1 - Kiosque Lorrain

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Transcript 1 - Kiosque Lorrain

c^BdilO Août 1911
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Nous ne céderons pas
DIRECTEUR : RENÉ MERCIER
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LONDRES, 18 août. — Les directeurs, délég
gués
des diverses compagnies de chemin de
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for ont déclaré à la sortie d'une réunion tenue cet après-midi, qu'il ne serait fait
n
aucune communication,
mais l'on sait
néanmoins que l'on n'a pas pu se mettre
d'accord avec les délégués ouvriers.
Après avoir conféré avec .M. Lloyd George, le député travailliste Ranney Macdo■
nald a dit que les négociations vont se
,
poursuivre.
Il a ajouté que si la Chambre
retardait ses vacances, c'était uniquement
r
g
grâce
au groupe travailliste.
La grève acclamée
,
90
-
, "
Monl.narlre, à Paris, sont seuls chargés de recevoir la
F^"t* ««ra-locale du joua*
INTERVIEWS
La Femme
de demain
flccifleits sinistres
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Fermes incendiées
ViTRY-LE-BnANÇOis, 18 août. — A Alliauc
celle?,
un violent incendie a éclaté, cette
rnuit, dans une ferme exploitée par Mme
n
veuve
Lecoq. Le feu a gagné bientôt quatre
'fermes voisines, qui, malgré les efforts d'ur
ne dizaine .de compagnies de pompiers ont
'été ta nroie des flammes. "
On croit que cet incendie est dû à la mal^veillante.
Ouvriers ébouillantés
LORIENT, 18 août. — Deux ouvriers des
i
constructions
navales, MM. Jossec et Gainec travaillaient à l'arsenal près d'une
Cchaudière en ébullition. Un robinet de vaI
peur
a fait explosion et les deux ouvriers
ont été grièvement brûlés.
LORIENT. — Le contre-torpilleur fourche
(effectuait ses essais de machines dans le
Jport. Soudain, pa* suite de la chaleur in
tense, l'huile surchauffée provoqua une explosion.
Deux ouvriers qui se trouvaient
1
!dans la chaufferie furent grièvement blcssés.
■
Savant
Chute mortelle
'un aviateur
Les commentaires allemands
Lin journaliste mérite toutes les indulgences dès qu'il y a trente degrés à l'omj
bre. C'est dire si nous sommes sans reprot:
ches à l'égard de notre éminent confrère
j
J. Bois, qui, la semaine passée, alla interviewer la baronne de Pierrebourg dans sa
v
villa
champêtre. Son intention était louap,
ble et conforme aux traditions. Lorsque
les vacances ouvrent aux citadins les portes
^
d'un repos bien gagné, l'usage veut que
d
des
enquêtes « d'actualité* s'imposent, et
1
que
l'on aille troubler la quiétude des plus
*éminents d'entre eux.
La baronne d© Pierrebourg est une femme de lettres. Elle arbore en librairie le
r
nom
ingénu et tout brûlé d'ardeurs impat
tientes de : Claude Ferval. J. Bois, qui est
1
un
augure sérieux et qui sans rire, a gaigné ses premiers grades dans les rangs des
r
mages
néo-style, a confié à Claude Ferval
ses angoisses : Où vont les jeunes filles
c
d'aujourd'hui,
« froides, décidées, sérieuf
ses,
qui commencent à penser moins au
mari qu'à une situation à se faire » ? Que
E
sera
la femme de demain ? Sera-t-elle Dieu,
table (à écrire) ou cuvette ?
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ECHOS D°E PARTOUT
Les premières conséquences
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LES COMMANDES A L'INDUSTRIE
ETRANGERE
1 pourparlers franco-allemands
Les
La Fièvre aphteuse
Pas de changements
Les entretiens qui ont eu lieu entre M.
Ç
Cambon
et M. de Kiderlen-Wœchter n'ont
rl
rien changé à la situation. Aucune modification ne s'est produite. M. de Kiderlen est
^'
Pparti pour Wilheinsliœhe d'où M se rendra
à Marionhad pour s'y reposer une dizaine
Jj,
de jours. — Havas.
Causes, remèdes, réformes
M. IL Vallée, professeur à l'Ecole vétérinaire d'Alfort, publie dans le Temps un article du plus haut intérêt sur la fièvre
aphteuse, qui fait tant do ravages depuis
quelque temps dans nos cheptels. En voici
la conclusion :
« Quelque fâcheux que puisse être le rôle
ide la Viilette dans l'extension des épizooties aphteuses il est d'autres causes du
,mal présent. Ainsi que l'écrivait tout récemment ce maître incontesté de notre police sanitaire qu'est le professeur Leclain'
che,
do Toulouse, « notre législation sanitair sur la fièvre aphteuse est inopérante
et inutilement onéreuse.... Ce qu'il faut,
c'est modifier du tout au tout les procédés
de l'action sanitaire... Notre Code sanitaire date de 1876. Toute les données qui ont
servi de base à l'élaboration de nos lois
sont controuvées ou transformées. Ce sont
des conceptions nouvelles qui doivent inspirer la refonte totale de la législation sanitaire française. »
« Ce qu'il faut aussi c'est refondre notre
oganisation sanitaire. Il faut unir, coordonner l'action départementale. De multiples exemples établissent qu'en la matière
une action centrale est nécessaire et que
l'intervention de l'autorité locale est nulle,
molle, imprécise, forcément personnelle, et
que dès lors, l'effet total fourni sur les divers points manque de la cohésion nécessaire. A toutes organisations il faut un chef
technique responsable.
En dépit de leur
zèle, de leur valeur reconnue et des servi
ces rendus, des fonctionnaires de race ne
peuvent faire rendre utilement, et sans
heurts à l'arsenal sanitaire ce qu'il est perrni d'en attendre, môme avec le concours
de ce conseiller souvent appelé, toujours
écouté, qu'est le comité consultatif des épizootics.
« Ce qu'il faut enfin, c'est prévoir, étudier longtemps à l'avance les mesures applicables, s'atta.cher, aussitôt que les pays
voisins sont envahis par la fièvre aphteuse, à réaliser la défense de nos frontières
et l'extinction sur place des premiers foyers
constatés.
« L'exemple des Etats-Unis et de l'Angleterre, victorieux d'infections à leur début, est plein d'encouraginents. En ces
pays, largement protégés par leurs frontières maritimes, l'abatage en masse dans les
foyers initiaux constitue une mesure de
succès assuré, tandis qu'au niveau de nos
frontières, géograuhiquement ouvertes eè
permanence, ces a bat âges préventifs devraient être indéfiniment renouvelés.
« .Mais pour nous, la sérothérapie préventive, dont j'ai récemment parlé, en permettant de créer une zone de protection
efficace, aussi étendue qu'il sera nécessaire
au voisinage du foyer, rendra possibles,
avec un minimum de dépenses d'nbatage,
les interventions radicales réalisées avec
des résultats si brillants aux Etats-Unis et
en Angleterre.
« Le projet de loi destiné à compléter
notr Code rural, actuellement à l'étude au
Parlement, prévoit, disposition essentielle,
que dorénavant le pouvoir central aura, la
direction do la police sanitaire en matière
de fièvre aphteuse. Il prévoit aussi que des
abatages, avec indemnisation, pourroni
avoir Ueu lorsque leur nécessité sera reconnue.
« Le comité consultatif des épizootics
aura, dès la promulgation de la loi nouvelle, à rédiger les règlements destinés à
assurer son application. Nul doute qu'il
ne s'inspire dans leur disposition des enseignements du passé et des indications
du moment. L'administration de l'agriculture, enfin, se préoccupe d'une organisation susceptible de produire en permanen- ;
ce du sérum aniiaphlcux et de constituer
d'importantes réserves de ce précieux produit, afin de parer à toute éventualité.
« Si, parallèlement à ces efforts, les indispensables réformes à apporter à notre
organisation sanitaire sont réalisées, nous \
serons dans l'avenir utilement et solidement armés. Il y a là une œuvre d'intérêt
primordial à accomplir ; ses assises sont
jetées. Nous voulons espérer, pour l'honneur du pays de Pasteur et la fortune rje
notre élevage, que l'édifice sera rapidement
couronné. »
LES SHEÏES AH6LAISES
m
4Jlîî
\*Brttas
8E --"J -STO»ïîfc
l'j août. - D'après le Journal M. . SOTJTH-HALL, 18 août. — Dans une réuifc initii>tre des a II aires étrangères, rnion tenue cet après-midi, 15.U00 cheminots
*ïi ré'en sortant du conseil des rmnis- de
c
toute oatégorie ont acclamé la grève.
ftenu avec MM. Caillaux, Meseimy et
Les cheminots déclarent qu'aucun train
ne circulera demain sur le Great-Western.
% cherche à nous lasser, mais nous ne
LONDRES, 18 août. — La grève a éclaté
lirons pas. »
,
..
en Irlande. Plusieurs centaines de chemiTaris-Journal déclare que la situation
Les aliments avariés
nots ont quitté le travail à Dublin.
•Telle créée par l'Allemagne n émeut en
EDIMBOURG. — L«s cheminots écossais
LORIENT. — La famille Le Tharau a été
nos
milieux
diplomatiques.
,
1
m
n'attendent que dimanche pour décider la empoisonnée
par l'absorption de poisson
1
avarié.
Le père est mort.
Ut-nouvelle entrevue Camfeon-Kiderlen grève.
i
EDIMBOURG, 18 août. — La Fédération des
n Figaro dit qu'il est permis d'espérei
i
Le naufrage de r « Emir ». — Le rapport
mineurs
blâme le gouvernement poui l'enson départ de Berlin pour Paris voi
,
du commandant.
de troupes destinées à aider les compa)L Cambon aura un nouvel entretien avec £gnies de chemins de fer.
MARSEILLE, 18 août. — Le rapport maritil de Kiderlen-Wœchter.
La Fédération a autorisé son directoire à 1me du commandant du vapeur Emir, aborLa gravité du problème n'a pas pris
1
convoquer
une assemblée plénière de l'U- 'dé le 10 août par le steamer anglais Sylves- Claude
Optimisme anglais
(
Ferval sans bas bleus. Elle a levé
nion des travailleurs pour débattre la ques- tow, déclare qu'étant donné la violence du ,
LONDRES, 19 août. — Suivant une note ot(tion de la grève générale.
sur son interlocuteur des yeux profonds
choc
et
que
n'ayant
entendu
qu'un
seul
iMir* les conventions franco-allemandes
'
de sifflet quelques secondes avant l'a- où -passaient comme des reflets d'ailes, et
«sont'pas entrées dans une nouvelle pha- , Elle estime que la présence des soldats coup
bordage, il est probable, à son avis, que lui
1
à et il n'v a aucune raison d'être pessi- va provoquer des émeutes.
a parlé longuement en se défendant de
le navire abordeur ne sifflait pas et mai- j
Les dissidents
liste, les "deux pays désirant également
vouloir
rien dire.
chait à une grande vitesse.
une solution.
BELFAST. — Les cheminots refusent de faiElle lui a avoué sa tendre piiié pour ses
i
re
grève.
LDNOUES. — La conférence des travailsœurs douloureuses meurtries par le « ma1
leurs de l'industrie des transports,qui vient
d
anglais riage-esclavage
» et son espoir de les voir
BERLIN, 19 août. — La Nouvelle corr&sid'avoir lien au Boarct-of-Strade, a abouti
1
secouer
le joug. Que celles qui ne sont proPLYMOUTH, 18 août. — L'aviateur anglais
pondance politique écrit :
i un accord. La grève va cesser.
à
Ridgé est tombé ce soir d'aéroplane et a ]pres « qu'aux emplois secondaires » se
i L'interruption actuelle des
négocia. Les incidents
iiuiis a eu lieu sur le désir des deux parrendu le dernier soupir à l'hôpital d'Aider- .
BIRÏVHNCHAM, 18 août. — La police garde
contentent d'être comptable, professeur,
shot.
ties. Quant au voyage de M. Cambon à tous
\
les postes d'aiguillage de banlieue.Les
Paris, on peut supposer qu'il ne sera pas policemen de Birmingham qui avaient été
médecin, avocat. Cela vaudra toujours
FIN DE LA DERNIÈRE HEURE
sas utilité pour le développement ulté- envovés
,
mieux que de retourner au « gynécée »
à Liverpool viennent d'être rappe■r des négociations. »
lés.
pour y bien tenir la maison, pomponner
-vie Courrier de la Bossrso dit que l'on
Quelques négociants en primeurs avaient
iif s'être rendu compte à Paris que r Alleles enfants.empîler du linge frais dans des
réussi, cet après-midi, à. charger à la gare
magne était bien décidée à ne plus reculer
armoires sombres, cuire à point les confides marchandises de Aucklay une demià partir d'un certain point.
douzaine de camions. Geux-ci furent attatures,
jouer du piano et lire des revues.
m - « L'entracte, écrit la Gazette de Vosa,
Le sabotage au vieux temps. — Le saboqués sur la route du Marché. La police
•tirera plus qu'on ne suppose, Etant donné
tage
n'est
pas
d'invention
moderne,
tant
Mais
que
les privilégiées qui peuvent atchargea à coups de bâton, et trois person1 les dispositions de voyage prises par M. de
s'en faut, car l'un des plus notoires exem- teindre
1
nes furent blessées.
(comme Claude Ferval) « le premier
♦iifarlen-Waechter, la conversation ne sera
pies que l'on cite est celui des obsèaues du
LONDRES. — A Holydend^ les soldats ont
rang, les places glorieuses de l'art et de
4 pas reprise avant une semaine ».
chargé une bande de grévistes qui bar- roi Charles VIL Au moyen-âge, les « hanonards », c'est-à-dire les porteurs de sel de la littérature » mènent la lutte contre la
raient la route à l'express d'Irlande.
Jta'urmés ne te montrent pas pessimistes,
A la suite de menaces de grévistes, un Paris, jouissaient du privilège de porter les domination masculine L'amour a été jus"lit Bertiner Tagblatt conseille beaucoup
détachement
de grenadiers d© la garde corps des rois défunts de Notre-Dame à qu'ici toute la vie des femmes. Bon gré
(S 4e calme, niais, ajoute-t-il, il serait désiest
allé
protéger
la. gare de London-Britch. Saint-Denis, pour montrer, dit le chroniIjble que les deux gouvernements se renLes
compagnies
logeront
et nourriront pen- queur Jean Chartier, que « la mémoire des mal gré leur désœuvrement les y vouait.
dissent compte que" le nivsière de leur
dant
la
grève
les
cheminots
qui leur se- rois, ainsi que le sel, se conserve à ja
Il est nécessaire qu'elles contrebalancent
'fïwédure n'est pas Mil pour faire naître
mais ». Ce service était d'habitude très larront
restés
fidèles.
l
f» tranquillité. »
gement'payé ; mais le trésorier de Char- sa toute-puissance par l'intellectualité,
'* -Parmi les journaux chauvins, les Berles VII, rompant avec les usages, prétendit qu'elles le combattent par le travail. Les
|wef Uaehrichten demandent la
rupture
« faire marcher » les hanonards à prix réLONDRES, 18 août.
— A Belfast, une
hommes ne s'y opposent que parce qu'ils
f Pourparlers et le retour à l'Acte d'Algéduit. Ceux-ci, furieux, manifestèrent leur
grande manufacture du lingerie de batiste
redoutent de n'être plus les maîtres !
mécontentement
en
s'arrêtant
au
beau
mia été obligée de réduire la journée de traI ~'jfl Taiglïï.RuRflfchai; propose un ae
lieu du trajet, abandonnant sans plus dc
Ce fut un bel essor verbal en termes exvail de son personnel, parce qu'elle ne
«««sèment du Cameroun.
façon la dépouille royale, qu'ils ne repripeut
plus
expédier
ses
articles
manufaccellents, que Philaminte n'aurait pas con«■£«3 a cela, ajoute ce journal, le gouvorrent
qu'après
la
promesse
d'un
salaire
de
turés.
^pt était en mesure d . ,ut< i 1 ih de
dix livres parisis.
damnés au nom de Vaugelas. Il eut été posUn grand nombre de cheminots non syn
P
01 k
Et voilà comment l'action directe et la sible à Bois de répondre qu'en fait de maî■»R i°' ''
ritoii o' e
diqués font également grève.
La grève des cheminots a son plus grand grève des bras croisés figurèrent, dès le tres,il y a bien souvent des maîtresses.Mais
*Se.Tait Pr<?SqUC Un° comPensatioB
quinzième siècle, dans les cérémonies pueffet, jusqu'à présent, dans le Nord rte bliques.
une sorte de respect sacré le retint. Ayant
l'Angleterre proprement dite et dans ?#
• tonférences populaires en Allemagne
Sud du pays de Galles. Elle n'est que parrecueilli les précieuses paroles, il les publia
aout
On pouvait voir, ces jours derniers, à
tielle sur le Mydland et presque insigni•'l^'w
. — D'après les journaux.
n s
Berlin, des bords de la Sprée, un spectacle dans le Temps, qui est un journal grave. :
fiante dans le Sud de l'Angleterre.
* lu,.
' «s diverses associations conpeu banal.
Ce sont des manifestations difficiles à
LONDRES
,
samedi
19
août
—■
A
min
i't,
'J^E&ef- nationales-libérales
et nationaLà, en eau profonde, des gens allaient commenter. Eller,, sont présentées assez en
la situation était pire que dans la journée.
M
?*'nont. décidé de donner prochai
Les organisateurs de la grève des che- et venaient, fumaient, tiraient des coups
lï^tLe'cl'
,"n» ,mo grande réunion po
de fusil, voire même buvaient du thé en marge des cadres habituels de l'esprit
ÎMhimi ''î,s :iftuel!e des députés de tous minots ont eu qjp.0 conférence hier soir, lis
jouant au bridge, sans faire plus d'efforts pour que l'on s'inquiète du genre de rai«I %'l,ïl 80 *m e,'.s-agés à prendre la pa en auront une nouvelle aujourd'hui.
que s'ils avaient été sur la terre ferme.
La grève s'étend en province.
■A
- a question du Maroc. - - lïavas.
sons qui pourraient leur être opposées.
Et pourtant, ils ne savaient pas nager et
A
Londres,
le
service
est
réduit
sur
le
„J
*~
^-9<t*«- ——
Ecrivain et féministe, Claude Ferval
ils n'avaient aucun support. Us étaient
Métropolitain souterrain.
8!N
là,
comme
chez
eux,
jouissant
au
surplus
veut
que les femmes soient des hommes.
Les courriers d'Ecosse et d'Irlande ont été
m
1
«ifr- % -^f»
*»ux FRANÇAIS
de la fraîche JT de l'eau.
Au
embarqués
à
la.
gare
d'Euxton,
sous
la
proL'idée
est originale et digne des élégances
'?!
* MANŒUVRES RUSSES
Ces
mortels
heureux
avaient
simplement
L
tection de soldats, le fusil chargé, baïonrevêtu de;, vêtements fabriqués avec un cérébrales parisiennes. Mme de Pierre^"nlfi? Militaire, annonce que les gô- nette au canon.
tissu de composition secrète qui leur per- bourg aurait dû se marier (oh ! un simple
1 et Laff01 de
La
circulation,
déjà
difficile,
est
encore
l^né Y
»
Ladébat, acmettait, non pas seulement de flotter,
La situation s'aggrave encore
X N*t LryS commandants Boicfiut et gênée par les gens que les événements ont mais encore de se maintenir verticalement mariage d'âmes) avec M. Charles Maurras,
0nt
surpris
en
vacances,
au
bord
de
la
mer,
à
M 111
«sboura
Prochainement pour StLONDRES — La situation créée par la grèdans la rivière.
royaliste
notoire,
pour
qui
«
L'avenir
de
ve des cheminots devient très grave surtout
1 Rancir0,' °" lls sont évités à assister la campagne, et qui s'effraient et, interl'intelligence » est exclusivement celui des sur le Nord et le Centre de l'Angleterre.
salivas. mar>œuvres de l'armée russe. rompant leur villégiature, rentrent chez
Ce
que
rapportent
les
crimes.
—
On
sait
eux avant l'heure.
que les deux matelots fusillés à Toulon gens dont l'imagination continue déborde L'Ouest est complètement isolé du Centre.
Plusieurs milliers d'entre eux ne peuvent
b|L
avaient tué un de leurs camarades, Carrel, en caractères d'imprimerie sur des teuil- Les représentants des quatre associations
pas revenir, faute d'un nombre suffisant de
dc cheminots se sont réunis ce matin et ont
.I °ûU D UNE DOUBLE
pour
le voler, et que ce crime leur avait lets brochés.
RR
E
trains.
continué ta discussion sur les projets du
rapporté 15 centimes.
'SIISM
EXECUTION
Les villes d'eau regorgent de monde.
Comme quoi la littérature qui est sou- gouvernement. — Havas.
Un curieux a dressé une liste de ces criEIm
n télé r
Les grandes brasseries de Buxton, les mes crapuleux dont le vol est le mobile et vent un défaut chez l'homme devient aisé% '
^r~~ °
8' aphie de Tou«Ç .35 .3*.
plus importantes d'Angletrre, et où l'on fa- qui ne valent pourtant à leurs auteurs que
lant Moui
ment une maladie chez la femme. Heureubrique notamment le pale-ale, ont suspen- des sommes insignifiantes.
M ^ teu
Par «n
'e,
violemment
atCONFÉRENCE MINISTÉRIELLE
nal
r
narisien au sujet de du le travail.
Exemples : Schumacher — un crime — sement qu'à côté de Paris, la France posM. Caillaux, président du conseil, a contt du e n lcc a
^ Atio
°rdre le jour rte la
Les travailleurs du port de Hambourg
6 francs ; Gamahut — un crime — 7.25 ;
sède encore la province vieux-jeu « où les féré longuement ce matin, au ministère de,
n rt 68 deux mateI
;
^f-fc *mti-Tn,
°ts crimiTïEni.iN. — Le Tagblatt publie la dépêche Melraut — un crime — Lathelmi — un cri- sœurs douloureuses » font quelquefois des l'intérieur, avec M. de Selves, ministre des;
HIER SOIR
AWC DCUX
me — chacun 5 francs ; Altorto et Sellier
^^ff^' Pour FM
'
affaires étrangères, M. Delcassé, ministre |
suivante de Hambourg :
enfants et jamais de romans.
'•5?lKru'a °u rin.» \0u il va demander réde la marine, M. Messimy, ministre de la i
<c Les travailleurs du port, se solidari- — un crime — chacun 6 francs ; Coché et
e
Hav
h M Paul dc Cas sant avec les grévistes anglais, ont décidé Poly — un crime —- 2 francs ; Deville —
guerre. — Havas.
ASCASNE.
as '
"
de refuser tout travail sur les bateaux pro- un crime — 2 francs ; Georges, Voty,
'
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^ fl
■
i ■
venant ou à destination d'Angleterre. » — Franck — un crime — 13 sous chacun !
A E
LES SURVIVANTS DE L' « ÉMIR »
\
A Campi.Frey et Rivière, Midi, Bâillon,
Havas.
^f
N"HAUTE-OARONNE
Soullet
Bernard
et
Servant,
leurs
crimes
MARSEILLE. — Le paquebot Cascon est ar—
—
R!le de LaurCarS R"sPect si8'nalé à Viln'ont rien rapporté. Et pourtant, ils ne
rivé ce matin. U a.vait à son bord le capi-.
î(!
L'ETAT DES RECOLTES
tuaient pas que pour le plaisir.
H
f
taine Vàbre, le capitaine en second Cou-. :
EN
ALLEMAGNE
la
lomb, et huit marins de l'équipage du pa- j
La fin d'un inventeur. — On vient d'enBERLIN. — La récolte des blés, des pomquebot Emir, de la compagnie mixte qui1
mes de terre et des fourrages sera en Alle- terrer à Franefort-sur-le-Mein un homme
ont été sauvés lors du récent naufrage de
qui
eut
son
heure
de
célébrité,
i'
y
a
seize
magne,
cette
année,
exceptionnellement
1
>
Le ministre des travaux publics nous ce paquebot dans le détroit de Gibraltar. '
ans.
mauvaise. La disette de fourage se ferait
Dès l'arrivée du paquebot, le capitaine,
*LLE1&HD ESPIQ»
communique la note suivante :
Lo tailleur Elie Bowe a.vait failli révosentir
dès
le
début
de
l'hiver
par
un
renchéVabre,
qui a le bras gauche dans un appaUn
journal
du
matin
dans
son
leader
ar6 6
A
'«terre
rissement des prix de la vente, et on doit lutionner la tactique militaire.
ticle du 16 août, considère comme un com- reil, a été placé sur une civière et transporIl avait inventé une cuirasse de fei .re
s'attendre à des manifestations contre la
' muniqué officiel la note parue dernière- té à son domicile. — Havas.
et d'acier qui mettait celui qui la portait
' cherté croissante de la vie.
ment dans la presse sur l'intervention du
. B^eté arrêté s"'
^ssards alleLe gouvernement étudie les mesure?, à à l'abri des bâties. Le ministre de la guer- ministre des travaux publics à propos de
ACCIDENT MORTEL
- Havàs,
inculpation d'es" prendre en vue dc diminuer les effets de re allemand fit procéder à diverses expé- commandes faites à l'étranger par les comCHARLEVILLE.— En travaillant à détacher
riences.
Il
endossa
lui-même
la
cuirasse
cette mauvaise récolte qui survient d'une
' pagnies de chemin de fer. La note visée
manière fort inopportune six mois avant pesant près de quatre kilos et se mit à dix n'émane pas du ministère mais d'une in- un bloc de pierre à Romery, près Mézières,[
pas
d'un
peloton
de
soldats
armés
de
m
anM. Adolphe Prùdhomme, 50 ans, a été atles élections.
formateur bénévole. Les renseignements
'*«T
*»«S
Le ministre des travaux publics prus- ches fers, lebels et autres fusils militaires. qu'elle contenait n'étaient exacts que suri teint par une explosion prématurée.
Les soldats tirèrent à tour de rôle deux
Transporté à son domicile il y a succomsien vient de décider d'abaisser de 50 %
bé peu après. — Havas.
balles sur la cible vivante, sans que la' un point.
- les taxes de transport des fourrages, sur
n
au
Le ministre des travaux publics s'est préSénat un amen-- toute l'étendue du réseau prussien du tt\ cuirasso fut entamée. Il n'y avait cepen-\
dant aucune supercherie, puisque des offi- occupé des commandes en apparence trop'
LES GRÈVES
- août 1911 au 30 juin 1912.
fla,1
ap h
ciers d'état-major contrôlaient tout et char-\ nombreuses faites à l'étranger et il a décit de , P cable8 aux quesdé que dorénavant il ne donnerait l'autoMONTPELLIER. — Une usine de pétrole a
geaient eux-mêmes les armes.
i
i
LA SANTÉ"DË PIE X
^SS?
Pourtant la cuirasse du tailleur ne fut. risation d'acquérir du matériel neuf des; fermé hier soir ses portes et congédié sonî
ROME, 18 août. — Le rétablissement
du pas adoptée». L'inventeur alla en Italie et{ usines étrangères que s'il lui était démon-. personnel. Plusieurs centaines d'ouvrierss
, ^*^^°e ces traités soient
I
^ 'a session actuelle. -t pape se poursuit rapidement. Il a pu avoir v rencontra le même insuccès. Depuis, tré que l'industrie nationale était, pour cha-. et d'ouvrières sont ainsi sans travail. Ils see
- aujourd'hui une longue conférence avec Jes Bowe vécut dans la mteère et dans l'oubli,' que commande particulière, dans l'impos-• plaignent de l'emploi d'un certain nombre
D
sans vouloir jamais livrer son secret.
' gibilité matérielle de la fournir. — Havas.. d'ouvriers non syndiqués. — Havas.
-Ucardînal Merry del Val. — Havas.
*1
<
Pour la publicité de Meurthe-et-Moselle, Meuse, Vosges, Alsace-Lorraine el Luxembourg, s'adresser avr bureaux de l'Esl.
Le mouvement gréviste
meII et son chancelier
laU
se propage
Ont un entretien prolonge
de
Les
difficultés
de la situation
avril - MKidevlen, w a. ^ ^
.
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e au
F,°ndWilhelmshcme, où se trouve
Liteau ^6nWr"Ast daIIS la parc que, selon
gnillaume II. L, A
£ un entretien
fe^c luT^ivec le chancelier de
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JUÎDXCriO'V £T ilDflriJVJSTRAT/OiV :
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JOURNAL
UN AN
*
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23
L'agitation des tribus autour de Fez
FEZ, 15 août. — Les délégués des AïtxXoussi,
des Beni-Snassen, des Aït-Chegrouc
chen et des Beni-Ouaraïn ont eu une" réun
nion
le 11 août. Après de longues palabres
il
ils ont décidé de reprendre les hostilités
ccontre le makhzen après le Ramadan,c'està
à-dire
vers la fin de septembre.
On signale aussi quelque agitation parn
mi les Guerouan, voisins des Zemmour.
llammoun ou Lhassen, un des chefs de
gguerre des Beni-M'tir pendant l'insurrecition, a fait sa soumission aux autorités mili
litaires
françaises de Meknès, et a pris ens
suite
la, route dc Fez, où il vient d'arriver
Ppour faire également sa soumission au sult.
tan.
Le général Moinier était attendu hier
ssoir à -Meknès.
La Croix-Rouge
Une
équipe
de douze infirmières de l'U11
nion des femmes de France, composée de
ï
Mines
Beauregard, infirmière-major ; Gal'
liano,
Martin, Mlles Azemar, Bals, Bon11
nard, Oablin, Dailiguy, Houssaye, de Joan1
nin, Pinard et Serres, part de Marseille
s
samedi
matin, sur le Vinli-Long, pour aller
r
remplacer
à Casablanca la première équii; dirigée par Mme Jacques Fetiiiiet, qui
pe
c
depuis quatre mois prodigue des soins dév
voués
à nos braves soldais.
Les vaillantes Françaises qui s'en vont si
c
courageusement
remplir leur patriotique
c
devoir
emportent avec elles soixanteïdix
caisses
contenant du lait, du tabac, des vêJ
tements chauds, des chemises, des vins réconfortants,
des jeux, des livres, etc. Les
■
comités
de Lille,Angers et Caen participent
;
'à ces envois pour une valeur de cinq mille
deux cents francs.
j
mt
6
EITEKTE
HISPARO ALLEtfAROE?
Le bi uit dont s'est fait l'écho
,
tM joixrnaJ français au sujet d'une entente hispano-allemande ne laisse pas que de
s
surprendre
la presse madrilène. Elle esj
time ce bruit mal fondé, encore qu'il ne
f
soit
pas possible d'obtenir à ce sujet à Ma,drid des déclarations officielles par suite
jde l'absence du président du conseil et du
ministre des affaires étrangères, qui sont
factuellement à Saint-Sébastien.
Il convient de faire remarquer que M.
(
fCanalejas et M. Garcia Prieto, repondant
cà une question posée au sujet d'une alliance hispano-allemande, et cela présiséinent
£
au
moment de l'expédition de Fez et des
i
incidents
d'El-Kçar, ont affirmé que la po!
litique, du cabinet continuait à être basée
£sur les règles tracées depuis 1904.Un chanf
gement
aussi rapide dans l'état d'esprit
(
du gouvernement parait peu probable. En
t
tous
cas, on peut assurer qu'une cession
(
quelconque d'une partie de l'empire coloinial espagnol serait aussi mal vue que
;possible par l'opinion publique. — Havas.
MADRID. —
,
ACCIDENT A UN OFFICIER AVIATEUR
Le capitaine Duparquef. qui s'entraînait
'■ Issy-les-Moulineaux, a été surpris par un
à
remous et dans sa chute s'est brisé une
1
épaule. Il porte en outre une blessure au
1Iront.
UN PÈRE QUI N0ÎE SON ENFANT
Une scène effroyable et qui avait attiré
une foule nombreuse, s'est déroulée i'- P>»«
ris, sur le pont Neuf, vers dix heures et
demie du soir. Un homme, qui paraissa't
âgé d'une quarantaine d'années et qu. tenait une fillette de cinq ans par la niyiân,
s'arrêta au milieu du pont, prit Yeniv.nl
dans ses bras, et après l'avoir longuement
embrassée, la jeta dans la Seine. I enjamba ensuite le parapet et se précipita à son
tour dans le fleuve. Un instant on le vit
se débattre danis les flots, puis H disparut.
Des marinière et des agents de la brigade
fluviale n'ont retiré les deux cadavres
qu'après de Vmgues recherches. Quelques
instants plus tard un homme se présentait
au commissariat de police du quartier
Saint-Germain-l'Auxerrois :
c! .le suis, dit-il au commissaire, employé
dans une usine de pétrole et je me nomme
Azaïs. .T'ai reçu une lettre de mon beaufrère, Antoine Decher, infirmier à l'hôpital
de la Charité, habitant rue Princesse, 7.
Il m'annonçait son intention de se suicider
avec sa fillette, Pauline, âgée de cinq ans.
Je nie suis aussitôt rendu chez lui.J'ai trouvé les portes closes. Personne n'était au
logis. Je suis allô à l'hôpital de Ja Charité.
On n'a pu me renseigner. »
De l'enquête ouverte par le commissaire
de police de Saint-Germain-l'Auxerrois, il
résulte que l'infirmier Decher était un alcoolique invétéré. Il était depuis deux mois
en instance de divorce avec sa femme. C'est
pour se venger de celle-ci qu'il & pris l'atroce résolution de noyer son enfant.
DÉMISSIONS EN MASSE
— Le préfet de la Loire
s'étant refusé à retirer la lettre de blâme
adressée à l'un d'entre eux, tous les délégués mineurs de la Loire ont envoyé leur
démission. — Havas.
SAINT-ETIENNE.
CHEZ LA REINE DE HOLLANDE
M. Marcellin Pcllet, ministue de France aux Pays-Bas, a déjeuné au
château de Loo dans la gueldrc où il a été
reçu par la reine Wilhelmine, à laquelle il
a remis un portrait de M. Fallières. — Havas.
LA HAYE. —
UN CROISEUR RUSSE A ALGER
- Lo croiseur russe Kalmaz est
arrivé dans la matinée. Après une escale
de deux jours, le croiseur reprendra la
mer à destination de Naples. Les saluts
d'usage ont été échangés. — Havas.
ALGER.
.
e de Monroë
VENGEANCE DE RÉVOLUTIONNAIRES
SAINT-PÉTERSBOURG. — Les journaux rapportent que, près de Riga, des revototiortnaïres lettons ont assassiné le jeune tus
de l'amiral Kotiroski, se vengeant _ de la
répression cruelle faite p*r ce dernier du
soulèvement des Lettons en raOa.— Havas.
] — -
wn»
LA JOURNÉE
■» a »
Samedi 19 aortf.— 231° jour dc l'année.
Aujourd'hui : sainte Hélène. — Demain :
ssaint Bernard.
Ephémendes lorraines : En 1765, mort
du
dernier duc de Lorraine, François 111,
c
revenu empereur d'Allemagne à Vienne.
A huit heures et demie.— Concert à la
\
Pépinière
par l'Harmonie des Usines Long.
A huit heurses et demie. — Retraite mi,litaire aux flambeaux place Stanislas.
NANCY,
18 août. — Une intéressante manœuvre de garnison vient d'être exécutée à
l'est de la Meurthe, nar les troupes de a
11e division et la garnison du fort de
Frouard, sous la direction de M. le générat Dalfourier, commandant la 21" brigade
d'infanterie. Le thème répondait à l'idée
générale suivante ; » Une bataille est engagée entre des forces blanches qui,cherchent à franchir la Meurthe aux "ponts
d'Essey et de Tomblaine, et des forces rouges dont l'artillerie couronne le plateau de
MalzévilJé. Un corps d'armée blanc venant
du sud marche en deux colonnes par Artsur-.Meurthe et Varangéville pour coopérer
à l'attaque des forces blanches en débordant la gauche des forées rouges. »
L'avant-garde de la colonne de. -gauche,
composée de 1 bataillon du 79e, 3 bataillons du 26°,, 1 groupe du 8" d'artillerie, 3
escadrons du 5° hussards, contituatt le
parti blanc sous les ordres du counel
Grossetti, commandant le 26"! d'nfanterie.
Le parti rouge, qui avait à couvrir îe
flanc des forces rouges supposées, était
aux ordres du colonel Varlet, du 37e d'infanterie, et comprenait 2 bataillons du
79'
3 du 37e, le bataillon du 160e en garnison au fort de Frouard, 1 groupe d'artillerie et 1 escadron du 5° hussards. Le
service d'arbitrage était dirigé par le celonel Taufflieb, du 5" hussards. La manœuvre s'est déroulée dans la région liercueil-Pulnoy, en présence de M. le généra'
Goetschy, commandant le 20° corps l'armée, et a été arrêtée, en raison de 'a cha
leur, à 7 heures du matin. La critique a
été faite sur le terrain par "le général Balfourier, directeur de la manoeuvre.
OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES
761 Nice, Belfort ; faible dépression mer
(du Nord.
Probable ; Vent des régions.Ouest, temps
inuageux et moins çhajid.
Nancy. — Baromètre : 6 h. mutin, 751 ;
jmidi, 749 ; 4 heures soir, 748.
Thermomètre : 6 heures matin, + 12 ;
-midi, + 27 ; 4 heures soir + 24.
Minima : + 10 ; maxima : + 28.
OBSERVATIONS DE M. BEU.IÉNI.
Conseil général
de Meurthe-et-Moselle
Qui présidera sa première séance ?
. On sait que le conseil général de Meurthe-et-Moselle se réunit, le 28 août prochain pour sa session d'août. On sait éga,
lement qu'à cette session le bureau de l'assemblée départementale est rééligible et
'
que la séance doit être présidée par le
doyen d'âge.
Or, le doyen d'âge est le vénérable doc|
teur Messie'r, conseiller général de Badon,
viller, qui atteindra ses 85 ans le 20 août
prochain.
' Le docteur Messier est assez souffrant ;
j
il n'a pu prendre part aux fêtes toutes récentes de Badonviller et de Blâmont. Dans
ices conditions, on ne croit pas qu'il puisse
assister à la session.
La séance d'ouverture serait alors présidée par M. Alfred Mézières, vice-doyen
du conseil général, né le 26 novembre 1826
à, Rehon.
M. Ajfrod Mézières est en excellente san,té, il vient de faire sa cure annuelle à
Evian-les-Bains.
Au cas où par hasard M. Mézières serait empêché, la présidence d'âge en reviendrait à M. Bonnette, conseiller général de Pont-à-Mousson, né le 7 juillet 1832.
Bien entendu, on ne prévoit aucune compétition pour le bureau définitif, qui sera
réélu sans la moindre difficulté.
-t/r.
Sainte-Marie-aux-Chênes \
18 août 1870 ?
... Les tragiques anniversaires se succèdent. Après Mars-la-Tour. 16 août, voici
Sainte-Marie-aux-Chênes, 18 août. C'est là
que se couvrit de gloire le 94e régiment
d'infanterie, commandé par notre compatriote, le général de Geslin.
Rappelons que le 18 août le 94e défendit
seul, de neuf heures du matin à trois heures et demie le village de Sainte-Marieaux-Chênes qui traverse la route pouvant
permettre aux troupes de Bazaine de rejoindre celles de Mac-Mahon.
Après avoir brûlé sa dernière cartouche,
le 94° se replia sur Saint-Privat.
Ajoutons à la louange du 94e et de son
colonel que la défense de Sainte-Marie par
ce régiment est l'objet d'une mention spéciale au rapport du grand état-major allemand et que les pertes qu'il fit éprouver
à la garde prussienne contribuèrent à
faire télégraphier par Frédéric-Guillaume
à la reine après la bataille du 18 : « Sain-'
te-Marie-aux-Chênes a été le tombeau de
'
ma. garde. »
*"*
Rappelons également qu'après son passage au cadre de réserve le général de Geslin fut conseiller général du canton de)
Chamblev.
Le général de Geslin était né en 1820, aui
Ban-Saint-Martin, près de Metz. U y eutt
aussi, en 1870, beaucoup d'officiers lorrains qui furent appelés à défendre le sol[
même de leur petite patrie Pro arls et fo-.
cis. Ils le firent héroïquement.
Le 94e, 'qui est maintenant en garnisonL
à Bar-le-Duc, a pieusement gardé la mémoire de son ancien colonel.
Hélas ! la bravoure légendaire de ce régiment, n'a pu conserver Sainte-Marie à la
France. Sainte-Marie-aux-Chênes est maintenant annexée, mais c'est un des villages
de la Lorraine où on a conservé le plusj
profondément au cœur le souvenir de lat
patrie perdue
Chronique du travail
M, Radelet, 5, rue Lecreulx : transformer la canalisation intérieure de sa maison. (Gabriel, entrepreneur.)
M. Radalet, cantinier au 161» d'infanterie, à SairU-Mihiel : construire un canal,
3, rue Lecreulx. (Gabriel, entrepreneur.)
La Société « Le Foyer lorrain », 26, rue
de la Pépinière : construire un canal, un
mur de soutènement, une buanderie et des
w.-c. (E. D>ancehne jeune, entrepreneur.)
M. de Hody, 94, rue Stanislas : construire un cariai rue de la Côte, 34. (Dancetlme jesne, entrepreneur.)
M. Pennequin, rue Victor, 83 : reconstruire sa maison,
M. Bouvel, rue Victor, 83 : reconstruire
sa maison.
M. Diémer, rue de Strasbourg, 95 : exhausser le mur de clôture, rue de Bonsecours, 12. (Legrand, entrepreneur.)
L»a Société « Le Foyer lorrain » : construire une maison et un canal, rue de la
Côte, allée Chopin. (Douez et Leloup, entrepr.e<nieur.s.),
\ La télégraphie sans lil à Hancy
On sait que notre concitoyen, M. Prévôt,
le bijoutier bien connu de la rue SaintGeorges avait installé chez lui un poste de
télégraphie sans fil qui lui permettait de recevoir l'heure exacte du poste de T. S. F. de
la Tour Eiffel.
Or, on vient d'interdire à M, Prévôt 'e
maintien de son antenne. Le journal
l'Electricien, ciit à ce sujet :
« Pour recevoir l'heure, comme pour recevoir les dépêches, il faut une antenne.
Les horlogers ont demandé la permission
d'installer des antennes en vue de saisir au
vol l'heure qu'on nous offre. Mais le service
compétent leur a jusqu'à ce jour refusé formollement l'autorisation. Les réclamations
et les protestations n'ont rien pu y faire et
les horlogers français, doivent se contenter, s'ils ont une loupe assez forte ! de voir
l'heure passer à raison de ses 300,000 hm à
l'heure, lorsqu'elle va impressionner les
récepteurs de.... La Chaux de Fonds !
(Suisse).
C'est en effet à La Chaux-de-Fonds qu'il
faut que les horlogers français et navarrais se rendent s'ils veulent recevoir
l'heure de la tour Eiffel. Du moins, La
Chaux-de-Fonds est la station de réception
la plus proche de France !
En attendant l'interdiction d'installer
des antennes pour recevoir les signaux horaires, interdiction dont se plaigent justement les horlogers que la question intéresse au plus haut degré, ne peut manquer
de paraître à la fois absurde et enfantine.
Du moment que les ondes hertziennes, ne
s'arrêtent pas aux frontières, on ne voit
pas quelle utilité il peut y avoir à empêcher les nationaux de les recueillir. Il n'y
a pas de trahison à craindre. Si la tour
Eiffel envoie des secrets susceptibles d'être
utiles à l'étranger, ce dernier n'a aucunement besoin d'entretenir chez nous des espions bien appointés pour les saisir. Il n'a
qu'à installer chez lui une antenne sur laquelle nous n'avons aucun contrôle.
En repoussant les demandes réitérées
des chambres syndicales horlogères, la
commission interministérielle de T. S. F.
agit comme le père de famille qui interdirait sévèrement à ses enfants de chercher,
dans ses tiroirs, mais qui laisserait ses,
voisins entrer librement chez lui et le pil1er à volonté !
Si l'Etat a des secrets à transmettre par,
télégraphie sans fil, qu'il trouve et adopte
un bon système cryptographique. Il y a
même des horlogers qui, sous ce rapport,
lui rendront service.
Mais c'est une facétie du plus mauvais;
goût que de dire :
« Mes enfants, je vous donne l'heure,
l'heure vraie, la bonne heure. Je vous la
donne deux fois par jour. Seulement... jeJ
vous interdis de la recevoir sous peine d'amonde !»
Un incendia détruit deux maisons
à Haudatiïvîile
VERDUN-SUR-MEUSE, vendredi 18 août. —
Cette nuit, vers onze heures, le feu s'estt
déclaré au village de Haudainville, gros3
bourg de huit eents habitants, situé à cinqj
kilomètres de Verdun.
Malgré la rapidité des secours apportés3
par les pompiers de la commune et ceux
du village voisin-de Belrupt, les habitantss
et les soldats du fort, deux maisons ont étéé
complètement détruites.
De ces maisons, l'une seulement était ha-,bitée par Mme veuve Trinquart, une per-'sonne très âgée que l'on dut faire lever enî
toute hâte pour^ échapper aux flammes.i.
L'autre maison, qui appartenait à M. VitaLRoger,. était remplie des récoltes de cec
cultivateur, qui a vu ainsi annihiler sonn
dur labeur d'une année.
On ignore encore à l'heure actuelle comment le feu a pu prendre.
Les pertes sont couvertes par des assuirances.
Officiers aviateurs à Lunéviile
LUNÉVIÏ.I.E, vendredi 18 août, — Les officiers aviateurs Eischmann et de Rose sont
lt
arrivés à Lunéviile vendredi matin, dès
•9
neuf heures, tous deux sur monoplan Bléj"
riot-militaire. Le premier, qui avait quel*■"
que avance sur le second, a poussé jusl"
qu'au fort de Manonviller, d'où il est re3
"
venu atterrir en même temps que son cal
"
marade.
Les trois appareils — le lieutenant de
Malherbe est toujours là — sont garés au
1
Champ de Mars.
Lorsque le capitaine Eischmann et. le
'
lieutenant de Rose eurent atterri, en un
;
beau vol plané, le général de Mas-Latrie,
?î
commandant la division de cavalerie, offrit
son cheval au capitaine Eischmann, et le
général Voirin offrit le sien à M. de Rose.
Les deux officiers s'amusèrent à sauter les
!
jj
obstacles de la..piste. Ils paraissaient on
ne peut plus dispos. Les généraux les féli1_
cilèrent chaleureusement.
Le soir, à six heures, les deux aviateurs
*?
partent à la frontière. ■
Ils ont été envoyés à cet effet de Chà['
lons avec.la mission spéciale de reconnaîk
tre remplacement des Ï83 chasseurs et 9°
J
dragons, qui bivouaquent entre Laneuvee
"
vilte-aux-Bois et Emberménil.
Ils reviendront ensuite à leur point de
le
départ.
U est probable que dimanche, au con^
cours hippique, les aviateurs iront évoluer
sur l'hippodrome.
Enfin, il serait question d'attacher deux
ix
ou trois aviateurs à la division dc cavalee.
rie de Lunéviile. -
accident à Jœ:;f
JŒUF,
véndrdedi 18 août. — Ce matin, à
à
cinq heures, Mme Eugène Grofeehe, demeuirant rue de Franchepré, à Jœuf, chauffait
it
du café pour ses deux enfants sur un rééchaud à aicoo! lorsque Je feu prit à son
n
corsage. La malheureuse fut brûlée profonidément. Son mari éteignit les flammes et
St
alla chercher le médecin.
Affolée par la souffrance, Mme Grosche
le
monla dans une chambre, se taillada la
a
poitrine à coups de couteau et se trancha
a
la carotide. Aux cris des enfants, des voiisins accoururent et trouvèrent Mme Gros3che morte, étendue dans une mare de sang.
j.
i,*émoUon est intense a Jœui.
J
L'incident d'Aix-les-Bains
On déclare à Berlin que l'incident d'Aixlea-Baina est complètement clos en ce qui
concerne l'Allemagne.
Ecole de préparation militaire
du Grimiilon,
Le dimanche 20 août, à 7 h. 30 du matin,
e
à la caserne, du 26 d'infanterie, cours de
préparation militaire aux élèves qui désiéent passer les épreuves du brevet d'aptilud.es pendant la période du 25 août au 5
'
septembre jiroehaam.
Etablissement de leurs demandes d'exain en.
Vol de linge
Vendredi après-midi, le nommé Georges
Zendiron, âgé de 16 ans, demeurant shemin de la Croix-Gagnée, 1, a été arrêté
pour vol de linge, commis au préjudice
de plusieurs habitants de la rue du Lavoir-Saiant-Jean.
Il a été mis à la disposition de M. Lienhardt, commissaire de police du 4e aarondis&emeuW
Nous avons reçu la lettre suivante :
Nancy, le 17 août 1911.
Monsieur le Directeur,
Depuis de longues années j'habite Nancy. Avec ma famille, et do nombreux amis
sont dans le même cas, notre meilleure
cdistraction, surtout les soirs d'été, c'est de
ssuivre très régulièrement les concerts des
i
musiques
de la garnison. La foule vient
r
nombreuse,
soit au parc Sainte-Marie ou
àù la Pépinière. On y retrouve des physiornorhies connues.
Nous aimons nos belles promenades,
t
toutes
nos sympathies vont aux musiciens
(
des
régiments que nous avons l'henneur
c
d'avoir
dans notre ville.
Cependant jusqu'à ce jour, nous étions
s
surtout
attirés par le désir d'entendre, à
cchaque concert, un programme aimé, quel,que peu connu, que l'on suivait avec un
1
véritable
intérêt, que l'on comprenait.
Hélas ! ce n'est plus cela.
Depuis quelque temps, ces programmes
<s'élèvent à un tel degré que la foule, dont
jje fais partie, d'une éducation insuffisante,
se désintéresse de ce qui se passe sur le
]
kiosque.
Elle parle pendant l'audition, et
son inattention est complète.
Oroyez-vous, monsieur, que si l'on exécutait sur nos promenades de .la musique
à la portée de tous, cela ne serait point
préférable ?
Veuillez agréer, etc., etc.
Un de vos vieux lecteurs,
Ainsi s'exprime notre correspondant.
D'auteur do cette lettre, honnête bourgeois
certainement, amateur de musique
<
:autant que de nos belles promenades, et
hôte assidu de nos concerts publies, déplore 1' « austérité » dos programmes rédigés par nos chefs militaires.
Ce correspondant n'a pas tout a fait tort.
U s'est fait ce raisonnement bien simple :
« La musique que l'on fait dans les jardins
publics n'est pas pour quelques-uns, quel1ques élus, quelques amateurs triés sur le
volets, elle est pour la masse ; elle doii
donc être accessible à tous. »
Cela ne ma.nï^ie pas de justesse, et bien
que nous ne partagions pas complètement
les opinions que cet auditeur inquiet et désemparé expose dans sa lettre, nous n'hésitons pas à lui donner raison.
Nos chefs de musique militaires connaissent très bien leur métier de musicien ;
ils n'ont plus riem ù apprendre ; ce sont
des artistes, c'est entendu, et personne n'en
doute. Mais ils ont leurs préférences en
musique et se servent de la Pépinière ou
du parc Sainte-Marie pour les manifester.
Loin de nous la pensée de les blâmer,
notre peine la plus grande serait de lour
en faire une, même petite ; mais qu'ils
renoncent à savourer ce plaisir tout personnel de faire de la musique pour eux.
Faire interpréter par une phalange d'élite qu'on peut plier à sa volonté, une
œuvre qu'on adore, est pour le musicien
une volupté presque égale à colle do 1 \
créer, mais il faut mettre de côté ses préférences personnelidu et s'occuper du public.
Un programme composé du Menuet io
Mozart, de la Rêverie de Schumann et des
Scènes alsaciennes de Massenet, c'est un
peu excessif.
Le bon public qui ''écoute, dont la. majeure partie n'a aucune éducation musicale, et qui, en musique, connaît au plus
celle du théâtre, ce bon public bâille, devient inattentif et s'ennuie.
Est-oe le but que l'on cherche ? Nous ne
le pensons pas.
On va probablement objecter que c'est
une façon d'élever le niveau artistique de
la masse, en faisant entendre dos œuvres
d'un caractère noble, élevé, dépourvues
d'effets faciles. Mais ces œuvres ont-elles
été écrites pour être exécutées dans les
jardins publics ? Les timbres des musiques
militaires répondent-ils à l'écriture do ces
maîtres ? Non, n'est-ce pas V Et avec la
meilleure bonne foi et malgré une exécution remarquable de Sclrumaim et de Mozart, l'on ne peut saisir'l'esprit.
Nous tenons beaucoup à assurer MM.
'as chefs de musiques militaires de Nancy
de notre sympathie. Nous reconnaissons
volontiers les efforts incessants qu'ils tentent pour maintenir les musiques de nés
régiments à<la hauteur de-leur vieille renommée. Surtout depuis la loi de deux
ans, ils réalisent de vrais miracles avec
les éléments les plus divers, et les plus difficiles à fondre.
.
r
Que dans le catalogue de musique d'har- ,
monies militaires, ils .puisent à pleins cartons, qu'ils ne donnent pas de la trop
grande musique et ils auront droit à encore plus de reconnaissance.
Lii est le secret de plaire à tous.— (Note
du journal.)
1
—1
Ecole Drouot
La rentrée des ateliers et des classes de,
' Ecole professionnelle Drouot aura lieu le>
lundi 11 septembre 1911, à 8 heures du matin pour les anciennes élèves, et le lundii
suivant, 18 septembre, à la môme heure
pour les nouvelles.
Les demandes d'inscription sont reçuesj
au Bureau des écoles (rue des Dominicains n° 3). Les jeunes filles dont la commission de surveillance aura prononcé l'ad-"
mission définitive en seront immédiate-"
ment informées.
*
"
THEATRES
AU THEATRE DU PEUPLE A BUSs
SANG. — Le dimanche 20 août courant,
?
deux heures du soir, sera jouée au Théâfà
tre du Peuple do Bussang la nouvelle pièce
^' de M. Maurice Pottecher : « Le Mystère
de Judas Iacariote », en quatre actes et un
prologue.
P
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SPECTACLES
18 AOUT
_ Le 7
gendarme■ g"™^
la brigade de Pompey, passa t sur le. pont
J,de cette localité lorsque Louis *ianm, n
a
"ans, ouvrier d'usine, l'msi^0
|
me l'arrêta, mais les nommé » Humbe.t, £9
"ans, ouvrier d'usine, Sold, 26 ans, enau
tdronnier, et François Charles,,23 ans,, s op
°
posèrent
à l'arrestation de
ot Ils m
5
«ultèrent
le gendarme et 1 un aax, uius
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porta un viollent coup do poing.
de Pompey Prêtèrent mamI
forte
au
gendarme
Harmand et Hanoi lut
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mis
au violon de la gendarmera
r Franot,
un mois de prison ; Giosjean.six
ATimENCB DU
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La Pédalo Nancôienne or^nT""*-^*!
se au clocher pour le ditnan^v.6 ""eSs
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Les membres désireux ,l'
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priés
de se trouver à six '|
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et des Quatre-Eglises.
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Le Circuit français P|| |
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— CINEMATOGRAp
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PATHÊ. — Une des pages les plue
violentes de notre histoire, la Jacquerie ;
v
,
ressuscite
en un film d'art passionnant ; de
r
moisTHumberï, Sold, un mois, et Franp
terribles péripéties amènent la Fin d'un r
trois mois de prison.
••
Ç
joueur ; Victime d'un lâche abandon, la îcois
- Camille Vincenot, 18 ans manœuvre.
fille du squatter meurt en pardonnant à à Malzéville, a porté un coup de couteau*.
y
l'infidèle
; trois artistes de la Comédie- °M. Pâtissier, son patron. Six mois de pu,
k
Française
interprètent Radgrune, vue en son
avec sursis et 25 fr. d amende.
Couleurs, où se succèdent les scènes d'à- ? _ Pau) Rousseau, 35 ans, manœuvre à
u
mour et de sang, etc..
j
Dombasle,
se trouvait dans un café. I
Après le drame, voici maintenant la co- chercha querelle à des consommateurs. V
médie
: Une maison bien gardée, c'est Celle cassa des verres, frappa M. Colhgnon et
,
des
Durand, dont l'appartement est mis au yle menaça avec un revolver. Quatre mois
r
£
prison.
,
'
Tpillage par leurs propres parents ; Charles de
— Xavier Gùtflèisch, 18 ans, chaudronj":et Kittie ont juré de s'appartenir malgré
l'opposition des parents et, comme l'amour nier
à Nancy, passait place des Dames.
r
e
est audacieux, le fiancé enlève la belle et Rencontrant
j
M. Prost, U lui chercha quej
puis tira sur lui un coup de feu. M.
robtient ainsi sa main ; Léontine est tou- relie
-jours
l'enfant terrible qui a tant amusé les Prost
j
ne fut pas atteint. Gutlleisch écope
|
mois de prison.
'habitués de l'Eden ; ZIgoto veut faire du quatre
(
c
dressage, mais il ne réussit qu'à s'attirer . _ julien Agaesse, 17 ans, manœuvre,
(
une
foule de désagréments .
g
sans
domicile fixe .avait reçu de son paDiverses notes et impressions de voya- ttron une somme de 3 fr.50 pour aller chergge initieront le spectateur à la fabrica- ccher du tabac. Il partit mais ne revint pas.
ttion du charbon de bois en Bretagne, aux (Quinze jours de prison (sursis).
s
— Victor Ochs, 22 ans, et Victor Roll, 29
sports
en Indo-Chine, et lui montreront
manœuvres, tous deux sans domicile
ccomment naissent, vivent et meurent les ans,
/
fixe,
ont volé des pommes de terre au préf
1plantes.
de M.Pérot, fermier à Biichambeau.
Le Pathé Journal, enfin, conduit le spec- judice
j
tateur dans toutes les villes où se sont dé- <Chacun trois mois de prison.
— Léopold Sauer, 32 ans, manœuvre à
roulés les événements de l'actualité : a
travaillait dans une maison ruo
Londres où les dockers sont en grève ; à Nancy,
1
Charles
III. Voyant dans un clapier trois
Mo', bon me où lord Dudley assiste
au
<
,couronnement du roi ; à Méry-soir-iSse où superbes
lapins, il s'en empara. Un mois
s
44 maisons sont détruites par le feu ; à <de prison (sursis).
— Joseph-Jules Pierson, 36 ans, terrasMarseille où débarque la division japonaise ; à Valence où une forteresse s'é- fsier, sans domicile fixe, est entré dans un
croule ; à Pari- où la mode lance ses der- <café à Dombasle où il s'est fait servir à
nièces créations et où un bateau -pompe ]boire et à manger. Au moment de payer,
procède à des essais devant le préfet de il
' déclara qu'il n'avait pas d'argent. Quin1ze jours de prison.
notice, etc..
— Camille Vanhowen, 8 ans, demeurant
REPRÉSENTATIONS vendredi 18, soi,rée ; samedi 19, soirée ; dimanche, 20 matl- à
'• Nancy, a volé du chocolat. Il est acquitté comme ayant agi sans discernement,
née
et soirée.
t
Location ouverte pendant les trois jour- ]mais il sera placé dans une maison de correction jusqu'à, sa majorité.
inées de 10 h. du matin à 8 h. du soir,
— Bâerthe Théophile, 41 ans, terrassier
SALLE
DëGL !N-P! NfiMA-THît ATRE, *à Nancy, a dérobé des oignons et des pom1
rue de l'Equitation. — Samedi 19, soirée ; mes de terre à Tomblaine. Un mois de pri;
dimanche 20, matinée <*t soirée. — La son.
— Jean-Auguste Bonard, 37 ans.manœuMarquise Ansperti, Mariasra sous le couperet, Le Bracelet de la marquise, Lo ty- vre à Nancy, a volé une somme de 250 fr.
ran, L'heure qui tue, drames émouvants ; !et un pied à coulisse au préjudice de M.
Les îles Borromées, beau voyage ; Nicoclô- Berck, son patron. — Quatre mois de pri:son. ...
mos, philosophe, comédie en couleur.
f.:•• ■ ■.,'- .'
— Jossph-Célestin Cholé, 29 ans, dômesNombreuses vues comiques et intérestique de culture à Ceintrey, a dérobé un
santes. Parmi les actualités, figurent La
réveil à un de ses camarades. — Deux mois
grève d»9 dockers à Londres, Arrivée d'une
.
escadre anglaise à Barcelone, Les effets de prison.
— Jean-Nicolas Cuny, 53 ans, garçon de
dc la chaleur à Paris, scènes prises sur lo
vif ; La Fédération nationale des sapeurs- culture, sans domicile fixe, a été surpris
pompiers, L'Hyrlre-Aérordane, Voïsm con- la nuit dans un jardin à Saint-Nicolas-dutinue ses exploits Les ofesèques du cardi- Port au moment où il emportait un sac de
nal Gruscha à Vienne, etc., et.
pommés de terre. — Quinze jours de prison.
— Maurice Thévenot, manœuvre à-DomELDORADO. — Shafing-Rink, séance de
basle; faisait du tapage. Un gendarme
patinage tous les mercredis soir.
l'arrêta. Il fit rébellion et l'outragea. — Un
CONCERTS
mois de prison, sursis.
— Lucien Trillet, 27 ans, manœuvre, sans
HARMONIE « LES FILS D'EMANUEL
LANG ». — Programme du samedi 19 août domicile rixe, a voyagé sans billet de Pa1911, au kiosque de la Pépinière, à 8 heures gny-sur-Moseile à Nancy. — 50 fr. d'amen,et demie du soir :
de.
~- Charles-Louis Viardin, 56 ans, sans
1. Allegro (XXX). — 2. Le Grand Casimir,
ouverture (Ch. Lecccq). — 3. Les deux profession à Haraucourl, a mendié .dans
Amis, duo pour 2 cornets (Loze). — 4. il les rues de Saint-Nicoiasdu-l'ort, — Quatre
Matrimonio Secreto (Cinarosa). — 5. Valsa mois de prison.
— Marie Martin, veuve Plutôt, 451.ans,
de conoerî fWaldteufel). —- 0. Parisia, alle'gro (C. Mdugeqt).
sans profession ni domicile fixe, a été surLe directeur dé l'Harmonie : C. MOUGEOT. prise tendant la main aux passants. — Un
mois de prison.
_
—:
:
— Joseph-Emile Delauret, 61 . ans, maEGHQS DES FÊTES DE BLAMONÎ nœuvre à Viterne, a été surpris tendant
des raquettes. — Un mois de prison et 50 tr.
d'amende.
;- TT Marie-Louise Deutsch, femme Seuret,
37 ans, sans profession à Nancy. — Quinze
jours de prison pour vagabondage.
— François-Auguste Gall, 556 asns, garA la suite d'une note communiquée par
çon boulanger à Nancy, était en état d'il'Escadron de Nancy et parue dans notre
vresse. Des agents l'emmenèrent au poste.
numéro d'hier, nous avons reçu de M. Là, le pochard les outragea et Tes frappa.
Georges Mazei-and, commissaire général — Quinze jouis de prison et 5 fr. d'amendes fêtes-concours dc Blâmont, la lettre de.
suivante :
— Constant Loraschi. 56 ans, marcaire
Le 18 août 1911.
à Poni-à-Mousson, portait du lait en ville.
Monsieur le rédacteur en chef de Il toucha l'argent, mais oublia de le verl'Est républicain, Nancy.
ser à son patron. — Quinze jours dc priJe lis dans votre numéro de vendredi
son. .
une note relative au concours de P. M. de
— Niilès Anna, veuve Mailard, âgée de
Blâmont, danp laquelle l'Escadron de
48 ans, a ouvert un débit sans autorisation,
Nancy est classé premier en toutes les
Grande-Rue. — 16 fr. d'amende.
matière* En ma qualité de commissaire
— Emile Prévôt, 17 ans, ouvrier d'usine
général des concours, je crois de mon deà B!énod-!es-Font-à-Mousson, a outrage le
voir de .vous'donner ci-dessous le palmarès
garde de la commune. —- 16 fr. d'arnem
des société de P. M. aux armes à cheval.
de.
Equitation, hippologie, tir, topographie,
— Marie-Anne Singer, 58 ans, femme
hygiène, escrime : 1ER prix dans" chaque
Sel'sch, ménagère à Nancy, a outragé le
branche : Escadron de Lorraine.
de la paix Laurent. — 16 tr. d'aEn plus, l'Escadron de Lorraine- rem- gardien
mende.
porte une des première places en excellenLéon-Arthur Munier, 29 ans, maçon à
ce, du classement général entre toutes les
Art-sur-Meurthè, a frappé plusieurs persociétés, sans distinction d'armes, ainsi
sonnes qui passaient sur la berge du canal
que le 2° prix de tir.
à Jarviiie. — Munier est condamné a 25 fr
Je dois ajouter que si l'Escadron de d'amende.
•
Lorraine n'a pas manœuvré devant les mi— Auguste César, 41 ans, journalier à
' rustres, il faut surtout l'en féliciter, cai
cela fait honneur à son esprit de discipli- Haraucourt, étant en état d'ivresse, a fait;
ne : ayant dû éoourter le programme, ie du vacarme et a brisé les volets du loge-•
fis part à M. Bachelard, président de l'Es- ment de M. Janel. — 16 fr. d'amende pour
cadron de Lorraine, qu'une seule des deux bris de clôture, 11 fr. d'amende pour tapa-■
sociétés pourrait évoluer devant les mi- ge et 5 fr. d'amende pour ivresse.
— LucienJules Steinbach, 18 ans, manistres. Sans aucune objection et sponParc Sainte-Marie
tanément, M. Bachelard me répondit que nœuvre, sans domicile fixe, a porté desi
Par arrêté municipal, vu l'article 453 du[ son devoir était de céder la place à son coups de poing et de pied à M. Simotbè
gardien d'usine à Dieulouard. M. Simothé à1
règlement de police municipale du 7 mars, chef hiérarchique, le commandant Lai
ete gravement blessé. — Deux mois de pricher.
1904 ainsi conçu :
son par défaut.
Je vous serais très reconnaissant, mon« Il est interdit dans un rayon de 80 mè— Charles-Paul Parisot, âgé de 21 ans,
« très, autour du kiosque de la Péninièrej sieur le rédacteur en clief, de vouloir in« de placer d'autres sièges mobi'es qre sérer cette petite rectification dans votrei mineur a Maxéville, a frappé brutalementi
; M. Balthazar. — ljT0mois de prison.
« ceux qui appartiennent à l'adjudiatairo prochain numéro, et vous prie d'agréer
—Lucien-Louis Chuard, 2(i ans, mineur•
l'assurance de mes sentiments les plus dis« de l'entreprise.
a Neuves-Maisons, en jetant un cigare allu-.
« La limite de l'enceinte réservée sera tingués.
me dans des prés appartenant à M. Boivin
Pour le comité d'organisation :
« déterminée par des jalons indicateurs
y a mis le feu. M. Boivm lit des remon-Le commissaire généra',
« de distance en distance, sur le bord des,
trances a Chuard, qui, comme réponse le!
G. MAZERAND.
« pelouses. »
gitla. — 25 fr. d'amende
—
1
H» a ♦
>
Vu la loi du 5 avril 1884 ;
— Albert-Florentin Connat, 31 ans mi-.
« Article premier. — Les dispositions de
neur a Chavigny, a été trouvé en état d'iet
SOCIÉTÉS vresse
« l'article 453 du règlement de police muni-* GROUPES
et a frappé M. Karst. — Un mois de
« cipale du 7 mars 1904 sont rendues apprison et 25 fr. d'amende.
COMMUNIQUÉS
« plicables au parc Sainte-Marie. »
—Louis Gourrier,ll ans.et Georges GourAccident du travail
Groupe Saint-Privat. — Le président et. ner 9 ans, à Nancy, ont pénétréT en briVendredi matin, un ouvrier au service les membres du comité du Groupe Saint-; sant des carreaux, dans la crèche Notre-;
Privat, anciens militaires du 94'', invitent, Dame, rue Sellier, et ont dérobé des <^âd'un entrepreneur de Lunéviile, était occupé à la construction d'un transbordeur. les anciens de ce régiment à assister à la- teaux et de l'argent. - ils sont acquittésj
réunion qui doit se tenir, samedi pro- comme ayant agi sans discernement
aérien pour M. Dumoulin, négociant en'
chain, à 8 heures et demie, dans la sallei , 77 Jean, >Sct\"lez, 17 ans, domestique en
charbons, rue Virginie-Mauvais.
réservée de la Brasserie des Dom..., 4, rue, tuite, a dérobe 50 francs et une montre àt
U était monté à une hauteur de 10 mèL
tr n
Qnatre mois de
ris
tres et boulonnait des pièces de fer. Sou- des Dominicains.
défaut ° ' ~
P °n Par
Ordre du jour : Participation à la cérédain, ces dernières se brisèrent et l'ouvrier
monie du 20 août, à Batilly.
fut précipité sur le sol.
— Marcel Stumpf, 14 ans ; Ernest-AugusCette communication tiendra
lieu de te Salot, 14 ans ; Auguste Serrière, 17 ans
Dans sa chute, il s'est fait des contusions
'
convocation.
et Emile Metzger, 1? ans, ont déposé des5
à la jambe gauche.
—
.
pierres sur la voie du tramway suburbain1
,H.a été transporté dans une pharmacie,
dans 1 espoir de le faire dérailler
Une feu de paille
où on lui a donné des soins.
Marcel Stumpf et Salot sont' acquittés
Vendredi, vers six heures du soir, une
Pris d'une syncope
! comme ayant agi sans discernement quants
charrette
chargée
de
paille
d'emballage
se
Vendredi, dans la matinée, M. Joseph1
à Serrière et Metzger ils écopent chacun1
trouvait devant chez M. Bernheim, négo--: 2a
tr. d amende.
Meintney, âgé de 53 ans, pendant son tra"
ciant,
rue
des
Quatre-Eglises,
5.
Tout
à
vail à la maison Morin-Gugurnus, rue de!
— Louis-Henry Demaret, 35 ans, mineur
coup, la paille s'enflamma. Les personnest
Boudonville. fut. pris d'une syncope ett présentes la jetèrent sur la. chaussée, où' et Maurice Guelorget, 16 ans, mécanicien,
1
tomba sur le sol. La voiture d'ambulance' elle se consuma sans danger,
i a Maxéville, ont frappé Mme Bonnet lis
s
fut mandée ; elle le conduisit à l'hôpital,i
ont
de
plus
exercé
des
violences
sur
le
II est probable que cette paille s'est en-.- garde champêtre.
î
où l'on constata qu'il avait de simples
* flammée au contact d'une allumette non'
Chacun 25 fr. d'amende.
contusions à la tète. Après avoir été pansé,■ éteinte jetée par un fumeur.
il a été ramoné à son domicile, rue de
— Anne-Marie Forfert, femme Vincent
Voleurs arrêtés
Boudonville.
m ans, fermière à Vandières, a écrémé son1
Dans l'après-midi de vendredi, - Jules> lait dans la proportion de 25 nour im
Feu de cheminée
1
luo
Maguin, 17 ans, rue de l'Equitation, ett 100 fr. d'amende.
' ~Dans l'après-midi de vendredi, un feu deÏ Georges Jendron, IT ans', maçons, rue de>
— Emile Laxenaire, 35 ans, et Victor <ii
cheminée s'est déclaré place Carrière, 28. îa Oroix-Gagnée, ont été arrêtés pour voll momn, 29 an%, mineurs a Lùdres' ont ™ Les pompiers prévenus ont fait le. néces-- d'effets d'habillement au préjudice d'un
, massé des poissons dans le canal 'qui étaitsaira.
t
.. camarade
en vidange. - Chacun 16 fr. d'amende
EDEN-THEATRE.
*~
6l)FOi)iqup_§p0F|{ J]
A
Kancsuvre de garnison
Tsrribla
8
L'EST PEPUBLICA1N
NANCY l!Les Concerts militaires à Nancy I S(< PECTACLESÇWCERTS
Régionale
—
1
■■
Notre correspondant spécial me
étapes de la grande épreuve nrn Su't'h
a<
,1a dépêche, suivante : .
lr«%
M
NÎMES, 18 août, 7 heures 60ir
•
part fut donné à Toulouse à À
4.
P
{matin. 168 coureurs se rangent
starter. Les « officiels » sont
MM. Gingembre, Commaille etc Pié^
leur est suffocante. La route est"ri* ^
mauvaises. L étape s'ann„nre c
«des plus dures. Une fouio cons& %
tend a Beziers. Ovations. A M ?" '«al
M|
iet
«les cinq premiers, en peloton iv
une vive allure.
' P^nt ]
A l'arrivée on apprend que Thvs n,
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«à un kilomètre du but. Le classé <
1
l'étape
donne les résultats ci-cW^t*
'EKg, 2 Grethel, 3 Vallotten <> :
Thvs.
6 Icher, 7 Delaunay, 'ft i *
5
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Kipnert, 10 Angel, 14 Simon M I*i
16r*usot
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de brillants. Rapp. au journ. Pécoi„nf °"*
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ETAT CIVIL
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Du 18 août
Naissances
Roger-Charles Lambert, rue OÎIK» .
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- Armand Muller.rue de la Croh
gogne,
21.
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Franck
Itiegel
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1S
°8. - Félix-Fernand Mefzelard h„ ? va^
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y la Pépinière, 48. - Rogor-pm " r N
Bach, rue de la Boudière, 6 1
Emilienne
Claisse, place Sai , "*f «'t»
*■
nt E
André
Kolb, rue des Quatrc-l'.qi^-' î«
*
Publications de mariages °'
Gaston-Edouard Durant, plâtrier . .
*la Haçhe 96, et Agathe-Angustiné^f
cois, brodeuse, rue de la Hache 4
Ç
^Âlbert-Théodule Galloy, instituteur"A T 7
et
f Marie-Augustine UÔber, Sutrift
Toul,
de fait et de droit rue de Phakboi
'
a
59.
— Jean-Clovis-Antoine Hugues iS,
1
nieur civil à Toulon, et Henriette-Cai
Arsant,
sans profession, rue du nastin,
'
*.46. — Charles Herrgott, mécanicien nlac,
fde la Cathédrale, 56,avant à Nomexy (v ^
0
{■ges), et Lucie^uliette Marin, sans'proies
ssion à Epinal. —
René-Auguste-Hippota
'Henry, artiste musicien, rue de l'Equil»
ftion, 63, et Louise-Sophie-Clémentine gi.
llet, sans profession à Mallelov, «le fait et
Jde droit à Longuyon. - Jean-Désiré \l,r
1
ingénieur, rue du Faubourg-Stanislas, 3
cet Marthe Lœb, sans profession à Sciil*
I tadt.
•
— Henri Munier, mineur, rue jg
'Haut-Bourgeois, 12, et Denise-Marie^
1mentino Jolin. casquetière à Tomblaine.Attilio-Luigi
Rossati, manœuvre, rue deli
\
Hache, 63, de fait et de droit à Véror,"
((Italie), et Maria Barafella, journalier»
]rue de la Hache, 63, de fait et de droit &
1Montagna.na,province de Padova (Italie).'Henry Wahl, négociant à Epinal, et Ma.
celle
Théodore, sans profession, rue Saint'
Dizier, 16. — Albert-Henri Zinn, emplovi
;au chemin de fer à
Châlons-siir-Marne,
avant
rue Godron, 15, et Jeanne-Germain!
:
Boucault, sans profession à Reims.
Décès
Lucienne-EugénierMarie Grnndidier, 1
mois et 24 jours, rue de l'Equi'ation, 44.->
Martin Verrier, 23 ans, soldat au 79» régi.
ment d'infanterie, hôpital militaire/Marie Maut, 60 ans, sans profession
épouse divorcée Ballam), rue Saint-N»
las, 62. —- Joseph-Sigishert Martin, 75 ans,
charpentier, rue Jacquard, 33.
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■ sieurs René et Paul DROUVILLEi
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Et vous prient d'assister aux convoi tmbre el enlerrercent qui auront lieu lo itnnf11'
lise 20 août, à 11 heures du matin, en l'egli*
1 d'Agincoiirt. et de là. au cimetière de la M>"
B tnune où aura lieu l'inhumation.
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8 «tendrt» lie».
Objets trouvés
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Une broche en argent avec photogW"1'
par M. Cœur Célectin, 17, rue FW''1',
— Un bonnet en dentelle, par M- Ll
»
Lemoine, 134, rue du Monte*.
. g *
r
— Un porte-monnaie renfermant 0».
■
par Mlle Ningre, 10, rue de la
I
rie.
., I
—Un brevet «de médaille du Maroc, v
M. Bosselin, concierge, 82, rue Sainte |
— Une ombrelle, par M. Jacquot, 10,I
des Dominicains.
.yile L
— Une bague en or avec perles, P»11
I
Noblot, 48, rue Gambetta.
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, d 1
— Une bague, par M. Tassin, *>
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Carnot, à Varangéville.
0 I
?
— Une montre en acier, par Miw
;
jean, 13, rue de l'A trie.
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lv 1
— Un porte-monnaie renfermant y».
par M. Armand, 10 bis, rue au
J
Cœur.
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— Une ombrelle, par Mlle Wen»e1'
rue Braconnot.
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— Une broche en argent, par M. u
67, rue des Quatre-Eglises.
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— Une broche en or, par M. "
rue de Mtz, 11.
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Locomotive déraillée. —
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cinq heures du soir,'une petite^%st,9
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Jarville, a déraillé et a été renV«rse
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du chemin de la Californie.
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Le personnel a pu remettre sur
cette machine, qui a été détériorée.
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CHAMPIÇ
,V><.
Concours de tir. — Dimanche £ rain^
avec le concours des Trompettes w
aus
aura lieu la distribution des t !a lira*
lauréats de la France guerrière, a
série du Chalet.
CQOU* *
Commissionnaire indélicat.
- $m
Henri Agaésse, 17 ans, manœuftM so»
reçu. 3 fr. 50 de M. Molat, déen» f
maître de pension pour aller chtitt£t0
paquets de tabac. Au lieu de s ^nSa 'â
cette commission, Agaesse ""'ara'^ii
gent. Il a été arrêté et déféré au i'rA,sO^
NSUVES-i» «g ap»Après boire. - Josev^^AeS^
manœuvre, aval ftréquenté ûiv«t
rw.;
co
qui lui avait fait perdre 1***^1»*%
il causait du scandale, U W ^te^aM
par les gendarmes, auxquels » - cep^f ^
0
outrage! et fit rébellion. »
M»
maîtrisé et conduit au parqu-^ de
qui l'a fait écroueîr.
("f
:
1
1'
11 ■
L„
—
kjTHE-&:MOSELLE «!
^ RÉ VILLE-SU R-MOS ELLE
Trieuses. - ■ Les pêcheurs do
trt M°^u
lo dont ils sont adjudicataiPiiettd) dtl, ' un tramail copieusement
I^in deM°5. î chiffes d'environ une livre
i
^i
ï^'« avait pas moins de 150 ki-
l
W£^ [nn qui ont été placés dans des
■£* P .Ce lessiveuse ef dirigés en auV ° «M Vézelise, où ils feront, pa-
1
j
mi,
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point
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IjfeÛdue
V
se
ersonnel du la bras
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i
» MU être mieux inspiré.
^e" een prairie. - Le feu s'est
le
de
>.
';,voiii le jour
l Assompé a
herbes
sèches
de
la prairie
ian
pu cette fois lo circonsV
des pâtis de pommes de
et l
d'être atteints et. dévassur
? t «s des tubercules sont sèches,
les
parfaitement brûle.
ou "inconscient qui allume
"j PS
rende donc une fois compdu désastre qu'il peut cam
i l^/deennuis que sa bêtise pourrait lui
I |*rêt "es ,., ,ft faisait p ncer.
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'SeniS/à lîplrcation du vieux pro-
3
Iverbè !
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PONT SAINT-VINCENT
locale a
„..*«„r* ~- La
maraudeurs.
w. ipolice
9
ur
K'U ', "
°1 nommle Viry, âgée de
fen .ne l'iaumonté, de Bainville-sur'EUe a été gratifiée d'un procès-
l^.
Jp
flifliri»1-
état d'i\resse. AuEr
charpentier à HarouS
Ûttbl
a t péniblement, Jeudis vers trois
bu a
ȕPMarcnaI
..
a** ' " Xaprès-midi,
H0tt
IfÈi
dans la rue Nu-
ses iambes fléchiront
eUeTaiheureux s'écroula sur te
Soudain
*1 . heureusement
momeniane"II ch^pTntier etde laretira
circulation en le
l
a
Les uns parlent d'une fugue, les autres
d'un .suicide.
BLAMONT-CIREY
La petite fleur bleue.
favorisée par
un temps aplendide.la vente de la fleur deV6i
venue
emblème de la charité patriotique, a
eu à Cirey et à Blâmont un succès énorme.
Au départ et a l'arrivée des trains, les aimables
vendeuses voyaient so dégarnir si
ai
vi\
vivement
leurs corbeilles qu'elles pronostiqu
quaient une bonne journée.
1La recette a été superbe, et a dépassé toutes les prévisions : 2,000 francs par les
tes
gri
groupes
des deux villes. Aussi, Mmes les
pr
présidentes
des Femmes do France sont
heureuses
d'annoncer un pareil résultat, de
? ,
remercier leurs gentilles messagères et de
le* complimenter publiquement.
les
,Ce beau mouvement a eu un écho à Tano
conville,
où Mme Ganier a fait vendre la
C
petite, fleur par de charmantes jeunes filpe
p,
les.
Le produit de cette quête grossit encore
l'envoi
fait à nos soldats du Maroc.
re
BADONVILLER
Rixe au cabaret. — M. Auguste Claudel,
bûcheron; se trouvait dans un débit lorsqu'il adressa quelques paroles à M. Auguste Adrian, boulanger, qui .répondit par
d.es coups do poing.
*
M', Emile Pierlot, journalier, interv int à
* tour et frappa également Claudel, qui
son
a
a porté plainte.
HUDIVILLER
Incendie. — Un commencement d'incendi s'est déclaré dans le grenier de M. Louis
die
r
Hésivet, propriétaire. Le feu, qui a pris
m
naissance
dans un tas de foin, a pu être
n
rapidement combattu par les habitants.
^ Après une demi-heure de travail, tout
danger était conjuré. Les pertes sont évalu
luées à 400 fanes.. I) y a assurance.
Le sinistre serait dû à la concentration
d, rayons solaires traversant une tuile on
des
v<
verre et qui auraient enflammé le foin.
e
e
Elle préconise comme étant do toute urg(
gence
rétablissement d'un siphon dans
cl
chaque
bouche d'égout ; enfin la commissi
sion sanitaire, u l'unanimité, a émis le
VK
vœu que la municipalité mette de suite n
l'<
l'étude
un projet de tout à l'égout.
Les décisions suivantes sont mises :
L'écoulement du purin sur les voies publiques sera interdit.
Le conseil refuse d'interdire les porcheries,
mais on veillera à ce qu'elles soient
P
tenues
dans le plus grand état de -nxo'
prêté.
La plupart des bouches d'égout sont déjà pourvues de siphon, celles qui en sont
dépourvues en seront munies.
En ce qui concerne le tout à l'égout, la
p
plupart des conseillers craignent que la
d
dépense ne soit trop forte pour les financi
ces
de la ville.
MM. Léon Gérardot, Simon et Thierry
il
iront à Longvvy à ce sujet, afin de recueilli des renseignements sur cette impurlir
ii
tante question.
Mais il semble bien que le conseil est
d
décidé à faire les sacrifices nécessaires
P
pour cMiter la ville de Briefy d'une installation hygiénique parfaite.
16° Désignation des notaires chargés de
la
)j vente du terrain sollicité par M. Jacquot. On vote. La vente sera faite par M"
s
Spatz.
p 17° Réclamation de Mine veuve Fort Mélanie.
1 Cette dame réclame une indemnité de
10
c fr. pour dégâts causés par 'e dernier
orage, par suite de l'obstruction d'un
éégout. Accordé.
18° Autorisation à M. le maire de traiter
pour
les crédits supérieurs à 300 fr.
1
L'autorisation est accordée.
.
19° Livrets d'épargne aux nouveaux-nés.
(
Comme
l'ont déjà, décidé certaines municij:
palités
de l'arrondissement, le conseil muinicipal <la Briey décide que chaque enfant
îné dans cette ville, de parents français,
i
recevra
h sa naissance un livret de caisso
cd'épargne de 1 fr. offert par la commune.'
C'est là une excellente initiative.
20° Proclamation des habitants de la1
irue de Lanléfontaine. Los hab'tants de
i
c
cette rue demandent un égout et un trot'toir du côté gauche.
On verra ce qu'il est possible de faire»
pour
eux.
!
BLAIN VILLE-SUR-L'EAU
Tapageurs. — Procès-verbal a été dressé
contre Jean-Baptiste Ferrari, Henri Genay,
et Albert Gaillard, manœuvres, qui étant
allés
se promener à Dameleviôres,causèrent
J
du tapage dans les rues, dégradèrent- un
Jbanc et tuèrent un chat. Ces jeunes gens
»n'ont comme excuse que ''ivresse.
ARRONDISSEMENT DE BRIEY
l|SL "ertpeurs se furent quelque
itesipées Marchai fut remis à ia rue,
litii d'un procès-verbal pour ivresse puwm ne manifeste.
BRIEV
a
« bon copain. - Ils arrivaient tous
Conseil municipal. — Le conseil municiM, | d'Aydoilles (Vosges), lis venaient
de Briey s'est réuni jeudi soir en sesos. «cher de l'embauche aux usines de Neu- 'pal
i
ordinaire, sous la présidence de M.
les- Saisons. C'étaient deux bons et msé- sion
.
v» «Mes copains. Us échouèrent au café £Drouin, adjoint, remplaçant M. Watrin,
maire, retenu par la maladie.
it* «-Créancier.
iil- "Louis Pierrat s'assit en face de son ami. ^ Présents : MM. Guérin, Thierry, Petit,
Nô, Vicq, Simon, Schwartz, Gérardot Léon,
: et tuile Benoît.
r
*, [is paraissaient heureux d'avoir trouvé Duperron.
S, jj travail. Ils burent le verre de l'amitié,
M. Duperron remplit les fonctions de sete Un»comme Pierrat en avait déjà bu plu- ccrétaire,
k sjjjrs à ses amitiés, à sa prospérité, etc.,
Le procès-verbal de la dernière séancej
0
* n'endormit sur lo table du café du som- est
adopté sans observations et on aborde,
e
~ aille plus pur.
}l'ordre du jour après qu'il eut été donné
el
L
" Emile Benoît, en bon copain, s'approcha lecture
'
d'une lettre de remerciements det
'« i»son « pavs » et par crainte sans doutei M.
» Lebrun, en réponse aux félicitations du
'f; «'on ne lui voitH son porte-monnaie il lej cconseil.
1111
M retira .délicatement dc la poche du panM. Guérin fut aussi vivement félicité nar
? " Won. Puis il le lit passer dans la sien-. sses collègues au sujet de sa nomination1
0
*î"
Ï.
comhie officier du M)érito agricole.
!m,1' Un client assis à une autre table fit re1» Approbation des délibérations de l'hos■ nrquer à Benoît que son gestse était tout; fpice et du bureau de bienfaisance. -- Le
'"jf; iîiit malhonnête.
cconseil approuve quelques
délibérations
-Nous vivons en commun, répondit oc-. fprises par la commission des hospices.
'
Bd. ce' argent est à nous deux.
2° Demande de subvention. — La section
Benoit sortit. Mme Tilly le suivit. Commei lorraine
1
v ,
des « Amis des arbres » demande5'
. .' _ il se disposait à enfourcher la bicyclette de) iune modeste subvention.
£~ Pierrat, la patronne du café lui "fit obserLe conseil vote 15 francs,
r
_ ver que la machine ne lui appai tenaitt
e
Le comité pour l'érection à Brest, d'un1
monument au docteur Mesnil, mort en comy j --Oh ! je la prends seulement pour faire} battant
1
la peste en Mandchourie, sollicite}
que twtse, riposta Benoît.
tune subvention.
Et, en effet, il partit pour faire une courUne somme de 10 francs est également vo^g» H, mais elle doit être longue, sa course, t
, tée.
j Br il n'en est pas encore revenu.
3° Article supplémentaire au règlement
Jugez rte l'émoi de J'ierral, quand, a. son
r sanitaire. — La préfecture .demande au'
*eil, il constata la disparition de son
de réglementer l'épandage des ma-*
inii.de son porte-monnaie contenant 12 fr.i conseil
r
tières
fécales.
Elle poussa l'amabilité jus-T
;';
• pièces d« 2 francs et de sa bicyclette,
qu'à fournir un modèle que le conseil~
œeMoi-e ;uix jantes nickelées, au guidon:i adopte.
'
■,f: tai-cintré, d'une valeur de 150 fr.
4° Demande d'achat de terrain par M.
Mais ce qu'il regretta le plus, ce ne fut
t Maillard. —- M. Maillard demande à ache«rtainemeot pas son copain.
Pierrat n'a eu que la consolation d'aller ter une parcelle de terrain communal sisee
r à la Sone, près d'une propriété lui apparmt plainte a l'agent de police, qui a
at, tenant. La contenance est de 09 centiares.
»';5éim procès-verbal de recherches coniM. Maillard paiera ce terrain 100 fr.
m
le peu scrupuleux Benoît.
5° Part de la ville dans la. réfection du
g mur de la rue des (Juatre-Vents. — il s'agit}
JEZA IN VILLE
j
Coups. — Procès-verbal a été dressé con- de voter un crédit supplémentaire de X-tt fr.
«a
i André Félix, et Bernard Motch, journa- pour paiement d'un bout de mur, omis
3
dans le devis.
foni. f, ' 1u'- sans provocation, ont porté dess
■
Ce crédit est voté.
„,,
"PS a M. Eugène Robert, cultivateur, oui
'i
<i° Réclamation de M. Bastien, institu.,■„,.
prouvait assis devant son domicile.
teur. — M. Bastien, instituteur adjoint,['•
COi
"
iriCroret' ~ Chanteur susceptible. —
';
—
demande
une indemnité en remplacement
]~™ Klix, journalier, chantait dans un
n du mobilier qui ne lui fut pas fourni lors
yant un
kin .
consommateur, M. Charç- de son arrivée, conformément à l'usage,
,d„/ r ouvrier
d'usine qui le regardait
m tif
it
M. Bastien touchera une indemnité an, u ° ' il lui porta un violent
it nuelle de.25 fr., et à son départ on achète!a tète h,i
°V
tuméfiant le côté
.é ra un mobilier pouf son successeur.
«M de la
figUra
ès
7° Modifications à apporter à l'hôtel de
«B» p '«rbal a été dressé contre ce brui- ville. — M. le sous-préfet invite la ville deee
Briey a profiter des travaux d'agrandissevifUift
ARRONDISSEMENT DE TOUL
ment du tribunal pour faire subir d'heu1reuses modifications à l'hôtel de ville.
1
l î(î
t;
Los
principales
modifications
proposées
!S
ans militaires. - Vendredi 25
'5 par M. le sous-préfet sont : Transfèrement
't
<[XÂ ^ procédé ,1 demie cie l'après-midi, il
il de la salle des séances dans la salle de la
a
a maiFie de Tou1 à radju
'justice
de
paix
;
agrandissement
de
la
salr}* l*4n de
1_
f
, I
nnÙ
I'nntaux de foin en bottes
-S
le.
de
théâtre
;
transfèrement
de
la
justice
-e
M, P» i -U^u'nt?.uî de win alimentaire.
edl 2
de paix dans la salle de bal actuelle,
it-u^JW^j ™
6 août, à 2 heures de l'aaM. le sous-préfet croit que l'architecte
;
ir,ar
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en
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i
Ja
adjudication
la
la départemental pourrait taire un avantrl
d e
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^ens ,
^'.C'OO kilos de bétail sur
ir projet. U en est ainsi décidé.
rt
8° Pompe à incendie. — La pompe n° 2
ar 31
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mi3tes
La
2
»»l 'est
Population
m étant hors d'usage, la commission des trat mq i6tee
a£ ruoi^'aprmll
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pptit '^or-reî ' 'ldm' gouverneur de la ville
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Les conclusions de sont rapport
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division,
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L'E8'T PÇPUDLICAIN
15» Rapport de la commission sanitaire,
La première commission sanitaire de
l'arrondissement do Briey avait été convoquée par M. le sous-préfet pour examiner
la situation de la ville do Briey au point
de vue de l'hygiène, en raison de la fièvre
v
qui règne en ce moment.
*'typhoïde
]
AALa commission a approuvé le* mesures
déjà prises. Elle a demandé qje 1 analyse
?!
de ''eau de la ville soit faite par M. le
docte» Massé, ce qui a été fait ; qu'un
cf)
cantonnier
soit spécialement affecté par
j.a
ville à la surveillance des égouts, des
jla
a
lavoirs
et à l'eut retien et à la propreté des
ni
rues
et cours d'eau ; que le passage du
t0
tombereau se fasse un fois par jour. Elle
a en outre émis le vœu que l'arrêté munia
ci]
cipal soit complété par l'interdiction absobj
lue
la des porcheries dans l'agglomération do
la ville de Briey, et que, si les fumiers reste
tent tolérés jusqu'à nouvel ordre, qu'une
fo
fosse étancho à purin soit établie à proxim
mité. L'écoulement du purin dans las cani
niveaux
doit être formellement interdit.
j^oniquo Départementale
M
1
"
MÎUSE
■ '
ARRONDISSEMEflT DE BAR-LE-DUC
LOUPPY-LE CHATEAU
Pris sous un éboulemsnt. — Louis Risse,'
>
Jcinquante-neuf ans, carrier à Louppy-lcChâteau, a été enseveli sous un éboule-'
ment d'environ vingt mètres cubes de pier-"
"
res.
ARRONDISSEMENT DE C0MMERCY
.
Etat civil. — Relevé du 11 au 17 août. —.
Naissance. —- Anne-Marie Georges.
Publications de mariage. — Paul-Firminn
(Gcerens, cuisinier, et Louisé*-,foséphone LaLj
bertrande. — Gaston-Edmond Lagrange,
E
sergent-major
au'29* chasseurs, et Eugéniee
Ï
Sourd. — Justin-Eugèno Mittaine, garçon
n
boulanger,
et Marie-Péronne Fontaine, cui,
sinière. — Louis-Emile Chartier, soldat au
n
12"
chasseurs, et Marguerite Heillette,
,
blanchisseuse.
Décès. — Jean-Clémcnt-Jules Simon, 8g
meus. — Jean-.Tseph-Marie-A.drien de Sahu,
!guet d'Amarzit, 6 ans. — Jacques-Augusteg
'_
Sauvage, 59 ans, fondeur en cuivre. —
Charles-André Werthmuller, 6 mois.
,i
Contraventions. — La police a dressé
_
'contravention à MM. Lucotte, tripier, pour
^
avoir construit un conduit dirigeant les
.1
déchets de sa porcherie dans la Marsaye
r
et avoir fait dans sa cour un dépôt répanZ
dant des exhalaisons malsaines et des
'fm
odeurs fétides, et à Jules François, garil
çoh boucher, pour avoir formé un dépôt
de cuir vert sans autorisation.
SAINT-MIH.EL
j
ARRONDISSEMENT DE VERDUN
VERDUN
"
Suicuie d'un soldat. — Les jeunes Griideiet et Petit, demeurant rue Maubert, s'en
m
allaient, vers quatre heures et demie du
u
soir, a travers le pré l'Evêque pour se
ïe
baigner dans te ruisseau
Sainl.-Vannes,
s,
Rendit le « Pré la Bergère », lorsqu'ils
1s
aperçurent /ur la berge un képi d'artilleur
îr
dans lequel se trouvait une lettre non caa
"
chetée.
Ne voyant personne dans les environs et,
l}
gl
la curiosité aidant, les deux enfants en firent la lecture. Cette lettre émanait d'un
in
militaire oui déclarait avoir assez de la
[a
.
vie parce qu'il était à la veille de poursui(i
tes devant te conseil de guerre. Les gamins
1S
coururent alors faire part de leur trouu.
vaille,au bureau de police,
Le secrétaire do M. Proust, le sympathijj.
que M.Dumoulin,s'empressa de les accom-.
n
pagner sur le lieu de leur trouvaille.
Des recherches furent aussitôt entrepriri.
9" Salle de gymnastique. — La commiss- ses par les maîtres-nageurs de l'établissetesion des travaux a adopté le modèle propo0ment municipal de bains froids. Au bout
Ut
sé.par M. Jeandel, soit un hangar solide
le de trois quarts d'heure seulement, l'un
m
couvert en tôle ondulée, avec fenêtres et
et d'eux aperçut dans un trou une masse noi3ifondations, qui coûtera dans les 7.500 fr.,
'•, ràtre qu'il tira à la surface de la rivière.
•e.
tout compris.
C'était le corps du désespéré,
On sait que ce hangar sera édifié sur les
es
Amené sur la berge, on constata que la
la
Promenades du Roi-de-Rome,
mort remontait déjà à plusieurs heures> ;j
10° Hangar de l'abattoir. — C'est aussi
isi d'après les constatations, on suppose que
ue
la maison Jeandel qui fournira. le hangar
ar ce militaire se jeta à l'eau vers une heure
démontable à édifier à l'abattoir pour griil1- de l'après-midi ; il était cinq heures au mo™
10
1er les porcs.
~
ment de sa découverte.
Coût : 500 fr.
. .
Le cadavre a été reconnu pour être celui
Plusieurs conseillers expriment la crain8
i
n- d'un militaire du 5 régiment d'artillerie, à
te que ce hangar ne soit trop petit. Dans ce
ce pied, employé comme 'mécanicien à l'arsecas, on verra à l'agrandir plus tard.
JfJ
nal de Jardin-Fontaine, sa « cotte » bleue
11° Consstruction d'un urinoir.— Un uriS
ri- en faisait foi. Il se nomme Pinel Edouardnoir sera construit sur la Levée. Il sera
ra Maurice-Raymond, est âgé de t'Z ans, étant
mt
en tôle et ardoises et coûtera 1.100 fr. :
né le 27 mars 1889 à Çompiègne (Oise), 0ll
où
12° Rapport de M. l'inspecteur primaire
re habitent encore ses parents. 11 faisait par_
av
sur l'école maternelle,
tie de la classe 1909. Avant son incorporaraDans un précédent numéro nous avons
ns tion, il résidait à Asnières, canton de Coururfait connaître les grandes lignes de ce rapip- bevoie (Seine).
port. M. l'inspecteur trouve, non sans raiaiC'est à Çompiègne qu'aura lieu son inhu111son, déplorable l'emplacement de la Levée,
me, motion.
précédemment adopté, et en indiques un
un
Renversés par une auto. — Sur l'aveautre, près de la maison de M. Walrin.
nue de la Gare, vers le passage à niveau
ati
M. Bourgeois, propriétaire de ce terrain,
in, de la Compagnie .Meusienne, une automoaoconsulté, refuse de le vendre.
bile qui filait du côté de la gare à une asasDans ces conditions, le conseil charge la sez v ive allure, a happé au passage une dedecommission des travaux de rechercher un moiselle Germaine Dégalle, âgée de 18 ans,
ns,
emplacement plus "favorable que la Levée,
se, erftployée de commerce à Verdun.
de concert avec M. l'inspecteur.
Mlle Degalle, au moment où l'occident
?nt
M. l'inspecteur se plaint aussi très viV».
i«ê s'est produit, reconduisait à la gare sa
sa
ment de l'état déplorable au point de vue
ue '•' sœur, qui habite Nancy, et qui allait rerehygiène des classes de filles installées à
a prendre le train de quatre heures, après
rés
l'hospice. Il parle de fermeture de celte ecozo- un séjour de quelques jours à Verdun où
où
le. On verra à aviser,
elle était venue passer avec sa famille les
les
13» Projet de construction de canivaux
ux fêtes de l'Assomption. Elle tenait par la
la
et égouts rue de la Filature. — Renvoyé1 à
a rnain le jeune enfant de cette dernière.
une autre séance.
L'automobile la renversa, mais Mlle DoDei4° Enlèvement des immondices.—- A ra•a- galle avait pu s'accrocher d'une main après
rès
venir, le tombereau passera le samedi pour
ur le devant de l'auto, tandis que le jeune
me
es
enfant qu'elle tenait toujours de l'autre
enlever les ordures ménagôra et les boues
tre
main était venu tember sur la mànivette de
quand il y n aura.
de
■
mis
mise en marche du moteur. Pendant une 1
que
quarantaine de mètres, l'auto traîna sos
vicl
victimes
sur la route — Mlle Degalle avait
le c
le corps complètement engagé sous la voittir
lure -- puis enfin s'arrêta.
L
de Les personnes présentes s'empressèrent
T
de
UN ACCIDENT m CHASSE AVANT L'OUVERTURE.
à lirelever les victimes et de les transporter
a
la
Société
de
consommation
des
chemins
T
— Le berger Jean Thomas, escorté de ses
rie
rie 1er de l'Est, où on leur prodigua des deux chiens, suivait, avec son troupeau, la
soi:
rou
soins.
Mlle
Degalle
a
tout
un
côté
du
corps
route de Gazerân, près de Rambouillet,
dof
11111
depuis lépaule jusqu'aux pieds, complète- quand vint à passer un lièvre. Les chiens
me
ment
scalpé ; de plus, sa robe et son corsa- se
se mirent à la poursuite de l'animal, qui
ge
ge
sont
en lambeaux, de même que ses sou- SR
se
réfugia dans un champ appartenant au
liei
cori
liera.
L'enfant n'a*aucun mal.
comte de Fols.
t
Les chiens l'y suivirent, mais leur masorC'est vraiment miracle que ces deux per- n e,*■
sonnes échappèrent à la mort.
, ^ avait été remarqué par le garde Pinôge
+++
cha
chard qui se trouvait alors non loin de là
m
et
laqui, abaissant vivement son fusil, lâcha
t
la détente. La détonation fut suivie d'un
.(ira
cri
cri
garantit
sur facture sa bière eitlusiremenl fabriquée a?ee des
p,, de douleur. La charge s'était trompée
j^j
f
d'adresse
et avait atteint l'infortuné berger
MALT tT HOUBLONS DK 1" CHOIX. Très same et digestive. j
"
e
Jean
Thomas. Le malheureux fut griève1
1
"
•
■
me
ment
blessé au ventre et à la cuisse droite:
on ne sait s'il en réchappera.
Faits - Divers
Brasserie de Nancy
VOSGES
ARRONDISSEMENT O'ÉPINAL
SPINAL
^
Vol d'une bicyclette. — Une bicyclette,
m8
marque
Alcyon, d'une valeur de 180 francs,
an
appartenant à M. Cunin, garçon de buroau de la mairie, déposée dans une cage
gS
près du couloir de la marrie à
jd'escalier
'
la ^ police, a été volée.
•'
Voici
,
le signalement de cette bicyclette :
1
Marque
Alcyon, guidon demi cintré poiSr
priées corne, cadre de 0 m, 62, jantes demi
u
"
nickelées,
pneus Dunlop 70 x 35, moyeu
roue libre et frein à contre pédalage, marS°
nue Torpédo, n° de la machine 55,956,pourVu d'une plaque de 1911 et d'une trompe
vue
d'appel.
M
£
'Etat civil. — Du 11 au 18 août 1911.
«J
Naisances.
— Chonavel Berthe-Marie-M'aru
8'
guérite. — Deflin Jeanhe-Marie-Thérèse. —
K»
Koch
Maurice-Jean. — Valantin Albert-Robe
bert-Marie. — Gueschwind Alfred-André.—
nii
nickelrs,
pneus Dunlop 70 x 35, moyen,
ge Marie-Solange.
ger
Mariages.
—
Renard Adrien-Emile,
po
peintre
en voitures, et Guérin EglantineEt
Emilie Georgette. — Bourgeois EdmondM;
Maurice, employé de commerce à Rouen, et
Vf
Vallée Gabrielle-Henriette, modiste.— Bouge
gerol
Eugène-Augustin,
instituteur, et
Tt
Thinés Maria-Catherine. — Charpentier
Lr
Léon-Henri,
employé de commerce, et Broch
cherez Laure-Octavie.. — Jacquot Georges
p<
Paul, maréchal des logis chef au 8" d'artille
lerie, et Colin Marie-Amélie institutrice.
et Décès. — Dijon Marie-Augustine, 10 mois
et demi. — piaillant Camille-Etienne, 48
ar
ans,
receveur d'octroi. — Munch Marie-Ro])t
bert-André, 1 mois. — Aubry Pierre-Simon,
65
ans, agont-voyor d'arrondissement en re|j85
r
traite.
— L'Huilïier Gilbert-Arthur, 1 mois.
_,
—j. Playe Prosper-Hyppolite, 79 ans, enrros_S
— Chaudron Raymond-Henri-Mauri-.
'sier.
rf 8 jours. — Pitois Aimée, 4 ans.
ce,
i Mort-né : 1.
ARRONDISSEMENT DE M/RECOURT
BLEURVILLE
La maison de M. Donat Bergaire, carrier
à
à Bleurville a été incendiée. Elle s'élevait à
pi
proximité du chemin de grande communi.c;
.cation
n° 2.
''Le feu a pris najsance vers 4 heures h,
dans le grenier à fourrages, où so trouvaient 3,000 kilos de paille et 6,000 kilos de
foin.
Grâce à des secours apportés prompterr
ment,
on a pu sauver une génisse, deux
P
porcs,
et une partie du mobilier. Toutefois
ti
trois lits, une armoire remplie de linge ot
u
un
buffet sont restés dans les flammes.
^ On incline à penser que l'incendie est dû
-jà deux tuiles en verre qui étaient en con4
tact
avec de. la paille et qui auraient joué let
M
rôle de lentilles.
M. Bergaire estime ses pertes à 9,000 fr.
Il est assuré pour 11,800 fr, à la compagnie
le <i Soleil ».
Ujl
ARRONDISSEMENT DE RE MIRE M ON T
GRANGES-DE-PLOMBIÊOES
Violences. — La gendarmerie a ouvert
t
une
enquête sur des violences graves dont
1la femmê Philippe Marotel, née Amélie
;
; tGrand jean, 40 ans, cultivatrice au hameau
<
de
l'Augconne, a été la victime, principa-„
'
lement
ces jours derniers, de la part de,
! s
son mari.
i
DAI/1BLAIN!
Noyade. —■ A Damblain, la veuve Gour(
' dineau, incurable, s'est noyée dans un ré-"
;
. hs*rvoir de la propriété de M. Thinet.
LE THSI.LOT■
••Vol. — Une bicyclette ayant une valeur.
de 250 francs, qui était remisée sous unei
. 'cage d'escalier, dans. Je corridor de lai
| mfiison de M. Paul Beretta, cafetier, et au
; •préjudice de ce dernier, lui a été dérobée.l
II a ' ^rié plainte.
SAULXURESj
Vagabond. — On a arrêté pour rnendi-.
cité
et vagabondage le nommé Victor Bel-.
'
fort, 55 ans, tisserand, sans domicile fixe.
LA BRESSE.
Enfant étouffés. — En l'absence de sa"
1femme, partie à Saulxures avec ses quatre„
(-nfants,
laissant une fillette de 3 mois à la,
|
u
garde do son mari, Eugène Crouvezier, 36,
:ans, tisserand, celui-ci, pour ne point se re-,
!lever, la nuit, au cas où l'enfant réclamerait des soins, la coucha à ses côtés. Dans'_a
la nuit, Crouvezier roula sur so'n enfant,,
1
'»
qui
fut étouffée.
II ne trouva qu'un cadavre à son rôf
■veil.
•
ARRONDISSEMENT DE SAlHTDIc
GRANGES
g
er
, Etat civil. — Du 1 au 15 août 1911. —
._
1Naissances. — Marchai Charles-Lucien. —
(
Grivel Suzanne-Albertine.
Mariages. — Néant.
Décès. — Froitier Marie-Victoire, 75 ans,
3
célibataire.
'
'
Succès musicaux. — L' « Harmonie de
,
_
Granges », président M. Paul Ancel ; direcc
teur M. Touwiier, a pris part au grand con-"
cours international de musique qui a eu*
lieu à Lausanne (Suisse) les 14 et 15 août,,
•
Elle a remporté les prix suivants :
.
Harmonie : 1er prix de lecture à vue (pal'*
me de vermeil), lor prix d'exécution (couronne de vermeil), 2» prix ascendant d'honneur (objet d'art), 1er prix de tenue (médaille de vermeil), prix de direction avec
félicitations du jury ; tambours et clairons
lor prix d'exécution ; 1er prix d'honneur
(plus de 100 sociétés avaient concouru.)
^
f
1 nbunaux
L
L'ESCROC nus ŒUVRES DE BIENFAISANCE. —
Ma
Marcel
.Mal héron, dit aussi Meunier, ou
enc
encore comte Matheron, évolue dans les
mil
milieux ecclésiastiques. 11 se présente chez
do
de
vot braves curés, chez les vieilles dames dévotes, chez les membres de certaines œuvre
vres de bienfaisance catholiques et vient
qu(
quêter
pour des associations connues le
plu
plus
mil souvent. Il explique que tout en terminant ses études rie droit il est secrétaire
de
de la Jeunesse catholique française, qu'il
est
est
qu' l'intime de l'abbé Rolland-Gosselin et
qu'il consacre ses loisirs aux intérêts des
œu
œuvres
de bienfaisance exclusivement cathe
tholiques. Et alors il demande une obole
pot
pour « les Colonies de vacances », ou le
1
«« Feu
perpétuel » ou « l'Œuvre des petits
loy
loyers
», etc.
Enfin il s'est fait arrêter dernièrement
L'INSTITUTEUR ET L'AIGLE. — M. Renard,
à 1
à la suite de nombreuses plaintes portées
instituteur
de la ville de Paris, actuelle- coi
£J
contre
lui et il a comparu devant La 10*
ment en villégiature à Veyrier-du-Lac, un du
de*
chambre
correctionnelle de la Seine sous
des
jolis
coins
qui
entourent
le
lac
d'Annela
y,
la prévention d'escroquerie. Lo curé de
C
cy,
faisait
hier
une
promenade
à
bicycletSoi
te,'
dans une lettre écrite
te, lorsque, près du hameau de Chavoires, Soisy-sous-Etiolles,
à
jl :
4 un chanoine, lettre versée au 'dossier,
il reçut sur la tête comme un formidable doi
donne les renseignements suivants sur
coi
coup de bâton. Il descendit et se retour- Matheron
Ma
:
un.
na. C'était un aigle qui venait de l'atta!' «« Monsieur le chanoine,
qn
quer, puis s'envolait en emportant sa cas"
I « Le jeune escroc en question s'est préqn
quette
dans ses serres. M. Renard éprouva sor
senté chez moi la semaine dernière, de voun
un moment de stupeur et d'émotion. Puis, tre
tre part, et m'a fait remettre la messe pail remonta sur sa machine et rentra au roi
il
roissiale à onze heures, à cause d'une soVe
Veyrier.
cré
ciété,
le Canot-Ecole, qui devait arriver à
cet
heure à Soisy. Bien entendu, person. 1LE BON GEÔLIER. — Nous avons le bon cette
ne
u
ne n'a mis les pieds à l'église, sauf le malïjuge.
{
L'Amérique a le bon geôlier.
hei
heureux
qui a communié, à la messe de
M. Oswald West, gouverneur de l'Etat sept
se) heures, étant arrivé sur un magnifid(
d'Orégon depuis trois mois, essaie un que
qu vélo, à lui offert, m'a-t-il dit, pur Mgr
J™
moyen
nouveau et peu banal d'amender Amette.
An
Toujours d'après lui, vous deviez
s
!f„
les prisonniers de la maison pénitentiaire vei
venir me voir le tantôt.
de
<Ce gaillard est, au courant de toute la
" Salem. Très épris de réformes « moralisatrices
», il a imaginé de mettre les pri- vif
'^ .
vie religieuse de Paris ot connaît tous les
sonniers en liberté sur parole, pour leur curés
eu
de la capitale, particulièrement cepermettre
de
se
livrer
au
dehors,
dans
des
lui de Saint-Ambroiso, qui l'appelle son
Kl
lui
limites
données,
à
certains
travaux
cham«
„
» petit Marcel ». Il m'a donné aussi des
ê
pêtres
sans être sous la férule des gar- dé
{jii
détails stupéfiants de vérité sur plusieurs
dieu s.
de
de mes confrères, particulièrement de G arM. Oswald West estime que l'accomplis- ga
gon et Livry, auxquels j'ai écrit.
K0
sèment de la peine « librement consenti »
Inutile dé vous dire que sa conduite a été
a
a une portée morale bien plus efficace.
dé
déploraiile
ici, pendant toute la journée.
J'-' dû lui fermer ma porte. Alors je l'ai
d'(Cette innovation aurait produit jusqu'ici J'ai
d'excellents résultats. Sur 144 prisonniers vu
vu avec l'inévitable donzelle. Il s'est dit
de
devenus libres de leurs mouvements pen- pa
partout membre du cercle du Luxembourg
de
dant
la
journée
sur
un
rayon"
de
5
milles
«t
et
du Canot-Ecole.
ai
autour
de
la
prison,
un
seul
a
trahi
la.
Voyez ce que vous avez à faire. En fout
pr
parole donnée, et ce sont ses collègues ca
cas, c'est une singulière histoire. Il m'aqi
qui l'ont rattrapé ot ramené.
va
vait
emprunté quarante sous que, bien
eri
Avant de mettre ce projet à exécution, entendu,
je n'ai pas revus, »
le
le gouverneur s'en était ouvert au direcAprès plaidoirie de M" Laurian-Boité, le
te
teur de la prison, qui l'approuva entière- tr
tribunal a condamné Marcel Matheron à
m
ment.
de
deux
ans de prison.
cc M. West manda, alors un des prisonniers,
^
— •
"
condamné à quinze ans de détention. Il
M
fh
fut
recommandé
à
cet
homme
de
prendre
Bi
lo
fûMU
le tramway et do se rendre chez le gouve
Du 17 roitt W11
verneur sans l'escorte d'un gardiem
L
Le condamné, qui avait donné sa parole
s I'
"s. I
3
ï'iilX PlMpI 1OT0
(1(
de
cl ne pas s'évader, se rendit directement ,1
chez
le
gouverneur,
qui
lui
exposa
son
^ I £.
\ lande nellu
l'oids vif
pi
t
projet
et le chargea d'en faire part aux ~
ai
autres détenus. Comme bien l'on pense,■ S'
BCL'IUS
î.-OS. 1.55:! 0.7-1 â 0.S8 O.S.! à 0.53
to
tous les détenus acceptèrent avec enthou-' Vaches
755 0.70 à U.S.S o.:!5 à 0.08
si
'
Taureaux....
113
112 0.65 il 0.8 0.:'.:i à 0.55
siasme cette libération journalière sur pa- ê
rr
Veaux
1.898
1.398
0.9 . à' t.'&t 0.5i à OV74
'•o'e■
M
Moutons
6.411 8.001' 0.90 à 1.20 0,45 à 0.60
fores
3.8:«( 3.882 l 00à 1.12 u.71 à 0.78
TUÉS A COUPS DE FAUCILLE. — On mande
di Valence qu'à Laborel, petite communel
Bœufs. — Vente plus faible, en hausse
de
s
^
située
aux confins du département, à centj sur les bons bœufs.
c ]
.
On cote : maraichins, de 0 80 à 0 85 ;
cinquante
kilomètres du chef-lieu, les3
époux Remy-Buissori, habitant une ferme normands, de 0 82 à 0 92 ; bœufs blancs,
'/
isolée,
au quartier de Chabrol, ont été3| de 0 82 à 0 92 ; monceaux, de 0 82 à 0 88 ;
cl
.
trouvés
hier matin assassinés dans leurr choletais, do 0 72 à 0 83. Le demi-kilo net.
l
limmeuble.
Le mari, dont la tête était en- r Veaux. — Vente meilleure en hausse de
1
fièrement
détachée du tronc, portait en1 5J c. par demi kilo.
outre sur tout le corps d'atroces blessures3 r On cote : choix de Brie, de Beauce, du
faJtes avec une faucille que le malheureuxK 1Gâtinais, de 1 15 à 1 20 ; champenois, de
„avait sur lui en revenant des champs ':". n1 05 à 1 15 ; manceaux, dé 1 à 1 10 ; caenplusieurs
coups de celle-ci l'ont transpercé8; nais, de 0 90 à 1 fr. Le demi-kilo net.
^
de
». Moutons. — Vente plus facile et prix
j part en part. Néanmoins, avant le secf
" , bien tenus.
tionnement
du
cou,
le
victime
a
dû
être
e
a
assommée avec la crosse d'un fusil, laquol1 On cote : petits moutons du Centre, de
lf
•- X 15 à 1 25 ; métis, de 1 10 à 1 15 ; d'Aule
porte
encore
des
lambeaux
de
chair
a
r
vergne,
de 1 05 à 1 12 ; du Midi, de 1 à
ainsi que des cheveux.
.
,
1\. 12 ; africains, de 0 05 à 1 03. Le d.uni
Sa
femme,
qui
assistait
impuissante
à
Cl
*
kilo
net.
cette horrible scène, fut prise d'épouvante
*•'
et tenta de s'enfuir à travers* champs, maise*s 1■< Porcs. — Vente meilleure en hausse de
'*
2 cent, par demi kilo vif. Les porcs de
le ou les assassins eurent tôt fait de la re-!
(
P
choix
se sont détaillés à 79 et 80 cent,
joindre.
Elle dut subir le même sort queô"
s
'
son
malheureux mari, et c'est à 500 mètress •; On cote : bons porcs de l'Ouest, de 74 à
d
77 c. et ceux du Centre, do 72 à 76 c. Lo
de
son haliitation qu'elle a été retrouvéee
c
(demi kilo vif.
criblée également de coups de faucille.
Le
vol
est
sans
doute
le
mobile
du
crin
me,
puisque tout a été bouleversé dans la
a
n
maison. On ne sait pas encore la somme
9qui a été emportée, mais en suppose quee
e n II est beaucoup de lois faites par les hom^Buisson, qui avait vendu, il y a peu de
1
e mes que quelques personnes enfreignent
temps, une jument, et qui possédait quel- a
I- avec impunité, mais il n'en est pas de
'J
ques
économies,
a
attiré
sur
lui
la
convoin
1
i- même
des lois de la nature. Celui qui, soit
tise de l'assassin.
y
volontairement
soit par ignorance, viole
. On croit que lo crime a été commis dans q
1
is quelque loi de ta nature, doit, tôt ou tard,
la
soirée
do
samedi.
Les
préparatifs
du
s
1
u s'en repentir. Cependant nous sommes fous
repas du soir indiquent bien que les viotie
i- exposés
à commettre des erreurs d'alimen1
mes étaient sur le point de se mettre à tat
Itation,
et il en résultera, tôt ou tard, des
ble quand est, survenu l'assassin. C'est
s
st souffrances,
qu'il faut alors faire disparaî\donc quatre jours après que le crime a
a • gttre au moyen de la Tisane américaine des
été découvert.
Shakers. Si vous avez quelque désordre do
Une lutte féroca s'est sûrement engagée
ï
je la
digestion — douleurs après les repas,
f
entre
la
victime
et
son
bourreau,
car
Buisr
s- maux de tête, attaques bilieuses, ou constif
qui avait à peine, cinquante-huit ans,
ï
'son,
s, pation —■ ce tonique végétal vous en dé(
était
d'une forte corpulence. Sa femme,
1
;
e, barrassera
rapidement et sûrement,
âgée de quarante-cinq ans, avait, ainsi
si
« Depuis dix-huit mois », écrit Mlle Ma(
1
.que nous le disons plus haut, déjà fait
lt rie-Thérèse Bière, 32, allée de Barcelonno,
plusieurs
centaines de mètres, quand l'as'
s- '«à Toulouse, « je souffrais de douleurs à
sassin,
voyant
le
danger
d'être
dénoncé,
<
é, 1l'estomac. C'était avec peine que je digése rua sur elle avec la même sauvagerie.
e! 1rais même une petite quantité de nourrij Le parquet do Nyons s'est transporté sur
II- -1ture. J'ai perdu complètement l'appétit. En
les lieux.
■
(
1outre, j'étais atteinte de maux de tête et de
Une
enquête
minutieuse
est
menée
et
il
il
vertiges,
d'excès de bile, et d'une constipa1
(
ne serait pas impossible que d'ici peu, d'àtion opiniâtre.
a.
]près les nombreux indices reconnus, le ou
iu 1 « Alors j'ai fait, usage de la Tisane améles assassins tombassent, entre les mains rieaine
des Shakers. Deux flacons m'ont
1
ls
do la justice.
•
1rendu à la santé. Maintenant, j'ai bon ap1pétit ; je digère bien, mon sommeil, autreBel exemple do mutualité. — Il nous est
st 'fois si agité, est redevenu bon, et je n'ai
donné par la Suisse.
'
;plus ni maux de tête ni étourdissenients. 1
A Evilard, près de Berne, un instituteur
jf
Comme remède contre les douleurs après
:
lit planter par ses élèves — il y a trente
te les repas, maux de tête, langue chargée,
ans de cela — toute une allée dè cerisiers.
•s_ attaques bilieuses, insomnies, constipation,
Ses successeurs procédèrent à la vente des
'et manque de forces, la Tisane américaine
es
récoltes et en versèrent le montant chaque des Shakers n'a pas de rivale ! Demanue
année, au fonds des promenades et excur-. dez à M. Fanyau, pharmacien à Lille, sa
ir
sions scolaires.
brochure gratuite.
"
Cette année, la vente a produit une somme de cent soixante-deux francs. C'est une
r?ë
rente coquette.
44»
■
—
'
j
! rnsrchà aux bestiaux lie la
LOIS IMPITOYABLES
LA VUE C'EST LA VIE
i BULLETIN FINANCIER
RAON-L'ETAPE-LA-N EU VE VILLE
E
Aux pêcheurs à la ligne. — A l'occasion
,jj
d'un incident qui s'est produit ces jours
rg
derniers à propos du barrage de l'usine
.
Mettenett et Cie, le président do la Socié^'
té des, pêcheurs à la ligne de Raon-l'Etape
La Neuvevillo croit devoir prévenir une
I0 a de
'
P^us 'es Pêcheurs faisant partie ou
u
non de ce groupement qu'il leur est abso,0
luroent interdit do manœuvrer ou de dépla-"
f"
cer la vanne, les aiguilles, couvre-joints de
00
<™
barrage et que ceux qui contreviendront
.
à cette défense sont passibles de poursuiu
~
tes.
ATTENTION AUX VOLEURS!I!
Chacun est constamment sous la mena,ace du vol. Il n'est personne qui n'éprouve
ve
une incniiétude à l'idée de trouver, en renmtrant chez lui, le coffre-fort cambriolé,
lé,
l'argenterie enlevée, les objets d'art saciccages.
L'UNION, moyennant une prime modiiïque, calme cette appréhension et nous gararantit contre des méfaits incroyables,
S'adresser à MM. Faivre d'Arcier et fils,
ls,
7( rue de la RavinelJe, Nancy ; Rodrigue,
ie,
à Xivry-Circourt ; Paul Spire, à Lunéviile;
le;
Trévis, à Toul ; Samson, à Bar-le-Duc: ;
Thouvenin, à Comrnercy ; Dominé, à Dunmsur-Meuse ; Odin, à Verdun ; Léonard, à
Epinal ; George, à Mirecourt ; Sauvage, à
Neufchâteau ; Jourdan et fils, à Remireremont ; T Léser ant, à Saint-Dié
Paris, 17 août.
Quelques journaux ayant manifesté des
craintes en ce qui concerne l'issue des
hé
pourparlers au sujet du Maroc, Té marché
a manifesté quelque indécision dès le commenoemeint de la séance.
Notre 3 % abandonne une fraction aà
94 <2. Les Fonds d'Etat étrangers se tasissent également : l'Extérieure à 94 40, le
Turc unifié à 93 70, et, parmi les Rusises,
le Consolidé à 97 30, le 3 % 1891 à 84 15,
le 4 \/ 1909 à 100 97. Brésil, soutenu à 88 50.
50.
Les établissements de crédit sont réali5fi"
ses, Ta Banque de Paris revient à 1.735,
ào
l'Union Parisienne à 1.168 ; Crédit Lyon-'
)n
nais L505, Mobilier 675.
Chemins de fer français soutenus. Nord
>rd
1.600, Lyon 1.172.
Chemins espagnols stationnaires.
On est très calme au compartiment de
la traction, de même que dans le groupe
des valeurs d'électricité,
En Industrielles russes, la Sosnowiee recule à 1.489, Bakou 815.
Le Rio Tinto débute à 1.C95 et termine
à 1.698 contre 1.706.
En banque, les mines d'or s'affaiblissent
de nouveau.
Diamantifères en réaction : de Beers
e
451, Jagersfontein 184 50.
En méitellurgiques russes, la Maltzoff
Jlff
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cris d'émerveillement.
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A ce moment, la tête de M. Robert se
montra dans l'entrebâillement d'une portiere.
— Entrez, mon ami, fit la proxénète en
tenant admirablement son rôle. Veus n'êtes pas de trop ici. Mademoiselle a été
exacte. Elle nous apporte les fournitures
commandées.
— Cette parure vous sied à ravir. On dirait une jeune bacchante.
— Oui, c'est une nouveauté.
— Et vous avez la facture, mademoiselle ? demanda Gaston Robert, en se rapprochant encore.
— Oui, monsieur. Je l'ai apportée, madame n'ayant pas encore de oaaapte ouvert à la maison.
Vivement la matrone approuva :
— Vous avez bien fait. Si vous voulez
me la montrer.
La jeune fleuriste tira une enveloppe de
sa poche.
Mme d'Anvers jeta un coup d'œil sur
le total, «t rendant le papier à la jeum
Slle.
— C'est parfait ! 9i vous voulez m'attendre un testant, je vais vous régler.
Bt, après avoir tancé un regard d'intelligence à son complice, la mégèa-e disparut.
Robert était seul avec Lucie.
Asseyez-vous, mademoiselle, fit le quin«f««géoawe avec un seuri» engagerait.
Veus devez être fatiguée.
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du matin ; arrivée a Paris à
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jours du 10 juilet au 86 septembre). — Départ de Paris à
10 h. 15 du soir • arrivée à Gérardmer à 8 h. 31 du matin. —
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soir ; arrivée à Paris à 5 h. du
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du cristal. Mais il a un défaut... il est
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trop gros et doit coûter terriblement cher.
— Vous êtes un bon camarade. Je m'en— Allons toujours voir, dit Jean. Je ne
nuierais tout le long de la route.
eux pas lésiner pour la corbeille de Mlle
Parvenus devant la maison de Mme
ucie Guillon, future première de la mai- d'Anvers, les deux jeunes gens se séparèson Dervil, en apportant en dot une forrent. Lucie gagna l'escalier, tandis que
tune respectable.
Jean, allumant une cigarette, commen— Si vous vous moquez de moi I... inter- çait sa faction sur le trottoir opposé.
rompit Lucie en le menaçant du doigt .
Au coup de sonnette de la fleuriste, la
— Mais non 1 Mais non 1 Allens voir ce porte s'ouvrit aussitôt,
NET
joyau fameux.
— C'est vous, chère petite, dit tel. voix
Les deux jeunes gens, le rire aux lè- mielleuse de l'hôtesse. Vous êtes d'une
vres, gognèrent une autre devanture. De exactitude admirable.
Elle so retourna, très rouge. Jean était là, ils s'arrêtèrent devant des fourrures
Et elle poussa la jeune fille dans une
merveilleuses. Lucie, s'en faisant un jeu,
devant elle.
chambre à eoucher, trop luxueuse, encom— Oh ! vous ! monsieur Jean. Je ne désignait sans interruption tout ce qu'elle brée de sièges moelleux et omée de deux
m'attendais pas à vous renconter à cette, trouvait de son goût. Une maison de lus- grandes psychées. Dans un angle, le lit
tres électriques attira ensuite leur attenheure-ci.
tion.Les deux amoureux désignaient ce qui se dissimulait, très orné, lui aussi comme
Le jeune homme sourit.
tous les meubles, de guipures, de rubans,
— Vous devriez compendre que je ne pou- ferait bien dans l'antichambre, le salon, du plus mauvais goût. La tonalité générale
la salle à manger, les chambres, bref, Us de cette chambre était bleue.
vais pas résister au plaisir de vous voir,
ce soir. La privation sera assez pénible, s'amusaient tels deux enfants qui jouent
A la pensée qu'elle était occupée ordidemain, toute la journée J'ai profité de au Monsieur et à la Madame
nairement par la massive personne qui
Une dernière station devant les joliesses était sa cliente, Lucie eut un sourire amul*ai>sence de mon père et me voilà 1
— Mais vous n'étiez pas rue d'Uzès, lors- de la manufacture de Sèvres, et Lucie s'é- sé.
cria :
que je suis sortie î
— Voulez-vous encore avoir l'obligeance
— Mais il va être cinq heures. Il faut de défaire votre chapeau, mademoiselle,
Jean sourit.
galoper,
si
je
ne
veux
pas
être
en
retard.
— Je vous demande pardon, j'y étais.
pour que je fasse bien mon choix, fit Ghis— Voulez-vous que nous prenions une laine, doucereuse.
J'étais caché par un vantail. Je voulais
voiture
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fit
Jean.
Un
éclat
de
rire
l'arrêvous surprendre.
— Oui, madame, mais je voudrais bien
— Vous avez eu une fameuse idée. Nous ta.
ne pas me décoiffer. J'ai une autre course
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à faire chez une cliente. D'ailleurs, j'ai
des boulevards. Cela vous amuse, j'espère. que je n'aurai plus de jambes. Jusque-là, pensé à vos reeommandations et j'ai adopJean dissimula un mouvement d'indif- gardez votre argent. Vous allez voir com- té le chignon bas, préféré de Madame vome je sais marcher quand je veux.
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férence.
S'engottffrant dans la rue Taitbout, la
— Je crois bien 1 C'est si joli. Nous alLa matrone avait découvert le carton ;
lons faire notre choix, pour notre futur fleuriste se mit à arpenter le trottoir com- elle aperçut la grappe de raisins et la sorti* :
mariage. Commençons d'abord par la ba- me une véritable matcheuse,
Jean suivait son amie en ri'ant. Toute
grye. Quelles sont vos préférences : perles,
— Mai* ceci n'est pas peur moi, sans
rouge, Lucie se retourna brusquement.
émeraudes, diamants, rubis ï
doute. Je n'avais pas commajadé de fruits.
—
Est-ce
que
vous
m'accompagnez
rue
— Rien de tout cela : le saphir. J'en vois
C'eat beaucoup trop vieux.
a'Âumale î
m tout près dlci, qui est merveilleux. On
— Excusea-«#i, madame. Ces raisins
— Mais oui |
nous «t*Ht rentrés aujourd'hui. C'est la
Feuilleton de l'EST REPUBLICAIN.
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— C'est la chaleur ! Il est vraiment pénible de travailler d'un temps pareil.
Lucie haussa insoucieusement les épaules.
— £ah ! quand on n'a pas de rentes !
Et puis, mes travaux ne sont pas des plus
pénibles. Il y en a de plus malheureux
que moi I
— Certes, car vous possédez des trésors
inestimables !
— Ah I je suis charmée de l'apprendre,
mais ses trésors-là ne m'ont pas fait vivre, jusqu'ici.
— Ils font sans doute le bonheur d'un
bel amoureux avec qui on aime à se perdre
dans les haies, le dimanche...
Cette fois, Lucie rougit. Elle avait compris.
Froidement, elle répondit en regardant
le vieillard bien en face :
— Je n'ai pas d'amoureux, et si j'en
avais un, il ne penserait pas à m'accompagner le dimanche. Mes parents suffisent
à 1 emploi.
— Ne vous fâchez pas. J'ai voulu plaisanter. Ainsi, pas le moindre petit consin celui avec lequel on effeuille les premières
marguerites.
— Un cousin l Certes, j'en ai tm, que
4
] aime de tout mon cœur.
— Quel âge à ce chéruhin ?
— Soixante-sept ans, répondit fort sérieusement la fleuriste.
M Robert se mit à rire et prit une des
mams de la fleuriste dans les siennes — Oh ! la moqueuse ! Vous me taquin»
nez
mais je vous rendrai la pareille
'
Froissée nar ee contact inattendu Lucie
se dégagea prestement.
' ^«e
— Est-ce que Mme d'Anvers va
encore tonsrtemps dit-elle j*P4 „L 1
course » faire, puis à rentrer au maga-
1
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HOMME ^* ?
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i
va revenir. Elle a sans doute
chercher de la monnaie.
/.herW'
Et se rapprochant jusqu'à tou"'
ne fille, Robert reprit :
f^t P
— Ainsi, le travail ne vou
e rW
r
peur. Il ne vous plairait pas a /ueW'
adulée, parée comme une reine.
cou,a la tête.
(é
— Ma foi, non. C'est une i«BB
m'est pâmais venue.
en
Et un rire fusa de ses lèvre»
Le tentateur continuait : _
w
r
— Mais si vous rencontriez - ^
route quelqu'un qui réaliserait
g
vous épousant, vous l'aimeriez.
sûr, ne serait-ce que par re^'"^^
Décidément, le tour de la col1eune'
déplaisait de plus en plus à,i°.Jd'A»^
qui se leva pour appeler Mme f0B<js
Mais, à sa grande terreur, e»^ n,p
que la porte était fermée à cteivait plus y avoir de doute pou»
l'avait attirée dans un g««-aPemC)tlV<!t,,
Alors, elle eut un suprême *
rtr»
de courage. D'un bond elle s eu» -y^*
fenêtre, et de son poing i?""rnt d^'J
glace dont les débris tombe»»
rue
, n&-^
— A moi ! Au secours i P
«
^
même temps.
'arrêtf 1
s
A ce moment, une voiture
re:,
vant la maison. Dix seconde»
porte volait en éclats.
àe^ 4
Un homme bondit au miR^ pun bre et saisit Robert à la n^^ants,
mouvement de ses bras
JJ
jeta au milieu de la ebainh^ |jj
— Ah 1 c'est toi, Robert *
^pif
VU swhorneur de filles- 11 ^otu ne mourrais que de m an» J^^M
A cette voix, rtnflostnci ^&tff
corps secoué comme si ^w
trique l'eût atteint
ru^'
A
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