleurs
in (Haute-Garonne); Barbarroux, à Toulon ;
Cet
Outre ja difficulté et le prix d'un pareil
ordre du jour a. été adopté par 302
« De gouvernement français, dit-iL se plaint Baque, à Vic-Fezensac (Gersk Bégué, à Ml
PUiSOL, 21, Rue Antonin-Mercié (anc. R, du transfert, au seul point de vue des lignes téinné "
contre 136 et 3 abstentions
du
caractère
toujours
plus
menaaçnt
de
la
rande
(Gers);
Bel.
à
Olonzac
;
Mme
Bell.-rle
à
Musée), Toulouse
légraphiques et téléphoniques, il est de toute
Les
socialistes ,les fascistes, les
Audience du 23 juillet 1921
évidence que personne ne pouvait s'accom- .-ituation en Haute-Silésie, par suit»? de l'atti- Haut-Manco (Landes); Mile Bellan, a Cazavcs- tes, les républtcains"et quelques^indéM
tude des Allemands et du prétendu danger sur-Garonne : MM. Benoit à Castelna a d An1 "«ara,
moder de cette solution qui mettait la poste
ont voté contre.
Président : M. Rai-fliélemy ; ministère pud'une action violente de la part de l'Allema- zan (Gers); Bernard, à Pézénas (Hérault):
presque hors de portée.
blic : M. 'Gros : «refiler : M. Crabère.
gne. Le gouvernement allemand tient pour Bernadet. à Toulouse ; Bladou, a SaintHeureusement, une meilleure nouvelle cirMOUILLAGE DE VIN. — La dame Marie-Adeimpossible que les représentations
faites Ettenne-de-Villeréai (Lot-et-Garonne) : Blancule et iiui paraît fondée. La mairie, actuellel'eussent été si le gouvernement
français chard, à Toulouse ; Bertrand, à Toulouse; BisUne Barxiet, 43 an?, resta m-âtriee è. Toulouse
ment sans concierge et qui nécessiterait des
J
avait été exactement renseigné de la situation
tos, à Saint-Michel ÎGers); Biron, à Mas-G.'C6S, avenue de la ,l atte-<l'Oie, .prévenue d'avoir
remaniements sérieux, serait louée ou vendue
véritable en Haute-Silésie.
nler (Tarn-et-Garonn»); Boissière, a Lamagisfalsifié du vin par addition d'eau dans la
à l'Etat, les services postaux s'y installeraient,
«
Les
rapports
très
précis
et
détaillés
du
tère
(Tarn-et-Garonne).
tiu 'oportiGn de 10 % et de l 'avoir ensuit:? livré
les services municipaux iraient prendre place
.MM. Bon à Toulouse ; Bongulral à Salntgénéral Lerond .ainsi que les conununicaa la consommation, est condamnée à 50 fram's
EL : 0,39
à l'école des garçons, l'école passerait à l'antions urgentes du gouvernement polonais sua' Martin-Laguépie (Tarn) ; Bonhoure à Toud'amende sur les réquisitions du parquet et
cien couvent des Soeurs Bleues. Ce mouveL'Express du Midi publie, deux fois
v
lesquels s'appuie la note remise ne correslouse ; de Boubée à Auch : Boulet à Monbén 500 francs d'amende avec sursis è, la requête
ment, effectué pendant les vacances, 6e ferait
na
pondent manifestement pas à la réalité dans
qui (Turn-et-Garonne) ; Cabantous à Bezonne semaine, le mercredi et le samedi, en qn?
de la régie et en outre devra paver à titre
sans la moindre difficulté.
(Aveyron) ; Pasteur Brun à Cette ; Mlle Ca- trième page, un taldeau spécial pour loi
la légion plébiscitaire. La situation en Haude <k>mmn lge.s-hitérêts une sommi de 36.000
Grande foire aux chiens. — La grande foire
PETITES ANNONCES ECONOMIQUES. c ;
te-Silésie n'est nullement menacée par l'attipelle à Montauban ; Canouet à Montauban ;
Iran à Montant et une de 18.000 franc: à BainP
aux chiens se tiendra cette année à Saint
Cambournac à Cayrol (Aveyron) ; Gazai à annonces paraissent dans toutes les édition?
tude de la population allemande. Celle-ci n'a
pon, parties civiles.
Elles figurent sous les rubriques : Offrei
Gaudens le 28, dernier jeudi de juillet.
Toulouse ; Carrai à Cette ; Catalan à Corjamais
nourri
la
pensée
d'un
soulèvement.
chez
ABUS
DE
CONFIANCE. — Le nommé, Pierre
Des emplacements spéciaux seront réservés
« Lorsqu'au début de mai elle s'unit pour neilhan (Hérault) ; Mlle Cas-tan à Montpel- et demandes d'emploi — achats, locations A
Fraysse, 54 an;, enti epreneur a. Mirammt
à chacune des catégories de ces animaux.
M défense, ce ne fut qu'une légitime dé
lier ; MMi Castan à Lansargues (Hérault) ; ventes — fonds de comméree — occasion?
(Lot-et-Garonne), passa à. la date du 3 juin
fense contre les attaques polonaises. La po
Carrière à Caussade (Tarn-et-Garonne) ; Mme — chevaux, voitures, autos — cours et leçon?
Etat civil du 15 au ?,l juillet. — Naissances
1920, avec les nommées Montant et Rampon
1
pulation allemande ne songe pas à échanger Chanfreau à Toulouse ; Mme Cazarre à Tou- etc. etc..
Jean Ponsolle, quartier de Sainte-Anne; Pierre
vj 1, Place Esquiral - Toulouse
une cou. e«dion en vue de procéder à l'acquiI^è prix de ces annonces est de 1 fr. 50 w
les armes de son bon droit contre la violence
louse ; Mme Cazaux à Labarthe-Inard (HauteGasot, quartier du Poueoh.
sition de dortoirs américains de la Poudrerie
1
ligne par insertion. Chaque ligne se composa
Mariage : Jean-Marie Claverie et Euphrasie et ne souhaite rien tant que de pouvoir va- Garonne ; ; M. Cazas à Béziers ; Caulas à
de Toulouse dans le but de les revendre et
quer à ses occupations dans le repos et la Montauban
(Tarn-et-Garonne) ; Chauriac à de 35 caractères d'imprimerie (lettres ou si.
Sieurac.
de partager les bénéfices qui pourraient en
paix, sans être troublée par les actes de vio
Saint-Clai X (Gers) ; Mme Coudât à Couthures gnes de ponctuation) .11 est donc aisé de coni
Décès : Bertrande Duclos, 31 ans, ménagère,
résulter. Fraysse- en effet vendit plusieurs
lence des Polonais.
(Lot-et-Garonne) ; Costes à Saint-Féllx-de-Lu- naître d'avance le montant de l'insertion.
épouse
Caussadc,
avenue
de
Toulouse
;
Jean
barr,fqu3ments, mais t>u lieu de tenir compte
En raison de la modicité du prix et pour
« Maigrd toutes ces attaques, le gouverne
nel (Aveyron) ; Mlle Clermont à Sainte-GenePégot-Ogler, 82 ans,
caissier à la Caisse
% ses associés de leur part, il conserva tous
d'Epargne, éfpoux de Jeanne Azémar, rue ment allemand n'a rien recueilli qui confir- viève (Aveyron) ; M. Ciret à Ondes (Haute- éviter envois de factures et recouvrements'
les fpnds pa>- devers eux. Poursuivi pour
PETITES
ANNONCES sont payables"
me l'accusation française de provocation de
Garonne) ; Mme Claverie à Lavardac (Lot-et- les
Victor-Hugo.
.
ce délit d'abus de confiance, Fraysse est con
; le montant doit être joint à la let.
la part du général Hceter et serait heureux
Garonne) ; MM. Contios à Capdenac-le-Haut d'avance
tre d'envoi.
damné i. quatre mois d'emprisonnement a vec
:
(pion lui donne à cet égard des indications
(Lot)
Corne à Larroque-sur-Losse (Gers) ;
LA POPULAIRE. — l» Invite ses sociétaires
Pour les mentions : « S'adresser au bureau
6ursis.
M. Combes à Roquefort (Haute-Garonne) ;
qui n'ont pas touché leurs intérêts et ilsti ur- plus précises.
DÉLITS DE PÊCHE. — Le nommé Jean Vaysce,
Conrtial
à Montlaur (Aveyron) ; Coutens à du journal ou Hall de l'Eœpress », où bieni
«
La
dttibniinatt.il.
de
bandes
pour
les
forne pour l'exercice 10HM2O à se présenter au
encore : « Ecrire à des initiales ou, à des
46 ans. commerçant. £0, rue d'Aubuisso.i, est
Aubiet (Gers) ; Cruzel à Toulouse.
mations allemandes d'auto-protectlon qui débureau, dans le courant du mois de juillet;
condamné à seize francs d'amendj !\ la reM. Darnel, à Toulouse ; Mme Dubois, à noms conventionnels »> il est --erçu un sup.
fendent le sol national est inadmissible. »
2° Les sociétaires sont
également invités
plément de 1 franc.
quête de l'administration 'les eaux et forêts
Passant aux attentats contre des militaires Tomtebeuf (Lot-et-Garonne) • 3»M. Dezio. à
à déposer tous leurs tickets d'achat avant ie
Les réponses aux initiales ou aux noms d«
pour avoir péché en temps proniO''
Ra:mionville-Saint-Agne (Haute-Garonne) • Diet,
et fonctionnaires français, la mette déclare :
31 juillet, date de l'inventaire annuel ,
— A la reqv êtî de la même administration,
ù MtonH'nazln (1-Pwault' ; Dore, à Bordes (Hau- convention adressées aux bureaux du journaf
Z" « La Populaire » informe ses sociétaires
1°
Qu'elfe
n'autoristï
pas
qu'on
attribue
le
doivent être retirées par les intéressés. Elles
Etienne Borei. 37 -'ns, sans profeisbui h Ti nte-Garonnel ; Deipech, a Montât (Lot) : Detpds,
qu'elle ouvrira le 1 er août un magasin de
metntre -du cammandant Mionta.lèigire à un
louse, a. Fontaine-Lestang, est cfondamné pout
à Toulouse ; Deramond. à Beaumonitde-Lo- sont transmises sur demande moyennant lj
mercerie, bonneterie, etc..
Al!<=nva:nd ;
le même délit commis pendant la nuit avec
matgno (Tarn-et-Garonne) ; Dcsprats, à Revel paiement de 1 franc pour frais.
2° Que dans l'afl li.e de Ratibor, l'ofnieier
L'E.rriress du Midi se borne à publier les
refus de remettre les engins, à trois amendes
(Haïuite-Gaa'onne) ; Decans, à .Datma (Hautefrançais .a dû livrer ses plaques photographiGaromne} ; D.-nbos, à Sainte-Bazedile (Lot-et- textes qui lui sont confiés ; il ne fournit aude 100 fr., 50 fr. et 40 fr.
M0MTRIÉJEAU. — Convocation. -- Les comques, muas n'a pas été maltraité ;
cun renseignement sur l'objet de ces annon-.
Garonne) : Mlle Dencausse, à To-u'ouse ; MM.
— Enfin, Jean Gaillard, 37 ans, mouleur à
battants de la Grande Guerre sont invitép
3° Que le gouvernement allemand n'a pas de Dubtic, à Toulouse ; Duidiedn, à Saleich (Hau- —s.
Toulouse, 23, ru?
Bernard-Mule, est
conse rendre à la réunion, qui doit avoir Hep il
rcnseiiuinements précis sur le cas du capitaine te-Garonne)
Pour cette publicité, il n'est pas envoyé de
Ducuing, à 'loulouse • Dupouy,
damné pour le même délit que ie précédent,
la mairie, mardi soir, à 8 h. 30, pour leur
Lux et du lieutenant Du val et demande comà
Poiuy-Roquelaure (Gers) ; Mine Dussol, à numéro justificatif. Ces annonces doivent parRÊVE DE « VAGABOND »
mais pendant la nuit, à 60 francs d'amende.
donner une communication importante en vue
itHiniication de ces pièces -,
Toulouse ; MM Dutu, à Temple-sur-Lot (Lot- venir au journal le mardi et le vendredi,
POLICR DES ÉTRANGERS. — Le nommé André
Une représentation
sensationello
doit
avoir do la fête concernant l'inauguration du moYtu4° Que le lancement d'une bombe près do
et-Garonne) ; Dutaret, à Ilasipariren (Basses- avant midi, dernier délai, pour paraître la
MU, 38- ans, sans profession, sans dmtclle lieu au commencement du mois prochain de cet ment oui doit avoir lieu dimanche prochain l'hôijilitial est lé lait d'an ivrogne ;
ipyrémées) • Mme Dutrain, à Toulouse ; Mlle mercredi et le samedi.
ouvrage inédit, dont les auteurs viendraient spé- 31 juillet.
fixe, pour avoir séjourné en France, mal5" Que dams lo cas Schedelin il s'agit d'une Ep.st, à Mtentauban : Mme Esrinae, à Nougagré un arrêté d'expulsion rendu contre La, cialement de Paris pour régler les derniers déLes reste-s d'un héros. — Un cercueil ventant vengeance d'un homme arrêté étant innocent;
tails de la mise en scène.
roulet (Gefs) : M. Fabre, à Agen Mille Fargeest condamné à deux mois d'emprisonnement
Les principaux rôles ont été confiés à d'éminents du front et contenant les restes du soldat la police n'a encouru aucun rewciche.
nel, à Toulouse ; MM. Fa.uro, a.u liieim (Hauartistes.
Charles Trespaillé mort pour la France airiINFRACTION AUX LOIS DE LA RÉGIE. — Le nommé
Ville de
Toulouse
« I^es affirmations de la note française au
te Garonne) ; Feuillerat, à Toulouse ; Feval,
Rien, n'a été .négligé pour cette représentation vera demain lundi à 12 h. 4G, en gare de sujet de l'auto-protectlon allemande, dit ia à .\fontauban.
François Jammes. marchand de vins à T >uMonopole
Extérieur
des
Pompes funèbres
qui
attirera
les
Toulousains
en
loule.
Montréjeau
icuse, 17, rue Deipech, a été trouvé en posncto. sont inexactes. LéH&ct représente une
MAL Fontan à Laloureft-Lafiteau (HauteService intérieur :
Ives obsèques auront, lieu le mime jour, à action de légitime défense, issue d'un {grou- Garonne) ; Fontan à Boudrac
session d'un exc'-dent de vin par rapport "
(Haute-GaUNE REPRÉSENTATION DE LA • TOSCA » 17 heures Lieu de rassemblement : place de
34 ,ruc Pargaminières — Téléphone 11,40
celui déclaré lors du recensement par 1
pement de toute la pop-ulatio-n et cela dans ronne) ; Galibert à Toulouse ; Gervals à TouJeudi 28 juillet, le public toulousain aura le Verdun.
agents de la reine ; le tribunal lui inflige
une région soustrait i à 1 administration alle- louse : Mme Gheusl à Toulouse ; M. Giscard
Services Funèbres et Religieux
plaisir d'entendre sur la scène de l'Apollo, le
fiOO francs d'amende.
SA'.IES-DU-SALAT. — Fêtes. — Désireuse mande. Le gouvernement alleitnand décline à Valentine (Haute-Garonne) : Mme Gissot à Cercueils, Transports, Fourgons automobiles,
sympathique ténor
Francis
Beru-and, dans la
Tentures
tout
.re;(!>onsabilité
à
cet
éetard
;
les
effectifs
DÉFAUT D'AFFICHAGE. — Le nommé V. E..., épi
Lectoure
(Gers)
;
MM.
Guibal
à
Montauban
;
d'Eglises. Démarches évitées aux
Tosca.
de contenter la population et faire passer , un
rrentionnés sont cxagictrés. Aipsès la dissolu- Gnilhaniot à Toulouse ; Mme Heltz à Lavaur
familles
Mb» à Toulouse, 10, rue Pharaon, a négligé
Tarif officiel.
Ce célèbre ténor sera entouré de M. Vik'.tte, le agréable séjour aux nombreux baigneurs de
tion
dé
l'auto-protection,
les
membres
sont
(Tarn)
;
M.
Jasseieu
à
Toulouse
;
Mme
foos
•l'afficher les prix des marchandises qu'il
baryton bien connu et de Mlle Amélie Gélard si
notre station, le Comité des fêtes de Salies
mettait en
vente ; il
récolte
25
francs souvent applaudie sur nos scènes des Variétés et organise pour aujourd'hui une féte de quar- i retouir.u's chez eux, en Haute-Siilcsie ou ail- à Toulouse ; Mime Lafosse à Alfoias (Tarn-etd'u Capitole.
leurs, et ont repris le travail. Le gouverne- Garonne) ; MM. Lagardelle à Toulouse ; Latier.
d'amende avec sursis
hille à Barcelonne du Gers ; Lahorgue à Odos
Au programme : jeu xdivers. soirée dan- ment allemand a tait désarmer -par les détaOUTRAGES A DES AGENTS. — Le nommé Loui
chements
die police de protection ceux q-ul
(Hautes-Pyrénées) ; Lajous à Soueich (Hausante, avec le concours de l'orchestre d'élite
Sentenac, 32 uns, lOuller à Toulouse 22, ru
étaient
passés
en
Allemagne
non
cceupée
en
te-Garonne) ; Mme Labat à Tarbes ; M. La
Palayrac de Muret, direction Molles ; à il h ,
Rernard-Mulé, ayant outragé et menacé de^
Cinéma
Le
ROYAL
possession
d'armes.
S'il
s'aglssad,
oomtnv
toute
Coste
à Monclar (Lot-et-Gaivjniie) ; MM. Laf
courses cyclistes. Èjigagements reçus par M.
agents qui venaient de dresser proies- verbal
atteinte, de guouiies Isolés en aimes en Alle- fargue à Viré (Lot) ; La.feuille à Castéra LecCliéniez, mécanicien.
à l'un de ses camarades, est eondamn
Aujourd'hui dimanche :
magne non occupée, ils seraient dcsaimcs et
Messieurs Maurice BAUDET, Alexandre
tourois ; Laffore à Saint-Léger
(Lot-et-Ga16 francs d'amende.
BAL DE! et les familles Mathieu BAUDET,
LUCHON. — Caravane rte Nc-rmaliens. — M. dissous.
ronne) ; Mlle Lassalle à Estadens (Haute-Ga
«
Le
général
Hœfer
n'est
pas
a
Bneg,
mais
A
ronne).
Abadic, directeur de l'école communale de
5 ??£l l£!5 Eëj Alphonse BAUDET, Michel
MM. Lo, à Lai-roqne (Haute-Garonne) ; Li- BiZE, PONS, ESTRADE, Elol BAUDET ont la
I.udhon, a conduit aux Thermes vingt élèves à Coboûrec, où il s'est rendu après avoir
achevé la" dissolution. Il n'y a donc nulle- gniôres, à Albi ; Madaule, à Toulouse ; Mardouleur de faire part à leurs parents amis
d.e l'Ecole Normale de Cliiâteauroux, qui, faiet connaissances de la peitè cruelle qu'ils
chand, à Tarbes ; Mme Mariés, à Snint-Sul
sant une excursion dans nos «montagnes, ont ment à eiraindae que ia paix soit menace du
côté
allemand.
En
revanche,
11
est
à
craindre
viéimen;
d'éprouver en la personne de
à la SEMELLE PNEUMATIQUE VULCANISÉE
pice (Tarn) ; aimes Marmouget, à Lanespède
manifesté
le
désir
de
visiter
nos
établisseLE
CONCOURS
DE
BÉBÉS
que les Polonais essayent de nouveau d'at(Hautes-Pyrénées) ; Toulouse-Martel, à TemEvite l'humidité, coûte moins .cher dure deux
ments thermaux.
Madame Rosalie BAUDET, Née ESTRADE
AU JARDIN DES PLANTES
fois plus. 62, Rue Pargamimeres, fOULOUSE
Ils se sont beaucoup intéressés aux rensei- teindre ce que trois insurrections n'ont pu ple-sur-Lot (Lot-et-Garonne) ; MM. Massot. è
leur donner. Le ministre allemand des jiffai- Toulouse ; Médan, à Montech (Tarn-et-Garon
décédée le 23 juillet iSil, à l'âge de -44 ans, et
Toutes les personnes ayant assisté à
gnements qui leur ont été donnés par M. le
res étrangères a, d'accord avec le caâ>inet,
ne) ; Mlle Mcnvielle. à Ga.mpan (Hautes-Pyles prient d'assister à ses obsèques qui auront
directeur technique sur Luchon, station d'encette fête pourront se voir sur l'écran
déclaré
à l'amloassadeur de France, le 20 rénées) ; M. Mpzamat, à Montauban ; Mme lieu le lundi 25 juillet, à 10 heures précises^
. PERDU chien d'arrêt, roux et blanc, collier
fants.
du ROYAL.
juin
dernier,
qu'il
ne
croyait
pas
à
une
évaen l'église Saint-Pierre.
Étrhble, courroie sans plaque. Aviser : Rey, rue
Casino. — Galipaux a ouvirt le cycle des cuation sérieuse par les Polonais du territoire Mlqjuelard, à Gar<-assoime ; M. Mlremont
Mont-de-Marsan (Landes) ; Mlle Molères,
ifles 36-Ponts, 2. Bonne récompense.
On se réunira à la maison mortuaire, allées
représentations de gala. Cette semaine : Gas- plébiscitaire. Les faits ont pleinement conde Brienne, n° 11.
Dax (Landes) ; MM. Moiins, à Saint-Laurent
sive, puis Gharlotie Lyses le continueront.
fiimé cette opinion.
de-la-Salanque (Pyrénées-Orientales) ; Mom
il ne sera pas fait d'autre invitation.
Et Huguenot. Raphaël Duflos. Tau-ride, Si- parte!
des troupes Heller ont
repassé ta nxVat, a. Glndou (Lot) ; Mongelous, à Saint
S>eKiP. SUn. Uuniclo.. M... Pargaminières. T. U/ll
mone sont attendus dans les premiers jours
« Les troupes polonaises régulières et une
Justin (Landes) ; Mines Moreau. à Saint
d'août^
frontière, mais sont rassemblées dans leurs Gaudens (Haute-Garonne) ; Montet, à Prays
De Max, Joubé vont se faire applaudir en positions de départ, prêtes à une nouvelle
RliM. les Chasseurs, Pêcheurs, Agriculteurs,
sas (Lot-et-Garonne! : Mouffier, à Villeneuve- j
plein air.
Jeunes gens et Garçons qui désirez des chausinvasion ; mais dans le territoire plébisci- sur-Lot ; Moulène. à Flgeac (Lot.) ; Mlle MunMadame Veuve Auguste LIAUTARI) • MadeDes feux d'artifice, des ballets en plein air, taire, toute l'organisation militaire des insursures extra-solides 1
THÉÂTRE DES NOUVEAUTÉS. — C'est aujouris, à Saint-Ni col as-de-la-Crave (Tarn-et- G a moiselle Marguerite LIAUTARD • Monsieur,
VERDIER, se retirant, en jrossède mille d'hui dimanche que la troupe de la revue Tout un veglione vont avoir lieu.
gés subsiste ; les hommes en congé pour
ronne)
MM. Mule, à Baringue (Basses-Pyet Madame DURAND ; les familles DUCROS,
La musique avec l'orchestre de 50 musiciens,
paires avec empeignes retournées.
pour toi fera ses adieux au public toulousain. Maquelques semaines attendent un signal de rénées)
Négué, à Auch ; Pachins, à Bagnac BANQUET et GAUTIER ont la douleur île
sous la direction de M. Louis Cahuzac, en- leur chef- couvert par l'amnistie. Les trouiCes chaussures, plus celles de luxe pour
tinée à d-.'ux heures et soirée à imit heures.
(Lot).
faire part à leurs amis et connaissances de
chante
dans
le
pare
et
aux
concerts
classiHommes, Dames, Fillettes, Enfant, Bébés, sont
pes françaises qui (perquisitionnent Chez la
COSMOGRAPH. — À S h. 30. 4 h. 30 et à S h. 4ô.
la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver ea
ques les mélomanes, qui vont avoir la joie population allemande n'ont rien fait, de radivendues avec perte.
Héroïque mensonije ; Courses tic taurea-, x à Litnel;
la personne de
S'adresser : place E&qulrol, en face la Don Juan de la l'taije ; dessins anime ; et actua- d'Applaudir, en plus de Mlle Frozier, MM.
cal jusqu'ici pour le désarmement des insurR ©me
Jaunie et Foumets, de l'Opéra.
MAISON LAPERSONNE et le Grand Dépôt de lités.
gés polonais. Une partie d'entre eux a été
Monsieur Auguste LIAUTARD
ARCHITECTURE
Les salles de baccara regorgent de monde,
Cafés
icprise dans des gardes communales. Les
CINÉMA LE ROYAL. — Aujourd'hui dimanche,
Adjudant en retraite
VERDIER céderait magasin avec on sans matinée à trois ;heu.re.s, soirée à neuf heures, avec où la quantité le dispute à la qualité et ù pouvoirs administratifs n'ont été Oklés qu'en
Paris, SS juillet.
Appariteur à la l'acuité de Droit
marchandises, puis sous-sol, locaux 4 étages
Fascination, Interprété par Mme Charlie Chaplin ; l'élégance.
apparence à la Commission interalliée. Les
Jugeant le concours d'architecture, l'Acadéavec bail.
Mysterla, 9" épisode de La Main Qui punit et Le
SAINT-ÎWARTORY. — Arrêté municipal. — mauvais traitements à l 'égard des Allemands
mie des Beaux-Arts a décerné, hier après- leur époux, père, neveu, oncle et cousin, dé-Clique de la vertu, comique. Le Critérium cycliste
attestent combien les Polonais se sentent les midi, le Grand Prix de Rome à M. Azéma, cédé le samedi 23 juillet 1921, à l'âge de
Le
maire
de
Saint-Martory,
considérant
que
du Midi ; Le bal d'enfants et le Concours de bébés
00 ans, muni des Sacrements de l'Eglise, et
maîtres ; c'est attesté encore par les draélève de M. Redon ; le Premier Second Grand
la vitesse exagérée des automobiles dans la
au Jardin des Plantes.
peaux polonais qui fk fiaient dans beaucoup Prix .à M. Latoro ;
le Deuxième Second les prient d'assister à ses obsèques qui autraversée
de
Saint-Martory
est
un
dansw
perAPOLLO. — Aujourd'hui, matinée à trois lieures
d'endroits, après avoir été cachés pendant Grand, à M. Péchin, tous deux élèves de MtM. ront lieu aujourd'hui dimanche 34 pullct
avec les célèbres Jardy's Family et leur canard vi- j manent pour la population, a, lier arrêté en
Waa. à 14 heures ,en l'église Saint-Scrnin.
I alou xet Le Maresquier.
vant chantant à l'orchestre. Le soir à neuf heures, date du 20 octobre 1920. réglé la vitesse dans la tournée d'inspection du général Lerond.
On se réunira à la maison mortuaire ,p!aca
Les bureaux de liquidation s'occupent en
même spectacle.
l'intérieur de la ville à 10 kilomètres à l'heure
Arnaud-Bernard, 5.
réalité de préparer un nouveau soulèvement :
Ponte
infraction
à
cet
arrêté
sera
poursuivie
ARNAUn-BERNARO CINÉMA. — De 3 h. a 5 h. 30
11 ne sera pas fait d'autre invitation.
INTIME SPORTIVE TOULOUSAINE. — Les mem
celui de .Schappinltz, où est en réaljté le quara 8 h. 45, Vn ours de l Alasua, dirame en qua- conformément à la loi.
tores honora.ires et mem'bre-s actifs de la Société et
tier général de Korfanty.
tre parties ; Mysteria, i' épisode : Au pays des
Porno. Fun. Munic.in. 34, r. Farsam' ul?re«
t!/H
Sautf
-stage.
—
Dans
l'apiès-mdii
de
vendredi
sont invités à assister à la journée d'athlétisme nui incas.
ECHEC CONFIRMÉ
« Le gouvernement allemand regrette vivedernier, un -croupe de jeunes enfants se baiaura lieu sur le terrain d'entraînement du Stade
ment
que
le
gouvernement
français
ait
ajouté
H/ciulousaiia, le dimanche 24 juillet, à S h. très pré
gnait dans la Garonne au lieu dit « la RoMfedrid, 24 juillet.
foi aux nombreuses assertions fausses, d'oriclses.
Le comte d'Eza a déclaré, à l'Issue de la
che ù. endroit réputé très dangereux. Un de
gine polonaise. Il espère que les rectifications séance du Conseil, que suivant les nouvelles
L'équipe féminine est également convoquée a
ISEtè se boit
ces nageurs, un novice, le fils de M. Castex, ci-dessus convaincront le gouvernement fran• i iheures.
Remerciements et Avis de Ns'jvslsi
a-jec qlaçon
reçues de Meliiia, les Maures rebelles ont
notre professeur agronome du département, çais qu'il ne saurait être question du damier
Les Jeunes gens de la section « aviron » ne par
et Eau de Seltz
liait infailliblement se noyer sans le secours d'un soulèvement ou d'une menace allemande. recommencé leur attaque avec une telle vioticipant pas aux épreuves d'athlétisme sont conlence, avec des effectifs si considérables et si
de M. François Lacoste, un de nos glorieuxMadame Jean DIFFRE née SEUDE ; M11'
voqués à 9 heures, établissement Roiuebrune.
Il estime, d'autre ipart, que l'augmentation des
bien armés, que les autorités espagnoles ont dame Marie DIFFRE ; Madame veuve IA«
blessés de fruerre. qui. bravement, se jeta a troupes françaises ne saurait guère contribuer
.NATATION. — C'est aujourd'hui à trois heuTes
dû
envoyer
des
renforts
et
que
les
troupes
DIFFRE ; Mademoiselle Elva SEUBE • MonDr BERTRAY, voies urinaires, 10, rue Fre
l'eau et parvint fort heureusement, avec l'aide
que doivent avoir Heu, devant l'étahlissemeiit Ko
à apaiser la situation en Haute-Silésie, nasieur et Madame BAQUE. née SEUBÉ ; le*
clïot, Paris. Correspondance.
de son -ainarade, M. Félix Serres, à ramener turellement tendue, vu que la décision n'est ont dû ensuite évacuer leurs positions ré«luebrune, les grands prix de nage du T. o. £
cemment
conquises
et
se
replier
sur
Dar
familles DIFFBE, de Montpellier et de MB*,
Au progriunme : j;e mètres nage libre, 100 mè
sur la berce ce jeune imprudent.
pas encore intervenue.
Drlus.
tontine,
remercient sinicèrerncnt î.s peis°n"
très dos, 200 mètres brasse, 500 mètres nage libre
En signalant cet acte de courage, nous
« Le gouvernement a prouvé que non seuconcours do plongeons.
La retraite a été très meurtrière, et l'on a tes qui leur ont donné des térnomnages d*
adressons nos bien vives, félicitations à ce lement il a accepté l'ultimatum, mais encore
La fête comkiuo cul comprendra un mat de beau,
a regretter de sérieuses pertes .notamment syniipathie à l'occasion du décès de
glorieux ipoilu, sur la .poitrine duquel serait «H déjà beaucoup fait dans la voie de son
Ç.TAT CIVIL OE TOULOUSE
pré, une course aux baquets, une course aux catrès bien placée la médaille de sauvetage à exécution, qu'il est orienté vers la paix et celles de deux colonels, qui ont été tués.
Monsieur Jean DIFFRE
• mards, sera ouverte aux membres actils et honoQuant au général Sylvestre, on est sans
côté de la -Médaille militaire et la Croix de non pas vers des aventures guerrières et que
'ralires de la société.
Artiste peihtre
nouvelle
de
lui
à
Melilla,
ce
qui
porte
à
•guerre avec ipalme dont elle est déjà ornée.
Les sportsmen toulousains sevrés de ce genre de
PUBLICATIONS DE MARIAGES DU 21 JUILLET
le but de sa politique est ie rétablissement croire que le général aurait succombé.
Professeur-adjoint d l'Ecole des Beaux-A^ s
réunion se rendirent en foule pour acclamer les
de
relations
pacifiques
et
normales.
Il
Léon
Virée,
Iristitmteutr
à
Grenade-sur-Garomne
MURET. — Coopérative. — M. le commanLe général Bôringer, haut commissaire, a
Membre de la Société
V
valeureux nageurs toécistes.
et M.-L, Cruzel, instituî.rice, à Margny (Eure).
a déjà fourni d'énormes prestations financièordonné l'envol ungent de 2.000 hommes de
des Artistes Méridionaux
TOULOUSE-LUCH1O1N ET RETOUR. — Le Guidon
Justin Ségoaoe, propriétaire, rua Ste-Marthe, 14, dant Galonimier, officier de la Légion d'hon- res et économiques et a aussi satisfait à touCeuta
a
Melilla,
Des
renforts
seront
enneur, président de l'Union Muretaine, MM. les
Kmtnt-Oyprlen s'occupe activement de la grande
t Rose Guitard, coutu.ri0.re a .Pulcherlc (Aude).
et les prient de vouloir bien assister à J}'
voyés d'autre part à Ceuta et Melilla.
cour.-e ejelh.te annuelle : « Toulouse-Ludion, et
Etienne Nonclercq, sergent-fourrier, 14° R. !.. Tou- membres du conseil d'administration et de la tes les demandes dans l'action du désarmemesse de neuva'iie qui sera célébrée le UJ??
retour », qui doit avoir lieu le 15 août prochain. 11 louse, et Marguerite Culière, instit. à Canne (Tarn)
commission de contrôle, ont l'honneur et le ment.
On annonce que le roi restera
pendant 25 juillet 192rl, à 9 heures du matin, en l'êgh'-^
Il .persistera dans cet effort. C'est ainsi
s'est assuré le concours de la ville île Luclion, de
Louis Mélet, instituteur, ruo d'Alsace- Lorraine
quelques jours à Madrid.
plaisir d'informer MM. les sociétaires que M.
Saint-Exiupère.
l'actfie société « Ludion-Sports », ainsi que de la
i, et Marguerite 'l'hurles, s. p., Cazères-s/GaTotn-ne Félicien Cassaignabère, gérant de la dite So- qu'en peu de semaines, il a désarmé et dlsL'ECHEC DE MELLILA
grand© maison de cycle» « France Sports ». De
Guillaume Lacanal, cordonnier à Toulouse, et ciété, a été -proon-u dans l'Ordre national de
ous toutes les organisations d'auto-protection
nombreux commerçants de Luclion ont tenu égaMairie- noauvais, s. p., à Sarlat (Dordogne).
encore existantes en Allemagne; mais l'exécuMadrid, 24 Juillet.
lement, a donner leur obole dans l'organisation de
Rémi Caboatllos, emp. Arsenal, .r. des MIanchers, la Lésion d'honneur, au titre de chevalier;
lon du traité de paix dépend entre autres
Le roi a ajourné sine die son retour à Saintpar décret de M. le président de ia Républi'cs4te manifestation .sportive
qui
procurera un
S, et Marie l'eyroutou, s. p., même adresse.
Sebastien.
choses de savoir si l'on réussira à amener le-^
fttt>.ilt supplémentaire à la saison balnéaire de
Georges Lasecrre, emp., rue Gambetta. 1, et An- que, en date du 30 décembre 19:20, publié -m
Le Conseil de cabinet, tenu hi.etr soir, a déJe reine des Pyrénées.
drée Ganies, brodeuse, rue des niamehers, 1S.
« Journal Olficle! » du 2 janvier dernier, avec Polonais à respecter de leur côté le tiaité de
— POMPES FUNÈBRES GÉNÉRALES Grâce à ces précieux concours, le succès de cette
Pierre Roumengou, rep. de com., .r. Romiguilères, la mention suivante :
aix. à s'abstenir de poursuivre des buts con
cidé d'envoyer au Maroc plusieurs navires de
Convois, tentures, cercueils, lettres, ewj
course est déjà assuré et il sera certainement en- 3, et Noémie Laguens, s. p., rue du Taur, 77,
guerre. 11 a également décidé que les troupes
« Félicien Giissaprnabère, sous-lieutenant au traires au droit et à renoncer à l'emploi de
Exhumations et transports pour ious P%; |
«JON» plus grand que les années précédentes à en
Auguste Lamnrlère. menuisier, faub. bonnefoy,
moyens de violence. »
•e la. métropole qui sont en route pour Melilla Couronnes mortuaires. Choix le plus impou"n
tirailleurs
indigènes
:
bon
officier
;
sxr-St
pfeer par la qualité des coureurs qui ont envoyé
les, et Henriette Peeh, s. p.. place St-Pierre, 3.
resteront dans cette ville afin d'y rassurer,
toujours
distingué
par
son
courage
et
son
fione 10-30
.Jour engagement.
Georges Jonquères, étudiant, rue d'Alsacc-LorLES EXPERTS ITALIENS
car leur présence, l'eaprit. tic la population.
JDans «n prochain article paraîtra le règlement raine, 30. et Thérèse lirassou, s. p., Colombes (Seine). sang-froid : a été glorieusement bles-sé, pour
SERAIENT
DÉSIGNÉS
Lie
ministre
de
la
guerre,
Interrogé
hier
.p;i,r
de ,1a course, les noms des principaux engagés et
la quatrième fois, en entraînant vaillamment
la liste des prix.
les journalist..is au moment oU il entrait au
NAI86ANCBS DU 21 JUILLET
sa section à l'assaut des positions ennemies.
Paris, 2-1 juillet.
Conseél de cabinet, a déclaré not.nmim.ent :
Les eiwairemonts sont reçus, moyennant la somme
Plusieurs citations. »
Reine Dopplcr. rue des Prés, 1.
D'après dos nouvelles de Rome, ie ministre
do deux francs non remboursable Jusnu'au 10 août
Après avoir été un poilu de marque et un
Georgette Gondaltna. r. Tourn. de Luppé, 40.
« Meë taiipressions au sujet die la. situation
prochain, chez M. Be.Wm. rue de la République, G0
des affaires étrangères aurait désigné îles reLouise Icnxa, à Lardenne.
officier vaillant, .M. Cassagnabèie est devenu
et Plq-ué, >-uo Varsovie. 3-2 Ms
au MO.VOI3 ne sont pas cet après-midi aussi
présentants
italiens
qui
devront
participer
Maurice Escaich, rue Traversière-Eelfort, 1.
le gérant actif et intelligemment laborieux de
Indiquer les nom. prénoms, adresses n' do la
-.eûmes «me ce matin. Le .pé.néra.l Navarre, qui
lux travaux de la commission d'experts, que
Bconcc et société à laquelle on appartient
l'Union Miuetaine. Consacrant sans compter
remplacé le générai Silvestre, « cru devoir
le gouvernement français voudrait voir charDÉCÈS DU 21 JUILLET
son temps, sa peine et le secours précieux de
taire replier jusqu'à Batoin les Troupes qui
MARCHE DES SUCRES
és de l'examen préparatoire de la solution
.T.-M. Rony, 52 anc, rue Madagascar.
ses connaissances commerciales à la Pc. i.ité,
litur».
occupaient la 'position de Dor-Rius. »
Ouverture, 220 payé tendance soutenue
-vx
du problème silésien.
G. Cousin, ép. Espy, 27 ans, place Dupuy. 6.
il n'a pas peu contribué à son développement
Le m.i.niiiSire tle l'intérieur a démenti le bruit 221 payé, tendance ferme ; cote offlcieUe, 2W-TP
Les experts Un liens auraient à leur tête M.
Marie Jeanjean. V PoucMS, OS asis, r. du Raisin. et A sa orc spérité.
nivelle Baisse
recueilli par un Journal de Madrid d'après
Jean-Baptiste I^iffltte, 62 ans, ruo Joubert.
Garbasso, fonctionnaire, de la Consulta.
L'Administration est heureuse d'avoir pa
MARCHE DU HAVRE
C. Donnai, ép. Amitliat. M ans. r. Caillou-cris, 10.
' III.'I les Marocains auraient ibciri bardé la
Il
M/, t ,
u.ccf potage, dep. 1 45 lo 1 K'
reille
occasion
d'adresser
ses
félicitât!
ras
à
UliJ/J Jiiim'JU Gite
Madeleine Joly, ép. Filiiol, 07 ans, r. St-Poul, G.
ville de Melilla.
Gîte sacs
sans os.
os, dep.
dep. 3 50
—
Le Havre, 23 J -j^' i
Gaston Balzcau, 20 ans, r. de l'Ecluse-Matabia;t,9. son sympathique, intègre et glorieux gérant,
Cotons. — Tendance calme, veuUjs *M, -"JÎ^Jr*
« De pareils bruits sont d'autant plus regret- Juillet,
et
elle
prie
Mme
Cessajgnabêre
de
lui
permet21t>
;
août,
213
;
septembre,
20S ;
{#
NOMBREUSES RÉCLAMES
tables, a-t-il dit, qu'ils ae .nciuivent qu'alarmer 205 ; novembre, 2C3 ; décembre, 20-2 ; ja»« r
t i o de l'associer aux élopes si joyeusement dé
PATISSERIE FRAICHE, la dOUZ., dep.. 1 75
l'opinion
publique
sans
la
moindre
apparence
18
février,
201
;
mars,
200
;
avril
à
juin.
U
-^.
^jes
l
cernés a son digne époux. — te secrétaire.
Cafés. — Tendance soutenue, ventes, ^^sO '<
do 'raison. Do divers côtés, on sem(luc croire
LES OPÉRATIONS TURQUES
Etat civil lu mois de juin. — Décès : Man'ie
P.
juillet,
113.50
;
août,
las.
50
septembre,
eue le glanjéràl Sltvestn? n'aurait pas été tué
100.
Sébérat, 70 ans ; Marie Dedieu, 4 mois
Joliéc€n > r ,
Angora, 24 juillet.
7SI
par les troiuvs indigènes lévoltées, mais qu'il octobre, 103 ; novembre, 102
janvier, 98 ; février, 97.50 ; mars, 97 " i l v rlî>'
seph FourMnes. 61 ans : Jean Sonia, 14 mois
Communiqué officiel .se eorait suicidé. »
mai,
04.
7ô
;
juin
incoté.
„„lies
j
Françoise Séré, 20 ans; Emile-Henri Cadrât,
La ville d'Yôni-Cheir a été occupée par nos
Laines. — Tendance salme, ventes
4.3O.;
On prétend que le fbs dm général Silvestre
CHEMIIN DE FER DE PARIS A ORLEANS
-43 ans; Marie Fourcadc, 81 ans ; un m rt-né
1 "'
troupes.
Juillet;
-',40
;
août
et
septembre,
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;
octoo
^
aurait télégraphie à Madrid, disant que son
Sec et Criblé
tf*
...MM m^., mxm, I
... ..
i, . i
,
Après une escarmouche
locale, la ville
novembre. 410, décembre, 400.
..ji 5?
RELATIONS DIRECTES ENTRE PARIS-QUAI
I ère s'était suicidé. Tous ces bruits ne sont
25 fr. les 100 kilos pour dertd-trras
Ije.
marché
du.
Hftvre
sera,
fermé
du
sau
»
IDEUME.S. — Nous sommes heureux d 'ap- d'Atloum-Kara-Hissar a été occupée de nouD'ORSAY ET LA STATION THERMALE
recueillis que sous toutes réserves.
30 centimes le kilo au détail.
juillet à midi jusqu'au mardi 26 juilet »
veau.
prendre, que notre jeune oomipatrjote GaDE LUCHOM
l
'occasion
de
la
venue
du
Président
de
'*
S'adresser : 15, rue Palaprat et 40, rue du
mlhé Miclicl,, fils de M c Michel, notaire,
iSÙque au Havre.
Canal (angle place Raohclier).
A
L'K OFFICIEL))
Pondant la saison d'Eté 1031, des relations vient d'obtenir la seconde place sur 420 élèConstantinople, 24 juillet.
MARCHÉ DES RÉSINEUX
directes entirc Paris-Quai d'Orsay et la station ves, aux examens de lin d'année de l'Ecole
D'après les récentes nouvelles du front, les
Paris, 24 juillet.
P3*
thcmale de Ludion, sont établies jusqu'au Polytechnique de Notariat de Paris.
Turcs ont commencé ti avancer sur le front de
Le Journal Officiel publie aujourd'hui :
Les iameux « DRAPS DE LIT CHAINE RE
Nos sincères féli citations.
0 octobre par voitures directes de toutes clasGemme,
170
fr.;
essence,
2S0
fr.;
Mendercs et ont occupé les villages de Bou« Agriculture — Une session spécial* des
42 50 ; colophane \v w, M fr. Marché caw
TORS DES USINES DE LA BLANCHE POR
ses avec Wagon-Lits.
dourlou et la position stratégique d'Altin- concours d'admission
à l'Institut
national
Aller : Départ île Paris-Quai d'Orsay, h
3 CHEVAUX trait ù vendre attelés ou non Tepe.
TE » sont vendus directement dans leur déagronomique et aux écoles nationales d'agriMARCHÉ DES VINS
19 h. 40. Arrivée à Lnonon a 12 heures.
peur cause remplacement par traction autoD'après les renseignements parvenus du
yel
culture s'ouvrira, le lundi ,j octoibré, à s heures
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Carcassonne. 23 ^
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DIMANCHE
H
JUILLET ïftw
ment dos droits des porteurs de billets. NoIA METHODE? Du PROF?
tre conJéreuèè reprendra ses travaux en
octobre- Nous çomtp tons, sur les bonnes dis.
positions des Etats pour mener a bien la
CLAME da 25 an 30 Juillet
tâche qui nous reste à accomplir, et a laAustro-Mu '
VE
quelle nous travaillons, me$ deux collègues
et moi. dans mie parfaite oommunâute
d'idées. »
Vienne, le 18 juillet 1921.
COTON maille unie
1.25
En prenant oongé de notre aimable inter.
HERNIE
Le démembrement de la doubla Monar- locuteur, qui avait bien voulu interromchie austro-hongroise a provoqué dans le pre une besogne écrasante pour nous faire
20 ANS DE SUCCÈS
FIL MERCERISÉ renforcé
4.90
contre de l'Europe un ébranlement écono- les déclarations qui précèdent, nous n'aHérnleux, rappelez-vous que ce n'est pa3
mique et financier dont vainqueurs et vain- vons pu nous empêcher de lui témoigner
villeà, mais 30, qui chaque nuits,
cus subissent également le contre-coup, '
notre Satisfaction de> voir confléos à un fils quelques
duns votre Ricwlon. sont visitées par le ProPare SOIE renforcé 111, toutes teintas 8.90
Certes, les Etals nés de ce démembre- de Toulouse de si importantes et délicates fesqeur MICHEL, le célèbre Spécialiste lierment et ceux auxquels une partie de l'an- fonctions.
nifira de Paris, et ses éminents co-Haborncienne Monarchie a été cédée, ont trouvé
M. de Mohôs del Pujol n'a .point voulu teurç. Pas dô discours inutiles, à vous de
jyaper
SOIE corâooBbt, article resommanflé 12.90
dans les contrées industrielles ou agricoles reconnaître, par un excès do modestie, la
Voici des preuves de guéridon de votre
qui 1 ur sont échues, des éléments de ri- part do succès que sa présidence avait aschesse dont ils commencent à recueillir les surée à la conférence. Mais la presse au- pays :
UABAïS considérables sur tous nos Articles
avantages, mais l'équilibre économique qti trichienne a rendu hommage aux qualités , TPTA<P D P L Î'I; ' h Saint-Léon (Hte-Gne) ; SAmaintenait unie3 dans une solidarité étroite éminentes déployées par notre compatriote LERS, à Saint-Sernhi (Tarn) ; TRAVERSE,
Les diverses parties de l'emtpiro dss Habs- dans ces discussions techniques, où les in- adjoint au maire de Nizas (Gers) ; LIMOUMaison A. FORÂSTÉ
bourg a été si brusquement rompu, qu'il térêts contradictoires des Etats s'entrecho- SIN, à Agassac (Hte-Gne) ; MICHEL, à Héré(Hérault) ; OIROU. « Graisses-sac (Héfaudra non seulement beaucoup do temps, quaient et on, par suite, il ôtajj; particu- plan
73, lue de /a Pomme, TOULOUSE
rault) ; ESCARÉ, à Bézlyrs [Hérault) • CASmais aussi beaucoup do bonne volonté pour lièrement difficile d'aboutir à un accord
IERAA, à Labitut (Landes) ; Mme LOUMAN,
rétaltttir entre ces membreu dissociés les re- Notre pays en a retiré ici un bénéfice mo- ft Mazamet (Tarn; ; rdme BERTRAND, h Perlations indispensables à l'existence de la ral considérable qu'il n'était pas, croyons- pignan (iP.-O.) ; CAUSSE, à Galbes (Tarn) •
BIDOUX, à Rélesta (Artère) ; CAUVAIGNE, ft
plumait d'entre eux.
nous, inutile do souligner.
Bibel (Ta,rrr) ; COURBET, à Salech (Hte-Gne) •
Les traités de Saint-Germain et do TriaHenri
BILLEMONT.
MARIGNAN, à St-Siriés (HteGne) • MEJIÏANË
CONTE DU
non ont procédé a une liquidation générale
-ft Rocielle (Aveyron) ; ESCUDE, â Sariaè
do la monarchie austro-hongroise. De cette
(Htes-Pyr.).
liquidation, l'Autriche et la Hongrie actuelTOUS GUEIRÎS EN QUELQUES MOIS DE
les font naturellement les frais , elles sont
HERNIES. CHUTES DE MATRICE, ETC.
De tels résultats nous ïont uin devoir de
vaincues, elles paient, et c'est justice. Mais
il serait dangereux néanmoins de perdre Le Chameau de Béziers conseiller à nos lect3urs atteints de hernies,
etc., et oui veulent guérir, d'adopter en toute
do vuo que la ruina totale de ces demi Etats
n e comipromettra.it
confiance la méthode du Professeur MICHEL,
l'Indépendance et même
de Paris, si connu et si aimé dans notre
l'existence de ieurs voisins, C'est ce qu'avait
Régionalisme et traditionnalisme sont deux Région.
compris la Commission des Réparations,
Aussi profitez des passages à :
Avant de vous présenter La Moune. août sa figure renfrognée de boudeuse et n'a- dont le plan de relèvement de l'Autriche n choses indispensables à la grandeur de la
France. La congestion qui résulte d'un fonc
#r« uuo je rapporte ici - et vous mon vait pas desserré les dents.
tous, les dimanches, en son
été si près d'aboutir ; c'est également l'idée tlonnarisme émanant d'un centre éloigné, qui:
Vous conviendrez pourtant qu'il y a là qui a présidé à l'élaboration du projet de veut tout centraluser au détriment d'une loca- TOULOUSE oabmet, 1, rue Héliot (ail.
fuserez, madame ! une légende, à la véLafayettej.
v;té fort désobligeante pour le sexe aima- de quoi lasser la patience la plus robuste,
la Société des Nations, dont la réalisation lité en cause, ruine la circulation normale et
Casîeinaudary. lundi 25, hôtel Notre-Dame.
hi> et capricieux, une très ancienne !é- Car, enfin, dans uns auberge, l'on a, tout est attendue ici avec une impatience déprime la vitalité d'un pays.
Montauban, mardi 26 juil., hét. do Franoe.
«pnde nue l'on se raconte parfois encore, le long du jour, bien des choses à se com- anxieuse.
Le tourisme doit avoir cette mission de dé- •Puylaroque,
. '
mercr. 27 j-uil., hôt. Cainbon.
dans mon pays d'Armagnac, entre nom- muniquer : tantôt, c'est le vin qui n'est pas
Parmi les problèmes dont la solution centraliser, afin de mettre en relief tous les Caste! sarraain, jeudi 26 iuillet, hôt. die Franco.
et les avantages d'une région.
tiré ; tantôt, c'est le pain qui manqm
mes bien entendu.
présente un caractère spécial d'urgence, le agréments
St-Antfriiin,
vende.
mil., h. Albouy-Desibans.
Quoi de plus amusant que les naïves tradi- Mbeipoix, samedi :i029 Jïifl.,
Donc. Notre-Seigneur, un jour, dit à c'est la clé de la cave que Tnn cherche, ou problème monétaire occupe une des prehôtel Vivent.
tions
de
chacune
de
nos
provinces?
Prenons
or
celle 'de l'armoire au linge , d'autres fois, mières places. A ce problème se rattachent Béziers. cette riche et coquette ville de l'Hé- Caussarfe, lundi l août, hot. Larroqua
saint Pierre :
_ Saint Pierre, voilà bien longtemps c'est un parapluie oublié par un client la liquidation de la Banque d'Auirklie-Hop. rault : Là, le chameau tient une grande place Vaiance-d'Ageii,- mardi 2 août, hôt. de France.
crue nous n'avons fait notre, tournée d'ins- qu'il faut retrouver ; c'est uc dîneur parti grie et son remplacement par mie banque dans les réjouissances biterroises, il est le Brarn, mercr. 3 août, ihôtel Guilhem.
Jeudi 4 août, liôtei Déoamps.
pection sur la terre. Vêtons-nous de hail- sans payer ; que sais-m encore !...
cotmipléuïent indispensable 4 toutes les fêtes ftïeumes,
d'émission.
'
Mell&res, vendredi 5 août, hôte! Moles.
locales.
lons misérables et allons de porte en porte
Cette liquidation a été prévue et régle— Il est un peu exaspérant, tout de mêsamedi C août, h. Pare et Moderne.
A chaque réjouissance biterroise, le cha- Lavelan&t,
mendier notre pain.
St-CIrc-ns, lundi È août, h. do l'Union, Rigiau.
me, songeait Ramond Bentéjac, d'avoir mentée par les traités da paix de SaintAinsi firent-ils. Après avoir longuement une femme comme la mienne, h qui l'on Germain et de Trianon, lesquels ont. envi- meau vient dire — car ce chameau parle —
Son eminent Collaborateur recevra à :
cheminé sous l'ardent soleil du ciel de ne peut, quand elle a pris son visage de sagé la nomination de trois liquidateurs, en quêtant pour les pauvres de la ville :
Gaillac,
dimanche 24 iùifl., hôt. du Commerce.
Gascogne :
bois, pas plus arracher une parole qu'à dont un Français. U nous a paru intéres- Foti« par qui, Messieurs, s'aves quoque ptstolo,
RaSjSfciens, lundi 2j jull. hôtel Azétma.
sant de demander à ce dernier quelques Mettès-UX, sé vous plaï, din nosiro diynciroio. (1) Lacabarècîe, mardi 26 jull.. hôt. Arnalirlc.
— Maître, dit saint Pierre, il est temps la maîtresse poutre du plafond !...
de restaurer nos forces. Voici une source,
précisions sur les opérations de liquidatîc<n
27 juil,, hôt. du Parc.
Pourquoi ce -chameau? Voici l'explication : £culegrt*sur-cesse,
à rôrnbie fraîche d'un vieux chêne : si telie
en cours, ainsi que sur les circonstances quand
la (premier évèque de Réziers, saint SaiiVt-QaiifJens. jeudi 23 juil., h: Ferrières.
est votre volonté, ne us nous assoirons sur
qui ont accompagné cette liquidation. Notis Afrodtse. vint dans les C-aules, prêeh-eT la doc- Villeîranehe-Laur., 29 'vil., h. Ducos.
Ce dimanche soir, d/one, Ramond pro- avons ou la bonne fortune de nous entre30 Juil., hcM. Rigaud.
la mousse et nous ctancherons notre soif
trine chrétienne, U avait pour Pégase un L'Isleen-Docion,
M o nt-de-Marsan , 31, h. Vfgnau, pi St-R«ch.
avec cette eau plus limpide que la prunelle longea plus tard sa veillée et laissa La tenir quelques instants avecrTéminenie psr- chameau.
1» août, bétel Miaigné.
Moune, toujours plus muette, vaquer au sonnalité qui préside pour une grande part
Après le martyre du saint, ajoute Fabrejat, gamatan, lundi
de vos chérubins.
mardi 2 août, hôt. Fabre-Lamothe.
ce «hameau fut recueilli avec soin par les Mazamet.
Us étaient installés à peine qu ns enten- rangement de ses fourneaux, puis monter à ces difficiles opérations techniques.
'
Résument,
mercredi
août, hôtel Coutouly.
qui fondèrent un flef pour son Aibaes, jeudi 4 août, 3hêleî
dirent soudain un grand vacarme de cris se mettre au lit. Après quoi l'aubergiste
Nous avons été particulièrement heureux habitants,
Carayon.
alluma
toutes
les
lampes,
toutes
les
chanentretien
La
rue
où
était
située
la
maison
ef de coups échangés, paraissant venir
de reconnaître en M. de Monès del PuiW qu'il habita prit à sa mort et conserva jusqu'à Dourgne, vendredi 5 août, ham Péirié.
delles,
tous
les
lampions
de
rétablissement,
d'une métairie que leur cachaient d «paisToulousain de vieille race, ancien lau- ces derniers temps le nom de rue du Cha- Albi, samedi fi, en ron eab. 28. Rd LapéiTouîs'.
jusqu'au fanal de l'écurie, et, successive- un
ses futaies de l'autre côté de la route.
réat de la Faculté de Droit de Toulouse, meau, aujourd'hui débaptisée 'en ruo Malbec. Lacaurte, dimanche 7 août, Central-Hôtél.
ment,
les
porta
dans
la
chambre
commune
— Je crois que l'on se bat par ici. Va,
qui, après avoir séjourné quelque temps
Pour penpétuer son souvenir, on dt cons- Brassae, lundi ? août. Veuve Fuslé.
dit Notre-Seigneur à saint Pierre et ra- qui s'illumina comme une salle de bal pour dans les cadres do notre administration en truire une énorme machine de bois, revêtue
Un autre collaborateur également recevra à :
un
soir
de
«
baloche
».
mène ia paix dans cette maison.
qualité d'inspecteur des finances, a été ap- d'une toile peinte sur laquelle se distinguaient
Félieie était déjà couchée et regardait, pelé par la Commission des Réparations ïà les armoiries de la ville et deux inscriptions, Cahers, dim. 24 jitll., h. dés Airabassadcuirs.
Saint Pierre s'en fut et trouva le diable stupéfaite, mais n'osant questionner, l'él'une en latin : ex antiquitate renascor (je Cajara. lundi 25 Juillet, hôtel Gazeaux.
de plus hautes et plus importantes fonc- renais
aux prises avec une feimme. Les coups trange manège de son mari.
Cintegabelle, mardi 26, h. de Paris (Bauch).
l'antiquité), l'autre en langue ro- Cazala,
tions . M. 3e îvîonès del Pujol, avec une mane : de
mercr. 27 Juillet, hôtal Valette.
pleuvaient dru comme grêle en mars, mais,
en fosso (nous sommes nombreux).
Ayant disposé ses lumières dans tous les charmante bonne grâce, a bien voulu nie
renonçant à séparer les deux combattants
Cette machine -genre tarassque, du Tarascon, Grabat, jeudi 28 juil., hôt. de Boadeaux.
î<i Irlil., Grand-Hôtel.
ne ressemblait guère à un chameau que par St-Vincent-Tyrusse,
qui s'être ignai eut en un corps à corps fa- coins de la chambre, celui-ci se mit alors à faire les déclarerions qui suivent :
hAt.el Folin pêne.
» Le Comité de liquidation de la Ban- la tête ; elle recélait dans ses lianes quelques Dax, .°0 Juillet,
rouche, saint Pierre prit son épée et, d'un fouiller les meubles.
er août, hôtel Terminus.
Bédarieux,
1
Du premier tiroir d'une commode il re- que austro-hongroise a tous les pouvoirs hommes qui la faisaient mouvoir et impri- Haerjarran', mardi 2 août. hiot. Voyageurs.
seul élan, leur trancha le col à tuas deux.
tira douze paires de bas soigneusement d'un organe de liquidation judiciaire ; 'il maient, par intervalles, un jeu saccadé à un St-St'enne-Baygerry,,
Puis il revint auprès de son Maître.
3, h. des Pyrénées.
cou et à sa mâchoire aux dents de fer.
— Eh bien ! demanda celui-ci, leè as-tu plies, six cravates, deux douzaines de mou- a été constitué par la Commission des long
4 août hôtal Gédhe.
On la voyait figurer dans toutes les fêtes lo- Vsi!eneuve-s.-Lei,
choirs
et.
après
les
avoir
eecoués,
les
éparRéparations,
conformément
a-rx
disposivend. 5 août, hôtol Cazcaux.
Séparés ?
relbgleuses et politiques, spécialement d St-Paiais,
Ûranlhet ^amed: C août, hôtol Durand.
tions des articles 206 et 189 des traités de, cales,
— Séparés, non pas, Maître ; mais ils pilla sur le plancher.
celles Qui étaient célébrées en l'honneur ae
Agen,
dimanche
7 août, JiOfcl M-aity.
Un
second
tiroir
fut
ouvert.
11
en
sortit
Saint-Germain et de Trianon.
«ont en paix, car je les ai décapités l'un
saint Afrodise et surtout à la grande fête andes fichus, des foulards de soie, des jarre« Après uno période d'études, le comité nuelle de « Caritat », le jour de l'Ascension. Pau, lundi 8 août, hôtsl Henri-lV.
et l'autre.
— Malheureux ! gronda Notre-Seigneur, tières. Il les retourna, les étala, puis, v'ian t de, liquidation s'est mis à l'œuvre et a com- Dans ees diverses circonstances, cette machine Chutes do Matrice — Prothèse. — Professeur
mencé ses opérations. Vous n'ignorez pas était conduite par un personnage bizarrement
est-ce donc ainsi que tu exécutes mes volon- dans le tas !...
MICHEL, 1, rue Héliot (allées Lafayette)
costumé et armé, ayant nom Papari et estés ? P.etourne vite là-bas et remets les
Et ce fut le tour de l'armoire de noyer que la data d'ouverture de la liquidation corté
Toulouse. Téléphone 14-82
par un gr.oupe d'autres déguisés en
jetés eu place : ces gens reviendront a ia l'armoire des noces où, symétriquement était celle du 11 septembre 1919. Or, ie sauvages,
la tête ornée de feuillages. Ils danCabinet annexe à Albi
traité
de
Saint-Germain
n'a
ctô
ratifié
.
m.
érigés, dormaient les piles de serviettes. »t
saient au ,son d'une cornemuse, s'arrêtant
28, Bd Lapérouse (près la gare d'Orléans)
Non sans murmurer dans sa longue bar- les draps anesthésiés de lavande, et les i qu'un an atprès et celui de Trianon vient -aux (portes des -personnages principaux et ri"
. te, saint Pierre obéit. Mais si grande fut coiffes blanches finement tuyautéer dont se à peine de l'être.
ches, jusqu'à ce qu'on leur ouvrit et qu'on
« Mais entre le 11 septembre 1919 et la leur donnât des étiennes en argent à la vosa hâte qu'une étrange et funeste confu- paraît La Moune pour la grand-messe des
A VENDRE, 40.000 fr., à 4 kil. train, région
31
décembre
de
cette
même
année,
la
bai'.lonté de chacun. Cette recette était ensuite
sion s'ensuivit : sur le cou du Maiii! il re- jours de fête, et les robes moirées, et les
Sidobre, chalet meublé, 9 p., état neuf, écuplaça la tète de la femme, et inversement. jupons plissés... Tout cela fut bouleversé, que d'Autriches-Hongrie, donc le privilège partagée entre eux.
Pendant les guerres dé beligion, le chameau rie, enrage, eau dans la maison, ombrages,
C'est depuis lors, assure-t-on au pays déplié, inspecté. Tout cela, pêle-mêle, alla n'expirait, d'après ees statuts, qu à cette
altitude. Eor • 97, bureau a Express », Castres.
d'Armagnac, que les femmes ont « une tête rejoindre sur le carreau de la chambre la dernière date, a continué se3 opérations de futEnbrûlé.
BSîÊ, il fut reconstruit.
du diable ».
pyramide de linge qui bientôt menaça le banque d'émission. C'est vous dire au miA nouveau, il fut brûlé,- solennellement, en
lieu de quelle, confusion et de quelles légi- 1793. sur la place de la citadelle, avec tous les
plafond.
Les yeux hasards, La Moune, de son lit, times hésitations s'est ouverte ia liquida- titres féodaux que la loi du 17 juillet de la
Certes, Félieie Bentéjac n'était point faite surveillait avec égarement les gestes insen- tion effective de cette banque. Je ne parie même année avait voués à la destruction.
pour infirmer l'authenticité de ia déplorable sés de Ramond. Ses (mains se crispaient pas des contrits inévitables avec ur-e admiComme le
énix, le chameau renaît de ses
L
S
légende
nistration gui ne voulait pas se résigner1 à. cendres, le jour de l'Ascension, le l!) mai 1803.
sur
les
couvertures
;
on
la
devinait
prête
Vaillante comme pas une, l'œil à tout
son sort, conflits heureusement tranchas Il reparaît avec tous s-es charmée d'antan.
éclater.
Le € avril 1S09, l'édilité biterroise provoqua
et payant de sa personne, debout avant le à —
Enfin ! cria-t-elle,- que diable cher- par la Commission des Réparations et qui une délibération portant qu'il serait demandé
dai)$ le? Ville? .d'KaW}
jour et couchée la dernière, à l'An berge ches-tu donc "...
ne se sont plus reproduits.
au gouvernoment des armoiries spéciales pour
des Trois Ardits qui monte la garde et of«^1 côté de ces difficultés de fait, des la ville, dans lesquelles l'image du chameau
— Mais... ta langue, mon amie ! répon- difficultés d'ordre juridique plus nombreu- figurerait en bonne place.
fre l'accueil au carrefour des quatre grandes routes du Fezensac ! Mais un grave dit doucement Ramond. Puisque )a voici ses encore nous assaillaient sans cesse" :
En 1830, ce héros des fêtes biterrolses est endéfaut ternissait l'éclat de cette perle de retrouvée, .c'est bien .Te vais donc éteindre règlement des affaires commerciales, droits core détruit commue emblème de féodalité et de
L'Ej-press du Midi est en vente chez MM.
hôtesses : elle ne supportait point la contra- mon luminaire et descendre pour pousser d&3 porteurs de billets, droits dès Etats suc J fanatisme. Mais la tête de l'animal fantastique
ALET : M. Doutre (Pierre).
cucuon et, quand elle ne pouvait se dis- le verrou ; aprè"-; quoi je viendrai dcrimir, cesseurs, revendication des Etats autr)c'hi,én fut sauvée par un amateur des Choses du
AM SLiE-!_ ES-BAIN S : M. Estieu
penser de ia subir, elle boudai' Elle bmi- satisfait et rassuré. En attendant, tu peux, et hongrois sur l'encaisse métallique, otc!.. passé. On la rapporta à l'hôtel de ville, lors
AHl.EAU-CADÉAC : M. Rlbot, tailleur.
cl?. l'Inauguration de la statue de Riquet.
uait inlassablement, pendant des iour s et s'il te plaît, remettre de l'ordre ici...
« En présence do ces difficultés, dont cerARUELES-CAZOST
: Glc-re, journaux.
L'image du compagnon de saint Afrodise,
Quand l'aubergiste remonta dans la taines sont pratiquement insolubles, ué'us qu'on
aes semâmes ; elle boudait, muette pour
AX-LES-THSRMES : M. EnUle Bonnel.
considère
là-bas.
connue
le
palladium
derail
ar,nf
AULUS-LES-BAiNS : M. C. Rivière
fn^Jl
§
à peine pour quelque chambre, il trouva La Moune fort affairée avons eu l'idée, mes collègues et moi, de de la cité, revint au milieu dé çes réjouissan«mure commercial lé pli obstiné de ses et s' activant à tout replacer dans ses ti- convoquer une conférence des Etats suc- ces, comme une chose indispensable à toute
AUDlNAC-LES-BAi&S : M. Darron, épicier.
BAC-DE-S1GORRE : M. Frémat, firraire
leyres minces. Aussi l'avait-on surnom- roirs et sur ces rayons. Gomme elle repliait cesseurs, considérés comme principaux fête biterroise.
En
le. prestige du légendaire animal M. Sajous, libraire ; M. E. Gaubert, libraire
méei : 1 a Moune, c'est-à-dire la Boudeuse. un drap de lit de fine toile, il s'offrait à créanciers, et de leur proposer de substb
Mnie Pierrette Soucaze, à Campan.
disparait.
Bien
inutilement,
car
ses
adversaituer à la stricte application des traitas liés- res oublièrent sa devise point menteuse : ex
BARÈ12ES : Mlles Frilet, sœurs.
L'aubergiste Bentéjac. lui, était le moins l'aider.
—
Il
faut
avouer,
fit-elle,
il
faut
avouer,
BAYOMNE : M. Tastet
solutions amiabies basées sur de larges antiquitata renescor. On ne déracine point
Soudeur, le plus ouvert, le plus jovial des
maudite
engeance
d'homme,
que
tu
as
un
BIARRITZ : M. Tuzague.
forfaits.
»
hommes. Et c'est pouremoi les ro allers
les légendes d'un cœur populaire, pour l'exfichu
caractère
!.
.
BANYULS : Barbe Pierre, tabacs.
« Une conférence s'est ouverte fous tha cellente raison que les légendes sont le chienu Aignan ou de Condom. de Marciac ou
CADëAC-LES-i&AINS : Mlle Sajous.
EDOUARD DL'LAC.
uEauze, restaient fidèles à l'enseigne des
présidence le 12 mai. Les sept Etatj suc- dent de l'Histoire — F. MARTIN-GINOUVIER.
OAPVER» : Mme Joséphine Carrère ; Mlle
frois Ardits où les attirait son humeur
cesseurs y étaient représentés. Dans sa
Dastugue, libraire.
toujours égale, comme aussi les succulenpremière session qui vient de se terminer
(1) Voilà pourcrucl, Messieurs, si vous avez quelCAUTERHTS : M. Gallet ; M. Luche, lites daubes
et les pâtés fameux de La
ces jours-ci, c-3tte conférence a pu régler qae pistofe, — Mettei-îa, s'il vous plait, dans notre braire.
Moune.
tout ce qui concerne la liquidation commer- escarcelle.
EAUX BOKNE8 : M. L. Lavigne.
1
AGENCE REGIONALE
LAMALOU : Didier Mezoul, dépositaire.
—- Félieie, lui dit un matin son époux, les
ciale de la banque. Les Etats se sont eu
LUCHON : Mme Estrade, bureau de tabac
«Sange-toufc du potager sont gonflés ù J des CYCLE!» et MC
quelque sorte substitués à nous pour payer
M. Dourteau, dépositaire de journaux.
souhait : il est temps de les cueillir, et j'en I GTtît FON
les dettes commerciales et encaisser les
LO««î»K3 : Miqueu.
AVIATION ; m NOllEAl PECÔHP
goûterais volontiers au souper de ce soir.
créances de même nature. Cette procédure
L0URES-BAR8AZAN : M. J. Raygot.
I
TRIUMPH
^ T. Moi, fit la Moune, je préfère un raabrège de quinze ans la liquidation prévue Bravo Poulain! Bravo! Je demeure d'accord
LA NOUVELLE : Mlle Joséphine Larmet
goût de petits pois.
Que
ton
invention
est
noble
et
des
plus
belles
par le traité.
et Mme Jean-Pierre Pons, épicerie, quartier
AUTOMOTO
du
Fort..
Mais
je
dois
t'informer
qu'on
a
trouvé
-plus
— Les pois peuvent attendre,
« Ainsi que l'a répété la pressa, ce résul[fort :
LA FRANQUI-PLAGE : Mme Périer, épi
tat
est
un
succès
et
ce
succès
fait
honneur
i m0i iQ nat{en
BIAIS cm
d'Alsace, lui, sans peine et sans "effort. cerie, Etablissement thermal.
régaler f'
'
drai pas pour m'en
au, sens politique des Etals successeurs. Il L'Ancth
Vous transporte au Ciel sans le secours des
PIERREFITTE-NESTALA3 : M. Gerde, re
U ffl
est
en
outre,
à
mon
avis,
là
prouve
que
«es
Fli A NCE-S POUT o
[ailes. traité.
•rnTTirfn i V et,rai dit I'je J« voulais ries
_
i
rEtats
peuvent
arriver
à
s'entendre
;
c'est
P0nT-V£HD3ES : M. Maurette.
m
HT , , ""
-Ie vais de c e pas en emplir
un panier.. '
un encouragement pour l'avenir, "ar des
RENNES-LES-B Attls : M. Flamand, coiffeur.
SALIES-DE-BGARH i M. Landreau, libraire.
Ce
f -'leni don: les mange-tout qui s'insententes de tout ordre seront indispensables
•e
SïRADAN i M. P'.tio, à Saléchjn.
cric
au rétablissement d'une vie normale dans
axl men,; du jour, lequel était un
SUR
TOUS
LES
MODELES
'
i''-;
,
U3SAT-LES-BAIN5 : M. Ruffle, tabacs.
lund
le centre de l'Europe.
iais LLa Moune ne
Cr6mo d'Anïs Surfine
Mata
45, Boulevard Carnot, TOULOUSE
g
Fi w».
,'".:'
ne les
les put
pu. d'aérer.
VICHY : à la Gare.
ie
u «uanche» dMoune
« J'ajoute que la deuxième partie de la
Agents
introduits
demandés
partout.
après, eile gardait encore
© ssaajssj Q ^ssa © jacassa o sggszs:"*? conférence sera consacrée à l'établisse- Mi QUEL et d", 9, rue d'Antipoul. TOULOUSE
tlon
ie la
*
43
Feuilleton du 24 juillet 19S1
i^Q
Searet
ûe la
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lare-au»]
PREMIÈRE
PARTIE
LES PAPIERS DU MORT
XII
n
eabïm>? '- Ml,nsieur lo fait coucher dans le
coi/i ûu vestibule, raoport aux
TOaHmi'
QUl P° urraieut ve »ir voler aa
Château
011 Nlvolct aat
Claidp ^ avaii
envie do rire. Avec
trav ersé ce cabinet : il n'y
avait L
ne
^uycJ r',?-T - ^^"-^ doute, le Russe, s'enét»i «iiy > t cxn lîans la grande maison,
cner «-ber uno distracttou au cabarot.
V C ,Ai au ! p,t
«ouveStn ,'- i^ nS
''
V'noent. l'v suis
a passé tout* <° v,
*°' y ou< s:iVP7- Q»«""d »n
Oublia S* « à un endroit, on ne
bas comme ça 1 Est-ce qu'il y a du
nouveau ?... Une. mert, ça bouleverse toujours pas mal de choses...
— Bien sûr ! Monsieur a tout fait désinfecter, de peur de la contagion...
— Qui est-ce qui a hérité de la galette ?
— La vieille guemn.
C'était sous cette appellation flatteuse que
les domestiques do Camille Blaisois» avaient
coutume de parler de sa mère.
— M de Préniol n'avait pas laissé de testament ?
— Pour vous répondre, faudrait être le
diable, fit Germain en baissant la voix. Ce
qu'il y a de certain, c'est qu'on a brûlé
rudement de papiers, dans les cheminées,
après l'enterrement... et même avant. Tous
les domestiques, nous l'avons constaté. Seulement, c'est pas notre affaire... On ne dit
pas tout ce qu'on pense.
— Ça m'étonne que M. Jean n'ait pas
fait de testament... Si on avait bien cherché, on aurait, peut-être trouvé.
— Ah ! bé, oui !... Monsieur a tellement
cherché qu'il en a cassé on mille morceaux
le bureau qui était dans la chambre de M.
le marquis...
— Pourquoi cassé ! fit Vincent en feignant le plus vif ètannement.
— Rapport aux cachettes...
C'était un
meuble truqué, vous comprenez...
— Et il a fait ça but de amie après l'enterremmt ?
— Oh ! pas tout de suite : cinq ou six
jours après... peut-être huit... je ne me souviens plus. Mais i ersenne n'était entré dans
la chambre : Monsieur cri avait toujours
lu clef dans su poche. Alors, s'il y avait un
testament, lui seul le sait, hein t
Le jardinier écoutait à peine Germain, 11
savait anaintenanl ce qu'il voulait savoir ;:
c'était bien avant de recevoir la lettre .hdee
du 30 septembre que Blaisois avait démonté lê vieux secrétaire.
. .'
Les fermes mêmes de cette lettre démontraient qu'il n'y avait rien trouvé.
Or, plus Vincent réfléchissait, plus il rejetait lhypothène que le marqua eût pu
détruire son contrat de mariage et son t»tament. Une telle destruction eût favorisé
les Blaisois : c'aurait été une trahison envers sa famine et. l'enfant quelle altandait,.
Ces papiers n'avaient donc pas été détruits. Puisqu'on ne les trouvait pus mu
château, c'est que quelqu'un les avait pris.
Mais qui donc ?
A ce point de sa déduction, - une image
s'évoqua dans l'esprit du vieillard : celle
du docteur Tlroimerof.
Comme médecin il avait eu ses entrées
libres ri.uprèr->rtu malade...
— Eh J eh ! fit Vincent, absoibé dans le
fil de 8K pensées.
Qermain venait d'achever la bouteille. 11
regarda le jardinier avec un ôtonne.ment
mêlé de moquerie.
— Le vieux baisse, po.nsa-t-il.
Puis, tout haut, il ajnuta, en se levant :
— Content de vou* avoir vu. père Nivolet... Bonjour à mazelle Aurélia. . Faut que
j'aille diner, pour être A l'heure n l'Kfdo 1
Vincent lui seeomi vigoureusement la
main et lô laissa sertir.
Il paya les consommations et sortit luimême bientôt après.
Anne Bochet et Aurélia l'attendaient dans
le petit appartement do la rue de la
Darse.
— Oh ! puissloz-vous dire vrai ! s écria la
jeune veuve quand Nivolet- lui eut rapporté son entretien avec Germain, qu'il eut
énoncé son opinion relative à l'existence des
papiers de M. de Prémol et exprimé 1 hypothèse que Th'jrncrof en était le détenteur.
Si ces actes ne sont pas détruits, une
chance me reste de les avoir un jour,
duesè-je promettre à ce misérable médecin
toute la fortune qu'ils représentent pour
moi !... Sans do-.ite, il me serait infiniment
doux de vous récompenser de votre dévouement, do rendre è. mon Robert le bel héritage qxi'on lui a volé. Mais c'est bien plus
que des richesses que ces papiers représentent à mes yeux : c'est mon honneur...
Car je rougis à la pensée de ce que devrais
répondre à mon fils quand il aura l'occasion dé voir son acte de naissance et que
je lirai dans ses yeux, sinon 'a réprobation, du moins ia honte de sa mere !...
Oh ! merci, mon bon ami, de tout ce que
vous et tous les vôtres faites pmr moi I
— Ce m'est rien que de très simple, madame, et si nous ne le faisions pas. nous
serions tics ingrats. II y a des maîtres envers qui Ion est quitte lorsqu'on leur a
donné le travail dû : ce sont ceux qui ne
vous donnent que de l'argent... Mais ceux
qui vous donnon! aussi de leur cœur, lé
meilleur travail rte suffit pas à nous acquitter envers eux. Moi, le vieux père Nivolet, j'ai été jetmo aussi. J£h bien ! je ma
souviens do M. le marquis. M. Gaspard ; il
ne passait pas devant la maison sans s'àrrSter : » Bonjour, Vincent t », qu'il disait ;
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
MALADIES DE LA PEAU
Les personnes atteintes d'ulcères
plaies des jambes,
jambes. eozémas,
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Vieux,j piaiea
dartres
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maladies de la peau et qui ont salis succèî
essayt
essayé les remèdes les plus divers, doivent
écrire
à M
M,' P-P^serieux m O. I), ^péclaR s têre i8,
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Paris.
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1
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0f>mPji s) adressé à
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amies, iareaj gnéris sr&ll a la mVtkode r&l
En voici d'ailleurs une preuve s
« Monsieur GLASER,
Je suis heureux de vous informer que
gTace à votre merveilleux appareil qui se
porte jour et nuit sans aucune gêne, ma
nernie a été ladiealement guérie Avant de
vous , connaître, j'avais été torturé par da
mauvais bandages, aussi je vous dois la
force et la santé.
.« Avec ma reconnaissance, je vous auto»
nse à publier ma lettre.
« Monsieur L1BAROS (Jean-Marie).
M1RAMONT-MIRANDE (Gers). .
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Sebastopoi. Paris, est absolument sans rea.
sort, muni de la nouvelle pelote à compres.
sion souple il maintient sans aucune gên«
îe s hernies les plus fortes et les plus anciennes, les réduit et les fait disparaître Dans
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tuitement.
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Ce-ndo-m, 7 août, .hôtel du Lion d'Or.
Broenure franco, sur demande, Ceintures
ventrières poui- déplacements de tous organes.
« Bonjour, monsieur le marquis ! i. que je
répondais. Et ii me serrait la main, et Dite
demandait de mes nouvelles, et de celles de
mes parents... Plus tard, Mme îa marquise, pas l'Anglaise, l'antre, la première,
une sainte, ne passait pas de semaine sans
apporter quelque gâterie à nias petits...
Ah ! les brave? gens ! les nobles gens que
c'étaient !... Mon Claude, Auréiie ont sauté
sur leurs genoux comme si ça avait été
leurs enfants... Ah ! ça ne snuh'.ic pas,
cela, tonnerre ! Et ça ne se paie pas non
plus !... Mais patience, madam? ! Tout ce
que je vous ai dit, ce n'est encore que des
suppositions... Faudra les vérifier ave^ précriuliun. Quant à demander quelque chose
à M. Thorncrof, je crois que ce serait peine
perdue. Il no doit avoir pris les papiers
(pie pour faire chanter l'assassin, et il ne
les lâcherait pas sans être payé argent
comptant.
— La perspective d'un énorme gain à
réaliser le tenterait pcuLêtre ?
— Il y aurait, vn procès. Avec les influences que peut faire agir M. Blaisois, avec
sa banque, il n'est pas sûr de perdre. Do
plus, M. Thonierof, qui gagne, paraît-il,
des mille et de-" cents à Pari3, avec ses
drogues et sa médecine, n'aimerait pas
qu'on dise qu'il a été compromis dans une
histoire aussi louche qué le vol des papiers
d'un de ses malades : ça lui porterait un
trop grand préjudice... Ah I ai vous aviez
les millions dans la main, je vous dirais :
allez-y !... Mais, n'ayant tpie dos promesses à lui faire, ne comptez pas rien obtenir de lui, d'aujant plus que ça* grodin?, ijl
àont habitués à toujours mentir' èt qu'ils
célèbre par les nombreuses guensons quell*
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no croient pas aux promesses des autres...
Anne demeurait désolée clans sa nouvelle
désillusion. Son visage résigné exprimait
tant de souffrances que Vincent Nivolet
ajouta ;
— Je dis ce que je. vois, madnmo , maif
faut pas vous désespérer. S'il y a quelque
chose à faire, on le fera, soyez tranquille..
Seulement, une imprudence peut tout perdre : ij faut aller avec précaution... Nous
en, parlerons avec Claude. C'est lui qui a
déjà eu l'idée de l'expédition à 'u Mareau-Bois ; il trouvera bien quelque nouveau
truc pour cette fois-ci...
Cependant, par uno {irudence peut-être
excessive, Vincdnt Nivolet ne voulut, rien
écrire à son fils. Il supposait que, sans le
savoir, Us étaient peut-être souanis à uno
SUTVC illance do la police, comme soupçonnés du cambriolage de M. Blaisois, et que
leur correspondance risquait d'être décachetées.
Ii avait donc recommandé à Clnudo rte no
jamais faire la moindre allusion à cet événement, ni aux recherches qu'il se proposait de faire pour démontrer la culpabilité
do Camille Blaisois.
Claude devait revenir à Pâques pour
quelques jours : on lui parlerait à ce mo.
iuieiit t'es soupçons Contré Thorncrof. Mais,
par suite de nécessités diverses du service,
le sorgent ne put pas obtenir la permission
sur laquello il comptait et il dut annoncer
à son père qu'il ne pourrait se rendre à
Marseille qu'après les manœuvres d'automne.
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A. R., 168. — 1° L'insigne de» blessés n'est
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guerre, ont été soit réformés, soit classes dars Au Hall de l'EXPRESS, sont reçus les Abonnements
le service auxiliaire par suite de maladie contractée en service ; les militaires atteins de
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maladie, mais maintenus en service armé, ne
peuvent y prétendre. 2° Impossible d'énumé
rer ici les nombreuses unités et formation
considérées comme unités combattantes pour
le droit au pont du ruban de la Médaille inPLUS DE RHUMATISMES I PLUS DE DOU.
teralliée dite de la victoire. Mieux vaut nous nés informations soviétiques, les travaux de
dire à quelle unité vous avez appartenu et forage à Bakou et a Grosnyi seraient complè- LEURS SCIATIQ'JES ! - Gucrison radicale
nous pourrons ainsi vous faire savoir si celte tement arrêtés et, étant donné la sensible di- par le Vin et le Baume AntlrhumatiQue Ca.
unité figure dans la désignation faite par minution dans la production, il faut s'atten- rayoi Dépôt général et seul Fabricant, M. AT,
phaxn.acien à Salnt-Juéry (Tarn). Se trouve
l'instruction du 2 novembre 1919 En principe dre à un épuisement rapide des stocks.
Les Pélrolifèras sont en général lourdes. dais toutes les tonnes pharmacies.
les règles établies pour déterminer le droi
à la prime supplémentaire de démobilisa- La nouvelle de Washington que le 17 juillet,
tion, au taux mensuel de 20 francs, peuvent à la Chambre des ReprésenUuits. la taxe
MALADIE DU JEUNE CHIEN. - GuérJsoa
proposée sur le pétrole brut et le combustible
servir de guide utile en ce qui concerne 1
par les Piiuies Canines. Henri PHSdroit au ruban. En outre, les militaires rr-n- liquide, avait été rayée du texte du Fordney rapide
» AT. Prix : 2 fr., impôt en sus, toutes Pnaf
dus à la vie civile et fondés a Jfaire cette de- tarif Bill, n'a eu aucun effet favoraole sur
tnacics.
Dépôt : U. CARIE. Rabastens (Tara).
mande doivent l'adresser au président du les-cours des valeurs de ce compartiment à
Conseil d'administration siégeant au dépôt du New-York, qui ont enregistré, au contraire,
* dernier corps d'affectation. — Remis 1 fr. au une nouvelle dépression. A Londres, on remarque depuis quelques jours de grosses venJournal : remerciements.
Esjna
Médaille militaire. — La loi du 18 juillet 1921 tes en Royal-Dutch, Shell et Mexican Eagle.
(J. Off. du 19 juillet) prolonge de trôi's mois De tout cela, il se dégage que la guerre a
et du CUIR CHEV--J •
couteau
tiré
entre
la
Standard
Oil
et
le
groupe
la durée de neuf mois fixée par les lois des
Radicalement G'JÉR 1 * 3
n'a pas pris fin et que le
* 15 juin et 16 décembre 1920, en ce -qui con- Royal-Datch-Shell
par le traiteem» i>'-LlEU3t ;
plus
clair
de
l'histoire,
ce
sont
les
porteurs
ii 6ii
cerne l'attribution de la médaille militaire, au d'actions qui font les frais de la lutte. L'Eag'le
Pommaae.
titre du département de la guerre, aux mili- revient, à 253, la Shell à 242, la Roy-al-Dutcîi
Essmee u, ; -. : a
as
saisepaieiils
taires de la réserve et de l'armée territoriale. à i-9.600. avec tendance franchement lourde :
Cette (prolongation a pour point de départ le Omnium des Pétroles mieux à 463 ; Colombie,
composée et con1 ».
centrée
M juillet, date de la promulgation de la loi.
; Steana, 461, ex-coupon de 175 tek.
B. G., Finhan. — Une gratification de ré- 520Les
Iranco contre mandat..... 14 fr
Gaoutchoutiôres sont mieux sur la re
Renseigner,, -lt}
, arMts
forme de 400 francs correspond à une invali- prise des cours de la matière et sur les efpharmacie Dt LIEUX
dité de 40 %. Pourcentage insuffisant ; il doit forts faits pour réglementer les ventes et réCUPLAN.
Dcctaur
e;i
Pharmaaie
•Être au moins de 00 %, pour avoir le droit à duire la production : Financière, 87 : Malacca,
Eue de Rémnsat roULOUS
"pension de la veuve du réformé. En outre, la- m ; Padan.tr, 134 50.
loi veut que le mariage ait été contracté anMines d'or sans changement appréciable detérieurement à la blessure qui a donné lieu à puis
notre précédente Revue. Diamantifères
la réforme. D'autre part, les ascendants ne toujours bien tenues, malgré les nouvelles
peuvent bénéficier de l'allocation prévue en contradictoires concernant l'industrie des diaFONDERIE D'OR ET D'ARGENT
leur faveur que lorsque la veuve est elle-même mants : de Beers, 503 ; Jaifjersfontein, 111
a. PORTES, Toulouse, 30, r. St-Uumc iau V'i
, susceptible d'être pensionnée (A' 14 et 28 de
En valeurs diverses, les Sucrières ont ref ' U' T au illus 'iailt C0UXâ de matières eS
ta loi du 31 mars 1919.) Ni pension ni alloca- perdu une partie du terrain gagné à la suite
U il
I
résidus or, argent, platine
tion pour le cas considéré.
dé
prises
de
bénéfices
:
Say
ordinaire,
1252
;
Bijoux, dentiers, epoUssetures, dorures, gaB. j., Finhan. — Réponse négative, parce Sucreries d'Egypte, 652.
lC'r""
monnaies
étrangères et démonétisées.
sue le défunt, qui n'était pas en possession
d'une pension, lors de son décès, n'avait pas Société d'Etudes et d'Informations financières
15. rue Vivienne. Paris U' arr )
fait constater, chaque année, depuis le retour
CABINET iWMOBiLISR, îî. rua tf'A..<ac9,
dans ses foyers, son état de santé, comme le
taii ''«nore, acheter immeuoias. commercer,
prescrit l'article 15 de la loi. — Remis 2 fr. au
journal. Remerciements.
CHEMIN DE FER DE PARIS A ORLEANS
'KSTITUT SERCTKEKAPÎCU9
A. M . V. B. — 1° L'allocation d'ascendant
Laboratoire eî utinique Uroiagiqiut
peut être suspendue après qu elle a été accorhlectroly'se, beratni tt i-a-'-ins
dée, pour insuffisance de l'âge du titulaire ; RELATIONS DIRECTES ENTRE PARIS-QUAI
Vi, Un» d'Alsaea — TgSULOUSâ
î* L'infirmité constatée par le centre de réD'ORSAY ET LA STATION THERMALE
uuve/< 4a ta b. & S ù.. mardi «setc
forme ne donne pas droit à la jouissance de
DE LAMALOU LES-BAINS
l'allocation lorsque le pourcentage de cette
infirmité n'est pas égale ou supérieure à 60 % ;
Pendant la saison d'Eté 192.1, dos relations
I* Oui. les titres antérieurs sont inutilisables directes entre Paris-Quai d'Orsay et la station
St doivent faire retour à la Sous-Intendance ; thermale de Lamalou, vi âMoni-auban-Castres,
LES EKFAWTS N'ONT PLUS
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Aller : Départ de Parts-Quai d'Orsay, à
Barrau, t or colonial. — 1° « Plus que jamais,
dit la circulaire du 22 juin dernier, relative 19 h 40, arrivée à Lamalou à 13 h. 30.
Retour : Départ de Lamalou à 14 h. 43,
aux ipermissienis supplémentaires, le commandement doit veiller à ce que les permissions arrivée à Paris-Quai d'Orsay, à 9 h. 37.
soient accordées compte tenu des nécessités
Flacon. 3 fr. ; 1/2 Flacon, 2 frdu service, aux époques où les bénéficiaires
peuvent, chacun .selon sa profession, partici- Ltude de M» TRTNTAC, docteur en
droit,
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de service ; elle ne dit pas qu'ils seront réipar
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lis à raison de quarante jours par année ;
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MASSE!!
Paris, 23 juillet.
Depuis notre précédente Revue, la tenue de
la Bourse ne s'est pas sensiblement modifiée,
©'ailleurs, elle est restée fermée la majeure
partie de la semaine dernière, à cause des
lètes du 14 juillet. Les bonnes dispositions
**nstatées à la séance du 13 courant ne se
s'ont point accentuées à la réouverture du
marché, car. depuis lundi, il y a lieu d'enregistrer un léger tassement de la cote. Nous
sommes en pleine période do vacances, et c'est
par conséquent le calme plat. La grosse
échéance des coupons de juillet a bien mis
en circulation des disponibilités importantes,
mais la grande partie se trouve pour l'instant
absorbée par les émissions en cours. Le surplus pourrait reprendre le chemin de la
Bourse, mais, pour cela, il nous faudrait un
peu de tranquillité dans le domaine de la
politique internationale. Evidemment, la situation est moins sombre qu'il y a quelques
semaines. Cependant, la question de la HauteSilésie revient au premier plan et il semblc<j'Ue son règlement ne sera pas très facile.
Au point de vue économique, la situation
ne s'améliore que très lentement, et encore
seulement dans certaines brandies de l'industrie Quant à notre situation financière, il
ressort du budget de 1922 qu'il faut faire appel à trois milliards de ressources nouvelles.
On prête au ministre des finances l'intention
de doubler l'impôt sur le chiffre d'affaires.
Etant donné le marasme du commerce, cette
nouvelle taxe rendrait ipeu et aurait surtout
•pour effet d'augmenter le prix de la vie, avec
toutes ses conséquences. Le remède n'est donc
,pas là. A notre avis, une nouvelle compression des dépenses et un meilleur rendement
des impôts actuels doivent suffire pour boucler le budget.
Les changes ont peu varié, sauf le dollar,
«jui demeure en tendance ferme a 12 90.
Peu de ohang-oments également sur nos rentes françaises : 3 % 56 30.
Les Etablissements de crédit se représentent
aux environs de leurs cours d'il y a nuit
jours : Banque de Paris. 1282 ; Union Parisienne, 795 ; Comptoir d'Escompte, 935 ; Société Générale. 693.
Les valeurs de navigation restent déprimées,
les Chargeurs Réunis se tassent encore a 720,
ainsi que la Transatlantique à 225 ; le Suez
est bien tenu à 5500
Toujours peu d'affaires sur les valeurs d'électricité, dont les cours nous paraissent intéressants.
Les Cuprifères s nnt moins fermes. La spéculation, qui avait fait quelques achats en vue
de l'amélioration du marché du cuivre, a revendu en partie ,à la suito des événements
de oes derniers jours en Haute-Silésie. Ceci
nous iprotive la fragilité des mouvements actuels. Le Rio revient à 1440, l'Utah ti (130,
Tharsis 141, 'Pang.anyilsa 50 25. Le Boléo est
mieux tenu à tliô.
t>Bs Industrielles russes,
peu négociées,
n'ont pas ,sul<i lie cfluiiipement appréciable depuis huit jours. I/Cs dernières nouvelles de
Russie montrent l'approche de la tin du régime actuel, qui a jeté le pays d'ans la misère
le pjus noire. Naiptits, XiO ; Bakou, 2420; I.ianosoff 4-7
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Hémorragies et les Perles presque continuel? ss |
auxquelles elles sont sujettes. La FEMME se!
nréoccupe peu d'abord |
Eniger cefrortrsai ^ e ces inconvénients.
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™' puis tout à coup le ventre commence à grossir et les malaises
redoublent. Le FIBROME se développe
peu à peu. il pèse sur les organes intérieurs, occasionne des douleurs au cas i
ventre et aux reins. La malade s'affaiblit
et des pertes abondantes la forcent à
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