LA FONDATION LEENAARDS SOUTIENT QUATRE

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LA FONDATION LEENAARDS SOUTIENT QUATRE « NESTED PROJECTS » Les Nested projects sont des projets de recherche de taille modeste qui exploitent et complètent une parGe des données issues d’études épidémiologiques menées à large échelle nommées études de cohortes. Par exemple, l’étude CoLaus (pour Cohorte Lausannoise) étudie les facteurs de risques cardio-­‐vasculaires de 6’738 Lausannois âgés de 35 à 75 ans. Projet lauréat 1 : Comparaison in vivo / in vitro de la réponse biologique humaine à une exposiGon idenGque de nanoparGcules. Ce projet vise à explorer, simultanément in vivo et in vitro les réponses de volontaires humains (in vivo) et des cultures cellulaires 3D (in vitro) prélevées dans le nez de ces mêmes volontaires, à des nanopar>cules, respec>vement par inhala>on et dépôt. La corréla>on recherchée sera basée sur la mesure du stress oxyda>f mesuré dans le sang et le condensat de l’air exhalé (in vivo) et dans les cellules (in vitro). Pour des cultures cellulaires 3D, l’intégrité et la cohésion épithéliale seront appréciées par la mesure de la résistance électrique transépithéliale. Les radicaux libres, un marqueur du stress oxyda>f et le nombre de nanopar>cules seront mesurés par des techniques op>ques. La capacité de pénétra>on des nanopar>cules à travers la couche cellulaire sera également mesurée. Si les réponses biologiques évaluées dans des cultures cellulaires nasales 3-­‐D sont les mêmes que les réponses des humains après des exposi>ons d’inhala>on, cela permeLra d’u>liser les cultures cellulaires en remplacement de modèles animaux et de contrôler directement les exposi>ons humaines. Elle ouvrira de nouvelles perspec>ves dans l’explora>on in vitro de la toxicité cellulaire des nanopar>cules. Dr Nastassja Lewinski, chercheure, groupe ParGcules et Santé, InsGtut universitaire romand de Santé au Travail (IST). Après avoir obtenu un doctorat en génie biologique en 2011 à l’Université Rice à Houston, TX, USA, le Dr Nastassja Lewinski ob>ent une bourse Whitaker Interna>onal Scholar qui lui permet de développer un axe de recherche dans le domaine de toxicologie de l’inhala>on à l’IST à Lausanne. Le Dr Nastassja Lewinski est aujourd’hui chercheure dans le Groupe Par>cules et Santé de l’Ins>tut universitaire romand de Santé au Travail (IST). Avec le Prix Leenaards «Nested Research Projects», Dr Lewinski commence un projet avec pour but de comprendre les effets sur la santé liés aux nanomatériaux aérosols. Ce projet met en lien deux aspects de ses recherches: le premier, ses expériences sur l’op>misa>on de la concep>on de médicaments à base de nanomatériaux et le second, l’évalua>on des risques des contaminants environnementaux émergents. !
Prof. John-­‐David AUBERT, MD, Prof. associé. Ses études de médecine achevées en 1981 à l’Université de Lausanne, John-­‐David Aubert se spécialise en pneumologie (CHUV) puis en tant que post-­‐doctorant au Laboratoire de recherche pulmonaire St-­‐Paul, à Vancouver (Prof JC Hogg). Il ob>ent ensuite son FMH de spécialiste en médecine interne et maladies respiratoires en 1994. Médecin associé dès 1999, il devient médecin adjoint du service de pneumologie du CHUV en 2002, ainsi que du Centre de transplanta>on d’organes en 2004. Il est responsable de l’unité de transplanta>on pulmonaire dans le cadre du Centre Universitaire romand de Transplanta>on ainsi que membre de la commission scien>fique de la société suisse de pneumologie qu’il a présidé de 2000 à 2008. Les recherches de John-­‐David Aubert concernent les maladies fibrosantes et dégénéra>ves des poumons. Son intérêt se porte sur les mécanismes impliqués dans la fibrose des voies aériennes et des alvéoles respiratoires. Dr Michael Riediker, MSc, DSc, PD, OH-­‐SSHT (IOHA) Michael Riediker ob>ent son Doctorat en sciences naturelles (hygiène de l’environnement) à l’école polytechnique fédérale de Zürich (ETHZ). Il est aujourd’hui à la tête du groupe de recherche «par>cules et santé» à l’Ins>tut de Santé au Travail à Lausanne et directeur des opéra>ons, SAFENANO, à l’IOM Singapour. Présent dans de nombreux projets interna>onaux de recherche sur les risques des nanomatériaux, il est membre du conseil scien>fique de centres de recherche européens et conseiller poli>que. Co — éditeur du compendium du NanoSafetyCluster européen, il est également membre du comité de rédac>on de «Nanotoxicology» et «Par>cle and Fibre Toxicology». Les recherches de Michael Riediker portent sur les propriétés des nanopar>cules, leur interac>on avec d’autres polluants de l’air et du bruit, ainsi que la façon dont elles influent sur les systèmes cardio-­‐vasculaire et pulmonaire. Il s’intéresse également aux stratégies d’évalua>on des risques et à l’améliora>on des mesures de préven>on. Projet lauréat 2 : IdenGficaGon de marqueurs objecGfs du trouble de conversion tant cliniquement que par neuroimagerie. Ce projet aborde le lien fondamental entre le corps et l’esprit de l’être humain. Il concerne les mécanismes cérébraux qui sont à l’origine de symptômes dits psychosoma>ques. Le trouble de conversion (le CD), autrefois nommé «l’hystérie» est une maladie neuropsychiatrique actuellement toujours bien présente et fréquente, qui reste par>culièrement déconcertante et présente plusieurs défis scien>fiques. Le projet de ceLe équipe est d’étudier les mécanismes neuronaux é>ologiquement responsables des symptômes physiques dans ceLe maladie. Il se propose d’explorer l’hypothèse du stress dans le CD, d’iden>fier les marqueurs de la maladie (tant cliniquement que par neuroimagerie) et d’iden>fier des facteurs pronos>ques fiables. CeLe approche combinera des techniques cliniques, biologiques, géné>ques avec de la neuroimagerie. En par>culier, une étude par imagerie par résonance magné>que fonc>onnelle (fMRI) explorera les régions cérébrales ac>vées lors d’une émo>on stressante, chez des pa>ents souffrant de CD, en comparaison à des sujets contrôlés. De plus, les hormones de stress (cor>sol) et les profils géné>ques seront évalués dans les deux groupes. Les données cliniques concernant les facteurs de stress (trauma>sme dans l’enfance, évènements de vie difficiles récents) seront systéma>quement évaluées. Enfin, l’évalua>on des symptômes physiques se fera pour la première fois par des mesures de mouvement objec>ves. Ces mesures, associées à des mesures d’IRM structurelles de dernière généra>on, seront u>lisées pour iden>fier des biomarqueurs de la maladie et un suivi longitudinal des pa>ents permeLra de définir des facteurs pronos>ques. Dr Selma Aybek. La neurologue Dre Selma Aybek effectue ses études de médecine à l’université de Lausanne (1992-­‐1998). Ayant obtenu son titre FMH, elle rejoint l’Institut de psychiatrie de Londres (2007-­‐2011) pour approfondir ses connaissances en neuropsychiatrie clinique. Elle participe à des projets de recherche en neuroimagerie visant à élucider les mécanismes qui sous-­‐tendent la maladie neuropsychiatrique paradigmatique qu’est le trouble de conversion. En 2011, elle ouvre une consultation spécialisée pour les patients atteints de ce trouble dans le service de neurologie du CHUV puis à Genève, au sein des HUG à Genève depuis 2013. La Société britannique de Neuropsychiatrie a validé ses travaux par la remise du prix Lishman 2013. L’Université de Genève lui a également attribué la distinction boursière d’excellence. Le Fonds National de la recherche suisse vient de lui accorder une bourse de 3 ans (Ambizione) pour ses travaux centrés sur les maladies neuropsychiatriques. Dr François JG Vingerhoets, FMH, François JG Vingerhoets ob>ent son doctorat en médecine en 1987 et sa spécialisa>on FMH en Neurologie en 1991, à Lausanne (UNIL et CHUV). Il est «research fellow» au centre des maladies neurodégénéra>ves de l’Université de Colombie-­‐Britannique, Canada de 1992 à 1995. Chef de clinique du Service de Neurologie des HUG de 1995 à 1998 il y ob>ent son Privas Docent UNIGE en 2000. En 1998, il rejoint le service de neurologie du CHUV, et y prend la responsabilité du programme Vaud-­‐Genève de chirurgie stéréotaxique des mouvements anormaux. Il est actuellement professeur associé à l’UNIL depuis 2003 et médecin-­‐chef au service de neurologie du département des neurosciences cliniques depuis 2010. Auteur de près de 200 publica>ons scien>fiques, membre de comités scien>fiques et comités éditoriaux de journaux scien>fiques interna>onaux, ses intérêts principaux sont les troubles du mouvement, la s>mula>on cérébrale profonde, la neuroimagerie des parkinsonismes, et les troubles du comportement associés. Prof. Patrik Vuilleumier MD -­‐ Neurologist FMH, director of Brain & Behavior Laboratory at University of Geneva. Le professeur Patrik Vuilleumier a effectué ses études de médecine à Genève, puis s’est spécialisé en neurologie à Lausanne, Genève et Paris. Après une forma>on clinique de neurologue (FMH), il poursuit une ac>vité de recherche en neurosciences cogni>ves à l’Université de Californie à Davis de 1997 à 1999, puis à l’University College de Londres de 2000 à 2002. Il est actuellement professeur en neurosciences à la Faculté de Médecine de Genève où il dirige un groupe de recherche au Centre Médical Universitaire (CMU), spécialisé dans l’étude des fonc>ons du cerveau humain et des malades neurologiques, au moyen de techniques de neuroimagerie. Ses domaines de recherche concernent les mécanismes cérébraux des émo>ons et leurs influences sur d’autres fonc>ons mentales. Il est auteur de plus de 200 publica>ons scien>fiques débouchant sur plusieurs prix interna>onaux. Directeur du Centre Interfacultaire de Neuroscience de l’UNIGE il est également codirecteur du «Brain and Behaviour Laboratory» (BBL) de l’UNIGE, et membre du Centre na>onal de recherche (NCCR) en sciences affec>ves. Dr Alexandre Berney, PD & MER, médecin adjoint, Service de psychiatrie de liaison, UNIL-­‐CHUV
Après avoir obtenu un doctorat en médecine en 1994 à l’université de Zürich, le Dr Alexandre Berney accomplit une forma>on de spécialiste en psychiatrie et psychothérapie au département de psychiatrie du CHUV à Lausanne. En 2001, il rejoint la Neurobiological Psychiatry Unit de l’Université McGill à Montréal, Canada, où il effectue des recherches dans le domaine des troubles anxieux et de l’humeur en u>lisant des techniques de neuroimagerie et en étudiant les effets comportementaux de la s>mula>on cérébrale profonde chez des pa>ents parkinsoniens. Il est nommé médecin-­‐cadre au service de psychiatrie de liaison du CHUV en 2004, privat-­‐docent et maître d’enseignement et de recherche à la Faculté de Biologie et de Médecine de l’Université de Lausanne en 2006 et reçoit le prix du jeune chercheur de la société suisse de psychiatrie biologique. Il est auteur de plus de 50 publica>ons scien>fiques. Sa recherche est soutenue par le Fonds na>onal suisse de la recherche scien>fique et la ligue suisse contre le cancer. Projet lauréat 3: Extension de l’étude clinique « AGIR » grâce à la culture de cellules musculaires primaires. Ce projet transla>onnel repose sur l’étude clinique nommée AGIR (Pour AGe et Insulino-­‐Resistance) soutenue par le Fonds Na>onal de la Recherche Suisse. Il s’agit de comprendre les liens entre l’ac>vité physique des seniors et le diabète de type II. CeLe étude propose à des sujets sédentaires âgés entre 60 et 80 ans de par>ciper à un programme d’exercice physique de 4 mois. L’étude AGIR est actuellement au milieu de son recrutement et les effets observés sont promejeurs avec des amélioraGons moyennes de 20 % de la capacité d’exercice et de 30 % de la sensibilité à l’insuline. CeLe étude comporte des analyses de cellules musculaires prélevées par biopsie. Comme la quan>té de matériel obtenu est limitée, les chercheurs doivent faire des choix dans les mesures exécutées. Les requérants veulent donc meLre en culture les cellules primaires de muscle squelewque pour augmenter le matériel disponible et pouvoir faire davantage d’analyses. Grâce au sou>en de la Fonda>on Leenaards, un médecin chercheur et un biologiste rejoindront à l’étude AGIR dans sa deuxième moi>é et permeLront de faire des mesures plus étendues grâce aux cultures de cellules musculaires. Dr Francesca AmaG. La doctoresse Francesca Ama> travaille actuellement au Département de Physiologie de l’Université de Lausanne comme médecin chercheur en tant que Maître assistant Ambizione soutenue par le Fonds Na>onal suisse. Après une forma>on de médecine interne (FMH) et de médecine du sport en Suisse, elle a obtenu un Master en recherche clinique aux États-­‐Unis et un Doctorat (PhD) en sciences centré sur le métabolisme. La Dre Francesca Ama> dirige un groupe de recherche dédié à la compréhension des mécanismes menant au diabète de type II et notamment aux dysfonc>ons du métabolisme du muscle chez les seniors. Elle a également une ac>vité clinique au sein du CHUV en Diabétologie et en Médecine du Sport, avec notamment une consulta>on appelée «Diabète et Sport» dédiée soit aux pa>ents diabé>ques faisant du sport de haut niveau qu’aux pa>ents ayant des maladies métaboliques désireux d’ini>er la pra>que d’une ac>vité physique. Dr Karim Bouzakri. Le docteur Bouzakri a reçu son doctorat à l’Université de Lyon. Il a étudié la signalisa>on d’insuline dans le diabète de type II sous la direc>on du docteur Vidal. En 2004 il rejoint le groupe de Pr Juleen Zierath au Karolinska Ins>tute à Stockholm, où il passe 2 ans de postdoctorat. Pendant ceLe période il publie une série d’ar>cles importants décrivant les défauts moléculaires qui sont à la base de la résistance à l’insuline dans le muscle squelewque, pour le diabète de type II et les pa>ents aLeints de syndrome métabolique. Le docteur Bouzakri est actuellement en poste à l’Université de Genève, où ses connaissances sur le muscle squelewque sont complétées par l’étude de la cellule bêta pancréa>que sous la direc>on du Pr Philippe Halban. Ceci a mené à un nouveau projet examinant l’impact de résistance à l’insuline sur la fonc>on cellulaire bêta et la survie, avec une priorité sur la communica>on entre le muscle squelewque et le pancréas. Projet lauréat 4 : Comprendre le rôle des fibroblastes tumoraux dans le développement de résistances aux traitements du mélanome malin. Les thérapies contre le mélanome malin ont connu une évolu>on spectaculaire au cours des deux dernières années grâce à une meilleure compréhension des mécanismes biologiques de base impliqués dans la progression tumorale. Ces nouveaux traitements permeLent une améliora>on sans précédent de la vie des pa>ents. Néanmoins, bien que l’améliora>on soit très significa>ve, l’efficacité reste limitée dans le temps et pra>quement tous les pa>ents succombent finalement à la maladie. Par conséquent, il existe un besoin médical urgent de mieux comprendre les mécanismes de résistance. En se basant sur des résultats obtenus dans son laboratoire, ceLe équipe postule que l’un des mécanismes par lesquels les cellules tumorales développent une résistance est en lien avec des modifica>ons au sein du microenvironnement tumoral (TME). Les cellules les plus fréquentes de la TME, les fibroblastes tumoraux (CAF), pourraient aider les cellules cancéreuses à résister à l’inhibi>on de la tyrosine kinase BRAF. Le but ul>me est de lier des altéra>ons spécifiques dans les profils des cellules tumorales et des CAF à une modifica>on de sensibilité au traitement. Comprendre la complexité des interac>ons entre les cellules de mélanome et les CAF avant le traitement et après une rechute pourrait faire la lumière sur de nouvelles cibles thérapeu>ques poten>elles, permeLrait d’élaborer des combinaisons de médicaments ra>onnelles pour finalement augmenter la survie des pa>ents aLeints de mélanome métasta>que. Dr Olivier Michielin. Le Prof. Olivier Michielin ob>ent un Diplôme de physique à l’EPFL en 1991 et un Diplôme de médecine à l’Université de Lausanne en 1997. Il poursuivit sa forma>on avec une thèse PhD sous la direc>on des Prof. J.-­‐C. Cerowni (Ins>tut Ludwig) et Mar>n Karplus (Université de Harvard et de Strasbourg, Lauréat du Prix Nobel de chimie 2013). Nommé Chef de Groupe de l’Ins>tut Suisse de bio-­‐informa>que en 2002 et Professeur assistant en 2004 dans le cadre d’une bourse SCORE du SNF, il ob>ent son Privat-­‐docent en 2005. Il termine en parallèle une forma>on d’oncologue médical spécialiste FMH en 2007 et devient responsable de la consulta>on du mélanome au sein du Département d’oncologie. En 2010, il est nommé professeur associé à la Faculté de Biologie et Médecine de Lausanne. Son ac>vité est principalement concentrée sur l’oncologie moléculaire transla>onnelle, avec le développement de nouvelles thérapies basées sur des techniques de bio-­‐informa>que développées dans son laboratoire, ainsi que sur le développement d’essais cliniques dans le mélanome. Dr Douglas Hanahan. Le Professeur Hanahan est Directeur de l’Ins>tut suisse de Recherche expérimentale contre le Cancer (ISREC) et Professeur d’oncologie moléculaire à l’EPFL. Il a obtenu un diplôme de physique au MassachuseLs Ins>tute of Technology et un doctorat en biophysique à l’Université de Harvard. Durant 20 ans, il a été professeur ordinaire de biochimie et de biophysique à l’Université de Californie à San Francisco, où il a également été membre du centre intégré de cancérologie ainsi que de la Société américaine du Cancer. Le Professeur Hanahan est pionnier dans le domaine de l’oncologie transla>onelle. Ses autres travaux portent sur la compréhension de l’appari>on et de la progression des tumeurs, ainsi que sur l’élabora>on de thérapies plus «ciblées». Il a été honoré de nombreuses dis>nc>ons: Fellow de l’Académie Américaine des Arts et des Sciences (2007), Membre de l’Ins>tut de médecine de la US Na>onal Academy des Sciences (2008), Membre de l’US Na>onal Academy des Sciences (2009) ainsi que Membre de l’Organisa>on moléculaire Européenne de Biologie (2010). Dr KriszGan Homicsko, MD-­‐PhD, chef de clinique, Service d’oncologie médicale, Département d’Oncologie, CHUV. Après avoir obtenu un doctorat en médecine à l’Université de Semmelweis à Budapest en Hongrie en 2001, le Dr Krisz>an Homicsko accomplit une forma>on spécialisée en biologie médicale à l’Université de Genève, puis un doctorat de MD-­‐PhD à l’Ins>tut suisse de recherche expérimentale sur le cancer (ISREC) dans le laboratoire du Prof Richard Iggo. En 2007 il commence une forma>on médicale post-­‐graduée, d’abord à l’Hôpital Universitaire de Dundee, Écosse et par la suite à l’Hôpital de l’Ins>tut Curie à Paris, France. Il rejoint le centre pluridisciplinaire d‘oncologie en 2009 pour achever sa forma>on d’oncologue médical. Il poursuit actuellement sa recherche fondamentale à l’ISREC dans le groupe du Prof. Hanahan, tout en assurant ses fonc>ons de médecin au service d’oncologie médicale à Lausanne. Le Dr Homicsko a récemment obtenu une bourse de l’UNIL pour les jeunes chercheurs académiques et il est co-­‐applicant d’une bourse Oncosuisse sur le développement de nouvelles combinaisons de thérapies ciblées pour le mélanome métasta>que. Dr Pierre-­‐Yves Dietrich. Après des études de médecine à Fribourg et à Genève, Pierre-­‐Yves Dietrich ob>ent son diplôme de médecin en 1982 et son doctorat en 1986. Il se spécialise en oncologie à Genève puis à l’Ins>tut Gustave Roussy (Villejuif, Paris), où naît sa passion pour l’immunologie. Il fonde le laboratoire d’immunologie des tumeurs à son retour à Genève en 1994. Il est actuellement professeur ordinaire à la Faculté de médecine de l’Université de Genève et médecin-­‐chef du centre d’oncologie des HUG. Clinicien réputé et enseignant apprécié, le Pr P.-­‐Y. Dietrich est un chercheur de renommée interna>onale dans le domaine de l’immunologie des tumeurs du cerveau. Pour toute informa>on complémentaire, contacter Katell Bosser, responsable de la communica>on [email protected] / 079 655 21 18