1 - Kiosque Lorrain

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Transcript 1 - Kiosque Lorrain

Jeudi 19 Août 1910 (fiHflon du matin)
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RÉDACTION ET ADMINISTRATION :
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(3 lignes)
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Direction et
Administration : 3,2-1
- Publicité :
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Total à ce jour .......... 1851 60
Ainsi que nous l'avions annoncé avanthier, l'Est républicain déclare, close, la
souscription en l'honneur de l'abbé Faller et de son Œuvre patriotique.
Celte souscription a passé nos espérances. Il convient d'en reporter le prix, d'abord sur le brave et digne curé qui a réalisé ce miracle de réunir tous les suffrages, sans distinction de parti, sans distinction de culte. Aussi cette liste de souscription est-elle unique. Nous pensons la faire
réimprimer dans l'ordre alphabétique. On
y verra, patriotiquement mêlés, les noms
«les notabilités politiques et sociales de toute la région. On y verra que des Israélites et des protestants ont voulu apporter
leur hommage au prêtre catholique.
Une mention spéciale est due aux souscriptions envoyées par la plupart des membres du conseil général de Meurthe-et-Moselle. Cer- messieurs se sont rappelés que
oe fut à ! ; ;3ue d'une cérémonie départementale, après l'inauguration de la ligne
de Thiaucourt, lo mois dernier, que le ministre des finances, M. Cochery, entreprit,
accoinp v.' .! ;■ rie plusieurs conseillers généraux, son
' b inage à Mars-la-Tour, préface (si J'u;s peut ainsi dire) du décret décorant ( abbé Faller.
Nous sommes donc heureux do reporter,
pour une part appréciable, le succès de
notre initiative, à la bonne volonté et au
concours de MM. les conseillers généraux
de Meurthe-et-Moselle, et de remercier tout
particulièrement son président, M. Albert
Lebrun de nous avoir adressé sa souscrip
tion. Enfin, en remerciant tous les souscripteurs, on nous permettra encore de
noter, spécialement, la souscription, de
M. Raymond Poincaré, qui a bien, voulu
accepter — on le sait — de présider, le l(i
août prochain, la cérémonie annuelle de
Mars-la-Tour.
Cette fête sera certainement une des plus
belles, une des plus émouvantes qui aient
jamais été célébrées sur cette terre historique.
V » EST RÉPUBLICAIN ».
LES GARÇONS^BOULANGEfîS
D'AUBAQNE
MARSEILLE. — La grève des ouvriers boulangers d'Aubagne, près de Marseille, s'est
terminée la nuit dernière, à la suite d'une
entente intervenue, en prés-inco du maire
ne cette localité, entre patrons et ouvriers
Boulangers.
Ces derniers ont repris le travail ce ma*m — Havas.
VIOLENT ORAGE SUR PRADES
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^ violent orage
Pr-wL A
l'arrondissement
f rades dévastant les récoltes.
degâts
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ît considérables. — Ha-
TIRAGES FINANCIERS
Ville de Paris 1876
n° 152.636 gasme 100.000 fr.
Le n» 13.226 gagne 10 000 fr
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1-000 fr .numeros suivants gagnent chacun
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BOUT,
10 août. — Le lieutenant Maillefcit, avijc le lieutenant d'artillerie Lorraine, est parti du camp pour exécuter unereconnaissance prescrite par le commandant de l'artillerie de siège sur l'emplacement de batteries situées à 12 kilomètres.
Le programme a été parfaitement exéculé. L'aéroplane volait à une altitude de
500 mètres environ.
Le vol a duré 25 minutes.
Un tir réel sera exécuté demain sur les
points reconnus. — Havas.
BUSTE RRIïFÔ'isH AVIAltlIR
ALLEMMO
BERLIN,
Total de la 9° liste
103 »
Total des listes précédentes 1748 GO
vas
RECOHH&!SSÂKCË~D'OFFICiERS
AVIATEURS
10 août. — Au com des expériences organisées aujourd'hui à l'aérodrome de Johannistal, l'aviateur Oscar Heim,
après un vol de 12 minutes, est tombé d'une
hauteur de 70 à 80 mètres de hauteur, avec
son appareil, dont le gouvernail s'était brisé.
L'aviateur a été relevé sans connaissance. Son appareil a été mis eji pièces. —
BERLIN. — L'aviateur Heim souffre d'un
étaSenLement du cerveau. Il paraît avoir de
graves lésions internes.
CHUTE D'UN AEROPLANE EN AMÉRIQUE. — NOMBREUX BLESSÉS
NEW-YORK. — IVaviateur Walter Brooklin, évoluait à Asbury-Park lorsqu'en descendaiït il voulut éviter la foule. Il fit un
mouvement trop brusque et capota.
L'appareil tomba sur le public, blessant
beaucoup de spectateurs.
L'aviateur a été mortellement blessé. —
lia vas.
UNE ÉMEUTE A BARI
(Italie méridionale). — Ce matin,
une foute considérable a manifesté dans
les rues de la ville de Bari contre l'augmentation dut prix des loyers.
Les manifestants ont parcouru les rues
en jetant des pierres aux propriétaires et
en tirant des coups de revolver aux agents
de police.
Malgré de nombreux appels au calme,
la foule, furieuse de l'attitude de la police,
a riposté et la police a chargé.
Deux manifestants on't été tués et il v a
eu une trentaine de blessés.
Les troupes ont réussi à rétablir l'ordre. —- Havas;
BARI
LA OHÉVE DE BILBAO
BILBAO (Espagne). —- Le ministre de l'intérieur a proposé aux patrons et ouvriers
mineurs une formule pour s'entendre au
sujet des journées de travail, en attendant l'ouverture des Cortès, auxquelles le
gouvernement proposera un règlement du
travail dans les mines.
Les patrons ont accueilli favorablement
la formule ministérielle, mais les ouvriers
l'ont refusée. — Havas.
MUTATIONS
classe (subsistances), 20e corps, est désigné par le ministre de la guerre.
M. Boulou.neux, capitaine à l'état-major
pa rticulier du génie de la place de Verdun,
est désigné pour te 3e régiment à Verdun.
Michel, capitaine au 5" bataillon d'artillerie à nied, passe au 39- ; Lizez, capitaine au 152e, passe> au 138 ; Robert, capitaine
au 150e, pas-e au 151*.
NOS ÉCQLËslîlLfTAIRES
Le nombre des élèves à admettre dans
'es écoles militaires en 1911, est fixée comme suit*:
Saint-Cyr. — Au tStre de l'infanterie métropolitaine ; 150, au titre de l'infanterie
coloniale ; 50, au titre de la cavalerie,
75.
Ecole de Saint-Maivent. — Au titre de
l'infanterie métropolitaine, 160 ; au titre de
l'infanterie coloniale, 40. — Havas.
FIN DE LA DERNIERE HEURE
L'axtrSmB abondance des matières noua oblige à remettre â
demain la suite de notre si intéressant feuilleton
LE COMTE DE PÉRAZAN
GRAVE INCIDENT
DANS LA PRESSE CATHOLIQUE
M. Albert MonnAot, rédacteur à la Libre
Parole, a été condamné à 12,000 fr. de dommages-intérêts envers les rédacteurs
de
rOuesi-Eelair, de Rennes.
Cette condamnation avait été encourue à
la suite d'une polémique entre le rédacteur
de la Libre Parole et M. Desgrées du Lou,
rédacteur en chef de l'Ouest-Eclair, journal catholique de la nuance du Sillon • et
dont M. l'abbé Trochu est administeutew.
Faute de payer ces 12,000 fr., M. Albert
Monniot allait subii la contrainte par
corps, et être mis en prison.
M. Henri Rochefort s'est présenté hier
soir à la Libre Parole, où il a remis à M.
le commandant Biot, secrétaire de ce journal, en présence de M. Albert Monniot et
d'un autre témoin, la somme de 12,000 fr.,
qu'il avait reçue pour éviter à M. Monniot
la contraine par corps. Cette somme a été
remise par M. le commandant Biot au caissier du- journal, qui la tient à la disposition
de l'avoué des poursuivants.
Cette affaire excite de vifs commentaires.
On juge sévèrement le jouamal catholique
l'Ouest-Eclair qui, pour une polémique,
.aurait fait mettre en prison un confrère !
60
DE
im?C7
:
3.09
Malgré (e mauvais temps
Camermann s'envole
Mercredi, vers six heures du matin, à
Jarville, M. lo lieutenant Camermann a fait
deux tours de piste, à une hauteur de 100
mètres.
Le temps était mauvais ; une pluie fine
tombait ; un voile humide embrumait le
champ d'aviation, noyait l'horizon vide,
ayant la matité d'une glace sans tain.
A sa descente, nous abordons l'officier
qui accepte d'aller faire aux environs de
Moncel une promenade en automobile, avec
M. Gustave Closse au volant.
La rapide- Pic-Pic, qui avait évolué la
veille entre Vaucouleurs et Colombey-lesBelles, pendant les manœuvres cyclistes
contre aéroplanes, emmena à grande allure M. Camermann et deux de ses camarades, notamment M. le lieutenant Vuillerme, son compagnon ordinaire de route.
En cours de route, nous interviewons les
voyageurs :
— Nous ne sortirons plus ce matin...
— A cause des averses ?
— D'abord... quoique, e ncette saison, un
rayon de soleil puisse subitement changer
la face des choses... Nous ne sortirons plus
avant la remise en état de nos appareils,
qui ont beaucoup souffert à Nancy.
— Comment cela ?
— Les hangars sont mal construits...
L'eau tombe du toit comme des trous d'un
crible. Les bâches ne joignent pas... constate M. le lieutenant Camermann, qui
ajoute :
— Je possédais un biplan Farman tout
neuf... Le voilà fichu... Les concurrents du
Circuit de l'Est sont aussi malheureux que
nous-mêmes... Aubrun est incapable de
partir ; il risquerait gros à tenter un vol :
les ailes de son monoplan ont cette formelà...
Et, d'un geste, notre interlocuteur dessine
dans l'air une ligne ondoyante.
— J'avais ce matin mon appareil chargé
d'eau... Il glissait difficilement dans l'atmosphère...
Pendant cette courte conversation, l'automobile est arrivée à Mazerulles, où se
trouve un groupe d'artillerie, venu sans
doute pour recevoir, le cas échéant, les
aviateurs à coups de canon :
— Hier, les aviateurs civils ont été fusillés à Rigny-la-Salle, constate un promeneur, mais ce matin, les aviateurs militaires seront mitraillés... »
Aucune manœuvre n'eut lieu, naturellement.
On revint le plus tranquillement du monde — 75 kilomètres à l'heure ! — boire fraternellement un café dans le jardin de la
Brasserie Viennoise, puis les officiers regagnèrent leur hôtel, afin de réparer ce
que l'on est convenu d'appeler le désordre
de leur toilette.
***
Il n'y a eu aucun vol d'aviateur civil,
mercredi matin. La foule circule, s'intéresse aux moteurs. Le petit jeu des pronostics
continue.
Sur les visages s'esquisse un sourire lorsque l'on voit la pluie cesser et un timide
soleil essayer de percer les nuages.
Lindpaintner et son appareil viennent
d'arriver par chemin de fer.
Blériût et Sommer
félicitent Legagneux
A midi, sous te hangar où il vient de terminer la vérification de son biplan Faaman, nous apercevons Legagneux. Il est
entouré d'un groupe d'hommes qui lui pro
digueat leurs compliments.
U y a là Blériot, l'héroïque vainqueur de
la -Manohe, il y a Sommer aussi, qui discute avec Lindpaintner pour régler tes
derniers préparatifs d'une envolée ; il y a
enfin des curieux d'aviation qui prêtent une
oreille attentive à La conversation :
— Tenez ! voilà les seuls instruments
avec lesquels je « fais » le circuit, déclare
Legagneux... »
Et il montre une petite boussole, pas
plus grande qu'une montre, et une carte
éditée par le Matin.
— Comment ! s'étonne Blériot, votre
boussole n'est pas affolée par le voisinage
de la magnéto ?
— Pas du tout...
— Mais vous êtes exposé néanmoins à
des erreurs, à des écarts, ajoute Blériot..,
Il ne suffit pas de se diriger vers l'Est, par
. exemple, en quittant Troyes, pour atteindre forcément à Nancy.
— Sans doute, reprend Legagneux ;
mais on retrouve toujours son chemin. »
Plein de belle humeur, il conte alors
l'extraordinaire étape de mardi :
— Je pars... Aubrun, sur monoplan file
comme une flèche... Car les monoplans,
vous te savez, monsieur Blériot, mieux
que personne, doublent aisément la vitesse de mon appareil... La carte est attachée sur mon genou à l'aide d'une jarretière... La boussole me pend au cou comme une médaille et je la consulte de temps
en temps.
— A quelle hauteur moyenne volez-vous,
interroge Blériot ?
— Est-ce que je sais ?... Nous ne possédons aucun des appareils enregistreurs en
usage à bord des aéroplanes militaires...
Je suis le relief du sol, mais dame ! il arrive qu'en franchissant une vallée qui se
creusait profondément, je pique en droite
ligne sur une colline escarpée ou sur une
montagne boisée... Je m'empresse de remonter... et je passe ! »
Tout cela est dit simplement, sans pose :
— Vous avez été victime d'une panne,,
aux abords de Wassv
questionne un officier présent à l'entretien...
— Une panne, non... corrige en souriant
Legagneux... Je suis descendu pour apprendre où je me trouvais... Ah ! c'est vraiment drôle, allez... J'atterris au beau mi-
lieu d'un champ... Personne autour de
moi ; mais, comme s'ils sortaient du sol,
je suis, en moins de cinq minutes, enveloppé par 300 ou 400 personnes...
Obstinément, Blériot revient à son idée :
— N'empêche que la boussole vous a conduit ailleurs qu'à Nancy ?
— Oh ! à Saint-Nicolas...Je me suis trompé de si peu, avoue l'aviateur... Et puis j'ai
profité de cette occasion pour refaire mon
« plein d'essence », si bien que je n'ai pas
le droit, en une telle circonstance, de condamner la boussole... »
N<!us demandons alors à Legagneux s'il
volera dans l'après-midi :
— Hum ! je n'ose prendre un semblable
engagement... »
MM. Roger Sommer et Blériot félicitent
Legagneux :
— La pluie ne vous arrêterait pas... Une
averse ne retarderait pas, certainement,
votre départ, demain matin, pour l'étape
de Charleville... Au revoir... »
jamais, jamais leurs boutiques et qui peinent d'un bout de l'année à l'autre avaient,
cette fois, clos leurs volets.
Au diable les préoccupations journalières. Tout est à l'aviation !
Lindpamimp sera-t-il prêt 7
Sous un abri, Lindpaintner cause avec
M. Sommer. L'aviateur est arrivé le matin
même. Son appareil repose sur le sol.
— Je ne pense pas être prêt pour cet
après-midi...
Telle est la réponse qu'il nous fait,quand
nous le questionnons sur ses projets :
— Pour comble de guigne, déclare Sommer... un mécanicien manque à l'appel...
Nous cherchons depuis le matin cet homme-là... Il a disparu...
L'occasion est trop favorable de connaître l'opinion de Sommer sur le Circuit de
l'Est :
Ce que dit Roger Sommer
—Vos pronostics, lui demandons-nous ? »
— Nous sommes à la merci du temps,
dit-il ; mais j'ai confiance... c'est une formidable épreuve et je serais heureux, pour
ma part, de contribuer au succès d'une
telie manifestation. »
Physionomie de doncy
L'animation en ville
Beaucoup de monde, malgré la pluie,
mercredi matin en ville. Les cafés présentent la plus vive animation. On remarque
quantité d'Alsaciens-Lorrains. Les cars allant vers Jarville sont bondés.
De nombreuses usines de ta ville et de la
banlieue ont fermé dès mercredi matin,
car on sait que depuis quelques jours leurs
ouvriers avaient demandé de prolonger la
durée de leur travail, afin de pouvoir profiter d'un congé pour assister aux expériences d'aviation.
Bien entendu, toutes les conversations
roulent sur les aéroplanes. Les noms de
Leblanc, d'Aubrun, de Legagneux sont sur
toutes les bouches.
Et notre patriotique population ne tarit
pas d'éloges sur la vaillance de nos officiers aviateurs.
Vers onze heures, il s'est produit une
légère accalmie et on s'est plu à espérer
dans un regain de beau temps.
Un spectacle unique, — La foule
en ville.
De mémoire de Nancéien, on n'a jamais
assisté à un spectacle pareil à celui qu'offrait notre ville mercredi, dès une heure
de l'après-midi.
C'était un véritable « exode », la ruée
de toute une foule
impatiente vers le
champ d'aviation de Jarville.
Heureusement il ne pleut plus, aussi ï'éî
claircie a-t-elle vaincu les dernières hésitations des habitants de la banlieue.
A la gare, des trains supplémentaires
débarque un flot pressé de voyageurs.
On estime à 30,000, à deux heures, lg
nombre des arrivées.
A
Une grande partie de ce monde se précipite vers les tramways descendant sur
le Point-Central et tâche de gagner la ligne de Jarville.
Mais les 20 voitures-remorques et les 40
motrices en service sur cette ligne n'arrivent pas à contenir tous les curieux d'aviation.
Aussi, bientôt un certain nombre de
« roublards » imaginent-ils le « truc » suivant : Ils prennent à la porte Saint-Nicolas
les cars se dirigeant vers Maxévilie et arrivés au terminus de Maxévitle, ils restent
tranquillement dans les voitures pour gagner Jarville.
Rue de la Pépinière, rue de la Monnaie,
place Carnot il y a bien quatre mille personnes qui voient passer les cars bondés
sans avoir la moindre possibilité d'y prendre place.
A
Et les automobiles sont légion, de toutes formes et de toutes grandeurs, depuis
les 40 HP jusqu'aux modestes voiturettes.
De une heure à deux on estime que 500
automobiles environ ont passé au Point
Central.
A
Et, aux abords du champ d'aviation,
c'est une fourmilière humaine. Hommes,
femmes, enfants, tout le monde se presse.
Les voix aiguës des camelots client leurs
marchandises variées.
Un grand souffle passe sur cette foule,
souffle d'ardente curiosité mais aussi d'admiration profonde pour la tranquille audace et la haute bravoure des aviateurs.
Notes et impressions diverses
H aurait fallu, mercredi, avoir comme le
Saint-Esprit le don d'ubiquité pour pouvoir
saisir tous les aspects de Nancy et des environs en ce jour mémorable.
Des commerçants rangés qui ne ferment
Il est trois heures. Le temps s'est presque complètement remis nu beau et la foule se porte toujours vers Jarville, telle une
armée en marche.
A
Les troupiers de la garnison
ont, en
quartier libre mercredi après-midi et permission de onze heures du soir.
La "
pseudo-présence
" du
comte
Zeppelin
Nous avons montré combien, sur l'aérodrome, les faux bruits se répandent facilement, comme il arrive d'ailleurs dans toute agglomération.
C'est ainsi qu'on affirmait gravement,
mercredi après-midi, que le comte Zeppelin, lo célèbre inventeur des dirigeables
était parmi les spectateurs de Jarville.
Or, renseignements pris, le comte Zeppelin est en Norvège.
Les
31 bis, favbourg Montmartre, à Parii
Sont seu's chir^-, ie rtctroir
-
U ^licite es.-ah-d, Joum).
^
S'adresser au BUREAU DES ANNONCE3 - Tél. 10.37
A
La pluie, le matin désespérante
Fait, Psspi'às-midi, place au soleil
-
P
*"*
1EÏSI1HESÎ PâRUPOUR
TnovEs, 10 août — A 5 heure* 5 minutes
22 secondes, l'aviateur Weymann a quitté
l'aérodrome sur biplan, se dirigeant sur
Charle ville. — Havas.
su
Et des familles entières ont escaladé les
pentes des collines entourant Nancy. Il y
avait des groupes attentifs sur le plateau
de Malzéville, d'autres à la Cure d'air,
d'autres encore sur le plateau de Villers.
Bref des spectateurs s'étaient massés sur
tous les points d'où on avait quelque chance de découvrir le champ d'aviation.
CHARLEÏILLE
.
CLATÉ
WF
Paris, 11 août, 1 h. 50 matin.
Neuvième et dernière liste
g0<.itlé des anciens musiciens mi
litaii»
hft/wi cte Beaumont, a Bordeaux
;
*"
jjnïe veuve Bournique, 26, rue des
Dominicaine
M Jean Lamaisen, fondateur-pro' iniétaire du cabinet de la Publicité Lorraine, 27, rue St-Dizier
Uiifi petite Lorraine, Geogeo
a-Fils d'un officier de l'armée de
Metz »
•
—
M Membre François, ancien, soldat
'du* 5/" du ligne, à Valleroy
« Pour la croix de l'abbé Faller »,
M. HchnnilHrrger, à Varangévilie
MM Vaxelaire, Pignot et Cie, rue
Saint-Dizier
MM. Franco;?. Vuxelaire et Cie, rue
Saint-Jean
U. Jules Mortier, constructeur à
Frouard
Le Cercle de Frouard
....
M. Arthur Monnot, horloger-bijoutier, 135 bis, rue Saint-Dizier . »..
M. Spftb, à lkiyonville
MM. Lucie:» et Jean Mayer, 6, rue
do Sorro
M. E. NAfcan-, à Villerupt
M. René Humbevt.conseiller général
de Chanibley
,
M. Hier, rue Ilcnner .............
M. Emila Thomas, à Longwy
.:
M. H- Thomas, à Longwy
7
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R^« <3«Fige)
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L-AGENCE HA^AS
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et MM. JOHN F, JONES & C'e
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Imprimerie de l'Est
LE CmOUiT BE L'EST
^'honneur
Annonce! <4e page)
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SOc.lahgnc
Chroniqiie locale.. 1 BO
ce qui concerne les communiqués, noies, etc., s'adresser ou écrire « Jf. le Secrétaire de la Rédaction.
Pour
manuscrits non Insérés ne sont pas rendus
51, me Samt-Dizier, NANCY
e
»
7
INSERTIONS
Le pl\is ancien Quotidien de la Région
.^bonnement est payable Avance, il continue sauf avis contrat
Lcs
N* 8390, - Jeudi 11 Août 1910
^jEaNTTTrifeïES
officiers partent pour Moncol
Nous avons pu rejoindre les officiers
aviateurs sur la fin d« leur déjeuner, dans
le jardin de la Brasserie-Viennoise.
Alfred Leblanc était assis à une table
voisine et il échangeait avec eux des formules de sympathie :
— Irez-vous à Monoel ?
Cette question est posée au lieutenant
Camermann qui est allé quelques heures
auparavant « reconnaître » te terrain :
— Bien difficile de vous dire exactement
ce que nous pourrons faire ; mais le voyage
à Moncel aura lieu vraisemblablement vers
trois heures...
Le pilote de la Pic-Pic, M. Gustave Closse, vient annoncer que l'automobile est
prête.
Les convives se lèvent et, deux minutes
plus tard, ils s'en allaient, à Jarville, dans
le fracas étourdissant des teuf-teuf, au
milieu d'une affluence énorme de curieux massés sur le passage des officiers
aviateurs.
Un rayon de soleil, à trois heures, perce
enfin les nuages.
Des automobiles prennent, en un long
cortège, la direction de la frontière ; Il y
aura, à Moncel, une multitude considérable pour applaudir ce raid aérien qui ajoutera un nouvel exploit aux annales de l'aviation.
Avec le retour du soleil
les Eoriîess inespérées, commencent
Une tentative malheureuse
d'un apprenti pilota
Exactement à une heure moins cinq,
alors que tous les curieux qui avaient pris
déjà position sur le champ d'aviation ou
aux abords, étaient occupés à déjeuner
joyeusement sur l'herbe ou dans les buffets
et cantines de l'aérodrome, une agréable
surprise qui, malheureusement aurait pu
tourner plus tard, comme on le verra, au
tragique, leur a été réservée.
Un aviateur, engagé, parait-il, par le
Comité d'aviation pour le cas où les aviateurs offiiciels ne voleraient pas, est sorti
sur un monoplan.
Cet aviateur, M. Simon n'a pas encore
son brevet de pilote et il devait précisément concourir là pour l'avoir.
Plusieurs milliers de personnes l'applaudirent avec enthousiasme à sa sortie.
L'appareil bientôt quitta le sol et fit trois
fois le tour de la piste, tandis que redoublaient les bravos.
Après le troisième tour, l'atterrissage fut
trop rapide, trop brusque, par vent dans
le dos, ce qui, — d'après les professionnels est une faute, et ce qui, d'après les
mêmes professionnels,
aurait pu être
évité.
L'hélice se planta dans le sol. L'appareil
capota et se renversa.
Simon fut pris dessous.
Une angoissa indicible étreint la foute,
qui rompt les barrières pour se précipiter
au secours de l'aviateur.
Mais les hussards de service et les'gendarmes sont déjà autour de l'appareil. Ils
relèvent Simon. Miracle 1 U est sain et
sauf !...
L'appareil, par exemple, a son hélice brisée. Les curieux s'emparent, comme souvenir, des morceaux de l'hélice, et chacun
s'efforce, en jouant du coude, de regagner
son poste, en attendant de nouvelles et
plus heureuses envolées.
Deux heures vont sonner. M. le doyen
Floquet, et M. Bonnet, préfet de Meurtheet-Moselle, viennent d'arriver sur le champ
d'aviation.
Trois envolées d'officier ;
aviateurs
A trois heures un quart sous de gais
rayons de soleil, le lieutenant Camermarwi
monte sua- son appareil.
Le moteur est aussitôt mis en marche et
l'appareil, après avoir caressé le sol quelque temps, s'en détache et s'élève dans
les airs, aux applaudissements d'une foule
enthousiasmée.
Il fait deux tours de piste à une centaine
de mètres de hauteur, puis revient atterrir
devant son hangar.
Des acclamations frénétiques le saluent.
Sur les crassiers et sur la côte SainteMarguerite, on voit les spectateurs agiter
chapeaux et mouchoirs, et, les dames, faute d'ombrelles, les parapluies.
Camermann a tenu l'air pendant 9 m.
26 s.
Il a été forcé d'atterrir parce que la toile
du plan inférieur s'était déchirée sous le
frottement d'une pièce de bois supportant
le siège de l'aviateur.
Une jeune infirmière de la Croix-Rouge
se propose aimablement pour réparer le biplan à l'aiguille. Naturellement, cette proposition est acceptée :
— Cours, mon aiguille, .dans la laine.
fredonne un spectateur, tandis qu'un autre
s'écrie :
Il vaut mieux qu'elle couse l'appareil que
l'aviateur j
Et l'on rit, tandis que des soldats du génie poussent le biplan.
— A3 heures 1/4, le lieutenant Féquanl
montte sur son appareil.
II fait d'abord un tour de piste, puis s'élève rapidement à une assez grande hauteur.
11 tient l'air pendant C minutes 53 secondes.
A mesure qu'il passe au-dessus de la'
foule, tes applaudissements, littéralement,
crépitent.
Les remous
sent forts
Ces vols ont été faits uniquement, dit-on,
pour vérifier l'état de l'air.
Nos.hardis officiers, qui ont fait une foàs
de plus un service d'éelaireurs, ont constaté beaucoup de remous.
Néanmoins, Us ont déclaré qu'ils partiraient très probablement vers Moncel entre quatre et cinq heures, moment où le
vent est d'habitude en décroissance.
Le raid vers la frmitiôre
Le général Maunoury, commandant le
20" corps, se dispose à partir en aéroplane
pour Moncel.
L'appareil de Caumoni brisé
A 3 heures et demie, le lieutenant de
Caumont fait deux tours de piste à une
grande hauteur, puis il atterrit entre des
fils de fer et brise les deux ailes de son
appareil.
Nouveaux départs d'officiers
aviatéurs pour Nancy
Les lieutenants
Mailfert et Aquaviva
sont partis mercredi après-midi en aéroplanes de Mourmelon pour Nancy.
Weymann
L'aviateur Weymann est parti mercredi
après-midi de Mourmelon, pour Douai, en
biplan. .
.
Le commandant Renard
Le commandant Renard, notre compatriote, et qui, on le sait, une haute autorité en matière aérostatique, est arrivé à
Nancy mercredi à trois heures. Il se rend
immédiatement à Jarville.
Jarville-Aviation, 4 h. 15.
Le général jïiaupry
part en aéroplane
pour pioncei
Mercredi, à quatre heures moins dix, le
général Maunoury, commandant le 20°
corps, part dans l'aéroplane piloté par le
lieutenant Féquant.
La foule a applaudi avec enthousiasme.
L'aéroplane a piqué droit sur Moncel.On
assure qu'il n'y descendra pas et qu'il retournera immédiatement à Jarville.
A
Presque en même temps que l'aéroplane
du lieutenant Féquant est parti pour Moncel l'aéroplane du lieutenant Camermann
a,vec le lieutenant Vuillerme comme observateur.
Jarville-Aviation, 5 heures.
Le retour oe la ffiiiière
Camermann et Vullierme
Le lieutenant Camermann, pilote, et le
lieutenant Vullierme, observateur, partis
à 4 heures moins 15 pour Moncel, apparaissent à 4 h. 1/4, c'est-à-dire une demiheure après,au-dessus du pont de Tomblaine. Ils volent à une hauteur d'environ cinq
cents mètres.
L'appareil fait le tour des crassiers, passe
ensuite sur Jarville, fait une pointe suir
Laneuveviile, revient, et, après deux" tours
de piste, atterrit à 4 h. 28.
Le gênerai Maunoury
et Féquant
A peine a-t-il atterri que l'on aperçoit le
biplan monté par le lieutenant Féquant,
avec le général Maunoury comme passager.
Parti exactement à 4 heures 12 pour
Moncel, il fait son apparition, de retour à
4 heures 30, au-dessus de Tomblaine, planant à une altitude d'environ 400 mètres.
Le voici sur l'aérodrome. Il fait, deux
tours de piste et atterrit à 4 heures 35.
L'enthousiasme est indescriptible. Il redouble, si possible, lorsque la musique attaque la Marseillaise.
Les impressions Ha général
Maunoury
Près de Champenoux, l'aéroplane polité
par le lieutenant Féquant et transportant
le général Maunoury au-dessus de Moncel
a été croisé par l'aéroplane des lieutenants
Camermann et Vullierme.
Cet aéroplane a longé la Sei-lte, rivière
frontière, pendant 500 mètres environ.
A sa rentrée à Jarville, le commandant
du 20e corps a félicité chaudement le lieutenant Féquant. '
Il a déclaré à un colonel qui demanda»'
ses impressions qu'il avait pu parfaitement
reconnaître à une attitude de 4C0 mètres les
sinuosités du terrain.
L'appareil est très sûr — a ajouté le général. Cependant, on a la sensation que si
une de ses parties venait ù manquer » ton/
serait fini ».
A
Tout ce qu'on vient de lire a paru dans
notre précédente édition,
Wl
PII 2113101
De Nancy â Moncel
Vivrais-je un siècle, je n'oublierai jai
mais mes impressions d'hier, la magnifique envolée des aviateurs sur Moncel, les
bousculades frénétiques, l'enthousiasme
d'un peuple, l'assaut et l'escalade en masse
de tous les points d'où les yeux pouvaient
voir cette chose simple, touchante et grande : deux officiers français empruntant les
voies de l'air pour visiter la frontière... du
pays lorrain.
Tomblaine noir de, monde, Essey grouil-
Hnnt d'un©
1traiito dans toute son ampleur et toute sa tué. (On sait que le rat est un des princi—• C'est prodigieux !
,
1ner, a fait un tour, mercredi après-midi à
Colonies soolaires de vaoance^
multitude compacte, Sei champs
Jarville
; il a transporté une de nos ulus beauté. Elle fut, néanmoins brèe applaudie paux propagateurs do la peste et du chol.«n rumeur, Gharopenoux tout frémissant
Tel est son premier mot. Il raconte en;
M. P. Bachelard, trésorier adjotef
nl rf
par u-n très ncmibreux public.
efune joie qui tourne au délire, Mazerullos suite
:
le voyage, affirme qu'il a remarqué
<charmantes concitoyennes, Mme Vial, femléra).— Havas.
colonies scolaires
de vacances
dç»
M. Hubert, .
f de 1
oe du 26», qui
J plein d'un tracas d'autos que dominent le»
me
de l'avoué.
les moindres sinuosités des routes,
les
1
pour celle œuvre 20 fr. de M 'GiLn
.'reÇw
dirigeait les musiques, , reçu de oli'aleucris d'allégresse, nos villages lorrains ont mouvements de terrain, les groupes de cuPicard et 30 fr. do M. t' ,
L^H-'
e m de
reuses félicitations.
été le» témoins do la sceno ; ils ne l'ourieux dans les villages et qu'une reconnaisblieront pas plus que nous.
Une mention < • ■
.. l'excellente fansance obtiendrait sur les forces, les posiLe prix de lancement, de passagers et cie
GHÈME BERTHUSti, hygiè„0 d
Un dir soleil dorait les nues ; les ailes tions de l'ennemi, en s'élevant h 400 mûfare do 5° hussaris.
,vite ;
. "il pas été (iraputés.
pau, ovito rides, boutons, tàctiostin'it j ^
de toile filaient doucement ; le moteuir très, une foule de renseignements.
A
LONDRES, 9 août. — L'aviateur Lomlne a
Prix de la frontière :
a[ 0n
« vrombissait » avec un bruit d'essaim : la
Disions encore que te menu du bamiquét
Enfin, Legagneux descend au
milieu
fait, ce matin, un vol sur mer, de BLack1»' (4,1)00 lianes), Lagagmeux, on 45 m. 34
silhouette des officiers se détachait nette,
était
agrémenté
d'une
superbe
poésie
due
Les
infirmières
de
la
Croix.Roug
des acclamations et
c'est avec l'accent ,
pool jusqu'à un village de la cote nord du
! .J.
6
parmi les agrès — et, par intervalles, un
au talent de notre distingué concitoyen, pavs de Galles.
gouailleur qu'il explique sa promenade auPrix des totalisations des distau es :
On remarque beaucoup au champ nw
reflet jaillissait des réservoirs do cuivre,
dessus de Chà'teau-Salins :
L'aviateur a couvert une distance de B tion la coquette tenue des dévouée^'
1" Legagneusc, 30 kilomètres, 37 o.inutrs M. Léon Tonnelier, et consacrée à la gloire
comme la tlamme courte d'un fusil.
des aviateurs.
3
— Tu parles,
mon vieux, d'un épate!,
!
kilomètres. — Havas.
mières de la Société de secours aS v^ ""
... Il est quatre heures et demie environ.
*#
ment, la-bas... Ils en attraperont la jau2*. Paul do Lesseps, G k. 750 m. en 9 misés (Oroix-Rouge française). C'est
Un, camarade dos aviateurs, M. le lieuteLa retraite aux flambeaux au milieu du
nisse... mais je m'en f.... J'tions pas à créer
1--*- -, 16 socondes 2/5.
reetnee, Mlle Guéniior, qui a réparé l« t
nant Basset, du 1"' génie, s'approche du des complications... Seulement, ça m'emcadre magnifique de la place Stanislas, ild'un aéroplane. (Voir plu» loi**.)
3e, Lindpaintner, 2 kilomètres 250 mètres,
groupe (pie forment, devant les tribunes,
luminée, a eu son succès habituel. La foubête d'avoir raté une idée que j'avais dans 2 minutes 38 secondes 1/5.
M. Giàtave Closse, tee membres du comité le ciboulot : passer en contrebande un pale a été considérable, malgré l'averse tomLe prix pour la plus gma*ttle distance
Passez 'été à Evian. Buvez Eviaa-Cstck
d'organisation, les personnalités officielles,
bée vers neuf heures et demie et elle a staquet de tabac... On
n'aurait jamais vu
sans escale a été attribué à Legagneux,qui
les officiers, les journalistes :
e't'hisi'.oire-là... Vrai, j'ai des regiets, — il s'est mis en piste, mais qui n'a pas couvert tionné avec patience pour se disperser avec
Libéralité
— Camermann et Vuillterme, propose-tles diverses musiques.
me semble que j'ai volé pour rien, pour la le minimum, car il n'a Hait que 18 kilom.
il aimablement, s'apprêtent... Je désire asA l'occasion du mariage de Mué Mo •
tringle I »
500, au lieu de 20 kilomètres.
sister au spectacle de leur biplan croisant
Thérèse Ruttinger, sa fille, Mme E B?"
Et Legagneux éclate, d'un joyeux
rire,
Les deux jours fériée qui se succèdent
Prix de la hauteur (5,000 francs)' :
sur la Seille... Est-ce possible avec votare
tinger a remis à M. l'Officier de l'état-rï i
avant do remplir d'essence son réservoir
1er, L8f>a,gneux, 400 mètres.
des 14 et 15 août seront l'occasion pour de
automobile ?
une somme de cent francs, dont 50 fr^ ^
pour gagner son prix de hauteur. —Achil2». Liiulpintner (2,000 fr.), 150 mètres.
nombreuses personnes de foire une excur— Essayons.
Nous croyons pouvoir assurer qu'aujourpour l'Œuvre du Bon Lait et 50 franp c?
le LIÉGEOIS.
sion dans la montagne. Nous leur rappeL'aéroplane est amené sur la pelouse ;
d'hui jeudi aura lieu une journée complète
répartir par l'administration municipal
lons que le bureau de renseignements gral'hélice gronde. Pas un instant à perdre.
d'aviation. En outre des départe des aviatuits du Syndicat d'initiative des Voages
A R heures i, un banquet a été offert%ux
Nous sautons dans l'auto, avec le lieuteteurs pour il 1 :
0 uroiit
lieu difféet de Nancy est à leur entière disposition
courageux aviateurs dans les salons
du
nant Basset et le sapeur Trépin, de son rérents xercices d'aviation.
pour leur tiiiacer des intinéraires, leur inrestaurant Walter, somptueusement décogiment : la lutte entra le Gnome aérien et
Après le départ des officiers aviateurs,
mais mettez oos ualeurs en sûreté ///»«.
diquer les horaires des services de voitules cylindres de la Pic-Pic sera fantastiLegagneux va tenter le prix de concours rés.
COFFRE-FORT FICHET, soit r?*
res, d'automobiles et de tramways, les taParmi les notabilités, notons M. le préque.
(De
notre
correspondant
l'Etain)
de durée. U s'élève du champ d'aviation à
oous, soit dans une banque.
rifs des hôtels, les distances et les durées
fet Bonnet, les généraux Maunoury, HouAu vent de la course, en pleine vitesse,
4 heures 15. Il fait une ving\aine de tours
Des feux de paille seront allumés jeudi,
des trajets à pied, les sites les plus intédaille, Dupommier, Gœtschy,
le médecin
nous notons les temps : Seiehamps, 5 mide piste, mais faute d'essence, il est obligé
dès l'aube, sur diverses hauteurs, notamressants, en un mot, tout ce qu'il leur est
inspecteur Schneider, les députés Dniant,
nutes ; Champenoux, 13 minutes ; virage à d'atterrir du côté de Laneuveville.
ment près de Boinville et d'Etain, pour gui- utile de connaître pour organiser
une
Grosdidicr et Lebrun, ; le colonel Claret ;
Moncel, 2 minutes ; retour à Eseey, 33 miSes mécaniciens traversent la prairie en
der le vol des aéroplanes sur la route do bonne promenade.
le lieutenant-colonel LhuiMiar ; MM. MidUn car des tramways suburbains a rit
nutes, aérodrome de Jarville, 42 minutes courant pour aller dégager l'appareil.
Charlcville.
Le bureau du Syndicat d'initiative, 3,
lery et. de Roche, représentant la municiraillé vers deux heures porte Saint-Kieï
1/ secondes : c'est affolant, vertigineux, et
.Des soldats aident à la manœuvre ; le
, Avis
rue Mazagran (place Thiers), téléph. 1.00,
las. Il en est résulte un retard assez conal'on éprouve la sensation qu'on roule dans biplan s'élève encore, mais il atterrit bien- palité de Nancy ; M. Casto ra, maire de LuEn raison des fêtes d'aviation, la fabri- est ouvert de huit heures à midi et de deux dérable pour la marche des tramways
néville ; M. Boutroue, chef de cabinet du
un coup de foudre.
tôt près des hangars.
r"
bains vers Jarville.
préfet ; M. Vilgrain, président de la cham- que de dragées, 6, rue du Général-Drouot,
Là-haut, tranquille, à l'aise, baigné de
Les mécaniciens remplissent te moteur
bre de commerce ; M. Villain, président do à Nancy, informe que ses magasins seOn a dû établir à la hâte un servi™ n^»
lumière radieuse, avec la souplesse cond'essence. Legagneux démonte son appareil
ce
la rue du Montet.
Par
la Société industrielle de l'Est ; 1er avia- ront fermés mercredi, à partir de midi.
fiante d'une alouette qui chante en plein
Au cours d'exercices d'installation de téqui, de nouveau part dans les. airs. Un
Elle engage donc ses clients et les étranteurs de Caumont, Féquant, Vuillicnne ;
azur,, qui se grise d'espace, le biplan Farléphone
en
rase
campagne
effectué
par
un
Exposition de Bruxelles
tour de piste, puis l'appareil pointe droit
gers qui désireraient emporter ou expédier
MlM. Pignot, président du comité des finanman, au contraire, fuyait
sans trépidadétachement du 2" dragons do Metz dans
vers Monoel-sur-Seillc, car Legagneux veut ces ; de SaiotScme, de Bucy, de Brahois,
des Bergamotes de Nancy, à faire leurs
Visiteurs lorrains et vous tous, qui l'on
tions, franchissait le bois de Champenoux,
la
vallée
de
la
Moselle,
un
fil
de
conduite
tenter de gagner la frontière.
achats dans la matinée.
née dernière, à l'Exposition
de
Nane*"
Gasnier, Fournier, membres
du comité
planait au-dessus de Sornéville, décrivait
est entré en communication avec,un câble
U est 5 heures et quart lorsque Lega- d'organisation ; M. Georges, président du
avez en très grand nombre passé cle^î
un immense arc de cercle et dessinait enfin
électrique des hauts-fourneaux de Itombas.
gneux est signalé revenant de la frontière.
agréables instants à la Taverne Alsacien
tribunal de commerce ; M. Brisson, direcUn cavalier a été foudroyé.
dans l'air une ligne molle — la frontière !
Ou le voit parfaitement filer vers Nancy,
ne, n'oubliez pas que cet établissement
teur
des
postes
;
M.
Flury,
commissaire
Avant d'aUeiiKire Moncel, des voyageurs
contourner les tours de la Cathédrale
actuellement à l'Exposition de Braxelle»
Nouvel accident à l'appareil du lieutenant
s'étaient installés sur une éminence, à gau- do Nancy, pour revenir en droite ligne vers central, etc., etc
et ne manquez pas de vous y rendre
Le banquet était présidé par M. Floquet,
Bellanger
che de la route. Un panorama superbe l'aérodrimo où il a aterri à 5 heures 25,
Vous y retrouverez le sympathique y
(Par téléphone, de notre correspondant
déroulait à l'infini les taches irrégulières ayant couvert le trajet en 37 minutes 4? se- doyen de la Faculté des sciences, présiSchreiner, et ses gentilles Alsacienne rmî
dent de la Ligue aérienne de l'Est.
particulier)
d'un échiquier composé de hameaux, de condes.
vous serviront la délicieuse bière Tonr-ui
Il comprenait environ 110 convives et a
Verdun, mercredi 10 août.
prés, de moissons, de taillis... Des fumées
Par suile de réparations urgentes à de Tantonville.
"ftl>
En atterrissant, Legagneux donne «es été des plus animés.
« Ce matin, à cinq heures, le lieutenant
paisibles montaient, toutes droites ; quelimpressions sur son voyage ; j'ai aperçu
faire à la machine rotative double sur
Bellanger, sur monoplan militaire Blériot,
ques maisons ressemblaient, dans le fond,
la gare de Moncel, puis une autre gare à
venait de s'enlever lorsqu'à dix mètres de
aux jouets vernissés de Nuremberg.
Le
laquelle esl tiré lo journal, force nous
proximité, et alors dit-il, j'ai voulu passer
Dans l'après-midi, un cheval de Irowp»
M. Floquet
hauteur le moteur faiblit.
paysage s'imprégnait d'une poésie,
d'un
la frontière, me disant on ne pourra pas
est de renoncer pondant une quinzaine sans bride, s'est emballé, sur la berge du
Le
monoplan
atterrit
brusquementL'héA l'heure des toasts, M. Floquet présente
charme irrésistibles :
m'atteindre, j'ai passé au-dessus do Chamcanal, près de Jarville. M. René Pichard,
les excuses de diverses personnalités em- lice se fracturant, partit à une grande hauNous poussâmes une exclamation :
à publier des numéros contenant six sauta à la tête de l'animal, mais il ne
br«y, me dirigeant vers Vic-sur-Seilte,aperpêchées d'assister à la cérémonie, puis il teur, la foute accourut. Le lieutenant était
— Que c'est beau !
cevant des usines qui ressemblaient aux
l'arrêter et fut blessé gravement à la majj
pages.
sans blessures.
.
Les pensées du lieutenant Basset et les salines de Varangévilie (ce sont en effet les cède la paaole à
droite. Il fut .pansé à l'ambulance des Feuv,
L'appareil,
fortement
avarié,
a
été
reminôtres suivirent certainement le même salines de Château-Salins) ; je suis revenu
M. le préfet Bonnet
Nous prions nos Ioctours de bien vou- mes de France. Pou après le cheval fut M.
sé
par
l'adjudant
Allemand,
des
aérostiers.
cours ; la. même émotion s'empara de son
rêté par le capitaine de gendarmerie.
L'orateur exalte la bravoure des « survers Nancy où en voyant les tours de la
loir nous excuser.
lia foule acclama et félicita le lieutenant
cœur de soldat et de notre cœur de reporCathédrale, j'ai voulu les contourner. C'est hommes » qui ont montré aujourd'hui tant
Bellanger. » — G.
ter quelque peu blasé pourtant, car la mêEn descendant d'un car, une femme, ru»
ajoute-t-il, la sixième cathédrale que j'ai de nobles prouesses.
me parole tomba de nos lèvres, -le même
de Strasbourg, 6'est brisée les deux jambea
U leur apporte l'expression d'une admicontournée. »
Samedi, LA VIE AU GRAND AIR, numéro
désir s'exprima dans une sorte d'élan vers
Elle a été .transportée à l'hôpital.
ration sincère.
Ceci dit, Legagneux pense qu'il a des
exceptionnel sur le Circuit de l'Est. 32
l'homme qui volait au-dessus de nous :
Tous les aviateurs ont fait une haute
Accident
prix à disputer. Toujours infatigable, il
pages
d'admirables
gravures.
La
journée
de
mercredi
s'annonçait
d'a— Il faudrait à Camermann la Légion
fait remplir son réservoir pour tenter le œuvre de bons Français et de bons pa- ^A^^^faetm<MsgeaBBWii/Miii»miiiiii.i ■fj.'-.-^eanga bord maussade. Les ondées n'ont fait que
M. Lucien Galtet a été-pris sous un ébott.
d'honneur !
triotes.
prix de hauteur.
se succéder aux premières heures, et l'on
lement de béton de 3,000 kilos. I] a reçu
La croix, cela résumerait en effet les bri
En ce pays de Lorraine, on a pu appréA 5 heures 35, Sommer s'envole sur son
désespérait pour le meeting d'aviation.
une fracture au, pied gauche et a été convos d'un peuple, les espoirs inavoués, les
cier
le
noble
exemple
qu
i
a
été
don
nié.
biplan ; il fait un tour de piste et s'arrête.
Mais une brise est soudain venue de l'Est
duit a l'hôpital par les soins de l'ambulanova'ions, les chapeaux et les
mouchoirs
M.
Bonnet
retnd
un
hommage
particulier
A 6 heures moins trois minutes, Aubrun
et les écluses du ciel se sont fermées. Le
ce des sapeurs-pompiers et de l'ouvrier
(pie l'on agite, les saluts que les paysans
au général Maunoury qui n'a pas hésité â
part sui son monoplan. Il s'élève bientôt
B auquel.
ciel est sans doute resté couvert. Ne réadressaient, comme s'il pouvait les voir
se
diriger
vers
la
Srontièwe.
à une assez grande hauteur, décrivant de
criminons pas : il n'a plus pleuré t
L'accident est arrivé mercredi,
à Hz
et les entendre, à l'oiseau artificiel qui apL'orateur boit au président de la RépuEn uento chez tous nos dépositaires et vendeurs
grands tours dans les airs ; il redescend,
Jeudi, lever du soleil à 4 heures 47 ;
heures et demie, rue Jeanne-d'Arc.
parut le premier sur leur horizon, dans
atterrit sans difficulté et le monO un est blique, aux « aviateurs du 20' siècle », à la
coucher, à 7 heures 22.
G catiiimoa le numéro
une gloire d'apothéose.
France. (Applaudissements répétée»-)
remisé. Le temps n'a pas été chronométré,
OIISEHVA T10NS MftTÉOROLOGIQUES
Au retour, entre Mazerueltes et ChampeLs général Maunoury
car c'était une simple démonàt'*1 on.
de la Maison des Mxfjnslns - Réunis
noux, le biplan de Camermann et VuiUâerPréférés des champions, sont les machines,
•■[Enregistreur Richard
Toast très militaire du général Maunoufe rencontra celui que pilotait 3e lieuteles plus roulantes. Se méfier des contrefaçons
ry, qui relate les impressions de son voyanant Féquant ayant à son bord !e général
4 I
Du 8 août, 8 h. soir, an 9 août, 8 h. iwt
| a
ge. U tenait — dit-M — à montrer « par un
Maunoury.
|^
8~ 10 mli 2 ' '» e'^l îo~ m 3 l t |l
geste » la confiance qu'il a dans les jeûnes
Puis, une demi-heure plus, tard, ce fut
Un journal parisien publiait, jeudi maMARGHrJ LIBRE (Halle aux Blés)
17f rue efes Dominicains, NANCY
Logagneux, l'intrépide aviateur,
qui se tin, une information de la Strassburger officiers aviateurs.
M. Lebrun
Paris, 10 août 19iO
dit:.
Post, suivant laquelLe les Allemands au— Ma foi,- pendant que j'y suis, l'occaraient tiré « irrévocablement » sur nos
Puis voici
un toast,
singulièrement,
Le marché est calme, la culture
étant
sion est trop belle... Je vais rendre aux aéroulanes, au cas où ceux-ci se seraient émouvant, de M. Albert Lebrun, à la gloi-■ .retenue aux champs. Au début de la rèuAllemands une visite... Allons-y donc !...
avancé jusqu'au-dessus de l'enceinte f©r- re des aviateurs, hardis pilotes, si fermes,, nior. les affaires se fonit assez facilement
1« _ -_ »5
.Palme mieux tourner autour d'un casque' tifée de Metz.
si résolus devant le danger qui les attendl avec des cours fléchissant, mais les disà pointe qu'autouf de la tour Eiffel... »
à chaque instant
cussions sur la situation des récoites ont
Les c'îrniers vols. — Le retour
L'armée française respecte les codes de
Merci — s'écrie-til — aux
ingénieux: provoqué une réaction, et le marché est neUn
membre
du
comité
donne
à
Legal'aii' internationaux ; mais Gavroche, spiconstructeurs, aux valeureux officiers' quii devenu calme, réservé.
rituel, railleur, goguenard, s'assit sur lès; gneux un baromètre contrôlé eteeellé. Son apportent, pour demain, un mystérieux et■
Les acheteurs sont très empressés, mais
organisé
RÉPUBLIGAiH
,
biplan
s'élève
par
de
grands
circuits.
«odes, sur les conventions, sur toutes ces
réconfortant avenir.
les vendeurs veulent conserver leurs stocks
J
..._.î
_-_(3
Le
temps
est
des
plus
propices.
Aueun
(IMittaiiche 14 août)
choses que féconde sa raillerie ou que déAu nom des populations lorraines,merci.
de vieux blés, et exigent des prix élevés.
i»
it
Tdaigne son insouciante gaieté : Lega- souffle n'agite les drapeaux placés au-des- Nulle part, vous ne serez mieux appréciés1 Quelques affaires en disponible ont été
<>
_
u
Le délai pour les engagements est sur la
gneux a gentiment achevé le geste de Ca- sus des hangars, les fumées s'élèvent droi- qu'ici.
traitées par la meunerie au prix fort.
tes dans te ciel où elles disparaissent sans
point d'expirer.
mermann !
Demain, lorsque vous apercevrez des flèLes seigles et les avoines sont également
être dispersées par le vent.
Nous avons résolu de prolonger jusqu'à
ches audacieuses montant dans le ciel, di-- très fermes, toutefois, pour les avoines, on
Aussi de Le.«?eps fait quelques vols » r tes-vous bien que des milliers d'yeux lor-- signale dans de nombreux départements
vendredi soir, 12 août, la date, cette fois
. biplan Sommer, puis encore un nouveau
irrévocable, où seront reçues tes adhésions
Rien- ne saurait décrire ce qui s'est pasrains monteront vers vous, ivres de joie,,
une belle apparence et l'on espère en gétour.
..
1
.-vi
!
à l'épreuve ouverte à tous les indépeiiisé à la gare de Moncel, quand, après le vinéral une bonne récolte moyenne : les
disant leur chaude admiration.
Enfin Lindpaintner tonte aus-l le prix de
dants sans exception.
rage des biplans Farman, pilotés par les
Au nom des populations de Meurthe-et-avoines tendent à fléchir, les orges sont
Jeudi 11 août. — 223° jour de Vannée.
A la liste des récompenses que nous
lieutenants Camermann et Féquant, on vit, hauteur ; son appareil s'élève bien moins Moselle, M. Lebrun souhaite que les avia-- cailmes, tes sons et issues fermes.
Aujourd'hui : sainte Suzanne. — De- avons déjà publiée, il convient d'ajouter
haut que celui de soi) rival.
arriver Legagneux.
teurs poursuivent leur haut rêve de gloire.
I»3s farines de consommation ont atteint
main : sainte Claire.
,
A six heures vingt, Lindpainfcner atterrit
une canne offerte nar la maison « Au PaAu lieu de suivre comme eux la vallée de
U rend un vibrant hommage au journall 63 fr. ie gros sac de 157 kilos, mais la rmv
Ephcméridcs lorraines.— En 1448, te duc
[ et à 6 h. 35, Legagneux rejoint à son tour
rachute », rue Saint-Georges ; une boula Seille, il continue droit devant soi. Des
Le Matin et remercie M. Floquet. (Applau-- jorité s'est encore traite à 62 fr. On cote,
or d'Anjou institue à Nancy un ordre
René
I
teille de vin fin donnée par M. Rourréca,
•bravos éclatent. Les assistants grimpent la terre. Son baromètre indique une altitu- dies em-ents.)
selon les provenances :
de
chevalerie.
:
Le
Croissant.
de de 500 mètres ; son concurrent n'a at66, rue Saint-Nicolas ; un brochet, don da
sur des tables. Un officier d,e dragons, M.
M. Millery
CLÉS
AVOINES
Circuit de l'Est en aéroplanes. — Troi- la maison, Bordter-Gét~a.rd, rue des Carmes ;
teint que 120 mètres.
d'Huart, dans une éloquente
improvisases
n(
rM
blanc* MOI
g»
»
sième journée. Départ des aviateurs pour une médaille offerte par M. Euarène BeauM. MlMery, au nom de. la municipalités
Ces deux vols terminent la seconde jourtion, montre • la signification
patriotique1
Blés au ravoM27.75 '>"/.»» Beauce
1S.30 18.70 Mézières-Charleviile.
douin ; une paire bandes molletières, de h
née du meeting d'aviation ; la foute qui de Nancy, exprime toute son admiration1
du Circuit de l'Est ; il fait l'éloge des orga-,
1
Loiret
'. .27 50 27.25 Nord
18.»» lî>.*>»
Départ à six heures du Tour de France maison de chaussures Matihis, 12, rue Saint
vis-à-vis 'des aviateurs, et leur souhaite la
Eure-et-Loir37 25 27.»» Yonne. ... 18.» 19.Ri
•nisateurs et termine au cri de : Vive lat jusque là s'était montrée très disciplinée,
Jean, etc. '
rompt les barrages, malgré les efforts des plus cordiale bienvenue.
Oise
27 50 27.2Ô Marne
18.70 iy.25 cycliste.
France !
A huit heures un quart. — Musique miH adresse u nsalut respectueux aux re- M.u-ue.. . .'.'.'.28.»i> 27.80
Les affiches indiquant l'itinéraire seront
gendarmes et de la troupe, envahit l'aéro- 1
FARINES
Tout le monde s'associe aux sentiments)
e
litaire à la Pépinière (26 ).
présentants de l'armée française et au co. placées.samedi matin, ; elles sont d'une couAube
27 70 20 .'.5
de Consommation
de l'orateur. Deux personnes, MM. Burger• drome et en toute hâte revient vers NanAu
Tea-Room
des
Magasins-Piéunis,
mité d'organisation. (Bravos.)
leur jaune, avec une flèche rouge.
Gole-cl'Or ... 27.50 26.70 Première marque... R3
et Brôgnière,, détachent le drapeau quii cy.
Concert symphonique de 3 h. à 6 h.
M.-et-Moselle2<.50 27.25 Autres inarques
62
**
L'organisation de la fête de la Pépinière
Les autos marchent avec difficulté, la
flotte sur la gare de Moncel et nous l'apM. Floquet retrace maintenant, avec-son1
est confiée aux soins de l'Union des sociépiste est défoncée, les pneux disparaissent
SONS et ISSUES
SEIGLES
portent comme un trophée.
Remerciements
au
Oonseil
r
tés cyclistes, du Nord-Est. Les engagomenfa
éloquence si forte et si persuasive, les fas- Gros sons
14.50 Bretagne... 10.7.. 17.»»
dans la boue.
d'arrondissement de Nancy •pour tes récréations sportives doivent ètra
d'aviation.
(ApplaudisseLe chemin de halage du canal esù noir tes de la fête
' Sou a cases
14.»» [-ï?'re
- tout venant.. 13»» OUampagne. 15.»» 16,(0
M. le Préfet vient d'adresser à M. Vi- .adressés
à
M. Beaudouin, 15, rue des
ments.)
Dès qu'il a sauté à terre, nous abordons, de monde et c'est avec peine que les véhiU reud aux aviateurs militaires un. solen-- ftecoupeUe ordin. 11.25
riot, président du Conseil d'arrondisse- Carmes.
ORGES
cules se frayent un passage dans la foule.
le lieutenant VuMlerme, dont les observa»10.75
ment de Nancy, la lettre ci-après :
nel et- profond hommage ; il y associe leS Kemoulayes super 17.75 de brasserie
Rappelons en terminant que des prix en
Malgré cela, aucun accident à signaler.
tions méritent d'être enregistrées :
—
blancs 16.75 de mouture
16.50
espèces seront affectés aux divertissements.
« Monsieur le Président,
Les tramways sont pris d'assaut jusqu'a- colonel Estienne, notre distingué compa-« Après trois ou quatre tours de piste,
—
bis... 13.50 de nourriture .... 10.25
triote.
Afin de prouver l'intérêt qu'il porte à la
Monsieur le Président de la Républiprès huit heures ; la foule venant de l'adit-il, à une altitude de "250 mètres, nous\
Le lieutenant de Caumont. les aviateurs
que à qui j'ai fait parvenir l'adresse qui cause du sport, l'Est républicain a résolu,
.
viation
ne.cesse
de
passer
au
Point-Central
Marché
aux
Fourrages
et
railles
nous sommes dirigés vers Pulnoy en suicivils sont associés à ce solennel hommage.
d'accord avec l'USCNE, de consacrer te
lui a été votée par les membres du Conseil
Paris 10 août
vant la route nationale...Nous distinguionss pour monter dans les cars des diverses diL'aUocutipn de M. Floquet — très littébénéfice des fêtes du 14 août à l'acquisition
d'arrondissement de Nancy, m'a chargé
i
reetions.
nettement votre auto.
A Moncel,
nous
Les arrivages sont modérés, et les affairaire — est écoutée avec le plus grand inde vous faire connaître qu'il avait été très d'un challenge, qui serait dispute chaque
planons sur la station du chemin de fer...11
1
nés
actives
dans
d'assez
bonnes
conditions,
térêt. Elle retrace avec émotion la gloire
année par les sociétés de notre région.
touché des sentiments qui y sont expriy avait un militer de personnes dans les
c'est-à-dire que les acheteurs sont empresNous sommes persuadé que les sportsdes aviateurs et l'audace de nos officiers.J
més.
Plus de 20,000 personnes sont passées à
champs voisins et nous avons aperçu dans»
3
sés,
surtout
pour
le
livrable,
tandis
que
les
Merci à M. Doumer,
à M. Hugues le
Il m'a prié en outre d'être auprès des men nancéiens s'associeront à notre pensée
le village annexé de Pettoncourt des grou-. Bosservilie, venant de la direction de Roux, au commandant Renard, à M. do0
détenteurs font quelques concessions." car signataires de cette adresse l'infterprète de
et qu'ils se présenteront en grand nsmbra
Saint-Nicalas-Lunéville.
pes qui nous faisaient signe... »
il paraîtrait que la seccmde récolte assez
, Toledo — dit-elle.
à la Pépinière.
ses vifs remerciements.
Depuis dix heures du matin, ce fut un
Le lieutenant Vuillierme est bien sûr d'aabondante a pu se faire dans des condiM. Floquet retrace, avec beaucoup d'esLss tickets d'entrée serviront de biileta
C'est avec un grand plaisir que je m'acvoir volé constamment en territoire fran-- interminable défilé de piétons, bicyclistes,
ros
lions jugéfes satisfaisantes, la qualité ceprit, des souvenirs locaux et il termine parr
pour une tombola gratuite dont le S
quitte de cette mission. »
voitures
et
véhicules
de
tout
genre
archiçais :
pendant n'en serait pas des meilleures.
une péroraison très applaudie.
est une bicyclette de la célèbre marque *
;
bondés,
automobiles,
etc.,
etc.
— Je guidais Camermann, déclare-tri! ;
Pailles et fourrages actifs avec cours
Dion-Bouton, qui a bien voulu mettre à neII lève son verre,
en l'honneur des gloC'était comme l'exode de tout un peuple,
M
nous sommes restés entre la rivière et la1
.
soutenus. — On cote : 1
tire disposition de M. Schott,a.gent région*
rieux
aviateurs
ici
présents
et
à
leurs
brilvoie ferrée, sur une distance de 1,500 mè-. venu, des confins d.e la terre de Lorraine
t"Q»sl. î'.Owl.lS* Q»a
Le programme est composé'de telle sorte,
lants succès.
tres. Le village die La:neuve!otte une fois3 pour assister à l'extraordinaire féerie des
Ohsmins aie fer de l'Est
avec d'attrayants intermèdes entre le
Le cofïsmamîanl Renard
dépassé, nous avons doublé le Pain de Su-. hommes-oiseaux.
Foin nouveau
07-70 04-67 60-61
part et l'arrivée du Tour de Nancy P*Se""
AVIS AU PUBLIC
Et ils passaient, passaient toujours, les
cre, Agin.court ; puis nous avons reconnu,,
Luzerne nouvelle
66-68 0:!-66 60-63
Lo commandant Renard déclare que tee
tre,
nue te public ne cessera un seul insA
roccasion
des
fûtes
de
l'Aesomption,
1e
yeux fixés sur les deux cônes des crassiers
aux abords de la ferme Sainte-Geneviève,,
Regain
64-66 61-6i S8-6Ï
9 août 1910 marquera singulièrement dans«
tant d'en suivre avec plaisir les amusant*
2
Sainfoin
o> 1-62 58-00 52-58 train de voyageais n° (14) 23 sera mis en
les ouvrages militaires qui défendent le> de Jarville,'cherchant là le miracle, le jales fastes de la conquête de l'air. L'orateurr
et originales créations.
l'aille de Blé
37-39 ^5-37 32-35 marche le samedi 13 août 19M), entre Nanmais vu.
plateau de Malzéville... »
ajoute, que les-aviateurs ont été reçus avecc
PIERRE QUI ROULE.
—
de ?eigle
44-46 W-44 35-50 cy et Vé/.elise, aux heures fixées par les afMalheureusement, une consigne
mal
Sans que nous ayons besoin de l'interrotowt l'honneur de la patrie lorraine. En1
— d'Avoine
28-30 26-28 23-26 fiches de la marche des trains, c'est-à-dda-e ;
.
comprise
avait
interdit
au
public
te
cheger sur ses impressions, notre interlocu|
buvant à elle, il boit à la grande patrie
e
Nancy : 5 h. 22 soir.
min stratégique de Laneuveville à Bosser*
teur ajoute :
Fourrages et Pailles en gares de Paris
.
française.
Jarville : 5 1). 26-27 s.
— Quand j'ai aperçu sous nos pieds cetteî ville... et les piétons étaient obligés de fai■ * #
lloud.emont : 5 h. 34-35 s.
Les expédittens se sont encore ralenties,
petite rivière de la Seille, mince comme un ie 4 ou 5 kilomètres par le pont Varroy
M. de Toledo remercie Nancy de son ex->
aussi peu d'affaires se sont traitées. La
Ludres : 5 h. 41-43 s.
fil d'argent, j'ai dit à Camermann : « C'estt d'Art-sur-Meurthe pour revenir à Bosser,
cellent accueil ; il boit aux musiques mili-•Messein : 5 h. 47-48 s.
clientèle ordinaire de ce marené manifeste
plus fort que moi, j'ai envie de pleurer... »> ville et aux Etangs des Morts, où une foule
taires et aux vaillants lorrains. (Vive l'ar-'de grands besoins aussi les cours se tienNeuves-Maisons : 5 h 52-53 s.
et Camermann m'a répondu : « Moi aussi,, immense était réunie pour 2 heures de l'amée),
Pont-SaintVincent : 5 h. 56-59.
nent fermes.
près-midi.
je me sens le cœur gros... »
Bainville : 6 h. 02-03 s.
Il y avait très peu de paille de seigle et
Plein les champs de blé où se dressaient
Sur l'importance des observations utiles9
Xeuilley : 6 h. 07-08 s
s on considère cette récolte comme nulle ;
luzernières et les1
Et la soirée se termine sur une de ces
que les aviateurs peuvent recueillir,
le3 les trézeaux, plein de
Pierreviile : G h. 13-14 s.
tes
fourrages
sont
calmes
eft
fermes.
—
On
5
champs
de
pommes
de
terre,
il
y
avait
du
PÉPINIÈRE
L
impressions
profondes
dont
nous
avons
lieutenant Vuillierme ne tarit pas. U nous
s
Puliigny : 6 h. 17-18 s.
T
cete :
trop rarement le précieux secret.
raconte Longuement son expédition aérien-- monde et encore du mande, et tout le long;
20" D'INFANTERIE, Chef M. HUBER
Cointrey : 6 h. 22-24.
|("0oLiî- O»J(, v 0
1
1
On sent qu'un « frisson nouveau » a parne de dimanche, ses reconnaissances dans3 de la route, malgré une consigne trop riProgramme du jeudi 11 août i? ^ ^
Cléaney-Omelmont : 6 h. 28-29 s.
goureuse — et sans but — donnée à des pe-■
la vallée de la Meuse :
couru l'horizon de notre vieille France, de
e ^ ,
_
:
kiosque de la Pépinière, de 8 h. 15 à 9
Tantonville : 6 h. 34-36 s.
. Foin nouveau.
-5 '.."-58 50-55
— J'ai examiné en détail les. forts de Ver- lofons du 5e hussards, il y avait une file in-•
notre patrie adorée, à laquelle nous somt
du soir :
j,
:
Luzerne nouvelle
I .
51-56 '49-53
Véicliae : 6 h. 41 s.
dun, les tranchées, tes casernes, les batte-- terminahle de voitures et d'autos, venues> m'es rattachés pat les fibres les plus inti1, marche des Etudiants (Phihppy':M
Regain....'
r.;i-55 so-03 47-50
**
ries... à telle enseigne que j'aurais pu1 de tout l'arrondissement de Luné ville, ett mes de notre âme.
a
Paille do Blé
29-:!l 26-29
A l'occasion des fêtes de l'Assomption, le , 2. Les Noces de Figaro, ouverture (M'OZ "'>
des départements voisins.
compter les canons... »
Les aéroplanes volant très haut, dans le
e Seigle consommation......... H4-H6 8O-8&
train de voyageurs n° (14) 20 sera mis er l — 3. a) Calomfeine, menuet (Dedaihay?). ».
Jamais la route de Bosservilie à Nancy'
Mais voici d'autres renseignements plus3
J A
ciel clair, nous ont indiqué une route ra- Seigle industrie
42-44 40-42
}_, r.t
marche te samedi 13 août 1910, entre Véze . blCivertisscment fugué sur l'air : «
ne vit et ne verra sans doute pareil specta-précieux encore :
Paille d'Avoine
23-25 20-23
dieuse, route d'espérance qui sera peut-être
e
.
bon
tabac
»
(Hubert).
—
4.
Alles.ro
de
■»
lise et Nancy aux heures fixées par les af
;
de,
l'exode
d'un
peuple
entier,
hommes,
— Au moment de notre rencontre avec
■
um jour, une route de victoire.
fourrages et Pailles en balles pressées
fiches de la marche des trains, c'est-à-dire , Sym&nonie (Beethoven). — 5. Patrie, i*'
§
femmes,
petits
entants,
quittant
ses
foyers,
Féquant, dit-il, son biplan passait plus
taisie (Pelodilhe).
Vézeiise : 8 h. 04 soir. .
Le marché est moyen avec quelques rahaut que le nôtre. La différence d'altitude3 aes pénates, ses occupations journal îèiies.,
Tantonvillio : 8 h. 08-09 s.
res transactions peu importantes. La deétait d'environ 200 mètres... J'ai voulu mee les travaux pressés des champs et les durs\
lt
Au moment de la retraite, le banquet est
Clérey-Omelmont : 8 h. 14-15 »
mande des grandes
administrations est
(rendre compte, pour la première fois, d'un1 labeurs de l'industrie pour venir acclamer
naturellement interrompu. M. Floquet inCeintrev : 8 h. 19-22 s.
bonne et les cours soutenus. ^- On cote :
fait qui m'a souvent préoccupé, savoir s'il1 l'invention nouvelle qui rapproche l'homvite les convives à écouter les vaillante rePuliigny : 8 h. 26-27 s.
A l'occasion du Circuit de l'Esti Uv j,
" Foin
10 » à 11 »
est possible dans l'espace de tirer un1 coup3 me do l'Infini, et en fait presque un dieu.
a
frains de la « division de fer ».
Pierre-ville : 8 h. 31-32 s.
donné trois représentations extraorct
Luzerne
...
10 » à U »
de fusil sur un aéroplane : j'ai donc épauTout te monde se précipite aux fenêtres.»■
Xeuilley
:
8
h.
37-38
s.
Paille de Blé
...
5.25 à 5.75
res, le mardi 9, mercredi 10, jeudi H|
lé une arme imaginaire et j'ai constaté
0
La place Stanislas brille de mSUe feux.
Bainville : 8 h. 42-43 s.
— de Seigle
6.25 à 7.25
Parmi les nembreuses vue* qu: : '
..
qu'un aviateur peut viser un
adversaireî
Sommer a réalisé mardi un vrai tour
Nos hôtes entendent, avec une intenpo
0
— d'Avoine...'
4.25 à 4.75
Pont-Saint-Vincent i 8 h. 47-50 3,
données à ce cinématographe incomi qui passe comme Féquant à la distance de3 de force. En effet, il est allé rechercher
émotion, les vieux couplets de la gloire na!(
Neuves-Maisons : 8 h. 53 54 s.
Me, citons notamment : Toutes
^
* a
six cents mètres, avec une chance sérieuses mardi l'appareil de JJndpaintner, échoué:
a
tlonale, ces couplets glorieux qui menèrent
Mieasein : 9 h. 9 h. 01 s.
ayant rapport au Circuit de l'Est. pr.
de l'atteindre. »
dans les champs, près de Wassy. U l'a pris> à la victoire nos troupes héroïques,
LE CHOLÉRA
EN
RUSSIE
Ludres : 9 h. 08-09 s.
a!
Quinzaine d'Aviation de Reims. Le d h
Pendant cette conversation, le • général1 en automobile, l'a ramené à Nancy où il l'a
t
Malheureusement, la pluie est revenue ;;
Houdeimoiït : 9 h. 14 -13 s,
OMSSSA, 10 août. — On a constaté 7 nouLie Cïément-Bayard, le cortège lusloiAH
Maunoury est ramené par ie lieutenantt
remonté et lui a permis de voler.
elle n'a pas permis de déployer les flarnJarville : 9 h. 21-23 s.
i- veaux cas de choiera aujourd'hui. L'rdmide la Lorraine 1909. Nombreuses «»}
Féquant :
Sommer, avec î'appareil de Lindpaint-• beaux. Aussi ne peut-on apprécier la re-i-[ ni3tration paye 35 centimes chaque rat
N.anç^ ; 9 h. 30 soir.
vues dramatiques et çpiniqueg.
^t
Les prix
FAIT 7i KIL. El 1ER
lL?*£
REGIONALE
Nouvelle
ionriiie
d'aviation
l
i
Les fêtas du 15 août
Le banquet
Legagneux part aussi pour la
frontière
Partez en vacances
Sur la route de cnarleoille
Déraillement porte Saint-Nicolas
Terrible accident près de Metz
A VERDUN
IâI5f
LES ACCIDENTS
Les toasts
LE TEMPS QU'IL FAIT
L'EST ILLUSTRÉ
vient de paraîtra
[i.
Cycles PEUGEOT
Les Allemands et nos
aéroplanes
BULLETIN J»PIIiîl£I!IL
Maison HAUMOUCHE
Tour le Nancy Pédestre
par L'EST
A la gare, ûe Moncel
LA JOURNEE A NANCY
En revenant de la frontière
!
A Bosserollle
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^© tome epi® 1©
la
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1
MUSIQUE MILITAIRE
La retraite
CIMA-TÏIEATRE
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Un tour ite force de Sommer
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" W* ' Z^w"' "
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f nfation j0Urs do représentai! iona do 10
A \ Vnidi et de 1 h. 1/2 à G h.
FVn ne saurait se plaindre que l'on t» U-, u 'rvint, une vraie chasse a. l'aetualcté.
^ Ji Vonùrateur de la salle Déglin a pris
^XesUnte vue du Circuit de l'Est,
''"Si soir H s'agit du départ et du retour
CTeutcnant de Caumont. clans son ra.,d
00
t.,,n,éville. Et l'on pourra voir ce film,
« soir, sur l'écran !
A toutes les représentations de cette se■„P il sera donné au Cinématographe,
Déclin, un film unique pris au champ
s 1
,? sMion de Jarville le 8 août.
Déiiart et retour de Luné ville do lieute»
Jntde Caumont.
<iL
EDEN.S-VUES PATHÉ
l'occasion du Circuit de l'Est, il sera
, A l'Eden, trois représentations exSinaiies, mardi 9, mercredi 10, et jeur 11 août à 8 heures h. La direction sou. J.L do la haute rép\ita'iion de son étaf*f ;pmcnt, a composé pour ses trois jours
nropramme digne de satisfaire les plus
l
"(flViles • on verra d'abord la fameuse se«P d'aviation rte Reims, ensuite le Corhistorique de la Lorraine 1909. Lo Barh
de Séviile ; Cagliostro, et toute une
de vue9 comiques et dramatiques, en
ser
'„ toutes les créations du Circuit ds
-Pst isuqu'à ce jour.
Vendredi 12 août, reprise des représentions habituelles avec un programme abolument nouveau dont les affiches du jour
donneront le défait
A
i
-ït
le
f
aPOLLO-CIRQUE, Cinéma-Etoile
~* cnmedi 13, Dimanehe 14, Lundi 15 soirée
Dimanche et Lundi matinée 2 heures 1)2
BANLIEUE-NANCY
Bosservilie
Un accident qui aurait pu être très grave est arrivé mardi après-midi à l'ancienne Chartreuse de Bosservilie.
Un ouvrier couvreur, qui était monté sur
jû toiture d'un des bâtiments pour d'urgentes réparations, perdit le pied, glissa et
tomba sur le sol d'une cour, de toute la
hauteur de l'édifice.
Assommé par le coup, le malheureux ouvrier fut relevé sur-le-champ par de ncunbiwix curés qui se trouvaient en retraite,
ei transporté dans une cellule voisine, où
les premiers soins lui furent donnés par
m médecin-major, détaché au service du
Circuit de l'Est sur le chemin stratégique
de Bosservilie.
Après un pansement sommaire, Je major
déclara que le blessé n'avait rien de brisé
et qu'il pouvait être transféré le soir même à l'hôpital civil de Nancy.
__
<s>.
—
ETAT CIVIL DE NANCY
Du mardi 9 août
Naissances
Renée-Augustine Fomharon, chemin
Blanc 55". — Auguste-Lpuis-Jinles Bellord,
rue DUc-Raoul, 20. — Serge-Louis-CélestinMarie Petit, rue
Saint-Georges, 44. —
Louis-Marcel Guerber, Grande-Rue. 9. —
Marguerite-Marie Mertz. rue des QuatreÉglisea, 50. — Jeanne-Octavie-Anna Gailot, rue' du Montet, 200.
Décès
Suzanne-Lina-Frida Rœhrig, 10 mois,
rue du Montet,, 15. — Gustave-Alphonse
Philimxiirt, 52 ans, brigadier de recettes à
te Société Générale, rue Saint-Diziar, 59.
— Charles-René- Fench,. 49 ans, sans profession rue de l'Equltatkm. 47. — MarieJeanne Mageot, 79 ans, brodeuse, veine
Chotet rue de Strasbourg, 77.
-Transcription
Victoire Merch, 70 ans, fileuse, épouse
Doridot, décédée le 29 juin 1910 à Fontainebleau (S.-et-M.).
AVIS
MORTUAIRE
1 Voua êtes prié de vouloir bien assister
■ aux convoi funèbre et enterrement de
9
1
i Monsieur Marcel FORT
Tailleur
1B décédémunile 9desaoûtsacrements
1910, dans sa 59- aimée
1K
de l'église
H qui auront lieu le jeudi 11 août 1910, à trois mB
■ heures do l'après-midi, en l'église do Mal»'
ville-
9 et do
là au cimetière do Malzéville, où se fera
■ l'inhumation.
On se réunira à l'église
De la part de : -m
m Madame Marcel FORT, sa veuve ; Monsieur
■ et Madame Henri FORT, son fils et bile
H lille ; Monsieur Jurùen FOUT, son frère ;
I Monsieur Emile FORT, sou neveu Madame
■ veuve ALLAUX, sa belle-mère : Mademoiselle
■ Jeanne GUËRIN, sa belle-fille ; Monsieur
9 et Madame Henri GUERINi son beau fils el
1 belle-Mie: les familles ALLAUX, BLONDEL,
B LEGER, ses béauriiére, belle-sœur et neveux,.
B " "e «e»-» |M>* envoyé «ïe Iclln »
B de faD-e-imrt, ie pt'ossent »vïs en
1 tenant lieu.
»
^"^'"''■■TTWIIT''^^
I
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choisis, .pari6
du culle d
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ri&lS pistants à reboiser. M. te gai do
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très intéressante
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«boisement et ses avantafait
s
alors l,rie
le
i^ applaudis.
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Tous cts
discours sont très
r
f,.^ifen ont alors cInfI
ma n
H/J»«. J?.
K 'f''Iues
jeunes filles, qui ofbouquets aux présidents d honneur et une d'elles récite un joli
compliment.
Un punch réunit tous les invités et l'on
se sépare, tous gais et contents, se donnant
î-cririez-vous pour l'année prochaine. Un
DM très animé acheva cette belle fête,
Pagny sur rfloseiio
.Rappelons qu'une exposition viticolc et
yinicoie aura lieu à Pagny-sur-Moselle les
i\ 15 et 16 août 1910. Elle comprendra
dos vins, eaux-de-vie de marc et des instruments et outils se rattachant à la culture de la vigne, à la fabrication du vin et à
la distillation des marcs.
Cette exposition promet d'être brillante
car un grand nombre d'exposants se sont
Sait inscrire.
Elle sera présidée par M. le préfet de
Meurthe-et-Moselle, qui l'inaugurera lo 14
août, à 10 heures et demie du matin.
Le môme jour, à midi, un banquet fraternel réunira les amis de ta viticulture et
des vins de Lorraine.
Le président, BIUCHON.
Acte de courage à Tous
Le général, Dupommier, gouverneur de
Toul, commandant d'armes, a fait paraître l'ordre suivant :
« M. Veiwillier, lieutenant de réserve, accomplissant un stage au 6" régiment d'artillerie, a arrêté un cheval emballé attelé
à une voiture sans conducteur, au moment
où le cheval allait entrer dans Toul.
« Par son sang-froid et son dévouement,
M. Versnllier a su éviter des accidents qui
n'auraient pas manqué de se produine si le
cheval avait continué sa route dans les
rues de Toul.
« Le général gouverneur, commandant
d'armes, est heureux d'adresser à M. Versillier toutes ses félicitations pour cet acte
dé oouirage. »
Vclle-sur-Mosello
MM. Boff-- receveur, ©t Thomas, commis
^rhucipal des contributions indirectes, le
br igadier Dassonville- et le gendarme Vinot,
de Rayon, ont opéré une capture importante, en- la personne du nommé Dillonsïn'-vr. dit Charton, qui, en collaboration avec
l'un des fameux frères Poisson — bien connu au tribunal correctionnel de Lunéville
— exploitait une véritable industrie clandestine de fabrication d'allumettes ; ces
associés cumulaient cette profession avec
celles de braconnier et de bribeur.
Société de tir de Cerbévilier
Dimanche 21 août, tir de concours de
6 heures à 11 heures du matin.
Midi : Banquet populaire. Prix, 4 fr. Se
faire inscrire chez M. Jacob,café des Ponts,
avant te 18 août.
La musique du 2e bataillon se fera entendre pendant le banquet.
■ Trois heures : Distribution solennelle des
prix dans les salons de l'hôtel de ville.
4 heures et demie à 6 heures : Concert
militaire par la fandarc du 2a bataillon. ,
Grave accident ds chemin
DEMANDEZ
+4t4>
^^"^-^p-
yaRAIHB
—
! ■ .■—..
.1-
ET ALSACB
M eur Uie-&-IHoscl le lu attentat criminel
Accident à Vézelîse
M. Munier, Florentin, était venu à la
gare de Vézelise chercher te curé de Vitrey
qui revenait de voyage ; tout se passa bien
a la descente de la pente très raide qui va
de la gare à Vézelise, lorsque pour une
cause inconnue le cheval prit le mors aux
dents et s'emballa. Arrivé devant chez M.
Lolher, serrurier, la voiture culbuta et fut
brisée mais grâce à la capote qui amortit le choc et qui les préserva d'un accident
Plus grave, voyageur et conducteur furent
relevés en sang.
Le curé de Vitrey avait un trou au front
b as cassé 11 f
rt oL
ï""* admis à l'hôpi al
™Ifeflise °ù il est soigné, et M. Munier
avait des plaies au visage et des contusions multiples, mais sans gravité.
Pète de l'arbre à Villers-en-Haye
Dm,anche dernier, 1 août, la commune
C * »]'?rs-en-Haye, gentil village, situé sur
t* r ii •♦p!ttovesclne de l'Esse, était en fê•iT 'v/i • aiête de l'arbre, organisée par
te Sooiaxre forestière, fondée "par M. G.
Blondin, instituteur, en 1909.
'
w.*,""'1 heures de l'après-midi, M. Guêrançois
sr^iAtA
^ dévoué président de la
J^ete, maire de la commune, et M. Blonr eoiv nt les
trîiL
*
invités à la salle d'école,
B>ege *social.
Blondin
vités
souhaite la bienvenue aux in-
contre la " Lorraine sportive "
QMats»e ËsSsssés
(De notre correspondant particulier
de Metz.)
« La Lorraine sportive, cette jeune société indigène de Metz, que les Nanoéiens
ont applaudie l'année dernière à l'Exposition, organisait pour dimanche dernier
un festival dans la plaine Saint-Sympho■rien.
LA fête n'a cependant pu avoir lieu par
suite dn mauvais temps. Samedi donctoute
la journée on travaillait, à l'installation de
l'emplacement et aux préparatifs. Ceux-ci
se poursuivaient jusque vers dix heures du
soir. Une quinzaine de jeunes gens, qui
avaient donné ce coup de main, s'apprêtaient à rentrer chez eux ; à cet effet, ils
s'en furent sur la rive de la Moselle pour
passer leurs mains à l'eau.
En revenant vers le chantier qu'ils avaient
quitté quelques instants auparavant, ils
remarquèrent une traînée de fumée qui
serpentait sur le sol et gagnait une tendière. Les jeunes gens, quelque peu surpris,
s'empressèrent de vouloir mettre à jour
l'engin auquel devait aboutir .ta mèche.
Celle-ci conduisait sous un amas de planches et de bois, que les jeunes gens soulevèrent. Au même instant, une sourde explosion se produisait, en même temps qu'un
jet de flammes et une épaisse fumée d'une
forte et âore odeur de poudre enveloppait
les jeunes gens.
Quatre d'entre eux ont été atteints par
les flammes et horriblement brûlés au visage.
„
Ce sont les jeunes Lœw. Grossmann, Remy et Guérin. Le premier a reçu de graves
blessures au visage et aux mains et a du
être transporté à l'hôpital Bonsecouirs ; le
second' est blessé au visage et. a été admis
à l'hôpital Miathildenstift ; Remy a également des blessures graves au visage, il
est soigné chez ses parents ; enfin, le quatrième n'est que légèrement atteint.
ionvmant ^ xemPS, la musique de Maflot intî-l' le Reveil "> dirigée par M. Bauteur arrive
*uîie m
*
et c'est aux sons
eftem,'r?laroae de chasse que le cortège s'avers
les
U nhrT r
plantations de Grignon.
Win, °® aphe des Magasins-Réunis prend
fe Z^ clichés. M. Paul Martin et le
t
béariagené al Couteaux font alors une
fes », ? p,ratl<lue sur le reboisement, puis
cortloi
chantent quelques chœurs et le
vi-p-ju , ' oonsidéra,bl'ement augmenté,
re6ra le
On
,village,
e r n
où dn (
c d. alors à la salle S. Guérard
re la
Ç«érawiSe
distribution des prix. M.
l
°us pt 36 Ève et souhaite la bienvenue à
cède te ,en Particulier aux invités. Puis il
* *
,
*« ren.it, ro'° a l'instituteur pour le compAprès le premier moment de stupeur, et
»«T°3Jl1",0/aI
finan cier.
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retour de certaines affections : éruptions,
eczéma, furoncles, et la chaleur rend plus
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de la peau. L'abus des boissons trop fraîches,
les fruits pas assez mûrs, débilitent et gâtent
i*ëstomac.!
Prenez les Pilules Pink pendant les chaleurs. Les Pilules Pink donnent des forces,
développent l'appétit, favorisent les digestions. Elles donnent du sang et tonifient le
système nerveux. Elles stimulent le fonctionnement de tous les organes et combattent la
fatigue. Elles sont indispensables à tous ceux
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mer se refaire par une cure d'air.
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n'en achète pas.
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S*
Méménil. — U"ne maison qui s'élevait à
l'ouest de la commune de Méménil a été
incendiée.
Le feu, qui paraît dû au mauvais état
d'une cheminée, a pris sur les greniers à
fourrages et a rapidement envahi tout l'immeuble. Ou n'a pu sauver qu'une partie du
mobilier.
Cette maison était la propriété de M.
Paul Tbiébaut, marchand de bois à Brouvelieures, et était habitée par Mme veuve
Ch a rroy, b rodfei ie e.
Les pertes atteignent 3.400 francs, dont
3.000 francs pour le propriétaire et 400
francs pour la locataire. Mme Charroy
n'est pas assurée.
Mirecourt. — On vient de célébrer tes
obsèques de M. Edmond Béraud, lieutenant
au 29° régiment d'infanterie, en garnison à
Autun.
Les cordons du poêle étaient tenus par le
capitaine du défunt, le deuxième lieutenant
do sa compagnie, et ses amis Georges Bion
et Alphonse WeiQ.
La musique municipale, la compagnie
des sapeurs-pompiers et plusieurs officiers
do réserve de la ville assistaient à la funèbre cérémonie.
-■■
, ., _ .
blessés, les témoins de l'attentat s'en furent narrer la chose au bureau central depolice, rue dea Troifl-Boulangers. Là, il
leur fut répondu que cela ne regardait pas
la police ! J.JO lendemain, une plainte a été
déposée au parquet.
Les jeune; geais qui avaient travaillé sur
la place de la fête n'avaient rien remarqué de suspect. Quelques curieux les regardaient travailler.
L'engin n'était autre qu'un sac de poudre de mine auquol aboutissait une mèche
d'environ quatre métrés de longueur. Le
criminel a dû placer la mèche et le sac de
poudre au moment où les jeunes gens se
lavaient tes mains dans la Moselle. Son
intention était sans (Joute de mcltre le feu
à l'installation et d'empocher ainsi la fête
du lendemain.
Depuis quelque temps déjà, la Sportive
n'est pas ménagée dans les attaques de la
presse pangermaniste. On lui reproche ses
allures gauloises, ses sonneries de clairon
et un esprit français qui anime ses membres .Aussi, eatil bien possible qu'un chauvin exia.spêré contre cette société se soit
laissé aller à cet attentat. Il est singulier
toutefois, très singulier, qu'on n'ait pas
voulu se mêler de l'affaire ni rechercher le
coupable, ce qui eut été facile, après tout,
car tout le monde ne vend pas de la poudre de miiw ni même tous les jours.
Je puis affirmer que jusque mardi sodft"
— l'attentat s'est commis le Samedi roir,
donc trois jours après — aucun des blessés
n'avait été entendu.
On commente beaucoup cette affaire à
Mei7. — J. M. »
PARTOUT
La nouoelle REM ME des bières
—
. . ■ .»
far
M
tmtUfr
■■■
Mercredi matin, à dix heures et demie,
un train de minerai a déraillé à cinquante
mètres de la gare de Tiercelet, du côté de
Serrouville.
Les dégâts matériels sont très importants.
S
H
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A
A
A
A
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WÉÉ
Ce chien, qui a nom
6 iaU ttS encore
ONDE, celui qui Mute Ï
est léger, agile.
manger.
JP^
»
FINANCIER
Paris, !) août 1910.
La séance aurait encore été satisfaisante avec cependant un peu moins d'affaires
que la veille si nous n'avions pas à constater une faiblesse assez caractérisée des
valeurs russes et ottomanes. Les informations relatives aux ravaees du choléra en
Russie ont en effet déprimé les premières,
tandis que te groupe turc devait supporter
les offres amenées par la nouvelle d'importants mouvements de troupe en Bulgarie.
Par contre, les valeurs de traction maintiennent et même confirment leurs bonnes
dispositions précédentes. En banque, des
achats pour compte de Londres où avait
lieu la liquidation ont de nouveau favorisé les mines d'or et les
rhodésiennes ;
quant aux caoutchoucs, ils fléchissent encore, influencés par la baisse du Para à
7 s'h. 8 d.
jsotre 3 % gagne quelques centimes à
97,35 ; achats des Caisses 40,000 francs de
rente au comptant.
Parmi les fonds étrangers, le Turc unifié
abandonne près d'un demi-point à 94,85,
tandis que le Serbe revient de 86,25 à 85,95.
Extérieure plus calme également à 94,85
contre 95. Tassement des Russes ; Consolidé 94,40 ; 3 % 79,15 au lieu de 79,50 ; 5 %
1906 105,10 ; 4 1/2 % 1909 99,80 ; bonne tenue du Brésil 4 °L à 94,85 et des Bons de
Sao-Paulo 1908 à 508.
Une certaine indécision se remarque aussi au groupe des banques : Banque de Paris 1,798 après 1,802,; Lyonnais 1,432 contre 1,435 ; de même l'Union Parisienne perd
3 francs à 1,030. Seul, le Crédit Mobilier
est ferme à 704.
Banques étrangères plus faibles en général ; la Banque Ottomane revient, de
694 à 690 ; Nationale du Mexique 1,141 contre 1,145 ; Foncier Egyptien bien disposé à
750.
Chïrains Français peu .actifs : Lyon
\,W1' : Orléans 1,305. Nouvelle avance des
Chemina'Espagnols ; Nord de l'Espagne
375 contre 373 ; Saragosse 403 ; Andalous
252.
Dans le compartiment de la traction, on
recherche surtout le Métropolitain, qui
s'inscrit à 576 au lieu de 572 et le Nord-Sud
qui gagne 5 points à 324. Par contre, l'Omnibus est plus calme à 330. la Thomson se
tasse également de 785 à 780.
Industrielles russes offertes ; la Briansk
fléchit de 343 à 336 ; la. Sosnowice est mieux
tenue à 1,442 ; très ferme d'abord à 795
contre 784, la Bakou revient terminer à
785.
Légère reprise du Rio-Tinto à 1,694 contre 1,687 sur les avis favorables d'Amérique
concernant te métal.
En banque, les industrielles russes supportent quekrues offres qui ramènent la
Maitzoff à 1.14.2 et la Hartmann à 638.
PHILOUZE et WADDINGTQN.
20. rue Le Pe.lelier.
Six prix seront tirés au sort parmi les
personnes qui auront envoyé le plus de
solutions justes. Voici ces six prix des
quatre rébus de la série C. V.
Ier prix : Un étui à cigarettes (métal
blanc).
2° prix : Un fcibotot artistique ;
3* prix : Un volume.
4*, 5', G' prix : Deux cartes artistiques:
(Chaque gagnant de deux cartes postales n'aura qu'à nous adresser les noms
qu'il désirera voir figurer sur ses cartes.
Celles-ci, dues à une main artiste, constitueront donc autant d'œuvres originales.)
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Ont deviné îe dernier rébus :
Mât cache bonne eau. — Paul Rioux (69
infanterie). — Marguerite V. — Un caïffa
Lunévillois. — Le grand Banus du clos
Olry. — Evatsug. — Edmond Roussel. —
Thomas saint. — Heure et K. — Gustave
Banus. — Un amateur de Concours. —
Trebor. — Guy Guitte. — Lanne et Mique.
— Sœur Candide. — Le Veilleur. — S.
Dramber. — Un buveur de sérieux. — Zigomar. — Ànastasie^ — Une jetteuse de
cartes. — Le nid d'amour. — Le concierge
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Suivant acte reçu par M»-DUSSAUX, notaire à Nancy, le 1"
,-îoftt 1910, M. Louis-Joseph-PauL
IIANRYE, buraliste, et Mme
Jeanne-Pauline-Léonie PREVOT,
son épouse, demeurant ensemble
à Nancy, rue Saint-Dizier, ÎÎ0,
ont vendu à M. Georges-CharlesMartin PIQUE, comptable, et
Mme Es'.her-Marie-Alice MARCHAND, son épouse, demeurant
ensemble à Nancy, rue du Faubourg-Saint Georges, 49, le fonds
de commerce de gérance de bureau de tabacs, articles de fumeurs et accessoires, journaux
et articles divr-rs de librairie qu'ils
exploitent à Nancy, rue SaintDizier, 30.
Domicile a été élu à Nancy, en
t'«t"de de M^DUSSAUX. notaire,
12, rue Sairil-Dizier, pour tes opriosiiioHS, qui doivent être faites
dans les dix jours de l'insertion
qui renouvellera la présente.
Pour extrait :
Signé : DUSSAUX.
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deux heures de l'après-midi,.en
la salle de la mairie, il sera procédé à la location de l'emplacement des jeux et danses à l'occasion de la lête patronale les
18, 19 et 20 septembre 1940.
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Ecrire 3ssgs social : Hue de La ffiothe, HâîlSY I
Cure d'Air Saint-Antoine
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P. MOSSER, Sr
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JEANNE D'ARC
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Los 24 août, -4 et 18 sei»4cmï>t*c*
à !) Es. 1|3 d« matin.
Les tiH août, 11 et 35 septeniln'C, *
1 h. 1|3 du soir.
Le 17 août, à 5 heures dsi soir.
Peur la location des places, s'adresser à M. le Curéjh
Saint-Joseph, 146, rue Jeanne-d'Arc, Nancy, tous les jom,le mardi excepté.
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On peut s'mlresser aussi chez MM. SAUMIER, rue St- Julten, ''
ûRIO TON, 12, rue du Faubourg Stanislas et place S-ianis.a*
Prix des places : de 2 à 10 fr.
LA FILLE OE ROLÂH0
AU THÉÂTRE DE LA PASSION
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Célèbre drame d'Henri de Bopnler, en 4 actes et en v«r
REPRÉSENTATIONS
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Le Dimanche 14 Août, à 3 heure» «u
soir.
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Les Samedis 37 Août et 10 Sente»"»™
à H heures du soir.
.
Prix des places : 1, 2 it 3 fr. Fauteuils : 4 et 5^
S'adresser 148. rue Jeanne d'Arc, aux bureaux du Th
de la Passion, à Nancy.
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La qualité des vins est irréprochable m*
aux olus bas prix.