Diapositive 1 - Les actus — loria

Download Report

Transcript Diapositive 1 - Les actus — loria

UE303.c : cours n°2
Conception de système d’information
multimédia
Promo. Master 2 en IST-IE
Contribution de :
Hanène Maghrebi
Doctorante Équipe de recherche SITE – LORIA
Hanè[email protected]
Aspects du cours :
• Introduction au multimédia
• Panorama des formats de documents
multimédias
• Constitution d’un corpus multimédia
• Introduction aux CMS avec l’outil SPIP
• Application avec SPIP
• Intégration d’un corpus multimédia sur un site
web avec l’outil SPIP et
-Évaluation
2
Introduction
• Un document multimédia est un document contenant
des éléments de nature diverses ( textes, images,
vidéo, son,…)
• Ces données multimédias sont stockées dans des
fichiers
• Ces fichiers regroupent plusieurs médias et de méta
- données, synchronisées sur une même base de
temps
• La contrainte de la continuité de certains de ces
éléments, d’une part, et le lien sémantique qui peut
exister entre eux d’autre part, imposent une
synchronisation assurant une cohérence
sémantique de cette information
3
Structure +organisation
Document Multimédia
Contenu
Texte
Image
Son
Contenant
Vidéo
4
+
Support multimédia / Contenu : DVD, CD-ROM, Disque Optique….
Exemple :
un reportage d’un journal télévisé est rendu
incompréhensible si les commentaires du
journaliste sont décalés par rapport à la
vidéo, elle-même décalé par rapport aux
illustrations graphiques.
• Le système sous – jacent devrait
assurer la synchronisation entre
plusieurs médias( vidéo,image, texte…)
5
Page d’accueil TF1 http://www.tf1.fr
6
• Quelle représentation pour le document
multimédia?
• Représentation numérique
• Le numérique : Aperçu historique
7
Document Multimédias : historique
• la représentation de document multimédia est
numérique
• Fin des années 70 introduction du numérique dans
l’audiovisuel ( effets spéciaux)
• 1981 : Sony présente le format Betacam
• 1986 : naissance du premier format numérique le D1(
premier format d’enregistrement numérique à avoir
été normalisé)
• Années 90 : procédés de compression MPG
• 1993 : Sony invente le format Beta- numérique
• Année 2000 : convergence audiovisuel / informatique
8
Document Multimédia
Quelles structures ?
Pourquoi identifier les structures du
document multimédia?
Comment identifier les structures?
9
Document multimédia quelles
structures?
Un document multimédia est considéré comme semi
structuré
• Sa structure est a priori irrégulière et sans définition
générique
• « Sous le terme de document structuré, on entend les
différentes entités logiques entrant dans l’élaboration
d’un document, les règles d’organisation de ces entités
entre elles, et les outils de manipulation de ces entités
»[balpe 96]
• concevoir l'organisation d'un document permet de mieux
choisir les langages de spécification et les techniques de
formatage associées à chaque dimension.
10
document multimédia : une structure
multicouche
Un document multimédia
• Une structure multicouche
• Organisé selon plusieurs dimensions :
 Physique
 Logique
Temporelle
 Spatiale
En général on distingue deux types de structure :
physique / logique
11
les structures du document multimédia:
identification
• Pourquoi ?
• Comprendre un document nécessite d'en
reconnaître ses structures ( physique, logique…)
• Comment ?
• La première étape de reconnaissance de la
structure physique fait apparaître les blocs
• ( texte, lignes,mots… séquences, scène, plan..)
• Au cours de la seconde étape de
reconnaissance de la structure logique, les
entités physiques sont interprétées comme des
entités signifiantes
12
les structures du document multimédia:
identification
Décrire la structure d’un document consiste
à
• Identifier
• Décrire chacun des éléments textuelles ,
ou non textuelles (image animée + image
fixe+vidéo), qui le constitue
13
Texte
Image
animée
Bloc
Vidéo
(image
animée +
son)
14
Bloc
Structure physique
La structure physique :
• Désigne le positionnement de composants d’un
document,
• leur agencement les uns par rapport aux autres,
ainsi que l’ensemble des caractéristiques
typographiques
La structure physique désigne la segmentation
d’un document en zones homogènes,
partageant les mêmes propriétés
typographiques ou graphiques
15
• Exemple 1 : document étudié : textuel
• on décrira la typographie et la mise en page
• Exemple 2 : document étudié: audiovisuel
(séquence vidéo)
• on peut identifier une référence de
• type image ( animée)
• type texte ( commentaire)
• type son ( musique)
• chaque référence est a son tour composé de
plusieurs éléments
16
Structure logique
• La structure logique décrira le rôle et la
nature de chaque élément d’un document
multimédia ainsi que l’ensemble des liens
hiérarchiques et / ou logique qui les lient
les uns autres avec les autres
• La structure logique permet de regrouper
les blocs physiques en entités logiques la
structure logique d'un document permet de
le décomposer en sous parties.
17
• Une structure physique bien conçue aura
pour principal qualité de rendre lisible la
structure logique du document ce qui peut
amener à confondre les deux
• Distinguer entre les deux type de
structuration car même si elles peuvent
conduire toutes les deux à un découpage
du document équivalent, la manipulation
des éléments du document et l’accès à
chacun d’eux sont différents
18
Structures thématique, temporelle
et spatiale
• La structure thématique :
• concerne le contenu correspond à une
segmentation en blocs sémantiquement
homogènes
• Les structures temporelles et spatiales sont
orthogonales
• Elles ne sont cependant pas indépendantes de
la structuration logique qui pose en quelque
sorte des frontières spatio-temporelles à
l’intérieur du document
19
• Le Document multimédia
• Quelles composants ?
 Texte
 Image
Vidéo
 Son

20
L’image
• Définitions :
• Une image, du latin imago : désigne la
représentation visuelle d'un objet par différents
moyens ou supports:
Peinture
Dessin
Photographie
Image numérique
Vidéo…
21
L’image numérique
Les images que permet les appareils numériques
sont des images matricielles
• une image matricielle / numérique est constituée
d’une succession d’éléments de base lumineux
(pixels) disposés régulièrement selon deux
dimensions (3 dimensions dans le cas d’images
3D)
• Plus la densité des points est élevée, plus la
résolution de l’image est élevée
• La place et la durée de traitement est plus
grande
22
Le pixel
• Le pixel représente une valeur. Dans le cas des
images à niveau du gris, cette valeur représente
la luminance du signal du départ. Dans celui des
images en couleur, la valeur du pixel est
constituée de trois composants : rouge, vert et
bleu. La composition de ces trois couleurs
primaires permet de décrire l’ensemble des
couleurs
• Un pixel est défini par les valeurs que peut
prendre son intensité
• Les intensités des pixels sont codées sur b bits
23
La compression
• Les données numériques sont des données intenses
• Ceci pose problème au niveau de la transmission et du
stockage
• il s’agit en fait « d’un ensemble de des opérations qui
visent à réduire le volume de données »
• Les progrès en matière de transmission et de
compression n’ont jamais cessé( JPEG, JPEG2000,
MPEG1-MPEG21)
• Le domaine de compression recouvre un grand nombre
de méthodes
24
Exemple : l’importance de la compression
Le standard de la télévision aux USA représente le format
d’une image de télévision numérique couleur par : 720 x
480 x 2 pixels 4 ( soit 691200), chacun étant codé sur 24
bits.
A raison d’environ 30 images par seconde, la transmission
d’un programme de télévision numérique nécessite une
bande passante d’environ (1/2 x 30x691200x24HZ5, soit
249 MHZ.
Or la bande passante disponible au USA pour ce type
d’images n‘est que de 4,2 MHZ. Il faut donc compresser
la séquence d’images numériques d’un facteur 5 ( s’il
s’agit d’une télévision haute définition, ce facteur sera
multiplié par 3)
25
L’image animée
• Une image animée est une image (dessin, peinture, photographie…)
montée dans une suite logique permettant une impression d’activité
et de mouvement
• Le mouvement est décomposé en une succession d’images fixes
dont la division à une fréquence donnée donne l’illusion du
mouvement contenu
• Chacune des phases du mouvement est réalisées et enregistrées
images par image
• Les images sont restituées à une fréquence régulière suffisante
pour que le cerveau et l’inertie des phénomène entrant dans la
vision
• La fréquences standards sont de 25 images / seconde
26
Imagée animée http://www.toutimages.com/
27
Le Son
Définitions
• Un phénomène physique : une onde produite par une vibration
(mécanique) rapide de compression et de dépression du milieu
dans lequel il se propage ( l’air / l’eau )
• Un phénomène physiologique : La sensation auditive produite par
le phénomène physique
• La vibration d’un objet comprime ou détend l’air qui nous entoure,
ces vibrations détectées par l’oreille, engendre un son
•
•
•
•
28
Le son se caractérise par:
Son amplitude
Sa fréquence
Son timbre
Le son
• Caractéristiques
– Amplitude ( intensité): correspond aux variations de pression de
l’onde. La force perçu du son dépend de l’amplitude. Le son peut
être fort ou doux
– L’intensité acoustique se mesure en décibels(DB). Une échelle
de perception graduée de 0à 200 para rapport au seuil de
perception de l’oreille humaine
– La distinction entre sons forts ou faibles est liée à l'amplitude des
vibrations de l'air transmettant les sons à l'oreille
Fréquence : nombre de fois qu’une grandeur périodique se
produit identiquement à elle-même en u ne seconde. La
fréquence se mesure en Hertz ( HZ).la fréquence du son permet
de distinguer les sons graves des sons aigus. Plus un son est
haut plus il est aigu.
29
Le son
• Caractéristiques
– Timbre : le timbre est différent pour chaque type de source
sonore.
– Exemple : une même note jouée avec la même force mais avec
deux instruments de musique différents ne donne pas le même
timbre du son
–
– Le timbre est une notion subjective permettant de qualifier et de
distinguer des sons de hauteur et d'intensité identiques
– Les techniques de modulation des ondes (modulation
d’amplitude et modulation de fréquence) sont utilisées en
radiodiffusion
30
Le son : les sous ensemble
• Les composants du son sont : le bruit , la
musique et la voix
Son
Voix
Musique
Bruit
Voix
Instrument
Cri
31
Parole
Dialogue
Monologue
Le Bruit
• Définitions :
– Phénomène acoustique produisant une sensation
auditive considérée comme désagréable ou gênante
– La superposition de sons purs(c'est-à-dire à une
seule fréquence) donne un phénomène acoustique
aléatoire, où l'on ne peut distinguer de fréquences (à
l'inverse des sons complexes), on est alors en
présence de bruit.
32
La Voix
• Définitions:
– Son ou ensemble de sons produits par le larynx, quand les
cordes vocales entrent en vibration (sous l'effet d'une excitation
nerveuse rythmique
– La voix, parce qu'elle est le produit acoustique d'un
comportement sensori-moteur, porte l'empreinte corporelle des
trois systèmes (respiratoire, phonatoire, articulatoire) impliqués
dans sa production
exemple : le cri néonatal est un phénomène sonore d’une
durée de 1à 4 seconde, d’une intensité de 82 décibels,
et d’une hauteur fréquentielle plutôt aigu de 350 à 500
HZ
33
La parole
• Définitions:
– La parole est l'ensemble des choix lexicaux,
articulatoires et acoustiques réalisés lors d'une
communication orale dans une langue donnée.
– L'acte de parole est destiné à satisfaire les besoins
communicatifs d'un sujet parlant dans une situation
concrète.
La parole : la fréquence fondamentale moyenne de la
parole des femmes est de 202 à 250 HZ
34
La musique
Définitions :
– Une succession de sons organisés
– Une combinaison des sons provenant
d’instruments de musique et de silences
– ’’L’art des sons’’, elle englobe toute construction
artistique, combinatoire ou aléatoire, destinée a
être perçu par l’ouie
– la musique est " un système de différences qui
structure le temps sous la catégorie du sonore "
(Boucourechliev)
35
La vidéo
• Définitions:
– Ensemble des techniques permettant la visualisation ou
l’enregistrement d’images animées accompagnées de son
– Flux vidéo : information continu composé d’une succession
d’images et de son ( 25/ secondes en Europe et 30/ seconde
en USA)
– Mixage: Il consiste à équilibrer les fréquences et amplitude
relatives d’un certains nombre de sources audio
– Montage : c’est l’action d’agencer images et sons.
Exemple:c’est l’action d’assembler de bout à bout plusieurs
plans pour former des séquences…
36
• Accès aux documents multimédias :
 Catalogage
 Indexation
 Normes
 Langages
37
Accès aux documents : Catalogage
• Définitions:
–
–
–
–
–
–
–
–
–
Il consiste à analyser le document en tant que support
Il est fondé sur une norme internationale, il s’agit d’identifier
les éléments à prélever
L’auteur
Le titre
L’éditeur et la date d’édition
La pagination
La collection les mots sujets
L’ISBN ou L’ISSN
• la partie du document ou les éléments doivent être prélever et
l’ordre dans lequel les éléments définis par la norme doivent être
retenue
38
Normes AFNOR de catalogage
Z 44- 050 catalogage de monographies
FD Z 44- 063 catalogue des publications en série
Z44-063 Catalogage des documents cartographiques
Z44- 069 Catalogage de la musique imprimée
ISBD ( G) [General]
ISBD(M) [Monographs]
ISBD(CP)[Cartographic Material]
ISBD(PM) [PrintedMusic]
ISBD ( Non BooK Material]
FD Z 44-07 Catalogage de l’image fixe
FD Z 44-065 Catalogage des enregistrements sonores
39
Normes AFNOR de catalogage
• Des documents sonores : Z 44-066 (Décembre 1988)
• Documentation – Catalogage des enregistrements
sonores – Rédaction de la notice phonographique
• Des images animées : FD Z 44-065 (Septembre 1998)
Documentation Catalogage des vidéogrammes –
Rédaction de la description bibliographique
• Des images fixes FD Z 44-077( Septembre 1997)
Documentation – Catalogage de l'image fixe – Rédaction
de la description bibliographique
• Description bibliographique internationale
normalisée des ‘‘non livres’’
40
Accès aux documents multimédias :
Indexation
• Approche documentaire: Représentation, par les
éléments d’un langage documentaire, des
notions résultant de l’analyse d’un document en
vue d’en faciliter la recherche
• Approche linguiste : représentation du
document par le document lui-même
41
Accès aux documents multimédias:
Markup Langages
Markup Languges: Langages de description / balisage
servant à :
• définir l’affichage et à structurer les informations
contenus dans un document multimédia; page web d’un
site Internet ( titre, paragraphes, sauts de ligne, gras …)
– Créer une base de donnée de livres
– La mise en place d’un répertoire sur un téléphone mobile
• Parmi les langages permettant l’accès au document
multimédia : XML, SMIL, RDF, SVG…
42
Les langages balisages
• Deux type en générale
– Destiner a stocker l’information (ex. XML)
– Destiner a afficher (ex. HTML)
43
HTML
• HTML pour l’affichage d’info
• Exemple
– <b>Nancy 2 </b> = Nancy 2
– <font size=6> Master 2 </font> = Master
44
2
XML: eXtensible Markup Language
• Langage informatique de balisage générique
• Un protocole de stockage et de gestion de
l’information
• Il permet l’échange automatisé de contenus
entre système d’informations hétérogènes
(notamment sur Internet)
• Peut stocker et organiser n’importe quel type
d’informations dont les informations multimédias
• Un standard universel évolutif et ouvert
45
Langages en relation avec XML
• Depuis son introduction en 1996, XML a envahi tous les
domaines:
• Documentaires : documentation scientifique et technique
(SGML)
• Documentation bureautique : office 11 et Open Office
• Commerce électronique : ebXML
• Audiovisuels et artistiques :
•
Graphiques : SVG
•
Multimédia : SMIL
46
Exemple : XML
• <Livre>
• <Titre> Stratégies des PME et
intelligence économique </Titre>
• <Auteur>Maryse Salles</Auteur>
• <Pages>169</Pages>
• <Langue>français</langue>
• </Livre>
47
Exemple 2
• <Dialogue>
•
<Dialogue in Rodolphe, Henri,la servante>
•
•
•
•
•
•
48
<locuteur>Rodolphe</locuteur>
<parole>dis donc!c’est des laitiers!
</parole>
<locuteur>Henri</locuteur>
<parole>qu’est ce que tu veux que
ça me fiche.</parole>
</dialogue in Rodolphe, Henri, la servante>
</Dialogue>
Le format RDF-- XML
RDF : Resource Description Framework
• Système de définition de ressources
• permettant à des applications d'échanger des
données à travers le Web.
Par extension, format universel de description de
données visant notamment à créer un système
d'indexation adapté à la création de serveurs de
recherche sur l'Internet
49
Le format RDF--XML: fonctionnalités (1)
RDF est un modèle associé à la syntaxe
XML permettant :
• De structurer l’information accessible sur
le web et de l’indexer efficacement
• A une communauté d’utilisateurs de
partager les mêmes méta données pour
des ressources partagées
• Stocker les méta données de document
50
Le format RDF--XML: fonctionnalités (2)
• Représenter les méta données, en
utilisant le concept clé de triplet
{ressource, propriété, valeur}
• Ces trois parties sont appelées
respectivement sujet,prédicat et objet
• Exemple: le sujet peut être un document
à commenter, l'objet une propriété de ce
document comme son titre et le prédicat la
valeur de cette propriété
51
Le format SMIL--XML
• SMIL : Synchronized Multimedia Integration
LangugeSMIL
• (description fine de la structure d’un document multimédia)
• L'objectif de SMIL est de permettre l'intégration de
contenus multimédias diversifiés (images, sons, textes,
vidéo, animations, flux de texte) en les synchronisant
afin de permettre la création de présentations
multimédias
•
SMIL assure la
•
Gestion des médias : les contenus
•
Gestion de l'espace d'affichage : layout
•
Gestion du temps : synchronisation
•
Gestion de l'interaction utilisateur
52
SMIL
Synchronized
Multimedia
Integration
Language
Ça concerne la
synchronisation
Non seulement
les graphiques
53
En combinant les
sources du web
Dans une
syntaxe XML
SMIL: fonctionnalités
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
54
SMIL 2.0 est constitué de 45 modules répartis en 10 groupes :
1.Timing (19 modules) : le coeur de SMIL
2.Time Manipulations (1 module) : changement du cours du temps
3.Animation (2 modules) : évolution temporelle des valeurs d'un
attribut
4.Content Control (4 modules) : sélection de contenu, adaptation,
optimisation
5.Layout (4 modules) : positionnement sur l'écran et sur les canaux
audio
6.Linking (3 modules) : navigation hypermédia
7.Media Objects (7 modules) : les médias de base
8.Meta-information (1 module) : méta-données à propos du
contenu
9.Structure (1 module) : structure principale d'un document
10.Transitions (3 modules) : fondus, effets visuels
SMIL-- XML
SMIL s'appuie sur le langage XML
• La structure XML d'un document SMIL
décrit le déroulement temporel et spatial
des différents composants intégrés. En
d'autres termes, SMIL permet d'indiquer le
moment où un contenu sera affiché,
pendant combien de temps et dans quelle
partie de la fenêtre d'affichage.
55
SMIL: Structure d'un document
• Un document SMIL contient deux parties :
• entête<head>
– layout et méta-information
• corps<body>
– contenus et liens, comme dans HTML gestion
du temps : scénario temporel, animations,
transitions
56
SMIL :Synchronisation
• Le corps du document <body> contient la
structure temporelle et les médias
• Définition par une structure hiérarchique
d'opérateurs
• Parallèle <par> Les éléments contenus sont
joués en même temps
• Séquence <seq> Les éléments contenus sont
joués l'un après l'autre, dans l'ordre
• Les objets média constituent les feuilles de la
structure
57
SMIL : Contenus
• Les contenus sont externes au document
SMIL
• Types de contenus :
• <text> HTML, RealText
• <image> JPEG, PNG, GIF, RealPix
• <video> MPEG, RealVideo
• <audio> WAV, RealAudio
• <animation> SVG, GIF
58
SMIL : exemple
• Dans cet exemple, l'élément image
commence (apparaît) quand l'utilisateur
clique sur l'élément "show". L'image se
termine (disparaît) 3 secondes et demi
plus tard.
• <smil ...> ... <text id="show" ... /> <img
begin="show.activateEvent" dur="3.5s" ...
/> ...
</smil ...>
59
SVG--XML
• SVG : Scalable Vector Graphics
• Un langage XML pour décrire des graphiques
2D contenant :
• des formes vectorielles
• des images
• du texte
• Structuration : hiérarchie d'objets, références, style
transformations géométriques.
• Effets : clipping, transparence, filtres
• Dynamique : interaction (événements, scripts, DOM),
animation (SMIL)
60
Dublin Core
• Dublin Core: est un schéma de méta données générique
•
•
•
•
•
•
•
61
qui permet de décrire une ressource numérique ou physique et
d’établir des relations avec d'autres ressources.
Il comprend 15 éléments de description
Description formels : titre, auteur, créateur, éditeur…
Description intellectuels : sujet, description, langue…
Description relatifs à la propriété intellectuelle
La signification de certains éléments peut être précisée à l'aide de
raffinements.
Ces descriptions doivent être fournis par le producteur de la
ressource.
Un raffinement restreint la signification d'un élément, mais sans la
changer fondamentalement. L'utilisation des raffinements est
facultative. Lorsque ces raffinements sont utilisés, on parle de
Dublin Core Qualifié
Formats de compression de document
Multimédias
• Codec : (codeur et décodeur) = compresser /
décompresser
• Il s’agit d’un procédé de compresser ou de
Décompresser un signal ( audio / vidéo)
• L’information est codée en binaire ; un même élément
peut se trouver dans deux états différents stable , il
constitue une mémoire élémentaire ou bit
• Il existe actuellement différents standards de
compression dédiés au donnée multimédias citons par
exemples : MPEG, JPEG2000, BMP, PNG, GIF, TIFF
62
Formats de compression de document Multimédias:
MPEG
• MPEG : Moving Picture Expert Group ( crée en 1988 par l’ISO)
•
•
•
•
•
•
•
63
MPEG -1 : standard en 1992, pour des applications de stockage Audio/
vidéo du type Vidéo CD
MPEG -2 : standard en 1994, vise les applications liées à la diffusion /
broadcast de la télévision numérique, ce format vidéo est utilisé pour les
DVD, VCD? Et SVCD avec différentes résolutions d’images
MPEG - 4 : standard en 1998, norme de codage vidéo, intégration des
formats audiovisuels( Audio, Vidéo, 2D, 3D)
les usages de l’MPEG-4 englobent les applications multimédias (
téléchargement / streaming sur Internet, le multimédia sur mobile
MPEG-7 : standard en 2001 : norme de description : faciliter l’indexation et
la recherche de DM
MPEG-21: standard en2000, dont le but est de créer une architecture
permettant l’interopérabilité et l’utilisation transparente de tous les contenus
multimédias
MPEG-A: tourné vers les applications multimédia ( en cours de
standardisation)
Formats de compression de document
Multimédias : JPEG
• JPEG
• fait référence à la norme de compression ( ISO / CEI )
10918-1 ou UIT6T
• Spécifie la transformation d’une image brute à une suite
de bits
• JPEG File Interchange Format (JFIF) : spécifie comment
stocker les informations sur ses dimensions,ses
références….
JPEG est utilisé pour les photographies
(Marcoromedia Flash s’impose pour les animations)
64
Autres Formats de compression de document
Multimédias
• BMP : format d’image numérique utilisé par
windows et IBM
• PNG : (Protable Network Graphics) normalisé
par l’ISO ( ISO/ CEI15948) en 2004: format
d’image numérique adapté pour publier des
images simples comprenant des aplats de
couleurs, approprié au enregistrement
synthétiques destinées au web
65
Autres Formats de compression de document
Multimédias
• GIF : (Graphics Interchange Format) mis
au point en 1987/1989 pour permettre le
téléchargement d’images en couleur
• TIFF : (Image File Format) permet
l’enregistrement des données multi-octes
66
Autres Formats de compression de document
Multimédias
• Format AVI : Audio-Video Interleaved
(entrelacement audio-vidéo)
Format de fichier vidéo pour Windows
• QuickTime Movies :films Quick Time (mov):
Normes de compression privées d'Apple pour les
fichiers vidéo; fonctionne maintenant
sur d'autres plates-formes.
•
67
Contenu Multimédia
• Banques numériques
• Sites multimédias
• Ressources
68
Banques d’images numériques
•
•
•
•
•
http://www.bnf.fr/
http://images.bnf.fr/jsp/index.jsp
http://gallica.bnf.fr/
http://opaline.bnf.fr/
http://creative.gettyimages.com/source/home/ho
meCreative.aspx
• http://photographie.ladocumentationfrancaise.fr/
photographie/phototheque/search/search.html
• http://www.fotosearch.fr/
• http://www.photoalto.fr/index/fa/c.home
69
• http://www.cerimes.education.fr/
• http://www.ina.fr/
70